almique, nettement caractérisée, on voit se manifester, dans le champ
visuel
, une figure lumineuse, d'abord circulaire, puis d
ome fait place souvent à un défaut temporaire hé-mianopsique du champ
visuel
, qui fait que l'on n'aperçoit plus que la moitié
une douleur dans la tempe correspondante au côté où se fait le défaut
visuel
ou le spectre, et l'œil du même côté est le siège
miopie, Fig. 13. — Représentant le rétrécissement homonyme du champ
visuel
, dans un cas demi-graine ophthalmique. (Empruntée
rat. Mais je réclamerai spécialement votre attention sur les troubles
visuels
, si intéressants au point de vue du diagnostic. G
montre ce qui suit: 1° Rétrécissement souvent très prononcé du champ
visuel
. Souvent, quand l'anesthésie est double, ou quand
côté et anesthésie de l'autre, on observe un rétrécissement du champ
visuel
des deux côtés, mais beaucoup plus marqué du côté
sensibilité générale sont plus accentués. Ce rétrécissement du champ
visuel
est, pour le clinicien, très intéressant. Les mal
autre phénomène qui accompagne généralement cette limitation du champ
visuel
, consiste dans la diminution de l'acuité de la vi
oir les couleurs; ainsi, dans les conditions physiologiques, le champ
visuel
est plus étendu pour le bleu que pour le jaune, p
ient de telle façon que les cercles représentant les limites du champ
visuel
pour toutes les couleurs se rétrécissent concentr
nt nous parlerons bientôt. Elle consiste en ce que l'étendue du champ
visuel
pour le rouge est plus grande que pour le bleu, d
l'œil droit est affecté d'un certain degré de rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs qui restent pourtant dans l'ord
t dans l'ordre normal ; pour l'œil gauche, le rétrécissement du champ
visuel
pour la lumière blanche est manifeste, les champs
eune garçon hystérique. Je ne discuterai pas la nature des troubles
visuel
de l'hystérie ; je vous rappellerai seulement, en
e pas voir clairement de l'œil droit, et l'examen méthodique du champ
visuel
montre un rétrécissement particulièrement marqué
se couche sur le côté gauche, la Fjg. /0. _ Rétrécissement du champ
visuel
prédominant à droite chez le jeune B. tête sur
Il en est de môme de la vision : il existe un rétrécissement du champ
visuel
{fig. 18) pour la perception lumineuse, et pour l
cle rouge, à l'extérieur ; il y a en outre une diminution de l'acuité
visuelle
, qui est représentée par un sixième de la normale
me comme chez la femme. Il n'est pas jusqu'au rétrécissement du champ
visuel
pour les perceptions lumineuses, et à la transpos
es perceptions lumineuses, et à la transposition des limites du champ
visuel
pour les couleurs qui ne puissent se rencontrer e
côté gauche. Nous avons procédé à une mensuration régulière du champ
visuel
: des deux côtés il est rétréci, mais surtout à g
uel : des deux côtés il est rétréci, mais surtout à gauche ; le champ
visuel
pour les couleurs est rétréci en proportion, mais
ouer, et cette impossibilité tenait à ce que, du côté droit, le champ
visuel
était pour lui limité au point qu'il ne voyait qu
es billes, dès que celles-ci entraient dans la partie droite du champ
visuel
. C'est là la première mention que nous trouvions
une lésion de la bandelette optique. 3° Pas de diminution de l'acuité
visuelle
, dans l'étendue du champ libre. 4° Aucune modific
autrefois fréquentées. Il voit bien ces rues dans son esprit (mémoire
visuelle
), et quand il les parcourt, il reconnaît bien les
té d'expression par le langage. Bien que, chez notre malade, l'acuité
visuelle
n'ait subi aucune modification, dans la moitié ga
suelle n'ait subi aucune modification, dans la moitié gauche du champ
visuel
des deux yeux, il éprouve une grande difficulté à
qu'on pourrait appeler, ainsi que nous le dirons ailleurs, la mémoire
visuelle
des signes du langage. Ces vues de M. Kussmaul
ssy)1 sans complication d'hémiplégie* ...^1»'»«*^^ 2° Etes troubles
visuels
sont vaguement signalés, dans un certain nombre d
la valeur, de la précision aux notions vagues fournies par les images
visuelles
. En d'autres termes, le malade ne peut lire qu'en
ans une observation de-Mlle Skwortzoff. Fig. 33. — Étendue du champ
visuel
de P..,, le 21 février 1883. 4° Dans notre cas,
as, ces mouvements instinctifs des doigts-venant en aide à la lecture
visuelle
ont été utilisés, vous ne l'avez pas oublié, co
oir qui consiste à lire un certain nom- Fia. 24. — Etendue du champ
visuel
de P..., le 3 mars 1 883. bre de lignes, en s'a
instinctifs des doigts, pour raviver, en quelque sorte, les souvenirs
visuels
. Nous avons vu comment, dans ces derniers temps
de l'expérimentation faite sur les animaux, relativement à la sphère
visuelle
, parce qu'il n'existe pour le moment que contradi
que contradiction parmi les auteurs qui se sont occupés de la sphère
visuelle
,, chez les animaux, voire même chez le singe, il
e malade, dans les cas, par exemple, où la ligne qui limite le défaut
visuel
s'éloigne plus ou moins du point de fixation, peu
s'éloigner progressivement du point de fixation et l'étendue du champ
visuel
augmente peu à yeu(Fig. 23, 24 et 25). Un amendem
— Destruction partielle des diverses formes de la mémoire. - Mémoire
visuelle
. — Observation de Gallon. — Cas de suppression br
ments fondamentaux qui sont : l'image commemorative auditive, l'image
visuelle
et deux éléments moteurs, à savoir l'image motric
. Comme celle de son père et de son fils, c'était surtout une mémoire
visuelle
. La vision mentale lui donnait, au premier appel,
de lui. Il était devenu nerveux et irritable. En tous cas, la mémoire
visuelle
des formes et des couleurs avait complètement-. d
is pas, je ne sais pas du tout comment cela est fait. » Le souvenir
visuel
de sa femme, de ses enfants est impossible. Il ne
etien, M. X... s'est plaint vivement à plusieurs reprises de la perte
visuelle
des couleurs. 11 en semble préoccupé plus que du
que celle de m'imaginer sa personne et ses traits. » Cette amnésie
visuelle
s'étend d'ailleurs aussi bien aux choses de l'enf
omafique n'a précédé, accompagné, suivi cette déchéance de la mémoire
visuelle
observée chez notre malade. Aujourd'hui M. X...
e, dans ses rêves, M. X... n'a plus comme autrefois la représentation
visuelle
des choses. Seule, la représentation des paroles
espagnole. En outre, de la perte de la faculté de la représentation
visuelle
des objets, Yà^céché verbale existe chez noire ma
là qu'il lui faut compenser à l'aide de la main le défaut de mémoire
visuelle
des mots dont il est affecté à un certain degré,
es, tandis que je possédais auparavant, dans mes rêves, la perception
visuelle
. « Comme exemple plus concluant : Si vous me de
-huit mois, reposait surtout sur la faculté de représentation mentale
visuelle
qui, chez lui, était extrêmement développée. Sous
it d'exprimer une idée par un signe du langage, évoquent Y équivalent
visuel
àw motel non son équivalent auditif; chez lesquel
àw motel non son équivalent auditif; chez lesquels la représentation
visuelle
des objets est quelquefois tellement puissante qu
dément la faculté d'expression par le langage ; car la représentation
visuelle
des signes lui fait défaut en somme, aus-i bien q
propos que, à partir du moment où il s'est senti privé de la mémoire
visuelle
, M. X. a été conduit, pour ainsi dire instinctive
l'émission des paroles. C'est dire que, privé actuellement de l'image
visuelle
du signe, il a appris à évoquer son image auditiv
utres termes, que chez lui Yéquivale?it auditif remplace Y équivalent
visuel
du mot. C'est donc là un nouvel exemple de ces «
éments fondamentaux qui sont: l'image commémorative auditive, l'image
visuelle
et enfin deux éléments moteurs, c'est-à-dire appa
remarquer, d'un autre côté, que l'amnésie verbale soit auditive, soit
visuelle
, représente en quelque sorte les premiers degrés
tant présente, on ne peut évoquer soit l'image auditive, soit l'image
visuelle
du mot qui doit la caractériser, on dira qu'il y
'il y a amnésie verbale auditive dans le premier cas, amnésie verbale
visuelle
dans le second; mais quand les mots qu'on voit éc
pondant, évoquent exclusivement l'élément auditif, d'autres l'élément
visuel
, d'autres enfin ont recours directement à l'un ou
modité, on voulait consentir à désigner sommairement sous les noms de
visuels
, auditifs, moteurs, les représentants de chacun d
e ces grands types, notre malade, M. X..., serait, par excellence, un
visuel
. D'après cela, on pourrait supposer que la suppre
me dans les conditions normales. Au contraire, l'absence de l'élément
visuel
, dans la constitution de l'idée, paraît être un d
ère, qui est aujourd'hui passée à gauche, sans modifications du champ
visuel
, ni autres troubles sensoriels. Elle n'a jamais e
il existe en effet, à droite, un rétrécissement très marqué du champ
visuel
; de plus, non seulement le cercle du rouge est si
externe n'est pas sensible, l'ouïe est très obtuse. L'examen du champ
visuel
est également très démonstratif : le rétrécisse
tacher une grande importance diagnostique. Le rétrécissement du champ
visuel
était très accentué des deux côtés : mais, alors
lus particulièrement attirée sur les modifications que subit le champ
visuel
chez les hystériques, nous avons reconnu chez ell
ez elle l'existence très accusée du rétrécissement classique du champ
visuel
, marqué des deux côtés, mais beaucoup plus pronon
souvent répétés, d'être présente. Le rétrécissement double du champ
visuel
, très net des deux côtés, mais plus prononcé à ga
présente, en effet, des deux côtés un rétrécissement notable du champ
visuel
, plus accentué cependant à droite. Il dislingue t
é cependant à droite. Il dislingue toutes les couleurs, mais le champ
visuel
du bleu s'est rétréci plus que celui du rouge et
rencontre, tout à fait caractéristique, autant que je sache, du champ
visuel
des hystériques et dont je vous ai maintes fois
atée par M. Pari-naud et rétrécissement extrêmement prononcé du champ
visuel
pour la lumière blanche. Contrairement à ce qui a
e qui a lieu dans la majorité des cas de ce genre, l'étendue du champ
visuel
, la notion des couleurs sont absolument normaux à
droit — vous n'avez pas oublié que l'œil gauche est absent, —le champ
visuel
est extrêmement rétréci. Le rouge seul est perçu
a vision, on constate l'existence d'un double rétrécissement du champ
visuel
, plus accentué du côté droit. De ce côté, le mala
ons déjà rencontré d'ailleurs chez le premier de nos sujets, le champ
visuel
du rouge est plus étendu que celui du bleu, contr
; diminution du goût et de l'odorat à gauche; rétrécissement du champ
visuel
limité à l'œil droit; points hystérogènes très ét
isposée par plaques disséminées; rétrécissement considérable du champ
visuel
des deux côtés; le champ du rouge est plus étendu
usivement. Dès cette époque, on constatait le rétrécissement du champ
visuel
double, beaucoup plus accentué à gauche, que nous
tèrent telles quelles au membre supérieur. Le rétrécissement du champ
visuel
ne s'était également nullement modifié, à l'époqu
lgésie déjà signalée lors du séjour à l'Hôtel-Dieu. L'examen du champ
visuel
nous donne du côté droit l'état normal, tandis qu
porté en dehors de celui du bleu. Il s'est donc produit dans le champ
visuel
, depuis le séjour à l'Hôtel-Dieu, une modificatio
inégalement sur tout un côté du corps, sur le rétrécissement du champ
visuel
si prononcé du côté gauche et marqué par la trans
olyopie monoculaire avec macropsie, rétrécissement bilatéral du champ
visuel
. Observation de Pin.... Monoplégie flasque et p
de l'ouïe, de l'odorat et du goût de ce côté, rétrécissement du champ
visuel
avec transposition du rouge, polyopie monoculaire
nous attendions tout naturellement à constater, par l'examen du champ
visuel
, ce rétrécissement particulier dont je vous ai en
dans nos prévisions; nous nous sommes trouvés en présence d'un champ
visuel
normal. Je vous dirai, dans un instant, comment,
d, les choses se sont modifiées bientôt après. L'étude de la fonction
visuelle
n'était pas restée stérile cependant ; elle nous
psule interne ne peuvent être mis en cause. Un second examen du champ
visuel
fait, il y a trois jours, est venu du reste ajout
trique accusait l'existence d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
à peu près également marqué des deux côtés, à la
ion très accentuée de leur activité du côté gauche. L'examen du champ
visuel
montre, du côté droit, l'état normal tandis qu'à
que je pourrais citer, que si le rétrécissement concentrique du champ
visuel
chez les hystériques, existe le plus souvent des
e s'agit pas là, il s'en faut, d'une guérison Fig. 62, 63. — Champs
visuels
du nommé Pin. ............ vert +. .4-. . + ¦ •+
celui qu'il donne lorsque, les yeux étant ouverts, il reçoit l'image
visuelle
du mouvement qu'il exécute. Aussi, dans le but de
ussi, dans le but de mettre à profit l'influence dynamogène du centre
visuel
sur le centre moteur, conseillons-nous à nos mala
stigmates hystériques— polyopie monoculaire, rétrécissement du champ
visuel
, hémianalgésie droite, etc., — ne s'étaient en ri
sont notoirement affectés du côté gauche et de ce môme côté, le champ
visuel
est très notablement rétréci, tandis que rien de
t du goût, en même temps qu'un rétrécissement très manifeste du champ
visuel
. Enfin, les attaques sont elles-mêmes représentée
les hystériques à l'état de veille, Thèse de Bordeaux, 1885. champ
visuel
, l'hémianesthésie sensitive et sensorielle, etc.,
t sont aussi actifs, maintenant, à gauche qu'à droite et que le champ
visuel
gauche ne présente plus trace de rétrécissement c
c tremblement choréiforme du côté gauche ; un rétrécissement du champ
visuel
et de l'obnubilalion de l'ouïe du même côté ; de
s, qui, elles aussi, existent habituellement: rétrécissement du champ
visuel
, hémianes-thesie simple ou double, troubles senso
sie totale, complète; anesthésie du pharynx ; rétrécissement du champ
visuel
, etc., etc. Enfin, et voici qui, dans l'espèce,
ation de l'ouïe des deux côtés ; rétrécissement concentrique du champ
visuel
très prononcé à droite et à gauche (fig. 83) ; no
inférieurs. Les autres stigmates, à savoir le rétrécissement du champ
visuel
, Panesthésie pharyngée, etc., n'ont pas subi de m
els sont très remarquables : 1° Rétrécissement très prononcé du champ
visuel
des deux côtés; 2° Diplopie uniloculaire; 3° Affa
écution. On sait, d'ailleurs, par de nombreux exemples, que l'image
visuelle
d'un mouvement volontaire qui s'exécute, contribu
tat. D'après cela, si les représentations soit kinesthôtiques, soit
visuelles
persistant, les représentalions motrices propreme
être ravivés en lui, soit isolément, soit associés à des impressions
visuelles
qui s'y rapportent... Cela ne saurait produire qu
t fermés, à l'influence à la fois directrice et dynamogène de l'image
visuelle
du mouvement. Notre malade Pin... 1 offre aujourd
ce genre, lorsque le concours des représentations kines-thétiques et
visuelles
est supprimé, nous permettent de discerner jusqu'
e vraiment secondaire, tout important qu'il soit, des représentations
visuelles
et kinesthétiques, dans l'accomplissement normal
ices proprement dites, d'autres les représentations kinesthétiques ou
visuelles
; d'autres enfin, mieux doués sous ce rapport qu
mène la paralysie d'un membre, l'abolition de tout ou partie du champ
visuel
, etc. C'est de l'aphasie, mais comme l'a fait rem
ïe est un peu diminuée à gauche ; il n'y a ni rétrécissement du champ
visuel
, ni achromatopsie. L'odorat esta peu près nul à g
é par le Dr Parinaud, montre un rétrécissement très prononcé du champ
visuel
avec contracture de l'accommodation. Le membre
rçu à droite à 9 centimètres ; à gauche à 34. Rétrécissement du champ
visuel
à droite. Pas de dischromatopsie. Les réflexes
oit. Le 24 avril, sans aucun traitement, le rétrécissement du champ
visuel
a disparu ; le sens de l'ouïe s'est amélioré ; la
e, pa... Altérations du goût, de l'odorat ; rétrécissement du champ
visuel
, achromatopsie. La malade répond: Ah, oh, aux que
n ce qu'elle voulait écrire, et eût môme conservé nettement la notion
visuelle
de l'orthographe des mots ; mais « l'idée (motric
st absolument incapable. En résumé, celte malade a conservé l'image
visuelle
, l'image auditive et peut-être aussi l'image motr
isolerjm,alre élé-men tsjoujûteurs du mot : l'image auditive, l'image
visuelle
, -~Yîmage motrice d'articulation, Y image, motr
palement de la première (élément auditif; et de la troisième (élément
visuel
). » Comme on le voit, tout en donnant à ces deux
pondantes qui représentent le plus haut degré, les amnésies auditive,
visuelle
, motrice d'articulation et motrice graphique qui
emple, le centre de la mémoire des signes du langage écrit, ou centre
visuel
des mots, CVM, c'est par l'œil que les notions sp
aspect extérieur, pour ainsi dire, vont s'emmagasiner dans le centre
visuel
commun, CVC. — Que le centre visuel des mots soit
vont s'emmagasiner dans le centre visuel commun, CVC. — Que le centre
visuel
des mots soit le siège d'une lésion, le malade po
le malade ne percevra plus par celte région du cerveau, par le centre
visuel
commun les impressions visuelles générales qui se
celte région du cerveau, par le centre visuel commun les impressions
visuelles
générales qui se dégagent des objets, il sera att
le. Vortrag gehalten in Balle Leipzig, 1886. Fig. 90. — CVC, Centre
visuel
commun. — CVM, Centre visuel des mots. — CAC, Cen
Leipzig, 1886. Fig. 90. — CVC, Centre visuel commun. — CVM, Centre
visuel
des mots. — CAC, Centre auditif commun. — CAM, Ce
e exactitude anatomique rigoureuse. De même que l'on a vu le centre
visuel
des mots être en rapports intimes avec le centre
vu le centre visuel des mots être en rapports intimes avec le centre
visuel
commun, de même le centre moteur du langage écrit
r ici cette analogie. On remarquera que, sur le schéma, les centres
visuel
et auditif ne sont rattachés au monde extérieur q
oigt; c'estalors le centremoteurgraphiquequivientau secours du centre
visuel
. Les impressions plus fortes fourniespar le centr
ssions faibles et d'un caractère douteux fournies par les impressions
visuelles
. Ainsi, on peut voir le centre visuel suppléé par
fournies par les impressions visuelles. Ainsi, on peut voir le centre
visuel
suppléé par le centre graphique, et le centre aud
et celle des mouvements graphiques font, au même titre que les images
visuelles
et auditives, partie du langage intérieur et peuv
e, il y a réellement des cas où la suppression des centres sensoriels
visuel
et auditif paralyse le centre d'articulation et p
érence par un des mécanismes exposés plus haut, on aura affaire à des
visuels
, à des auditifs, à des moteurs graphiques, à de
tes variétés d'aphasie. Et qu'on ne s'y trompe pas, la distinction en
visuels
, auditifs, etc., n'est pas une simple concession
vestigations sur eux-mêmes, les uns sont des auditifs, les autres des
visuels
, quelque-uns «des moteurs ; aussi est-il aisé de
t le siège d'aucune altération ; •ou encore la seule lésion du centre
visuel
produire l'agraphie, sans qu'il y ait de lésion d
— Destruction partielle des diverses formes de la mémoire. — Mémoire
visuelle
. —Observations de Galton. — Cas de suppression br
éments fondamentaux qui sont l'image commémorative, auditive, l'image
visuelle
et deux éléments moteurs, à savoir l'image motric
olyopie monoculaire avec macropsie, rétrécissement bilatéral du champ
visuel
. Observation de Pin... : Monoplégie flasque et
de l'ouïe, de l'odorat et du goût de ce côté, rétrécissement du champ
visuel
avec transposition du rouge, polyopie monoculai
lfactive favorable à l'excitation sexuelle. Cette sorte d'olfaction
visuelle
semble, en effet, s'expliquer chez C... par l'i
al et le réveil simultané de l'image de la femme; la représentation
visuelle
surgit avec la représentation olfactive. Obse
elles avaient très bien dans l'esprit les sensa- tions tactiles et
visuelles
. On peut se demander s'il n'en serait pas de mê
t p. 152. Fig. 1. L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. 49 musculaires m m' m",
visuelles
v v' v" et auditives a a' a". Nous lirons alors
uffire à la rappeler à notre pensée, quand nous avons perdu l'image
visuelle
de son visage et bien souvent les oublis que to
able. Les hommes ordinaires, dit M. Charcot, sont des auditifs, des
visuels
ou des moteurs, quelques-uns appartiennent au typ
tificielle- ment d'un type à un autre; elles sont, par exemple, des
visuelles
à l'état de veille et des motrices en somnambul
actile et muscu- laire totale, rétrécissement considérable du champ
visuel
, achromatopsie de l'oeil gauche et surdité de l
nambu- lisme de sa jeunesse, et raconte la première hallucination
visuelle
qu'on lui a suggérée, celle d'une souris blanche.
délicate, plus de signe de Romberg, plus de rétrécissement du champ
visuel
, aucune achromatopsie. C'est dans ce somnambuli
es symptômes, on en voit se développer d'autres, des hallucinations
visuelles
et auditives. Si on ne peut affirmer qu'un rapp
même une excitation minime qui se propage aux centres senso- riels,
visuel
ou auditif, réveille les images correspondantes,
désordre dans les idées..... Guérison. P. KERAVAL. ' IV. LE champ
visuel
DES épileptiques (en dehors de l'accès) ET des
E PATHOLOGIE MENTALE. 69 criminels congénitaux (25 sur 25) le champ
visuel
est notablement rétréci ; 2° chez tous les épil
leptiques et chez 23 des criminels congénitaux le pourtour du champ
visuel
présente une irrégularité constante; la ligne l
sque tous les crimi- nels congénitaux (au nombre de vingt) le champ
visuel
est à droite surtout, limité dans l'hémisphère
ésentaient une neuro-rétinite expliquant le rétrécissement du champ
visuel
; 5° chez tous ces malades, le champ visuel pour
rétrécissement du champ visuel; 5° chez tous ces malades, le champ
visuel
pour les couleurs était aussi limité, mais moins
it aussi limité, mais moins que pour le blanc; 6° La forme du champ
visuel
pour les couleurs suit constamment, quoique plu
it constamment, quoique plus ou moins régulièrement, celle du champ
visuel
pour le blanc, tant au point de vue de l'irrégu
périphériques que de l'hémiopie partielle verticale ; 7° les champs
visuels
pour le bleu et le rouge (celui-ci plus limité)
sent en divers points périphériques; 8° la partie centrale du champ
visuel
se présente normale, chez les criminels aussi b
10° l'acuité centrale est absolument indépendante de la sensibilité
visuelle
périphérique; elle était normale chez tous les ép
goût odorat) suit généralement' le rétrécissement de la sensibilité
visuelle
périphérique; cela est plus constant chez les épi
ileptiques que chez les criminels; 12° l'examen comparatif du champ
visuel
d'indi- vidus normaux, de criminels d'occasion,
u'on y a retrouvé quelques-unes des particularités propres au champ
visuel
des épileptiques et des criminels congénitaux.
iques et des criminels congénitaux. Donc le rétrécissement du champ
visuel
, à limites irrégulières, avec entailles ou scot
enne, elle prouve une diminution de l'activité des champs corticaux
visuels
. P. K. XI. UN cas TYPE DE PARAMYOCLONUS MULTIPL
xe est plus atteint que son élément moteur. P. K. XII. DES TROUBLES
visuels
par TUMEUR cérébrale; par F. HIRSCxBERG. (Neuro
punctum coecum (par papille étranglée). 6. Rétrécissement du champ
visuel
, occupant brusquement le méridien principal d'un
hristian pense pouvoir attribuer à cette compression les phénomènes
visuels
qu'il ne sau- rait expliquer autrement. M. Br
EUSE L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES
VISUELS
DANS LES MALADIES NERVEUSES ; par le D' ALBCR
ut de Charcot et de son école) ont rattaché cet ordre de trou- bles
visuels
, accompagnés ou non du syndrome migraineux et d
tudiées jusqu'à présent, de les mettre en évidence comme troubles
visuels
accompagnant différentes maladies nerveuses, et d
e scotôme scintillant se trouve exactement décrit, et où le trouble
visuel
est considéré comme un symptôme prodromique de
scotôme commence sur un endroit limité de la périphérie du champ
visuel
et gagne graduellement presque toute l'étendue du
mp visuel et gagne graduellement presque toute l'étendue du champ
visuel
, de façon à rendre un oeil, ou les deux à la fois
lammèches; cercles colorés, etc., n'occupent que la moitié du champ
visuel
(monoculaire ou binoculaire), le champ de la fi
demeurant respecté. Lorsque l'accès commence à se calmer, le champ
visuel
s'éclaircit de nouveau, à partir de l'endroit m
de l'endroit même où le scotôme eut son commencement. Le trouble
visuel
, qu'il soit monoculaire ou binoculaire, est sou
te de l'âge, les grands accès douloureux remplacés par les troubles
visuels
du scotôme scin- tillant (exemple le cas de M.
ès sont accompagnés de migraine; le scotôme apparaît, dans le champ
visuel
, du côté où siège la migraine. Quelquefois pend
ives de flamboiement vif et de simple obscurcissement dans le champ
visuel
; quel- quefois encore le sujet croit déjà l'at
ois la forme hémiopique (amblyopie dans la moitié droite du champ
visuel
monoculaire et binoculaire) et son' bord tourné v
hénomènes dépassè- rent la ligne médiane pour envahir tout le champ
visuel
, ren- dant les yeux tout à fait aveugles. Une a
inaire le scintille- ment survient peu après le trouble de l'acuité
visuelle
, se pro- longe seulement pendant quinze minutes
tout à fait négatifs. i ? Dans l'immense majorité des cas, l'acuité
visuelle
reste in- tacte malgré de longues années de sou
raines (hérédité mater- nelle) depuis son enfance, eut les troubles
visuels
seulement pendant une année (de quatorze à quin
s attaques de migraine vulgaire avaient continué sans aucun trouble
visuel
. Il peut encore arriver, chez quelques femmes q
n membre (cas de Baralt). La douleur céphalique suit les troubles
visuels
dans un espace de temps qui varie de quelques m
es accès est aussi très varia- ble, mais, d'ordinaire, les troubles
visuels
durent d'un quart d'heureà une demi-heure, rare
née. c). Forme hémiopique et rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Nous examinerons ensemble ces deux formes de l
eux, comme nous le verrons, à l'étude physiopathologique du trouble
visuel
dont nous nous occupons. L'hémiopie transitoire
omonyme (à droite), est encore celle de ' M. Mazza (45). Le trouble
visuel
était sans doute bilatéral, et la ligne de déma
pas de migraine, seulement des vertiges qui précédaient le trouble
visuel
. L'hémiopie transitoire latérale monoculaire se
l'hémiopie intéressait la moitié inférieure ou supérieure du champ
visuel
. Une seule observation (de Charcot, relaté par
uivie par les photes- ' tésies du scotôme scintillant. Les troubles
visuels
, tout en occupant la moitié du champ de la visi
ck) ou de battement de pouls (Galézowski). La diminution du champ
visuel
atteint plus souvent la forme d'un rétrécisseme
atteint plus souvent la forme d'un rétrécissement latéral du champ
visuel
, que celle d'une véritable hémiopie *. Très rar
nerveux, sous forme de rétrécissement concentrique soudain du champ
visuel
. Je dois l'observation à M. Parinaud, et je m'e
face, en lui permettant de bien voir à droite et à gauche du champ
visuel
. Jamais de scintille- ment. Engourdissement de
fois par mois environ, et n'ont jamais été accompagnées de troubles
visuels
. Depuis cinq ans, c'est-à-dire vers l'àge de tr
les deux yeux, pour aboutir à l'obscur- cissement complet du champ
visuel
. Quand la cécité n'est pas absolue, il arrive q
il arrive que la malade ne conserve que la partie centrale du champ
visuel
intacte. « Il lui semble, dit-elle, qu'elle reg
après les crises. Etat des yeux. Un peu de rétrécissement du champ
visuel
(à 70° du côté temporal, 45° du côté nasal égal
.Emmétropie dans les deux yeux, V = iô. La diminution de - l'acuité
visuelle
ne s'explique ni par astigmatisme (régulier ou ir
Il décrivait si bien le scotôme, avançant de la périphérie du champ
visuel
vers le point de fixation, que lorsqu'on le fit
indre, comme dans notre observation ci-dessus, tout entier le champ
visuel
. Les cas où le malade dit de n'éprouver autre s
peau du visage et les muqueuses reprirent leur couleur, et l'acuité
visuelle
se rétablit; bientôt le pouls devint moins dur
passe en second lieu, ou même fait défaut, par rapport aux troubles
visuels
de l'amblyopie transi- toire. . Les maux de t
normale) restent tou- jours le rétrécissement concentrique du champ
visuel
pour la lumière blanche et pour les couleurs, a
ansitoire, non permanent, comme la limitation concentrique du champ
visuel
. Parmi les treize observations relatées (Babins
ue ne présentait plus- qu'un rétrécissement con- centrique du champ
visuel
, et dans un quatrième cas (Babinski- Parinaud),
l'hystérie, résulte de l'exagéra- tion temporaire du rétrécissement
visuel
concentrique, si fré- quent chez les hystérique
l n'y vait il pas de rétrécissement concentrique permanent du champ
visuel
. 220 . CLINIQUE NERVEUSE. devient prédominant
des attaques épileptiques. Enfin, la nature épileptique du trouble
visuel
nous parait évidente dans l'observation qui sui
es d'amblyopie transitoire depuis l'âge de dix-sept ans.-Le trouble
visuel
se déclare subitement, comme un rideau, dit le
s yeux, si ce n'est une légère teinte rose des papilles. Le champ
visuel
est un peu rétréci (70° du côté externe). Le ma-
ns de santé parfaites, léger abus de boissons. Emmétropie et acuité
visuelle
normale aux deux yeux. Depuis environ trois ans
inférieur droit; il dit que la partie inférieure et droite du champ
visuel
des deux yeux (même 228 clinique NERVEUSE en
ou de simple obscurcissement partiel (hémiopie, ou autre, du champ
visuel
. Il est plus facile aujourd'hui, à cause de ces
troubles corticaux se répandaient, pour ainsi dire, de l'éco2,ce
visuelle
vers l'écorce motrice. b). 11 résulte des obser
ntre que la cause de l'amblyopie transitoire siège dans les centres
visuels
du cortex cérébral, non pas le long des. voies
epère dans cette région de l'écorce est constitué par les centres
visuels
, peut-être l'étude approfondie de la connexion de
épéte guère plus aisément le mot lorsqu'on le lui dit.. Le centre
visuel
actionne au contraire nettement le centre mo- t
emps il peut lire aussi bien qu'avant son accident. Pas de troubles
visuels
. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de trou
de lésion aux lieu et place où on localise la mé- moire des images
visuelles
des mots, soit sur l'écorce, soit sur le trajet
e pouvoir exécuter des mouvements volontaires. Il existe une zone
visuelle
, base de la perception visuelle et des idées qu
nts volontaires. Il existe une zone visuelle, base de la perception
visuelle
et des idées qu'elle fait naître; il y a une zo
tômes de cécité psychique ou d'affaiblissement des représentations
visuelles
. Il pouvait voir, mais ne pouvait reconnaître ce
s l'hémianopsie bilatérale, d'origine centrale, une partie du champ
visuel
reste conservée, cette partie contient générale
rique des deux yeux, scotôme pour le rouge et le vert dans le champ
visuel
périphériquement libre, avec diminution d'acuit
ion complète des deux côtés, de toute la moitié inférieure du champ
visuel
, limitée par une ligne correspondant, sur le ca
nt coupées par une ligne; conservation des phosphènes dans le champ
visuel
disparu; les espèces d'hallucinations sus-désig
les rayons lumineux sur la moitié supérieure ou inférieure du champ
visuel
. Pendant plusieurs jours, la malade voit une de
oire pour tout le temps passé à l'asile jusqu'au début des troubles
visuels
. Tous' les autres symp- tômes s'améliorent asse
méliorent assez promptement, les hallucinations cessent, l'appareil
visuel
reprend son parfait fonctionnement, et, soudain,
ue entre eux et leurs interlocuteurs invisibles; les hallucinations
visuelles
sont, au con- traire, fréquentes. A ce moment,
ques; variations spon- tanées de la sensibilité et surtout du champ
visuel
, correspondant aux phénomènes d'automatisme. Il
En même temps existent des hallucinations sensorielles multiples,
visuelles
, auditives, tactiles, kinesthétiques, génitales,
cutanée, musculaire, articulaire à droite, rétrécissement du champ
visuel
. Il est un fait particulier à noter, c'est que
t ainsi que, au moment des périodes d'automatisme, on voit le champ
visuel
se rétrécir de 30 ou 40 pour revenir ensuite à la
ation à celle de la droite. Si on place une montre au-delà du champ
visuel
, comme, par exemple, sur le côté de l'oreiller,
cropsie, macropsie et polyopie nonoculaire. Pas de diplopie. Acuité
visuelle
normale. OEil gauche. - Complètement normal. -1
topsie complète pour toutes les couleurs ; rétrécissement du champ
visuel
à 60°. Pas de lésion du fond de l'oeil. OEIL Dr
de lésion du fond de l'oeil. OEIL Droit. - Rétrécissement du champ
visuel
à 65°. Légère dis- cromatopsie. Pas de lésion d
vo-sensorielle à gauche, et un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Tous ces phénomènes peuvent être observés dans
sions est arrivé d'Abundo, lequel, en outre, a observé que le champ
visuel
dans l'épilepsie a des contours très irrégulier
e plus elle a persisté longtemps comme le rétrécis- sement du champ
visuel
: nous pouvons donc les considérer tous les deu
a vision. 11 y a à gauche un rétrécissement con- centrique du champ
visuel
à 40 degrés. La perception chromatique est affa
peine. Il appelle le violet noir ou bleu. (Fig. 5 et 6.) L'acuité
visuelle
est normale. Pas de micropsie, de macropsie, de
odorat et du goût, la dischro- matopsie, le rétrécissement du champ
visuel
, tous phénomènes persistant, même plusieurs jou
lie. Appareil de la vision.- Rétrécissement concentrique du champ
visuel
à droite à 70 degrés. La notion du violet est per
. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contribution A l'étude DES TROUBLES
VISUELS
dans LES maladies ' nerveuses; . par le D' AL
des différents auteurs sont mieux d'accord sur la nature du trouble
visuel
dont nous parlons, que sur son siège. En effet,
ur puisse porter sur le chiasma, les bandelettes ou les centres ,
visuels
de la base du cerveau; mais nous verrons tout à l
ent quelquefois permanents. Latham, pour démontrer que les troubles
visuels
, en particulier, dépendent bien d'une excitatio
le scotôme scintillant de la migraine, accompagnée de sensations
visuelles
, que Purkinje et Brunton ont décrite dans l'intox
r l'anémie cérébrale, et ils s'effacent aussi vite que les troubles
visuels
, tandis que la migraine (dont la patho- génie e
iopie, on plutôt de certains cas de rétrécissement latéral du champ
visuel
, que l'on observe dans la migraine ophtalmique,
etles photesthésies commencent dans des points symétriques du champ
visuel
des deux yeux : .' donc, cette forme d'amblyopi
ions colorées, des scintillements,. des véritables hallucinations
visuelles
, sans que l'amblyopie transitoire présente une fo
pparaît le plus souvent dans les deux yeux et du même côté du champ
visuel
(hallucination visuelle à forme hémiopique), le
t dans les deux yeux et du même côté du champ visuel (hallucination
visuelle
à forme hémiopique), le phénomène se rapporte a
ick et autres, en nous prouvant la lésion uni- latérale des centres
visuelles
de l'écorce occipitale. c). Considérons mainten
des cas typiques, d'une véritable amaurose dans la moitié du champ
visuel
, mais bien d'une simple amblyopie, la perceptio
eption lumineuse étant con- servée dans la moitié atteinte du champ
visuel
, nul doute que l'amblyopie transitoire à forme
lyopie transitoire. 429 à une lésion des bandelettes ou des centres
visuels
bruts, pla- cés dans les ganglions de la base d
othnagel) nient que ses altérations puissent provoquer des troubles
visuels
. Même en admettant possible ce cas, l'hémianops
médiane, pourraient bien difficillement donner lieu à des troubles
visuels
monoculaires ou hémiopiques, et ces troubles de
, dans l'amblyopie transitoire, de simples lésions dans les centres
visuels
de l'écorce, d'accord en cela avec les observat
peuvent aussi sur- venir par retentissement à distance, des centres
visuels
corticaux. Seule- ment lorsque la lésion d'une
et atteint les fibres envoyées par le lobe occipital aux ganglions
visuels
de la base, l'hémianopsie totale survient, par
es nom- breuses observations enregistrées, le côté droit du champ
visuel
. Cela prouverait, d'accord avec les troubles de
rises) part d'ordinaire du pourtour de l'orbite du côté où le champ
visuel
fut atteint de scotôme (ou de scintillement), e
ire, où le trouble de la vue occupait la moitié supérieure du champ
visuel
des deux veux. - L'explication de cette hémia
ut de quatre heures il s'aperçut que dans la moitié droite du champ
visuel
des deux yeux il voyait un nuage épais, qui l'e
ou moins étendu, dans la partie supérieure ou inférieure du champ
visuel
. L'examen attentif de l'observation de Baralt,
, le nombre de cas de migraine vulgaire non accompagnée de troubles
visuels
est beaucoup plus con- sidérable que le cas d'a
migraineux peut s'attarder d'une heure et même plus sur le trouble
visuel
; et que, chez les individus où ce trouble préc
nsitoire, plutôt un rétrécissement concentrique temporaire du champ
visuel
qu'une véritable hémiopie ! Archives, t. XXIV.
ble cortical a changé de territoire, se trans- portant sur l'écorce
visuelle
. Même dans le territoire visuel, le trouble peu
e, se trans- portant sur l'écorce visuelle. Même dans le territoire
visuel
, le trouble peut changer d'endroit. Chez cette
ans chaque hémisphère les troubles gagnaient de préférence l'écorce
visuelle
destinée à la vision périphérique. Voilà, ci-de
poraire : 1° L'apparition et la disparition soudaine des troubles
visuels
; 2° Le fait, que même dans le début d'un évano
l'anémie générale est certainement capable de produire des troubles
visuels
passagers, de même que lacon- gestion comme cel
e la moitié gauche (point de fixation res- pecté et Y = I) du champ
visuel
de chaque oeil. D'autres exemples encore fourni
usseau, G. Sée, Swanzy ' et Fitzgérald 2, concernant des " troubles
visuels
persistants chez des choréiques, et enfin les c
même hémisphère (plus souvent la gauche) peut s'étendre des centres
visuels
périphériques (moitiés homolatérales des deux r
e le .plus souvent respecté, c'est justement parce que le trouble
visuel
a, dans ce cas, la forme hémiopique, et nous savo
marcation empiète le plus sou- vent sur la moitié amblyope du champ
visuel
(double inner- vation de la macula). Mais le
pour la vision centrale, soit pour les points symétriques du champ
visuel
), sont plus nombreux et plus importants que les
re, centraient binoculaire, devait tenir à un trouble dans l'écorce
visuelle
centrale des deux hémisphères, tandis que le scin
scotôme dans un seul oeil devait tenir à l'irri- tation de l'écorce
visuelle
périphérique d'une seule hémisphère. Si c'est v
e scintillement est toujours périphérique. L'irritation de l'écorce
visuelle
périphérique, c'est-à-dire en rapport avec les
s), ou les cas rares de restric- tion concentrique brusque du champ
visuel
, comme dans nos observations, pages ,10 et 12.
maculaire est mieux vascularisé que le reste de l'écorce occipitale
visuelle
, nous pouvons comprendre pour- quoi l'amblyopie
oi, dans l'amblyopie transitoire avec abolition complète du champ
visuel
(hémianopsie double), la vision eentrale est resp
part des cas qualifiés de migraine ophtalmique ce sont les troubles
visuels
qui ouvrent la marche, ' Forster. Ueber Rindbli
mme étant aveugle, mais l'examen démontra la persistance d'un champ
visuel
central, très limité (3 à 5 degrés de diamètre),
breux que les cas de migraine ophtalmique, puisque les trou- bles
visuels
peuvent se présenter en l'absence de syndrome -
noter dans les cas d'ambliopie transitoire, quelle forme ce trouble
visuel
présente (scotôme périphérique scintillant, sco
me dans les cas typiques de scotôme scin- tillant. t.. Le trouble
visuel
se déclare et disparait plus ou moins sou- dain
ordre des hallucinations, dû à l'irrita- tion des centres corticaux
visuels
où le trouble circulatoire a lieu. Puisque le p
omplète ? ... hypérémie collatérale ? ...) de la région de l'écorce
visuelle
où le trouble circulatoire provoque le sco- tôm
faire songer à une attaque de glaucome (Dia- noux). Les troubles
visuels
sont souvent accompagnés par le syn- drome migr
généralement sur un point limité de la tempe, du côté des troubles
visuels
, et s'irradient plus ou moins intenses et étend
aussi être amené à consulter, à cause de la persistance du trouble
visuel
ou de quelque trouble ner- veux qui en compliqu
pide la circulation des parties du cerveau en rapport avec l'organe
visuel
(territoire de l'artère sylvienne) sont encore
uel- ques-unes chez des vieillards, où le plus souvent le trouble
visuel
a remplacé les attaques migraineuses. L'affecti
s l'écorce cérébrale. L'anesthésie ou l'irri- tation de ces centres
visuels
corticaux (surtout le cuneus et la circonvoluti
, le phénomène du scotôme et parfois du scintillement dans le champ
visuel
. Les deux formes, monoculaire et hémiopique, de
peut commencer ou s'étendre dans n'importe quel endroit de l'écorce
visuelle
, pour la vision centrale ou pour la périphériqu
comme celui d'hémiopie ou de rétrécissement con- centrique du champ
visuel
), si l'accès se prolonge assez long- temps et s
édicalcs, 8 mai 1890.) 42. A. Angelucci. Recherches sur la fonction
visuelle
de la rétine et du cerveau. (Rec. d'opht., nove
faire le tour de la chambre » . Cette pensée renferme des images
visuelles
ou musculaires suivant les cas du mouvement des
ou musculaires suivant les cas du mouvement des jambes, des images
visuelles
de l'aspect de la chambre au moment où l'on par
ment où l'on part, puis d'autres images motrices et d'autres images
visuelles
d'un nouvel aspect de la salle et ainsi une lon
t, ne restent pas incomplets. Tous ces détails constituants, images
visuelles
, images tactiles, images kinesthésiques, réappa
'odeur; elle a dans l'esprit une énorme quantité d'images tactiles,
visuelles
, olfactives, etc. Elle décrit les roses, leur c
leptiques quand on le déplace à son insu, rétrécissement du champ
visuel
à 35°, etc. Eh bien, je lui dis simplement, en
eptiques, elle a un champ LA SUGGESTION CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 455
visuel
qui est devenu absolument normal. Que s'est-il pa
l'idée d'un ballet de l'Opéra ne s'accorde pas avec les sensations
visuelles
que vous éprouvez. Le développement de vos idées
e, augmentation des anesthésies, rétrécissement plus grand du champ
visuel
, etc ? Quelquefois l'attention est absolument p
ologie de 1889, ce phénomène intéressant du rétrécissement du champ
visuel
provoqué par l'attention. Dans le compte rendu
n trouble apparent des membranes de l'oeil. Rétrécissement du champ
visuel
droit : 474 RECUEIL DE FAITS. constamment p
i accusé 1. Le 16 juin 1892, on mesure de nouveau les deux champs
visuels
: 476 RECUEIL DE faits. et nous aurons au com
Hanschen, d'Upsals, a étudié les voies suivies par les impressions
visuelles
et le centre visuel, il localise ce centre avec
étudié les voies suivies par les impressions visuelles et le centre
visuel
, il localise ce centre avec une grande précisio
surface éclairée et brillante sans voir une véritable hallucination
visuelle
se dessiner sur la sur- face vide qu'elles rega
t somniforme après l'ablation du -, par IJorgl.erim, 259. Champ
visuel
, des épileptiques et des criminels congénitaux,
r le bro- mure de strontium, par Deny, 324. Epileptiques, champ
visuel
des , par Ottolenghi, 68; - assistance des -,
de la vision déterminera, selon Tamburini, outre une per- ception
visuelle
, une sensation des mouvements de l'oeil, une re
inner- vation des muscles de l'oeil, accompagnant la per- ception
visuelle
, expliquerait même le fait de la pro- jection e
et on a remarqué qu'il existait un rétrécissement notable du champ
visuel
après chaque crise, ainsi qu'une amélioration c
z le chien par l'exci- tation de la région présigmoïde, d'une façon
visuelle
par Krause 1 ; ' On the central motor innervati
cliniques et expérimentales les plus dignes de confiance. Centres
visuels
. - Je vais d'abord appeler votre attention sur le
s mouvements de la tête et des yeux sont les signes d'une sensation
visuelle
subjective et dus à une action associée des cen
e peuvent donc pas être considérés comme l'in- dice d'une sensation
visuelle
subjective; mais cela ne serait pas réfuté, mêm
ls ils sont en relation. La région occipito-angulaire est la zone
visuelle
de l'écorce. La destruction complète de cette z
herches, je pensai que les plis courbes formaient seuls des centres
visuels
, conclusion fondée sur les effets positifs des
semblent justifier l'opinion que les plis courbes sont des centres
visuels
, chacun étant en relation avec tout l'oeil du côt
fet permanent d'une extir- pation unilatérale complète de la sphère
visuelle
, n'était pas la cécité complète de l'oeil oppos
s la ligne de scissure occipito-pariétale, et il localise la sphère
visuelle
, uniquement dans le lobe occipital et re- garde
ses rapports. Cette question de la délimitation exacte de la sphère
visuelle
, soit aux lobes occipitaux comme le veut Munck,
amburini et Luciani sont arrivés à cette conclusion que les centres
visuels
ne sont pas limités aux lobes occipitaux, mais
lysie musculaire. L'animal semble avoir un trouble de la conscience
visuelle
des images, des objets qui tombent sur le côté
un raisin par exemple, qu'on présente sur le côté droit de la ligne
visuelle
, ou n'est pas remarqué, ou sa nature n'est pas
eux opérations, il n'y eut aucun trouble général de la percep- tion
visuelle
, sans, autant qu'on peut l'affirmer, une cécité a
'on peut l'affirmer, une cécité absolue dans aucune partie du champ
visuel
; mais les auteuis ne peuvent pas parler de ce
les plis courbes ont des fonctions en rapport avec les perceptions
visuelles
de telle manière que chaque région occipitale e
nck que cette lésion produit un trouble hémiopique de la conscience
visuelle
. Mais la vision imparfaite qui reste après l'ab
et et 26) fait penser que le centre en rapport avec la conscience
visuelle
n'est pas limité à ces lobes, comme le pensait Mu
relative de la portion antérieure, postérieure et médiane du centre
visuel
de l'écorce '. » > . Op. cit., p. 19 LES L
lobe occipital tel quel. - Schoefer ' lui-même admet que' le centre
visuel
n'embrasse pas seulement le lobe occipital mais
ité du ph courbe. Les rapports des différentes portions des centres
visuels
avec la rétine d'après les phénomènes produits
supposer que par l'opération les connections médullaires du centre
visuel
entier sont impliquées. - Schrcfer lui-même a s
avec le schéma de Schilffer qui est le suivant : t° tout le centre
visuel
d'un hémisphère est en rap- port avec la moitié
itié latérale correspondante des deux rétines; 2° la zone du centre
visuel
d'un hémisphère est en rapport avec la moitié sup
ernent dé pareils faits qui ont conduit Luciani à étendre le centre
visuel
jusqu'au lobe tem- ppral. Non seulement' on peu
ception de cette lésion du lobe occipital, tout le reste de la zone
visuelle
était intact, cepen- dant cet animal était comp
solument hémiopique vers la gauche dans toutes les parties du champ
visuel
. On trouva après la mort que l'incision était s
lésion du gyrus angulaire qu'ils excluent entièrement de la sphère
visuelle
. Ils donnent des détails sur un singe chez lequ
i était très docile avec moi, essayant toutes les portions du champ
visuel
avec des morceaux de pommes suspendus à des fils
e de l'hémis- phère opposé. Les relations rétiniennes des centres
visuels
ne peuventpas être ex- pliquées par une simple
face exté- rieure au-devant du lobe occipital, il y avait un centre
visuel
plus élevé 96 " PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. cha
ables. Il est ceitain que, chez l'homme, les affections des centres
visuels
produisent parfois l'amblyopie croisée et non d
iopie homonyme Non seu- lement c'est la caratéristique des troubles
visuels
notés daris l'heiiiia- nesthésie hystérique, do
u côté op- posé, il y a eu un certain degré de contraction du champ
visuel
du même côté. - J'ai moi-même relaté plusieurs
les centres oculo-moteurs comme celles qui excitent les sensations
visuelles
dans l'écorce, et delà lésion du tractus optique
ion. Archives, t. XXI 7 Fig. 11. - Rapports des yeux avec la zone
visuelle
chez le chien (d'après Munk). i)8 PHYSIOLOGIE
sensibilité produite par la cocaïne n'atteint pas non plus l'acuité
visuelle
de l'oeil. Ces faits me semblent des objections
robablement une relation spéciale des différentes portions du champ
visuel
avec certaines portions de l'écorce occipitale,
nt, en secteur dans les moitiés supérieures ou inférieures du champ
visuel
. Cependant, ce sont des cas d'hémiopie très incom
le cas que je vous montre dans lequel on peut voir un îlot d'acuité
visuelle
subnormale dans la moitié affectée. La pathogén
e subnormale dans la moitié affectée. La pathogénie de ces troubles
visuels
en forme de secteurs est un sujet de conjecture
ortion du lobe occipital a une relation spéciale avec la perception
visuelle
; tandis que Wil- brand pense que le centre vis
la perception visuelle ; tandis que Wil- brand pense que le centre
visuel
est plus spécialement dans la pointe occipitale
les ont eté trouvées dans les lobes occi- pitaux sans aucun trouble
visuel
d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Science)
e ne s'accompagne pas forcément de trouble notable des sensations
visuelles
, quoique dans quelques cas où la lésion de la rég
oite pure ne s'accompagne pas forcément de troubles dans l'idéation
visuelle
. Ce serait là un argu- ment contre sa nature co
à un argu- ment contre sa nature corticale. Ce fait, que l'idéation
visuelle
pus particulièrement en rapport avec l'associat
tations fonctionnelles les moins élevées. Les fonctions des centres
visuels
, en rapport avec la simple sensation visuelle o
fonctions des centres visuels, en rapport avec la simple sensation
visuelle
ou la simple représentation, sont plus stables
entation, sont plus stables que celles qui com- prennent l'idéation
visuelle
ou la représentation, et en particu- lier que J
ent spécialisés et si complexes de l'association entre les symboles
visuels
et les choses signifiées. Donc, une lésion de l
on de la zone de la vision la plus claire peut paralyser l'idéation
visuelle
, tandis que la simple représentation visuelle peu
paralyser l'idéation visuelle, tandis que la simple représentation
visuelle
peut être intacte. Pour qu'elle soit aussi abol
ces modes de ma- nifestation plus spécialisées. Pour les centres
visuels
des vertèbres inférieurs, je ne puis pas citer
citer beaucoup de mes observations et de mes expériences. Le centre
visuel
des chiens a été l'objet principal des recherches
Luciani, semblent démontrer que, quoique chez les chiens le centre
visuel
est principalement en relations avec l'oeil opp
uart externe de l'oeil du même côté. Donc, la destruction du centre
visuel
dans un hémis- phère paralyse les trois quarts
. M03 moment au moins, après la complète extirpation de la sphère
visuelle
, il ya une cécité complète de toit opposé, c'est
Ces auteurs, cependant, semblent penser que l'étendue de la sphère
visuelle
est plutôt une affaire de capacité que de local
des chats, des chiens et des lapins. La limite exacte de la sphère
visuelle
chez les chiens est toujours controversée, mais
respond chez le singe au pli courbe et au lobe occipital. Le centre
visuel
décrit par Munk est représenté dans la /«</
claire (macula lutea) du côté opposé. La portion moyenne de la zone
visuelle
avoisinant la faux est le centre de la moitié i
et 2 millimètres d'épaisseur, un état de la vue ou de la perception
visuelle
semblable à celui déjà décrit par Goltz, L'anim
eut éviter les obstacles, mais il semble avoir perdu toute idéation
visuelle
. A cette affec- tion, il donne le nom de Seenel
rticale, qui comprend la perte totale de la vision et de l'idéation
visuelle
. Comme ex- plication il dit; ce qui me parait ê
ue l'extirpation delà région en question a enlevé toutes les images
visuelles
qui sont emmagasinées dans ce lieu et autour et
ar éducation que l'animal peut de nouveau réemmagasiner des figures
visuelles
, nouvelles dans la partie du centre non détruit
onsidérable de l'écorce du lobe occipital, est décrite comme centre
visuel
par Munk. Mais de beaucoup la plus grande parti
. Les « images de la mémoire (Erinnerzungs biJder) de la perception
visuelle
sont pressées ensemble comme les moutons dans u
ellement à voir comme un petit chien à l'aide du resté de sa sphère
visuelle
. Cinq septièmes de la sphère visuelle, une larg
l'aide du resté de sa sphère visuelle. Cinq septièmes de la sphère
visuelle
, une large portion de l'écorce, semblent placés
de nouveau apprendre avoir, quand on lui a coupé toutes les images
visuelles
. Tous les chiens qui échappent à ce sort, et de
ombreux, por- tent toute leur vie les cinq septièmes de leur sphère
visuelle
, comme un champ inculte. Quelle chose étonnante
rétine étaient représen- tées dans les régions indiquées du centre
visuel
, il est peu proba- ble qu'elles pourraient être
nts de la rétine sont en rapport avec des points spéciaux du centre
visuel
. Quand un trouble de la vision se produit par lés
s et le retour de la vision, après des lésions partielles du centre
visuel
, n'est pas dû à la pratiqne, nia l'acqui- ' Op.
1. 106 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. sition d'une nouvelle expérience
visuelle
, car la guérison se pro- duit quand l'animal es
'obscurité et ainsi mis dans l'impossibilité d'exercer ses facultés
visuelles
. Chez les lapins, le centre visuel, suivant l'h
bilité d'exercer ses facultés visuelles. Chez les lapins, le centre
visuel
, suivant l'homologie des réactions électriques,
iéto-occipilale, de l'hémisphère. Les limites exactes de la sphère
visuelle
chez ces animaux ne pa- raissent pas avoir été
ussi les deux yeux sont plus on moins en rapport avec chaque centre
visuel
; certaines expériences de Munk viennent à l'app
oit fut alors fermé. Le hibou réagit très bien à tous les excitants
visuels
, et se tient en éveil à tous les mouvements qui
se tient en éveil à tous les mouvements qui viennent dans son champ
visuel
. Cet oiseau cependant, dix jours au moins, rest
e fermeture incomplète de l'oeil droit. Pour s'assurer si le centre
visuel
de l'hémisphère gauche était intact, l'oeil dro
ontrent que quand les lésions sont strictement limitées à la sphère
visuelle
, la vision seule est affectée ou abolie sans au-
. La question de savoir si, après la destruction de toute la sphère
visuelle
chez les animaux supérieurs, homme ou singe, au
. Quoique le singe rendu aveugle par l'extirpation de ces centres
visuels
acquiert le pouvoir d'éviter les obstacles, les c
tes sur lui par les objets dont il est en- touré qu'à une sensation
visuelle
. C'est une question qui deman- derait de nouvel
quoique à un moindre degré. 11 est certain cependant que le centre
visuel
de l'écorce n'est pas seulement une région ditfé-
d'autres régions corticales d'autant que la destruction des cenlres
visuels
amène une atiophio des centres optiques pri- ma
ne atrophie strictement confinée aux régions comprises dans la zone
visuelle
. La différen- ciation d'un centre exclusivement
'imprégnation cellulaire, la cellule ne reprodui- sant plus l'image
visuelle
de la personne. C'est un phénomène pas- sager q
extrême de ces malades, et la rapide conductibilité des impressions
visuelles
et auditives dont la réflexion sous-corticale e
ie immo- tivée) que l'on rencontre dans cette maladie. Les troubles
visuels
ont été étudiés par Kast et Willerand dans 20 c
us ils ajoutent le rétrécisse- ment plus ou moins accentué du champ
visuel
. Il n'y avait pas dans les cas en question de s
s troubles thermi- ques et vaso-moteurs, le rétrécissement du champ
visuel
est soumis à des fluctuations; il constitue lui
n rôle très pre- pondérant. L'artiste, peintre ou sculpteur, est un
visuel
; il juge par les yeux et la planche, plus que l
ion de la région occipito-angulaire comme un indice d'une sensation
visuelle
subjective, nous avons, je pense, dans ces réac
its auprès de lui. Si je restais dans le laboratoire dans son champ
visuel
, et que mon garçon vint au haut de l'escalier e
cette région, suivant lui, des images audi- tives comme les images
visuelles
dans la région A (fig. 19), sont emmagasinées.
le Fig. 19. Centres cervicaux du singe d'après blunk. - A. Centre
visuel
. - C. à J. Centre de sensibilité tactile (Fiihl
ltération des fibres nerveuses d'association qui unissent le centre
visuel
au centre de la parole (aphasie optique), ou en
nches à l'appui. III. Allure clinique des troubles de la vue. Champ
visuel
. Vingt-quatre observations. IV. Accidents patho
nerf. La même réflexion s'applique au trouble de la vue et au champ
visuel
. Les troubles de la vue sont constitués par le
. XV à XXIII). -le rétré- cissement plus ou moins régulier du champ
visuel
(Oss. XXIV à XXVII) ou son rétrécissement conce
s expériences de Siemerling et Koemg qui ont, en diminuant l'acuité
visuelle
par l'interposition de verres gras et par l'int
pathologique ET DE CLINIQUE SUR LES TRACTUS CONDUCTEURS DES IMAGES
VISUELLES
DANS L'ENCÉPHALE HU- mun; par A. RICaTER. (Arch
une des bandelettes op- tiques du lapin - à l'extirpation des zones
visuelles
du lobe occi- pital - à la section transverse d
lles, dont la pression réveille les phénomènes de l'aura; son champ
visuel
est rétréci des deux côtés, et elle a de la dip
. Pai inaud, donne les résultats suivants « 1° OEil gauche. - Champ
visuel
rétréci à 55°; pas de dyschromatopsie. V = ? Pas
accommodation; un peu de diplopie monoculaire. 2° OEil droit. Champ
visuel
légè- rement rétréci à 80° ; contracture de l'a
sont commandées en général par des hallucinations, le plus souvent
visuelles
. On sait aussi que cette troisième période de l
itivo-sensorielle droite complète, double rétrécisse- ment du champ
visuel
, point hystérogène au vertex, hystéro-phré- nat
chien qui avait été rendu aveugle par la destruction de ses centres
visuels
semblait incapable de découvrir par l'odorat le
ulier. De ces impressions, les plus importantes sont les sensations
visuelles
et les impressions comprises généralement sous le
telle sorte que, même lorsque les yeux sont fermés, la con- ception
visuelle
du mouvement est capable de compenser presque e
olontaires effectués par un cerveau consistant seulement en centres
visuels
et moteurs. Dans ces cir- constances, la vision
t, jusqu'au moment où il passe sur la ligne médiane ; mais le champ
visuel
est autrement normal. Munk trouve que la destru
élirante. En effet, une idée déhranre ou non est un groupe d'images
visuelles
, audi- tives, motrices, etc., et l'idée, quelqu
tation délirante, ne sont pas le point de départ d'halluci- nations
visuelles
, par la raison que ces gestes ne font que réveill
inations de la vue (entre autres) parce qu'un état faible, une idée
visuelle
a précédé l'hallucination, parce que la croyanc
gnes physiques tels que les anesthésies, le rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs dans leur ordre si particulie
ant bien les mots. Dans ces cas, dit l'au- teur, ce sont les images
visuelles
qui sont seules capables de pro- voquer la paro
pectant au contraire celles qui relient ce dernier centre au centre
visuel
des mots et le centre visuel lui- même. J. S.
ui relient ce dernier centre au centre visuel des mots et le centre
visuel
lui- même. J. S. XLII. Les asymétries fronto-
lagiocé- phalie, la différence s'accentuant après l'accès. L'acuité
visuelle
436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. est presqu'i
près les convulsions, avec des symptômes de rétrécissement du champ
visuel
: peu fréquentes sont les altérations du sens c
iques cérébraux, comme par exemple le fait suivant : une impression
visuelle
ne peut être produite s'il existe une lésion du
ation de ce lobe produit des phénomènes analogues à des perceptions
visuelles
, etc. Il faut entendre par acte psychique un ac
ls perçus nettement ; 5° Enfin il existe un rétrécissement du champ
visuel
à peu près égal des deux côtés ( Fig. 8 et 9).
eu près égal des deux côtés ( Fig. 8 et 9). Fig. 7. — État du champ
visuel
chez Ler..... (8 septembre 1888.) Inutile d'ins
le à démontrer. Nous avons procédé tout d'abord à l'examen du champ
visuel
. Vous n'ignorez pas le rôle important que joue da
Pig. 12. cissement monoculaire ou binoculaire concentrique du champ
visuel
sans accompagnement de lésion ophthalmoscopique d
stérieure de la capsule interne, le rétrécissement permanent du champ
visuel
ne se voit guère en dehors de l'hystérie. Je dis
'ignore pas que dans Vépilepsie vraie, à la suite des accès, le champ
visuel
présente souvent un rétrécissement plus ou moins
tion-là, surtout au moment des vertiges, des rétrécissements du champ
visuel
, mais alors le rétrécissement ne persiste pas, il
'il parait bien démontré aujourd'hui que les rétrécissements du champ
visuel
signalés dans l'alcoolisme, dans le saturnisme, e
qu'un accompagnement fréquent du rétrécissement concentrique du champ
visuel
, lorsqu'il appartient à l'hystérie, se présente c
ianesthénies sensorielles et sensitives, des rétrécissements du champ
visuel
, des contractures, etc., etc., qui se trouvent co
premier lieu ; il y a rétrécissement permanent très prononcé du champ
visuel
à droite, côté de la paralysie motrice, tandis qu
à droite, côté de la paralysie motrice, tandis qu'à gauche, le champ
visuel
est normal. Remarquez cette circonstance du rétré
pathiques si communes chez les sujets hystériques: un examen du champ
visuel
qui signalait un léger rétrécissement semblait ve
ormal. Pas de dischroma-topsie, pas de polyopie monoculaire. Le champ
visuel
du rouge est, comme dans l'état normal, moins éte
accès chez une jeune épileptique de 15 ans. — Rétrécissement du champ
visuel
après les accès. 3° Hystérie chez un saturnin â
ncentrique temporaire, ou passager, comme vous voudrez dire, du champ
visuel
. Voici d'abord quelques détails concernant les
ée chez elle, d'un rétrécissement concentrique et temporaire du champ
visuel
survenant après chaque accès. On a fait remarquer
s d'épilepsie proprement dite, il n'est pas très rare devoir le champ
visuel
subir un rétrécissement concentrique et régulier
nsisté sur ce point que, dans l'épilepsie, le rétrécissement du champ
visuel
est toujours transitoire, jamais permanent. Dan
de quatre ou cinq jours, ainsi que vous pou- » G Fig. 25. —Champ
visuel
de D.... vue deux jours après l'accès. D G Fi
isuel de D.... vue deux jours après l'accès. D G Fig. 26. — Champ
visuel
de D.... vue 9 jours après l'accès. Retour presqu
ù il s'agit d'épilepsie et non d'hystérie, le rétrécissement du champ
visuel
n'est pas un phénomène permanent, il ne sera pas
ns pu faire jusqu'ici, le retour à l'état normal des limites du champ
visuel
. Nous reviendrons quelque jour sur ce cas pour vo
de la région lombaire. Double rétrécissement concentrique du champ
visuel
plus prononcé à gauche qu'à droite (fîg 28) ; dip
la sensibilité générale ou spéciale ; pas de rétrécissement du champ
visuel
. Rêves fréquents la nuit, surtout depuis le début
s, il existe à l'état permanentunrétrécissement concentrique du champ
visuel
,peu prononcé dans les circonstances ordinaires (f
dorat;etc.,etc. Maisun rétrécissement concentrique permanent du champ
visuel
, comme marque hystérique, c'est déjà quelque chos
t méthodiquement et sans parti pris à l'examen des diverses fonctions
visuelles
, voici quel a été, chez notre sujet, le résultat
II existe une diminution réelle, mais assez peu prononcée de l'acuité
visuelle
du côté droit. Mais celle-ci n'est pas la conséqu
près décisifs. Il existe chez notre malade un rétrécissement du champ
visuel
portant sur les deux yeux, régulièrement concentr
progressive des nerfs optiques, il y a aussi rétrécissement du champ
visuel
, mais c'est d'un rétrécissement inégal, à bords d
nels consécutifs à l'affection du nerf optique ou à celle des centres
visuels
. 1° Rétrécissement concentrique, inégal du cham
es centres visuels. 1° Rétrécissement concentrique, inégal du champ
visuel
. 2° Achromatopsie et dys-chromatopsie tabétique
2° Dyshromatopsie représentée par un simple rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs. Assez souvent la notion du r
on ne sort jamais. II n'en est pas tout à fait de même des troubles
visuels
liés à la névrite optique dans la sclérose en pla
ts de diagnostic. Le rétrécissement régulier et concentrique du champ
visuel
de l'hystérie contraste évidemment d'une manière
spondent les faits suivants : a Rétrécissement très prononcé du champ
visuel
, dans les deux yeux, mais rétrécissement inégal,
à stigmates, constitue en quelque sorte un symptôme banal ; b, Acuité
visuelle
dans l'œil droit 1/4, à gauche 1/6 (voir le schém
e qui suit (Voir le schéma n° 38) : 24 Le rétrécissement du champ
visuel
est beaucoup plus prononcé, surtout à droite, qu'
rononcé, surtout à droite, qu'il ne l'était il y a dix mois. L'acuité
visuelle
, elle aussi, a faibli D G Fig. 37. — m m m m
elle, elle aussi, a faibli D G Fig. 37. — m m m m m-mm — Le champ
visuel
pour le rouge. ..... == — pour le bleu. D G
..... == — pour le bleu. D G Fig. 38. — mm m m , m» — Le champ
visuel
pour le rouge. considérablement puisqu'elle n'e
ade, par l'existence d'un rétrécissement unilatéral très net du champ
visuel
et aussi par une série d'autres phénomènes dont i
le ressent souvent des bouffées de chaleur qui G Fig. 42. — Champ
visuel
de l'œil gauche. Le champ visuel de l'œil droit e
e chaleur qui G Fig. 42. — Champ visuel de l'œil gauche. Le champ
visuel
de l'œil droit est normal. lui montent au visag
manifestent les attaques. Il y a un double rétrécissement du champ
visuel
extrêmement accusé, et aussi prononcé à droite qu
avoir : ovarie,hémianalgésie droite et rétrécissement double du champ
visuel
. IV. Le quatrième cas de maladie de Basedow, su
oire motrice d'articulation, la mémoire motrice graphique, la mémoire
visuelle
et enfin la mémoire auditive du mot. La suppressi
xploration soit de la sensibilité cutanée, par exemple, soit du champ
visuel
ayant abouti constamment à la production d'une at
e la sensibilité générale ou spéciale, pas de rétrécissement du champ
visuel
en particulier. Notre cas d'aujourd'hui est donc
yperesthésie cutanée et profonde. En arrière, une Fig1. 56. — Champ
visuel
normal. Amaurose. Examen du 8 janvier 1889. G
du 8 janvier 1889. G Examen du 22 janvier 1889. Fig. 57. — Champ
visuel
de l'œil gauche. Celui de l'œil droit est normal.
l'étendue de la langue ; odorat aboli à gauche. Un examen du champ
visuel
pratiqué le 8 janvier 1889 fait reconnaître l'exi
ence d'une amaurose complète sans lésion organique à gauche, le champ
visuel
du côté droit étant normal. Quatorze jours après,
ce qui suit : rétrécissement très prononcé à gauche ; à droite, champ
visuel
normal. Dyschromatopsie complète à gauche etpolyo
où siègent l'anesthésie cutanée ainsi que le rétrécissement du champ
visuel
. Nous aurons l'occasion de revenir bientôt sur ce
ffaibli à gauche, goût aboli des deux côtés ; rétrécissement du champ
visuel
G Fig. 60. — Champ visuel de l'œil gauche.
es deux côtés ; rétrécissement du champ visuel G Fig. 60. — Champ
visuel
de l'œil gauche. beaucoup plus marqué à gauche
sensitive et sensorielle gauche, avec rétrécissement double du champ
visuel
à 50 et ovarie à gauche, Le 23 janvier, dans la
t chargé (voirlesfig. 62 et 63). Léger rétrécissement double du champ
visuel
, polyopie monoculaire à gauche avec micropsie ; d
—- Véritable hémianesthésie à droite : léger rétrécissement du champ
visuel
pour les deux yeux. Voy. les fig. 64, 65, 66, 67
nt sensitive mais encore sensorielle ; rétrécissement double du champ
visuel
, plus prononcé à gauche, pas de polyopie monocula
cette circonstance notée dans nos quatre observations que les images
visuelles
d'animaux, d'enterrements, ou de toute autre natu
ire affaiblie ; dyna^ momètre, 58,55. Rétrécissement double iuchamp
visuel
,Pha-rynx insensible, ob-mb. du goût, hemia-mthési
mémoire affaiblie, dyspepsie. Dynam.fâ, 21, Rétrécissement du champ
visuel
, Pha-rpœ insensible, goût affecté, hémianesthé-im
issement sexuel, Dynam., 18, 25 puis 45, 65. Rétrécissement du éamp
visuel
, pha-^nxinsensible, obnub. ^w goût, hémianes-thés
ffaiblissementsexuel, dynam. 10, 60 puis 25, Rétrécissement du lhmp
visuel
perte k goût, anesthésie Pharyngée, hémianes-th
est restée généralement infructueuse. Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Pas detroubles de l'odorat, de l'ouïe. Seul l'ex
t à remarquer que dans ce cas il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
. L'état mental particulier qui a rendu possible
malade à divers stigmates : hémianes-thésie, rétrécissement du champ
visuel
, etc., qui révèlent manifestement l'exis tence
i, par tous les moyens possibles, la représentation mentale,à la fois
visuelle
et motrice, des mouvements de la marche normale.
Les troubles sensoriels ne sont pas moins accusés. L'examen du champ
visuel
décèle qu'à droite il y amaurose complète, tandis
aurose complète, tandis qu'à gauche existe un rétrécissement du champ
visuel
très prononcé (à 15°). Il y a de plus microme-
me côté : fait remarquable' mais qui n'est pas sans exemple, le champ
visuel
de ce même côté gauche est normal tandis que du
t soumettre la région à une compression un peu D Fig. 81. — Champ
visuel
de l'œil droit, celui de l'œil gauche est normal.
y a un rétrécissement concentrique permanent, très prononcé du champ
visuel
(voir le schéma fig. 84). Tout cela est encore hy
s l'opinion qu'on ne pouvait pas se servir du rétrécissement du champ
visuel
pour distinguer l'hystérie de I'épilepsie, parce
it chez les épileptiques. Oui, sans doute, le rétrécissement du champ
visuel
se retrouve dans I'épilepsie, et nous le savons b
en même temps que le pharynx est insensible de ce même côté. Le champ
visuel
est un peu rétréci à droite (à 70°), beaucoup plu
sensitive et sensorielle, avec rétrécissement très prononcé du champ
visuel
; zone hystérogène ; aura suivie de perte de conn
hésie par moitié, les points hystérogènes, le rétrécissement du champ
visuel
et autres stigmates qui peut-être étaient présent
périeur droit, 25 kilos etpour legauchel7. Le rétrécissement du champ
visuel
n'a pas varié. L'anesthésiedumembre inférieur gau
faces antérieure et externe de la cuisse. Le rétrécissement du champ
visuel
persiste, mais on ne le retrouve plus qu'à gauche
cornée de ce même côté, mais sans rétrécissement bien marqué du champ
visuel
; un tremblement des extrémités dont il a déjà ét
a fait reconnaître ce qui suit : il existe un rétrécissement du champ
visuel
très développé dans les deux yeux, à 40° (voir le
celle-ci : l'hémi-hyperesthésie ainsi que le rétrécissement du champ
visuel
que nous venons de signaler, sont-ils l'expressio
troubles permanents de la sensibilité, pas de rétrécissement du champ
visuel
, de parésie, rien enfin qui rappelle l'attaque hy
ompagnés de ces troubles sensoriels, tels que rétrécissement du champ
visuel
, anosmie, agustie, etc., qui figurent, au contrai
s traces de lésions opthalmoscopiques, pas de rétrécissement du champ
visuel
. Aux parties génitales seules, la muqueuse du gla
is l'attaque elle-même. Il existe un rétrécissement double du champ
visuel
à 50 à droite, à 70 à gauche. Anosmie de la nar
e monoculaire et un rétrécissement concentrique et permanent du champ
visuel
(examen du 26 août), signes qui faisaient encore
rmique et le sens musculaire, un rétrécissement concentrique du champ
visuel
des deux yeux, l'abolition du goût dans toute la
des sens. — Vue. — Il existe un rétrécissement concentrique du champ
visuel
de l'œil gauche. Pas de dyschromatopsie. Micropsi
anesthésie du côté gauche; il n'y a plus de rétrécissement du champ
visuel
; le goût est normal, mais il y a encore une dimi
— Bâillement hystérique (Sensibilité)......... 8 Fig. 7. — — (Champ
visuel
)....... 9 74 Pages. Fig. 8- — Dyspnée hysté
Fig. 11 — et hystérie (Sensibilité).......... 33 Fig. 12 — (Champ
visuel
)......... 31 Fig. 13. — Hémiplégie hystérique (
Hémiplégie hystérique (Sensibilité)......... 47 Fig. 14 — — (Champ
visuel
)....... 49 Fig. 15.—Syndrome de Brown-Séquard (
paralysie infantile, hystérie (Sensibilité) . 97 Fig. 23 — — (Champ
visuel
) 98 Fig. 24. — Chorée aiguë grave (Tracé de la
pérature)..... 107 Fig. 25,26. — Epilepsie (Rétrécissement du champ
visuel
) . . . 120 Fig. 27.—Hystérie chez un saturnin (
térie chez un saturnin (Sensibilité) ....... 122 Fig. 28 — — (Champ
visuel
)...... 124 Fig. 29. — Chorée aiguë grave (Lésio
ns cardiaques) ....... 128 Fig. 30,31.'—H)stéro-neurasthénie (Champ
visuel
) ...... 137 Fig. 32. — Paralysie infantile (Lés
médullaires)............. 146 Fig. 34. — Ataxie et hystérie (champ
visuel
) .......... 159 Fig. 35 — — (Sensibilité)......
ques et hystérie (Sensibilité) . . . . 167 Fig. 37, 38 — — — (Champ
visuel
) . . . 168 Fig. 39. — Pachyméningite caéseuse d
l de Pott et hystérie (Sensibilité) . ,..... 185 Fig. 42 — — (Champ
visuel
) ..... 187 Fig. 43. 4L—Simulation hystérique du
hystérique du mal de Pott (Sensibilité) 193 Fig. 45 — * — — (Champ
visuel
) 196 Fig. 46.—Suspension dans le tabès. Apparei
stéro-neurasthénie (Sensibilité)........ 263 Fig. 56, 57 — — (Champ
visuel
) ........ 264 Fig. 53, 59 — — (Sensibilité)....
Fig. 53, 59 — — (Sensibilité)....... . . . 267 Fig. 60 — — (Champ
visuel
)........ 268 Fig. 61. — Attaque de sommeil (Cha
— — (Champ visuel)........ 268 Fig. 61. — Attaque de sommeil (Champ
visuel
)......... 272 Fig. 62, 63.—Tabès et hystérie (S
nsibilité)........... 280 Fig. 64,65. — Hystéro-neurasthénie (Champ
visuel
)....... 290 Fig. 66, 67 — — (Sensibilité)......
90 Fig. 66, 67 — — (Sensibilité).......... 291 Fig. 68 — — (Champ
visuel
........ 294 Fig. 69, 70 — — (Sensibilité)......
77. — Hystérie mâle (Sensibilité)............. 396 Fig. 78 — (Champ
visuel
........... 397 Fig. 79, 80 -« (Sensibilité)....
