ne se pratique pas seulement sur une artère ou une veine; car, si ces
vaisseaux
sont le but de l'opération, au moins ne doivent-i
ntre eux: (a) Contenir les mouvemens de l'opéré; (b) Comprimer le
vaisseau
principal; (c) Eclairer le lieu opéré, s'il est
e la vie, qui pénètrent partout. Dans cette machine si perméable, les
vaisseaux
apportent les matériaux des fonctions et des mala
ns et des capsules surrénales. (e) Les gaines fibro-celluleuses des
vaisseaux
et des nerfs, moyens de liaison pour les canaux v
d'organisation le plus général. 5° Les cylindres vasculaires ou les
vaisseaux
, aqueducs ou enveloppes des fluides en mouvement,
tgénéral de glissement inter-organique, de support etd'iso-lement des
vaisseaux
capillaires. ENVELOPPES EXTÉRIEURES OU TÉGUMENT
aponévroses, les enveloppes viscérales, les faînes des muscles ou des
vaisseaux
, suivant le volume des organes qu'elles renfermen
ogue, dans les enveloppes propres, le dédoublement qui accompagne les
vaisseaux
. Nous verrons, dans l'histologie, quels nombreux
ses viscérales forment aussi des cavités complètes, à l'exception des
vaisseaux
, souvent très volumineux, et des nerfs qui les tr
mbreux orifices de communication et de dégagement pour le passage des
vaisseaux
et des nerfs. Le bassin ne forme une cavité, ou m
s les autres avec lesquelles elles n'ont de communication que par les
vaisseaux
. A leur périphérie, tous les os sont enveloppés p
s. En général, ils servent, de distance à autre, de point d'appui aux
vaisseaux
et aux nerfs, qui les contournent en y traçant de
dans laquelle rampent les grandes veines superficielles, les nombreux
vaisseaux
sanguins et les nerfs de la peau, renfermés clans
x, comme si elle n'était qu'une exsudation du sang que renferment ces
vaisseaux
, C'est cette couche qui a reçu le nom impropre d
e ces enveloppes et de la masse des muscles dont elles supportent les
vaisseaux
. Ainsi, dans la profondeur des membres, la couche
chissent en interceptant des polyèdres dans lesquels rampent les gros
vaisseaux
. A leur surface elles sont tapissées par la couch
aux. A leur surface elles sont tapissées par la couche celluleuse des
vaisseaux
secondaires, dont la disposition, que nous décrir
loppe spéciale qui décroît d'épaisseur à partir de la périphérie, les
vaisseaux
secondaires et les nerfs rampent à la surface des
les loges musculaires spéciales. Ainsi chaque loge ne reçoit que les
vaisseaux
et les nerfs appartenant au muscle qu'elle renfer
nte et qu'il fallait de toute nécessité qu'ils fussent traversés, les
vaisseaux
et les nerfs, pour passer de la profondeur à la s
s aponévroses de servir de conducteurs ou de surfaces de support, aux
vaisseaux
et surtout aux nerfs, renfermés dans des gaines s
taposées, renferme des filets nerveux et surtout un nombre immense de
vaisseaux
sanguins destinés «à la nutrition de l'os dont il
ecttemembrane s'entrouvre par autant d'orifices, pour le passage des
vaisseaux
sanguins et des nerfs, et se continue, ou plutôt
i-même. Il est également perforé par les orifices de passage des gros
vaisseaux
; et de plus, comme nous l'avons démontré dans l'a
la surface extérieure de chaque viscère; parvenue à l'entrée des gros
vaisseaux
, elles se réfléchit sur le bord de leurs orifices
r rapport aux tissus fonctionnels. Les gaines fibro-celluleuses des
vaisseaux
el des nerfs composent une succession de cylindre
e capillaires sanguins, et de plus, comme les membranes séreuses, des
vaisseaux
blancs, d'une si excessive ténuité qu'ils ne se d
llets s'adossent en un canal séreux clans l'aire duquel pénètrent les
vaisseaux
: ainsi, par leurs surfaces lisses juxta-posées,
res par un tissu cellulaire, dit sous-séreux, dans lequel rampent les
vaisseaux
. Cette disposition générale des membranes séreuse
ane à l'autre en formant successivement autant d'adossemens sur leurs
vaisseaux
. Ainsi le péritoine, en raison du grand nombre de
'adossement des feuillets trace comme un long canal pour l'entrée des
vaisseaux
. Pour les organes d'une texture solideou communiq
ede tissu cellulaire condensé, il est douteux qu'elles renferment des
vaisseaux
sanguins et des nerfs, et même elles semblent tot
change : elles apparaissent alors fo r-m'esd'un lacis innombrable de
vaisseaux
blancs rectiligncscten-trecroisés danstousles sen
rectiligncscten-trecroisés danstousles sens. Ces canaux sont-ils des
vaisseaux
séreux, ou bien y circule-t-il tout autre fluide
es absorbantes et perspiratoires. Les cylindres vasculaires, ou les
vaisseaux
, aqueducs des fluides, constituent, parleur réuni
qualifiés improprement de satellites, car ce n'est point à cause des
vaisseaux
sanguins que la nature les a logés dans la gaîne
enveloppe générale des troncs les plus volumineux. Les tuniques des
vaisseaux
contiennent de nombreux capillaires sanguins (vas
res sanguins (vasa vasorum) et le microscope y démontre également des
vaisseaux
blancs. On sait aussi qu'il s'y rend des nerfs. L
un tissu cellulaire dit sous-muqueux, qui sert de traîneaux nombreux
vaisseaux
sanguins et aux nerfs, et dans lequel sont déposé
re spongieuse, qui la rend hygrométrique, et se garnit abondamment de
vaisseaux
et de glandules mucipares. L'abondance des sécrét
fosses nasales, par un tissu cellulaire renfermant un épais réseau de
vaisseaux
sanguins, et de nombreuses glandules mucipares en
le derme, revêtu d'une couche celluleuse garnie d'un grand nombre de
vaisseaux
déliés et de papilles nerveuses, et imprégnée d'u
es latérales antérieures forme un nouveau groupe ren fermant les gros
vaisseaux
, et, à la partie inférieure du cou , les lobes th
ongues mailles, dans lequel sont logés les veines superficielles, les
vaisseaux
lymphatiques et leurs ganglions. 3° Les loges mus
s lesquelles sont logés, au milieu de nombreux flocons graisseux, les
vaisseaux
sanguins sous-cutanés, les lymphatiques et leurs
le sang défibriné, ou rendu trop fluide, transsude au travers de ses
vaisseaux
; tant de faits certains et invariables dans leurs
ison de la densité même des gaines dans lesquelles sont encastrés les
vaisseaux
et les nerfs, ont pour principal caractère t étra
our l'organe qu'elles environnent. Les gaines fibro-celluleuses des
vaisseaux
et des nerfs, susceptibles d'une grande extensibi
egmons, ainsi que dans nombre d'altérations organiques étrangères aux
vaisseaux
, leurs gaines d'enveloppe ont pour effet de les p
ement, que leurs parois n'aient dû être perforées pour le passage des
vaisseaux
et des nerfs, d'où il résulte que les moyens géné
rand nombre de maladies, qui constitue l'anatomie de communication.
Vaisseaux
à [extérieur. Envisagés comme cylindres, par leur
stiques, le pus dans les abcès profonds, le sang dans les lésions des
vaisseaux
, les matières tuberculeuse, encéphaloïde et autre
ira d'autant plus vite que le fluide sera plus coagulable, et que les
vaisseaux
lésés, étant d'un plus grand volume, seront envir
vent de longs trajets dans les espaces cclluleux in ter-organiques.
Vaisseaux
à [intérieur. Considérés comme aqueducs des fluid
à [intérieur. Considérés comme aqueducs des fluides en mouvement, les
vaisseaux
sont, en physiologie, les agens généraux de la nu
sont beaucoup plus que des agens de communication. En pathologie, les
vaisseaux
, charriant les divers liquides sains ou altérés d
produits absorbés d'une maladie locale. Dans ces affections, dont les
vaisseaux
sanguins sont aussi les conducteurs, il convient
ve de conducteur à un agent impondérable. distribution générale des
vaisseaux
et des nerfs. Après avoir tracé, dans l'anatomi
e communication , nous considérerons ces organes comme satellites des
vaisseaux
sanguins dans leur trajet et leur distribution, l
dhérence fibreuse intime de l'aponévrose avec la membrane externe des
vaisseaux
. La situation de cette cloison fibreuse, au-dessu
n de leurs parois. La largeur des orifices diaphragma-tiques des gros
vaisseaux
et la pression des viscères, soit par le fait de
st ouverte par autant d'orifices costo-vertébraux pour le passage des
vaisseaux
et des nerfs intercostaux qui vont se distribuer
rvalles des côtes et au plan profond de la paroi musculaire, dont les
vaisseaux
superficiels sont fournis par les troncs des deux
unication verticale. Le médiastin postérieur loge en arrière les gros
vaisseaux
sanguins et lymphatiques, les nerfs et les deux g
ntère. Dans cet espace pré-vertébral, rempli par un nombre immense de
vaisseaux
de divers genres, réunis par des adhérences cellu
ransverses des vertèbres, par une série d'arcades pour le passage des
vaisseaux
et nerfs lombaires, qui vont se distribuer aux pa
res, qui vont se distribuer aux parois. A la naissance du bassin, les
vaisseaux
iliaques primitifs, qui succèdent à l'aorte et à
une gaine celluleuse, dont l'épaisseur augmente graduellement sur les
vaisseaux
iliaques externes; et cette gaine elle-même, revê
e la cavité viscérale, en les rattachant à l'appareil locomoteur. Les
vaisseaux
hypogastriques s'environnent bien aussi d'une gai
les revêt, ils se rapprochent, dans leur disposition anatomique, des
vaisseaux
propres aux viscères de l'abdomen. Ceux qui vont
e fibreuse, que forment des fibres aponévrotiques, implantées sur les
vaisseaux
eux-mêmes. Toutefois, en raison de la situation d
tique, en arrière du bassin, et la hernie ovalaire qui accompagne les
vaisseaux
obturateurs par les canaux sous-pubiens. Mais l
stination, en anatomie physiologique, de donner passage au cordon des
vaisseaux
spermatiques clans l'homme, et au ligament rond d
u crural1, n'est autre que l'ouverture extérieure de passage des gros
vaisseaux
, qui changent leur nom d'iliaques externes au bas
re aponévrotique du psoas-iliaque. Cette ouverture, traversée par les
vaisseaux
iliaques externes, est fermée, sur la face pelvie
fibreuse, le septum crurale, fixée au pourtour de l'anneau et sur les
vaisseaux
. Cette cloison que traversent de nombreux canaux
forme d'entonnoir fibreux, implantées circulaircment sur la gaine des
vaisseaux
, très résistante en ce point. Jusqu'à un pouce et
Jusqu'à un pouce et demi au-dessous de l'arcade crurale, la gaine des
vaisseaux
fémoraux est placée superficiellement clans le si
une couche d'un tissu jaune élastique, qui augmente la résistance des
vaisseaux
. Mais l'aponévrose fémorale en regard, se trouvan
trouvant interrompue pour le passage de la veine saphène interne, des
vaisseaux
tégunien-taires et des canaux lymphatiques de com
érée au pubis, qui ne laisse qu'une fente alongée pour le passage des
vaisseaux
et se trouve fermée au-dessus par l'encastrement
ncastrement d'un ganglion lymphatique. Ainsi, à partir du bassin, les
vaisseaux
ilio-fémoraux présentent, pour leur passage à la
brides apouévrotiques l'orifice de passage de la veine saphène et des
vaisseaux
tégumentaircs. Conséquem-ment, dans l'état normal
est solide, la nature ayant pris toutes les précautions pour que les
vaisseaux
et leurs enveloppes forment une masse dense, anal
s, s'insinue d'abord au contour interne de l'anneau crural, entre les
vaisseaux
et le ligament de Gimbernat, en écartant ou repou
se trouve logé entre la lame élastique de revêtement de la gaine des
vaisseaux
et l'aponévrose triangulaire de revêtement. Il so
par la carie lombaire qui suivent la gouttière des psoas, longent les
vaisseaux
iliaques, et viennent ordinairement former tumeur
férieur cervical, formé par l'aponévrose cervico-thoracique, les gros
vaisseaux
de l'extrémité cépbalique montent verticalement d
, la carotide primitive se maintient sans fournir aucune branche, les
vaisseaux
du cou étant donnés par les sous-clavières dans l
aux artérioles et veines spinales. Les ramifications secondaires des
vaisseaux
cervicaux rampent dans les espaces celluleux des
ux rampent dans les espaces celluleux des muscles. Le sillon des gros
vaisseaux
céphaliques offre beaucoup d'intérêt en chirurgie
x troncs facial et crânien , le mode de distribution et le trajet des
vaisseaux
deviennent plus complexes. L'appareil vasculaire
la tête est remarquable par le nombre immense d'anastomoses entre les
vaisseaux
artériels et veineux, soit profonds, soit superfi
base, en particulier, il offre, pour le passage des nerfs et des gros
vaisseaux
, un certain nombre d'orifices qui établissent ses
nt de vue de communication des maladies, les orifices du crâne et les
vaisseaux
, comme conducteurs, sont plutôt funestes qu'utile
eux du cuir chevelu ne transmette à l'intérieur, parla continuité des
vaisseaux
, sa cause d'irritation et ses produits, ou qu'une
ctoral : en sorte que, à partir de la cavité de la poitrine, les gros
vaisseaux
, avant de parvenir au membre thoracique, parcoure
ramifications secondaires : tels sont, pour le membre abdominal, les
vaisseaux
fessiers, ischiatiques et obturateurs (Pl. 5.), p
difficile à établir; tels sont aussi, pour le membre thoracique, les
vaisseaux
scapulaires, supérieurs ou inférieurs; seulement,
ux scapulaires, supérieurs ou inférieurs; seulement, à ce membre, les
vaisseaux
étant, par leur origine, extérieurs à la cavité t
urulentes, les infiltrations sanguines, les plaies etles maladies des
vaisseaux
. C'est le long du grand faisceau vasculaire commu
ncipal. La même observation s'applique à toutes les maladies dont les
vaisseaux
eux-mêmes sont le siège, les plaies, les ané-vris
s phlébites, les inflammations lymphatiques, etc., et à celles où les
vaisseaux
, sans être eux-mêmes malades, transportent, comme
cs, des produits morbides ou des liquides avariés. L'importance des
vaisseaux
, comme agens conducteurs, par leurs deux surfaces
a jambe et l'avant-hras, le pied et la main. Dans chaque point où les
vaisseaux
passent d'une fraction de membre à une autre, d'u
rs adhérence avec le contour des orifices. Au-delà, les divisions des
vaisseaux
et des nerfs, pour gagner la loge spéciale à laqu
me système pour l'exercice des fonctions ; ces agens communs sont les
vaisseaux
et les nerfs logés par faisceaux d'un petit volum
ent de parties hétérogènes, des os, des muscles, des aponévroses, des
vaisseaux
, des nerfs, le tout recouvert par une fraction de
t d'aponévroses au tronc et aux membres. Si l'on ajoute que, pour les
vaisseaux
, aqueducs ou conducteurs, l'anatomie de région ne
action de l'organisme, ou quand elle affecte des organes tels que les
vaisseaux
, qui peuvent immédiatement la transporter au loin
'y rencontrer: pour les os, les luxations ou les fractures ; pour les
vaisseaux
, les diverses espèces d'anévrismes ; pour les mus
don membraneux, qui unit les deux faisceaux de l'occipito-frontal. 4°
Vaisseaux
sanguins. Les artères sont : en plan sous-cutané,
ine de la veine faciale ; et, latéralement, la frontale temporale. 5°
Vaisseaux
lymphatiques. Ils sont disposés en deux courans,
tiques. Ils sont disposés en deux courans, formés chacun d'un ou deux
vaisseaux
qui accompagnent les vaisseaux du front médians e
ux courans, formés chacun d'un ou deux vaisseaux qui accompagnent les
vaisseaux
du front médians et latéraux. 6° Nerfs. Ils sont
plénius, les complexus, les petits droits et obliques postérieurs. 4°
Vaisseaux
sanguins. L'artère de cette région est l'occipita
, l'une superficielle, et l'autre profonde, accompagnant l'artère. 5°
Vaisseaux
lymphatiques. Ils forment un ou deux canaux qui s
ne couche adipeuse ou fascia superficialis, dans laquelle rampent les
vaisseaux
et nerfs temporaux superficiels, renfermés dans d
existence des fractures, et en maintient en position les fragmens. 4°
Vaisseaux
sanguins. L'artère principale de cette région est
ans les ganglions parotidiens. Sur la surface périostique rampent les
vaisseaux
temporaux profonds, artères et veines, fournis pa
ortion écailleuse du temporal, sont surtout graves par la rupture des
vaisseaux
sphéno-épineux encastrés sur sa face crânienne.
et sur laquelle s'épanouit le petit muscle auriculaire postérieur. 3°
Vaisseaux
et Nerfs. Les artères et veines sont les auricula
l'enfoncement du tissu cutané accidentel qui forme les cicatrices. 2°
Vaisseaux
sanguins. L'abondance des vaisseaux artériels et
ntel qui forme les cicatrices. 2° Vaisseaux sanguins. L'abondance des
vaisseaux
artériels et veineux, la minceur des os , et le n
ur du muscle temporal au-devant, et sur-tout par crainte de léser les
vaisseaux
méningés. Toutefois, dans un cas forcé, cette opé
ombre de deux : en haut, le pyramidal; en bas, le transverse du nez. ^
Vaisseaux
sanguins. Les artères, très nombreuses, sont four
faciale ou l'angulaire et dans la sphéno-palatine. L'abondance de ces
vaisseaux
explique le succès facile de la rhi-noplastie. 5°
narines cette membrane, plus épaisse, est garnie de bulbes pileux. i°
Vaisseaux
sanguins. Les artères sont fournies par la sphéno
aches cutanées du carré, du triangulaire et delà houppe du menton; 3°
Vaisseaux
sanguins. Les artères et veines sont les labiales
pières, et sur lesquels sont disposées les glandules de Meibomius. 4°
Vaisseaux
. Les artères et veines, très nombreuses, sont don
iales, les ethmoïdales des oph-thalmiques ; la glande lacrymale a ses
vaisseaux
particuliers, égale-mentnés des ophthalmiques. S0
t environné par ses six muscles propres, et reçoit un grand nombre de
vaisseaux
et des nerfs, dont nous tracerons plus tard une é
propre de la lèvre supérieure, les deux zygomatiques et le canin. 4°
Vaisseaux
sanguins et lymphatiques. Les artères et veines s
génienne. Il est traversé horizontalement par le canal de Sténon. 3°
Vaisseaux
et nerfs. Les artères et veines sont fournies par
la parotide par des groupes de granulations qui leur sont communs. 4°
Vaisseaux
sanguins et lymphatiques. La région parotidienne
parotidienne loge, clans le sillon vertical sous-maxillaire, les gros
vaisseaux
temporo-maxillaires, artère et veine, qui travers
l'un superficiel au-devant de l'oreille, l'autre profond sur les gros
vaisseaux
. 50 Nerfs. Ils ne sont pas moins nombreux pour c
é lieu à son ablation ; il suffit de se rappeler le nombre immense de
vaisseaux
et de nerfs qui s'y trouvent pour concevoir les d
dhère à l'aponévrose par un tissu cellulo-vasculaire lâche, trame des
vaisseaux
et des nerfs superficiels, qui est fréquemment le
il hyoïdien, les stylo-hyoïdien, stylo-pharyngien et stylo-glosse. 6°
Vaisseaux
. Latéralement, en arrière, la région sus-hyoïdien
es interne et externe et les troncs veineux qui les accompagnent. Les
vaisseaux
propres de cette région sont les artères et veine
re le tube laryngo-trachéal, se trouvent les muscles longs du cou. 4°
Vaisseaux
. De chaque côté du groupe sous-hyoïdien, entre lu
les attaches des scalènes, sont situés les sillons verticaux des gros
vaisseaux
, artère carotide primitive et veine jugulaire int
vaisseaux, artère carotide primitive et veine jugulaire interne. Les
vaisseaux
propres de cette région sont les artères et veine
s pour les abcès, les engorgemens ganglionaires, et les ligatures des
vaisseaux
. RÉGION SUS-CLAVICULAIRE1. Situation, configu
e les attaches du sterno-mastoïdien, qui répond profondément aux gros
vaisseaux
du cou ; au milieu, l'écartement des deux scalène
précise des incisions qui ont pour objet de découvrir les différents
vaisseaux
. 4° Vaisseaux. Le triangle sus-claviculaire est,
ncisions qui ont pour objet de découvrir les différents vaisseaux. 4°
Vaisseaux
. Le triangle sus-claviculaire est, sous ce rappor
ersalement à la direction de ce muscle existe l'arcade formée par les
vaisseaux
sous-claviers, la veine placée entre l'extrémité
la première côte pour passer sous la clavicule. La situation des gros
vaisseaux
détermine celle des branches secondaires. En deda
reconnaître pour ne pas le léser; (cl) enfin, dans le sillon des gros
vaisseaux
, le pneumo-gastrique, le grand sympathique, le ga
clavicule et de la première côte, dont l'écartement donne passage aux
vaisseaux
sous-claviers et aux nerfs du plexus brachial. L'
épineux, et les petits droits et obliques postérieurs de la tête. 5°
Vaisseaux
. En petit nombre, ils se composent en haut des br
t de quelques branches des scapulaires, et dans la hauteur du cou des
vaisseaux
cervicaux postérieurs et des petits rameaux des v
blés en dedans par le feuillet fibreux sous-pleural et la plèvre. Les
vaisseaux
sont très nombreux : verticalement, derrière les
s digitations du grand oblique abdominal, outre les intercostaux. Les
vaisseaux
et les nerfs sont également fournis par les inter
seaux et les nerfs sont également fournis par les intercostaux et les
vaisseaux
mammaires internes. Le squelette est formé par le
'une vive sensibilité, est dans la femme le sommet de convergence des
vaisseaux
galacto-phores, dont les nombreux orifices vienne
les deux sexes par l'épaisseur du tissu adipeux qui s'y rencontre. 3°
Vaisseaux
. Ce sont principalement les thoraciques externes
uxquels se joignent des branches de terminaison des intercostaux. Ces
vaisseaux
n'ont qu'un assez faible volume dans l'état norma
acis variqueux, qui donnent au sein un aspect bleuâtre et marbré. Les
vaisseaux
lymphatiques, en petit nombre chez l'homme, sont
e grand dorsal ; en plan profond, le sacro-spinal et ses annexes. Les
vaisseaux
et les nerfs sont fournis par les branches postér
indiqués, ne se compose plus que des deux plans des intercostaux. Les
vaisseaux
sont fournis en avant, en plan superficiel, par l
aisseux et épiploïque, que son volume croissant rend irréductible. 4°
Vaisseaux
. Les artères et veines de cette double région son
et fibreux sous-pleural et par le feuillet pariétal du péritoine. Les
vaisseaux
sanguins sont les branches antérieures des artère
le contour du tronc ; il s'y joint les deux branches abdominales des
vaisseaux
circonflexes iliaques, qui montent verticalement
de la crête du bassin vers la dernière côte, intermédiaires entre les
vaisseaux
lombaires et épi gastriques, avec lesquels ils s'
sont les branches antérieures lombaires qui accompagnent d'abord les
vaisseaux
du même nom, se continuent au-delà jusque vers le
le précédent sur la douzième côte, constitue le ligament cintré. Les
vaisseaux
et les nerfs sont fournis par les lombaires dont
tache de chaque côté sur les pubis par une expansion triangulaire. 4°
Vaisseaux
sanguins. Les artères et veines sous-cutanées son
ttes , l'orifice nommé anneau inguinal externe, qui donne passage aux
vaisseaux
spermatiques. Nous ne reviendrons pas sur la desc
e feuillet sous-péritonéal et le péritoine de la paroi antérieure. 4°
Vaisseaux
sanguins. Les artères et veines superficielles so
inal externe, les autres en regard de l'anneau inguinal interne ; les
vaisseaux
profonds sont fournis par les branches externes d
profonds sont fournis par les branches externes des épigastriques. 5o
Vaisseaux
lymphatiques. Très nombreux dans cette région, il
, l'iléo-scrotale et la génito-crurale, qui font partie du cordon des
vaisseaux
spermatiques. La région inguino-abdorninale est
es par les branches inguino-abdominales et honteuses externes, et des
vaisseaux
lymphatiques, qui vont se jeter dans les ganglion
fibreuse des corps caverneux est très dense, quoique extensible. Les
vaisseaux
de cette partie sont les branches profondes, dite
partie le tissu érectile du gland; l'autre profond, constitué par les
vaisseaux
propres du corps caverneux. Les lymphatiques supe
ns la portion de l'organe correspondant à l'entrée ou à la sortie des
vaisseaux
. Dans l'adulte, la tunique vaginale se prolonge s
ire est le siège de différentes variétés d'hydrocèle proprement dite.
Vaisseaux
et nerfs des enveloppes testiculaires. Les vaisse
proprement dite. Vaisseaux et nerfs des enveloppes testiculaires. Les
vaisseaux
sanguins rampent dans la couche sous-cutanée, épa
oisons fibreuses, et présente latéralement une saillie formée par ses
vaisseaux
sanguins et son canal excréteur. Le cordon des va
rmée par ses vaisseaux sanguins et son canal excréteur. Le cordon des
vaisseaux
spermatiques se compose de la juxta-position des
plus commune est le sarcocèle. Le cordon, outre les affections de ses
vaisseaux
ou de ses enveloppes, est en quelque sorte, par s
l faut ménager, et par l'impossibilité d'éviter la lésion de certains
vaisseaux
, dont la rétraction au milieu des chairs, abondam
n. Dans le sillon qui longe le contour ostéo-fibreux rampent les gros
vaisseaux
et les nerfs dont les nombreuses ramifications cr
o-fibreux, dans lequel passe la portion membraneuse dej l'urèthre. 5°
Vaisseaux
. Les artères et veines sont des branches des hont
e impossible à éviter dans l'incision pour la taille latéralisée. Aux
vaisseaux
honteux internes s'adjoignent : au pourtour de l'
s'adjoignent : au pourtour de l'anus, les dernières ramifications des
vaisseaux
héniorrhoïdaux inférieurs, et dans les plis de fl
lans, superficiel et profond, dont les ramifications accompagnent les
vaisseaux
sanguins. Les branches les plus volumineuses, des
ginal; puis les muscles ischio-caverneux et ischio-clitoridien. Les
vaisseaux
et les nerfs, analogues dans leur disposition, so
rangée supérieure inguinale, disposés eu chapelet en travers des gros
vaisseaux
sur le pli même de flexion. Un peu au-dessous, su
sur le pli même de flexion. Un peu au-dessous, sur le trajet des gros
vaisseaux
, sont disposés les ganglions delà rangée inférieu
es ganglions delà rangée inférieure dont il sera parlé plus loin. Les
vaisseaux
propres du pli inguinal sont disposés sur deux pl
ternes ; en profondeur au-dessus de l'aîne, une branche en arcade des
vaisseaux
épigastriques et derrière le pubis un rameau hori
vaisseaux épigastriques et derrière le pubis un rameau horizontal des
vaisseaux
obturateurs. Toutefois, ces petites branches vasc
e importance à connaître comparativement au canal de passage des gros
vaisseaux
cle la cuisse et à la superposition du canal ingu
le pubis et l'arcade fibro-musculaire, l'orifice de passage des gros
vaisseaux
ou Yanneau crural, fermé par des adhérences fibre
tiques, se rapportent les abcès phleg-moneux et les bubons ; aux gros
vaisseaux
les divers anévrismes et leurs opérations ; aux o
enant de caries lombaires, qui fusent le long du psoas iliaque et des
vaisseaux
iléo-fémoraux ; enfin au squelette appartiennent
s faisceau d'origine du transversaire épineux ou le muscle sacré. Les
vaisseaux
et les nerfs sont fournis par les branches sacrée
ns provenant des fessiers et des ischiatiques. Le petit volume de ces
vaisseaux
, la texture serrée des parties molles et la press
dans quelques races inférieures de l'espèce humaine. L'abondance des
vaisseaux
sous-cutanés qui rampent dans ce tissu, est la ca
crural, renfermés isolément dans autant de loges ostéo-fibreuses. 4°
Vaisseaux
et nerfs. Les artères et veines sont : pour la mo
its chapelets ganglionaires appliqués sur les orifices de passage des
vaisseaux
fessiers et ischiatiques ; et aux nerfs propres d
gion s'ajoutent le grand et le petit sciatiques, qui sortent avec les
vaisseaux
de même nom et contournent en arrière et en dehor
liquement du haut en bas et de dedans en dehors suivant le trajet des
vaisseaux
axil-laires qu'elle renferme, ses limites anatomi
es limites anatomiques, les mêmes que nous avons déterminées pour les
vaisseaux
, sont en haut la clavicule et en bas le feuillet
rachial, le triceps et l'humérus, et clans lequel sont logés les gros
vaisseaux
et les nerfs du plexus brachial. En raison de l'i
hérences qu'elle forme avec l'intercostal externe et les tuniques des
vaisseaux
; vers le creux de l'aisselle, par la gouttière du
nd pectoral et ses adhérences avec les côtes, les intercostaux et les
vaisseaux
, de sorte que les maladies ne trouvent guère à s'
es ne trouvent guère à s'étendre que sous les pectoraux eux-mêmes. 4°
Vaisseaux
et nerfs. C'est principalement au point de vue de
êmes. 4° Vaisseaux et nerfs. C'est principalement au point de vue des
vaisseaux
et des nerfs que cette région est importante à ét
ral par la jonction des veines humerales pour former l'axillaire. Les
vaisseaux
et nerfs de second ordre sont : les artères et ve
sent la direction des troncs principaux, et, en bas, la naissance des
vaisseaux
thoraciques longs ; à la partie supérieure s'abou
onaire sous-jaeent à la veine axillaire et dans lequel se rendent les
vaisseaux
de l'amas ganglionaire du creux de l'aisselle. Le
ées; mais c'est principalement eu égard aux lésions trauinatiques des
vaisseaux
et aux anévrismes de l'artère axillaire qu'elle o
ctée et des complications que détermine la position relative des gros
vaisseaux
. L'apophyse coracoide se fracture aussi quelquefo
t est fermé par l'aponévrose brachiale postérieure qui revêt les gros
vaisseaux
et le faisceau scapulaire du triceps. 4° Vaisseau
qui revêt les gros vaisseaux et le faisceau scapulaire du triceps. 4°
Vaisseaux
et Nerfs. Les vaisseaux et les nerfs particuliers
eaux et le faisceau scapulaire du triceps. 4° Vaisseaux et Nerfs. Les
vaisseaux
et les nerfs particuliers à cette région sont : l
lymphatique ganglionairei, se rencontrent, en arrière, l'origine des
vaisseaux
scapulaircs inférieurs et le nerf correspondant;
n importance est considérable en chirurgie, comme affluent commun des
vaisseaux
absorbans du membre thoracique et des parois de l
du sommet axillaire, en avançant en profondeur, se trouvent les gros
vaisseaux
et les nerfs du plexus brachial renfermés entre l
surtout, chez les femmes, dans celles de la glande mammaire. Les gros
vaisseaux
sont fréquemment affectés de lésions traumatiques
les tendons rotateurs des sus-épineux, sous-épineux et petit rond. 4°
Vaisseaux
et nerfs. Les artères et veines sont : en avant e
ur les rapports bien déterminés des os avec les parties molles et les
vaisseaux
. RÉGION SCAPULAIRE '. Situation, configuratio
la troisième à la huitième, et par les intercostaux correspondans. 4°
Vaisseaux
et nerfs. Les artères et veines sont fournies: po
supérieurs; pour les fosses sous-épineuse et sous-scapulaire, par les
vaisseaux
précédens et par les scapulaires postérieurs et i
t interne, quoique à notre avis, cette dernière qui renferme les gros
vaisseaux
mériterait bien une description particulière. En
le vers le milieu du pli du coude, et cpii indique le trajet des gros
vaisseaux
cpii y sont contenus. Au-delà du sillon interne,
l antérieur, du triceps qui occupe les trois autres faces de l'os. 3°
Vaisseaux
et nerfs. Sous la peau régnent les deux grandes v
and courant lymphatique du bras. Profondément dans le sillon des gros
vaisseaux
, se rencontrent le nerf médian et la veine numéra
ites, aux irritations des lymphatiques, aux lésions trauma-tiques des
vaisseaux
et des nerfs. C'est sur ce trajet que se pratique
en bas. La seule considération importante a rapport aux nerfs et aux
vaisseaux
. Le nerf radial et les artères et veines collatér
lée. Le sillon latéral externe, en raison de l'éloignement des gros
vaisseaux
, est le lieu d'élection pour mettre l'os à découv
que d'isoler artificiellement le pli du coude, en raison des nombreux
vaisseaux
et des extrémités articulaires qui s'y trouvent c
e danger de piquer cette veine est surtout à craindre par rapport aux
vaisseaux
profonds dont la sépare l'aponévrose bicipitalc.
