EVIU.E. Décembre 1891. PREMIÈRE PARTIE Lie foie. — Maladies des voies biliaires. PREMIÈRE LEÇON Notions d'anatomie

c le temps qui nous est donné, je ne pourrais guère, en suivant cette voie , relativement facile, que vous présenter des esqu

upport aux ramifications de la veine porte. Celles-ci, venues par une voie différente de celle qui conduit les veines hépati

tions chroniques du foie consécutives à l'oblitération permanente des voies biliaires. Le foie qui d'abord, en général, devie

de M. Robin (1874). Legros faisait pénétrer chez des animaux dans les voies biliaires, suivant une méthode dont il serait tro

conjonctif des lobules hépatiques ; ses caractères à l'état normal. — Voies lymphatiques ; lacunes. — Filets nerveux. Espac

e cardiaque). b) Nous voici naturellement conduit à vous parler des voies , lymphatiques qui ont partout des relations si ét

ux qui se forment en conséquence de la dilatation et du ca-tarrhe des voies biliaires prennent également naissance dans les e

dans l'une de ces bran-ches, elle ne pourrait se rétablir que par la voie des capil-laires, puisqu'il n'y a pas de voies co

se rétablir que par la voie des capil-laires, puisqu'il n'y a pas de voies collatérales. Cette dispo-sition est remarquable

la pathologie hépatique. En déterminant, par leur présence, dans les voies biliaires, des lésions de canalisation (Tlruveilh

ile incolore. — Hydropisie de la vé-sicule biliaire. — Hydropisie des voies biliaires. Messieurs, Je vais, aujourd'hui, r

remarquer (2), une petite quantité de pus. mêlée à la bile, dans les voies biliaires, ne saurait y conserver ses ca-ractères

parler de la bile tout à fait in-colore, que contiennent parfois les voies biliaires dans cer-tains cas pathologiques. Ici,

ettre que tous les faits relatés de liquide incolore observé dans les voies biliaires, à l'autopsie, sont des exemples de bil

d'oblitéra-tion prolongée du canal cholédoque, l'existence, dans les voies biliaires, d'un liquide blanc, transparent, insip

anal cholédoque déter-minée par un cancer de la tête du pancréas. Les voies biliai-res (vésicule, canaux cholédoque et hépati

isie de la vésicule (hydropisis fellea). Sous le nom à'hydropisie des voies biliaires, on désignerait, d'une façon générale,

voies biliaires, on désignerait, d'une façon générale, les cas où ces voies renferment un liquide séro-muqueux pour les disti

enre, dont je vous ai parlé précédemment, la bile, accumulée dans les voies biliaires, examinée au moment où l'animal venait

lement dans la bile. Les premiers ont été vus par Rokitansky dans les voies biliaires de malades morts du choléra et du typhu

s de ce genre. Les cylindres épithéliaux peuvent se former dans les voies biliaires, s'en détacher et pénétrer jusque dans

es. Plusieurs renseignements intéressants ont été ob-tenus dans cette voie . Les documents sur lesquels je me propose d'appel

ittente hépatique. C'est qu'en effet elle se rattache aux lésions des voies biliaires,, avec altérations concomitantes du par

e qui suit : Io Dans la plupart de ces cas, il y a oblitération des voies biliaires, soit par un calcul, soit par toute aut

ns une intoxication spéciale déterminée par le développement dans les voies biliaires, remplies par la bile stagnante et prof

ment à la fièvre intermittente qui accompagne quelques affections des voies urinaires (fièvre intermittente cysto-néphrétique

copique ou de petits calculs d'acide urique, déjà constitués dans les voies urinaires. Parmi les lésions organi-ques du foie

mission, mais bien dans l'acide contenue dans un point quelconque des voies urinaires, et à plus forte raison, lorsque les ma

mettent qu'en pareille circonstance, il se développe au sein même des voies urinaires, une fermentation acide de l'urine anal

ène dans les leucocytes vi-vants (Hoppe Seyler); dans les cellules en voie de développe-ment [chondromes, épithéliomes (Ranv

s de cirrhose, dont deux avec autop-sie, et un cas d'oblitération des voies biliaires dans lesquels le sucre en proportion no

icLile du fiel. Cette migration, vous le savez, peut s'opérer par les voies naturelles, c'est-à-dire que le calcul s'insinue

ffet, que le calcul s'arrête dans un point quelconque du trajet des voies biliai-res et y reste enclavé. Si, par exemple, i

out au plus d'un ou deux ans ; différentes altérations du foie ou des voies biliaires, telles que certaine forme de la cirrho

mortelle. Les cholélithes cysliques n'émigrent pas toujours par les voies naturelles. La paroi de la vésicule, enflammée pa

t parfois issue aux calculs. L'émigration s'effectue encore par les voies urinaires, par l'intermédiaire d'une fistule cuta

ques et chimiques des cholélithes, de leur mode de formation dans les voies biliaires ; — 2° après cela, nous étudierons anat

oduire. Cependant, toutes les ccncrétions que l'on rencontre dans les voies biliaires ne sont pas nécessairement des calculs

s venons de le dire, les calculs biliaires peuvent se former dans les voies biliaires partout où séjournera la bile ; ainsi d

l va sans dire que dans la vésicule, comme dans les autres points des voies biliaires, on distingue les calculs proprement

lcul. On trouva, chez le même sujet, trente autres ascarides dans les voies biliaires. L'Atlas de Lobstein est devenu fort ra

couleur brune ou verte. Enfin, il est possible que, dans l'écorce, on voie des couches de carbonate de chaux séparées par de

suite de l'obli-tération du canal cystique, est séparée du reste des voies bi-liaires. Le calcul étudié par Bally et Henry d

ion de calculs biliaires. Et l'on comprend par là que le catarrhe des voies biliaires, et en particulier celui de la vési-cul

es concrétions subissent lors-que leur migration s'effectuant par des voies non naturelles, elles séjournent plus ou moins lo

t dé-montré aujourd'hui qu'un calcul biliaire qui a séjourné dans les voies urinaires, ainsi qu'il en existe des exemples, pe

uestions que soulève la présence des calculs de cholestérine dans les voies urinaires ; c'est là un sujet que nous devrons ex

qui le concerne, à propos de l'issue des concrétions biliaires par la voie des fistules bi-muqueuses. c) Il me reste à vou

reste, un exposé critique très réussi de ces théories dans l'article Voies biliaires du Dictionnaire encyclopédique des scie

On trouve les concrétions, pour ainsi dire à l'état embryon-naire, en voie de formation, dans certains cas où la bile a été

es phases de la migration des concrétions biliaires cystiques par les voies naturelles, puis les accidents qui les signalent.

r de la bile. Sommaire. — Élimination des calculs biliaires par les voies naturelles. — Considérations relatives à l'anatom

e de la migration, ou si vous l'aimez mieux, de l'élimination par les voies naturel-les des concrétions formées dans la vésic

ent dans toute sa longueur; puis, franchissant l'orifice duodénal des voies bi-liaires, ils tombent dans l'intestin et sont e

ne issue funeste. Ces anomalies dans la migration des calculs par les voies naturelles, dont je me borne pour le moment à vou

chapitre. L'histoire de la migration des calculs biliaires par les voies naturelles, forme un ensemble très étendu et très

s forme d'ampoule et qu'on désigne communément sous le nom (1) Art. Voies biliaires. d'ampoule de Vater (Diverticulum Vat

teignant le volume d'une olive sont incapables de jamais franchir les voies biliaires. Cela n'est pas tout à fait exact. Sans

econnaître que, d'habitude, les calculs biliaires qui sortent par les voies naturelles ne dépassent guère le volume d'une noi

petit volume ne déterminent parfois, dans leur passage à travers les voies biliaires, des phénomènes plus ou moins douloureu

asion d'étudier expérimentalement l'influence des excitations sur les voies biliaires de l'homme a été plusieurs fois saisie

50. QUINZIÈME LEÇON De l'éliminaion des calculs cystiques par les voies naturelles. — Colique hépatique. Sommaire. — De

épatique. Sommaire. — De la migration des calculs cystiques par les voies naturelles. — Symptômes dus à l'irritation des

arquent habituellement l'émigration des cholélithes cystiques par les voies naturelles. Les phénomènes en question peuvent

la révélation clinique, pour ainsi dire vulgaire, du passage dans les voies naturelles des concrétions biliaires. Mais, il va

ès exception-nellement pour cause le passage des concrétions dans les voies biliaires. A ce propos, Messieurs, je dois appe

lique hépatique se rattache au passage des cal-culs biliaires par les voies naturelles. A. Arrêtons-nous tout d'abord sur q

ple du genre, on trouve assez souvent, dans la vési- cule, dans les voies biliaires et même dans les fig. 19. garde-robes,

dou-leur traduit ici directement, en grande partie, l'irritation des voies biliaires, peut-être aussi leur contraction spasm

i-lunaires, lesquels, vous le savez, concourrent à l'inner-vation des voies biliaires. De cette irritation résulte une ac-tio

icule, la con-traction des muscles abdominaux, et enfin le spasme des voies biliaires. Quand le calcul est parvenu dans le

oduit môme très rapidement dans ce cas particulier de l'occlusion des voies biliaires. Ainsi, de 6 à 12 heures après le début

tence de ces accès fébriles, liés au passage de concré-tions dans les voies biliaires, a été depuis longtemps recon-nue. Elle

rès bel exemple d'accès fébriles liés au passage d'un calcul dans les voies biliaires. La température centrale, notée dans de

colique hépatique, et en rapport évidemment avec le passage dans les voies biliaires des cholélithes ne doivent pas être con

ntrent en dehors de la colique hépatique, dans certaines maladies des voies bi-liaires, dans les cas, par exemple, d'occlusio

ls je suis entré, relativement à la migration des cholélithes par les voies biliaires, considérée dans sa forme régulière, me

t certainement pas pu tra-verser l'orifice très étroit par lequel les voies biliaires s'ouvrent dans la cavité de l'intestin.

oins, en raison des rap-ports qui existent entre ces vaisseaux et les voies biliaires. Plusieurs cas de ce genre ont été rapp

lésions que les cho-lélithes, qui ont accompli leur migration par les voies natu-relles et sont parvenus jusque dans l'intest

et sont parvenus jusque dans l'intestin, laissent après eux dans les voies biliaires. En pareil cas, la dilatation per-manen

ans les voies biliaires. En pareil cas, la dilatation per-manente des voies qui servent à l'excrétion de la bile (canaux chol

ertain que telle soit la cause unique des rétrécissements fibreux des voies biliaires. C'est ce que M. Hoffmann cherche à éta

es accidents qui peuvent marquer la migration des concrétions par les voies biliaires Y enclavement définitif de ces concréti

uteur, le rétrécissement fibreux serait résulté de la propagation aux voies biliaires d'un catarrhe gastro-intestinal. appr

anal cholédoque. — Lésions et symptômes. Sommaire. — Dilatation des voies biliaires intra-hépatiques : Modifications de la

re des altérations qui se produisent soit dans le foie, soit dans les voies biliaires, sous l'influence de l'oblitération des

e. En premier lieu, je m'arrêterai un instant sur la dilatation des voies biliaires intra-hépatiques que je n'ai fait qu'in

en général qu'à la suite d'alté-rations datant de fort loin. Dans les voies biliaires principales, l'épithélium cylindrique a

Messieurs, quelles sont les principales altérations que subissent les voies biliaires en conséquence de l'oblitération calcul

s rencontre, bien qu'il n'existe pas actuellement de calculs dans les voies biliaires. Mais, le plus ordinairement, il y a li

intense. Les lésions inflammatoires, résultant de la distension des voies biliaires, ne se limitent pas aux parois même des

umons, la rate, chez des sujets atteints de dilatation sacciforme des voies biliaires, consécutive à l'oblité-ration du canal

tions relève de l'occlusion du canal cholédoque et la dilata-tion des voies biliaires qui en est le résultat se fait de deux

place, en conséquence de la dilatation et aussi de l'inflammation des voies biliaires. Déjà, nous avons parlé de la fine grav

L'existence de véritables concrétions un peu volumineuses dans les voies biliaires intra-hépatiques est rare. Frerichs ne

idents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre les lésions des voies urinaires qui se compliquent de fièvre uréthrale

gastro-intestinales qui surviennent dans le cours de l'occlu-sion des voies biliaires seraient dues à l'existence d'ulcères g

orable à l'éclosion de cette fièvre paraît être la présence, dans les voies biliaires (1) L'École de médecine, 12 oct. 1874

produire alors qu'il n'y a pas, à proprement parler, suppuration des voies biliaires. Il est possible également que les abcè

: La fièvre dont nous nous occupons tiendrait à la présence dans les voies biliaires dilatées et enflammées d'un principe se

onduits biliaires, soit en augmentant la pression dans le système des voies biliaires; — b) de déterminer une inflammation su

cés depuis longtemps déjà sous le coup d'une lésion inflammatoire des voies biliaires, circons-tance propre à favoriser la fo

ccidents du même genre qui compliquent parfois certaines maladies des voies urinaires. Vous n'ignorez pas que, chez les suj

t d'une façon plus ou moins accentuée les signes d'une af-fection des voies urinaires capable d'apporter un obstacle à l'émis

je voulais fixer votre esprit. D'un autre côté, les alté-rations des voies urinaires qui accompagnent les différentes formes

n'est évacuée que d'une façon incomplète; elle est stagnante dans les voies urinaires profondes, comme la bile est stagnante

le, au contact de l'urine altérée qui stagne dans toute l'étendue des voies urinaires. La migration de bactéries jouerait, se

hlegmoneuse ou purulente non calculeuse. — Ana-tomie pathologique des voies biliaires dans l'ictère catarrhal. Messieurs,

erminées par la migration des concrétions biliaires cystiques par les voies naturelles. Ainsi que je vous l'ai annoncé, l'éli

lle forme un des chapitres les plus intéressants de la pathologie des voies biliaires. Pour bien comprendre le mécanisme su

ans la règle, se met en communication avec l'organe voisin. Par cette voie , des calculs très volumineux peuvent être éliminé

es de l'hépatalgie calculeuse peuvent parvenir dans l'intestin par la voie des fistules duodéno-cho-lédoques. La formation

nt plus communes. L'émigration d'un calcul même volumineux, par cette voie , serait comparativement favorable en raison des d

s de calculs biliaires vomis, le corps étranger a dû passer par cette voie . Il n'est pas impossible cependant que des calcul

ie. Il n'est pas impossible cependant que des calculs, rendus par les voies biliaires naturelles, remon-tent jusque dans l'es

s'était établie entre les conduits biliaires et les bronches, par des voies plus ou moins indirectes. L'autop-sie n^a pas été

bilicale, parfois à la région inguinale. Les calculs rendus par cette voie , peuvent avoir le volume d'un œuf de poule. Le li

t un des chapitres les plus importants de l'histoire pathologique des voies biliaires. Quelques détails suffiront par conséqu

spontanément. Mais les lésions inflammatoires, dites spontanées, des voies biliaires, sont, bien entendu, beaucoup plus rare

s de la fièvre typhoïde (Budd, Cruveilhier) (1). L'angiocholite des voies biliaires extra ou intra-hépatiques se rencontre

ole de médecine, loc. cit. VINGTIÈME LEÇON Du cancer primitif des voies biliaires. — Considé-rations générales sur l'anat

natomie pathologique des cirrhoses. Sommaire. — Cancer primitif des voies biliaires. — Historique. — Variétés. — Relation e

Historique. — Variétés. — Relation entre les calculs et le cancer des voies biliaires. — Cancer du pancréas. Des inflammati

e. I. Messieurs, Je terminerai l'étude anatomo-pathologïque des voies biliai-res d'excrétion par un bref exposé des alt

Les premières études régulières, relativement au cancer primitif des voies biliaires sont dues, si je ne me trompe, à M. Dur

. En somme, il est juste de reconnaître que le cancer primi-tif des voies biliaires est une affection assez rare. Le mémoir

le foie soit par contiguïté, soit par métastase. D'un autre côté, les voies biliaires peuvent être intéressées secondairement

e particularité très remarquable de l'histoire du cancer primitif des voies biliaires, c'est que, dans la majorité des cas, i

ns (1) Thèse de Paris, 1870. (2) Etude sur le cancer primitif des voies biliaires, 1870. la thèse de M. Bertrand. Quell

ude. Ainsi M. Hilton Fagge, qui a rassemblé douze cas de cancer des voies biliaires accompagnés de gravelle, représentant l

duit un rétrécisse-ment cancéreux du canal cholédoque. Le cancer de voies biliaires, lorsqu'il atteint le canal cho-lédoque

un grand nombre d'autre lésions ayant pris naissance au voisinage des voies biliaires, sont capables d'amener le même résulta

ï. Nous en avons fini, Messieurs, avec l'anatomie pathologi-que des voies d'excrétion biliaire. Actuellement, nous allons p

plaies. b) L'évolution ultérieure est celle du tissu conjonctif en voie de formation. Il se produit, en effet, au sein de

une chamois, tantôt verdâtre, vert foncé ou vert olive. Les grandes voies biliaires n'ont pas encore été l'objet d'un exame

uleuse ou autres), il n'existe aucune trace de dilatation des grandes voies biliaires. Dans le plus grand nombre des cas, i

essus inflamma-toire sont surtout prononcés au voisinage immédiat des voies biliaires. Ainsi, c'est autour de ces canaux et n

due du foie et, de plus, qu'elle paraît affecter systématiquement les voies biliaires interlobulaires, n'intéressant pas ou n

, puisqu'il s'agit toujours d'une lésion systématique, originelle des voies biliaires ; mais, en raison sans doute de la diff

omme dans le cas de M. Gee, il ne passe plus de bile dans les grandes voies biliaires. Plus communé-ment cependant, la lésion

estin. Des modifications survenant dans la production épithéliale des voies biliaires, permettent de comprendre les modificat

ns la clinique. Voilà donc une forme particulière d'obstruction des voies biliaires, cause d'ictère par rétention. Il y a l

la portion intestinale du cholédoque et la distension consécutive des voies biliaires externes dans l'intoxication phosphorée

autopsie que peu de bile, quand il s'en rencontrait, dans les grandes voies bi-liaires. Des mucosités remplissaient seules le

u fiel. Il y a donc lieu d'admettre, ici encore, une oblitération des voies biliaires profondes. 2° Vhypertrophie du foie o

en outre de l'absence del'ascite, celle des hémorragies par diverses voies , des hémorragies gastro-intestinales, en particul

à cette forme de cirrhose, en particulier l'altéra-tion spéciale des voies biliaires, et c'est au dernier de ces au-teurs, M

cholédoque, b ) dans celle qui résulte de l'oblitération des grandes voies biliaires par un calcul, par une tumeur cancéreus

ation des injections. Mécanisme de la circulation supplémentaire. — Voies pathologiques: néo-membranes vasculaires. —Voies

on supplémentaire. — Voies pathologiques: néo-membranes vasculaires. — Voies naturelles. — Notions anatomiques sur les origine

g veineux porte, trouvant obstacle du côté du foie, se dirige par des voies diverses, et que nous étudierons minutieusement,

15 millimètres de diamètre, tendant à montrer que le liquide, par ces voies , pénètre beaucoup plus facilement que lorsqu'il e

nécessaire de posséder au préalable une connaissance approfondie des voies de communication qui, à l'état normal, existent e

re, en effet, très sommairement, que c'est par l'intermédiaire de ces voies naturelles que s'effectue, dans l'immense majorit

is, l'établis-sement de la circulation supplémentaire s'opère par des voies pathologiques. A titre d'exemple, nous citerons l

hépatiques, au contraire, reçoivent le sang de la veine porte par la voie des veines capsulaires, entre autres, et de cette

st rare et, d'ailleurs, le rétablissement de la circulation par cette voie est peu efficace. Il n'en est pas de même, je l

le répète, du rétablissement de la circulation qui s'effectue par les voies naturelles. C'est ici le lieu de faire remarquer

irculation veineuse gé-nérale. Il s'y rattache, au contraire, par des voies multiples et dans des directions très diverses. M

ples et dans des directions très diverses. Mais la description de ces voies de communication, de beaucoup d'entre elles au mo

it diamè-tre et qu'elles sont sans importance physiologique. Mais ces voies latentes, s'il est possible de s'exprimer de la s

xiste un certain nombre d'exemples de dilatation consi-dérable de ces voies de communication dans la cirrhose. On ne cite, en

gations récentes de M. Duret tendent à prouver, au contraire, que ces voies sont très étroites et difficiles, et je tiens de

a observé la même chose; c'est donc par erreur qu'on a invoqué cette voie , comme servant d'habi- tude au rétablissement d

par les veines très dilatées du plexus sper matique. Toutefois, les voies de communication qui viennent d'être indiquées so

troncs volumineux, le sang pourra passer par l'intermédiaire de cette voie dans le sys-tème général, dans les cas où le cour

ines principales du membre inférieur. Ce reflux s'opère tantôt par la voie des veines épi-gastriques, tantôt par celles des

atique à se substituer au système veineux intra-hépatique. — Etat des voies biliaires dans la cirrhose vulgaire. Symptômes

roncs portes ne sont pas oblitérés, l'injection y pénètre par cette voie . D'un autre côté, ils ont une communication facil

cas un peu avancés. C'est dans ces conditions que se produi-sent les voies collatérales et, en leur absence, les phénomè-nes

ui de ces mêmes vaisseaux injecté par la veine porte : 2° que, par la voie des artères, il est possible d'injecter les capil

vasculaire dans lequel le sang afflue par les artères et sort par les voies supplémen-taires qui font communiquer la veine po

e sang pénètre dans les capillaires intra-lobulaires en partie par la voie des artères, en partie par la veine porte, et s'é

u terme ultime (1). 6° Je serai bref sur ce qui concerne l'état des voies biliaires, dans cette forme de cirrhose. Les cana

se par MM. Pitres et Léger. Selon toute vraisemblance, l'appareil des voies biliaires intra-lobulaires se détruit du centre à

ose atrophique, on trouve à l'autopsie la vésicule et les principales voies biliaires complètement pri-vées de bile. Nous vou

ait seulement qu'elle existe. Rien ne prouve qu'elle ait lieu par des voies directes (1). B. Le tissu conjonctif du rein, c

les espaces lymphatiques et la cavité des ca-nalicules urinifères des voies de communication directes. traces çà et là, au-

minurique, presque spéciale à cette forme ; hémorrhagies par diverses voies ; athérome artériel fréquent ; inflammations visc

ntre eux contiennent encore des traces de l'épithélium glandulaire en voie de dégénérescence granulo-graisseuse ; la plupart

tes envies d'uriner, circonstance intéressante qui peut mettre sur la voie du diagnostic. A quoi tient cette exagération d

terstitielle chroni-que primitive. Ces hémorraghies s'opèrent par les voies les plus diverses : Vépistaxis est souvent, comme

rait rapidement à l'organisme de grandes quantités d'eau par d'autres voies que par les reins (Bartels), ainsi à la suite de

ter dans un tableau tracé à grands traits la disposition générale des voies de la circulation vei-neuse. 1. Dans la subst

le glomérule ne sera pas le siège d'une circula-tion en retour par la voie de l'artère afférente, le sang trou-vant un écoul

'artère afférente, le sang trou-vant un écoulement plus facile par la voie des capillaires in-tertubulaires et de la veine r

our une part au moins, les sels du plasma. C'est aussi par cette même voie que, chez certains animaux, dans l'état physio-lo

avaux les plus récents, c'est, ainsi que je vous l'ai annoncé, par la voie du glomérule, et, à l'exclusion du labyrinthe, qu

conduits à établir en principe que c'est en toute circonstance par la voie du glomé-rule et sans participation du labyrinthe

albumine ; 2° Des glomérules plus ou moins profondément altérés, en voie de destruction. Ici, les conditions mécaniques de

ysiologique et expé-rimental, qui établissent que ce n'est pas par la voie des cana-liculi contorti mais bien par la voie du

ue ce n'est pas par la voie des cana-liculi contorti mais bien par la voie du glomérule que filtre l'albumine du sang ; qui

Travée de premier ordre. C, Travée de second ordre. D, Lobule en voie de dissociation. Fig. 7. — Cirrhose veineuse. —

conjonctif des lobules hépatiques ; ses caractères à l'état nor-mal. Voies lymphatiques ; lacunes. — Filets nerveux. Espac

bile incolore. — Hydropisie de la vésicule biliaire. — Hydropisie des voies biliaires.................. 7 NEUVIÈME LEÇON

r de la bile. Sommaire. — Elimination des calculs biliaires par les voies naturelles. — Considérations relatives à l'anatom

8 QUINZIÈME LEÇON de l'élimination des calculs cysttques paii les voies naturelles. — colique hépatique. Sommaire. — De

épatique. Sommaire. — De la migration des calculs cystiques par les voies naturelles. — Symptômes dus à l'irritation des ne

anal cholédoque. — lésions et symptomes. Sommaire. — Dilatation des voies biliaires intra-hépatiques : Modifications de la

idents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre les lésions des voies urinaires qui se compliquent de fièvre uréthrale

hlegmoneuse ou purulente non calculeuse. — Ana-tomie pathologique des voies biliaires dans l'ictère catarrhal.......... 203

e catarrhal.......... 203 VINGTIÈME LEÇON du cancer, primitif des voies biliaires. — considérations générales sur l'anato

natomie pathologique des cirrhoses. Sommaire. — Cancer primitif des voies biliaires. — Historique. — Variétés. — Relation e

Historique. — Variétés. — Relation entre les calculs et le cancer des voies biliaires. — Cancer du pancréas. Des inflammati

ation des injections. Mécanisme de la circulation supplémentaire. — Voies pathologiques : néo-membranes vasculaires. —Voies

n supplémentaire. — Voies pathologiques : néo-membranes vasculaires. — Voies naturelles. — Notions anatomiques sur les origine

atique à se substituer au système veineux intra-hépatique. — État des voies biliaires dans la cirrhose vulgaire. Symptômes de

rstitielles, 408. 130. Cancer du foie, 84, 97. 237. — Pri-mitif des voies biliaires, 216. Gantharide, son influence sur l

s vaisseaux, 269. — Développement des vais-seaux, 273 ; — lésions des voies biliaires, 275. — Symptômes, 275. Ccecu.m Perfo

a néphrite parenchymateusc, 361. — delà vé-sicule biliaire, 85. — des voies bi-liaires, 85. Hydropisinb, 406. Hypoalbumin

319. —? scarlatineuse. 363, Nerfs du foie, 50. O Oblitération des voies biliaires, 123. 178, 179, 186. OEsophage (Ulcér

e de la —, 205; — struc-ture de la —, 151 ; — ulcères de la —, 214. Voies biliatres (Dilatation perma-nente des), 176 ; — d

ce. - l'y pyra- mide antérieure du bulbe. - Tlc, thalamus. - VI', voie pédonculaire. FIBIIES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE

encéphale au-dessous de la bandelette optique; elles constituent la voie pédonculaire (VP), occupent le pied du pédoncule

uis forment la pyramide antérieure du bulbe. Parmi les fibres de la voie pédonculaire, les unes s'arrêtent dans le locus n

t ce qui concerne le trajet, la terminaison et les connexions de la voie pédonculaire dans le rhombencéphale et la moelle

bre, appartenant surtout à la couche sagittale interne, prennent la voie du faisceau occipito-frontal (Fig. et 6, OF + Pr)

segment antérieur de la capsule interne, les autres prennent la voie du faisceau occipito-frontal. 10 ANATOMIE D

ement avec les fibres du pied du pédon- cule cérébral en formant la voie pédonculaire. 3. Segment rétro-lenticulaire de

ses rapports sur les cou- pes horizontales. Ce segment n'en- voie pas de fibres dans le pied du pé- doncule cér

de Reichert. - Tap, tape- tum. U circonvolution du crochet. - I'P, voie pédon- culaire.-11. Bandelette optique. FIBRE

et sa fusion avec le segment postérieur de la capsule interne et la voie pédonculaire. - Coupe verlico-transversale passan

-lenticulaire de la capsule interne et se continuant en bas avec la voie pédonculaire (VI'). - fTlk, faisceau temporo-th

7'(ip, tapetum. - 7'/t, thalamus. lsc, tmnia semi-circularis.- l'Il, voie pédonculaire. z Vsph, corne sphénoïdale du vent

lenticulaire. - Th, thalamus. - lse, tamia semi-circularis. - l'l', voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventri

ière circon- volution temporale. C. - PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. VOIE PÉDONCULAIRE Le pied du pédoncule cérébral (P,

lamique de la capsule interne; ses libres longitudinales forment la voie pédonculaire et comprennent toutes les fibres d

ventrale du thalamus, mais n'entrent pas dans la constitution de la voie pédonculaire. Sur les coupes un peu plus inféri

noïdale du ventricule latéral. - II, bandelette optique. tion de la voie pédonculaire : ce sont en effet des formations su

, montrent qu'il s'agit ici de véritables faisceaux aberrants de la voie pédonculaire qui, refoulés en arrière par les fib

cicules du stratum intormé- dium. Faisceaux aber- rants de la voie pé- donculaire. Pos lemniscus pro- fond.

ontis. 17d, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pédonculaire, - IV, nerf pathétique; xll', son

ble exister une vicariance entre ces deux faisceaux aberrants de la voie pédonculaire. Parfois on voit se détacher du 2c

nculaire. Parfois on voit se détacher du 2c cinquième externe de la voie pédon- culaire des fibres aberrantes superficie

Rm, ruban de Reil médian; les fascicules arrondies appartiennent à la voie pédon- culaire. - Sgc, substance grise centrale