97 Fig. 79, 80 -« (Sensibilité)............. 401 Fig. 81 — (Champ
visuel
)........... 402 Fig. 82, 83. — Hystérie, épilep
e, épilepsie et morphinisme (Sensibilité). . 422 Fig. 84 — — (Champ
visuel
) . 423 Fig. 85, 86, —Hystérie mâle. Phases de l
e de foudroyés ethyslérie (Sensibilité) . . 454 Fig. 98. — — (Champ
visuel
) 455 Fig. 99. —Tic convulsif et chorée chroniqu
que (Tracé des mouvements) 466 Fig. 100. — Abasie trépidante (Champ
visuel
).......... 477 Fig. 101, 102 — (Sensibilité....
x accès chez une jeune épileptique de 15 ans. Rétrécissement du champ
visuel
après les accès................ 117 3°. Hystéri
bone, 370. Cervelet (Maladies du) et Abasie, As-tasie, 474. Champ
visuel
(Rétrécissement du), 138.— dans la Sclérose en pl
ambulatoire, 303 sq. 310, 320 sq.— (Bâillement dans 1'), 5. — (Champ
visuel
dans 1'), 31, 119, 423. — Etat de mal, 113, 239.
rau-matique, 322. — et Alcoolisme, 95. — et Rétrécissement du champ
visuel
, 31. Epilepsie et Hystérie. — Différence des at
ussi, Attaques de sommeil, hystérie mâle, hystéro-neurasthénie. Champ
visuel
, Contractures, rêves,etc., etc. Hérédité). — Achr
Bruits laryngés dans 1'), 4, 6. — (Cadence des accidents), 5. — Champ
visuel
, 31, 159, 165, 423. — Chez les misérables,285. —
lérose en plaques. — Achromatopsie, 165,169. — Amaurose, 164. — Champ
visuel
, 165, 167. — Démarche, 170. — Diplopie, 164, 16
rises gastriques, 333, 336. — Atrophie des nerfs optiques,158.— Champ
visuel
, 159, 165.— Crises gastriques, (Voy. crises gastr
es, 155, 278. — Douleurs fulgurantes, 154,201, 277, 278, 279. — Champ
visuel
, 165. Tabes et hystérie. —161,277, sq. 281.— St
ert, 287. Vigouroux, 58, 239, 383, 503. Viguès, 54. Virghow, 234.
Visuel
(Rétrécissement du champ). — (Voy. Champ visuel
54. Virghow, 234. Visuel (Rétrécissement du champ). — (Voy. Champ
visuel
). Voisin (Jules), 64, 70, 325. Volkmann, 202.
it pas, il fallait que pour l'oreille et le larynx, pour l'appareil
visuel
, pour l'appareil Il ri- naire, les méthodes d'e
orme, il faut éprouver séparément chacune de ces diverses fonctions
visuelles
. Il arrive souvent, en pathologie, que l'une des
E LA VISION CENTRALE Vision centrale pour les formes. - ' (Acuité
visuelle
centrale.) . L'acuité visuelle centrale peut êt
trale pour les formes. - ' (Acuité visuelle centrale.) . L'acuité
visuelle
centrale peut être mesurée soit en plaçant devant
des images de même dimension. Cela prouve que pour prendre l'acuité
visuelle
, il faut tenir compte de la distance entre l'oe
N DU NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 3 de ces deux procédés. L'acuité
visuelle
se mesure à l'aide d'objets de -1 grandeurs dif
g. 2). Partant de ce principe convention- nel, que l'unité d'acuité
visuelle
correspond à un angle de 55°, au-dessus de chaq
ne .acuité normale. ' Manière de procéder pour prendre l'acuité
visuelle
avec une échelle typo- graphique placée à 5 mèt
es plus grosses lettres. Quand il s'arrête, la mesure de son acuité
visuelle
centrale est donnée par une fraction ayant comm
alade, placé à 5 mètres, ne lise que la seconde ligne, son acuité
visuelle
sera ne UJalalle peut, être incapable, il 7 mèt
ocher il mi-chemin du tableau Il lit )a première ligne. S611 acuité
visuelle
est de 50 = 20' deux fois moindre que s'il lisa
l laquelle les . lettres devraient être lues par un oeil d'acuilé
visuelle
nor- male. ! 4 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPARE
le. ! 4 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Quand l'acuité
visuelle
est plus faible encore, on se contente de reche
ifficultés à connaître et à surmonter dans la recherche de l'acuité
visuelle
centrale. -Le but de l'épreuve précédente est de
ntre l'objet et la rétine, vient s'interposer un élément de trouble
visuel
. C'est précisément ce qui a lieu dans les états
e sensibilité rétinienne. On recherche si la diminution de l'acuité
visuelle
est proportionnelle aux opacités constatées, ou b
re elles. La chose est très différente si la diminution de l'acuité
visuelle
est causée par des vices de réfraction. Dans ce
n, éliminer la cause du trouble èt obtenir avec exactitude l'acuité
visuelle
. ' Correction des vices de réfraction. La corre
ui pourra, dans presque tous les cas, permettre de mesurer l'acuité
visuelle
centrale. - Il faut, pour cela, une boite de ve
cas il y a probabilité de lésions oculaires. Cependant, le trouble
visuel
peut encore être dù à de l'astig- matisme. Donc
ecteurs est du plus grand secours dans la détermination de l'acuité
visuelle
. Sans les verres, il est plus difficile de répo
iais cette couleur est vue dès que l'objet se déplace dans le champ
visuel
en dehors du point de fixation. Les éléments ne
lant de la périphérie au centre comme pour la délimitation du champ
visuel
. On peut de la sorte, non seulement constater l
t varier l'éclairage. EXPLORATION DE LA VISION PÉRIPHÉRIQUE Champ
visuel
. Lorsque nous fixons un point de l'espace avec no
le point fixé vicn- l'ig. 6. Schéma pour montrer la forme du champ
visuel
. L'oeil fixant le point 0, les objets environna
vont fairc imago sur la rétine périphérique. Ils sont dans le champ
visuel
. \, X2, sections faites dans le champ visuel à di
Ils sont dans le champ visuel. \, X2, sections faites dans le champ
visuel
à diverses dis- tances de l'oeil. Fig. 7. - S
s de l'oeil. Fig. 7. - Schéma représentant la projection des champs
visuels
de l'OD et de l'OG. La zone blanche marque le c
champs visuels de l'OD et de l'OG. La zone blanche marque le champ
visuel
pour le blanc. Le trait plein marrlne la limite
eut ainsi embrasser autour du point de fixation, autour de la ligne
visuelle
, c'est le champ visuel. ' Le champ visuel com
r du point de fixation, autour de la ligne visuelle, c'est le champ
visuel
. ' Le champ visuel comprend une portion de l'es
n, autour de la ligne visuelle, c'est le champ visuel. ' Le champ
visuel
comprend une portion de l'espace en forme de cône
eil (fig. 6). Les sections de ce cône perpendicu- laires à la ligne
visuelle
sont d'autant plus grandes qu'elles sont faites
présentée sur le schéma (fig. 7). ' Limites périphériques du champ
visuel
. (Étendue du champ visuel.) Pour cette explor
g. 7). ' Limites périphériques du champ visuel. (Étendue du champ
visuel
.) Pour cette exploration on se sert d'un instru
on sur papier, la représentation gra- phique d'une section du champ
visuel
perpendiculaire à la ligne visuelle. Il se plac
ra- phique d'une section du champ visuel perpendiculaire à la ligne
visuelle
. Il se place en avant du malade et peut ainsi s
ers le centre de l'arc. Au mo- ment où il pénètre dans le champ
visuel
, il est perçu. Un note le degré sur l'arc et on
champ vi- suel. Dans le cas pris pour exemple, on obtient un champ
visuel
rétréci. [POULARD] Fig. 9. - Manière de prend
p visuel rétréci. [POULARD] Fig. 9. - Manière de prendre le champ
visuel
il 1 mue du périmètre (Morax). 1'in. 10. Reh'
OCULAIRE. Au début de certaines atrophies du nerf optique, le champ
visuel
ne présente à sa périphérie que de légères irré
i on se contente, comme cela est trop fréquent, d'explorer le champ
visuel
dans un petit nombre de méridiens, par exemple,
Autrement on ne peut affirmer catégoriquement l'intégrité du champ
visuel
. " On voit, en effet (fig. 10), que l'encoche a
e la figure 7 sur lequel est représentée l'étendue moyenne dn champ
visuel
physiologique. Cela facilite la comparaison entre
amp visuel physiologique. Cela facilite la comparaison entre champs
visuels
normaux et pathologiques. Champ visuel en deç
comparaison entre champs visuels normaux et pathologiques. Champ
visuel
en deçà de ses limites périphériques. , (Recher
che des lacunes.) Il ne suffit pas de déterminer l'étendue du champ
visuel
. En effet, dans bien des circonstances patholog
tances pathologiques, un objet, .visible à la péri- phérie du champ
visuel
, cesse d'être perçu dans un point moins excen-
nt moins excen- trique, pour reparaître en d'autres points du champ
visuel
. Il existe, dans l'intérieur du champ visuel, u
autres points du champ visuel. Il existe, dans l'intérieur du champ
visuel
, une zone au niveau de laquelle un objet n'est
u. C'est ce qu'on appelle un scotome, ou mieux, une lacune du champ
visuel
. - Pour déterminer l'existence et le siège de c
à fait analogue à celle employée pour déterminer l'étendue du champ
visuel
. Seulement, n'arrêtez pas l'index blanc sur l'a
ment où il commence à être perçu, c'est-à-dire à la limite du champ
visuel
; laissez-le continuer son chemin vers le centre
ontinuer son chemin vers le centre de l'arc, pénétrez dans le champ
visuel
, et, marchant lentement vers le centre de l'arc
ériphérique, serait d'employer, comme pour la recherche de l'acuité
visuelle
centrale, des index parcourant l'arc périmétrique
s de différentes grandeurs. Mais la faculté dissociatrice, l'acuité
visuelle
pour les formes de* la rétine périphérique est
nt de la même façon que pour la détermination de l'étendue du champ
visuel
; mais, au lieu d'employer des index blancs volu
index blancs, constater l'existence de lacunes ou scotomes du champ
visuel
, dits scotomes relatifs. Dans les scolomes abso
formes, l'est beaucoup plus aux couleurs. - Fréquemment un champ
visuel
normal pour le blanc est rétréci pour les coule
blanc est rétréci pour les couleurs, car le rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs ne suit pas forcément le rétr
pour les couleurs ne suit pas forcément le rétrécissement du champ
visuel
pour le~ blanc. , A l'état physiologique, les
champ visuel pour le~ blanc. , A l'état physiologique, les champs
visuels
des couleurs sont concen- triques les uns aux a
es, cet ordre physiologique peut être modifié (inversion des champs
visuels
pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik TROU
ité de la rétine péri- phérique aux couleurs, de « prendre le champ
visuel
des couleurs ». La chose est fort simple et dif
iffère à peine de la méthode employée pour l'explo- ration du champ
visuel
avec l'index hlanc. On procède de la même .façon.
'on a rarement l'occasion de faire, se pratique comme pour le champ
visuel
; mais, au lieu d'un index blanc, on emploie un
en savoir qu'une lésion intra-oculaire réelle, amenant des troubles
visuels
subjectifs, peut assez souvent ne produire aucu
des affections qu'il faut éliminer avant d'affirmer que le trouble
visuel
est le résultat d'une lésion des voies optiques
de l'arc périmétrique. finis ces conditions, la pupille et la ligne
visuelle
de l'oeil sain se dirigent vers l'objet 0; tandis
sain se dirigent vers l'objet 0; tandis que la pupille et la ligne
visuelle
de l'oeil strabique se portent dans une autre d
Pour mesurer cet angle, il suffit d'établir en quel point la ligne
visuelle
a li rencontre l'arc périmétrique. Pour cela l'
i- mètre donne, en degrés, la mesure de l'angle d que fait la ligne
visuelle
déviée avec la ligne visuelle en direction norm
mesure de l'angle d que fait la ligne visuelle déviée avec la ligne
visuelle
en direction normale c'est ce qu'on appelle Y a
éparation, et on reporte sur le schéma tpii sert à prendre le champ
visuel
. , Même épreuve pour l'excursion temporale de l
s parallèles (tout à fait analogue comme forme aux schémas du champ
visuel
), est placé à ? 2 du sujet à examiner. . La têt
marqués en quadrillé. 21 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
visuelle
. Il se fait d'ailleurs dans les mêmes conditions,
xes, comme elle est indi- quée à propos de la recherche de l'acuité
visuelle
. Essayez d'abord la série des concaves, ensuite
: 1° le verre concave le plus faible qui donne la meilleure acuité
visuelle
, ou bien : 2" le verre convexe le plus ¡l : J1'
verre convexe le plus ¡l : J1't.<¡ui : donne le maximum d'acuité
visuelle
. L'oeil, ainsi muni de son verre, est rendu emm
e sert du périmètre. L'oeil est placé comme pour l'examen du champ -
visuel
, l'arc périmétrique est dans le plan vertical.
chapitre, la manière de procéder à cette éli- mination (Voir Acuité
visuelle
). Actuellement je ne m'occupe que des diminutio
mblyopie, dans le sens large, signifie toute diminution de l'acuité
visuelle
quelle qu'en soit la cause (lésions du globe oc
se trouver modifiée sous diverses influences (') : ' 1 ° Troubles
visuels
par action dynamique sur l'accommodation (spasm
commodation (spasme..., asthénopie, etc.). Dans ce cas les troubles
visuels
ne sont nullement le résultat d'une lésion des
me, mais elles n'ont point de rapport avec l'hystérie. 71° Troubles
visuels
par action dynamique sur le système nerveux opt
jours hémianesthésic du côté correspondant. Rétrécissement du champ
visuel
du côté opposé. L'oeil, amblyope à l'état isolé,
'oeil, amblyope à l'état isolé, fonctionne 1. Beaucoup des troubles
visuels
que je signale ici n'ont rien il faire avec l'hys
général, sur la vision péri- phérique (Voir RÉTRÉCISSEMENT du champ
visuel
) , quelquefois sur la vision centrale et périph
gnes oculaires les plus importants attribués à l'hystérie : Champ
visuel
du rouge et des autres couleurs plus étendu que c
nts facteurs de convergence; Rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Cette énumération, longue mais encore incomplè
organisme, paraissant agir par action réflexe, amènent des troubles
visuels
avec dimi- nution de la vue. A) Troubles ocul
ennent des obscurcissements de la vue, un rétrécis- sement du champ
visuel
, souvent de la photophobie, des douleurs, du la
organes génitaux exerce sur eux une bonne influence. B) Troubles
visuels
dans les affections de la face (nerf trijumeau).
flammation, cicatrices) peut avoir un effet analogue. C) Troubles
visuels
par vers intestinaux. Il manque des observa- ti
lyopie fréquemment signalée par les anciens auteurs. Les troubles
visuels
que nous avons, suivant l'usage, groupés sous le
, ne sont pas seulement constitués par une altération des fonctions
visuelles
de la rétine. En même temps qu'une diminution d
me temps qu'une diminution de la vue, et un rétrécissement du champ
visuel
, il peut y avoir photophobie, douleurs, larmoie
actéristique de l'amblyopie nicotino-alcoolique (flg. 54). L'acuité
visuelle
s'atténue jusqu'à 1,10 cl au delà. Les signes oph
ium, la belladone, la quinine, le salicylate de soude. Les troubles
visuels
dus à l'intoxication saturnine sont souvent le
minutieux ne révèle aucune lésion ophtalmoscopique, et les troubles
visuels
rentrent dans le groupe des amauroses. , Le pro
l'amblyopie ou l'amaurose se développent brusquement. Les troubles
visuels
causés par la quinine, l'opium, la belladone, le
pigmentaire) et d'un rétrécissement souvent consi- dérable du champ
visuel
est d'ordinaire congénitale et augmente d'inten-
s classifications étiologiques actuelles. n LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
côté des affections qui atteignent la totalité
des fibres de la voie optique et par suite toute l'étendue du champ
visuel
, il en. est d'autres, plus nombreuses, qui touc
des fibres optiques . et n'altèrent que certaines portions du champ
visuel
. ' La destruction d'une partie des fibres optiq
entraîne toujours la perte ue la vision aans une partie du champ
visuel
, elle produit une lacune dans le champ visuel.
une partie du champ visuel, elle produit une lacune dans le champ
visuel
. Les objets placés au niveau de cette lacune,
ces des lacunes. En effet, les affections qui entamant. le .champ
visuel
ne le font pas au hasard, mais d'une manière sp
SUEL..59 rique concentrique ou rétrécissement concentrique du champ
visuel
(fig. 55) ; : lacunes périphériques irrégulière
une périphérique concentrique ou rétrécissement concentrique du champ
visuel
t) , (Morax). - Fig. 58. Lacunes périphérique
acunes périphériques en encoches.; rétrécissement irrégulier du champ
visuel
(Morax). ' Fig : 57. - Lacunes- intermédiaire
s subjectifs sa réduisent, en général, à une diminution de l'acuité
visuelle
; dans d'autres circonstances, le malade constate,
'une interruption des rayons lumineux entre l'objet et les éléments
visuels
(cône et bâtonnets). Une lésion, une hémorragie p
aisseur de ses couches superficielles sans destruction des éléments
visuels
, peut réaliser ces conditions. Le malade voit s
t leur entrée ou à leur entrée dans l'oeil. - LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. 4't portion AB de la rétine, sans donner lieu
e les scotomes objectifs du groupe de scotomes ou. lacunes du champ
visuel
. , ' La diminution de l'acuité visuelle central
otomes ou. lacunes du champ visuel. , ' La diminution de l'acuité
visuelle
centrale peut être plus ou moins grande. Le sco
e périphérique concentrique ou rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Le rétrécissement concen- trique du champ visu
entrique du champ visuel. Le rétrécissement concen- trique du champ
visuel
pour le blanc est fréquent dans l'hystérie, dont
é. Il est, de plus, très changeant, très mobile; l'étendue du champ
visuel
peut varier dans des proportions considérables
x examens successifs ne donnent pas les mêmes résultats. Le champ
visuel
varie encore .avec la manière dont on fait l'exam
Une augmentation d'éclairage diminue quelquefois l'étendue du champ
visuel
, une. diminution d'éclairage l'augmente. Il est
'il faut retenir de tout cela, c'est la grande variabilité du champ
visuel
hystérique sous des influences multiples, parfois
apparence contradictoires. Ne voit-on pas des hystériques, au champ
visuel
extrêmement rétréci, n'être nullement gênées da
come) produit une gène considérable. , Le rétrécissement du champ
visuel
de nature hystérique porte égale- ment sur les
er un rétrécisse- ment concentrique plus ou moins régulier du champ
visuel
(altérations du nerf optique, rétinite pigmenta
toujours des irrégularités dans les limites périphériques du champ
visuel
, il vaut mieux, pour établir le diagnostic, s'e
nerveux optique situé en avant du olrirrwan, LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. AT, lésions du nerf optique (névrite, atrophie
e se voit qu'à une période avancée. En présence d'encoches du champ
visuel
sans lésions rétiniennes, sans lésions papillai
aires H011OLATÉRALES. 11B111A\OPSIE. L'hémianopsic est un trouble
visuel
résultant de la lésion des voies optiques au ni
mi-rétines droites. D'où cécité de la partie gauche des deux-champs
visuels
.' C'est l'hémianopsie Ir.onzo- latérale gauche.
eux côtés. D'où cécité dans lapbrtion temporale des deux champs
visuels
. C'est l'laémianopsie hé- té°olaté°ale bitemp
ne lésion unique ne peut amener de troubles bilatéraux du champ
visuel
, que si elle siège au niveau ou au delà du ch
. 'En Irait plein : voies optiques de gauche. LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. 45 missent tout d'un coup, comme par enchantem
e d'une ligne à la suivante. Très nombreux sont les autres troubles
visuels
éprouvés par l'hémiano- pique conscient de son
roduit si la projection est faite dans la partie conservée du champ
visuel
; pas de clignement si la projection s'exécute d
nement si la projection s'exécute dans la partie manquante du champ
visuel
. On présente à t'hemianopsique une ligne droite
Puis, il promène ses deux mains en agitant ses doigts dans le champ
visuel
à droite et il gauche du ma- lade, en allant pr
e peut être faite avec un papier blanc que l'on agite dans le champ
visuel
. Mais ce sont la des moyens grossiers et il vau
et la forme de l'hémianopsie. (Voir p. 10.) , Caractères du champ
visuel
dans l'hémianopsie. L'examen périmétrique et la
ques) et les portions manquantes (portions hemianopsiques) du champ
visuel
. Il est facile de constater que les schémas ne
de démarcation entre portion restante et portion manquante du champ
visuel
est absolument verticale et passe exacte- ment
nt de fixation (fig. 41, C). 5" Plus rarement, les lacunes du champ
visuel
sont beaucoup plus étroites et prennent les for
oitiés droites, ou toutes clans les moitiés gauches des deux champs
visuels
. On les dénomme d'ordinaire scotomes symétriques.
rales . Exceptionnellement, il peut y avoir rétrécissement du champ
visuel
restant, ce qui modifie l'aspect de l'hémianops
-être une hémianopsie véritable avec rétrécissement d'un des champs
visuels
restants. Persistance de la vision centrale. Da
représentation maculaire. Si la vision centrale persiste, le champ
visuel
n'existe pour ainsi dire plus, il est réduit à
cule quadrijumeau antérieur, que se trouvent les centres ré- tlexcs
visuels
et spécialement le centre réflexe pupillaire. La
d'une bande longeant le méridien vertical. " LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. MI . - Fig. 41 (D). Hémianopsie en secteurs ho
ns l'hémia-, nopsic bitemporale, les portions temporales des champs
visuels
font défaut; sur le schéma, ce trouble visuel p
emporales des champs visuels font défaut; sur le schéma, ce trouble
visuel
prend l'aspect de la figure 42, A. Les troubles
, ce trouble visuel prend l'aspect de la figure 42, A. Les troubles
visuels
qui résultent de l'hémianopsie bitemporale sont
ffet plus difficile de se passer de la portion temporale des champs
visuels
que de leur portion nasale, celle-ci étant beau
uvent, dans cette forme d'hémianopsic, la portion restante du champ
visuel
est altérée, plus ou moins rétrécic. Il peut y av
e d'un oeil avec hémianopsie du côté opposé. Assez souvent l'acuité
visuelle
centrale est diminuée, elle peut même baisser c
ans l'hémianopsie binasale, c'est la portion nasale des deux champs
visuels
qui fait défaut (fig. 42, C). La gêne visuelle
asale des deux champs visuels qui fait défaut (fig. 42, C). La gêne
visuelle
est dans ce cas moins accentuée que dans l'hémi
ntuée que dans l'hémianopsie bitemporale. ' LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. ' ' -51 La perte des moitiés nasales des deux
CHAMP VISUEL. ' ' -51 La perte des moitiés nasales des deux champs
visuels
, comme d'ail- leurs la perte des deux moitiés t
la perte de deux moitiés homolatérales droite ou gauche des champs
visuels
. D'ailleurs, l'hémianopsie binasale comme l'hém
Elle est souvent précédée d'un ictus. La moitié restante du champ
visuel
empiète assez souvent sur la moitié aveugle (fi
quelle le malade, ne peut ni parler, ni : " - LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
.. 55 écrire, et comprend plus ou moins incomplè
le plus souvent au niveau du lobule lingual. Elle coupe les fibres
visuelles
et en même temps vient toucher légèrement, pren
ir page Aphasies). , Cécité psychique. C'est la perte de la mémoire
visuelle
des choses. Le malade voit, mais ne reconnaît p
t. Ce trouble ne paraît être qu'une forme de la perte de la mémoire
visuelle
et doit rentrer dans le groupe des aphasies. ,
s le champ aveugle. On a observé des photopsies, des hallucinations
visuelles
. , Hémianopsie par lésion des ganglions centrau
e corps genouillé amenant des scotomes infé- rieurs dans les champs
visuels
. Hl'I1chen admet d'ailleurs une projection réti
sez souvent une modification dans la forme et LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. i : , l'étendue des champs visuels restants, l
forme et LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. i : , l'étendue des champs
visuels
restants, la dégénérescence atrophique des nerf
nérescence atrophique des nerfs optiques, la diminution de l'acuité
visuelle
centrale, la paralysie concomitante de certains
chiasma, dans le point où se donnent rendez-vous toutes les libres
visuelles
, puisse facilement, par extension, loucher la t
tique. - D'ordinaire. une atrophie du nerf optique atteint le champ
visuel
sur tout son pourtour. Cependant il peut arrive
ccentué dans une moitié ou dans deux moitiés homolatérales du champ
visuel
. Mais ces rétrécissements n'ont pas la netteté
téraux et rarement symétriques, quand il y a bllatéralité; le champ
visuel
restant est presque toujours for- tement altéré
uve à l'origine d'un grand nombre de maladies LACUNES DANS LE CHAMP
VISUEL
. 37 7 nerveuses et particulièrement du tabes, c
t n'a pas perdu toute sensation dans la portion atteinte des champs
visuels
. La migraine ophtalmique est d'ail- leurs produ
l'hémianopsie (urémie, migraine ophtalmique) n'ont, au point de vue
visuel
, aucune gravité, elles guérissent toujours; tou
roduit le scotome. L'existence d'une lacune dans l'étendue du champ
visuel
prouve que la région de la rétine chargée de pe
chargée de percevoir les objets placés dans cette portion du champ
visuel
ne fonctionne plus, qu'elle est aveugle. Cette
altérée de la rétine est toujours située dans le point où la ligne
visuelle
partant de l'objet fixé et passant par le centre
n subjectif, d'après le siège et l'étendue du scotome dans le champ
visuel
, de déterminer le siège et l'étendue de la lési
lle en dehors de sa situation habituelle. A l'étal normal, la ligne
visuelle
, allant de l'objet à la macula passe près du ce
l (allongement, myopie; raccourcis- sement, hypermétropie) la ligne
visuelle
peut passer légèrement en dedans ou en dehors d
nt soin que l'image du bras n'arrive point' assez tôt dans le champ
visuel
pour êti-e elle-même faussement projetée) le doig
n centre postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la zone.*
visuelle
occipitale. Les impressions sensitives générale
mètre environ, sur une ligne formant un angle de 45° avec la ligne
visuelle
. L'observé, regardant toujours devant lui, est en
o- teurs, troubles sensitifs par compression du trijumeau, troubles
visuels
par altération du nerf optique, exophtalmie, et
s complications, sou- vent graves, pouvant entraîner des troubles .
visuels
considérables et même la perte de l'oeil. La
sieurs directions, les champs du regard sont modifiés. Les troubles
visuels
qui résultent du nystagmus sont souvent inappré
nystagmus congénital s'accompagne d'un affaiblissement de l'acuité
visuelle
. Les troubles visuels sont très variés : troubl
'accompagne d'un affaiblissement de l'acuité visuelle. Les troubles
visuels
sont très variés : troubles des milieux oculaires
sion oculaire plutôt que telle autre, mais l'altération de l'organe
visuel
quelle qu'en soit la cause (hémorrhagie, choroï
s cependant, on rencontre un nystagmus congénital avec bonne acuité
visuelle
. 11 apparaît dans le regard inattentif, et dis- ,
J'ai souvent constaté chez des personnes adultes ayant un appareil
visuel
parfaitement intact, du nystagmus très léger da
stagmus) qui accompagne les rétrécissements très accentués du champ
visuel
, tous les autres nystagmus accompagnent des aff
péciale de nystagmus dans le rétrécissement considé- rable du champ
visuel
, chez des personnes aveugles ou presque aveugles.
toujours liée à des alté- rations importantes de l'appareil nerveux
visuel
, microphtalmie, colo- bomes, nystagmus, altérat
s rare, s'accompagnant toujours d'une grande diminution de l'acuité
visuelle
. Les différentes couleurs du spectre sont vues
. - . Le daltonisme se rencontre chez des personnes dont l'appareil
visuel
est d'ailleurs parfaitement normal. L'examen
vitré), bien que produisant une diminution considérable de l'acuité
visuelle
, n'altèrent point la vision des couleurs, s'il n'
variables la dyschroma- tohsic : rétrécissement irrégulier du champ
visuel
pour les couleurs, lacunes d'achromatopsie, etc
ophtatmoscopiques, par de t'hemeratopie, un rétrécissement du champ
visuel
considérable pour toutes les couleurs et même l
. Pierre Marie a vu dans l'hémianopsie, certaines portions du champ
visuel
manquant , revenir pour le blanc et continuer à
caractérisés par le rétrécissement, même par l'inversion des champs
visuels
des couleurs (p. 54). L'exploration de la visio
pour une ou plusieurs couleurs, porte sur toute l'étendue du champ
visuel
, quand toutes les portions de l'appareil chromo-p
rception des couleurs ne fait défaut qu'en certains points du champ
visuel
correspondant il certaines portions seulement de
s conditions on procède d'une tout autre façon. On explore le champ
visuel
il la périphérie, au centre et dans les régions i
és, comme je l'ai indiqué à la technique de, explo- ration du champ
visuel
(p. 7 et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t
sagères. Très souvent, dès le début, le malade éprouve des troubles
visuels
passagers, des obscurcissements brusques de la
de, bien que valide par ailleurs, ne peut sortir seul. Les troubles
visuels
l'arrêtent brusquement dans sa marche. En quelque
ges brusques et fugaces; diminution progressive de la vue; l'acuité
visuelle
centrale [POUIARn.] 122 TROUBLES NERVEUX DE L
n.] 122 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le champ
visuel
se modifie dans sa forme et dans son étendue e
lité. Il existe souvent une grande disproportion entre les troubles
visuels
et l'intensité des lésions ophtatmoscopiqucs ;
ymptômes subjectifs : Diminution progressive de la vision. L'acuité
visuelle
centrale tombe, le champ visuel se modifie dans s
rogressive de la vision. L'acuité visuelle centrale tombe, le champ
visuel
se modifie dans sa l'orme et son étendue (rétré
eurs sous-corticales (p. 55); Cécité psychique (perte de la mémoire
visuelle
des choses) (p. 55). Tumeurs cérébrales central
ner qu'une hémi-surdité analogue a l'hémiopic des lésions du centre
visuel
. Lorsqu'il existe de la surdité croisée, c'est
tent que les affections de l'oreille diminuent fréquemment l'acuité
visuelle
. Le phénomène le plus intéressant est celui de
d'ailleurs assez rare, qui consiste dans ce fait qu'une impression
visuelle
succède à la perception d'un son, note musicale,
e l'existence de fibres commissurales reliant entre eux les centres
visuel
et auditif; pour quelques-uns cependant, elle s
sont la suite. Les plus fréquents de ces troubles sont des troubles
visuels
; ils consistent . en impressions lumineuses 'pl
emble de notre corps par rapport au monde extérieur. Les sensations
visuelles
ont dans cette dernière notion une part beaucou
ne détermineront guère à eux seuls un vertige notable; les troubles
visuels
ou auditifs purs le provoqueront bien plus aisé
'oreille et du cervelet et peut- être de quelques lésions des voies
visuelles
, on voit combien la patho- génie de la plupart
la tête tombe »). Celle maladie est caractérisée, par des troubles
visuels
avec vertige plus ou moins net, par des parésie
parésies passagères et par des douleurs verté- brales. Les troubles
visuels
consistent en diplopie, photopsie, photo- phobi
membres, accom- pagnent ordinairement les parésies et les troubles
visuels
. Tous ces symptômes surviennent par accès qui d
e suite. Les causes occa- sionnelles semblent, être des excitations
visuelles
vives, des contractions musculaires violentes o
sset). Dans l'un et l'autre cas, des symptômes variables, auditifs,
visuels
, gastriques, laryngés, etc., précurseurs de l'a
tre par lésion cérébelleuse. Ce vertige peut être parfois d'origine
visuelle
par paralysie oculaire; il semble pouvoir être
e un les racines de l'auditif. Il peut être dû aussi à des troubles
visuels
(diplopie, nystagmus, etc.). Un voit que la p
e continuelle, les bruits subjectifs permanents, les hallucinations
visuelles
, les culbutes subjectives répétées, le déséquilib
sateurs nystagmiformes qui se produisent il ce moment. 2" Vertige
visuel
. Le passage rapide devant les yeux d'objets qui
surtout en sensations d'instabilité, en obnubilations avec trouhles
visuels
et audi- tifs subjectifs. Il est difficile de s
ues pendant la bromura- tion (Charcot). H est précédé de sensations
visuelles
et auditives diverses et peut affecter toutes l
st moins profond. Des appels réitérés, des excitations' cutanées ou
visuelles
amènent quelque réf1l'xc ou même quelque mouvez
pour les chiffres et les nombres. fi) Examen de la vision. L'acuité
visuelle
est-elle suffisante ? Existe-t-il de l'héiuiano
'héiuianopsie ? de 1 hemiachromatopsie ? du rétrécissement du champ
visuel
? IV. Examen de l'écriture. a) Écriture spontan
z fréquemment, dépend de l'extension des lésions vers le territoire
visuel
du cuneus. L aphasique de Wernicke. ne présente
mbrasser tous. Ainsi, un malade peut présenter une agnosie tactile,
visuelle
, olfactive, gustative, l'agnosie audi- tive fai
eux. l'objet sera immédiatement et exactement nommé. Dans l'agnosie
visuelle
, le crayon sera déclaré rouge ou noir, allongé,
alper seul le reconnaître; en tant que crayon. De môme, l'agnosique
visuel
décrira les caractères objectils visuels d'une so
rayon. De môme, l'agnosique visuel décrira les caractères objectils
visuels
d'une sonnette, sans pou- voir la nommer avec l
et les névritiques d'ordres divers. Les autres agnosies, l'agnosie
visuelle
pure, l'agnosie visuelle associée à l'agnosie t
res divers. Les autres agnosies, l'agnosie visuelle pure, l'agnosie
visuelle
associée à l'agnosie tactile, gustative, etc. s
l'agnosie tactile des paralysies motrices ou sensitives, l'agnosie
visuelle
des cécités périphériques ou corticales (hémian
malades qui voient des flammes, des lueurs, ont des hallucinations
visuelles
élémentaires; les malades qui voient des assassin
er- cueils, des apparitions mystiques, etc., ont des hallucinations
visuelles
différenciées communes. Les hallucinations verb
tions visuelles différenciées communes. Les hallucinations verbales
visuelles
existent, mais sont très rares. Les hallucinati
es hallucinations peuvent n'intéresser qu'une seule moitié du champ
visuel
(hallucinations lrénrioliclues). Certains auteurs
paroles, non plus sous la forme d'images sensorielles auditives ou
visuelles
, de mots entendus ou lus, mais sous la forme d'
un individu qui écoute ; le malade, qui présente des hallucinations
visuelles
, a souvent la tête en rotation, le regard fixe.
ur les images auditives, puis pour la mémoire olfactive; la mémoire
visuelle
est en général peu développée'. La mémoire motr
locales, et, d'autre part,. sur une association d'idées (souvenirs
visuels
) acquises par l'expérience. Une excitation périph
ppareils sensoriels que nous possédons; il existe donc des agnosies
visuelles
, des agnosies auditives, olfactives, tactiles et
orielles. Pour la vue, il n'en est pas de même, car les impressions
visuelles
n'ont qu'une repré- sentation corticale unilaté
icale unilatérale; aussi, lorsqu'une lésion aura détruit les libres
visuelles
cérébrales d'un côté, il en résultera pour la vis
la vision un trouble définitif et irrémédiable. C'est il ce trouble
visuel
, observé chez les hémiplégiques, qu'on donne le
, comme son nom l'indique, en une suppression de la moitié du champ
visuel
binoculaire. du même côté que 1w TROUBLES DE LA
(perte de la moitié [ROUSSY.] ] : 'il () SENSIBILITÉ. du champ
visuel
, des deux yeux du côté opposé il la lésion, du mê
de en arrière jusqu'au niveau du pli courbe, et sectionne les voies
visuelles
. L'hémianopsie n'est pas un signe de localisati
stante et s'accompa- gnant d'amblyopie avec rétrécissement du champ
visuel
, d'agueusie. d'anosmie et de surdité, l'hémiane
t dans les mouvements associés (Raymond), les troubles pupillaires,
visuels
, auditifs, les désordres ataxiques sont les dif
manchon, anesthésie cornéenne et pharyngée, rétrécissement du champ
visuel
, etc., sont toujours provoqués par une suggesti
s, ni R. D; paralysie spasmodique, tremblement, nystagmus, troubles
visuels
. b) Parfois spasmodiques, généralement flasques
(céphalalgie, doigt mort, barre épigastrique de Chaussier, troubles
visuels
, etc.) et d'une phase d'invasion (contrac- ture
, constituent l'aura sensitive. Les auras sensorielles sont surtout
visuelles
: [ROUSSY.] 850 CONVULSIONS ET CRISES l;0\VUL
la céphalée, l'aménorrhée, la cyphose cervico-dorsale, les troubles
visuels
(hémianopsie 1]iteniporale), la glycosurie. les d
e des tumeurs cérébrales. Les crises épilepti- formes, les troubles
visuels
sont remarquablement fréquents (tumeurs de l'hy
ousie. Astigmatisme, myopie, hypermétropie, rétrécissement du champ
visuel
, daltonisme. Goût, odorat frustes. Chez quant
iarrhée; des vomissements cérébraux; de la ` diminution de l'acuité
visuelle
avec pholophobie et diplopie; des crises épllep
ES VENTRICULAIRES. 1 157 î sieurs mois durant laquelle les troubles
visuels
furent seuls il persister. La mort, fut précédé
e, âgée de 16 ans, atteinte de gigantisme avec céphalée et troubles
visuels
graves, récupéra partiellement la vision de l'o
7. Actes des aliénés, 252. Acuité réliuicntce périphérique, 15.
visuelle
centrale, exploration, 2. Echelle typographique
es myollathiques, 678. Aérophagie, 1004. Agnosie, 501. tactile,
visuelle
, 226. lésions, diagnostic, 227. Agoraphobie d
l (Syndrome des lésions médullaires), 515. Champ du regard, 19.
visuel
, exploration, 9. Limites péri- phériques, 10. R
lérale, 44. - Signes pour la déceler, 45. - Carac- tères du champ
visuel
, 46. - Persi- - stance de la vision centrale, 4
iels, 1G6. - de Ménière, 166, 9'1. - d'origine vestibulairc, 168.
visuel
, - olfactif, 169. - stomacal, 175, 994. - laryn
e la vision des couleurs, 119. - périphérique, exploration. Champ
visuel
, 9. ' Vitiligo et syphilis, hou Voies cérébel
gauche présente un rétrécissement concentrique très marqué du champ
visuel
( ? 0°). Ni diplopie monoculaire ni micrornégal
rticulaire; qu'il pré- sente deux zones hystérogènes, que son champ
visuel
est rétréci, qu'il a perdu le goût complètement
abolis du côté gauche. L'ouïe très obnubilée du même côté. Le champ
visuel
et l'oeil n'ont pu être examinés, car ce malade
mais il y aurait une vieille affection de l'oreille ( ? ). Le champ
visuel
est manifestement rétréci à droite. Oligurie. A
ôté droit. L'ouïe, le goût, l'odorat sont abolis à droite; le champ
visuel
rétréci à 00 environ; 1 anesthésie pharyngée. L
ns exagérés. Troubles oculaires. Réduction considérable de l'acuité
visuelle
pour les deux yeux ? ? Pas de lésions du fond d
ire et micropsie. Les réflexes pupillaires sont conservés. Le champ
visuel
présente un rétrécissement concentrique pour le
sont intéressés. L'oeil présente un léger l'étrécissement du champ
visuel
à gauche, de la polyopie du même côté, une diminu
l à gauche, de la polyopie du même côté, une diminution de l'acuité
visuelle
. Il apprécie mal le violet. L'ouïe du côté gauche
l'anesthésie pharyngée, de la polyopie, du rétrécissement du champ
visuel
, de la dyschromatopsie, un point sensible sous
es et oculaires. Il n'y eut plus de diplopie, plus d'hallucinations
visuelles
ou auditives, plus d'apparitions d'étincelles,
vements sont accompagnés de tremblement. Pas de nystagmus. L'acuité
visuelle
est normale; l'ouïe semble bonne. « L'odorat et
izarre : le malade est pleureur et peu intelligent. Pas de troubles
visuels
, mais pupilles paresseuses. Rien à l'ophtllalmo
intacte. La parole n'est pas embarrassée ; il n'y a pas de troubles
visuels
. Mais la sensibilité réflexe tendineuse est exces
exécutent mieux; Le malade n'a jamais éprouvé de diplopie. Le champ
visuel
est nor- mal, ainsi que le fond de l'oeil : Les
., " Pas de lésion du fond de l'oeil. - - Rétrécissement du champ
visuel
,, également -prononcé des deux côtés, à peu prè
d'autres troubles de la sensibilité; pas de rétrécissement du champ
visuel
. Chloroformisation pendant laquelle on constate
bourdonnements. Vue (fig. 8) : Rétrécissement concentrique du champ
visuel
des deux côtés, plus marqué pour l'oeil droit (
anqué (on en verra plus loin la raison), pour recher- cher le champ
visuel
pour les diverses couleurs. L'oeil droit se fat
ltération dimidiée des organes spéciaux, le rétrécissement du champ
visuel
. Nous ajouterons encore qu'après avoir été fati
portant tous les stigmates de la névrose, rétré- cissementdu champ
visuel
, avec dyschromatopsie, hémianesthésie sen- siti
sultat appréciable. Nous n'avons pu tenter d'impressionner l'organe
visuel
, car on sait que l'occlusion des yeux est compl
des. Du côté des yeux on n'observe pas de rétrécissement du champ
visuel
, ni de dyschromatopsie spéciale. Il était intér
lis des deux côtés. Vision. Dyschromatopsie pour le violet. Lechamp
visuel
n'a pu être examiné, parce que la fixation du reg
uche. Sensibilité cutanée normale il la piqûre et au toucher. Champ
visuel
rétréci bilatéralement. Séance d'aimant d'une d
ession de celle zone sur le tremblement, le rétrécissement du champ
visuel
, etc., ne peuvent permettre aucun doute sur la
ble de la cuisse droite. 2° Un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. 3° Une zone hystérogènc siégeant dans le flanc
er si les anomalies de la sensibilité et le rétrécissement du champ
visuel
relevaient de la sclérose ou de l'hystérie. Ons
sirer. Alors survinrent tout d'abord une diminution de la puissance
visuelle
de l'oeil droit, puis de la diplopie, plus tard d
côté des yeux, il n'y a ni achromatopsie ni rétrécissement du champ
visuel
. La malade se plaint seulement d'un peu de faible
e l'expression de l'auteur, « une anomalie remarquable » : le champ
visuel
des deux yeux était diminué pour le blanc et le
cutanées, des anesthésies sensorielles, le rétrécissement du champ
visuel
, des vertiges qui prendraient peut-être un caract
s. Rétrécissement concentrique à 15° pour les deux yeux. Troubles
visuels
. -Achromatopsie binoculaire, diplopie monoculaire
psie, conservation des réflexes pupillaires, diminution de l'acuité
visuelle
. ' Troubles auditifs. Diminution de l'acuité au
. sont les suivants : 1° rétrécissement concentrique à 30° du champ
visuel
de l'oeil droit ; 2, abolition du goût à gauche
monoculaire et un rétrécissement concentrique et permanent du champ
visuel
(examen du 26 août), signes qui faisaient encore
ligne circulaire; 20 un rétrécissement concentrique à 70° du champ
visuel
de l'oeil droit; 3° le goût est aboli sur le côté
e du côté gauche; 4° un double rétrécissement concentrique du champ
visuel
, à 35° pour l'oeil gauche, à 45° pour l'oeil droi
de la sensibilité; un rétré- cissement concentrique à 70° du champ
visuel
de l'oeil droit; une diminution très marquée de
et la vision sont intacts. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
notamment. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYST
ts. Rétrécissement très prononcé, bila- téral et permanent du champ
visuel
. L'intelligence el la mémoire sont indemnes, et
tout l'existence d'un double rétrécissement concen- trique du champ
visuel
, nous firent porter, malgré la bizarrerie des a
e la paupière, tantôt la diplopie, tantôt la diminution de l'acuité
visuelle
(paralysie de l'accommodation) qui attire tout
s, diplopie, puis prolapsus des paupières et diminution de l'acuité
visuelle
, amblyopie progressive. En 188 ? le malade commen
plètement abolis; vision excentrique normale des deux côtés; acuité
visuelle
diminuée à gauche, intacte à droite. L'examen o
e sont normaux. Les sens spéciaux ne sont point touchés et le champ
visuel
, en particulier, n'est pas rétréci. Les trouble
remarquer chez lui du délire et, semble- \t-il, des hallucinations
visuelles
. Ces symptômes augmentèrent de jour en jour; se
s le 4 octobre, paralysie du voile palatin; le 2 novembre, troubles
visuels
et fai- blesse des quatre membres. Ptose palp
. Aucun trouble de l'accom- modation, aucun rétrécissement du champ
visuel
. Parésie du facial droit. Paralysie du voile pa
en taire (plan de Camper) qui est horizontale, paral- lèle aux axes
visuels
et allant du point sous-nasal au point auriculair
mianesthésie pharyngée et anesthésie de la muqueuse anale. L'acuité
visuelle
était normale des deux côtés; un peu d'astigmatis
ux côtés. L'ouïe et l'odorat sont très affaiblis à gauche. Le champ
visuel
n'est pas rétréci, les pupilles sont larges, ég
ée totale. Le goût et l'odorat sont abolis du côté gauche. Le champ
visuel
rétréci des deux côtés dès son entrée à 50°. Pas
re à certains jours. Le goût est aboli. L'odorat persiste. Le champ
visuel
est rétréci des deux côtés. . 9 avril 1888. D
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 317 été faite. Le champ
visuel
a été examiné, mais la note où il était consigné
paraissant datée de l'entrée, constate « un rétrécissement du champ
visuel
, affaiblissement de la vue à droite, diplopie ».
isable et sugges- tible. 13 juillet. Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Pas de lésions oculaires. 13 novembre. La mala
es conjonctives et du pharynx. Rétrécissement assez marqué du champ
visuel
des deux côtés, mesuré par le procédé du doigt.
goût et l'odorat sont normaux. Pas d'anesthésie pharyngée. Le champ
visuel
est rétréci concentriquement et de chaque côté
rises, ne révèle aucun trouble. Le goût, l'odorat, l'ouïe, le champ
visuel
, sont normaux. Le réflexe pharyngé est conserve'.
5G. - frontal minimum '12G. " Yeux : inégalité pupillaire. Acuité
visuelle
OD, OG, V = 2/3. Implantation vicieuse des dent
cicatrice consécutive à un abcès. La malade est sourde; son acuité
visuelle
est diminuée OD, OG, V== 1/3; papilles blanchât
malade à divers stigmates : hémianesthésie, rétrécissement du champ
visuel
, etc., qui révèlent manifestement l'existence de
s. Pas de lésions du fond de l'oeil. Pas de rétrécissement du champ
visuel
; un peu de micromégalopsie. Pas de dyschromatopsi
ie seule. En effet, les troubles de la vue : diminution de l'acuité
visuelle
, diplopie, relèvent soit de la névrose, soit pl
qué par M. le D,. Koenig). Rétrécis- sentettt concentrique du champ
visuel
des deux côtés à 511 (fig. 69). Amblyopie : le
es accidents oculaires sont fréquents. Le rétré- cissement du champ
visuel
est régulièrement concentrique au lieu d'être i
t également. L'ouïe est obnubilée, surtout du côté gauche. Le champ
visuel
est rétréci concentriquement des deux côlés; le
complète, perte absolue du sens musculaire, rétrécissement du champ
visuel
... ; de l'autre, émotion morale vive, douleur «
anes des sens sont normaux; il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
, pas de dys- chromalopsie. Le réflexe pharyngé
en de M. le D1' Koenig). OEiI gauche pas de rétrécissement du champ
visuel
. Acuité visuelle et amplitude de l'accommodatio
Koenig). OEiI gauche pas de rétrécissement du champ visuel. Acuité
visuelle
et amplitude de l'accommodation normales. Pas d'a
ué par M. Parinaud, le 2t juin 1890). - Dans l'ail gauche, l'acuité
visuelle
est normale; le champ visuel n'est pas rétréci. D
1890). - Dans l'ail gauche, l'acuité visuelle est normale; le champ
visuel
n'est pas rétréci. Dans l'oeil droit, diminutio
pas rétréci. Dans l'oeil droit, diminution considérable de l'acuité
visuelle
: la malade compte seulement les doigts. Amauro
i troubles de la motilité, ni troubles de l'accommodation. Le champ
visuel
est légèrement rétréci. Il nous semble nécessai
que l'on vient de signaler l'existence d'un rétrécissement du champ
visuel
dans la syringomyélie. M. Roth, dans un travail s
n voulu nous traduire, rap- porte un cas de rétrécissement du champ
visuel
dans la syringomyélie. l. Il. nicher, Sole sur
avec M. Tui- lant, il a trouvé sept fois un rétrécissement du champ
visuel
pour le blanc et les couleurs. « Nous nous prop
ns la syringomyélie un rétrécissement souvent considérable du champ
visuel
, sans qu'il existe aucune altération matérielle
céphalique, d'autre part. Ce travail est basé sur l'examen du champ
visuel
de sept malades atteints de syringomyélie que n
r l'existence d'un rétrécissement concentrique et régulier du champ
visuel
pour affirmer, sinon l'exis- tence exclusive de
r l'im- portance de la question. Nous avons examiné : 'J ° le champ
visuel
pour les couleurs; 2° le champ visuel pour le b
avons examiné : 'J ° le champ visuel pour les couleurs; 2° le champ
visuel
pour le blanc. A. Champ visuel chromatique. L'é
uel pour les couleurs; 2° le champ visuel pour le blanc. A. Champ
visuel
chromatique. L'étendue du champ visuel, chez l'
suel pour le blanc. A. Champ visuel chromatique. L'étendue du champ
visuel
, chez l'individu sain, d'après les divers auteu
1. Déjerine et Tuilant, Sur l'existence d'un rétrécissement du champ
visuel
dans la syringomyélie (la Médecine moderne, 28
re trois nouveaux cas de syringomyélie sans rétrécissement du champ
visuel
. D'autre part, M. Roth écrivait dernièrement à M.
) que, chez six de ses malades, il avait examiné avec soin le champ
visuel
et ne l'avait pas trouvé rétréci. Enfin ces jours
ouvelle Icono- graphie, 1889, p. 311) a\cc M. Zagucltnann, le champ
visuel
avait été examiné et trompe normal et que, si c
il existe au moins treize cas de syringomyélie où V examen du champ
visuel
a élé négatif (Note du mois de janvier 1891). I
u'il y ait des écarts aussi considérables dans les limites du champ
visuel
chroma- tique ? Nous ne le croyons pas. Ces dif
ait déterminé chez des sujets sains les limites nor- males du champ
visuel
, et qu'il ait ensuite exploré dans les mêmes co
ait ensuite exploré dans les mêmes conditions matérielles le champ
visuel
de ses malades. De cette seule comparaison on p
lles FIG. 72. - Champ ,¡.,lIcl chromatique normal. - ! -+++ Champ
visuel
du ruuge Champ usuel du bleu .+ ? l ? Champ visue
. - ! -+++ Champ visuel du ruuge Champ usuel du bleu .+ ? l ? Champ
visuel
du vert. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMU
t pris comme terme de com- paraison son schéma (fig. 72) d'un champ
visuel
normal. « Ce schéma, dit-il, ne représente pas
ltats des auteurs que nous avons énumérés. Il représente les champs
visuels
minima, tels qu'ils résultent de mes propres ex
mon péri- mètre. » Nous avons toujours pratiqué l'examen du champ
visuel
il la même heure du jour, le périmètre placé à
coloré de la périphérie au centre, et choisi comme limite du, champ
visuel
le point où le malade a donné à la couleur son no
. Landolt (flg. 72) montrent que chez nos syringomyéliques le champ
visuel
chromatique n'est pas rétréci. Mais faut-il enc
ximative. Qu'importe du reste puisque les limites normales du champ
visuel
pour les couleurs varient suivant les auteurs e
r dire toute notre pensée, le rétrécisse- ment chromatique du champ
visuel
ne nous semble pas pouvoir être démontré péremp
irement tant que nous ignorerons les limites pré- cises de ce champ
visuel
il l'état normal. Ce rétrécissement ne saurait
pratique. ·if4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. B. Champ
visuel
pour le blanc. Pour le champ visuel du blanc, i
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. B. Champ visuel pour le blanc. Pour le champ
visuel
du blanc, il n'en est pas de même; tous les aut
et Tuilant ont trouvé sept fois un rétrécissement notable du champ
visuel
. Sur nos malades examinés il diverses reprises,
uvé. Nous ne voulons pas dire par là que le rétrécissement du champ
visuel
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS »
cis- 446 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sement du champ
visuel
, pourrait peut-être permettre de dire s'il est
sthésie incomplète. Anesthésie pharyngée. Rétré- cissement du champ
visuel
. Ulcération ; panaris et nystagmus rotaloire. M
452 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sèment double du champ
visuel
, relèvent à n'en pas douter de la névrose. Il
les sensoriels exception faite jusqu'à nou- vel ordre pour le champ
visuel
trancherait la question. Les douleurs subjectiv
ontre doit être plus rapprochée de 50 centimètres environ. Le champ
visuel
est légèrement rétréci. Le malade distingue mal
la même manière que précédemment donne : Le rétrécissement du champ
visuel
du côté droil est notablement augmenté (iig. 77
u côté droil est notablement augmenté (iig. 77). FiG. 77. - Champ
visuel
de L. Champ visuel à l'élat normal. .... Champ
tablement augmenté (iig. 77). FiG. 77. - Champ visuel de L. Champ
visuel
à l'élat normal. .... Champ visuel dans une pér
. 77. - Champ visuel de L. Champ visuel à l'élat normal. .... Champ
visuel
dans une périodo fort paroxystique. 460 NOUVELL
mérotage portent l'indication de la page. TABLE DES FIGURES Champ
visuel
chromatique normal, 12. Craniectomie (Opération
dans l' ), 6, 7, 29, 30, 31, 3, 70, 71 ; rétrécissement du champ
visuel
dans l' -, 8, 69, 76. Hystérique (Fièvre prolon
1. Respiratoires (Tracés -),°1 ? 23, 24, 25. Syringomyélie (Champ
visuel
dans la-), 73, zut, 75; type Morvan, 52, 53, 51
lt;6t/e.)Mtft ? Il n'y a pas de rétrécissement appréciable du champ
visuel
. L'ouie par contre est très diminuée à gauche : l
en effet une anesthésie du côté parésie, un rétrécissement du champ
visuel
, des points hysléro- gènes aux régions dorsale
et l'odorat sont à peu près tota- lement abolis à gauche. L'acuité
visuelle
et le champ visuel sont très diminués au côté d
eu près tota- lement abolis à gauche. L'acuité visuelle et le champ
visuel
sont très diminués au côté droit. 3° Troubles d
ogènes, aux régions dorsale et précordiale, rétrécissement du champ
visuel
). En 1887, hémiparésie droite survenue à la sui
la région épigastrique; 3° de ü In ü , la diminution de l'acuité
visuelle
et auditive du côté droit. L'histoire de Bon.
tes hystériques. Nous n'avons constaté ni rétrécissement du champ
visuel
, ni anesthésie pharyngée, ni troubles sensitifs q
es légers. P. K. XXVII. Le CONTENU E1TOPTIQUE DE L'OE)L ET LE champ
VISUEL
ENTOPTIQUE dans la vision hallucinatoire, par J
ce de boissons excitantes; le rappel, les yeux fermés, de souvenirs
visuels
: fout cela produit un disque lumineux ou noir,
fréquents. Les stigmates de l'hystérie e\itent (diminution du champ
visuel
, plaques d'hypéresthésie) ; les membres supérieur
ie très faible, odorat nul. Du côté gauche, rétrécissement du champ
visuel
à 30°. Pas d'achromatopsie, de di- plopie monoc
osmie, agustie, surdité presque complète, retrécissement du champ
visuel
) et deux points hystérogènes existent (testicul
l'oeil droit qu'en faisant usage des deux yeux. Cependant le champ
visuel
n'est pas diminué; l'acuité visuelle est moins
es deux yeux. Cependant le champ visuel n'est pas diminué; l'acuité
visuelle
est moins grande à gauche qu'à droite. L'examen
. Nous n'avons pu trouver ni rétrécissement con- centrique du champ
visuel
ni anesthésie cutanée. - L'anes.. MALADIE DES T
séniles, des rétrécissement concentriques considérables des champs
visuels
. Il serait assurément téméraire d'affirmer, en se
, livrée à elle-même, penche immédiatement vers la gauche. L'acuité
visuelle
de l'oeil gauche est également diminuée; les ve
es. - Pas de crises convulsives. - Point de rétrécissement du champ
visuel
.-Pas d'achromatopsie.-Le48, MD : 34. MG : 34. I
d'anesthésie pharyngée ni gustative. Pas de rétrécissement du champ
visuel
ni d'achromatopsie. - Dans l'observation préc
ont dus à l'effacement des images sensorielles diverses, des images
visuelles
qui paraissent avoir tou- jours été prédominant
e sensitivo- sensorielle, du rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Le mutisme , après avoir persisté pendant ' Vo
l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle, le rétrécissement du champ
visuel
,. l'anesthésie du pharynx, etc. Il faut pourtan
amblyopie, diplopie monoculaire, rétrécissement bilatéral du champ
visuel
. -' Les attaques convulsives et les accès de mi
e voile du palais sont insensibles. Le malade présente des troubles
visuels
des deux yeux; il y a de l'amblyopie légère, de
de lui- même. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 321 champ
visuel
(voir fig.24 et 25). On soumet le malade à l'hydr
rielle à droite, dys- chromatopsie et léger rétrécissement du champ
visuel
à droite. - La malade est sujette à des attaque
te ; elle ne dis- tingue pas le violet et le bleu du noir. Le champ
visuel
de l'oeil ' droit est un.peu rétréci. Il y a un
ligne brisée, douée de vibrations occupant toute l'étendue du champ
visuel
et mettant la malade dans l'impossibilité absol
devant l'oeil droit une lumière qui occupe toute l'étendue du champ
visuel
; cette lumière est vive ; elle est limitée de
droite et elle semblait envahir rapidement toute l'étendue du champ
visuel
; en effet, lorsque les deux yeux étaient ouverts
s anciennes. La lumière, au lieu d'occuper toute l'étendue du champ
visuel
de l'oeil droit, n'apparaît plus qu'à sa partie
, anesthésie du fond de la gorge, rétrécissement bilatéral du champ
visuel
, dys- chromatopsie, polyopie monoculaire. - Att
s attaques (voir fig. 26 et 27) ; un rétrécissement double du champ
visuel
, mais bien plus prononcé adroite; une légère am
la vue caractérisé par l'ap- parition dans toute l'étendue du champ
visuel
de boules lumi- neuses, à couleurs multiples, l
ntion de ce côte, qui est venue se plaindre d'éprouver ces troubles
visuels
. Notre ami M. Parinaud a bien voulu examiner la
au moment où la malade ne voyait que la moitié des objets. Le champ
visuel
d'après cet examen est à ce moment encore plus
bserve pas dans l'hystérie, tandis que le rétrécisse- ment du champ
visuel
est un des stigmates les plus communs de cette
e scintillant hémiopique ; il est vrai que la dimi- nution du champ
visuel
ne semble atteindre que rare- ment le point cen
l s'agit par conséquent plutôt d'un rétrécissement latéral du champ
visuel
que d'une hémiopie véritable, mais celle-ci a é
rise les caractères objectifs de l'hémiopie permanente ; le champ
visuel
est seulement plus rétréci qu'à l'état normal.
férentielle dans ses rapports avec d'autres fonctions de l'appareil
visuel
dans les différents états pathologiques du syst
e la vue portant sur : la per- ceptibilité différentielle, l'acuité
visuelle
, l'étendue du champs visuel et la perception de
ceptibilité différentielle, l'acuité visuelle, l'étendue du champs
visuel
et la perception des couleurs (sens chromatique
méthode décrite plus haut; quant aux autres fonctions de l'appareil
visuel
, elles furent déterminées r) 358 PHYSIOLOGIE.
la vue comme diplopie, dyschromatopsie rétrécisse- ment du champ
visuel
, diminution de l'acuité visuelle, absence ou fa
romatopsie rétrécisse- ment du champ visuel, diminution de l'acuité
visuelle
, absence ou faiblesse des réactions pupillaires
s hystériques a porté sur la perceptibilité différentielle : champs
visuel
, acuité visuelle et dyschromtaopsie Nous avons
orté sur la perceptibilité différentielle : champs visuel, acuité
visuelle
et dyschromtaopsie Nous avons examiné aussi la
esque toujours l'amblyopie hystérique. La détermination de l'acuité
visuelle
présente chez les hystériques de certaines diff
sidération seulement les cas dans lesquels on constatait une acuité
visuelle
normale ou presque nor- male. La constance de
on peut admettre que dans la vision binoculaire, l'étendue du champ
visuel
est doublée; 2° les choses se passent d'une man
ensations à percevoir. Nous déterminerons de cette manière l'acuité
visuelle
pour des caractères noirs sur fond blanc on réc
s que toutes les fois, qu'il sera question dans la suite d'acuité
visuelle
, il faudra entendre l'examen des caractères noi
ossible faciles les conditions nécessaires pour déterminer l'acuité
visuelle
, afin que- celle-ci puisse être évaluée sans la
lle-ci puisse être évaluée sans la moindre tension .de l'appareil
visuel
. Nous atteindrons ce but en augmentant l'angle
l'appareil visuel. Nous atteindrons ce but en augmentant l'angle
visuel
sous lequel apparaissent les caractères, autant
qualifierons de « plus grande » celle des deux altérations (acuité
visuelle
ou perceptibilité différcn- tielle) qui s'expri
tite fraction. Chez un malade qui présente, supposons 1 /3 d'acuité
visuelle
DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFERENTIELLE. 379 9 et
n faisant, nous rappellerons ici que, d'après VLGROaDI', l'acuité
visuelle
doit être, à vrai dire, mesurée par le carré de
une divergence entre la perceptibilité différentielle et l'acuité
visuelle
? Nos recherches nous permettent toujours d'énu
aciles à concevoir, exercent une très grande influence sur l'acuité
visuelle
et une très faible sur la perceptibilité différ
optique. Le fait de la 380 PHYSIOLOGIE. divergence entre l'acuité
visuelle
et la perceptibilité différentielle dans les ca
grande dans la vision binoculaire que dans la monoculaire. L'acuité
visuelle
au contraire, dans la vision binoculaire, égale
ion de l'éclairage, c'est-à-dire de l'intensité lumineuse, l'acuité
visuelle
diminue plus rapidement que la perceptibilité d
troubles respectifs de la perceptibilité différentielle et l'acuité
visuelle
considérées isolément que surtout et avant tout
e relation ». Ce symptôme divise la série toute entière de troubles
visuels
dans les maladies du système ner- veux en deux
veux en deux grandes catégories : 1° Ceux dans lesquels l'acuité
visuelle
est plus trou- blée que la perceptibilité diffé
els la perceptibilité différentielle est plus troublée que l'acuité
visuelle
. A cette deuxième catégorie se rapportent tous
ntrale sont toujours accompagnés de modifications notables du champ
visuel
. Ainsi, à une diminution de la perceptibilitédi
pond généralement un rétrécissemet plus ou moins prononcé du champs
visuel
, et plus ce dernier se rétrécit, plus la premiè
ception que l'oeil le plus malade, c'est-à-dire celui dont le champ
visuel
est plus rétréci, accuse en même temps une plus
t au point de vue diagnostique. La manière différente dont le champ
visuel
de l'oeil habetique et hystérique se comporte v
nous pouvons dire à ce sujet : Wolffs- berg, a trouvé que l'acuité
visuelle
décroît plus rapi- dement pour les couleurs que
r sur fond blanc. Comme d'autre part nous avons trouvé que l'acuité
visuelle
pour le noir sur fond blanc décroît souvent ell
droite. Les sensibilités spéciales paraissent conservées. Le champ
visuel
n'est pas rétréci et il n'y a pas d'altération
ous avons provoqué certainement de cette façon un réveil de l'image
visuelle
des chiffres. D'ailleurs, cette malade parait d
. D'ailleurs, cette malade parait devoir surtout appartenir au type
visuel
: la plupart de ses acquisitions antérieures so
la plupart de ses acquisitions antérieures sont dues à des images
visuelles
ou kinestétiques, rarement à des images audi- t
s de l'époque anté- rieure à la maladie sont liés à des impressions
visuelles
, et que la malade a encore la vision mentale ne
sa maladie, ses souvenirs les plus nets sont liés à des impressions
visuelles
très fortes en raison de l'énzo- tion intense q
les images les plus nettes qu'elle ait actuellement sont les images
visuelles
, ce sont à celles-là qu'il nous a paru bon de s
qu'on lui fait marquer le pas, etc... De cette façon, les images
visuelles
et motrices s'associent pour rendre à la malade l
de le lui faire répéter à haute voix, même en l'épelant. Les images
visuelles
, qui sont les moins atteintes et paraissent tou
ui montrions écrite sur un papier en nous assurant que la sensation
visuelle
avait assez duré pour que la malade ait à la su
autre côté, nous nous attachions à augmenter l'intensité de l'image
visuelle
en l'associant à une émotion. Si, par exemple,
t cela même qui nous a donné l'idée de tripler ainsi l'impression
visuelle
. Nous avons eu d'ailleurs la satisfaction de voir
lions aues a ce sens; tandis que chez les poissons osseux le centre
visuel
principal (lobes optiques) étant intact, les
ner une dyschromatopsie aussi accusée que la diminution de l'acuité
visuelle
. Mais ce sont les altérations du lobe occipital
rce du lobe occipital ; au-dessous d'elle est le centre de l'acuité
visuelle
(sens de l'espace) ; tout près des irradiations
ratiolet réside le centre du sens de la lumière (expansion du champ
visuel
). En tout, trois centres séparés. Il est éviden
nservation du sens lumineux avec l'hémianopsie chromatique l'acuité
visuelle
restant elle-même intacte. Jamais, en tous cas,
ais, en tous cas, l'on n'observe de rétrécissement latéral du champ
visuel
isolé (sens de l'espace) parce que l'étroite rela
e l'espace au sens des couleurs explique que l'atteinte de l'acuité
visuelle
soit proportionnelle à la disparition du sens des
r le scolome névropathique de la diminution de l'acuité ou du champ
visuel
. Un champ visuel elliptique comprimé de haut en
athique de la diminution de l'acuité ou du champ visuel. Un champ
visuel
elliptique comprimé de haut en bas, qui occupe
tamment une paralysie générale ou une apoplexie imminente. Un champ
visuel
hé- mianopsique ou une lacune centrale suppose
ar Dudlay, 98 ; atrophie des fibres du -, par Meyer, 113. Champ
visuel
entoptique dans la vi- sion hallucinatoire, par
ant aux mouvements de la -, par 1111sslawsl¡y, 266. Vision, champ
visuel
eutoptiqne dans la hallucinatoire, par Hoppe,
en- semble les radiations optiques de Gratiolet (ftTly, ou faisceau
visuel
cortical. 4. Segment sous-lenticulaire de la ca
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) appartiennent au système
visuel
et forment, avec les fibres cortico-thalamiques p
ques de Gratiolet (RTh). Elles prennent leur origine dans la sphère
visuelle
, plus particulièrement dans les lèvres de la scis
rne et du tuber- cule quadrijumeau antérieur relient la splière
visuelle
cor- ticale aux centres optiques primaires.
tions cortico-genouillées externes à la suite de lésions de la zone
visuelle
corticale. Les autres, plus rares, se détachent d
47 et 48). Elles persistent intactes dans les lésions de la sphère
visuelle
(Voy. cas Courrière, Fig. 82) et dans les lésio
le); 2° le cunéus et la lèvre cal- carine du lobule lingual (sphère
visuelle
) ; 3° la partie moyenne de la première circon-
inférieur. - 0, centre cortical de l'olfaction.- V, centre cortical
visuel
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 22
ptôme indirect de lésion en foyer, dû à l'évocation d'une sensation
visuelle
ou auditive par suite de l'irritation ou de la
ditive par suite de l'irritation ou de la destruction des faisceaux
visuel
cortical et auditif cortical sous-jacent au pli
soriels de l'audition, de la vision, passant à l'évocation d'images
visuelles
ou auditives et assez analogues aux mouvements de
ile de l'espace n'est pas plus une sensation simple que sa perception
visuelle
ou auditive, et la clinique montre que le sens
arement observée. Quant il l'existence d'un rétrécissement du champ
visuel
du côté correspondant à l'hémi- anesthésie, c'e
ire par la méthode des coupes microscopiques sériées. Localisations
visuelles
. -- Le centre visuel cortical siège dans le lobe
oupes microscopiques sériées. Localisations visuelles. -- Le centre
visuel
cortical siège dans le lobe occipital. Hitzig (
singe par Munk en 1877. Cet auteur a montré en effet que le centre
visuel
ou sphère visuelle, siège chez le chien dans la p
n 1877. Cet auteur a montré en effet que le centre visuel ou sphère
visuelle
, siège chez le chien dans la partie posté- La s
phère visuelle, siège chez le chien dans la partie posté- La sphère
visuelle
de Munk. 240 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
DES CENTRES NERVEUX. Projection réti- nienne corticale. Centre
visuel
do l'homme. rieure de l'hémisphère et qu'il s
ipital (face interne et face externe). L'extirpation de la sphère
visuelle
chez le chien ou le singe, si elle est uni- lat
en résulte une cécité complète, cécilé corticale. Si toute la sphère
visuelle
est enlevée, la cécité est totale et permanente
n des lobes occipitaux, on observe un reste de vision dans le champ
visuel
opposé à la portion cérébrale intacte. Enfin, s
ébrale intacte. Enfin, si on enlève dans le milieu de chaque sphère
visuelle
une petite zone circulaire et symétrique d'un cen
tc. Munk, poussant plus loin encore la localisation des impressions
visuelles
, admet une connexion très étroite entre les dif
rents segments de la rétine et les différentes régions de la sphère
visuelle
corticale, c'est-à-dire une véritable projectio
ré- tine correspondraient aux bords externe et interne de la sphère
visuelle
, le bord supérieur de la rétine au bord antérie
elle, le bord supérieur de la rétine au bord antérieur de la sphère
visuelle
, et son bord inférieur au bord postérieur de la
ère visuelle, et son bord inférieur au bord postérieur de la sphère
visuelle
. En outre, le segment externe de la rétine ne s
egment externe de la rétine ne serait représenté que dans la sphère
visuelle
du même côté; le segment interne de la rétine e
s connexions croisées. L'ablation de la partie externe de la sphère
visuelle
déterminerait non pas l'hémianopsie homonyme, m
me côté, tandis que l'extirpation de la partie interne de la sphère
visuelle
en- traînerait l'hémianopsie nasale de l'oeil c
psie homonyme bila- térale après extirpation partielle de la sphère
visuelle
. Les opinions de Munk en ce qui regarde le sièg
uelle. Les opinions de Munk en ce qui regarde le siège de la sphère
visuelle
, la per- manence de l'hémianopsie, voire même l
882), et v. Monakow surtout, ont montré que l'ablation de la sphère
visuelle
chez le chien, le chat, le lapin, entraine une
ue l'on extirpe la partie externe ou la partie interne de la sphère
visuelle
. Chez l'homme, les premiers documents cliniques
liniques et anatomo-pathologiques pour la détermination d'un centre
visuel
furent apporlés par Luciani et Tamburini (1879)
rement le domaine de la scissure calcarine qui est le siège du centre
visuel
cortical. Mais, tandis que v. Monakow étend le
centre visuel cortical. Mais, tandis que v. Monakow étend le centre
visuel
cortical, non seulement à la face interne du lo
riéto-temporal et pariéto-occipi- tal, n'agissent sur les fonctions
visuelles
qu'en atteignant et détruisant les con- ducteur
lésions de la face externe, convexe du lobe occipital. Les troubles
visuels
, en particulier l'hémianopsie, ne s'observent en
sensitivo-moteurs de la face interne de l'hémisphère (111), la zone
visuelle
corticale (V) et la zone corticale de l'olfaction
expliquent comment Ferrier, a pu être appelé à localiser le centre
visuel
, non dans le lobe occipital, mais dans le pli cou
n a signalé, il est vrai, l'hémianopsie ou d'autres troubles du champ
visuel
, à la suite de lésions de la partie antérieure
lésions de la partie antérieure de l'hémisphère, mais ces symptômes
visuels
relèvent alors, non d'une lésion corticale, mais
es expériences de Goltz, lequel, niant l'existence même d'un centre
visuel
, sou- tient que l'extirpation des lobes antérie
lobes antérieurs du cerveau détermine, chez le chien, des troubles
visuels
très analogues à ceux qui surviennent à la suite
dinaire, banal, des lésions qui détruisent d'un seul côté la sphère
visuelle
ou les centres ganglionnaires pri- maires (Pul,
ée, et la ligne de démarcation, qui sépare la moitié aveugle du champ
visuel
de la moitié saine, passe, non pas par la ligne
latérale une perte plus ou moins complète et permanente de l'acuité
visuelle
. C'est là une opinion qui ne peut plus être adm
res maculaires. Celles-ci occupent l'étendue tout entière du centre
visuel
, et la lésion d'une partie d'entre elles, n'empêc
et n'intéresser qu'un secteur ou un frag- ment de secteur du champ
visuel
. D'autres fois, on observe un rétrécissement de
fois, on observe un rétrécissement de la portion conservée du champ
visuel
. Adaptant à l'homme les résultats expérimentaux
de la lésion. Quant au rétrécissement de la partie conservée du champ
visuel
, il relèverait, d'après cet auteur, d'un troubl
etc. Nous aurons à revenir du reste sur le rétrécissement du champ
visuel
il propos des localisations sous-corticales et
ALE. 243 FIG. 210. - Les voies conductrices de la vision : appareil
visuel
central ou intra- cérébral, et appareil visuel
la vision : appareil visuel central ou intra- cérébral, et appareil
visuel
périphérique. Connexions de la zone visuelle cort
a- cérébral, et appareil visuel périphérique. Connexions de la zone
visuelle
corticale avec la zone du langage. - La partie
écartée afin de montrer le segment antérieur de l'appareil nerveux
visuel
: bandelettes optiques chiasma, et nerfs optiqu
pour l'espace, les couleurs et la lumière, superposés dans la zone
visuelle
. L'hémiachromatopsie résulterait de la lésion d
de leurs lésions corticales causales, c'est que les mêmes troubles
visuels
correspondent à des lésions de la sphère visuel
les mêmes troubles visuels correspondent à des lésions de la sphère
visuelle
corticale, d'étendue et de siège fort différents.
n totalité par lésion du lobe pariéto-temporo-occipital, le trouble
visuel
est le même : c'est une hémianopsie, et celle hém
ptômes comme des ma- nifestations à un degré variable, d'un trouble
visuel
relevant d'une seule et même cause centrale, co
et finissant par l'abolition de la lumière dans une moitié du champ
visuel
. L'hémianopsie peut être bilatérale, et il en r
st caractérisée par ce fait que l'individu a conservé sa perception
visuelle
brute, mais qu'il est incapable d'en interpréter
incapable d'en interpréter sa signification; il a perdu ses images
visuelles
commémoratives. Le malade qui voit est néanmoin
sychique est accompagnée le plus souvent d'une faiblesse de mémoire
visuelle
plus, ou moins marquée, le malade est incapable d
ccipital d'un centre auquel il donne le nom de centre des souvenirs
visuels
(Erinnerungs- feld), en opposition au centre vi
des souvenirs visuels (Erinnerungs- feld), en opposition au centre
visuel
cortical ou centre de perception (ÎVahrne- mung
e centre des images auditives des mots, (A) et le centre des images
visuelles
des mots (Pc) (Fig. 248). Par leur réunion, ces
ge, analogue el comparable aux zones sensilivo-motrices, auditives,
visuelles
, etc., que nous venons de passer en revue. Mais
revue. Mais, tandis que les zones sensilivo-mo- trices, auditives,
visuelles
, sont bilatérales et représentées dans deux régio
ou centre des images motrices d'articulation; Pc, centre des images
visuelles
des mots. Kilo relève do lésions bilatérales
lution temporale et le gyrus supramarginalis ; le centre des images
visuelles
des mots occupe, comme l'un de nous a contribué à
stérieure de la sphère de l'audilion générale; le centre des images
visuelles
des lettres et des mots est en connexions intim
à rattacher aux images auditives et motrices d'articulation l'image
visuelle
des mots, c'est-à-dire la transcription manuscrit
l'écriture, qui n'est que la reproduction sur le papier des images
visuelles
des lettres et des mots, elle est de tous les m
La conservation des trois images, auditive, motrice d'articulation et
visuelle
, est indispensable pour le langage intérieur. L
es motrices d'ar- ticulation ou les centres des images auditives et
visuelles
des mots. D'après les considérations dans lesqu
es de représentation du langage-moteur d'ar- ticulation, auditif et
visuel
des mots sera altéré. La lésion siégeant dans l
aphasie motrice sous-corticale - b) le pli courbe gauche à la zone
visuelle
générale - cécité verbale pure - connexions qui
droite. -pco, fibres reliant le pli courbe gauche à la zone corticale
visuelle
du môme côté. - pco', fibres reliant le pli cou
é. - pco', fibres reliant le pli courbe gauche il la zone corticale
visuelle
du côté opposé et passant par le corps calleux.