veines radiale et cubitale antérieures. 3° Couche profonde: muscles,
vaisseaux
et nerfs. L'aponévrose d'enveloppe forme ici la s
iculation ; à deux lignes plus en dedans le tronc du nerf médian. Ces
vaisseaux
, comme nous l'avons dit, croisent, à une ligne et
e, elle est fréquemment exposée aux lésions trauma tiques, plaies des
vaisseaux
, fractures, luxations, etc. Elle est le siège hab
à l'extrémité inférieure de l'avant-bras, par le carré pronatcur. Les
vaisseaux
et les nerfs principaux figurent en grand nombre
re et les veines humé-raies se divisent en radiales et cubitales. Les
vaisseaux
cubitaux descendent entre le fléchisseur superfic
mé- 1 Planche i, n° 4^; et planche 9. dian, accompagné des petits
vaisseaux
du môme nom, descend au milieu sur le plan du flé
u môme nom, descend au milieu sur le plan du fléchisseur sublime. Les
vaisseaux
radiaux rampent sous le grand supinateur; profond
grand supinateur; profondément sur le ligament inter-osseux sont les
vaisseaux
antérieurs du même nom. RÉGION ANTI-BRACHIALE E
sseux et dirigés obliquement en dehors pour contourner le radius. Les
vaisseaux
sont les artères et veines inter-osseuses postéri
de son appareil ligamenteux et parcouru sur ses deux faces, outre les
vaisseaux
, par les divers tendons des muscles de l'avant-br
urs et extenseurs du pouce sous lesquels glissent en sens inverse les
vaisseaux
radiaux qui se portent sur la face dorsale du car
es tendons extenseurs appliqués sur la face postérieure du carpe. Les
vaisseaux
profonds sont les artères et veines sus-carpienne
s, contournant l'émincnce hypothénar et les branches digitales de ces
vaisseaux
. En quatrième plan les doubles tendons fléchisseu
enus; sur les côtés du doigt, dans des canaux fibreux, sont logés les
vaisseaux
et les nerfs collatéraux, disposition qui expliqu
veines dorsales; au dessous d'elle sont les tendons extenseurs et les
vaisseaux
profonds. Ces vaisseaux sont: i° l'artère et les
ous d'elle sont les tendons extenseurs et les vaisseaux profonds. Ces
vaisseaux
sont: i° l'artère et les veines radiales qui desc
cet espace est une légère dépression correspondant au sillon des gros
vaisseaux
. 1 Planche 1 , n° '\g ; et planches 7 et 8. P
is fascia superficialis inguinal, est remarquable par l'abondance des
vaisseaux
sanguins et lymphatiques qui s'y ramifient. Dans
rne, complété par la petite lame fibreuse pubienne qui revêt les gros
vaisseaux
; c'est cet orifice qui est l'affluent commun des
ffluent commun des veines et des lymphatiques, pour se jeter dans les
vaisseaux
profonds, en haut les veines inguino-abdominales,
les artères honteuses externes et inguino-abdominales. Ces différents
vaisseaux
rampent dans l'épaisseur du fascia superficialis,
teurs; dans le sillon intermédiaire à ces muscles sont logés les gros
vaisseaux
, au milieu l'artère fémorale, renfermée dans une
renferme ce nerf dans un canal fibreux. C'est cette portion des gros
vaisseaux
, revêtue, à un pouce et demi de l'anneau crural ,
ion, par la face antérieure de l'articulation coxo-fémorale. Les gros
vaisseaux
, dans le point où ils franchissent l'arcade crura
la tête du fémur. Outre les plaies et les accidens traumatiques des
vaisseaux
, les maladies principales , communes dans cette r
loppantle squelette ou le corps du fémur, auquel elle s'implante. Les
vaisseaux
de cette région, peu importans, se composent en p
plan superficiel des veinules sous-cutanées , et en plan profond des
vaisseaux
propres des muscles ; les artères et veines muscu
et, en avant, par le feuillet d'enveloppe du troisième adducteur. Les
vaisseaux
et nerfs sont : en plan superficiel, les artériol
ciatique et les rameaux cutanés qui en émanent ; en plan profond, les
vaisseaux
nourriciers des muscles dont, en haut, les branch
veines ischiatiques, et, dans le reste de l'étendue, des rameaux des
vaisseaux
circonflexes internes et perforans et des filets
re correspondant en profondeur, sous le couturier, au sillon des gros
vaisseaux
; elle est bombée dans sa portion supérieure et mo
divers muscles séparés entre eux par des cloisons aponévrotiques. 5°
Vaisseaux
et nerfs. Ils se distinguent en superficiels et p
uperficiel. Par sa situation, elle est placée plus en arrière que les
vaisseaux
profonds, écartée du trajet de l'incision pour la
yenne de la cuisse. Au plan vasculaire profond se rapportent les gros
vaisseaux
et toutes les ramifications qui se distribuent da
r, est d'abord situé en dedans du couturier, jusqu'à la naissance des
vaisseaux
fémoraux profonds, et croise ensuite longuement e
A la partie inférieure, les rapports redeviennent les mêmes, les gros
vaisseaux
seulement étant plus profonds. Dans les rapports
s gros vaisseaux seulement étant plus profonds. Dans les rapports des
vaisseaux
entre eux, la veine, interne en haut, est postéri
ui devient superficielle au genou pour former le saphène interne. Les
vaisseaux
et nerfs musculaires sont en nombre considérable.
. Les vaisseaux et nerfs musculaires sont en nombre considérable. Aux
vaisseaux
propres du couturier correspondent des rameaux ne
x nerveux du crural; dans les adducteurs, auxquels se distribuent les
vaisseaux
circonflexes et per-forans , se rendent des branc
on. Ce muscle enveloppe le squelette ou la face externe du fémur. Les
vaisseaux
sont les artères et veines collatérales externes
n chirurgie , de l'épaisseur de ses aponévroses et du petit nombre de
vaisseaux
qu'elle renferme. L'étranglement causé par les en
nale par deux petites incisions transversales en croix. La rareté des
vaisseaux
et le peu de profondeur du fémur font que l'on ch
e par un grand nombre de rameaux sanguins formant les anastomoses des
vaisseaux
articulaires, dont la dilatation accidentelle fac
ités du tendon du triceps, et qui ferme, en avant, l'articulation. 4°
Vaisseaux
et nerfs. Les artères et veines sont : les articu
en profondeur le creux du jarret au fond duquel sont situés les gros
vaisseaux
. Dans l'homme bien musclé, la dépression poplitée
dans 1 echancrure intermédiaire à ces éminences, qu'existent les gros
vaisseaux
et les nerfs, dont la direction est verticale. 5°
les gros vaisseaux et les nerfs, dont la direction est verticale. 5°
Vaisseaux
et nerfs. Procédant de la surface vers la profond
rps du fémur sont l'artère et la veine poplitées. Les rapports de ces
vaisseaux
sont tels, qu'ils se croisent très obliquement da
l'artère, est postérieure au milieu et interne en bas. Outre les gros
vaisseaux
se distinguent : (a) l'anse de terminaison de la
s à quatre ganglions lymphatiques et leurs rameaux entourant les gros
vaisseaux
. G" Squelette. Il est formé par les condyles du f
1 Planche i, n" 55; et planche 12. accitiens traumatiques des gros
vaisseaux
. C'est donc par rapport aux anévrismes et à la li
jambe pour passer derrière le péroné et sous la malléole externe. 5°
Vaisseaux
et nerfs. Au fond du sillon inter-osseux sont log
lanche 12. principalement nourris par les branches horizontales des
vaisseaux
du même nom. Les nerfs sont fournis par le sciati
au pied ; et, en avant, le nerf tibial antérieur, qui accompagne les
vaisseaux
profonds, dont il croise très obliquement la dire
r devenir interne à la partie inférieure, où il côtoie en ce sens les
vaisseaux
pédieux. 6° Squelette. Il est formé par la face e
en arrière, par l'aponévrose profonde qui les sépare du soléaire. 5°
Vaisseaux
et nerfs. Les vaisseaux sanguins sont en grand no
vrose profonde qui les sépare du soléaire. 5° Vaisseaux et nerfs. Les
vaisseaux
sanguins sont en grand nombre : dans les jumeaux
s les jumeaux se rendent les artères et veines jumelles, branches des
vaisseaux
po-plités; le soléaire reçoit à diverses hauteurs
s; le soléaire reçoit à diverses hauteurs des branches nombreuses des
vaisseaux
tibiaux et péroniers. Les nerfs de ces deux muscl
le sciatique poplité interne. Au plan profond appartiennent les gros
vaisseaux
; en dedans, l'artère tibialc postérieure flanquée
, dans le sillon inter-osseux, l'artère et les veines péronières. Ces
vaisseaux
sont accompagnés chacun par les rameaux lymphatiq
e pratiquent à diverses hauteurs les incisions pour la ligature de ce
vaisseau
. La ligature de l'artère péronière n'existe encor
, en outre, la face antérieure de l'articulation tibio-tarsienne, les
vaisseaux
et nerfs profonds. 3° Les tendons sont, de dedans
e tendon de l'extenseur commun et celui du péronier antérieur. 4° Les
vaisseaux
et nerfs sont : en plan sous-cutané, au milieu, l
ques branches d'anastomose des veines saphènes ; en plan profond, les
vaisseaux
tibiaux antérieurs, qui passent avec le nerf tibi
ng extenseur propre du gros orteil, et fournissent de chaque côté les
vaisseaux
malléolaires externes et internes. Dans l'anse de
nd sont les liga-mens latéraux tibio-calcanien et astragalien. 4° Les
vaisseaux
propres sont les malléolaires internes en avant,
s que celles que nous avons mentionnées pour la malléole interne. Les
vaisseaux
sont les malléolaires externes et les péroniers a
périoste et aux gaines des tendons. Dans ce tissu rampent de nombreux
vaisseaux
fournis par les branches tibiales, péronières et
jamhier postérieur en dedans, et des deux péroniers en dehors. 4° Les
vaisseaux
et nerfs analogues par leur trajet sont : en deda
es vaisseaux et nerfs analogues par leur trajet sont : en dedans, les
vaisseaux
tibiaux postérieurs et leur nerf satellite, réflé
t parcourue par un grand nombre de veines d'un fort volume et par les
vaisseaux
propres de la peau. 3"° Aponévrose. Mince, compos
tarsienne seulement, sont les quatre muscles inter-osseux dorsaux. 5°
Vaisseaux
et nerfs. En plan superficiel existent : (a) l'
rds externe et interne du pied. Au plan profond se rapportent (c) les
vaisseaux
pédieux, qui longent le bord externe du tendon du
tendon du long fléchisseur propre du gros orteil, et fournissent les
vaisseaux
sus-tarsiens externes et internes et l'arcade sus
es orteils. Enfin, en quatrième plan, les inter-osseux plantaires. 5°
Vaisseaux
et nerfs. La couche sous-cutanée, au point de vue
natomique, est, sous ce rapport, a peine digne de considération . Les
vaisseaux
sous-cutanés ne sont que des rameaux émanés des p
is parle tibial postérieur avant sa division plantaire. Toutefois ces
vaisseaux
deviennent importans dans les phlegmons par l'étr
qui est le résultat de la texture fibreuse du coussin plantaire. Les
vaisseaux
profonds sont les plantaires externes et internes
es et internes appliqués profondément sous la voûte du squelette. Les
vaisseaux
internes longent en dessous le bord correspondant
transverse sous-métatarsienne, anastomosée à sa terminaison avec les
vaisseaux
pédieux, et d'où procèdent les branches inter-oss
ntaires sont les divisions du tibial postérieur, situé au-dessous des
vaisseaux
, l'interne plus considérable que l'externe, et t
t sur la face palmaire par la gaine des deux tendons fléchisseurs. 4°
Vaisseaux
et nerfs. Ce sont les collatéraux externes et int
remède : tels sont les cas d'étranglement intestinal, de lésion d'un
vaisseau
considérable , de corps étrangers introduits viol
'on doit ménager, étanche le sang avec l'éponge, fait la ligature des
vaisseaux
, prend part au pansement; c'est en quelque sorte
e un second chirurgien. Un second aide, chargé de la compression du
vaisseau
principal, la maintient ferme tant que dure l'opé
, et une fois l'opération terminée, quand vient le moment de lier les
vaisseaux
, l'œil fixé sur le chirurgien, attentif à ses moi
ar une veine lésée, il faudrait comprimer immédiatement, puis lier le
vaisseau
, et pratiquer sans retard des pressions méthodiqu
rofondes, où la pointe du bistouri droit ordinaire pourrait léser des
vaisseaux
ou des parties qu'il importe de ménager, comme da
ible, il faut éloigner les incisions des lieux abondamment pourvus de
vaisseaux
et de nerfs, comme l'aisselle, l'aine, la marge d
ème, lorsque, dans la ligature des artères, la gaine qui renferme les
vaisseaux
étant mise à nu , il ne s'agit 1 Planche i5, fï
'artère elle-même. L'instrument , dans ce cas, présentant le clos aux
vaisseaux
, ne peut les intéresser, tandis que la pointe et
e voisin. Pour pratiquer le même genre de section de l'autre côté des
vaisseaux
, sans modifier la position de la main, on fait ex
ées, et que, toutes les fois que l'on opère dans le voisinage de gros
vaisseaux
ou d'organes importans, il faut, avant d'applique
en- 1 Planche 16, % 6. 1 IManrhe 16, fig y. teux, d'extrémités de
vaisseaux
, etc., plus ou moins dilacérés, ces instrumens ét
ires des dissections. Toutefois , quand on peut craindre de léser des
vaisseaux
, des nerfs ou tout autre organe important, on pré
on est contraint d'agir au travers de parties abondamment pourvues de
vaisseaux
et de nerfs qu'il est presque impossible de ne pa
les extirpations de tumeurs variées environnées d'un grand nombre de
vaisseaux
et de nerfs, et circonscrites par du tissu cellul
voir à redouter l'hémor-rhagic par suite de la torsion en spirale des
vaisseaux
alongés aúllela de leur extensibilité avant la ru
faciliter son dégagement à la sortie avec 1 indicateur gauche. Si des
vaisseaux
d'un certain volume sont plutôt groupés vers un p
ace vive de la plaie. Comme dans tous les cas analogues, s'il y a des
vaisseaux
d'un certain volume qui pénètrent dans la tumeur,
lque sorte, à la manière d'une pince, pour empêcher la rétraction des
vaisseaux
et en faciliter la ligature partielle immédiate.
ion préalable trop profonde qui causerait de la difficulté à lier les
vaisseaux
, ou d'une section trop superficielle qui permettr
r, pourrait donner lieu à une hé-morrhagie. Si du sang fourni par des
vaisseaux
capillaires s'écoulait abondamment pendant l'opér
tous les genres de compression médiate ou immédiate des chairs ou des
vaisseaux
appuyant sur les os. Mais clans les circonstances
r une hémor-rhagie, à la surface des plaies, déterminée par de petits
vaisseaux
. 2° Par elle-même, elle constitue un moyen curati
clans les épanchemens; soutenir et accoler les parois affaiblies des
vaisseaux
distendus dans les varices ; empêcher le développ
ans les fractures; à suspendre et à ralentir le cours du sang dans le
vaisseau
principal de la partie sur laquelle on opère ; à
ovisoirement, par les doigts d'un aide ou une pince, les orifices des
vaisseaux
cléja coupés, pour ne point retarder une opératio
e de toute congestion antérieure. Presque toujours, sur le trajet des
vaisseaux
, son siège le plus habituel, il détermine, parla
soin de piquer ou d'embrasser, clans l'anse du lien , des nerfs, des
vaisseaux
ou des tendons. 5° La distance entre les points
direction longitudinale, comme l'incision pour la ligature d'un gros
vaisseau
. Leur longueur ne sera pas moindre pour la plaie
fils des ligatures des artères, lorsqu'il a été besoin de lier de ces
vaisseaux
. La direction des bandelettes n'est pas toujours
se fait directement par inosculation directe des orifices des petits
vaisseaux
béants sur les surfaces. Mais si l'affrontement n
acune des surfaces et dans lesquelles s'organisent ultérieurement des
vaisseaux
. Ce second travail organique sera plus rapide qua
oserait sur l'arcade T. VI. crurale un peu en dehors de l'axe des
vaisseaux
, de manière à comprimer le nerf crural et l'artè
eption la plus étendue, s'applique à tout écoulement de sang hors des
vaisseaux
destinés à le contenir. Ainsi, quant au lieu, lhé
ur les surfaces libres ou dans la profondeur des tissus, et quant aux
vaisseaux
lésés, elle provient des artères, des veines ou d
des veines ou des capillaires, et même, sans lésion préalable d'aucun
vaisseau
, des surfaces ou de la profondeur de tous les ti
d'être mentionnées pour leur importance en chirurgie. Ainsi, pour les
vaisseaux
, on appelle traumatique l'hémorrhagie qui résulte
tique l'hémorrhagie qui résulte directement de la lésion physique des
vaisseaux
; symptomatique, celle qui est consécutive à une
phénomènes de l'hémorrhagie artérielle varient suivant le volume des
vaisseaux
qui la fournissent, et nécessitent pour chaque ca
ntre les divers plans intéressés. Dans les opérations, la section des
vaisseaux
doit toujours être complète. Néanmoins, les vaiss
la section des vaisseaux doit toujours être complète. Néanmoins, les
vaisseaux
sont fréquemment lésés à divers degrés , comme cl
erne et moyenne se retirent dans la tunique celluleuse; le calibre du
vaisseau
se trouve diminué à chaque extrémité, et il résul
diminué à chaque extrémité, et il résulte cle la rétraction totale du
vaisseau
un écartement entre les deux bouts divisés. Le sa
rapidité proportionnée à l'étendue et au parallélisme de la plaie du
vaisseau
et de sa gaîne d'enveloppe, au degré de résistanc
s peuvent guérir par les seuls efforts de la nature, lors même que le
vaisseau
a été dénudé dans quelques lignes d'étendue, (b)
, qui intéressent le quart ou les trois quarts de la circonférence du
vaisseau
, sont mortelles si la gaîne celluleuse du vaissea
a circonférence du vaisseau, sont mortelles si la gaîne celluleuse du
vaisseau
a été enlevée; clans le cas contraire, elles peuv
is quarts, en permettant une grande rétraction des deux extrémités du
vaisseaux
, contribue à les oblitérer d'autant : reste donc
llot interne qui contracte des adhérences avec la paroi circulaire du
vaisseau
. Morand, sans nier l'existence des caillots, croi
éinor-rhagie est arrêtée par le gonflement de la gaine celluleuse des
vaisseaux
. Bell admet que ce phénomène est dû à l'épancheme
elquefois assez considérable pour remplir complètement la capacité du
vaisseau
: c'est ce que Jones appelle le troisième caillot
es termes, par l'oblitération ; mais, dans quelques cas cependant, le
vaisseau
n'est point oblitéré; l'adhérence a lieu seulemen
rt, la moitié, les trois quarts ou la totalité de la circonférence du
vaisseau
, l'oblitération complète est le seul moyen de gué
oyens spéciaux. Les veines, en général, ne saignent qu'autant que les
vaisseaux
lésés sont d'un assez fort volume. L'hémorrhagi
; dans les deux autres interviennent la lésion des diverses sortes de
vaisseaux
et la constitution du sujet. MOYENS ET PROCÉDÉS
e chirurgien aurait à craindre des hémor-rhagies foudroyantes par des
vaisseaux
en trop grand nombre ou difficiles à atteindre ;
la compression agissait par aplatissement, d'où il suit que, pour les
vaisseaux
, son effet est d'effacer leur calibre par accolem
s lentes, ménagées avec douceur, reconnaître dans quelle direction le
vaisseau
tend à se déplacer pour y adapter la pression.
ultante de la pression suivant une ligne perpendiculaire à-la-fois au
vaisseau
et à son point d'appui, en ramenant au besoin le
-la-fois au vaisseau et à son point d'appui, en ramenant au besoin le
vaisseau
à cette direction commune, s'il s'en écarte, dans
r est commandée plus particulièrement par la situation anato-mique du
vaisseau
. Ainsi, l'artère sous-clavière sur la première cô
mer avec le pouce. Ce doigt, offert perpendiculairement en travers du
vaisseau
, agit à la manière d'une pelote ou d'un cachet. A
té oblige à disséminer la compression sur une plus grande longueur du
vaisseau
. On l'opère avec les trois ou quatre derniers doi
ts tracent en commun un sillon courbe; de sorte que l'oblitération du
vaisseau
n'est que commencée par le premier doigt, continu
e la main qui rend la compression incertaine, l'aide, sans quitter le
vaisseau
, raffermit les doigts en les maintenant cle l'aut
doigts en position convenable au-dessus des autres, sur le trajet du
vaisseau
, de manière à comprimer d'abord, avant de lâche
n comprimant plus spécialement dans le sillon vasculaire, oblitère le
vaisseau
principal, et par la saillie qu'elle forme , empê
d'elles. (Pl. 18-21.) Procédé d'application. Après avoir reconnu le
vaisseau
, on applique sur son trajet la pelote surmontée p
ent à la moyenne de l'espace inter-musculaire, suffit pour aplatir le
vaisseau
sur la face interne de l'humérus en regard, ou, p
ême, mobile sous la peau, pouvant être un peu déplacé en arrière, les
vaisseaux
sanguins seront à-peu-près seuls comprimés. Enfin
st causée par les artères , par les veines, ou par ces deux genres de
vaisseaux
. UÉMORRIIAGIE ARTÉRIELLE. On y remédie par la
er successivement la pulpe des doigts d'un aide sur chaque orifice de
vaisseau
lésé, à mesure que chemine l'instrument tranchant
eux ou trois premiers doigts opposans, les parties qui renferment les
vaisseaux
au moment où ils vont être divisés. Ce moyen s'ap
umeurs qui fournissent du sang en nappe par un grand nombre de petits
vaisseaux
, la compression médiate s'opère, par divers moyen
ntanée se fait à deux momens : i° Avant la section, on va chercher le
vaisseau
dans les chairs , on l'isole et on le lie, soit q
ur chercher à sa surface et lier successivement tous les orifices des
vaisseaux
coupés, ce qui transforme la section de chaque la
er lieu de craindre l'introduction de l'air dans la veine. Mais si le
vaisseau
est situé profondément dans les chairs, il peut s
urgien est d'obvier à l'écoulement du sang par les orifices béans des
vaisseaux
flivisés. Pour y parvenir, outre la ligature, le
uelques-uns chimiques, mais ayant également pour objet d'oblitérer le
vaisseau
, ou du moins de former obstacle physique pendant
hémostatiques, les uns sont également applicables aux trois sortes de
vaisseaux
, à des calibres variés; en raison même de la géné
compression et la cautérisation. D'autres ne s'emploient que pour des
vaisseaux
d'un certain volume et pour un objet spécial; ils
pression. Toutefois l'art possède quelques moyens supplétifs. Sur les
vaisseaux
sains et d'un médiocre volume, si la ligature off
née au-dehors, on a recours aux bouchons mécaniques. Enfin, quand les
vaisseaux
, amollis ¡par l'inflammation, ne peuvent plus s
. On l'effectue immédiatement avec le doigt appliqué sur l'orifice du
vaisseau
coupé, ou médiatement par l'interposition d'un co
d'un lien serré par un nœud, la paroi circulaire d'un ou de plusieurs
vaisseaux
. Son effet, au moment même, est d'interrompre bru
aux. Son effet, au moment même, est d'interrompre brusquement dans le
vaisseau
la circulation au-dessous, et par conséquent l'hé
animaux à obtenir des réunions immédiates avec oblitération des gros
vaisseaux
, non seulement par la ligature, mais même par une
ne simple mèche passée en manière de séton au travers des parois d'un
vaisseau
. Pour augmenter la résistance de ce lien, à-la-fo
pales : des pinces ou des crochets , dits ténactdums, pour saisir les
vaisseaux
coupés, ou des aiguilles pour embrasser les artèr
lume de tissus renfermés sous l'anse du lien. Quoique la ligature des
vaisseaux
ait été connue des anciens et des Arabes, au moye
curatif usité contre l'bémorrhagie. Ambroise Paré imagina de lier les
vaisseaux
, et, quoique cette méthode lui fût déjà connue,
doctrine régnante devant attribuer le môme danger à la lésion de tout
vaisseau
sanguin, Ambroise Paré saisissait avec un bec à c
éral, la ligature se faisait par le procédé de Dionis, en cernant les
vaisseaux
et les chairs avec deux aiguilles courbes, ou en
Enfin, aujourd'hui, le précepte établi, qui borne la ligature au seul
vaisseau
, enjoint de plus de combiner le fil et la stricti
e l'épaisseur de tissu comprise dans l'anse. Le procédé de lier les
vaisseaux
environnés de tissus étrangers constitue la ligat
la ligature médiate, distincte de la ligature immédiate opérée sur le
vaisseau
isolé. La première offre de nombreuses chances d'
re le motif, des fréquentes hémorrhagies causées par la déchirure des
vaisseaux
amollis, accident si commun de la ligature médiat
ayant environné l'artère, on lui faisait traverser diamétralement le
vaisseau
avant de le lier; modification cpii a paru utile
ous semble pas heureuse, puisqu'elle blesse inutilement les parois du
vaisseau
, multiplie le contact du corps étranger, et parta
on aussi forte qu'il peut la supporter, a l'inconvénient de couper le
vaisseau
dès le moment où s'établit l'inflammation , et av
en consiste à adapter le volume et la résistance du fil au calibre du
vaisseau
, et à opérer la striction de manière à accoler ex
ors , attendant qu'elles tombassent d'elles-mêmes après la section du
vaisseau
. On attribuait, en outre, à la présence de ces fi
durée de l'application, est la ligature d'attente. Dans les cas où un
vaisseau
pouvait être mis à nu clans une certaine étendue
ordinaire, préparaient au-dessus, à courte distance, sur le trajet du
vaisseau
, une ou deux anses de fil très lâches, dites prop
itant par lui-même comme corps étranger, l'inflammation s'emparait du
vaisseau
dans une longueur considérable ; de sorte que cha
lume convenable et ciré, guidé avec une pince qui saisit l'orifice du
vaisseau
sur les plans de section ; avec un ténaculum quan
e sonde cannelée ou une aiguille, après avoir préalablement dénudé le
vaisseau
dans l'étendue strictement nécessaire, pour les a
es; enfoncer la première aiguille dans les chairs à une demi-ligne du
vaisseau
, et la faire ressortir à deux lignes au-dessus de
e chacune d'elles ressorte du même côté par où l'autre est entrée. Le
vaisseau
se trouvant ainsi embrassé, écarter les aiguilles
out. i 2° Ligature immédiate. Considérée ici spécialement sur les
vaisseaux
coupés, on l'opère avec deux instrumens, la pince
opère avec deux instrumens, la pince et le ténaculum. — Recherche des
vaisseaux
. Le premier soin est d'étancher la surface de la
r à l'avance très précisément, sauf les cas d'anomalie, le nombre des
vaisseaux
à lier et leur situation relative pour chaque pla
l survient une hémorrhagie. A. Ligature avec la pince. L'orifice du
vaisseau
étant reconnu, s il est d'un grand volume, saisir
e les dentelures des mors ; puis, par une légère traction, attirer le
vaisseau
et le faire saillir de quelques lignes au-devant
ur l'artère. Mais ici deux procédés de striction se présentent. Si le
vaisseau
est d'un gros calibre et que l'on opère sur une s
pli de flexion de leur dernière articulation inter-phalangienne.Si le
vaisseau
n'est que d'un médiocre volume et l'espace où l'o
d'elle-même après quelques in-stans; enfin, si l'on est assuré qu'un
vaisseau
d'un certain volume s'est rétracté dans sa gaine,
re au milieu de quelques fragmens de tissus saisis dans la pince, ces
vaisseaux
ne pouvant donner lieu à des hémorrhagies consécu
érence les pinces fixes, cpii peuvent être abandonnées sans lâcher le
vaisseau
une fois saisi, et permettent au chirurgien d'en
de l'artère seule, ou avec quelques tissus étrangers, suivant que le
vaisseau
est d'un plus grand ou d'un plus petit volume.