- lol, petite racine mo- trice descendante du trijumeau. - l'Il, la voie pédonculaire, ses fibres horizontales et les fa

r les fibres saines des faisceaux interne (P') et externe (P) de la voie pédonculaire. A mesure que l'on approche du sil

superficiel, ni avec les fibres aberrantes posléro-exlernes que la voie pé- donculaire envoie parfois dans le tuhcrcule

tres longues passent par le pied du pédoncule cérébral for- ment la voie pédonculaire et réunissent la corlicalité cérébra

udinales de l'étage antérieur de la protubérance faisant suite à la voie pédonculaire et concourant à former le faisceau p

minales pro- fondes. Fibres aberrantes postéro-externes do la voie pédonculaire. Ces radiations unis. sent la zo

zone visuelle corticale. Les autres, plus rares, se détachent de la voie pédon- culaire. Ce sont les radiations cortico-

ro-externe du noyau rouge. Elles représentent un des chaînons de la voie cérébro-cérébelleuse, le neurone cortico-rubriq

stinées au rhombencéphale et à la moelle épinière, constituent t la voie pédonculaire et forment à elles seules toutes les

ral, ni dans l'étage antérieur de la protubérance. Les fibres de la voie pédonculaire proviennent du secteur moyen de l'hé

amidaux de la moelle. La méthode des dégénérescences secondaires La voie pédoncu- laire. Le pied du pédon- culo céré

ls ne se frayent pas un nouveau trajet plus ou moins aberrant de la voie normale'et si les fibres du faisceau interne du

éro-postéro-externe des noyaux pon- tiques ne rentissent pas sur la voie pyramidale, mais entraînent une dégé- nérescenc

s lemnicus profond (voy. p. je), véritables fibres aberrantes de la voie pédonculaire qui plus bas rentrent dans le systèm

de projection de la corticalité cérébrale et en parti- culier de la voie pédonculaire. - La constitution du pied du pédonc

établit ainsi, à tort du reste, une distinction entre la partie des voies pyramidales qui se rend dans le cordon latéral

yramides; 7, par la région supérieure de la moelle cervicale. - Les voies centrifuges sont colorées en bleu, les voies cen-

moelle cervicale. - Les voies centrifuges sont colorées en bleu, les voies cen- tripètes en brun clair, le système cérébel

belleux supérieur. - 7'o, protubérance. - l'(vcc) la pyramide ou la voie antérieure du tronc encéphalique. - Qa, tubercule

Qa, tubercule quadri- jumeau antérieur. - SS, locus niger. - Va, la voie antérieure du tronc encéphalique ou voie pédonc

- SS, locus niger. - Va, la voie antérieure du tronc encéphalique ou voie pédonculaire. - vp, la voie postérieure du tron

oie antérieure du tronc encéphalique ou voie pédonculaire. - vp, la voie postérieure du tronc encéphalique ou de la calott

fibres radiées du noyau lenticulaire (FL) y arrivaient en suivant la voie directe de la capsule inlerne. Les libres des l

. Les libres des lames médullaires du noyau lenticulaire prenaient la voie détournée de l'anse du noyau lenticulaire : ell

ésigne sous le nom de faisceau d'Arnold. En 1872, Gudden montra par voie expérimentale que, chez le chien, les fibres de l

aisceau occipito-temporo-protubérantiel non encore myélinisé). ? la voie pyramidale myélinisée. - p', la voie centrale d

el non encore myélinisé). ? la voie pyramidale myélinisée. - p', la voie centrale des nerfs moteurs crâniens, en particuli

a substance grise. Elle intéresse non seulement les faisceaux de la voie pédonculaire respectés par la dégénérescence (F

t à l'enfance et s'accom- 9uc. 5. - Dégénérescence rétrograde de la voie pédonculaire, en particulier de sa partie moyen

Voy. cas Brichard, IIIe partie.) La dégénérescence rétrograde de la voie pédonculaire diminue de bas en haut; elle peut

culée. - T'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - ]'P, voie pédon- culaire ; VP(d), la zone dégénérée du pi

), la zone d'intensité maxima de la dégénérescence rétrograde de la voie pédonculaire droite. - 111, filets radicu- lair

ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Hypertrophie com- pensatrice de la voie pédonculaire, en par- ticulier do la pyra-

des fibres de projection du manteau cérébral, en particulier de la voie pédonculaire et de la pyramide antérieure du bu

G. 60. Atrophie en masse de la calolte du pédoncule cérébral et de la voie pédon- culaire dans un cas de dégénérescence de

seul coup un plus Fie. 62 et 63. - Hypertrophie compensatrice de la voie pédonculaire (Fig. 62) et de la pyramide antéri

pour arriver à leur destination, dans une partie de leur trajet la voie de la capsule interne ou la traversent plus ou

lésion sous-corticale ou capsulaire par exemple, et qui suivent la voie de la capsule interne et du pied du pédoncule cér

Fig. 55 lésion protubérantielle, dégénérescence rétro- grade de la voie pédonculaire). D'une manière générale, l'emploi

d, p. 185 et suivantes). Lorsque, pour prendre un autre exemple, la voie pédonculaire et le ruban de Reil médian se trou

très récentes, une dégénérescence exclusivement des- cendante de la voie pédonculaire et une dégénérescence exclusivement

enons de mentionner, une dégénérescence rétrograde ascendante de la voie pédonculaire, remontant plus ou moins haut dans

ig. 49). Le lobe occipital ne participe donc pas à la formation de la voie pédonculaire ; il ne possède ni fibres de proje

s fibres commissurales du lobe occipital prennent, non seulement la voie du tapetum, mais encore celle du forceps postér

la lésion du pli courbe. Le pli courbe n'envoie pas de fibres à la voie pédonculaire. Coupes passant par la partie supéri

ban de Reil médian (Rm) et représentent les fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les lésions de la zone rolandiq

saines correspon- dant aux fibres saines du faisceau moyen de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert. z ANATOMI

Toutes ces fibres empruntent, dans une partie de leur trajet, la voie de la couche sagittale externe. Quant il la d

elleux supérieur gauche (Pcs (a). Hypertrophie considérable de la voie pédonculaire du côté sain ou ' gauche. Méthode

leux supérieur Pics (a) gauche. Fascicules arrondis aberrants de la voie pédonculaire dans le ruban de Reil médian sain

ns le ruban de Reil droit atrophié. Hypertrophie considérable de la voie pédonculaire gauche. Méthode de Weigert. 2/1 gr

a dégénérescence des collatéiales ou des fibres aber- rantes que la voie pédonculaire envoie à la calotte. Notons enfin qu

. pyramide bulbaire du côté sain qui a presque doublé de volume. La voie pyramidale gauche ou saine est du reste hypertr

rotu- bérance. Dégénérescence des faisceaux antéro-internes de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert. Cas Racle.

rale croisée et anatomo-pathologiquement par une dégénérescence des voies optiques en amont et en aval du foyer primilif.

capsule interne et lo pied du pédoncule cérébral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet protubé- ranti

capsule interne et le pied du pédoncule cérébral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet protubé- ranti

e interne et le pied du pédon- cule crél)ral..11)seii- ce de la voie pédon- culaire dans un trajet protubéranticl,

ériées (Fig. 202 à 207). L'étude de ces coupes montre : 1° Que la voie pédonculaire, c'est-à-dire les libres de projecti

es pédoncules cérébelleux supérieurs (Pes). Agénésie complète de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert-l'al. 3/1 t

psule in- terne et le pied du pédoncule cérébral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet protubé- ranti

psule in- terne et lo pied du pédoncule cérébral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet protubé- ranti

t pas encore com- plètement myélinisées, et grâce à l'absence de la voie pédonculaire la substance grise antérieure du [

- ceau interne du pied du pédoncule céré- tral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet pro- tibéranttel

- ceau interne du pied du pédoncule céré- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet pro- tubérantiel

- ceau interne du pied lu pédoncule cére- bral. Absence de la voie pédonculaire lans son trajet pro- tubérantiel

- ceau interne du pied du pédoncule cere- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet pro- tubl'rantle

quelques fibres qui arrivent aux ganglions de la base empruntent la voie des segments antérieur, postérieur ou inférieur

- ceau interne du pied du pédonculo céré- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet pro- tuberantiel

anteau cérébral (Fig. 223); elles représentent très probablement la voie détournée par laquelle un certain nombre de fibre

- ceau interne du pied du pédoncule céré- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet ]11'0- tubéranti

- ceau interne du pied du pédoncule céré- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet pro- tubérantiel

- ceau externe du pied du pédoncule céré- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet 1'1'0- tubéranti

te, il ne se fraie pas un nouveau trajet plus ou moins aberrant de la voie nor- male. Cela est d'autant plus probable que

passant par le pédoncule cérébral. Agénésie presque totale de la voie pé- donculaire. Le faisceau interne du pied du

niveau de l'émergence du trijumeau. Agénésie presque complète de la voie pédonculaire. Développement remarquable des fibre

lbe. Méthode de Weigert- P;t).'7/i grandeur nature. (Voy. Long, /es Voies centrales de la sensibilité générale, Thèse Par

- ceau interne du pied du pédoncule céré- bral. Absence de la voie pédonculaire dans son trajet pro- tubërantiel

noyaux arqués directement appliqués sur la couche inter-olivaire. La voie pédon- culaire fait partout défaut dans son tra

res psycho-moleurs. Les travaux de Fritsch et Ilitzig ouvrirent une voie nouvelle à la physiologie cérébrale. Ils furent

es ganglionnaires pri- maires (Pul, Cge, Qa) ou qui sectionnent les voies optiques centrales (couches sagittales du lobe

. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 243 FIG. 210. - Les voies conductrices de la vision : appareil visuel centr

l'origine corticale de ce centre -passent probablement par la même voie . Si la participation des sens spéciaux dans l'h

on trouvera les détails dans la thèse inaugurale de ce dernier (Les voies centrales de la sensibilité générale, Paris 1899)

sation des Gefîthls in de)- Grosshirnrinde. Berlin, 1882. - Long. Les voies cen- trales de la sensibilité générale. Étude a

ippocampe et gyrus fornicatus. Ses fibres de projection forment les voies olfactives centrales et suivent un trajet bien di

ur ensemble, elles con- stituent le neurone de deuxième ordre de la voie olfactive et transmettent à l'hippocampe les im

la bandelette diagonale de Broca, située au-dessous 1 c. 252. - Les voies olfactives centrales. (Systèmes des radiations ol

tives profondes constituent des neurones de troi- sième ordre de la voie olfactive. Elles ne représentent pas un faisceau

ance. - Tap, tapetum. Th, thalamus. - /se, tænia semi- circularis.- voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventri

assent par le hile du fascia dentata : les autres y arrivent par la voie de l'alveus exlravcn- triculaire (Alvx). L'al

ier postérieur du trigone el arrivent au corps du trigone par une voie détour- née, bien étudiée par 0. Vogt. biles

nc d'origine de ce faisceau (ou faisceau mamillaire principal). - VP, voie pédonculaire. - Ir3, troisième ventricule. FI

et le thalamus a été bien mise en valeur par Gudden, dès 1872, par voie expérimentale. Bianchi et d'Abundo (1886) ont sig

lle inférieure et dans son trajet bulbaire. La dégénérescence de la voie pédonculaire s'accompagne d'une dégéné- rescenc

mniscus superficiel et des fibres aberrantes postéro-externes de la voie pédonculaire; une dégénérescence des fibres verti

mniscus superficiel et des fibres aberrantes postéro-externes de la voie pédonculaire. Dégé- nérescence du noyau externe

nérescence des fibres de projection corticale, en particulier de la voie pédonculaire, se surajoute nécessairement dans

e pes lemniscus profond (Plp) quelques fas- cicules aberrants de la voie pédonculaire dans le ruban de Reil médian. Inté

nsuite ce segment capsulaire (Fig. 297); les supérieures suivent la voie des radiations strio-thalamiques (Rsth), les suiv

t la voie des radiations strio-thalamiques (Rsth), les suivantes la voie du faisceau lenti. culaire de Forel (FI) et env

eures, enfin, proviennent surtout des lames médullaires, suivent la voie de l'anse lenticu- laire (Al) et contournent la

e la capsule interne (Fig. 297). D'autres fibres, enfin, suivent la voie des radiations strio- luysiennes (RsL, Fig. 298

, mais se détachent de la base du noyau lenticulaire et prennent la voie de la commissure de Meynert (CM) (Fig. 297et298

rne du pied du pédoncule cérébral et n'envoie pas de fibres dans la voie TOME II. 22 338 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.

us avait déjà conduit l'étude des dégénérescences secondaires de la voie pédonculaire (p. 73). Certaines lésions du noya

cence du locus niger Ln, Fig. 307 et 308) et une dégénérescence des voies aberrantes du pied du pédoncule : pes lemniscus

IÉ. 339 son trajet protubérantieI,puis s'épuisent ou réintègrent la voie pyramidale au voisinage du sillon bulbo-protubé

externe du thalamus, et au noyau interne dont les cellules sont en voie de désintégration vitreuse (Fig. 30G et 307). C

spéciale (Voy. Observ. clinique et protocole d'autopsie, E. Long, Les voies centrales de la sensibilité générale. Th. Paris

fond et du pes lemniscus super- ficiel. Dégénères - cence de la voie pyramidale dans son trajet protubérantiel b

rofond et du pes lemniscussuper- ficiel. Dégénéres- cence de la voie pyramidale dans son trajet protubérantiel,

(P) (Fig. 307, 308). L'anse lenticulaire n'envoie pas de fibres ci la voie pédonculaire, les quelques rares fibres dégénér

ofond et du pes lemniscus super- liciel. Dégénéres- cence do la voie pyramidale dans son trajet protubérant ici,

ofond et du pes lemniscus super- ficiel. Dégénéres- cence de la voie pyramidale dans son trajet protubéranticl,

antielle supérieure, lorsque les fibres aberrantes dégénérées de la voie pédonculaire, en particulier le pes lemniscus pro

u pédoncule cérébral, en particulier dans le faisceau interne de la voie pédonculaire. 4° Que l'anse lenticulaire, les f

ourn. of Physiologie, vol. XI, supplément Number, 1890. - Long. Les voies centrales de la sensibilité générale. Étude ana

itudinales de l'étage antérieur de la protubérance faisant suite à la voie pédon- culaire et concourant à former le faisce

- tsc. toenia semi-circularis. - 17, ventricule latéral. - 171>, voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventri

s d'une arborisation terminale dense et profonde. - E, faisceau des voies optiques centrales. -1 ? fibres se con- tinuant

antes (pes lemniscus superficiel, pes lemniscus profond, etc.) que la voie pédonculaire envoie au ruban de Reil dans la ré

auditive, du chien, méthode de Marchi) avec lésion concomitante des voies optiques. D'après Bechterew la commissure posté

n du corps calleux; les libres dégénérées suivraient dans ce cas la voie du fornix longus, du taenia thalami et des pédonc

e optique représente en effet un relais ganglionnaire important des voies visuelles. 5. Connexions du thalamus avec le rh

ewebelehre, 1896. Lenhossek. Anat. Anzeiger, 1887, n° 14. Long. Les Voies centrales de la sensibilité générale. Tlièse. P

optique re- présentent do vé- ritables formations cérébrales. Voie oltactwe pé- riphériquc ou de ler ordre. Si

cerveau intermédiaire. Leur trajet intracranien appartient donc aux voies centrales : pour le nerf olfactif, la voie péri

ien appartient donc aux voies centrales : pour le nerf olfactif, la voie périphérique est représentée par les filets olfac

les filets olfactifs ; quant au nerf optique il ne possède que des voies centrales, car on ne peut guère assi- miler à u

ède que des voies centrales, car on ne peut guère assi- miler à une voie périphérique les cellules visuelles (cônes et bât

s bipolaires de la rétine. NERF OLFACTIF. - PREMIÈRE PAIRE (I) 1. VOIE OLFACTIVE périphérique. Le nerf olfactif ou nerf

lfactives. Ces formations véritable lobe cérébral con- tiennent les voies olfactives centrales. 2. voies olfactives centr

le lobe cérébral con- tiennent les voies olfactives centrales. 2. voies olfactives centrales. - Les voies olfactives cent

es voies olfactives centrales. 2. voies olfactives centrales. - Les voies olfactives centrales, bien que réduites chez l'

. Leurs arborisa- tions terminales dans le glomérule olfactif Voies olfactives centrales. 414 ANATOMIE DES CENTRE

27, Rolp, 5). Toutes ces fibres constituent' probablement la courte voie olfactive réflexe centrale. La partie hémisphér

olfactifs primaires : 1° Aux centres olfactifs corticaux, par la voie courte de la strie olfac- live exleme (Role) d'

ie courte de la strie olfac- live exleme (Role) d'une part, par les voies plus longues de la strie olfac- NERFS CRANIENS,

s longitudinales de la calotte, que passe très vraisemblablement la voie olfactive centrale réflexe et que s'établissent l

tive centrale réflexe et que s'établissent les connexions entre les voies olfactives centrales et les noyaux des nerfs cran

x des nerfs craniens. Le toenia semicircularis (tsc) représente une voie très homologue à celle des radiations olfactive

ent dans le lobe olfactif croisé (coa, Fig. 327). Fig. 327. - Les voies olfactives centrales. (Systèmes des radiations ol

NERF OPTIQUE, DEUXIÈME PAIRE (II) Le nerf optique est dépourvu de voies périphériques; il ne possède que des voies cent

optique est dépourvu de voies périphériques; il ne possède que des voies centrales qui forment un système complexe, prenne

le centre visuel cortical. Segment antérieur ou extra-cérébral des voies optiques. - Le nerf optique émerge au-dessus et

cule quadrijumeau antérieur Le nerf optique ne comprend que des voies centrales. Les voies optiques extra - cérébra

ieur Le nerf optique ne comprend que des voies centrales. Les voies optiques extra - cérébrales : nerfs,clmsma et

bandelette. 420 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 328. - Les voies conductrices de la vision : appareil visuel centr

adrijumeau antérieur qu suivent, dans une partie de leur trajet, la voie du bras du tubercule qua drijumeau antérieur (V

s ganglionnaires de la vision retentissent à la fois sur f ', Les voies optiques intracérébrales : ra- (liations ol)t

s lésions de ces centres retentissent sur les doux segments dos voies optiques. 422 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L

bres centripètes, l'appareil visuel antérieur con- tient encore une voie centrifuge. Décrites par Ramon, v. Gehuchten et

a. 432 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Connexions dou- teuses des voies optiques extracére- brales. Les voies optiq

nexions dou- teuses des voies optiques extracére- brales. Les voies optiques antérieures ne pos- sèdent ni contin

Gudden. Connexions douteuses ou discutées du segment antérieur des voies optiques. Le segment antérieur de l'appareil vi

lia, etc., dans le noyau de la III0 paire, dans le cervelet, par la voie du pédoncule cérébelleux supérieur et dans la pro

tricule. - fV4, diverticule angulaire du 4' ventricule (Va). - VI', voie pédonculaire. - W, valvule de Vieussens. - IXd,

elets pyramidaux sont produits par le passage des faisceaux de la voie pé- donculaire sous les fibres transversales

rance qu'ils soulèvent; ils s'élargissent de bas en haut comme la voie pédonculaire et la protubérance mesure à leur

les pyramides, mais longe leur face postérieure. Il représente une voie auditive secondaire et existe également chez l'ho

Gowers, et représentent, comme les dégénérescences le montrent, une voie efférente, cérébellopète, La valvule de Vieusse

transverse antérieur. - l'nz, racine motrice du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, grosse racine sensitive desc

libres protubéran- tielles transversales. Ses rapports avec la voie pédonculaire et les pou- tiques. 518 ANATOM

ule. - J'd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, grosse racine sensitive desc

nsversale, cloison- nent le système des fibres longitudinales de la voie pédonculaire et suivant les rapports qu'elles a

te la hauteur de la protubérance et passe en avant des fibres de la voie pédonculaire; elle présente sur les coupes horizo

- rieurs de la protubérance; elle passe en arrière des fibres de la voie pédonculaire (VP), entre ces fibres et le ruban

, de]volumes et de formes exlrè- mement variables, les fibres de la voie pédonculaire, en isole plus ou moins quelques f

es protubérantielles moyennes abordent et divisent les fibres de la voie pédonculaire de dedans en dehors; elles sont par

Rapports. moyennes cessent d'exister et le reste des fibres de la voie pédonculaire se ramasse en un volumineux faisce

ur. - t'a, troisième ventricule. - 114, quatrième ventricule. - ¡'l', voie pédoncu- laire. - VT, valvule de Tarin. - Il, z

supéiieur et inférieur des pédoncules cérébelleux supérieurs. - La voie pédonculaire, le stratum inler- medium et le pe

ntis. - l'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire. - IV, nerf pathétique. - xlV, ent

ofundum. Sirs, stratum superficiale. - 7 ? corps trapé/oide. - l'P, voie pédonculaire. - l'scl, grosse racine sensitive de

grise du côté opposé. Olive bulbaire et noyaux juxta-olivaires. Aux voies cérébel- leuses inférieures, en particulier au

mites. l'otage antérieur. Sa constitution. Dissociation de la voie pédonculaire par les fibres trans- versales d

ique est constitué : 1° Par un système de fibres longitudinales, la voie pédonculaire, qui en occupe toute la hauteur, f

de fibres transversales propres à la protubérance qui cloisonne la voie pédonculaire, s'enchevêtre avec elle, s'entre-cro

tubérance. Nous avons décrit plus haut (voy. p. 73) le trajet de la voie pédortw- laire dans le faisceau compact de la c

érébral. En pénétrant dans l'étage antérieur de la protubérance, la voie pédon- culaire est dissociée par les fibres tra

8). Fig. 368. - Dissociation de la partie interne et profonde de la voie pédonculaire par les fibres transversales de la

e, et refoulement dans le ruban de Reil des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Coupe horizontale oblique en haut e

ibres transversales postérieures de la protubé- rance dissociant la voie pédonculaire et refoulantgdana le ruban de Reil m

ulantgdana le ruban de Reil médian les fasci- cules aberrants de la voie 'pédonculaire. - G1ZJ, ganglion inter-pédonculair

pontis. - T'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire. - T'l', valvule de Vieussens. l'i

ors, et se confine assez longtemps à la partie antéro-inlernc de la voie pédonculaire, sa partie postéro-externe formant

les du pont sont assez nombreuses classez longues pour traverser la voie pédonculairc dans toute sa largeur, et pour se co

sposent alors, comme nous l'avons vu FiG. 369. - Dissociation de la voie pédonculaire par les fibres transversales profond

du pont et refoulement des fibres aberrantes protubérantielles de la voie hédoncu- laire dans le ruban de Iteil médian. C

undum, Strp), la troisième à travers (stratum com- plexum, Slrc) la voie pédonculaire (voy. p.54517), la divisant en une s

uches anléro-poslérieures superposées. Les fascicules dissociés de la voie pédonculaire sont de dimensions très variables

érance. Un très grand nombre (près des deux tiers) des fibres de la voie pédon- culaire, s'épuisent dans la substance gr

les deux tiers supérieurs de la protubérance, la dissociation de la voie pédonculaire par les fibres transversales du pont

pédonculaire s'arrê- tant dans la protu- bérance. Fibres de la voie pédonculaire des- cendant dans le bulbe : f

idal reçoit sou- vent dans celle région les fibres aberrantes de la voie pédonculaire qui ont suivi, dans une partie plu

ont suivi, dans une partie plus ou moins longue de leur trajet, la voie du ruban de Reil médian. On peut néanmoins cons

ulares de Deiters, de trac lus inlermedio-lateralis de Clarkc. La voie pédonculaire peut faire défaut, soit dans les cas

e de la pyramide antérieure du bulbe consécutive à la section de la voie pyramidale par deux lésions, l'une capsulaire et

d, p. 151 et Fig. 152 à 159) ; suivant les cas, cette absence de la voie pédonculaire peut être bilatérale (cas Longery et

a couche inter-olivaire. La disposition inverse peut s'observer; la voie pédonculaire est normale et les fibres transver

ntégrité des pédoncules cérébelleux supérieurs (Pcs). Intégrité des voies pédonculaires (VP). Méthode de Weigert-Pal. 3/1 G

a protubérance est remarquablement petite et réduite en hauteur, la voie pédonculaire la traverse sous forme d'un fais-

éfaut. Dans son trajet pédonculaire, protubérantiel et bulbaire, la voie pédon- culaire abandonne à la région de la calo

ndividuelles, et qui forment le système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. La plupart s'accolent au ruban de

rajet pédonculaire, protubérantiel ou bulbaire, puis réintègrent la voie pédonculaire à différentes hauteurs du névraxe,

ui apparaissent dans le trou borgne supérieur, et qui dissocient la voie pédonculaire, refoulent en général le pes lemnisc

libres traii,%ei-,ziles protubéran tielles avec intégrité de la voie pédonculaire. Fibres aberrantes de la voie pé

avec intégrité de la voie pédonculaire. Fibres aberrantes de la voie pédoncll- laire. Pes lemniscus pro- tond.

ES NERVEUX. FiG. 374, 375, 37G, 377. -- Les fibres aberrantes de la voie pédonculaire de la région du pédoncule cérébral

375, 374), dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne de la voie pédoncu- laire consécutive à un foyer capsulair

oncule du tubercule mamillaire (PTm). cas de dégénérescence de la voie pédonculaire trai- tés par la méthode de Mar-

on peut se demander si chez l'homme les fibres aberrantes de la voie pédonculaire ne con- courent pas à former ce

le TONII, 1[. u. 3 Fig. 378, 379, 380. - Dégéné- rescence de la voie pédoncu- laire, consécutive à un foyer lentic

postérieure du segment postérieur de la capsule in- terne. De la voie pédoncu- laire dégénérée, se détachent dans l

8), descendent dans la couche inter-olivaire, puis réintègrent la voie pédoncu- laire dans les régions bul- baires s

de nouvelles recherches. Dans les cas de dégéné- rescence de la voie pédon- culaire, il existe parfois une dégénér

il- laire; les fibres dégénérées proviennent probablement de la voie pédonculaire, bien que nous n'ayons pu consta-

ruban de Reil médian. La FIC, 381 et 382. -. Dégénérescence de la voie pédonculaire et de la substance grise antérieur

e dans la région bulbaire moyenne](Fig.383), puisréintè- grent la voie pédonculaire dans la région bulbaire inférieure

de la Salpêtrière CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 5k7 voie pédonculaire fournit en outre à ce faisceau, dans

partie antero-interne un certain nombre de]libres aberrantes de la voie pédonculaire (Fap, Fig. 383), qui font suite aux

. Méthode de Marchi. (Voy. pour l'Obs. anatomo- clinique. Long, Les voies centrales de la sensibilité générale. Thèse de Pa

IGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. 549 de dégénérescence de la voie pédonculaire consécutive à une lésion capsulaire.

articulièrement nombreuses dans ce cas. la partie postérieure de la voie pédonculaire, se réunissent en petits fas- cicu

425, p. 626 et 628). Leur trajet, et surtout leur connexion avec la voie pédonculaire, deviennent particulièrement manif

nt particulièrement manifestes dans les cas de dégénérescence de la voie pédonculaire traitée par la méthode de Marchi (

us grandes variétés individuelles : tantôt elles se détachent de la voie pédonculaire dans les régions protubérantielles

rrantes protubérantielles et pédonculaires, les unes réintègrent la voie pédonculaire dans la région protubérantielle in

caractéristique. Dans la région bulbaire moyenne et inférieure, la voie pédonculaire abandonne parfois au cordon latéra

rent dans le hile du cervelet. En avant, elle est recouverte par la voie pédonculaire, excepté au niveau du bulbe où elle

t les autres éléments constitutifs de la calotte, à savoir : 1° les voies cérébelleuses et les noyaux gris qui en dépende

les noyaux d'ori- gine el de terminaison des nerfs crâniens. Les voies cérébelleuses comprennent : a) le pédoncule céréb

e el les noyaux du ruban de Reil latéral situés sur le trajet de la voie acoustique centrale. TOPOGRAPHIE ET MORPHOLOGIE

an; elle est traversée par le faisceau rétroflexe de Meynert et les voies cérébel- leuses supérieures - radiations de la

- SR, for- mation réticulée. - U, circonvolution du crochet - Top, voie pédonculaire 11', zone de Wernicke. - ? bandele

icule - Vd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'l', voie pédonculaire. - ;t7), entre-croisement des nerf

pontis. VU, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pédonculawe. - Il', nerf pathétique. M : j;j8

t la partie supérieure du corps trapézoïde. - La dissociation de la voie pédonculaire par les fibres protubérantielles tra

ntricule. 17cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. VP, voie pédonculaire. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMB

formation réticulée. - Tr, corps trapézoïde. l', trijumeau. - J'I', voie pédonculaire. - 1'8(1, grosse racine sensitive

le nom de latérale Schleife. Le ruban de Reil reçoit enfin, de la voie pédonculaire, le système des fibres aberrantes

, puis s'iriadiaient dans le lobe occipital. (Voy. Historique de la voie pédonculaire, p. 82.) En janvier 48G, Sappey et

dons postérieurs de la moelle ; ils sont situés sur le trajet de la voie cérébelleuse nférieure, et envoient au corps re

ondes de l'étage antérieur du pont. - 1'r, corps ti-apèioide. - l ? voie pédonculaire. - l'sd, grosse racine sensitive d

e (Tr) et de l'olive protubérantielle (Os) et constitue surtout une voie acoustique centrale; mais il reçoit de la forma

s fascicules appartiennent au sys- tème des fibres aberrantes de la voie pédonculaire , et occupent, suivant qu'ils prov

rs inférieur de la protubérance, soit parce qu'ils ont réintégré la voie pédonculaire, soit parce qu'ils se sont épuisés

antéro-inférieure et s'y épuisent. Ce faisceau représente donc une voie relativement courte reliant l'olive supé- rieur

oie relativement courte reliant l'olive supé- rieure (OS) et par la voie du corps trapézoïde (Tr), - le noyau de ter- mi

st qu'elles n'appartiennent ni au ruban de Reil médian (Hm) niav la voie pédonculaire, car elles persistent intactes dan

sont tout particulièrement évidentes dans les cas d'agénésies de la voie pédonculaire (cas Richard, xLn, Fig. 231, p. 20