chose que la transcrip- tion par la main, que la copie, des images
visuelles
des lettres et des mots. On peut écrire avec un
bles de la vision étant caractérisés par ua rétrécissement du champ
visuel
avec amblyopie du côté anesthésié. En d'autres te
(Cip) ne produit jamais d'amblyopie, ni de rétrécissement du champ
visuel
du côté opposé. Si la lésion siège dans la région
Dautriche, p. 182), sectionne en même temps il ce niveau le faisceau
visuel
elle déterminera la production d'une hémianopsi
e, J80L - -Vialet. Les centres cérébraux de la Vision et l'appareil
visuel
intra-cérébral. Th. Paris, 1893. - Wernicke. Arbe
corps genouillé externe ou en proviennent, appartiennent au système
visuel
et sont croisées par les fibres radiées du pulv
nère en effet, non seulement après destruction de la zone corticale
visuelle
, mais encore dans les cas d'ablation, d'énucléati
p. 65), proviennent du lobe occipital, et en particulier de la zone
visuelle
et s'irradient dans les régions inférieures et
situé à la fois sur le trajet des fibres rétiniennes (1 CI' neurone
visuel
) et des fibres visuelles corticales ou centrale
trajet des fibres rétiniennes (1 CI' neurone visuel) et des fibres
visuelles
corticales ou centrales (2° neurone visuel). Le p
visuel) et des fibres visuelles corticales ou centrales (2° neurone
visuel
). Le pulvinar constitue en effet avec le corps
ouillé externe et le tubercule quadrijumeau anté- rieur les centres
visuels
primaires sous-corticaux ou ganglionnaires. Ses
nt a la suite de lésions corticales ou sous-corticales de la sphère
visuelle
(Voy. cas Courière, Bras, p. 188 et suiv.), ainsi
t suiv.), ainsi qu'à la suite de lésions destructives de l'appareil
visuel
antérieur (rétine, nerf et bandelette optique).
la capsule interne et y croise le faisceau de Turck et le faisceau
visuel
central (radiations optiques de Gratiolet). Il
res du pulvinar dégénèrent, soit à la suite de lésions de la sphère
visuelle
corticale, soit consécutivement aux lésions de
ar avec la corti- calité cérébrale, en particulier avec la zone
visuelle
. Corps genouillé externe. Son aspect. 366
1890) et surtout par Cajal (1895), et qui sont l'origine des fibres
visuelles
du deuxième neurone. Les unes, petites, multipo
nt entre les cellules avoisinantes, puis se continue avec une fibre
visuelle
centrale. Les fibres visuelles centrales se réuni
ntes, puis se continue avec une fibre visuelle centrale. Les fibres
visuelles
centrales se réunissent en fascicules, traverse
sagittale du lobe occipital. Elles se rendent ensuite dans la zone
visuelle
corticale, c'est-à-dire dans le cuneus (C), le
genouillés externes) (voy. p. 67), qui nées des cellules de la zone
visuelle
corticale s'arborisent dans le corps genouillé
mates, et en particulier chez l'homme. Chez ces animaux, les fibres
visuelles
centrales divisent le corps genouillé externe e
r ou ventral, plus volumineux, en connexion surtout avec les fibres
visuelles
corticales (v. Monakow), serait, d'après Tar- t
ourd'hui que le corps genouillé interne n'appartient pas au système
visuel
et que les fibres de la branche interne de la b
bercule quadrijumeau antérieur consécutive à une lésion du faisceau
visuel
intracérébral (méthode de Marchi), nous n'avons j
nt les centres ganglionnaires primaires ou inférieurs de l'appareil
visuel
infra-cérébral. Ils reçoivent les arborisations
a-cérébral. Ils reçoivent les arborisations terminales des neurones
visuels
corticaux, émellenl des fibres qui s'arborisent d
isuels corticaux, émellenl des fibres qui s'arborisent dans la zone
visuelle
corticale el reçoivent les arborisations terminal
que représente en effet un relais ganglionnaire important des voies
visuelles
. 5. Connexions du thalamus avec le rhinencéphal
t body or gland des Anglais), est un organe dégénéré, une formation
visuelle
ancestrale, dont l'étude se rattache jusqu'à un c
ue de Graaf (1886) et l3ald\\ in Spencer le démontrrent - un organe
visuel
dégénéré, pourvu chez les sau- ions, les amphib
du chiasma et de la bandelette optique qui appartiennent au système
visuel
(Voy. Nerf optique 419), une série de commissures
r on ne peut guère assi- miler à une voie périphérique les cellules
visuelles
(cônes et bâtonnets) et les cellules bipolaires
l, représenté par les radiations optiques de Gratiolet et le centre
visuel
cortical. Segment antérieur ou extra-cérébral d
NERVEUX. FiG. 328. - Les voies conductrices de la vision : appareil
visuel
central ou intra- cérébral, et appareil visuel
la vision : appareil visuel central ou intra- cérébral, et appareil
visuel
périphérique. - Connexions de la zone visuelle co
cérébral, et appareil visuel périphérique. - Connexions de la zone
visuelle
corticale avec le pli courbe et la zone du lang
écartée afin de montrer le segment antérieur de l'appareil nerveux
visuel
: bande- lettes optiques, chiasma, et nerfs opt
. (Qa), se détachent les fibres du segment postérieur de l'appareil
visuel
elles comprennent les radiations du tubercule q
tales(CSgt) du lobe occipito-temporal, puis s'irradient dans la zone
visuelle
corlicale qui occupe plus particulièrement la r
onsidérable de cellules ganglionnaires. L'articulation des neurones
visuels
antérieurs avec les neurones visuels postérieur
s. L'articulation des neurones visuels antérieurs avec les neurones
visuels
postérieurs s'effectue soit directement, de l'a
orphes et les couches des cellules pyrami- dales géantes de la zone
visuelle
corticale. L'étude des dégénérescences secondai
lionnaires de la vi- sion. Mode d'articula- tien des neurones
visuels
. Les lésions de ces centres retentissent su
itié homonyme des deux rétines. Origine rétinienne des fibres
visuelles
. les radiations optiques et le centre visuel co
nienne des fibres visuelles. les radiations optiques et le centre
visuel
cortical d'une part, sur la ban- delette optiqu
Les dégénérescences consécutives aux lésions destructives du centre
visuel
cortical ou des radiations optiques de Gratiolet
rophie du segment antérieur, extra-cérébral de l'ap- pareil nerveux
visuel
. Les dégénérescences secondaires consécutives aux
ndaires consécutives aux lésions du segment antérieur de l'appareil
visuel
s'arrêtent de même aux centres ganglionnaires p
irement au segment postérieur. Chaque segment de l'appareil nerveux
visuel
comprend donc un neu- rone indépendant, et il n
une connexion directe, ininterrompue, entre la rétine et le centre
visuel
cortical. L'énucléation d'un seul oeil ou la lé
ires, avec les deux centres corticaux, et vice versa, chaque centre
visuel
cortical est en relation avec les deux nerfs op
, de telle sorte que toute lésion destructive de l'appareil nerveux
visuel
située en arrière du chiasma, qu'elle siège sur
ux visuel située en arrière du chiasma, qu'elle siège sur le centre
visuel
cortical, les radiations optiques, les centres
psie latérale homonyme : elle intéressera la moitié droite du champ
visuel
si l'hémisphère gauche est lésé, et la moitié gau
isuel si l'hémisphère gauche est lésé, et la moitié gauche du champ
visuel
si c'est l'hémisphère droit qui est intéressé.
hiasma qu'une décussation incomplète. Origines et trajet des fibres
visuelles
. Les fibres visuelles ou optiques prennent pour
ion incomplète. Origines et trajet des fibres visuelles. Les fibres
visuelles
ou optiques prennent pour la plupart naissance
ce niveau n'étant représentée que par une simple couche de cellules
visuelles
en cônes. Mais à la périphérie de la macula les c
e faisceau nasal, en dehors par le faisceau maculaire. Les fibres
visuelles
ou rétiniennes, après s'être groupées dans la pap
, démontrent que, dans le segment antérieur de l'ap- pareil nerveux
visuel
, les faisceaux qui proviennent des différents seg
mporale de la papille. Dans certaines dégénérescences de l'appareil
visuel
antérieur, le fais- ceau temporal d'un côté peu
entraîne une hémianopsie homonyme des secteurs supérieurs du champ
visuel
. i° Dans les centres ganglionnaires de la visio
a vision centrale avec intégrité des limites périphériques du champ
visuel
, consécutif une lésion corticale. Mais à la suite
conservée ou se rétablir à l'exclusion de tout le reste des champs
visuels
qui restent définitivement perdus. Dans de tels
iquer que la macula rétinienne entre en relations avec toute l'aire
visuelle
corticale et non pas seulement avec un point limi
bres pupillaires. Le nerf optique contient non seulement des fibres
visuelles
, mais encore des fibres pupillaires, qui présiden
t le corps genouillé externe qui représente le centre ganglionnaire
visuel
proprement dit. Il reçoit à lui seul 80 p. 100
re visuel proprement dit. Il reçoit à lui seul 80 p. 100 des fibres
visuelles
(v. Monakow) et entre en connexion très étroite
lles (v. Monakow) et entre en connexion très étroite avec le centre
visuel
cortical. Les autres fibres visuelles se termin
xion très étroite avec le centre visuel cortical. Les autres fibres
visuelles
se terminent dans le pulvinar. Quant au tubercu
ulaire commun.) Outre le système des fibres centripètes, l'appareil
visuel
antérieur con- tient encore une voie centrifuge
nt antérieur des voies optiques. Le segment antérieur de l'appareil
visuel
possède-t-il d'autres connexions que celles que
corps genouillé à l'autre et se distingue très nettement des fibres
visuelles
de la bandelette par le lui calibre de ses fibr
ucléation des deux yeux, et forme, chez la taupe dépourvue d'organe
visuel
, à lui seul la bandelette et le chiasma. Il rel
la bandelette optique et qu'elle ne peut être distinguée des fibres
visuelles
ni par le calibre de ces fibres, ni par l'époqu
4. VIOLET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil nerveux
visuel
intracérébral. Th. Paris, 1893. - Vnzou. Effets
versation et ne prononce que quelques mots. Il a des hallucinations
visuelles
et prend les arbres pour des pyramides d'hommes
n située entre le pli courbe et les centres corticaux de la mémoire
visuelle
commune (Dejerine). " G. D. X. État des réflexe
e la migraine et de l'épilepsie est principalement une commune auia
visuelle
, qui peut se présenter comme une couleur rouge.
qui peut se présenter comme une couleur rouge. Cette commune aura
visuelle
est des plus digne d'être notée. - Si les conditi
des deux types neurotiques. Il ne peut être douteux que cette aura
visuelle
est un symptôme d'une entité clinique. Il est p
cranie que pour l'épilepsie, cela reste très vague. - ... 6° L'aura
visuelle
peut survenir sporadiquement (attaque avor- tée
de vertiges, d'une dysacousie légère, d'une diminution de l'acuité
visuelle
, d'oublis, et de l'incapacité de répondre sur l
rmale, ainsi que sur la face dorsale des doigts (fig. 12). Le champ
visuel
est rétréci de moitié environ, aussi bien du cô
e. Lestr... a la notion nette de la position de son bras. Son champ
visuel
est concenlriquement rétréci. Après un quart d'
es grands organes splanchniques. Pas de zones - hystérogènes. Champ
visuel
rétréci concentriquement des deux côtés. Le 1
bords radial et cubital ne donne lieu à aucune réaction. Le champ
visuel
est normal. Le même jour, nous le faradisons po
rieur de l'avant-bras droit. Rétrécissement con- centrique du champ
visuel
de moite environ. Pas de dyschroma- topsie. Éta
et de la position des divers segments du membre paralysé. Le champ
visuel
exploré chez cinq de nos malades a été trouvé q
ès notre méthode, nous croyons que même l'amélioration des troubles
visuels
chez notre ma- lade est due dans une grande par
causée par, dans l'hémisphère droit, un ramollissement du centre
visuel
cortical et dans l'hémisphère gauche, un ramollis
nt que son architecture s'est établie d'arrière en avant. La sphère
visuelle
croit en importance depuis 153 REVUE D'ANATOMIE
pourtant vu s'arrêter où elle en était la diminution de l'acuité -
visuelle
, sans qu'on l'ait d'ailleurs jamais vue rétrograd
ble dans l'état de la malade- : les céphalées ont disparu, le champ
visuel
est plus étendu, le plié- nomène de la névrite
e direction. Il y a prédominance de telle ou telle mémoire, mais le
visuel
pur, par exemple, n'existe pas. L'amnésie de fi
rougeur, toujours ou presque toujours provoqué par ces sensations
visuelles
, auditives, etc. Or, comme cette vue, cette audit
droite, assez légère, de la céphalée, du rétré- cissement du champ
visuel
droit, de l'anorexie. Son père, en me le-présen
tiellement variable, car elle dépend du type sensoriel (auditif-
visuel
, etc.) que réalise un individu : les réactions en
pour- quoi la vue d'un ours que nous savons -empaillé (impression
visuelle
indcntique) ne nous fait-elle pas. trembler ? C'e
ume la bougie, on éprouve une légère tension dans l'oeil ; le champ
visuel
se voile comme d'un nuage gris, la lumière fixée
s dont la plus accentuée consiste en la cécité du centre du champ
visuel
, la périphérie de la rétine restant seule active.
blépharoptose de l'oeil droit, avec strabisme et perte de l'acuité
visuelle
.' consécutivement à un choc de la tempe droite :
ation kystique du splénium; ces malades présen- taient des troubles
visuels
, mais l'un portait des lésions thala- miques et
on avec loquacité débordante et même des phénomènes hallucinatoires
visuels
et auditifs. C'est une véri- table poussée déli
ire externe droit et le malade avait de la diplopie. Comme l'acuité
visuelle
de l'oeil droit était supérieure à celle de lui
es mêmes conditions, nystagmus bilatéral : conservation de l'acuité
visuelle
. Il s'agit évidemment d'un foyer central et la
gne l'abolition de la perception lumineuse dans une moitié du champ
visuel
, des deux côtés, on, ce qui est plus rare, d'un
moitiés droites (fig. 19), ou sur les deux moitiés gauches du champ
visuel
. On la qualifie de croisée, lorsque des deux cô
tié tem- porale (externe), ou la moitié nasale (interne) du champ
visuel
. Donc on dira : - Hémianopsie homonyme droite
s droiles (/{. 19) ou dans les deux moitiés gauches des deux champs
visuels
. On dira : ' Hémianopsie croisée temporale et
mianopsie temporale bilatérale, ou bitemporale, quand la perception
visuelle
est abolie dans la moitié temporale ou externe
on visuelle est abolie dans la moitié temporale ou externe du champ
visuel
de chaque oeil (fig. 20). Hémianopsie croisée n
lumineuse est abolie dans la moitié nasale interne des deux champs
visuels
(flg. 21). Il importe aussi que vous ne confond
La perception lumineuse sera abolie, dans toute l'étendue du champ
visuel
, des deux côtés, sauf H'ig. 19. SUR TROIS cas
s ne devez jamais perdre de vue que la portion tempo- rale du champ
visuel
de chaque oeil correspond au segment nasal de l
e l'une de l'autre la partie conservée et la partie abolie du champ
visuel
, est elle-même verticale ou horizontale; cette
lumineuse, limitée à un segment polygonal, quadrangulaire, du champ
visuel
. Premier exemple CLINIQUE. - Cela dit, je vais
Une hémianopsie homonyme droite; en d'autres termes, la perception
visuelle
est abolie dans la moitié droite du champ visue
la perception visuelle est abolie dans la moitié droite du champ
visuel
, de chaque côté : à droite, dans la moitié tem-
s scintillements et à des apparitions de flammèches dans le champ
visuel
de son oeil droit. Ces phosphènes étaient suivis
droit. Ces phosphènes étaient suivis de l'apparition, dans le champ
visuel
droit, d'une tête d'enfant blanc, assez vague,
même époque, la malade a remarqué que la moitié droite de son champ
visuel
s'obscurcissait progressivement, de chaque côté
, quand un jet de lumière est dirigé sur la portion abolie du champ
visuel
. ' La malade n'a plus d'hallucinations de la vu
Un an plus tard, elle s'est plaint de scintillements dans le champ
visuel
droit, d'hallucinations de la vue, limitées à ce
utrement de l'hémianopsie. Ce trouble, si curieux, de la perception
visuelle
ne peut dépendre que d'une lésion de la voie op
t ne sont autres que le territoire cortical préposé à la perception
visuelle
. Or, nous ne sommes pas encore fixés sur l'exac
qu'elle ne distinguait plus les objets que dans une moitié du champ
visuel
. Avec cela, elle éprouvait une cer- taine diffi
res d'écriture ou d'impression se trouvaient en dehors de son champ
visuel
rétréci. En outre, elle avait de petits accès d
és par de légers mou- vements nystagmiformes. , L'examen du champ
visuel
a fait constater l'existence d'une hémianopsie
omonyme droite (fig. 24), portant sur toutes les couleurs. L'acuité
visuelle
centrale était intacte. Dans la partie conservé
visuelle centrale était intacte. Dans la partie conservée du champ
visuel
, on ne constatait pas la moindre anomalie de la
sition de l'hémianopsie. Celle-ci affecte la moitié droite du champ
visuel
des deux yeux, à l'instar de ce qui avait lieu
ent les objets, nous fixons le regard de telle sorte que les rayons
visuels
conver- gent exactement vers les deux taches ja
ion vi- suelle sera abolie dans les deux moitiés gauches du champ
visuel
. Inversement, une lésion qui désorganise la bande
auche et le segment nasal de la rétine droite; donc la perception
visuelle
sera abolie dans les deux moitiés droites du cham
ption visuelle sera abolie dans les deux moitiés droites du champ
visuel
. Si nous poursuivons le trajet de la voie optiq
ternes, et leurs lieux d'aboutissement ne sont autres que la sphère
visuelle
corticale. Cette conception de la voie optique
s postérieur de la capsule interne, pour gagner ensuite les centres
visuels
corticaux. Les fibres de cette seconde catégori
aient donc 452 CLINIQUE nerveuse. à la perception des impressions
visuelles
venues de la péri- phérie. Au contraire, les
ois, il ne faut pas perdre de vue que la portion temporale du champ
visuel
de chaque oeil répond au segment nasal de la ré
répond au segment nasal de la rétine et la portion nasale du champ
visuel
au segment rétinien temporal. Voyons maintenant
itales. Leurs lieux d'aboutissement constituent précisément la zone
visuelle
corticale. Or, ainsi que je vous le laissais pr
es deux lèvres de la scissures calcarine. D'après Vialet, la zone
visuelle
corticale comprendrait, indépendamment des deux
ire est en connexion avec toutes les par- ties de la zone corticale
visuelle
, et je vous rappelle que von Monakow assigne à-
expliqué, là-dessus, il y a un instant. Donc, pour peu que la zone
visuelle
reste intacte dans une faible portion de son ét
que de son parcours compris entre le chiasma et la zone corticale
visuelle
, donnera lieu, à une hémianopsie homonyme laté-
de même, dans le cas d'une lésion qui désorganise la zone corticale
visuelle
. Une lésion, qui réalise l'une des deux conditi
487 sommes pas encore fixés sur les limites exactes de la sphère
visuelle
corticale. Peu importe d'ailleurs, car, de toute
opsie, la perte de la vision des couleurs, dans une moitié du champ
visuel
. Habituellement, elle est associée à la perte d
parle malade se résume toujours encore dans cette triade : troubles
visuels
; hémipa- résie droite ; aphasie. Occupons-no
émipa- résie droite ; aphasie. Occupons-nous d'abord des troubles
visuels
. Vous voyez que les pupilles du malade sont éga
ouleurs. La réaction pupillaire de Wernicke fait défaut. L'acuité
visuelle
est un peu diminuée. Le malade n'a jamais eu d'
ne du cerveau. On peut donc la considérer comme l'artère de la zone
visuelle
corticale. En fin de compte, je formule ainsi
469 9 lumineuse est dirigée sur les portions oblitérées du champ
visuel
; en même temps, les modifications du diamètre pup
ions de la rétine qui correspondent aux régions oblitérées du champ
visuel
. 2° Quand l'hémianopsie est d'origine corticale
le malade a conscience de son hémi- anopsie : les portions du champ
visuel
, au niveau des- quelles la perception lumineuse
e qui intéresse les deux moitiés droites ou gauches des deux champs
visuels
. C'est encore sous cette forme que se présente
lle intéresse les deux moitiés, droites ou gauches, des deux champs
visuels
. Les malades n'en ont SUR TROIS CAS D'HÉMIANOPS
nscience ; ils voient noir dans les parties hémianopsiques du champ
visuel
. 1 b) En ce que les manifestations associées ne
ique, des fibres qui, ayant leur ori- gine dans la sphère corticale
visuelle
, suivent un trajet cen- trifuge, pour se rendre
génèrent, dans les cas de lésions destructives de la zone corticale
visuelle
. Peut-être l'atrophie de la papille, plus marqu
générale, douleurs en ceinture, diminution considérable de l'acuité
visuelle
qui font songer au médecin traitant, à une affe
de richesse, tremblement des mains, diminution notable de l'acuité
visuelle
sans inégalité pupillaire. La malade constammen
s décrits plus haut. P. KoUtDJY. XXXX. Des modifications du champ
visuel
chez les paralytiques généraux; par M. M. Rezni
servations personnelles, des plus complètes, avec tracés des champs
visuels
et examen des travaux des auteurs, permettent à
M. Reznikow de conclure ce qui suit : 1° Le rétrécissement du champ
visuel
, dans la paralysie géné- rale, est un phénomène
cissement ne comporte pas de grandes différences suivant les champs
visuels
. 6° bien que les champs visuels du vert et du r
ndes différences suivant les champs visuels. 6° bien que les champs
visuels
du vert et du rouge subissent le plus grand rét
les couleurs, n'a pu être observé; 7° les rétrécissements du champ
visuel
ont le caractère de dé- chéances segmentaires,
es lacunes en des endroits diffé- rents. au milieu de divers champs
visuels
, et peut-être même à des moments divers, les ch
champs visuels, et peut-être même à des moments divers, les champs
visuels
prennent au plus haut degré l'aspect irrégulier
- tre ; un champ s'en va derrière un autre, les lacunes de champs
visuels
très spacieux font irruption sur les limites de c
amps visuels très spacieux font irruption sur les limites de champs
visuels
restreints. C'est ainsi qu'il peut arriver que
oute autre couleur demeure conservée; 9° le rétrécissement du champ
visuel
est le signe le plus précoce, le plus sûr. le p
gressive Paralyse de ? , lrren, 1880), le rétrécisse- ment du champ
visuel
chez les paralytiques généraux est le signe d'u
iques. C'est pourquoi, au début, les parties périphériques du champ
visuel
sont atteintes, tandis que l'acuité visuelle de
s périphériques du champ visuel sont atteintes, tandis que l'acuité
visuelle
demeure normale. Longtemps l'image ophthalmosco
n scotome central avec perte de la perception pour le vert et champ
visuel
fort restreint pour le rouge, les désordres de
récents, avec des variations dans son. intensité. Les impressions
visuelles
semblent en avoir le moins souffert. Mais ces deu
tante, par Mi- chaud, 528. Paralytiques. Modifications du champ
visuel
chez les - géné- raux, par leznil,o\v. 494. P
roubles sensoriels et particulièrement avec rétrécissement du champ
visuel
est expressément notée. Or, il n'en est pour ains
océder afin d'éviter les suggestions dans la recherche des troubles
visuels
qui constituent les prétendus stigmates oculair
mon ami M. J. Chaillous, un grand nombre d'hystériques et le champ
visuel
nous a paru sensiblement normal chez ceux d'ent
espace est complète. » De plus, cette malade a « des hallucinations
visuelles
manifestes ; elle voit des lampes tout près d'e
rce le réflexe à la lumière, amène aussi la régénération du pourpre
visuel
(voir à ce sujet l'ouvrage de Parinaud, La Visi
ique et d'hémorragies rétiniennes, sans affaiblissement de l'acuité
visuelle
. Ce n'est que depuis six mois que la vision s'aff
la vision s'affaiblit, et depuis un mois, la diminution de l'acuité
visuelle
alla en s'accentuant rapidement. Un traitemen
plus prononcées, et le Dr Parinaud confirme ce diagnostic; l'acuité
visuelle
est peu réduite; O. D. i/3, STASE PAPILLAIRE GU
laire ; je dois ajouter que les papilles sont pâles et que l'acuité
visuelle
a diminué ; elle est de 1/6 à droite et à gauch
ale avec atrophie des vais- seaux, sans affaiblissement de l'acuité
visuelle
. Elle présentait de plus un écoulement intermit
mise, décèle une double stase papillaire ; du côté gauche, l'acuité
visuelle
est 7/10 ; à droite le malade reconnaît à peine l
dement d'inten- sité et s'accompagnent bientôt d'un affaiblissement
visuel
. Il vient me consulter une première fois à la P
le malade est en mesure de compter les doigts de la main ; l'acuité
visuelle
est 2/10. Le goût et l'odorat semblent affaibli
avée. La cécité est à peu près complète à gauche, à droite l'acuité
visuelle
est 1/10. La céphalée occupe toujours la région
la tumeur se trouvait dans le lobe frontal gauche, car les troubles
visuels
et la céphalée étaient notablement plus prononc
ée du côté opposé à celui où siégeait la tumeur. Quant aux troubles
visuels
, ils étaient dans un de ces deux cas plus prono
re un oedème de la papille très marqué, sans diminution de l'acuité
visuelle
. La motilité et la sensibilité sont normales. L
ns être soutenu. L'oedème papillaire ne s'est pas modifié, l'acuité
visuelle
est de 7/10. Le 24 mai, l'oedème papillaire a d
ent que d'une manière confuse lors des précédents examens. L'acuité
visuelle
est remontée à go de ce côté. La céphalée et la t
est capable de fournir le plus de bénéfices, au moment où l'acuité
visuelle
n'a pas encore ou n'a que très légèrement dimin
stant par des troubles ophtalmoscopiques avant d'affaiblir l'acuité
visuelle
, qui peut rester normale plusieurs semaines et mê
n, à condition de renou- veler souvent les mensurations de l'acuité
visuelle
, et, si elle vient à dimi- nuer, de cesser la t
qui a lieu très communément, en présence d'un malade dont l'acuité
visuelle
a déjà notablement diminué de la moitié, par ex
pensable de rester alors à l'affût, et si la diminution de l'acuité
visuelle
s'accentue, si surtout l'aggravation est rapide
n'a pas été soumis aux épreuves du mercure, etc., et dont l'acuité
visuelle
est extrêmement réduite. Si l'on considère que
e ; le malade ne rejette pas les liquides par le nez. Les fonctions
visuelles
et les fonctions auditives sont normales. Le ma
pupillaires faibles à la lumière ; névrite oedémateuse double ; champ
visuel
impossible à examiner en raison des réponses in
examiner en raison des réponses incohérentes de la malade ; acuité
visuelle
OD = 5 OG = 35· » 15 35 Pendant une période d
vrite oedémateuse double, coïncidant avec une diminution de 'acuité
visuelle
. Le diagnostic de tumeur cérébrale me paraissan
ne augmentation de l'oedème pupillaire et la diminution de l'acuité
visuelle
. Cette fois tous les médecins consultés sont d'
jamais été totalement abolie, s'améliora et de nouveau la fonction
visuelle
fut abolie du côté gauche. Pendant quinze jours
ne distingue guère que le jour de la nuit. Du côté droit, l'acuité
visuelle
est normale et il n'y a pas de dyschromatopsie.
s objets est possible dans une faible partie, il est vrai, du champ
visuel
qui est très notablement rétréci ; l'acuité visue
est vrai, du champ visuel qui est très notablement rétréci ; l'acuité
visuelle
est inférieure à 1/10. L'éclairage de l'oeil ga
a lieu dans cette affection, on note ici, du côté droit, une acuité
visuelle
normale et une absence de dyschromatopsie qui c
elle atteint la partie centrale et respecte la périphérie du champ
visuel
et elle est, dès le début, bilatérale et symétr
a dix-sept ans. Il est atteint depuis plusieurs années de troubles
visuels
, de quelques troubles vésicaux et souffre parfo
la vision est très affaiblie du côté droit; du côté gauche l'acuité
visuelle
est de 5/1; du côté droit, le malade ne disting
la syphilis. vin . D7 CiP F ? E'Z. ? à F ? C'A C/A 77M DU CHAMP
VISUEL
ET DE LA VISION CENTRALE DANS L'ATROPHIE TABÉTI
un an, observer ce malade, prendre de nombreux tracés de son champ
visuel
, et suivre jusqu'au bout l'évolution fatale de
observation, il serait intéressant de joindre une étude des champs
visuels
et de la vision centrale des atrophies tabétiqu
Lariboisière. Nous l'en remercions bien vivement. L'étude du champ
visuel
de l'atrophie tabétique semble à priori banale.
le à priori banale. Nous espérons montrer que la recherche du champ
visuel
et l'étude de la vision centrale dans l'atrophi
Disons de suite que notre étude porte exclu- sivement sur le champ
visuel
pour le blanc, et qu'il ne sera parlé qu'inci-
ou les types cliniques que peut revêtir le rétrécissement du champ
visuel
dans l'atrophie tabétique. Ce fait, c'est l'ext
moelle loin d'être d'accord sur la forme du rétrécissement du champ
visuel
dans l'atrophie tabétique : « Leber parle d'u
avec M. Berger, qu'il n'y a pas de forme de rétrécissement du champ
visuel
caractéristique du tabes ; pour ce dernier auteur
e de l'un de nous, et parmi nos malades de clientèle. 1° Le champ
visuel
est irrégulièrement rétréci; l'acuité visuelle di
clientèle. 1° Le champ visuel est irrégulièrement rétréci; l'acuité
visuelle
diminue en même temps que se rétrécit le champ
i; l'acuité visuelle diminue en même temps que se rétrécit le champ
visuel
. Dans la quarantaine d'observations qui forment
nique, nous constatons que dans la grande majorité des cas le champ
visuel
est dans le tabes irrégulièrement rétréci, et q
cissement irrégulier va de pair avec un affaiblissement de l'acuité
visuelle
. Nous vous faisons passer un premier groupe de
pe de vingt-quatre observa- tions, ou plutôt de vingt-quatre champs
visuels
d'atrophie tabétique. Pour ne pas allonger inut
llonger inutilement ce travail, nous joignons simplement aux champs
visuels
l'état de l'acuité visuelle. Il suffit de parco
ail, nous joignons simplement aux champs visuels l'état de l'acuité
visuelle
. Il suffit de parcourir ces schémas pour consta
constater l'irrégularité, la varia- bilité des contours des champs
visuels
de l'atrophie tabétique. Chez deux malades, on
Chez deux malades, on constate un rétrécissement rappelant un champ
visuel
d'hémia- nopsique. Nous disons seulement « rapp
que dans la moitié inférieure. L'irrégularité des contours du champ
visuel
peut être si peu marquée que le rétrécissement pr
tômes que l'atrophie des nerfs optiques. Sauf exception, le champ
visuel
a été pris à l'éclairage diurne, avec un index
ge diurne, avec un index blanc de i centimètre carré. 2° Le champ
visuel
peut se rétrécir concentriquement, et d'une façon
rétrécir concentriquement, et d'une façon consi- dérable ; l'acuité
visuelle
reste bonne, parfois normale. TABES ET PSEUbO-l
, il y a presque toujours en même temps que rétrécissement du champ
visuel
, diminution de l'acuité visuelle. Nos observati
me temps que rétrécissement du champ visuel, diminution de l'acuité
visuelle
. Nos observations personnelles confirment cette d
, avec un rétrécissement concentrique, parfois très marqué du champ
visuel
, une bonne conservation de l'acuité visuelle et d
ois très marqué du champ visuel, une bonne conservation de l'acuité
visuelle
et du sens chromatique. Cet état persiste des a
tions, le traitement hydrargyrique a contribué à maintenir l'acuité
visuelle
telle qu'elle était au moment où les malades on
tique. Si de Wecker, Parinaud, Rouffinet, Kahler donnaient du champ
visuel
dans l'atrophie tabétique une description diffé
'atrophie tabétique ait été simplement énoncée sans schéma du champ
visuel
, ou que les schémas ne soient pas accompagnés d'o
a Pitié montre en effet que le rétrécissement périphérique du champ
visuel
peut prendre la forme d'un secteur se rapprochant
rapprochant peu à peu, comme le disait Forster, du centre du champ
visuel
. La vision centrale, quand le secteur est compl
ndis que persistent, indemnes ou presque, les trois quarts du champ
visuel
. En résumé : On peut observer un scotome centra
ntral, par suite des progrès constants du rétré- cissement du champ
visuel
, rétrécissement ayant la forme d'un secteur don
hie tabétique du nerf optique, une forme de rétrécissement du champ
visuel
particulière à cette affection ; 2° Dans la gra
re à cette affection ; 2° Dans la grande majorité des cas, le champ
visuel
pour le blanc est irrégulièrement rétréci et l'
affaiblissement de la vision va de pair avec la limitation du champ
visuel
; 3° On observe aussi des cas où le rétrécissem
où le rétrécissement concentrique s'accom- pagne d'une bonne acuité
visuelle
, et parfois de la conservation de la vision cen
ique. Par suite de la disparition progressive d'un secteur du champ
visuel
, la vision centrale peut être abolie, tandis que
le peut être abolie, tandis que persiste une grande partie du champ
visuel
périphérique. Il s'agit là d'un pseudo- scotome
électrisation localisée. Paris, 1872. Forster. Mensuration du champ
visuel
monoculaire des diverses maladies de la rétine
ngrès d'Utrecht, 1899. JocQs. Du rétrécissement hémiopique du champ
visuel
chez les tabétiques (Clinique ophtalmologique,
traire au bon sens. Si ces idées sont acceptées, si l'hallucination
visuelle
ou si la monopolégie brachiale est réalisée, on
rti- culier de la vision, avec rétrécissement concentrique du champ
visuel
, diplopie ou polyopie monoculaire, et une dysch
yant un large tribut à l'hystérie ; outre la diminution de l'acuité
visuelle
, le rétrécissement du 468 HYSTËRIE-PITHIATIS;11
é visuelle, le rétrécissement du 468 HYSTËRIE-PITHIATIS;11Ê champ
visuel
, les paralysies oculaires, déjà signalés, on obse
ce d'un malade atteint d'hémianesthésie, de rétrécissement du champ
visuel
, je m'applique à faire disparaître ces trou- bl
tiens tout aussi aisément la disparition du rétrécissement du champ
visuel
, de la dyschromatopsie et de l'insensibilité de
veiller dans son esprit l'idée d'une hémianesthésie ou d'un trouble
visuel
; il est donc essentiel de prendre toutes les pré
r plus de cent individus des deux sexes. Le rétrécissement du champ
visuel
, pas plus que l'hémianesthésie, ne se développe
ieu, certains sujets, d'ailleurs absolument normaux au point de vue
visuel
, se figurant, ainsi que je m'en suis maintes fois
n ami, M. J. Chaillous, un grand nombre d'hysté- riques et le champ
visuel
nous a toujours paru sensiblement normal chez c
s ce que je viens de vous dire sur l'hémianesthésie et les troubles
visuels
, je n'insisterai pas sur les autres stigmates, te
bon sens. Si ces affir- mations sont acceptées, si l'hallucination
visuelle
ou si la paralysie est réalisée, on peut dire q
troubles, tels que l'hémi- anesthésie et le rétrécissement du champ
visuel
sont la conséquence de la suggestion médicale e
segment de membre, des hyperes- thésies, du rétrécissement du champ
visuel
, de la diminution de l'acuité visuelle, de la c
es, du rétrécissement du champ visuel, de la diminution de l'acuité
visuelle
, de la cécité, de l'aphonie, du mutisme, des vomi
té paralysé, de l'anes- thésie ainsi que du rétrécissement du champ
visuel
et chez lesquels l'hémiplégie a été consécutive
syringomyélique, exposé il se brûler; un rétrécisse- ment du champ
visuel
, quelque prononcé fût-il, ne l'empêchera pas, ain
ent, je n'ai constaté ni hémianesthésie, ni rétrécissement du champ
visuel
, ni dyschromatopsie. Tout commentaire serait su
gneusement l'état de la sensibilité et mesura au périmètre le champ
visuel
de plus de (ioo « rescapés » dont quelques-uns
ouva pas un seul cas d'hémianesthésie ou de rétrécissement du champ
visuel
. Pourtant on est bien en droit de penser que l'ém
s particulièrement attirée sur les modifications que subit le champ
visuel
chez les hystériques, nous avons reconnu chez e
ez elle l'existence très accusée du rétrécissement classique du champ
visuel
, marqué des deux côtés, mais plus prononcé du c
- mens souvent répétés, d'être présente. Le rétrécissement du champ
visuel
, très net des deux côtés, mais plus prononcé à
ve pas d'hémianesthésie hystérique, ni de rétrécisse- ment du champ
visuel
lorsqu'on explore l'état de la sensibilité et de
muniquée il y a quelque douze ans par le Dr Morax, sur les troubles
visuels
dans l'hystérie, les passages sui- vants qui vo
mienne : ' J'ai relevé autrefois bien des rétrécissements du champ
visuel
sur des hystériques de la Salpêtrière ; mais ap
s, je n'ai retrouvé de ces rétrécisse- ments concentriques du champ
visuel
par anesthésie rétinienne, relevant d'un état n
ie. Pour résumer mon impression actuelle sur la nature des troubles
visuels
, décrits comme stigmates de l'hystérie, je dira
lisée, anesthésie pharyngée, rétrécisse- ment concentrique du champ
visuel
; et à ces stigmates classiques s'ajoutaient tous
nsi que dans un travail tout récent ayant pour titre « Des troubles
visuels
par commotion crânienne » (Aoc7a. d'ophtalm., mai
traitement destiné à les suggestionner et à rééduquer leur fonction
visuelle
que Crouzon a guéri les trois commotionnés dont
on précise par l'examen ophtalmoscopique etparla mesure de l'acuité
visuelle
le degré de la lésion ; -, on sait, d'autre par
marche. Au mois d'avril de l'année dernière ont apparu des troubles
visuels
qui ont été en s'accentuant très rapidement et qu
ite. Du côté gauche, il y a un rétrécissement très notable du champ
visuel
et de la dyschromatopsie, le malade ne percevant
temps le malade constate un arrêt dans l'évo- lution des symptômes
visuels
. Du mois de mai au mois de décembre, 22 injection
pyramidal. Je regrette de ne pouvoir donner les mesures de l'acuité
visuelle
qui n'ont pas été conservées, mais je puis affirm
l'existence d'une atrophie de la papille du côté gauche ; l'acuité
visuelle
de ce côté = 5/a5 et il y a de la dischromatopsie
u même point qu'en février 1898 ; l'oeil droit est normal, l'acuité
visuelle
, à gauche, est de 5/2 5. On peut, il est vrai
u'a fait naître la constatation d'améliorations rapides de l'acuité
visuelle
chez quelques-uns de nos malades, de quelques c
é, les modifications que l'on observe chez nos malades. Si l'acuité
visuelle
et le champ visuel ne sont pas toujours modifié
que l'on observe chez nos malades. Si l'acuité visuelle et le champ
visuel
ne sont pas toujours modifiés par l'évacuation
u nerf opti- que s'accompagne de diminution de l'acuité et du champ
visuel
, comme on peut le constater dans les observatio
lamine sur la chorée de Sydenham (Id., janvier 1907). t3z. Du champ
visuel
et de la vision centrale dans l'atrophie tabétiqu
..... 343 VII. - Sur une forme de pseudo-tabes 349 VIII. Du champ
visuel
et de la vision centrale dans l'atrophie labétiqu
et portant tous les stigmates de la névrose, rétrécissement du champ
visuel
avec dyschromatopsie, hémianesthésie sensitivo-se
résultat appréciable. Nous n'avons pu tenter d'impressionner l'organe
visuel
, car chez elle l'occlusion des yeux est complète
e, sont commandées en général par des hallucinations, le plus souvent
visuelles
. On sait aussi que cette troisième période de l'a
sensitivo-sensorielle droite complète, double rétrécissement du champ
visuel
, point hystéro-gène au vertex, hystéro-frénateur
at 1 ; de même l'hémi-anesthésie et le rétrécissement double du champ
visuel
, observés dans l'état 2, sont très exagérés dans
d'une période convulsive, la malade est en proie à des hallucinations
visuelles
terrifiantes. Elle parle, lutte contre des gens i
ctes absurdes, en rapport la plupart du temps avec des hallucinations
visuelles
. Il grimpait après le bras de son médecin, le pre
présentait aucun stigmate, ni anesthésie, ni rétrécissement du champ
visuel
. Outre cette tare héréditaire paternelle, le peti
plus souvent, règle ses idées délirantes soit sur ses hallucinations
visuelles
du moment, soit sur les faits habituels de sa vie
s crises d'aucune sorte. Stigmates. —Pas de rétrécissement du champ
visuel
; pas d'anesthésies; ovaire gauche un peu sensible
. Le malade n'avait pas pu être examiné en ce qui concerne le champ
visuel
, la fixation du centre du périmètre provoquant ch
à gauche. L'odorat est normal. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
des deux côtés à 50°, sans dyschromatopsie, avec
oculaire et de mégalopsie, surtout de l'œil gauche. L'examen du champ
visuel
, pratiqué immédiatement après une crise délirante
dépendant de la succession et de l'enchevêtrement des hallucinations
visuelles
qui en forment le fond. Mais tout mobile qu'il es
e froid chaud. De plus, il existe à gauche un rétrécissement du champ
visuel
de 50° avec micro-mégalopsie et dyschromatopsie s
concerne la vue, on constate du côté droit un rétrécissement du champ
visuel
à 30°. A gauche le champ visuel est normal. De pl
côté droit un rétrécissement du champ visuel à 30°. A gauche le champ
visuel
est normal. De plus : achromatopsie et polyopie m
gardent une intégrité relative ; il existe un rétrécissement du champ
visuel
très prononcé (30°), et, de plus, de l'achromatop
nesthésique totale, mais seulement hémianesthésique gauche. Son champ
visuel
est de 60° au lieu de 30 ; elle n'a plus d'achrom
ôtés. Du côté de la vision, on note un double rétrécissement du champ
visuel
, de 30° à gauche, de 50° à droite (v. Fig. 1) et
sque complète : la malade ne voit plus que le rouge. Fig. 4 — Champ
visuel
de Marguerite Dia... dans l'état vigilambulique.
ie, par des objurgations réitérées, sur le bristol, une hallucination
visuelle
, par exemple la photographie de M. Charcot, tel q
, seul le goût est diminué du côté gauche. Le rétrécissement du champ
visuel
est beaucoup moins prononcé (60° à gauche, 70° à
parfaitement bien toutes les couleurs (v. Fig. 5). Fig. S. — Champ
visuel
de Marguerite Din... dans l'état normal (on voit
ianes-thésique du côté gauche, que son double rétrécissement du champ
visuel
, qui était à cette époque de 5° à droite et de 10
lètement abolis à gauche. Il existe un double rétrécissement du champ
visuel
très prononcé (25° à gauche, 30° à droite) (Fig.
x, l'autre au niveau de la région ovarienne droite. Fig. 7. — Champ
visuel
de Marie Hab... dans l'état vigilambulique. Si
e masse quand on lui fait fermer les yeux. Le rétrécissement du champ
visuel
, qui était dans l'état B de 25° à gauche et de 30
de la motilité qui distingue cet état du précédent. Fig. 8. — Champ
visuel
de Marie Hab... dans l'état normal (on voit que l
it sur toute la surface du corps dans l'état vigilambulique. Le champ
visuel
, fortement rétréci des deux côtés dans la conditi
e et puis tout s'efface irrévocablement, qu'il s'agisse de phénomènes
visuels
, auditifs ou moteurs. C'est une amnésie générale,
cesse sur ces scènes funèbres. Puis, à ce délire avec hallucinations
visuelles
, succède un état léthargique profond qui dure une
sie cutanée, ni perte du réflexe pharyngé, ni rétrécissement du champ
visuel
, ni dyschromatopsie, ni polyopie monoculaire, ni
complète de réaction des pupilles.Rétrécissement irrégulier du champ
visuel
(v. fig. 10). Dyschromatopsie Fig. 10.— Rétréci
. 10). Dyschromatopsie Fig. 10.— Rétrécissement irrégulier du champ
visuel
d'origine tabétique chez un diabétique. prononc
latéral, signe d'Argyll Robertscn, rétrécissement irrégulier du champ
visuel
, dyschromatopsie et atrophie nacrée des papilles.
lade a à peine le temps de sortir de chez lui. Diminution de l'acuité
visuelle
consécutive à une cataracte commençante. En jui
vec scotome), avec rétrécissement plus ou moins considérable du champ
visuel
et avec atrophie du nerf optique. Les auteurs sig
utaient normalement. Diplopie homonyme dans la moitié droite du champ
visuel
, ne dépassant pas la ligne médiane. Pupilles réag
t aux excitations lumineuses. Pas de lésions du fond de l'œil. Acuité
visuelle
normale. Le 19 février, le malade'est de nouvea
ralysie est absolue. La diplopie existe dans toute l'étendue du champ
visuel
. Au résumé, dans l'état actuel, le malade a une p
de ptosis. L'iris et l'accommodation ne sont pas intéressés. L'acuité
visuelle
ne s'est pas modifiée. Traitement. — Au début o
jours et atteignent leur maximum le jour de l'accès. Pupilles, acuité
visuelle
et fond de l'œil normaux, ainsi que le champ visu
upilles, acuité visuelle et fond de l'œil normaux, ainsi que le champ
visuel
. Observation II. Huss... Jeanne, 28 ans, culo
ite, sans aucun autre signe. Il n'a pas été noté si l'examen du champ
visuel
avait été fait après un accès. On voit, par ces
ire, et elle revenait à elle souillée de matières fécales. 3» auras
visuelles
. (Deux cas.) Les troubles qui constituent les
ras visuelles. (Deux cas.) Les troubles qui constituent les auras
visuelles
peuvent être très divers. Les phénomènes hallucin
s compliqué. On trouve dans les auteurs des exemples d'hallucinations
visuelles
extrêmement complexes. Les deux cas que nous avon
x (Obs. XV) est particulièrement intéressant par la nature du trouble
visuel
qui carac térise l'aura. Observation XIV. Ab.
iplopie subite et de très courte durée, puis apparition dans le champ
visuel
d'une boule jaune, grosse comme une pomme, se dép
e, enfin perte de connaissance et accès. Quelquefois à à la sensation
visuelle
s'ajoute une sensation auditive : bruit de grands
signe d'hystérie, sauf un double rétrécissement concentrique du champ
visuel
à 45° à gauche et 50° à droite. Six mois de tra
ont tout fait disparaître : accès, migraine, rétrécissement du champ
visuel
. Nous n'avons plus revu la malade depuis cette ép
endu curieux par le fait de la coexistence de deux sortes de troubles
visuels
différents : l'un, constitué par la vision de car
faisant partie de la symptomologie de cette migraine. Mais le trouble
visuel
qui constituait l'aura était bien différent du sc
s épileptique. Reste le rétrécissement concentrique double du champ
visuel
, qui a été constaté dans cette jeune fille à deux
ter dans le doute au sujet de la nature de ce rétrécissement du champ
visuel
. S'agissait-il d'hystérie commençante ? Peut être
ctes des accès comitiaux. Rétrécissement concentrique double du champ
visuel
. Points hystérogènes. Accès bimensuels de migra
ésence des stigmates hystériques, anesthésie, rétrécissement du champ
visuel
, points hystérogènes, que se basera le diagnostic
fit ainsi. Nous retrouvons dans l'aura de cette malade le phénomène
visuel
du scotome scintillant que nous avions déjà renco
présence chez cette malade d'une association de phénomènes auditifs,
visuels
et moteurs, donnant une aura fort complexe, de du
attaques. Elle manque quelquefois et souvent l'élément hallucinatoire
visuel
fait défaut. Observation XL. Réj... Anna, 11 an
ciée à des phénomènes d'un seul ordre : d'une part des hallucinations
visuelles
, d'autre part des manifestations mo triées. Dan
e, outre les phénomènes de l'aura céphalique hystérique, des troubles
visuels
et moteurs et, enfin, le besoin d'aller à la gard
POUR 100 CAS AVEC OU SANS ADRA Motrices...... Sensitives.....
Visuelles
. ..... Auditives...... Psychiques..... Hyst
sensitivo^sen-soriels permanents, anesthésie, rétrécissement du champ
visuel
, lorsqu'elle est poursuivie très attentive ment
nesthésie pharyngée à droite. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
. Dans ce cas, je l'ai fait remarquer, le bruit
pas stérile. Il y a hé-mianalgésie gauche, et rétrécissement du champ
visuel
prononcé surtout à gauche. Aucune anomalie à sign
gauche sensitive et sensorielle avec perte du sens musculaire ; champ
visuel
très rétréci des deux côtés. Remarquez cette long
chaque fois qu'elle pousse son cri. Ces représentations auditives et
visuelles
acquièrent en ces conditions une puissance de réa
té. A Texamen campimétrique, on constate un rétrécissement du champ
visuel
des deux côtés, mais surtout à droite; le malade,
n eût trouvé là un rétrécissement concentrique très prononcé du champ
visuel
) ; intelligence très nette ; un peu de bégaiement
oite sensitivo-sensorielle avec rétrécissement très prononcé du champ
visuel
. Cette hémianesthésie est complète et très profon
de F—,392; — motrice, 394; — jacksonnienne, 396; — sensitive, 398 ; —
visuelle
, 401 ; — auditive, vertigineuse, 403 ; — psychi
sances actuelles, en ce qui concerne plus particulièrement le champ
visuel
des aliénés ; tel est le but de notre travail.L
rfaitement concordants des sujets les plus difficiles. Les champs
visuels
ont toujours été pris par le même opérateur, en
nne des résultats obtenus a permis d'établir les limites du champ
visuel
moyeu normal. C'est en comparant au type ainsi
dans le premier seront exposés les résultats de l'examen des champs
visuels
; le second sera consacré à l'étude de l'appare
ns de la Vue sont toujours précédées par un rétrécissement du champ
visuel
, qui p'orte toujours en haut, le plus souvent e
vue. Intégrité de la mémoire. Huit examens périmétriques du champ
visuel
. Ci-dessous la partie supérieure de 2 tracés de
sque clans la cour de l'asile), présente le rétrécissement du champ
visuel
caractéris- Ous. 122. Fid. 1. 0. G. Hallucinati
leure, se lamente sur son sort) présente un rétrécissement du champ
visuel
, portant en haut, varia- tion 'qui accompagne t
cohérence, amnésie progressive. ti examens périmétriques du champ
visuel
. Ci-dessous la par- tie supérieure de deux trac
amens périmétriques complets. Les variations .de l'étendue du champ
visuel
en haut sont indiquées dans le tracé de la fig.
élève nettement pour les 2 yeux. Le 11. Nouvel abaissement du champ
visuel
avec état dé- pressif. Elévation le lendemain.
tout état de dépression est annoncé par un rétrécissement du champ
visuel
cons- tant en haut (1). Il est parallèle à l'ét
2), le plus souvent il est associé à d'autres varia- tions du champ
visuel
, dues à des troubles surajoutés. ! ' 1 a. Etat
qu'un léger rétrécissement en haut et en dehors, dû à des illusions
visuelles
. , (11 Nous le signalons plusieurs fois au cour
examens périmétriques. Ci-dessous le schéma des variations du champ
visuel
en haut (fig. 10). 20 août. Alitée se lamente e
stupidité. Ces démences s'accompagnent de rétrécisse- ment du champ
visuel
, constant en haut, quelquefois global. et. Im
pris le 28 sept. Le sujet étant déprimé, le rétrécissement du champ
visuel
en haut s'est accen- Lué. (. Imbécillité inte
et 14). Le tracé n° 13, pris le 3 septembre, représente le champ
visuel
normal du sujet. Le tracé n° 14, pris le 4 octobr
été avec illusions de la vue, hallucinations de l'ouie), des champs
visuels
considéra- blement rétrécis, soit d'une façon i
aque in- termittent. Chez ces-malades, l'étendue globale du champ
visuel
est en raison directe de l'agitation, il redevien
ques concordants. Ci-dessous la partie supérieure du tracé du champ
visuel
pris le 6 oct. 1906 (fig. 20 et 21). Le champ
dès le 2 novembre, elle remonte à 60 et s'y maintient. C. Champs
visuels
A oscillations. Dans les états dits maniaques d
on ou de dépression s'accompagnent d'oscillations brusques du champ
visuel
, au-dessus et au-dessous de la moyenne normale,
plets pour le blanc. Ci-dessous le schéma des variations des champs
visuels
en haut (fig. 23). Le 8 septembre. Le champ vis
ns des champs visuels en haut (fig. 23). Le 8 septembre. Le champ
visuel
monte pour l'oeil gauche, la malade devient agi
malade devient agitée la nuit d'après. -Le 30 septembre. Le champ
visuel
baisse à 55 pour les 2 yeux, la malade dort la nu
pour le blanc. Ci-contre le schéma des' variations en haut du champ
visuel
, en rapport avec les troubles de l'activité gén
e la moyenne. et a une crise d'anxiété la nuit suivante. D. Champ
visuel
DES paralytiques généraux. Nous avions, dès le
compagnent, chez eux, des mêmes variations, dans l'étendue du champ
visuel
, que chez tous les autres aliénés. 1° Avec le
d'invention, amnésie progressive. 4 examens périmétriques du champ
visuel
complets pour le blanc. Ci-contre 2 tracés comp
complets. Ci-dessous le schéma des variations de l'étendue du champ
visuel
en haut (fig. 28). Le 6 septembre. Le malade pr
é) à 3 heures de l'après-midi accuse un rétrécissement net du champ
visuel
en haut pour les 2 yeux ; le soiràlO h. 1/2, so
de fait sur un de ses camarades qu'il ne reconnait pas. Le champ
visuel
pris la veille à 4 heures de l'après-midi accusai
ures du soir, le malade a des hallucinations terrifiantes, le champ
visuel
dans ce cas nous a présenté une oscillation con
s en tirer des conclusions. Nous noterons cependant, que les champs
visuels
pris par nous chez ces malades sont jusqu'à pré
h. de l'après-midi, crise violente. On ne peut pas prendre le champ
visuel
du malade qui est dans un état d'agitation in-
vons encore que peu d'observations complètes), l'éten- due du champ
visuel
ne nous a pas paru être fonction de la névrose
sans connaître ni le genre de leur maladie, ni l'état de leur champ
visuel
. Ainsi nous croyons-nous être suffisamment gard
té que d'un seul côté à la fois. Dans presque tous les cas l'acuité
visuelle
était normale, ou seulement très faiblement dim
malades à papille plus ou moins anormale, 5 avaient une acuité .
visuelle
inférieure à la normale, trois autres, sans lésio
res, sans lésion pa- pillaire visible, avaient également une acuité
visuelle
dimi- nuée ; un d'eux était alcoolique. Il rest
artériel est-il donc, en même temps que le rétrécissement du champ
visuel
, une des premières manifestations d'une atrophi
phie commençante, qu'il faut expli- quer le rétrécissement du champ
visuel
? Ou ce rétrécis- sement du champ s'explique-t-
une seule fois nous avons trouvé de la périvascularite. L'acuité
visuelle
était normale dans 50 % des cas ; dans un cas s
ontre 28 % pour l'ensemble des aliénés). Nous avons trouvé l'acuité
visuelle
normale dans 66 % des cas examinés. La dyschrom
ité générale s'accompagnent de va- riations dans l'étendue du champ
visuel
. 2° Que ces variations se manifestent de quelqu
. 5° Dans l'état de dépression la variation de l'étendue du champ
visuel
est caractérisée par un rétrécissement portant
ut et en dehors. 6° Dans l'état d'excitation, la variation du champ
visuel
se traduit par un élargissement global. Concl
'mental, il nous a été facile de prévoir à l'aide du tracé du champ
visuel
l'apparition de l'hallucination quelques heures
ta- tion et de dépression. La répétition d'une variation du champ
visuel
, en plus ou en moins, pendant plusieurs jours,
rale. Jahrbuch f. psychiat., XIII 2. KOENiG. De la fatigue du champ
visuel
et de ses rapports avec le rétrécissement conce
ques maladies mentales. Thèse de Paris, 1900 . OTTOLENGHI. Le champ
visuel
des épileptiques (en dehors de l'accès) et des
le. Journ. de neur., 1904. N° 3. -RESNIKO11'. Modification du champ
visuel
chez les paralytiques généraux. Obezrénié psychia
SANE NI (de). Nouvelles recherches et considéra Lions sur le champ
visuel
des fous moraux Riv. sp. di frein., t. XX, fasc.
e, de la stupeur, de l'anesthésie cutanée.de diminution de l'acuité
visuelle
et de l'activité des échanges organiques. Nous
libres reliant l'écorce avoisinant le pli courbe où siège le centre
visuel
verbal, aux voies motrices et aux centres moteurs
es, pour une fonction capitale dans la vie psychique, la perception
visuelle
de la profondeur. , 192 PSYCHOLOGIE. Mais les
eurs, les yeux sont en général placés latéralement et leurs hAlI1rS
visuels
sont complètement distincts, peut-être même pas t
vés, les yeux se placent t de plus en plus en avant et leurs champs
visuels
se confondent en partie ; l'entrecroisement dev
portée intégralement par les voies optiques de la rétine au centre
visuel
, sans être dissociée et sans même que son orienta
; il est facile de comprendre qu'elle reprend alors dans le centre
visuel
sa position naturelle par rapport à celle donnée
son extrémité externe sur la rétine redevient interne sur le centre
visuel
, et par conséquent, sinon contiguë à l'extré- m
ge donnée par l'autre oeil et également trans- portée sur le centre
visuel
, du moins tournée vers son extrémité. Voici la
la sensibilité à la lumière.. Le contraire devraitexistersi l'acte
visuel
reposait sur une « Re- construction parfaite da
s animaux il vision panoramique, pour que les deux moitiés du champ
visuel
soient bien orientées, il-faut que le mouvement
ur la vision d'un objet allant par exemple du bord externe du champ
visuel
de l'oeil droit au bord externe du champ visuel
rd externe du champ visuel de l'oeil droit au bord externe du champ
visuel
de l'oeil gauche : l'oeil droit accom- pagne l'
aquelle l'oeil gauche accompagne l'objet jusqu'à sa sortie du champ
visuel
. D'autre part « il n'est pas invraisemblable que
opager aussi de dedans en dehors. Donc,si les deux moitiés du champ
visuel
sont bien orientées l'une par rapport à l'autre,
re prési- dan taux mouvements comme à la localisation dans l'organe
visuel
196 PSYCHOLOGIE. au repos, il y a, dans chaqu
fait que dans la vision des objets rapprochés situés dans le champ
visuel
commun, les mouvements des yeux sont exécutés syn
approchée et de l'extrémité éloignée de l'objet situé dans le champ
visuel
com- mun), les muscles sont associés, non plus
on est le point de départ (dans la portion interne de chaque centre
visuel
) du réflexe aboutissant à la contraction des de
copique ». Une conséquence ou condition de l'adaptation de l'organe
visuel
à ce mode de fonc- tionnement et au mécanisme d
anisme de la convergence, c'est que, pour toute la portion du champ
visuel
commun aux deux yeux et ser- vant à la vision s
n ordre restreint de sensations et, outre que, sauf ceux des images
visuelles
et auditives des mots, ils sont probablement se
moitié opposée du corps..Nous ne reviendrons pas sur les sensations
visuelles
déjà trop longuement envisagées à propos des vo
sations au- ditives, qui, du reste, mieux encore que les sensations
visuelles
. mettent en jeu les deux hémisphères, lors même
leurs résidus dans l'hémisphère gauche à côté des images verbales
visuelles
. On sait, d'autre part, que tout ébranlement sens
ssance, il faut souvent que la sensation s'associe à des sensations
visuelles
, auditives, à des complexus ayant cette double
ntie)lement sim- ples, si simples que, comme les images verbales ou
visuelles
des mots, ils entrent forcément comme composant
ice de la marche, comme les deux calcarines se partagent le champ
visuel
. Dans l'encéphale, les suppléances, après défic
il gauche et non pas à la vision dans la moitié gau- che des champs
visuels
dea deux yeux ; la motricité des deux membres g
la vision par l'oeil droit (im- pression des deux moitiés du champ
visuel
de cet oeil, fonctionnement de ses muscles,etc.
n » (p. 2S) ; la suppres- 310 psychologie. ' sion totale du champ
visuel
d'un oeil ne peut avoir avec l'inhibition des c
p. 20 et 599). Ces détails, joints à ce fait que des hallucinations
visuelles
ar- tificielles pouvaient également provoquer o
état affectif, avec sa cause (récit provo- quant une hallucination
visuelle
ou auditive) et ses mani- festations (mimique)
de l'écran. Un des assistants place alors son visage dans le champ
visuel
de l'O. D. ; un autre dans le champ de l'O. G.
n sujet sain. Le temps de réaction total à l'égard des stimulations
visuelles
ou auditives est notablement retardé par une do
rée chez lui de la sorte l'anesthésie, le rétrécissement du champ
visuel
, les points ovariens et généralement tous les soi
amique : la force musculaire, la sensi- sibilité générale, l'acuité
visuelle
et auditive y sont nettement diminuées (le mala
; pariétale supérieure, par. inférieure ; région occipitale, écorce
visuelle
; gyrus fornicatus. Pour la topographie en prof
s centres de souvenir connus, ceux des images verbales auditives et
visuelles
, le contenu de ces centres apparaît tel que leu
482 PSYCHOLOGIE Que l'on considère enfin, soit la notion d'espace
visuel
, tactile ou auditif et les représentatiors qui
terminaison sur les deux lèvres de la scis- sure calcarine (sphère
visuelle
corticale). Ce faisceau, que l'auteur, propose
oir Ilypotrophie.Con- tribution à l'étude des - (le l'association
visuelle
dans la folie ; par Sydney J. Cole, p. 495. L
mplète de réaction des pupilles. Rétrécissement irrégulier du champ
visuel
(v. fig. 13). Dyschroma- topsie prononcée. Atro
tour au taux originel. Fig. 13.-Rélrécissenzent irrégulier du champ
visuel
d'origine tabétique chez un diabétique. ASSOC
téral, signe d'Argyll Robertson, rétrécissement irrégulier du champ
visuel
, dyschromatopsie et atro- phie nacrée des papil
de a à peine le temps de sortir de chez lui. Diminution de l'acuité
visuelle
consé- cutive à une cataracte commençante. En
sitivo-sensoriels permanents, anes- thésie, rétrécissement du champ
visuel
, lorsqu'elle est poursuivie très attentivement,
sthésie pharyngée à droite. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
. Dans ce cas, je l'ai fait remarquer, le bruit
stérile. Il y a hémianalgésie gauche, et rétrécissement du champ
visuel
prononcé surtout à gauche. Aucune anomalie à si
he sensitive et sen- sorielle avec perte du sens musculaire ; champ
visuel
très rétréci des deux côtés. Remarquez cette lo
aque fois qu'elle poussée son cri. Ces représentations auditives et
visuelles
acquiè- TOUX ET BRUITS LARYNGÉS CHEZ LES HYSTÉR
des deux côtés un rétrécissement concentrique très notable du champ
visuel
. La pression est douloureuse à l'épigastre et a
t l'enfant guérit sans aucun mauvais symptôme. M. D. IX. LE CHAMP
VISUEL
DES HYSTÉRIQUES A L'ÉTAT DE VEILLE ET PENDANT l
ue à gauche, qui présente un rétrécissement concentrique du champ
visuel
et des couleurs des deux yeux, mais surtout à gau
A l'état de veille, les excitants périphériques augmentent le champ
visuel
, surtout quand on sollicite l'olfactif (éther), e
icite l'olfactif (éther), et l'auditif; cet agrandissement du champ
visuel
est plus marqué à gauche; la perception du blan
également pendant l'hypnose. L'état hypnotique agran- dit le.champ
visuel
; les excitants périphériques provoquent dans ce
le; une suggestion triste se traduit par le rétrécissement du champ
visuel
qui se dilate sous l'influence d'une suggestion
suel qui se dilate sous l'influence d'une suggestion gaie; le champ
visuel
disparaît du côté où l'on suggère à la malade q
sthésie nettement délimitée, rétré- cissement concentrique du champ
visuel
des deux côtés. Diplopie REVUE DE PATHOLOGIE NE
niveau de la nuque, hémianesthésie droite, rétrécissement du champ
visuel
, etc. Un traitement hydro- thérapique prolongé
s les sens sont affaiblis à droite, la vue est plus basse, le champ
visuel
est plus rétréci pour la lumière et pour les co
si les centres de la fonction du langage et être verbale, auditive,
visuelle
, motrice d'articulation, ou même motrice graphi
sement décrites l'amblyopsie hystérique, les modifications du champ
visuel
, le dyschromatopsie et traitée à fond autant qu
scotome), avec rétrécis- sement plus ou moins considérable du champ
visuel
et avec atrophie du nerf optique. Les auteurs s
allucination. Suivant le centre excité il y a hallucination verbale
visuelle
, verbale au- ditive, verbale motrice et même ve
sein la mélancolie avec stupeur dans laquelle les hallucina- tions
visuelles
et auditives sont souvent, au contraire, prédo-
asque. Etouffements quand elle réfléchit à ses idées tristes. Champ
visuel
normal. Fosse iliaque droite très légè- rement
er son attention, on voit l'oeil droit entraîné en dehors. L'acuité
visuelle
de cet oeil droit est moindre que celle de l'oe
ce genre. Onze d'entre eux ne présentaient aucune anomalie du champ
visuel
pour le blanc ou les couleurs, bien qu'ils fuss
erveux. Un seul d'entre eux présentait un rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs dans un ordre insolite et inéga
e était mutilée; on ne constatait chez lui aucun trouble du champ
visuel
ni de la sensibilité. Une des observations princi
ES. y compris la langue et le nez; la face seule est indemne, champ
visuel
normal. Depuis lors, la santé se rétablit compl
CIÉTÉS SAVANTES. 241 du corps et du côté gauche. Intégrité du champ
visuel
et des fonc- tions de l'oeil. Le bras droit est
imul- tanément un trouble de la vue qui occupe la moitié du champ
visuel
opposé à la lésion. Si l'on extirpe la partie du
veau et tuer l'animal sans qu'on observe ni para- lysie, ni trouble
visuel
. 3° Le même foyer inflammatoire, déve- loppé da
consécutifs au traumatisme. M. Ef8E1VL011n. *La diminution du champ
visuel
n'a aucune valeur dans le diagnostic de la névr
valle. En ce qui re- garde la simulation du rétrécissement du champ
visuel
, récemment l'orateur l'a vu essayer par un ouvr
polymorphe. Mais on s'explique très bien le rétrécissement du champ
visuel
. S'il est rare de constater une abolition de la
tater une abolition de la vision dans les parties externes du champ
visuel
rétréci, on comprend qu'il y ait unlcer- tain é
tréci, on comprend qu'il y ait unlcer- tain émoussement de l'acuité
visuelle
. Le champ visuel'peut;.du reste, être rétréci d
gré, mais il ne réussit pas à si- muler un tel phénomène. Le champ
visuel
que l'on traçait d'après ses indications présen
crâne, on observe des troubles nerveux avec diminution de l'acuité
visuelle
et rétrécissement du champ visuel : Au bout d'u
eux avec diminution de l'acuité visuelle et rétrécissement du champ
visuel
: Au bout d'un temps relativement court, la papil
troubles fonctionnels. Quand à différents éloigne- ments, le champ
visuel
présente le même rétrécissement en sur- face, i
e. Nous sommes en réalité d'accord sur le rétrécisse- ment du champ
visuel
dans la névrose traumatique. Que les 246 sociét
S savantes. tefois sur une petite zone du côté de la tempe le champ
visuel
est conservé mais l'acuité n'y est que faible.