employée avec avantage pour oblitérer provisoirement les orifices des
vaisseaux
. On préfère le cautère actuel toujours à portée,
e sèche et solide. Néanmoins ce moyen est insuffisant contre les gros
vaisseaux
. Les cas où son emploi est le plus convenable son
plus convenable sont les hémorrhagies des artères ranines, celles des
vaisseaux
situés à de grandes profondeurs ou dans des canau
ide, tandis que la tunique externe forme, au-devant de l'extrémité du
vaisseau
, un prolongement conique contourné en vrille, qui
x, tels que l'ablation de certaines tumeurs volumineuses où nombre de
vaisseaux
cachés dans les espaces cclluleux sont déchirés p
ne pince ordinaire, M. Amussat, l'auteur de ce procédé, a comprimé le
vaisseau
au-dessus entre les deux tiges cylindriques de la
ndriques de la pince à refoulement, en remontant avec pression sur le
vaisseau
, de manière à rompre et refouler de bas en haut l
libre de l'artère; isoler de l'autre main, avec une seconde pince, le
vaisseau
, et le faire saillir de cinq à six lignes au-deva
ersalement de la main droite, et de la gauche étreindre en travers le
vaisseau
, avec la pince à baguette, au niveau des chairs;
couper les tuniques interne et moyenne, et, pendant qu'on étrangle le
vaisseau
avec une force suffisante, faire parcourir à la p
in, ramener cette pince dans la direction de l'artère, et imprimer au
vaisseau
sept à huit tours complets sur son axe ; retirer
gauche, puis avec une autre pince, tenue de la main droite, isoler le
vaisseau
des tissus environnans, en les refoulant vers la
de tours de rotation doit être évidemment proportionné au calibre du
vaisseau
. M. Velpeau en fait de trois à huit; M. Thierry v
rocédé de M. Stilling. Il fait, à une légère distance de l'orifice du
vaisseau
, deux petites boutonnières qui lui sont parallèle
e cette manœuvre, longue et difficile, suppose en outre un calibre de
vaisseau
assez considérable, et, dans ce cas , n'offre pas
me d'une tige très menue. On pince, s'il est possible, l'extrémité du
vaisseau
que l'on mâche sur le corps étranger, ou, s'il es
u occasionnerait un état morbide dont le résultat serait de rendre le
vaisseau
impropre à recevoir le sang, quoique non oblitéré
rétraction qui résulte de la section elle-même et du dégorgement des
vaisseaux
par le fait même de l'écoulement; ordinairement e
nt le gonflement inflammatoire, qui, en comprimant circulairement les
vaisseaux
et gonflant leurs parois, s'oppose à tout nouvel
instrumens, par frottement et dilacération, la pulpe nerveuse et les
vaisseaux
dentaires, pour conserver sans inconvénient, dans
iner la dent de manière à rompre au fond de l'alvéole son nerf et ses
vaisseaux
; mais on s'arrête aussitôt cet effet produit, et
e directement avec le davier. 3° Uhémorrhagie. Elle provient soit des
vaisseaux
dentaires, soit de ceux des gencives, ou de ces d
nt l'apparence est celle d'un réseau ou filet d'anastomoses de petits
vaisseaux
d'un volume égal. Par-tout, sur les bords, il se
tre la suite de la cautérisation ; 3" enfin, le trajet connu des gros
vaisseaux
et des nerfs. Diverses substances peuvent servi
sinuent le plus de minuscules artériels. En raison de l'abondance des
vaisseaux
qu'elle renferme et de la multiplicité de leurs a
réduire à sa simple épaisseur, la privation d'un nombre suffisant de
vaisseaux
devant entraîner inévitablement la mortification
ur lieu d'élection du pédicule, celui par lequel pénètrent le plus de
vaisseaux
. Néanmoins, le précepte contraire est maintenu pa
é delongueurde ses bords,est vicieuse; la circulation, gênée dans les
vaisseaux
tordus en pas de vis, peut amener la gangrène , e
ule d'autant plus large que le tégument du membre est moins pourvu de
vaisseaux
. On fait rapprocher les deux surfaces l'une del'a
d'atteindre le muscle sur un point moins large et plus éloigné de ses
vaisseaux
de nutrition. M. Malgaigne enjoint, parce dernier
x tiers supérieurs.Pourtant , quant à la considération de ménager les
vaisseaux
de nutrition , l'espace compris du tiers aux deux
ile à pratiquer en elle-même; mais délicate, vu la proximité des gros
vaisseaux
. Deux méthodes sont employées:l'incision préala
, de manière à n'arriver que peu à peu en profondeur, pour éviter les
vaisseaux
profonds : 20 de dedans en dehors (pl. 23, fig. 1
1 ). Cette modification , qui écarte d'abord et laisse en arrière les
vaisseaux
et nerfs que l'on doit respecter, est, par cela m
um et de la clavicule ; à chaque fois, pour éviter la lésion des gros
vaisseaux
, la division eut lieu sur l'extrémité du doigt in
muscles sous-hyoïdiens en dedans. Cependant il reste encore d'autres
vaisseaux
d'un fort volume ; en arrière, les cervicaux tran
ion des branches du plexus cervical, d'hémorrhagiepar lésion des gros
vaisseaux
, ou d'atrophie du muscle lui-même. section du t
Dans le pied-bot, quand l'extension du pied est portée très loin, les
vaisseaux
tibiaux postérieurs forment des flexuosités latér
ndon est très saillant, permettant d'éviter, en avant et en haut, les
vaisseaux
, et, en bas, la bourse synoviale du calcanéum.
e l'arcade sourcilière, une incision d'un pouce de longueur, dont les
vaisseaux
occupent le milieu. L'instrument, offert en press
trois ou quatre lignes plus en dehors, la veine du même nom. Tous ces
vaisseaux
peuvent être laissés ou repoussés en dedans. Avec
aires inférieurs, qui, plus bas, entre dans le canal du même nom. Les
vaisseaux
mis à nu, isoler le nerf, le soulever avec une so
anal dentaire inférieur. Derrière le disque se trouve le faisceau des
vaisseaux
dentaires, artère, veine et nerf. Il est facile d
le suivre en profondeur, en écartant en avant la parotide et les gros
vaisseaux
, et substituant presque toujours la sonde cannelé
e dans la profondeur ou à la surface de laquelle se trouvent les gros
vaisseaux
. Il atteint bientôt le nerf au-dessus des muscles
acquises au domaine de l'art. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES
VAISSEAUX
. Les vaisseaux sont le siège d'un grand nombre
ine de l'art. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VAISSEAUX. Les
vaisseaux
sont le siège d'un grand nombre d'opérations très
circulation générale comme moyen curatif dune affection étrangère aux
vaisseaux
eux-mêmes, par soustraction ou déplacement d'une
it physiquement, par la pression atmosphérique; et dans le second, le
vaisseau
lui-même est lésé. Les autres ont pour effet de r
lésé. Les autres ont pour effet de remédier aux maladies propres des
vaisseaux
, soit les artères, soit les veines. OPÉRATIONS
es vaisseaux, soit les artères, soit les veines. OPÉRATIONS SUR LES
VAISSEAUX
EN GÉNÉRAL. Les unes agissent localement sur la
ent trop brusque donnant lieu aussitôt à un sentiment cle tension des
vaisseaux
très douloureux. Le temps que doit durer l'appl
de cicatrices de saignées antérieures qui rétrécissent le calibre du
vaisseau
: il faut inciser au-dessous. 3° L'extrême laxité
re, et en piquant perpendiculairement par un coup sec à la surface du
vaisseau
. Opération en général. Tout étant disposé, le c
n de l'instrument du creux de la main ; puis, présentant la pointe au
vaisseau
, par une rapide extension des doigts on perce sub
e. Tous deux néanmoins varient suivant la position de la veine. Si le
vaisseau
est superficiel et la lancette assez large, la po
'incision par rapport ci l'axe de la veine. La plaie longitudinale du
vaisseau
ne produit qu'un jet de sang faible et qui s'arrê
rête brusquement par la rétraction tics lèvres mêmes de la section du
vaisseau
. Celles qui coupent la veine diagonalement tienne
fondeur, soit que la lame présentée trop oblique ait glissé à côté du
vaisseau
, ou que la veine trop roulante ait fui au-devant
doit supposer qu'on s'est trompé quant à l'existence ou au volume du
vaisseau
en profondeur; et au lieu de s obstiner à irriter
qu'avec quelques petits coups secs, frappés à plat sur le trajet des
vaisseaux
, des frictions cle bas en haut des rameaux vers l
oire qui permette d'attendre que l'on puisse pratiquer la ligature du
vaisseau
lésé. Phlébite. Nous ne faisons (pie mentionner
es conséquences si souvent fatales, Dupuytrcn enseignait de couper le
vaisseau
en travers, de distance en distance, pour donner
u pus une libre issue au dehors et faciliter l'adhésion des parois du
vaisseau
. Lésion des lymphatiipies. On attribue à cette
de un liquide séreux. Les accidens locaux, tels que l'engorgement des
vaisseaux
et des chapelets de ganglions lymphatiques au-des
distance de la ligature calculée pour la profondeur et la mobilité du
vaisseau
, puis il enfonce la pointe de la lancette dans la
veine, et séparés d'elle par une aponévrose épaisse, sont situés les
vaisseaux
tibiaux postérieurs. Saphène externe. Inférieur
au est elle-même tuméfiée: enfin on ne sait plus positivement à cpiel
vaisseau
s'adresser pour les cavités buccale et nasale. Re
onévrotique d'enveloppe de la veine, on ouvrirait avec la lancette le
vaisseau
mis a nu. Ce procédé, au point de vue anatomique,
nque auriculaire; elle est recouverte en ce point par sa veine et les
vaisseaux
lymphatiques temporaux dont toutefois la section
e, écartés de chaque côté de l'artère, tendent la peau et appuient le
vaisseau
sur l'os sous-jacent. On introduit dans l'espace
e, saccadé et isochrone aux battemens du cœur, indicpie la section du
vaisseau
. Lorsque l'on a obtenu la quantité de sang voulue
retour que les anastomoses pourraient causer par le bout supérieur du
vaisseau
. Quelques tours débande un peu serrés suffisent o
piquer, tandis que l'index explore et au besoin contient ou dirige le
vaisseau
, de la main droite le chirurgien saisit le bistou
t, en quatrième position. La lame, présentée obliquement en dehors du
vaisseau
, plonge brusquement jusqu'à l'aponévrose, s'abai
en dehors, puis, se relevant dans la même direction oblique, coupe le
vaisseau
en travers et ressort au dehors en élargissant la
tte opération se compose de trois temps, ponction, glissement sous le
vaisseau
, élévation avec section , qui doivent se succéder
étendue est de quatre à six ou huit lignes, suivant la profondeur du
vaisseau
. En précepte, il vaut toujours mieux qu'elle soit
re aux veines elles-mêmes; 2° comme moyen curatif des maladies de ces
vaisseaux
. Les opérations du premier genre sont: la phléb
la plus grosse veine superficielle sur le bras du malade, on isole le
vaisseau
par une dissection soignée; on fait comprimer par
sortie du sang en retour, et au-dessus pour fermer à l'air l'accès du
vaisseau
; puis on ouvre la veine au milieu, entre les deu
tant que possible, mou et flexible, pour ne pas blesser les parois du
vaisseau
. Mais convient-il, comme on le prescrit, d'insinu
sur le piston pour ne pas occasionner un choc trop fort au dedans du
vaisseau
. A mesure que le sang pénètre, on facilite sa tra
qui consiste à faire évacuer, par la pression, le sang qui gonfle les
vaisseaux
variqueux. L'évacuation, qui exprime le liquide a
lésées, et qui le fait remonter dans les veines supérieures quand les
vaisseaux
sont intacts, a reçu assez improprement le nom de
par une incision longitudinale dans l'étendue d'un pouce , isoler le
vaisseau
, glisser derrière un morceau d'amadou un peu plus
ère que, les deux extrémités se trouvant libres, les parois lésées du
vaisseau
se trouvent être maintenues en contact; l'apparei
ni cle son fil, serrer la ligature par un nœud ordinaire et couper le
vaisseau
immédiatement au-dessus. Ce moyen se combine au b
ec de la charpie. La suppuration consécutive amène l'oblitération des
vaisseaux
. M. Vcl-peau a employé avec succès ce procédé sur
nes et, retournant en arrière le tranchant sous la peau, il coupe les
vaisseaux
en travers en retirant l'instrument suivant le tr
u , glisser sous la veine une sonde cannelée sur laquelle on coupe le
vaisseau
en travers près de l'angle inférieur de la plaie
ntimètres comprenant la peau et la paroi de la veine en regard. Si le
vaisseau
est mobile et roulant sous la peau, on le fixe pr
nte des veines; mais si ce résultat s'étend à un trop grand nombre de
vaisseaux
, de manière à restreindre les voies circulatoires
rofondeur. La chute de la seconde escarre détermine la perforation du
vaisseau
et l'hémorragie. L'inflammation consécutive qui s
d erysipèlc phlegrnoneux, toujours à craindre lorsqu'on agit sur ces
vaisseaux
. Toutefois la proportion est inverse entre ces de
on temporaire, et, après quelques mois, l'ondulation du sang clans le
vaisseau
ne tarde pas à prouver sa perméabilité promptemen
n lieu malade, afin d'interrompre provisoirement, dans l'intérieur du
vaisseau
, la circulation qui se rétablira ultérieurement a
ant l'emploi de cordons de cuir au lieu de fil, pour ne pas couper le
vaisseau
, donne le premier exemple de l'emploi des substan
, ce caractère confirmatif est le plus précieux de tous ; mais si le
vaisseau
est trop profond pour être senti au toucher : inc
rose forme un second temps : on la fait franchement et à plat, si les
vaisseaux
sont encore éloignés ; si, au contraire, derrière
ncore éloignés ; si, au contraire, derrière elle sont situés soit les
vaisseaux
que l'on cherche ou d'autres sur le trajet de l'i
rajet de l'incision, on peut diviser un peu à côté de la ligne de ces
vaisseaux
ou, ce qui est préférable , soulever et ouvrir l'
et prendre en échange la sonde cannelée qui doit servir à dénuder le
vaisseau
. Cet instrument tenu comme une plume à écrire , é
lles se pratique facilement avec la sonde cannelée droite; mais si le
vaisseau
est profond, on prescrit de courber le bec de la
L'interruption même des battemens au-dessous , par le soulèvement du
vaisseau
, n'est pas encore un signe certain. Nous ne donno
uts et l'amener vers la surface pour s'assurer , et par la vacuité du
vaisseau
ou la cessation des battemens au-dessous, et par
oigts. 4° Dans la striction , il faut prendre garde de comprimer le
vaisseau
bien perpendiculairement en travers; si la strict
son feuillet de revêtement le long de son bord interne. La gaîne des
vaisseaux
pédieux se présente, l'artère au milieu entre ses
en dedans par un filet du nerf tibial antérieur. Inciser la gaîne des
vaisseaux
sur un pli soulevé avec la pince, dénuder l'artèr
; on évite également le tiers supérieur, à cause de la profondeur du
vaisseau
, sauf les cas de nécessité : le lieu proprement d
u l'anévrisme faux primitif, diffus ou circonscrit. L'encastrement du
vaisseau
entre des enveloppes résistantes ne permet guère
mousses ou l'extrémité des doigts d'aides intelligcns ; la gaine des
vaisseaux
doit se montrer au fond du sillon. Si elle n'est
recommencer la même manœuvre du côté opposé, de manière à tourner le
vaisseau
en arrière et à faire ressortir le bec de l'instr
courber préalablement l'extrémité de la sonde; et, pour contourner le
vaisseau
, il est plus commode de présenter l'instrument co
, d'autres prescrivent une incision curviligne suivant la courbure du
vaisseau
. Quant à la ligne de section, M. Lisfranc l'indiq
essus, comme il a été dit plus haut, pour ne pas risquer de léser les
vaisseaux
. Le faisceau vasculaire étant mis à découvert, cô
postérieur et transversal; elle n'est même pas encore rec-tiligne, ce
vaisseau
, pour s'écarter du tronc tibio-péronier son origi
la sonde cannelée et aller profondément en dehors à la recherche des
vaisseaux
. Mais cette dernière manœuvre est très difficile;
scles et le sang épanché rendent tellement difficile la recherche des
vaisseaux
au fond du sillon que c'est presque une manœuvre
et de Lyon a-t-il été obligé de couper en travers le soléaire sur les
vaisseaux
. Au reste, puisqu'aussi bien ce muscle est déjà l
eux vaut inciser tout d'abord en travers les fibres sur le trajet des
vaisseaux
. B. Incision du soléaire. Inciser, comme il a é
postérieur ; au fond du sillon inter - osseux se trouve la gaîne des
vaisseaux
renfermant l'artère entre ses deux veines. Isoler
e en haut, postérieure au milieu, et interne en bas. Au-devant de ces
vaisseaux
, à deux centimètres environ de profondeur de la p
est indéterminé , l'incision doit être assez longue pour atteindre le
vaisseau
en haut ou en bas. Dans tous les cas, le malade
continuer en glissant le bec cle la sonde sous la face postérieure du
vaisseau
pour le faire reparaître en dehors. Dans cette ma
nerveux scia tique poplité interne placé un peu en dehors de Taxe des
vaisseaux
et que l'on écarte vers le bord externe ; on isol
, le nerf tibial situé au milieu et sur la face postérieure des d eux
vaisseaux
. Dénuder la vei ne, avec le bec de la sonde, par
rne, puis sur le bord externe ; glisser entre elle et les deux autres
vaisseaux
le bec de l'aiguille de Deschamps armée de son fi
us. La ligature au tiers inférieur, très complexe vu la profondeur du
vaisseau
, son mode dencastrement et l'épaisseur des partie
cuisse pour son tiers inférieur. Le lieu reconnu, vu la profondeur du
vaisseau
inciser la peau suivant une longueur d'environ di
ière le couturier et le troisième adducteur, la position relative des
vaisseaux
est telle que le nerf crural, contenu dans une ga
vement continu, glisser la sonde sous la face profonde entre les deux
vaisseaux
, et, en amenant le bec vers soi, le guider et le
guillé et faire la ligature. Pour cette manœuvre, vu la profondeur du
vaisseau
, il est utile que le bec de la sonde soit légère
-dessous de l'arcade crurale où le muscle est externe par rapport aux
vaisseaux
,et terminant infé-rieurement au triangle d'inters
ier muscle, qui contourne la cuisse en dedans, revêt dans ce sens les
vaisseaux
qui lui sont externes et plus profonds. Dans ce t
où le couturier inflexe contourne la cuisse en dedans tandis que les
vaisseaux
s'enfoncent suivant le plan vertical, il est clai
ivant le plan vertical, il est clair cpie l'incision la plus près des
vaisseaux
doit régner sur le bord interne du couturier (Hun
essous de la fémorale profonde et de la circonflexe interne : or, ces
vaisseaux
naissant environ à cinq ou six centimètres de l'a
couche de tissu cellulaire fibreux entremêlé de ganglions et de gros
vaisseaux
lymphatiques; écarter ce tissu avec le bec de la
ans l'étendue de la plaie, plutôt que de le diviser, pour ménager les
vaisseaux
blancs. Un second plan aponévrotique se présente,
ine-saphène interne ; au-devant est le fascia-superficialis rempli de
vaisseaux
et de ganglions lymphatiques, et la peau. Rien de
hatiques, et la peau. Rien de plus facile que de trouver la ligne des
vaisseaux
. Le pouce et le médius étant appliqués sur les sa
située de quelques millimètres plus en dedans. Quant aux rapports des
vaisseaux
, l'artère est externe et un peu antérieure, la ve
le chirurgien placé en dehors du membre, pratiquer sur le trajet des
vaisseaux
, à partir d'un centimètre au-dessus du pli de faî
vec précaution les flocons graisseux et lymphatiques qui masquent'les
vaisseaux
chez les sujets obèses. ARTÈRES DU MEMBRE THORA
r les lésions traumatiques. On la pratique en liant les deux bouts du
vaisseau
dans la plaie, autant que l'on n'est pas dans la
e avec la sonde cannelée sur un pli soulevé avec la pince, dénuder le
vaisseau
dans une longueur de quatre à cinq millimètres, i
. Lis-franc de faire croiser obliquement en diagonale la direction du
vaisseau
par celle de la plaie. Mais à son tour ce procédé
ons relatives; seulement la fonction essentielle de la compression du
vaisseau
principal, pour ne pas gêner l'opérateur , est re
ns. Suivant la longueur de la plaie, se présente a nu le faisceau des
vaisseaux
et des nerfs. Abaisser alors un peu le bras et le
uille de Des-champs garnie de son fil; enfin pratiquer la ligature du
vaisseau
. 1 Vov. Anatomie topographique, région axillair
i la revêtent et de l'intrication des nerfs du plexus brachial et des
vaisseaux
secondaires dont elle est entourée, est avec la s
clavière , tronc initial dont elle est la continuation, au nombre des
vaisseaux
dont la ligature est la plus difficile. Ces consi
ur y parvenir. Le muscle petit pectoral, qui revêt en second plan les
vaisseaux
dont il traverse la direction, sert de guide et d
t de la ligature suivant les connexions normales ou accidentelles des
vaisseaux
. Ces différences combinées avec la direction de l
ue le tissu cellulaire ambiant, très lâche, permet le déplacement des
vaisseaux
en arrière. Le faisceau vasculaire se trouvant au
n travers de la plaie, au milieu du petit pectoral, se présentent les
vaisseaux
acromio-thoraciques et les rameaux des nerfs thor
-ciques supérieurs, et, un centimètre et demi plus bas, l'origine des
vaisseaux
thoraciques longs ou inférieurs. Après eux vient
Après eux vient la veine axillaire recouverte par l'entrelacement des
vaisseaux
et des nerfs déjà nommés; en dehors de la veine s
s exacte, a prévalu avec raison, la délimitation qui change le nom du
vaisseau
étant formée par l'infundibulum fibreux dégagé ,
nnelée, pour rompre et écarter le tissu cellulaire lâche qui unit les
vaisseaux
entre eux et avec le feuillet du petit pectoral.