. - Biologie, 1895, p. 285. -DES Mêmes. Les fibres aberrantes de la voie pédonculaire, XIII' Con- grès international de

de;' Gewebelehre der Menschen. 61 édil., Leipzig, 189G. - Long. Les voies centrales de la sensibilité générale. Étude anato

perficiale. StmVI/I, stries acoustiques. Tch, toile choroïdienne. VP, voie pédoncu- laire. - VV, valvule de Vieussens. - V

issent sur les coupes suivantes les fibres lon- gitudinales de la voie pédoncu- laire. Laparlie inférieure ou bulbai

précédente S 1 bis, ont apparu les fascicules longitu- dinaux de la voie pédonculaire (VP), qui ici, sur la coupe S 1, se

troisième, intermédiaire, le stratum complexum (Strc), comprenant la voie ]Jédon- culaire (VP). Les fascicules longitud

- SR, formation réticulée. - sta, sillon transverse antérieur. - VP, voie pédon- culaire. - fll diverticule angulaire du

ection. Tronc encéphalique. Étage ANTÉRIEUR. - Les connexions de la voie pé- donculaire (VP) avec le faisceau pyramidal

ieure de l'étage antérieur du pont.-Tv, tubercule valvulaire. - If, voie pédonculaire. - VT, valvule de Tarin. - rsel, gro

ne forme-t-il qu'un mince faisceau qui se continue en haut avec la voie pédoncu- laire (VP). La gangue de substance g

érieur. - SR, formation réticulée. - cUv, crête de la luette. - l'il, voie pédon- culaire. - VT, -valvule de Tarin. - V,,

exum (FPom) contient encore quelques fascicules longitudinaux de la voie pédonculaire (VP) qui n'atteignent pas la périp

sta, sillon transverse antérieur. - cUv, crête de la luette. - "1', voie pédonculaire. - VT, valvule de Tarin. - Va, quatr

la coupe, on trouve encore quelques fascicules longitudinaux de la voie pédonculaire (VP). COUPES INTÉRESSANT LES HÉMIS

erse antérieur. - cUv, crête de la luette et axe de l'amygdale. 1 ? voie pédonculaire. - l'T, valvule de Tarin. - NI'm, no

ue, des tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur; 2° que la voie pédonculaire ou voie du pied du pédoncule céréb

adrijumeaux antérieur et postérieur; 2° que la voie pédonculaire ou voie du pied du pédoncule cérébral fait suite à la c

Wernekink qui en résulte, ainsi qu'il celle de la dissociation de la voie pédonculaire par les fibres transversales de la

ied du pédoncule cérébral. Les fibres du pied du pédoncule ou de la voie pédonculaire (VP) sont sur cette coupe sectionnée

ivent pas la direction longitudinale de la plupart des fibres de la voie pédonculaire. mais s'infléchissent en arrière, de

ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 617 La face libre de la voie pédonculaire est entourée par un petit fascicule

ontis. - l'l, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire. - IV, nerf pathétique; xl1', son

pontis. - I'd, petite racine motrice descendante du trijumeau. VI', voie pédonculaire. - li, quatrième ventricule. - Il, f

(Ln), au pes lemniscus profond (PLp), et à la partie externe de la voie pédonculaire (VP), et se fusionne en arrière av

tubérance qui s'enfoncent dans l'échancrure inter-pédon- culaire. Voie pédonculaire. - Les fascicules horizontaux et obl

. Voie pédonculaire. - Les fascicules horizontaux et obliques de la voie pédonculaire (VP), qui s'infléchissent en arriè

Reil médian (Rm) en formant le système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire, sont ici plus nombreux encore que

dossent au ruban de Reil médian (Rm) les fascicules aberrants de la voie pédonculaire. La dissociation de la voie pédonc

fascicules aberrants de la voie pédonculaire. La dissociation de la voie pédonculaire commence sa partie interne et pro-

t par contre presque le sillon latéral de l'isthme et dissocient la voie pédonculaire (VP) en couches transversales, sup

s arrondis qu'il contient appartiennent aux fibres aberrantes de la voie pédonculaire. - Sge, substance grise centrale. Sg

- l'd, petite racine motrice descendante du trijumeau.- 171>, la voie pédonculaire, ses fibres horizontales et les fa

alotte, ruban de Reil avec les fascicules arrondis, aberrants de la voie pédonculaire. -Coupe P4, coupe horizontale obli

es on aperçoit nettement t les fascicules arrondis, aber·ants de la voie pédonculaire ; l'autre, postérieur et superfici

es précédentes (PI à P4); elles cloisonnent t complètement toute la voie pédonculaire (VP) et se réunissent à sa partie

). Suivant qu'elles passent en avant, à travers ou en arrière de la voie pédonculaire, on les dis- tingue en fibres tran

oisinage du sillon latéral quelques fascicules très dissociés de la voie pédonculaire; ils appar- tiennent aux fibres ex

transversales moyennes (Strc) sont très nombreuses et dissocient la voie pédonculaire (VP) en un nombre infini de fascicul

ntérieur et la calotte de la région protubérantielle supérieure; la voie pédonculaire et sa dissociation par les fibres tr

al de la calotte, ruban de Reil avec les fascicules aberrants de la voie pédonculaire). - Coupe H 1 perpendiculaire il l

ontis. - rd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - T'P, voie pédonculaire. - IV, nerf pathétique. 624 ANAT

Les fibres transversales antérieures (Strs) passent en avant de la voie pédon- culaire (VP) et se disposent en fascicul

ascicules dans la sub- stance grise (SgPo) qui limite 'en dehors la voie pédonculaire; elles n'entre- ront que plus bas

a partie interne, les nombreux fascicules arrondis, aberrants de la voie pédonculaire ; cette partie con- tient en outre

ielle. Cet aspect tient d'une part à la dissociation complète de la voie pédonculaire (VP) par les fibres transversales

a partie postérieure de la calotte. Un grand nombre de fibres de la voie pédonculaire (VP) se sont épuisées dans la subs

-dire la gangue de substance grise qui entoure les fascicules de la voie pédonculaire et les fibres transversales de la pr

e et l'étage antérieur de la région protubérantielle supéiieure. La voie pédonculaire et sa dissociation par les fibres tr

a calotte, ruban de Reil avec ses fascicules arrondis aberrants de la voie pédonculaire; le corps trapézoïde et sa continu

de. - t'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - l', nerf trijumeau à son émerge

représente un système complexe de Gbres en connexion intime avec la voie centrale acoustique; il tire son origine du noyau

e. On y distingue nettement les fascicules arrondis aberrants de la voie pédon- culaire. Il contient en outre, comme sur

ère de celui de la coupe précédente, que par la concentration de la voie pédonculaire (VP)dans la couche moyenne du pont

est plus abon- dante que sur la coupe précédente; elle enveloppe la voie pédonculaire, s'in- filtre en nappe épaisse ent

otte et l'étage antérieur do la région protubéranlielle moyenne. La voie pédonculaire, sa dissociation par les fibres tran

jumeau. Le ruban de Reil médian avec ses fascicules aberrants de la voie pédonculaire, le corps trapézoide et le faiscea

, faisceau central de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; il suit la voie du faisceau latéral du bulbe, puis contourne le

I"s(l, grosse racine sensitive descen- dante du trijumeau. - l'il, voie pédonculaire. - (T, valvule de Vieussens. - 17j,

phé est fort discutée. Elles ne provien- nent pas directement de la voie pédonculaire comme l'ont soutenu quelques auteu

ques auteurs. Elles existent en effet dans les cas d'agénésie de la voie pédonculaire (cas Richard Fig. 232) et ne dégén

e dégénèrent pas dans les lésions, même étendues, qui détruisent la voie pédonculaire dans son trajet capsulaire ou pédonc

t conduit à admettre une connexion indirecte entre ces fibres et la voie pédonculaire ; les fibres sagittales du raphé pre

xylinique, qui appartiennent au système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les noyaux moteur et sensitif du

es constituantes de la coupe précédente : l'étage antérieur avec la voie pédonculaire (VP), les noyaux ponti- ques (SgPo

ment dans le tronc de ce nerf. Il est probable qu'il s'agit ici d'une voie centrale de la VIIIe paire, qui se rend en gran

otte et l'étage antérieur de la région protubérantielle moyenne. La voie pédonculaire et sa dissociation par les fibres tr

u moteur du trijumeau. - NVs, noyau sensitif du trijumeau. - 171>, voie pédon- culaire. - li, quatrième ventricule. 6

artie faisait suite aux fibres sagittales du raphé, provenait de la voie pédonculaire du côté opposé et représentait une o

appui de cette hypothèse; si ces fibres appartiennent réellement à la voie trigéminale, il s'agit d'un neurone central, in

ntiques au noyau sensitif du trijumeau, mais n'appartenant pas à la voie pédonculaire, ne provenant pas du pied du pédoncu

es .connexions avec la substance blanche centrale du cervelet. - La voie pédonculaire et ses rapports avec les fibres pr

transversales de la protubérance. - Tr, corps trapé- zoïde. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, grosse racine sensitive desc

et le genou du faciat(Vllg-). Protubérance. - Les fascicules de la voie pédonculaire (VP) se sont rap- prochés et ne so

de l'étage antérieur de la protubérance. - Tr, corps trapézoïde. - voie pédonculaire. - )</, grosse racine sensitive d

l'olive cérébelleuse et le vermis inférieur. Étage antérieur. - La voie pédonculaire (VP) s'est rassemblée en un fais-

chléaire dont elles pro- cèdent ; elles représentent, en effet, une voie auditive centrale, qui relie le noyau de termin

rois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - 1'l', la voie pédonculaire. - Vsd, la grosse racine sensitive

te, ou étage postérieur, avec l'étage anté- rieur représenté par la voie pédonculaire réduite au faisceau pyramidal ; 3°

pyramidal (Py), c'est-à-dire le segment inférieur ou bulbaire de la voie pédoncu- laire. Ce faisceau n'est plus arrondi

occupe la périphérie latérale de lamoelle, arrive au cervelet par la voie du corps restiforme el du pédoncule cérébelleux

le groupe des veines émissaires mastoïdiennes, qui forment l'une des voies de dérivation de la circulation veineuse endocrân

ral déverse tout son contenu dans la veine jugulaire externe par deux voies d'importance inégale : la veine émissaire mastoïd

jugulaire externe n'est plus alors qu'un canal secondaire, une simple voie dérivative. La veine émissaire mastoïdienne per

dont la localisation avait dérouté les cliniciens, qui ont indiqué la voie des recherches et conduit aux connaissances actue

Si la distribution des cellules le permet, le pus peut, se frayer une voie à travers la corticale endocrânienne ou encore pe

ue l'on ne pourra jamais dépasser dans la recherche de l'antre par la voie mastoïdienne. Au delà de cette limite, on devra l

ie mastoïdienne. Au delà de cette limite, on devra l'atteindre par la voie de l'aditus, en faisant un évidement d'avant en a

avec l'orifice du canal carotico-lympanique pour le nerf du même nom ( voie anastomotique entre le nerf de Jacobson et le ple

ou une lésion de la fenêtre ronde? Le limaçon sera seul contaminé. La voie d'accès se trouve-t-elle au niveau du canal demi-

sure qu'on dépassera en empiétant sur le sillon transverse. Par cette voie , on ouvrira l'empyème du sac endolym-phatique. On

dique ainsi l'aire dangereuse de la cavité pré-auriculaire. Par cette voie , Gangolphe a pu extraire une balle enclavée dans

de la paroi antérieure du conduit, soit par continuité, en suivant la voie lymphatique. Les ganglions parotidiens, en effet,

ères peuvent être divisés en deux grands groupes, au point de vue des voies de retour de la circulation veineuse encéphalique

ement classique, des fibres motrices, issues du facial, suivraient la voie du grand nerf pétreux superficiel pour se rendre

c'est-à-dire, le plus souvent, avec le sinus latéral gauche. Ces deux voies ne sont pas indépendantes l'une de l'autre ; elle

llimètre. j) Veines émissaires mastoïdiennes. — (Test la principale voie dérivative de la circulation veineuse endocrânien

al, en sorte que ce dernier possède, au moyen du sinus condylien, une voie de dégagement vers le canal rachidien et vers le

neux encéphaliques postérieurs gagnent le ventricule droit par quatre voies , dont l'une, la plus importante, passe par la jug

la plus importante, passe par la jugulaire interne, les trois autres voies accessoires ou de dérivation étant constituées pa

u côté opposé, en se propageant jusqu'aux veines ophthalmiques par la voie rétrograde des sinus pétreux supérieur-caverneux-

jugulaire. — On peut aborder le golfe de la veine jugulaire par deux voies , dont l'une peut être appelée avec Laurens transt

appelée avec Laurens transtympanique et l'autre transmastoïdienne. Voie transtympanique. — Elle a été suivie seulement pa

e, et dans ceux de thrombose secondaire, impossibles à traiter par la voie mastoïdienne à cause de la proéminence exagérée d

usal jusqu'au bord supérieur du cartilage thyroïde. Mais il suivit la voie transmastoïdienne et réussit à guérir son malade.

les de grandes cellules pyramidales qui se réunissent pour former les voies pédonculaires. Les fibres de projection afférente

ôté gauche, pour les centres du langage. Centre de l'audition. — La voie centrale de l'audition part du noyau ventral ou a

'ensemble des deux centres de l'audition tonale et verbale avec leurs voies d'association. Centre de la vision verbale. — L

a radiatio acustica du corps genouillé interne, dernier neurone de la voie centrale de l'audition, dont les fibres se myélin

de projection genouillées externes-corticales, dernier neurone de la voie centrale optique, qui vient se terminer sur la fa

occipital; g) Les fibres en Y de Meynert (stratum proprium cunei), voies d'association courte ; h) Le faisceau occipito-

côté, et les centres auditifs du côté opposé sont commissures par la voie forceps postérieur — tapetum — corps calleux (por

ourra interrompre le dernier neurone genouillé interne-cortical de la voie centrale de l'audition. Gomme l'entre-croisement

, vertiges). — Scion Flechsig, le faisceau de Turck constituerait une voie motrice qui transmettrait les excitations des cel

a tête et du tronc. Par l'intermédiaire des noyaux pontiques et de la voie centripète ponto-cérébclleuse, ce faisceau interv

a lésion occupe la frontière occipito-temporale. L'interruption des voies d'association, entre les centres de la vision et

nnexions du cervelet avec les différents segments du névraxe, par les voies pédonculaires. Elles constituent des faisceaux qu

aux de Goll et de Burdach. Les fibres qui naissent de ces noyaux, par voie soit directe (arciformes externes), soit croisée

é opposé, passent par le pédoncule cérébelleux moyen et rejoignent la voie pyramidale pour se terminer dans les cornes antér

ement l'écorce du vermis sont reliés au fondamental antérieur par une voie efférente croisée qui constitue le faisceau en cr

réticulée médiane et descendent dans le fondamental antérieur. Cette voie efférente cérébello-médullaire donne, au passage,

x noyaux dorsaux du vestibulaire. Plusieurs auteurs identifient cette voie avec le faisceau de Gowers. Thomas et Marchi on

Système cérébello-protubérantiel. — Il comprend, d'après Thomas, deux voies , dont la plus importante serait la voie afférente

mprend, d'après Thomas, deux voies, dont la plus importante serait la voie afférente. Bechterew y distingue deux faisceaux q

x faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau cérébral, voie afférente, tire son origine des noyaux politiques

supérieur et aux noyaux centraux. (Bechterew.) Le faisceau spinal, voie efférente, issue des régions antérieure et moyenn

gros contingent du pédoncule cérébelleux supérieur. Il constitue une voie efférente, formée par la branche ascendante de bi

llo-olivaire. — Il fait partie du corps restiforme. C'est surtout une voie afférente croisée, constituée par tes axones des

rade des olives bulbaires ». Pour Kôlliker et d'autres, ce serait une voie afférente. Système cérébello-vestibulaire. — Le

e du cervelet avec atrophie très prononcée du noyau dentelé. Ces deux voies de conduction centripète et centrifuge constituen

es noyaux de Goll et de Burdach, véritable carrefour des deux grandes voies sensitives, sont en connexion, par l'intermédiair

tives. Les olives inférieures ou bulbaires sont l'aboutissant d'une voie d'association longue, le faisceau central de la c

t de Bechterew envoient leurs forts axones en dedans pour former deux voies d'importance inégale. Ramon y Cajal, qui les a ét

s para el estudio del bulbo raquideo, Madrid, 1896), les distingue en voie externe ou directe et interne ou croisée. La prem

es. La bandelette optique est reliée à l'écorce cérébelleuse par la voie tubercules quadrijumeaux-noyaux pontiques (faisce

érimentales et cliniques, comme un centre réflexe, qui reçoit par les voies afférentes les différentes impressions du sens de

'orientation subjective et de l'appropiation motrice, et qui, par les voies efférentes, diffuse dans toutes les directions le

cerveau qui remplace peu à peu l'influence perdue du cervelet ». Les voies qui descendent directement du noyau vestibulaire

plafond attico-antral. On fera la craniotomie moyenne, soit par la voie auriculaire, soi i par la voie squameuse, soi l p

ra la craniotomie moyenne, soit par la voie auriculaire, soi i par la voie squameuse, soi l par la voie combinée squamo-auri

it par la voie auriculaire, soi i par la voie squameuse, soi l par la voie combinée squamo-auriculaire. Voie auriculaire.

r la voie squameuse, soi l par la voie combinée squamo-auriculaire. Voie auriculaire. — On résèque le plafond attico-antra

pas pénétrer dans le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral. Voie squameuse. — Dans ce procédé, l'orifice de la tré

ement l'ouverture du prolongement sphénoïdal du ventricule latéral. Voie squamo-auriculaire. — On doit d'abord ouvrir l'ab

squamo-auriculaire. — On doit d'abord ouvrir l'abcès cérébral par la voie auriculaire, pour pratiquer ensuite une contre-ou

voie auriculaire, pour pratiquer ensuite une contre-ouverture par la voie squameuse, en ménageant entre les deux brèches un

-auriculaire. Cet auteur trouve, en effet : Cas de guérison pour la voie auriculaire.......................... 66.6 "/ —

4-6 Malgré tout, nous croyons qu'on doit intervenir au début par la voie auriculaire, et en rester là si l'abcès est petit

s est petit. S'il est volumineux, on fera une contre-ouverture par la voie squameuse pour mieux assurer le drainage du foyer

ure par la voie squameuse pour mieux assurer le drainage du foyer. La voie squameuse est une voie d'exception. PÉREZ. - OR

se pour mieux assurer le drainage du foyer. La voie squameuse est une voie d'exception. PÉREZ. - OREILLE El ENCÉPHALE '3

e, il serait préférable d'ouvrir l'abcès cérébelleux antérieur par la voie rétro-sinusale. 3° Attico-antrotomie avec crani

La région mastoïdienne. Thèse de Paris, 1902. Bechterew (W. V.), Les voies de conduction du cerveau et de la moelle. Paris,

Toubert (G.), Diagnostic des maladies des yeux, des oreilles, et des voies aériennes supérieures. Paris, T903. Chauveau (C

ancher de la caisse. Thèse de Paris, 1902. Saint-Martin (H.), De la voie préauriculaire dans les interventions sur le cond

emporo-thalamiques, le brachiumposticum, et, enfin, le ruban latéral ( voie acoustique). • La scie a ouvert l'antre, le ves

r l'origine sensorielle de ce syndrome et il a été suivi dans celte voie par Dufour. Grasset (1), puis mon maître Dejeri

ce directe et immédiate de la compression même du néoplasme sur les voies optiques, de telle façon qu'elle empêcherait la p

he nous engageraient à penser qu'une petite partie des fibres de la voie centrale du facial aillent aussi au noyau du même

e qui trouve de la part de l'observateur un obstacle à parcourir la voie directe, et par conséquent elle prend la voie c

stacle à parcourir la voie directe, et par conséquent elle prend la voie contro-latérale et fait contracter l'orbiculaire

anatomiquement comparables, en retenant celles qui portent sur les voies ascendantes spinales, leurs con nexions elleurs

très nombreux, car beaucoup d'examens hislologiques, consacrés à la voie pyramidale et aux cordons postérieurs ne dépass

part, la disparition d'une notable proportion de fibres dégénérées ( voies courtes), d'autre part, un déplacement des fibres

sant au côté externe de la corne antérieure, et ne rejoignant pas la voie cérébelleuse. Le déplacement des fibres qui o

t ultérieur de ses fibres montre qu'elles sont destinées aussi à la voie du faisceau de Gowers. Pour expliquer cette par

rêtent dans le bulbe y arrivent par les cordons postérieurs, par la voie pyrami- dale et par les cordons latéraux. a)

a con- sidèrent comme un passage direct des cordons postérieurs aux voies cé- 1 . DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOE

plus trouvé de connexions direcles des cordons postérieurs avec les voies cérébelleuses par des fibres arciformes internes,

idal croisé. Parmi le gros paquet de fibres dégénérées qui prend la voie du cordon latéral pour aller au bulbe, il faut

la protubérance. Cette dégénérescence ascendante d'une partie de la voie pyramidale a. la suite de lésions spinales est

e Buscli). S'agit-il vraiment d'une dégénérescence rétrograde de la voie pyrami- claie, ou bien de fibres ascendantes mé

voie pyrami- claie, ou bien de fibres ascendantes mélangées à cette voie sur une partie de son trajet ? Ce problème ne p

t pas résolu jusqu'à présent. c) Connexions spino-hzelbaires par la voie des cordons latéraux. La masse commune aux fais

sidérer comme certain que ces fibres spino-bulbaires, venues par la voie latérale ont leur plus grand développement lors

i, en montrant la direction transversale des fibres détachées de la voie du corps restiforme ne laisse aucun doute sur c

ier ne lui succède (fig. 14). Cette disposition si particulière des voies ascendantes spino-bulbaires que nous trouvons s

nt pas des cordons postérieurs de la moelle; ils se détachent de la voie du corps restiforme en deux groupes : l'un le ple

térales du bulbe d'une notable partie des fibres qui constituent la voie ascendante des cordons antéro-latéraux. Pour le

que le groupe antérieur des libres spino-bulbaires se détache de la voie latérale près de l'extrémité inférieure de l'ol

par sur nos coupes. 74 LONG postérieurs. C'est donc bien dé la voie latérale (faisceau latéral du bulbe et corps re

czisceauxspiao-cé·ébelle2sx.- Le faisceau cérébelleux direct sui la voie du corps restiforme et du pédoncule cérébelleux i

nt de place en place des fibres isolées (fig. 16) qui rejoignent la voie du pédoncule cé- rébelleux inférieur. En fait l

arburg, etc.) de ne voir qu'un seul système de fibres réunissant la voie ascendante des cor- dons antéro-Iatéraux à l'éc

g. 16-22) il est certain que les fibres dégénérées, détachées de la voie ascendante latérale se sont arrêtées pour la pl

e du thalamus, près du noyau médian, que la dernière trace de cette voie as- cendante disparait (Fibres sroitto-tltalrcr

oelle. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au reste de la voie ascendante des cordons antéro-latéraux abandonn

oupe seulement qui a des points de contact avec la terminaison delà voie des cordons postérieurs, celle-ci étant surtout

spino-bulbaires est marquée par la réduc- tion du contingent de la voie spino-réticulée qui arrive à la calotte protu-

cules cérébelleux inférieur, moyen, supérieur. Pul, pulvinar. - Py, voie pyra- midale. - Qa, Qp, tubercules quadrijumeau

és abdominaux inférieurs, en rapport probable avec une lésion de la voie centrifuge. . . La sensibilité est altérée, sur

onsidérable, puisqu'elle permet d'affirmer l'intégrité actuelle des voies optiques. Il n'y a, en outre, ni polyurie, ni g

arfois : « obne Granula unel dann erscheinen die Lûken im Netzmerk. voie Vacuolen » (p. 32). Il est bien important de no

s contractures sont d'origine idio-musculaire, c'est-à-dire que les voies afférentes et efférenles de l'innervation intéres

ue soit par altération du sang, soit par altération en un point des voies cérébro-médullaires situé au-dessus de l'arc mé

externe, l'animal pourra vivre dans son milieu habituel sans qu'on voie survenir chez lui des altérations graves qui pu

démontre l.i régénération presque totale du nerf qui, sans suivre la voie de prédilection par laquelle est facilitée la p

face. « Existence de.contractions fibrillaires dans les muscles en voie d'atro- phie. Troubles vaso-moteurs des segment

uence des crampes. « Réaction de dégénérescence dans les muscles en voie d'atrophie. « Début de l'affection le plus souv

mpagne de secousses fibril- ¡aires très visibles sur les muscles en voie d'atrophie, sur ceux de la cuisse pax exemple.

mportante question. Bien que d'une façon générale l'existence d'une voie rubro-corticale ait élé admise comme pro- bable

o-externe du noyau rouge. Elles, représentent un des chaînons de la voie cérébro-cérébelleuse, le neurone cortico-rubriq

rébelleuse, le neurone cortico-rubrique ». Cette conception de la voie cortico-rubrique repose sur l'étude de deux cas

fit connaître les résultats que lui avaient fournis, à l'égard des voies les plus importantes du né- vraxe, la méthode e

ntale, 1908, vol. XIII, fasc. 10, pp. 433-4ù2 ; - Sur le trajet des voies cérebro-cérebelleuses chez l'homme. Archives ital

Les idées émises par von Monakow sur l'origine et le trajet de la voie cortico-rubrique reposent sur l'étude de vingt ca

part que prend chacune de ces régions dans la constitu- lion de la voie cortico-rubrique, les cas publiés par von Monakow

, la dégénérescence secondaire observée par l'auteur portait sur la voie cortico-protubérantielle frontale, ainsi que sur

ivante, les principes cardinaux de son enseignement à l'égard de la voie cortico-ruhrique. Dans les cas de lésion ancien

yau rouge se répartissent donc en deux 196 . LA SALLE ARCHAMBAULT voies nettement distinctes, l'une, la voie fronto-rubri

196 . LA SALLE ARCHAMBAULT voies nettement distinctes, l'une, la voie fronto-rubrique, l'autre, la voie operculo-rubr

ies nettement distinctes, l'une, la voie fronto-rubrique, l'autre, la voie operculo-rubrique. La voie fronto-rubrique ti

, la voie fronto-rubrique, l'autre, la voie operculo-rubrique. La voie fronto-rubrique tire son origine de la convexité

s inverse, c'est-à-dire, vers l'écorce préfrontale, de sorte que la voie fronto- rubrique renfermerait également des fib

e qui parait être extrêmement probable en tout cas, c'est que cette voie est renforcée par un contingent thalamo-rubriqu

se que lorsqu'il s'agit d'une localisation purement corticale. La voie operculo-rubrique prend naissance au niveau de la

que très probable, n'est pas encore démontrée. Dans son trajet, la voie operculo-ruhrique est accom- pagnée par un cert

nos travaux antérieurs sur le faisceau longitudinal inférieur et la voie géniculo-calcarinienne, Cette dernière série d'ob

lution limbique et du lobule paracentral, et retentit sur plusieurs voies importantes, Il existe une dégénérescence très ma

corde une très grande importance en ce qui concerne l'origine de la voie cortico-rubrique, nous n'avons pas eu l'avantag

olutions frontales, c'est-à-dire exactement le lieu d'origine de la voie fronlo- rubrique décrite par vnn : Monakow. Il es

moteurs du bulbe et les cornes anté- rieures de la moelle épinière ( voie rubro-spinale), et d'autre part avec l'écorce d

ro-spinale), et d'autre part avec l'écorce de la région rolandique( voies opercuio-rubrique et ru bro -bu 1 bai i-e On po

sioloisme de la motilité est soumis à I influence coordonnéede deux voies motrices essentiellement et primitivement disti

es motrices essentiellement et primitivement distinctes : l'une, la voie cortico-rubro-spinale laquelle régit le mouveme

ale laquelle régit le mouvement réflexe ou automatique, l'autre, la voie cortico spi- nale ou pyramidale, laquelle est a

'elles ne peuvent s'opérer volontairement sans le concours et de la voie cortico-rubro bulbaire et de la voie cortico bul-

ment sans le concours et de la voie cortico-rubro bulbaire et de la voie cortico bul- baire ou pyramidale. Evidemment le

-Imlbaiies. Nous sommes donc porté à croire que la lésion, soit des voies afféren- tes, soil des voies efférentes, du noy

porté à croire que la lésion, soit des voies afféren- tes, soil des voies efférentes, du noyau rouge, joue un rôle très imp

rou- vaient néanmoins situées sur le trajet de l'une quelconque des voies afférentes du noyau rouge. On peut donc se dema

divers désordres reconnaissent pour cause principale la lésion des voies afférentes du noyau rouge, on conçoit très bien

le siège de la lésion grâce à. l'implication surajoutée d'une autre voie , laquelle évidemment ne sera pas la même à tous l

ous savons également que ces troubles ne surviennent que lorsque la voie cortico- spinale ou pyramidale est au moins par

t des conditions relativement favorables pour aborder la glande par voie transplrénoïclale. A signaler également le double

de lobe postérieur » (Mouriquand) (1). Nous avons, par une autre voie , obtenu des résultats analogues en parlant de n

sensiblement sa tolérance pour le sucre, nous lui avons injecté par voie veineuse la môme quantité de liquide céphalo-ra

diations de Roentgen doivent être effectuées alternativement par la voie buccale et parla voie temporale et qu'elles ne so

oivent être effectuées alternativement par la voie buccale et parla voie temporale et qu'elles ne sont indiquées qu'au d

oppe cutanée indique bien que la syndactylie n'est pas ici liée par voie de conséquence à la polydactylie. Dans la me- s

s dernières régions et qu'ainsi notre pensée physiologique suit une voie plus ou moins distincte, pendant que le syndrome

t en présence d'une diplégie spasmodique, causée par une lésion des voies pyramidales, Quelques-uns de ces cas, examinés au

nt bien reconnaissables. Dans l'écorce, la névroglie est à peine en voie de pro- lifération ; dans la substance blanche