tonales. Il en est de même pour le centre dépositaire des images
visuelles
que la clinique permet de localiser sur le pli
nt tous les ans à leurs élèves des différents types de mémoire, des
visuels
, des audi- tifs, des moteurs, des troubles du l
- vent amener des phénomènes complexes, la diminution de l'acuité
visuelle
, la dyschromatopsie et le rétrécissement du cha
l'acuité visuelle, la dyschromatopsie et le rétrécissement du champ
visuel
. Ce dernier fait, pardonnez l'expression de ce se
hystérie, 1891, t. 1, j). 125. L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. 327 mènes
visuels
qui peuvent, pendant un instant donné, pénétrer
a conscience est considérablement diminué. Ce petit schéma de champ
visuel
rétréci que je vous montre est peut- être l'emb
rque peut se faire, je crois, pour tous les sens, même pour le sens
visuel
. Il est une maladie bien connue des oculistes,
eille produit un rétrécissement progressif et concentrique du champ
visuel
. Mais ces malades sont extrêmement malheureux ;
ls efforts pour remuer dans tous les sens leur oeil dont le champ
visuel
est rétréci. Ces efforts exagérés amènent des sou
à l'heure. Elle a aux deux yeux un rétrécissement énorme, le champ
visuel
à droite et à gauche n'est pas plus grand que 5
rifié cent fois, elle avait un rétrécissement considérable du champ
visuel
, une achromatopsie complète des deux yeux, enfi
ience analogue, non plus sur le sens musculaire, mais sur le sens
visuel
. Il y avait dans le service, au mois d'octobre de
je le plaçais en face du périmètre, comme pour lui mesurer le champ
visuel
, je lui fis fermer l'oeil droit et fixer avec l
du côté gauche, ainsi qu'on l'avait mesuré plusieurs fois, le champ
visuel
rétréci à 30°, au maximum 33°, et mon allu- met
e étant à 80° se trouvait évidemment placée dans la partie du champ
visuel
qui était invisible, son image se projetait sur
es ; c'est là un problème général et non un problème propre au sens
visuel
. - Avant d'entrer dans la discussion de ce prob
t et l'odorat et elle pré- sente surtout un rétrécissement du champ
visuel
intéressant. Il est le même pour les deux yeux
mme en lui montrant une allumette dans la partie invisible du champ
visuel
, le malade n'est plus dans le service. Mais je
le est-elle aveugle ou ne l'est-elle pas ? Berthe a-t-elle un champ
visuel
rétréci ? Ce sont des questions cliniques que je
ènes dus au sens tactile TT'T", au sens musculaire MM'M", au sens
visuel
VV'V", auditif AA'A", pour ne prendre que ceux-ci
suppléance psychologique, celle des mouvements au moyen des images
visuelles
. Je n'insiste pas sur ces faits si intéressants
met facilement en relief chez eux la persistance de la sensation
visuelle
dans l'oeil amaurotique quand les deux yeux sont
pide et la présence des hallucina- tions sensorielles, auditives et
visuelles
. Conclusions : -Les hallucinations verbales psy
e mobile, comme des visions immobiles ou se déplaçant avec le champ
visuel
. Quelques faits paraissent confirmer l'ébranlem
a sensibilité du patient. Le rétrécissement concen- trique du champ
visuel
exige pour qu'on puisse en affirmer l'exis- ten
ieurs séances. Chose particulière, quelque réduit que soit le champ
visuel
de la périphérie au centre, jamais les malades
également observé le type du déplacement du rétrécissement du champ
visuel
signalé par Foerster. Enfin, il signale que l'hém
araître presque toute la parésie, à restituer de l'ampleur au champ
visuel
. M. HAHN présente un malade atteint de folie ch
myopie rapidement progressive une diminution concentrique du champ
visuel
un affaiblissement des muscles et des globes oc
ité fonctionnelle du -, parBor- gherini et Gallerani, 't07. Champ
visuel
des hystériques, par Moravcsik, 96. ' CHORÉE
trophiés, sont normales et identiques des deux Fig. 8 et 9. — Champ
visuel
de Care, amaurose complète de l'œil gauche. côt
eux. Les deux yeux sont le siège d'un léger rétrécissement du champ
visuel
(voir le schéma ci-contre). Il existe un léger de
déterminer si le malade porte un rétrécissement concentrique du champ
visuel
, parce que la simple fixation d'un objet quelconq
évrose. En effet, il présente un rétrécissement concentrique du champ
visuel
de l'œil gauche, léger à la vérité, mais cependan
. Du côté de la vision, on constate un double rétrécissement du champ
visuel
, de 50° à droite, de 45° à gauche, avec de la mic
: scotome scintillant d'abord, puis modification hémiopique du champ
visuel
. Notons en passant que ces troubles oculaires s
ion de l'appareil auditif. Il n'existe pas de rétrécissement du champ
visuel
, ni de troubles oculaires d'aucune sorte. Enfin l
s passionnelles. De plus il a un rétrécissement concentrique du champ
visuel
et des points hystérogènes. Telle est en peu de
ensorielle complète, rétrécissement double très considérable du champ
visuel
, dyschromatopsie, etc., grandes attaques, points
id, douleur. Goût : Aboli à droite. — Vue : Rétrécissement du champ
visuel
double à 60°. Dyschromatopsie. Polyopie monoculai
Normal à droite et à gauche. Vue : A droite, rétrécissement du champ
visuel
à 55°. — : A gauche, vue normale. Ouïe : droite
due du membre supérieur droit. Vue : rétrécissement double du champ
visuel
à 60°. Rien d'autre. — Ouïe : Très obnubilée à dr
rsale que sur la face plantaire. Fig. 33. — Rétrécissement du champ
visuel
chez le malade de l'Observation XI (sciatique e
ouïe très faible, odorat nul. Du côté gauche, rétrécissement du champ
visuel
à 30°. Pas d'achroma-topsie, de diplopie monocula
anosmie, agustie, surdité presque complète, rétrécissement du champ
visuel
) et deux points hystérogènes existent (tes-tîcula
xes pupillaires sont normaux. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
. Les douleurs sur le trajet du sciatique ont pr
singulière, les yeux regardant en face vaguement, parce que les axes
visuels
ne convergent pas exactement. La raison de cette
e. Réflexes conservés. Aucune lésion du fond de l'oeil. Les fonctions
visuelles
, sauf la diplopie, sont normales. » Un certain de
l'accommodation. Il y a un léger ptosis de l'œil droit. L'acuité
visuelle
est sensiblement normale dans les deux yeux : O
= — 2 D. V = f. O.G. M = — 3 D. V = f. Pas de modification du champ
visuel
ni de dyschromatopsie. Pas de lésion du fond de l
s'exécutent mieux. Le malade n'a jamais éprouvé de diplopie. Le champ
visuel
est normal, ainsi que le fond de l'oeil. Les mo
matopsie. Pas de lésion au fond de l'œil. Rétrécissement du champ
visuel
, également prononcé des deux côtés, à peu près co
résence quelquefois constatée du rétrécissement concentrique du champ
visuel
dans la syringomyélie (1). 3° Troubles trophiqu
entreprises à la clinique sur l'existence du rétrécissement du champ
visuel
dans la syringomyélie ont conduit aux résultats s
ière, qui n'avait pas, à l'époque où il était à la clinique, le champ
visuel
rétréci, ainsi que cela est mentionné très explic
van. _ (1) Il n'existe pas chez ce sujet de rétrécissement du champ
visuel
. (2) On a constaté sur les muscles de l'éminenc
Enfin nous constatons l'existence d'un double rétrécissement du champ
visuel
avec micromégalopsie dans les deux yeux, sans s
'alcoolisme. Fig. 38. — Double rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Maintenant c'est sur les caractères de la para
melles, dont la pression réveille les phénomènes de l'aura; son champ
visuel
est rétréci des deux côtés, et elle a de la diplo
M. Parinaud, donne les résultats suivants : « 1° Œil gauche. — Champ
visuel
rétréci à 55°; pas de dyschromatopsie. Y = y2. Pa
l'accommodation; un peu de diplopie monoculaire. 2° Œil droit. —Champ
visuel
légèrement rétréci à 80°; contracture de l'accomm
en est exempt. Il ne présente pas non plus le rétrécissement du champ
visuel
qui, du reste, vraisemblablement, n'appartient pa
les signes fondamentaux de la période praataxique : ni les phénomènes
visuels
, ni les douleurs fulgurantes, ni le signe de Romb
e est complète. Les sensi-biMtés sensorielles sont intactes. Le champ
visuel
, mesuré par M. le Dr Gosselin (de Caen), n'est ré
n), n'est rétréci dans aucun sens. Il n'existe d'ailleurs nul trouble
visuel
, si ce n'est une légère diplopie « lorsque le mal
isée avec l'hémiplégie. Enfin, le goût est perdu à gauche et le champ
visuel
rétréci. Maintenant que vous connaissez tous le
existe une abolition du goût et de l'ouïe, un rétrécissement du champ
visuel
, de l'hypoesthésie à gauche et un point hystérogè
n'ont pas été trompées, tant s'en faut. Dans l'œil gauche, l'acuité
visuelle
est réduite des deux tiers. L'examen ophthalmosco
scopique montre, avec un rétrécissement presque concentrique du champ
visuel
, une névrite optique caractérisée par l'infiltrat
rieur a été lésé. Logiquement, nous devions rechercher le trouble
visuel
qui est le compagnon habituel de la cécité verbal
e paire gauche et de la diplopie avec images homonymes, dans le champ
visuel
à gauche, d'un écartement de un mètre et se fusio
ite est décolorée comparativement à celle du côté gauche, et l'acuité
visuelle
qui est normale 5 de ce côté est au contraire
uche où V = gô' Il est vrai d'ajouter que cette réduction de l'acuité
visuelle
est imputable à un strabisme congénital qui a dur
malades n'offre de troubles pupillaires ni de rétrécissement du champ
visuel
. tiques, et, pour la première fois, le diagnost
également mentionnés. 3° La recherche, même en dehors des troubles
visuels
accusés par le malade, des lésions du fond de l'œ
saire pour découvrir des altérations de la papille dont aucun trouble
visuel
ne trahit l'existence. Et l'auteur fait remarquer
l, 9 août 1884.) Cet auteur a examiné, sous le rapport des troubles
visuels
, cent malades atteints de sclérose en plaques. Ch
nt de vue subjectif, quelques-uns d'entre eux accusaient des troubles
visuels
divers et l'un d'eux — un seul, unique exception
oir des renseignements sur le mode de début et la marche des troubles
visuels
chez vingt-quatre de ses malades, constata que da
ns un de ces cinq cas on n'avait constaté durant la vie aucun trouble
visuel
. Il est vrai de dire que les lésions trouvées à l
ue et de l'intensité des altérations rétro-bulbaires que des troubles
visuels
eux-mêmes. Je n'ai pas besoin de souligner l'im
au bout de trois semaines sans laisser aucun reliquat, aucun trouble
visuel
. Telle est, Messieurs, son histoire passée. Act
n, qui a son amplitude normale. Pas de lésion du fond de l'œil. Champ
visuel
normal. O. D. V.=-f O. G. V.=-f. M. le Pr Charc
du tronc, en arrière seulement ; rétrécissement concentrique du champ
visuel
à 40°, des deux côtés ; dyschromatopsie pour l'œi
Il existe un rétrécissement concentrique un peu irrégulier du champ
visuel
dans les deux yeux. Le malade porte plusieurs p
flexe pharyngien, pas de troubles de la sensibilité générale. Champ
visuel
normal à droite, à gauche 60. Un peu de micromé
ent conservée et on ne note pas le plus léger rétrécissement du champ
visuel
ni à droite ni à gauche. Pas non plus de dyschrom
ommodation H m = + 1,25 D dans les deux yeux. S=0 Du 0 G ,=o; champ
visuel
normal. Pas de lésions ophthalmoscopiques. Les
paru. Il n'y a pas de di- plopie dans la moitié inférieure du champ
visuel
. Cette affection est donc caractérisée, d'abord
après un accès d'angoisse nocturne (Angtanfall) ; 3° que le 'champ
visuel
des deux yeux, mais surtout celui de l'oeil droit
ou diminuant avec celle-ci. Au plus fort de la paralysie, le champ
visuel
de l'oeil droit ne mesurait que 3-5°, à gauche
cercles des couleurs se comportent d'une façon analogue. L'acuité
visuelle
se montre, elle aussi, lors de l'acmé de l'accè
d'effet que jusqu'à l'accès suivant. Remak n'a pas examiné le champ
visuel
de son malade. Il pense que Môbius a tort de co
ment plus large qu'à gauche; elle n'avait aucun mouvement. L'acuité
visuelle
(examinée avec un diaphragme) ne mesurait du cô
les trois mois, tous les mois). Quant au rétrécissement du champ
visuel
, il n'est signalé que dans l'observation de Tho
tôme le plus constant en est le rétrécisse- ment bilatéral du champ
visuel
. - 4° La participation des autres organes senso
'agit, dans tous ces cas, d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
qui s'effectue, dans les quatre directions, sur
il sensoriel du côté gauche (rétrécissement concen- trique du champ
visuel
), ce qui ne veut pas dire, du reste, que les ap
si dire jamais une allure normale, purement unilatérale, d'un champ
visuel
quand les autres organes sensoriels sont attein
s autres organes sensoriels sont atteints. Généralement, les champs
visuels
des deux yeux présentent un rétrécissement conc
uleurs est rétréci dans une égale mesure; par- fois, quand le champ
visuel
de la vision périphérique est diminué dans une
a achromatopsie pour le rouge et le vert; la diminution de l'acuité
visuelle
est chose bien connue. On rencontrerait l'anest
paux. On trouverait un rétrécissement concentrique typique du champ
visuel
pour le blanc et toutes les couleurs, accompagn
des autres organes sensoriels : souvent le rétrécissement du champ
visuel
est la seule anomalie perceptible; d'autres foi
. Dans ces trois cas, il y eut rétrécissement concentrique du champ
visuel
très prononcé à la période d'acmé de la maladie
'a trouvé qu'isolément, une fois, un rétrécissement modéré du champ
visuel
. Pas d'observations. Névrose professionnelle (cra
de cette sorte, on observe un rétrécissement concentrique du champ
visuel
habituellement associé a d'autres anomalies sen
se manifeste une crise d'angoisse, les moitiés conservées du champ
visuel
présentent un rétrécisse- ment concentrique plu
ent le plus constant en est le rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Mais il varie en raison directe des accidents
deux derniers 1 A. Mairet. De l'illusion en général, des sensations
visuelles
comme causes d'illusions. Th. de Montpellier, 1
he aujourd'hui à ces mots, hémiopie signifie perte de la perception
visuelle
dans une moi- tié latérale (ou verticale) de ré
dire obscurcissement d'une moitié latérale (ou verticale) du champ
visuel
. Comme les rayons lumineux s'entrecroisent AHOU
hémiopie et de décrire l'hémianopsie, c'est-à- dire l'état du champ
visuel
déterminé par le campimètre ou par tout autre m
cules quadrijumeaux antérieurs, corps genouillés) jusqu'aux centres
visuels
de l'écorce des circonvo- lutions. A propos d
elette optique produit fata- lement l'hémianopsie latérale du champ
visuel
dans le sens opposé à la lésion. 4. Une lésio
our fournir une solution au problème de la localisation du centre
visuel
cortical chez l'homme. Pour abréger, j'ai réuni
;OP51E COR7" CAIE. 183 de H... et nous donner un tracé de son champ
visuel
. Voici quels ont été les résultats de son exame
d'hémianopsie dans lesquels la relation entre la lésion et le trouble
visuel
n'était pas évidente. Cas mal rapportés ou · ||
. Je ne pense pas que ces faits aient aucun rapport avec le trouble
visuel
, qui est central, comme vous le dites. Je suis
siologiques les plus récentes au sujet de la localisation du centre
visuel
cortical et des faisceaux blancs en connexion a
Ferrier font autorité. Le premier a toujours enseigné que les aires
visuelles
, ou centres de la vision psychique, sont dans l
ins du professeur John C. Dalton '. Ferrier croyait que le centre
visuel
se trouvait dans le gyrus angularis. Voici quelle
us grande partie d'un ou de deux à la fois sans amener du trouble
visuel
. 6° La destruction du lobe occipital et du gyru
, s'il reste seulement des deux côtés quelques portions des centres
visuels
intactes. On voit que les résultats de notre an
uer les résultats de Ferrier sans -admettre l'existence d'un centre
visuel
cortical dans le gyrus angularis. C'est que le
faisceau optique et coupe ainsi toute communication entre le centre
visuel
et les yeux. Je fais passer sous vos yeux une p
en connu des trajets des fibres optiques de la rétine aux centres
visuels
représente une seconde décussation des faisceaux
eau latéral croisent encore la ligne médiane de façon que le centre
visuel
reçoit des fibres des deux rétines. Cet effort
en concordance avec les idées de Munk sur la physiologie du centre
visuel
, avec ce que nous connais- sons de l'anatomie d
nopsie latérale gauche par lésion organiques L. T. 1 ? ., demi-champ
visuel
temporal 1 gauche. R. N. F., demi-champ visuel
T. 1 ? ., demi-champ visuel temporal 1 gauche. R. N. F., demi-champ
visuel
nasal droit. - 0. S , oeil gauche. - 0. D., oei
PATHOLOGIE NERVEUSE. crânienne du côté opposé à la portion du champ
visuel
obs- curcie. . L'hémianopsie latérale avec im
due à l'altération d'une bandelette optique ou des premiers centres
visuels
d'un côté. Ce diagnostic peut être encore for
e latérale, ou un obscurcissement analogue géométriquement du champ
visuel
, avec hémianesthésie et troubles ataxiques ou c
rimer le faisceau optique dans son trajet en arrière vers le centre
visuel
. 7. L'hémianopsie latérale seule, sans troubles
ne du lobe occipital, dans l'hémisphère opposé à la moitié du champ
visuel
obscurcie. Les cas traumatiques rentrent de pri
arinaud qui n'a rien constaté de notable quant à l'étendue du champ
visuel
, ni quant à la perception des couleurs; dans un
ploration se faisait quatre heures après une des séries et l'acuité
visuelle
était à peu près normale. L'attention, la compa
omson et Oppenhein se sont trom- pés en prétendant que les troubles
visuels
des hystériques se trouvent également chez les
ier mémoire sur des chats et lapins nouveau-nés (ablation du centre
visuel
chez des chats expériences IV et V) en même tem
ne A3 (ou plutôt la portion de cette zone qui compte dans la sphère
visuelle
) reçoit de nombreuses fibres de projection de l
sont insignifiants. Par conséquent, la partie médiane de la sphère
visuelle
s'unit presque exclusivement avec les portions la
ibres du nerf optique, l'ablation de la partie médiane de la sphère
visuelle
entraîne l'atrophie de toute l'étendue des fais
t de la voix, intégrité des pu- pilles, du fond de l'aeil, du champ
visuel
, de l'ouïe, des nerfs sensoriels, des réflexes,
sensorielles enregistrées, des fonctions excrétoires, de l'appareil
visuel
: pas de douleurs eu ceinture, ni lancinantes;
gauche et la motilité à droite) ; un rétrécissement énorme du champ
visuel
(vision uniquement conservée dans la partie tou
deux yeux, surtout de l'oeil droit;. 6° Le rétrécissement du champ
visuel
au maximum à droite, par la lumière blanche. Le
K. XXVII. Sur la valeur DE l'examen ÉLECTRO-DIAGNOSTIQUE DU champ
visuel
, signalé par Engelskjoen; par E. KoNRAD et J. WaG
s d'Engelskjoen se rattachent surtout au segment supérieur du champ
visuel
. Il faut donc cesser d'attri- buer les modifica
isuel. Il faut donc cesser d'attri- buer les modifications du champ
visuel
en question aune action que le courant exercera
hisseurs du bras) entraîne, elle aussi, une modi- fication du champ
visuel
. Etau surplus, l'électrisation de la moelle all
ivers examens périmétriques. L'examen électrodiagnostiquedu champ
visuel
ne saurait servir de norme pour choisir, dans l
DE COURANTS ÉLECTRIQUES ET L'EXAMEN ÉLECTRO-DIAGNOSTIQUE DU champ
visuel
; par C. Engelsksjoen (Arch. f. Psych., XVI, 1).
- tence de types sensoriels, comme l'a établi M. Charcot. Le type
visuel
est le plus fréquent après le type indifférent. U
aite, en s'appuyant principalement sur les sensations et les images
visuelles
, plus commodes à évoquer et à contrôler (Voyez
u chez les), par Rossoiym- ino, 256. Thomsen (maladie de), 303.
Visuel
(examen électro-diagnostic du champ), 424, 42ï.
e), 303. Visuel (examen électro-diagnostic du champ), 424, 42ï.
Visuelle
(sphère), ses relations avec les centres optiqu
artie an- térieure ou frontale de cette circonvolution. Le centre
visuel
du chien était ainsi représenté par une longue
t de la région occipitale. Ils niaient par conséquent que la sphère
visuelle
fût confinée dans le lobe occi- "pital, comme l
ls ne pouvaient comprendre comment, si le siège des per- ceptions
visuelles
est identique avec celui des images- 32 PHYSIOL
souvenirs, nées de ces perceptions, les images ou représentations
visuelles
peuvent être abolies sans que les perceptions d
e la vue le soient aussi, après l'ablation d'une partie des sphères
visuelles
. Selon eux, la doctrine de Munk ne pouvait s'en
images de la vision mentale était distinct de celui des perceptions
visuelles
. « La cécité consécutive à l'extirpation des ce
velles perceptions vi- suelles, les fonctions du reste de la sphère
visuelle
corticale, en rapporf avec le reste de la rétin
ais aussi chez le chien, la LÈS FONCTIONS DU CERVEAU. ' 33 sphère
visuelle
d'un côté est en rapport avec les deux rétines,
aisceaux directs. » Ainsi, une destruction unilatérale de la zone
visuelle
du chien provoquait une amaurose presque complè
struction du gyrus angulaire, non du lobe occi- pital : « Le centre
visuel
du singe ne peut être confiné dans le lobe occi
XVIII. 3 34 PHYSIOLOGIE. de destruction unilatérale d'une sphère
visuelle
, la suppléance ou le retour de la fonction est
uelle, la suppléance ou le retour de la fonction est dû au centre
visuel
du côté opposé, et, dans les cas de destruction
orts existent entre le champ rétinien de chaque oeil et les sphères
visuelles
de l'écorce ? Quelle est la nature des centres
es sphères visuelles de l'écorce ? Quelle est la nature des centres
visuels
de l'écorce ? 1. Au premier abord, et si l'on
emier abord, et si l'on considère comme faisant partie de la sphère
visuelle
toutes les aires cérébrales dont la destruction
onsacré par cet auteur à Luciani et il Tamburuni. 38 PHYSIOLOGIE.
visuels
, transitoires, il est vrai, mais constants, consé
rès l'extirpation de l'écorce des lobes temporaux, les trou- bles
visuels
ont persisté bien après la cessation des effets
matisme. Luciani s'arrête donc à l'hypo- thèse suivante : la sphère
visuelle
a bien son centre fonctionnel, sa localisation
e localizz. fans., p. 88. 40 PHYSIOLOGIE essentielle de la sphère
visuelle
de ces animaux. » Voilà donc une nouvelle confi
er et de Yeo d'autre part, aient prétendu démontrer que les sphères
visuelles
du singe s'irradient vers les lobes pariétaux,
maux, une plus grande im- portance que les irradiations des centres
visuels
du chien dans les lobes frontaux et temporaux 2
Plus loin, Luciani maintient que, chez le singe aussi, les sphères
visuelles
s'étendent sur une aire considérable de l'écorc
deux communications de ce savant (27 sept. 1881) sur les centres
visuels
mésencéphaliques et corticaux. II. Quels rappor
istent entre le champ réti- nien de chaque oeil et les deux sphères
visuelles
de l'écorce ? Les belles recherches périmétriqu
petite que la partie interne; on a pu en conclure que chaque centre
visuel
cortical soutient des rapports plus étendus ave
'accord avec le physiologiste allemand sur un point : chaque sphère
visuelle
est en rapport direct, chez le chien, avec le s
occipital (le point A). L'ablation d'un point déterminé des sphères
visuelles
frapperait donc de cécité le point correspondan
rtielles bilatérales des lobes occipitaux, c'est-à-dire des sphères
visuelles
de Munk, ne produisent jamais de cécité partiel
cipital entier. Il faut donc admettre, dit Luciani, que la sphère
visuelle
du singe s'étend, elle aussi, au delà LES FONCT
rts avec les cellules nerveuses des différentes parties des sphères
visuelles
. Ce schéma de Luciani (fig. 1) montre bien quel
e la rétine de l'oeil opposé, soutiennent avec l'écorce du centre
visuel
; les points hachés, plus clair-semés, indiquent
olument (Blaschko). Les sensa- tions, les perceptions et les images
visuelles
n'ont pas encore pour siège les hémisphères, ma
s ; il conserverait encore la possibilité d'éprouver des sensations
visuelles
. Munk, après Flourens, prétend réaliser à volon
- à-dire absolue, permanente : il tient donc l'écorce des centres
visuels
pour le siège et des images et des sen- sations
cortical de la vision que l'éla- boration psychique des sensations
visuelles
, dont le siège serait situé dans les noyaux gri
pas, comme il le croit, parce que l'extirpation des deux sphères
visuelles
a été incomplète : la vraie raison de cet insuc
, ils les expliquaient : 4° par l'extension considérable de la zone
visuelle
corticale ; 2° par la difficulté que présente l
ogique, établit donc que chaque hémisphère cérébral a des fonctions
visuelles
bilatérales. Et, pour le dire en passant, cette
bes frontaux ou aux lobes temporaux ne provoquent point de troubles
visuels
permanents avec le carac- tère de cécité psychi
ptôme équivalent, tel que le ré- trécissement contentrique du champ
visuel
, n'ont encore fait défaut dans aucun des cas de
sez nettement tracé, de station en station, à travers les centres
visuels
infracorticaux ou basilaires, depuis la rétine
nt intense, est perçue comme si c'était une sensation ; cette image
visuelle
est projetée au dehors comme une sensation exté
bre. Le périmètre indiqua un rétrécissement considérable du champ
visuel
de l'oeil droit, en haut et un peu en dedans, c
mbre 1883. Milano, 1883, p. 8, 10. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 59
visuelle
corticale droite. Quant à cette partie même du
59 visuelle corticale droite. Quant à cette partie même du centre
visuel
, quelque délicate et subtile que puisse paraîtr
l'existence. » Il suffit de superposer sur le schéma de la sphère
visuelle
, ce schéma (fig. 2) de la sphère auditive, où l
iani tire donc de ces faits la même conclusion que pour la sphère
visuelle
: le centre cortical de l'audition est uniqueme
Si notre conception actuelle du monde est surtout saturée d'images
visuelles
, celle du reste des mammifères l'est certaineme
l a obtenu des résultats encourageants au point de vue des troubles
visuels
. Les remarques de M. Desnos concordent avec ces
areil oculaire qui présente très souvent du rétrécissement du champ
visuel
. On observe aussi, mais moins fréquemment, des
gue comme pour la mastication. L'aire de la tête ou de la direction
visuelle
comprend une longue; REVUE DE PHYSIOLOGIE PATHO
pitaux et les gyrus angulaires sont en rapport avec les perceptions
visuelles
, de telle sorte que chaque région occipitale es
des deux lobes occipitaux fait penser que l'aire de la conscience
visuelle
n'est pas confinée à ces lobes, comme le pensait
ple, si chez une hystérique la personnalité consciente a une acuité
visuelle
de 1/2, l'inconscient consulté au moyen de l'éc
t consulté au moyen de l'écriture automatique pré- sente une acuité
visuelle
de 3/4. De même la personnalité cons- ciente ne
ul. Il accuse encore une odeur et une saveur cadavériques. Le champ
visuel
est rétréci des deux côtés, mais surtout à droi
temc uerveuc. Constituée par des douleurs de tête et des troubles
visuels
dans sa forme simple, par les mêmes symp- tômes
arinaud. n'est pas moins intéressante. - Observation II. Troubles
visuels
à forme hémianopsique,. revenant par accès, ave
326 PATHOLOGIE NERVEUSE. occupait les deux moitiés droites du champ
visuel
comme cela a lieu ordinairement. L'erreur est f
es qui ne sont pas habituées à ce genre d'observation. Le trouble
visuel
a duré un quart d'heure environ. L'engourdis- s
ur gauche, et le trouble de la vue s'est généralisé à tout le champ
visuel
. La crise a été moins longue que les deux premi
pupilles, en particulier, sont égales et réagissent bien, l'acuité
visuelle
est normale '. Dans ce cas, la migraine ophta
'hémianesthésie sensilivo-sen- sorielle, du rétrécissement du champ
visuel
, des attaques convul- sives, etc. Se fondant d'
quelques minutes, caracté- risés par une sorte d'occlusion du champ
visuel
en forme de rideau ; -, la cécité même ne dépas
euse, fantasque, son attention est diffici- lement captivée. Acuité
visuelle
normale, pas de rétrécisse- ment du champ visue
captivée. Acuité visuelle normale, pas de rétrécisse- ment du champ
visuel
, pas de dyschromatopsie ; le goût, l'ouïe, l'od
des stigmates hystériques a donné les résultats sui- vants : acuité
visuelle
très diminuée des deux yeux ; champ visuel rétr
ts sui- vants : acuité visuelle très diminuée des deux yeux ; champ
visuel
rétréci notamment à droite; l'oeil gauche ne di
tairement à plusieurs reprises. ? Chez Ma..., l'écholalie est aussi
visuelle
. Si un objet attire son regard, elle prononce,
en a lieu à voix basse. Ce dernier mode caractériserait l'écholalie
visuelle
, tandis que le premier serait propre à l'échola
nne les résultats sui- vants : rétrécissement concentrique du champ
visuel
de l'oeil droit; ouïe, goût, odorat diminués à
articulés (Obs. III, IV) ; elle peut être auditive et vi- suelle ;
visuelle
, la répétition a lieu à voix basse (Obs. III).
rception des couleurs est éteinte. Ail... voit tout gris; son champ
visuel
est réduit presque à un point. 0 ? il droit. Pa
ccommodation. Pas d'achromatopsie. Pas de rétré- cissement du champ
visuel
, pas de diplopie monoculaire. Il existe une lég
ant les derniers temps de la vie; rétrécissement simultané du champ
visuel
de l'oeil droit à droite. L'autopsie révèle une
. James, Binet) le champ de l'attention est rétréci, comme le champ
visuel
; cela suffit pour troubler ou arrêter tout à fa
Hypothèse SUR la genèse DES EMPREINTES mnémoniques DES IMPRESSIONS
VISUELLES
ET DES MOUVEMENTS REFLEXES ; par NOISZE- wski.
entmlbl. f. Nevenheilk., 1891. N. F 11.) La mémoire des impressions
visuelles
est le produit d'une em- preinte matérielle lai
peut rencontrer des hallucinations génitales et des hallucinations
visuelles
, les hal- lucinations auditives sont plus effac
iopie droite incomplète homonyme. Les deux moitiés droites du champ
visuel
étaient affectés d'une anopsie pour le blanc dist
de 10° du point de fixation pour les deux moitiés gauches du champ
visuel
. Rien à l'ophtalmoscope. L'amaurose des premier
centre à la périphérie dans les moitiés droites et gauches du champ
visuel
. De là l'opinion qu'il y avait une lésion autocht
transforma- tion des troubles centraux de la vue en hallucinations
visuelles
pressées et impérieuses, elle indique qu'il s'a
de la peau ne présentent aucun trouble de la sensibilité. Le champ
visuel
est rétréci surtout du haut en bas. Si l'ouïe gau
la sensibilité disparurent, l'ouïe est devenue normale, le champ
visuel
s'est élargi, les accès d'excitation sont moins f
as de atrophie D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 173 rétrécissement du champ
visuel
, mais il a un passé de névropathe et une hérédi
tements, des vertiges et du retour d'une audition et d'une capacité
visuelle
suffi- service OTOLOGIQUE 217 santés ; fait c
. entend également très bien à droite et à gauche. - Vue : l'acuité
visuelle
parait suffisante, il va quérir facilement et s
ule. J. Séglas. XX. UN PHÉNOMÈNE NON DÉCRIT DANS LES HALLUCINATIONS
VISUELLES
; par le Dr P1ERACCINI. (Riv. sp. di fren., t. X
, t. XVIII, fasc. 2, 1892.) C'est la disparition de l'hallucination
visuelle
dans la vision mo- noculaire, l'un ou l'autre d
u nerf optique. La régression rapide et presque complète du trouble
visuel
et l'ab- sence, au début, de toute altération o
la papille; en rapprochant cette altération de la forme du truuble
visuel
, de l'existence d'un scotome central, d'un scot
sser en revue. M. A. Hoche. De la réaction galvanique de l'appareil
visuel
. Etablir : 10 si chez les aliénés et notamment
sibilité lumineuse galvanique se montre dans les yeux sains (acuité
visuelle
= 1, aucune anomalie de la réfraction ni du fon
ne certaine limite. Des deux yeux d'un individu ayant 1 pour acuité
visuelle
, il arrive que l'un des deux réagisse à une int
re. Il étudie successivement les hallucinations verbales auditives,
visuelles
et psycho-motrices. Ces dernières sont l'objet
t là un fait positif qui démontre avec le rétré- cissement du champ
visuel
et l'oedème bleu, la vraie nature de la maladie
hro- 332 CLINIQUE NERVEUSE. matopsie même pour le rouge. Le champ
visuel
notablement rétréci à gauche, normal à droite.
champ visuel notablement rétréci à gauche, normal à droite. Acuité
visuelle
diminuée, V = 5/10. Aucune altération du fond d
cousse spasmodique s'ac- compagne dans l'oeil droit d'une sensation
visuelle
tout à fait t analogue à celle du scotome scint
E NERVEUSE. L'hypoesthésie au niveau du poignet a disparu. Le champ
visuel
s'est agrandi. Voilà un cas de monoplégie bra
uement limitee, on observait un rétrécissement perma- nent du champ
visuel
, de la dyschromatopsie, l'absence de réflexe ph
ssociés. Les pupilles réagissent normalement. OEil droit : acuité
visuelle
diminuée (V = 1/8). pas de rétrécis- sement du
cuité visuelle diminuée (V = 1/8). pas de rétrécis- sement du champ
visuel
. Un 'peu de dyschromatopsie pour le vert. Atrop
s l'un et dans l'autre oeil un rétrécissement concentrique du champ
visuel
pour lacouleur blanche (voir fig. 49 et 50). Le
amp visuel pour lacouleur blanche (voir fig. 49 et 50). Les centres
visuels
des autres couleurs ne pouvaient être déterminé
ur un bâton. L'examen périmétrique démontre cependant que son champ
visuel
reste comme auparavant rétréci. L'état d'une sa
. En effet, le rétrécissement concentrique et persistant du champ
visuel
, l'exagération des réflexes tendineux, le caractè
. On lui doit : De l'épilepsie dans ses rapports avec les fonctions
visuelles
(thèse) ;. Des délires multiples (Prix Esquirol
quer chez le sujet non plus des mouvements, mais des hallucinations
visuelles
qui ont également leur origine dans des pensées
s il y a de la dyschromatopsie pour le violet, le vert, et le champ
visuel
est rétréci dans les différents méridiens. Le goû
ystériques bien définis : le rétrécisse- ment concentrique du champ
visuel
=, la dyschromatopsie, ' Le réflexe massétérin
ives de Neurologie, vol. XX, p. 72.) - Le rétrécissement du champ
visuel
est un stigmate d'une très grande Fig. 57. Ré
est un stigmate d'une très grande Fig. 57. Rétrécissement. Champ
visuel
de Joseph G... PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE.
que si le malade est émotionné. En plus des troubles de la fonction
visuelle
, on note : réflexe pharyngien aboli; dimi- nuti
onsacrant cepen- dant son étude principale au centre et aux trajets
visuels
. Disons tout de suite de la deuxième partie, pa
cueillies dans la littérature médicale, M. Hensens suit les trajets
visuels
depuis la papillè'jusqu'au centre visuel, compl
Hensens suit les trajets visuels depuis la papillè'jusqu'au centre
visuel
, complétant sur un grand nombre de points et so
o- fondie que peu précaire à laquelle l'auteur soumet les centres
visuels
eux-mêmes. Il passe en revue les principales loca
sens par les différents auteurs; il fait voir d'abord que le centre
visuel
ne peut pas être situé dans le lobe pariétal ,i
té sans qu'il en fut résulté ni hémianopsie, ni aucun autre trouble
visuel
, et il explique comment l'erreur a pu se procui
se procuire, en démontrant que dans les cas accompagnés de troubles
visuels
, la lésion n'avait pas seulement détruit la cou
que la première de ces parties ne joue aucun rôle dans les troubles
visuels
; la surface du cuneus et du lobulus lingualis n
alisées plutôt dans les parties antérieures et celles pour le champ
visuel
périphérique dans les' parties posté- rieures e
res. " L'auteur cherche encore à déterminer la position du centre
visuel
en suivant les phénomènes de dégénérescence occas
autres pour l'étude spéciale du rôle que jouent dans les con- duits
visuels
les ganglions optiques subcorticaux : le corps ge
ijumeaux antérieurs, et il y abordera aussi la question des centres
visuels
supérieurs. ...... . ' . E.-A. HOMES. ? Nous ve
les aiguës, par Schoenthal, 124- phénomène non décrit dans les -
visuelles
, par Piéraccini, 252. Hématome de l'oreille,
e vue physiologique et évolutif, par lio- bertson, 459. Mémoire
visuelle
et mouvements ré- ilexes, par Ivoizewshi, 115.
collaborateurs. 491 Vertige des ataxiques, par Grasset, 1, 179.
Visuel
(appareil), réaction galva- nique de l ? par Ho
t à la lumière et à l'accommodation. Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Les crises de syncope et d'asphyxie existent p
ilité revint complètement. P. S. VIII. Théorie DE la représentation
VISUELLE
corticale ; par Ewens. (l3rain, part. IV, 1893,
Pas de troubles des sens spéciaux. Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Pas de dyschromatopsie. La malade n'est pas tr
uissance, l'anes- thésie plantaire, une soif insolite, des troubles
visuels
, des crises de sommeil. Le malade éprouva un so
première séance, et après 7 séances tous les phénomènes génésiques,
visuels
, la soif vive disparurent. Ne s'agit-il pas là
la sensibilité, rachialgie, rétré- cissement concentrique du champ
visuel
, affaiblissement considérable du pouvoir muscu
sur sa propre personnalité. Il pré- senta aussi des hallucinations
visuelles
, notamment de la zoopsie et des hallucinations
ne ditlérente de l'affection men- tale;);, enfin les hallucinations
visuelles
peuvent se produire sans l'adjonction d'un autr
ne forme élémentaire ou commune. 4° En revanche, les hallucinations
visuelles
sont assez ordinaires chez ces malades, à l'inv
savait jusqu'ici qu'il y a quatre sortes de mémoire : la mé- moire
visuelle
, l'auditive, la tactile, la motrice, auxquelles o
mianopsie, de suppression à peu près complète de la moitié du champ
visuel
et ce symptôme, sans rien affirmer trop catégor
n encéphalique, soit du simple rétrécissement concentrique du champ
visuel
qui est habituel chez les hystériques. En un mo
r suggestion, n'a montré qu'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
plus accusé qu'à l'ordinaire. Aussi tous les au
l'exagération temporaire du rétré- cissement concentrique du champ
visuel
. Dans ces dernières années, M. Pitres' signale
'anesthésie, je rappelai que sur un grand nombre d'examens du champ
visuel
je n'avais jamais constaté chez les hystériques
« un symptôme oculaire du même ordre que le rétrécissement du champ
visuel
, ayant la même portée diagnostique et pronos- t
e pouvons étudier . maintenant' c'est la persistance f des images ?
visuelles
. Quand elle a regardé un objet A et qu'elle pas
ès qu'ils sont regardés attentivement. Cette persistance des images
visuelles
semble se- rapprocher maintenant d'autres' phén
CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. -... 343 possible quel est leur champ
visuel
. L'examen est facile pour l'oeil gauche, il don
cile pour l'oeil gauche, il donne des résultats très nets. Le champ
visuel
est partout.rétréci, il n'est que de 70° du côt
, si l'on veut, une hémiopie com- plète puisque la' limite du champ
visuel
ne passe pas,par le pointée fixation, mais se t
opies de cause centrale dans lesquelles une petite portion du champ
visuel
entourant le point de-fixation est toujours res
a ' dans ce cas une perte presque complète de la moitié du champ
visuel
/ -'> ' . 1 ' z L'examen de l'oeil» droit est
dierons', toiiti à l'heure, mais on peut cependant mesurer le champ
visuel
. On constate un rétrécissement beau- coup-plus
à 38° au lieu de 70°. Mais on observe aussi qu'une moitié du champ
visuel
est supprimée d'une façon plus complète encore,
métrique présente un rétrécissement concentrique desi deux champs
visuels
,. plus- accentué pour 'l'oeil droit9-avecrllémia=
des deux côtés, ù ' 1 r . ' . ,il w 3.t ? fos, csl Quant au sens
visuel
qui nous intéresse plus particulière- ment il a
parlerons tout l'heure ? ? v *'">* -9l vu[><uiA) Le champ
visuel
des deux yeux a toujours été extrêmement variab
tral pour déterminer un rétrécissement con si ! dérable de ce champ
visuel
en apparence normal'. D'ailleurs le'plus souven
p visuel en apparence normal'. D'ailleurs le'plus souvent' le champ
visuel
était' rétréci comme il' l'est encore maintenan
ente entre le langage de la malade' et l'examen objectif des champs
visuels
. La malade se plaint en entrant de ne voir que
du côté droit et vous - vous attendiez à trouver le schéma du champ
visuel
également .. ' ' 0 ? tl,·rq 1 Op. cil., p. 1'
e, double. Sur le périmètre on^peut;, déterminer la.partie ducehâmp
visuel
où les objets. sont, doublés, ( c'est la partie
les'remplacer 'exacte-; ment dans cette même moitié droite du-champ
visuel
de 1'oe'il) gauche,ne sommes-nous pas disposés
appliqué plus tard ce procédé à l'étude du rétrécissement du champ
visuel
etij'ai présenté ici même quelques-unes de ces
ême quelques-unes de ces expériences." Une hystérique dont le champ
visuel
était réduit à i uni point, fà 51, s'endormait
les sur le périmètre, on' peut déterminer chez cette femme le champ
visuel
subcons- cient et il est intéressant de le mett
ient et il est intéressant de le mettre-.en parallèle avecrle champ
visuel
conscient qui est, comme vous savez, hémio- piq
et pronostique que celle du rétrécissement con- céntrtqûé du champ
visuel
. " , si 1r r .t - " . n.jti' I ' - IV. *' l
-»él li ? u . 'i' à Fig. 3. 3. , a 4ti i. 'f . " Limites du champ
visuel
conscient. nome Limites du champ t isuc) subconsc
r un rôle dans l'étendue et dans la fixation des limites du champ
visuel
. On n'a pas encore décrit beaucoup de cas dans le
a pas encore décrit beaucoup de cas dans lesquels la forme'du champ
visuel
ait été déterminée les idées des malades; mais
mp4visuèl-conscient pour le blanc et les*"limites"'de ce même champ
visuel
pour le rouge. On constate alors que le champ,
même champ visuel pour le rouge. On constate alors que le champ,
visuel
du blanc-, est fortement rétréci concentrique-
presque normal du côté gauche (fig. 4). Cette persistance du champ
visuel
du rouge en dehors de celui du blanc n'est dû'é
rti- culière attachée par la malade à cette couleur'; et-le champ
visuel
est évidemment ici modifié par l'idée'fixe ? e'14
vous ai pas encore parlé 'des effets de la suggestion sur le champ
visuel
, car ces' expériences ne sert vaient à rien pou
. Si nous étudions donc les effets de la suggestion sur le champ «,
visuel
, nous arrivons a-un résultat facile à prévoir.
les idées qui modifient leurs perceptions conscientes, leur, champ
visuel
peut se modifier de bien des façons. J'ai déjà
X. 23 Il 9$-Li il Ji q 1 , Tig, 4. - Z - 9JJjlt® Limites du champ
visuel
pour la couleur blanche. - +++ Limites' ' " ofj
r la couleur blanche. - +++ Limites' ' " ofjSjj ijn, h , » du champ
visuel
pour la couleur rouge. YÎ111 a ? t t ' i . *
possible de, supprimer parsug- " gestion directe la moitié du champ
visuel
.4po(j aammna gnon 4YC'est .d'ailleurs,, ce gue
n mot,,que j'ai, sou- vent remployé âprôpos"dueFl'e : çamendu çhamp
visuel
. t.En- tendons-nous,»- l'examen, du champlvisue
donc1 à ? la' question que nous nous sommes posée ? olü,'lé-chalrip
visuel
peut être modifié - par l'idée et une^émianopsi
- i U, '* : t 1 ' '\ (, complète, dans toute ! 1 étendue du» champ
visuelles
troubles' t L i * ï. , que«-nous avons^ notés'
sibilit6l rétinienne, 'maistd'unc diminntiononsidérùble'dé-l'âcnité
visuelle
.'Quoi Iqu'ilcenrsoit;Yétte'-inéââlité>pulül
a été jusqu'ici peu observé, la détermination d'une forme du champ
visuel
par l'idée fixe. Si cette explication très simp
conférence et il a'confirmé pleinement nos hypothèses ? Le' champ"
visuel
, même) du'côté; interne était mobileiet pouvait
ans la tête au moment où se- produisit cet'élargissement'(tu champ'
visuel
J'ai'déja."ihsisté "sur "SM'd6u)eùrs étranges q
a vue,agnait,en éteplue, elle,a semblé perdre son acuité : le champ
visuel
était plus"grand, niais' sur une par- tie"de so
anesthésies, ni hyperesthésie ovarienne, ni rétrécissement du champ
visuel
. Elle se trouve, au point de vue de l'âge et du
acts. Fonds des deux yeux normaux.- Pas d'hémianopsie, mais champ
visuel
un peu rétréci pour le blanc (puis le rouge, le v
, on constate les stigmates de l'hystérie : rétrécissement du champ
visuel
, émoussement unila- téral de la sensibilité cut
éaction normale. Mais lorsqu'il y a anomalie, avec ou sans troubles
visuels
, on trouve soit laprédominance de la secousse n
e de la secousse négative d'ouverture, sans qu'il y eût de troubles
visuels
, dans un autre cas le même phénomène coïncidait
cas le même phénomène coïncidait avec une diminu- tion de l'acuité
visuelle
. Dans l'hystérie et la neurasthénie, si l'acuité
l'acuité visuelle. Dans l'hystérie et la neurasthénie, si l'acuité
visuelle
est normale on, n'observe pas d'altérations spéci
rture se montre prépondérante. Lorsqu'il y a diminution de l'acuité
visuelle
, la réaction est ordi- nairement normale ; on l
moi, c'est que, après correction satisfaisante de leurs anomalies
visuelles
, 90 p. 100 des épileptiques chroniques, ont été m
idemment être obtenue que dans les cas où l'anomalie de la fonction
visuelle
agit à la façon d'un irritant périphérique. Il
ent ophtalmologique des épileptiques qui pré- .sentent des troubles
visuels
n'a pas jusqu'ici attiré l'attention que mérite
Vêtements étranges d'un dégénéré persécuté, par Lefilliutre, 225.
Visuelle
, théorie de la représenta- tion - corticale, pa
. Devint folle vers la fin de sa vie, elle avait des hallucinations
visuelles
et est morte en démence. Père : Le père du mala
mélancolique persistait encore ; et, outre quelques hallucinations
visuelles
(le malade voyait des flammes dans la cham- bre
eu des palpi- tations, des vertiges, des maux de tête, des troubles
visuels
ou des accès d'épi- lepsie. Les organes interne
ce est bonne, les mouvements des yeux ne sont pas limités, la force
visuelle
normale. Le champ visuel n'est pas rétréci, et
s des yeux ne sont pas limités, la force visuelle normale. Le champ
visuel
n'est pas rétréci, et l'examen ophtalmoscopique n
montre ni papillite, ni névrite optique, ni rétrécissement du champ
visuel
; spéciale- ment l'hémianopsie n'existe pas. J'
, 188') ; Anatomie du cerveau de l'homme. Paris, 1893 : La fonction
visuelle
et le cunéus. Paris, 1894. (4) DHJERINB Anatomi
'association qui relie le lobe occipital, et en particulier la sphère
visuelle
, au lobe temporal. Les lésions limitées du lob
terminent dans le lobe occipital et particulièrement dans la sphère
visuelle
. Ce faisceau provient de la partie inférieure d
- dinal inférieur. D'autres fibres tirent leur origine de la sphère
visuelle
corti- cale et de l'écorce occipitale et vont s
ernum) est un faisceau d'association provenant surtout de la sphère
visuelle
et qui se rend au lobe temporal ; mais la partie
ttale latérale une fonction déterminée, elle représenterait la voie
visuelle
centrale, ses fibres proviennent de la couche opt
s fibres proviennent de la couche optique et se rendent à la sphère
visuelle
corticale ; parfois (f) il accorde à ces fibres u
t, comme avant, que la couche sagittale externe renferme les fibres
visuelles
centrales et que celles-ci tirent leur origine de
ux. Le faisceau longitudinal inférieur représente en partie la voie
visuelle
cen- trale ; il se termine dans l'écorce de la
inférieur envoie de nombreuses fibres qui lui viennent de la sphère
visuelle
corticale et qui se rendent à la capsule interne
tudinal. A un endroit, il dit que ce faisceau provient de la sphère
visuelle
corticale et, après avoir insisté de nouveau su
quée par les verres, mon- tre qu'il y a intérêt à aider sa fonction
visuelle
pour les activités dans lesquelles la vue ne pa
erte, etc. sont bien reconnues. Il n'a ja- mais vu double. Le champ
visuel
n'est pas rétréci. L'ouïe est bonne, le ma- lad
dans la profondeur jusqu'à l'épendyme, les radiations de la sphère
visuelle
ont donc été -atteintes et c'est leur dégénéres
artiennent, pour nous, à un système à part, c'est-à-dire au système
visuel
. Nous croyons que ses fibres tirent leur origin
iennent du corps genouillé et qu'elles soient destinées à la sphère
visuelle
corticale; il est certain que la couche optique
des fibres de la couche sagittale interne proviennent de la sphère
visuelle
, c'est-à-dire de l'écorce du cunéus et du lobul
tions optiques » ne devrait s'appliquer qu'aux fibres que la sphère
visuelle
corticale envoie aux centres primaires de la visi
les sont donc en même temps les radiations thalamiques de la sphère
visuelle
et comprennent, en outre, les radiations du corps
Radiations optiques vraies; I. Radiations thalamiques de la sphère
visuelle
; IL Radiations du corps quadrijumeau antérieur
oyons qu'elles proviennent surtout, sinon exclusivement, de la sphère
visuelle
corticale. A la suite de lésions occipitales,
ne dans le corps genouillé externe et sa terminaison dans la sphère
visuelle
corticale, c'est-à-dire dans la scissure calcarin
u optique intimement mêlées aux radiations thalamiques de la sphère
visuelle
corticale. e) Le tiers inférieur renferme les r
façon très nette une diminution de l' acuité auditive et de Vacuité
visuelle
du côté droit. La force musculaire est égalemen
musculaire, mai en- core par la sensibilité générale, par l'acuité
visuelle
et auditive que nous avons vues nettement dimin
Quatre ans après le début de la syphilis elle présenta des troubles
visuels
, une paralysie progressive de la jambe droite,
de l'im- puissance génitale ; ensuite se manifestèrent des troubles
visuels
et des altérations de la parole à type bradylal
le scandée, exagération du réflexe rotulien, diminution de l'acuité
visuelle
, nystagmus, myosis et rigidité pupillaire, atro
trechoquent. , Les membres inférieurs ont un peu maigri. Le champ
visuel
n'est pas rétréci. La langue est agitée par les
sent pour la parole ordinaire et vont constituer les centres auditif,
visuel
, articulaire et graphique des paroles, chez les
langage musical ; c'est-à-dire, pour les images musicales auditive,
visuelle
, articulaire, gra- phique et mimique. Le cervea
(auditive) des notes existait, puisqu'en lisant la musique (images
visuelles
conservées) le malade entendait mentalement (paro
s ; il subdivisa ces dernières en amusies de réception (auditive et
visuelle
), et en amusies de transmission (chant, écritur
n de la lecture ordinaire ; il appelle cette perturbation « amnésie
visuelle
». La cécité musicale peut précéder la cécité v
uis que la perturbation n'était pas liée à la destruction du centre
visuel
des paroles (pli courbé),mais à la rupture des
s (pli courbé),mais à la rupture des communications entre le centre
visuel
commun (cuneus) et le centre spécial. Ferrand (
un pianiste lequel, pendant un concert, perdait la mémoire musicale
visuelle
(il ne pouvait pas lire la musique), la mémoire a
onc- tions restent intactes. 3° Suppression du. centre des images
visuelles
des objets (Objectbild). Il y a impossibilité d
. reconnaître les objets que l'on voit, perte des re- présentations
visuelles
, des troubles de la parole et de l'écriture volon
ie musi- cale. 2° Interruption des communications entre le centre
visuel
des images des objets et le centre des représen
u amusies. Qu'il s'agisse de leurs éléments sensoriels (auditifs et
visuels
) ou de leurs éléments moteurs (oral, écrit et m
convergence. Si- gne d'A. Robertson. Sens chromatique normal. Champ
visuel
normal. L'état mental est toujours le même, c'e
lexe de la con- vergence conservé. Signe d'Argyll-Robertson. Acuité
visuelle
normale. Champ visuel intact. (Examen pratiqué
conservé. Signe d'Argyll-Robertson. Acuité visuelle normale. Champ
visuel
intact. (Examen pratiqué par Vialet.) Ouïe, goû
e quadrijumeau antérieur. « Ces radiations appartiennent au système
visuel
et forment, avec les fibres cortico-thalamiques
AISCEAU . OPTIQUE CENTRAL TJG3 prennent leur origine dans la sphère
visuelle
, plus particulièrement dans les lèvres de la sc
destination des fibres qui assurent les connexions entre la sphère
visuelle
et le corps genouillé externe ; il ne s'agissai
-genouillées externes dégénèrent à la suite de lésions de la sphère
visuelle
corticale. D'où nous concluons que, malgré ses
lles et que nous avons expo- sées dans notre mémoire sur le système
visuel
central. Le second grief émis contre nous ne no
uillé ex- terne et qui n'a d'autre zone d'irradiation que la sphère
visuelle
corticale. On nous a reproché- on nous reproche
Où est la décussation ? Si l'on tient compte du fait que le segment
visuel
extra-cérébral, c'est-à-dire le nerf optique, n
segment moteur périphérique et le segment extra-cérébral de la voie
visuelle
pour comprendre que tout en étant extra-cérébrale
pyra- midal contribue largement. On ne peut guère parler d'une voie
visuelle
péri- phérique, puisque l'embryologie nous ense
, il n'est pas encore démontré que ces impressions soient également
visuelles
(à proprement parler). Quoi qu'il en soit, au p
qu'il en soit, au point de vue embryologique, trophique, le neurone
visuel
fondamental prend naissance en dehors de l'hémisp
i se passe pour celles-ci, les noyaux principaux du premier neurone
visuel
sont très éloignés l'un de l'autre, ils siègent
. Le lobe occipital représente le lobe intra-cérébral de l'appareil
visuel
et reçoit le neurone terminal, c'est-à-dire le ne
es. Nous ne croyons pas que ces radiations proviennent de la sphère
visuelle
même, de l'écorce cal- carinienne qui seule cor
iforme. 2° Au corps quadrijumeau antérieur (uniquement de la sphère
visuelle
) des radiations cortico-quadrigérninales. Elles
nombreuses fibres, des ra- diations thalamiques. C'est de la sphère
visuelle
cependant que proviennent la majeure partie de
re partie de ces radiations. 584 LASALLE ARCHAMBAULT T Le neurone
visuel
intra-cérébral ne provient que du corps genouillé
séquent, c'est le lobe occipital seul, qui renferme une corticalité
visuelle
réellement parfaite. Revenons au corps genouill
optique étant sensoriel, il est préférable de comparer le ganglion
visuel
central au noyau acoustique ventral (nerf cochléa
le corps genouillé externe reçoit-il les impressions lumineuses et
visuelles
de la rétine et de l'écorce occipitale (directe
ferme un certain nombre de ces fibres. Quant à la grande commissure
visuelle
, elle se retrouve dans le lobe occipital ; elle
les voies pyramidales se rapprochent en descendant et que les voies
visuelles
di- vergent en se rendant aux noyaux centraux.
rps genouillé externe et concourt largement à la formation de la voie
visuelle
intra-cérébrale. Pour notre part, nous sommes p
première, à savoir, l'origine exclusive- ment genouillée du neurone
visuel
intra-cérébral, que nous avons dénommé, « faisc
ent genouillé ; les fibres extra-cérébrales proviennent de l'écorce
visuelle
périphérique (la rétine), les fibres intra-céréhr
rétine), les fibres intra-céréhrales se termi- nent dans la sphère
visuelle
corticale, qui n'est qu'une rétine intra-cérébral
- bérantiel ou la partie moyenne du pont de Varole, de même la voie
visuelle
intra-cérébrale débute-t-elle par la base et co
-occipital pour s'irradier dans l'écorce calcarinienne. Ce faisceau
visuel
central ressemble beaucoup à la voie pyramidale
culo- médullaire. Incidemment nous avons fait ressortir que la voie
visuelle
, voie sensorielle admise de tous, réunit les de
c encéphalique. Au segment intra-cérébral et corticipète de la voie
visuelle
, nous avons donné le nom de « faisceau optique
l'expansion intra-cérébrale du nerf optique ; que le second neurone
visuel
existe à l'état de pureté dans la couche sagitt
la pensée de ne pas sentir du côté gauche et celle d'avoir le champ
visuel
rétréci. 2° Les acci- dents par idée fixe sont
Peut-on dire que l'anesthésie tactile, le rétrécissement du champ
visuel
se rattachent précisément à un arrêt du fonctionn
ment des centres nerveux qui servent à cette sensation tactile ou
visuelle
; ou bien ces anesthésies ne sont-elles qu'une man
ré dans de nombreuses études que la sensation tactile, la sensation
visuelle
, même à la périphérie du champ visuel, continua
ation tactile, la sensation visuelle, même à la périphérie du champ
visuel
, continuaient à s'exercer, que les souvenirs ét
de vrais anesthésiques, des malades ayant véri- tablement le champ
visuel
réduit à un point. On les voit tra- vailler, so
enez-vous la sensibilité tactile totale, le rétrécissement du champ
visuel
augmente telle- ment que le sujet devient momen
rvé plusieurs fois sans l'avoir prévu. Voulez-vous élargir le champ
visuel
, l'anesthésie tactile augmente. Ces mo- dificat
l'anatomie nerveuse mais sur nos perceptions tac- tiles et surtout
visuelles
. Si elle détermine les caractères de la paralys
pas. Bégaiement écrit et parlé. - ;Faible rétrécissement du, champ
visuel
(moitié, supérieure), pas, de troubles moteurs,
t tiré le lobule pariétal inférieur, de l'hémisphère gauche (centre
visuel
cortical). ,f I . ., , , , , Ces deux observati
ations paraissent démontrer la localisation du centre de la mémoire
visuelle
des mots au niveau du lobule pa- riétal inférie
accusés de l'écriture consécutivement à la destruction' des. images
visuelles
graphiques' et sans altération des, régions psy
(lésion intéressant les, çirconvo-- lutions'' motrices, le, centre
visuel
verbale étant seul ,détruit. La possibilité de
nes que présentèrent nos trente-cinq sujets sié- gèrent aux organes
visuels
, digestifs et nerveux et aussi, chose plus impo
démence de la malade ne permet pas de se rendre compte de l'acuité
visuelle
, néanmoins il est évident que la vision est con
centres,* et le mouvement est le résultat actif d'une iimpression
visuelle
: cette période- de suspension ne saurait être né
ion. L'auteur sup- pose, donc que sous l'influence d'une impression
visuelle
, il s'est produit, pendant l'arrêt du mouvement
endi- cations qu'il croit justes. Les images optiques et la mémoire
visuelle
présentent chez lui une intensité d'impression
, sont surtout en rapport avec les régions antérieures de la sphère
visuelle
de l'écorce, de sorte qu'à chaque poste de cell
cessus inconscient, le mot entier étant perçu comme une seule image
visuelle
; la lecture d'une langue connue se fait au moye
econd processus, c'esl-à- dire chaque mot est perçu comme une image
visuelle
d'objets connus et non par chaque lettre séparé
ans la lecture, mais encore lors de la perception des autres images
visuelles
, nous procédons soit en décomposant l'impression
appa- raissait dans son plein. M. KfENiG. De la fatigue du champ
visuel
et de ses rapports avec le rétrécissement conce
s du système nerveux ceza- li-al. Qu'est-ce que la fatigue du champ
visuel
? Qu'il y ait ou non au préalable rétrécissemen
e Groefe (1865), désignée depuis sous les noms d'amblyopie du champ
visuel
(Schwiegger) ; 'anesthésie optique (Pflüger); h
champ périmétrique (déplacement des champs 422 SOCIÉTÉS SAVANTES.
visuels
de Foerster). Aujourd'hui Wilbrand a simplifié la
où il est perçu par le patient et celui où il disparait du champ
visuel
et l'on revient au point de départ en faisant la
en faisant la constatation inverse. Il est évident que si le champ
visuel
n'est pas fatigable, l'objet ressortira du cham
si le champ visuel n'est pas fatigable, l'objet ressortira du champ
visuel
juste au point où il y était entré tout à l'heu
ndre compte du nombre de voyages nécessaires pour fatiguer le champ
visuel
, des variétés de la perception à chaque tour, e
ption à chaque tour, et aussi de la facilité avec laquelle le champ
visuel
récupère par l'exercice son activité et son amp
e par l'exercice son activité et son amplitude. On a ainsi le champ
visuel
minimum elle champ visuel maximum. On apprécie
é et son amplitude. On a ainsi le champ visuel minimum elle champ
visuel
maximum. On apprécie le fonctionnement du champ v
m elle champ visuel maximum. On apprécie le fonctionnement du champ
visuel
à ce pont de vue spécial et par des objets et p
ue spécial et par des objets et par des cordes. On note si le champ
visuel
est au début concentrique ou non, s'il se produ
uel côté ces phénomènes sont le plus accentués, la quotité du champ
visuel
minimum. On apprécie également le degré d'atten
la fatigue se limite au plan temporal; enfin qu'il existe un champ
visuel
oscillant. En pareille circonstance, l'objet à
proportionnel à ia rapidité de l'excursion du cavalier. Or le champ
visuel
oscillant peut affecter la forme chronique. Il en
deux cent quinze individus. Il a trouvé des modifications du champ
visuel
chez vingt-deux hommes et cinquante-neuf femmes
dant trois mois. Chez quelques-uns, il a tenté de modifier le champ
visuel
, soit en pratiquant la galvanisation céphalique
aler du nitrate d'amyle. Sous l'in- fluence de ce dernier, le champ
visuel
augmente, la fatigue dispa- raît ou tout au moi
oerster et Wilbrand, avec un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. SOCIÉTÉS SAVANTES. -M3 Voici d'ailleurs de q
de faire intervenir d'autres facteurs. Les modifications du champ
visuel
doivent être tenues pour des symptômes objectif
) . Toutefois la fatigue et le rétrécissement concentrique du champ
visuel
ont même dans leurs faibles degrés, une très gr
ut simuler un rétrécissement prononcé avec ou sans fatigue du champ
visuel
, mais pour cela il faut que le malade ait préal
matique, qui présen- taient un rétrécissement concentrique du champ
visuel
, décelaient le type des champs visuels déplacés
ssement concentrique du champ visuel, décelaient le type des champs
visuels
déplacés de Foerster. Mais il y a des ma- lades
ière communication j'ai trouvé que la fatigue systématique du champ
visuel
agrandit le punutum COECMrn. En pareil cas la t
également que la fatigue ne va pas (usqu'à la périphé- rie du champ
visuel
. M. Placzek montre un homme de quarante ans et
rture ? C'est probable. » , La malade a eu aussi des hallucinations
visuelles
, mais elle s'en rend compte et les explique. El
anquent complètement. On peut rencontrer aussi des hallucinations
visuelles
, simples et même verbales. En revanche, à côté de
pharynx et un rétrécissement concentrique assez notable du champ
visuel
. C'était donc bien de l'hystérie. Craignant que
tout, au con- traire, révélait l'hystérie, rétrécissement du champ
visuel
, quoique peu notable, anesthésie pharyngienne e
rifiants, caractère irritable. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Pas de troubles de la sensibilité générale. Ce
s et sans amaigrissement de la malade, le rétrécissement du champ
visuel
, en l'absence d'autres stigmates, m'ont suffi pou
o-sensorielle droite, rétrécissement concen- trique énorme du champ
visuel
, amaurose à gauche. J'endors la malade par un s
sensibilité à gauche, rétrécissement concentrique notable du champ
visuel
, sensation de boule lui montant à la gorge. J
ger, je constatai un rétrécissement concentrique notable du champ
visuel
, une diminution de la sensibilité du côté gauche,
té générale et sensorielle : perte du goût, rétrécissement du champ
visuel
, plaque hystérogène sous le sein gauche. D'un a
t que c'était une hystérique, elle avait un rétrécissement du champ
visuel
considérable, la boule nerveuse lui montant à l
sur la nature de ces vomissements. Rétrécissement léger du champ
visuel
. Plaques hystérogènes sous le sein droit. -Anesth
mates. Elle gardait le rétrécissement concentrique notable du champ
visuel
. Elle avait eu souvent la sensation de boule hy
ique l'hystérie, rétrécissement concentrique très marqué du champ
visuel
sensation de boule nerveuse lui serrant la gorge
et au sommet delà tête, rétrécissement concentrique doublé du champ
visuel
, anesthésie pharyngienne, existaient. C'était don
si que l'at- testaient un rétrécissement notable et double du champ
visuel
, l'anesthésie du pharnyx et certaines sensation
tte névrose. J'en trouvai peu : un peu de rétré- cissement du champ
visuel
cependant, mais j'étais fixé par le trouble par
tous trois hystériques avec boule nerveuse, rétrécissement du champ
visuel
, plaques hystériques; dans. une autre, père ast
ent , bourdonnement d'oreilles, in- somnie, rétrécissement du champ
visuel
; dans une troisième maison, une femme de soixan
ition du réflexe pharyngien, rétrécis- sement concentrique du champ
visuel
. La mort, étant survenue d'une façon inattendue
esthésie, parésie des extrémités, rétrécisse- ment notable du champ
visuel
à droite. C'est de ce côté du reste que les phé
VIALET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil nerveux
visuel
intra-céréúml, avec une préface du D' Dejérine. V
sion. On ne constate ni dyschromatopsie, ni rétrécissement du champ
visuel
. Aux yeux, existent des taies cornéennes qui da
nt des taies cornéennes qui datent de l'âge de 2 ou 3 ans. L'acuité
visuelle
est un peu diminuée. Pas de troubles de l'audit
considérablement inté- ressée : il y a de la céphalée, des troubles
visuels
, tous symptômes qui manquent dans l'acrocyanose
te d'hystérie, pas de point ovarien, pas de rétrécissement du champ
visuel
, ni de dischromatopsie. La raie rouge vasomotri
e perception des formes, de la distribution des choses sur le champ
visuel
résulte immédiatement [c'est moi qui souligne]
rceptions de la fenêtre et de la table, et si le groupe de cellules
visuelles
mis en action par les rayons lumineux provenant d
nt vaines les tentatives qu'on a faites d'expliquer la per- ception
visuelle
ou tactile de l'espace par la disposition spatial
de ces diverses expériences fait ressortir l'importance des images
visuelles
de l'expérience acquise, et même des « trucs » em
e ces impressions articulaires se compliquaient aus- sitôt d'images
visuelles
, et que c'est par l'intermédiaire de celles-ci qu
étendue ou fléchie... tout ceci sont des représentations, la plupart
visuelles
, qui ont été peu à peu associées à ces impressi
e que jamais les auteurs qui ont signalé cette évocation des images
visuelles
ne leur ont attribué, parce que visuelles, une
ette évocation des images visuelles ne leur ont attribué, parce que
visuelles
, une vertu localisatrice. Tout ce qu'ils voulai
ion par eux-mêmes, puisqu'ils devaient en em- prunter une à l'atlas
visuel
que nous nous sommes peu à peu fait des ré- gio
rent renversés, mais bientôt le sujet eut l'impression que le champ
visuel
n'était pas retourné ; il finit par voir ses pi
sucré et l'amer. Il est des malades qui, tout en ayant une acuité
visuelle
intacte présen- tent une véritable désorientati
e acuité visuelle intacte présen- tent une véritable désorientation
visuelle
: les objets se présentent à leur conscience sa
considérer la perception de la forme comme dépendant, non du centre
visuel
lui-même, mais comme étant due à l'action spéci
ffusèrent, l'envahissement de la base se révéla par les symptô- mes
visuels
, la déchéance nerveuse totale apparut graduelleme
es asiles d'aliénés. Les lobes occipitaux sont le siège des centres
visuels
corticaux; c'est un fait définitivement établi
n, Vialet). Précisant encore, les'auteurs admettent que les centres
visuels
corticaux occupent la face interne des lobes oc
résul- tats des travaux antérieurs sur la localisation des centres
visuels
, mais elle montre les différents troubles déter
veugle en l'espace de cinq ans. Les moitiés droites des deux champs
visuels
furent atteintes les premières, de sorte que la m
t plus qu'en mettant les objets dans les moitiés gauches des champs
visuels
. L'émia- nopsie gauche apparut en même temps, m
mais sa marche fut plus lente; les deux moitiés gauches des champs
visuels
étaient diminuées d'étendue et la vision distin
ue dans le point de fixation, au niveau de la macula, dans un champ
visuel
de quelques degrés. Tant qu'il persista une par
eule et ses sensations tactiles ne suppléent en rien ses sensations
visuelles
. La malade reste assise la plus grande partie d
lésion du bulbe et de la moelle. La localisation exacte des centres
visuels
n'est pas encore complète- ment déterminée. Cer
restreignent leur territoire. Von Monakow com- prend comme sphères
visuelles
tous les lobes occipitaux jusqu'aux plis courbe
pporter quelques documents nouveaux sur la localisation des centres
visuels
; mais notre cas permet de'préciser les symptôm
r une lésion envahissant lente- ment et progressivement les sphères
visuelles
et aboutissant à la destruc- tion complète des
er trouble que présenta notre malade fut une diminution de l'acuité
visuelle
dans les territoires des champs visuels qui dev
une diminution de l'acuité visuelle dans les territoires des champs
visuels
qui devaient dans la suite devenir insensibles à
gré l'étendue des lésions occipitales avait conserva un petit champ
visuel
autour du point de fixation encore sensible à là^
nservation de la vision centrale dans les cas de lésion des sphères
visuelles
. Dans une première, il est admis que chaque mac
permet ainsi la conservation de la vision centrale dans les champs
visuels
atteints. Dans une deuxième hypothèse, on prétend
jetée également; Les lésions étendues et profondes des deux sphères
visuelles
dans notre (1) F. W. Edridge-Green, L'évolution
e malade; elle était incapable d'avoir de nouvelles représentations
visuelles
et l'am- nésie était complète pour toutes les i
ions visuelles et l'am- nésie était complète pour toutes les images
visuelles
acquises antérieure- ment à la maladie. Ce poin
de comprendre les relations qui existent entre la perte des images
visuelles
et la perte du sens topographique. A l'état nor
ns déterminées par les sensa- tions ; c'est surtout avec les images
visuelles
et tactiles que nous pou- vons nous représenter
pographie de l'espace. Qu'une lésion du cerveau supprime les images
visuelles
, le sens topographique est généra- lement perdu
sens topographique est autre chose que la représenta- tion d'images
visuelles
, car chez des malades atteints d'hémianopsie do
). Les malades peuvent donner le nom d'un objet placé dans le champ
visuel
correspondant à la vision centrale mais ne peuv
iles an- térieures sont insuffisantes, pour suppléer les sensations
visuelles
. C'est peut-être ce qui explique la perte du se
E SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 10 ? dans les lésions des sphères
visuelles
: « Notre vieil atlas tactile de l'es- pace, di
(1), est peu à peu envahi et recouvert par les signes, de l'espace
visuel
, il en résulte que, quand nous perdons la mémoire
e l'espace visuel, il en résulte que, quand nous perdons la mémoire
visuelle
des lieux, ce qui subsiste des éléments tactile
au domaine tactile, devient graduellement et presque exclusivement
visuelle
(Nodet) (2). De plus, la représentation mentale
la représentation mentale de l'espace nécessite le rappel d'images
visuelles
et tactiles en séries ; il faut qu'il y ait relat
encore éveiller parfois le nom de l'ohjet mais les représentations
visuelles
et tactiles ne peuvent plus être reproduites en
nie du diabète, Rendu relevait l'absence de céphalée et de troubles
visuels
contre l'hypothèse d'une tumeur pituitaire, mais
de trouver trace des stigmates hystériques : la vision et le champ
visuel
sont parfaits, la sensibilité au tact et à la dou
d nombre d'éphélides disposées sous forme ponctuée. Aucun trouble
visuel
, pas d'anesthésie cornéenne, pas de rétrécissemen
cornéenne, pas de rétrécissement de la fente palpébrale ni du champ
visuel
, pas de paralysie des muscles moteurs de l'oeil
lexe à l'accommoda- tion persiste. Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Papille normale. La radiographie a été tenté
citabilité mécanique des muscles augmentée. Rétrécissement du champ
visuel
des deux côtés. La colonne vertébrale très doul
es du caractère (nervosisme, émotivité, impressionnabilité, phobies
visuelles
ou auditives), qui indiquentmanifestementque l'ac
a fait 14 journées de route consécutives sans prendre le pas. Peurs
visuelles
(objets blancs). ' Réflexes normaux ; seul le r
continuellement sur route. Dif- ficile au montoir et chaud. Phobies
visuelles
et auditives (chemin de fer, automobiles). Ré
ontinu, peuvent encore se manifester des hallucinations olfactives,
visuelles
et tactiles. Par exemple, l'un de nos malades s
rise principalement par des hallucinations auditives, plus rarement
visuelles
; ordinairement d'un contenu désagréable et offe
é- fices et les réparer; bientôt sont apparues les hallucinations
visuelles
, consolantes, elle a vu la Vierge resplendissante
con- servée ; mais il existe une incapacité de concentrer les axes
visuels
et l'attention sur les syllabes et les mots écr
années. Léger strabisme convergent à gauche. Diminution de l'acuité
visuelle
. La fête est d'ordinaire agitée de légers mouve-
qui, en vertu de ses connexions ana- tomiques, donne une sensation
visuelle
, pourrait aussi bien, dans '- d'autres conditio
es centres nerveux corticaux. Cependant l'ablation des deux sphères
visuelles
d'un mammifère le rend pour toujours aveugle, e
le rend pour toujours aveugle, et la destruction d'une seule sphère
visuelle
détermine une hémianopsie corticale qui ne s'am
la sensibilité. Par exemple, si les cellules nerveuses des sphères
visuelles
n'ont rien qui les différencie fonctionnellemdn
C'est ce qu'avait cru observer Gudden. Mais en enlevant les sphères
visuelles
tout entières, chez des lapins nouveau-nés, à p
, parce qu'il a resserré dans des limites trop étroites les sphères
visuelles
du lapin ; ce que nous savons de l'étendue de c
tinctes. Les deux sortes d'éléments nerveux coexistent dans la zone
visuelle
, parce qu'il n'est point de perception de la vu
s les autres régions de la peau et des muqueuses accessibles. Champ
visuel
très étroit à gauche, odorat et goût abolis sau
nes. Mais il reste un certain degré d'hyperesthésie, rétrécissement
visuel
à gauche, diminution de l'ouïe à gauche, et de
les entre les qualités des sensations que nous percevons (tactiles,
visuelles
, olfactives, gustatives) qui sont en rapport di
en arrière dans le lobe occipital et, en particulier dans le centre
visuel
; mais, en avant, elles aboutissent non à l'écor
s de tabes classique s'accompagnant d'hallucinations audi- tives et
visuelles
. Il s'agit de deux femmes, non alcooliques, dont
où elles sont déjà très rares, on rencontre si peu d'hallucinations
visuelles
qu'elles ont pu être niées dans les autres form
lucinations verbales qui consistent dans l'extériorisation d'images
visuelles
et auditives, leur déter- mination antérieure f
ception représenté dans les psy- choses : 1° par des hallucinations
visuelles
verbales ; ` ? ° par des hallucinations verbale
automatiquement, ne pourra pas avoir des hallucina- tions verbales
visuelles
ni graphiques. De la même façon tous ceux qui,
dans l'échange des idées avec les autres hommes que de perceptions
visuelles
(communes et mimiques) et d'extério- risations
braux une maladie mentale, ne pourront être que des représentations
visuelles
mimiques et des représenta- tions motrices mimi
tré seront, dans le cas d'une maladie mentale, apte à les produire,
visuelles
mimiques et psycho-motrices mimiques ». Le ca
s sa cellule. La présence des signes objectifs des hallucinations
visuelles
nous fit remarquer ces troubles et interroger le
goza, 1896. HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 165 L'hallucination
visuelle
de cet individu entre parfaitement dans les car
for- mation. Chez mon malade c'est tout le contraire, son centre
visuel
du langage extériorisait l'unique classe de sym
les hallucinations verbales auditives apparaissent unies ou non aux
visuelles
communes pour donner plus de vivacité à cet éta
dans le délire alcoolique, mais ils sont tou- jours dominés par les
visuelles
communes qui apparaissent au premier plan. Eh b
sorium auditif. Comparées à celles-ci, les représentations verbales
visuelles
sont peu nombreuses et les graphiques insi- gni
rappelle maintenant la rareté relative des hallucinations verbales
visuelles
, bien plus accentuée encore dans les graphiques
ncore dans les graphiques. Pour pouvoir souffrir d'hallucinations
visuelles
de paroles, il faut avoir lu beaucoup ; pour le
égale intensité. Elles se trouvent dans le même cas que les images
visuelles
et graphiques des paroles chez les personnes bi
hors de son infirmité. Ses rêves abondent en images hallucinatoires
visuelles
. Les fantômes lui parlent souvent, se servant d
celles du premier. A savoir : préférence d'hallucinations mimiques
visuelles
et psycho-motrices et existence moins fréquente
psycho-motrices et existence moins fréquente de fausses perceptions
visuelles
et motrices de paroles. ltien de plus. Indubitabl
ne peuvent être que trois chez les sourds-muets : les moteurs, les
visuels
et les mixtes. Dans l'OBSERVATION I, nous avons
Riva m'a fait part d'un cas semblable. Aucun de ces sujets n'était
visuel
. S'ils l'avaient été, s'ils avaient pu formuler
s'ils avaient pu formuler leur pensée à l'aide d'images concrètes
visuelles
, il leur eût suffi de copier le tableau formé par
si l'existence de moteurs. Mais comme ces mo- teurs, tout comme les
visuels
correspondants, possèdent trois images de chaqu
paroles sur les lèvres de son père. Ce sujet paraît davantage être
visuel
. La théorie soutenue dans le livre auquel je me
lucinations sont caractérisées par leur prédominance dans la sphère
visuelle
à la deuxième période et parfois dès la premièr
ale particulière à chaque cas. J. SÉGLAS. XXV. Des hallucinations
VISUELLES
(visions) PRODUITES par la PRES- SION exercée S
veloppement correspondant des lobes postérieurs, siège de la sphère
visuelle
, ou une prédisposition de ces parties à des alt
exes, les troubles de la sensibilité, les dou- leurs, les symptômes
visuels
qui appartiennent à l'une et non à l'autre des
nerveuses, jusqu'au cerveau. 11 existe donc des chaines de neurones
visuels
, auditifs, sensitifs, etc., s'éten- dant en que
les » qui est intervenue dans la perception d'un son ou d'une image
visuelle
, sera la même qui, sous la sollicitation de la
re sensoriel distinct (per- ception gustative évoquée par une image
visuelle
, souvenir acous- tique réveillant des formes et
braux : grâce à ces cellules, les groupes des pyramides des centres
visuels
, par exemple, réagi- raient sur les centres cor
positifs. Ainsi, nous savons maintenant que le nombre des neurones
visuels
est plus considérable que celui des neurones ol
actifs, ce qui s'explique par une plus grande variété de sensations
visuelles
; il est à noter, comme règle générale, que le
ons qui parviennent à l'appareil périphérique. L'étude des neurones
visuels
et olfactifs nous fournit, entre autre, le fait
tance pour nos combinaisons théoriques. La plupart des impulsions
visuelles
et olfactives affectent une direction centripète,
s investigations nous ont donné concer- nant les voies conductrices
visuelles
et olfactives et de faire l'hypothèse suivante
rt intime avec l'activité psychique. Il est à remarquer que le nerf
visuel
des animaux inférieurs est beaucoup plus pauvre
Ce phénomène dépend, il notre avis, de ce que la quantité d'images
visuelles
est plus considérable chez l'homme que chez les
ons de dire sur un exemple quel- conque. Arrêtons-nous à l'appareil
visuel
. Les incitations qui parviennent à la rétine, p
s du cerveau, d'où partent à travers les fibres centrifuges du nerf
visuel
des impulsions centrales qui régularisent et do
former l'opercule inférieur de la scissure de Sylvius) ; 3° sphère
visuelle
(partie de la face interne de chaque hémisphère
res- tent indemnes; ils n'ont donc rien de commun avec l'appareil
visuel
; il en est de même des commissures de Meynert ou
ulsif ( ? ). Menstruation à quinze ans, puis diminution de l'acuité
visuelle
, démarche incertaine, maladresse des mains. A dix
. Hérédo-syphilis probable. A vingt-un ans dimi- nution de l'acuité
visuelle
. Atrophie optique. Céphalée, douleurs fulgurant
mpathi- ques, de la rétine, du corps genouillé externe, delà sphère
visuelle
. A l'état d'activité, des matériaux sont utilis
es HYSTÉRIQUES ; - par le Dr PLCHrn. Si l'on considère les champs
visuels
des couleurs chez les hysté- riques comme norma
ques s'expliquent mal par un rétré- cissement concentrique du champ
visuel
. Sans doute lorsque le bleu persiste en dernier
sante qu'à la condition d'admettre que chez l'hystérique les champs
visuels
colorés ne sont plus à leur place respective, q
e bleu, tantôt le rouge, en d'autres termes celle qui aura le champ
visuel
le plus étendu et que, par conséquent, le rétré
habituelles du sujet. Ces hallucinations terrifiantes sont surtout
visuelles
, mais ont aussi leur siège dans tous les sens.