age sur le vivant: il faut au fur et à mesure lier un grand nombre de
vaisseaux
; et quelque soin que l'on mette à absterger, le s
cipal de ce procédé est de mettre largement à découvert le sillon des
vaisseaux
: dans cette intention l'auteur prescrit, au trav
nelée , puis ramène le bras dans l'adduction et va à la recherche des
vaisseaux
. Sur le cadavre cette opération s'exécute assez f
et par la profondeur de l'artère elle-même et par le grand nombre de
vaisseaux
et de nerfs , superposés à divers plans, qui trav
e; 3° une couche de tissu cellulaire remplie par les ganglions et les
vaisseaux
lymphatiques des chapelets jugulaires externe et
ymphatiques des chapelets jugulaires externe et sous-clavier ; 4° les
vaisseaux
scapulaires supérieurs et cervico-trans-verses, q
haut et en dehors, puis rompre et écarter le tissu cellulaire et les
vaisseaux
et ganglions lymphatiques ; porter ensuite vers l
nnue guide, écarter le tissu cellulaire avec la sonde jusque sur le
vaisseau
, en se tenant en dedans des nerfs du plexus brach
tre section parallèle à la clavicule et ne parvint qu'alors à lier le
vaisseau
. Mais cette deuxième manœuvre, purement accidente
jugulaire interne en dedans, en bas les ganglions lymphatiques et les
vaisseaux
scapulaires supérieurs, en haut les vaisseaux cer
ons lymphatiques et les vaisseaux scapulaires supérieurs, en haut les
vaisseaux
cervico - transverses et le faisceau inférieur du
en rend les manœuvres difficiles sur le vivant. Aussi, pour rendre le
vaisseau
plus accessible, Dupuytren avait-il imaginé de gl
dans le sens de la plaie, côtoyée parla veine en arrière : dénuder le
vaisseau
, glisser dessous la sonde cannelée et faire la li
breuses anastomoses des artères de la face : le mieux est de lier les
vaisseaux
dans la plaie. ARTÈRE OCCIPITALE (pl. 44? %• 1
ment, qui est reçu sur l'ongle du doigt : dégager le fil, soulever le
vaisseau
et le lier. ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE (pl. l\1,
ar le bord du sterno-hyoïdien et la glande thyroïde; en haut, par les
vaisseaux
thyroïdiens supérieurs. Lieux d'élection. On pe
le coupe. Alors se présentent : au fond du sillon, la gaîne des gros
vaisseaux
; en dehors et en avant, la veine jugulaire inte
se présente à son tour, recouvrant le pneumo - gastrique. On isole le
vaisseau
et on glisse au-dessous, d'avant en arrière et de
u sterno-mastoïdien etdu faisceau qui lui lait suite ; mais comme les
vaisseaux
se trouvaient trop recouverts en avant et en deda
our retrouver le sterno-thyroïdien, au fond du sillon se trouvent les
vaisseaux
: mais la plaie n'en est pas moins bridée par le
écarter en haut et en dedans, avec le bec de la sonde, le cordon des
vaisseaux
spermatiques. On se trouve alors sur les gros vai
le cordon des vaisseaux spermatiques. On se trouve alors sur les gros
vaisseaux
iliaques externes, l'artère en dehors, la veine e
océdé nous paraît offrir trop de danger; il expose à blesser les gros
vaisseaux
, et facilite la formation de hernies en affaiblis
tuation profonde de la sous-clavière elle-même, sa proximité des gros
vaisseaux
et du cœur, le grand nombre des nerfs et de vaiss
ximité des gros vaisseaux et du cœur, le grand nombre des nerfs et de
vaisseaux
secondaires situés au-devant, l'encastrement de l
que soit le point sur lequel on en fait la ligature dans le cas où ce
vaisseau
lui-même est malade, on ne peut pas s éloigner as
; et en bas, dans l'homme , le canal déférent croise la direction des
vaisseaux
, et le cordon spermatique s'applique à leur côté
e l'anneau inguinal interne, en dedans et en bas duquel sont les gros
vaisseaux
derrière le fascia transversalis. Ouvrir le fasci
terne, et , parvenu dans le canal inguinal en soulevaut le cordon des
vaisseaux
spermatiques, de remonter vers l'orifice inguinal
e pouce et l'incli- cateur. S'assurer au toucher de la position des
vaisseaux
; reconnaître avec l'indicateur la bifurcation de
ce point, remplaçant l'indicateur droit par le gauche qui contient le
vaisseau
, glisser dessous l'aiguille de Deschamps et Grœfé
r les ligamens antérieurs du rachis'dont la séparent des ganglions et
vaisseaux
lymphatiques et les origines des artères et des v
ngle le péritoine et. le feuillet aponévrotique sur le côté gauche du
vaisseau
, par de légers mouvemens de va-ct-vient écarta le
e que l'on pourrait s'aider avec avantage de la sonde pour dénuder le
vaisseau
. Quant au lieu de la ligature, sir A. Cooper l'a
es préceptes à observer. L'objet que l'on se propose étant de lier le
vaisseau
dans le lieu môme de la lésion, si la plaie est d
lésion artérielle étant très profonde, on est en doute sur celui des
vaisseaux
qui est lésé, c'est le cas de faire, au-dessus, l
S. Les anévrismes ou les poches sanguines formées sur le trajet des
vaisseaux
sont de deux sortes : l'anévrisme variqueux ou le
artériel et peu à peu, en se rapprochant, parviennent à oblitérer le
vaisseau
(Scarpa); ou ces concrétions, après avoir rempli
orable au travail de solidification de la tumeur et d'oblitération du
vaisseau
. Toutefois employée avec modération et réduite
its, et en fait la section; ouvre et vide le kyste, lie de nouveau le
vaisseau
au-dessus et au-dessous et le coupe une seconde f
ur glisser les fils d'attente, consiste à soulever, à chaque bout, le
vaisseau
avec une sonde de femme introduite par son orific
n presse-artère. L'intention de l'auteur était d'aplatir peu à peu le
vaisseau
par une compression latérale temporaire, au lieu
ondition de la ligature devait être la striction et l'étranglement du
vaisseau
, sur le cercle le plus rétréci possible, avec sec
age de ce mode de compression est de maintenir accolées les parois du
vaisseau
sans frottement ni déchirure de leurs tuniques, e
la disposition du sujet. Pour retirer la ligature sans opérer sur le
vaisseau
des tiraillemens qui pourraient rompre l'adhérenc
omme il l'entendait, pour la ligature simple, où le nœud porte sur le
vaisseau
, nous paraît dans ce cas-ci plus spécieuse que so
u large, afin de ne donner lieu qu'à une inflammation sans section du
vaisseau
. Nous croyons donc que le lien de Scarpa doit êtr
gature en deux points, poser dans l'intervalle les fils au travers du
vaisseau
et les fixer sur les nœuds, constitue toute une s
plus grande étendue. Double ligature avec section intermédiaire du
vaisseau
. On sait que les anciens, Cclse, Galien, Aétius,
ar la striction, tiraillerait sur la ligature et tendrait à rompre le
vaisseau
. Des faits nombreux, dus à MM. Abcrnethy, Black,
es, et à leur tète Scarpa, la repoussent et pensent que la section du
vaisseau
facilite la chute des ligatures et occasionne des
aller à la recherche de l'orifice d'abouchement du bout supérieur du
vaisseau
et y introduire, pour le soulever, le bout d'une
cet arc métallique comme d'un levier pour tordre six ou huit fois le
vaisseau
sur lui-même. L'oblitération, dit-on, aurait eu l
r sur une épingle par la suture entortillée de manière à renfermer le
vaisseau
entre le fil métallique et les anses du fil. Ce m
le fut traversée par une épingle laissée à demeure. L'oblitération du
vaisseau
en fut le résultat. Répétée en 1829 et i83o par M
inflammations celluleuses (flegmons et abcès), et les dilatations de
vaisseaux
(anévrismes, varices), qui sont traitées dans leu
'on serre brusquement et avec force, pour étrangler immédiatement les
vaisseaux
et les tissus vivans. — Excision. Saisir d'une ma
y servir dans l'acide nitrique. Dans les cas où l'on suppose que des
vaisseaux
considérables se rendent à la tumeur on a proposé
préférable de terminer de suite l'ablation sauf à lier ou tordre les
vaisseaux
. 2° Extirpation, (a) Si la tumeur est plate et
n bistouri ou d'une spatule, et, pour ne pas couper prématurément les
vaisseaux
, ne se ser- t. vi. vir du tranchant qu'autant
, en faire la section et pratiquer, s'il y a lieu, la ligature de ses
vaisseaux
ou de tous autres assez considérables qui auraien
e provoquer, par le contact d'un corps étranger, une inflammation des
vaisseaux
qui en amène l'oblitération. On y parvient par
seur, en ayant soin, pendant le cours de cette manœuvre, d'ouvrir les
vaisseaux
dilatés clans les points où ils offrent le plus d
canique de la compression im médiate, une inflammation en masse des
vaisseaux
exsangues qui soit suivie de leur oblitération. P
jet de l'auteur, en attaquant un tissu composé par une intrication de
vaisseaux
ou d'anses anastomotiques, est de le morceler et
le remplissant exactement son trajet, et plus tard l'oblitération des
vaisseaux
prévient toute hémorragie. lia tumeur ainsi étr
ion s'y établit, le pus change de nature, la tumeur s'affaisse et ses
vaisseaux
oblitérés se transforment en un magma ccllulo-fib
par la ligature après dissection des artères qui leur fournissent des
vaisseaux
. Cependant cette méthode, si judicieuse en théori
, manque complètement son effet à la pratique. Ce n'est pas assez des
vaisseaux
que l'on prévoit ou que l'on reconnaît, il s'en t
it clans les chairs, sans trop s'inquiéter des rameaux nerveux et des
vaisseaux
sanguins secondaires. Au contraire on avance avec
r quand on se trouve dans le voisinage des troncs nerveux et des gros
vaisseaux
, jusqu'à ce que, certain de leur position, on pui
u tronc artériel principal, on se hâte de terminer sans s'occuper des
vaisseaux
divisés dont on fera la ligature à la fin en une
erminée, on absterge la plaie et on procède à la ligature de tous les
vaisseaux
. Quand la tumeur extraite est un squirre ou un ca
du lieu fracturé, au plus près de l'os et sur le côté opposé aux gros
vaisseaux
(pl. 49, fig- 4)? d'après les préceptes généraux
occuper; plus tard elles seront soudées par un cal. 3° Lésions des
vaisseaux
et des nerf. Ces accidens réclament, quant aux va
Lésions des vaisseaux et des nerf. Ces accidens réclament, quant aux
vaisseaux
, l'emploi des divers moyens hémostatiques ; et qu
fragmens. On doit en outre avoir soin de s'écarter du trajet des gros
vaisseaux
et de choisir pour points d'entrée et desortie de
oscopique, la nécrose nous a paru caractérisée par l'oblitération des
vaisseaux
sanguins des os; et la carie, au contraire, par l
ar le développement exagéré et le développement anévTismatique de ces
vaisseaux
, dont l'effet, au fur et à mesure, est, avec la p
les articulations orbiculaircs l'incision sera placée en dehors, les
vaisseaux
et les nerfs étant généralement situés à la parti
incisions latérales, l'une interne, l'autre externe, pour éviter les
vaisseaux
et les nerfs, toujours placés en avant ou en arri
s parties molles au milieu desquelles il faudra trouver et isoler les
vaisseaux
et les nerfs qu'il est si important de ne pas lés
t; à cause de la difficulté de ménager le grand nombre de tendons, de
vaisseaux
et de nerfs qui environnent l'articulation de tou
énuder fos avec le bistouri en écartant les tendons et en évitant les
vaisseaux
. L'opération à ce point, glisser au-dessous clu r
nateur en déprimant à mesure les tendons pour éviter ces organes, les
vaisseaux
et les nerfs radiaux et cubitaux. Une nouvelle co
térales dont les bords sont écartés par des aides afin de ménager les
vaisseaux
et nerfs importans. Nous pensons que la difficu
quée clans un lieu diamétralement opposé à celui qu'occupent les gros
vaisseaux
. Ce premier temps achevé, le lambeau est relevé p
des muscles qui forment les bords du creux axil-laire et de tous les
vaisseaux
et nerfs importans. Les parties ainsi protégées e
rouvent pratiquées le plus loin possible du lieu qu'occupent les gros
vaisseaux
, et par conséquent sans aucun danger de les bless
lleuse qu'on s'approche davantage du milieu de l'os, c'est-à-dire des
vaisseaux
et nerfs sous-claviers. 2° Lorsque l'hémorragie e
portion malade, en conservant ainsi l'articulation du bras. Tous les
vaisseaux
furent liés, le fond de l'aisselle fut tamponné,
tant dénudé et isolé convenablement, avec la précaution déménager les
vaisseaux
inter-osseux et les tendons extenseurs, qui seron
tendons qui environnent l'articulation tibio-tarsienne ainsi que les
vaisseaux
pédieux. Les exemples d'ablation de l'astragale l
et relevé, isoler le tibia en avant et en arrière des muscles et des
vaisseaux
qui l'entourent. La dénudation une fois achevée d
le bistouri rase la face postérieure de l'os de manière à éviter les
vaisseaux
et nerfs péroniers. Parvenu en arrière et en avan
posés qui limitent la maladie. Si on a rasé bien exactement l'os, les
vaisseaux
péroniers ne doivent pas être atteints; et la pla
rf tibial antérieur, qui contourne en dehors le col du péroné, et les
vaisseaux
tibiaux antérieurs, qui sont situés immédiatement
r un couteau à plat derrière le fémur de manière à ne pas blesser les
vaisseaux
; isoler l'os dans une étendue convenable, et rem
. Ce premier temps achevé; si la tête du tibia est malade, isoler les
vaisseaux
en arrière et procéder de la même manière à la ré
ant exactement l'os et en usant de précaution pour ne point léser les
vaisseaux
poplités. Une plaque protectrice de bois ou de cu
igamens postérieurs avec la pointe du couteau pour ne pas blesser les
vaisseaux
situés immédiatement derrière l'articulation. Enf
aie en enlevant toutes les parties altérées qui auraient échappé. Les
vaisseaux
des parties molles sont tordus ou liés; si l'artè
tant de tendre et d'attirer fortement l'os, afin d'éloigner ainsi les
vaisseaux
de la branche de la mâchoire; néanmoins cette opé
moins cette opération est longue et difficile : la grande quantité de
vaisseaux
qu'il faut lier pendant qu'on opère et la crainte
au pas et complète la méthode de Celse, en y ajoutant la ligature des
vaisseaux
. Dans le même temps, Héliodore expose toute une t
veut qu'on coupe en dernier lieu les parties qui contiennent les gros
vaisseaux
. Galien commente Hippocrate, et s'en tient à ses
s doivent être autant que possible ménagées en avant. L'abondance des
vaisseaux
rend ordinairement la cicatrisation très prompte;
donc spécialement favorisée par le tissu cellulaire et les gaînes des
vaisseaux
. Les intersections fibreuses modèrent la rétracti
partie moyenne il faut lier aussi la collatérale externe. Les autres
vaisseaux
ne sont plus que des artérioles musculaires que l
e d'un tissu cellulaire lâche mais abondant, et assez bien pourvue de
vaisseaux
, recouvre immédiatement les tendons qui reposent
se pendant l'amputation fût ensuite étendue afin de faire saillir les
vaisseaux
pour les mieux lier. On trouve dans Fabrice de Hi
eux, afin qu'il n'intéresse pas de nouveau les muscles et surtout les
vaisseaux
; diviser d'abord, verticalement, la membrane inte
u aréolaire des os, en grande partie spongieux, et de la grosseur des
vaisseaux
ouverts; aussi, comme une conséquence presque iné
réussît pas aussi bien pour les petites artères. Quant au nombre des
vaisseaux
à la cuisse, au tiers inférieur on a l'artère fém
s, on réserve en général, pour le dernier celui qui contient les gros
vaisseaux
; on évite ainsi au malade une grande perte de sa
is digito-palmaires diviser d'un seul coup la peau, l'aponévrose, les
vaisseaux
et nerfs et les tendons fléchisseurs de manière à
, et terminer par une dernière incision transversale qui comprend les
vaisseaux
et réunit les deux extrémités de la première en f
er avec une aiguille droite une ligature médiate autour du paquet des
vaisseaux
: enfin tailler, aux dépens du contour interne et
à quatre pouces), dans lequel se trouvent compris en dedans les gros
vaisseaux
et les nerfs. Procédé de Garengeot. Il diffère
irs, peu abondantes et continues partout au contour, sont remplies de
vaisseaux
qui n'ont qu'à s'inosculer au contact, dès que le
, traverser l'articulation et terminer en coupant d'un seul trait les
vaisseaux
, les nerfs et les muscles du jarret perpendiculai
ns latéraux, et en arrière les faisceaux des muscles jumeaux avec les
vaisseaux
et les nerfs. 4° Enfui entrer dans l'articulation
que, et sur le côté interne de laquelle sont situés verticalement les
vaisseaux
fémoraux. Cette tête déborde à l'extérieur la cav
, le chirurgien commence par une incision verticale sur le trajet des
vaisseaux
, pour lier l'artère sur un corps étranger, et fai
ANATOMIE DE COMMUNICATION INTERORGANIQUE. Distribution générale des
vaisseaux
et des nerfs, 23, 24. —Cavité thoracique, 24. — C
facial, nerf des membres, 138. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES
VAISSEAUX
. Pages 139—186. Ventouses simples, 139. — Bde
F. Épine de l'omoplate. G. Tête de l'humérus dans sa capsule. 4°
VAISSEAUX
ET NERFS. 1. Artère carotide primitive. 2. Ve
S. 1. Artère carotide primitive. 2. Veine jugulaire interne. 3.
Vaisseaux
thyroïdiens supérieurs. 4. Veine thyroïdienne m
ale). 14. Nerf de la septième paire crânienne (portion dure). 15.
Vaisseaux
maxillaires internes. 16. Vaisseaux et nerfs de
crânienne (portion dure). 15. Vaisseaux maxillaires internes. 16.
Vaisseaux
et nerfs dentaires inférieurs. 17. Vaisseaux fa
laires internes. 16. Vaisseaux et nerfs dentaires inférieurs. 17.
Vaisseaux
faciaux. 18. Vaisseaux temporaux. 19. Artère
isseaux et nerfs dentaires inférieurs. 17. Vaisseaux faciaux. 18.
Vaisseaux
temporaux. 19. Artère sous-clavière. 20. Vein
servé ce plexus pour montrer les rapports des nerfs, séparés des gros
vaisseaux
par l'aponévrose prévertébrale. On a négligé les
t eu ni origine, ni soutien, ni aboutissant. 10. Plexus brachial et
vaisseaux
axillaires, à leur passage sur la première côte (
Pneumo-gastrique. Ces nerfs sont coupés à leur sortie du crâne. 16.
Vaisseaux
sous-claviers, à leur passage sur la première côt
6 Pl. 2. ANATOMIE CHIRURGICALE. PLANS MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DU PÉRINÉE. ADULTE, GRANDEUR NATUREL
rineal du grand fessier est échancré pour laisser voir la eoudure des
vaisseaux
honteux internes entre les deux ligamens sacro-sc
onc de la veine honteuse interne. 6. Branches caverneuses des mêmes
vaisseaux
. 7. Leurs branches périnéales transversales.
arties sont seulement revêtues par leurs aponévroses d'enveloppe. Les
vaisseaux
et canaux de toutes espèces sont conservés. Dans
erte par le péritoine. E. Relief du canal déférent. F. Relief des
vaisseaux
iliaques externes. G. Relief des vaisseaux sper
éférent. F. Relief des vaisseaux iliaques externes. G. Relief des
vaisseaux
spermatiques. H. Cul-de-sac péritonéal de l'ann
i,k. Artère et veine iliaques externes. 1. Artère hypogastrique. m.
Vaisseaux
spermatiques. n, n. Branches du plexus lombaire.
deux piliers du fascia transversalis, et dans lequel s'insinuent les
vaisseaux
spermatiques et le canal déférent. C'est par cet
e que s'insinuent les viscères dans la hernie inguinale externe. s.
Vaisseaux
épigastriques , intermédiaires par leur direction
PL. 4. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DES RÉGIONS LOMBAIRE, FESSIÈRE ET FÉ
es postérieures des nerfs lombaires. 9.9. Branches postérieures des
vaisseaux
lombaires, artères et veines. B. Extrémité post
ure de la loge du grand oblique traversée par des ramifications des
vaisseaux
récurrens iliaques, et des fila-mens nerveux lomb
. Loge du grand fessier inférieur (extenseur de la cuisse.) 19. Ses
vaisseaux
et ses nerfs fournis par les troncs ischiatiques.
grands fessiers. Côté droit. G. Loge du moyen fessier avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. H. Loge du pyramidal avec ses vai
sier avec ses vaisseaux et ses nerfs. H. Loge du pyramidal avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. I K. Loges des jumeaux supérieur
ses nerfs. I K. Loges des jumeaux supérieur et inférieur avec leurs
vaisseaux
et leurs nerfs. L. Loge du carré crural avec se
ec leurs vaisseaux et leurs nerfs. L. Loge du carré crural avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. 20. Nerfs grand et petit sciatiqu
URE. Côté gauche. M. Loge de la longue portion du biceps avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. Au fond, en dedans, on aperçoit e
sciatique au-devant de la loge. N. Loge du demi-tendineux avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. O. Loge du demi-membraneux. P. Ap
qu'il fournit au grana adducteur. 23. Nerf petit sciatique. 24.
Vaisseaux
et nerfs provenant des obturateurs. ; 25. Branc
ux et nerfs provenant des obturateurs. ; 25. Branches terminale des
vaisseaux
circonflexes internes. 36. Vaisseaux fémoraux pro
. ; 25. Branches terminale des vaisseaux circonflexes internes. 36.
Vaisseaux
fémoraux profonds. 27. Branches perforantes. S.
Pl.5. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONEVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DU COU ET DE L'AISSELLE. ADULTE, GRAND
jugulaire externe (2). Dans l'intérieur de la loge se distribuent les
vaisseaux
et les nerfs propres du muscle, et derrière son f
ide primitive. 4. Veine jugulaire interne. Outre les origines des
vaisseaux
thyroïdiens, de nombreux vaisseaux lymphatiques e
interne. Outre les origines des vaisseaux thyroïdiens, de nombreux
vaisseaux
lymphatiques et des nerfs. AISSELLE, le bras
avant, du grand rond et du grand dorsal en arrière ; 2° la région des
vaisseaux
axillaires , aperçus derrière la gaîne des muscle
e par le feuillet de dédoublement du grand pectoral, de la région des
vaisseaux
axillaires. Le creux de l'aisselle est traversé p
des vaisseaux axillaires. Le creux de l'aisselle est traversé par les
vaisseaux
scapulaires inférieurs 6, les vaisseaux tho-raciq
aisselle est traversé par les vaisseaux scapulaires inférieurs 6, les
vaisseaux
tho-raciques longs 7, et par les branches inférie
nent. G. Extrémité supérieure de la loge du grand dorsal avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. H. Feuillet de la loge du grand d
ns. On le suit de l'œil supérieurement où il passe au-devant des gros
vaisseaux
et des nerfs. Il contracte, en arrière, des adhér
dons du grand dorsal et du grand pectoral, adhère au pourtour sur les
vaisseaux
sortans, et limite le fond de l'aisselle en haut.
aquelle on a ouvert celle du petit pectoral, de manière à montrer les
vaisseaux
sous-jacens. Le deltoïde est coupé avant ses atta
branche au médian. 11. L'une des racines du nerf médian. 12, 12.
Vaisseaux
acromio-thoraciques, avec les nerfs qui se distri
onévrotique. 11 adhère, par un contour en infundibulum, avec les gros
vaisseaux
. 3° Région brachiale interne supérieure. M. P
ont le muscle existe aux deux extrémités. Dans cette loge rampent ses
vaisseaux
et ses nerfs propres, et au fond se voit en trans
19. Nerf cutané interne. 20. Nerf cubital. Le nerf radial et les
vaisseaux
collatéraux externes ne sont pas visibles dans la
. Jacob. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS. DES RÉGIONS INGUINALE ET FEMORALE A
térieur est enlevé pour montrer l'intérieur du canal. 6. Cordon des
vaisseaux
spermatiques renfermé dans le cylindre fibreux
r interne de l'anneau. 10. Portion libre sous-cutanée du cordon des
vaisseaux
spermatiques enveloppée par le dartos. B. Aponé
égion fémorale. E. Feuillet aponévrotique qui recouvre en avant les
vaisseaux
fémoraux dont la saillie se prononce à la surface
ose fémorale (11) et le feuillet fibreux complémentaire qui revêt les
vaisseaux
(A). 14. 14. Ganglions lymphatiques inguinaux e
enveloppe. G. Gaîne fibro-celluleuse du muscle couturier. 16. 16.
Vaisseaux
fémoraux accompagnés de leur nerf satellite, et
couturier dont ils coupent la direction en ligne diagonale. 17. 17.
Vaisseaux
de nutrition du couturier. 18. Long rameau nerv
eau nerveux cutané. EL Loge musculaire du fascia-lata garnie de ses
vaisseaux
et de ses nerfs. I. Loge musculaire du droit an
I. Loge musculaire du droit antérieur de la cuisse , garnie de ses
vaisseaux
et de ses nerfs. K. Portion de l'aponévrose fémor
Bernard ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DES RÉGIONS INGUINALE, ABDOMINALE IN
irigne , de manière à montrer à revers l'infundibulum de la gaîne des
vaisseaux
fémoraux, les bandelettes de l'aponévrose du gran
segment antérieur de l'arcade crurale sous lequel passent les gros
vaisseaux
. 2. Ligament de Gimbernat, qui n'est autre que
se compose dans le segment antérieur des adhérences de la gaîne des
vaisseaux
, avec le contour fibreux de l'anneau crural. B.
égager la loge du sterno-pubien. 5. Pilier externe. 6. Cordon des
vaisseaux
spermatiques, coupé à sa sortie de l'an- neau i
laire tapissée par le feuillet fibro-celluleux sus-péritonéal. 9.
Vaisseaux
épigastriques. 10. Branches antérieures des vai
itonéal. 9. Vaisseaux épigastriques. 10. Branches antérieures des
vaisseaux
lombaires. 11, 11. Filamens antérieurs des nerf
t formé par le feuillet celluleux du transverse , et parcouru par les
vaisseaux
récurrens iliaques (17) et par les branches antér
ur l'aponévrose d'enveloppe du psoas iliaque. Plus bas , la gaîne des
vaisseaux
s'enfonce entre celles des adducteurs et le vaste
tine. 19. Attache pubienne conservée. 20. Branche du pubis. 21.
Vaisseaux
de nutrition dégagés des vaisseaux fémoraux. 22
vée. 20. Branche du pubis. 21. Vaisseaux de nutrition dégagés des
vaisseaux
fémoraux. 22. Vaisseaux et nerf obturateurs vus
s. 21. Vaisseaux de nutrition dégagés des vaisseaux fémoraux. 22.
Vaisseaux
et nerf obturateurs vus en transparence derrière
érieur de la loge. J. Loge musculaire du premier adducteur. 23. 23.
Vaisseaux
de nutrition dégagés de l'artère fémorale. 24.
upée dans le point où elle contourne la saillie de l'iliaque. 27.
Vaisseaux
de nutrition fournis par les vaisseaux fémoraux ,
saillie de l'iliaque. 27. Vaisseaux de nutrition fournis par les
vaisseaux
fémoraux , et accompagnés d'un filament du nerf
aisseaux fémoraux , et accompagnés d'un filament du nerf crural, et
vaisseaux
musculaires fournis par les collatéraux externes.
res fournis par les collatéraux externes. On voit en transparence les
vaisseaux
collatéraux externes et leurs nerfs satellites. N
x externes et leurs nerfs satellites. N. Loge du fascia-lata avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. Tome 6 Pl.6. Dessiné d'après na
H. Jacob ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DU MEMBRE THORACIQUE. Figure i. — Pl
ES CHIFFRES. FIGURE 1. A. Muscle deltoïde dans sa gaîne, avec ses
vaisseaux
et ses nerfs. B. Section du muscle grand pector
xillaire. 3. Veine axillaire. Bras. C. Loge du biceps, avec ses
vaisseaux
et ses nerfs ; au contour se voient : 1° En d
r se voient : 1° En dedans : 4. Continuation du nerf médian. 5.
Vaisseaux
numéraux dans leur gaîne. 6. Nerf cutané intern
édiane basilique, sous laquelle croisent le nerf médian et les gros
vaisseaux
. 12. Nerf cutané interne. 13. Veine cubitale
le feuillet séreux se voient avec évidence en transparence : 14.
Vaisseaux
cubitaux. 15. Nerf cubital. 16. Continuation
ubitaux. 15. Nerf cubital. 16. Continuation du nerf médian. 17.
Vaisseaux
médians de l'avant-bras. E. Loge du grand supin
x. Elle est séparée de la précédente par : 18. Nerf radial. 19.
Vaisseaux
radiaux. Main. La figure montre la couche sup
étant enlevée. 20. Arcade vasculaire superficielle fournie par les
vaisseaux
cu- bitaux. 21. Filamens du nerf radial. 22
Nerf médian. 23. Nerf cubital. On suit les branches digitales des
vaisseaux
et des nerfs, au-devant des tendons fléchisseurs
ong des bords des doigts. FIGURE 2. F. Loge du deltoïde, avec les
vaisseaux
et nerfs circonflexes. Bras. G. Loge du trice
êtus par les aponévroses externe et interne. 24. Nerf radial. 25.
Vaisseaux
collatéraux externes. 26. Nerf cubital. Avant
bras. H. Loge de l'anconé. I. Loge du cubital postérieur avec ses
vaisseaux
; on voit en trans- parence le nerf cubital. K
érieure de la loge du long supinateur et du premier radial avec leurs
vaisseaux
. L, M, N. Loges de l'extenseur commun des doigt
-mastoïdien. Dans le triangle derrière ce muscle se voient les gros
vaisseaux
, artère carotide, veine jugulaire interne et le n
complexus. 12. Demi-épineux du cou et transversairc épineux, 13.
Vaisseaux
cervicaux profonds. 14-. Angulaire de l'omoplate.
ial. E. Extrémité supérieure de la loge du brachial antérieur. 1.
Vaisseaux
numéraux, l'artère, les deux veines et le nerf mé
Vaisseaux numéraux, l'artère, les deux veines et le nerf médian. 2.
Vaisseaux
collatéraux externes, artères, veines, et le nerf
ge du rond pronateur. 5. Loge du long fléchisseur superficiel. 6.
Vaisseaux
et nerf médian. 7. Loge du long fléchisseur pro
t nerf médian. 7. Loge du long fléchisseur profond des doigts. 8.
Vaisseaux
radiaux. 9. Nerf radial. 10. Vaisseaux intero
r profond des doigts. 8. Vaisseaux radiaux. 9. Nerf radial. 10.
Vaisseaux
interosseux antérieurs. 11. Loge du court supin
eur. 12. Loge du premier radial. 13. Loge du second radial. 14.
Vaisseaux
cubitaux et nerf cubital. 15. Loge de l'extense
n des doigts. 16. Loge de l'extenseur propre de l'indicateur. 17.
Vaisseaux
interosseux postérieurs. 18. Loge de l'extenseu
du cu- bital antérieur. C. Loge du fléchisseur superficiel. 4.
Vaisseaux
radiaux et nerf radial. 5. Vaisseaux cubitaux e
fléchisseur superficiel. 4. Vaisseaux radiaux et nerf radial. 5.
Vaisseaux
cubitaux et nerf cubital. D. Loge du long fléch
antibrachiale. De chaque côté du ligament interosseux se voient les
vaisseaux
antérieurs et postérieurs. FIGURE 5. A. Surfa
ficiels et profonds. 6. Tendon du long fléchisseur du pouce. 7.
Vaisseaux
cubitaux. 8. Nerf médian. 9. Tendons des long
seur propre du petit doigt. 14. Tendon du cubital postérieur. 15.
Vaisseaux
radiaux. 16. Nerf radial. 17. Nerf cubital.
dian. 9. Nerf radial. 10. Nerf cubital. IL Branches digitales des
vaisseaux
superficiels. 12. Vaisseaux interosseux antérie
rf cubital. IL Branches digitales des vaisseaux superficiels. 12.
Vaisseaux
interosseux antérieurs. 13. Vaisseaux interosse
vaisseaux superficiels. 12. Vaisseaux interosseux antérieurs. 13.
Vaisseaux
interosseux postérieurs. 14. Veines dorsales de
et Frey. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DE LA CUISSE ET DU BASSIN, VUS PAR LE
N DES LETTRES ET DES CHIFFRES. CUISSE. A. Loge du couturier. 1,1.
Vaisseaux
sanguins. 2. 2. Filets nerveux fournis par le n
urier. B. Loge du droit antérieur de la cuisse, vue au profil. 4.
Vaisseaux
sanguins fournis par les collatéraux externes.
f crural. C. Extrémité inférieure de la loge du droit interne. 6.
Vaisseaux
provenant des collatéraux internes de la cuisse.
r adducteur, dans laquelle on voit saillir en haut le pectine. 8.
Vaisseaux
sanguins provenant les uns des vaisseaux fémoraux
r en haut le pectine. 8. Vaisseaux sanguins provenant les uns des
vaisseaux
fémoraux, les autres des circonflexes internes.
erveux émanés du nerf obturateur. E. Loge du petit adducteur. 10.
Vaisseaux
sanguins fournis par les vaisseaux circonflexes e
E. Loge du petit adducteur. 10. Vaisseaux sanguins fournis par les
vaisseaux
circonflexes et ob^ turateurs. 11. Filamens n
rveux dégagés du nerf obturateur. F. Loge du grand adducteur. 12.
Vaisseaux
sanguins fournis par les branches internes des fé
uturier. H. Loge du demi-membraneux. Le muscle coupé en haut. 15.
Vaisseaux
sanguins fournis par les perforans. 16. Filamen
amens nerveux émanés des sciatiques» I. Loge du demi-tendineux. 17.
Vaisseaux
sanguins fournis par les perforans. 18. Filamen
Demi-membraneux; D. Demi-tendineux. K. Loge du jumeau interne. 19.
Vaisseaux
sanguins. 20. Nerfs. L. Extrémité supérieure
20. Nerfs. L. Extrémité supérieure de la loge du soléaire» 21.
Vaisseaux
tibio-poplités. 22. Nerf sciatique poplité inte
des deux grands fessiers supérieur et inférieur vues ou profil. 23.
Vaisseaux
sanguins, provenant des vaisseaux et nerfs fessie
et inférieur vues ou profil. 23. Vaisseaux sanguins, provenant des
vaisseaux
et nerfs fessiers. 24. Vaisseaux sanguins et fi
Vaisseaux sanguins, provenant des vaisseaux et nerfs fessiers. 24.
Vaisseaux
sanguins et filamens nerveux provenant des vaisse
fessiers. 24. Vaisseaux sanguins et filamens nerveux provenant des
vaisseaux
et nerfs sciatiques. R. Loge de l'obturateur in
isseaux et nerfs sciatiques. R. Loge de l'obturateur interne. 25.
Vaisseaux
iliaques externes. 26. Branches inférieures du
iaques externes. 26. Branches inférieures du plexus lombaire. 27.
Vaisseaux
et nerf obturateurs. 28. Vaisseaux hypogastriqu
ieures du plexus lombaire. 27. Vaisseaux et nerf obturateurs. 28.
Vaisseaux
hypogastriques avec leurs divisions. 29. Nerfs
et Frey. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES,
VAISSEAUX
ET NERFS DE LA JAMBE ET DU PIED. ADULTE, DEMI
de deux pouces. 1. Trou du ligament interosseux qui donne issue aux
vaisseaux
tibiaux antérieurs. 2. Vaisseaux et nerfs tib
interosseux qui donne issue aux vaisseaux tibiaux antérieurs. 2.