, étant donné que la question des amyolrophies Aran-Duchenne est en voie de transformation et de discussion. Observati

le ? En théorie c'est possible. Mais en pratique, Ù la pensée d'une voie d'accès à tracer à travers des parties molles, oe

d'hypothèses sur la nature de cette affection qu'elle est en bonne voie de guérison. C'est là ce qui importe pour la mala

r l'extirpation de l'hypophyse, ont déterminé chez « les animaux en voie de développement un arrêt fonctionnel amenant un

nce de ce dernier ne subissait aucun arrêt, seulement les tissus en voie de multiplication se tassaient d'une manière in

préparations ne furent pas administrées par la bouche, mais par la voie rectale. Pour rendre cela possible, nous avons to

s préparés avec ces glandes furent administrés journellement par la voie rectale d'abord à très petites, puis à plus for

glandes thyroïde et paralhyroïdes, car l'extrait administré par la voie rectale agissait beaucoup plus favorablement que

en sel, tandis que, tout d'abord, on administra chaque jour par la voie rectale l'extrait des glandes thyroïde et paral

rons quelque cliose d'analogue dans l'épilepsie et, pour trouver la voie dans cette grande quantité extrêmement hétérogè

re d'un trouble complet du métabolisme général. Et c'est dans celte voie (à savoir la chimie et la pathologie du métabol

strant l'extrait frais des glandes thyroïde et parathyroïdes par la voie rectale ; c'est, en effet, la seule manière d'i

t d'affirmer que le trouble visuel est le résultat d'une lésion des voies optiques. De là l'utilité de pouvoir les constate

ue oculaire (scléro- tique, choroïde, rétine), et enfin lésions des voies optiques dans toute leur longueur, de la rétine

tion de la vue, pour les éliminer quand on soupçonne une lésion des voies optiques. J'ai d'ailleurs indiqué, il la partie

e m'occupe que des diminutions de la vue imputables aux lésions des voies optiques. ACLYortESErAMAunosES. Le mot amblyopi

e oculaire, des milieux transparents ou des enveloppes; lésions des voies nerveuses reliant le globe au cerveau). Plus so

écOl'Cl' el'rébrale). Mais, la situation exacte des lésions sur la voie optique, leur nature, connues dans quelques cas

les troubles visuels ne sont nullement le résultat d'une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble nerveux

nerveuses connues (hystérie, lésions du trijumeau, altéra- tion des voies optiques intra-cérébrales, hémianopsie) ; d'autre

UEL côté des affections qui atteignent la totalité des fibres de la voie optique et par suite toute l'étendue du champ v

scotome. Il ne s'agit pas alors d'une interruption des fibres de la voie optique, mais d'une interruption des rayons lum

optique qui commence. Ces déformations irrégulières par lésion des voies optiques antérieures contrastent avec les défor

ations si régulières que nous allons retrouver dans les lésions des voies optiques au niveau et en arrière du chiasma. -

SIE. L'hémianopsic est un trouble visuel résultant de la lésion des voies optiques au niveau ou au delà de leur entre-cro

les de l'optique droit. Dans ces conditions, une interruption des voies optiques droites, en arrière du chiasma, fera c

els.' C'est l'hémianopsie Ir.onzo- latérale gauche. La lésion des voies optiques de gauche, en arrière du chiasma, amène

devant lui de la gauche vers la droite dispa- 1 ig. 59. Schéma- des voies opliques. N, nerf optique ; R, noyaux réflexes

exes du mésocéphale ; GO, ganglion ophtal- mique. 'En Irait plein : voies optiques de gauche. LACUNES DANS LE CHAMP VISUE

n qui provoque la cécité. Sur le schéma (lig. 59), les'fibres de la voie optique vont de l'oeil il l'écol'ce cérébrale d

arrête en partie dans les noyaux du mésucéphale; elle trouve là une voie de retour par les nerfs moteurs du globe. 11 ex

erfs moteurs du globe. 11 existe là un arc réflexe complet avec une voie centripète (le nerf optique), un centre (noyaux

entripète (le nerf optique), un centre (noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (les nerfs moteurs de l'oeil). ' C

, une voie centrifuge (les nerfs moteurs de l'oeil). ' Coupez les voies optiques en avant des noyaux du mésocéphale et vo

une cécité complète avec perte des réflexes pupillaires. Coupez les voies optiques en arrière des noyaux du mésocéphale et

ation des réflexes pupillaires signifie : lésion cérébrale, sur les voies optiques, en arrière des noyaux du mésocéphale, e

ans des hémianopsies incomplètes en degré, dans des hémianopsies en voie de régression; une zone achromatopsique a souvent

ices de l'hémianopsie bitemporale. Si l'on se reporte au schéma des voies optiques, il est aisé de constater que l'hémianop

hémianopsies véritables ont au contraire pour cause une lésion des voies optiques en arrière du chiasma. Variations sémi

ianopsie suivant le siège des lésions. Une lésion intéressant les voies optiques dans leur long trajet du chiasma à l'é

nt son siège. Les tractus ou les centres nerveux qui avoisinent les voies optiques, peuvent, en effet, être atteints par

s, peuvent, en effet, être atteints par la même lésion qui coupoles voies optiques, et donner lieu à des symptômes associés

leurs une projection rétinienne analogue dans toute la longueur des voies optiques, de la rétine il l'écorcc cérébrale. C

de véritable représentation ou pro- jection rétinienne que dans les voies optiques extra-cérébrales. Au niveau du corps g

fusion des sensations transmises par les faisceaux systématisés des voies optiques extra-cérébrales. Néan- moins, les opi

ttiré l'attention. Le centre réllexe lumineux de la pupille dont la voie centripète est le nerf optique, la voie centrifug

ineux de la pupille dont la voie centripète est le nerf optique, la voie centrifuge le M. 0. C. siège dans les noyaux du

iner successive- ment : 1° le muscle paralysé; 2° le siège dans les voies optiques de la lésion interruplrice; 5° la natu

r à un diagnostic complet, localiser le siège de la lésion dans les voies oculomotrices (diagnostic du siège). Cela fait,

ner la nature de cette lésion (diagnostic étiologique). Suivons les voies optiques de la périphérie vers les centres. 1

tions résultent de l'entrecroisement à différentes hau- teurs des voies nerveuses motrices des yeux, de la face et des

l- baire C, destiné et montrer l'entre-croi- sement successif des voies motrices des yeux, de la face et des membres. L

lisation particulière de la lésion dans les points 1, 2, 5, 4 4 des voies optiques réflexes, sur les fibres reliant les noy

SCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion des centres et voies supranu- cléaires (mésocéphale, capsule interne

moteurs de l'oeil par des tractus nerveux, dont l'ensemble forme la voie des mouvements associés. Le siège des centres d'a

physiologiques ont permis d'établir, d'une manière assez précise la voie des mouvements associés et plus particulièrement

précise la voie des mouvements associés et plus particulièrement la voie des mouvements associés de latéralité, de ce qu

e du M. 0. E.; mais cette localisation est discutable. Telle est la voie , assez bien déterminée, des mouvements associés d

guées paralytiques, elles sont provoquées par une altération sur la voie des oculogyres. Quant aux paralysies associées

tcuL. 0 [PODLARD-] 82 TROUBLES XHRVEUX DE L'APPAREIL- OCULAIRE. voies intra-céréhrales. Tumeurs du 4° ventricule. Polio

ictcurs venant des origines du M. 0. C., et allant il l'iris par la voie du JI. 0. C. lui-même, en passant par le gan- g

cale (centre spinal). Les premiers (d'origine bulbaire), suivent la voie du trijumeau, les seconds (d'origine spinale),

nc au ganglion de Casser, cl vont ensuite ensemble à l'iris, par la voie de l'ophtalmique, branche du trijumeau. ' TROUB

iris ' avec, c, le constricteur et, d, le dilatateur. En bleu, les voies irido-constrictives. En rouge, les voies irido-

e dilatateur. En bleu, les voies irido-constrictives. En rouge, les voies irido-clilatatrices. En vert, les voies vaso-motr

onstrictives. En rouge, les voies irido-clilatatrices. En vert, les voies vaso-motrices. 8 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPARE

ystème nerveux. Les mouvements réflexes lumineux de l'iris ont pour voie centripète, la rétine, le nerf optique, pour cent

llaire. De ces faits, qui demandent 'confirmation, on a conclu : la voie réflexe centripète est constituée non par les fib

conclusion suivante : Il s'agit très probablement d'une lésion des voies optiques située au delà de l'arc réflexe, au de

n organiques (amaurose hystérique). Dans bien des circonstances, la voie centripète étant intacte, toutes les fibres du

ique tout entier, et par suite excite le neurone périphérique de la voie photomotricc réflexe (I¡g. 30). Signe d'Argyl

du mésen- cépbale, et la réaction pupillaire est bilatérale. Si la voie centripète est double, la voie centrifuge l'est

ion pupillaire est bilatérale. Si la voie centripète est double, la voie centrifuge l'est également, chaque centre réflexe

donc doublement assurée par suite de la distribution bilatérale des voies centripètes et centrifuges. Ce mouvement réflex

errompues. Si la vision est bonne, on peut admettre l'intégrité des voies opti- ques sensorielles de luit à l'écorce et l

voies opti- ques sensorielles de luit à l'écorce et l'intégrité des voies réflexes centrifuges. S'il y a amaurose d'un

nce démontre l'intégrité de l'arc réflexe irido-dilatateur, dont la voie centri- pète est formée par le nerf sensitif ex

voie centri- pète est formée par le nerf sensitif excite et dont la voie centrifuge à double origine (bulbaire et spinal

à celui des autrcs-mouve- ments oculaires (Voir p. 77). Suivons ces voies nerveuses dans-leur trajet précis ou problémati

véritable, mais à l'hypoexcrétion des larmes, it l'oblitération des voies d'écoulement des larmes (points lacry- maux obl

e de l'orhi- culaire, etc.). Cependant, il faut reconnaître que les voies lacrymales oblitérées et enflammées peuvent pro

Y irrita- tion de la cornée, des paupières, de la conjonctive, des voies lacry- males, des fosses nasales. C'est un larm

C'est un larmoiement réflexe. L'arc nerveux (fi ? ()5) possède une voie centripète, les filets du nerf trijumeau, et un

) possède une voie centripète, les filets du nerf trijumeau, et une voie centrifuge, très sinueuse, passant par le facial,

umeau sur la sécrétion lacrymale est indiscutable : il constitue la voie centripète de l'arc réflexe lacrynialo-séeréteur.

tion sur la sécrétion lacrymale. Dans ces conditions, il côté de la voie secrétaire centrifuge passant par le facial, il

a voie secrétaire centrifuge passant par le facial, il y aurait une voie secrétaire centrifuge, probablement vaso- dilat

tôt en partie, ; une notable quantité des ILANNOIS.1 Schéma de la voie auditive (Testut et Jacob). A. vestibule et c

interne ou par les aqueducs du vestibule et du limaçon. Les autres voies de pénétration et notamment le canal pétro-mastoï

if, diminue le son d'un diapason placé devant le conduit opposé; la voie du rél1exe passe par la moelle, par un centre r

fournir d'utiles indications sur l'état du labyrinthe et de toute la voie vestibulaire, mais la question est encore à l'é

e plus souvent elle est purement nerveuse et traduit une lésion des voies olfactives. On l'a vue au début du tabès, dans de

éite plus ou moins apparente, parfois enfin par propagation par les voies veineuse et lympha- tique. On sait en effet que

ri-neurales. Il n'est pas besoin d'insister sur l'importance de ces voies de communication. Nous renvoyons aux chapitres

manifestations nasales. Ce sont les manifestations primaires : les voies respiratoires supé- rieures doivent protéger le

e, la contraction des petits muscles bron- chiques, le catarrhe des voies aériennes : ce groupe ahoutit à l'asthme d'orig

ns les organes de la vision, exceptionnellement peut- être dans les voies de conduction et de réception des impressions sen

ement par l'intermédiaire d'une lésion portant spécialement sur les voies du sens de l'espace. Dans les vertiges dits « r

tc.) ne détermine encore le vertige que par action spéciale sur les voies nerveuses du sens de l'espace ou en modifiant l

s de l'oreille et du cervelet et peut- être de quelques lésions des voies visuelles, on voit combien la patho- génie de l

mais il peut, exister en l'absence de tout signe d'altéra- tion des voies auditives. Il serait dû soit aux modifications gé

ue vertigineuse, peuvent être d'un grand intérêt pour mettre sur la voie du diagnostic causât.' 1° Vertige auriculaire.

s pouvant déterminer la suffocation par chute des matières dans les voies respiratoires. Ajoutons qu'il est important de

l'oesophage (il y a cyanose si la sonde se trouve glissée dans les voies aériennes). Ainsi, l'on pourra maintenir, prolo

fréquemment chez tous les dysarthriques, chez les anar- thriques en voie de rééducation, chez les aphasiques de Broca amél

haché, scandé. L'on a l'impression très nette épie I anarlluique eu voie d'amélioration fait des efforts dispro- portion

e d'une lésion du territoire de la cérébrale postérieure (cuneus et voies d'association). Il existe un symptôme unique, l

e clinicien dans une certaine direction, le mettre en un mot sur la voie du diagnostic, et partant du pronostic de l'aff

le. ' , NOTIONS ELEMENTAIRES SUR L'ANATOMIE ET LA PHYSIOLOGIE DES VOIES SENSITIVES - Données anatomiques. L'appareil se

vement possible : 1° Les organes périphériques de réception; 2" les voies de cond 111'- tion sensitive périphériques et c

tifs : les muqueuses, les séreuses en sont richement pourvues. 2° Voies de conduction. En parlant de l'origine périphériq

les noyaux du plan- cher du quatrième ventricule. ' Le trajet des voies sensitives centrales, à partir des noyaux de Goll

après Long (') le ruban de Reil ne doit pas être considéré comme la voie unique, mais bien comme la voie principale de l

ne doit pas être considéré comme la voie unique, mais bien comme la voie principale de la conduction des impressions sen

partie par le ruban de Reil, en partie par la substance grise, les voies courtes et la formation - réticulée; mais jusqu

hysio- logique respective de ces différentes formations. Toutes ces voies ascen- dantes de la calotte viennent en fin de

dans tout le segment postérieur de la capsule interne. Telle est la voie sensitive centrale, dite encore principale : « vo

: « vola médullo-tlzalamo-corticale ». il existerait en outre une voie sensitive secondaire, qui n'est pas admise par

u côté opposé. 1. Th. de Paris, 1899. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE DES VOIES SI';NSIT11LS. 277 7 2" Neurone 77%édu'Ilo-cé ?

larke, les fibres sensitives gagnent l'écorce du cervelet par deux, voies : a) voie directe, par le faisceau cérébelleux di

fibres sensitives gagnent l'écorce du cervelet par deux, voies : a) voie directe, par le faisceau cérébelleux direct ou

se rendent au cervelet par le pédoncule cérébelleux inférieur ; b) voie croisée, par le faisceau de Gowers, qui serait es

que. Neurone thalamo-corlical. Le dernier chaînon de cette longue voie secondaire vient se confondre avec celui de la vo

de cette longue voie secondaire vient se confondre avec celui de la voie prin- cilalu, pour atteindre la zone sensitive

((barestt)esio))(Voirp ? 91). . " : 11t1T01111 : ET PHYSIOLOGIE DES VOIES SE-XSITIVES. 279 La douleur est-elle une sensat

e Krause pour le froid corpuscules de Ruffini pour le chaud. - 5° Voies de conduction des excitations périphériques. On a

tactile, est venu confirmer cette opinion. Ces différenciations des voies conductrices dans la moelle est loin cependant

'agit d'une fonction autonome, se sont préoccupés de rechercher les voies de conduction médullaire de ce sens spécial et

ttre d'affirmer l'existence d'une lésion corticale, intéressant les voies de connexions centrales nécessaires Ù l'identific

sion qui vient frapper la zone corticale sensitive elle-même ou les voies de couduclion ascendantes sensitives dans la pro-

s moteurs dans l'hémiplégie. Lorsque les troubles sensitifs sont en voie d'améiiu- lei ? 13. - Hémianesthésie cérébrale.

En se reportant aux notions actuellement admises sur le trajet des voies centrales de la sensibilité, il est logique de se

s'étende en arrière jusqu'au niveau du pli courbe, et sectionne les voies visuelles. L'hémianopsie n'est pas un signe de

e sont mélangées entre elles, mais indé- pendantes des fibres de la voie pyramidale (carrefour sensit if' de Charcot). C

IBILITÉ OBJECTIVE. 5 H thalamus représente, en effet, le relais des voies sensitives, qui toutes s'arrêtent dans le gangl

.) 512 2 SENSIBILITÉ. nous échappe encore, car les connexions des voies sensorielles de l'ouïe, du goût et de l'odorat

ure et inférieure de la couche optique (région où aboutissent les voies sensitives), aux confins de la cap- sule inte

x, résultant des rapports qu'affectent les fibres de projection des voies sensitives et motrices (soit entre elles, soit

ports intimes de la racine descendante spinale du trijumeau avec la voie sensitive, expliquent la possibilité de l'hémia

emble-t-il, que dans les lésions de la partie toute terminale de la voie sensitive (jamais elle n'a été signalée dans le

gie nerveuse; souvent ce sont eux qui, les premiers, mettent sur la voie du diagnostic ou amènent le malade à consulter;

mond et Cestan clans les lésions prolubc- rantiellcs intéressant la voie sensitive, et celles notées par Mann dans les f

t faites dans la région où se trouve le foyer d'irritation qui, par voie réflexe, entretient la névralgie, bien que cette

les rebelles. Schlôsser et Ostwald ont préconisé l'injection par la voie buccale des branches du trijumeau au niveau des

A. Baudouin, Sicard ont proposé de pratiquer ces injections par la voie externe; cette méthode me paraît préférable en ra

tants qui l'entourent. Pour atteindre le frontal et le lacrymal, la voie orbitaire est indiquée. Nous avons choisi la pa

ROUZON Un réflexe est une excitation périphérique transmise par les voies cen- tripètes à un centre nerveux qui la renvoi

les voies cen- tripètes à un centre nerveux qui la renvoie par les voies centrifuges à la périphérie sous forme d'excita

une percussion avec le bord cubi- tal de la main et qu'on le voie apparaître à la percussion au marteau. Il est don

te disparition des réflexes cutanés est l'indice d'une lésion de la voie cortico-spinale. Cette manière de voir a été vive

lition des réflexes cutanés a pour signification un trouble dans la voie pyramidale, trajet de ces réflexes cutanés cort

e trouble du réflexe peut s'observer également dans les lésions des voies centripètes ou centrifuges. Nous envisagerons t

voir également : 2° Dans les lésions des organes récepteurs et des voies centripètes, dans ce cas il y a en même temps d

l'intégrité des organes récepteurs. ci et 5° Dans les lésions des voies centrifuges, les réflexes cutanés peuvent être

la moelle. Si nous conservons comme exemple le réflexe rotutien. la voie centripète du réflexe se continue dans la moell

réa- g ! ssentatenr tour; l'excitation se transmet alors suivant la voie centri- [CROUZON.] 1-58 RÉFLEXES. luge et e

centres supérieurs ? ' ? Suivant Van Gehuchten, il y aurait deux voies différentes pour les réflexes cutanés et pour l

et pour les réflexes tendineux. Les réflexes cutanés empruntent la voie pyramidale, c'est-à-dire la voie des fibres cor

Les réflexes cutanés empruntent la voie pyramidale, c'est-à-dire la voie des fibres cortico-spinales; au contraire, les

inales; au contraire, les réflexes tendineux em- pruntent une autre voie : c'est la voie des libres venues du noyau rouge,

aire, les réflexes tendineux em- pruntent une autre voie : c'est la voie des libres venues du noyau rouge, c'est-à-dire

par un certain nombre de faits : tout d'abord, la dissociation des voies des réflexes tendineux et des voies des réflexe

ut d'abord, la dissociation des voies des réflexes tendineux et des voies des réflexes cutanés est prouvée par l'antagonism

sions, nous pouvons cependant préciser la hauteur à laquelle chaque voie réflexe se rattache au système nerveux spinal.

ance, qu'il n'existe pas d'hémiplégie alterne pouvant mettre sur la voie ; le diagnostic sera alors très difficile, l'in

ou plusieurs autres symptômes de méningite, il pourra mettre sur la voie du diagnostic qui sera confirmé par la ponction

rsister quelque réflexe dont l'exagération manifeste mettait sur la voie du diagnostic évolutif. Nous reviendrons un peu

es dans lesquelles débuta le trouble nouveau mettent parfois sur la voie du diagnostic. Dressés sur leurs jambes, ils ne p

. On aura parfois l'occasion de surpendre un détail incitant sur la voie du diagnostic. Il y avait ainsi à Bicètre un pa

d'une inflammation du nez, du naso-pharynx ou de l'oreille, par une voie réflexe empruntant le trijumeau ou les filets l

tique et qu'effectivement sa constatation a mis très souvent sur la voie du diagnostic de l'anévrisme. De même, mais ave

action dynamique et action trophique, transmises toutes deux par la voie des nerfs moteurs, c'est la seconde qui est seu

n un point quelconque du neurone moteur central, c'est-à-dire de la voie pyramidale qui conduit l'excitation dynamique des

peut que, dans certains cas, une altération réelle des centres ou des voies nerveuses échappe à nos moyens actuels d'invest

aucun symptôme clinique ne permet d'affirmer avec certitude que les voies nerveuses sont indemnes et que les muscles sont p

grande partie de la musculature ou localisées à quelques muscles en voie d'atrophie, plus particulièrement à certains d'

ue plus tardi- vement, puis augmente, quand le nombre des fibres en voie de dégénéra- tion, quoique non complètement atr

namique des cellules motrices de la moelle, trouble transmis par la voie des filets sensitifs irrités : cette hypothèse a

velles méthodes per- mettent de déceler des altérations minimes des voies nerveuses centrales et périphériques. Cette atr

TROPHIES PRÉATROPHIQUES Nous avons dit que dans tous les muscles en voie d'atrophie, quelle que soit l'origine de l'atro

s myopathies, le nombre des fibres hypertrophiées dans un muscle en voie d'atrophie n'est jamais assez considérable pour

nce de l'existence de fibres d'un volume énorme dans les muscles en voie d'atrophie, s'explique par le fait que l'hypertro

à savoir que l'hypertrophie de certaines fibres dans les muscles en voie d'atrophie esl - une hypertrophie fonctionnelle

lle aura quelques caractères différents suivant la partie lésée des voies sen- sitives ou motrices. L'incoordination ne s

To-1 l\I;UUIiDI\ : 1'1LU\. cause sans cloute des très nombreuses voies de suppléance ou de cou, pensation que fournit

taxie des tabétiques, parait due essentiellement à l'altération des voies sensi{ine ? qu'il y ait abolition, diminution o

es mouve- ments composés et le centre de l'équilibre, soit dans les voies centripètes ou centrifuges du cervelet. L'état

mble que les syndromes cérébelleux sont dùs plutôt à une lésion des voies centrifuges que des voies centripètes, n f i 1 r

ébelleux sont dùs plutôt à une lésion des voies centrifuges que des voies centripètes, n f i 1 r : savons pas si la lésio

s voies centripètes, n f i 1 r : savons pas si la lésion des seules voies cérébelleuses centripètes n'est pas capable aus

end que la double origine connue des troubles de la coordi- nation, voies sensitives d'une part, voies cérébelleuses, proba

nue des troubles de la coordi- nation, voies sensitives d'une part, voies cérébelleuses, probablement surtout motrices, d

rtions variables résulte sans doute de l'association de lésions des voies sensitives à des lésions des voies cérébelleuse

de l'association de lésions des voies sensitives à des lésions des voies cérébelleuses. C'est ainsi qu'il n'est pas rare d

constater dans le tabes une altération scléreuse du cervelet ou des voies cérébelleuses, altération soit directe, soit pa

empruntent leurs princi- paux symptômes à des lésions combinées des voies sensitives et des voies cérébelleuses. Nous rés

paux symptômes à des lésions combinées des voies sensitives et des voies cérébelleuses. Nous réserverons pour la fin de

on peut observer suivant la cause et le siège de l'interruption des voies sensitives. Ce qui caractérise essentiellemen

lésion, de nature quelconque, de l'une quelconque des portions des voies sensitives; on observera ainsi des ataxies par lé

par lésions des nerfs périphé- riques, des ataxies par lésions des voies supérieures, hulbe, protubérance, cerveau, des

mes d'ataxie cérébrale ou bulbo-protubérantielle par altération des voies sensitives supérieures, des symptômes d'ataxie pa

entes affections provoquent ou non, en même temps qu'une lésion des voies sensitives postérieures, une altération des voi

qu'une lésion des voies sensitives postérieures, une altération des voies motrices latérales, elles produisent soit un pseu

uence tient certainement à ce que cette région est le carrefour des voies sensitives, cérébelleuses et labyrin- thiques.

servation relative de la coordination dans les cas d'altération des voies sensitives cérébrales à la création, pen- dant

'incoordination cérébelleuse que de l'ataxie commune par lésion des voies sensitives ; le cervelet est sans doute tout part

tre connues, mais il existe sans doute aussi des relations avec les voies sensitives générales au voisi- nage des noyaux

e la sclérose en plaques, mais bien d'une lésion du cervelet ou des voies cérébelleuses; s'il sont si communs dans la scl

te généralement des plaques prolubéran- tielles qui intéressent les voies cérébelleuses ; mais ces troubles feraient défa

, du nerf vestibulaire en particulier. 2° Dans les affections des voies cérébelleuses, en particulier au ni- veau de la

termi- ner le syndrome, on ignore encore quelles autres parties des voies céré- hl'lIeuses peuvent le provoquer. L'associ

(roubles sensitifs et due, comme celle du tabès, Ù l'altération des voies sensitives (nerfs périphériques, racines médull

dineux. Variétés topographiques (suivant le siège de la lésion des voies sensifivesousen- sorielles) : a) Moelle (raci

mpression cérébrale, souvent aiaxie labyrinthique. b) Affection des voies cérébelleuses, bulbo-protubérantielles (notamment

tain nombre de nerfs crâniens, zone où s'entre-croisent les grandes voies sensitive et motrice cérébro-spinales, le bulbe

c, chiffonnée, pour ainsi dire, semble trop large pour le muscle en voie de disparition. La parole est empâtée (nous ver

xpose tout spécialement le malade au danger des corps étrangers des voies aériennes, et que pour les bulbaires chroniques

e des nerfs bulbaires et sur leurs faisceaux eu'érents. Les grandes voies céréhro-médullaires (rnban de Reil, faisceaux p

es, dans la neurasthénie proprement dite. Les gestes sont rares, la voie brève, soufflée, fréquemment cassée. L'oeil man

squels cer- taines circonstances nous mettront immédiatement sur la voie : grossesse, lièvre intense, affection cérébral

ment est peut être dû il des lésions organiques du cervelet ou' des voies cérébelleuses. En résumé, ces derniers travaux

aussi, le cas échéant, ménager une 1 TROUBLES TROPHIQUES. 917 î voie d'accès sous quelque partie du pansement cacheté,

roprié. . Toutes les affections de la prostate peuvent retentir par voie réflexe sur la vessie, mais la prostatite chron

nt avec la plus grande faci- lité et l'ascension de l'infection aux voies supérieures est rapide. 11 ne faut donc jamais

ont protégés, car la prin- cipale condition de l'ascension vers les voies supérieures de l'infection est la stagnation de

de culture très favorable. L'agent infectieux pénètre rarement par voie iicmatogene dans l'appa- reit urinaire ; l'infe

ration du col, où rétention complète. Dans ces cas, l'ascension aux voies supérieures est rapide et grave d'emblée. La py

tives aux traumatismes graves et aux brûlures étendues, car c'est par voie , réflexe que cette inhibition de la fonction ré

nvienne. Tout au plus peut-on, lorsqu'on a constaté l'intégrité des voies urinaires, pratiquer quelques sondages comme mo

le, l'onanisme est souvent un signe du début l'i doit mettre sur le voie du diagnostic quand il apparaît chez des sujets

ie sur le plancher buccal; la muqueuse trop large pour le muscle en voie de disparition, semble flotter et se plisse en dé

oins l'aglllydale et le voile du palais, quelquefois SÉMIOLOGIE DES VOIES DIGESTIVES SUPÉRIEURES. 983 une moitié du corps

aînent, il convient de rappeler la haute impor- tance de l'état des voies digestives dans les états morbides de l'esprit. L

le d'un tableau morbide une indication qui met l'observateur sur la voie du diagnostic ou limite le nombre des diagnosti

ment dans certaines myopathies ou dans des affections variées de la voie pyramidale (Cestan). On observe un pied très an

vaires Il va sans dire que l'hérédité s'exerce en semblable cas par voie collaté- rale. Infantilisme type Lorain. Il s