e neutralisation de l'objet perçu par l'imagination (3) : « L'image
visuelle
perçue, l'amaurotique par suggestion et l'hys-» t
ici que l'hallucination négative annulait complètement les sensations
visuelles
ou auditives, en empêchant qu'elles ne fussent pe
u. Eh bien ! nous croyons que c'est là une erreur : il y a perception
visuelle
, il y a perception auditive ; ces perceptions n'a
e la polyopie monoculaire des hystériques, du rétrécissement du champ
visuel
pour la lumière et pour les couleurs, des zone» h
musculaires. On a aussi pu constater un léger rétrécissement du champ
visuel
, égal pour les deux yeux. -L'hystérie paraissan
alézowski (i), de voir des enfants se plaindre de différents troubles
visuels
: diplopie, amblyopie, amaurose, ophtalmies diver
même temps une aptitude vraiment remarquable à se souvenir des images
visuelles
ou auditives anciennement perçues par lui. a l'ét
ouvent chez les somnambules. Ce malade évoque facilement les images
visuelles
de forme.On luidemande de se représenter parla pe
, les colonnes, etc. Il semble absolu* meni qu'il le voit. Les images
visuelles
de couleur, i] se les représente aussi facilement
ent. a ce propos, il faut bien foire une distinction entre les images
visuelles
de forme et les images visuelles de couleur. Cons
ire une distinction entre les images visuelles de forme et les images
visuelles
de couleur. Considérons les tableaux d'Ingres et
physiologique qui peut ne pas arriver à la conscience^ Une impression
visuelle
affecte la rétine, se propage par le nerf optique
L'oeil, en apparence aveugle, voit: l'image es: perçue par le centre
visuel
cérébral: mais celle perception n'est pas con
s. Je n'existe plus pour elle, et toutes les impressions acoustiques,
visuelles
, tactiles, etc., émanant de moi. la laissent impa
cal* qui lui donne la sigoi» ficaiionde l'objet vu; c'est l'amnésie
visuelle
. si je vous parle, vous ne m'entendrez pas. D
leurs sensations : d'autres n'arrivent à neutraliser que la sensation
visuelle
, toutes les auties suggestions sensorielles négat
musculaire est normal. La vision des couleurs est conservée: le champ
visuel
n'a pu ôtre examiné, la malade tombant en attaque
ar fixation subit: et rapprochée, soit le somnambulisme par sensation
visuelle
prolongée ou tout autre procédé. G... ne m'avai
aire, pas d'ochnoma-topîe, pas de rétrécissement appréciable du champ
visuel
. Anesthéne pharyngée. Pas d'anesthésie, pas de tr
e projetaient hors de leurs orbites pour agrandir littéralement ^Kunp
visuel
. On s'imaginerait difficilement jusqu'à que; poin
ntée a l'Académie des sciences par M. Brown-Séquard. mine l'image
visuelle
de la région excitée ; cette image visuelle peut
Séquard. mine l'image visuelle de la région excitée ; cette image
visuelle
peut être recueillie sur unécran qu'on prie le su
du poignet ou du doigt de la main insensible fait apparaître l'image
visuelle
de ces parties; les mouvements passifs communiqué
x divers segments d'un membre anesthésique sont reproduits par limage
visuelle
de ce segment et peuvent être comptes ; enfin les
'une contrac* tore artificielle, se retrouvent également dans l'image
visuelle
. 3* L'excitation, avec le compas, de la peau inse
ux pointes de compas, et selon la région explorée, tantôt deux points
visuels
, tantôt un seul: on peut, grâce à cette méthode,
disant anesthésique parait généralement normale. 4' Les impressions
visuelles
produites par l'excitation d'une région insensibl
cette sensation lumineuse qui provoque la sommation. 5* Le* images
visuelles
sont assez intenses pour s'extérioriser ; elles c
plus petites et plus intenses. Ces changements de grandeur de l'image
visuelle
sont faciles à constater, en provoquant, i l'aide
n prie le sujet de mesurer la distance sur l'écran. Enfin, les images
visuelles
ainsi provoquées revêtent la couleur complémentai
sur l'écran un point destiné a fixer le regard du sujet, l'image
visuelle
déterminée par l'excitation d'une région anes-thé
nds (nous supposons qu'il s'agisse de deux piqûres). la seconde image
visuelle
ne se confond pas avec la première, mais se fixe
qûres sont faites simultanément à la peau insensible, les deux points
visuels
, chez quelques malades, apparaissent sur l'écran,
ur les distances plus considérables, il s'opère, dans les perceptions
visuelles
, un phénomène de réduction. 8* Lorsqu'on trace
et que celle-ci est placée dans le même plan que l'écran, les lignes
visuelles
qui apparaissent sur l'écran sont parai H les a c
ont parai H les a celles qu'on a tracées sur la main. 9' Les images
visuelles
provoquées, persistant aussi longtemps que l'exci
dessin dans leurs moindres détails. 10* La signification des images
visuelles
provoquées n'est pas constamment comprise par les
s'en assurer par la concordance des mouvements du doigt et de l'image
visuelle
. Il résulte de ceci que la vision mentale a ses i
mentale a ses illusions comme la vision extérieure. 11* Les images
visuelles
provoquées ne sont jamais mises par le sujet en r
ssements, et constatait surtout une diminution profonde dans l'acuité
visuelle
des deux côtés. 11 avait également des bourdonn
eaux centraux modérément atrophiés (1). Atrésie des papilles; champ
visuel
très rétréci, surtout à droite (3o'du côté extern
nt ces résultats. 14* séance. — Le malade est examiné pour son acuité
visuelle
; avant suggestion : VOD = 1/20, VOG = t/io; après
1/20, VOG = t/io; après suggestion : YOD — 1/12, VOG — 1 12: —champ
visuel
: rayon extérieur, 40' à droite. 35' à gauche.
que manuelle passe en deux jours de 5 kilog. à plus de 3o. L'acuité
visuelle
, presque nulle à droite et très affaiblie à gauch
tude, tels que : — La finesse extrême de l'ouïe ; — La perception
visuelle
limitée aux seuls objets que touche la main de l'
ussite de telles expériences. Je rapprocherai de ces hallucinations
visuelles
, beaucoup plus faciles à mire naître qu'on ne le
cation dans le travail mental qui s'accomplit, attendu que la lecture
visuelle
doitctrca'msi unilatéralement transposée, et que
tion de la sensibilité articulaire et musculaire ; chez lui, le champ
visuel
présente aussi la même altération. Ces formes de
maines après, il ne restait plus qu'un peu de rétrécissement du champ
visuel
, une légère hémianesthésie du même côté. Ces ac
e, il est réformé de nouveau par la Commission spéciale pour acuité
visuelle
inférieure à un demi de l'oeil droit et bronchi
-lenticulaire. Ce faisceau rétro-lenticulaire est composé de fibres
visuelles
et les lésions siégeant à ce niveau produisent
xées dans la mémoire, soit avec des sensations différentes, surtout
visuelles
, la représentation mentale complète de l'objet
risée par du délire de persécution avec hallucinations auditives et
visuelles
, délire de persécution évoluant dans un cercle ex
quant aux troubles rectaux. La diminution considérable de l'acuité
visuelle
petit elle-même rétrocéder. P. KERAVAL. VI. D
re normal. Il déclare avoir, dans la partie inférieure de son champ
visuel
, la sensation d'un gouffre noir situé au devant
lésion d'un lobe occipital doit affec- ter partiellement les champs
visuels
des deux yeux et être de nécessité bilatérale e
186 BIBLIOGRAPHIE. la circonvolution de l'hippocampe, par le centre
visuel
placé à la face interne du lobe occipital, et p
opie ou de polyopie monocu- laire. Pas de dyschromatopsie. Le champ
visuel
est rétréci con- centriquement à 50° (fia. 6 et
en est faite par l'apparition de ce besoin à la suite d'impressions
visuelles
ou auditives en rapport avec l'acte. Les pertur
thésie droite totale et complète avec clou, rétrécissement du champ
visuel
droit, boule, anorexie. Je propose à la famille
ire a été pratiqué par M. le professeur Dianoux. A gauche, l'acuité
visuelle
est non chiffrable. A droite, il existe une hém
de ne perçoit que les objets placés dans la moitié interne du champ
visuel
, limité en dehors sur la ligne mé- diane par un
diane par une verticale avec encoche centrale. En outre ce champ
visuel
hémiopique est rétréci ; la vision rouge atteint
ours qui suivirent, le malade accusa une augmenta- tion de l'acuité
visuelle
de l'oeil gauche ; mais cette amélioration ne s
dysphagie, exagération de l'ouïe, limitation concentrique du champ
visuel
, conjonctive injectée, asthénopie motrice, sensib
l'attention donnée à-l'objet sombre, placé à la périphérie du champ
visuel
. Un bec de gaz étant disposé à gauche du patient,
r des pupilles. L'attention sur un objet obscur placé dans le champ
visuel
dilate cependant plus fortement les pupilles que
avec idées vagues de persécution entretenues par des hallucinations
visuelles
, olfac- tives, gustatives. Mort par catarrhe ga
rait être question des éléments sensitifs, d'ordre cénesthésique ou
visuel
, qui interviennent dans la représentation corti
i des deux droits supérieurs. Rétrécissement très marqué des champs
visuels
. Un an et deux mois plus tard '(1898, décembre)
898, décembre), peu de temps après un accouchement facile, l'acuité
visuelle
commença à dimi- nuer plus rapidement, et un mo
un des principaux signes d'affection de l'hypophyse ; des troubles
visuels
augmentant paral- lèlement aux modifications os
Idées délirantes de persécution avec hallucinations auditives et
visuelles
consécutives à un traumatisme psychique chez une
IX. 25 . : 386 CLINIQUE MENTALE. il fit naître des hallucinations
visuelles
en pressant sur les globes oculaires. On avait
: des céphalées progressives augmentant de violence - des troubles
visuels
nombreux : asthénopie, perte du champ REVUE D'A
te du champ REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 425
visuel
temporal de l'oeil gauche et plus tard, perte du
. 425 visuel temporal de l'oeil gauche et plus tard, perte du champ
visuel
nasal de l'oeil droit (hémianopsie homonyme) ;
sal de l'oeil droit (hémianopsie homonyme) ; diminution de l'acuité
visuelle
dans les deux yeux; plus tard perte de la vision
deux yeux; plus tard perte de la vision des couleurs dans le champ
visuel
temporal droit, par ailleurs normal ; apathie i
e tumeur encéphalique avec l'atrophie optique, et la perte du champ
visuel
temporal rend le diagnostic de tumeur pituitair
97.) Résumé de quatre cas dans lesquels la correction d'un défaut
visuel
a déterminé chez des épileptiques soit une amélio
de cela quinze mois et la guérison persiste. Phobies tactiles et
visuelles
. M. Paul Farfz cite quatre cas de phobies consc
ence et la mesure peuvent être constatées par la valeur de l'acuité
visuelle
du sujet, malgré l'hémianopsie (généralement dr
rmes primitivement tactile est passée graduellement dans le domaine
visuel
au point que son trouble peut servir de mesure
ur le terrain spécu- latif) est aussi devenue presque exclusivement
visuelle
; si bien qu'un trouble très étendu du territoi
sivement visuelle ; si bien qu'un trouble très étendu du territoire
visuel
diminue toujours 454 BIBLIOGRAPHIE. , l'orien
r dans les mêmes proportions par l'extension progressive du domaine
visuel
et souffre également des dommages de celui-ci.
i exister seules) elle n'a de valeur clinique que liée à l'agnoscie
visuelle
, malgré l'intérêt théorique indiscutable de ces
substance blanche. Enfin de quelques cas il ressort que l'agnoscie
visuelle
spéciale par défaut de localisation dans l'espa
Nous retenons son attention, nous lui suggérons une hallucina- tion
visuelle
: « Tenez, regardez bien, qu'est-ce qu'il y a la
lexes patellaires et plantaires normaux. Pas de diminution du champ
visuel
. 21 avril. Le malade a bien dormi, sans trop de
n. (Neurolog. Centralblatt., XVII, 1898.) Les faisceaux optiques ou
visuels
qui commencent à la rétine et se terminent dans
arborescences dans l'écorce de la fissure calcarine. L'impression
visuelle
étant produite par le contact des nerfs de la rét
lé est de première importance. Il y a homonymie entre les faisceaux
visuels
rétiniens et les éléments de la rétine. Le quad
s (Mar- chand, Narris, Henschen, Pick). En arrière, les faisceaux
visuels
occupent deux plans. Le plan visuel cortical se
). En arrière, les faisceaux visuels occupent deux plans. Le plan
visuel
cortical se limite aux lèvres de la fissure calca
auche avec rétrécissement concentrique de la moitié droite du champ
visuel
, et finalement d'hémianopsie du quart inférieur
é détruit en ce point, mais a respecté la bandelette et le faisceau
visuel
occipital; ce qui prouve que le segment supérie
érale avec déchéance fonctionnelle bilatérale de la moitié du champ
visuel
du côté opposé, un rétrécissement du champ visu
moitié du champ visuel du côté opposé, un rétrécissement du champ
visuel
de l'oeil opposé toujours beaucoup plus marqué qu
eaucoup plus marqué que du côté de la lésion; la déchéance du champ
visuel
est limitée dans les deux yeux par la verticale
entraine aussi une hémi- anopsie avec déficit de la moitié du champ
visuel
croisée dans les deux yeux, lacune plus considé
Réaction pupillaire se fait avec paresse. Pour l'oeil droit, champ
visuel
très rétréci pour le vert, normal pour la coule
PATHOLOGIE NERVEUSE. 517 7 porale complète, et contraction du champ
visuel
pour le 'vert, le bleu et le rouge. Pas de scot
vait penser à mettre sur le compte de cette habitude, les troubles
visuels
. Mais l'absence de scotome central, la conservati
isuels. Mais l'absence de scotome central, la conservation du champ
visuel
normal pour le blanc tandis que rétréci pour les
ns pour un temps, grâce à l'usage de verres corrigeant leur trouble
visuel
. A. V. XXXIX. Syringomyélie avec mains succulen
erveau, avec retour progressif et finalement complet de la fonction
visuelle
au bout de quelques jours ou de quelques semain
faites pen- dant le sommeil hypnotique et portant sur des illusions
visuelles
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 531 SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE
ns la , par perfora- tion, par Barbucci, 306. Phobies tactiles et
visuelles
, par Fal'r'z, 151. Phylogénese du cordon anté
acile à dépister. Elle peut frap- per tous les sens, être auditive,
visuelle
, olfactive, gusta- tive, motrice, frapper. la s
s ver- bales de l'ouïe et de la vue sont déjà des auditifs ou des
visuels
, les hallucinés moteurs verbaux sont, au préalabl
cution. Hallucinations multiples motrices verbales, kinesthésiques,
visuelles
, auditives, gustatives, état de confusion hallu
s'accompagner d'hallucinations senso- rielles soit auditives, soit
visuelles
. . .Les faits cliniques d'hallucinations psycho
depuis, il a eu d'autres convulsions, toujours précédées d'une aura
visuelle
, qui dure de vingt minutes à deux heures ; la c
bilités spéciales sont également indemnes : en particulier l'acuité
visuelle
est normale; pas de rétrécissement du champ vis
ier l'acuité visuelle est normale; pas de rétrécissement du champ
visuel
, pas de dyschromatopsie. Bien que le malade n'acc
bitait, mais il ne peut tout d'abord indiquer le numéro. La mémoire
visuelle
de son appartement est mieux conservée : il sai
é dans un autre endroit, il répond : a Oui,à la figure». La mémoire
visuelle
commune, qui, nous l'avons dit, était une UN ca
rivent en miroir sont doués d'une attention faible et d'une mémoire
visuelle
affaiblie. B. Les gens peu exercés ri l'écritur
taux ou des tractus inférieurs. Affaiblissement général de l'acuité
visuelle
, du sens des couleurs, etc., marqué sur- tout c
l soi-disant « aveugle », les caractères correspondant à une acuité
visuelle
de . Rétrécissement marqué du champ visuel pour
espondant à une acuité visuelle de . Rétrécissement marqué du champ
visuel
pour les couleurs dans les deux yeux, avec inve
les couleurs dans les deux yeux, avec inversion complète des champs
visuels
pour le rouge et le bleu. Même pendant la men-
ls pour le rouge et le bleu. Même pendant la men- suration du champ
visuel
l'enfant ne parut pas s'apercevoir qu'elle voya
avait plus d'anesthésie cornéenne et conjonctivale, mais les champs
visuels
étaient encore quelque peu contractés et inversés
d'une anesthésie cornéenne et conjonctivale, l'inversion des champs
visuels
pour les couleurs,et ce fait qu'aucun effort ne
t surtout du rêve; toujours mystiques dans leur contenu, elles sont
visuelles
, générales et verbales, combinées à toutes les
180 CLINIQUE NERVEUSE. trouble de la vision des couleurs. L'acuité
visuelle
indique V = 2 à gauche et V = 1 à droite. Le ch
'acuité visuelle indique V = 2 à gauche et V = 1 à droite. Le champ
visuel
présente un rétrécis- sement concentrique accen
et il y a inversion pour le rouge, qui est la couleur dont le champ
visuel
est le-moins rétréci, par rapport au bleu, puis a
is au vert (le plus rétréci). Au niveau de l'oeil droit, les champs
visuels
pour le rouge et le bleu se confondent. On pr
Notre attention s'est plus particulièrement portée vers l'appareil
visuel
qui semble, au premier abord, complètement revenu
iveau de- l'oeil droit exclusivement (signe de Le Dantec). L'acuité
visuelle
normale à droite, est de un demi a gauche : elle
e feuille est verte », et c'est la réponse qu'elle fait. Le champ
visuel
, rétréci (surtout à gauche) pour le blanc, l'est
auditif externe. IV. Les modifications en rapport' avec l'appareil
visuel
, nous demandent des considérations un peu plus
oOc policl, 1S ! J ? p. 299. ' Loc. cil. " Maladies de l'appareil
visuel
, t. II, 472, 1897. ' 10 7'milé de palhol. génér
perception et avec rétré- cissement concentrique accentué du champ
visuel
dans le premier examen pratiqué chez elle par M
plètes, de même il serait logique que l'abstraction de l'impression
visuelle
entraînât une amaurose complète. Seulement si
e, gustative, etc., de même il peut y avoir négation de la fonction
visuelle
. Mais de même que l'on voit l'anesthé- sie, la
n peut appliquer ces modifications en plus ou en moins à l'appareil
visuel
, et nous serions très disposés à admettre la sé
bilité 2. f ! . 1 Et alors : 1°ou bien le réveil de la conscience
visuel
le endor- mie sera complet; c'est ce qui a eu l
ieurs cas de M. Badal) etc. 2° Ou bien le réveil de la conscience
visuelle
n'est qu'un demi réveil; la récupération de la
de. - Enfin dans un quatrième stade, la modification sur l'appareil
visuel
au lieu de se faire en moins, peut se faire en
, s'il était bien établi auparavant. En second lieu, que le trouble
visuel
ne gêne pas l'hystérique, lorsqu'il se promène
e promène librement, malgré le rétrécissement considérable du champ
visuel
que l'examen périmétrique nous montre. » Et plu
surdité, que, dans le cas présent, la persistance de la sensibilité
visuelle
est certaine dans la cécité. l ' Comprenons-n
omprenons-nous mieux pour cela cette non-perception de la sensation
visuelle
? Trois théories sont en présence pour tenter d
Cela tendrait à prouver que les troubles hystériques de l'appareil
visuel
sont absolument comparables aux troubles hystér
onsidérés jus- qu'à ce jour, dans l'hystérie, du côté de l'appareil
visuel
, qui nous aideront beaucoup à affirmer ou nier
rement la phase de début. A ce moment l'hallucina- tion est surtout
visuelle
et auditive; plus rarement la sensi- bilité gén
s. XLIV. Recherches expérimentales sur la mémoire des impressions
visuelles
; par A.-W. GUERWLR. (OiJo ? 1'I}nié psichiatrii,
desquelles il résulte ce qui suit : 1° Le souvenir des impressions
visuelles
, dans le cours des trois premières minutes qui
ques et religieuses; elle avait des illusions et des hallucinations
visuelles
, auditives et tactiles qui se rattachaient nett
crit des deux mains en même temps en faisant abstraction de l'image
visuelle
du mot que l'on veut écrire, chacun écrit spont
sur ce fait que les individus qui écrivent en copiant les images
visuelles
arrivent très difficilement à écrire de leur main
e en miroir, il est indispensable de faire abstraction des images
visuelles
, il ne faut pouvoir ne pas copier le mot ou les l
et, de ce dernier au centre de Broca, que ceux du centre des images
visuelles
des lettres et des mots (pli courbe), qui vont
odifications pupillaires dans la majorité des cas, des paresthésies
visuelles
, et un rétrécissement du champ visuel léger pou
des cas, des paresthésies visuelles, et un rétrécissement du champ
visuel
léger pour le blanc, nettement marqué pour les
e que, finalement, toute perception lumineuse ait disparu. Le champ
visuel
qui s'était momentanément agrandi et amélioré, se
la vision est bonne ou même normale dans une bonne étendue du champ
visuel
; celui-ci est en général nettement rétréci; le
u champ visuel; celui-ci est en général nettement rétréci; le champ
visuel
pour les couleurs dans la grande majorité des c
Puis troubles de la \ue (diminution processive - à gauche du champ
visuel
de bas en haut). On trouve une névrite optique
i : SOCIÉTÉS SAVANTES. 33t5 5 illusions morbides, des perceptions
visuelles
d'un caractère équi- voque, auxquelles sont suj
lpêtrière, 1901, p. 327.) - Note sur la fatigue par les excitations
visuelles
. (Ibid., p. 668.) Note sur l'influence du haschis
ses, par Coon, 230. Violoniste prodige, par L, Dauriac, 67. ,
Visuelles
. Recherches expérimen- tales sur la mémoire des
de ce genre, lorsque le concours des impressions kinesthétiques et
visuelles
est supprimé nous permettent de discerner jusqu
aiment secon- daire, tout important qu'il soit, des représentations
visuelles
et kinesthétiques dans l'accomplissement normal
e ravivés en lui, soit isolément, soit associés à des impressions
visuelles
qui s'y rapportent. Cela ne saurait produire que
d'amblyopie, ni de dyschromatopsie, mais il ne dit pas si le champ
visuel
a été exploré, si la polyopie monoculaire a été
echerchée. Or cette polyopie spéciale et le rétrécissement du champ
visuel
constituant des caractères de l'hystérie d'une
us sûr est sans aucun doute le rétrécissement concentrique du champ
visuel
dont M. Charcot a dé- montré toute l'importance
t de l'anesthésie, per- sistance de l'hypéresthésie et des troubles
visuels
. {Fig. 12.) L'interprétation de ce fait ne lais
ve, hémispasme de l'orbiculaire buccal, ré- trécissement du champ
visuel
, abolition de l'odorat du côté droit et du goût
l'existence d'un rétré- cissement concentrique prononcé du champs
visuel
de l'oeil gauche. Rien à droite. Il y a, du côt
roit. Pas d'anesthésie du pha- rynx, pas de rétrécissement du champ
visuel
; aucun point hystérogène. Il est impossible de
tion fonctionnelle appréciable. Il n'y a ni rétrécissemont du champ
visuel
ni perte de la sensation des couleurs ; pas de
sthésie rachidienne, pas d'amblyopie, ni de rétrécissement du champ
visuel
, ni de cécité.des couleurs, ni de troubles sensi-
du côté gauche, une atro- phie concentrique de la rétine; le champ
visuel
est diminué latéralement; engourdissements dans
t ; à gauche demi- acuité avec rétrécissement concentrique du champ
visuel
; rétinite : Archives, t. XIV. 19 9 290 SOCIÉT
DIFFÉRENTIELLE 355 tibilité différentielle pour la lumière, acuité
visuelle
, sens de la lumière, sens de la forme; non pas
'une ou l'autre, on mesure deux fonctions différentes de l'appareil
visuel
à savoir la perceptibi- lité différentielle ou
reil visuel à savoir la perceptibi- lité différentielle ou l'acuité
visuelle
. Nous avons dit plus haut que sous le nom de pe
ue 0,2 de différence entre deux sensations lumi- neuses. L'acuité
visuelle
, au contraire, trouve sa mesure dans la grandeu
l'étendue de l'image rétinienne, se rap- porte également à l'acuité
visuelle
. Si, par conséquent, la différence restant la m
imite de per- ceptibilité, ou même au delà, on détermine l'acuité
visuelle
pour la différence donnée; si, au contraire, c'
re la différence relative (et en dehors naturellement, de l'angle
visuel
donné), on tient compte de la grandeur absolue
que toutes les déterminations où l'on a comme données : 1° l'angle
visuel
, et 2° la différence relative et dans lesquelle
plus intense. Il en est de même pour la détermination de l'acuité
visuelle
. L'expérience démontre que cette acuité dé- cro
la perceptibilité diffé- rentielle doit, au même titre quel'acuité
visuelle
, être étudiée pour toutes les combinaisons chro
est de cette manière-là, que nous envisageons les concepts : acuité
visuelle
et perceptibilité différen- tielle. Qu'entend
a lumière de la manière suivante : c'est la faculté de l'appareil
visuel
de percevoir les plus faibles excitants ainsi q
re », est d'après nos explications, une détermi- nation de l'acuité
visuelle
: il mesure le sens de la lumière par la grande
à peine perceptible. La loi formulée par Wolfssberg : « L'acuité
visuelle
décroît plus lentement que le sens de la lumièr
en adoptant notre terminologie de la manière suivante : « L'acuité
visuelle
pour le blanc sur fond noir décroît plus rapide
le pour le blanc sur fond noir décroît plus rapidement que l'acuité
visuelle
pour le noir sur fond blanc ». On pourrait pe
primé par les termes de perceptibilité différentielle et d'acuité
visuelle
. Aussi proposons-nous, pour éviter toute confus
nière générale une fonction optique, est purement synonyme d'acuité
visuelle
. Etant donné qu'un objet, pris dans son ensembl
ant donné qu'un objet, pris dans son ensemble, paraît sous un angle
visuel
plus grand que ses parties prises séparément (l
tement sa forme), cet objet est généralement perçu; sous un angle
visuel
plus faible que ses parties prises séparé- ment
t sa forme. Cette dernière opération est accomplie, lorsque l'angle
visuel
, sous lequel apparaissent les parties isolées,
suffit aux exigences de l'acuité. Inutile d'ajouter que la synthèse
visuelle
, c'est-à-dire la re- DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉ
insi logiquement à deux : perceptibilité différentielle et acuité
visuelle
. Ces notions indispensables établies, nous allons
sité de l'éclairage nécessaire pour percevoir sous un certain angle
visuel
la forme d'un objet donné, ainsi que sa différe
- ceptibilité différentielle, s'est attaché à déterminer l'acuité
visuelle
dans l'état pathologique de l'oeil à différents
e fond. Wolfssberg * a fait également des recherches sur l'acuité
visuelle
. Il a déterminé à divers éclairages la grandeur
t que couleurs; d'après notre définition, il a déterminé l'acuité
visuelle
pour les couleurs. 1 Forcer, l. c. ' Ole Bull
de la perceptibilité différentielle, en rapport avec : a), l'acuité
visuelle
; b), le sens des couleurs; c), l'étendue de la
à part aux trois autres modes d'investigation (examen de l'acuité
visuelle
, de la perception chromatique et de la périmétr
huitième ou d'un neuvième n'importait guère plus que pour l'acuité
visuelle
. La table qui suit peut donner une idée des rés
é différentielle correspon- dant à chacune des grandeurs de l'angle
visuel
et combiner ainsi ensemble les deux problèmes.
iste concurremment une aplasie des lobes occipitaux, ou des centres
visuels
de Munit. Il est évident que cet état ne se ren
associée à do l'hémianopsie ; déficit des moitiés gauches du champ
visuel
, permettant de conclure à l'in- terruption des
p visuel, permettant de conclure à l'in- terruption des impressions
visuelles
qui gagnent le cerveau parla bandelette optique
ractérisée : l'accès débute toujours par une diminution de l'acuité
visuelle
soudaine, analogue à celle que cause la contemp
s de la rétine, et encore se rend-il bien compte que dans son champ
visuel
il y a des lacunes, des points noirs : puncla c
ord l'oeil droit, puis, l'hémiopie, portant sur l'ensemble du champ
visuel
bilatéral ver- tical, se classe comme il est ha
- sibilité musculaire, de l'hémianesthésie gauche et des troubles
visuels
(diplopie, strabisme interne de l'oeil gauche par
la mémoire. La situation s'aggrava progressive- ment ; les troubles
visuels
surtout s'accentuèrent : perte de la vision de
à droite. La sensibilité est normale dans tous ses modes. L'acuité
visuelle
et auditive est normale et égale des deux côtés
e et égale des deux côtés : il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
. Les troubles trophiques sont peu nombreux. L'h
rçu en cette région. Une autre particularité qui distingue l'écorce
visuelle
des autres aires corticales, même de l'aire sen
sont beaucoup plus délicates que ces fibres afférentes de la région
visuelle
. Il n'y a pas jusqu'aux axones des pyramides géan
le ou spéciale (écorce sensitivo-motrice, écorce acoustique, écorce
visuelle
, etc.); elles semblent au con- traire faire déf
La physiologie et l'anatomie s'accordent pour établir que la région
visuelle
doit recevoir un courant considérable de libres
er, constituent en quelque sorte le facteur spécifique de la sphère
visuelle
. » Enfin, de la couche sous-jacente, cinquième
ait vues que dans celles des pyramides moyennes de l'aire corticale
visuelle
, dans l'aire motrice et dans l'aire acoustique,
ar, a suivi les ramifications dans la 4" zone de l'écorce de l'aire
visuelle
lui ont rappelé celles qu'il a vues se distribu
s après elle eut une crise épileptiforme, suivie d'hallucina- tions
visuelles
. Ce délire si manifestement hallucinatoire ne pou
rétine) correspond à une zone du cortex bien déterminée : le centre
visuel
cortical situé à la DOUBLE CENTRE D'INNERVATION
ifuge (motrice) superposées aux premières. A. Rôle moteur du centre
visuel
cortical. Centre oculo- moteur postérieur. Une
les noyaux gris centraux, les radia- tions optiques jusqu'au centre
visuel
cortical. Là s'est pro- duite une sensation con
'. Voilà autant de mouvements dont le point de départ est le centre
visuel
cortical. Il est bien certain que ces mou- veme
noyaux de la base ; car ils ne se produisent plus lorsque le centre
visuel
cortical est lésé'1 (hémianopsie et cécité d'or
autre part, c'est bien par les fibres centrifuges émanées du centre
visuel
cortical que celui-ci agit sur les noyaux oculo
le-même. Mais nous savons que les fibres qui se rendent au centre
visuel
, ou en parlent, passent immédiatement au-dessous
diffusé, est allé exciter les fibres sous-jacentes allant du centre
visuel
aux noyaux gris centraux. Luciani et Tamburin
érience semblable. Ils furent les premiers à considérer le centre
visuel
cortical comme un centre sensitivo-moteur. Schaef
dre à ceux qui prétendraient que le circuit réflexe passe du centre
visuel
cortical aux circonvolutions centrales. 1 Schae
bjectives qui sont projetées dans la partie correspondante du champ
visuel
: le regard est alors attiré de ce côté comme d
ont été faites par Unverrich, Danillo, Munk. L'hypothèse des images
visuelles
subjec- tives (Schoeffer) n'est pas nécessaire,
ychologique est très simple : le regard est attiré du côté du champ
visuel
sain; comme dans l'exemple cité plus haut, le r
'un seul côté : une bougie placée dans la moitié obscure du champ
visuel
ne les provoque plus'. 1. - Les impressions lum
ue plus'. 1. - Les impressions lumineuses venant du côté du champ
visuel
intact ne sont plus contre-balancées par celles v
en effet précédemment appris que les fibres centrifuges du centre
visuel
sont intimement mêlées aux fibres centripètes.
admettre d'autre part que les fibres centrifuges parlies du centre
visuel
puissent êlre lésées isolément, indépendamment
n conjuguée, par action sur les fibres centrifuges issues du centre
visuel
curtical; une lésion profonde détermine à la fo
cipital : une lueur intense produite dans la moitié abolie du champ
visuel
d'un hémianopsique ne provoque plus l'occlusion
ssible tant que vous res- terez dans la moitié obscure de son champ
visuel
. Ces quatre observations sont les seules vraime
ve endormi ou de nuit. On y retrouve aussi des hallucinations ; les
visuelles
sont plus fréquentes que celles de l'ouïe. Le
r la nature de la sclérodermie. Malliotis (Démétrius). Les troubles
visuels
graves après les pertes de sang. Margoliès (11°
xistence de ces accès parait subordonnée à celle d'hallucina- tions
visuelles
et auditives plus ou moins actives, entretenant u
tence de l'hémianopsie ; du reste, à aucun moment l'examen du champ
visuel
n'eût été possible après l'ictus. Ouïe. Intacte
84 CLINIQUE NERVEUSE. Il n'a pas été possible de prendre le champ
visuel
. Nous avons cherché à nous rendre compte de l'e
nsistait à promener le doigt dans toute l'étendue probable du champ
visuel
en veillant à la fixité du globule oculaire. Da
ute la surface du corps et des muqueuses, rétrécissement du champ
visuel
; perte du goût et de l'odorat, disparition de la
e l'avoir exprimée. Ces images, souvent effacées chez les individus
visuels
et auditifs, sont au con- traire prépondérantes
rodro- mique avec tristesse ou excitation, hallucinations surtout
visuelles
, suivies d'affaiblissement intellectuel souvent p
nance d'idées de persécution, et recrudescence des hallucinations
visuelles
terrifiantes : se voit poursuivie par des hommes.
ission, affaiblissement intellectuel profond, avec hallu- cinations
visuelles
terriliantes. Hémiparésie gauche plus accentuée
dre au minimum toutes les stimulations périphériques (thermiques,
visuelles
, auditives, cutanées, etc.) et par suite toutes l
tation mentale, une image. C'est par association avec des souvenirs
visuels
antérieurs que se crée l'image mentale de la posi
ntale de la position du membre et de fait cette image est une image
visuelle
. La notion de position serait le résultat d'un
cation psychologiquenous semble défectueuse. Il va éveil de l'image
visuelle
par association, mais cette image visuelle appara
. Il va éveil de l'image visuelle par association, mais cette image
visuelle
apparaît seule dans la conscience sans que l'es
oliques, il fait un véritable délire hallucinatoire (hallucinations
visuelles
, auditives, kinesthétiques), où les idées de gr
écution. Tentative de suicide. Hallucinations multiples, auditives,
visuelles
, psycho-motrices. Mort par cancer primitif de l
ons sous-cutanées de pilocarpine, par le retour complet de l'acuité
visuelle
malgré la persistance, durant quatre semaines,
re, réagissant assez bien à la convergence. Sens lumineux et acuité
visuelle
tout à fait éteints à l'oeil droit, faibles à l
ite, réaction des pupilles à la lumière et à l'accommodation, champ
visuel
tout à fait normal ; mais achro- matopsie ; fon
male et parfaite des deux yeux; plus du tout d'achromatopsie. champ
visuel
complot, rien à la macula, papilles un peu pâles
cipitale et à la nuque, une diminution de la mémoire et de l'acuité
visuelle
. Intégrité des nerfs craniens. Atro- phie des m
urie toxiques dans les maladies nerveuses, par Ilascovec, l 13.
Visuel
. Structure du centre cortical - du cerveau, par
tient du sommet d'une colline et l'on aura une faible idée du pouvoir
visuel
de l'être aérien, avec celle différence que, eu u
essemblant à des Bourdons), emmagasinent dans leur cerveau des images
visuelles
, des souvenirs des lieux parcourus dans leurs exc
s'élevant au vol à 300 mètres, on augmente considérablement le champ
visuel
, on voit de plus loin des montagnes moins élevées
s symboles graphiques des mots; la percussion du centre de la mémoire
visuelle
des mots, du lobule du pli courbe, met fin à cett
gien est conservé; le réflexe cornéen parait un peu diminué. Le champ
visuel
est légèrement rétréci. Au point de vue de la sen
e goût et l'odorat sont intact*. La vue n'est pas troublée ; le champ
visuel
n'est pas rétréci ; il diadngue les couleurs. L
général éveille une représentation concrète, ordinairement une image
visuelle
, quelquefois (rarement) une image musculaire; 2
stérique, comme l'am-blyopie suggérée, est parement psychique. Limage
visuelle
est perçue, mais le sujet la neutralise inconscie
ce de hasard. La proportion de probabilités pour les hallucinations
visuelles
télépathiques (apparitions d'esprits) serait de 4
homme profondément endormi, incapable d'éprouver la moindre sensation
visuelle
quand on lui entr'ouvre les paupières, la rétine
et très pur, lorsque les surfaces ou les objets placés dans le champ
visuel
sont à peu près blancs, occupe toujours tout ce c
le champ visuel sont à peu près blancs, occupe toujours tout ce champ
visuel
. S'agit-il bien là, en effet, d'un phénomène pa
Thèse de Paris, 1885.) graphiques se superposaient ainsi aux images
visuelles
et réveillaient les idées que ces dernières étaie
. La première reçoit l'impression ; le second par son centre cortical
visuel
le perçoit. Mais l'image visuelle perçue, l'amaur
n ; le second par son centre cortical visuel le perçoit. Mais l'image
visuelle
perçue, l'amaurotique par suggestion et l'hystéri
s lunettes, et pour cela il prend avec l'échelle de Monoyer, l'acuité
visuelle
; il constate que cette a coite, pour les deux ye
on. L'esprit du sujet, troublé par l'expérience, en face de l'échelle
visuelle
de Monoyer a oublié de faire l'inhibition des ima
ire, simulation forcée, comme celle des hypnotisés ! Voici tes champs
visuels
du malade pris au périmètre ; celui de l'œil gauc
térique présente un rétrécissement concentrique considérable du champ
visuel
et un rétrécissement concomitant moins considérab
rès obtuse à droite, anesthésie pharyngienne, rétrécissement du champ
visuel
, surtout à gauche, dyschromalopsie, sensibilités
que, mats provoque des contorsions et des cris de douleur. Le champ
visuel
est rétréci à 45 degré;. Pas de zone hystérogène
accepte toutes les suggestions: on provoque ainsi des hallucinations
visuelles
(image d'une rose), des hallucinations plus compl
droit voit mieux que le gauche, ce qui correspond à l'étal des champs
visuels
Un Jour qu'elle se plaignait de la persistance
son odorat sont également bien développés des deux côtés; ses champs
visuels
sont notablement rétrécis. La motilité et le se
te Actuellement deux (reres qui sont bien portants. Fig G. — Champs
visuels
de Mme M... Mme M... s'est toujours bien portée
ouïe et la vue étaient également plus délicats de ce coté et le champ
visuel
était moins rétréci a droite qu'à gauche. La mo
ux des deux côtés, l'œil droit voit mieux que le gauche et les champs
visuels
sonl rétrécis. G 3> Fio. 7. — Champs visue
che et les champs visuels sonl rétrécis. G 3> Fio. 7. — Champs
visuels
d'Anna M... (Prit par Coppey n!s.( La motilité,
ire «ont intacts, ses champs visucls sont rétrécis. Fig. 8 — Champs
visuels
de Celestine B... Sous l'influence de quelques
évrier 1893, elle occupait le lit 3 de la salle 8. Fig. 9. — Champs
visuels
d'Eudoxie M... Son père est mort a cinquante-de
mais eu d'attaque de nerfs ; sa sensibilité est normale et ses champs
visuels
sont rétrécis; le goût, l'ouïe, l'odorat sont sen
Enfin, une autre sœur a des attaques de nerfs. Fig . 10. — Champs
visuels
de Julie m (Pris par M. Mahillon, spécialiste a l
.: le goût et l'odorat sont aussi moins délicats à gauche. Les champs
visuels
soul rétrécis. Cette malade s'endort facilement
le goût, l'odorat et la vue semblent égaux des deux côtés. Ses champs
visuels
sont notablement rétrécis. G D Fig. 11. — Cha
s champs visuels sont notablement rétrécis. G D Fig. 11. — Champs
visuels
de Mme B Par la fixation d'un objet brillant, l
qu'à 43 centimètres. L'œil droit voit mieux que le gauche. Les champs
visuels
sont rétrécis. La motilité est intacte ; le sen
parvint pas i provoquer un autre état hypnotique. Fig. 13. — Champs
visuels
de Louise T... Observation X — Louise T..., âgé
et la vue sont sensiblement égaux des deux côtés du corps. Les champs
visuels
sont rétrécis. C s Fig. 14. — Champs visuels
du corps. Les champs visuels sont rétrécis. C s Fig. 14. — Champs
visuels
d'Adrienne C... (Pris par MM. Vues et Vandamme.)
gnaient souvent le chiffre de dix en une journée. Fig. 15. — Champs
visuels
de Joséphine D... (Pris par M Manillon, spécialis
plus clairvoyant que le gauche, ce qui correspond à l'état des champs
visuels
L'ouïe, l'odorat, le goût, sont nettement moins
té est normale et les organes des sens paraissent normaux, les champs
visuels
sont réirécis. Fig. 20. — Champs visuels de Col
issent normaux, les champs visuels sont réirécis. Fig. 20. — Champs
visuels
de Collette ii... (Pris par m.Coppey fils.) Col
tous les organes des sens sont plus développés à gauche ; ses champs
visuels
sont rétrécis. La motilité est également fort e
Hémianesthésie gauche complète. Rétrécissement concentrique du champs
visuel
. Spasme intermittent de l'accommodation, fait, en
avec son cerveau ; la rétine reçoit l'impression, le centre cortical
visuel
la perçoit. Mais l'hystérique neutralise l'image
que, 324. Fig. 2, 3, 6. 7, 8. 9, 10, 11. 12, 13, 14, 15. 20- — Champs
visuels
, 328 et suiv. Fig. 4, 5, 16, 17, 18, 19. 21. 22,
à ne plus rien voir nettement ; il résulte, de toutes les impressions
visuelles
reçues, une impression mixte qui donne une perspe
mé ; elles annoncent l'imminence de ce dernier. Les représentations
visuelles
qui, chez certains de mes somnoformisés, ont préc
plication du masque. Tantôt, elles reproduisent exactement le tableau
visuel
, toujours à peu près le même, qui accompagne habi
ier de ces deux points. On se rappelle que les dernières sensations
visuelles
éprouvées avant l'application du masque peuvent s
spéciale. Il appelle perception une impression produite sur le champ
visuel
, et aperception l'acte volontaire par lequel les
'acte volontaire par lequel les perceptions sont portées sur le point
visuel
de la conscience. L'ensemble des processus subjec
hémianesthésie gauche en caleçon rétrécissement concentrique du champ
visuel
, etc.). Ces stigmates, qui n'existaient pas autre
ersistance de la contractilité électrique, le rétrécissement du champ
visuel
, l'affaiblissement monolatéral du sens de l'ouïe,
des opérés. M. Edouard Crûs : Rapport entre la puissance de l'image
visuelle
et la persistance du souvenir: applications pra
de la jambe gauches ; il existe, en outre, un rétrécissement du champ
visuel
et des plaques d'anesthésie superposées aux contr
obiliser les poules après avoir exclu l'influence de toute impression
visuelle
. Preyer cherche donc à expliquer autrement cet ét
tion et affectant l'organe de la vision. La détermination de l'acuité
visuelle
et du champ visuel permet en effet d'enregistrer
rgane de la vision. La détermination de l'acuité visuelle et du champ
visuel
permet en effet d'enregistrer fidèlement et aussi
htalmomètre Javal. Néanmoins l'acuité est seulement = 0,6. Le champ
visuel
est considérablement rétréci du coté interne et p
après, l'état du petit malade est le suivant : VOD = 0,6. Le champ
visuel
est rétréci de tous les côtés, il a diminué en ha
t de veille sur l'œil droit (sain) de façon à amener une amélioration
visuelle
et un agrandissement du champ. Le 12 juin, j'ai
ent du champ. Le 12 juin, j'ai le plaisir de constater que le champ
visuel
s'est augmenté sensiblement. Par contre, l'acuité
jours dans le même état stationnaire, VOG = 0. Le 14 juin, le champ
visuel
s'est encore agrandi. L'acuité OD est toujours
ours 0,4 et pour VOG =0. Le 18 juin, nouvel agrandissement du champ
visuel
. Acuité : VOD = 0,4; VOG = 0. Le 21 juin, le
u champ visuel. Acuité : VOD = 0,4; VOG = 0. Le 21 juin, le champ
visuel
droit est presque normal. L'acuité est remontée à
». Quatre jours après, le 25 juin, l'enfant m"est ramené. Le champ
visuel
de l'œil droit est sensiblement normal. L'acuit
augmentée VOD = 0,8. De l'œil gauche je note VOG = 0,15 et le champ
visuel
est identique à celui présenté par l'œil droit le
par l'œil droit le 12 juin. Trois jours après, le 28 juin, les champs
visuels
sont les suivants : et l'acuité est devenue n
0,15 à 0,6 pour l'œil gauche. Enfin, le 2 juillet, les deux champs
visuels
sont normaux et on note : VOD = 1, VOG= 1. Depu
normaux et on note : VOD = 1, VOG= 1. Depuis cette époque, l'acuité
visuelle
et le champ visuel de l'enfant revu dernièrement
VOD = 1, VOG= 1. Depuis cette époque, l'acuité visuelle et le champ
visuel
de l'enfant revu dernièrement n'ont pas changé. O
urs environ. Réactions pupillaires normales VOD = 0, VOG = 1, champ
visuel
OG normal. La suggestion à l'état de veille aidée
en vingt-quatre heures l'acuité à 1 de l'œil amaurotique et le champ
visuel
normal. Nous avons eu également l'occasion d'ob
état hypnotique, car on peut produire le sommeil par les excitations
visuelles
. Or le non fondé de cette opinion peut être d
il en soit, je rapproche les phénomènes télé-goniques des impressions
visuelles
, car, qu'elle que soit l'explication véritable de
s phénomènes, elle ne saurait exclure la réminiscence de l'impression
visuelle
. Les impressions visuelles de la mère. Ainsi
t exclure la réminiscence de l'impression visuelle. Les impressions
visuelles
de la mère. Ainsi une femme, au début de sa gro
en détermine la quantité et la qualité. Pour peu que ses impressions
visuelles
soient capables de régler le processus du fœtus,
ique de Bechterew. M. Crûs. — Rapport entre la puissance de l'image
visuelle
et la puissance du souvenir ; applications pratiq
es phobies et des obsessions. Rapport entre la puissance de l'image
visuelle
et la puissance du souvenir, Par M. Edouard C
anesthésie aux deux côtés du corps, un double rétrécissement du champ
visuel
presque complet, un point ovarien, etc. C'est de
étruite. Prenons le cas du théâtre, qui (1) Il distingue l'illusion
visuelle
, l'illusion du sentiment, et l'illusion du mouvem
e constipation opiniâtre, un abattement complet et des hallucinations
visuelles
. La maladie avait commencé quatre ans auparav
de l'apathie ; quand le malade est constipé, il a des hallucinations
visuelles
: des têtes de femmes et des corps nus passent de
ens et pharyngiens sont nets. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
(examiné sans périmètre). Les réflexes tendineux
sivement de son travail à la machine à écrire et cette perte du champ
visuel
gauche la géne excessivement. A cause de cela la
pnotisme, en un profond sommeil, on lui suggère que la perte du champ
visuel
gauche ne l'empêche pas de travailler et la malad
4. Hystéro-traumatisme et contracture, par Raymond, p. 316. Image
visuelle
et la puissance du souvenir (Rapport entre la pui
e la conscience dont dispose Marie-Louise se réduit à des perceptions
visuelles
; dès que celles-ci disparaissent Marie-Louise est
synchrone aux mouvements respiratoires, et elle a ainsi l'impression
visuelle
de respirer. Et ce qui nous démontre que les spas
qui consiste à remplacer les perceptions absentes par des perceptions
visuelles
c'est que, les yeux fermés, bien que les spasmes
s; tandis que dans l'état de sommeil, comme il existe des perceptions
visuelles
, leur absence détermine les sensations contraires
n degré de conscience. Cette conscience est limitée à des perceptions
visuelles
ce qui explique que, d'une part, Marie-Louise mul
ceptions absentes, et d'autre part que l'abolition de ces perceptions
visuelles
détermine les sensations contraires à celles qui
un rétrécissement du champ de la conscience limitée à des perceptions
visuelles
. Mais dire que le champ de la conscience est
is comme à travers un voile de gaze . Cela montre que les perceptions
visuelles
n'avaient pas l'intensité qu'elles auraient dû av
l'intensité qu'elles auraient dû avoir, que les fonctions des centres
visuels
participaient, dans une certaine mesure, au proce
perceptions sensorielles et cœnesthésiques autres que des perceptions
visuelles
; c'est donc que Marie-Louise, dans son état de so
disposer Marie-Louise provient simplement de ce fait que les centres
visuels
étant les moins touchés, leur fonction était asse
consciente, c'est que, ayant encore à sa disposition des perceptions
visuelles
, elle peut établir des points de repère dans l'es
r elle ne dormait pas complètement, puisqu'elle avait des perceptions
visuelles
. Il semblerait donc qu'une fois réveillée, les se
s visuelles. Il semblerait donc qu'une fois réveillée, les sensations
visuelles
devraient réveiller non seulement les souvenirs v
sensations visuelles devraient réveiller non seulement les souvenirs
visuels
antérieurs à l'état second, mais encore ceux qui
nous l'avons dit en analysant la personnalité seconde, les fonctions
visuelles
n'étaient pas normales, elles étaient diminuées d
es étaient diminuées dans leur intensité, de sorte que les sensations
visuelles
du réveil ayant leur intensité normale ne pouvaie
ayant leur intensité normale ne pouvaient réveiller que des souvenirs
visuels
proportionnels à cette intensité, c'est-à-dire de
issent dans le champ de la conscience sont tout d'abord les souvenirs
visuels
; de plus, ces souvenirs apparaissent non pas dans
ur tous les événements qui ont marqué son état second : les souvenirs
visuels
viennent les premiers, les autres suivent. Les so
rie-Louise, dans son état second, avait non seulement des perceptions
visuelles
mais encore d'autres perceptions sensorielles et
depuis son accouchement la mère est débarrassée de son hallucination
visuelle
. Avant d'accoucher elle ne soupçonnait pas i'infl
et d'autres) (aJ. La possibilité de la transmission des impressions
visuelles
du père est également digne d'intérêt. L'étude
s'cst- elle répétée? 5. L'émotion résulte-t-elle d'une sensation
visuelle
, auditive, tactile ou d'un récit ou d'une appré
même remuer les lèvres, il apprend par les yeux ; ce sont des images
visuelles
qu'il grave dans son esprit. L'autre lit sa leç
la récitation des leçons en classe, elle a lieu à haute voix; or les
visuels
et les graphiques sont incapables de traduire imm
es de traduire immédiatement en images articulatoires leurs souvenirs
visuels
ou graphiques. En somme, on exige que les élève
ge que les élèvesapprennent leurs leçons comme s'ils étaient tous des
visuels
et qu'ils les récitent publiquement comme s'ils é
oppement intellectuel a reçu sa pleine expansion, les diverses images
visuelles
, auditives, articulatoires, graphiques sont syner
de supériorité, par exemple dans les arts : un peintre est surtout un
visuel
, un musicien surtout un auditif. Dans la vie cour
é n'a pas été entraîné à traduire en images articulatoires les images
visuelles
ou graphiques qu'il a confiées à sa mémoire. L'as
en. Lui aussi s'est contenté d'emmagasiner dans sa mémoire des images
visuelles
ou graphiques, sans s'exercer à les exprimer aisé
e susciter l'une l'autre et se remplacer aisément. Par exemple, les
visuels
et les graphiques devront, en même temps qu'ils l
dos maladies du système nerveux de la Salpeiricre. ment du champ
visuel
, mais Panesthésie cornéenne et conjonctivale est
recherché quelle était chez mon sujet la mémoire la plus développée (
visuelle
, auditive ou motrice). Le malade tirera d'autant
trois éléments de la mémoire, les divers mécanismes d'auto-suggestion
visuelle
, auditive ou motrice pouvant, dans ce cas, être s
re sa spécialité sensorielle; les uns conçoivent les idées sous forme
visuelle
, les autres sous forme auditive, les autres sous
agités ou hyperexcitables (qui ont besoin d'être apaisés]. L'ambiance
visuelle
agira heureusement dans le sens d'un meilleur êtr
plus courant consiste dans le maintien d'une seule et même sensation
visuelle
. Cette sensation visuelle sera d'autant plus * en
s le maintien d'une seule et même sensation visuelle. Cette sensation
visuelle
sera d'autant plus * endormante » qu'elle sera pr
hypnotisme qui, comme chacun sait peut résulter soit dune fascination
visuelle
, soit d'une suggestion verbale. Ces violations
qu'un prestidigitateur produit chez tout son auditoire les illusions
visuelles
et parfois les hallucinations. Le tableau suiva
'intimidation par autrui. Dans l'obscurité l'action de la fascination
visuelle
cesse de s'exercer. La constatation de ce fait co
s, par l'examen campimétrique, des altérations évidentes du champ
visuel
et, à l'aide de l'ophthalmoscopie, la décoloratio
; mais enfin, malgré cela, ils sont presque guéris de leur trouble
visuel
. Nous croyons inu- tile de répéter la même chos
résie vési- cale et rectale; le nystagmus persiste encore, l'acuité
visuelle
est encore amoindrie, la paralysie de la conver
, qu'elle ne pou- vait distinguer auparavant. Depuis lors, l'acuité
visuelle
s'est encore plus améliorée. En mars 1876, elle
u tout parallèles et ne se conver- geaient pas. L'examen du champ
visuel
, fait par le périmètre de Landolt, n'a rien mon
t au côté opéré cessent de fonctionner; la limite de chaque champ
visuel
est représentée par une verticale au voisinage du
VEUSE. 95 cause du défaut d'exploration de la sensibilité, du champ
visuel
et des zones hystérogènes. L'hérédité se trou
émianesthésies sensorielles (rétrécisse- ment concentrique du champ
visuel
, troubles de l'ouïe, de l'odorat, du goût, du s
l'anesthésie sensorielle (rétrécissement concentrique du champ p
visuel
) que quand il procède par du délire ou des halluc
DE courants ÉLECTRIQUES ET l'examen ÉLECTRO diagnostique DU champ
visuel
; par ENGELSEJON. (Arch. f. Psych., XY, -I.) L'a
donné, le courant à vertu thérapeutique positive agrandit le champ
visuel
et augmente, au moins parfois, la puissance visue
grandit le champ visuel et augmente, au moins parfois, la puissance
visuelle
; tandis que le courant a vertu thérapeutique né
dis que le courant a vertu thérapeutique négative rétrécit le champ
visuel
. Comme cette action du genre de courants électriq
ctriques apparaît instantanément et que l'effet exercé sur le champ
visuel
peut être très notable, la propriété en questio
r essai Tel est l'examen indicateur ou £ électrodiagnostic du champ
visuel
. 12o L'action, pendant quelques minutes de l'ea
minutes de l'eau froide sui la peau, est la même, quant au champ
visuel
, que celle du courant galvanique ; l'eau chaude a
l, que celle du courant galvanique ; l'eau chaude agit sur le champ
visuel
comme le courant d'induction. Les observations so
peu nombreuses. La friction de la peau peut aussi agir sur le champ
visuel
. - 13' L'action générale sur le revêtement cutané
de la modalité morbide spéciale de ces névroses. L'épreuve du champ
visuel
peut aider le médecin dans le choix du courant.
nt de rétrécissement concentrique du champ 120 SOCIÉTÉS SAVANTES.
visuel
, les allures de ce rétrécissement et de son retou
rale se comporte à peu de chose près comme la paralysie et le champ
visuel
. Le rétrécissement se montre d'abord du côté pa
il y reste toujours plus complet que sur l'autre oeil dont le champ
visuel
diminue du reste également. Le second accès obs
s présenta la pa- ralysie en question et les modifications du champ
visuel
. Depuis l'âge de treize ans, le patient présent
roubles de la vue eussent été ceux qu'indiquent les tracés du champ
visuel
, le malade n'aurait pu se promener sans se heur
menstruation. Ces réflexions suscitent une discussion sur le champ
visuel
. MM. Thomsen et UHTHOFF font remarquer que les
raphique rappelle celui des hystériques. Un tel trouble de l'acuité
visuelle
ne saurait dépendre exclusivement de l'astigmat
qui éma ? e véritablement d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
; dans la genèse des troubles oculaires des hyst
ues. Dans la moitié des cas, on constate une diminution de l'acuité
visuelle
, et parmi ces faits, la moitié se complique d'a
raideur immobile de l'écran), vingt-deux n'offraient aucun trouble
visuel
. Vingt-huit étaient atteints de diminution do l
degrés (8), de diminution de l'acuité avec rétrécissement du champ
visuel
(5), ou des mêmes symptô- mes avec altération d
tacherai aux rêves qui mettent de préférence en jeu les conceptions
visuelles
. En effet pendant l'état de veille les mou- vem
ritique de la question sur la localisation cérébrale de la fonction
visuelle
. Autant que l'étendue de ce compte-rendu le per
ntièrement consa- crés à l'hislorique de la question de la fonction
visuelle
au point de vue de sa localisation cérébrale. N
superficielle du lobe occipi- tal, tout en produisant des troubles
visuels
, ne peut pas être regardé comme l'origine uniqu
s-claviculaire et ovarienne du côté gauche. Rétrécissement du champ
visuel
du même côté, sans achroma- topsie. Tympanisme.
e. Tantôt elles n'accu- saient qu'une simple diminution de l'acuité
visuelle
; tantôt elles se plaignaient d'une sensation de
iabétiques a été cependant bien établie par de Graefe. Ces troubles
visuels
sont souvent passagers, d'autres fois ils persi
qu'aucun symptôme saillant ait été constaté du côté de la fonction
visuelle
. Dans le quatrième cas, les tubercules méningés
t, bien que le pli courbe du côté droit fût atteint, aucun symptôme
visuel
ne fut constaté; on n'observa pas non plus de s
DE COURANTS ÉLECTRIQUES ET L'EXAMEN ÉLECTRO- DIAGNOSTIQUE du champ
visuel
; par C. ENGELSKJON. (Arch. f. Psych., XV, 2.)
ure électrique. Chapitre IV. Exa- men électro-diagnostique du champ
visuel
. Quinze xamens sont la source originelle de cet
ion qu'un courant à action thérapeutique positive amplifie le champ
visuel
, tandis qu'un courant à action thérapeutique né
s qu'un courant à action thérapeutique négative rétrécit le champ
visuel
. Par conséquent, étant donné un malade, examinez
visuel. Par conséquent, étant donné un malade, examinez son champ
visuel
sous l'influence des courants continus ou induits
pathe dans l'eau froide ou dans l'eau chaude, et examinez son champ
visuel
: vous obtiendrez les mêmes effets que si vous
ns, à Paris, les magnétiseurs hypnotisaient en fatigant les organes
visuels
à l'aide de mouvements de doigts. Cette pra- ti
e Paris, 4885.) De l'épilepsie dans ses rapports avec les fonctions
visuelles
; par PicHoN. (Thèse de Paris, 1885.) Contrib
ux sortes de courants et l'examen électro-diagnostique du champ
visuel
, par Eiigulslijoii, 425. Encéphale (ramollissem
f1t) nl tt,gciyt°9 dl ? °lûTft19 : 1 ? 2'e.'foud`t aax, T ' RO UBLF
visuels
dans les IIliuIPLÉGIES,tpar,Ie'D4fROmAGET. ' i
uglino; Boucheron; Féré (Ai,ch., de Neurologie, 1885). Les troubles
visuels
consistaient ici en'hémia- nopsie latérale homo
ant bien, strabisme léger, ni nystagmus, ni rétrécissement du champ
visuel
. La marche et même la station sont impossibles, i
e rendu responsable. M. Falret a observé aussi plusieurs cas d'aura
visuelle
précédant une attaque d'épilepsie. Un malade, q
ien qu'il ait été mordu par un chien, n'avait point l'hallucination
visuelle
du chien. · M. Vallon. L'acte de mon malade n'é
(cornée comprise); aucun réflexe pharyngien, ni selérotical. Champ
visuel
réduit à la vision centrale la plus res- 142 SO
sensibles à la lumière et à l'accommodation aux distances. L'acuité
visuelle
est faible; mais cela doit tenir au défaut de t
ransparence des 'cristallins, qui sont légèrement nuageux. Le champ
visuel
parait rétréci; je n'ai pu le circonscrire exac
es et très lumineuses. Ceci cadre assez avec ce fait que les images
visuelles
paraissent chez elle avoir été mieux conservées
ible d'établir avec certitude si le dernier qu'elle se rappelle est
visuel
ou auditif, lié à un état émotif ou autre, attend
nstruction, avoir chez elle un rôle important. Cependant les images
visuelles
semblent tenir une place considé- rable dans sa
eurs avec ce fait que ma malade se rappelle surtout des souvenirs
visuels
. Lorsque je lui fais écrire les yeux fermés, des
oit donc que les trois groupes de sensations verbales, audi- tives,
visuelles
et graphiques laissent des souvenirs à peu, près
est un rétrécissement concentrique, irrégulier, symétrique du champ
visuel
que l'on observe le plus souvent. Les autres symp
elles par cécité verbale. Les rapports qui existent entre le centre
visuel
et le centre era- 12 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
qu'ils ne peuvent écrire sans se représenter mentalement l'image
visuelle
, comme aux premiers jours. On conçoit que si ces
ce malade un centre graphique automatique, indépendant du centre
visuel
verbal, pour sa signature. Il est logique d'admet
uliens sont conservés ou exagérés et que se présentent des troubles
visuels
qui consistent eu rétrécissement du champ visue
tent des troubles visuels qui consistent eu rétrécissement du champ
visuel
, dyschromatopsie et diminution de l'acuité visu
issement du champ visuel, dyschromatopsie et diminution de l'acuité
visuelle
.. , ". 1, Entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse et
oliotique de la colonne vertébrale; nys- tagmus, sans autre trouble
visuel
; parfois du tremblement de la tête; embarras de
autre nature. Mais dans ces cas, la prédominance des hallucinations
visuelles
, les caractères du délire qui est surtout un dé
itif droit, il y a suppression de l'action optico- réflexe du champ
visuel
central droit. Evidemment les réflexes rétinien
re. Ces observations diffèrent, pourtant, par l'absence de troubles
visuels
du type morbide décrit par M. Marie : il en est d
pond généralement un rétrécissement plus ou moins prononcé du champ
visuel
, et plus ce dernier se rétrécit, plus la premiè
la perceptibilité différentielle dans ses rap- ports avec l'acuité
visuelle
qui fournit les renseignements les plus intéres
ute perception nette la perceptibilité diffé- rentielle et l'acuité
visuelle
sont toujours simultanément mises en jeu; or, d
ptôme de relation. Ce symptôme divise, au point de vue des troubles
visuels
, les maladies du système nerveux en deux grande
eux en deux grandes catégories : 1° Celles dans lesquelles l'acuité
visuelle
est plus troublée que la perceptibilité différe
les la perceptibilité'différentielle est plus troublée que l'acuité
visuelle
(hystérie). On voit par là toute l'importance d
. IIÉMIANOPSIE AVEC HALLUCINATIONS DANS LA PARTIE ABOLIE DU CHAMP
VISUEL
. M. IL Lamy (de Paris). J'ai eu l'occasion d'ob
as d'hémianopsie avec hallucinations dans la partie abolie du champ
visuel
chez une femme de trente-cinq ans qui, cinq ans
re. Elle apercevait tout à coup, dans la partie droite de son champ
visuel
, « une figure d'enfant, souriante, dont les yeu
. Dans la plupart des observations du même genre, l'hallucination
visuelle
, remarquable par sa précision et par l'uniformité
d'un phénomène psychique isolé, phénomène d'excitation de la sphère
visuelle
occi- pitale, comparable aux phénomènes d'excit
pas ? montrant qu'ha- bituellement elle supplée par les sensations
visuelles
au défaut de ses sensations kinesthésiques. L
ns visuelles au défaut de ses sensations kinesthésiques. Le champ
visuel
des deux côtés est aussi rétréci que possible, se
la sup- pléance des images kinesthétiques absentes par les images
visuelles
. A la suite de l'occlusion des yeux, ou simplemen
it de 1 raz 2 centimètres augmente à 12 ou 15 centimètres. Le champ
visuel
n'a pu être examiné, mais il est bien vraisembl
Et dans la période délirante de son attaque, c'est l'hallucination
visuelle
du gendarme qui forme le pivot de tout le délir
lammes d'or, et disparaît, après avoir atteint les limites du champ
visuel
en dehors, en haut, en bas, laissant après lui
art, unilatéraux et que, ce qui les dis- tingue des autres troubles
visuels
centraux, c'est qu'ils ne sont pas hémianopsiqu
lgré la cécité complète; 3° Le rétrécissement concentrique du champ
visuel
, à tous les degrés, qui ne correspond pas toujo
éfaut de conducti- bilité. Au périmètre, il y a diminution du champ
visuel
pour le rouge et le vert; moindre pour le jaune
mais sans systématisation. Plus tard survinrent des hallucinations
visuelles
, auditives, gustatives, etc. A l'autopsie on tr
de persécution. G. DENY. XXXVI. UN cas DE sensations auditives ET
VISUELLES
subjectives, auto-observation ; par Fn. FucHs.
périeur. Puis apparait un éclair lumineux qui envahit tout le champ
visuel
; finalement amaurose ou obs- curcissement de la
répercute sur la partie sensitive - du cerveau présidant au centre
visuel
.. , P. K. 1. XXXVII. Les horreurs du paupérisme
en jeu : une excitation vient à peine frapper un centre sensoriel,
visuel
, gustatif, olfactif, etc., que l'image tonale a
duré trois à quatre jours, accompagné de fièvre et d'hallucinations
visuelles
en rapport avec son agression nocturne. Sorti d
uïe abolie à droite (otite suppurée) est normale à gauche. Le champ
visuel
est rétréci bilatéralement (70° à gauche et 80°
e, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuité 452 CLINIQUE MENTALE.
visuelle
normale. Le malade se plaint parfois de voir trou
t parfois de voir trouble mais exclusivement à la suite de fatigues
visuelles
occasionnées par son métier de bijoutier. Enfin
r Badal, 40, avec hallucinations dans la partie abolie du champ
visuel
, par Lamy, 338. Hémichorée sénile, par E. Remak
par Manz, 397. SEcnETpROFESS)o\\EL,du,par Bach, 55. Sensations
visuelles
et auditives sub- jectives, par Fuchs, 413. S
ies, 399. Visites dans les asiles, par Dittmar et Schnele, 416.
VISUELS
, troubles dans les hémi- plénies, par Fromaget,
entendu que c'est de la suggestion par signes (signes parlés, écrits,
visuels
, auditifs, tactiles, etc.) qu'il est question.
e l'impulsion en faisant agir les muscles antagonistes. La perception
visuelle
fait donc vibrer des cellules cérébrales rappelan
ion et la supercherie ont beau jeu. Soit qu'il s'agisse de phénomènes
visuels
, qui ne rentrent pas dans l'ordre des hallucinati
n crayon sans que sa vue devienne trouble. Rétrécissement du champs
visuel
, pour l'œil gauche dans le segment inférieur et e
ion.L'œil gauche ne voit que dans la portion la plus interne du champ
visuel
. Vision de l'œil gauche trouble pour les objets
bjets environnants peut parfaitement se passer de l'intégrité du sens
visuel
; les autres sens, l'ouïe, le tact, le sens muscul
ptible d'un résultat plus sûr au point de vue du retour de la faculté
visuelle
, recourir à la suggestion thérapeutique, toujours
. Second pansement laissé deux jours en place. A ce moment l'acuité
visuelle
= 1/3, mais il existe toujours de la mydriase et
aralysie de l'accommodation. Avec un verre convexe de + 1.75 l'acuité
visuelle
devient 1/2. Deux jours après l'acuité visuelle
de + 1.75 l'acuité visuelle devient 1/2. Deux jours après l'acuité
visuelle
remonte à la normale avec un verre convexe de 1.5
reuve des prismes démontre l'existence de la diplopie et d'une acuité
visuelle
en réalité égale à la normale, de cet œil. Comme
l'obscurité. Mais fait-il clair, ses yeux suppléeront ; la sensation
visuelle
du sol déterminera un courant centripète dont le
ir du coup qui amène la fuite. Le courant passe donc par les cellules
visuelles
, puis par les cellules de mémoire tactile avant d
e de l'hypnotisme ; l'hypnotisme appliqué aux altérations de l'organe
visuel
, en collaboration avec MM. Nuel, professeur à l'U
t, à la chaleur est normale dans tous les points du corps. L'acuité
visuelle
est excellente ; mais la malade dit que de temps
tous les objets une teinte « flou ». Pas de rétrécissements du champ
visuel
. Pas d'hallucinations de l'ouïe, de l'odorat, n
chologique acoustique, donnent les phobies acoustiques, comme chez le
visuel
ils donnent des phobies optiques. * * * Dan
ypnotisme. — Modalités de la suggestibilité : le type moteur, le type
visuel
, le type auditif. — Division du travail mental da
mme blanche sont au contraire déshérités. La réaction aux excitations
visuelles
a été un peu plus rapide chez le blanc que chez l
ents oculaires (champ du regard), de la perception rétinienne (acuité
visuelle
, champ visuel), questions trop spéciales pour y i
champ du regard), de la perception rétinienne (acuité visuelle, champ
visuel
), questions trop spéciales pour y insister outre
XXI. n° 63, mai 1691.) Gkignkt. — Névralgie ciliaire et perversions
visuelles
hystériques. (Recueil d'Oph-thalmologie, p. 34. 1
Ancsthésic pharyngée. Pas de rétrécissement concentrique des champs
visuels
. Pas de dyschromalopsie. Sensibilité normale de l
lui propose une série de chiffres, il les traduit aussitôt en images
visuelles
, en caractères chiffrés tels qu'il a l'habitude d
l'énergie de sa vision intérieure; il vivifie, pour ainsi, les images
visuelles
que contient ce tableau imaginaire. A la suite de
mbres étant disposés par ordre et chacun à leur place sur son tableau
visuel
, il peut effectuer mentalement les opérations com
ls une fois terminés, il possède très distinctement la représentation
visuelle
des résultais obtenus; il n'a plus alors qu'à les
il les répète lui-même à haute voix; ce n'est pas sous forme d'images
visuelles
, mais sous forme d'images auditives qu'il les fix
ces deux calculateurs est bien différente. M. Diamandi répond au type
visuel
, et M. Inaudi au type auditif. Or. dans le type v
répond au type visuel, et M. Inaudi au type auditif. Or. dans le type
visuel
, les chiffres sont représentés comme simultanés ;
e dixième chiffre d'un nombre précédemment acquis par la mémoire., le
visuel
apercevra aussitôt ce chiffre sur son tableau men
us complexe. Cette analyse psychologique nous amène à conclure que le
visuel
doit l'emporter de beaucoup sur l'auditif. Or,
antage son attention, il vivifie, il exalte très fortement ses images
visuelles
et, souvent, il parvient à rectifier l'erreur; pa
es sonores recueillies par l'audition et de les transformer en images
visuelles
. Mais il est d'autres causes plus profondes, qu
naudi (Id., 1893, 1, 106). Binet et Charcot. — Un calculateur du type
visuel
(Zd-, 1893, I, 590). Binet. — Expériences sur M.
aractère, les stigmates hystériques abondent: rétrécissement du champ
visuel
et dys-chromatopsie à gauche, perversion de l'odo
-psychiques de haute importance. Cependant, dérivée d'une sensation
visuelle
, auditive ou autre, une idée est acceptée par le
s nulle dans son imagerie mentale. C'est qu'il est par-dessus tout un
visuel
et accessoirement moteur d'articulation ; ce sont
n visuel et accessoirement moteur d'articulation ; ce sont des images
visuelles
qu'il accumule et conserve dans sa mémoire, par e
que Diamandi n'a recours, selon toute apparence, qu'aux seules images
visuelles
, Pœhler les renforce par les sensations musculair
comme moyen adjuvant, mais, contrairement à Pcehler, Inaudi n'est pas
visuel
, il est auditif. Ajoutons, pour être complet, q
est vivement impressionné par les objets extérieurs et les sensations
visuelles
qu'il éprouve sont intenses ; celles-ci laissent
e du myosis ; les pupilles réagissent mal à la lu- mière ; le champ
visuel
est rétréci. L'acuité auditive est diminuée, du
oureuses à la pression. Les sens sont absolument indemnes, le champ
visuel
est normal, la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût con
nes des sens. - Pour le goût el l'odorat, rien à signaler. L'acuité
visuelle
est normale, et le champ visuel ne présente ni ré
odorat, rien à signaler. L'acuité visuelle est normale, et le champ
visuel
ne présente ni rétrécissement, ni asymétrie, po
t une certaine résistance. Pupilles réagissent len- tement ; acuité
visuelle
a diminué très rapidement dans les derniers temps
s rotuliens sont abolis. Pas de troubles vésicaux ni gastriques, ni
visuels
. L'application d'un appareil plâtré est suivie
. Quelques troubles de la vue, consistant en diminution de l'acuité
visuelle
, en sensations passagères de brouillard, d'obsc
tances volatiles fortes, elle ne réagissait pas du tout. Le champ
visuel
était rétréci d'une manière considérable et rédui
té à la piqûre et à la température est conservée. L'examen du champ
visuel
pratiqué le 25 novembre 1895, donna un schéma S
champs pour le blanc (schéma Il).Au mois de février 1896 les champs
visuels
pour le blanc se sont beaucoup agrandis, ils so
chéma VI. Schéma VII. 224 RENÉ MARTIAL Les altérations du champ
visuel
paraissent être de celles qui rétrocèdent t ave
le. La pupille droite est beaucoup plus large que la gauche. L'acuité
visuelle
est normale, il n'y a pas d'hémianopsie, le fon
es masticateurs fonc- tionnaient normalement..... l'examen du champ
visuel
révèle quelques dimi- nutions générales pour le
eulement à l'heure actuelle traînante et un peu hésitante. Le champ
visuel
est rétréci notablement et d'une manière concentr
plète vient renforcer cette hypothèse et le rétrécissement du champ
visuel
est un argument encore plus puissant. Mais en r
ianesthésie au début t et d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
, nous écartons le diagnos- tic d'hémiplégie hys
et le rétré- DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE . 241 cissement du champ
visuel
s'observent, du reste dans les hémiplégies par lé
ger nystagmus dans le regard oblique. Diminution légère de l'acuité
visuelle
. Sauf un léger catarrhe de la caisse du tympan,
ittent des paupières, di- plopie transitoire, diminution de Vacuité
visuelle
, troubles subjectifs de l'ouie. Deux petits mau
be oculaire. Quelque temps après, elle a de la diplopie, son acuité
visuelle
diminue d'une façon très appréciable. Des bourdon
. La diplopie, le clignotement des paupières, ont disparu. L'acuité
visuelle
est normale des deux côtés. L'examen du fond de
le, les or- ganes des sens ont un fonctionnement normal. Le champ
visuel
est rétréci concentriquement à 45°. Les organes s
ientôt à parler. M. Marinesco ne se contente pas de l'observation
visuelle
directe : il fixe les attitudes de ses sujets à
intacte, mais il n'a pas été fait d'examen campimétrique. du champ
visuel
. De même, il na pas été fait d'expériences sur
a été omis et nous ignorons s'il existe un rétrécissement du champ
visuel
. Pas de dyschromatopsie. Il y a une certaine
quelques observations et s'accom- pagne de rétrécissement du champ
visuel
; dans les cas de SangerBrown, les réactions pu
ités dans tous les actes, les troubles de la parole et les troubles
visuels
. Au repos, l'expression du visage était stupide
n est lente. Faible nystag- mus horizontal. Rétrécissement du champ
visuel
irrégulier et asymétrique. * L'acuité visuelle
étrécissement du champ visuel irrégulier et asymétrique. * L'acuité
visuelle
est il gauche de 6/6, il droite de 6/9. Les plus
les-de la vue très mar- qués, consistant en rétrécissement du champ
visuel
et en altérations du fond de l'oeil. 360 J. D
culaires tels que l'atrophie papillaire, le rétrécissement du champ
visuel
, le signe d'Argyll Robertson, symptômes d'une g
e lésion de la région calcarine qui est considérée comme une sphère
visuelle
, ou des parties qui l'avoisinent.Un fragment de l
nopsie corticale à cause delà facilité avec laquelle les radiations
visuelles
peuvent être atteintes dans cette région. La lé
produite par l'intermédiaire d'un épanchement comprimant la sphère
visuelle
. Schloffer dit que même la lésion du bord du pa
sme ne porte jusque dans la profondeur et n'atteigne les radiations
visuelles
. On trouve d'ailleurs un grand nombre d'hémiano
ue les faisceaux de la substance blanche qui se rendent à la sphère
visuelle
soient atteints, de sorte que le siège du délabre
e autre condition qui importe pour obtenir la lésion des radiations
visuelles
, c'est la direction même du coup. Il faut en géné
r sur ces 14 cas de rétrécis- sement plus ou moins complet du champ
visuel
, huit sont dus à des bles- sures pénétrantes. T
Il éprouve assez rare- ment de la céphalalgie, n'a pas de troubles
visuels
; l'ouïe est un peu affaiblie à droite, en rais
te, outre la description déjà donnée, les faits suivants : L'acuité
visuelle
est toute nor- male dans l'oeil droit, mais trè
e dans l'oeil gauche (II. 7. V. 5/30). Pas de modification du champ
visuel
ni de dyscliromatopsie. Pas de lésion du fond N
auche, olfaction, vision, audition, goût. L'oeil gauche a son champ
visuel
très rétréci, de l'achro- matopsie, de la dimin
el très rétréci, de l'achro- matopsie, de la diminution de l'acuité
visuelle
. Le champ visuel est à peu près normal à droite
l'achro- matopsie, de la diminution de l'acuité visuelle. Le champ
visuel
est à peu près normal à droite et aussi la visi
eu près normal à droite et aussi la vision des couleurs et l'acuité
visuelle
. Il existe un certain degré d'amyasthénie à gau
ien conservés sont ceux en dehors, et en bas et en dehors. Acuité
visuelle
. L'oeil gauche lit le n° 10 du tableau décimal à
. Notons que le malade accuse une certaine diminution dans l'acuité
visuelle
de l'oeil sain (gauche) depuis l'accident. Quan
ar.les verres colorés n'a pas donné de résultats plus précis. Champ
visuel
... (V. fig. ci-dessous.) - Sensibilité cutanée.
d'une canne et sautille ou tire un peu la jambe droite. Les champs
visuels
sont reproduits dans la figure ci-après. La ligne
le rouge. Cette limite concentrique fait penser que la fai- blesse
visuelle
peut être ici plutôt fonctionnelle que nettement
les lettres h. m. n. v. x. Il y a un léger rétrécissement du champ
visuel
,- mais cet examen est très difficile à pratique
muscles de la cuisse sont également légèrement atrophiés. Le champ
visuel
est légèrement rétréci. Après le coup de revolver
scrit en écriture droite qu'en écriture renversée. Représentation
visuelle
verbale. Étant donné l'âge de l'enfant et le peu
ifficile de savoir exactement ce qu'est chez elle la représentation
visuelle
verbale ; cependant Rose nous assure qu'elle se
la proposition de M. Du- rand. La représentation mentale de l'image
visuelle
des lettres telle qu'elle . se manifeste à notr
à écrire de* la main droite, nous nous exerçons à copier une image
visuelle
(de lettres) dont on nous a d'ordinaire déjà ap
ue la tête est pla- cée dans la rectitude, on remarque que les axes
visuels
sont inclinés en bas et en convergence ; cette
nous a pas été possible, vu l'âge de la malade, de mesurer l'acuité
visuelle
ainsi que l'étendue du champ visuel et du champ
a malade, de mesurer l'acuité visuelle ainsi que l'étendue du champ
visuel
et du champ de regard. L'examen oph- talmoscopi
re et la coloration moins intense des taches pigmentaires. L'acuité
visuelle
recherchée à peu près dans toutes les observation
de Gourfein). Dans le seul cas de Mauthner, nous trouvons l'acuité
visuelle
égale d'un côté à l'unité. Dans 6 cas (Schenkl, C
l'oeil et l'objet. Dans presque tous les cas la recherche du champ
visuel
est difficile parce que les malades ne peuvent
premiers symptômes parétiques. Diminution considérable de l'acuité
visuelle
à droite ; névrite optique légère de ce côté. D
des cellules en chro- matolyse ne reposent que sur des impressions
visuelles
, et que personne jusqu'à présent n'a eu recours
ieur de ces comparaisons. Comme il ne peut s'agir que d'impressions
visuelles
peut-être pourrait- on chercher en partie l'exp
'à droite. - Rien du côté des yeux ; pas de rétrécissement du champ
visuel
. ' Attaques. - Elles surviennent spontanément o
esthésie sensilivo-sen- . : so¡'ielle et un rétrécissement du champ
visuel
; le testicule gauche est douloureux à la pressi
us faibles à gauche. - Il y a à gauche un ré- trécissement du champ
visuel
très prononcé, mais il n'y a pas de dyschromato
oigt chaque ligne et chaque mot, ou a examiné auparavant son acuité
visuelle
, sa réfraction, son accommodation, son fond d'o
trois quarts et il existait une dimi- nution concentrique du champ
visuel
: paralysie du facial droit, parésie de l'hypog
-dessns des articulations du genou, au pénis, sur le scrotum. Champ
visuel
des deux yeux remarquablement restreint pour le
S. 115 M. Hirschberg. Les feuilles destinées à consigner le champ
visuel
ne représentent pas la véritable fonction de la r
mment à s'orienter parfaitement; par conséquent, possède une acuité
visuelle
relativement bonne. M. SANDER, demande s'il y a
lyopie hystérique est caractérisée : Par le rétrécissement du champ
visuel
; par une dyschroma- topsie spéciale qui n'est p
ciale qui n'est pas constante; par l'intégrité relative de l'acuité
visuelle
; par la coexistence habituelle de troubles de l'a
ut en conclure que les rapports des nerfs optiques avec les centres
visuels
cérébraux sont plus complexes qu'on ne l'a cru
'avec l'oeil droit seul. A droite il y a un rétrécissement du champ
visuel
très pro- noncé, et de la diplopie monoculaire.
st vrai, sous l'influence de l'aimant, le rétrécisse- ment du champ
visuel
, les plaques d'hyperesthésie, l'anesthésie du p
peut- être existaient chez lui ; tels que rétrécissement du champ
visuel
, polyopie monoculaire, etc. Nous publions pour
hémianesthésie sensitivo- sensorielle ; un rétrécissement du champ
visuel
. Le malade DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 171 est
é- mianesthésie seusitivo-sensorielle, le rétrécissement du champ
visuel
, les attaques de dyspnée, sont des arguments to
odorat. Affaiblissemeut de l'ouïe. Rétré- cissement double du champ
visuel
et diplopie monoculaire. Anesthésie du pharynx.
uïe est affaiblie des deux côtés. Il y a un rétrécissement du champ
visuel
double et très prononcé; de la diplopie monocul
ni modifica- tions pupillaires, ni lésion du fond de l'oeil, acuité
visuelle
mo- dérée (astigmatisme) Intégrité du système n
our du chiasma, à laquelle on peut attribuer la série des accidents
visuels
tout en s'étonnant que la cécité n'ait pas été
une série de conceptions l'ont assaillie confusément; àla suracuité
visuelle
et auditive a succédé l'apparition de globes lu
de 20/40; la sensation des couleurs n'est pas troublée; le champ
visuel
est presque normal ; le goût aussi ; la sensibi
tôme d'ataxie, aussi bien les yeux ouverts que fermés. Le champ p
visuel
est beaucoup rétréci; le goût est aboli. Il exist
rt, appelle bleu le rouge et jaune le vert; rétrécissement du champ
visuel
; macropie comme le 9 janvier. L'achromatopsie n
son lit, se soulève, lorsque je la fais sortir exprès de son champ
visuel
. Le 17 janvier, pour la première fois, j'ai réu
Le 24 janvier, on examine en détail le système nerveux. Le champ
visuel
est rétréci concentriquement ; trouble dans QUE
s de la vision sous forme de rétré- cissement concentrique du champ
visuel
ou d'hé- miopie accompagnée d'hémianesthésie (c
incitations et coincitations de divers districts homonymes du champ
visuel
. - Communication des recherches de M. Schiele s
ication des recherches de M. Schiele sur le rétrécissement du champ
visuel
sous l'influence de la fatigue chez les névropa
ait la fatigue par des mensurations périmétriques répétées du champ
visuel
. La fatigue d'une moitié, d'un quart, d'un secteu
entraîne concurremment un rétrécissement de forme analogue du champ
visuel
de la moitié, du quart, du secteur homonyme de
té opposé, mais jamais elle n'en- traîne le rétrécissement du champ
visuel
de la seconde moitié de l'oeil primitivement fa
'une activité fonc- tionnelle emprunte l'intermédiaire de la sphère
visuelle
du lobe occipital ne s'effectue pas directement
ue des deux moitiés d'un oeil n'engendre le rétrécissement du champ
visuel
que sur la moitié du second oeil. Parfois aussi
ifient au lieu de rétrécir, totalement ou dans une moitié, le champ
visuel
. Le rétrécissement du champ visuel par examen p
t ou dans une moitié, le champ visuel. Le rétrécissement du champ
visuel
par examen périmétrique atteint le plus ordinai-
lification partielle ou générale, passagers ou permanents, du champ
visuel
) cette allure fournira des éléments permettant
, des- tinés chacun à une moitié homomyne de la rétine. La sphère
visuelle
se compose au contraire de tout petits champs fas
(épidémie de fièvre -J à l'asile d'Osiiabruck),. p Ratai, 66. j
Visuel
(des incitations et coinc talions des divers di
hthalmoscopique. — Exploration fonctionnelle : Diminution de l'acuité
visuelle
; — Rétrécisssmcnt concentri-que et général du ch
'acuité visuelle ; — Rétrécisssmcnt concentri-que et général du champ
visuel
, etc. De l'amblyopie croisée avec hémianesthési
veloppements pour vous montrer que, même sous le rapport des troubles
visuels
, — et c'est là, vous le reconnaîtrez bien-tôt, un
e même — ceci est beaucoup plus rare, — laperte absolue de la faculté
visuelle
de l'oeil du côté correspondant à l'hémianesthési
subjectifs. Voici ce qu'apprend ce mode d'explora-tion. 3° L'acuité
visuelle
, étudiée d'après les règles ordinaires, se montre
ge. 4° Il existe un rétrécissement concentrique et général du champ
visuel
. 5° Enfin une analyse délicate a permis de reco
instant: Il s'agit (hirétrécissement concentrique et gênerai du champ
visuel
pour les couleurs. Déjà plusieurs auteurs, M. G
Je vous rappellerai que, à l'état normal, toutes les région; du champ
visuel
ne sont pas, tant s'en faut, également apte: aper
apercevoir les couleurs. 11 est des couleurs pour lesquelles li champ
visuel
est physiologiquement plus étendu que poui d'autr
s étendu que poui d'autres et ces différences dans l'étendue du champ
visuel
ê reproduisent toujours, chez tous les sujets, su
a mêm loi pour chaque couleur. Ainsi, c'est pour le bleu que le cham]
visuel
est le plus vaste ; viennent ensuite le jaune, pu
ons récemment étudiés à ce point de vue : même diminution de l'acuité
visuelle
; même rétrécissement concentrique et général du
cuité visuelle ; même rétrécissement concentrique et général du champ
visuel
pour les couleurs, même absence de lésions pathog
Landolt clans mon service ont ap-pris que le rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs, dans l'hystérie ovarienne avec
rer nettement le trouble fonctionnel dont il s'agit d'autres troubles
visuels
qui reconnaissent également pour cause une lésion
nent les lésions absolument unilatérale; du cerveau; c'est un trouble
visuel
qui en diffère, à savoir : Vhémiopie latérale hom
der Ileilkunde, 1875, lor heft. sèment de la moitié droite du champ
visuel
, et inversement pour le cas d'une lésion de l'hém
hémiopie nasale. de supprimer complètement toute l'étendue du champ
visuel
du côté droit (hémiopie latérale droite). L'hémio
asale, caractérisée par la sup-pression de la partie médiane du champ
visuel
se produirait si le cours des fibres directs a' b
c-tement, et j'en reviens à l'hémiopie latérale. Ce genre de trou-ble
visuel
, c'est là un fait qui paraît bien établi, est le
me temps que l'hémianesthésie, déterminé l'amblyopie croisée, trouble
visuel
bien différent de l'hémiopie. Cela étant, comme
git en pareille circonstance, on invoque surtout le cas où le trouble
visuel
se développe brusquement, à la suite d'un ictus a
n organique intra-hémisphérique, faisait remarquer que l'obnubilation
visuelle
peut se manifester sous la forme d'une véritable
e Vacuité vi-suelle à gauche, et rétrécissement concentrique du champ
visuel
de ce fôté seulement ; diminution de la sensibili
e la benzine ni celle de l'eau de Cologne. Le rétrécissement du champ
visuel
a disparu. Un nouvel examen pratiqué le 12 mai
nt émous-sée,enfin, il n'existe plus trace du rétrécissement du champ
visuel
. Celte observation tend à démontrer entre autre
phthalmoscopique. — Exploration fonctionnelle: Diminution de l'acuité
visuelle
: — Rétrécisssment concentri-que et général du ch
'acuité visuelle : — Rétrécisssment concentri-que et général du champ
visuel
, etc. De l'amblyopiè croisée avec hémianesthési
Centre ovale de Vieussens, 211. Centres trophiques, 273. Champ
visuel
, 122. (V. Amblyopie). Chromologiques (Faits), 2
r. Les paralysies des muscles de l'oeil aussi bien que les troubles
visuels
, amblyopies, amauroses, sont des faits bien con
ensorielle. On constate simplement un peu de diminution de l'acuité
visuelle
. L'état mental est excellent : la malade est ra
ifficile d'ap- 164 CLINIQUE NERVEUSE. précier au juste son acuité
visuelle
et l'étendue de son champ visuel qui parait tou
E. précier au juste son acuité visuelle et l'étendue de son champ
visuel
qui parait toutefois rétréci surtout du côté gauc
entend un peu moins bien la montre du côté gauche. Vue. -L'acuité
visuel
le = 0 gauche, elle est de sept dixièmes delà n
0 gauche, elle est de sept dixièmes delà normale adroite. Le champ
visuel
est très rétréci des deux côtés, mais surtout à
ar l'application de l'aimant, on a obtenu le transfert des troubles
visuels
. 6. T. 40°, 1 le matin, 39°, 8 le soir. 7. T.