Vaisseaux
et nerfs tibiaux antérieurs. B. Grande loge des
atique poplité externe. 4. 4. Branches vasculaires fournies par les
vaisseaux
tibiaux anté- rieurs. 5. 5. Branches musculai
tibiaux anté- rieurs. 5. 5. Branches musculaires fournies par les
vaisseaux
péroniers. C. Loge dusoléaire vue à la partie s
la loge du soléaire au même point de vue. G. Loge du pédieux. 6.
Vaisseaux
pédieux avec leurs divisions sus-tarsiennes et su
u demi-membraneux. 1. Artère poplitée. 2. Veine poplitée. 3. 4.
Vaisseaux
articulaires supérieurs, externes et internes. 5,
3. 4. Vaisseaux articulaires supérieurs, externes et internes. 5, 6.
Vaisseaux
articulaires inférieurs, externes et internes.
, 6. Vaisseaux articulaires inférieurs, externes et internes. 7. 7.
Vaisseaux
des jumeaux. 8. Origine des vaisseaux tibiaux a
externes et internes. 7. 7. Vaisseaux des jumeaux. 8. Origine des
vaisseaux
tibiaux antérieurs. 9. Grand nerf sciatique.
nde loge aponévrotique du soléaire; on y voit en transparence : 12.
Vaisseaux
et nerfs tibiaux postérieurs, avec les branches q
nerfs tibiaux postérieurs, avec les branches qui en naissent. 13.
Vaisseaux
et nerfs péroniers avec les branches qui en naiss
re, les deux feuillets musculaires étant enlevés sur la figure. 14.
Vaisseaux
péroniers vus à découvert au fond de leur sillon.
. A la partie inférieure de la jambe se voient : 1° En dedans : 15.
Vaisseaux
et nerfs tibiaux antérieurs, montrés à découver
ducteur du gros orteil. U. Loge de l'abducteur du petit orteil. 17.
Vaisseaux
et nerfs plantaires internes. 18. Vaisseaux et
du petit orteil. 17. Vaisseaux et nerfs plantaires internes. 18.
Vaisseaux
et nerfs plantaires externes. Tome 6. Pl. 12 .
l. B. Vaisseaux fémoraux. Artères, veines et nerf satellites. 16.
Vaisseaux
fémoraux profonds. 17. Grand nerf sciatique.
. 11, 11, 11. Contour de l'aponévrose d'enveloppe de la jambe. C.
Vaisseaux
tibiaux antérieurs. Artère, veines et nerf tibial
aux tibiaux antérieurs. Artère, veines et nerf tibial antérieur. D;
Vaisseaux
tibiaux postérieurs. Auprès est le nerf tibial de
1. Tendon du court péronier latéral. 12. Aponévrose plantaire. a.
Vaisseaux
pédieux. b. Vaisseaux et nerfs plantaires inter
ier latéral. 12. Aponévrose plantaire. a. Vaisseaux pédieux. b.
Vaisseaux
et nerfs plantaires internes. c. Vaisseaux et n
Vaisseaux pédieux. b. Vaisseaux et nerfs plantaires internes. c.
Vaisseaux
et nerfs plantaires externes. FIGURE 4. A, B,
es interosseux dorsaux. 12. Loges des interosseux plantaires. a, a.
Vaisseaux
interosseux dorsaux. b, b. Vaisseaux interosseu
nterosseux plantaires. a, a. Vaisseaux interosseux dorsaux. b, b.
Vaisseaux
interosseux plantaires. Tome 6 Pl. 13. N. H
es derniers temps une nouvelle application pour isoler el dénuder les
vaisseaux
dans les ligatures. La plaque terminale, qui sert
articulaires et épineuses des vertèbres, espace où il n'existe aucun
vaisseau
volumineux. La pelotte mobile, étroite et d'une h
s d'un côté du cerveau, il ne serait pas nécessaire que le calibre du
vaisseau
fût complètement intercepté , une diminution port
a été donné par l'éditeur deJ. L. Petit ; c'est de faire comprimer le
vaisseau
par la pelotte d'opposition, qui n'étant point co
a saignée, pour ne point blesser les nerfs, les lymphatiques et les
vaisseaux
profonds. 2° Vaisseaux lymphatiques. (6) Fig. 2.
t blesser les nerfs, les lymphatiques et les vaisseaux profonds. 2°
Vaisseaux
lymphatiques. (6) Fig. 2. Groupe principal des va
profonds. 2° Vaisseaux lymphatiques. (6) Fig. 2. Groupe principal des
vaisseaux
lymphatiques du membre thoracique. 3° Nerfs. (7
utané interne; (9), fig. 2 et 3, Filet cutané du nerf cubital. 4°
Vaisseaux
profonds. Fig. 3. (10) Artère numérale : (11) Vei
veine interne du pied (2). Le pouce gauche de l'opérateur (b) fixe le
vaisseau
sur la malléole pour l'empêcher de rouler ; les d
ette, en travers, sur le trajet de l'artère. La situation variable du
vaisseau
fait que l'on peut manquer souvent à le trouver s
de la conque et de l'antitragus, on est toujours certain de couper le
vaisseau
en travers ; et le plan solide formé par la surfa
à sa réplétion, tandis que de l'autre main il a fait la ponction du.
vaisseau
. (D ET Da) SAIGNÉE DE LA VEINE CÉPHALIQUE. Da
après nature par N.H. Jacob. OPERATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS. ADULTE, DEMI - NATURE. OPÉRATIONS Q
e sa- phène interne. Il a pour objet le rapprochement des parois du
vaisseau
par la compression médiate sur une aiguille, avec
4. Procédé de Béclard de ligature avec excision d'une portion du
vaisseau
. 5. Procédé de Wise par une ligature temporaire
. Refoulement d'une artère avec la pince à baguette de M. Amussat, le
vaisseau
étant préalablement saisi et maintenu avec la pin
exercée surl'artèreavecla pince à baguettes, suivie de la torsion du
vaisseau
avec la pince plate, suivant le procédé de M. Ain
première pièce du sternum est enlevée pour laisser à découvert les
vaisseaux
. D, E. Artères sous-clavière et carotide gauche à
ant en arrière, motivé parle passage du scalène antérieur. Au-delà le
vaisseau
se dilate de nouveau en (H) ; puis il forme un co
. Veine humérale profonde interne. f. Nerf médian, aperçu entre les
vaisseaux
. g. Nerf musculo-cutané jusqu'au point où il tr
A. Tumeur anévrismale principale. Elle est recouverte d'un lacis de
vaisseaux
variqueux. B. Portion supérieure de la tumeur.
onde et l'obturatrice, et en arrière par l'ischiatique. Détails des
vaisseaux
. A. Artère fémorale oblitérée. L'oblitération c
, le biceps est soulevé par des érignes pour montrer les rapports des
vaisseaux
. A. Artère humérale. B. Veine médiane basiliq
ture de l'artère humérale. La circulation était déjà rétablie dans le
vaisseau
, un pouce au-dessous, en dedans par l'anastomose
Jacob. Imp. Becquet, Paris. INSTRUMENS PROPRES A OPÉRER SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS. DEMI-GRANDEUR. INSTRUMENTS POUR LA
coulisses, forment deux plans inclinés qui guident la ligature sur le
vaisseau
. Quoique le mécanisme des pinces porte-ligature
rmet de satisfaire aux divers temps opératoires pour la dénudation du
vaisseau
(pl. 35), et, suivant la courbure que l'on donne
'écarter pour mettre à nu le fond du sillon où se trouve la gaine des
vaisseaux
. Si la sonde cannelée est trop faible, le manche
aire séreux inter-muscu-laire. FIGURE 4. Incision de la gaine des
vaisseaux
. a. Pince à disséquer, tenue par la main gauche
par la main gauche du chirurgien, et soulevant un pli de la gaine des
vaisseaux
. b. Bistouri tenu en septième position, incisan
stouri tenu en septième position, incisant sur le pli de la gaine des
vaisseaux
. Sans quitter la pince, le chirurgien dépose le b
gaine vasculaire. FIGURE 5. Dénudation de l'artère sur le bord du
vaisseau
, du côté du chirurgien. a. Ecartement de la gai
cellulaire qui unit l'artère à sa gaine. Dans ce temps opératoire, le
vaisseau
doit se trouver dénudé, en dessous, de la moitié
de son diamètre. FIGURE 6. Dénudation de l'artère sur le bord du
vaisseau
opposé au chirurgien. a. Ecartement de la gaine
annelée, de la manière indiquée plus haut. Immédiatement après que le
vaisseau
est dénudé, la main droite s'incline, en couchant
in droite s'incline, en couchant l'instrument pour le glisser sous le
vaisseau
, son bec tourné vers l'opérateur. Ce dernier temp
t être seule embrassée par l'instrument. Toutefois, le soulèvement du
vaisseau
isolé ne se pratique pas invariablement avec la s
emps opératoire, souvent très difficile en raison de la profondeur du
vaisseau
, qu'ont été imaginés un si grand nombre d'instrum
erforées, de sorte que le fil se trouvant immédiatement passé sous le
vaisseau
, il ne s'agit que de dégager l'une de ses extrémi
de serrer le fil, devant s'assurer, par une inspection circulaire du
vaisseau
, que l'artère seule est comprise dans l'anse du f
ssion de deux doigts de la main gauche de l'opérateur. 5. Gaîne des
vaisseaux
tibiaux antérieurs. 6. Nerftibial. 7. Veines
urs. — 4. Artère tibiale postérieure, entre ses deux veines : sous le
vaisseau
est engagée la sonde cannelée. 3° (C et C'2) Fi
isseur sublime. — 5. Artère péronière, entre ses deux veines. Sous ce
vaisseau
est placée l'aiguille de Deschamps. Tome 6 Pl
su fibreux élastique qui double la gaîne. —5. Section de la gaîne des
vaisseaux
fémoraux. — 6. Portion du bord interne du muscle
sur cette plaie. 8. Veine saphène interne. — 9. Courant principal des
vaisseaux
lymphatiques écartés avec l'aponévrose. —10. Vein
uivant l'avis de MM. Hutchinson et Roux. — 5. Section de la gaîne des
vaisseaux
fémoro-poplités. DÉTAILS ANATOMIQUES, FIGURE 5.
sert de guide pour atteindre, clans la profondeur, vers le siège des
vaisseaux
. — 7. Tendon du muscle droit interne. — 8. Apon
s premier et troisième adducteurs, formant le canal ostéo-fibreux des
vaisseaux
fémoro-poplités, qu'il faut inciser pour arriver
des vaisseaux fémoro-poplités, qu'il faut inciser pour arriver à ces
vaisseaux
. — 9. Veine saphène interne. — 10. Veine fémoto-p
gures 1, 2, etD2. —Trois fils à ligatures sont placés, chacun sous un
vaisseau
: 1, la terminaison de l'arcade cubitale: 2, la br
de la peau. — 2. Section de l'aponévrose superficielle.— 3. Gaîne des
vaisseaux
numéraux. — 4. Nerf médian.— 5. Veine hurnérale i
co-brachial, vu en transparence. — 4. Veine basilique. — 5. Gaîne des
vaisseaux
huméraux. — 6. Veine humérale interne. — 7. Nerf
tion avec la jugulaire interne. — 18. Nerfs du plexus brachial. — 19.
Vaisseaux
cervicaux-transverses. —N20. Artère sous-clavière
fragmens rejetés en dedans et en avant pour développer le trajet des
vaisseaux
. — 3. Bord axillaire du muscle deltoïde. — 4. Apo
pectoral. Ce muscle lui-même est coupé en travers pour découvrir les
vaisseaux
. — 6. Section du fragment inférieur du petit pect
rtion du biceps, unie au coraco-brachial. — 8. Veine céphalique. — 9.
Vaisseaux
acro-mio-thoraciques. —10. Vaisseaux thoraciques
ial. — 8. Veine céphalique. — 9. Vaisseaux acro-mio-thoraciques. —10.
Vaisseaux
thoraciques longs. — 11. Nerf médian. — 12. Nerf
5. Muscle scapulo-hyoïdien, déjeté en haut par un petit crochet.— 6.
Vaisseaux
cervicaux transverses, relevés avec le scapulo-hy
— 4. Veine cépbalique, accompagnée par les brandies deltoïdiennes des
vaisseaux
acromio - thoraciques. — 5. Nerf médian. — 6. Ner
plaie. 5. Section du tissu fibreux jaune qui fortifie la gaîne des
vaisseaux
fémoraux à leur partie supérieure. 6. Veine fém
naux. 3. Péritoine, revêtu de son feuillet fibreux. 4. Cordon des
vaisseaux
spennaliques, déprimé en bas. 5. Surface de la
doigts, pour mettre à découvert la fosse iliaque interne et les gros
vaisseaux
. 7. Surface du péritoine et de son feuillet sou
ée en dedans de la tumeur isolée, refoule en ce sens le biceps et les
vaisseaux
qu'elle préserve de l'action de l'instrument. La
ification s'o-pérant sur-tout aux dépens de la face inférieure où les
vaisseaux
plus abondans sont moins comprimés par le gonflem
cubital postérieur; (d) le tendon du cubital antérieur, refoulant les
vaisseaux
cubitaux préservés de l'action de la scie. FIGU
mprenant : l'aponévrose, la veine céphalique du pouce, le nerf et les
vaisseaux
radiaux, les tendons des extenseurs du pouce et d
re phalange et des os sésamoïdes. Au fond de la plaie se voient les
vaisseaux
inter-osseux. ( s ). Premier os métatarsien que l
rieurs, extenseurs des orteils et jambier antérieur, renfermant les
vaisseaux
et nerfs tibiaux. ( c ). Faisceau postérieur. I
ls, péroniers', jambier postérieur et le tendon d'Achille , outre les
vaisseaux
tibiaux postérieurs avec leur nerf, et les vaisse
ille , outre les vaisseaux tibiaux postérieurs avec leur nerf, et les
vaisseaux
péroniers. (d). Surface de section du tibia et
des tendons, la dissection et la dilacération des parties molles, des
vaisseaux
et des nerfs, et leur exposition a. l'air dans un
(i). Au fond de la plaie se voient les muscles extenseurs (k) et les
vaisseaux
péroniers non lésés (1), mais dont quelques branc
met à nu l'excavation que remplissait l'extrémité de l'os. (c) . "
Vaisseaux
tibiaux antérieurs non lésés dans Panse de passag
e incision cruciale, la clavicule , isolée, a été sciée en regard des
vaisseaux
sous-claviers , avec la scie à chaîne agissant su
tissu cellulaire presque homogène, et qui sert de trame à des petits
vaisseaux
, ils se convertissent en une masse fibreuse, inte
s attaches condyliennes et la surface poplitée, pour laisser voir les
vaisseaux
et les nerfs. INDICATION DES PARTIES COMPRISES
. 9. Branches nerveuses des muscles jumeaux et soléaire. Tous ces
vaisseaux
, à leur extrémité coupée, se terminent par un pet
xterne relevé. e , Autre main du môme aide, occupée à comprimer les
vaisseaux
entre le pouce en dedans, l'indicateur et le médi
aide qui comprime de dehors en dedans et de de- dans en dehors les
vaisseaux
axillaires pinces entre le pouce et les trois pre
. c. Main gauche d'un aide de face qui comprime dans une anse les
vaisseaux
fémoraux entre le pouce en dehors , l'indicateur
membre, une incision longitudinale (g) étant faite sur le trajet des
vaisseaux
, l'artère et la veine fémorales (h) ont été liées
roite d'un aide qui comprime, par une double pression opposée , les
vaisseaux
fémoraux dans les chairs. e. Main gauche du chi
lissé la main derrière l'instrument pour saisir, dans le lambeau, les
vaisseaux
fémoraux , et suspendre provisoirement le cours d
plus qu'à tirer à mesure sur chaque pince pour lier ou tordre chaque
vaisseau
en particulier. Figures 8 et 9. Ampmtation à de
une membrane transparente; c'est le chorion (C), duquel naissent des
vaisseaux
qui se renflent, se rétrécissent, se ramifient, s
Ces vésicules ou kystes sont le résultat de la tranformation, non des
vaisseaux
lymphatiques, ainsi que le disent Bidloo et autre
aux lymphatiques, ainsi que le disent Bidloo et autres, mais bien des
vaisseaux
sanguins du placenta, manière devoir qui n'est pa
lques vésicules se remplir de la matière à injection poussée dans les
vaisseaux
, parce qu'il est de toute évidence que de semblab
accumulation de la sérosité dans l'épaisseur des parois, la cavité du
vaisseau
s'efface et s'oblitère (***). Les valvules dont s
sseau s'efface et s'oblitère (***). Les valvules dont sont pondue les
vaisseaux
lymphatiques servaient merveilleusement l'opinion
e Vallisnieri, qui plaçaient le siège des vésicules dans cet ordre de
vaisseaux
. Par l'effet d'une cause quelconque, la circulati
ente qu'une petite difficulté, c'est qu'on n'a pas encore démontré de
vaisseaux
lymphatiques dans le placenta. En appliquant cett
seaux lymphatiques dans le placenta. En appliquant cette doctrine aux
vaisseaux
sanguins, ainsi que l'a fait Reuss, on conçoit qu
euss, on conçoit qu'il ne suffirait pas d'admettre l'oblitération des
vaisseaux
de distance en distance pour se rendre compte de
pure et simple de la chose, et donnons comme un fait positif que les
vaisseaux
sanguins du placenta se transforment en vésicules
t. Du reste, cette pétrification a toujours son siège dans les petits
vaisseaux
, et présente tous les caractères de la pétrificat
face arrondie, lisse, blanc -rougeâtre, du rein est parcourue par des
vaisseaux
sanguins, d'un volume considérable. La coupe du
pour l'aspect au cerveau d'un jeune enfant, dense, parcourue par des
vaisseaux
sanguins très-multipliés et très-volumineux (canc
par le tissu du rein dégénéré, que se voient le plus grand nombre de
vaisseaux
sanguins ; ou plutôt ce sont des canaux sanguins
étaient parcourus à leur surface externe par un nombre prodigieux de
vaisseaux
sanguins veineux, flexueux comme tous les vaissea
bre prodigieux de vaisseaux sanguins veineux, flexueux comme tous les
vaisseaux
de nouvelle formation ou nouvellement développés
e, analogue à celle observée dans les calices, comme elle pénétrée de
vaisseaux
sanguins qui paraissaient de nouvelle formation.
converti en une matière carcinomateuse, molle, pulpeuse, pénétrée de
vaisseaux
sanguins et traversée par des espèces de colonnes
aux veineux trouvés à la circonférence du tissu encéphaloïde sont des
vaisseaux
de nouvelle formation, des vaisseaux tout-à-fait
e du tissu encéphaloïde sont des vaisseaux de nouvelle formation, des
vaisseaux
tout-à-fait indé-pendans de la circulation généra
e la circulation générale; rien de plus commun que cette formation de
vaisseaux
qu'on voit s'organiser au milieu de certains prod
ganiser au milieu de certains produits de sécrétion, à la manière des
vaisseaux
de l'œuf. Or il est des produits de sécrétion au
on ici que toute la masse tuberculeuse TTT, fig. 2, ne présente aucun
vaisseau
, tandis que la couche encéphaloïde EEE en fourmil
umons engoués, libres d'adhérences, parfaitement sains ; cœur et gros
vaisseaux
sains, concrétions polypiformes dans l'aorte et l
côté du bord concave, était extrêmement épaisse et parsemée de longs
vaisseaux
veineux très-développés. Elle était séparée du ti
ils invoquaient en faveur de leur manière de voir le grand nombre de
vaisseaux
qu'ils voyaient traverser en tous sens ce tissu,
c les granulations des reins affaissées ? Il est aisé de voir que ces
vaisseaux
et ces granulations ne sont pas libres, qu'ils so
poumon en a entraîné une autre représentée fig. 4-C'est un système de
vaisseaux
particuliers VS, VS, VS, sur la nature desquels n
génial, et une artère pulmonaire atrophiée avec un nouveau système de
vaisseaux
? On pourrait cependant dire que de même que l'im
le rétrécissement considérable de l'artère pulmonaire a nécessité des
vaisseaux
supplémentaires : mais examinons chacune de ces a
d'un second cœur ; de même nous voyons ici un système particulier de
vaisseaux
, né des poumons, qui vient se réunir à un conflue
ement MM. Edwards et Audouin. » 2e Livraison Pl. 1re MALADIES DES
VAISSEAUX
LYMPHATIQUES . MALADIES DES VAISSEAUX LYMPHATIQ
raison Pl. 1re MALADIES DES VAISSEAUX LYMPHATIQUES . MALADIES DES
VAISSEAUX
LYMPHATIQUES. Matière tuberculeuse dans les vai
MALADIES DES VAISSEAUX LYMPHATIQUES. Matière tuberculeuse dans les
vaisseaux
lactés; origine de ces vaisseaux dans les papille
UES. Matière tuberculeuse dans les vaisseaux lactés; origine de ces
vaisseaux
dans les papilles intestinales; leur trajet dans
r place ailleurs. Je me contenterai d'indiquer ici une altération des
vaisseaux
lactés, qui n'est pas très-rare, mais qui, attent
mais qui, attentivement étudiée, m'a permis de voir l'origine de ces
vaisseaux
dans les papilles intestinales, et leur trajet da
ent des plaques tuberculeuses sous-péritonéales PT, PT, PT", PT". Des
vaisseaux
blancs-jaunâtres, à nœuds très-rapprochés VL, VL'
crète en laquelle ces ganglions semblaient être transformés. D'autres
vaisseaux
VL, VL', VL", VL'", VL"" (fig. 2), naissaient dan
pourvus de plaques tuberculeuses. Je crus d'abord avoir affaire à des
vaisseaux
lactés pleins de chyle; mais le toucher m'ayant f
nt fait reconnaître qu'ils étaient durs, résistans, je pensai que ces
vaisseaux
étaient remplis par une matière tuberculeuse qu'i
is dans l'épaisseur de l'intestin lui-même, au moins pour ceux de ces
vaisseaux
qui naissaient au niveau des plaques tuberculeuse
rations intestinales correspondantes. Ayant ouvert plusieurs de ces
vaisseaux
, j'en exprimai une matière semblable à de la crèm
mplètement. Je n'eus pas de peine à reconnaître que les parois de ces
vaisseaux
étaient beaucoup plus épaisses que de coutume, ca
on naturelle de matière concrète me permit aisément de poursuivre les
vaisseaux
lactés jusqu'à travers l'épaisseur des parois int
; j'ai pu voir la membrane muqueuse soulevée par un certain nombre de
vaisseaux
noueux et résistans : alors, déchirant cette memb
tions que j'avais faites par la face externe, et j'ai reconnu que ces
vaisseaux
ne formaient point un iie livraison. 1 réseau
ils parcouraient un [assez long trajet sans communiquer entre eux. Le
vaisseau
VL, VL ( fig. 3 ) m'a paru le plus remarquable; i
cette valvule connivente VC, VC, j'ai vu une innombrable quantité de
vaisseaux
lactés vlv, vlv, vlv, se portant parallèlement du
m'assurer par une observation attentive que ces filamens étaient des
vaisseaux
, que leur nombre est vraiment prodigieux; on dira
sujet, nous présente une disposition non moins remarquable : le même
vaisseau
lacté recevait successivement les vaisseaux de tr
oins remarquable : le même vaisseau lacté recevait successivement les
vaisseaux
de trois valvules conniventes. Arrivés près du bo
valvules conniventes. Arrivés près du bord libre de ces valvules, les
vaisseaux
lactés se terminaient par deux, trois, quatre, or
ires d'autres papilles jaunâtres dans l'épaisseur desquelles était un
vaisseau
blane qui en parcourait toute la longueur et se t
uvent trois racines lactées se réunissaient pour constituer un de ces
vaisseaux
parallèles que Ton voyait dans l'épaisseur des va
es que Ton voyait dans l'épaisseur des valvules conniventes. Tous ces
vaisseaux
parallèles, qui m'ont paru s'anastomoser rarement
m'ont paru s'anastomoser rarement entre eux, venaient se rendre à un
vaisseau
plus volumineux qui longeait le bord adhérent de
bord adhérent de la valvule connivente. De la réunion de ces derniers
vaisseaux
en naissaient d'autres plus volumineux qui rampai
ive aux ganglions mésentériques. La figure 5 représente grossis les
vaisseaux
de la figure 3. On y remarque le vaisseau lacté s
e 5 représente grossis les vaisseaux de la figure 3. On y remarque le
vaisseau
lacté sous-muqueux VL, VL, et les vaisseaux lacté
figure 3. On y remarque le vaisseau lacté sous-muqueux VL, VL, et les
vaisseaux
lactés de la valvule connivente vlv, vlv. On voit
n voit aussi la manière dont ces derniers se comportent à l'égard des
vaisseaux
lactés des papilles ppp, lesquelles sont de gross
figures i, 2, 3 sont destinées à montrer considérablement grossis les
vaisseaux
lactés des papilles; on voit trois de ces vaissea
ement grossis les vaisseaux lactés des papilles; on voit trois de ces
vaisseaux
papillaires converger pour former un vaisseau val
; on voit trois de ces vaisseaux papillaires converger pour former un
vaisseau
valvulaire. Le groupe de petites figures 4? 5? 6,
représente quelques-unes des formes des papilles dans lesquelles ces
vaisseaux
lactés radiculaires ont été observés. Réflexion
que et physiologique, ce fait me paraît prouver le mode d'origine des
vaisseaux
lactés. Cette origine, comme d'ailleurs tout ce q
a décrite avec beaucoup de soin. Suivant lui, chaque villosité est un
vaisseau
lacté pourvu de valvules, lequel se termine par u
ite ampoule au sommet de laquelle on voit un orifice. Hewson a vu ces
vaisseaux
, mais sans ampoule, sans valvules distinctes; mai
ns valvules distinctes; mais, comme il paraît n'avoir pas observé les
vaisseaux
lactés pleins de chyle, ses observations n'infirm
ent tuméfiées qu'elles semblaient n'être formées que par cet ordre de
vaisseaux
. Il vit que les vaisseaux lactés commençaient par
blaient n'être formées que par cet ordre de vaisseaux. Il vit que les
vaisseaux
lactés commençaient par quinze ou vingt vaisseaux
aux. Il vit que les vaisseaux lactés commençaient par quinze ou vingt
vaisseaux
radiés, se rendant tous à un tronc plus volumineu
qui unit les artères, les veines et les nerfs. Suivant Mascagni, les
vaisseaux
lactés naissent par des pores inorganiques, ainsi
t, se réfléchissent ensuite du sommet à la base pour aller former les
vaisseaux
lactés. Mascagni représente (Tab. I, fig. i) la m
jéjunum d'un enfant qui mourut pendant la digestion intestinale ; les
vaisseaux
lactés forment un réseau admirable à la surface d
les villosités. Suivant Meckel, les villosités ne contiennent pas de
vaisseaux
; l'injection qu'on y fait pénétrer n'y arrive que
testinale, ou du moins d'un certain nombre de papilles (*), existe un
vaisseau
lacté qui, suivant ses degrés divers de distensio
que ou renflé en ampoule. Reste maintenant à démontrer l'ouverture du
vaisseau
pour prouver que l'absorption se fait par une act
sseau pour prouver que l'absorption se fait par une action vitale des
vaisseaux
absorbans, et non point par une imbibition physiq
ver que l'absorption se fait par les orifices béans et irritables des
vaisseaux
lymphatiques. En effet, si les papilles intestina
la matière tuberculeuse, mais comme fait d'affection tuberculeuse des
vaisseaux
lymphatiques, et je me fonde sur les données suiv
atiques, et je me fonde sur les données suivantes : i° les parois des
vaisseaux
lymphatiques ne s'affaissaient nullement lorsque
is des vaisseaux lymphatiques ne s'affaissaient nullement lorsque ces
vaisseaux
avaient été vidés; elles étaient opaques, épaissi
nt été vidés; elles étaient opaques, épaissies. i° Un grand nombre de
vaisseaux
lactés (fig. i, i) était interrompu d'espace en e
nt pu servir d'argument en faveur de la théorie de l'inflammation des
vaisseaux
blancs dans les affections tuberculeuses. 3° Une
Une autre preuve non moins irrécusable, c'est qu'un certain nombre de
vaisseaux
malades ne naissaient pas au voisinage des ulcéra
des intestins. Au reste, ce n'est pas (*) Je n ai jamais trouvé de
vaisseaux
lactés au centre des papilles tachetées de points
ntré plusieurs fois une matière d'apparence tuberculeuse, i° dans des
vaisseaux
lymphatiques qui partaient d'ulcérations intestin
elà de ces ganglions, et je n'en ai jamais vu non plus ; i°. dans des
vaisseaux
lymphatiques qui se dessinaient à la surface des
s comme s'ils avaient été injectés par du mercure ; 3°. dans d'autres
vaisseaux
qui partaient des ganglions inguinaux et se renda
avait un cancer utérin en détritus. Ici se rapporte le beau cas de
vaisseaux
et de ganglions lymphatiques injectés de pus, que
le que ce cas fût, comme les précédens, un exemple d'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques, interprétation qui a d'ailleurs été
er que les ganglions inguinaux et lombaires auxquels se rendaient les
vaisseaux
lymphatiques n'étaient pas, à proprement parler,
uits à leur névrilème ; les aponévroses prodigieusement amincies. Les
vaisseaux
avaient subi une diminution de calibre correspond
ce muscle. Ce plaqué rouge était dû à de petites masses de sang. Les
vaisseaux
n'avaient pas encore eu le temps de s'organiser.
se, dans l'épaisseur de laquelle on rencontre quelquefois, autour des
vaisseaux
, une couleur jaune orangé, indice constant d'extr
ane, en ajoutant toutefois une plus grande quantité de liquide. Les
vaisseaux
du foie étaient gorgés de sang, et cependant sa s
nte d'abord, puis consommée, d'un viscère aussi abondamment pourvu de
vaisseaux
et surtout de nerfs ganglionnaires que la rate?