Dans tous ces cas, il est indispensable d'examiner le coeur et les voies respiratoires supérieures dont les malformation

ore la dent se pré- sente normale, bien constituée, il semble qu'on voie une dent plus petite sortir d'une dent plus gra

s venons de mentionner ; quelquefois un seul stigmate mettra sur la voie du diagnostic, ce sera, par exemple, les lésions

rapeutique neurologique.) Les recherches de Labeau sur la moelle en voie de développement oui montré la résistance de la

na '), d'autre part, en même temps qùe M. Béclère (2), employait la voie buccale, avantageuse par les faibles obstacles op

on sait que les lignes de flux du courant suivent de préférence les voies de plus faible résis- tance ; il en résulte que

es ions colorés. C'est aussi, suivant toute évidence, la principale voie suivie par le cou- rant galvanique pour pénétre

la présence d'une DR plus ou moins caractérisée sur des muscles en voie d'atrophie, alors que sur d'autres muscles plus

e sur ces muscles, excitations modérées des muscles atrophiés ou en voie d'atrophie, faites suivant l'étal de leur excitab

quelquefois même l'aspect histologique de la dégénéres- « cence en voie dévolution (corps granuleux) : en outre les cellu

t, 187. Appareil digestif. Troubles nerveux, 977. Séméiologie des voies digestives sn- périeures, 977. Séméiologie de l

culo-protuhéran- tiels, 75. - Paralysie par lésion des centres et voies supra-nucléaires, 77. - Troubles moteurs oculai

. 1590 q Sensibilité générale, 274. Anatomie et physiologie des voies sensitives. Yoy. Voies seusilioes. - musculaire

générale, 274. Anatomie et physiologie des voies sensitives. Yoy. Voies seusilioes. - musculaire, 290. objective, troub

ique, exploration. Champ visuel, 9. ' Vitiligo et syphilis, hou Voies cérébelleuses. Lésions, syndrome cérébelleux, 7

- sensitives, anatomie et physiologie. - Organes de réception. - Voies de con- duction, 275. Centres de. réception c

rticaux, 277. Nature des excitants. 278. - Organes périphériques. - Voies de conduction des excitations périphéri- ques

sible de la sensibilité s'explique par la situation postérieure des voies sensitives, et par le fait qu'un petit nombre d

. C'est ce que je vais discuter, mais avant de m'engager dans cette voie , il est bon de faire connaître le résultat du t

he sagittale latérale une fonction déterminée, elle représenterait la voie visuelle centrale, ses fibres proviennent de la

s iraient dans le deux sens, ce faisceau représenterait une seconde voie motrice. ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo

animaux. Le faisceau longitudinal inférieur représente en partie la voie visuelle cen- trale ; il se termine dans l'écor

m d'aprosexie une diminution de l'attention due à l'obstruction des voies nasales ; mais elle est souvent pro- voquée par

ie Berthaud, Pans HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE Troubles de la voie pyramidale. ........... -3mr-im, - 5 e- "TT ? 1

OLOGIE DE PARIS- HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE. TROUBLES DE LA VOIE PYRAMIDALE, PAR H. CLAUDE et P. LEJONNE. So

'agit-il d'une lésion cérébrale, ou au contraire d'une lésion de la voie motrice médullaire ? on conçoit que ces deux hypo

elles. D'autre part, pouvons-nous préciser comment ont agi sur la voie pyra- midale, les toxines bacillaires ? Est-ce

e générale; nous ne croyons plus comme autrefois que, tandis que la voie pyramidale occupe les deux tiers antérieurs du se

bes ancien, prouvent que ce ne sont pas des fibres démyélinisées en voie d'atrophie ; leur terminaison par des massues d

ires. Zone interne. Celle-ci est formée des éléments précédents, en voie de désintégration ; on y distingue des débris d

émontrer les effets d'une trentaine de germes cancéreux arrivés par voie vasculaire au cer- veau et au cervelet. Il me

topsie incomplète ; le cerveau a sans aucun doute été envahi par la voie vasculaire. Cela semble démontré entr'autres pa

dans un précédent travail (1), des plus variées. Chez l'individu en voie de sénescence on retrouve, en effet, une multit

le plus souvent les symptômes révélateurs d'une dégénération de la voie motrice, enfin des troubles sphinctériens, un lég

l'intestin très réduits, le foie et le pancréas durs à la coupe, en voie de cirrhose ; les poumons sont emphysémateux et

été soulevée, M. Vicart a eu l'obligeance de pratiquer l'examen des voies aériennes supérieures et nous a remis la note sui

d'aucune sorte.. Quelques auteurs qui nous ont précédés dans cette voie de recherches avaient décrit chez certains de l

fibres à myéline, fibres fines, quelques- unes même très fines, en voie de dégénérescence avancée. Les figures 4 et 5 de

se avait à peu près disparu ; beaucoup de cellules se montraient en voie d'atrophie, près d'un tiers avait disparu, nota

durale). Présence de nombreuses fibres à myéline de fin calibre, en voie de dégénérescence wallérienne (fixation acide os-

glionnaire elle-même. D'autre part cependant, comment des fibres en voie de dégénérescence auraient-elles pu fournir cette

e manifeste. Il existe donc dans ces ganglions quelques cellules en voie d'atrophie comme celles que nous avions remarqu

yant persisté intactes, et qui viennent évidemment de la moelle par voie centrifuge. Certains filets ne comprennent que de

uses fibres saines, on distingue un nombre appréciable de fibres en voie de dégénéres- cence. Ces fibres dégénérées se r

L'un des filets présentait un groupe de fibres de petit calibre en voie de dégé- nérescence avancée. Observation XI.

m superficiale des fibres transversales du pont et une partie de la voie pédonculaire. A droite elle occupe seulement un

x cas. A, quand il existe une altération des centres : B. quand les voies de commu- nication qui réunissent les divers ce

l'absence de fonction génitale produit chez les individus encore en voie de développement, une prolongation remarqua- bl

recteur, Paul Richer, qu'elle a pu s'engager avec sécurité dans une voie nouvelle et féconde. La rédaction de la Nouvell

l'un des fondateurs et qu'il a orientée avec tant de succès, dans la voie médico-artistique, ne pouvait rester à l'écart

re, c'est-à-dire qu'il persévère avec un succès sans égal 1 dans la voie que vous lui avez tracée. Il est devenu de la sor

rovenant des grosses cellules du tissu em- bryonnaire absorbent par voie de phagocytose les grosses et les petites boule

rice médullaire, avec sa structure irrégulière ne constitue pas une voie conductrice favorable à la croissance nerveuse, c

, les massues de croissance, à ce qu'il semble se trouvent aussi en voie de progression. De certaines d'entr'elles, se d

Nous remarquons en outre qu'un petit nombre de ces cellules sont en voie de dégénérescence. Des deux extrémités des deux

r ces cellules qui attirent les jeunei axones dans la cicatrice par voie chimio- taxique, pour les diriger plus loin à t

dégénérées. En outre, on voit très clairement comment ces fibres eu voie de dégénérescence pénètrent dans la cicatrice e

es. Les fibres de nouvelle formation arrivées dans la cicatrice par voie de divi- sion, au lieu de continuer une directi

ncore plus marquées. Il n'existe aucune fibre saine, toutes sont en voie d'atrophie simple avec prolifération excessive de

sur les muscles précédents; quel- ques fibres cependant, bien qn'en voie d'atrophie, sont encore assez volumi- neuses, u

en abondance ; on voit de place en place des manchons de myéline en voie de dégénérescence, il persiste une quantité not

antérieures, qui présentent de nom- breuses gaines atrophiées ou en voie de dégénérescence. Intégrité des racines postér

ce et de peu d'éten- due dans les cordons antéro-latéraux, mais les voies sensitives étaient intactes. Il y avait égaleme

petits grains à myéline irrégulièrement dis- posés ; elles sont en voie de dégénérescence ; tout autour de la tumeur, les

qu'en raison des toxines provenant de la pullulation bactérienne des voies respiratoires. Elle nous semble donc devoir êtr

attend avec impatience ce moment. Inter- rogé sur la raison de ses voies de faits vis-à-vis de la femme inconnue qu'il a

éral de volume 512 - ; ALQUIER normal, ou même congestionnés. Les voies lymphatiques périvasculaires et interstitielles

ndamment des vaisseaux sanguins (Schmaus), enfin, la dilatation des voies lymphatiques, sont rapportées par presque tous le

racines sclérosées avec atrophie des gaînes de myéline qui sont en voie de dégénéra- tion au Marchi, semblent présenter

, dans nos cas, la stase sanguine ni l'ischémie'; la dilatation des voies lymphati- ques nous a semblé rare et localisée.

ure de la couche transversale moyenne et la moitié antérieure de la voie pédonculaire droite. 1 . Dans le foyer, on ne

rois taches d'infiltration sanguine dans les faisceaux moyens de la voie pédonculaire et la couche transversale moyenne

filtrées dans le parenchyme et détruisant plusieurs faisceaux de la voie pédonculaire, sans trace d'ancienne lésion. S

la calotte,et le ruban de Reil avec les fascicules aberrants de la voie pédonculaire. Deux foyers de dégénérescence son

Marchi, faisceau cérébelleux descen- dant ; 3° l'interruption de la voie centripète constituée par le faisceau de Gowers

avoir une action à travers la moelle, produisant le trouble par une voie ré- xix 37 558 JARDINI flexe ? Quoi qu'il e

cléreuse et qui n'est pas accompagnée des symptômes des lésions des voies pyramidales, ne me semble pas avoir été jamais

on songe que c'est à ce ni- veau que se rencontrent la majorité des voies importantes du névraxe entier, que le pulvinar

tence. Il convient toutefois de faire remarquer que le trajet de la voie motrice et du ruban de Reil au niveau du pédonc

nt introduite avec beaucoup d'à propos par Edinger. Il s'agit d'une voie de projection corticipète, qui tire son origine d

lus autorisé à l'évoquer que l'on a établi une comparaison entre la voie pyramidale et le faisceau longitudinal inférieur;

ite absolument le territoire qu'occupe, dans le cas particulier, la voie pyramidale. Quelque irrégulière que soit la top

utre et voyons jusqu'à quel point l'analogie qu'il présente avec la voie pyramidale, en fait, au niveau de l'hémisphère,

uièmes suivants du pédoncule intra-cérébral, mais surtout (comme la voie pyramidale) le deuxième cinquième interne (au l

moyen (environ) du segment vertical de cette dernière. Ainsi que la voie motrice est recouverte de la couche superficiel

e le segment moteur périphérique et le segment extra-cérébral de la voie visuelle pour comprendre que tout en étant extra-

également dans la moelle, un système compliqué de collatérales, de voies réflexes, auquel l'élément pyra- midal contribu

ment pyra- midal contribue largement. On ne peut guère parler d'une voie visuelle péri- phérique, puisque l'embryologie

lui viennent du dehors. Il y a deux nerfs optiques de même que deux voies pyramidales, mais contrairement à ce qui se pas

es destinées à recevoir les ramifica- tions terminales de l'une des voies motrices. Mais cette écorce rétinienne étant se

éminales abordent donc les divers niveaux dans le même ordre que la voie motrice : rétine (écorce), capsule interne (entre

culée), pédoncule; mais sont séparées du faisceau de Tûrck et de la voie pyramidale par la zone réticulée. Ce petit fascic

du type sen- sitif. Il se rend au corps quadrijumeau antérieur ; la voie acoustique centrale se termine en partie dans l

icipète devient donc, de par son siège, l'équivalent sensitif de la voie optique. On sait que le lobe occipital envoie d

mportance, le noyau central du thalamus. Nous ne croyons pas que la voie sensitive in loto reparte de ce noyau central p

réel du lemniscus et elles jouent plutôt le rôle de collatérales ou voies réflexes. Il en est de même pour la voie auditi

e rôle de collatérales ou voies réflexes. Il en est de même pour la voie auditive, le lemniscus latéral, mais à un degré m

n tra- jet, absolument la disposition fasciculaire que reconnaît la voie pyramidale depuis l'écorce jusqu'à la pyramide

s la ligne médiane au niveau de la moelle mais il faut dire que les voies pyramidales se rapprochent en descendant et que l

e que les voies pyramidales se rapprochent en descendant et que les voies visuelles di- vergent en se rendant aux noyaux

elette passe donc dans l'hémisphère avec la même disposition que la voie pyramidale dans une moitié de la moelle. Que

corps genouillé externe et concourt largement à la formation de la voie visuelle intra-cérébrale. Pour notre part, nous

protu- bérantiel ou la partie moyenne du pont de Varole, de même la voie visuelle intra-cérébrale débute-t-elle par la b

e calcarinienne. Ce faisceau visuel central ressemble beaucoup à la voie pyramidale d'un niveau à l'autre, mais naturellem

pourrait comparer (mais ce serait fort difficile) avec d'autres des voies du tronc encéphalique : le lemniscus médian ou la

e en effet quelques particularités dignes d'être -signalées. ' La voie pyramidale comporte des fascicules aberrants, mai

inent dans les noyaux pontiques. Bien que dissociée à cet endroit, la voie py- ramidale regagne son indépendance et c'est

entre le faisceau optique central et les faisceaux médullaires de la voie pyramidale. Une fois que l'on dépasse en arrièr

nt absolument conformes aux descriptions du trajet médullaire de la voie pyramidale : disparition à un niveau variable (le

s'irradier dans l'écorce calcariuieuue, devront forcément prendre la voie de la couche interne et même se mêler aux radia

optique central sont exposés comme le sont les deux faisceaux de la voie pyramidale à être refoulés, déplacés ; les autr

faisceau optique central est au niveau de l'hémisphère ce qu'est la voie pyramidale dans son trajet pédonculo- médullair

pédonculo- médullaire. Incidemment nous avons fait ressortir que la voie visuelle, voie sensorielle admise de tous, réun

dullaire. Incidemment nous avons fait ressortir que la voie visuelle, voie sensorielle admise de tous, réunit les deux typ

vidualisé et dont le trajet intra-hémi- sphérique soit établi. La voie motrice est nettement démontrée et au niveau de l

et au niveau de l'hémisphère et au niveau du tronc encéphalique; la voie sensitive' se cantonne presque exclusi- vement

nt aux régions inférieures du névraxe (moelle et rhombencéphale) ; la voie sensorielle est mieux délimitable dans son trav

e est mieux délimitable dans son travail intra-hémisphérique que la voie pyramidale et possède en outre un segment extra-c

extra-cérébral qui est de beau- coup mieux isolé que l'est soit la voie motrice, soit la voie sensitive au niveau du tr

t de beau- coup mieux isolé que l'est soit la voie motrice, soit la voie sensitive au niveau du tronc encéphalique. Au

tronc encéphalique. Au segment intra-cérébral et corticipète de la voie visuelle, nous avons donné le nom de « faisceau

CLAUDE et LEJONNE. Hypotrophie d'origine bacillaire, troubles de la voie pyramidale (1 pl.), 147. Dejerine et Thomas.

LEJONNE et CLAUDE. Hypotrophie d'origine bacillaire, troubles de la voie pyramidale (t pl.), 147. LEJONNE et LHERMITTE

. Moutier, 383. Hypotrophie d'origine bacillaire ; troubles de la voie pyramidale (1 pL), par CLAUDE et Lejonne, 147.

e. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bronchiques et du parenchyme pulmonaire ; — tuber

de celui-ci. Lésions inflammatoires tant aiguës que chroniques des voies bronchiques et du parenchtjme pulmonaire, considé

que, dans ce domaine tant de fois exploré par les grands maîtres, les voies soient partout largement ouvertes et qu'il n'y ai

ique. Puissent ces vues prévaloir dans l'organisation actuellement en voie d'exécution de nos nouvelles Facultés provinciale

cloi-sons laissent entre elles, au centre du conduit, un espace, une voie libre, un passage, pour nous servir des expressio

un passage, pour nous servir des expressions de Todd elBowmann. Cette voie s'étend du vestibule aux infun-dibules qu'elle fa

onchique vers l'orifice laryngé et à empêcher la pénétration dans les voies respira-toires profondes des corps étrangers pulv

oses. — Expériences : introduction de pou-dre d'oxyde de fer dans les voies respiratoires ; pénétration au fond de ces voies

xyde de fer dans les voies respiratoires ; pénétration au fond de ces voies et dans les cellules de l'endothélium ; localisat

a cause mécanique des lésions pulmonaires est l'introduction dans les voies aé-riennes et jusqu'aux alvéoles, de corps étrang

plus par la résection des récurrents, mais par l'in-jection dans les voies bronchiques dune solution faible de nitrate d'arg

ue primi-tive, provoquée chez les animaux par l'introduction dans les voies aériennes de poussières suspendues dans l'atmos-p

re d'oxyde de fer pénétraient, dans ces conditions, jusqu'au fond des voies respiratoires, c'est-à-dire dans les con-duits re

les particules ne s'arrêtent en chemin, dans un point quelconque des voies bronchiques qu'elles ont dû parcourir, cependant,

nant, elle aussi, à 1 Voir les Leçons sur les maladies du foie, des voies biliaires et des reins, faites à la Faculté de mé

rtant au type cylindrique qui règne dans toute l'étendue des gran-des voies biliaires. Les conduits, qui forment ces réseaux,

récentes. On savait depuis longtemps qu'à la surface d'une plaie en voie de cicatrisation, le développement du revêtement

aiguë. Chez les animaux, l'introduction de corps étrangers dans les voies respiratoires joue donc un rôle capital sur l'imp

broncho-pneu-monies. Elles peuvent succédera la pénétration dans les voies aériennes de plusieurs substances étrangères, par

encore être expliquée par la pénétration du liquide buc-cal dans les voies aériennes, résultant des troubles de la dé-glutit

de ce travail. gangreneux, des corps étrangers introduits dans les voies res-piratoires peuvent, par exemple, dans certain

ès on ne trouve aucune matière qui ressemble à du tubercule crû ou en voie de ramollissement. Entre les cavités pathologiq

sive et prédominante, le lobe inférieur d'un poumon, bien que cela se voie cependant quel-quefois3, principalement, il est v

la que chez les aiguiseurs, l'inspiration et l'inlroduction, dans les voies aériennes profondes, des particules de grès proje

pneumonies lobulaires chroniques déterminées par la présence dans les voies aériennes de poussières de diverses natures, mais

ural se fait aisément en certains points de la plèvre costale, par la voie des lymphatiques, et probable-ment par l'interméd

Les lésions de la plèvre agissent aussi sur le poumon par une autre voie , celle des lymphatiques ; c'est le cas de cer-tai

laires chroniques, dévoloppées consécutivement à la pleurésie, par la voie des lymphatiques. C'est très vraisemblablement à

particules so-lides répandues dans l'atmosphère et pénétrant dans les voies respiratoires pendant l'acte de l'inspiration. L'

tout d'abord, que les particules char-bonneuses introduites dans les voies digestives peuvent perforer les parois intestinal

Ces expériences montrent, en effet, que le charbon peut suivre cette voie détournée pour pénétrer dans le poumon ; mais ell

r dans le poumon ; mais elles ne montrent nullement que ce soit là sa voie habituelle, le chemin qu'il doit en quelque sorte

e pou-vaient pénétrer, pendant la respiration, dans la profondeur des voies aériennes, et on plaçait dans les cils vibrátiles

on serait jugée, et il faudrait de toute nécessité admettre une autre voie pour l'introduction des poussières dans le poumon

bon de provenance intestinale ne peut atteindre le poumon que par les voies lymphatiques ou sanguines, et, dans cette hypothè

est bien constituée par du charbon venu du dehors et introduit par la voie des con-duits respiratoires. TREIZIÈME LEGÓN

ée d'oxyde rouge de fer, dont les particules avaient pénétré dans les voies aériennes, de là dans le parenchyme pulmonaire et

oies aériennes, de là dans le parenchyme pulmonaire et enfin dans les voies lymphatiques. Les renseignements pris à ce suje

xiste une altération du poumon déterminée par l'introduction dans les voies aérien-nes de poussière d'oxyde de fer. A un faib

e ceux de la phtisie vulgaire. La substance étrangère pénètre par les voies respiratoires et non en suivant le trajet détourn

r une chalicose physiologique, produite par l'intro-duction, dans les voies respiratoires, des poussières siliceuses qui exis

e, abondante dans le bassin de Paris et importée en Angleterre par la voie du Havre. Chaque coup de ciseau produit des étinc

spécifiques de propagation. — Granulation grise. — Infection par les voies lymphatiques. — Rôle accessoire de l'inflammation

ranulations par places peut s'ex-pliquer ainsi. h'infection par les voies lymphatiques, si l'on se rappelle la disposition

eulement beaucoup plus avancées. Or, cette relation s'établit par les voies lymphatiques, et on peut suivre souvent, s'il s'a

retrouve avec des caractères analogues dans le tissu embryonnaire, en voie d'évolution. 11 faut considérer le tubercule co

ent comblés par des cellules épi-théliales pulmonaires gonflées ou en voie de prolifération (splénisation) ; sur d'autres po

le protoplasma en état d'ac-croissement actif donnerait naissance par voie de bourgeonne-ment aux cellules épithélioïdes. El

développement. Un autre groupe de tubercules, dont la plupart sont en voie de ramollissement, siège dans la partie la plus d

démence qui, deux mois après la cessation des accès, était encore en voie de progression. Dans l'autre cas, il s'agit d'une

dans l'acide acétique. Ce sont des éléments passés à l'état gras, en voie de destruction. Tous ces globules ne sont pas m

aît seul faire exception, car ici les tubercules étaient seulement en voie de ramollissement et il n'existait pas encore d'e

re. Ce symptôme n'était cepen-dant pas de nature à nous mettre sur la voie du diagnostic. On a constaté l'existence d'un par

et étaient entourées d'une auréole violacée ; d'autres semblaient en voie de réparation et ne présen-taient plus à leur pou

rge, être prise, tout à coup, à un moment où la maladie paraissait en voie de guérison, sans l'interven-tion d'une cause ext

naire, apparaissent, en général, à une époque où les ma-lades sont en voie d'amélioration, alors qu'ils commencent à 1 M.

e le pro-grès le plus important que la science ait réalisé dans cette voie . Nous possédons aujourd'hui des moyens physiques

ophage, l'estomac, le tube in-testinal ; dans le péritoine ; dans les voies urinaires ; dans le canal rachidien après l'érosi

très attentive de tous les signes physiques qui peuvent mettre sur la voie du diag-nostic, car, dans l'œdème de la glotte, o

'exemple de Tiingel, qui ne tient compte ici que delà compression des voies aériennes : on sait en effet que souvent la dyspn

l, aban-donné en quelque sorte par le torrent circulaire, devient une voie de communication superflue et ne tarde pas à s'ob

la portion rétrécie du vaisseau et trace à la circulation générale la voie nouvelle qu'elle suivra désormais. Qu'on suppos

bstacle étant presque toujours situé plus bas que dans le second, les voies ouvertes à la circulation supplémentaire sont, à

Les tumeurs épithéliales peuvent également se propager à l'aorte par voie de contiguïté. Dans le cas présenté à la So-ciété

les branches secondaires d'une manière plus ou moins complète par la voie des anastomoses. L'existence de caillots fibrin

ns facile de la circulation, au-dessous de la partie oblitérée par la voie des collatérales, telles paraissent être, en résu

tissu cellulaire dense qui la fixe aux parties voisines. Quant aux voies par lesquelles la circulation s'opérait, tant dan

nt facile de la circulation au-dessous de la partie oblitérée, par la voie des collatérales. Telles paraissent être les se

st pas anémiée, et la ligature ayant été faite, la circulalion par la voie des collatérales n'a pas pu s'établir ; ce sont l

La circulation s'était admirablement rétablie dans le membre, par la voie des collatérales. Depuis la publication de ce t

texture intime, avant que le sang ne se soit répandu au dehors de ses voies naturelles, et qui seules peuvent expliquer pourq

anifesterait probablement tout d'abord, pour se propager ensuite, par voie de continuité, jusque dans les troncs vasculaires

longé qu'éprouve la colonne san-guine dans son passage au travers des voies respiratoires. Nous voulons parler de l'induratio

e. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bronchiques et du parenchyme pulmonaire ; — tuber

ioses. — Expériences: introduction de pou-dre d'oxyde de fer dans les voies respiratoires ; pénétration au fond de ces voies

xyde de fer dans les voies respiratoires ; pénétration au fond de ces voies et dans les cellules de l'endothélium; localisati

spécifiques de propagation. — Granulation grise. — Infection par les voies lymphatiques. — Rôle accessoire de l'inflammation

, 625, 627; — historique, 624; — caractères, 629. Infection par les voies lymphati-ques, 259; — locale, 258; — gé-néralisée

nt les éléments, transportés à distance, de la substance blanche en voie de destruction. Dans les processus toxiques, te

d'une section à des cau- ses accessoires telles que le défaut d'une voie conductrice,et la tendance exagérée àla prolifé

lles osseuses qui adhèrent au tissu même. Aucun point caséeux ou en voie de ramollissement. - La dure-mère présente des

Pal, fibresavec la gaine myélinique ii@i,é-ulièi,e, fragmentée, en voie de destruc- Lion, boules do volume variable de

es fibres, grosses boules de myé- line libres, nombreuses libres en voie de degeneration, présence de corps granuleux, l

part toutefois remplissant plus au moins complètement des fibres en voie de dégénération, et dans la pré- sence de quelq

elllues rares boules de myéline et quelques rares libres éparses en voie de dégénération. ' Au niveau du 5'' segment lom

ral, on a l'impression que le pro- cessus tuberculeux est plutôt en voie de transformation fibreuse, cicatricielle que d

alable passagère. Elle élève la pression gé- nérale du sang. Par la voie gastrique, elle agit beaucoup plus len- tement,

l'immobilité réflexe typique, les centres d'arrêt du bulbe ou les voies qui; du cerveau ou de la moelle, agissent sur ces

nte d'immobilité ré- flexe, puisqu'elle réagit à la convergence. Sa voie centrifuge n'est pas libre. La pupille B qui ré

té complète de l'oculo- moteur commun. Pour rechercher l'état de la voie centripète, du moins quand un individu a conser

il la compression de la substance nerveuse ainsi qu'au barrage des voies sanguines et lymphatiques d'écoulement. L'é- lé

surface de la peau est radiculaire. 4. Il existe dans la moelle une voie spé- ciale propre à conduire les impressions th

pre à conduire les impressions thermiques et doulou- reuses ; celle voie est séparée des voies qui servent à conduire la

pressions thermiques et doulou- reuses ; celle voie est séparée des voies qui servent à conduire la sensibilité tactile e

lité tactile et le sens musculaire. 5. Voici le trajet suivi par la voie qui conduit les impressions thermiques et dou-

accordés par le Préfet sur la demande du directeur à des malades en voie d'amélioration. En 1904, 160 malades ont bénéfi

ssi,les troubles de la cénesthésie chez les hypochondriaques par la voie expérimentale ; l'ex- ploration électrique pour

r ul'intcrnement. La chirurgie, en supprimant la lésion pourra, par voie de conséquence, mettre fin aux troubles mentaux

par voie de conséquence, mettre fin aux troubles mentaux, c'est la voie ouverte l'espérance, mais la pratique n'est pas

élire hypochondriaque ouvre pour certaines formes d'entre elles une voie nouvelle à la chirurgie, mais il faut, comme- j

ez les aliénés, puisqu'on est toujours contraint de procéder par la voie subjective. L'i- dentité de nature entre la nos

il des myélites de cause infectieuse (le microbe étant véhiculé par voie sanguine) ; au profit des polynévrites, au prof

sans signe d'Argyll-Robertson,il peut mettre le clinicien sur la voie du diagnostic. C'est aussi un signe important d

un malade mis au bain continu avec une escharre, celle-ci était en voie de guérison. Comme thérapeutique, il faut bien

tionnaire qu'elle peut le sembler et l'on trouve l'indication de la voie dans laquelle je me suis lancé dans les oeuvres

vitalité qui en résulte ; -B) l'infection aiguë ou chronique des voies respiratoires avec les bronchites, les grippes, v

important de congressistes est allé visiter l'Asile de Pontorson en voie de reconstruction, et de là s'est rendu au )Jon

rouvée au début de sa grossesse, il la vue d'un chien écrasé sur la voie publique. « Pendant les douleurs de l'accouchem

x rapports entre la base et le sommet des pédoncules cérébraux. Les voies conductrices afférentes aux centres supérieurs

ntres supérieurs augmentent proportionnellement à la diminution des voies conductrices qui sont en rap- port avec les gan

ce se développe dans la série animale, en fonction du cortex et des voies directes qui le desservent. Lorsqu'on fait l'ét

u de cet animal est, histologiquement, en état de fonctionner ; des voies afférentes et eflerentes s'y rattachent. Chez

s et eflerentes s'y rattachent. Chez l'enfant à la naissance, les voies des zones de la sensibilité spéciale ne sont pa

ence des nouveau-nés à la per- ception unique du corps (1), car les voies conductrices ne s'anastomosent pas avec le cerv

es du cortex n'ont pas atteint leur développe- ment nécessaire. Les voies scnsitives sont, il est vrai, myélinisées dès l

la péri- phérie aux ganglions et à l'écorce (2). Parmi elles, les voies conductrices des sensations organiques paraissent

rdre suivant : odorat (3), vision (Il), audi- tion (5). Mais aucune voie motrice n'est développée à la naissance. Il fau

semaine de la vie extra-utérine pour trouver des fibres motrices en voie de myélinisation. Ce n'est d'ailleurs que le co

les fonctions ne s'établis- sent pas subitement dans l'organisme en voie de cons- truction. Un mouvement nouveau par exe

isons que l'absence d'écorce cérébrale peut, comme les troubles des voies conductrices, produire le phénomène de Strümpel

dissoluble l'acti- vité fonctionnelle de l'écorce rolandique et des voies nerveuses qui s'y rattachent. Le phénomène du j