ée par le rapprochement entre l'état à peu près parfait des organes
visuels
et le, manque de lobes olfactifs (quatrième à s
e, laissant derrière elle de l'amnésie accompagnée d'hallucinations
visuelles
et auditives (un fait) ; enfin de l'hébétude pe
le est réduite à droite d'un tiers, à gauche d'un sixième; le champ
visuel
et la perception des cou- " leurs, normaux à dr
ne du genou, l'atrophie des deux N. 0. avec rétrécissement du champ
visuel
. Diplopie ; divergence de l'oeil SOCIÉTÉS SAVAN
ite de la face et de la diplopie. Pas de phénomène du genou. Acuité
visuelle
normale ainsi que le fond de l'oeil. L'hémianes
ite par lui ; elle repré- sente la projection d'une sphère du champ
visuel
de un mètre de rayon divisée en degrés angulair
un corps contondant était survenue une légère diminution à l'acuité
visuelle
centrale, coïncidant avec un état trouble de la
istant le plus souvent en un rétrécissement concen- trique du champ
visuel
, coïncidant ordinairement avec une achromatopsi
éral il y a corrélation entre le degré du rétrécisse- ment du champ
visuel
et le degré de l'achromatopsie. Il est un fait
donné d'observer, et qui ne présentaient ni rétrécissement du champ
visuel
, ni achromatopsie, conservaient la sensibilité
ont un rétrécissement plus ou régulièrement proportionnel du champ
visuel
, ont perdu la sensibilité conjonctivale ; celle
e ; celles enfin, qui ont une achromatopsie complète, avec un champ
visuel
double et d'endocardite v6getante,sans que son
é des membranes extérieures de l'oeil, ont également des troubles
visuels
, soit achromatopsie, soit rétrécisse- ment conc
itation locale ramène la sensibilité cutanée ; et, avec la fonction
visuelle
, la sensibilité de la membrane externe de l'oei
fe émit l'opinion que dans les lésions céré- brales, le seul défaut
visuel
qui pût être observé était l'hémia- nopsie, il
ée par l'examen anato- mique, tandis qu'il existait un autre défaut
visuel
, l'amblyopie croisée, dont la relation avec cer
nge, par exemple, nous voyons MM. Ferrier et Yeo placer leur centre
visuel
à la fois dans le lobe occipital et dans le gyr
, que l'ablation d'un lobe occipital peut ne produire aucun trouble
visuel
, tandis que la destruction de ces deux régions
n doit éprouver pour constater chez un animal l'étendue d'un défaut
visuel
, déjà si difficile à préciser chez l'homme, on
emble des faits cliniques dans les- quels nous trouvons des défauts
visuels
coïncidant avec des troubles imputables à une l
à une lésion unilatérale du cerveau ; nous voyons que ces troubles
visuels
répondent à deux types bien distincts, l'amblyo
opie est caractérisée par un rétrécissement concen- trique du champ
visuel
avec achromatopsie absolue ou partielle et dimi
l avec achromatopsie absolue ou partielle et diminution de l'acuité
visuelle
. Cette amblyopie prédomine du côté opposé à la
qui semble bien due à un trouble unilatéral du cerveau. Ce trouble
visuel
est le seul que l'on puisse ren- contrer chez l
s céré- brales ; et, sauf le fait de Petrina dans lequel le trouble
visuel
est en rapport avec une lésion corticale du lob
sque la même valeur que les faits suivis d'autopsie, car le trouble
visuel
ne peut guère être déterminé à distance parla l
dans les cas d'hémianopsie avec hémianes- thésie, lorsque le champ
visuel
a été pris d'une façon régu- lière, on semble a
, coloration rouge de la face, troubles gastriques divers, troubles
visuels
, attaques épileptiformes ou apoplecti- formes,
s, selon que l'on se trouve en présence de sujets appartenant au type
visuel
, au type auditif ou au type moteur. Tel sujet r
ence de la suggestion sur quelques troubles fonctionnels à l'appareil
visuel
. Schmeltz (de Nice) : Sarcome du testicule gauc
e d'expériences d'hypnotisme portant sur la thérapeutique de l'organe
visuel
instituées par notre collaborateur M. le professe
ans, il fut pris de céphalalgie gravative violente avec obnubilation
visuelle
, qui persista quatre semaines, en même temps que
essante. Bien que la malade fut atteinte d'une diminution de l'acuité
visuelle
, attribuée par le Dr Despaguet à une dégénérescen
ce moment que X... m'est présenté, c'est un mastur-bateur. Son champ
visuel
est concentriquement rétréci, surtout pour l'œil
même. Je n'ai jamais éprouvé de vertige devant le vide, et le vertige
visuel
m'est jusqu'ici totalement inconnu. En revanche,
entité du sujet n'était en quelque sorte fixée que par les opérations
visuelles
seules. C'était une forme fruste de leur vertige,
éflexes sont normaux. Pas d'anesthésîe. Léger rétrécissement du champ
visuel
. J'ai eu recours à la suggestion à l'état de ve
nous avons à l'ordinaire une tendance à nous expliquer par des images
visuelles
ce que nous ressentons par les autres sens; aussi
dinairement, on voit cette chose, car, pour bien des raisons, le sens
visuel
est toujours prêt à se mettre à la disposition de
l faut, en outre, supposer que le type psychique d'une personne (type
visuel
, moteur, etc.) joue, lui aussi, un certain rôle ;
nt. En ce qui concerne la relation qui existe entre les impressions
visuelles
de la journée et les images qui se présentent dan
note enfin pour les deux yeux le rétrécissement concentrique du champ
visuel
, la paralysie conjuguée gauche pour les mouvement
, resterait peut-être encore discutable. Cécité des mots et mémoire
visuelle
. James Hinshelwood, de Glasgow, (The Lancet, 21
ue sa vue était restée intacte ; il avait simplement perdu la mémoire
visuelle
. II voyait les lettres imprimées très nettement,
us petits caractères typographiques, ce qui confirmait que son acuité
visuelle
n'avait point souffert. Il pouvait écrire sous la
vait qu'un petit affaiblissement de la mémoire. En examinant le champ
visuel
du malade, l'auteur constata une hémianopsie homo
si l'expérience pathologique d'après laquelle le centre de la mémoire
visuelle
des mots se trouverait dans le voisinage du lobe
cellule avec un grand nombre d'autres cellules; de sorte qu'une image
visuelle
ou auditive met en branle un nombre considérable
tique rend aveugle, mais si 1 persiste, le sujet peut avoir des rêves
visuels
et des hallucinations avec sensations de lumière.
n, se transmettant à 3, éveille le mot « chapeau » si le sujet est un
visuel
. Si l'œil voit le mot chapeau écrit, ! perçoit
Supposez le passage de 2 à 3 aboli, vous aurez une variété d'amnésie
visuelle
. Le sujet ne trouvera pas le mot en voyant l'obje
lit. Le schéma du système auditif est identique à celui du système
visuel
. Là encore, trois cellules : 1 lésée: c'est la su
t aller de chacun des trois centres auditifs ? vers les trois centres
visuels
V. De 1 ? à 1 V, nous aurons l'audition colorée
? à 2 V, ces sons provoquent les images afférentes d'objets. Ainsi le
visuel
voit une cloche en en entendant le son. De 3 ? à
mot entendu amènera la vue do l'objet afférent, puissante imagination
visuelle
qui se représente les tableaux décrits par l'orat
teur. Les filets émissifs peuvent aller de chacun des trois centres
visuels
vers les centres auditifs. Voici leurs rapports l
ation colorée. Les odeurs peuvent réveiller très vives les sensations
visuelles
d'objets en rapports avec eux. etc., etc. Les a
l existe un centre moteur d'articulation A relié au 3 auditif et au 3
visuel
. Il existe également un centre moteur graphiq
ates constatés chez lui, notamment un rétrécissement notable du champ
visuel
, dè rhémi-hypoesthésie, une extrême sensibilité n
cécité complète, il n'y avait paslieu à chercher aucunement le champ
visuel
ou les couleurs. Le 8 août, cet homme fut trans
le de simuler la cécité complète que la simple diminution de l'acuité
visuelle
de l'un des deux yeux. Quoi qu'il en soit, je f
ite. Réflexes rotuliens normaux. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
à droite. Acuité visuelle très diminuée à droite-
normaux. Rétrécissement concentrique du champ visuel à droite. Acuité
visuelle
très diminuée à droite- Dit voir mieux dc l'œil g
encore en haut et en dehors. Après deux autres séances, ce trouble
visuel
a complètement disparu sous l'influencé de mes su
, [guérison par la psychothérapie], 136. Cécité des mots et mémoire
visuelle
, par James Hinshelwood, de Glasgow, 215. Concou
un accès d'épilepsie hémiplégique sous l'influence d'une excitation
visuelle
. Il n'est pas rare de voir des ma- lades prendr
ccès à propos d'un examen ophtalmoscopique, de l'examen de l'acuité
visuelle
, de la vision chromatique, etc. D'autres malade
ux de la vision donne une diminution assez considérable de l'acuité
visuelle
, surtout pour l'oeil gauche (les doigts ne sont r
nt reconnus que lorsque l'éloignement ne dépasse pas 5c.1. Le champ
visuel
est pour l'oeil droit rétréci de tous les côtés
supéro-externe allant jusqu'à 15° du point de fixa- tion. Le champ
visuel
pour les couleurs n'a pas été recherché d'une faç
alade voit les couleurs (violet, bleu, jaune, etc.), mais son champ
visuel
parait rétréci des deux côtés, surtout à gauche.
s de la sensibilité générale, le rétrécissement bilatéral' du champ
visuel
. 2° Un second point sur lequel nous désirons at
de l'oeil ; pupille réagissant à la lumière. OEil droit. - Champ
visuel
un pou rétréci (30-50); pas de dysclroma- lopsi
tion, la malade voit donc avec son oeil gauche; néanmoins, l'acuité
visuelle
do cet oeil, comparée à celle de l'oeil droit, es
N DES TROUBLES. 11 Il; bien faible. On prend immédiatement le champ
visuel
de la malade, celle-ci étant toujours en somnam
heures, l'examen des yeux est fait par M. le De' Parinaud : Acuité
visuelle
de l'oeil gauche = 1/3. Diplopie monoculaire de l
'oeil gauche. L'oeil gauche distingue toutes les couleurs; le champ
visuel
du bleu est plus rétréci que celui du rouge. Ch
le champ visuel du bleu est plus rétréci que celui du rouge. Champ
visuel
de l'oeil gauche : en dehors 30, en dedans 20.
put ouvrir Son oeil gauche et voir avec cet oeil, quoique l'acuité
visuelle
n'en fut pas encore bien grande. Les jours suiv
ours suivants, le blépharospasme ne se reproduisit plus et l'acuité
visuelle
redevint peu à peu normale. Mais la cornée, la co
en des yeux fait immédiatement donne ce qui suit (fig. 41) : acuité
visuelle
normale à droite; 1/3 il gauche. Rétrécissement c
ud, Anesthésie de la rétine. Contribution à l'élude de la sensibilité
visuelle
. Annales d'oculislique, août 1886. - Spasmes et
it peut à peine s'elitr'ouvrir et garde encore un peu de son acuité
visuelle
. La malade s'est aperçue tlès le premier jour q
totalement anesthésiques et le rétrécissement concentrique dû champ
visuel
de l'oeil droit si étroit que l'oeil pouvait êt
la partie gauche de la bouche (fig. 50). Le rétrécissement du champ
visuel
est'également marqué des deux côtés : L'acuité
ment du champ visuel est'également marqué des deux côtés : L'acuité
visuelle
,' qui est de 1 [10, est modifiée aussi bilaté-
t 6a vertèbres dorsales. Amaurose à droite; rétrécissement du champ
visuel
, à gauche, à 10. Lorsqu'on examine attentivemen
avec peite du sens musculaire. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
, il gauche à 40, à droite à 70. Réflexe rotulie
iques qui peuvent s'accompagner d'un rétrécissement double du champ
visuel
, ne diffèrent que bien peu des hémianesthésie h
de Morel. IIémianesthésie complète gauche; rétrécissement du champ
visuel
, surdité, ageustie, dysosmie, ovaralgie gauche; h
mblement des mains. Ilémianesthésie gauche; rétrécissement du champ
visuel
, achromatopsie, surdité, ageustie, dysosmie, ov
olis il droite. Vision.-Double rétrécissement concentrique du champ
visuel
à 35 pour l'oeil gauche, à 45° pour l'oeil droi
gauche. A gaucho. A droite. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
. 40 centimètres. 55 centimètres. Pas de dyschro
acts; ouïe diminuée il gauche. rétrécissement concentrique du champ
visuel
. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE.
coude où elle se termine par une ligne circulaire très nette. Champ
visuel
rétréci à GO° à droite el à gauche; goût aboli
analgé- sique. Il est à regretter qu'on n'ait pas mesuré son champ
visuel
. Le traitement fut exclusivement expectatif, pu
atoire exaltée, se distingue par la prédominance des hallucinatious
visuelles
, suivies généralement d'un stade d'excitation.
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUES SUR LES RAPPORTS QUI RATTACHENT LA SPHÈRE
VISUELLE
(de Munk) AUX CENTRES OPTIQUES INFRA-CORTICAUX
x nerfs. Par conséquent, les destructions pathologiques des sphères
visuelles
peuvent entraîner chez l'homme un processus des
L'auteur a choisi pour ses expériences la série des représentations
visuelles
. Si l'on fait naître une représentation simple
simple ou composée simultanément'avec un des éléments, delà série (
visuelle
), le problème se réduit à mesurer avec quel aut
tive, tactile, etc., est tou- jours aperçue avant la représentation
visuelle
de la série avec laquelle on l'a fait simultané
eure et ' postéro-interno de la couche optique. Quant à la sphère
visuelle
de Munck, la clinique et l'anatomie pathologique
érieure du tubercule quadrijumeau antérieur, qui est le vrai centre
visuel
. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s'atroph
tre, en rapport avec ce dernier, n'est pas cer- tainement le centre
visuel
vrai du tubercule quadrijumeau anté- rieur, il
près ses fonctions. Intégrité de l'écorce et notamment de la sphère
visuelle
du côté opposé ; on constate simplement une asy
t, il faut se garder de tirer des conclusions relatives à la sphère
visuelle
avant qu'on se soit convaincu que le traumatism
lette optique consécutive à une destruction corticale de la sphère
visuelle
, et se garder d'invoquer un rapport de cause à ef
'il n'existe plus dans son cerveau aucune espèce de trace de sphère
visuelle
; il conserve la vision mentale. La résection
ysé, n'était pas aveugle, et cependant, les zones dites motrices et
visuelles
avaient été anéanties. La double séparation du
soit verbalement, n'ayant ni aphasie motrice, ni agraphie. L'image
visuelle
du mot, évoquée par le signe écrit, suffit donc
ditive fait défaut ; et il est pro- bable d'ailleurs que les images
visuelle
et motrice du mot ravivent, si elle n'est pas c
ajouter. Il est donc possible que, dans cer- tains cas, la mémoire
visuelle
des mots supplée au défaut de mémoire auditive,
céphalalgie violente, chute des cheveux, diminution de l'a- cuité
visuelle
et auditive, hyperesthésie, pupilles larges et
des vibrations. P. K. VU. L'épreuve électro-thérapeutique du champ
VISUEL
; par C. Engelskjoen. (Arch. f. Psych. XVI, 3.)
ection sur le tableau de la véritable amplitude rétinienne du champ
visuel
; il affirme de nouveau que ce qu'il appelle le
itif2 au point de vue thérapeutique, éclaircit et amplifie le champ
visuel
, augmente en même temps l'acuité vraie, cela in
s une note spéciale, il a étudié les effets de quelques excitations
visuelles
sur les hystériques achro- matopsiques. Voici u
e. Alcan, édit. 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. augmentation de l'acuité
visuelle
, de l'étendue du champ visuel, et de la sensibi
SAVANTES. augmentation de l'acuité visuelle, de l'étendue du champ
visuel
, et de la sensibilité des téguments de l'oeil.
té des téguments oculaires des deux côtés, diminution de l'acuité
visuelle
, rétrécissement double du champ visuel très marqu
és, diminution de l'acuité visuelle, rétrécissement double du champ
visuel
très marqué sur- tout à gauche, troubles du sen
renat Voilà pour le sens chromatique; quant aux autres phé- nomènes
visuels
, ils m'ont paru aussi se modifier. L'acuité visue
es phé- nomènes visuels, ils m'ont paru aussi se modifier. L'acuité
visuelle
a certainement augmenté; mais manquant d'instru
ant d'instruments de pré- cision pour la mesurer ainsi que le champ
visuel
, je n'ose rien SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 précise
i- bilité dans leur domaine en même temps que cédait l'anesthésie
visuelle
. Pour ma part, ie n'ai pas osé employer ce moye
e, présentant une achromatopsie complète de l'oeil droit : le champ
visuel
et l'acuité visuelle sont très diminués des deu
chromatopsie complète de l'oeil droit : le champ visuel et l'acuité
visuelle
sont très diminués des deux côtés, mais surtout
nant les signes d'une sensibilité évidente, quoiqu'obtuse. L'acuité
visuelle
m'a semblé aussi augmenter un peu, cependant je
je n'ose encore rien affirmer à ce sujet de même que pour le champ
visuel
, pour les mêmes raisons que ci-dessus, c'est-à-
le sens de l'ouïe, puis la sensibilité générale, les hallucinations
visuelles
étant très rares. Ce délire peut subir des tran
périmentales ET ANATOMO-PATHOLOGIQUES SUR LES rapports DE la sphère
VISUELLE
(expression consa- crée) AVEC LES CENTRES OPTIQ
ien). La dégénérescence des fibres blanches en rapportant la sphère
visuelle
a entraîné secondairement des deux côtés l'atro
nerveuses ganglionnaires qui soient directement unies à la sphère
visuelle
; il est impossible de l'établir avec certitude, m
es nerveuses de la substance grise superficielle, gagnent la sphère
visuelle
aussi bien que la substance blanche moyenne des
gnésium, 319. Bulletins bibliographiques, ')75, 319, 468. Champ
visuel
(Epreuve électro- thérapeutique du), par Eu-
émianesthésique sensitivo-sensorielle droite avec diminution du champ
visuel
du même côté. Elle a cessé d'avoir ses règles dep
té très vive. Pupilles égales mais larges. Un peu de rétrécissement
visuel
aux segments internes des deux yeux. Réflexes con
moins, prépondérante. Le délire des attaques où les hallucinations
visuelles
et zooptiques tiennent une si grande place est
sub-cortical : position cataleptique. 3° Activité isolée du centre
visuel
sub-cortical : imitation incons-cientedes mouveme
matique, sans participation de la volonté, tout le système des images
visuelles
, auditives, des passions, des impulsions à l'acti
n de il ans, atteint d'amilyopie hystérique, avec limitation du champ
visuel
et cécité incomplète des couleurs (à un œil). La
e à droite, et il y a un léger rétrécissement concentrique des champs
visuels
. Pas de troubles de la motilité ; les différent
et la conjonctive du côté correspondant, avec rétrécissement du champ
visuel
, affaiblissement de l'ouïe, du goùtetde l'olfacti
cot était doué d'un discernement qui lui a valu la qualification de «
visuel
de génie » de la part d'un des neuropathologistes
pplique de l'eau de la grotte sur l'œil malade, et, du coup, l'acuité
visuelle
revient presque totalement ; le lendemain il disc
ns : léger strabisme interne de l'œil droit ; rétrécissement du champ
visuel
de cet œil en bas et en dedans. Déviation de poin
tés de la suggestibilité. — Le type normal. — Le type moteur, le type
visuel
et le type auditif. 5° Phénomènes psychiques de
elle ; — le centre de la mémoire auditive ; — le centre de la mémoire
visuelle
verbale; celui de la mémoire auditive verbale; en
existence anatomique démontrée : ainsi !e centre de la représentation
visuelle
des mots du langage siégeant, avec ou sans partic
plique par des exemples : A) — Inductions homogènes : a) inductions
visuelles
. — Exemple : l'inducteur / se représente mentalem
ple : l'inducteur / se représente mentalement, un monument, une image
visuelle
quelconque : le Louvre par exemple ; ou une carte
s sur les rochers, l'induit entend ce bruit. c)—Inductions verbales
visuelles
. — L'inducteur imagine, lit mentalement le mot ma
éaction centrifuge), mémoire qui n'est pas constituée par un souvenir
visuel
des membres se mouvant, mais par la mémoire même
bruit de la machine ou l'eau frappée par l'hélice; induction motrice
visuelle
, l'inducteur ferait mentalement, sans remuer les
centres ; comme l'explique le tableau suivant dans lequel les centres
visuels
seuls sont pris comme exemples d'inducteurs : I
es visuels seuls sont pris comme exemples d'inducteurs : INDUCTIONS
VISUELLES
Induction visuelle. Verbo-visuelle (une chose v
pris comme exemples d'inducteurs : INDUCTIONS VISUELLES Induction
visuelle
. Verbo-visuelle (une chose vue mentalement par I
ée par le mot mentalement ou réellement exécuté par.......0 id.
visuelle
id. la chose représentée par le mot vue mentale
ntée par le mot vue mentalement par . . i) Voilà pour les centres
visuels
; on peut en faire autant pour les autres centres.
gne par / l'inducteur, par i l'induit. Voulez-vous une transmission
visuelle
, ne tendez pas, n'exoi-tez pas vos centres auditi
dez-lui de porter toutes les forces de son attention sur la puissance
visuelle
comme vous devez y porter la vôtre, car il est à
it, entendait ou parlait les mots de ses pensées ; de là les types du
visuel
, de l'auditif, du moteur, magistralement décrits
s exprimer que, en ce moment, j'avais fait acte non d'auditif, non de
visuel
, mais de moteur. Sans remuer le bras, j'effectuai
n dedans. Il s'agissait d'une suggestion motrice. Les auditifs, les
visuels
purs, les sujets dénués de toute mimique interne,
en employer une identique. Il se peut que certains transmetteurs soit
visuels
d'autres auditifs, de même qu'Inaudi est verbo-mo
us sujets, plus aptes à la transmission que les centres de réception (
visuels
et auditifs). De là une deuxième recommandation :
eil pathologique ; 2° Mémoire. — Maladies de la mémoire. — Mémoires
visuelle
, auditive. — Imagination; 3° Hallucinations. —
ude actuelle, je vous fais seulement remarquer que toutes les images,
visuelles
, auditives, etc., qui constituent la notion d'une
dernière limite, c'est-à-dire dénués de toute carnation ou coloration
visuelle
ou auditive, et qui De devaient en outre occuper
uc- cessivement. : 1° les troubles pupillaires; 2° les trou- bles
visuels
;- 3° les symptômes qui dépendent des rapports
est très difficile de se rendre compte de l'existence de ce trouble
visuel
à cause de l'état du malade. La isolé, sans ict
ue est conservée presque intacte jusqu'à la fin (1). Les troubles
visuels
du paralytique général, lors- qu'ils existent,
es antécédents et l'examen des urines. Le rétrécissement du champ
visuel
est rare à la pre- mière période el alors qu'il
n'y a aucune lésion visible à 1'opltt.almoscope. Lorsque le champ
visuel
est rétréci chez les paralyti- ques généraux, l
mett1'e de pronostiquer l'atrophie prochaine. D'ordinaire, le champ
visuel
est normal. Lorsqu'il y a 7tc;ntiopie, il faut
ie générale. De même, l'importance du scotome ou lacunes du champ
visuel
consiste en ce que ce trouble est fréquent surt
riode, le malade souffre de né- m'algie oculaire. Les aberrations
visuelles
(micropsie, érythropsie, etc.), sont rares. Les
lles (micropsie, érythropsie, etc.), sont rares. Les hallucinations
visuelles
ne sont pas toujours dues à l'alcoolisme, mais
, lorsqu'elle existe, de l'atro- phie du tabéliqite et des troubles
visuels
dans l'alcoo- lisme chronique . En même temps q
'atrophie s'accompagne, ce qui est rare, de rétrécissement du champ
visuel
, ce rétrécissement n'est pas concentrique (3) .
ennent qu'à la fin. De sorte que le ta- bleau clinique des troubles
visuels
du paralytique géné- ral est complet quelquefoi
tion d'une grande anesthésie ou d'un rétrécissement énorme du champ
visuel
implique l'existence dune grave perturbation de
enser que : 1° le pouvoir de reproduction des images acoustiques et
visuelles
est en proportion directe avec la durée de l'exci
les parties sont également liées entre elles ; 6° si dans une série
visuelle
s'intercale une parole citée d'une autre person
x. Paris. Mattos (.lulio de). Contribution à l'étude de l'amnésie
visuelle
. In-8° de 40 pages.'l'eixeira a Lisboa Orméa
tion génitale est complète ; rien ne manque, sensa- tions tactiles,
visuelles
, auditives, etc.. etc.. Pouruno deuxiemeserie d
ant, les images DÉLIRE DE PERSÉCUTION ET DÉLIRE ALCOOLIQUE. 187
visuelles
inférieures s'obscurcissent et ma parole intérieu
er les syllabes, il cherche a avoir sur le mur une repré- sentation
visuelle
de ces mots, il n'y parvient pas, cherche plu-
mot comme si on le lui disait mais il n'en a pas la représentation
visuelle
. Enfin, il trouve, dit brusquement : aiguille.
l ne peut parvenir à le prononcer, ni en retrouver non plus l'image
visuelle
. Il nous indique le nombre de syllabes des mots
répéter, il ne peut le faire qu'en en lisant menta- lement l'image
visuelle
. Nous essayons de le lui faire dire sans l'usag
e, il l'estropie : Raviac; nous l'in- vitons à se servir de l'image
visuelle
, il se corrige alors. 11 mai. Nous lui redemand
t nous donner le nombre des syllabes qui le composent, puis l'image
visuelle
lui apparaît, il en compte les lettres, nous le
une » par exemple, au bout de quelques secondes il a eu le souvenir
visuel
du titre, l'a lu mentalement et au bout d'envir
roite, il ne peut plus le prononcer, mais en ayant conservé l'image
visuelle
il la déchiffre et retrouve le mot dont il ne p
fait de tel ou tel outil de menuisier dont il a la représentation
visuelle
et auditive. 8 mai. D ? venant nous voir aujour
ut de suite « c'est à dire sans chercher à avoir une représentation
visuelle
du mot. 17 juillet. Les progrès sont lents, il
toujours obligé de fixer devant lui afin d'avoir la représentai ion
visuelle
des mots. 20 septembre. D ? écrit presque coura
'il puisse le prononcer sans qu'il puisse non plus en avoir l'image
visuelle
et contrairement à ce qu'il fait pour certains
ertains mots qu'il parvient à prononcer en déchif- frant leur image
visuelle
, ici c'est en utilisant exclusivement l'image a
tres fois, c'est l'image auditive qui fait défaut alors que l'image
visuelle
peut être évoquée. Parfois enfin s'il pense à u
ée. Parfois enfin s'il pense à un objet il en a la représentation
visuelle
et ne trouve pas l'image visuelle du mot ou inver
n objet il en a la représentation visuelle et ne trouve pas l'image
visuelle
du mot ou inver- scmenL. Etat mental. 13 av
partie supé- rieure, conservé pour la partie inférieure. L'acuité
visuelle
est bonne, mais le malade se fatigue extrêmemen
le malade se fatigue extrêmement vite, surtout à gauche. Le champ
visuel
tant à droite qu'à gauche, est rétréci concentr
st enfin affirmée grâce au rétrécissement concen- trique des champs
visuels
et aux zones hysterogenes. Celte observation es
inte : un objet froid provoque une sensation de brûlure. L'acuité
visuelle
est à peu près normale, un peu de myopie ; au-
le plus surprenant c'est son amnésie concernant les représentations
visuelles
du temps passé par exemple, il disait que l'her
s nettement, surtout se remarque l'effacement des représenta- tions
visuelles
d'autrefois, avec quoi s'expliquent son incapabil
ls a souffert aussi principalement la mémoire des représenta- tions
visuelles
anciennes. Des remarques ont été faites par MM.
des yeux en haut et en bas sont normaux. L'épuisement de l'appareil
visuel
étant comme auparavant à un très haut degré. Le
idérée aujourd'hui comme une dégénérescence rétrograde des neurones
visuels
, par compression du chiasma ou des bandelettes
terne ou interne. Rétrécissement concentrique considérable du champ
visuel
qui ne comprend plus qu'un angle de 15-20°. Acler
pupille un peu dilatée réagit encore à la lumière placée dans l'axe
visuel
; elle ne réagit plus à une lumière placée latéra
RVEUSE. l'observation, nous fûmes surpris de trouver des troubles
visuels
très accusés, une diminution considérable de l'ac
ypique mais assez peu accentuée. Mais assez rapidement les troubles
visuels
s'améliorèrent, la .^vision revint à peu près à
aidée de l'oedème de la papille, dans la pathogénie de ces troubles
visuels
. 3° L'examen ophtalmoscopique peut apporter des
ges. Démarche ébrieuse, abolition des réflexes rùtttlicns, troubles
visuels
en disproportion avec les résultats de l'examen
ation par les antiseptiques intestinaux : amélioration des troubles
visuels
, les signes opletulmoscopigues reslunt les même
, soit immédia- tement après l'ingestion d'aliments. Les troubles
visuels
consistent surtout en un affaiblisrement assez
ion, ni à la percussion. - - Rétrécissement assez prononcé du champ
visuel
; acuité très réduite, pas d'achromatopsie; aucu
i que les vomisse- ments et les troubles de la marche. Les troubles
visuels
sont bien moins accentués, l'acuité a augmenté;
l. L'amélioration a continué. La malade se dit guérie. Les troubles
visuels
ont presque entièrement disparu. Cependant les
es troubles de la marche et les vertiges n'ont pas reparu. L'acuité
visuelle
est restée bonne. La démarche est normale, pas
n'y a plus de ver- liges, et la démarche est normale. Les troubles
visuels
n'ont pas reparu. La malade sort paraissant com
eu de nouveau des contractures du côté de la nuque. Pas de troubles
visuels
, pas de troubles auditifs, pas de troubles de l
de la fatigue. Aucun trouble de la sensi- bilité générale. L'acuité
visuelle
est restée bonne, il n'y a aucun trouble dans l
il n'éclate que sous l'influence de sensations soit auditives, soit
visuelles
; l'auteur ne l'a jamais vu se manifester consécu
ntesque semblait en imposer. Il paraissait avoir des hallucinations
visuelles
non terrifiantes (visions d'oiseau qui vole, et
serait un phénomène de déficit, analogue au rétrécissement du champ
visuel
; il résulterait directement de l'insuffisance
que des rétrécisse- ments plus ou moins symétriques des deux champs
visuels
, dépen- dant des processus névritiques, et se t
ements continuels et provoquant même de véritables hallu- cinations
visuelles
. Mais au bout d'un mois ou deux, celte obsession
tion du goût, de l'odorat et de l'ouïe ; rétrécissement du champ
visuel
), une tendance aux attitudes cataleptiques et un
culpabilité, d'auto-accusalion, hypocondriaque; des hallucinations
visuelles
, auditives, sensorielles et psycho-motrices ; le
lade, très émotive, est atteinte d'un léger rétrécissement du champ
visuel
, d'une pollakiurie diurne avec urines normales, e
reils sensoriels ; la fatigue provoquait un rétrécissement du champ
visuel
de plus en plus grand, le goût s'en ressentait
incontestables de l'hystérie : rétrécissement concentrique du champ
visuel
avec dyschromatopsie et micropsie gauche, réfle
te distant de son inspirateur. 11 le voit devant lui (hallucination
visuelle
contemplative) ; en tout cas, il l'entend sous
en lourd, épais, terne, éteint. D Cette sensation est non seulement
visuelle
, mais cutanée. c L'atmosphère dumpf m'enveloppa
même date, le goût et l'odorat sont un peu diminués, mais l'acuité
visuelle
et auditive est normale. De même pour les réflexe
re est cependant sensiblement diminuée à droite. Toutefois le champ
visuel
présente un rétrécissement très net pour le blanc
oivent mal les impressions ordinaires, de même leurs hallucinations
visuelles
, par exemple, se pro- duisent commc à travers l
Mais tu es maudite ! » Depuis, aussi, elle a eu des hallucinations
visuelles
en rap- port avec ces mêmes idées ; elle a vu l
sie sensorielle reconnaît pour cause la perte des représenta- tions
visuelles
des caractères qui doivent traduire graphiquement
d'écrire devient telle qu'il n'a plus besoin d'employer les images
visuelles
graphiques; les souvenirs moteurs suffisent à d
nirs moteurs suffisent à diriger sa main; il a pu perdre sa mémoire
visuelle
, sans pour cela se trouver privé de la faculté
ire, ne pouvant écrire sans faire exclusivement usage de ses images
visuelles
, sera atteint en même temps de cécité verbale e
An- derson.OnsensorBpilepsy.(Ewaizz1886).Unelumièrevive, décharge
visuelle
, précédait l'accès épileptique : on trouva une lé
lobe frontal qu'on doit chercher la lésion déchar- geante ; l'aura
visuelle
, avec ou sans hémianopsie incomplète, indique u
espèce et souvent se dédou- ble : la terreur et les hallucinations
visuelles
disparaissent en quelques jours alors que les h
permet naturellement pas d'explorer comparativement la sensibilité
visuelle
de ses deux yeux. 4° Ouie. L'ouïe paraît normal
rec- tum et des organes génitaux. Le malade a des hallucinations
visuelles
(animaux, figures gri- marantes), tremblement a
é- rieure à son stade du syndrome spasmodique. Les hallucinations
visuelles
et le tremblement du malade de l'O.BsrRYATION X
érie (hémianesthésie sensitivo-sensorielle, rétrécissement du champ
visuel
, points liystérogènes, grandes attaques). On ch
on chez toutes, certains phénomènes rela- tifs à des hallucinations
visuelles
qui permettent comme les caractères somatiques
ions habituelles du caractère et un rétrécissement notable du champ
visuel
. Y a-t-il entre les injections de cocaïne et le
de départ peut être extérieur ; le voisinage des centres auditif et
visuel
explique la combinaison des hallucinations comb
les importants joués par les fibres commissurales entre les centres
visuels
et auditifs 2. Ces formes particulières de trou
pressions auditives des mots ne se rétablissaient pas, les mémoires
visuelle
et kinesthésique étaient intactes, car le malad
sur la cécité verbale, ou l'effacement partiel ou total des images
visuelles
des mots, établit des distinc- tions analogues
cécité, en . ce sens qu'elle ne porte que sur une moitié du champ
visuel
, c'est une hémiopie. Par la partie du champ de
er, et cette impossibilité tenait à ce que, du côté droit, le champ
visuel
était pour lui limité au point qu'il ne voyait
billes, dès que celles-ci entraient dans la partie droite du champ
visuel
. était, en fait, atteint d'hémiopie homonyme la
post-mortem. A une certaine époque, Ferrier localisa les centres
visuels
dans les plis courbes, à l'exclusion des lobes
ntes : quoique les lobes occipitaux soient compris dans les centres
visuels
, c'est néanmoins un fait re- marquable, qu'ils
tre, sans produire un trouble appréciable, ni' dans les perceptions
visuelles
de l'animal, ni dans ses mouvements oculaires,
du cerveau. Cette opération fut suivie d'un trouble des perceptions
visuelles
, mais ce trouble n'é- tait pas de l'amblyopie;
ccipitaux, sans déterminer de symp- tôme de lésion de la perception
visuelle
, étaient dus à ce que l'ablation était incomplè
ider la théorie de la cécité verbale; et même par rapport au centre
visuel
lui- même, les résultats obtenus par les observ
i concerne les malades des Observations XXXIII et XXXIV, la mémoire
visuelle
des mots et la mémoire des mouvements graphique
s ; il proférait tous les mots. Chez lui, il n'y avait ni mémoire
visuelle
des mots, ni mémoire- des mouvements gra- phiqu
es mots ; le malade ne profé- rait pas un seul mot : b), la mémoire
visuelle
des mots : il ne pouvait pas lire, mentalement,
ns la période somnambulique, le dé- veloppement d'une hallucination
visuelle
ou auditive. On pou- vait, au contraire, par ce
rgente (fixité, stabilité de l'expérience); pas de diplopie, acuité
visuelle
et fond de l'mil nor- maux. Des pointes de feu
tion interrompant la continuité des fibres reliant les deux sphères
visuelles
au centre de la parole (du côté gauche). Le ter
montré l'état normal des papilles des nerfs optiques et de l'acuité
visuelle
dans les deux yeux, avec un peu d'astigmatisme,
e droite dure. 11 n'y a pas de titubation. Il n'y a pas de troubles
visuels
. Enfin, sauf un certain degré de lourdeur de tê
rimètrede Landoltavait montré un rétrécissement irrégulier du champ
visuel
de t'ceit gauche. L'examen ophthalmoscopique no
roit interne de l'oeil gauche, rétrécisse- ment irrégulier du champ
visuel
, atrophie de la papille du même oeil, vertiges,
t associée à une autre affection nerveuse, déterminant des troubles
visuels
propres. L'examen des yeux, chez les hystérique
pres. L'examen des yeux, chez les hystériques, porte sur le champ
visuel
, la dyschromatopsie et deux autres symptômes qui
opie droite ou perte de la vision des deux moitiés droites du champ
visuel
, correspond à l'anesthésie des deux moitiés gau
é électrique des muscles normale; réflexes tendineux abolis; acuité
visuelle
diminuée. Mort au bout d'un mois de maladie. Pa
ser pour de simples métaphores désignant les troubles de l'appareil
visuel
ou du système moteur. Pour la volonté, définie
es, et réagissent bien iL la lumière et à l'accommodation. L'acuité
visuelle
est normale, l'enfant voit bien de près et de l
ériodiques de la vision, le rétrécissement con- w·ntricluu du champ
visuel
; on constate en revanche assez sou- vent l'int
ion peut entrer en ligne de compte pouriacon- servation de l'acuité
visuelle
. 'r<''))'< ? \'t'))'<ttn ? « ? ftf )'€
vements involontaires ou réflexes ceci- tés par les représentations
visuelles
. Qu'on excite le centre pos- térieur ou le cent
, on produit la conver- gence. P. 11ERAV : 1L. XXVI. De la région
visuelle
de l'écorce cérébrale et de ses rapports avec l
les obstacles; il semble que l'exercice élémentaire de la fonction
visuelle
soiL pleinement conservé.' 2. Chez \ oiseau, (p
es d'associa- tion sont intéressées des deux côtés depuis le centre
visuel
jus- qu'à l'écorce motrice. La lésion du pli co
(l. L'endroit de la vision distincte, et tout le reste de la région
visuelle
de l'é- corce peuvent être frappés indépendamme
un de l'autre. 11. L'extirpation bilatérale, complète, de la région
visuelle
dans l'écorce entraîne une cécité complète des
d'association, de projection, et de commissure émanées de la région
visuelle
corticale, les phénomè- nes physiologiques et p
l'excitation des centres correspon- pondants du cerveau, auditifs,
visuels
, olfactifs. «La lecture de de la pensée est-ell
itive, que Ftechsig- desi- gne avec le n° 5. Les lésions de la zone
visuelle
donnait aussi des résultats presqu'idonliquos,
ès lI. de 1\Ionakow aussi, le faisceau qui unit la sphère corticale
visuelle
aux centres optiques pri- maires se divise à la
d'association qui relie le lobe occipital et en particulier la zone
visuelle
au lobe temporal » . Ceci paraît être aussil'op
sceau de projection reliant le Thalamus opt. il la zone corticale
visuelle
. Il se base sur l'examen de cerveaux de nouveau-
e le tambour «dit-elle. Elle accuse des hallucinations auditives et
visuelles
de nature pénible. Elle entend de ses deux orei
lle, aux passants, avec ses clefs et son argent. Les hallucinations
visuelles
existent surtout la nui ! ; elle a des cauchema
menala suite d'un traitement par l'aimant. La mensuration du champ
visuel
à droite donne pour le blanc : HYSTÉRIE. AVEC H
hallucinations audi- tives après la disparition des hallucinations
visuelles
. D'autre part, c'est une hystérique ayant eu au
ut qu'une hémiamblyopie ; d'ordinaire, en pareils cas, les troubles
visuels
sont discontinus et l'hémianopsie ne tarde pas
on du champ REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 301
visuel
conservé dans l'ceil opposé . Les proportions du
écouvre de l'ambljopic droite : dans la détermination de l'a- cuité
visuelle
droite, il remarque, l'oeil gauche étant fermé, q
t pas davantage avoir provoqué de modifications dans les troubles
visuels
. Mentionnons toutefois que les perles menstruelle
avec un peu de stase veineuse, mais égale des deux côtés. L'acuité
visuelle
= I gauche ; elle est nulle à droite : la malad
st vu vert foncé. Il existe du rétrécissement concentrique du champ
visuel
des deux côtés. A gauche, ce rélrécissenientest
hiffre 55°-(i0° en dehors. Mais c'est surtout à droite que le champ
visuel
est rétréci, el d'une façon à peu près égale, i
lisé ce fait pour rechercher dans ces conditions l'étendue du champ
visuel
de l'oeil droit. Et nous avons pu constater que
il droit. Et nous avons pu constater que le rétrécissement du champ
visuel
, si marqué quand l'oeil sain est fermé, est beau-
L'mil nauclu; 1·l l'1·rm ? Il 1·nu·a t·ncnrc Ilc même pour l'acuité
visuelle
qui, l'l'chl'I'cllée aill-i, se 111[)1l[l'e éga
côté ; et que si la vision droite est récupérée, cette récupération
visuelle
ne dépasse pas le moment de l'expérience. - A
appel idéal pour une suppléance fonctionnelle. Or, cette suppléance
visuelle
est exceptionnelle d'après les auteurs et c'est
tête et des yeux avec hémianopsie par ramollissement de la sphère
visuelle
occipitale ; par MM..1. Nicolas et Cade. (.S'Ot
p de la con- science était rétréci et limité aux seules perceptions
visuelles
. Amaurose et paraplégie hystériques guéries par
de Windt), à la faveur d'exT citations kinesthésiques auditives et -
visuelles
. z m. 131NET-SU<;GU; fait un rapport sur un
ce du cervelet.Voir Fibres. du cerveau. Voir Fibres.'De la région
visuelle
de l'- céré- brale et de ses rapports avec le
te et des yeux avec hé- mianopsie par ramollissement de la sphère
visuelle
occipita- le, par Nicolas et Cade, 383. Nerfs
dans la paralysie, générale par Marandon de Montyel,417. Région
visuelle
. Voir Ecorcc cérébrale . Br,ii,. Voir Syringo
extrémités froides aucuns. moteurs. et moites. Sensibilité Acuité
visuelle
normale chez tous les malades. spéciale. Le fon
es deux frères Vue. (pas examiné chez la malade Olga). ' Le champ
visuel
, normal chez Olga et Nicolas, est légère- ment
de tremblement des paupières. Pas de rétrécissement marqué du champ
visuel
. Acuité auditive conservée. Olfaction normale.
espond en bas au rebord costal. Pas de douleurs intestinales. Champ
visuel
. Légère bronchite cet hiver, complètement guéri
us sommes arrêtés. Il fait de ce phénomène l'explication du vertige
visuel
dePurkinje. Il se passe quelque chose d'analogu
l. 11 n'y a pas cependant ici de nystagmus, et cependant l'illusion
visuelle
est nette. Il y a ici plus qu'une illusion due
rtige, dû à l'irritation du noyau interne, s'accompagne de troubles
visuels
et oculomoteurs, de nausée, de palpita- tion, d
interne et associer levertige à sa symptomatologie propre. Le vertige
visuel
, le vertige qui accompagne les nausées, et, dan
e la peur des espaces, du vide, qu'éveillera à son tour la fonction
visuelle
, dès que le terrain sera ainsi préparé. Cetle a
les affections labyrinthiques, celui-là même qui produit l'illusion
visuelle
qui a donné son nom au ver- tige, le nystagmus,
tre au sujet la série des objets que rencontre successivement l'axe
visuel
. Comme ce mouvement de retour n'est pas plus co
l'impression que ce sont les objets qui se déplacent dans son champ
visuel
supposé fixe, et non que celui-ci se déplace da
'irritation nucléaire de l'appareil ampullaire qui après l'appareil
visuel
lui-même, reste seul chargé de la coordination et
me de tout le champ vi- suel qu'on s'explique mal. L'obnubilation
visuelle
qui accompagne l'irritation ampullaire, et qui
es symptômes nous trouvâmes un rétrécissement considérable du champ
visuel
un peu plus accentué à gauche qu'a droite, mais
estations infantiliques visibles. Il y l'infantilisme de l'appareil
visuel
. J'ai pu améliorer notablement la (1) Végétatio
ment, en même temps que des étoiles bril- lantes éclairent le champ
visuel
. Des bruits de cloches se font entendre. D'aprè
illaire, signe d'Argyl Robert- son. Pas de dyschromatopsie ; acuité
visuelle
normale. Pas de rétrécissement du champ visuel,
omatopsie ; acuité visuelle normale. Pas de rétrécissement du champ
visuel
, quelques secousses nystagmiformes, aucune lésion
'anorexie est prononcée et la constipa- tion habituelle. L'acuité
visuelle
est normale ; il y a une légère inégalité pupilla
l'obscurité la marche était difficile. Fig. 1. - Schéma du champ
visuel
(Observation III). Entrée le 20 octobre 1896 à
plètement amaurotique. Myopie à droite, 4 dioptries environ, acuité
visuelle
1/3. Quand on provoque des mouvements d'abduction
ues oscillations lentes, pas de dyschromatopsie. La mesure du champ
visuel
de l'oeil droit fait constater un rétrécissement
l'ophtalmoscope, le nerf opti- que est décoloré à droite. L'acuité
visuelle
est normale, il n'y a ni diplopie, ni dyschroma
tuel. - Intelligence nette, pas de troubles de la mémoire. L'acuité
visuelle
semble un peu diminuée, pupilles égales, réagissa
ction. 11 n'a aucun stigmate d'hystérie. 390 G. GUILLAIN Le champ
visuel
est normal, il n'a aucun trouble oculaire. Tous s
ique du malade quand nous aurons dit que sa vue est hasse (l'acuité
visuelle
est de 1/2) ; il existe un très léger degré de
de 1/2) ; il existe un très léger degré de rétrécissement du champ
visuel
, surtout à gauche, mais sans trace d'hémianopsi
nerfs optiques sont un peu décolorés dans leurs contours; l'acuité
visuelle
est normale, il n'y a pas de rétrécissement du
eu. La paupière supérieure gauche est lé- gèrement tombante. Acuité
visuelle
normale, pas de dyschromatopsie, pas de lésion
ssenténergiquementà l'accommodation. Pas de dyschromatopsie. Acuité
visuelle
; o. d. = 1/6, o. g. = 1. A l'ophtal- moscope dé
rait pas eu de strabisme. Il n'y a pas de dyschromatopsie, l'acuité
visuelle
esl nor- male. Il y a de l'inégalité pupillaire
u être fait d'ailleurs que très sommairement; la recherche du champ
visuel
a été impossible. Les attaques épileptiformes
nombre, est incapable de les dénommer. Par conséquent la perception
visuelle
simple et la vision psychique sont conservées, ma
s comme si elle ne pouvait lire que dans un segment limité du champ
visuel
. Ecriture. - Elle dit ne pas savoir écrire : on
la photographie (Pl. LXXIX). D'autre part la nature des troubles
visuels
ne peut être bien déterminée, et l'hémianopsie,
n l'absence même d'autres stigmates (pas de rétrécissement du champ
visuel
ni de dyschromatopsie, aucune crise convulsive) o
musculature, la sensibi- lité et la trophicité de la face. L'acuité
visuelle
est bonne.; le malade lit sans lunettes ; les p
issent l'accommodation, à la lumière et à la convergence ; le champ
visuel
n'est pas rétréci. Pas d'bémiatropbie linguale.
Pas de troubles sensitifs ou sensoriels ni de rétrécissement du champ
visuel
; pas de zones hyperosthésiques ou hystérogènes
on âge. Pas de stigmates permanents. Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Pas d'attaques. Pas de points douloureux. Mo
e mécanisme passif de la fonction qui se trouve atteint, les images
visuelles
et auditives des mots ne pouvant plus arriver à l
et des nerfs optiques, de station en station, à travers les centres
visuels
infrà- corticaux ou basilaires, depuis la rétin
tubercules quadrijumeaux et les couches optiques comme des centres
visuels
secondai- res de la base où viennent aboutir le
s com- mencent dès qu'il s'agit de délimiter exactement les centres
visuels
de l'écorce cérébrale : Ferrier les localise un
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sions occupant, même d'un seul côté, la zone
visuelle
de l'écorce, quand on n'a pu découvrir aucun in
sente aucun stigmate, en particulier pas de rétrécissement du champ
visuel
. ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF MÉDIAN / 67
dénote toujours la présence du signe d'Ar- gyll Robertson. L'acuité
visuelle
est de z à droite et de à à gauche. Les papille
ire classique. Pas de dyschromatopsie ni de rétrécissement du champ
visuel
. Peu à peu l'état du malade s'améliore si bien
gne de l'orbiculaire qui persiste. La vue s'est améliorée; l'acuité
visuelle
est normale des deux côtés. Le / (1) Boïadjew
les dans la perception des couleurs; pas de rétrécissement du champ
visuel
. Extrémités inférieures : La marche et même la
la névrose, est en rapport avec le degré de rétrécissement du champ
visuel
. Ce rétrécissement, le plus sou- vent bilatéral
n donne plusieurs rai- sons, entr'autres l'intégrité de leur acuité
visuelle
et la conservation de leur centre de vision bin
oculo-moteurs de l'écorce seraient intimement associés aux centres
visuels
corticaux ; si leur localisation reste encore à
Pas de diplopie. V = 2/3 pour chaque oeil. Rétrécissement du champ
visuel
à peu près égal de chaque côté, de 60°-70° pour
aire. On ne note aucun trouble du côté des organes des sens ; champ
visuel
un peu rétréci concentriquement (fig. G). La cavi
ière - mais l'accommoda lion esl normale des deux côtés. L'acuité
visuelle
a un peu diminué. La lumière vive, le soleil ou l
) Toutes ces photographies ont été faites de manière à avoir les axes
visuels
ho- rizontaux. (2) En examinant les photograp
es ex- citations auditives, du diapason. Pour avoir des excitations
visuelles
M. Hogyes employait le morceau de papier du cam
jet fixant le bouton du campim8tre comme dans la recherche du champ
visuel
nous mettons en mouvement un petit papier'blanc
pêtrière T VI, PL XLI. CONTRACTURES PRODUITES PAR LES EXCITATIONS
VISUELLES
. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTRAIIY
1 ? THAUD CONTRACTURES PRODUITES PAR DES EXCITATIONS AUDITIVES ET
VISUELLES
. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTRADI
ine qui ne fonctionnent pas, même à l'état normal, comme des points
visuels
dans la recherche campimétrique ; et particuliè
savons, il y a un rétrécissement concentrique considérable du champ
visuel
, l'oeil gauche étant même aveugle tout il fait.
. Mi- cromégalopsie, à gauche pas de diplopie monoculaire. Le champ
visuel
exa- miné le 26 février 1890 montre un rétrécis
ment). Les sens spéciaux sont altérés à gauche. L'examen du champ
visuel
fait le 10 mai a montré un rétrécissement concen-
voit mal, surtout de l'oeil gauche. Pas de rétrécissement du champ
visuel
, pas d'achromatopsie. Les mouvements se font
de points hystérogènes, d'un rétrécisse- ment concentrique du champ
visuel
; dyschromatopsie, micromégalopsie. Les acciden
à une bles- sure du nerf médian, VIII. TABLE DES FIGURES Champ
visuel
dans : lèpre nerveuse, 6. contractures réflexes
cerveau, se guide surtout par la vue et l'ouie, et possède un champ
visuel
étendu (situation des axes oculairessensiblemen
ociation que s'explique la notion psychique de la vue - : le centre
visuel
ne donne en soi naissance qu'a des conceptions
celles qui sont fournies par le tact avec les conceptions du centre
visuel
.- Les deux observations anatomopathotogiques me
rie d'accès épileptoïdes, nous voyons apparaître des hallucinations
visuelles
terrifiantes. Les yeux sont largement ouverts,
que complètement ; la malade n'a plus que quel- ques hallucinations
visuelles
souvent fort longues, mais-moins terrifiantes q
s prononcée adroite', et un rétrécissement caractéristique du champ
visuel
de ce' côté ' ', - - , > . a . ' ? ? r.7· :
ation d'une hémianesthésie positive et d'un rétrécissement du champ
visuel
très marqué, surtout à droite, démontrent surab
qui nécessite le port (le Itiiiettes-coiisei(,s ri,, 1(;, l'acuité
visuelle
de l'oeil gauche étant moindre que celle de l'eei
s nette; les pupilles égales réagissent parfaitement, mais le champ
visuel
est extrêmement restreintàgauche, car le patien
de migraine opbtlialmique dire migraine complexe avec perturbations
visuelles
. La migraine est sujette à des lois · ? 10 INDE
, c'est l'existence d'un double rétrécissement très accusé du champ
visuel
(Fig. 8, 8, a et b). ' . , 280 CLINIQUE NERVE
'à deux ou trois reprises, nous avons cons- taté des hallucinations
visuelles
: à la fin de l'accès convulsif, la malade se r
es, si l'existence d'un double rétrécissement concentrique du champ
visuel
, tel qu'on ne l'a jamais encore, à notre connai
lade était distrait. Grar... se plaignit plusieurs fois de troubles
visuels
à gauche; ceux-ci ne furent que momentanés, mai
apsule interne les faisceaux de fibres de pro- jection de la sphère
visuelle
, l'atrophie s'étend dans les deux sens et, par
ent leur origine dans la région occipitale, nommée par Munk, sphère
visuelle
2. Elles aboutissent aux éléments des troisième
eul et même effet a été obtenu, savoir : le rétrécissement du champ
visuel
dans les deux yeux ; du côté opposé à la lésion
sain. En un mot, il y a sur cha- que oeil rétrécissement des champs
visuels
, qui siègent du côté opposé à la bandelette opt
u cerveau an- térieur doit exercer sur les lobes occipitaux (sphère
visuelle
), il doit exister des connexions directes entre
mpensation. Dans cette catégorie, il faut faire entrer les troubles
visuels
promptement passagers qui se manifestent lorsqu
me nerveux, et ce- pendant, sans qu'on eût constaté de perturbation
visuelle
, l'oph- thalmoscope révélait, au printemps de 1
né, mais en bas et en haut l'état normal est presque revenu. Acuité
visuelle
et accommodation parfaite, nulle anomalie à l'o
fièvre systématique entretenue par des hallucinations (auditives et
visuelles
) qui pro- voquent des accès d'angoisse, de refu
culaire. En même temps, rétrécissement concentrique des deux champs
visuels
, surdité, ageusie, anosmie du côté gauche. Tout
ôt la séance par la lecture de son mémoire Sur les allures du champ
visuel
dans leurs rapports avec les accès d'épilepsie.
e loi, mais seulement en certaines conditions déterminées. Le champ
visuel
demeure tel qu'il était avant l'attaque, quand
ion effective. On rencontre un rétrécissement concentrique du champ
visuel
, accompagné ou non de trouble de la sensibilité
du champ visuelqui revient à la normale. Le rétrécissement du champ
visuel
est toujours concentrique (ce n'est jamais de l'h
plupart du temps, mais non toujours, à une diminution de l'acuité
visuelle
. C'est à un trouble circulatoire de l'écorce du c
ilepsie qui coïn- cide avec un rétrécissement concentrique du champ
visuel
; le trouble circulatoire en rapport avec ce de
rce le réflexe à la lumière, amène aussi la régénération du pourpre
visuel
(voir à ce sujet l'ouvrage de Parinaud, La Visi
i appelé « le réflexe paradoxal du coude » (p. 34). C. - Du champ
visuel
et de la vision centrale dans l'atrophie tabéti
hie tabétique du nerf optique, une forme de rétrécissement du champ
visuel
particulière à cette affection. « 2° Dans la gr
e à cette affection. « 2° Dans la grande majorité des cas, le champ
visuel
pour le blanc est irrégulièrement rétréci et l'
affaiblissement de la vision va de pair avec la limitation du champ
visuel
. « 3" On observe aussi des cas où le rétrécisse
s où le rétrécissement concentrique s'accompagne d'une bonne acuité
visuelle
et parfois d'une conserva- tion parfaite de la
que. Par suite delà disparition pro- gressive d'un secteur du champ
visuel
, la vision centrale peut être abolie, tandis qu
le peut être abolie, tandis que persiste une grande partie du champ
visuel
péri- phérique. Il s'agit là d'un pseudo-scotom
mais été noté dans l'atrophie tabétique du nerf optique, une acuité
visuelle
normale et une absence de dyschromatopsie contras
fin, l'évolution de l'affection, l'atténuation notable des troubles
visuels
sont en opposition avec le diagnostic de tabes.
sthésie, insensibilité du fond de la gorge, rétrécissement du champ
visuel
, etc.), était généralement considérée comme hysté
t, je n'ai constaté ni hémianes- thésie, ni rétrécissement du champ
visuel
, ni dyschromatopsie. Tout commentaire serait su
gneusement l'élat de la sensibilité et mesura an périmètre le champ
visuel
de plus de 600 « rescapés » dont quelques-uns s
s un seul cas d'lié 1111 an osiliésie ou de rétrécissement du champ
visuel
. Pourtant on est bien en droit de penser que l'
un syringomyélique. exposé à se brûler ; un rétrécissement du champ
visuel
, quelque prononcé fût-il, ne l'empêchera pas, ain
ralisée, anesthésie pharyngée, rétrécissement concentrique du champ
visuel
; et h ces stigmates classiques s'ajou- taient
mine sur la chorée de Sydenham (Id., janvier '907). 132. Du champ
visuel
et de la vision centrale dans l'atrophie tabétiqu
hilléen go Réflexes tendineux des membres supérieurs 1)2 Du champ
visuel
et de la vision centrale dans l'atrophie tabétiqu
né pen- i dant deux ans. A ce qu'il pardit, it'a des hallucinations
visuelles
. ' car il raconte qu'il voit des gens sur le mu
à ce qui a lieu pour les autres sensibilités : musculaire, tactile,
visuelle
, etc. Il résulte de ces recherches que les cent
qui joignent le. centre intellectuel au centre moteur et le centre
visuel
des caractères au centre sensoriel. Elles doivent
i- anesthésie complète du côté droit avec rétrécissement du champ
visuel
, amnésie, etc. Tous ces accidents, sauf l'amnésie
es suivants : 1° trois centres de mémoire verbale, auditif, moteur,
visuel
; 2° un centre endophasique de même nom que l'un
a psychologie du malade; elles diffèrent, suivant qu'il s'agit d'un
visuel
, d'un auditif ou d'un moteur. L'aboulie essen
entres sensoriels de réception, comme A (centre auditif), V (centre
visuel
), K (centre kinétique), T (centre de sensibilit
A, centre auditif, écorce des circonvolutions temporales, V, centre
visuel
, écorce de la région calcannienne ; T, centre t
ement de la douleur, mais d'autres sensations spéciales. Sensations
visuelles
: les hallucinations de la vue paraissent faire
taient seules unilaté- rales. Si l'on écarte ici les hallucinations
visuelles
, qui sont dou- teuses, et si l'on admet que les
une année, quelquefois plus. Rapport entre la puissance de l'image
visuelle
et la puissance du souvenir ; applications prat
emble avoir un voile devant les yeux. Aucun rétrécissement du champ
visuel
. On constate encore de l'hypertrophie des extré
ramollissement en bouillie du lobe occipital occupant toute la zone
visuelle
; à gauche ramol- lissement moins prononcé, mai
éognostique sont intacts; les organes des sens sont sains. Le champ
visuel
n'est pas rétréci ; pas de dys- chromatopsie.
1900, chez les paralytiques généraux, des modifications du champ
visuel
et en vante beaucoup la valeur. Nous dirons pou
ent entraîner une modification, nous avons toujours trouvé le champ
visuel
normal. Telles sont, brièvement résumées, les n
u nerf optique à droite; à gauche une légère diminution de l'acuité
visuelle
. 111. Jaboulayla trépana. A la suite de cette o
le. 111. Jaboulayla trépana. A la suite de cette opération l'acuité
visuelle
de luit gauche redevint normale et les douleurs
ce de relation entre la date d'apparition des troubles sensitifs et
visuels
. Quand les douleurs ont été précoces, la cécité
les de la coordination apparaissent plus souvent après les troubles
visuels
qu'avant eux ou en même temps qu'eux; l'inierva
uant chacun pour son compte; les troubles spinaux et les troubles
visuels
du tabes semblent être des symptômes de deux loca
s peuvent être mises en regard de la fréquence des hallu- cinations
visuelles
. Les délires alcooliques sont histologiquement
lustration. François. - A pensé à Fr. Coppée, aucune représentation
visuelle
. Arugo. - S'est représenté le boulevard Amao, u
e ? rondes et égales, non dilatées. -Pas de rétrécissement du champ
visuel
. Réflexes conjonctivaux et pharyngiens normaux.
flexes conjonctivaux et pharyngiens normaux. - Perceptions sonores,
visuelles
, oll'aclives, gustatives bien conservées. Pas d
s et s'accompagnent le plus souvent d'hallucinations auditives el
visuelles
. » Ces deux citations qui d'ailleurs résument l
l'hôpital, il la voyait et l'entendait fréquemment. (Hallucinations
visuelles
et auditives). A partir de cette époque C... a
d'elle et en mal, etc. On note encore chez elle des hallucinations'
visuelles
de nature mys- tique. (Apparitions divines.)
e types nettement déterminés. Le premier, délire alcoolique du type
visuel
(delirium tre- mens), est caractérisé par la pr
- mens), est caractérisé par la prédominance des hallucina- tions
visuelles
très mouvementées, de la désorientation par rap
tives de cette forme sont aussi mouve- mentées et multiples que les
visuelles
du delirium tremens. Le malade, contrairement a
est moins profonde au cours du délire auditif que dans le délire
visuel
(delirium tremens) où la confusion et l'incohéren
so- rientation, l'extrême agitation, les multiples hallucinations
visuelles
, l'exagération du tremblement, tout cet ensemble
terrain même d'un délire auditif ? · Si nous admettons que le type
visuel
est l'expression d'une perturbation intellectue
ive. Le type auditif repré- senterait la forme plus légère, le type
visuel
la forme plus grave. REVUE D'ANATOMIE ET DE P
se et anormale. Ces états mentaux relèvent surtout des stimulations
visuelles
, parce que la vision et ses associations jouent
onner seulement à l'aide de l'influence sur lui du côté du cen- tre
visuel
et auditif; le rapporteur localise ce centre acce
me un centre purement moteur; l'association des images idéatives,
visuelles
, auditives et d'autres, avec l'image motrice de l
d'- avec amaurose. par Hvinanson, 146. Voir Epi- lepsie. Image
visuelle
. Rapport entre la puissance de l'- et la puissa
hez lui aucun trouble de sensibilité : le coeur est sain ; le champ
visuel
est normal. Observation III (Personnelle). G.
e de la sensibilité et que l'examen du fond de l'oeil et du champ
visuel
n'a révélé rien de particulier. 26 juillet. G..
d'huissier : il ne présente aucun trouble de sensibilité, le champ
visuel
est normal; les or- ganes génitaux sont bien co
pas sûre du vert, c'est-à-dire qu'elle a un rétrécissement du champ
visuel
à gauche; elle entend moins la montre à gauche;
sens de la lumière, celui des couleurs et celui de l'espace (acuité
visuelle
). Il croit que ces centres sont su- perposés et
odifica- BIBLIOGRAPHIE. 137 tions pathologiques de la sensibilité
visuelle
avaient été étudiées plus rigoureusement, l'aut
s, ou des troubles de la sensibilité, ou un rétrécissement du champ
visuel
, tous phénomènes que nous n'avons jamais notés
péciale, caractérisée par un rétrécissement concen- trique du champ
visuel
, avec diminution de l'acuité visuelle, et quelq
ssement concen- trique du champ visuel, avec diminution de l'acuité
visuelle
, et quelquefois disparition de la vision d'un c
Hémiplégie, hémianesthésie, rétrécissement voit- centrique du champ
visuel
.- Autopsie. La nommée Lét..., soi.\ante-et-un a
e, l'odorat, le goût sont sensiblement obnubilés droite. - L'acuité
visuelle
est la même pour les deux yeux, 0,6 ; pas d'ach
eux yeux, 0,6 ; pas d'achromafopsie, mais rétré- cassement du champ
visuel
, surtout marqué droite (fig. 1); pas de lésions
plégie droite avec contracture. Rétrécissement segmentairc du champ
visuel
. Autopsie 2. lIm° IL ? quarante-cinq ans, ancie
ision. Il existe en effet, un rétrécissement hémianopsique du champ
visuel
portantsurlamoitiésupérieure droite, sans atteind
ibres provenant des régions de l'écorce qui président à la fonction
visuelle
. Certaines variétés anato- miques légitiment ce
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUES sur les rapports qui rattachent la sphère
visuelle
(de Muiik i) Aux centres optiques infra-cortica
au antérieur, sont en grande partie di- rectement unies à la sphère
visuelle
(zone A). Le nerf optique de cet animal est, pa
me chez le chat. La résection de régions circonscrites de la sphère
visuelle
entraîne (six à huit semaines après l'opération
opération), des arrêts de développement qui portent sur les centres
visuels
infra-corticaux et se propagent sans interrupti
trophie des nerfs optiques qui succède à l'extirpation de la sphère
visuelle
a lieu par l'intermédiaire de la nécrose des ce
parait presque exclu- sivement uni à la moitié médiane de la sphère
visuelle
, le faisceau non entrecroisé se rendant à la mo
optiques correspond assez sensiblement, comme étendue, à la sphère
visuelle
du chien, de Munk; mais chaque district de l'éc
; la perte passagère des images corn iiiénioralives des impressions
visuelles
, résulte de troubles moléculaires et circulatoi
congestives se traduisent certainement par deux genres de troubles
visuels
: 1 par de la cécité psychique pure, sans qu'on
e; ces deux forment s'associent probablement bien des fois (trouble
visuel
combiné). L'existence d'une amaurose exclusivem
s ont constaté que, dans différentes circonstances, l'hallucination
visuelle
produit une modification dans la sensibilité de
s téguments, ce qui nous paraît rendre probable que l'hallucination
visuelle
intéresse le centre de la vision. Ainsi, chez u
ps que l'hallucination. Enfin, chez une hypnotique, l'hallucination
visuelle
unilatérale produit une dysesthésie localisée e
Wochenschi-ift.) Discussion : M. SCEUETZ. A-t-on examiné le champ
visuel
et l'acuité auditive de l'oreille droite ? M.
en ce qui concerne l'étiologie, les troubles de la vue, les champs
visuels
, etc. La démence paralytique est une cause d'atro
la localisation .cérébrale des troubles de la), par Ch. Féré, 22.