s par des lames du tissu « cellulaire; on n'y observe aucune trace de
vaisseaux
; sa couleur est d'un blanc opaque, et son « aspec
n seul organe est le siège de ces hémorrhagies. Quel est l'ordre de
vaisseaux
affecté dans l'apoplexie pulmonaire ? Sont-ce les
s étaient remplies de concrétions qui se ramifiaient à la manière des
vaisseaux
. Ces concrétions étaient rougeâtres dans les dern
oyers sanguins pulmonaires doivent être proportionnels au calibre des
vaisseaux
rompus; qu'une hémoptysie foudroyante peut emport
uniquées par M. Piorry. péricarde et se prolongeait autour des gros
vaisseaux
qui partent du cœur ou qui s'y rendent. Il existe
paisseur des parois d'une artère; ce petit foyer s'ouvre au dedans du
vaisseau
, le sang s'y introduit, une poche anévrysmale exi
, m'a permis de voir que tous ces lambeaux avaient pour pédicules des
vaisseaux
artériels qui seuls avaient échappé à la putréfac
de gangrène humide, de pourriture d'hôpital et autres, parce que les
vaisseaux
se rompent avant leur oblitération. Il était néan
contenant un lambeau E, qui adhérait aux parois a l'aide de plusieurs
vaisseaux
artériels, occupait le voisinage du sommet du pou
que soulevait une couche mince de matière plâtreuse infiltrée. Les
vaisseaux
artériels qui supportaient les lambeaux gangreneu
s : dans le premier cas, la circulation est interrompue dans tous les
vaisseaux
de la partie; dans le second cas, le sang n'arriv
cas, le sang n'arrive ni par le tronc artériel principal, ni par les
vaisseaux
collatéraux ; dans le troisième, il n'arrive pas
organe et infiltré de pus : on y retrouve les canaux bronchiques, les
vaisseaux
sanguins, l'aspect mollasse et tabulaire du poumo
voit une forme aréolaire, une masse homogène, mais point de traces de
vaisseaux
. Du reste, rien de plus variable que la cohéren
imitive et sous-clavière gauches. Le plus souvent les orifices de ces
vaisseaux
sont rétrécis, car c'est au niveau des orifices q
t devenue réticulée, fragile, pénétrée d'un bien plus grand nombre de
vaisseaux
sanguins que de coutume, et la membrane ccllulcus
la partie supérieure de la crosse de l'aorte, entre les origines des
vaisseaux
indiqués, que naissait une tumeur énorme qui, apr
s je n'ai jamais vu cette organisation; jamais je n'y ai rencontré de
vaisseaux
semblables à ceux des fausses membranes qui s'org
ntent supérieurement un appendice très-saillant TT, parcourue par des
vaisseaux
sanguins à parois très - minces et qui n'eussent
sait au foie, à la substance duquel il ne tenait que par une foule de
vaisseaux
artériels, veineux et de canaux hépatiques, dont
de la moelle ne peut évidemment reconnaître une pareille rupture; des
vaisseaux
très-déliés, mais extrêmement nombreux, pénètrent
e dans la circulation vasculaire de cette substance blanche, dont les
vaisseaux
ne lui arrivent, au moins en partie, qu'après qu'
à flots comme d'une éponge. Enfin, pour compléter la description, des
vaisseaux
longs et non flexueux, d'apparence veineuse, extr
grande épaisseur de parties, lorsque l'altération s'est étendue à des
vaisseaux
plus volumineux, d'où encore les hémorrhagics qui
eur du mésentère et des épiploons rampait une très-grande quantité de
vaisseaux
Jym phatiques volumineux, noueux, entrecoupés p
oupés par de petits tubercules cancéreux VLC, WC, quelques-uns de ces
vaisseaux
m'ont paru gorgés de la même matière cancéreuse.
térins gangreneux, au milieu de lambeaux noirâtres , une multitude de
vaisseaux
noueux, rameux, jaunâtres. Ces vaisseaux, qui ont
noirâtres , une multitude de vaisseaux noueux, rameux, jaunâtres. Ces
vaisseaux
, qui ont été parfaitement représentés ici, et que
autre chose qu'un détritus gangreneux au milieu duquel flottaient les
vaisseaux
artériels, reconnais-sablés à leurs flexuosités,
taient les vaisseaux artériels, reconnais-sablés à leurs flexuosités,
vaisseaux
qui avaient seuls résisté au travail désorganisat
cas, en effet, il y a décoloration complète des tissus, sans trace de
vaisseaux
qui ont disparu enveloppés dans le travail désorg
i vu manquer les trous de conjugaison : la présence d'un nerf et d'un
vaisseau
, ces parties fondamentales de l'organisation, sem
eptaient, par leur rapprochement un canal protecteur des nerfs et des
vaisseaux
intercostaux. Je suis persuadé que cet enfant j
orées. Les ovaires sont mous, spongieux, pénétrés de sérosité et de
vaisseaux
sanguins. Petits ovules çà et là. Quelques cicatr
e que dans les veines, dans les capillaires de même que dans les gros
vaisseaux
. La phlébite se termine par résolution bien plus
uvent qu'on ne l'imagine, et alors le sang est résorbé, le calibre du
vaisseau
se rétablit ou bien l'oblitération a lieu. Mais l
dans le premier cas, tantôt ce pus sera absorbé et l'oblitération du
vaisseau
aura lieu; tantôt ce pus, s'ac-cumulant sans cess
. La tunique vaginale TV, épaissie, est parsemée d'un grand nombre de
vaisseaux
veineux de nouvelle formation, soit dans son feui
e est d'ailleurs saine; ce n'est pas pour elle qu'existaient tous ces
vaisseaux
. Le feuillet libre adhérait en deux points au feu
oisées, formant des lobules fibreux entre lesquels pénètrent quelques
vaisseaux
. Son poids est énorme eu égard à son volume, qui
; que,bien que ces tissus morbides vivent dune vie propre, avec leurs
vaisseaux
propres, ils n'en sont pas moins en communication
bée de pus, et ce n'est que dans quelques points qu'on retrouvait des
vaisseaux
extrêmement déliés. Déjà existaient plusieurs esc
dans les phlegmons diffus sous-cutanés, on voit la peau privée de ses
vaisseaux
nourriciers s'escarifier çà et là ; de même dans
euse, érectile; le grand développement, eu égard à son volume, de ses
vaisseaux
et surtout de ses veines ; la nature de ses fonct
re d'ailleurs de toute espèce de rapports de continuité, recevant des
vaisseaux
propres, enveloppé d'une espèce de coque fibreuse
t pour la saillie, la demi-transparence et la ténuité des parois, les
vaisseaux
veineux très-volumineux, très-flexueux, très-apla
élatiniforme, on voyait des filamens blancs, rameux, semblables à des
vaisseaux
et paraissant naître des parois des cellules.Parm
araissant naître des parois des cellules.Parmi eux était un véritable
vaisseau
de cinq à six pouces de longueur, à parois résist
eux qui y adhéraient tantôt par un pédicule très-grêle, tantôt par un
vaisseau
qui faisait alors saillie dans l'intérieur de la
sentent des houppes vasculaires très-nombreuses et un grand nombre de
vaisseaux
déchirés. Ce sont les vaisseaux des couches optiq
très-nombreuses et un grand nombre de vaisseaux déchirés. Ce sont les
vaisseaux
des couches optiques dont les uns ont été déchiré
arois qui sont comme imprégnées de la matière colorante, les nombreux
vaisseaux
déchirés sont très-bien représentés sur les figur
' comme sur la figure ï, on voit des houppes vas-culaires, débris des
vaisseaux
qui animaient la portion du cerveau remplacée par
attaque d'apoplexie, soit par la compression qu'elle exerçait sur les
vaisseaux
du bassin, soit par le travail fluxionnaire dont
iforme, mais présente une épaisseur double ou triple le long des gros
vaisseaux
qui rampent à la surface du cerveau, se divise et
rampent à la surface du cerveau, se divise et se subdivise comme ces
vaisseaux
; non-seulement elle occupe la surface du cerveau,
ntre du tissu cellulaire cérébral : elle se prolonge le long des gros
vaisseaux
qui constituent le trapèze artériel de la base du
e d'un blanc jaunâtre qui se propage comme en s'irradiant le long des
vaisseaux
et des scissures cérébrales et se prolonge jusque
t continuellement. Sueur abondante. Mort. Ouverture du cadavre. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont très-injectés. Les ventricule
uantité de tubercules blanchâtres T de volumes différens appendus aux
vaisseaux
ou plutôt au tissu cellulaire. Il y avait une trè
étachées et étalées. On voit les masses tuberculeuses qui longent les
vaisseaux
. 6e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CERVEAU. (
st très-saine, ainsi que tout le reste des parois ventrieulaires. Les
vaisseaux
de la pie - mère sont injectés, mais beaucoup moi
éo-laires, des espèces de cloisons incomplètes dues à la présence des
vaisseaux
artériels, lesquels tantôt ont pleinement échappé
rois sont traversées par des espèces de brides rameuses ; ce sont des
vaisseaux
oblitérés. La figure 3 (**) représente le rein
ué. Souvent on rencontre au fond et aux bords de ces ulcérations, des
vaisseaux
artériels et veineux qui ont échappé au travail d
ineux qui ont échappé au travail désorganisateur ; d'autres fois, ces
vaisseaux
ont été en partie détruits. Entre ces larges ulcé
e anatomique de l'entérite folliculeuse, ce sont les états divers des
vaisseaux
de la muqueuse et du péritoine. Il n'est pas rare
çà et là des plaques plus injectées, et au niveau de ces plaques des
vaisseaux
veineux sous-péritonéaux, dirigés pour la plupart
stin malade étaient très-développés, parcourus à leur surface par des
vaisseaux
très-déliés ; ils étaient pour la plupart ramolli
GLO est une matière jaunâtre que je regarde comme du pus concret. Les
vaisseaux
sous-péritonéaux qui environnent les ganglions mé
n l'observe le plus habituellement. Sous le péritoine se voyaient des
vaisseaux
veineux, les uns longitudinaux, les autres transv
rosité sous-arachnoïdienne dans le cerveau et le canal raehidien, les
vaisseaux
cérébraux injectés; les poumons étaient engoués d
nt les lambeaux détachés, jaunâtres et fétides, tenant encore par des
vaisseaux
, ont été parfaitement représentés tels qu'on les
angle iléo-colique sont le siège d'un développement considérable; les
vaisseaux
sous-péritonéaux sont fortement injectés; plusieu
bilité qu'on voudrait vainement lui contester, abondamment pourvue de
vaisseaux
artériels et veineux, recevant quelques nerfs pro
, pour les isoler complètement, il a fallu diviser un grand nombre de
vaisseaux
veineux qui des membranes du cerveau venaient se
tes les tumeurs careinomateuses de la dure - mère, parcourues par des
vaisseaux
sanguins de divers calibres, flexueux et contourn
aloïde et tuberculeux tout à la fois, parcouru par un grand nombre de
vaisseaux
sanguins, d'apparence veineuse, formant des espèc
les précédentes , parcourue à sa surface par un très-grand nombre de
vaisseaux
d'apparence veineuse. Sa consistance est moindre
isséminées au milieu d'une pulpe molle, en apparence inorganique. Des
vaisseaux
veineux parcouraient cette tumeur suivant son épa
ent cette tumeur suivant son épaisseur. Les uns se rendaient dans les
vaisseaux
de la dure-mère, les autres dans les vaisseaux su
se rendaient dans les vaisseaux de la dure-mère, les autres dans les
vaisseaux
superficiels de la tumeur. Réflexions. — Une so
, grosse comme une noix, était recouverte par un très-grand nombre de
vaisseaux
d'apparence veineuse. Elle était reçue dans la su
coagulation du sang qui adhère plus ou moins fortement aux parois du
vaisseau
; et, pour le dire en passant, je regarde la coagu
is dans tout autre point de l'économie, charrié avec le sang dans les
vaisseaux
, et déposé dans les sinus ? ou bien enfin le pus
. Dans le premier cas, tantôt le pus est absorbé et l'oblitération du
vaisseau
suit cette absorption; tantôt ce pus, s'ac-cumula
es collatérales remplaceront surabondamment la portion imperméable du
vaisseau
; mais si l'oblitération occupe toute la longueur
lissement de la substance cérébrale des circonvolutions ; rupture des
vaisseaux
contenus dans l'épaisseur du cerveau, et foyer ap
omembraneuse était située entre l'arachnoïde et la pie-mère, dont les
vaisseaux
très - développés , en forme de pinceaux, se dess
mieux montrer la disposition de cette matière pseudo-membraneuse. Des
vaisseaux
d'apparence veineuse, très-développés, appartenan
temps que des flocons pseudo-membraneux qui longeaient en général les
vaisseaux
. Ce n'est pas tout; les ventricules étaient diste
ulière et sphéroïde et le volume du testicule et de l'épididyme ; des
vaisseaux
nombreux serpentent au-dessous de la tunique albu
'on observe après une forte compression. L'épididyme et le cordon des
vaisseaux
spermatiques sont dans l'état le plus parfait d'i
sous toutes sortes de directions et parcourues par un grand nombre de
vaisseaux
; une couleur brun-jaunâtre indiquait qu'il y avai
ois de la poche indiquée, était grisâtre, lobulée, partie pénétrée de
vaisseaux
sanguins, partie complètement exsangue. Les deux
re eux au moyen de plusieurs couches pseudo-membraneuses parsemées de
vaisseaux
sanguins et de plaques de sang. Du reste, la cica
doublé de volume ; la tunique vaginale, parsemée d'un grand nombre de
vaisseaux
sanguins et adhérente à elle-même par des liens c
tat des parties molles, ligamens, tendons, muscles, tissu cellulaire,
vaisseaux
et nerfs, immédiatement après la luxation; i° les
ite d'une syncope: je réduisis l'avant-bras, me tenant prêt à lier le
vaisseau
. L'hémorrhagie ne se renouvela pas, malgré les ef
muqueuse n'est plus stimulée; la musculeuse ne se contracte plus, les
vaisseaux
faméliques absorbent les liquides surabondans app
s, transparentes, d'apparence inorganique, complètement dépourvues de
vaisseaux
, exhalant une odeur aigrelette semblable à celle
ter ici un phénomène bien remarquable : c'est la coloration noire des
vaisseaux
qui avoisinent l'altération, couleur que je n'ai
toute la portion de cette muqueuse ME, ME, qu'elle a rencontrée. Des
vaisseaux
noirs VN, VJN, VN, parcourent en tous sens l'extr
races d'inflammation, soit dans la plèvre, soit dans le poumon. Des
vaisseaux
rameux d'un noir de jais a voisinent la perforati
immédiate. Je reconnais avec M. Carswell que la couleur brunâtre des
vaisseaux
peut tenir à la présence dun acide (**) (acétique
issus morts et qui, agissant directement sur le sang contenu dans les
vaisseaux
, lui imprimerait cette couleur noire qui pénètre
e cet estomac contenait une très-grande quantité de liquide; tous les
vaisseaux
qui le parcourent sont noirs, la membrane fibreus
oduction d'une certaine quantité d'acide acétique; point du tout, les
vaisseaux
sont devenus noirs, mais la muqueuse a conservé s
te espèce d'organisation a disparu ; on ne découvre plus de traces de
vaisseaux
, et tous les tissus, quelque hétérogènes qu'ils s
se, noueuse, qui atteste qu'elles ont leur siège dans l'intérieur des
vaisseaux
lymphatiques. Ce n'est pas la première fois d'ail
phatiques. Ce n'est pas la première fois d'ailleurs que l'on voit les
vaisseaux
lymphatiques participer soit à l'inflammation soi
génération, il faudrait déterminer ce que deviennent les nerfs et les
vaisseaux
des organes ainsi transformés; je saisirai la pre
sente une disposition régulière, rameuse et noueuse, à la manière des
vaisseaux
lymphatiques. Peut-on méconnaître un de ces vaiss
la manière des vaisseaux lymphatiques. Peut-on méconnaître un de ces
vaisseaux
VL, VL, VL, le long de la grande courbure de l'es
montré que la matière du cancer aréolaire peut se rencontrer dans les
vaisseaux
lymphatiques, comme d'ailleurs la matière encépha
Devons-nous conclure que ces diverses matières sont absorbées par les
vaisseaux
, etc.? Non, sans doute ; car il n'est pas impossi
t pas impossible qu'elles soient formées dans l'intérieur même de ces
vaisseaux
? La fig. 1 représente l'estomac ouvert. La dég
épart de tous ces symptômes. J'explorai vainement le cœur et les gros
vaisseaux
, les poumons et les diverses régions de l'abdomen
uer à aucune autre cause qu'à la compression de la veine porte et des
vaisseaux
lymphatiques du foie. Il est d'ailleurs évident q
les autres non oblitérés. On conçoit donc que lorsque l'érosion d'un
vaisseau
n'est pas accompagnée de son oblitération ^ il do
il doit en résulter une hémorrhagie proportionnelle au calibre de ce
vaisseau
; de là des hématémèses plus ou moins fréquentes;
VIL Lorsque l'ulcère rencontre, pour ainsi dire, sur son passage un
vaisseau
d'un calibre considérable , il en résulte des vom
stomac parfaitement cicatrisé, excepté dans le point correspondant au
vaisseau
. Or, les solutions de continuité des vaisseaux ne
point correspondant au vaisseau. Or, les solutions de continuité des
vaisseaux
ne pouvant guérir solidement que par oblitération
te d'ulcère simple; i° d'hémorrhagie mortelle, suite d'ulcération des
vaisseaux
; 3° de cicatrice d'ulcères de l'estomac. De la
e coronaire stomachique et dirigé de l'origine vers l'extrémité de ce
vaisseau
, chasse le caillot et pénètre dans la cavité de l
nt dans la même direction, on l'a fait entrer dans le prolongement du
vaisseau
qui n'était interrompu que dans les trois quarts
réas formait le fond de cet ulcère ; on y voyait l'orifice béant d'un
vaisseau
AP ; c'était l'artère splénique. Cicatrices des
par exhalation? Voilà ce qu'il m'a été impossible de déterminer. Les
vaisseaux
veineux superficiels représentés fig. 1 semblerai
possession de remplir exclusivement dans l'économie les fonctions de
vaisseaux
absorbans, on chargea les veines de cette absorpt
nes de cette absorption et de ce transport. Lorsque la découverte des
vaisseaux
lymphatiques eut dépouillé les veines de leurs fo
hatiques eut dépouillé les veines de leurs fonctions absorbantes, les
vaisseaux
lymphatiques furent substitués aux veines dans l'
ologistes modernes ayant partagé l'absorption physiologique entre les
vaisseaux
lymphatiques et les vaisseaux veineux, l'absorpti
gé l'absorption physiologique entre les vaisseaux lymphatiques et les
vaisseaux
veineux, l'absorption du pus est par les uns excl
aux veines, et par les autres également confiée à ces deux ordres de
vaisseaux
. VIII. La doctrine de la résorption et du dépôt
souvent encore (voyez la xne livraison), j'ai trouvé du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques; comme eux, j'ai vu des foyers de pu
s, sans traces manifestes d'inflammation tout autour. Les veines, les
vaisseaux
lymphatiques et le cœur qui contenaient du pus, m
s faits nombreux qui constatent la présence du pus en nature dans les
vaisseaux
et les ganglions lymphatiques, parce qu'on pourra
itre dans un grand nombre de cas, et regarder le pus contenu dans ces
vaisseaux
et dans ces ganglions comme le produit de leur in
tiré dans les veines ouvertes par l'aspiration que produisent sur ces
vaisseaux
et les mouvemens d'inspiration et la dilatation d
e dans la plaie; le mercure n'a nullement pénétré dans l'intérieur du
vaisseau
; la sortie d'une grande quantité de sang s'oppos
le caillot obturateur formé, l'absorption est nulle par l'orifice du
vaisseau
divisé, elle n'est possible que par les voies ord
ent les ouvertures d'entrée et de sortie. L'humérus était intact, les
vaisseaux
et nerfs principaux du membre paraissaient égalem
la phlébite : i° la coagulation du sang avec adhérence aux parois des
vaisseaux
; i° du pus au milieu des caillots sanguins ; 3° d
dense, preuve bien évidente qu'il a participé à l'inflammation de ces
vaisseaux
. Il arrive souvent que l'inflammation de ce tissu
contenu dans ces veines avec des foyers purulens formés autour de ces
vaisseaux
. Ce fait m'a été fourni par un hasard assez sin
qu'à l'arcade fémorale d'une part et jusqu'à la partie inférieure des
vaisseaux
tibiaux et péroniers postérieurs de l'autre. La v
sé et comme diffluent : une pellicule mince et rougeâtre tapissait le
vaisseau
, dont elle ne pouvait être séparée qu'avec effort
trois veines se rendaient à la fois dans plusieurs de ces foyers. Ces
vaisseaux
semblaient coupés brusquement, et il n'y avait pa
ux foyers considérables existaient autour de la partie supérieure des
vaisseaux
péroniers entre le muscle soléaire et le ligament
est-à-dire, visqueux et rougeâtre. Enfin, un foyer situé autour des
vaisseaux
tibiaux postérieurs était formé aux dépens de la
quels le pus de la veine communiquât avec un foyer situé autour de ce
vaisseau
. L'un est de M. Travers, qui a vu la veine jugula
yer purulent formé aux dépens du tissu cellulaire pelvien, autour des
vaisseaux
hypogastriques et iliaques, et de la face latéral
é jusqu'au jarret par une traînée de pus circonscrit dans la route du
vaisseau
. Pourquoi les veines échapperaient-elles à cett
res de l'inflammation au premier degré, c'est-à-dire, l'injection des
vaisseaux
capillaires. La couleur rouge foncée que j'ai not
st-à-dire, dans celle des caillots sanguins adhérens à l'intérieur du
vaisseau
: la couleur rouge va en diminuant à mesure que l
d'observations m'a appris que les membranes qui ne contiennent pas de
vaisseaux
sanguins ne sont nullement injectables par l'infl
perficielle des membranes muqueuses : l'injection occupe toujours les
vaisseaux
subjacens à la membrane interne des veines; aussi
à la membrane interne des veines; aussi la tunique extérieure de ces
vaisseaux
, qui est vasculaire, est-elle toujours plus ou mo
éposée une lymphe plastique qui augmente l'épaisseur et la densité du
vaisseau
; il n'est même pas fort rare de voir cette membra
r des caillots fibrineux très-résistans, très-adhérens aux parois des
vaisseaux
, et présentant çà et là des points blanchâtres, c
he encéphaloïde adhérente par des espèces de pédicules aux parois des
vaisseaux
. Plus bas, l'oblitération était produite par une
dans des membres évidemment privés de toute circulation veineuse. Les
vaisseaux
lymphatiques jouent-ils quelque rôle dans cette c
ngue très-rouge; plusieurs applications de sangsues sur le trajet des
vaisseaux
furent nécessaires pour obtenir la guérison, qui
ébites. Il n'est pas impossible que dans un certain nombre de cas, le
vaisseau
redevienne perméable au sang. Ainsi, sur des chie
rties du corps et des phlébites capillaires et des phlébites des gros
vaisseaux
, de même le poumon peut offrir à côté des inflamm
ractériser soitune inflammation des veines, soit une inflammation des
vaisseaux
lymphatiques de ces organes. La faiblesse extrême
ite pulmonaire de l'autre ; il suffit qu'un peu de pus formé dans les
vaisseaux
utérins et pelviens se soit mêlé au sang, pour ex
tait évidemment consécutive. Le tissu du poumon divisé m'a offert des
vaisseaux
pleins de concrétions fibrineuses : ces vaisseaux
visé m'a offert des vaisseaux pleins de concrétions fibrineuses : ces
vaisseaux
étaient les divisions de l'artère pulmonaire droi
inssent rouges et à peine cohérentes. Mais les concrétions des petits
vaisseaux
n'existaient guère qu'au voisinage des parties du
cet organe et ne tenait que par un pédicule très-mince formé par des
vaisseaux
sanguins et aériens. Ce lambeau ne présentait d'a
tachés des lambeaux gangreneux dont les pédicules sont formés par des
vaisseaux
. Les principales escarres E, E ont été conservées
euse, les premiers efforts de contraction déterminent la déchirure de
vaisseaux
considérables; le tamponnement est dans ce cas le
ar inertie de l'utérus et qui résiste quelquefois au resserrement des
vaisseaux
amené par les contractions utérines, est la consé
diverses granulations, m'a paru en raison directe de leur volume. Les
vaisseaux
Sanguins qui traversent le tissu du foie sont sai
est pas rare de voir lepéritoine épaissi, fibreux, cartilagineux, les
vaisseaux
sous-péritonéaux se développer , des adhérences s
t alors tout-à-fait analogue à celle d'un tissu érectile. Souvent des
vaisseaux
sanguins, très développés, parcourent çà et là le
le centre de la tumeur; d'autres fois, il semble qu'il n'y a point de
vaisseaux
; mais avec un peu d'attention, on pourra les rec
re sous-variété, la tumeur n'est parcourue que par un petit nombre de
vaisseaux
; elle est uniformément blanche. Une seconde sous
ous-variété est éminemment vasculaire; ce n'est, pour ainsi dire, que
vaisseaux
d'apparence veineuse, aplatis, non flexueux, dila
omateuses du foie sont quelquefois placées de manière à comprimer les
vaisseaux
de cet organe. On peut rapporter certaines atroph
c'est par le petit épiploon et parle tissu cellulaire qui entoure les
vaisseaux
biliaires, que la maladie se propage jusqu'à Fcst
e cette communication existait dans une surface étendue, à l'aide des
vaisseaux
sanguins; 5° j'ai vu des vaisseaux biliaires et d
une surface étendue, à l'aide des vaisseaux sanguins; 5° j'ai vu des
vaisseaux
biliaires et des granulations du foie au sein de
par lesquels s'échappe le suc demi-concret, on arrive dans de petits
vaisseaux
, qu'il est presque toujours impossible de poursui
arité; on ignore complètement si ce sont des veines, des artères, des
vaisseaux
lymphatiques, ou bien des vaisseaux nouveaux ; ma
sont des veines, des artères, des vaisseaux lymphatiques, ou bien des
vaisseaux
nouveaux ; mais, deux fois, j'ai acquis la preuve
sidérable que les autres; j'incisai cet orifice et je parvins dans un
vaisseau
très volumineux, qui me parut être une des ramifi
il n'y avait pas lajplus petite veinule. Je ne nie pas l'existence de
vaisseaux
particuliers dans les tumeurs cancéreuses formées
présente sous l'aspect d'une tumeur dure, bosselée, parcourue par des
vaisseaux
. Les deux tiers de la circonférence du pylore son
artères , le développement plus considérable encore des veines et des
vaisseaux
lymphatiques ont également fixé mon attention.
ce qu'il était primitivement, et que ses grosses artères,ses énormes
vaisseaux
lymphatiques et veineux doivent être réduits brus
inflammation du tissu cellulaire sous-péritonéal , l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques, la phlébite et tous les accidents q
as, l'une des sources de ce levain est - elle dans l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques de l'utérus, ou plutôt dans la prése
ques de l'utérus, ou plutôt dans la présence du pus dans cet ordre de
vaisseaux
. La présence du pus dans les vaisseaux lymphati
nce du pus dans cet ordre de vaisseaux. La présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, me paraissant un fait fondamental d
t dans l'épaisseur des ligaments larges, rampent un certain nombre de
Vaisseaux
lymphatiques VL, V L, de différentes dimensions.