- sent, pourrait être en état de fonctionner chez l'enfant et les voies conductrices faire seulcs'défaut. Mais- si nous

s cinq ou six mois et nous pourrons affirmer que les centres et les voies des mouvements volontaires, cortex et faisceau

par la coordination et l'u- nification. Ces réactions préparent les voies de la cons- cience, mais ne doivent pas être co

e nous jugerions un être normal. L'anencéphale n'a ni cerveau, ni voies pyramidales, mais il possède des systèmes de fi

ur de ce faisceau.. « On sait, dit-il, d'une façon certaine que les voies pyramidales ne sont pas les seuls conducteurs d

cadémie royale de Belgique, 139 ? p. 427,040. (4) 13E'I'CllrllE%%'. Voies conductrices du cerveau et de /aH ! 0 ? ? f. Ly

ENCE DANS L'ONTOGENÈSE. 297 que son tronçon inférieur constitue une voie conduc- trice suffisante. D'autant plus que dan

nouvelles fonctions entrent enjeu. La respiration se fait par des voies nouvelles ainsi que la digestion. Le- milieu ex

t très vraisemblablement aucun rôle dans leur activité, puisque les voies motrices pyramidales n'existaient pas dans le n

science se présente comme un fait nouveau lorsque le cerveau et les voies motrices du nevraxe se constituent On observe v

mmun l'atteinte du système cérébelleux dans ses centres ou dans ses voies afférentes ou efférentes. Le motd'hérédo-ataxie c

normales, soit hypertrophiées ou atrophiées, quelques-unes sont en voie de division longitudinale ; les noyaux en sont pa

le donc qu'une simple coïncidence ? Et les lésions pro- noncées des voies biliaires et du parenchyme hépatique que nous a

oureuses, clic soutient encore, clans son rapport, qu'il existe des voies spécia- les de conduction pour ces impressions,

pleurer spasmodiques. Ses constata- tions tendent à prouver, que la voie pyramidale peut rester étrangère au processus :

angère au processus : qu'il n'existe vraisemblablement qu'une seule voie de conduction tant pour le rire que pour le ple

eur, ocu ! aire,x;0] ! ! ati(jue,. indique les dégénérescences delà voie centrale des muscles corres- pondant* : celle d

ensé qu'on pouvait in- voyuer une sorte de rappel il l'activité de» voies courtes qui cons- liluenl l'arc médullaire rull

ater-closcts, brisa la glace dormante 4M varia. et se jeta sur la voie . L'express ne s'arrêtant qu'à Breloncelles lOrn

péni- ble drame fut retrouvée le lendemain matin seulement sur la voie ; elle vivait encore, mais elle expira peu après

ur de la lymphe qui, des espaces lympha- tiques adventitiels et des voies lymphatiques propres de la moelle, se déverse d

de stase lymphatique, d'ailleurs justi- fiée par l'oblitération des voies lymphatiques et veineu- ses du tissu épidural e

a des cas dans lesquels l'hypothèse d'oedème par oblitération des voies sanguines et lymphatiques efférentes n'est pas

st dans quelques cas un' oedème de 'stase dû à l'oblitération des voies lymphatiques et sanguines efférentes ; dans d'aut

troubles circulatoires peuvent être d'ordre divers : stase dans les voies lymphatiques ou veineuses avec oedème consécuti

se et l'oedème dans la subs- tancc médullaire par oblitération des. voies sanguines et lymphatiques ell'érentes ; dans le

t épispinal ; comme ces espaces recueillent la lymphe qui vient des voies lymphatiques péri-vasculaires, péri- ganglionna

isseaux veineux en relation avec le système veineux spinal par la voie des racines puisse produire une stase dans la moe

tion oedémateuse. La dilatation passagère qui peut exister dans les voies lymphatiques du système pio-spinal (espaces lym

es rapports de pression de la moelle, d'où dilatation passagère des voies lymphatiques du système pio-spinal, auxquelles

tase dans le système lymphatique de la moelle par com- pression des voies lymphatiques et sanguines efférentes. Ce sont l

dres divers : la compression médullaire directe, l'oblitération des voies lymphatiques et veineu- ses efférentes avec sta

de gaines 11l élinique gonflées, se colorant mal au Pal, parfois en voie d'évidente fragmentation ; souvent on ren- cont

e produite par la compression qu'exerce la pachymé- ningite sur les voies lymphatiques et veineuses e1l"éren- tes..La con

libres, la plupart toutefois remplissant des libres tu- méfiées en voie de dégénération. La substance grise semblé être

vraisemblablement atteint la dure-mère cervicale inférieure par les voies lymphatiques épidura- les. On doit cependant re

n, ' ou même un ralentissement de courant dans les plus gran- des voies de ce-1 système. La compression, en eil'et, peu

re fessière : cette infiltration qui se propage à la moelle par les voies péri- vasculaires rend l'interprétation pathogé

ec leurs ébauches de cultures, que M. Ghiliarowsky en injectant par voie hy- podermique des quantités de cultures ( ? )

aractérisée par le struma-cystiqne : les qua- tre autres étaient en voie de dégénérescence ; aucune trace de colloïde. Q

'une soixantaine d'années, et qu'on venait de trouver étendu sur la voie publique. C'étaient là les seuls renseignements

VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ces conditions, parait s'exercer par une voie qui, dans une large e mesure, est indirecte, ce

étudier les apti- tudes physiques du sujet pour le diriger dans une voie technique où il puisse réussir ; et en second l

l, où sa volonté raffermie sera redeveuue normale, il faut qu'il ne voie plus d'alcool, qu'il soit mis dans l'impossibilit

art celles de Québec et de la Nouvelle-Ecosse, sont entrées dans la voie du progrès et ont accepté la maxime de Horace M

sur Soissons, a aperçu près de la Courneuve un corps étendu sur la voie . On fit des recherches et on trouva le cadavre

pas avouer qu'il n'avait plus de travail, il alla s'étendre sur la voie du chemin de fer, plaçant son cou sur l'un des

un processus' lent Fig. 4. Face convexe du crâne : cranieclomie en voie de réparation. 102 THERAPEUTIQUE. et réguli

e et dure formant Fig. 5. - Face interne du crâne : cranieclomie en voie de réparation. ÉPILEPSIE ET TRÉPANATION. 103

E. mier lieu, connaître la physiologie exacte, les centres et les voies de conductibilité du reflexe pupillaire à la lumi

udge d'où partiraient les fibres ner- veuses qui gagnent ensuite la voie du sympathique cervical ? Existe-t-il, au contr

cteur ou action dilatatrice directe sur la pupille" ? Quelle est la voie du réflexe lumineux parti de la rétine pour abo

enu dans l'air et l'eau. Cette observation a servi de guide dans la voie du traitement prophylactique et cura- tif des a

e malgré la paralysie des quatre membres présentée par le malade la voie pyramidale ou voie motrice cortico-médullaire é

ie des quatre membres présentée par le malade la voie pyramidale ou voie motrice cortico-médullaire était anatomique- me

interruption a dû retentir avec une intensité presque égale sur les voies motrices des deux côtés du névraxe, les troubles

bles doit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir pression des voies motrices dans leur passage à travers les deux p

ébraux. ' Ce fait prouve donc une fois de plus que les libres de la voie pyramidale peuvent être comprimées avec une int

bre des serviteurs parce que la surveillance est plus facile et les voies de fait sont plus rares et moins graves. A ce der

VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 149 IV. Un cas de poliomyélite aiguë en voie de guérison; par J. Crocq. (Voum. de Neurologie

urs et sphinctériens. 11 s'agirait donc d'un cas de poliomyélite en voie de guérison. G. D. V. Phénomène singulier de l'

hromatopsie est plutôt due à une lésion sur un point quelconque des voies optiques, situé entre le chiasma et les centres

ibres de la région maculaire n'ont pas une marche spéciale dans les voies optiques où elles suivent la même distnbut on que

sur ce fait pour montrer que dans le tabes la lésion porte sur les voies centripètes, ce qui explique l'immobilité du cô

du côté sain, ou bien dans le pseudo-tabes, la lésion intéresse les voies centrifruges. Association du tabès et de lésion

présente un cerveau atteint de ladrerie. Contribution à l'étude des voies centrales des nerfs moteurs de l'oeil. - M. J.

, etc. Se refuser à admettre que la folie soit trans- missible, par voie de génération, c'est se refuser à l'évidence, et

bout d'un temps plus ou moins long, donnent des convalescents en voie de guérison ou des malades plus tranquilles mais

uparavant, ou qu'ils avaient à un moindre degré, soit en ouvrant la voie à l'invasion des psychoses; 2° Parmi les psyc

r la source d'un processus d'auto-intoxication par des troubles des voies gastriques; 4° De l'époque pubère et de l'exerc

h marquent une première étape, très fructueuse, franchie dans cette voie de recherches. Dès le commencement de la second

ile. Déjà précédemment, Heine et Duchenne avaient été conduits, par voie de simple raisonnement, à placer le siège de ce

n triomphe comptaient déjà des précurseurs, qui avaient préparé les voies à son avènement. Les recherches de Bouillaud, d

sont succédées dans cette 260 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. voie de recherches. Peu d'années se passèrent et la do

de notre moi, de notre conscience et de notre volonté. Deux grandes voies , l'une sensitive, l'autre motrice, desservent ces

eignés SECTION DE NEUROLOGIE. 261 1 sur les lieux de départ de la voie motrice, autrement dit, sur la topographie des

bien sur les territoires de l'écorce cérébrale auxquels aboutit la voie sensitive (sensibilité générale et sens spéciaux)

e de l'observation clinique, qui nous garantissent l'espoir que les voies inaugurées par l'école anatomique contemporaine

gement se forme sur les résultats de notre propre expérience et par voie de suggestion exercée du dehors. La personnalit

gistes et psychiatres, nous ne nous contenterons plus de suivre des voies parallèles, et où nous fondrons nos efforts les u

a dure-mère, dans les sinus longitudinaux. L'hémorragie trouvant sa voie dans la grande fissure longitudinale, exerce un

es associations courtes étaient assez développées, mais les longues voies d'association manquaient complètement ou étaien

circonvolutions est arrêté dans son développement, et ce manque de voies de communication, ce défaut d'harmonie dans le

s ramifications multiples et étendues. C'est ainsi que manquent les voies par lesquelles se propagent, s'accu- mulent et

'aphasie motrice ordinaire (type Bouillaud-Broca), la plu- part des voies d'association de la circonvolution de Broca sont

lésions soient dans les cellules d'origine des neurones ou dans les voies conductrices de la substance blanche. En tenant

ie motrice avec la surdité et la cécité verbales.) Quand toutes les voies de communication des centres corticaux du langa

ien que le gyrus sigmoïde est en relation directe ou indirecte, par voie vraisemblablement sous- corticale avec le centr

Ainsi, par exem- ple après la formation successive des différentes voies sensorielles, des voix motrices correspondantes

stion religieuse. M. LIOnEL DAURiAC. Si l'on veut entrer dans cette voie , il est logique de mettre les enfants en garde

ramassé des pierres assez grosses, avait fait un tas du tout sur la voie ferrée au pont du Chemin-Vert, au risque de cau

lysé. Le massage méthodique serait ici le régénérateur du muscle en voie d'atrophie. Il faut masser avec précaution les

le monde connaît ses recherches, vul- garisées par Charcot, sur les voies de conductibilité de la moelle et du cerveau, d

e par Flechsig, qui ne considère que- les fibres de- projection des voies sensorielles, ne tient pas suffisamment compte-

e des lois qui ser- viraient de base au développement ultérieur des voies conductrices et des centres. Tout ce que l'on p

de Flechsig, d'après laquelle toutes les fibres de projection d'une voie corticale sensorielle s'envelop- pent à peu prè

t quant à la succession du développement et de l'organi- sation des voies conductrices et des centres. Notre interprétation

adulte un acte nerveux (une impression lumineuse, par exemple). Une voie sensorielle se compose d'un grand nombre de ces

e vue humanitaire et social. Alors que nous aurions dû montrer la voie aux nations voisines, de longtemps encore nous le

° Les réflexes tendineux sont de vrais mouvements réflexes, dont la voie mène directement à travers la substance grise de

les cellules motrices de la corne antérieure de la moelle par deux voies nettement dis- tinctes : la voie cortico-spinal

antérieure de la moelle par deux voies nettement dis- tinctes : la voie cortico-spinale et la voie rubro-spinale. Ces deu

r deux voies nettement dis- tinctes : la voie cortico-spinale et la voie rubro-spinale. Ces deux voies descendent dans l

inctes : la voie cortico-spinale et la voie rubro-spinale. Ces deux voies descendent dans le cordon latéral de la moelle ép

xes cutanés. Les réflexes cutanés seraient liés à l'intégrité de la voie cortico-spinale et les réflexes tendineux ci l'

voie cortico-spinale et les réflexes tendineux ci l'intégrité de la voie rubro-spinale. Les premiers auraient une origin

Zur.ch), et Van Gehuchten (de Louvain). Contribution à l'élude des voies centrales des nerfs moteurs de l'ceil; par Jean

Varsovie). (Présentation des dessins.) Les fibres aberrantes de la voie pédocz=ulairc; par 1\111\0 DÉJOEJNE - (de Paris

international DE médecine. ancienne - outre la dégénérescence de la voie pédonculaire et du faisceau pyramidal une dimin

ses cen- trales, en particulier du thalamus, montre : . 1° Que la voie pédonculaire dégénérée abandonne au ruban de Re

fascicules qui consti- tuent le système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Ces fibres se portent en arrière,

lus ou moins loin dans la couche interolivaire, puis réintègrent la voie pédonculaire aux différentes hauteurs du bulbe

rès, ces fibres aberrantes dégénérées se comportent donc comme la voie pédonculaire dont elles dérivent. Elles prennent

s le contingent bulbaire existe seul. Tantôt elles rentrent dans la voie pédonculaire après un court trajet ; tantôt ell

-protubérantiel. Parmi les fibres aberrantes qui se détachent de la voie pédoncu- laire au voisinage du sillon pédonculo

la largeur et de toute la hauteur du tra- jet protubérantiel de la voie pédonculaire ; elles sont refoulées en arrière

ans ces cas est due à la dégénérescence des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Elle n'occupe en effet qu'une parti

lle tient en partie à la dégénérescence des libres aberrantes de la voie pédonculaire, mais elle relève sur- tout de l'a

céphalique du côté correspondant à la lésion corticale. 3° Que la voie pédônculaire peut posséder, outre les fibres aber

le épinière. La connaissance du système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire est donc important pour qui veut i

es, sous-corticales, pédonculaires ou bulbo-protubérantielles de la voie pédonculaire. L'exislencc de ce système de fibr

s y arrivent, eu pareil cas, par le transport indirect au moyen des voies sanguines. C'est en ce sens là que les cas clin

e compression sur la branche postérieure de la capsule interne, les voies sensitivo- motrices sont demeurées indemnes ; l

e réflexe. La transmission du réflexe dépend de l'intégrité de la voie réflexe; le genre du mouvement réflexe dépend d

1ATEUX. Infantilisme , par Goyanes, 151. Nerfs moteurs de l'oeil, voies cen- trales, par Piltz, 167. Neurasthénie et

dive, par P. Marie, 520. PEDO\CUL111tE. Fibres aberrantes de la voie , par M"" Déjeune, 501. Persécuteur persécuté

t des organes gé- nitaux, par Babinski, 67. Poliomyélite aiguë en voie de guérison, par Crocq, 149, - anté- rleure a

irent effectuer le voyage. Le retour doit être effectué par la même voie que'l'aller. Les dames n'ont pas droit à la réd

tion de la contracture spasmo- dique consécutives aux lésions de la voie pyramidale, il en est une qui attribue au noyau

s destructions étant associées à des altérations pro- noncées de la voie pyramidale du pied du pédoncule, la méthode ana

ruban de Reil et dans la région du faisceau de la calotte ; mais la voie pyramidale médullaire était intacte et il nous

nous ont montré l'intégrité du pied du pédoncule gauche et de la voie motrice pyramidale médullaire. Les troubles mot

ataxiformes ? On a pu invoquer dans certains cas l'excitation de la voie pyra- midale du' pied du pédoncule, soit par la

on due aux produits toxiques néoplasiques. Mais, dans notre cas, la voie pyramidale examinée par la méthode de Marchi pa

antaire, qui traduit d'une manière délicate les perturbations de la voie pyramidale; or, chez notre malade, il était nor

ous paraissent pas être sous la dépendance d'une perturbation de la voie motrice pyramidale ; nous devons en chercher la

stéréognostique, perte du sens articulaire), dus à des lésions des voies sensitives cérébrales, ne s'accompagnaient pas

droit, dont l'apparition a pu être facilitée par la lésion de la voie sensitive. Notre malade présentait aussi cette

férieur au niveau de la région bulbo-protubéran- tielle et comme la voie cérébelleuse médullo-cérébelleuse, ou cérébello

puisque, comme les troubles moteurs consécutifs à la lésion de la voie motrice pédonculaire, elle siège du côté opposé a

articulier dans le noyau rouge et par- viendrait à la moelle par la voie cérébelleuse descendante et par un faisceau rub

par le faisceau pyramidal. On comprend dès lors que la lésion de la voie pyramidale doit entraîner une lape·lo21- cité m

ade présente une destruction du noyau rouge sans altération de la voie pyramidale, réalise en un mot parfaitement les co

oubles moteurs des membres ont été déter- minés par la lésion de la voie cérébelleuse supérieure, inter- rompue dans le

ction les cylindraxes sont conservés, leur gaine 'de myéline est en voie de destruction. Charcot a comparé cet état à ce

gtemps après l'injec- tion, montrent successivement des cellules en voie de régénération ou en restauration complètes. Q

ité et de la sensibilité géné- rale. Ce dernier comprend : a) Les voies motrices cérébro-médullaires, voies principales

e. Ce dernier comprend : a) Les voies motrices cérébro-médullaires, voies principales 186 BIBLIOGRAPHIE cortico-spinale

ullaires, voies principales 186 BIBLIOGRAPHIE cortico-spinales et voies indirectes on cortico-ponto-cérébello-spi-, nat

et voies indirectes on cortico-ponto-cérébello-spi-, nates ; 6) Les voies sensitives médutto-cérébrates, voies princi- pa

cérébello-spi-, nates ; 6) Les voies sensitives médutto-cérébrates, voies princi- pales médullo=corticales et voies sensi

tives médutto-cérébrates, voies princi- pales médullo=corticales et voies sensitives indirectes ; c) Les voies et neurone

pales médullo=corticales et voies sensitives indirectes ; c) Les voies et neurones d'association ; d) Les centres spécia

écorce céré- brale). 2° De la vision. Celui-ci comprend : (t) Les voies sensorielles op- tiques ; -b) Les voies sensiti

Celui-ci comprend : (t) Les voies sensorielles op- tiques ; -b) Les voies sensitives générales; -c) Les voies motrices, e

nsorielles op- tiques ; -b) Les voies sensitives générales; -c) Les voies motrices, englobant trois grands groupes de ner

mme à l'appareil visuel, il faut décrire à l'appa- reil auditif des voies sensorielles, des voies sensitives générales et

il faut décrire à l'appa- reil auditif des voies sensorielles, des voies sensitives générales et des voies motrices. 4°

ditif des voies sensorielles, des voies sensitives générales et des voies motrices. 4° Du goût et de l'odorat. 3° Du langag

ués les centres supé- rieurs (mental et automatiques spéciaux). les voies efférentes et les voies afférentes. 6° De la ci

eurs (mental et automatiques spéciaux). les voies efférentes et les voies afférentes. 6° De la circulation, de la respirati

, de la respiration et de la digestion. Des tableaux résument les voies sensitives et motrices des cinq- grands apparei

sitives et motrices des cinq- grands appareils sensoriomoteurs, les voies efférentes et afférentes de l'appareil nerveux

rvation des troubles moteurs de la mala- die d'Addison a mis sur la voie de la fonction des capsules surré- nales; c'est

ciens, des physiciens et des chimistes. Une fois lancé dans cette voie , on s'est souvenu des services que la connaissa

es, des places, des ave- nues, des monuments, de la propreté de ses voies , et il ne peut se défendre d'une certaine émoti

ent d'arrêts ou de retards dans le développement des centres ou des voies d'association corticale. M. Grasset (de Montpel

rché ne couronnait pas son entreprise, elle avait du moins créé une voie nouvelle : le pétomane n'en aurait pu faire aut

ation en vue d'améliorer ce contrôle. Bien les instruire dans cette voie c'est bien les soigner : Il faut, par tous les

système à l'étude; la Ilollamle entre, timi- dement encore, dans la voie , et l'Amérique du Nord continue des expériences

service de M. Magnan (Admission Asile clinique) aété arrêté sur la voie publique en plein délire alcoolique cherchant ses

cole de quarante hectares. Deux nouveaux quartiers d'agités sont en voie de construction . Il est à regretter qu'on les

pas démonstra- tives ; de nouvelles études sont à faire dans cette voie . Les trau- matismes antérieurs aux troubles men

crit par Fiugge dans les eaux corrompues, et dans les matières en voie de putréfaction ; les faits cliniques et les rech

ur de cette opinion, c'est l'existence, établie par M. Pierrel, des voies de communication entre les cellules de lamoelle

amoelle et les nerfs vasomoteurs du tronc. 11 restait à trouver les voies de communication entre les neurones cortico-céréb

d, Raymond et Cestan.pour admettre que les réflexes par- courent la voie extra-pyramidale ou rubro-spinale. J'ai répondu

res au la moelle - est, dans l'état actuel de nos connaissances, la voie rubro-spinale. Il me reproche de supposer une v

onnaissances, la voie rubro-spinale. Il me reproche de supposer une voie reliant les corps opto-striés aux cornes médull

reliant les corps opto-striés aux cornes médullaires, alors que la voie . rubro-spinale est con- nue. Je commencerai par

observation si démonstrative de MM. Raymond et Cestan prouve que la voie rubro-spinale n'est pas celle des réflexes et q

rsée. J'ajouterai que nos connaissances anatomiques .concernant les voies centrifuges des corps opto-striés sont presque

à l'état embryon- naire. Les fibres les plus grêles, produites par voie de division, s'étranglent entre les noyaux ou s

pas grever outre mesure le budget départemental, c'est la meilleure voie des écono- mies. Cette tendance heureuse, mieux

semaines plus tard, Jeanne et Clotilde, revues seules, ont paru en voie de guérison. « Si nous entendions quelque chose,

, phosphaturie, ou diminution des éliminations effectuées par cette voie ; troubles de la calorification (sensibilité in

ent être considé- rées que comme une tentative destinée à ouvrir la voie à d'autres observateurs. IL DE MUSGRAVE-CLAY. '

ments ; et sans doute la thérapeutique de l'avenir trouvera dans la voie arachnoïdiennc, de puissants moyens d'action su

édiaire des olives, ni du ruban de Reil principal, c'est-à-dire des voies sensitives qui conduisent les excitations à l'é

n'a rien de commun avec la sensation propre ment dite, elle sert de voie de transmission centripète du cervelet. Dans le

te au» moins deux systèmes. Un système, le plus étendu, qui sert de voie centripète du cervelet, celui-ci ne pouvant rég

deux systèmes émanent -des fibres des racines postérieures. - La voie cérébelleuse des cordons postérieurs est construi

rébelleuse des cordons postérieurs est construite sur le plan de la voie cérébelleuse directe des cordons latéraux. Dans

yaux des cordons de Goll et de Burdach dans la pre- mière. Ces deux voies sont immédiatement formées des fibres des racin

ransmises au cervelet et aux centres cérébraux coordinateurs par la voie céré- 'belleuse directe des cordons latéraux et

on régulatrice, coor- dinatrice du cervelet, de là le voisinage des voies de transmission eu question. Les racines postér

néralementla marche ultérieure du tabès s'accuse par l'atteinte des voies sensi- tives et cérébelleuses à la fois, par l'

. La dégénéres- cence du système cérébelleux centripète s'étend aux voies corres- pondantes du tronc des hémisphères, d'o

pètes, d'où, la titubation, le vertige, l'asthénie Très souvent les voies cérébelleuses centrifuges de la moelle sont 496

ombinée. Aux précédentes lésions s'ajoute : la dégénéres- cence des voies sensitives des cordons postérieurs ou celle des p

ématique des centres coordinateurs du cervelet, sans altérations de voies centripètes de la moelle. - L'ataxie donc, qu

ont si faiblement développés dans le tabès que parce que toutes les voies du cervelet n'y sont pas atteintes, elles le so

ciers, la circulation de la lymphe suit dans la moelle épinière une voie ascendante. 2q La circulation de la lymphe dans

t d'hémiplégie organique. Il parait indiquer une altération de la voie pyramidale et acquérir ainsi une valeur aussi gra

peu ou très marquée ; le clonus du pied répond à l'excitation de la voie motrice. M. BAR)NSKt insiste sur le point que l

vaux hippocratiques, » On lit le chapitre suivant : « Polypes des voies aériennes. — Ces polypes gênent la res-t piration

attention se portant sur l'œil gauche, je constatai que la cornée, en voie de régénération, était remplacée par un tissu tou

l respiratoire. On sait combien l'absorption est plus rapide par la voie pulmonaire quepar la digestive : Les inhalations

. Le malade est au douzième jour de sa ponction, et l'abcès paraît en voie de guérison. Un abcès de la région du foie, suite

s rencontrées dans les bals publics; 40 les filles rencontrées sur la voie publique (coït rétribué); les filles de maisons d

s femmes exerçant isolément ou clandestinement la prostitution sur la voie pub lique ont donné 1,761 cas de maladie vénérien

spensable et possible d'interdire aux filles inscrites d'aller sur la voie publique (avec l'autorisation de la préfecture),

e richesse ? Voici d'abord les faits, qui vous montreront dans quelle voie on a recherché la guérison radicale de l'éléphant

iser les tissus de l'animal dans lequel le parasite vivra. Alors, par voie agame, ce scolex produit un individu organisé dan

n de la tuberculose par ingestion de la matière tuberculeuse dans les voies di-gestives, M. Villemain a répété les expérience

e-t-il, en effet? Un corps étranger du larynx une fois saisi dans les voies aériennnes est nécessairement extrait, et les sym

révoque en doute l'efficacité de la polypothéra-pie laryngée par les voies naturelles. Il n'en est pourtant pas ainsi dans

nt facilement aussitôt qu'on les saisit, et dont l'extraction par les voies naturelles est relativement aisée. L'extirpation

extirpation ou la destruction sur place des polypes du larynx par les voies naturelles est donc une chose parfaitement pratic

gagni. Le polype dont il s'agit ici offrait à l'extirpation par les voies naturelles cette double difficulté, que son tissu

aucun bruit de soupape. Je tentai l'extraction de la tumeur par les voies naturelles; mais le polype, saisi par la pince la

ion. Il n'y avait dès lors qu'une indication à remplir : rendre les voies perméables par une opération directe pratiquée su

décidai à pratiquer la laryngotomie, afin d'extirper directement, par voies artificielles, le polype qui avait résisté à tant

lypes du larynx dans lesquels la destruction et l'extirpation par les voies neturelles deviennent impossibles; dans ce cas, o

é dans le ventricule droit, pour lequel toutes les tentatives par les voies naturelles avaient été infructueuses, et qui fut

é employée fort souvent depuis que les chirurgiens ont osé ouvrir les voies aériennes, il reste avéré que la section du laryn

t tout d'abord la création d'instruments destinés à pratiquer par les voies naturelles l'extirpation des productions accident

après avoir conscienceusement tenté sans succès l'extraction par les voies naturelles, ce chirurgien a-t-il proposé à son ma

relles, ce chirurgien a-t-il proposé à son malade l'extraction par la voie directe et sanglante. M. Krishaber a choisi la

estibule laryngien, c'est-à-dire dans des parties accessibles par les voies naturelles. De plus, cette opération nécessite un

dont l'hémorrhagie n'est pas sans gravité en raison de la béance des voies aériennes dans lesquelles peut couler le sang fou

e est représenté érodé à la suite des tentatives d'extraction par les voies naturelles. Aspect direct de la cavité du laryn

pour que nous devions nous engager résolument, à notre tour, dans la voie d'une sage, mais complète expérimentation. En pré

thésique puissant, inoffensif, et qui pourrait être administré par la voie diges-tive. Pathogénie des fièvres intermittent

des éphémères. Ceux-ci pénètrent dans la masse sanguine, soit par les voies digestives. soit par les voies respiratoires; ils

t dans la masse sanguine, soit par les voies digestives. soit par les voies respiratoires; ils s'y fixent et subissent la loi

atiques musculaires , les corps étrangers de l'œil, de l'oreille, des voies aériennes, et les différents modes de pansement d

ants........... i3 Emploi de la fumée d'opium dans les maladies des voies respiratoires ................................. .