Visuelle
(sphère), par Moiiakow, 256. TABLE DES AUTE
l existe (fig. 9, 10) un rétrécissement concentrique à 60° du champ
visuel
de l'oeil droit; de la micromégalopsie, de la dip
IRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE. 10 de troubles
visuels
, aucun autre symptôme qui puisse faire croire à l
(analgésie cutanée générale, rétrécissement concentrique des champs
visuels
, etc.), pré- sente un petit tremblement des mem
té et ergoté sur l'hémianesthésie et sur le rétrécissement du champ
visuel
, sur la température dans l'hystérie. M. Charcot,
violet; polyopie monoculaire. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
de l'oeil gauche, à 70" (fig. 33, 3 >.). L
u tronc, en arrière seulement; rétrécissement concentrique du champ
visuel
à ! 0°, des deux côtés; dyschromatopsie pour l'
Il existeun rétrécissement concentrique un peu irrégulier du champ
visuel
dans les deux yeux. , . La malade porte plusieu
flexe pharyngien, pas de troubles de la sensibilité générale. Champ
visuel
normal à droite, à gauche 60. Un peu de micromé
t conservée et on ne note pas le plus léger rétrécissement du champ
visuel
ni à droite ni à gauche. Pas non plus de dyschr
qu'Alphonsine Prev... s'est aperçue de la diminution de son acuité
visuelle
. Aujour- d'hui l'amblyopie est telle qu'elle a
uivants : aucune lésion du fond de l'oeil. La réduction de l'acuité
visuelle
est due à une anomalie de la réfraction (astigm
un peu de diminution de la sensibilité dans cette région, l'acuité
visuelle
n'était pas modifiée, l'amé- lioration fut prog
ingulière, les yeux regardant en face vaguement, parce que les axes
visuels
ne convergent pas exactement. Pour regarder de
Il ne s'agit pas ici d'un dé- collement de la rétine, car le champ
visuel
n'est pas altéré, ce qui enlève toute espèce de
ens normaux. Rien à l'ophtalmo- scope ; réaction pupillaire, acuité
visuelle
, accommodation normales. L'affec- tion date de
réagissant bien à la lumière et à l'accom- modation. Myopie. Acuité
visuelle
surtout affaiblie à gauche. Facial non intact.
n difficile, étouffements, émaciation et perte des forces. L'acuité
visuelle
est restée bonne et le fond de l'oeil normal. Auc
tion conservées. - Signes de la paralysie de l'hypo- glosse. Acuité
visuelle
à droite Fo- 1 ) à gauche presque normale. Le 1
ment. En somme, sept semaines après le déhut de la maladie l'acuité
visuelle
, qui était déjà augmentée de moitié, et l'accom
Réflexes conservés. Aucune lésion du fond de l'oeil. Les fonctions
visuelles
, sauf la diplopie, sont normales ». Un certain de
l droit. 3)1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPI : TRIÈRE. L'acuité
visuelle
est sensiblement normale dans les deux yeux : O
O.D.II=- ? D.V= 7.O.G.II--3D.V= 5. z Pas de modification du champ
visuel
ni de dyschromatopsie. Pas de lésion du fond de
hantiasis nostras, 74, 76. Glossographe, 46, 47. Hystérie (Champs
visuels
dans 1' ). 3, 4, 9, 10, 33, 34; schémas de sens
converger. Intégrité complète des réflexes pupillaires, de l'acuité
visuelle
et du fond de l'oeil. La parole est ralentie, un
nt de la mémoire. - Premiers troubles intellectuels, hallucinations
visuelles
, folie mystique qui font renvoyer l'enfant de l
stérie, loquacité, agitation, propos déraisonnables. Hallucinations
visuelles
, fréquence du pouls. - Génuflexions fréquentes
modation. Le fond de l'oeil ne décèle rien de particulier. L'acuité
visuelle
semble normale, pas de rétrécisse- ment du cham
L'acuité visuelle semble normale, pas de rétrécisse- ment du champ
visuel
. Le nez est long, droit, un peu élargi à son ex
ensations douloureuses, anesthésie, cécité, rétrécissement du champ
visuel
, hémianopsie, surdité) : c) troubles moteurs (par
du cunéus débute souvent par un obscur- cissement de tout le champ
visuel
, allant même ju-qu'à l'amaurose complète par in
ète par inhibition du demi-centre sain. Les territoires corti- caux
visuels
ne sont pas divisés en centres respectifs pour la
aveugle sont dues à des irritations à distance réflexes de centres
visuels
plus élevés. L'hémianopsie de la migraine est d
la migraine est due à une décharge épileptique dans le demi- centre
visuel
d'un côté, et dans bien des cas une décharge épil
e décharge épilep- tique peut prendre naissance dans le demi-centre
visuel
d'un côté et ne pas le dépasser, y produisant a
are dans l'épilepsie jacksonienne et n'arrive que si le demi-centre
visuel
est légèrement altéré, ou au moins hyperes- thé
schromatopsie, elle est mieux conser- vée de l'autre côté, le champ
visuel
est fort rétréci, mais l'acuité visuelle est no
ée de l'autre côté, le champ visuel est fort rétréci, mais l'acuité
visuelle
est normale. 11 s'agit d'un pseudo-tabes. Du côté
provoqués par l'excitation électrique des lobes occipitaux (sphère
visuelle
). Mes expériences ne portent que sur les deux p
il droit. Au bout de ce temps, l'oeil recouvra son entière acuité
visuelle
. A ce propos, M. Harlan fait les remarques suiv
ers temps, état de dépression. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
des deux côtés. Diminution de l'acuité auditive
mant des types assez nettement définis pour être désignés du nom de
visuels
, auditifs, moteurs. Tous ces matériaux accumulé
rticulé, sensoriels et moteurs, le centre auditif verbal, le centre
visuel
des mots, celui des mouvements de la main éduquée
dans les lésions du cerveau antérieur que dans celles de la sphère
visuelle
, troubles qui, d'après Munie, seraient uniqueme
uniquement dus à des troubles de voi- sinage, portant sur la sphère
visuelle
, ou à des défauts de tech- nique opératoire.
istent chez le chien entre la vue et le gyrus sigmoïde et la sphère
visuelle
. Après extirpation de la dure-mère sans lésion
té observés dans l'appareil à suspension et l'épreuve de leur champ
visuel
a été pratiquée à l'aide de morceaux de viande.
ation superficielle le gyrus sigmoïde, on n'ob- serve aucun trouble
visuel
. Ces troubles peuvent apparaître cepen- dant ap
entre ce point et la substance blanche, dans la règle aucun trouble
visuel
ne se produit. ' Par ces opérations de contrô
: 1° La locali- sation de Munk ne peut pas être le siège du centre
visuel
cortical, et 2° que cette localisation aussi bi
ndirecte, par voie vraisemblablement sous- corticale avec le centre
visuel
cortical qui, d'après Henschen et d'autres aute
SECTION DE NEUROLOGIE. ;-\ : -31 sensibilité corporelle ; la sphère
visuelle
; la sphère auditive ; la sphère olfactive et g
ées de ruine et de culpabilité, scrupules religieux, hallucinations
visuelles
et auditives, sitiophobié, etc. Il y a un an, j
Ir-1881-) il faut citer les recherches de M. Hitzig sur les sphères
visuelle
et auditive de l'écorce cérébrale (1874-1883-18
s-ci peuvent-elles être tout aussi bien audi- lives que motrices ou
visuelles
suivant le sujet et aussi suivant l'affection d
e premier dans son intéressant travail a déterminé les sensa- tions
visuelles
galvaniques. L'électrode indifférente étant fix
de la Seine et à la Commission de surveillance.) Des hallucinations
visuelles
complémentaires chez les amputés. M, P. PARIGOT
existe des 488 CONGRÈS international DE médecine. hallucinations
visuelles
qui viennent se surajouter aux diverses hal- lu
r entre l'oeil du sujet et l'image caractérisée. Les hallucinations
visuelles
sont tantôt spontanées, tantôt pro- voquées par
a totalité. La persistance de l'association fonctionnelle du centre
visuel
cor- tical avec les autres régions sensitivo-se
Be- naît, 289. Hallucinations psychiques, par Sé- glas, 395. -
visuelles
complé- mentaires chez les amputés, par Paris
de la marche depuis deux ans. Amaurose progressive, hallucinations
visuelles
. Surdité progressive, complète ci gauche, avec
mobiles de gauche à droite et multiples. De plus Izullzcci- nation
visuelle
, lumineuse, unique et permanente dans la fixation
vue s'affaiblit peu à peu; enfin apparaissaient des hallucinations
visuelles
s'accompagnant d'agitation nocturne et de trouble
plus. On a noté dans le même temps des hallucinations auditives et
visuelles
sur lesquelles nous insisterons plus loin. Mais
B. - Les hallucinations observées ont été auditives mais surtout
visuelles
. Les hallucinations auditives se sont montrées
ions délirantes. Beaucoup plus complexes ont été les hallucinations
visuelles
survenant en dehors de toute intoxication alcoo
était dirigé à gauche et en haut. L'existence de ces hallucinations
visuelles
de deux espèces forme l'un des côtés intéressan
u'a étudiés M. Lamy', hallucinations dans la partie abolie du champ
visuel
chez des hémianopsiques : ces hallucinations so
r dans la catégorie de ces prédisposés et ses hallu- cinations tant
visuelles
qu'auditives, reconnaissent une genèse analogue
terprétation des bruits morbides auriculaires et les hallucinations
visuelles
l'interprétation des sensations morbides lumine
ement la face d'un « Ethiopien », nous avons affaire à une illusion
visuelle
. L'apparition d'une hallucination fait supposer
CO-PÉDAGOGIQUE. entre autres buts, celui de discipliner J'attention
visuelle
et celui d'exercer les facultés d'observation e
d'assez bons résultats au point de vue de l'exercice de l'attention
visuelle
et de la faculté imitative, ainsi que l'attenti
es signes suivants : hémianesthésie gauche, rétrécissement du champ
visuel
, douleur pseudo-ovaralgique, légère parésie à g
gnes disparaissent sauf le pouls lent et le rétrécissement du champ
visuel
. A une seconde entrée du malade on constate une
de lavue et encore dans un rétrécisse- ment très prononcé du champ
visuel
. Le goût est affaibli ; la malade ne peut disti
occipital, il y a destruction des images commémoratives des signes
visuels
de l'écriture; c'est en ce cas qu'il y a perte de
ment d'une atrophie à la suite d'oedème, rétrécissement du champ
visuel
des deux yeux, surtout dans sa région supérieuree
de songer à étudier le degré d'acuité auditive ni le degré d'acuité
visuelle
, ni de mesurer le champ visuel. En résumé, je me
uité auditive ni le degré d'acuité visuelle, ni de mesurer le champ
visuel
. En résumé, je me trouvais en face d'une contra
éger, je constatais un rétrécissement concentrique notable du champ
visuel
, une diminution de la sensibilité du côté gauch
t parler paraplégiques ; 3° un rétrécissement concentrique du champ
visuel
; une diminution de l'acuité auditive, du goût
dantes (centre du bras et de la jambe), le lobe occi- pital (centre
visuel
), puis la localisation s'est limitée aux voies
tre sensoriel des images graphiques pro- duites par les impressions
visuelles
(centre optique) et le centre >ensoriel et m
l'endroit où passent les fibres d'association qui relient le centre
visuel
occi- pilal au centre de la parole et au reste
la lésion doit s'étendre aux fibres d'asso- ciation entre le centre
visuel
et le centre auditif. Comme il écrit et dessine
nsibilité gustative et olfactive, et enfin sen- sibilité tactile et
visuelle
. La mémoire n'a apparu que longtemps après. Les
de ces cas, vient à l'appui de cette opinion. Le rappel des images
visuelles
a été plus difficile que celui des images audit
x deux dernières catégories d'images que par des phénomènes d'ordre
visuel
. Or, la malade qui a donné lieu à ces remarques
r, la malade qui a donné lieu à ces remarques avait eu des troubles
visuels
très accentués d'origine cérébrale- immédiateme
vais constaté un retrécissement con- centrique très marqué du champ
visuel
, lors du dernier examen. Évidemment ces dernièr
nt touché n'est nullement douloureux. Pour constater les troubles
visuels
achromatopsie, dyschro- matopsie, rétrécissemen
s visuels achromatopsie, dyschro- matopsie, rétrécissement du champ
visuel
, il n'y faut pas songer chez l'enfant en bas âg
une valeur séméiologique considérable, le rétrécisse- ment du champ
visuel
surtout qui a une signification carac- téristiq
ndis qu'elle se rappelle ces pratiques, arrivent les hallucinations
visuelles
et tactiles en ques- tion. Donc, conclut l'aute
ement prévus. A. Marie. BIBLIOGRAPHIE. VIII. Examen oculaire et
visuel
de trois cent soixante-deux jeunes détenus de l
r tous les modes de sensibilité et un certain rétrécissement du champ
visuel
. La contracture du bras droit est due à l’immob
IE & DE NEUROLOGIE Par M. le D' Paul Parez. Un cas d'illusion
visuelle
d’originr onirique chez un alcoolique, par M. Gra
, crever les hommes en prison, etc. » Il s’agit donc d’une illusion
visuelle
d’origine onirique survenue chez un homme dont l’
hénomène somatique lui-méme, vaut mieux que reproduire les conditions
visuelles
ou psychiques des hystéro-traumatismes. Les mod
ésie pour tous les modes de ki sensibilité. Hallucinations auditives,
visuelles
, olfactives, gustatives, tactiles, thermiques, mu
B. — Sphère représentative : Dissociation des images: auditives,
visuelles
, motrices d’articulation et motrices graphiques.
espèce déterminée d’images, selon que le sujet est auditiT, moteur ou
visuel
. VIII Les aperçus qui précèdent sont bien loi
idées de luinc et de culpabilité, scrupules religieux, hallucinations
visuelles
et audilives, sitiophobie, etc. II y a un an, je
int beaucoup plus détaillée : « J’ai eu n — dit le sujet —• « l’image
visuelle
très rapide de toute une scène que j’ai vécue à l
de mes sujets me dit soudain : a Je viens d’avoir subitement l’image
visuelle
du bras de M. J... dans le pléthysmographe. Je ne
t ceci se passait très obscurément en moi. j'ai eu subitement l'image
visuelle
très nette du bras de M. J... dans le pléthysmogr
pour les comédiens. L’aptitude varie suivant les sujets, tel qui est
visuel
prendra mieux le geste et la physionomie, tel qui
espèce déterminée d'images, selon que le sujet est auditif, moteur ou
visuel
. ¥ • L'évocation du subconscient peut être l’
actitude. Le pouvoir de la musique s’exerce aussi sur l’imagination
visuelle
. Parfois les réactions motrices font défaut et, a
à l’occasion de sa nomination, toutes nos félicitations. Troubles
visuels
hystériques chez l’homme. M. Wettendorfer en ra
un peu, il restait seulement un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. L’amélioration se produisit immédiatement après
tales, des migraines, de l’affaissement psychique, des hallucinations
visuelles
, des obsessions, des terreurs, des tics, des impu
opsie hystérique paraît due à la dilatation des neurones de sensation
visuelle
, la micropsie à leur contraction, et la déformati
t due, dans un certain nombre de cas, à la segmentation du centre
visuel
par des plans de neurones rétractés ('). Les hy
et non de Pamblyopie du côté anesthésié. Le rétrécissement du champ
visuel
et des champs des couleurs est dû sans doute auss
entraînés à l’extension. Ainsi s'explique que la diminution du champ
visuel
et des champs chromatiques ait lieu le plus souve
que à la suite d’un traumatisme psychique, du rétrécissement du champ
visuel
, de l’absence de lésion oculaire et de l'héniianc
riels (neurones à images tactiles, gustatives, olfactives, auditives,
visuelles
, etc.J. Les images composées résultent de l’agg
dilatations et contractions pupillaires dans le cas d'hallucinations
visuelles
.) L'amnésie et l’hypermnésie hystériques sont d
ssement du champ de la conscience analogue au rétrécissement du champ
visuel
. Le pallium de l’hystérique est comparable à un
obsédantes et délire de persécution, par Raymond, p. 278. Illusion
visuelle
d’origine onirique chez un alcoolique, par Grangi
mental (M. Ch. Renouvier et la théorie du), par Paul Farez, p. 193.
Visuels
(Troubles) hystériques chez l'homme, p. 253. FI
tre modes spéciaux de mémoire du mot, à savoir mémoires auditive,
visuelle
, motrice d'articulation et motrice graphique, e
e pariétal in- férieur, le centre de la vision et des perceptions
visuelles
des mots, incomplètement l'artère de la pre- mi
mière temporo-sphénoïdale, a produit la perte com- plète de l'image
visuelle
et motrice d'articulation, incomplète de l'imag
gner sous le nom de cécité corticale partielle, une lacune du champ
visuel
bi latérale absolue mais incomplète ; - 8° la c
occupe la con- vexité du lobe occipital; - 10° les lacunes du champ
visuel
ne passent t par le point de fixation que quand
dans ses cellules, vont se terminer en arborescences dans la sphère
visuelle
du cerveau (coin). Par conséquent, des sollici-
terne par simple contiguïté de fibres. Quand on a extirpé la sphère
visuelle
du cerveau on obtient l'atrophie non seulement
complète (la vision centrale des deux yeux est conservée); acuité
visuelle
de 1/4 à 1/5 (constatée à l'aide des tableaux de
sychique peut émaner d'un trouble fonctionnel de l'écorce du centre
visuel
(symptôme indirect pos- sible d'une lésion en f
qui, eu vertu de ses connexions anatomiques, donne une sensation
visuelle
, pourrait aussi bien, dans d'autres conditions,
es centres nerveux corticaux. Cependant l'ablation des deux sphères
visuelles
d'un animal le rend pour toujours aveugle, et l
le rend pour toujours aveugle, et la destruction d'une seule sphère
visuelle
détermine une hémianopsie qui ne s'amende jamai
la sensibilité. Par exemple, si les cellules nerveuses des sphères
visuelles
n'ont rien qui les différencie fonctionnellemen
Gudden dans des expériences célèbres. Mais, en enlevant les sphères
visuelles
tout entières, chez des lapins nouveau-nés, c'e
'é- corce,'elles y sont sans doute conservées sous forme d'images
visuelles
commémoratives, et s'y trouvent naturellement r
nerveux de la sensibilité et de la motilité coexistent dans la zone
visuelle
, parce qu'il n'est point de perception de la vu
, etc., etc. La ma- ladie a débuté il y a dix ans, par des troubles
visuels
; ces troubles ont abouti, il y a cinq années, à
mplète ; actuellement un des yeux est totalement perdu, et l'acuité
visuelle
de l'autre oeil a considérablement baissé (étud
visuelle de l'autre oeil a considérablement baissé (étude du champ
visuel
) ; il y a évidemment une tumeur de la glande pi
fficile, très difficile même, de trouver le rétrécissement du champ
visuel
chez des malades illettrés et inattentifs, et i
, par suite, n'ont eu aucun intérêt à simuler, on voit que le champ
visuel
joue un grand rôle dans l'es- pèce. Les névrose
semblance avec l'hystérie ; le rétrécissement considérable du champ
visuel
y est caractéristique. Il faut remplacer l'expr
it les objets simples à droite. Intégrité des papilles, et du champ
visuel
; intégrité complète du fond de l'oeil. L'état
x côtés. A droite et à gauche, rétrécissement concentrique du champ
visuel
; abo- lition de la perception du violet. Avan
ent à ce genre d'étude. De ce fait que les impressions auditives ou
visuelles
ne sont pas perçues consciemment quand leur dur
formuler ainsi les résultats de ces expériences : 1° Une impression
visuelle
peut être perçue inconsciemment; mais un travai
Dans l'emblyopie hystérique ou dans le rétrécisse- ment du champ
visuel
, l'objet, pour être aperçu, doit être placé dan
ction du forceps qui a pour fonction de relier les deux territoires
visuels
, rend im- possible la communication du territoi
rritoires visuels, rend im- possible la communication du territoire
visuel
gauche avec le droit qui est intact. Le faiscea
me de sous-corticale. Son malade ne peut lire parce que ses centres
visuels
droit et gauche ne peuvent conduire des excitat
ole. La lésion du tapetum qui établit l'association entre le centre
visuel
droit et le centre auditif est de la plus grande
sait la perte de l'association entre le contre auditif et le centre
visuel
, grâce à l'association existant entre les mots
gnements qu'il donne ne sont pas bien précis sur les hallucinations
visuelles
. On sait combien il est parfois dif- ficile à u
UE MENTALE. genre dans l'oeil droit ou dans l'oeil gauche. Le champ
visuel
des deux yeux ayant une grande partie commune,
ale, et notre malade ne sait pas en réalité*si ses halluci- nations
visuelles
ont été unilatérales ou bilatérales. Ajoutons q
, etc., mais quel- quefois il survient de véritables hallucinations
visuelles
ou auditives dont la pathogénie est facile à co
à des engour- dissements, s'il s'agit des centres dc la sensibilité
visuelle
, auditive ou tactile; mais jamais le cerveau ét
s qui peuvent être évoqués à l'aide d'images motrices, auditives et
visuelles
. La note musicale peut être chantée ou jouée me
et Brazier a observé un fait de cécité des signes musicaux (amusie
visuelle
) sans aucun mélange d'alexie ou cécité des mots
ocondriaques, de l'auto-accusation. Les hallucinations auditives et
visuelles
sont fréquentes : les malades voient devant eux
e ne sen- tait pas, par exemple, le contact de la glace. L'acuité
visuelle
était très faible et par moments la vue était c
ts la vue était complètement brouillée « un rétrécissement du champ
visuel
avec des particularités qui, d'après Charcot, s
ant plusieurs heures. L'examen ophtalmoscopique donne pour le champ
visuel
gauche 20/30 papille normale - et pour le champ
our le champ visuel gauche 20/30 papille normale - et pour le champ
visuel
droit 20/100, avec légère rétraction des artère
II. Hémianopsie transitoire ET rétrécissement concentrique du champ
visuel
D\1\, un cas DE paralysie 1NP1NTILE d'origine CËR
nyme droite accompagnée d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. L'hémianopsie disparaît progressivement; en mê
. L'hémianopsie disparaît progressivement; en même temps le champ
visuel
s'élargit et au bout de deux mois tout rentre dan
- tion des couleurs normale. Rétrécissement concentrique du champ
visuel
des deux yeux. Mouvement des globes oculaires con
ptômes marquants furent les vertiges avec vomissements des troubles
visuels
et vaso-sécré- toires, puis le coma final. A. M
ve des collatérales et des fibres d'association, etc.; 2° La sphère
visuelle
est le lieu qui reçoit les faisceaux de la cou-
et de la respiration. P. IÜ;1\AVAL. XLII. DES déplacements DU champ
VISUEL
dans LE scotome SCIN- tillant; par E. Berger. (
phtal- mique commençant dans la moitié inférieure gauche du champ
visuel
par des lacunes, des nuages bientôt associés à de
tations en question gagnent la partie supérieure et droite de champ
visuel
qu'elles occupent bientôt tout entier. A aucun
siste sur le début du scotome par le bord inférieur gauche du champ
visuel
, il uoteavec soin qu'il n'est pas paracentral m
voir à droite, c'est il dire qu'il y a eu déplacement dans le champ
visuel
externe gauche et supérieur des fragments de ch
dre. Le trouble fonctionnel trophique ou circulatoire des centres
visuels
cortico-occipitaux qui d'ordinaire, en pareil cas
e la perception centrale des stimulus rétiniens (lacunes du champ
visuel
) en même temps qu'il se produit des excitations a
géré d'autres centres : ainsi le fonctionnement intensif d'une zone
visuelle
pourrait pro- duire l'hallucination, au cours d
issent bien à la lumière et à l'accommodation. L'acuité et le champ
visuels
sont normaux. Oreilles longues, écartées en hau
harcot, d'hystérie mono- symptomatique ; le rétrécissement du champ
visuel
et des anes- thésies étendues sont rares, mais
la sciati- que, par Illgier, 369. Scotome. Déplacement du champ
visuel
dans le - scintillement, par Berger, 385. Sen
au des cellules pyramidales de' moyenne grosseur, et, dans l'écorce
visuelle
, au niveau des cellules nerveuses ' étoilées (S
histologiques portaient spécialement sur la zone motrice, l'écorce
visuelle
(tissure calcarine), la première temporale. Ce
latérale amyotrophique. Elle épar- gne encore régulièrement la zone
visuelle
et la zone auditive. Tout ceci' indique que la
était, alcoolique, l'enfant est intelligent mais nerveux, l'acuité
visuelle
est diminuée, il y a une ébauche de signe de Romb
les yeux,'il n'existe qu'un peu de pâleur de la pupille,. le champ
visuel
est normal. 11 n'y a pas lieu de voir dans ce c
anesthésie presque complète de la conjonctive. L'examen des champs
visuels
montra une dimi- nution irrégulière et une inve
ésultats d'un certain nombre d'observations sur les images mentales
visuelles
, étudiées au point de vue des éléments qui les
s éléments logiques. Ai. J. Philippe a surtout observé des sujets
visuels
chez qui les éléments logiques interviennent tr
sais ». N'est-ce pas, en effet, grâce à l'intervention d'un élément
visuel
qu'il fait transporter en haut de la page le mo
signé du nom d'éléments logiques. M. h'IsR\ : 11;D-LEROY. Une image
visuelle
n'est jamais purement visuelle ; il y entre tou
M. h'IsR\ : 11;D-LEROY. Une image visuelle n'est jamais purement
visuelle
; il y entre toujours quelques éléments logiques
ion mentale de la page de dictionnaire, c'est le réveil d'une image
visuelle
particulière. Paralysie générale ci forme senso
l et les nerfs de l'accommodation. 3° De l'ouïe. Comme à l'appareil
visuel
, il faut décrire à l'appa- reil auditif des voi
e, dans les cas extrêmes, d'une modification ostensible de l'organe
visuel
, brillant dans l'ex- citation, terne dans la dé
olfaction, gustation) ; peut-être un léger rétrécissement du champ
visuel
à gauche, difficile à bien apprécier. Depuis
lucinations, celles habituelles aux hystériques, les auditives, les
visuelles
, les génitales ; les hallucinations éprouvées n
.désignerait nettement leur nature. Les hallucinations psychiques
visuelles
de sainte Thérèse. Voici quelques exemples d'ha
inations de la vue et du toucher, seront racontées plus loin. LES
visuelles
. La première hallucination de la vue de sainte
tées, ne réagissant ni à l'accommodation, ni à la lumière. L'acuité
visuelle
est normale. Le 11), l'agitation est très grand
lucidité avec phases de délire hallucina- toire. Aux hallucinations
visuelles
(chevaux, bêtes de toutes sortes) s'ajoutent de
t près d'un an, le malade fut sujet à des bouffées d'hallucinations
visuelles
, professionnelles, avec agitation, sueurs profu
celui de liezuilcow. Il est intitulé : « Des modifications du champ
visuel
chez les paralytiques généraux; (Oboznéazié psi
ements, paralysie légère du voile du palais; diminution de l'acuité
visuelle
à droite et turgescence des vaisseaux papillaires
sme, ni paralysie ; iris bleu ; pupilles réagissant bien ; l'acuité
visuelle
est bien développée, pas de rétrécissement du c
acuité visuelle est bien développée, pas de rétrécissement du champ
visuel
. z Nez, un peu aplati, surtout à la partie inféri
avec l'ongle au-dessous de l'oeil droit de manière à déplacer l'axe
visuel
de cet organe, elle voyait deux objets au lieu d'
it du côté gauche progressivement; seule- ment, la portion du champ
visuel
située à gauche de la ligne mé- diane, resta ex
Si on excitait trop vivement la vision de l'oeil droit, son champ
visuel
s'élargissait, mais celui de l'oeil gauche diminu
r a pu ainsi constater toutes sortes de formes curieuses du champ
visuel
qui se modifiait à mesure que la vision faisait d
re que la vision faisait des progrès, jusqu'àce que les deux champs
visuels
aient pu être rétablis d'une manière à peu près
ent. Ce phénomène indique une disposition il la division des champs
visuels
, à la vision hémiopique, qui'se manifeste dès q
oeuvre litté- raire, d'un air d'opéra, de chanson, de l'impression
visuelle
qu'un site agréable nous a laissée, le souvenir
ne, de céphalalgie violente avec nausées et rétrécissement du champ
visuel
, le tout souvent accompagné d'anxiété mentale.
oire motrice d'articulation, la mémoire motrice graphique, la mémoire
visuelle
, et enfin la mémoire auditive du mot. La suppress
xploration soit de la sensibilité cutanée, par exemple, soit du champ
visuel
ayant abouti constamment à la production d'une at
ie ; elle ne se souvenait absolument d'aucunes sensations tactiles ou
visuelles
. Le succès avec lequel le Dr Howes réussit à lui
pérature normale, obtusion du goût et de l'odorat, réduction du champ
visuel
du même côté. Potain ne fut pas peu surpris d'ass
'ovaire, si commune chez la femme en pareil cas la réduction du champ
visuel
, et un certain degré de surdité, voila autant de
é gauche, points hyperesthésiques rachidiens. rétrécissement du champ
visuel
des deux côtés, diminution de la notion des coule
suggestion. 3. M. Poirault ;de Paris). — Observations d'hyperacuité
visuelle
, auditive et tactile chez un sujet hypnotisé.
d'apprécier l'état de la sensibilité et le rétrécissement du champ de
visuel
de ces hallucinés ! Votre statistique porte donc
sistent en ce que le sujet qui eaj est atteint, éprouve une sensation
visuelle
de couleur chaque fois que le Sun d'une lettre fr
quer un sommeil profond. L'occlusion des yeux, l'absence d'impression
visuelle
, l'obscurité, concentrent l'esprit sûr lui-même,
nés en quelques minutes par un biceps parésié, le chiffre de l'acuité
visuelle
récupérée. La place de l'erreur est bien réduite
bolition des réflexes rotullens, douleurs fulgurantes, enfin troubles
visuels
caractérisé* par l'abaissement de l'acuité à droi
résultat est excellent au point de vue du moral, et pour la fonction
visuelle
. La vue de l'œil droit, qui n'était pas chiffra
ation faite au Congrès du l'Hypnotisme. OBSERVATIONS D'HYPER ACUITÉ
VISUELLE
AUDITIVE ET TACTILE CHEZ UN SUJET HYPNOTISÉ Par
onnaissance précédées de l'aura, un rétrécissement bilatéral du champ
visuel
, etc., n'y a-t-il pas là de quoi lever tous les d
racontent ce qu'ils ont entendu dire et apportent leur témoignage non
visuel
, direct, mais auditif indirect. J'ai voulu mont
eures dont nous avons déjà parlé. Elle a du raccourcissement du champ
visuel
en bas, par moments elle a la boule qui l'étouffe
bolition du réflexe pharyngé; 3° Un rétrécissement notable du champ
visuel
à gauche; 4° L'existence de zones hystèrogènes.
réquentes attaques a"kr$tirif, surtout au moment des règles. Le champ
visuel
est rétréci des deux côtés; elle ne distingue pas
zini les lui décrit, et le force à les regarder. Ces hallucinations
visuelles
ont une intensité extraordinaire ; elles sont m
natoires, bien que cantonnés d'une façon prépondérante dans la sphère
visuelle
affectent tous les sens- L. entend son persécuteu
es n'ont pas le même caractère. Chez le mélancolique, l'hallucination
visuelle
semble être, le plus souvent, plutôt une série d'
cative, comme le font les vrais hallucinés de la vue. L'hallucination
visuelle
du mélancolique, en résumé, naît et se réfléchit
psychique. Tout autre est notre malade, chez lequel l'hallucination
visuelle
est réelle et possède bien véritablement ses cara
que que nous ne saurions mieux comparer qu'à celle des hallucinations
visuelles
de l'alcoolique ou de l'hystérique. Le malade sui
é inusité dans la mélancolie typique. Prédominance des hallucinations
visuelles
, douées d'un caractère de mobilité et d'extériori
ille gauche, le sens des c couleurs, et une grande partie de l'acuité
visuelle
, el on la fait en-« core servir à la démonstratio
u scrotum et du pénis,avec achromatopsie et rétrécissement du I champ
visuel
, très hypnotisable, a été mis en somnambulisme à
hypnotisme (id). POIRAULT ET DEZEVIECKI :Observations d'hyperaculté
visuelle
, auditive et tactile chez un sujet hypnotisés.
, par Burot, 55 Hygiène à l'Ecole, par Collineau, 39. Hyperacuité
visuelle
, auditive, tactile. 143. Hypnose spontanée cas
illes de ta Tourelle et Cathelineau. 338. Observation d'hyperacuité
visuelle
, auditive et tactile chez un hypnotisé, par Poira
Iconographie de la Salpêtrière deux cas d'oxycéphalie avec troubles
visuels
(7). L'anatomie pathologique de celte malformat
ées, sinueuses et les artères minces. Avec cette atrophie, l'acuité
visuelle
reste encore relativement discrète, la cécité bil
Perrod, assistant de la clinique, fit un examen complet de l'acuité
visuelle
et du fond de l'oeil et l'envoya à nous pour l'ex
4 ans, les parents s'aperçurent que le petit accusait des troubles
visuels
assez graves. Cette diminution de la vue progre
'oeil l'on note une pâleur très accusée des deux papilles, l'acuité
visuelle
est de 8/20 à D. et de 9/20 à S. Comme dans la
décoloration de la papille et la conservation relative de l'acuité
visuelle
. Voici les résultats de \ 'examen du rhinophary
es deux côtés, encore aujourd'hui plus manifeste à droite. L'acuité
visuelle
est toujours moins bonne à droite (visus 2/3), qu
phie des deux nerfs optiques, très avancée du côté gauche. Le champ
visuel
était très rétréci à l'oeil gauche (côté nasal).
uisaient à l'aspect caractéris- tiques de la tête et à des troubles
visuels
, sans aucun des signes accessoires de cette esp
u plus accusé du côté gauche. Il n'a pas de rétrécissement du champ
visuel
. L'ouïe est conservée. Quelquefois il a des bou
tenses, se joignant il des accès de hoquets et à des hallucinations
visuelles
. Il voit les gravures suspendues sur les murs tan
effectué parle Dr Forsberg, donna les résultats suivants : l'acuité
visuelle
de B... est égale a 9 ; les mouvements bulbaires
La dilatation des pupilles est modérée, tous les secteurs de champ
visuel
réagissent à la lumière, mais l'amplitude de co
ble' pour les faisceaux lumi- neux puissants. A l'examen du champ
visuel
que nous avons pratiqué personnellement, nous a
auche des yeux sous forme d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. C'est là une ôhservation qui se'retrouve dans
'on pourrait soutenir qu'elle correspond au rétrécissement de champ
visuel
des hystériques et des neu- rasthéniques, laque
, s'accuse chez B... encore par les variations des limites du champ
visuel
qui varient d'une fois à l'autre bien que les exa
théorie de Ilenschen sur les voies de transmission des perceptions
visuelles
qui, en des pointsessen tiels di fTèrede celle
de a réussi à rattacher un assemble- ment de sons à des perceptions
visuelles
préexistantes, l'association re- constituée a s
ivie de la prononciation (Grèce,etc.). 2° Identification de l'image
visuelle
avec inhibition verbale (Chilcaao, et enfin.
n verbale (Chilcaao, et enfin. 3° Incapacité d'identifier l'image
visuelle
(Tripoli, etc). On serait ainsi fondé croire qu
it en raison directe de la richesse plus ou moins grande des images
visuelles
. Le cas suivant est caractéristique à cet égard
DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA 1);'I'E 117 7 d'un examen de champ
visuel
, B... lut spontanément le nom du fabri- cant im
conscience, et donnent lieu à une révision du texte lu. L'exclusion
visuelle
à la lecture doit, pour être utile, s'appliquer à
rimerie, tentative infructueuse, probablement à cause de la fatigue
visuelle
qui ne tarde pas à apparaître : on lui écrit le m
crire ou de lire le mot «heur » (monsieur) isolé : il garde l'image
visuelle
formelle d'une adresse qu'il a autrefois écrite
thiques avec délire onirique à caractère terrifiant. Hallucinations
visuelles
, interprétations délirantes. Quelques pituites
: Nouvel accès erotique et mystique avec onirisme, halluci- nations
visuelles
. Il veut être femme. La nuit il voit des anges et
exemple particulier et étudions ce qui se passe dans la perception
visuelle
. Une fois l'image d'un objet formée sur la ré-
ations aussi bien à l'ouïe, à l'odorat, qu'à toutes les impressions
visuelles
, tactiles et thermiques et même aux sensations
e la pression sont bien conservés. La vue (acuité, étendue du champ
visuel
, perception des couleurs), l'ouïe, le goût, l'o
fesseur Grignolo, ne révèle aucune altération. Le visus et le champ
visuel
sont normaux. Il existe une légère hypermétro-
erischen Gesichtsfeldpartien (sur l'hyp. des portions per. du champ
visuel
) ; par A. PICK, de Prague. (Neurol. Ctrbl., XXV
it abouti à des idées de persécution ; en tout cas, les deux champs
visuels
étaient beaucoup plus étendus que normalement p
- sance des mots écrits par une perception surajoutée auditive ou
visuelle
. L'amélioration fut rapide : après 8 jours d'inte
pillaire. Crises d'agitation. Dé- mence progressive. Hallucinations
visuelles
. Ni albumine ni sucre dans les urines. Mort à 4
e 1907. N° 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Les auras
visuelles
des épileptiques ; i Par A. IIODIET F. CANS
(2) nous paraît toute conventionnelle en ce qui concerne les signes
visuels
, car les troubles prodromiques immédiats font p
nt plus que le malade n'est jamais tombé à la suite de ses troubles
visuels
. Du reste, à cause de l'obnubilation intellectu
le malade étant sous le coup d'un ictus cérébral, dont le trouble
visuel
est pour ainsi dire la première manifesta- tion
oisée et hémianopsie dans l'hystéro-épi- epsic, 1882. ' LES auras
VISUELLES
'DES ÉPILEPTIQÙES, 179 me, bientôt suivi par la
mpressionnabilité particulière et excessive à toutes les sensations
visuelles
et pour Bermutz, c'est une véritable photo phob
n trouble pro- dromique de l'état de mal. Pour noter les troubles
visuels
colorés pendant l'aura, la difficulté est encor
alades dans l'intervalle des attaques. Il peut arriver que l'aura
visuelle
s'accompagne de macropsie ou de micropsie, ou b
plo- pie. L'aura psychique ou intellectuelle peut-être purement
visuelle
, lorsqu'elle consiste par exemple en une réminis-
dividus qui se noient (1). Très souvent c'est la même hallucination
visuelle
qui repa- rait. Le meilleur exemple de ces ha
isuelle qui repa- rait. Le meilleur exemple de ces hallucinations
visuelles
se produisant avant l'accès, est l'observation
un petit homme coiffé d'un bonnet rouge. En effet, lorsqùe l'aura
visuelle
se présente sous forme de vision colorée, ainsi
trouve des exemples nombreux dans les auteurs de ces hallucinations
visuelles
colorées. Déjà en 1803, Mai- sonneuve (3) rappo
- scintiller devant lui. Puis ce malade présentait des abberrations
visuelles
, de la macropsie, car les hommes prenaient des
de si llièse : de l'Epilepsio dans ses rapports avec les fonctions
visuelles
. Ollier, éditeur, 1885. (2) Archives de Neurolo
rdeaux : « Les songes d'attaque dos épi- leptiques ». ' LES AURAS
VISUELLES
DES ÉPILEPTIQUES. 183 Observation I. Madame Ga.
ccès quotidiens. Très souvent, dans la grande atta- que- l'aura est
visuelle
et consiste en hallucinations effrayan- tes trè
.,a réalisé du délire épileptique, avec hallucinations auditives et
visuelles
, idées de persécution et accès d'excita- tion d
striction à la gor- ge. Mais à ce moment il éprouve des impressions
visuelles
assez bizarres, qu'il ne peut bien préciser : «
c supposer que le sentiment esthétique, lié surtout aux impressions
visuelles
, doit être bien déve- loppé chez elle ; et pour
ien déve- loppé chez elle ; et pourtant justement les impressions
visuelles
les moins esthétiques pour tout le monde (la vue
e vue psychologique le fétiche, dans ce cas, est une représentation
visuelle
complète et d'un caractère très précis (l'aspec
ariant avec la qualité et la for- ce de l'excitant, le plus souvent
visuelles
, souvent terrifiantes et complexes, souvent san
ines ; la vision fut ré- tablie d'abord dans la périphérie du champ
visuel
2 ans après, ver- tiges, vomissements, douleurs
sont les modifications des pupil- les et le rétrécissement du champ
visuel
Quoique plus rare, la si- mulation de l'hystéri
lation ; or la po- lyopie monoculaire et le rétrécissement du champ
visuel
avec in- version des couleurs sont des signes f
n malade atteint de cette affection sans photophobie et avec acuité
visuelle
normale. Le trouble disparaît la nuit ou dans l
93. Hypoesthésie. Sur 1'- de, por- tions périphériques du champ
visuel
, par Pick, p. (j ! 1. Hypophyse. Voir Tumeurs.
ée, qui n'avait conservé qu'une partie dessensibi-bilités auditive et
visuelle
et qui s'endormait quand on lui appliquait un ban
ales, le choix des femelles est surtout déterminé par des impressions
visuelles
. Aussi, je ne crains pas de résumer, dans la form
ustatif ; la femme, au contraire, dans sa détermination sexuelle, est
visuelle
et tactile. Or, tandis que chez l'homme dont la
tude que ces mêmes sujets présentaient une prédominance des aptitudes
visuelles
et tactiles. Par ces caractères, ils se rapproche
lus haut, est déterminée dans la sélection sexuelle par la perception
visuelle
(1). Lorsque je me trouve en présence d'une fem
ons olfactives. Toute femme homosexuelle a cessé d'appartenir au type
visuel
; devenue olfactive, elle se comporte, dans le do
ves. Par contre, les homosexuels du sexe masculin appartenant au type
visuel
, réagissent, comme les femmes, sous l'influence d
s l'influence d'images qui impressionnent favorablement leurs centres
visuels
. En résumé : pour un homme, la déviation de l'ins
ation de jugement. Toute la vie psychique est bornée à des sensations
visuelles
, auditives ou organiques, à la fois simples et vi
particulière à réaliser un état psychologique dans lequel la fonction
visuelle
semble absorber toute leur puissance d'attention.
ne action fascinatrice e'exerçant par l'intervention de son attention
visuelle
. On dirait qu'il n'y a plus dans son esprit qu'un
perdre de vue les yeux qu'on lui a demandé de fixer. La fascination
visuelle
n'est, pas autre chose qu'un état de monoïdéisme
t de monoïdéisme accentué survenant chez un individu doué d'aptitudes
visuelles
naturellement très développées et chez lequel ces
e présenter le phénomène de la prise du regard, appartiennent au type
visuel
et sont doués au plus haut degré de la mémoire vi
iennent au type visuel et sont doués au plus haut degré de la mémoire
visuelle
. La première personne surlaquelle j'avais eu l'oc
mes yeux pour qu'elle se trouvât plongée dans un état de fascination
visuelle
très marqué, se traduisant parle besoin irrésisti
e femme, peintre miniaturiste d'un très grand talent, dont la mémoire
visuelle
atteignait des proportions peu communes. Elle pou
ez lesquelles l'hérédité a conféré l'aptitude à con server des images
visuelles
, l'accentuent le 'plus souvent par un exercice co
uvent par un exercice constant. Habituées à concentrer leur attention
visuelle
sur un point limité, elles ont une tendance natur
rrait être considéré comme une polarisation momentanée de l'attention
visuelle
et on s'explique qu'ils se prêtent a la productio
l'existence de cette fascination olfactive, analogue.aux fascinations
visuelles
et auditives dont j'ai signalé les effets. Da
olfaction, réalisant le monoïdéisme olfactif, analogue au monoïdéisme
visuel
du sujet mis en état de fascination. Cette syst
omène provoqué expérimentalement par les hypnotiseurs chez les sujets
visuels
et désigné sons le nom de prise du regard. Le mâl
olé, puie saidant de l'odeur (1) Damoolol' : Ityperacu olfactive et
visuelle
chez les nègres soudanais. {Revue de l'hypnotisme
, les autres lents, apathiques. A nn autre point de vue. les uns sont
visuels
, c'est le plus grand nombre, et notre éducation e
s gravures. La méthode s'adresse surtout aux auditifs, mais aussi aux
visuels
et aux moteurs et graphiques, si elle est bien co
projections, même sur les adultes, parce que nous sommes surtout des
visuels
. La chose vue Intéresse plus que le récit et se g
sans arrêter l'attention. L'éducation doit devenir dc plus en plus
visuelle
. ? importe de captiver l'attention en montrant be
tion symptomatique. 58 RECUEIL DE FAITS. Observation. Troubles
visuels
« forme hémiunopsiquc, revenant, par accès, ave
il est probable qu'il occu- pait les deux moitiés droites du champ
visuel
, comme cela a lieu ordinairement. L'erreur est
es qui ne sont pas habituées à ce genre d'observation. Le trouble
visuel
a duré un quart d'heure environ. L'engourdis- s
ur gauche, et le trouble de la vue s'est généralisé à tout le champ
visuel
.^La crise a été moins longue que les deux pre-
pupilles, en particulier, sont égales et réagissent bien, l'acuité
visuelle
est normale. Note sur un cas d'anomalie asymé
ère sensible pour les organes protecteurs de l'031l et de la région
visuelle
de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 95 -) Munk (
énu- cléation du globe de l'mil, ni après l'extirpation du centre
visuel
de Munk et qu'il n'a rien à faire avec le segment
ju- meau antérieur, les relations avec les ganglions de la sphère
visuelle
corticale du corps genouillé externe qui doit en
te partie de ce dernier organe survivant à l'extirpation de la zone
visuelle
devrait être considérée comme noyau purement op
diane.) Les pupilles sont égales et réagissent assez bien. L'acuité
visuelle
est égale dans chaque oeil examiné séparé- ment
réagissent assez bien. Pas de lésions ophthalmoscopiques. L'acuité
visuelle
est normale. Hémiparésie droite, intéressant le
auche pour ramener sur la ligne médiane la moitié droite du champ
visuel
où la vision était meilleure. Ces attitudes sont
vec l'âge, mais reste très défec- tueuse. 0 G. S = 5 0 D. S = Champ
visuel
irrégulière- ment rétréci, vision chromatique n
d'ailleurs, ainsi que nous l'avons dit, est impossible. Le champ
visuel
est normal ainsi que la vision centrale pour la
ie surtout caractérisée par un rétrécissement irré- gulier du champ
visuel
dans les deux yeux, plus prononcé dans l'oeil d
d'un verre coloré. Pupilles égales réagissant normalement. Acuité
visuelle
normale dans les deux yeux. D. - Mouvement de d
e de paralysie caractérisée par l'impossibilité de ramener les axes
visuels
dans le parallélisme. Le trou- ble moteur ne pe
s deux côtés. La diplopie existe dans la partie supérieure du champ
visuel
, aussi bien que dans l'inférieure, mais l'écart
lles se contractent bien par la lumière et la convergence, l'acuité
visuelle
est normale et le fond de l'oeil ne présente pa
t. La persistance de la diplopie dans toutes les parties du champ
visuel
, et en particulier dans sa moitié supé- rieure,
le plus fréquent. Le développement quelquefois subit du trouble
visuel
, sa disparition momentanée et son retour avec d
tion vertigineuse qui n'était nullement occasionnée par son trouble
visuel
. La troisième, qui me fut adressée par le Dr De
te et plus pro- longée pour la contracture; excitation sensorielle,
visuelle
, auditive, etc., faible, mais prolongée pour la
péciale : L'odorat, le goût, l'ouïe, la vue, sont intacts. Le champ
visuel
mesuré pair' AI ! ' Parinaud' rie présente rien
nous'nous sommes'tcontenté d'un 'examen 'grossier ? le' champ lez,
visuel
n a point été mesure : On ne peut obtenir de la m
rc.irmt .·1 y Wy·w, li«> 1 "Il ,. Les, troubles . de, , l'acuité
visuelle
, forment-la,suhstayce du troisième paragraphe.
ant queilehitrite d'amyle (vaso-dilatateur) améliore. les troubles,
visuels
..L'auteur ajoute comme'argument : les allures i
ar malformation du crâne, la folie à deux, la tétanie, les troubles
visuels
de l'alcoolisme, la pathogénie de l'épilepsie, le
« On sait que, dans l'état normal, les différentes parties du champ
visuel
rétinien ne sont pas également aptes à percevoir
»..« -w«M ',a.» / canisme cle la disparition des couleurs. Le champ
visuel
diminuant déplus en plus, la couleur centrale, le
quelles la couleur bleue occupe la zone concentrique externe du champ
visuel
, et chez lesquelles, par conséquent, le bleu disp
aractères est Vachromatopsie, c'est-à-dire le rétrécissement du champ
visuel
pour les couleurs, rétrécissement qui peut aller
prononcée d'un œil que de l'autre. 11 y avait diminution de l'acuité
visuelle
et elle ne pouvait plus distinguer les couleurs,
ue chez les hystériques, on constate un affaiblissement des fonctions
visuelles
. C'est Galezowski le premier qui a remarqué que l
ou partielle de l'œil du côté liémianesthésique. On sait que le champ
visuel
, même pour l'œil sain, n'est pis le même pour tou
pis le même pour toutes les couleurs. Landolta montré que le champ
visuel
normal des diverses couleurs est le suivant; le p
nt; le plus étendu, le plus périphérique par conséquent, est le champ
visuel
du bleu, puis successivement et concentriquement
« bleus », c'est-à-dire de ceux chez qui c'est le bleu qui a le champ
visuel
le plus étendu, il y a les « rouges», c'est-à-dir
uges», c'est-à-dire ceux pour qui c'est le rouge qui possède le champ
visuel
le plus étendu. Toutes nos malades sont dans cett
malades sont dans cette dernière catégorie ; le tableau de leur champ
visuel
présente donc de la périphérie au centre les coul
e violet et le vert sont toujours au centre, et ont toujours le champ
visuel
le moins étendu. Chez une hystérique du premier d
r degré, il se fait un rétrécissement concentrique de tous les champs
visuels
; le cercle central du violet se rétrécit de plus
peler votre attention sur un autre phénomène intéressant des troubles
visuels
; je veux parler de la vision des animaux, que l'o
néanmoins, le plus souvent, à toutes les manœuvres. Hallucinations
visuelles
provoquées. — Si une hallucination visuelle a été
œuvres. Hallucinations visuelles provoquées. — Si une hallucination
visuelle
a été provoquée chez un sujet cataleptisô, celui-
ifs ou sensoriels, tels que : hémianesthésie, rétrécissement du champ
visuel
, etc. Etudions chez G. R..., ces contractures p
els ou sensitifs ; pas d'anesthésie, pas de rétrécissement du champ
visuel
. Mais il y a diathèse de contracture, ainsi une c
stérie (hémianesthésie sensitivo-sensorielle, rétrécissement du champ
visuel
, points hystéro-gênes, grandes attaques). On cher
sinon chez toutes, certains phénomènes relatifs à des hallucinations
visuelles
qui permettent comme les caractères somatiques d'
, dans la période somnambulique, le développement d'une hallucination
visuelle
ou auditive. On pouvait, au contraire, par ce pro
340; —médiane, p. 342, 345; —? radiale, p. 346. 91 Hallucinations
visuelles
provoquées, p. 308. 11ematomi: de la dure-mère,
les oculaires étaient carac- térisés par une diminution de l'acuité
visuelle
, une sensation « de tremblement et de fourmille
usait depuis deux mois dans l'oeil gauche ; mais cependant l'acuité
visuelle
ne parais- sait pas diminuée. Les vomissements
ne pou- vons fournir de renseignements précis à ce sujet, l'acuité
visuelle
n'ayant pu être mesurée. L'oeil gauche, à l'ins
x, présentés par l'inculpée, états qu'accompa- gnaient des troubles
visuels
et une paralysie de toutes les fonctions psychi
es céphalalgies. A vingt ans, la douleur se com- plique de troubles
visuels
, hémiopie et ensuite des vomissements. Plus tar
L'atroce amertume du sulfate de quinine n'est pas perçue. Le champ
visuel
, pris avec soin, est diminué de moitié à droite e
on peut et on doit en même temps s'occuper de provoquer l'attention
visuelle
. Se plaçant en face de l'enfant, de façon à avo
y avoir ischémie de l'ensemble des appareils consti- tuant l'organe
visuel
, olfactif, gustatif, auditif; cette ischémie ex
tard le côté temporal. Le rétrécissement du côté temporal du champ
visuel
serait un symptôme presque constant et l'accroiss
facultés intellectuelles, des illusions et hallucinations tactiles,
visuelles
et auditives, et en dernier lieu quelques idées d
donne la note exacte en l'espèce, c'est ce rap- tus hallucinatoire
visuel
qui éclate une nuit d'une façon si inattendue e
u héréditaires. Ces cas étaient caractérisés par des hallucinations
visuelles
érotiques et la plupart furent terminées par la m
, la suppres- sion de certains réflexes, le rétrécissement du champ
visuel
me paraissent le démontrer. L'analyse de l'urin
e ont été constatées chez tous les malades; des troubles sensoriels
visuels
dans la moitié des cas; des troubles de la sens
DE la vision ; par le Dr LAME. La superposition des hallucinations
visuelles
à certaines hémia- nopsies est'un phénomène rar
hémia- nopsies d'origine corticale s'accompagnent d'hallucinations
visuelles
dans la partie du champ de la vision dont la fo
oute, d'un phénomène d'excitation ayant *>, pour siège la sphère
visuelle
du lobe occipital, comparable aux'plié- - - nom
é pour les lettres ni pour les objets et sans hémianopsie. Le champ
visuel
mesuré plusieurs fois n'a jamais présenté ni ré
esuré plusieurs fois n'a jamais présenté ni rétrécissement du champ
visuel
ni hémia- nopsie. C'est là un fait nouveau puis
mianopsie est remplacée par du rétrécissement concentrique du champ
visuel
. : Le malade est rentré récemment à l'hôpital a
uffert d'une aggravation notable de leurs troubles sensoriels, même
visuels
, malgré la propriété dont est douée la substanc
centre . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 î
visuel
(fissure calcarine), le centre auditif (partie po
'hys- térie ordinaire ; seuls certains troubles moteurs, sensitifs,
visuels
, nécessitent quelques remarques. L'hémianesthés
lcoolique a été fréquemment observée par Magnan. Parmi les troubles
visuels
, il faute noter le rétrécissement concentrique
les visuels, il faute noter le rétrécissement concentrique du champ
visuel
, l'achro- matopsie, le scotome. Au point de vue
V, 1894.) LXI. Nouvelles recherches ET considérations sur LE champ
visuel
DES fous moraux; par de Sanenis. (Riv. sp. di f
re en fibres que le gauche. En résumé : lésion en foyer du centre
visuel
du côté gauche et rupture des faisceaux d'assoc
des faisceaux optiques du côté gauche, des voies reliant le centre
visuel
au centre acoustique du côté gauche, et de celles
u centre acoustique du côté gauche, et de celles unissant le centre
visuel
droit intact au centre acoustique gauche. De te
parait vraisemblable que ce malade doit avoir des lacunes dn champ
visuel
. La façon dont il écrit tendrait à le faire cro
. HEILBRO : '1NER, - On n'a pu pratiquer un examen complet du champ
visuel
, mais il est possible d'affirmer qu'il n'y a pas
aux et de la protubérance. 4° La diminution progressive de l'acuité
visuelle
était due, et à la névrite optique, et aux lési
elle était due, et à la névrite optique, et aux lésions des centres
visuels
sous-corticaux : petites hémorragies et inflamm
hémianopsie de la malade, était d'autant plus probable que l'acuité
visuelle
des deux yeux n'était que très peu affaiblie; don
ts des troubles cérébraux : délire tranquille avec hallu- cinations
visuelles
et auditives, sensation d'angoisse provoquée par
, puis les troubles fonctionnels secondaires aux lésions des images
visuelles
, auditives et autres. Ils examinent ensuite l'é
exiforme interne (E), les cellules ganglionnaires (F), les neurones
visuels
périphériques (G) comprenant le 1 On peut accep
èques de l'oeil se contractent, de façon à faire converger les axes
visuels
sur l'objet en question, afin que son image opt
u'on doit invequer une excitation venue du cerveau par les fibres
visuelles
centrifuges : a Une excitation née dans ,1e cerve
ons : quelle est l'origine de cette excitation venue par les fibres
visuelles
centrifuges ? ` ? L'étude des phénomènes précéd
us permet de répondre par analogie. L'excitation apportée au centre
visuel
par les fibres visuelles centripètes est réfléc
par analogie. L'excitation apportée au centre visuel par les fibres
visuelles
centripètes est réfléchie par les fibres visuelle
l par les fibres visuelles centripètes est réfléchie par les fibres
visuelles
centrifuges jusque dans la rétine où elle provo
précédents. L'inllux nerveux apporté en B ((tg, 29), par les fibres
visuelles
centripètes est réfléchi par les fibres visuell
par les fibres visuelles centripètes est réfléchi par les fibres
visuelles
centrifuges, jusqu'au neurone intercalaire par l'
des neurones corticaux. L'influx nerveux ne s'arrête pas au centre
visuel
, il est porté plus loin par les voies d'associa
tine (A) arrive à la cortica- lité (R), se réfléchit par les libres
visuelles
centrifuges jusqu'à la cellule intercalaire.
fibres tangentielles du cerveau. L'influx nerveux parti du centre
visuel
arrive en un point quelconque de l'écorce (lig.
lig. 30, B).. puis il revient sur ses pas jusqu'au niveau du centre
visuel
(A) où par l'intermédiaire des cellules de cett
t insolite, curieux, intéressant, vienne se placer dans notre champ
visuel
. Notre regard se dirige tout seul de ce côté, s
se. L'influx arrivé au point A prépare ce centre à recevoir l'image
visuelle
de la rue, toujours par l'intermédiaire des cel
e : bruit de la rue attirant notre regard et préparant notre centre
visuel
= attention dite volontaire). Nous sommes loin
é, d'autres diminuent. , Tout ce que nous avons dit d'une sensation
visuelle
, pourrait se répéter d'une sensation olfactive
motrices, ou bien au moyeu des images auditives, ou bien des images
visuelles
, ou des images gra- phiques. » G. D. XV. DE L
obe frontal, et de la circonvolution de l'hippocampe ; 3° la région
visuelle
: c'est la zone du sillon de l'ergot de Morand, u
térieur, sis entre la région tactile, la région auditive, la région
visuelle
, et, en partie, entre la région visuelle, la régi
région auditive, la région visuelle, et, en partie, entre la région
visuelle
, la région REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
Ici l'association aux images phonétiques des images commémoratives
visuelles
ou mo- trices nécessaires pour écrire, ainsi qu
A, soit un trouble de la mémoire sensible (motrice, sensorielle, et
visuelle
des lettres) : aphasie sen- sible ; B, soit un
des mots et le centre des conceptions d'une part et ses composants
visuels
. - d) Cécité psychique; le malade a perdu la pl
s qui vonl de tons les sens au centre conceptuel, où les composants
visuels
jouent le principal rôle dans la formation de n
EAU DANS DEUX CAS DE RAMOLLISSEMENT DE LA RÉGION DU CENTRE CORTICAL
VISUEL
, PAR JOUKOWSKY. Dans les travaux très impor
XXIII. (3) Vialet, Les centres cérébraux de la vision et l'appareil
visuel
intra-cérébral, Thèse de Paris, 1893. (4) Seg
si dans ce cas nous avons eu une lésion exclusivement de l'appareil
visuel
intracérébral, qui a déterminé le phénomène de
hie totale). f) Pas de cécité psychique. 4° Du côté de l'appareil
visuel
il existe une hémianopsie double avec con- serv
mianopsie double avec con- servation d'une partie centrale du champ
visuel
. 5) Quant à la sensibilité, on trouve les troub
issement, qui a détruit dans l'hémisphère droit la région du centre
visuel
cortical, d'autre part d'un foyer de ramollisseme
e cas, était déterminée, par conséquent, par la destruction du centre
visuel
cortical dans l'hémisphère droit et par l'inter
cortical dans l'hémisphère droit et par l'interruption du faisceau
visuel
de Gratiolet sur son trajet dans l'hémisphère g
malade est prise pendant la nuit de délire avec,. r hallucinations
visuelles
qui se prolonge le jour suivant.Elle voit des ser
ésignée. Le malade, en- tièrement perdu dans la nuit de son cerveau
visuel
et psychique, semble, lors- qu'on l'appelle, s'
intensité, a dominé tous les autres, est l'atteinte de la fonction
visuelle
. Progressive et bilatérale, l'amblyopie s'est m
définitive. Une particularité intéressante de l'histoire des troubles
visuels
, a été l'influence, brusque et décisive, du tra
vert étant beaucoup plus petits que le cercle du rouge. Le champ
visuel
fut repris le 14 février par le Dr Paul Bernard.
es attaques d'épilepsie et est morte de mort subite. (1) Le champ
visuel
étant le champ du blanc, il n'y a pas lieu de le
NIER de la sensibilité auditive ; 6° des neurones de la sensibilité
visuelle
; 7° des neurones des mouvements de la vie de r
de l'écorce de l'hémi sphère droit. t. 5° Neurones des sensations
visuelles
. Les rétrécissements oscillants des champs chro
Aussi bien, je ne puis m'expliquer autrement qu'il existe un champ
visuel
pour chaque couleur, et que ces champs soient h
'hypothèse, d'ailleurs appuyée sur de nombreux faits, que le centre
visuel
de la scissure calcarine n'est qu'une projection
ertains cas, la malade présente ce qu'il semble, des hallucinations
visuelles
véritables, il n'est pas moins vrai que les repré
itables, il n'est pas moins vrai que les représenta- tions mentales
visuelles
existent concurremment et c'est d'elles surtout q
mates de dégénérescence : oreille de More), anomalies de l'appareil
visuel
, etc. Hypertrichose lombaire. La plus grande lo
variennes. Pas de zones hystéogènes vraies. Organes des sens. Champ
visuel
non rétréci, habituellement. Il a été examiné t
récissement concentrique peu marqué. Pas de dyschromatopsie. Acuité
visuelle
normale. Olfaction et gustation nor- males. Acu
ficiel de la télé, etc. (2) Note sur la fatigue par les excitations
visuelles
(C. R. de la Sou. de Biologie, 1901, p. 668). N
ale- ment abstraction. Il nous paraît certain que certains troubles
visuels
, les amauroses transitoires des urémiques, leur
parence, car il n'y a pas de strabisme. Appareil oculaire. L'acuité
visuelle
est conservée, mais le signe d'Ar- gill-Roberts
ique. Les pupilles sont égales et réagissent normalement : le champ
visuel
est par- fois un peu rétréci des deux côtés. Il
alée, etc., accompagnées d'hémi-anesthésie et d'étroitesse du champ
visuel
. Le 3 septembre 1900, elle fut chloroformisée d
Salp., 1901, p. 334).. (2) Note sur la fatigue par les excitations
visuelles
(C. R. Soc. de Di-1., 1901, p. 671). ' ' L'IN
reilles bourdonnent, des corps noirs se dépla- , : cent dans le champ
visuel
(symptôme que Georges Murray tient pour patho-
égularité dans les caractères graphiques de son écriture. Pour lui,
visuel
incomparable, le dessin n'était qu'un moyen de tr
rnant les hystériques? L'importance que Charcot attachait à l'étude
visuelle
était telle que, parfois, il n'hésitait pas à se
ur embrassait d'un coup d'ceil. Pour son œuvre, toute d'observation
visuelle
, comme pour son enseignement, qui s'adressait d
au besoin les jours suivants, et, de cette observation minutieuse, —
visuelle
surtout, — résultait souvent une découverte préci
ont des témoignages d'une aptitude singulière à fixer les impressions
visuelles
par le dessin. Cette mémoire des yeux , que Cha
ide ; le plus souvent, il s'en rapportait à la fidélité de sa mémoire
visuelle
. Mais son choix était toujours dicté par un sûr j
ntre Delacroix. Si Charcot avait surtout l'œil exercé au diagnostic
visuel
, la musique ne le laissait pas indifférent. Il
e se termine fréquemment par une crise stéréotypée d'hallucinations
visuelles
, et dans le quatrième, où man- quent les phénom
e celle qui suit. Cette ammésie, jointe .au rétrécissement du champ
visuel
avec incisures périphériques, pour- rait faire
XXXU. Contribution z. la connaissance du rétrécissement DU champ
VISUEL
DANS L1 PARALYSIE GÉNÉRALE ? par ]31KEL'Es 8t KOR
gauche. Il y a en outre rétrécissement de la moitié droite du champ
visuel
dans son quart supérieur, ce qui indique un dou
Observation d'alexie sous-corticale avec conservation de l'acuité
visuelle
et delà faculté (d'écrire; affaiblissement intell
,11 est impossible de bien déter- : miner son acuité et so'n'châmp^
visuel
., Le { sens. des couleurs^est normal. Il va inc
simultanément on cons- tate un rétrécissement concentrique du champ
visuel
(Dejérine et Tuilaud)., Enfin il semble y avoir
s occipitaux tantôt ,se montre en même; temps, dans tout le. champ «
visuel
, des deux yeux, tantôt apparaît en,deux temps,
, tard, s'associe l'lié- miopie homonyme de l'autre côté des champs
visuels
. J. SEGLAS. ,= IW A^'^ 8âM'E.It'r .a ? tn si li
;. Champ REVUE d'aNATOMIE1 ET 'DE 'PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 197
visuel
' remarquablement, étendu,' plus que normalement,
spéciale au blanc. Puis, à cette expan- sion des limites du champ,
visuel
succède un rétrécissement, mais les couleurs so
il" y avait,,de concert avec l'agrandissement, des limites du champ,
visuel
pour les cou- leurs, toujours une augmentation
nts-* de 'cécité verbale 'arrivent parfois à rem- placer les images
visuelles
qui'leur"manquent par le sens musculaire qu'ils
un observateur.nori,7prévenu,r celui-ci** méconnaîtra le" trouble
visuel
et si, à l'autopsie du malade/il trouve une destr
s laquelle 2]at région du pli courbe gauche est le siège des images
visuelles
des j mots. Oii'ipourrait de môme méconnaître l
ence, leur, mobilité,- leur, aspect. terrifiant, les,hallucinations
visuelles
sont, sensiblement^les mêmes (Chez tous fies al
tiques. La couleur rouge se rencontre aussi'dans les hallucinations
visuelles
des hystériques, mais'elles'n'ont pas en' génér
mbre. -'Amai;rissement notable.' Depuis un mois peu à peu, l'acuité
visuelle
a diminué; actuellement, la jeune fille ne dis-
ion. Hallucinations multiples : .motrices verbales, kineslhétiques,
visuelles
, auditives, gustatives. Etat de confusion hallu
e suis une honnête femme ! n'Il existe également des hallucinations
visuelles
. P... voit en l'air des bohémiens, le Président
t'conser- vées. Pas d'achromatbpsie. ni dei rétrécissement du champ
visuel
. La malade, qui avait eu des métrorrhagies asse
commet, des excès ,de boisson;, des hallucina- tipns,auditives,etj
visuelles
, se manifestent; et, provoquent le retour de ..
- nations motrices verbales, kinesthétiques générales, auditives,
visuelles
, gustatives (la malade éprouve des sensations, de
terminé par la multiplicité des diverses hallucinations (auditives,
visuelles
, hinesthétiques,âustatives). g) Variété extrême
es hémi- plégiques permettent de penser qu'il y a dualité d'images'
visuelles
correspondant à la vision binoculaire et aux lo
l ne se serait produit, 'niais' l'affaiblissement 'de1- la fonction
visuelle
a fait des progrès.. ? ` c ? r't ? n r>t 3 1
e'atteintè de cataracte, 4f17uo ? au .-j.m. * , =( d" . La fonction
visuelle
, en effet,1 est' presque complètement abolie ;
e la vision ont consisté en une diminution progressive de l'acuité'
visuelle
qui a abouti à l'amaurose. L'amblyopie a attein
a , par Briand, 306; par - Dericq, 308; rétrécissement du chan'ip
visuel
dans la -, par Bi- keles et Kornfeld, 138; les
s conséquences mé- - caniques d'une cérébrale, par Sommer, 208.
Visuel
, rétrécissement du champ- , dans la paralysie g
rt, les sifflements et les bourdonnements d'oreille, les troubles
visuels
, les épistaxis, les vomissements, la dyspnée, les
de compréhension empêchant d'avoir des renseignements sur l'acuité
visuelle
, la notion des cou- leurs. etc. Nez petit, arro
ordinairement, il convient de mettre en première ligne les troubles
visuels
dus, soit à l'hypérémie, soit à l'eedème de la
e. Dans l'observation qui fait l'objet de ce travail les troubles
visuels
concomitants des symptômes cérébelleux étaient du
se familiariser avec la séméiologie de ce trouble de la perception
visuelle
, ques- tion aride entre toutes et trop insuffis
il y a une notion à en retenir, c'est l'apparition d'hallucinations
visuelles
. Ce phénomène parait être un phénomène très gén
pendant l'affaiblissement de la vue s'augmentait toujours, le champ
visuel
des deux yeux, celui de l'oeil gauche surtout, se
x. et sizz.) Dans l'oeil droit on n'a obtenu qu'une partie du champ
visuel
. Au diamètre vertical du champ visuel la vue pé-
obtenu qu'une partie du champ visuel. Au diamètre vertical du champ
visuel
la vue pé- riphérique vers haut s'étend jusqu'à
u'à 40°. Le patient ne distingue les couleurs qu'au centre du champ
visuel
et quant à l'intensité de la vue il peut reconn
iblissement de la vue, de la perception aux couleurs et de l'acuité
visuelle
, jusqu'à un anéantissement presque complet de s
i, progressant peu à peu, s'étendit sur la moitié droite des champs
visuels
. Dernièrement, aux symptômes indiqués se joigni
E CÉCITÉ. 395 thique, les études le fatiguaient bientôt et l'acuité
visuelle
de l'ceil gauche diminuait de plus en plus. L
artie droite. Je ne trouvai chez mon patient qu'une partie du champ
visuel
périphérique dans chaque oeil avec une diminuti
iminution considérable de la perception des couleurs et de l'acuité
visuelle
surtout dans I'oeil gauche. Cette tumeur gagna
. 402 THÉRAPEUTIQUE. donna le tableau suivant. L'étendue du champ
visuel
périphéri- que de l'oeil gauche s'était encore
a couleur verte pouvait être constatée seulement au centre du champ
visuel
droit. De l'oeil gauche le malade ne distinguai
s'était opérée une augmentation vi- sible de la périphérie du champ
visuel
et de la perception des cou- leurs. Le malade c
ig. 24 et 25, dex. et sin.) : Dans l'ceil gauche l'étendue du champ
visuel
périphérique s'était augmentée, de même que la pe
eJâger. Dans l'oeil droit tous les périmétrogrammes, celui du champ
visuel
simple et celui de la perception des couleurs s'é
eurs et la vue périphérique sont un peu bornées en haut et l'acuité
visuelle
est restée un peu affaiblie . PAVILLON D'ISOLEM
ri- vés au moins à la seconde période de leur affection. L'acuité
visuelle
, difficile du reste à apprécier, parait fort peu
t inintelligible. Bientôt survient du délire avec hal-' lucinations
visuelles
. La connaissance s'obscurcit progressivement. L
nerf optique ; la diminution de la vision, et la réduction du champ
visuel
, sont la règle dans l'anémie. Les névralgies sont
ière. Ce délit s'ac- compagne d'interprétations et d'hallucinations
visuelles
: les malades qui l'entourent sont des sorcière
a jamais eu ni para- lysie oculaire, ni strabisme, ni aucun trouble
visuel
. Placé à cinq mètres d'un tableau sur lequel es
oeil étant fermé, on s'assure que le disque est bien dans le champ
visuel
deceteeil ; le malade ouvre alors l'autre oeil ;
ux, la diplopie apparaît : dans la vision binoculaire, un des plans
visuels
étant fixé parle tube. Il y a diplopie. Nous re
ormale, l'ataxique arrive inconsciemment à faire converger les axes
visuels
sur un même point et à éviter la diplopie ; mai
, mais qui apparaît dès que, par un artifice, on immobilise l'axe
visuel
d'un oeil. 2° Les muscles oculo-moteurs partici
rique, examinées récem-ment par M. Landolt à la Salpêtrière, le champ
visuel
pour le blanc et pour les couleurs est rétréci co
s couleurs est rétréci concentriquement, même dans le cas où l'acuité
visuelle
et la perception centrale des couleurs sont norma
rtionnellement. Pour les détails relatifs au rétrécisse meut du champ
visuel
, pour les couleurs, chez les hystériques, voir la
de l'hystérie, p. 923. A l'état normal, toutes les parties du champ
visuel
ne sont pas également aptes à percevoir les coule
percevoir les couleurs. Il est des cou-leurs pour lesquelles le champ
visuel
est physiologiquementplus étendu que pour d'autre
nsi, dans la grande majorité des cas, c'est pour lé bleu que le champ
visuel
est plus vaste ; viennent ensuite le jaune, puis
aune véritable ajnaurose(l). Ces altérations chromatiques du champ
visuel
se manifestent principalement, comme on Ta dit, d
respondant au co^Lé.hémianesthésie; mais il est habituel que le champ
visuel
pour les couleurs se montre en même temps rétréci
réalisation dans la clinique. Il est bien entendu que ces troubles
visuels
de l'hystérie sont tout fonctionnels et qu'ils ne
s, le rétrécissement, en quelque sorte normal dans l'espèce, du champ
visuel
pour les couleurs de l'œil relativement sain, s'e
s sous le nom de carrefour sensitif (2) : même diminution de l'acuité
visuelle
,même rétrécissement concentrique et gé néral du c
acuité visuelle,même rétrécissement concentrique et gé néral du champ
visuel
pour les couleurs, mar-qué dans les deux yeux, ma
, dans cette même conférence, a insisté sur un autre genre de trouble
visuel
, depuis longtemps remarqué par lui, qu'il considè
rès habituellement et d'une façon très accentuée ce genre de trou-ble
visuel
. l^Ma^c??)— Hémianesthésie et ovarie gauches, d
t, dans l'hystérie vulgaire (Hys-teria minor). Bien d'autres troubles
visuels
peuvent s'observer encore dans ces mêmes circonst
crosnier, Editeurs. Imp. Lemercier Cie Paris PLANCHE XIII CHAMP
visuel
des couleurs. Fig. 1. — Champ visuel d'un œil g
e Paris PLANCHE XIII CHAMP visuel des couleurs. Fig. 1. — Champ
visuel
d'un œil gauche normal. —¦ Ces champs visuels ont
leurs. Fig. 1. — Champ visuel d'un œil gauche normal. —¦ Ces champs
visuels
ont été obtenus à la lumière tempérée du jour ave
, point de fixation correspondant à la tache jaune. Fig. 2. — Champ
visuel
gauche dans un cas A'Hgstéro-épilepsie avec Hé %
A'Hgstéro-épilepsie avec Hé % ianesthésie gauche. (Marc... — Le champ
visuel
est rétréci concentrique-ment. Acuité visuelle àg
che. (Marc... — Le champ visuel est rétréci concentrique-ment. Acuité
visuelle
àgauch » j 2 ; l'acuité visuelle et le champ sont
st rétréci concentrique-ment. Acuité visuelle àgauch » j 2 ; l'acuité
visuelle
et le champ sont normaux à droite. 20 ~ Landolt
normal pour l'audition, l'olfaction, le goût. Du côté de l'appareil
visuel
sont survenus depuis quelques mois des troubles q
vers le haut, celles des parties supérieures vers le bas ; le champ
visuel
du côté droit, par exemple, son image vers le pôl
notre rétine est sans importance au point de vue de notre orientation
visuelle
, ou ne fera-t-il pas aussi bien d'admettre comm
per- ception des formes, de la distribution des choses sur le champ
visuel
résulte immédiatement de la distribution topogr
sterons encore sensibles au déplacement des objets dans notre champ
visuel
, tout en distinguant très mal, ou pas, les objets
s ayons remarqué qu'à la sensation articulaire A correspond l'image
VISUELLE
d'une certaine position A' du bras,puisqu'à B c
itude que l'attitude ne révélera le mouvement ? ` ? Et la sensation
visuelle
n'est-elle pas aussi un peu différente qualitativ
ouligné. 166 BONNIER . devant le miroir.afin d'associer l'image
visuelle
de cette atittude qu'ils veulent réaliser, les
se projettent et se superposent les sensations qui forment un espace
visuel
ou tactile, on se demande à quoi ce canevas peu
e canevas peut bien servir. Si les sensations qui forment un espace
visuel
et celles qui forment l'espace tactile sont super
'il y a de plus directement sensoriel. L'espace tactile et l'espace
visuel
se superposent pour nous fournir la notion d'un
posent pour nous fournir la notion d'un espace à la fois tactile et
visuel
, tangible et visible, mais nullement la notion
is nullement la notion d'un espace qui ne serait plus ni tactile ni
visuel
. Faire concorder plu- sieurs notions n'est pas
e et sur nulle autre. Il est donc localisé à tel point de mon champ
visuel
; mais ceci ne me suffit pas si je ne sais en m
de la forme de l'objet. Si, en outre, nous pratiquons la recherche
visuelle
et la recherche tactile, c'est-à-dire si nous f
réductibles entre elles ; nous ne pouvons superposer une impression
visuelle
à une audi- tive ou à une tactile, et si nous p
a distance et à la lumière. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
, et l'acuité visuelle paraît peu diminuée. Ou
umière. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel, et l'acuité
visuelle
paraît peu diminuée. Ouïe. Le malade n'éprouv
le du côté externe. On peut faire la même observation pour le champ
visuel
. La zone interne de la vision paraît légèrement
e pas les objets qui sont placés dans la moitié droite de son champ
visuel
. Quand on lui présente les mêmes objets à gauch
du thorax. Inégalité pupil- laire. Signe d'Argyll-Robertson. Acuité
visuelle
diminuée. Diplopie à plusieurs reprises. Troubl
bilité. Conservation des réflexes tendineux. Diminution de l'acuité
visuelle
; signe d'Argyll-Robertson. Sphincters intacts. A
réflexes à la lumière et à la convergence ; diminution de l'acuité
visuelle
. Légers troubles sphinctériens. Troubles gastri
sence de réaction à la lumière. Diminution considérable de l'acuité
visuelle
; double atrophie optique tabétique. Mort en 19
r le campimètre dans l'attitude habituelle pour la recherche du champ
visuel
, 338 SÉGLAS on enlève la table, le campimètre
là langue, diminution de l'acuité auditive, rétrécissement du champ
visuel
, abolition complète du sens sléréognostique. Il e
haryngien et cornéen, zones hystéro- gènes, rétrécissement du champ
visuel
à gauche), auxquels il faut peut- être ajouter
de l'aeil droit. ' Rétine, vaisseaux, choroïde, normaux. Acuité
visuelle
2/3. Champ visuel normal, pas de dyschromatopsie.