bre de Vaisseaux lymphatiques VL, V L, de différentes dimensions. Ces
vaisseaux
lymphatiques se dessinent pour la plupart à trave
l'insertion du ligament rond droit L R, a montré l'orifice béant des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus et énormément dilatés:
leins de pus et énormément dilatés: on eût dit de petits abcès. Des
vaisseaux
lymphatiques d'inégale dimension, ici dilatés en
immédiatement derrière le ligament rond et communiquent soit avec les
vaisseaux
lymphatiques de la face antérieure de l'utérus, s
, soit avec ceux, plus nombreux encore, de la face postérieure. Ces
vaisseaux
lymphatiques étaient immédiatement placés sous le
inférieure du rein R, pour se recourber de dehors en dedans. Tous ces
vaisseaux
se rendent aux ganglions lymphatiques G L, GL, pl
mbaires sont complètement injectés de pus. Je me suis assuré qu'aucun
vaisseau
lymphatique, émergeant de ces glandes, ne contena
e de la face postérieure de l'utérus présente un très grand nombre de
vaisseaux
lymphatiques pleins du pus. Ici, les ampoules son
te. On dirait de petits foyers purulents, VL, VL, VL. Pour mettre ces
vaisseaux
à découvert, il a suffi d'enlever par arrachement
e, et une lame subjacente très mince du tissu de l'utérus. Tous les
vaisseaux
lymphatiques ne gagnent pas les ganglions lombair
j'ai souvent rencontré plein du pus apporté par un certain nombre de
vaisseaux
lymphatiques. Les ovaires O, O , sont inégaleme
e postérieure de Futérus une petite bosselure, VLD, parcourue par des
vaisseaux
sanguins. Cette bosselure était formée par une pe
s séreux j cette poche n'était elle-même qu'une ampoule formée par un
vaisseau
lymphatique. 5° Les deux planches précédentes n
Les deux planches précédentes ne nous ont montré du pus que dans les
vaisseaux
lymphatiques superficiels. La planche III nous of
els. La planche III nous offre ce liquide tout à la fois, et dans les
vaisseaux
lymphatiques superficiels, et dans les vaisseaux
la fois, et dans les vaisseaux lymphatiques superficiels, et dans les
vaisseaux
lymphatiques profonds. Je dois dire que la présen
résence du pus dans ces derniers est assez rare, et que le nombre des
vaisseaux
lymphatiques profonds, que les anatomistes admett
figure 1, l'utérus est vu par sa face postérieure : pour préparer les
vaisseaux
lymphatiques qui sont en évidence sur cette figur
nt été. enlevés, moitié par arrachement^ moitié par dissection. Les
vaisseaux
lymphatiques superficiels sont remarquables par l
pement et par leur disposition aréolaire; quelquefois les aréoles des
vaisseaux
lymphatiques purulens sont tellement pressées qu'
it infiltré dans le tissu cellulaire, au lieu d'être contenu dans des
vaisseaux
. L'infiltration du pus dans le tissu cellulaire s
s'accompagner ou ne pas s'accompagner de la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. Dans un certain nombre de cas, le
infiltration doit être bien distinguée de la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques profonds, avec laquelle elle coïncid
ux ordres d'orifices, les uns pleins de pus, ce sont les orifices des
vaisseaux
lymphatiques, VL, V L ; les autres vides ou donna
particulier. Les trompes, TT, sont volumineuses, parcourues par des
vaisseaux
sanguins et longées par des vaisseaux lymphatique
olumineuses, parcourues par des vaisseaux sanguins et longées par des
vaisseaux
lymphatiques; ce volume de la trompe tient moins
es ovules. Considérations générales sur la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. I. Au risque de paraître paradoxa
l'existence de la phlébite utérine. II. La présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques de l'utérus est aussi fréquente, que
, soit du péritoine, soit de ses annexes, la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins, s'accompagne le plus ordina
a phlébite , sont assez rares dans le cas de présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. La pleurésie simple ou double, est
fficile de faire la part du rôle que joue la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, d'autant plus que toutes peuvent ex
mphatique. J'ai donc été forcé de renoncer au rapprochement entre les
vaisseaux
lymphatiques purulens et les veines charriant du
erçu, que les péritonites accompagnées de la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, m'ont paru plus fréquemment suivies
l'utérus, j'ai trouvé de petites collections de pus concret dans les
vaisseaux
lymphatiques qui longent les bords de cet organe
le résumé des caractères anatomiques avec lesquels se présentent les
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. On les trouve presque
ls communiquent entr'eux , lorsque les ampoules appartiennent au même
vaisseau
, et sont indépendants les uns des autres lorsqu'e
sont indépendants les uns des autres lorsqu'elles appartiennent à des
vaisseaux
différents. Du reste, il est extrêmement facile d
este, il est extrêmement facile de distinguer la surface interne d'un
vaisseau
lymphatique, de la surface interne d'un abcès à s
lvules. Il n'est pas moins facile de distinguer les veines d'avec les
vaisseaux
lymphatiques, et de constater l'intégrité des vei
er l'intégrité des veines dans les cas de cette espèce. Le nombre des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus est extrêmement variab
nt variable. Il m'est arrivé de ne rencontrer du pus que dans un seul
vaisseau
. Le pus ne m'a paru franchir que dans un seul cas
s qui sont en général la limite# Le pus s'arrête quelquefois dans les
vaisseaux
lymphatiques à une certaine distance des ganglion
du pus phlegmoneux. Il est extrêmement probable que c'était dans les
vaisseaux
lymphatiques, et non dans les veines qu'existait
le pus ne m'a présenté le même aspect et la même pureté, que dans les
vaisseaux
lymphatiques. Quelquefois on rencontre au milieu
ien en physiologie qu'en pathologie. Le pus a-t-il été formé dans les
vaisseaux
lymphatiques par suite d'un travail inflammatoire
t le volume d'une plume de corbeau. Ces lignes étaient évidemment des
vaisseaux
absorbans; en effet, lorsqu'on poussait le liquid
bans; en effet, lorsqu'on poussait le liquide depuis l'origine de ces
vaisseaux
jusqu'aux ganglions lymphatiques, on n'éprouvait
mercure dans les préparations les plus délicates. On a poursuivi les
vaisseaux
lymphatiques au-dessus de la tumeur, jusque dans
il aurait fallu que l'identité du pus et du liquide contenu dans les
vaisseaux
lymphatiques eût été bien constatée. S'est-on d'a
constatée. S'est-on d'ailleurs assuré que le pus ne provenait pas des
vaisseaux
lymphatiques eux-mêmes qui auraient été enflammés
utes les difficultés de la question. Le pus a-t-il été formé dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins et extra-utérins, ou bien a-
phatiques utérins et extra-utérins, ou bien a-t-il été porté dans ces
vaisseaux
lymphatiques par voie d'absorption ? IX. Dans l
d'absorption ? IX. Dans l'hypothèse de l'absorption du pus par les
vaisseaux
lymphatiques utérins, on ne saurait admettre que
ifficile de trouver le pus blanc-jaunâtre que l'on rencontre dans ces
vaisseaux
(3). D'une autre part, il n'existe généralement a
l n'existe que de la sérosité. Il est vrai qu'on trouve égalemeut des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus dans la péritonite pse
a présence du pus dans le tissu cellulaire et de sa présence dans les
vaisseaux
lymphatiques, est tellement fréquente , que j'ai
par un grand nombre de cas, dans lesquels j'ai rencontré, tantôt des
vaisseaux
lymphatiques pleins de (1) Voyez Essai sur V' A
ysiologie, t. 2, p. 218. (3) On pourrait cependant admettre que les
vaisseaux
lymphatiques ont la faculté de s'emparer du pus,
lté de s'emparer du pus, au milieu d'éléments hétérogènes , comme les
vaisseaux
chylifères puisent le chvle au milieu des matière
pus au milieu d'un tissu cellulaire sain, tantôt, au contraire, des
vaisseaux
lymphatiques sains au milieu d'un tissu cellulair
tré d'une gande quantité de pus. XI. Si l'existence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques était un fait physiologique d'absorp
retrouver ce liquide toutes les fois que la matière à absorber et les
vaisseaux
qui absorbent sont en présence. Or, dans un grand
en présence. Or, dans un grand nombre de péritonites puerpérales, les
vaisseaux
lymphatiques ne contiennent pas de pus. XII. La
tiques ne contiennent pas de pus. XII. La transparence parfaite des
vaisseaux
lymphatiques intrà et extra-utérins pleins de pus
êmes, soit dans le tissu cellulaire environnant , à tel point que ces
vaisseaux
s'effacent et disparaissent lorsqu'ils ont été vu
s circonstances éloignent l'idée d'une inflammation dans cet ordre de
vaisseaux
. XIII. La dilatation si considérable des vaisse
ans cet ordre de vaisseaux. XIII. La dilatation si considérable des
vaisseaux
lymphatiques qui atteignent quelquefois le volume
Car une extensibilité presqu'illimitée est l'attribut de cet ordre de
vaisseaux
, et nous avons vu d'ailleurs que, dans l'état de
seaux, et nous avons vu d'ailleurs que, dans l'état de grossesse, les
vaisseaux
lymphatiques ont participé d'une manière extraord
tous les élémens organiques de l'utérus. XIV. L'inaltérabilité des
vaisseaux
lymphatiques est partagée par les ganglions injec
phatiques est partagée par les ganglions injectés de pus auxquels ces
vaisseaux
aboutissent. Les ganglions injectés de pus ressem
Je regarde donc comme chose démontrée, la circulation du pus dans les
vaisseaux
et les ganglions lymphatiques sains. Mais il ne d
le que ce pus ait été produit par inflammation dans une partie de ces
vaisseaux
antérieure dans l'ordre de la circulation, à cell
lle est appuyée sur les observations suivantes: i° Souvent autour des
vaisseaux
lymphatiques qui rampent à la surface de l'utérus
la surface de l'utérus, on trouve de la sérosité infiltrée, de petits
vaisseaux
injectés; en outre les parois de ces vaisseaux pr
é infiltrée, de petits vaisseaux injectés; en outre les parois de ces
vaisseaux
présentent une couleur opaline, un épaississement
s l'état typhoïde, à un phlegmon érysipèlateux de la jambe. Plusieurs
vaisseaux
lymphatiques, superficiels et profonds du membre
s inguinaux étaient injectés. Jusqu'au tiers moyen de la cuissse, ces
vaisseaux
étaient entourés d'un tissu cellulaire dense, inf
derniers arguments en faveur de la formation du pus, au sein même des
vaisseaux
lymphatiques, j'invoquerai : i° une observation q
plus bas, dans laquelle je trouvai pour toute lésion du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, sans la moindre trace, soit de péri
. XVII. Si la question relative à la source du pus contenu dans les
vaisseaux
lymphatiques peut être considérée comme une quest
question relative aux effets de la présence du pus dans cet ordre de
vaisseaux
. Nous l'avons dit (XIe livr.) à l'occasion de la
tes les fois qu'il existe du pus dans une veine, si l'oblitération du
vaisseau
au-dessus et au-dessous, si l'oblitération de tou
nterceptent pas complètement toute circulation du pus contenu dans ce
vaisseau
, il y a infection du sang; le pus arrêté dans tel
efforts de l'art. En serait-il de même de la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques ? Le sang serait-il infecté par le p
ite des piqûres envenimées, dans les amphithéâtres de dissection. Les
vaisseaux
lymphatiques qui répondent à la petite plaie, s'e
ne prouve qu'ils aient été le produit de la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. XIX. Le fait indiqué plus haut, s
aux accidents primitifs , semblerait dénoter qu'il se passe dans les
vaisseaux
lymphatiques quelque chose de semblable à ce qui
ffet le phénomène de l'absorption. L'absorption s'opère donc dans les
vaisseaux
absorbants eux-mêmes. XX. Il suit de cette disc
cette discussion t que dans les cas où l'on rencontre du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, il est probable que ce pus a été fo
lymphatiques, il est probable que ce pus a été formé au sein même des
vaisseaux
, dans un point plus ou moins rapproché de leur or
e lymphatique ; mais que le pus une fois formé peut circuler dans les
vaisseaux
sains, jusqu'à une distance plus ou moins considé
dans le lieu de son origine $ et tantôt libre, en circulation dans le
vaisseau
. XXL Les questions de thérapeutique, relatives
s questions de thérapeutique, relatives à la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, sont encore prématurées, il faudrai
t été donné de rencontrer , dans laquelle la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques était la seule altération cadavériqu
rulente du tissu cellulaire sous-péritonéal. Présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. Lanfray, 27 ans, d'une forte cons
isseur et dans la moitié supérieure de la longueur de ce canal. Les
vaisseaux
lymphatiques qui longent les côtés de l'utérus, c
pes, on voyait un très grand nombre d'orifices béants appartenant aux
vaisseaux
lymphatiques (voyez pl. I et III). Les veines uté
difficile de déterminer le rôle qu'a pu jouer le pus contenu dans les
vaisseaux
lymphatiques. Typhus puerpéral mortel en vingt-
heures. Péritonite. Inflammation du tissu cellulaire sous-péritonéal.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Ramollissement d'un o
infiltré de pus : on voyait, le long de la veine ovarique gauche, des
vaisseaux
lymphatiques d'un volume extrêmement considérable
ouble, séro-purulente, au milieu de laquelle se voyaient une foule de
vaisseaux
lymphatiques pleins d'un pus jaunâtre. L'infiltra
re. Typhus puerpéral mortel en quinze heures. Péritonite purulente.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Ramollissement aigu a
n lié que celui qui sort de l'ouverture d'un abcès phlegmoneux. Les
vaisseaux
lymphatiques qui longent les bords de l'utérus, c
ulente. Infiltration de pus dans le tissu cellulaire sous-péritonéal.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Pus dans la trompe ut
sentère. Au milieu de cette infiltration, on suivait avec peine des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus, le long des veines ov
g des veines ovariques, droites et gauches. L'injection purulente des
vaisseaux
lymphatiques m'a paru plus rare du côté gauche, q
s, disposées en réseau. Ces lignes saillantes étaient formées par des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus qui soulevaient le pér
ement celle représentée pl. 2. L'injection purulente était bornée aux
vaisseaux
lymphatiques superficiels. Les veines utérines ét
icile de faire la part de l'influence que la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques a exercée sur les symptômes et sur l
senteraient des combinaisons nouvelles de la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques avec la péritonite, avec l'inflammat
Il n'y a pas le moindre parallèle à établir pour l'aspect entre les
vaisseaux
lymphatiques utérins pleins de pus, et les veines
ou grisâtre; la couche utérine qui l'environne est injectée; dans les
vaisseaux
lymphatiques, si vous évacuez le pus, vous diriez
s les vaisseaux lymphatiques, si vous évacuez le pus, vous diriez des
vaisseaux
parfaitement sains. Si vous en exceptez la dilata
absence d'injection que dans l'état naturel. Ce sont sans doute des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus, et non point des vein
ar une véritable absorption. Mais que devient le pus contenu dans les
vaisseaux
lymphatiques ? Les observations suivantes répondr
cette question. Péritonite pseudo-membraneuse latente. Pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. Double pleurésie pseudo-membraneu
ong des intestins. Tissu cellulaire sous-péritonéal très-sain ; les
vaisseaux
lymphatiques qui répondentaux angles supérieurs d
eurésie chronique, au bout de 2, 3, 4 mois. Le pus contenu dans les
vaisseaux
lymphatiques commençait à se concréter par l'abso
oins long à d'autres maladies consécutives, j'ai rencontré le pus des
vaisseaux
lymphatiques, concret à la manière du mastic de v
ète. L'observation suivante établit que la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, peut avoir lieu sans péritonite, sa
Mort le neuvième jour. Pour toute lésion cadavérique, pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. Girardot (Marguerite) 56 ans, for
onite ; point d'inflammation du tissu cellulaire sous-péritonéal. Les
vaisseaux
lymphatiques superficiels de l'utérus forment des
upérieur et par conséquent n'atteint pas les ganglions lombaires. Ces
vaisseaux
ouverts donnent issue à un pus qui jouit d'une ce
blables au coagulum qu'on rencontre dans les veines. Plusieurs de ces
vaisseaux
lymphatiques aboutissaient aux ganglions qui occu
saient aux ganglions qui occupent le trou sous-pubien. Les parois des
vaisseaux
étaient entourées d'un tissu cellulaire dense, et
ourées d'un tissu cellulaire dense, et les orifices des coupes de ces
vaisseaux
ne s'affaissaient pas complètement. En coupant
s de pus ; ces ouvertures appartenaient, non à des veines, mais à des
vaisseaux
lymphatiques, lesquels formaient des aréoles entr
aladie puerpérale mortelle, offrant pour toute lésion du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins; mais, quoique unique, cette
servation n'en prouve pas moins : i° que le pus peut exister dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins, indépendamment de la périto
térus, des ovaires et des trompes; i° que la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques, doit être considérée comme la consé
n de l'absorption de ce liquide, mais de l'inflammation propre de ces
vaisseaux
. Quant au diagnostic de cette maladie, il est b
l'autre de ces lésions doit convenir d'ailleurs à l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques. MALADIES DE L'UTÉRUS» Tumeurs f
sseur de ses parois, par la mollesse de son tissu, par le calibre des
vaisseaux
qui le traversent de toutes parts, représente , t
èces de géodes, C,C, remplies de sérosité; elle est traversée par des
vaisseaux
veineux très considérables, V, V, V, remplis de s
le déchirement de la couche qui recouvre les tumeurs ; et si de gros
vaisseaux
se trouvent compris dans l'épaisseur de cette cou
a face et des extrémités, c'est-à-dire des parties les plus riches en
vaisseaux
capillaires, une suppression complète ou presque
les ouvre, il ne sort que quelques gouttes de sang contenues dans le
vaisseau
; bien plus, la section de l'artère brachiale, pra
s développés; les reins sont très petits; vessie contractée; tous les
vaisseaux
abdominaux* artères et veines, sont remplis d'u
ion d'un rouge-brun uniforme résultant de l'injection des plus petits
vaisseaux
: cette rougeur intense au voisinage de la valvul
ieu différente de celle qui résulte de la stagnation du sang dans les
vaisseaux
veineux, à la suite d'obstacles à la circulation;
à peu près les mêmes, et sur le cadavre, et sur le sang retiré des
vaisseaux
par la saignée : l'absence de sérum, la consistan
és de sérosité, comme dans les maladies avec agonie râleuse; les gros
vaisseaux
artériels et veineux contiennent une plus ou moin
à un simple frémissement, ne projette plus le sang que dans les gros
vaisseaux
. Dire quelle est la limite qui sépare les cas où
ranimer la circulation par la déplétion mécanique du cœur et des gros
vaisseaux
: ils ont saigné dans le choléra comme on saigne
hie du même ventricule ; la source de l'hémorrhagie apparaît dans des
vaisseaux
veineux déchirés, V V V, qui rampent à la surface
moses qui tiennent probablement à la même cause que l'apoplexie ; les
vaisseaux
de ces organes se déchireraient comme ceux du cer
us avons vu la tumeur herniaire qui était très petite. Le nerf et les
vaisseaux
sous-pubiens, IS V, étaient situés à son côté ext
étaient situés à son côté externe et antérieur, le nerf en avant, les
vaisseaux
en arrière: le muscle obturateur externe ayant ét
tumeur au-dessous du muscle pectine, ses rapports avec le nerf et les
vaisseaux
sous-pubiens qui ne se trouvent pas derrière le s
outes les hernies. 5° A débrider en bas et endedans pour éviter les
vaisseaux
qui se trouvent en dehors. Ce débridement devrait
art; il était infiltré de sérosité. Le sérum suivait la direction des
vaisseaux
et donnait au placenta un volume très considérabl
ou par petites masses formant gravier est bien évidemment dans les
vaisseaux
artériels. Rien de plus fréquent que cette espèce
s celluleux, et que ces kystes sont le produit d'une dégénération des
vaisseaux
. Apoplexie du placenta. On rencontre quelquefoi
e séparation a eu lieu : ces points rouges sont dus à la déchirure de
vaisseaux
sanguins extrêmement déliés et en quelque sorte m
u cœur. Ces tubercules étaient arrondis, très cohérens et entourés de
vaisseaux
. On voyait en outre à la face interne du lobe sup
cœur avait lieu à l'aide d'une cellulosité traversée par une foule de
vaisseaux
très flexueux et contournés : la surface interne
, demi transparens, desquels partaient comme d'un centre une foule de
vaisseaux
radiés. Ces tubercules paraissaient le résultat d
n outre dans le méso-colon iliaque et dans le mésorectum, le long des
vaisseaux
, des petits foyers purulents. La membrane inter
tait plus avancé; le pus commençait à se réunir en foyer. On voit les
vaisseaux
qui tapissent les parois ou qui traversent les fo
seaux qui tapissent les parois ou qui traversent les foyers ; car les
vaisseaux
sont généralement respectés par le pus qui les di
ïdien. Dans d'autres cas, lorsque la mort a été rapide, on trouve les
vaisseaux
spinaux fortement injectés, le tissu cellulaire s
ar une dilatation des veines, mais encore par une augmentation de ces
vaisseaux
dans le sens de leur longueur ; si bien que des v
ation a lieu uniformément dans tous les points de la circonférence du
vaisseau
, le sang circule librement, il n'y a pas de vari
ent, il n'y a pas de varice; mais si un point de la circonférence des
vaisseaux
s'altère dans sa structure, s'il cède, alors le s
ans l'autre il y a altération des parois veineuses; que dans l'une le
vaisseau
remplit toutes ses fonctions relatives à la circu
ette perméabilité fût une cause d'atrophie du foie, en ce sens que ce
vaisseau
serait bien plus apte à porter le sang du foie ve
. Etat ataxique. Pus et pseudo-membranes dans la cavité du péritoine.
Vaisseaux
lymphatiques utérins pleins de pus. Ramollissemen
ppurations musculaire et articulaire avec la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins , ou avec des pleurésies aig
dans l'épaisseur des ligaments larges , et le long de la trompe, des
vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Les veines utérines
tissu cellulaire libre de la cuisse et de la jambe. Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins passée a ïétat chronique. In
igaments larges à droite. Ces collections avaient leur siège dans les
vaisseaux
lymphatiques. Des collections purulentes plus con
n du duodénum, à côté du rein; 2° le long du psoas, sur le trajet des
vaisseaux
lymphatiques ; derrière le trou obturateur. La le
it évidemment son siège dans les ganglions lombaires ; la 2e dans les
vaisseaux
lymphatiques eux-mêmes ; la 3e dans les ganglions
névrotique. Je ferai remarquer la coïncidence de l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins et ovariques et des ganglion
effet ? Plusieurs faits me portent à croire que l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques est primitive et que celle des synov
quence. J'appellerai encore l'attention sur le pus contenu dans les
vaisseaux
,lymphatiques. Ce pus était épais, consistant, pre
pus a été préalablement liquide, et le résultat de l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques. Ce fait prouve encore i° la possibi
prouve encore i° la possibilité de la guérison de l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques , en même temps qu'il établit le méc
oins de danger que dans le système veineux. 3° Que l'inflammation des
vaisseaux
lym* phatiques, ou la présence du pus dans cet or
des vaisseaux lym* phatiques, ou la présence du pus dans cet ordre de
vaisseaux
, peut avoir lieu indépendamment de la péritonite*
amment de la péritonite* Péritonite hypogastrique. Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins. Suppuration dans Varticulat
à demi concret-Les parois de ce petit foyer ne sont évidemment qu'un
vaisseau
lymphatique très dilaté. La muqueuse des voies
ont suivi l'accouchement: péritonite hypogastrique ; inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins combattus avec succès ; le s
l rapport y a-t-il entre le rhumatisme et la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques ? EXPLICATION ues FIGURES 2, 3, 5'
i agit d'une manière égale sur tous les points de la circonférence du
vaisseau
. Ces points soulevés peu-à-peu constituent une po
matière plâtreuse ou puriforme, qui s'est fait jour dans la cavité du
vaisseau
par une ou plusieurs ouvertures; le sang a rempli
férieure VCD contient une matière pultacée adhérente aux parois de ce
vaisseau
et identique avec celle que nous trouverons dans
erculeuse forme une masse imparfaitement limitée et parcourue par des
vaisseaux
qui la traversent en divers sens. Que les tuber
. La surface de ces tubercules est presque toujours parcourue par des
vaisseaux
extrêmement déliés. Ils sont tantôt enkystés, tan
onvertie en une bouillie opaque, demi-transparente, parcourue par des
vaisseaux
et analogue au blanc-manger. Sur la partie latéra
du corps avec le col, par le phosphate calcaire qui pénètre tous les
vaisseaux
artériels si prodigieusement flexueux. Il n'y a
atière jaune doré, jaune brunâtre. Ce kyste pouvait être énuclé : des
vaisseaux
hépatiques de divers ordres étaient appliqués, sa
onchiques qui se concilie avec l'état d'intégrité de ces organes. Les
vaisseaux
lymphatiques qui aboutissent à ces ganglions, ou
Le foie était occupé par une multitude de masses consistantes, sans
vaisseaux
apparens, et criant sous le scalpel : plusieurs d
notablement déprimée au niveau des circonvolutions postérieures. Des
vaisseaux
nombreux rampent à la surface de l'organe. Au niv
est remplacée par une cellulosité jaune-sale, parcourue par quelques
vaisseaux
; cette trame celluleuse était peu cohérente, et
, est convertie en une espèce de bouillie jaunâtre, traversée par des
vaisseaux
sanguins et du tissu cellulaire lâche. Cervelet
rai occasion de revenir ailleurs, et par le développement de quelques
vaisseaux
capillaires. Dans l'hémisphère droit, l'une des
empare d'un point de la cicatrice ou d'un travail d'érosion limité au
vaisseau
. La mort est la conséquence aussi prompte qu'in
ement. Observations et considérations générales. . . , Maladies des
vaisseaux
lymphatiques. Matière tuberculeuse dans les vaiss
Maladies des vaisseaux lymphatiques. Matière tuberculeuse dans les
vaisseaux
lactés; origine de ces vaisseaux dans les papille
iques. Matière tuberculeuse dans les vaisseaux lactés; origine de ces
vaisseaux
dans les papilles intestinales; leur trajet dans
décri- rons dans l'ordre suivant : dure-mère, arachnoïde, pie-mère,
vaisseaux
, tumeurs, faisceaux blancs, substance grise, ra
plus note-t-on quelques traî- nées embryonnaires le long des petits
vaisseaux
qui la parcourent ; sa sur- face jnterne, intim
saine, .alors qu'au même niveau, en face d'elle, les racines et les
vaisseaux
pie- mériens sont manifestement envahis par le
r des racines antérieures, forme des amas plus abondants autour des
vaisseaux
pie-mériens. Nous verrons plus loin sous quel a
-mériens. Nous verrons plus loin sous quel aspect se présentent les
vaisseaux
de calibre, artères et veines spinales ; l'enga
s spinales ; l'engaînement embryonnaire est le même pour les petits
vaisseaux
issus du réseau pie-mérien, qui pénètrent dans
l'infiltration des gaines vasculaires ou des tuniques externes des
vaisseaux
. ' IV. Vaisseaux. Les vaisseaux périmédullaires
gaines vasculaires ou des tuniques externes des vaisseaux. ' IV.