..).. Le 14 septembre. Le malade se livre le matin à 6 heures à des voies de fait sur un de ses camarades qu'il ne reconn

iguës avaient une origine bactérienne. Il faut noter d'abord que la voie buccale a toujours paru nettement préférable à

abord que la voie buccale a toujours paru nettement préférable à la voie sous-cuta- née. Dans plusieurs cas on a pu cons

terminer des différences entre des diphtéroides recueillis dans les voies aériennes des aliénés et dans ceux des lucides.

e tic consiste soit en déglution d'air, soit en rejet de gaz par la voie buccale. 11 y a aussi « le tic en l'air» dans l

cernant cette maladie, considérée comme une lésion systématisée des voies cérébelleuses, ou comme une lésion combinée sys

voies cérébelleuses, ou comme une lésion combinée systématisée, des voies cérébelleuses et d'au- tres systèmes, du faisce

autre jour,, se rend de Paris à Versailles, à pied, en longeant la voie du chemin de fer, monte dans un train partant p

it fait quelques excès sexuels, et arrivé vers minuit en suivant la voie du chemin de fer'âune ville située à 15 kilomèt

ès, il repart à pied, fait 20 kilomètres dans la nuit. ensuivant la voie du chemin de fer : est arrêté au moment où il v

orce avoisinant le pli courbe où siège le centre visuel verbal, aux voies motrices et aux centres moteurs du lan- gage.

ciation périphérique. Dans l'idéation, le centre est stimulé par la voie des fibres associées : mais là non plus, il n'y a

ncent par être des inquiets et des mélancoliques qui cherchent leur voie . Les déli- rants (type Magnan) deviennent persé

recteur, AI. Grisez ; Méde- cin-chef, Dr Bourdin ; 2 internes. SA VOIE .- Asile public de Bassens : Directeur, 111. X...;

Société des faits démontrant la multiplicité et la com- plexité des voies de communication. On trouvera dans l'important

s (singe, chien,lapin, etc. ) chaque hémisphère était relié par des voies multi- ples aux noyaux bulbaires ou médullaires

facon accesscire et toujours erronée : c'est l'entrecroisement des voies de conduction que Wundt considère avec raison «

ntrecroisements sont com- mandés par l'entrecroisement originel des voies optiques, nécessité lui-même par la présence d'

énieuses sur l'entrecroisement progressif, chez les Mammifères, des voies cortico-médullaires descendantes ou voies pyram

hez les Mammifères, des voies cortico-médullaires descendantes ou voies pyramidales, sur la coexistence de telles voies r

res descendantes ou voies pyramidales, sur la coexistence de telles voies restées en- core directes avec les entrecroisem

s et sensoriels, en- fin sur la coexistence, chez les Amamaliens,de voies d'union de la moelle avec le toit optique, le c

x moitiés du névraxe. Du reste, si de tous les entrecroisements des voies de conduc- tion, aucun n'est si bien connu que

des voies de conduc- tion, aucun n'est si bien connu que celui des voies optiques, dans ses conditions physiologiques et

chiasma optique complet, d'au- (l) La phylogenése el l'minlomic des voies honlOnWI'('3 nscciidaii. le» ou descendants son

ILATÉRALE DU CORPS. 193 tres entrecroisements, par exemple ceux des voies motrices des muscles du squelette, sont beaucou

oelle est bien certainement la portion du névraxe dans laquelle les voies de conduction restent le plus souvent dans le mêm

nciens phi- losophes. D'autre part, comme.chez les Invertébrés, les voies ner- veuses afférentes et efférentes ne travers

uses afférentes et efférentes ne traversent pas le plan médian, les voies optiques ne subissent non plus aucun entrecroisem

se en effet que l'image rétinienne est portée intégralement par les voies optiques de la rétine au centre visuel, sans êt

l commun aux deux yeux et ser- vant à la vision stéréoscopique, les voies optiques sont directes. Mais tous les animaux à

quement annulée par l'unicité constante d'une partie au moins des voies d'issue de leurs produits : urèthre chez le mâle,

pect dupliste a subsisté ; mais il ne semble pas qu'il soit même en voie de s'atténuer » (p. 95) ! A l'identité de la cé

s sensations visuelles déjà trop longuement envisagées à propos des voies et centres optiques. Les sensations gustatives

Déjà multiples dans la moelle, ces connexions entre les diverses voies sensitives et les noyaux qui en dépendent devienn

e dans différents centres. Ces expériences démontrent par une autre voie la synergie primordiale des deux moitiés du né-

se rapportant à un même objet exté- rieur et nécessitant ainsi des voies d'union courtes et nombreuses». ». Enfin, chaqu

centres perceptifs et commémoratifs des deux côtés (p. 56) par des voies , qui pour la plupart sont formées de fibres de di

résidus par lés ébranlements arri- vés 'au centre suppléant par des voies déterminées. Mais si le déficit est précoce, pa

les cas où manquent dans le pédoncule et la moelle les fibres (la voie pyramidale notamment) provenant du côté ma- lad

incapable d'expliquer les enti ecroiseménts partiels où totaux des voies de conduction, et les variétés que présentent c

s recours toutes les l'ois que s'y prê- tent l'état de l'interné en voie d'amélioration el le milieu ¡ou il doit vivre p

de ces enfants ; 3° de vulgariser les résultats de ses études parla voie de son bulletin officiel, de conférences, bro-

eurs sensations de perceptions peuvent être « communi- quées par la voie cérébrale, d'un individu à l'autre indivi- du »

ence à triple face, d'un modèle particulier, une conscience à trois voies ,si l'on veut, simple en haut, bifide en bas.

portionnel à celui du manteau cé- rébral, les autres commissures et voies transmédianes d'associa- tion perdent leur cons

étits et d'instincts », capable d'acquérir, on ne sait par quelle voie , des notions nouvelles pour les coêtres et que ce

eillance sage et éclairée. Si-l'on veut marcher, disait-il, dans la voie d'une réforme radicale des asiles d'aliénés ; s

d'aliénés qui, volontairement, s'est rendue coupable de sévices ou voies de fait sur la personne d'un malade, est puuie

elle l'idiotie était bien plutôt le résultat d'une défectuosité des voies conductrices entre les différentes parties de la

ement due à des toxines bactériennes attaquant l'orga- nisme par la voie des muqueuses gastriques et intestinale, et il a

es ou dues à d'autres observateurs, ont révélé la présence dans les voies digestives et aériennes d'un bacille diphthéroi

nés. XX. Sur la possibilité de diminuer le nombre des aliénés par voie législative; par M. W. Y. NOLAN. (The Journal of

présenté quatre ans après des phénomènes tabétiques actuellement en voie d'évolution. Opothérapie hypophysaire. , MM.

arde que les candidats ont eu à traiter était : Corps étrangers des voies digestives et aériennes supérieures. Les deux q

fibres qui la relient au cerveau, sans se sou- mettre en un mot aux voies physiologiques de la motricité et de la sen- si

ropres résultats,obtenus il est vrai depuis longtemps, mais par des voies obscures et peu scienti- fiques, elle justifier

auto- risé à juger dès autres par lui-même et, du même coup, par voie de conséquence logique, ri se soumettre au juge-

'elle est censée leur devoir, sans avoir jamais remarqué par quelle voie y était arrivée, et sans que les grands penseur

, la sociologie n'est-elle pas surtout une science d'observation en voie de progrès continuel, et n'est-ce pas la dénatu

le névraxe intact, la disposition histologique et macroscopique des voies afférentes est telle que tout ébranlement diffu

entes est telle que tout ébranlement diffuse plus ou moins dans les voies des deux côtés, puis laisse à l'occa- sion une

. 328 à 332 : Faits montrant combien sont variées et nombreuses les voies de communication entre les zones motrices de la

mouvement volontaire unilatéral, l'influx nerveux tend à prendre la voie symétrique du côté opposé.' Cette tendance au t

ple). F. T. XXIV. Hypotrophie d'origine bacillaire ; troubles de la voie py- ramidale ; par CLAUDE et LEJONNE. (Nouv.Ico

c., tous symptômes qui tendraient à faire admettre une lésion de la voie pyramidale. Mais d'autre part on a notéaussi fr

e de ces formes ils ne semblent avoir d'électivité spéciale pour la voie sensitive ou pour la voie 496 REVUE DE PATHOLOG

blent avoir d'électivité spéciale pour la voie sensitive ou pour la voie 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. motrice. L'

aire ; on y voit des lacunes dans l'écorce et la protubérance ; les voies pyramidales 'sont intactes. Les lésions protubé

et enfin chez Bouchard, à Bicêtre, en 1876. où il devait trouver sa voie . Interne de Broca, de Gué- niot, de Parrot, de

. 435. Sur la possibilité de di- minuer le nombre des aliénés par voie législative ; par No- lan, p. 436. La loi sur l

e optique. HVPOTROPIIIE d'origine bacil- laire ; troubles de la voie pyra- mygale ; par Claude et Le- jonne, p. 48

des glandes à sécrétion interne ; par Sain- ton, p. 416. - de la voie pyra- midale ; voir Ilypotrophie.Con- tributi

côté, sans doute, mais il ne faut pas pousser les choses dans cette voie jusqu'à t'incré- dulité de parti pris. Croyons-

'une attaque convulsive. ANATOMIE RECHERCHE EXPÉRIMENTALE SUR LES VOIES MOTRICES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE; Par GI1ÉGOIHE

ouvements sont rétablis, doivent sans aucun doute chercher d'autres voies , - supposons, même-dans la moitié lésée de la m

rimentations sup- plémentaires, un fait devint clair, c'est que les voies pour les mouvements régénérés se concentrent da

énérés se concentrent dans le même cordun latéral, qui contient les voies de motilité de l'extrémité bien portante. , E

i s'occupait dans le laboratoire de Stricker de la question sur les voies conductrices dans la moelle du chien, put obser

qu'il s'appuyait sur une expérimentation de contrôle, il admet la voie des impulsions motrices vers l'extrémité qui avai

moins intactes et grâce auxquelles -se facilite la restitution des voies de la moelle épinière. Une étude anato- mique d

dit plus haut, j'ai pu conclure que, lorsqu'il n'y avait point de voies anatomiques pour la transmission des fonctions mo

fort heureusement rencontré un cas qui m'a conduit dans la bonne voie . Faisceau médullaire. Dans ce cas, le pédoncule

pareille omission. On ne peut dire que la présence de cette large voie soit assez rare pour qu'elle ait échappé jusqu'

des annexes. D'après cette description, on voit par quelle large voie sont établies les connexions entre le carrefour e

ique. Pour confirmer les relations étroites qui existent entre la voie de conduction constituée par les piliers et ce

reil principal de conduction centripète, j'ai à ajouter une autre voie de communication. C'est un faisceau fibreux qui

de l'écorce. La marche de l'accès d'épilepsie corticale suit une voie prédéterminée par la disposition anatomique des d

e chemin'des fibres acoustiques. Le trans- port de l'excitation des voies sensitives aux voies motrices a lieu, non par l

coustiques. Le trans- port de l'excitation des voies sensitives aux voies motrices a lieu, non par les tubercules quadrij

LOGIQUES. 133 l'action du cervelet ou si elle constitue une seconde voie motrice adjacente à celle des faisceaux pyramid

vir à titre symptomatique et contribuer ainsi à la guérison par une voie indirecte. Parmi les symptômes les plus importa

ces, à l'exclusion des éléments vaso- moteurs, qui suivent d'autres voies ; il fournit égale- ment l'innervation du muscl

une légère amé- lioration mentale. La plaie crânienne est aussi en voie de guéri- son. Cependant le pus est toujours là

l'ouverture de la plaie étant insuffisante, le pus a pris une autre voie . Il s'est constitué en foyer dans l'intérieur d

te de la resti- tution des fonctions nerveuses abolies par d'autres voies dispo- sées dans la moitié opposée de la moelle

laircir premièrement, à quel niveau dans la ré- gion supérieure les voies du rétablissement des mouvements devaient passe

à ce niveau, c'est-à-dire dans la région de la moelle épinière, les voies qui nous intéressent doivent se trouver du côté

la question de l'existence, chez le cobaye, l'entre-croisement des voies motrices dans la région de la decus- salio pyra

admettre que, grâce à l'entre-croisement complet chez le cobaye des voies motrices dans la région de deettssatio pyramidu

extrémité antérieure gauche, nous devons admettre que les nouvelles voies de motilité pour les fonctions rétablies dans l

trémité gauche postérieure ne suivent pas la même direction que les voies de motilité du pied antérieur du même côté, mai

'hémisphère gauche du cerveau à travers l'entre-croisement avec les voies analogues pour les extrémités du côté droit, ou

Nos expérimentations nous ont permis d'affirmer que les nouvelles voies pour les mouvements rétablis de l'extrémité par

enant éclaircir à quelle hauteur, vers le bas de l'hémisection, ces voies passent du côté de l'extrémité paralysée. W. Ku

upé de cette der- nière question et il a démontré que les nouvelles voies des im- pulsions motrices vers l'extrémité para

on est restée sans résultats; ergo, conclut l'auteur, les nouvelles voies motrices de la moelle passent du côté de la par

isqu'elle a été faite à un chien chez lequel, comme on le sait, les voies motrices dans la moelle épinière présentent cer

ion nous donnent le droit d'admettre avec Kusmine que les nouvelles voies pour les impulsions motrices de l'extrémité qui

es des extrémités postérieures. Si cette supposition est juste, ces voies doivent se trouver dans la région commissurale

thèse de l'auteur nommé celle de l'entre-croise- ment immédiat des voies de sensibilité dans la moelle; dans cette expér

.doit pas y avoir chez le cobaye d'entre-croisement important des voies motrices. Il ne me restait qu'à vérifier, si ef

es mouvements dans l'extrémité paralysée se régénèrent à l'aide des voies développées passant du côté sain dans la région

nt t accomplis d'après notre supposition, parce que les nouvelles voies motrices du pied qui avait été paralysé ont été l

, en nous appuyant sur ces résultats, nous pouvons conclure que ces voies dans les parties infé- rieures de la moelle épi

t à l'état primitif, cela se produit toujours par la suppléance des voies nerveuses atteintes par l'opération par d'autre

ppléance des voies nerveuses atteintes par l'opération par d'autres voies , disposées du côté opposé et intact de la moell

travail restera au moins à titre d'indication, et qu'il ouvrira une voie au bout de laquelle on trouvera le but cherché.

ermédiaire. Du tubercule antérieur de la couche optique, part une voie de conduction reliant le tubercule au noyau cor

ne voie de conduction reliant le tubercule au noyau cortical. Cette voie de conduction est constituée par les piliers du

es parties, elles ne sont que des prolongements, des annexes et des voies de con- duction de ce centre. Ensuite, je dirai

Les formes et les nuances de la criminalité sont si nombreuses, les voies qui conduisent au crime sont si multiples, qu'il

e 7 grammes : le médicament fut ad- ministré le plus souvent par la voie stomacate, quelquefois par injections hypodermi

ura pas, à l'aide d'expéri- mentations décisives ou par toute autre voie , constitué un critérium permettant de détermine

sophagienne), Il avait lui-même tenté semblables essais par la même voie , mais s'était heurté à des vomissements incoerc

peuvent devenir subitement impulsifs. S'ils tombent en crise sur la voie publique, ils sont transportés dans l'hôpital l

e doit présenter à l'administration des hospices un rapport sur les voies et moyens à employer. Cette installation compre

de ne pas être pré- venu si elle venait à être introduite dans les voies respiratoires. M. Vallon demande à M. Briand qu

d'avoir ainsi la certitude qu'on ne fait pas fausse route dans les voies respiratoires, car si la sonde s'engageait dans

une récente publication de Sérieux 2. Séglas était entré dans cette voie : dans ses cliniques de la Salpêtrière, il discut

1. - maris 0..., né en 1846, employé de commerce, est arrêté sur la voie publique et placé à Sainte-Anne, puis * ù Vaucl

ment hanté par des craintes d'empoisonnement. Un scandale sur la voie publique le fit arrêter : il était sorti armé d'u

31 octobre. - Devant le désir de ses parents et le sien on l'en- voie en congé renouvelable pour huit jours, au bout de

oyage, avaient joué un vilain tour (excès de boisson, tapage sur la voie publique, pro- jets incohérents de réforme de l

8 TABLE DES MATIÈRES. Microgyrie, par Otto, 423. Moelle épiniére, voies motrices de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lé

terne des cellules nerveuses motrices. C'est vraisemblablement par la voie de ces tubes nerveux que le processus irritàtif,

dehors du canal rachidien pourront s'introduire dans ce canal par la voie des trous de conjugaison ; — 2° que d'autres pour

remier, les a bien décrits. D'autres fois, ces produits s'ouvrent une voie par un mécanisme différent. Ils s'introduisent da

pinière. Nous allons aborder, je ne dois pas vous le dissi-muler, une voie longue à parcourir et hérissée de difficultés de

bes nerveux (centripètes), ces impressions seraient transmises par la voie des cellules ganglionnaires, liées entre elles pa

aines ; ces impressions parvenues au centre de per-ception, par cette voie anormale, seraient consécutivement, suivant la rè

s aussi, passer par la substance grise,— de telle sorte que, si cette voie était coupée, l'accomplissement de toutes ces fon

es, et qu'elle ait remonté ensuite jusqu'aux parties centrales par la voie des racines antérieures des nerfs rachidiens, car

ique, ce travail d'épuration. Les jalons, posés par cet auteur sur la voie qu'il a déjà par-courue, nous serviront, plus d'u

thiques. b) Les troubles fonctionnels que présentent les muscles en voie d'atrophie doivent nous arrêter actuellement. À l

avail irritatif, dont les cellules sont le siège, se transmet, par la voie des racines nerveuses et des nerfs centrifuges, j

parce que celui-ci peut se propager, pendant longtemps encore, par la voie des tubes nerveux émaciés, mais non détruits. 3

sée du membre tout entier. D'ailleurs, les muscles atrophiés, ou en voie d'atrophie, sont agités de mouvements fibrillaire

est beaucoup plus vraisemblable que la propagation s'ef-fectue par la voie des filets nerveux, qui, vous le savez, établis-s

a substance grise s'opère très vraisemblablement, ajoutais-je, par la voie des tubes nerveux qui établissent, à l'état physi

e atrophiée. des cornes antérieures. L'irritation se propage par la voie des faisceaux radiculaires internes, dont le traj

stitutifs. L'expérimentation avait déjà, depuis longtemps, tracé la voie et déterminé même un certain nombre de ces région

e, qui eussent dû, si l'on y eût prêté plus d'attention mettre sur la voie du diagnostic. Pour le moment nous nous bornons à

se rapportent à trois groupes. Myélite consécutive aux maladies des voies urinaires. — Pa rareté chez la femme; sa fréquenc

e ; — pyélo-néphrite calculeuse. — Une exacerbation de la maladie des voies urinaires précède l'invasion des accidents spinau

ssant de rechercher par quel mécanisme une affection préexistante des voies urinaires peut retentir sur le centre spinal, et

abord, dans cette étude des paraplégies consécutives aux maladies des voies urinaires. Nous ne négligerons pas, cependant, le

oint de vue phy-siologique, et nous essaierons de pénétrer dans cette voie anssi profondément que cela est possible dans l

membres inférieurs, survenant dans le cours de certaines maladies des voies urinaires, et paraissant devoir être ratta-chées

ieures, sur la nature et la genèse de ces affections consécutives des voies génito-urinaires ; il n'est pas nécessaire d'y re

mbre même des faits dans lesquels on voit, au cours d'une maladie des voies uri-naires, apparaître la paraplégie, suffit déjà

t les faits qui le concernent. Myélite consécutive aux maladies des voies urinaires. — Dans ces circonstances, il s'agit d'

hommes. D'ordinaire, elle se développe dans le cours des maladies des voies urinaires de longue durée. Une gonorrhée plus o

r d'une façon beaucoup moins tardive, dans le cours d'une maladie des voies uri-naires. Je ne m'arrêterai pas, bien entendu

rêterai pas, bien entendu, à décrire les symp-tômes de la maladie des voies urinaires à laquelle succède l'affection spinale;

s comme conséquence plus ou moins directe de certaines affections des voies urinaires. Il convient de rechercher maintenant q

out d'abord à l'esprit, est celle-ci : Les troncs nerveux seraient la voie par laquelle, de proche en proche, la lésion se p

nterprétation pathogénique. On a constaté, d'un côté, les lésions des voies urinaires; de l'autre côté, la lésion spinale ; m

s lésions du système nerveux central retentissent quelquefois, par la voie des nerfs, sur diverses parties du corps, pour y

s paralytiques, sous l'influence d'un amendement dans l'affection des voies urinaires. En somme, Messieurs, vous le voyez,

ue des membres inférieurs, développé en conséquence d'une maladie des voies urinaires, est un phénomène au moins fort curieux

pes, et c'est en conséquence de l'anémie spinale ainsi développée par voie réflexe que se pro-duirait la paraplégie. La vali

blatt, 1869, p. 623 le fait expérimental mettra quelque jour sur la voie de l'inter-prétation du fait clinique. IV. 11

recte, s'était développée en conséquence d'une inflammation grave des voies urinaires, et avait occupé les plexus lombaire et

par une solution régulière. Voici cependant, à mon sens, dans quelle voie celle-ci pour-rait être cherchée. Je pense que ce

t sans doute, des fibres qui, dans la couronne rayonnante, servent de voie aux impres-sions sensitives, il est des faisceaux

sement persistèrent pendant plu-sieurs mois. Ces symptômes étaient en voie d'amendement, lors-que, un matin (1858), en desce

er fait, c'est-à-dire la propaga-tion au loin de l'irritation, par la voie directe des tubes ner-veux est également bien mis

moelle et rappelant ainsi très exactement la direction des racines en voie de destruction. Les points où elle prend une ex

raison a une grande importance, on retrouve des cellules nerveuses en voie de destruction à la région lombaire, alors que le

chéal qui s'entendait à une grande distance. La partie supérieure des voies respiratoi-res était le siège d'une accumulation

ans ce cas, les altérations du système musculaire ont pro-cédé, parla voie des nerfs bulbaires et rachidiens, de la lésion d

olemme. Mais, en somme, il est rare que les faisceaux musculaires, en voie de destruction, présentent l'un quelconque de ces

se rapportent à trois groupes. Myélite consécutive aux maladies des voies urinaires. Sa rareté chez la femme ; sa fréquence

e ; — pyélo-néphrite calculeuse. — Une exacerbation de la maladie des voies urinaires précède l'invasion des accidents spinau

Myélite centrale, 165, 167, 202,208. — consécutive aux maladies des voies urinaires, 326; — partielle, douleurs fulgurantes

ts dormeurs. Nous avons également constaté qu'ils n’entraient dans la voie de la guérison que dès qu'ils commençaient à deve

d’une question, qui ont l’esprit tellement borné qu'ils suivent leur voie étroite en croyant seuls posséder la vérité: ces

Le I)r Liébeault s'est bien gardé de suivi e son disciple dans cette voie et il maintient résolument la supériorité thérape

t à c»-. vœu la réponse suivante : « Si l’on veut entrer dans celle voie , ¡1 est logique de mettre les enfants en garde co

ble s’est donc produit dans l’opinion du monde savant; il a ouvert la voie à des recherches innombrables et fructueuses ; il

giques cérébraux concomitants. Les découvertes déjà faites dans cette voie de recherches ont permis de mettre de l’ordre et

de la science officielle. Il faut donc maintenir ces études dans la voie où elles ont déjà obtenu tant de succès. Efforçon

ns nui doute maint collègue, sceptique jusqu’ici, à s'engager dans la voie tracée par M. Stigler. L’auteur exerce la psychot

ait des vues neuves, originales, hardies, fécondes, qui ouvraient des voies nouvelles à de glorieux successeurs. A ce titre

on. Il n’y a pas lutte entre sentiments, entre idées différentes. Les voies suivies par le courant nerveux sont larges et fac

tiseur et recueille les moindres indices capables de le mettre sur la voie . Il en arrive bientôt à deviner la pensée de l’hy

age, M. J. Soury étudie les fonctions du système nerveux central, les voies sensitives et motrices, les voies sensorielles et

ons du système nerveux central, les voies sensitives et motrices, les voies sensorielles et les voies d'association et commis

tral, les voies sensitives et motrices, les voies sensorielles et les voies d'association et commissurales. Le chapitre consa

neurones suivants : 1° Un certain nombre de neurones constituant la voie centripète de l’arc; 2° Un neurone de sensation

uvement volontaire; 5° Un certain nombre de neurones constituant la voie centrifuge de l'arc. Les mouvements qui impress

e l'arc. Les mouvements qui impressionnent le premier neurone de la voie centripète (frottements, pincements, chocs, piqûr

cette interprétation. les pores sudoraux sont les confluents de deux voies d’excrétion. Ils reçoivent : 1° la graisse élabor

it pour théâtre un neurone spécial ou neurone de sensation. Soit la voie centripète spino-corticale (schème 1). Elle se co

e nerveux, n’en continuent pas moins de s'engager incessamment sur la voie centripète cp-cp\ et leur énergie s’accumule en a

pourraient aussi bien s’expliquer par la rétraction des neurones des voies centripètes, et si j’admets, comme cause principa

out une maladie cérébrale. Mais il est certain que les neurones des voies centripètes se rétractent aussi dans l’hystérie.

des couleurs est dû sans doute aussi à la rétraction des neurones des voies centripètes. Il est infiniment probable qu’il exi

e un acte contraire à ses sentiments, il faut ruser de sorte qu’il ne voie pas cette opposition, qu'il ne s’en doute pas.

enu dans l'état de sommeil provoqué. Les narcotiques, employés par la voie buccale ou rectale ; les anesthésiques (éther, ch

n voisins. L’agrégat S ainsi rétracté conserve ses relations avec les voies centripètes, mais ne communique plus avec les aut

(schème 2, I). CP Les ondes nerveuses arrivant incessamment par les voies centripètes dans l’agrégat hy-peresthésique et ne

x, s. agrégat rétracté hyperesthésique. I. isthme d'hyperesthésie cf. voies centrifuges. ailleurs. C’est à cet excès de p

stèmes identiques d'ondulations nerveuses centripètes suivent la môme voie . De telle sorte que si un système donné a déjà la

si les systèmes identiques d’ondulations centripètes suivent la même voie , les systèmes analogues suivent des voies voisine

centripètes suivent la même voie, les systèmes analogues suivent des voies voisines et laissent leurs empreintes dans la môm

hème 4.1.). Les ondulations nerveuses arrivant incessamment par les voies centripètesdans l'agrégat hypermnésique et ne pou

hme, la pression nerveuse est plus élevée dans cet Schcmc 4. -.p, voies centripètes. s, colonies des ncuroneo corticaux

ensation. Mé, agrégat hypermnésiquo. :. Isthme d'nypermndsic. cy, voies centrifuges. I.es fli-chcs iniiquciit le îens d

n phosphorescence, et si les ondulationsdeladécharges'engagentsur les voies centrifuges, le sujet pourra exprimer le délire e

ral, les ondulations nerveuses, après avoir traversé les neurones des voies centripètes [cp, c’p'), les neurones de sensation

qui ont lieu dans l’ovaire. Supposons que ce système suive l’une des voies centripètes ovario-cérébrales, qu’il traverse les

s à une série de décharges moins violentes. 11 est probable que les voies centripètes qui partent des points hystérogènes a

pètes aux neurones centrifuges par les collatérales et surtout par la voie cérébelleuse. De là le tonus musculaire et les ré

, Bechterew et Mislawski, IsaacOtt, etc. Il est même probable que les voies vaso-motrices présentent les mêmes relais que les

ue les voies vaso-motrices présentent les mêmes relais que les autres voies motrices, et qu’elles sont formées parle même nom

s du mariage, soit que la douleur fasse rentrer ces dernières dans la voie de la sagesse, que l'exigence des devoirs conjuga

agéré le vaginisme de cette jeune femme. lôn poursuivant dans cette voie , j'aurais été amené à faire une opération très co

t entrer en phosphorescence les empreintes qu’ils contiennent. Si les voies parcourues par ces ondulations sont depuis longte

ent alors prennent le nom de jugement et de raisonnement. Mais si les voies parcourues sont des sentiers de traverse, on a ['

ion que nous retrouvons dans les sociétés décadentes. Scbcme 7. c?, voies centripètes. n. colonie de* neurones corlicau -ck

cbcme 7. c?, voies centripètes. n. colonie de* neurones corlicau -ck, voies cculrifüj’as. Schème S. n', agrégat rétracté,

ésique générai (schème 9). L’agrégat N’ no communiquant ni avec les voies centripètes ni avec les voies centrifuges, n'a au

’agrégat N’ no communiquant ni avec les voies centripètes ni avec les voies centrifuges, n'a aucun moyen d’entrer en action n

. Deuxième MODE.— L’agrégat A ’conserve scs communications avec les voies centripètes et avec les j’oies centrifuges. Dan

Les agrégats N et N’ sont à tour de rôle en communication avec les voies centripètes et centrifuges, le premier par a a’ (

les indications de traitement psychique qui en découlent. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et men

u établir la texture du cerveau de l’adulte sur l’étude du cerveau en voie de développement de l’enfantde cinq mois. En coll

x), par Bourdon, p. 365. Nez (Le) c’est l’homme, p. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et men

D'autre part, l'empirisme ne nous a, jusqu'à présent, pas mis sur la voie d'un traitement vraiment curatif. Nous en som

postérieurs est rempli par des fibres radiculaires dégénérées ou en voie de dégénérescence et par des fibres verticales fi

t de la substance gélatineuse. 3° .Sacrée.- Le triangle médian en voie d'accroissement forme une bandelette à extrémit

Rolando, pénètrent dans le cordon postérieur pour y constituer des voies courtes longitudinales ascendantes et descendante

cines, mais ont une appareuce systématisée due à la disposition des voies lymphatiques et des septa. Ces voies lymphatiques

tisée due à la disposition des voies lymphatiques et des septa. Ces voies lymphatiques forment dans les cordons postérieu

une importance très grande dans la sémiologie des affections de la voie motrice pyramidale. Les travaux de Brissaud, de B

le signe le plus sensible et le plus constant d'une affection de la voie motrice cérébro- spinale. Elle s'oppose netteme

er le mouvement du gros orteil dans quel- ques cas de lésions de la voie pyramidale. Les recherches graphiques faites da

suivante : tous les malades atteints de semblables affections de la voie motrice, présentent des modifications du réflex

isse de flexion préalable. A une même affection spasmodique de la voie pyramidale ne correspond pas un seul des différ

euvent se résumer ainsi : 1° Dans les affections spasmodiques de la voie pyramidale, comme à l'état normal, l'excitation

s uniquement un phénomène patholo- gique lié à une altération de la voie motrice. Cette extension peut accom- pagner en

xion à l'état normal, mais dans les affections spas- modiques de la voie pyramidale, elle prend une telle importance par s

e protoplasma existe quoique altéré. Beau- coup de cellules sont en voie de destruction ; quelques-unes sont remplacées

eut se doser en quelque sorte par le nombre plus ou moins grand des voies d'association qui unissent entre elles les divers