Rétine, vaisseaux, choroïde, normaux. Acuité visuelle 2/3. Champ
visuel
normal, pas de dyschromatopsie. ' Il n'y a donc
imensions. Il n'y a rien à signaler à la région maculaire. L'acuité
visuelle
est nulle, le malade ne pourrait distinguer le jo
de nouveau taciturne et misanthropique et présenta des hallucinations
visuelles
et cénesthétiques. Elle voyait les anges, la sa
s'était récemment développée sur la blépharite chronique. L'acuité
visuelle
était de 6/10 pour chaque oeil, et il existait
ce ma- lade. J'ajoute qu'il ne présente ni rétrécissement du champ
visuel
, ni anesthésie pharyngée, ni rien qui puisse fa
es pupilles sont maintenant immobilisées en myosis. Pas de troubles
visuels
, pas de scotome. Les membres supérieurs paraissen
êles. La papille est atteinte d'atrophie blanche. Examen du champ
visuel
. - Pour l'oeil droit, le champ est réduit à sa
tral et se trouve limité à sa moitié inférieure. A droite, l'acuité
visuelle
est réduite pour la moitié inférieure du champ à
tance, et seulement en correspondance de la moitié interne du champ
visuel
. Examen du sang. On note un certain degré ,'d'é
Les sens spécifiques sont normaux; rien de particulier pour le champ
visuel
et l'examen ophtalmoscopique. L'excitabilité él
que ophtalmologique, où l'examen ophtalmoscopique et celui du champ
visuel
donnèrent des ré- sultats négatifs. Maintenant,
e T. YTI. Pl. LVIII OXYCÉPHALIE Crâne « en tour » avec troubles
visuels
. (Pierre Merle). Masson et Cm, Editeurs Pho
OUR » DES AUTEURS ALLEMANDS MALFORMATION S'ACCOMPAGNANT DE TROUBLES
VISUELS
(1) PAR R PIERRE MERLE La malfromation crân
tion de l'acuité (il compte les doigts cependant à un mètre). Champ
visuel
normal. A l'ophtalmoscope : choroïdite péripapi
rait compter les doigts à petite distance avec l'oeil gauche. Champ
visuel
certainement très étroit et probablement excentri
halées violentes au front et k l'occiput. Gâtisme. Hallucinations
visuelles
, sans localisation spéciale. Sensations de vertig
tiques et l'amaurose favorisent le développement des hallucinations
visuelles
. Le sentiment de malaise y donne le cachet péni
e quoi expliquer amplement l'amaurose et le rétrécissement du champ
visuel
. ' La tumeur, un sarcome, a pénétré comme une s
n admission le malade fil une sorte de délire avec hal- lucinations
visuelles
(personnes, animaux) et auditives. Dans l'obser
nerfs optiques aurait participé à la production des hallucinations
visuelles
. Ces questions ne peuvent être que touchées, non
puis K seule. Il faut y rapporter une partie au moins des troubles
visuels
observés chez la malade. La compression directe
erselle, grâce à laquelle il lui sera possible d'actionner l'organe
visuel
dans ses cellules composantes, en modifiant leu
ocondriaques et idées de persécution,'accompagnées d'hallucinations
visuelles
et d'impulsions violentes. Les crises d'agitati
sujets de ce genre de faire abstraction de l'impression pu- rement
visuelle
qu'ils nous donnent par leur développement physiq
bémihypoesthésie sensitivo-sensnrielle du côté gauche et d'un champ
visuel
très étroit. Tous les réflexes étaient normaux. R
stoire clinique parle encore d'une liéillillypoesillésie d'un champ
visuel
très restreint, du défaut de réflexe pharyngien.
ur des auteurs allemands, malforma- tion s'accompagnant de troubles
visuels
(1 pl.), 349. Morisetti et APERT. Absence con
CH, 111. Oxyréphalie (crâne en lour) s'accompa- quant de troubles
visuels
(1 pl.), par Merle, 349. Paralysie générale e
du tissu cérébral dues à la présence de-) (6 pl. par Weber, 359.
Visuels
(Oxyréphalie avec troubles), par Merle (i pl.),
OEdème persistant (HOPE et French), XXXII. Oxycéphalie et troubles
visuels
(Merle), LVIII. Poli-encéphalomyélite aigus;
n de l'ouïe, de l'odorat et du goûta droite. Diminution de l'acuité
visuelle
du mêmecôté. Mort àcinquanteans dansle gâtisme
servation de la vision centrale dans les cas de lésions des sphères
visuelles
parce fait que les fibres correspondant à la ma
sept syphilitiques sans signes de tabes mais avec ou sans troubles
visuels
. Nous avons trouvé dans la plupart des cas un gro
ygiéniques portant principalement sur la suppression des sensations
visuelles
et olfactives, la position horizontale, etc. La
estion a surtout pour effet de diminuer la sensibilité olfactive et
visuelle
, ainsi que d'exalter la résistance physique et
rouve ou bien un rétrécissement plus ou moins concentrique du champ
visuel
, ou un scotome central des plus évidents, et to
citées plus haut. En outre, le malade se plaint que des illusions
visuelles
l'inquiètent beaucoup; il en avait en quantité as
tes et distinctes, mais, ordinairement, ces fausses représentations
visuelles
n'étaient pas très nettes, le malade croyait vo
nt, en aspect d'un crâne avec des yeux; ces fausses représentations
visuelles
pour la plupart étaient passagères, suc- cédant
les représentations obsédantes des illusions et des hallucinations
visuelles
et auditives ; c'est curieux de noter que les i
noter que les illusions et les hallucinations du côté des organes
visuel
et auditif se distinguaient aussi par un carac-
, et les images illusoires et hallucinatoires, surtout les images
visuelles
, ne l'étaient pas parfois ; le malade avait encor
ut ce réduit donc à un sens, à une perception unique, la perception
visuelle
. Il n'y a donc pas, à proprement parler, veille
ut sortir de cet état qu'en ouvrantles yeux, elle a alors la preuve
visuelle
qu'elle n'était que le jouet d'un rêve; mais, p
tion de la jeune fille. Quelque hyperesthésie du sein gauche. Champ
visuel
un peu rétréci des deux côtés; légère dyschroma
1902.) Animaux ayant subi des lésions expérimentales de la sphère
visuelle
occipitale de Munk. I. Lésions unilatérales. 1°
visuelle occipitale de Munk. I. Lésions unilatérales. 1° Le trouble
visuel
disparaît totale- ment plus ou moins vite. 2° T
première expérience unilatérale; ce n'est que lorsque le trouble
visuel
a complètement disparu qu'on a exécuté une second
e de la vue de l'oeil qui a été le premier endommagé. 2° Ce trouble
visuel
est sou- vent tout aussi accusé et même plus ma
magé par la seconde opération. 3° On observe parfois que le trouble
visuel
de l'oeil qui correspond au côté opéré en derni
cés par la théorie de Munk : c'est de l'hémio- pie. 5° Les troubles
visuels
consécutifs aux extirpations corti- cales doubl
L'absence de scotomes circonscrits indélébiles, et même de troubles
visuels
permanents y contredit également. P. KERAVAL.
connaissent plus la position de l'objet dans la profondeur du champ
visuel
. Observa- tion identique sur les chiens : Jean
nie et de tout symptôme cérébral, pendant vingt-six jours; le champ
visuel
normal ne se rétablit que graduellement. Pendan
ale gauche, et surtout sur l'améliora- tion apportée aux phénomènes
visuels
par la ponction lombaire. ' Nous en donnons la
peut améliorer certains symptômes (céphalée, diminution de l'acuité
visuelle
, hébétude) et doit ètie conseillée. G. C. XCI
ns et illusions auditives, quelquefois hallucinations olfac- tives,
visuelles
et tactiles. Pas de délire systématisé. Pas d'aff
n de l'excitabilité faradique pour tous les muscles du tronc. Champ
visuel
: rétréci. Traitement. Guérison. — Le 4 février
contentant do lui tenir les yeux fermés pour éviter toute distraction
visuelle
, et sans aucua ordre de dormir, je l'engageais se
uler les suggestions avec précision et clarté. Il faut que les images
visuelles
, auditives ou motrices, exposées devant le cervea
, douloureuse, thermique, électrique, gustative, olfactive, auditive,
visuelle
, chromatique. L'hypercsthèsie des téguments sou
rence sur : La psychologie de la vision it l'évolution de la fonction
visuelle
. (Cette conférence sera accompagnée de démonstrat
s pu aussi bien citer des sensations tactiles, des hallucinations
visuelles
ou auditives, des sentiments, etc.) Et la meill
st en arrêt sur l'idée de dormir, là il est en arrêt sur la sensation
visuelle
. Les circonstances ont fait que les expérimenta
érence sur : La psychologie de la vision et révolution de la fonction
visuelle
. ICette conférence sera accompagnée de démonstrat
faiml, des sexuels. S'il s'agit de sens supérieurs, nous aurons des
visuels
, des auditifs ; division dont Charcot a tiré un s
érence sur: La psychologie de la vision et l'évolution de la fonction
visuelle
. iCettc conférence sera accompagnée de démonstrat
Les sensations internes, tactiles, gustatives, olfactives, auditives,
visuelles
, nous en sont, par elles-même et immédiatement, l
i, à un titre quelconque, s'oeccupent de psychologie. La perception
visuelle
de la profondeur, — par B. Bourdon, Revue philoso
ombreuses ot ingénieuses expériences qu'il a faites sur la perception
visuelle
de la profondeur. Ceux d'entre nos lecteurs qui s
c. L'espace normal est, au sens le plus strict du mot, un phénomène
visuel
. Les mouvements des yeux, de la tête, du corps no
n outre, noire perception de la profondeur ayant une limite, l'espace
visuel
doit nous apparaître par cela même comme limité;
accompagne de gémissements continuels et de véritables hallucinations
visuelles
. Au bout d'un mois ou deux, cette obsession sembl
e plus qu'à développer chez cette personne les facultés de la mémoire
visuelle
et l'habileté manuelle qui sont si nécessaires da
ent au type vituel et elle est douce au plus haut degré de la mémoire
visuelle
. Cette observation nous confirme dans l'opinion q
attention spontanée et leur attention volontaire dans la fonction
visuelle
. La fixité des yeux que l'on détermine lorsqu'on
ggestive (les principes de la,, par le Dr Bérillon, 161. Peretption
visuelle
des profondeurs (la), 342. Phobies profession
ermina sa vie on ne sait ni où ni comment. Hyperacuité olfactive et
visuelle
et impassibilité à la douleur chez les nègres sou
t le monde. Arrivons maintenant au sujet qui a trait à Thyperacuité
visuelle
. Les nègres reconnaissent à l'empreinte du pied
ent surtout, de l'hypoesthésie à gauche et du rétrécissement du champ
visuel
.Parinstants elle offre à la face un phénomène qu'
ngiens ou palpébraux; il n'y a pas de rétrécissement notable du champ
visuel
et la pression des zones hystérogènes ordinaires
thie. Diminution de la sensibilité par places rétrécissement du champ
visuel
. Tremblement d'un membre. Nous lui donnerons co
part anesthésie de la lace et des oreilles, rétrécissement du champ
visuel
. Ce que nous pouvons inscrire ainsi : S+n+ S+n
il n'y a ni parésie des muscles oculaires, ni rétrécissement du champ
visuel
, ni dyschromatopsie. A part un léger souffle syst
itif, superficiel ou profond, subjectif ou objectif, ni aucun trouble
visuel
, ni aucun point hyperes-thésique du côté des sein
élire hallucinatoire terrifiant. Rien n'y manque : ni l'hallucination
visuelle
, qui en forme la base, ni le caractère sinistre,
lucinatoire, l'explosion nocturne, brusque, aiguë, les hallucinations
visuelles
, terrifiantes, mélangées d'illu- sions, les a
vois dans une grande clarté Satan avec « ses cornes (hallucination
visuelle
) agissant et disant comme une vraie « voix (hallu
é complète. Pas de rétrécissement concentrique appréciable des champs
visuels
. J'acquiers de plus en plus la conviction que m
ons de la clinique des maladies nerveuses à la Salpétrière. champ
visuel
et de l'achromatopsie. ce qui n'est pas en rappor
e qui n'est pas en rapport avec une lésion intracrânienne. Le champ
visuel
est tout petit ; la malade voit beaucoup moins da
Centre auditif : écorce des circonvolutions temporales. V : Centre
visuel
: écorce de la région calcarinienne. T : Centre
centres sensoriels, de réception, comme A (centre auditif), V (centre
visuel
), T (centre de sensibilité générale); de l'autre,
onne, parles yeux, formulée par écrit ou consécutive à une expression
visuelle
, qu'elle naisse en apparence spontanément, réveil
qu'il écrit et ce qu'il écrit ; il pourrait l'exprimer par des images
visuelles
ou motrices. C'est d'un état délirant qu'il s'a
itif ou moteur, pas même d'hypoesthésie ou de rétrécissement du champ
visuel
; le larynx n'offre rien de particulier ; tous le
obtiennent la), p. 127. Nègres soudanais (Hyperacuité olfactive et
visuelle
et impassibilité à la douleur chez les), par Damo
ormale dans tous ses modes. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
; l'acuité visuelle de l'oeil gauche est notabl
es modes. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel ; l'acuité
visuelle
de l'oeil gauche est notablement diminuée (1). Le
e faciale restait. Quoiqu'il n'y eût pas de rétrécissement du champ
visuel
ni pour la lumière diffuse, ni pour les couleur
rinaud. Pas de trou- bles oculaires, pas do rétrécissement du champ
visuel
. Pas de nystagmus. Tous les mouvements des glob
au-dessous, non aboli complètement. Phénomènes oculaires. ' Champ
visuel
normal des deux côtés. Nystagmus DES DÉVIATIONS
Pas de, troubles de. la sensibilité, pas de rétrécissement du champ
visuel
. Le sommeil est- agité et troublé de cauchemars
quelques caractères tirés de la sensibilité et de l'examen du champ
visuel
qui permettent de la classer parmi les va- riét
é des deux côtés, le. goût est aboli à droite et à gauche, le champ
visuel
est ré- tréci à 40° à droite, à 35° à gauche, l
sensibilité est intacte. Il n'y a pas de ré- trécissement du champ
visuel
(le malade distingue la couleur blanche à 80° d
aboli. Un seul peut suffire, le rétrécissement unilatéral du champ
visuel
concentrique qui devient pathognomonique. » L
ergence ; 3° Aux impressions tactiles de la conjonctive. L'acuité
visuelle
donne pour l'oeil gauche V = 2/3 environ, oscilla
donne pour l'oeil gauche V = 2/3 environ, oscillations de l'acuité
visuelle
, fatigue asez rapide. Pour l'oeil droit, aucune
ité visuelle, fatigue asez rapide. Pour l'oeil droit, aucune acuité
visuelle
. C'est un oeil supprimé au point de vue de la f
fonction ; il ne donne aucune sensation positive ou négative. Champ
visuel
.- A gauche, rapidement pris pour le blanc, il se
n prolonge l'examen. A droite, il ne saurait être question de champ
visuel
(fig. 44). Examen oplatalmoscopique. Le fond de
es plus considérable dans l'oeil gauche que dans le droit. Le champ
visuel
se trouve réduit dans les deux yeux comme vous le
schéma que je vous présente. Celle réduction concentrique du champ
visuel
est également plus prononcée dans l'oeil gauche q
ement plus prononcée dans l'oeil gauche que dans le droit. L'acuité
visuelle
est normale dans les deux yeux. (Fig. 45). L'ét
i se présentent accompagnés d'une réduction con- centrique du champ
visuel
plus accentuée dans l'oeil gauche. C'est-à-dire
40, 41, 42. Casque vibrant, 35. Hystérie (Rétrécissement du champ
visuel
' dans l' -), 44, 45; (Tremblement -), 43. Ma
uine. E. B. 122 REVUE DE PHYSIOLOGIE. III. Localisation du CENTBE
visuel
d'après DE toutes récentes expériences DE FERRI
e hémisphère, l'animal ainsi mutilé n'ayant presque aucun trouble
visuel
, ou n'étant tout au moins affecté que de pertur-
opie gauche de quatorze jours et reprend ensuite toute sa puissance
visuelle
. Un ani- mal chez qui l'on détruit en une séanc
truit en une séance les deux lobes occipi- taux (absence de trouble
visuel
) et dans une autre le pli courbe du côté gauche
on de la circonvolution angulaire cause la perte de la per- ception
visuelle
du côté opposé ; 2° cette opération n'est suivie
volutions des lobes postérieurs du cerveau concourent à la fonction
visuelle
s. Il a, fait de nombreuses recherches physiolo
observations, tout en différant quant au' siège précis du centre
visuel
, admettent tous que ce centre se trouve dans la p
rt à désigner.-Si c'est la voie de trans- . mission entre le centre
visuel
et le centre de la formation des mots qui est a
est atteinte, nous aurons la cécité des mots. Le ma- lade a l'image
visuelle
de tous les objets ainsi que des lettrés; mais
du toucher. C'est l'image tactile qui remplaçait chez elle l'image
visuelle
pour réveiller le nom de la lettre. La connai
paresthésies ; four- millements ; engourdissements ; hallucinations
visuelles
). L'anesthésie que Ferrier réussit à déterminer
unr souvenir net : Ces .vertiges raccompagnent toujours de troubles
visuels
, ! et souvent d'une^, angoisse précordiale qui
s sa guérison, conservé là faculté de" provoqueiwdes hallucinations
visuelles
; periphériqués ? oii`cén- trales, en travaillan
i, courbe soit, comme Ferrier l'a indiqué, le siège des impressions
visuelles
.. 1 , M. DELASIAUVE. J'ai vu une fois la destru
off, 215. Centralisation de l'énergie, par Wooton, 283. Centre (
visuel
), 122 (Un nou- veau) cortical, par G.-H. Ham-
foyer uni- -* latéral), par Kerchoff, 256. Localisation du centre
visuel
d'a- ,9 près, de toutes" récentes' expé- - s
pratiqué par M. Landolt: « Amblyopie de l'œil droit dont l'acui té
visuelle
n'est que de Cet œil distingue toutes les couleur
-f- 335 de blanc que l'œil normal reconnaît facilement. « Le champ
visuel
de l'œil droit est rétréci concentrique-ment. Les
ur de l'œil, point qui correspond à peu près aux limites de son champ
visuel
(1). » Hyperesthésie ovarienne ; aura. — Les at
ait par M. Landolt. 1875. Examen de la vision.— Œil droit. L'acuité
visuelle
est normale; G... distingue toutes les couleurs,
les approcher plus près que pour un œil tout-à-fait sain. — Le champ
visuel
est rétréci concentriquement ; il s'étend en deho
toutes les couleurs sauf le vert qui lui parait blanchâtre. Le champ
visuel
est considérablement rétréci (10°). A Tophtlial
ampes. 5 déc. — Examen des yeux (Landolt). — Diminution de l'acuité
visuelle
à droite jusqu'à tj~ de la normale (comme à gauch
portionnelle de la perception des couleurs et rétrécissement du champ
visuel
jusqu'à la moitié au moins du champ visuel normal
et rétrécissement du champ visuel jusqu'à la moitié au moins du champ
visuel
normal. — Au dynamomètre Mathieu, 40 des deux côt
issement de l'ouïe, achromatopsie, am-blyopie, diminution de l'acuité
visuelle
, etc.), puisque nous sommes entré, à leur occasio
la physionomie est beaucoup plus calme. On constate au point de vue
visuel
que l'hémianopsie n'existe plus, et qu'il y a u
. Aucune anomalie de la sensibilité, pas de rétrécissemeut du champ
visuel
, pas d'altération du goût ou de l'odorat. Réfle
absence de réaction à la lumière. Diminution considérable de l'acuité
visuelle
, double atrophie optique tabétique. Mort en 190
accessibles. Les sensa- tions gustatives, olfactives, auditives et
visuelles
, parfaites. L'examen du fond de l'oeil, de la v
L'examen du fond de l'oeil, de la vision périphérique et de l'acuité
visuelle
, faite par le professeur Isola, ne présente auc
iminution de l'ouïe il gauche très notable. Rétrécissement du champ
visuel
des deux côtés, cepen- dant plus marqué à gauch
préparations normales. Or cette numération montre que dans un champ
visuel
d'un grossissement très fort, on trouve chez le
, la persis- tance très longue des réflexes rotuliens, les troubles
visuels
et auditifs, les troubles de la sensibilité et
n allant de dehors en dedans, en suivant le sens de la conduc- tion
visuelle
, les 9 couches suivantes : 308 LORI pas uniqu
te externe. - 3. Grains externes, corps des lors neurones, cellules
visuelles
. 4. Couche intergranuleuse. a) Fibres de Henl
organes des sens; la vue est normale, sans rétrécissement du champ
visuel
. Les réflexes sont normaux. Au point de vue i
sseaux pie-mériens ; on comprend ainsi les rétrécissements du champ
visuel
en secteurs que l'on observe dans l'amau- rose
vision « comme à travers un tube », de la conservation d'une acuité
visuelle
presque normale avec un rétrécissement considérab
suelle presque normale avec un rétrécissement considérable du champ
visuel
, d'autre part la grande rareté des scotomes purem
ssi il existe toutes les variétés dans les rétrécissements du champ
visuel
au début de l'atrophie tabétique et suivant les h
e de céphalées frontales plus ou moins vives, parfois de sensations
visuelles
colorées, de phosphènes, parfois d'hallucinatio
sations visuelles colorées, de phosphènes, parfois d'hallucinations
visuelles
ou de troubles mentaux. La deuxième période dur
du. nerf, expliquent qu'il n'existe pas de rétrécissement du champ
visuel
caractéristique rle l'amaurose tabétique, mais qu
ette époque une diminution de l'acuité auditive à droite, de l'acuité
visuelle
du même côté et quelques secousses nystagmiform
usculaire. Du côté de la face on note un peu de diminution du champ
visuel
et de \ 'acuité visuelle à droite. Réflexes pup
a face on note un peu de diminution du champ visuel et de \ 'acuité
visuelle
à droite. Réflexes pupillaires normaux. A l'exame
al, par de l'agitation, de l'égarement, de la défiance, des phobies
visuelles
et auditives, de l'apathie et du dégoût pour l'ex
ESCENCE CHEZ L'ANIMAL 487 5. Phobies. Hallucinations. - Les phobies
visuelles
et auditives sont t fréquentes chez les équidés
éritable répulsion. Les hallucinations du cheval sont sensorielles,
visuelles
, motrices, mais toujours de nature psychosensor
t la liste des états dégénél'ati{s de l'animal comprendra alors des
visuels
, des audi- tifs, des sensitifs, des moteurs ...
pas encore réglée. Pas d'anesthésie, ni de rétrécissement du champ
visuel
. 29 novembre. Six nuits mouillées depuis le 18
tigmates hystériques ; analgésie cutanée et rétrécissement du champ
visuel
diminué de moitié et à peu près également des d
glottique, anesthésie bucco-pharyngienne, rétrécisse- ment du champ
visuel
, etc. Traitement : potions et poudres inertes d
ture, malgré une percep- tion parfaite des caractères et une acuité
visuelle
intacte. Si le ma- lade persiste il éprouve bie
é inférieure à la normale, achroma- topsie, rétrécissement du champ
visuel
. Pour les particularités psychiques : l'attenti
ie, ni nystagmus. Le malade distingue bien les couleurs. Son acuité
visuelle
est bonne. Du côté de l'ouie, du goût de l'odor
nc, vociférations, puis phase de somnambulisme, avec hallucinations
visuelles
. Les crises se répètent à des inter- valles irr
enne. A l'ophtalmoscope, papille normale. Rétrécisse- ment du champ
visuel
. Les tracés pris à l'appareil enregistreur mont
un cas de délire chronique religieux à hallucinations auditives et
visuelles
. - C'est l'observation d'un délirant systématiq
semble y avoir irradiation et alternance entre les deux éréthismes
visuel
et auditif. On en pourrait tirer des déductio
ues, du tremblement émotionnel passager, un rétrécissement du champ
visuel
et des plaques d'anesthésie. Environ quinze jou
e dans le domaine de la sensibilité générale et l'exa- men du champ
visuel
permet de conclure à l'intégrité fonc- tionnell
Anesthésie complète de la con- jonctive, même sur la cornée ; champ
visuel
très rétréci à gauche ; Archives, 2e série, t.
'autres signes d'hystérie (hémianalgésie et rétrécissement du champ
visuel
) après des tentatives de strangulation. L'auteu
signe d'Argyll- Roberlsou. Il n'y a pas de retrécissement du champ
visuel
, pas de dyschromatopsie, pas de lésion du fond
cales) ou sur les fibres qui relient les centres d'images motrices,
visuelle
ou auditive aux centres généraux correspondants
orales centre des images auditives; pli courbe, cen- tre des images
visuelles
. Ces diverses parties sont reliées entre elles
dèlire religieux à forme exaltée la prédominance d'hallucina- tions
visuelles
aux dépens des troubles auditifs prédominant au
du centre audi- tif. Or, chez les persécutés types, l'hallucination
visuelle
est bien plus rare que celle de l'ouïe, aussi L
lirantes mul- tiples, mais portant surtout encore sur des illusions
visuelles
. ' Legrand du Saulle et J. Falvet ont développé
phénomènes hallucinatoires. Ces troubles manifestes dans la sphère
visuelle
n'excluent point constamment ceux des autres sp
ons consolantes anta- gonistes paraissent prédominer dans la sphère
visuelle
. Ce sont, le plus souvent, des visions radieuse
s des tables où se lit une inscription. Ici encore, l'hallucination
visuelle
principale s'accompagne toutefois d'hallucinati
emble y avoir irradiation et alter- nance entre les deux éréthismes
visuel
et auditif, le premier tendant à se substituer
e se diriger dans le monde extérieur, toutes les autres perceptions
visuelles
sont acquises; que, par conséquent, elles ne so
ene et conjonctivale; à droite, rétrécissement très marqué du champ
visuel
sans dyschromatopsie (fig. 3). Le second mala
e goût et l'ouïe sont affaiblis ; l'odorat est aboli. ZD Le champ
visuel
est notablement rétréci des deux côtés (fit. 6) ;
à droite avec rétrécissement presque maximum (10 pour 100) du champ
visuel
; le malade voit tout gris, la cataracte estpresqu
par jour- II n'existe pas d'autres stigmates hystériques. Le champ
visuel
n'est pas modifié, on ne peut se rendre compte
d'autres troubles oculaires; le fond de l'oeil est normal; le champ
visuel
non rétréci; les couleurs sont bien vues. L'orb
ements associés. Diplopie intermittente; pas de nystagmus. L'acuité
visuelle
est de 1/2. A l'oplitalmoscopc on ne constate a
res sont conservés. « II y a rétrécissement concentrique du champ
visuel
à 50°, intéres- sant également les deux yeux, s
nd de l'oeil autres que celles delamyopie : M = 4 dioptries. Acuité
visuelle
: V= oeil droit 1/3, oeil gauche 1/20. « Rétr
oit 1/3, oeil gauche 1/20. « Rétrécissement concentrique du champ
visuel
il 40° pour l'oeil droit, il 25° pour l'oeil ga
our l'oeil droit, il 25° pour l'oeil gauche (fig. 44). c Le champ
visuel
du bleu est moins étendu que celui du rouge dans
x côtés. A droite et à gauche, rétrécissement concentrique du champ
visuel
(fig. 47) à 15°; abolition de la perception du
. En effet, l'examen pratiqué par M. Pari- naud montre que l'acuité
visuelle
est très peu réduite : V= 1o pour les deux yeux
rfaitement normal. Il n'y a pas non plus de rétrécissement du champ
visuel
, ni de dyschromatopsie d'aucun genre. La pupille
quelle l'objet est placé, laté- ralement, dans les limites du champ
visuel
, il n'y a presque pas de nystag- mus, soit que
nution de la mémoire. Les yeux sont hypermétropes mais d'une acuité
visuelle
normale. Les globes oculaires paraissent augmen
d'altérations notables. Les yeux se fatiguent facilement, le champ
visuel
n'est pas limité, l'acuité visuelle est normale
se fatiguent facilement, le champ visuel n'est pas limité, l'acuité
visuelle
est normale; il n'a pas eu de diplopie. Les pu-
impression faite sur l'oreille par le mot (langage parlé) ; l'image
visuelle
(impression faite sur l'oeil par le mot (langag
st le centre audi- tif des mots qui est frappé, une amnésie verbale
visuelle
, motrice d'ar- ticulation, motrice graphique, s
motrice d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont les centres
visuel
, moteur du langage articulé, moteur du langage
erbale motrice graphique ; 3o la cécité verbale, ou amnésie verbale
visuelle
; 4o la surdité verbale, ou amnésie verbale auditi
thologique d'une faculté spéciale qu'on pourrait appeler la mémoire
visuelle
des signes du langage. (Charcot, in Ler., t. li
u même auteur, nous trouvons du somnambulisme et des hallucinations
visuelles
noires (Obs. X), de la toux prolongée sans phén
s couleurs et il ne parait pas y avoir de rétrécissement du champ
visuel
. Les deux fosses iliaques et les régions sous-mam
nt de l'hémiopie : perception émoussée de la moitié gauche du champ
visuel
. Pour compléter la démonstration, tuons- le. Vo
hérie au centre. Du reste, jamais d'hémorrha- gies, pas de troubles
visuels
, à raison de l'état anatomopalholo- gique et de
son début, jusqu'à maintenant, absence absolue de toute perception
visuelle
objective. L'oph- thaimoscopo ne révélait jusqu
ge, était la mimique. Il n'y avait pour ces deux malades ni mémoire
visuelle
des mots, ni mémoire des mouvements graphiques,
uche, une amau- rose totale; à droite, de la diminution de l'acuité
visuelle
, une liéminnopsie temporale marquée. De ces con
que les trois précédentes. Douleurs ci l'épaule droite et illusions
visuelles
. Il en fait une cinquième ;' continuité de 1 il
ons visuelles. Il en fait une cinquième ;' continuité de 1 illusion
visuelle
au fond de la mer. Perte de con- 374 CLINIQUE N
MPLOI DES SCAPHANDRES. 375 â droite et en même temps d'une illusion
visuelle
qui lui faisait voir les objets environnants d'
le fond, il était dél)arrassédosa douleur, mais non de son illusion
visuelle
, par suite de laquelle il lui a été impossible
ssance chez le malade de I'Observation XV était précédée d'illusion
visuelle
et suivie de cépha- lalgie. Chez le malade de I
eait surtout au sommet de la tête. Symptômes oculaires. Illusions
visuelles
. On voit figurer ce symptôme chez le malade de
un autre syndrome; c'est le cas de ]OBSERVATION XV où les illusions
visuelles
, la perte de connaissance, la céphalalgie se co
se gauche, mais fixité des deux pupilles ; conservation de l'acuité
visuelle
et de la vision pélipliérique. A partir de févrie
ent la lumière et les ombres. Elle n'a signalé aucune particularité
visuelle
. Le 26 avril, l'attaque commença à Q hniirne A
fixer un objet, on ne peut obtenir qu'elle dirige vers lui le rayon
visuel
: elle semble regarder un autre point. L'oeil dro
hémiopie interne de l'oeil gauche, /avec' : diminution de l'acuité
visuelle
dans tout le champ visuel. Elle ne distin- gue,
gauche, /avec' : diminution de l'acuité visuelle dans tout le champ
visuel
. Elle ne distin- gue, en outre, aucune couleur
ui a duré sept jours. La céphalalgie est continuelle. La fonction
visuelle
a été étudiée minutieusement par M. Galezowski.
no 15) semble gris et toutes les autres couleurs noires. « 2° Champ
visuel
, a) Hémiopie droite de l'oeil gauche, par une l
noir; le vert, couleur de cendre. Diminution concentrique du champ
visuel
externe ` qui est aboli jusqu'à la distance de
. ' 12 il8 HYSTÉRO-ÉI'ILEPSIE. Achromatopsie complète. - Le champ
visuel
est rétréci con- centriquement jusqu'au point d
e, marron; le bleu, le vert et le violet sont vus en noir. Le champ
visuel
est rétréci concentrique- ment jusqu'à moins de
rêves désagréables l'empêchait de se rendormir. 2 juin. L'acuité
visuelle
, la perception des couleurs, l'éten- due du cha
L'acuité visuelle, la perception des couleurs, l'éten- due du champ
visuel
, sont à l'état physiologique. Les derniers vest
z pas du domaine physiologique. Si vous lui donnez des hallucinations
visuelles
, auditives, gustatives, vous le faites passer d'u
s et surtout dans l'exaltation des diverses perceptions sensorielles (
visuelles
, auditives, tactiles, gusta-tives, thermiques, et
Les agents physiques sont : 1° La lumière agissant sur l'appareil
visuel
et déterminant l'état do fascination (Braid, Char
ine. Elle n'est jamais Segmentairo. Enfin, Je rétrécissement du champ
visuel
n'existe pas, et, si les autres sens participent
page n="95"> CHRONIQUE ET CORRÉSPûHDAiiCE Un cas de suggestion
visuelle
En visitant le Musée des Arts à Copenhague, M.
les et diminuaient de nombre; ceux du premier plan sortaient du champ
visuel
, tandis que la couleur jaune du soleil devenait p
jonctives, hypoesthésie cutanéo, rétrécissement concentrique du champ
visuel
, hyperesthesia oyari-ionc bilatérale, etc. M. Mar
it aux suggestions motrices; on peut lui provoquer des hallucinations
visuelles
, et surtout on peut lui donner une suggestion thé
dit; en outre, les paupières ne s'ouvrent qu'incomplètement, le champ
visuel
est con-centriquement rétréci, certains muscles s
e et l'humilité. Les adjuvants accessoires sontcertaines sensations
visuelles
, auditives et olfactives. i. — Adjuvants de pre
de sug-gestibilité. iii. — Adjuvants accessoires. i. —¦ Sensations
visuelles
. De même qu'une belle maison induit les âmes si
s. Idées délirantes de persécution avec hallucinations auditives et
visuelles
consécutives à un traumatisme psychique, chez une
.. s'écrie : ß Nous allons tous mourir ! » Tantôt des hallucinations
visuelles
surviennent : en plein jour, toute éveillée, elle
ue de la lumière; elle ne présente aucune lésion oculaire et l'acuité
visuelle
est conservée dans toute son intégrité. La photop
hystérie, ni anesthésie, ni hypéresthésie, ni rétrécissement du champ
visuel
. Néanmoins, ces fugues doivent être considérées c
e 8 à 10°. Les réflexes sont exagérés, il y a rétrécissement du champ
visuel
, nystagmus et ptosis à gauche. La démarche est bo
rie (Idées délirantes de persécution avec hallucinations auditives et
visuelles
consécutives à un traumatisme psychique, chez une
y, p. 184. Persécution (Idées de), avec hallucinations auditives et
visuelles
etc.. par Paul Farez. p. 296. Phénomènes crypto
éveloppement du goût et de l'odorat (Rôle de la), p. 90. Suggestion
visuelle
(Un cas de), p. 94. Société d'Hypnologie et de
gauche ; il présente en outre un rétrécissement considérable du champ
visuel
agauche. Il s'agit donc de contracture hystérique
à gauche une anesthésie totale complète et du rétrécissement du champ
visuel
. Si l'on pince la peau, la pupille se dilate d'un
. Septembre 1901 Des représentations mentales et des hallucinations
visuelles
et auditives post-hypnotiques conscientes chez le
s : les réflexes cornéens et pharyngé conservés. En revanche, champ
visuel
très rétréci, comme on peut s'en rendre compte d'
ltérations de la sensibilité viscérale; il n'y a pas d'hallucinations
visuelles
ou auditives, ni d'impulsions aggres-sives ou imp
s. Vers '¿0 ans, tous les soirs à 9 heures, elle a des hallucinations
visuelles
: un ami qu'elle a jadis beaucoup affectionné lui
dans tout le côté gauche, un rétrécissement assez important du champ
visuel
pour les deux yeux, de l'anesthésie pharyngée, et
t, on constate à gauche de l'hypoesthésie, du rétrécissement du champ
visuel
, en outre, au niveau de l'estomac, là où se local
ontraire au bon sens. Si ces idées sont acceptées, si l'hallucination
visuelle
ou si la monoplégie brachiale est réalisée, on pe
e; il existe, en outre, toujours à gauche, un rétrécissement du champ
visuel
, puis aux faces interne et externe du genou, des
pochondrie, hallucinations de la sensibilité générale, hallucinations
visuelles
ou auditives, etc. ; .e) Autres troubles ; inap
rayonne vers l'antévoyant pour déterminer chez celui-ci une sensation
visuelle
subjective. On ne peut admettre davantage qu'au m
et intellectuelle, sont plus différentes. Serait-ce une illusion
visuelle
en considérant, comme dans le cas précédent, la m
il percevrait en même temps tout ce qui se trouverait dans son champ
visuel
. En admettant l'hyperopie comme cause unique, le
e son hystérie sont très nets; elle a un fort rétrécissement du champ
visuel
de l'œil droit et une hémianesthésie droite total
muqueuse extérieure des lèvres et des yeux est insensible. Le champ
visuel
est très rétréci des deux côtés, mais surtout ù d
t vrai, puis de l'hypoesthésie à gauche et du rétrécissement du champ
visuel
, également à gauche. En outre, elle a déjà eu des
ions sur l'hystérie. Df Damoglou (de Omduran. Egypte) : Hyperacuité
visuelle
et audition chez les nègres soudanais. Dr Ch. H
on et Watteau. p. 49. Représentations mentale et des hallucinations
visuelles
et auditives post-hypnotiques conscientes chez le
sensoriels. La vue a baissé depuis quel- ques années, mais l'acuité
visuelle
est encore relativement bonne. Pas de trouble d
é- pend de la projection fonctionnelle. C'est pourquoi les troubles
visuels
, adjoints aux hémianesthésies hystériques sont
altération dynamique se propage du champ auditif cortical au champ
visuel
cortical du même côté. C'est pourquoi nous ne voy
partie nasale de l'oeil gauche. S'il y a un obstacle dans le champ
visuel
droit par une surdité suggérée gauche, alors les
temporale de l'oeil gauche transmettent leurs excitations au champ
visuel
cortical gauche, qui n'est pas altéré dans sa fon
e dans le champ olfactif cor- tical gauche se transmettait au champ
visuel
central gauche; ce dernier était donc moins dis
ndividu est non seulement devenu sourd, mais l'acuité des appareils
visuel
, olfactif et gustatif, a été aussi diminuée.
te optique double; infiltration légère des deux papilles. Acuité
visuelle
normale, pas de dyschromatopsie. Examen de la r
nctivale un peu affaiblie à droite. Pas de micromégalopsie. Champ
visuel
: NOUV. ICONOGN. DE LA SALPTRD'.H T. vu, Pi..
urs des yeux. Les pupilles sont égales, réagissent bien et l'acuité
visuelle
est intacte. Les muscles du menton paraissent ind
es réactions oculo-pupillaires ne paraissent pas altérées ; le champs
visuel
est normal. Vue presbyte. Pupilles égales ; les
e et de douleurs ful- gurenles, des crises viscérales, des troubles
visuels
font également écarter l'ataxie. Nous n'y trouv
nt inintelligent et brutal. En résumé, qu'il s'agisse de sensations
visuelles
ou de toute autre sensation, le cerveau n'a con
cité réflexe issue des noyaux labyrinthiques. De plus l'orientation
visuelle
objective repose sur (1) La pariétale ascendant
elà papille et même aspect ophthalmoscopillue qu'à droite. L'acuité
visuelle
est simplement diminuée. 3° Comme troubles acce
convexe z 4 dioptries pour ramener p. p. à 0,25 centimes. L'acuité
visuelle
est normale. Pas de vice de réfraction. OEil dr
pour ramener p. p. à 0,25. Pas d'anomalie de la réfraction. Acuité
visuelle
normale. DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER 369 Pa
69 Pas de lésions du fond de l'oeil. Pas de rétrécissement du champ
visuel
». La déglutition déjà pénible depuis quelques
après une esquisse peinte de Rubens), 75. Rétrécissement du champ
visuel
, schémas, 6, 7, 8. Station à genoux, 29. St
ie du membre supérieur droit. Elle n'a pas de rétrécissement du champ
visuel
. On nous l'amène, parce qu'elle a, à plusieurs re
, abolition du réflexe pharyngé, rétrécissement concentrique du champ
visuel
, clous hystériques. « Voilà, dit il, un laisceau
iques de ce genre d'affections. tels . que le rétrécissement du champ
visuel
et les troubles de la sensibilité, ne supportent
Il est impossible de simuler un rétrécissement concentrique du champ
visuel
. Du reste, la simulation est rare ; elle ne s'obs
sont dus à l'effacement des diverses images sensorielles, des images
visuelles
surtout qui, ici. ont toujours été prèdomi- -nant
de la suggestion thérapeutique dans deux cas d'altération de l'organe
visuel
. Le premier cas est une enflammation de la réti
cotôme central, â droite l'œil a perdu la moitié interne de son champ
visuel
. L'œil droit destiné à être plus tard le meilleur
utre séance, M. Delbœuf agissait exclusivement sur l'étendue du champ
visuel
, dans une certaine direction et réussit ainsi à é
yeux dans un miroir. Au texte sont ajoutés huit figures des champs
visuels
, avant, pendant et après l'hypnose. Le second c
u 31 janvier au 26 avril 1888, M. Delbœuf a réussi à élargir le champ
visuel
de l'œil droit. En 1890. on a pu constater que l'
on a pu constater que l'amélioration ne s'est pas démentie. L'acuité
visuelle
à droite, mesurée le 27 janvier 1888, nous appren
o. 1890.) delbœuf : L'hypnotisme appliqué aux altérations de l'organe
visuel
, avec la collaboration de MM Nuel et Leplat, in
lles ; nous avons créé des images sensorielles : hallu- ¦ cinations
visuelles
, accoustiques, olfactives, complexes; nous avons
objet, tantôt sur l'autre, de façon à le délasser, Enfin la puissance
visuelle
des^sitifs n'est pas la même pour les deuxMeux ;
e de décembre 1890. — Présidence de M. Gilbert Ballet.) Impressions
visuelles
notées par des sensitifs. M. de Rochas communiq
le sens musculaire, mais le goût, l'odorat sont atteints, et le champ
visuel
est rétréci. Si on l'interroge avec un peu d'at
urée. Pour expliquer un pareil fait, il faut admettre une hyperacuité
visuelle
singulière qui permet à l'œil de saisir dans le p
'analgésie, au lieu d'être totale, n'est plus que partielle; le champ
visuel
est modifié ; la catalepsie n'est plus possible à
ie due à nne hypermétropie totale, égale à quatre dioptries. L'acuité
visuelle
est de un quart sans correction. Le champ visuel
ioptries. L'acuité visuelle est de un quart sans correction. Le champ
visuel
est normal pour le blanc et le vert; les couleurs
A. de Rochas, 43. Imitation (somnambulisme de l'), 7. Impressions
visuelles
notées par les sensitifs, 250. Indications form
mportent chez moi les diverses images mentales dans le rêve. Images
visuelles
. — Je suis un visuel, mais un visuel incomplet. S
verses images mentales dans le rêve. Images visuelles. — Je suis un
visuel
, mais un visuel incomplet. Si je ferme les yeux e
ntales dans le rêve. Images visuelles. — Je suis un visuel, mais un
visuel
incomplet. Si je ferme les yeux et que je veuille
des yeux seulement et très rapidement. i Dans mes rêves, les images
visuelles
ont à peu près les mêmes caractères de vague et d
à la réalité, mais c'est toujours limité à une fraction de l'étendue
visuelle
du rêve, fraction qui joue le lôle principal et s
image. En tout cas, il est très rare chez moi que les images mentales
visuelles
soient aussi vives que dans la réalité. Les ima
bituelles. Jusqu'à 30 à 35 ans, mes rêves étaient surtout des rêves
visuels
(paysages, villes, etc.) et des rêves de mouvemen
es de mon existence. Actuellement, mes rêves sont surtout des rêves
visuels
dans lesquels l'élément moteur joue un rôle de mo
tures au niveau du ventre. Notons en outre un rétrécissement du champ
visuel
et une anesthésic généralisée. . Cette jeune fi
endormir, son sommeil est troublé par des hallucinations auditives et
visuelles
. Dans ces derniers temps, les accès reviennent
es, il présente une hémianeslhésie droite, un rétrécissement du champ
visuel
, une hyperoxcitabilîté du nez, des lèvres, de la
hystérique, soignée Ici depuis longtemps. Le rétrécissement du champ
visuel
est également sous la dépendance de la suggestion
nts. D'autres fois, j'ai recours à un complexus de courtes sensations
visuelles
, auditives, tactiles et musculaires, tout à fait
e fond de l'œil ne présente pas de modification appréciable. Le champ
visuel
n'est pas rétréci; il n'existe pas de dyschromato
ompagné ni de trouble de la sensibilité ni de rétrécissement du champ
visuel
, etc. Cet hommea31 ans; il exerce la profession
eux et accommodateurs sont conservés ; pas de rétrécissement du champ
visuel
et pas de trouble de la sensibilité ; le spasme n
e brûlure qu'il a dans l'estomac, de l'insomnie et des hallucinations
visuelles
et auditives ; et, dans certaines occasions, il e
et que l'image est bien perçue par le cerveau, où le centre cortical
visuel
est en même temps influencé; mais une sorte d'aut
sorte d'auto-suggestion inconsciente neutralise la réaction psychique
visuelle
, annulant dans l'esprit les impressions perçues ;
voyez déjà). Pour le second symptôme (paraplégie), c'est la sensation
visuelle
(rigidité et relâchement alternatif des muscles)
à la température seule. 40 PATHOLOGIE NERVEUSE. Vision. OD. Champ
visuel
très rétréci, irrégulier, avec inver- sion du r
ver- sion du rouge et du blanc. OG. Léger rétrécissement du champ
visuel
, inversion du rouge et du blanc. Le violet est co
tivo-senso- rielle gauche avec rétrécissement concentrique du champ
visuel
du même côté (fig. 10). Réflexions. Nous pass
e après la disparition de la paraplégie. Le rétrécissement du champ
visuel
, très accusé à droite, au début des accidents,
ne plus longue durée que l'épilepsie suit l'excitation de la sphère
visuelle
de Munk; 3° l'ablation de l'écorce de la zone m
e de la zone motrice met fin aux convul- sions ; celle de la sphère
visuelle
ne met pas fin aux convul- sions. L'excitation
e encore dans ce cas lorsqu'on excite un certain point de la sphère
visuelle
de Munk. En somme, Unverricht n'a pas démontré
te, il est vrai, immédia- tement après les accès, un rétrécissement
visuel
; les sensa- tions chromatiques ne paraissent p
is de l'oeil et notamment de l'état de sa réfraction, de son acuité
visuelle
. REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiqu
est exempt. Il ne présente pas non plus le rétrécissement duchamp
visuel
qui, du reste, vraisemblablement, n'appartient
'ataxie, il lui est survenu une hémia- nopsie droite; mais l'acuité
visuelle
est restée bonne, assez bonne pour que les lacu
isuelle est restée bonne, assez bonne pour que les lacunes du champ
visuel
n'expliquent point le trouble de la lecture. El
der sur les troubles de la sensibilité générale et sur les troubles
visuels
; dans la partie con- sacrée à l'intelligence d'
it un cas de démence avec paranoia dans lequel les halluci- nations
visuelles
offraient le caractère remarquable d'être unilaté
e cutanée, ni perte du réflexe pharyngé, ni rétrécissement du champ
visuel
, ni dyschromatopsie,- ni polyopie monoculaire,
x de tête, de congestion cérébrale, de vertige, parfois de troubles
visuels
. A l'âge de dix-sept ans, la mère et puis la ma
érogènes, ni même hyperesthésiques; pas d'achromatopsie. - Le champ
visuel
est rétréci surtout à droite et l'acuité visuelle
atopsie. - Le champ visuel est rétréci surtout à droite et l'acuité
visuelle
est diminuée. La sensibilité des téguments de l
ux central; par 0. Damsch. (Neurol. Centralbl., 1890.) Les lignes
visuelles
étant parallèles (regard au loin) et l'intensité
s poissons osseux, le cerveau n'a pas de fonctions; c'est le centre
visuel
qui leur donnela spontanéité nécessaire à la rech
. Pas d'hypoacousie ni de vertiges. Pas d'obnubilation' pas- sagère
visuelle
de l'oeil gauche. Constipation assez marquée il c
le à type atrophique entièrement décolorée. Du côté gauche l'acuité
visuelle
est de 5/7, le champ visuel et normal, et il n'
nt décolorée. Du côté gauche l'acuité visuelle est de 5/7, le champ
visuel
et normal, et il n'existe aucune modification pat
ne réagissant pas à la lumière, la gauche réagissant encore. Acuité
visuelle
de l'oeil droit = 0. Décoloration atrophique de
de l'oeil droit = 0. Décoloration atrophique de la papille. Acuité
visuelle
de l'oeil gauche = 1/50. Champ visuel de cet oe
ophique de la papille. Acuité visuelle de l'oeil gauche = 1/50. Champ
visuel
de cet oeil rétréci spécialement aux dépens de
eil rétréci spécialement aux dépens de la moitié temporale du champ
visuel
(fis. 1). Décoloration atropliique de la papille.
'oeil : atrophie optique bilatérale plus accentuée à droite. Acuité
visuelle
: 0. VI. Troubles t1'ophiques. - Peau un peu sè
ion qu'il a reçue, l'entrave apportée à la lecture par ses troubles
visuels
, l'intelli- gence de L... peut être considérée
génitaux externes et internes atrophiés. Absence de poils. Troubles
visuels
. Autopsie : Tératome calcifié de l'infundibulum
s'écoulent. Résultats post-opératoires : Amélioration des troubles
visuels
. Cas de Raymard. - Homme de 17 ans, infantile a
à la lu- mière et à l'accommodation parfaitement conservés, acuité
visuelle
normale des deux côtés, L'ouie estdiminuée à dr
uinine). La vue est bonne ; il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
. Parole spontanée. - La malade ne peut dire que
tions auditives (circonvolutions temporales) et des représentations
visuelles
verbales (pli courbe) ; ces lésions ne sont pas
correspondant aux divers équivalents du mot (auditives, mo- trices,
visuelles
, etc.) ; mais il n'a jamais ou plutôt de moins en
s d'albumine.Or l'urémie peut s'accompagner de céphalée,de troubles
visuels
, de paralysies plus ou moins complètes, de Kern
eux grandes catégories, des symptômes cérébraux (céphalée, troubles
visuels
, paralysies de la face et du membre supérieur g
PLFS DU CERVEAU ET DES MÉNINGES 4 os et de la face; si les troubles
visuels
trouvaient leur justification dans la lésion de
e très prononcée, datant de la première enfance, mais sans troubles
visuels
graves, conclut, lui aussi, en présence d'autre
sans signe d'insuffisance hypophysaire. Tous deux ont une capacité
visuelle
normale. Pour plus de sûreté nous avons eu reco
TION DANS LE CERVEAU 435 Tout d'abord on remarque que tout le champ
visuel
est parsemé de leucocyles-poly et mononucléaire
tissu normal devient un réliculum à mailles larges ; dans le champ
visuel
on observe une quantité de leucocytes, mais on
ant les attaques congestives de concert avec la perte des fonctions
visuelles
. La même année, Dawson et Rambaux publient leur
- tiques généraux ; s'occupant surtout des modifications du champ
visuel
il conclue que le rétrécissement du champ visue
cations du champ visuel il conclue que le rétrécissement du champ
visuel
est le signe le plus précoce, le plus sûr, le plu
est dire que nous n'avons pu mesurer ni leur acuité ni leur champ
visuel
, force nous a donc été de nous borner à l'exa-
res n'étaient pas filiformes. Les malades avaient encore une acuité
visuelle
suffisante pour se diriger, pour lire même, aut
de la 'papille étant flou dans presque tous les cas, et l'acuité
visuelle
des malades ne semblant pas diminuer proportion-
environ trois ans auparavant, commença à perdre la vue, son acuité
visuelle
s'affaiblit peu à peu avec des périodes d'améli
° 2, 1900. Reznikow (analyse Kéraval). Des modifications du champ
visuel
chez les paralytiques généraux. Obozrénié psych
ente des signes hystériques manifestes : un rétrécissement du champ
visuel
très net surtout de l'oeil droit ; diploplie avec
zone hystérogène daus le flanc droit et un rétrécissement du champ
visuel
. Le saturnisme ne semble pas étranger à cet éta
pas de stigmates bien apparents : pas de rétrécissement du champ
visuel
, pas de troubles de la sensibilité. Le traiteme
vec les données étroites de l'anatomie ? Pourquoi l'hallucination
visuelle
unilatérale, tout aussi bien que l'amaurose, ne
e l'hallucination. Que l'hallucination unilatérale soit auditive ou
visuelle
, on retrouve le rôle prépondérant d'un point de
successives du membre. Il apparaît de ces observations que l'espace
visuel
et l'espace moteur sont irréductibles et que ce
'un automatisme musculaire original, exclusif des images men- tales
visuelles
. Enfin s'il vient à se produire une dissociation
ccomodation, provoque de la confusion dans la perception des images
visuelles
, qui deviennent floues, estompées, embrouillées
continue de fixation et de conservation Topongnosie, sans troubles
visuels
. M. Ernest Duphé. Malade de 53 ans, ancien gran
re, lymphocytose discrète (6 à 7 éléments par champ.) Aucun trouble
visuel
ni pupil- laire : légère neuropapillite à l'oph
res aussi le segment supérieur du coin, rattachée jadis à la sphère
visuelle
, n'appartient décidément pas à la sphère visuel
jadis à la sphère visuelle, n'appartient décidément pas à la sphère
visuelle
. Celle-ci ou sphère primaire visuelle de la raie
nt décidément pas à la sphère visuelle. Celle-ci ou sphère primaire
visuelle
de la raie de Vicq d'Azyr est le champ n° 4. La
ne région de l'écorce qui entoure en arrière et en dehors la sphère
visuelle
primaire (région polaire externe), et mérite le n
inue de fixation et de conservation. To- poagnosie, sans troubles
visuels
, pai@ Dtil)i,C,, 473. Amyotropiub du tabès do
eu aussi quelques douleurs dans les deux flancs. Quelques troubles
visuels
seraient survenus récem- ment, caractérisés par
copique, fait par M. Parinaud, donne les résultats suivants : champ
visuel
rétréci dans les deux yeux, plus à droite. Tout
'y avait pas d'exagération des réflexes, ni d'anesthéaies. Le champ
visuel
n'a pu être examiné. L'enfant fut traité dans
de contracture. Toutefois, il y a un léger rétrécissement du champ
visuel
. Il n'y a pas de troubles des réactions électri
que complètement abolis. 11 existe un léger rétrécissement du champ
visuel
à gauche. L'ouïe et le goût sont également diminu
résente des stigmates hystériques très caracté- ristiques. Le champ
visuel
est très rétréci à droite (fig. 9 et 10). Le go
tations lumineuses. Il existait en outre une diminution de l'acuité
visuelle
de ce côté et une légère injection de la con- j
hésie mixte et stationnaire. Rétrécissement concentri- que du champ
visuel
et hémianopsie droite. Quelques mois plus tard,
sens de la forme que dépendront les progrès dans l'enseigne- ment
visuel
et le travail manuel. L'enseignement des idiots d
e par les démonstrations des formes et l'ensemble de l'enseignement
visuel
, enseignement pratique par l'enseignement de l'
éfléchir, juger et préparer l'utilisation du reste de renseignement
visuel
, et vice vend. Le sens de la forme grandit par
otrice. Mais il paraissait complètement aveugle, bien que la sphère
visuelle
gauche n'eût pas été touchée et que celle de droi
des deux lobes occipitaux; anéantisse- ment eomplet des deux zones
visuelles
; et cependant il voyait parfaitement. Voici mai
s. La vue, d'après l'examen de M. Mahlakofi : fond de l'oeil, champ
visuel
, ne présentent pas d'altérations; l'étendue de
d'altérations; l'étendue de l'accommodation est diminuée; l'acuité
visuelle
est normale; les muscles normaux. L'ouïe est no
ie, zones hypéresthésiques, analgésiques, rétrécis- sement du champ
visuel
, troubles sensoriels divers, attaques, qui dev
: l'hystérique peut être amaurotique avec rétrécis- sement du champ
visuel
, l'hémiplégique sensitif organique a aussi du r
ours atteinte en même temps (rétrécisse- ment concentrique du champ
visuel
ordinaire et coloré); huit dyschromatopsies, tr
t concentrique est presque toujours bilatéral; fréquemment l'acuité
visuelle
a en même temps diminué. Dans les cas de diminu
excepté la vision. Il a des troubles très importants de l'appareil
visuel
. Le prof. A. Placido a bien voulu se charger de
nt presque abo- lis à gauche et très affaiblis à droite. L'acuité
visuelle
est normale pour l'oeil droit, et égale à zéro po
à zéro pour l'oeil gau- che cécité absolue congénitale. Le champ
visuel
de l'oeil droit offre dans la partie externe, ou
resthésie pour le bleu. La figure représente l'état des deux champs
visuels
projetés sur les rétines correspondantes. Dan
eil gauche, la vision est complètement supprimée dans tout le champ
visuel
. Dans le droit, la zone la plus fortement teintée
laignait t de maux de tôle « entre les yeux », de quelques troubles
visuels
, et qui présentait une certaine obésité. Je me
ce, de l'insomnie et, de temps à autre, des hallucinations, surtout
visuelles
. « L'ensemble donne le tableau atténué dit deli
que F. reconnaissait les objets dans toutes les directions du champ
visuel
. Tous ceux qui ont été appelés à soigner des ma
nné de la justesse de ses réponses. . Il me semble que les troubles
visuels
de F. out eu un caractère abso- lument analogue
e membre gauche en dirigeant sa main vers la partie droite du champ
visuel
, comme pour saisir un objet placé en haut et à dr
sme divergent proba- blement fonctionnel et dû à l'amblyopie. Champ
visuel
normal à droite, très rétréci à gauche. Cet éta
i présentait des lésions dégénératives d'où abaissement de l'acuité
visuelle
avec, à l'ophtalmoscope, atrophie temporale des d
ière et à la convergence. Il n'y a pas de rétrécissement du champ
visuel
; l'examen du fond de l'ceil 1 ne montre rien d
OEil gauche : Pas de lésions ophtalmoscopiques appréciables. Acuité
visuelle
. VOU : compte les doigts à 40 centimètres à peine
le service d'ophtalmologie de l'hôpital Beaujon. Au point de vue
visuel
on constate : Aspect normal des deux yeux : pup
oeil normal : teinte normale de la papille. Rétrécissement du champ
visuel
surtout marqué du côté droit. L'acuité visuelle
trécissement du champ visuel surtout marqué du côté droit. L'acuité
visuelle
réduite de chaque côté à 6/10 est due à un astigm
lume des pieds et des mains. ' Polyurie avec urines normales. Champ
visuel
normal. Anémie profonde. Echec de l'opothérap
de l'iris qui l'a laissé un peu déformé. Pond d'oeil normal. Champ
visuel
normal. Pas de dyschromatopsie (Examen obligean
n de la taille interprétée dans ce sens. Le mien avait des troubles
visuels
remontant environ au huitième mois de la maladi
aire, l'examen campimétrique relevant un peu d'exten- sion du champ
visuel
. J'ai dans mes souvenirs un cas bien plus indis
otain). Pas de troubles du squelette. Légère diminution de l'acuité
visuelle
: ni polydypsie, ni polyurie, urines normales.
uses débutaient aux extrémités inférieures. Les premiers troubles
visuels
n'auraient commencé que plus tard, c'est-à-dire
e de la papille, portée à son plus haut degré. Examen de l'acuité
visuelle
. - Marguerite est à peu près complètement aveug
elques années plus tôt que chez la soeur, débutè- rent les troubles
visuels
. Actuellement Aurélie est complètement aveugle et
ns la prononciation. Atrophie assez avancée de la papille. - Acuité
visuelle
encore assez con- servée. ' Paralysie des mou
peu près à celle époque. Ce qui est certain, c'est que les troubles
visuels
sont apparus les derniers. Etat actuel. Elisa
es.On ne peut relever aucun signe de diplopie. Examen de l'acuité
visuelle
. Elisabeth présente une diminntion nette de l'a
cuité visuelle. Elisabeth présente une diminntion nette de l'acuité
visuelle
. Elle est encore capable de distinguer les objets
e et qui contraste avec l'état relative- ment suffisant de l'acuité
visuelle
. Les bords de la papille sont découpés d'une fa
ot-Marie, peuvent être résumés de la façon suivante : le Troubles
visuels
constitués par l'atrophie primitive de la papille
a papille peut déjà être assez avancée, sans toutefois que l'acuité
visuelle
soit compromise d'une façon assez prononcée pou
ment grave; il en est de la déchéance psychique comme des troubles
visuels
, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d'atrophie mus
yramidaux par exemple ou dans les centres des mémoires au- ditives,
visuelles
, etc. Il y a une distribution heureuse qui assure
sang : rien de remar- quable. Examen ophtalmoscopique et du champ
visuel
normaux. Il ne fut pas possible de faire la sér
normale et réagissant bien à la lumière et à l'accommodation. Champ
visuel
normal ainsi que le fond des yeux et que l'acuité
ion. Champ visuel normal ainsi que le fond des yeux et que l'acuité
visuelle
. Ne : , très enfoncé à la racine et au milieu,
d'une saillie normale, ne présentent rien de caractéristique. Champ
visuel
et fond des yeux parfaitement normaux. Normale au
visuel et fond des yeux parfaitement normaux. Normale aussi Vacuité
visuelle
. ' Le nez est plutôt petit, aplati à la base et
voir éclairant. Gauche : Visus = 1/2. Pas de dyschromatopsie. Champ
visuel
de l'oeil gauche légèrement restreint pour le b
e naissance à des voies d'association qui le relient avec des zones
visuelles
et avec d'autres zones du langage. Voilà pourquoi
ofesseur Casagli, ne mit en relief aucune anormalité, et le pouvoir
visuel
résulta subjectivement et objectivement normal.
, examiné par le spécialiste, ne montre rien d'auormal. La fonction
visuelle
est parfaite. La conformation du nez est exacte
ses gastriques. Affaiblissement de la vue, dimi- nution de l'acuité
visuelle
surtout à gauche, etc. Dans les dernières années,
is l'impossibilité d'établir un rapport constant entre les troubles
visuels
et l'état du réflexe photo-moteur a fait abando
is il s'agissait d'un tabes beaucoup plus avancé, avec des troubles
visuels
très prononcés, et je ne puis garantir que seul
ne réagissaient pas à la lumière, mais déjà avant que les troubles
visuels
ne fussent très accusés. Elle est morte dans
hypophyse; il nous manque tout symptôme local du côté de l'appareil
visuel
; la selle turcique est radiographiduement norm
s tombent sur la cornée suivant un angle de 45° par rapport à l'axe
visuel
. Pour éviter le rétrécissement de la pupille, q
particulier du côté de l'oeil (examen du champ usuel et de l'acuité
visuelle
). Quand le malade a prononcé deux ou trois plir
pés dans un espace étroit. Notre ami Ch. Péré, en mesurant le champ
visuel
de la malade dont l'observation nous est personne
és à la per- ception des diverses variétés de sensations (tactiles,
visuelles
, olfactives, gustatives, auditives), d'autres,
ullement, à notre avis du moins, l'existence de centres auditifs ou
visuels
dans les points indiqués par Ferrier. Bien plus,
sion des points précités, l'in- tégrité des sensations auditives et
visuelles
. On voit donc que sur le terrain de la clinique
observations récemment compulsées par S. Exner, que les sensations
visuelles
sont per- çues surtout par les circonvolutions
ante), soit circulaire, produit et entretenu par des hallucinations
visuelles
auditives, tactiles, qui, apparu au qua- trième
vec soin le tabès sur tout sujet qui se plainl d un affaiblissement
visuel
, et en outre d'analyser minutieusement les trou
BIBLIOGRAPHIE. 1 le tout d'un rétrécissement concentrique du champ
visuel
a\ec éclian- crures en forme de secteurs. AI.
ment à gauche une légère diminution de sensibilité; sans trouble
visuel
. En réalité, ce n'était pas à une véritable hém
phie du nerf optique, inégalité pupillaire, rétrécissement du champ
visuel
, dyschromatopsie, diplopie, disparition du réflex
en urée, en chlorure de sodium change- rait la direction des rayons
visuels
. (.Millier4). « C'est à la lac- tescence du san
DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351 optique. Le champ
visuel
est rétréci, offre des échancrures, dos scotome
in- téressantes au point de vue de la diminution de la perception
visuelle
que présentait le malade à l'égard des. objets pl
de la main droite. Il existe en même temps un rétrécissement du champ
visuel
, «pii ne laisse pas dis ilotite sur l'existence
ves sont d'habitude et en immense majorité construits avec des images
visuelles
remémorées prises indifféremment dans des scènes
t il y a tant d'exemples dans les phénomènes organiques. Aux images
visuelles
le plus souvent d'origine récente de mes rêves, s
rêves psychiques par remé-moralion. Kl si, au point de vue des images
visuelles
, mes rêves ont été des tableaux rcmémoratifs, on
pas dire que, chez d autres, les rêves soient en aussi lorte quantité
visuels
, et que les images venant des autres sens ne part
urs dans mon esprit. A quelques exceptions près, du reste, les images
visuelles
de ce qui me parait en songe, sont vagues, décolo
'un de ces cas. un délire violent, avec prédominance d'hallucinations
visuelles
, débuta dès la première injection de caféine; il
produire un délire violent à caractère hallucinatoire hallucinations
visuelles
surtout et susceptible, comme tous les délires de
esthésies localisées, des troubles oculaires (rétrécissement du champ
visuel
, arhro-malopsie. micromégalopsie). Enfin des hé
Des Phénomènes de Synopsie (audition colorée), photismes, schè- mes
visuels
, personnifications, par Th. FlournoY. professeur
core observés. M. Flournov «'occupe ensuite des cas où la sensation
visuelle
s'organise en une figure, en un symbole, représen
e l'éducation spéciale a l'épileptique. (Médical Record.) Mémoire
visuelle
. M. Paeelti signale, dans la Riforma medica, l'
ntelligence débile, qui est doué d'une mémoire prodigieuse, d'origine
visuelle
. A peine a-t-il regardé prndant un court moment u
érés. En effet, s'ils voient mal. c'est qu'ils éprouvent des troubles
visuels
, or les troubles visuels des dégénérés et des hys
ent mal. c'est qu'ils éprouvent des troubles visuels, or les troubles
visuels
des dégénérés et des hystériques ne sont-ils pas
veux, par Gélineau, 256. Mémoire des hypnotisés (la), 29. Mémoire
visuelle
, 190. Mémoire dans le somnambulisme provoqué (d
re bagage d'instruction, parce que l'on a pas tenu compte de l'acuité
visuelle
et de la surdité. M'inspirant des idées de l'in
ens humaine. Les médecins, après consultation, répondent que la force
visuelle
n'était pas éteinte dans les yeux de l'aveugle et
oser par perceptions successives, les images et les idées que le sens
visuel
produit par sensations synchro-niques . Ajouton
l'hystérie ; un rétrécissement véritablement puncti-, forme du champ
visuel
, constaté par M. Raimist, constitue également un
re la même pathogénic que la paraplégie et le rétrécissement du champ
visuel
. Toutefois étant donnés son apparition soudaine,
s avaient souvent des rêves intenses, des hallucinations auditives ou
visuelles
et surtout verbales. Parfois, sous l'influence d'
rcot a démontré que la superposition des images graphiques aux images
visuelles
avait le pouvoir de réveiller des idées que les s
suelles avait le pouvoir de réveiller des idées que les seules images
visuelles
étaient devenues, chez certains sujets, incapable
oup inférieur à celui des sujets chez lesquels dominent les aptitudes
visuelles
. Pour s'en rendre compte, il suffit de constate
seignements dans lesquels la plus grande part est faite à l'attention
visuelle
. Les conférences avec projections sont toujours p
dans les masses populaires ne cessera pas de développer les aptitudes
visuelles
aux dépens des aptitudes auditives. Tandis que
inspirations. L'homme moderne tend donc de plus en plus à devenir un
visuel
. Les images visuelles laissent toujours dans no
e moderne tend donc de plus en plus à devenir un visuel. Les images
visuelles
laissent toujours dans notre cerveau des impressi
leurs noms. Devant les tribunaux on fait plus de cas des témoignages
visuels
que de ceux qui sont basés sur des souvenirs audi
n pédagogie, on n'a songé à tirer un parti suffisant de l'imagination
visuelle
. Cependant, la vision mentale est la faculté qui
at d'hypnose le malade est évidemment plus malléable, les suggestions
visuelles
aussi bien que lès suggestions auditives ont plus
dans les noyaux des nerfs cervicaux. Ils président aux impressions
visuelles
et aux mouvements de la tête et du cou; c'est e
aint-Thomas's-Hospital, service de M. Bris- towe, pour des troubles
visuels
, de la perte de la mémoire et un état d'hébétud
igine réelle des nerfs de l'oeil et à la détermi- nation des centre/
visuels
, devaient être faits avec le soin qu'y a consac
re de disparition des couleurs est déterminé par l'étendue du champ
visuel
pour chaque couleur. Le violet est perçu normal
. Le violet est perçu normalement dans une moindre étendue du champ
visuel
que le vert, celui-ci que le rouge, etc., fait
moyen de trouver aisément la courbe fermée qui représente le champ
visuel
pour chaque couleur. Or, l'achromatopsie a pour
hromatopsie a pour condition essentielle le rétrécissement du champ
visuel
, chromatique en général. Par conséquent, àmesur
ÉSIOGÈNES. 419 tion se prononce, ce sont les couleurs dont le champ
visuel
est le plus étroit, c'est-à-dire le violet, pui
ui cessent les premières d'impressionner la rétine. Tous les champs
visuels
éprouvant une sorte de retrait concen- trique,
mineuse égale, une même couleur est perçue à la périphérie du champ
visuel
et non par les parties intérieures. D'ailleur
ui concerne la perception des couleurs. Pour ce qui est de l'acuité
visuelle
et du champ visuel en général, les choses se pa
tion des couleurs. Pour ce qui est de l'acuité visuelle et du champ
visuel
en général, les choses se passent exactement co
ité cutanée du pour- tour de l'orbite, une augmentation de l'acuité
visuelle
et du champ de la vision, et enfin la faculté d
re, on constate, outre des changements inverses dans la puissance
visuelle
, la perte de la perception d'une couleur ; mais c
nt l'affaiblissement bilatéral de l'ouïe, de la vue (comme acuité
visuelle
et perception des couleurs), de l'odorat, du goût
XXV. ÉTUDE expérimentale SUR la bandelette optique ET LES CENTRES
VISUELS
MÉSENCÉPHALIQUES ET CORTICAUX; par FERRuccio TA
nvolution pariétale inférieure se trouve le centre de tout l'organe
visuel
aussi bien pour la partie motrice que pour les pa
ire. Incontinence noc- turMiLd^urine^uidysurLej jour. 1 Tr(iubjes,.
visuels
. Aiiticid.en^tsjsyphilitiqu.eà(anci,ens'. 8t a
ciale où l'attaque est précédée d'une hallucination ordinairement
visuelle
. Les phénomènes peuvent consister exclusivement e
ceptée comme vraie et le sujet aura une conception fausse. L'organe
visuel
ne recevant aucune impression, cette impression
ient des efforts musculaires qui ne tardent pas à fatiguer l'organe
visuel
, le congestionnent et le rendent larmoyant. N
par Read, 616; (thérapeutique do la), par Massini, 621. Centres
visuels
(études des), par F. Tartuferi, 433. Cerveau
deux côtés. Odorat, ouïe et goût normaux vue : oeil gauche, acuité
visuelle
= 1. Champ visuel normal, pas de dyschromatopsi
ouïe et goût normaux vue : oeil gauche, acuité visuelle = 1. Champ
visuel
normal, pas de dyschromatopsie. OEil droit : le m
vite tous avec précau- tion. On ne réussit pas à mesurer le champ
visuel
de l'oeil droit. Le fond de l'oeil est normal d
nt la fers meture estpossible (astigmatisme, diminution de l'acuité
visuelle
). L'oeil sain ne se fermerait pas, parce qu'il
n'est pas hypertrophiée. On ne relève chez ce sujet aucun trouble
visuel
; l'examen pratiqué par notre confrère le D' Cu
D' Cuénod n'a révélé aucune altération, ni modifi- cation du champ
visuel
. Cette donnée est d'une importance considérable,
'hémianopsie, en particulier pas d'hémianopsie bi-temporale. Acuité
visuelle
normale. Pas de photophobie. L'examen du fond de
idérable de l'hémianopsie bi-temporale et un relèvement de l'acuilé
visuelle
. Il est vrai que pour Béclère, les irradiations
il a été exempté pour cette raison du service militaire, son acuité
visuelle
mesurée à l'échelle de Wecker donne sans correc
1911, sa vue se trouble. Il voit mal, mais non double. Ces troubles
visuels
se sont plutôt améliorés récemment. Eu 1912, il
uystagmus. Pas de paralysie de la musculature extrinsèque. Le champ
visuel
est normal. L'examen du fond de l'oeil a montré d
tion. la lumière est moins prompte du côté droit. L'examen du champ
visuel
et du fond de l'oeil n'a pu être fait à cause de
as de troubles auditifs ; la malade se plaint seulement de troubles
visuels
; sou acuité visuelle est diminuée et parfois un
fs ; la malade se plaint seulement de troubles visuels ; sou acuité
visuelle
est diminuée et parfois un nuage vient rendre l
. Aucun trouble fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni troubles
visuels
. Pas de trouble digestif, respiratoire, ni circ
égales, réactions pupillaires normales, pas de limitation du champ
visuel
, pas de troubles de l'ouïe, de l'odorat ou du g
▲