Un maximum d'intelligence répond au fonctionnement d'un maximum de voies d'association mettant au service du phénomène int

on tour l'altération des systèmes en relation avec elle et suit les voies signa- lées par Déjerine et Thomas (10), confir

cil., p. 130 et 132. (2) Philosophie Transacts, vol. CLXXXV. (3) Voies de conduction (Traduction Bonne, p. 483). (4) R

s fibres nerveuses qui semblent encore intactes, la plupart sont en voie de dégénérescence, et leur nombre est considéra

rondes et un grand nombre de débris, reste de fibres musculaires en voie de disparition. Disparition complète de la stri

volume, ont leur lumière effacée, et quelques-uns sont nettement en voie d'atrophie et de'dégénérescence. Notre observ

oedème mixte est d'autant plus intéressant qu'il peut mettre sur la voie d'une lésion rénale ou cardiaque jusque-là late

ire, quelquefois même l'aspect histologique de la dégénérescence en voie d'évolution (corps granuleux) ; en outre, les c

L'atrophie radiculaire est déjà ancienne, il n'y a pas de fibres en voie de dégénérescence. Les cellules ganglionnaires

n cellules. Parmi les cellules qui restent, un grand nombre sont en voie d'atrophie (Pl. XXXI, A). Les espaces laissés l

di- fications de la capsule peuvent s'observer pour les cellules en voie d'atrophie. Le noyau des cellules nerveuses est

capsulaires font corps avec le protoplasma de la cellule nerveuse en voie d'atrophie : lorsque les cellules nerveuses son

ellules sont très pigmentées, mais en outre un grand nombre sont en voie d'atrophie, quelques-unes sont même très atroph

DU GANGLION RACHIDIEN 219 qu'un certain nombre de cellules sont en voie de dégénérescence graisseuse (fig. 3). L'état d

es proliférations des cellules cap- sulaires autour des cellules en voie d'atrophie ou des cellules normales. Le tissu i

quelques fibres possédant leur gaine de myéline, mais celle-ci est en voie de dégénérescence, et sur le trajet ou même dan

ertain nombre de cellules ont complètement disparu, plusieurs sont en voie d'atrophie. Dans quelques rares cellules il exi

oit à la place des cellules manquantes, soit autour des cellules en voie d'atrophie. Les cellules capsulaires semblent plu

ées, mais alors à côté de cellules normales on voit des cellules en voie d'atrophie, dont le noyau est également plus pe

quelques cellules sont atteintes de dégénérescence graisseuse ou en voie d'atrophie ; quelques- unes ont disparu. Il exi

s sont ici minimes : on distingue bien quelques cellules petites en voie ^ d'atrophie et par places il semble que quelque

blement diminué, et parmi celles qui restent, il y en a beaucoup en voie d'iti-opliie(PI. XXXII, A).Certains territoires d

t par des proli- férations capsulaires. Même autour des cellules en voie d'atrophie les cellules capsulaires sont plutôt

nor- mal ; mais un certain nombre ont disparu et plusieurs sont en voie d'atrophie . Celles-ci sont disséminées et ne c

IV et V), l'atrophie des fibres radiculaires postérieures était en voie d'évolution, et sur le trajet ou dans l'intérie

résence de tel ou tel de ceux-ci, s'il s'agit d'une grande cellule en voie d'atrophie,ou d'une cellule normalement petite

ffet, dans la plu- part des ganglions, un tel nombre de cellules en voie d'atrophie qu'on ne peut les considérer comme d

naître des capsules également atrophiées. Autour de la cellule en voie de disparition, on peut voir soit une cap- sule

les éléments sont à peu près normaux. En bas à gauche : cellule en voie d'atrophie avec multiplication des éléments nuclé

rachidien dans lequel il n'y ait pas quelques cellules nerveuses en voie de désintégra- tion. Le fait paraît même plus a

ulaires n'interviennent que lorsque la cellule nerveuse est déjà en voie de désagrégation. Les proliférations capsu- lai

de protoplasma assez volumineux. - Plusieurs cellules nerveuses en voie d'atro- phie. Epaississement du tissu interstit

mbre de cellules. Epaississement du tissu interstitiel. - Fibres en voie de dégénérescence sur le trajet et à l'intérieur

5), le canal épendymaire, quoique resté perméable, n'a pas servi de voie à l'hémorrhagie. C'est d'ailleurs, d'après des

tenant non tranchée définitivement, ne peut être résolue que sur la voie des nombreuses recherches cliniques suivies d'aut

à l'anatomie des nerfs optiques, et surtout des autres parties des voies optiques, dans l'amaurose tabétique. C'est à pe

le processus tabétique débutait dans les parties périphériques des voies optiques pour gagner progressi- vement les part

(coupe longitudinale). Hématoxyline carmin. a) Fibre musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chapelet b) Fibre muscu

ordons postérieurs, qu'il débute dans les parties périphériques des voies optiques pour gagner pro- gressivement les part

» Popoff (5) a examiné histologiquement avec la méthode de Pal les voies optiques d'un cas de tabès avec cécité.. Les ne

rf encore un bon nombre de fibres et l'on voit que la sclérose est en voie d'évo- lution : sur certaines parties on peut s

en jetant un simple coup d'oeil sur les coupes de nerfs optiques en voie de dégénérescence, ils sont pour ainsi dire tot

tous cas autour de toutes les formations conjonctives jeunes et en voie d'expansion, même lorsqu'il ne s'agit que de mi

sus à divers niveaux. C'est ainsi que en des points où il paraît en voie d'expansion il se montre sous l'aspect d'une band

oupes ne permet pas ici de répondre, car il n'y a guère de zones en voie de dégénères- A 13ESs.1)I z Fig. 7,- Coupe de

es effets directs d'ischémie ; on ne trouve pas de tissu nerveux en voie de ramollissement aigu au sens propre du mot; les

n espace lympha- tique. On peut aussi penser que les vaisseaux en voie de multiplication exercent sur le parenchyme un

tache ; on finit de l'enlever avec des ciseaux. A peine est-elle en voie de cicatrisation que d'autres se for- ment, de

hôpital ayant guéri la première de ses plaques, la seconde étant en voie de cicatrisation ; elle avait eu, durant son séjo

tait devenu irritable, faisait des menaces et se livrait même à des voies défait sur sa mère à laquelle jusque-là il s'ét

chronique est généralement dû à un rétrécissement con- génital des voies respiratoires ; la pousse est « l'expression d'un

jugement que je suis venu dans ce monde. Pour que qui ne voit pas voie , et qui voit s'aveugle. Sommes-nous donc aveu

vestiges de UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 9 fibres en voie de disparition. La lésion se détache avec netteté

e grande majorité dont la plupart sont saines et quelques-unes en voie de dégénérescence. Méninges. Vaisseaux. La pie-

iminer l'hémorrhagie, d'autant plus que le syndrome de Weber est en voie de disparition. Il y a donc eu seulement sus- p

ation. Cette méthode est contre- indi- quée lorsque l'ataxie est en voie d'évolution croissante et rapide; lorsque l'éta

rale, ou bien est l'expression d'un état général, d'une sénilité en voie d'évolution produite soit par l'arthritisme, so

Sans doute, un examen plus approfondi nous eut mis sur la véritable voie , mais notre erreur témoigne tout au moins du pe

eine à admettre* semblable systématisation dans la lésion d'une des voies sensitives les plus importantes, sachant combie

oma- tolyse très active de ces mêmes cellules, alors même que les voies pyramidales ne sont que peu ou pas atteintes, ne

int facile d'apercevoir une lésion de ces éléments pas plus que des voies qui les relient aux cellules motrices antérieur

d'ailleurs son recoquillement qu'il peut expli- quer la lésion des voies motrices voisines, la dégénérescence des pyrami

dû à l'égalité des deux générateurs : torce des résistances dans la voie conduc- trice, et intensité du courant nerveux.

eux ne peut plus suivre son trajet ordinaire, il se fraie une autre voie par des nerfs intercalaires ; l'impression sensit

'intermédiaire des libres longues et des cordons de Goll : c'est la voie maîtresse ; mais que cette voie soit supprimée,

s et des cordons de Goll : c'est la voie maîtresse ; mais que cette voie soit supprimée, d'autres neurones intercalaires,

atrophiés, qui n'existaient qu'en puissance, ouvriront une nouvelle voie au courant nerveux. Chacun de nous possède depuis

ournal, février 1897.) Note tendant à montrer la supériorité de) ta voie nasale sur la voie buccale dans l'introduction

) Note tendant à montrer la supériorité de) ta voie nasale sur la voie buccale dans l'introduction de la sonde oesophagi

années. Après la troisième année, les membres élus sorti- ront par voie de roulement. Les membres sortants sont rééli-

H. ), 6. ARCHIVES, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. voie du diagnostic clinique. Le fait est que de douze

correspond à la partie inférieure du renfle- ment cervical. L'autre voie suivie par la néoformation est la partie centra

ficiles à distinguer. Il faut tenir compte exactement de l'état des voies digestives de la malade, de la qualité toxique de

pétent et les personnes qui se chargent t « de le renseigner par la voie des journaux, .portent sur nos dépo- « sitions,

ominaux une intervention pratiquée dans cette sphère pourra, par la voie du grand sympathique, retentir jusqu'à l'axe cé

ces cas l'analyse chimique et biologique : elle met en effet sur la voie des intoxications et infec- tions. » M. Picqu

e des caractères tellement spéciaux qu'il suffit pour mettre sur la voie du diagnostic : telle l'impulsion épileptique q

ne condition sine quâ non de réussite. C'était de la suggestion par voie impérative, même par l'électricité ; voyez si j

u scléreux. En un mot, on trouvait les signes d'une thyroïdite en voie d'évolution. La cause de laquelle relève la pro

émanent les quatre dernières paires crâniennes, par où passent les voies conductrices, motrices et sensitives qui mettent

remiers troubles obser- vés se rapportent à là sensibilité, car les voies de conduction sen- sitive subissent les premièr

lure que ces trois modes de sensibilité possèdent dans le bulbe des voies de conductibilité différentes, et que la voie des

nt dans le bulbe des voies de conductibilité différentes, et que la voie des sensations douloureuses s'est trouvée seule

bile, conséquence de l'obstruction et de l'état de souffrance des voies biliaires. Au cours de ce processus, la folie écl

s d'un état comateux, à la pénétration possible d'aliments dans les voies respiratoires. - P. RELLAY. REVUE DE MÉDECINE

érapeutique. 423 plusieurs cas, uni au lavage et à l'antisepsie des voies digestives, sans exclure les autres moyens prop

es cellules, nul doute que cesoientlà des cellules névi-o.-liquesen voie de proliféra- tion. Et pour fournir la preuve d

te spontanée que l'abcès du cerveau. lIayem' essaie d'établir par voie expérimentale et anatOl1lO- pathologique une no

n grand nombre : quelques exemplaires seulement par-ci par-là, en voie de régression. Ces foyers peuvent être uniques

x. Il est hors de doute que ce sont des cellules- névrogliques en voie de prolifération, mais à l'inverse de ce que prét

Fig. 1. Foyer d'encéphalite subaiguë, en, cellules névrogliques en voie de modifications progressives; c g, cellules nerv

odifications progressives; c g, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d'atro

cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses en voie de régression, même grossissement. Fif). 5. - F

du système nerveux ont fait entrer la psychologie dans une nouvelle voie : on a essayé, de divers côtés, de donner une e

de Flechsig). Un progrès considérable a déjà été réalisé dans cette voie par M. Duval, lorsqu'il a invoqué l'interventio

et du réflexe pigmentaire. 460 PSYCHOLOGIE. Quelles sont les voies de ce réflexe ? Nous ne savons rien encore à ce

ux ne s'arrête pas au centre visuel, il est porté plus loin par les voies d'associations intra et inter-hémisphériques, e

tion avant d'être définitivement réfléchi vers la périphérie parles voies de projection. Ce trajet complexe constitue la

iphérie parles voies de projection. Ce trajet complexe constitue la voie des réflexes cérébraux, qui sont tout le substr

SME ANATOMIQUE DE L'ATTKNTION. 116-1 I nerveux se fraye lui-même sa voie , en aplanissant les obstacles, et diminuant les

inq ans que l'étude des maladies appelées psychiques entra dans une voie positive et scientifique et par là même se ratt

rapportées par l'auteur, il s'agit d'altérations systématisées des voies sensitives hulbo-protubéran- tielles et des cor

dégénérescence wallérienne. Cette atrophie rétrograde propagée des voies cérébro-spinales sensitives est moins exception

produit ce que l'on a observé dans la dégénérescence ascendante des voies motrices et peut-être y peut-on voir une dégéné

ostérieur et la zone de Lissauer du même côté. 3. Il n'y a pas de voie directe allant des ganglions spinaux (racines p

pements dans le texle.) 11. Redlich s'occupe plus spécialement des voies d'union de la partie cérébrale extirpée avec le

Reil sont également dégénérées ; ce sont des fibres appartenant aux voies descendantes : leur manièred'être, leur situati

lllm. de E. Seitz à immersion dans l'huile. P. Keraval. LXIV. Des voies CONDUCTRICES DES réflexes dans la MOELLE ET du li

oi à toute hauteur de la moelle peut avoir lieu, par la plus courte voie , une transmission de l'excitation d'un tractus se

s rameaux ascendants de ces fibres radiculaires forment les longues voies qui gagnent la substance grise du bulbe par le

intermédiaires de la moelle ou dans le cervelet. Mais les courtes voies forment ci la transmission de^ excitations une pl

ières. Pourquoi cela ? Peut- être est-ce parce que. dans les comtes voies sont enclavées de nombreuses ramifications (arb

osent au passage de l'excitation une grande résistance. Les longues voies sont celles qui sont chargées de conduire l'excit

l'idéal socialiste, qui aura servi, je l'espère, à lui préparer les voies . » Du tatouage chez les criminels, par Ch. Perr

Fig, 1. Foyer d'encéphalite subaiguë. en, cellules névrogliques en voie de modifications progressives; c ri, cellules ner

difications progressives; c ri, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d'atro

cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses en voie de régression, même grossissement. Fig. 5. Foye

tude des segments les plus mlél'leurs de la-, par Berg- mai, 501. Voies conductrices ré- flexes de la -, par Mendelssoh

ière manifestation, conduire le malade à consulter et mettre sur la voie du diagnostic. Les douleurs à type radiculair

tération d'une des trois portions de l'arc du réflexe atteint : a) la voie centripète (nerf sensitif ou racine postérieure

ine postérieure); 6) la partie centrale (sub- stance grise) ; c) la voie centrifuge (racine antérieure, nerf moteur ou m

n commençant par celles qui atteignent la partie périphérique de la voie centripète de l'arc réflexe pour aboutir aux lé

l'arc réflexe pour aboutir aux lésions frappant la périphérie de la voie centrifuge; nous préférons une classification m

s névrites nous avions affaire à une irréflectivité par lésions des voies centripètes ou centrifuges, dans les poliomyéli

rprétation très simple. En l'absence d'altérations appréciables des voies tendino-réflexes, on peut encore se demander si

qui ne cadrent pas avec elle : 1" dans certains cas de lésion de la voie pyra- midale avec surréflectivité tendineuse on

miplégie cérébrale déterminée par une lésion en foyer atteignant la voie pyrami- dale, ou bien dans la paraplégie due à

fense. Dans les cas où les lésions spinales sont cantonnées dans la voie pyramidale, comme par exemple dans l'hémiplégie

ure vulgaire, celle qu'on observe d'habitude dans les lésions de la voie pyramidale, a des relations étroites avec l'exa

des lésions du système nerveux central ; ces lésions intéressent la voie pyramidale dont la perturbation se mani- feste

oir montré que la contracture vulgaire, liée à une altération de la voie pyramidale, a des relations étroites avec la surr

réflexes tendineux, généralement exagérés dans les affections de la voie pyrami- dale. J'ai moi-même, dans une série de

exe du pied que provoque, chez les malades atteints de lésion de la voie pyramidale, l'excitation de la partie interne d

lète. Ils seraient l'expression d'altérations non définitives de la voie pyramidale et acquerraient ainsi une certaine v

ure en flexion est très prononcée, à une lésion non destructive de la voie pyra- midale. » J'ai eu l'occasion d'observer

que, dans le groupe des contractures liées à une perturbation de la voie pyramidale, qu'elles occupent les membres infér

tes sur des malades atteints d'affections organiques intéressant la voie pyramidale. Mais, avant d'aller plus loin, je d

valeur clinique puisqu'il décèle l'existence d'une perturbation de la voie pyramidale, que celle-ci siège dans l'encéphale

no- mènes paraissent bien caractéristiques d'une perturbation de la voie pyra- 13À.niNsx 1. 9 130 SÉMIOLOGIE midale.

erminer une dans l'hémiplégie organique, affection dans laquelle la voie pyramidale est intéressée. Les réactions décrit

orteils, cette excitation, dans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction des muscles

endineuse qui, elle aussi, constitue un signe de perturbation de la voie pyramidale ? On peut dire, a priori, que ces deux

défense conduit-elle seulement au diagnostic de perturbation de la voie pyramirale ? N'est-elle pas en mesure de fourni

u'il peut n'y avoir que peu ou pas de dégénération secondaire de la voie pyramidale à l'examen anatomique dans de tels c

des lésions du système nerveux central ; ces lésions intéressent la voie pyramidale dont la perturbation se manifeste pe

oir montré que la contracture vulgaire, liée à une altération de la voie pyramidale, a des relations étroites avec la surr

jamais une paraplégie en flexion. - Au contraire, une lésion de la voie pyramidale associée à une lésion occupant une d

exe des fléchisseurs n'est pas affectée par l'interruption de cette voie puisque cette activité est d'ori- gine uniqueme

sée observés par eux chez certains sujets atteints de lésions de la voie pyramidale. Les rapprochant du « crossed extensio

éflexe en flexion chez des sujets atteints de lésions avérées de la voie pyramidale. En ce qui concerne la flexion réfle

inférieurs. Lorsque par exemple un sujet atteint d'une lésion de la voie pyramidale fléchit la cuisse et la jambe, il se

nts deviennent particulièrement apparents dans les affections de la voie pyramidale. La contracture permanente parait

lexes de défense paraissent conditionnés par une perturbation de la voie pyramidale, tandis qu'on est conduit à penser que

la surréflec- tivité hyperalgésique implique une perturbation de la voie sensitive ; mais celle-ci suffit-elle à faire n

mer, car dans nos observations, la lésion n'atteint pas uniquement la voie sensitive, elle intéresse aussi la voie pyramid

n'atteint pas uniquement la voie sensitive, elle intéresse aussi la voie pyramidale. L'analyse à laquelle nous avons sou

ément des fibres appartenant à l'appareil cérébelleux ainsi qu'à la voie sensitive. En pareil cas, si l'on n'y prend gar

la démarche ataxique peut être causée par une lésion atteignant la voie médullo-cérébelleuse ascendante ; dans les cas

compen- SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 209 sateurs (cerveau, labyrinthe, voie sensitive), explique dans certains cas la gravi

prononcée. , « Lorsque, au contraire, ce sont les conducteurs des voies cérébel- leuses qui sont primitivement lésés, l

s d'hypothermie locale fait courir le risque de considérer comme en voie de dégénérescence des nerfs qui ne sont pas alt

gne décelant une perturbation soit du système pyramidal, soit de la voie sensitive, soit de l'appareil céré- belleux, so

cantonnée dans cette région et qu'elle a intéressé les fibres de la voie pyramidale. (') Extrait de l'exposé des travaux

ésente des signes objectifs incontestables d'une perturbation de la voie pyramidale ; on peut affirmer qu'il est atteint

ndant en suivant les fibres du pédoncule cérébelleux inférieur et les voies vestibulo-cérébelleuses pour gagner le noyau de

'y avait pas d'affai- blissement musculaire ; les altérations de la voie sensitive qui n'étaient pour rien dans les déso

ce de tout signe objectif de lésion des cornes antérieures ou de la voie pyramidale, elle paraît liée, au moins pour une g

territoires cutanés radiculaires dorsaux) indique une atteinte des voies sympathiques gauches à cette hauteur, mais il est

gauches à cette hauteur, mais il est dif- ficile de préciser si ces voies ont été intéressées dans leur trajet intra ou e

s inférieurs des signes décelant l'existence d'une altération de la voie pyramidale. Or, les réflexes rotuliens, les réf

épend aussi des lésions du système nerveux central inté- ressant la voie pyramidale et dans laquelle les réflexes tendineu

que le signe de Robertson est sous la dépendance d'une lésion de la voie réflexe centrifuge. Or, c'est l'inverse que l'o

pliquer ces faits, suppose que la sensibilité tactile dispose de deux voies , une bomolatérale (cordon postérieur), l'autre

rofonde, tout particulièrement le sens mus- culaire, passe par deux voies , toutes les deux homolatérales, une dans le cordo

des segments médullaires correspondants, ou bien par une lésion des voies longues du système sensitif intra-médullaire.

conser- vation, au sein d'un segment médullaire lésé, de fibres des voies sensi- tives est due à leur résistance plus gra

dans les coupes les plus inférieures; 2° par une dégénérescence des voies pyramidales légères portant sur une très faible

idaux croisés, mais on n'en retrouve déjà plus dans le 6e segment. La voie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un a

ours plus tard une autre injection est pratiquée, celte fois par la voie lombaire ; la radiographie, faite après que la

ble probable, de ne soumettre le malade à l'épreuve du lipiodol par voie cervicale que lorsque médecin et patient sont e

faite le 3o mars 1926, 1/2 heure après injection de lipiodol par la voie sous-occipitale. (Cliché de M. Foix.) 4d¡ PAR

tate encore l'existence de tous les signes d'une perturbation de la voie pyramidale à droite et à gauche : exagération d

diographique pratiqué à la suite d'une injection de lipiodol par la voie lombaire, nous avait montré que la bille inféri

LA MOELLE Le 28 décembre 1925 on pratique l'épreuve du lipiodol par voie lombaire. Après que la malade est restée pendan

ombaire. Six semaines plus tard, une nouvelle épreuve est faite par voie sous-occipitale : le lipiodol ne s'arrête pas e

: Pourquoi, malgré l'existence incontestable d'une altération de la voie pyramidale, les réflexes tendineux, au lieu d'êtr

principe que toute irritation portant sur un point quelconque de la voie centripète de cet arc pourra produire un spasme o

rf trijumeau et résulteraient par conséquent d'une excitation de la voie centripète de cet arc. J'avoue n'être pas con

ons fait des investigations 448 AFFECTIONS DES MUSCLES dans cette voie , et nous sommes arrivés, comme on va le voir, à c

aque muscle. Si, par exemple, nous fixons au (') Dans les fibres en voie de développement, comme dans celles qu'on peut ob

précis. Si on l'ignorait jadis c'est que, aiguillés sur une fausse voie , les neurologistes n'avaient pas su tirer parti

veiller l'attention du malade et à diriger son imagination dans des voies souvent imprévues. Tous ces éléments se mêlent, s

e l'émotion dans l'hystérie. J'ai montré qu'en suivant une pareille voie , on ne saurait atteindre la vérité ; en cette m

anisation des Centres neurologiques. Est-ce à dire que dans cette voie il n'y ait plus de progrès à réaliser ? Nous ne

, Lhermitte l'expliquent par l'anesthésie hys- térique troublant la voie réflexe ; d'autres avec Babinski et Froment font

y a tout lieu d'admettre qu'une lésion destructive portant sur les voies sympathiques des membres doit déterminer des ph

névrite du sympathique ou celle d'un trouble réflexe empruntant la voie du sympathique. On pourrait supposer, d'abord,

ro-spinal, soit dans les plexus périarté- riels qui constituent les voies sympathiques centrifuges les plus importantes.

les relations intimes qui unissent ces deux systèmes. Par contre la voie centrifuge du réflexe, pour ce qui concerne les p

la vaso-constriction résultant d'une action réflexe qui emprunte la voie du sympathique. Du reste, il n'est pas surprena

ytose, d'habitude très intense dans la syphilis du système central en voie d'évolution, n'était dans ce cas que légère.

xie, dans le tabes, à des troubles de la sensibilité, entra dans la voie de la véritable explication scientifique de ce

it rien en fait. Leyden n'apercevait point pourquoi, en outre de la voie motrice des cordons latéraux des pyramides, all

. LXV111, 1897. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 5 voies centripètes, quel que soit le point de départ du

du processus pathologique, depuis les organes périphériques de ces voies jus- qu'aux extrémités des collatérales et des

tte para- lysie apparente avec celle qui résulte d'une lésion de la voie motrice. Ajoutez, toujours comme effet de cet

, Itillilier). Il est d'ailleurs vraisemblable qu'une portion de la voie ascendante passant par le cordon postérieur n'a

'arrive que jusqu'à l'écorce du cerveau, et que les fibres de cette voie s'arborisent en partie dans des centres sous-co

tées. Or, c'est précisément dans ces fibres qu'on doit chercher les voies de la sensibilité cutanée; il serait donc permi

euve nouvelle que la sensibilité cutanée consciente doit suivre des voies que n'interrompt point la destruction même d'un

- tions), tandis que les lésions du segment périphérique de cette voie nerveuse, et surtout des racines postérieures, pr

bres radiculaires, malades au début, si bien qu'il ne reste plus de voies nerveuses pour les sensations de douleur. Il n'

rützner, Mann, etc., du côté de Goldscheider ; il n'y a donc pas de voies centrales particulières pour la transmission de c

s postérieures, cellules qui repré- sentent le second neurone de la voie sensitive ; la sensation dedou- leur est l'effe

e la perte d'énergie qu'éprouve le courant en se propageant par des voies détournées ou peu frayées, cette sommation des

ils se transmettent, de suivre des détours et de s'engager dans des voies qui ne sont pas les voies habituelles ; leur lo

ivre des détours et de s'engager dans des voies qui ne sont pas les voies habituelles ; leur localisation doit donc en so

eures; leur destruction ne saurait être compensée au moyen d'autres voies nerveuses accessoires : voilà sans doute pourqu

lièrement dans sa région ventrale; il s'agirait en grande partie de voies courtes; il est vraisemblable aussi que ces fibre

endogènes et exogènes, les pre- mières représentant sans doute des voies courtes, les dernières des voies longues. 1 D

mières représentant sans doute des voies courtes, les dernières des voies longues. 1 Dans deux cas de lèpre étudiés par

ment. Il est évident qu'il y a une grosse lésion du cerveau, et par voie d'élimination, on peut conclure qu'il s'agit d'

certaines ou probables. Mais il est évident qu'il y a bien d'autres voies par les- quelles une maladie comme la syphilis

la moelle des toxines microbiennes; elles montrent nettement cette voie d'injection de la moelle, les relations évi- de

rolandique, les fibres du faisceau pyra- midal, peut-être même les voies cérébelleuses. D'autre part, l'histoire de la s

tre manières différentes : 10 par l'injection d'un microbe dans une voie sanguine éloignée de la moelle; 2° par une voie

un microbe dans une voie sanguine éloignée de la moelle; 2° par une voie sanguine qui l'irrigue directement, en suivant

ui l'irrigue directement, en suivant le procédé de Lamy ; 3° par la voie nerveuse (inoculation des microbes dans le nerf

suivant la méthode opératoire. L'injection des microbes dans une voie éloignée produit très rarement la myélite, ou bie

rfs vaso-moteurs, qui trans- mettent la douleur. Les théories des voies de conduction sont encore plus nom- breuses ; S

t la région postérieure par la dou- leur. Pour Wundt il existe deux voies de transmission de la dou- leur selon l'intensi

socié étranger. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Becuterew (\V. v.). Les voies de conduction du cerveau et de la moelle. In-8°

on ; il com- mande à tous et profère des menaces souvent suivies de voies de fait, à tel point que les servantes, se trou

partisans de la théorie de l'identité : comment, si la lésion de la voie des pyramides est secondaire, les cordons antér

voie des pyramides est secondaire, les cordons antérieurs de cette voie demeurent-ils presque sans exception complèteme

de la moelle, la dégénération n'affecte-t-elle pas exclusivement la voie des pyramides Pourquoi le processus dégénératif

n de l'acuité auditive, surdité, etc.). C'est seulement les longues voies nerveuses qui sont atteintes. Il résumait ainsi

expérimentalement la méningite tuberculeuse disséminée, soit par la voie sanguine, soit par ensemencement direct du liquid

liquide céphalo- rachidien. Le système lymphatique, considéré comme voie éloignée d'apport canaliculaire, ne joue aucun

es réflexes sont très insuffisantes. Nous ne connais.-ons guère les voies de transmission des réflexes, ni leur localisat

e soit dangereux, pour un médecin, de suivre M. Collin dans cette voie de confidences. M. Collin objecta qu'il n'a agi

a compréhension des mots lus paraît relever de l'in- terruption des voies d'association qui relient les divers centres cor-

erprétation, les pores sudoraux sont les deux con- 'fluents de deux voies d'excrétion. Ils reçoivent : 1° la graisse éla-

n hypnotique puis- sant : l'auteur le donne par la bouche ou par la voie hypoder- mique à des doses qui varient de un ce