Vaisseaux
. Les vaisseaux périmédullaires nous offrent d'imp
ires ou des tuniques externes des vaisseaux. ' IV. Vaisseaux. Les
vaisseaux
périmédullaires nous offrent d'impor- tantes lé
longent considérablement l'ellipse dessinée par la coupe aplatie du
vaisseau
(igA5, A) ; ces amas cellulaires se diffusent au-
vaisseau (igA5, A) ; ces amas cellulaires se diffusent au- tour du
vaisseau
et se mêlent aux traînées embryonnaires qui infil
ndartérite s'épanouit dans son type le plus complet : la lumière du
vaisseau
est totalement comblée par la prolifération de l'
certain degré d'endarté- rite, qui rétrécit le calibre : autour du
vaisseau
se voient encore des amas cellulaires d'inflamm
nts, les noyaux se grou- pent en amas qui flanquent un des bords du
vaisseau
; plus haut, les lésions s'accentuent : on peut
t par l'envahissement des éléments embryonnaires, que la lumière du
vaisseau
disparaît; à ce niveau l'infiltration de l'advent
traînées cellulaires qui criblent la pie- mère dans le voisinage du
vaisseau
. / , La veine spinale postérieure, quel que soi
oblité- rée. . Nous n'insisterons pas sur les lésions des autres
vaisseaux
de la cavité sous-arachnoïdienne; elles sont po
ne diffèrent pas des lésions que nous ' venons de décrire pour les
vaisseaux
de gros calibre. Les vaisseaux intramérlullaire
nous ' venons de décrire pour les vaisseaux de gros calibre. Les
vaisseaux
intramérlullaires démontrent par la nature, l'imp
lées et parfois desquamées rétrécissent et encombrent la lumière du
vaisseau
. Les veines sont également entourées d'une gain
ué que par une matière amorphe granu- leùse, traversée par quelques
vaisseaux
de petit calibre, reconnaissables à leurs globu
les dont les voies d'apport sont nettement dessinées par les petits
vaisseaux
issus de la périphérie du névraxe ; chaque artéri
de la moelle d'innombrables cellules ; des extrémités ramifiées des
vaisseaux
ces élé- ments se déversent dans les interstice
ant la tumeur aux méninges de part et d'autre du sillon médian. Les
vaisseaux
pré- sentent les mêmes lésions, et dans les poi
doute à une ischémie récente par le fait de l'oblitération des gros
vaisseaux
extramédullaires, commençaient à être envahies pa
ire. Ici comme partout, l'infiltration est guidée, conduite par les
vaisseaux
; ceux-ci, sur les coupes des racines, sont nombre
irculation collatérale destinée à compenser l'oblitération des gros
vaisseaux
juxtaspinaux. L'infiltration embryonnaire ne re
ifs; nous avons, en effet, dans les altérations des méninges et des
vaisseaux
, le type le plus parfait des lésions syphili- t
la moelle par lésions vasculaires, les lésions remarquables de ces
vaisseaux
mêmes, périartérite généralisée, endartérite ob
: c'est la participation simultanée au processus des deux ordres de
vaisseaux
, artères, et veines; nous avons vu combien étai
artères de calibre, puisqu'elles aboutissaient à l'oblitération du
vaisseau
en plusieurs points ; quant aux veines, elles é
s'étendait sur une hauteur de 6 à 7 millimètres. A son niveau, les
vaisseaux
étaient épaissis et leur calibre était considérab
Çà et là, on trouvait dans la substance médul- laire et autour des
vaisseaux
des sillons et commissures, des masses vitreu-
ement des tuniques de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des
vaisseaux
de la région cervicale de la moelle. Di- verses
issociés, d'autres libres sont extrêmement grêles. Les tuniques des
vaisseaux
sont épaissies. La substance grise est disposée
nt de véritables foyers de ramollissement. La pie-mère présente des
vaisseaux
distendus par le sang et, çà et là, de peti- te
s nerveuses. Il existe de l'endartérite. Autour de quelques-uns des
vaisseaux
qui sont atteints d'endartérite oblité- rante,o
touré par la dure-mère épaissie et par un tissu conjonctif riche en
vaisseaux
, formant des replis anormaux avec des vaisseaux
conjonctif riche en vaisseaux, formant des replis anormaux avec des
vaisseaux
très dilatés. Sur les coupes microscopiques, on
re épaissie,infiltrée d'éléments arrondis et renfermant de nombreux
vaisseaux
dilatés. Le canal central n'a plus sa forme de
nvironnant, forment des replis anormaux qui contiennent de nombreux
vaisseaux
dilatés. Il y lit quelque chose d'analogue à ce
t la pie-mère présentent de longues lacunes hémorrhagiques avec des
vaisseaux
très dilatés. La moelle, extrêmement réduite de v
ividualité fonctionnelle plus marquée, la moelle, les méninges, les
vaisseaux
semblent agir, être frappés davantage chacun pour
dulte si difficiles à différencier anatomiquemont des scléroses des
vaisseaux
observées dans les infections autres que la syp
étaient,de la même façon, intéressés dans toute leur étendue. Les
vaisseaux
de la pie-mère et de la substance blanche, artère
e spinal tout entier, portant principalement sur la pie-mère et ses
vaisseaux
, et in- téressant, de ce fait, secondairement l
male ; quant à la moitié interne, à partir du point d'émergence des
vaisseaux
centraux, elle disparaît entièrement sous la ch
vidualité fonctionnelle plus marquée : la moelle, les méninges, les
vaisseaux
semblent agir, être frappés davan- tage chacun
phénomène généralisé à tous les muscles de l'économie : parois des
vaisseaux
sanguins, de l'intestin, des bronches, sphincte
et le bulbe ne sont le siège d'aucune altération macroscopique. Les
vaisseaux
et les nerfs de la base du crâne ne présentent
eaux colorés d'une façon homogène. Les méninges sont épaissies, les
vaisseaux
ont des parois élargies. Le tissu conjonctif de
, avec autopsie, montrent la synoviale épaissie, vascularisée, avec
vaisseaux
remplis de sang et dilatés, c'est une pachysy-
mment, frappés par la syphilis héréditaire sont les méninges et les
vaisseaux
, la moelle subit le contre- coup des lésions mé
e dans les sepla conjonctifs que la pie-mère lui envoie ou dans les
vaisseaux
qu'ils suppor- tent, soit que la néoplasie soit
endait sur une hauteur de six il sept millimètres. A son niveau')es
vaisseaux
étaient épaissis et leur calibre était considér
se. Ça et là on trouvait dans la substance médullaire et autour des
vaisseaux
des sillons et commissures, des masses vitreuse
ssement des tuniques de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des
vaisseaux
de la région cervicale de la moelle. Diverses l
, aussi -bien dans la moelle elle-même que dans les enveloppes, les
vaisseaux
et les racines, on observe des altérations plus
mailles, infiltré de cellules rondes et dans lesquelles à côté des
vaisseaux
très altérés serpentent de nombreux vaisseaux n
lesquelles à côté des vaisseaux très altérés serpentent de nombreux
vaisseaux
néoformés, on y trouve aussi des hémorrha- gies
mais la région moyenne et in- férieure de la moelle dorsale. Les
vaisseaux
les plus petits et les plus grands de la pie-mère
e la tunique musculaire. Au contraire la structure des parois de ce
vaisseau
dans la partie supérieure de la moelle dorsale
ée de sang. On trouve ces mômes altérations dans les gros et petits
vaisseaux
de la pie- mère et j'insiste dès maintenant sur
te dès maintenant sur ce point, elles se rencontrent aussi dans les
vaisseaux
de la substance blanche, les vaisseaux de la subs
e rencontrent aussi dans les vaisseaux de la substance blanche, les
vaisseaux
de la substance grise sont intacts. A côté de v
lanche, les vaisseaux de la substance grise sont intacts. A côté de
vaisseaux
totalement oblitérés on en voit qui ont des espac
dans la moelle sont partout tuméfiés, élargis ; sur eux et sur les
vaisseaux
qu'ils supportent, l'infiltration de cellules, ro
s. La substance grise et surtout les cellules ganglionnaires et les
vaisseaux
ne présentent pas d'altérations, à part les pet
rpuscules nucléaires ainsi que des prolongements bien for- més. Les
vaisseaux
n'y présentent pas d'épaississement de leurs paro
mme dans la moelle on trouve dans les septa conjonctifs ou dans les
vaisseaux
des cellules rondes. Cependant dans la région s
issociés, d'autres fibres sont extrêmement grêles. Les tuniques des
vaisseaux
sont épaissies. La substance grise est disposée
nt de véritables foyers de ramollissement. La pie-mère présente des
vaisseaux
distendus par le sang et çà et là. de petites d
nerveuses. Il existe de l'endarté- rite. Autour de quelques-uns des
vaisseaux
qui sont atteints d'endartérite obli- térante o
touré par la dure-mère épaissie et par un tissu conjonctif riche en
vaisseaux
, formant des replis anor- maux avec des vaissea
njonctif riche en vaisseaux, formant des replis anor- maux avec des
vaisseaux
très dilatés. Sur les coupes microscopiques on
e épaissie, infiltrée d'éléments arrondis et renfermant de nombreux
vaisseaux
dilatés. Le canal central n'a plus sa forme de
environnant forment des replis anormaux qui contiennent de nombreux
vaisseaux
dilatés. Sur la coupe faite immédiatement au-de
t la pie-mère présentent de longues lacunes hémorrhagiques avec des
vaisseaux
très dilatés. La moelle, extrêmement réduite de v
que dans les tractus conjonctifs on en rencontre beaucoup plus. Ces
vaisseaux
n'ont que de minces parois, endothélium et adve
nt d'une façon intense et brillante les couleurs d'anyline. « Les
vaisseaux
plus gros des méninges, artères comme veines, son
ns de la tunique interne ; on trouve pourtant tantôt tout autour du
vaisseau
, tantôt autour d'une partie seulement, entre la m
es et moyennes artères. Mais il est remarquable que fréquemment des
vaisseaux
au milieu d'une région relativement favorable p
rition de la substance ner- veuse, des fibres blanches. Quant aux
vaisseaux
de la moelle, ils sont un peu augmentés de nombre
sont, elles aussi, bourrées de noyaux. Les tuniques de beaucoup de
vaisseaux
, surtout de ceux qui traversent les cônes nuclé
sont larges, les travées très minces de ce réticulum supportent des
vaisseaux
dont les parois sont d'une ténuité extrême, dont
ce extradural. est envahi par un tissu conjonctif très serré où les
vaisseaux
tiraillés, comprimés prennent des formes irréguli
de stratifications conjonctives au milieu desquelles il y a peu de
vaisseaux
et pas de noyaux pour ainsi dire. Elle adhère d
ante. 1 LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 297 Les
vaisseaux
de la moelle proprement dite sont, pour les artèr
aspect mais perméables et le plus souvent gorgés de sang, pour les
vaisseaux
radiés, on reconnaît bien leur gaine lymphatiqu
s que les postérieures. Chaque fascicule contient un ou plu- sieurs
vaisseaux
toujours à parois très minces à lumière arrondie.
ment plus épais, séparé du tissu nerveux et dans lequel courent des
vaisseaux
plus ou moins gorgés de sang. Elle adhère faibl
e fibreuse, pourrait en imposer pour un produit pathologique. Les
vaisseaux
n'ont pas la régularité des descriptions classiqu
seaux n'ont pas la régularité des descriptions classiques. Les gros
vaisseaux
spinaux antérieurs sur une même moelle sont très
es 298 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE parois minces. Les
vaisseaux
sont entourés d'un tissu conjonctif formé par l
jonctif est mince, délicat, sans noyau et assez souple pour que les
vaisseaux
ne soient pas déformés. En arrière on trouve gé
aisseur régulière, non in- filtrées de cellules et que surtout, ces
vaisseaux
semblent absolument isolés, ils se détachent ne
ue nous avons trouvées. Ces lésions siègent principalement dans les
vaisseaux
d'une part, dans l'espace sous-arachnoïdien et
dans l'espace sous-arachnoïdien et les méninges d'autre part. Les
vaisseaux
. Examinons d'abord les gros troncs, l'artère et l
veine spinales antérieures. Lorsque la lésion est très intense, ces
vaisseaux
ont pour ainsi dire disparu, le tissu conjoncti
bourses irrégulières sonl creusées, plus ou moins pleines de sang,
vaisseaux
néoformés qui cherchent à suppléer les troncs n
e plus souvent on peut étudier et reconnaître les tuni- ques de ces
vaisseaux
. On remarque alors que surtout la tunique cxlernc
çon- férence en un nodule volumineux, débordant il la périphérie le
vaisseau
qui n'est plus lihre mais confondu avec l'infil
ent leurs formes n'occupentja- mais qu'un point limité du trajet du
vaisseau
, mais il est rare qu'on trouve des portions abs
tères soit dans la veine spinale postérieure; soit surtout dans les
vaisseaux
du système postéro-latélal. Il s'agit toujours
riques à la tunique élastique et remplissant à moitié la lumière du
vaisseau
. Les vaisseaux des racines ne sont pas épargnés
que élastique et remplissant à moitié la lumière du vaisseau. Les
vaisseaux
des racines ne sont pas épargnés. Comme nous l'av
omme nous l'avons vu chaque fascicule radiculaire est accompagné de
vaisseaux
qui à l'étatnor- mal n'ont qu'une paroi très mi
- sions colossales, témoin la figure VIII, qui représente un de ces
vaisseaux
. Nous verrons enfin en étudiant les lésions méd
enfin en étudiant les lésions médullaires proprement dites que les
vaisseaux
propres de la moelle ne sont pas moins atteints.
x propres de la moelle ne sont pas moins atteints. 4 Le contenu des
vaisseaux
est intéressant à noter. Les artères contiennent
trent les parties voisi- nes, et dans certains points la lumière du
vaisseau
est complètement rem- plie par ces cellules.
ndérante. L'espace sous-arachnoïdien et les méninges sont après les
vaisseaux
les parties les plus souvent atteintes par le v
iculum nous voyons un véritable feutrage conjonctif dans lequel les
vaisseaux
plus nombreux que normalement, évidemment néofo
es qui le transforment ainsi en un bloc plein où les racines et les
vaisseaux
doivent se frayer un passage. Il est très proba
cet espace, ou peut-être par les vais- seaux qui le parcourent, les
vaisseaux
des racines en particulier. La pie-mère en effe
ées d'éléments embryonnaires se pressent, surtout aux alentours des
vaisseaux
, ces éléments bientôt débor- dent de toutes par
s'amassent en nodules mi- croscopiques. Dans d'autres cas c'est des
vaisseaux
mêmes des racines, vaisseaux très altérés comme
scopiques. Dans d'autres cas c'est des vaisseaux mêmes des racines,
vaisseaux
très altérés comme nous l'avons vu, que part l'in
rties conjonctivo-vasculaires de la moelle sont plus atteintes. Les
vaisseaux
qui. ont rang d'artérioles et longent de chaque c
ue des cellules à noyaux allongés, entassés en désordre. Autour des
vaisseaux
, les noyaux embryonnaires se multiplient. ' Cet a
ux embryonnaires se multiplient. ' Cet as- pect se retrouve sur les
vaisseaux
radiés, au lieu de se présenter avec le double
e la pie-mère et au milieu desquelles on ne retrouve nul vestige du
vaisseau
, nulle trace d'hématies. Enfin la moelle au lie
et surtout par lésions vasculaires. Les artères de l'épendyme, les
vaisseaux
spinaux antérieurs sont obstrués, les racines s
où le phénomène prédominant était la congestion intense de tous les
vaisseaux
de la moelle. Il faut cependant les signaler puis
s syphilitique. Nous en avons des exemples remarquables où tous les
vaisseaux
béants, gorgés de sang donnent aux coupes des a
tre des veines latérales énormes, dans la moelle même dont tous les
vaisseaux
distendus dessinent les septa conjonctifs radié
conjonctifs radiés en longues traînées de glo- bules rouges. Les
vaisseaux
distendus à ce point finissent par se rompre. Nou
degré de lepto-méningite, tantôt l'é- paississement des parois des
vaisseaux
dans la moelle elle-même, ou bien un exsudat so
canal épendymaire normaux. - Racines non infiltrées, libres, les
vaisseaux
n'y sont pas anormalement dé- veloppés. Gangl
de stratifications conjonctives, sans infiltration nucléaire, sans
vaisseaux
. L'espace qui s'étend entre la dure-mère et la
pinales antérieures très distinctes, artères et veines des racines,
vaisseaux
de calibre moindre, ne présentent rien à si- ..
sse uniforme englobant les racines et par la distension de tous les
vaisseaux
gorgés de sang. Les cordons blancs, les cellule
sent, elles sont aussi remarquables par la distension exagérée des
vaisseaux
qui sont dans leur intérieur. Les ganglions e
le forme un triangle de tissu conjonctif très serré dans lequel les
vaisseaux
sont difficiles à distinguer. Elle est nettement
libre entre les deux méninges soit bourré de cellules rondes. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont distendus, ils sont le centre
de noyaux et surchargé de vais- seaux distendus par le sang. Les
vaisseaux
spinaux antérieurs sont noyés au milieu d'un épai
creusées irrégulièrement dans ce tissu conjonctif représentent ces
vaisseaux
, leur calibre est irrégulier, déformé, si- nueu
ian postérieur de la moelle, à l'insertion du sep- tum, deux de ces
vaisseaux
volumineux sont le siège de thrombose leucocytiqu
ique absolument remarquable ; ce n'est plus du sang que contient le
vaisseau
, mais 308 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
bondant sous forme de larges travées fibreuses rayonnant autour des
vaisseaux
. , Région dorsale. Ce qui frappe encore à un fa
e encore à un faible grossissement, c'est la distension de tous les
vaisseaux
gorgés- de sang. Sur une coupe, en particulier,
substance blanche que dans sa substance grise est parcourue par des
vaisseaux
énormément distendus. Les racines sont ici abso
en, forment une masse épaisse englobant les racines et de nombreux,
vaisseaux
à parois fibreuses. La prolifération em- bryonn
ais lacs sanguins forment des taches rosées caractéristiques. Les
vaisseaux
, les artères surtout, bien que les veines ne soie
que adventice très épaissie, confondue avec les tissus voisins. Les
vaisseaux
spinaux antérieurs paraissent ici moins atteints
t les mêmes caractères que ci-des- sus. Nous remarquons ici que les
vaisseaux
distendus de la moelle restent en- tourés de le
le qu'occupent dans chacune d'elles les capillaires distendus ; ces
vaisseaux
béants, remplis d'hématies, tiennent sur la coupe
d'apparence normale. - La 1noelte;.les racines et les méninges, les
vaisseaux
dans toute la hauteur de l'axe spinal, les gang
lésion qu'on puisse relever est une distension un peu excessive des
vaisseaux
/ Cette distension est telle que dans certaines
Légèrement macéré.- Cerveau et ses enveloppes d'apparence normale.
Vaisseaux
méningés con- gestionnés.. Le bulbe et ses en
es. L'examen microscopique ne révèle d'ailleurs rien d'anormal, les
vaisseaux
mêmes sont presque sains, on remarque seulement
cation elle se réunit au périoste par une masse fibreuse creusée de
vaisseaux
irréguliers. L'espace compris entre la dure-mèr
nche sur la teinte grise du fond. On devine encore les vestiges des
vaisseaux
englobés par le néoplasme et reconnaissables à
lques globules rouges persistent agglomérés comme contenus dans des
vaisseaux
dont les parois restent indistinctes. Les bords d
spaces interfasciculaires, la moelle elle-même présente le long des
vaisseaux
radiés qui partent de la pie-mère des sortes de t
mailles légères, et présente en certains points, surtout autour des
vaisseaux
, des amas nucléaires assez considérables. LOC
ables. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS -HÉRÉDITAIRE 311 Les
vaisseaux
sont peu malades, leurs parois sont bien infiltré
sont bien infiltrées de cellules à noyaux mais peu- épaissies. Les
vaisseaux
de plus petit calibre, les capillaires sont rem
le septum médian antérieur est très large, fibreux contenant peu de
vaisseaux
, peu de cellules embryonnaires. L'arachnoïde es
t formée de strates conjonctives entre lesquelles sont disposés des
vaisseaux
volumi- neux à parois très épaisses, et des ama
trace de dégénérescence, il s'agit d'un processus très actif. , Les
vaisseaux
sont difficiles à retrouver au milieu du tissu pa
nt difficiles à retrouver au milieu du tissu pathologique. Les gros
vaisseaux
spinaux antérieurs sont représentés par des cavit
librement-entre les racines sans toutefois envahir celles-ci. Les
vaisseaux
conservent également le même aspect que plus haut
les régions voisines en refoulant le tissu nerveux. A la place des
vaisseaux
spinaux antérieurs, on trouve des lacunes à par
du tissu conjonctif voisin qui forme ainsi d'épaisses parois à ces
vaisseaux
de formation nouvelle. L'espace compris dans l'
lombaire ne présentent rien d'analogue. A si- gnaler seulement les
vaisseaux
radiés absolument comblés par les cellules rondes
ines paraissent normales dans les régions cervicale et dorsale, les
vaisseaux
qui les accompagnent sont entourés d'un manchon c
séparée des pa- rois osseuses par un tissu fibreux serré, creusé de
vaisseaux
irréguliers. Les vaisseaux sont le siège de lés
es par un tissu fibreux serré, creusé de vaisseaux irréguliers. Les
vaisseaux
sont le siège de lésions- manifestes dans toute l
ertainement plus marquées dans la région lombaire. Ce sont les gros
vaisseaux
spinaux antérieurs qui sont le plus atteints, l'a
nternes, il y a une endophlébite manifeste. Le sang contenu dans le
vaisseau
possède une proportion absolument anormale de l
ocytes. LOCALISATIONS spinales DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 315 Les
vaisseaux
des racines sont également très altérés, leurs pa
terme, de mère spécifique. Enfant mort-né, non macéré. Cerveau. -
Vaisseaux
des méninges très distendus par le sang. Sur la p
a hauteur de celle-ci il n'y a rien à signaler que l'é- normité des
vaisseaux
distendus par le sang soit dans la moelle proprem
t dite, soit dansiez méninges, les racines, les ganglions. Mais ces
vaisseaux
ont une paroi mince, leur lumière est purement
mière est purement arrondie. C'est dans l'espace extradural que ces
vaisseaux
multipliés de nombre atteignent leurs dimensions
en qui rappelle les lésions habituelles de la syphilis même sur les
vaisseaux
, il faut se rappeler toutefois que ces lésions
médian antérieur est très large, on distingue encore nettement les
vaisseaux
spinaux antérieurs très altérés, mais dans le sil
e. r Des noyaux très abondants réunis en lignes serrées le long des
vaisseaux
forment des rayons dans ce qui reste de tissu m
sciculaires ; en certains points, ces cellules groupées autour d'un
vaisseau
forment une véritable gomme miliaire. Les gangl
de cavités irrégulières, à parois onduleuses, festonnées : coupes de
vaisseaux
néoformés gorgés de sang. ' Les gros vaisseau
onnées : coupes de vaisseaux néoformés gorgés de sang. ' Les gros
vaisseaux
spinaux antérieurs sont difficiles Ù reconnaître,
de la pie-mère. On ne peut distinguer l'artère de la veine, un des
vaisseaux
présente un épaississement marqué de sa tunique
sables à leurs noyaux allongés et pénètre jusque dans la cavité du
vaisseau
. Les vaisseaux des racines sont non moins attei
s noyaux allongés et pénètre jusque dans la cavité du vaisseau. Les
vaisseaux
des racines sont non moins atteints ; mais leurs
très épaissie, entrecoupée de fentes irrégulières représentant des
vaisseaux
de nouvelle formation. Région dorsale supérieur
mère; il n'y a que les sinuosités de la pie-mère épaissie, avec ses
vaisseaux
irréguliers. Région dorsale inférieure. Ou reco
LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 355 racines. Les
vaisseaux
ont leurs parois infiltrées de cellules rondes, m
conjonctif serré que nous avons décrit, il y a maintenant de larges
vaisseaux
béants, et le tissu de soutien pa- raît beaucou
noyaux colo- rés en violet intense. L'épendyme est normal. Les
vaisseaux
de la moelle proprement dite sont surtout remarqu
lacunes il parois épaissies, par places amas de noyaux en foyers.
Vaisseaux
. Dans la moelle, manchons leucocytiques entourant
obules rouges. Toute circulation est nettement interrompue dans ces
vaisseaux
. L'artère spinale antérieure est entièrement tr
ces tuniques ont été envahies par le pro- cessus spécifique. Les
vaisseaux
des racines ne sont pas moins altérés,endo et pér
très épaisse. Les racines sont infiltrées de cellules fondes. Les
vaisseaux
sont toujours le siège de lésion intense d'endo e
ri te. L'espace extradural rempli par le tissu fibreux présente des
vaisseaux
énor- mes, irréguliers, sans paroi autre que le
357 Les racines sont également entourées de tissu fibreux et leurs
vaisseaux
sont épaissis. \ Observation XI, 19 mars 1896
lle. Tout est normal sauf la distension véritablement excessive des
vaisseaux
, ils forment en particulier un vrai manchon sangu
nt cependant de se rendre compte de l'état normal des méninges, des
vaisseaux
, des racines et des ganglions. Observation XIII
hale paraît sain. Moelle, région cervicale : distension de tous les
vaisseaux
par le sang. Pie-mère mince, peu infiltrée, mai
SALPÊTRIÈRE Moelle. Il n'y a à noter que la congestion intense des
vaisseaux
, Tout est normal. Observation XV, 6 avril 189
i obstruent leur lumière. Dans les régions dorsale et lombaire, les
vaisseaux
sont évidemment moins altérés, surtout les spin
ce extradural reste toujours comblé de tissu I-'ougeàtre parsemé de
vaisseaux
béants visibles à l'aeil nu. Dans la région d
e à laquelle elle semble du reste adhérer d'une manière intime. Les
vaisseaux
propres de la moelle, les septa pie-mériens ne pr
des amas de cellules embryonnaires entourant les capillaires et les
vaisseaux
néoformés, aplatis, à lumière anfractueuse, autou
tes minces irrégulières et sinueuses creusées dans la pie-mère. Les
vaisseaux
des groupes postérieurs et latéraux, sont moins a
spect que nous venons de décrire. La moelle a sa forme normale, ses
vaisseaux
propres sont éminemment dis- tendus, une double
ose par l'éosine et contenant de très rares cellules à noyau. Les
vaisseaux
spinaux antérieurs sont manifestement épaissis, l
ir fait disparaître entièrement sa lumière absolument obstruée. Les
vaisseaux
latéraux sont impossible it voir, ils ont disparu
l'arachnoïde. L'espace extradural contient naturellement aussi des
vaisseaux
très distendus, mais ils sont contenus dans un
it médiane de l'espace sous- arachnoïdien postérieur, au niveau des
vaisseaux
postérieurs. Les vaisseaux ne sont pas absolume
arachnoïdien postérieur, au niveau des vaisseaux postérieurs. Les
vaisseaux
ne sont pas absolument sains, ils semblent cepend
elle est complètement disparue sous l'envahissement nucléaire. Les
vaisseaux
latéraux ont des parois très épaisses et dans les
isseaux latéraux ont des parois très épaisses et dans les racines les
vaisseaux
sont les centres de nodules embryonnaires. Dure
e la moelle normale, abstraction faite de la dilatation de tous les
vaisseaux
. Moelle se colorant parfaitement dans tous ses
ans noyaux. Espace extradural contenant un réseau très délié où les
vaisseaux
béants à parois minces ont un calibre arrondi trè
ux béants à parois minces ont un calibre arrondi très ré- gulier.
Vaisseaux
à parois distinctes, minces, étroites, artère apl
ie, pleine de sang. De même pour veines spi- nales postérieures, et
vaisseaux
radiculaires. Observation XXIIi, 8 juillet 1896
tres errent entre les racines. L'espace extradural est fibreux, des
vaisseaux
anfractueux, signe de rétraction des tissus voisi
bien colorée, la substance blanche est seulement parcourue par des
vaisseaux
distendus dont les gaines sont remplies de cellul
m volumineux, entièrement fibreux, contenant peu de noyaux. ' Les
vaisseaux
spinaux antérieurs sont sains, mais les vaisseaux
de noyaux. ' Les vaisseaux spinaux antérieurs sont sains, mais les
vaisseaux
latéraux sont entourés d'une prolifération embr
tout en arrière. L'arachnoïde s'applique intimement sur elle. Les
vaisseaux
sont facilement reconnaissables, ils ne paraissen
dien en arrière. Mais il persiste une dilatation énorme de tous les
vaisseaux
aussi bien des gros vaisseux spinaux antérieurs
s vaisseaux aussi bien des gros vaisseux spinaux antérieurs que des
vaisseaux
pie-mériens ou des vaisseaux radiculaires. La m
os vaisseux spinaux antérieurs que des vaisseaux pie-mériens ou des
vaisseaux
radiculaires. La moelle elle-même est sillonnée
de noyaux colorés, le septum médian antérieur est très large. Les
vaisseaux
sont très altérés. On reconnaît l'artère spinale
e confond avec la dure-mère en beaucoup d'endroits, les lésions des
vaisseaux
soit au niveau de l'insertion du septum médian
septum médian antérieur, où au milieu du tissu fibreux serré un seul
vaisseau
se montre, si altéré dans ses parois qu'il est
ération conjonctive excessive dos fins réseaux normaux, de nombreux
vaisseaux
néoformés à parois anfractueuses sont creusés dan
de l'insertion du septum médian antérieur une masse fibreuse où les
vaisseaux
se montrent très altérés, bien que cependant en
en que cependant encore perméables. Les parois très épaisses de ces
vaisseaux
sont remarquables par le peu d'affinité que les
e-ci a conservé dans toute son étendue ses caractères normaux ; les
vaisseaux
sont seulement très distendus et le sang qu'ils
pie-mère à la moelle, et l'épaisseur exagérée de la dure-mère. Les
vaisseaux
sont distendus par le sang mais leurs parois so
einte dans ses parties conjonctives, sep- tum médian, septa radiés,
vaisseaux
de l'épendyme, vaisseaux radiés,pré- sente soit
njonctives, sep- tum médian, septa radiés, vaisseaux de l'épendyme,
vaisseaux
radiés,pré- sente soit de l'épaississement fibr
par le développement de tumeurs gommeuses nées aux dépens de leurs
vaisseaux
; ceux-ci sont très souvent altérés. Il ne semb
l'arachnoïde et la pie-mère, région qui sert surtout de passage aux
vaisseaux
et aux racines. Cette infiltration peut être te
ces distinctes des parties voisines. Espace sous-arachnoïdien libre
Vaisseaux
et racines nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II.
mal du tissu conjonctif propre de la \eine et de celui qui l'entoure (
vaisseaux
déformés). Envahissement des fascicules par les
ntrant l'envahissement de cette lacine qui se fait d'abord autour des
vaisseaux
altérés qu'elle contient. LOCALISATIONS SPINA
es méninges voisines (symphyse méningée, méningo-médullaire). Les
vaisseaux
sont toujours le siège de lésions manifestes, leu
r stade passager, précoce de l'infection la di- latation simple des
vaisseaux
, pouvant aller jusqu'à l'hémorrhagie ; la conge
s de M. Charcot sur les maladies des poumons, du sang, do cœur et des
vaisseaux
. La réunion en un même vo-lume de ces travaux, di
e remarquer pour le mo-ment: 1° qu'elle sert de support à de nombreux
vaisseaux
ou lacunes lymphatiques, à des ramifications de l
ymphatiques, à des ramifications de la veine pulmo-naire ; 2° que ces
vaisseaux
aussi bien que la gangue conjonc-tive elle-même p
es espaces in-ter-lobulaires. Elle fait voir, enfin, que ces derniers
vaisseaux
ne se réunissent aux bronches et aux artères pulm
aux canalicules biliaires, aux ramifications de la veine porte, à des
vaisseaux
lymphatiques et à des branches de l'artère hépati
branches de l'artère hépatique. — Dans le poumon, ce sont surtout des
vaisseaux
lymphatiques et des branches dépendant du système
les relations que les lobules possèdent soit entre eux, soit avec les
vaisseaux
artériels et veineux et les bronchioles, il nous
lus de simplicité dans notre description, nous ferons abstraction des
vaisseaux
sanguins ou lymphatiques dont il sera question pl
et His, pour l'étude des endo-théliums des membranes séreuses et des
vaisseaux
sanguins et lymphatiques. A. Chez le triton, le
ui se détachent en clair au milieu des tractus rouges qui forment les
vaisseaux
sup. posés remplis de sang ou de matière à inject
ales pulmo-naires. Jamais ils ne se rencontrent sur la paroi même des
vaisseaux
, toujours ils occupent les fossettes. L'imprégnat
tercapillaires et, par contre, les plaques sans noyaux recouvrent les
vaisseaux
. Fig. 14. — Revêtement épithélial des alvéoles
tions qui précèdent nécessairement l'exa-men. Il faut ajouter que les
vaisseaux
capillaires qui rampent sur les orifices des cloi
ire ressortir. Pour l'éviter, Colberg a pris le soin d'injecter les
vaisseaux
à l'aide d'une substance colorée, avant de réduir
nt sur toute l'étendue de la paroi de l'alvéole passant au-dessus des
vaisseaux
capil-laires. Au niveau des légers renflements ce
rmer qu'il s'agit là d'un revêtement complet, continu, recouvrant les
vaisseaux
eux-mêmes; mais il est difficile de décider, à l'
r prouver que le contact immédiat del'air inspiré avec la paroi des
vaisseaux
capillaires du poumon, n'est pas une con-dition n
es endothéliums qui recouvrent les membranes séreuses, les parois des
vaisseaux
lymphatiques et sanguins et dont un caractère com
s endotheliums qui recou-vrent les membranes séreuses, les parois des
vaisseaux
san-guins et lymphatiques, etc. Un caractère co
ui entrent dans la composilion des parois des conduits aériens. Les
vaisseaux
y pénètrent vers le vingtième jour. Nous ferons
phéno-mènes vasculaires proprement dits, comprenant la distension des
vaisseaux
, l'émigration des leucocytes, la formation des ex
es alvéoles; c, cellules spliéri-ques libres au milieu de ceux-ci; w,
vaisseau
. Grossissement de 300 diamètres. (Cornil et Ranvi
de laquelle se développent les éléments musculaires, élastiques, les
vaisseaux
, etc. (Fig. 20 et 21). Pour en revenir aux lési
à fait aplati et qu'il n'est pas toujours facile de différen-cier des
vaisseaux
sanguins et même des amas leucocytiques qui appar
gangue conjonctive enflammée, ont des parois embryonnaires, les gros
vaisseaux
n'ont pas subi dans leur structure de modificatio
les parois du canal glandu-laire sont représentées par les parois des
vaisseaux
, sanguins, lesquelles sont en contact immédiat av
adies du foie, p. 42, 43. Fig. 27. — (D'après M. Farabeuf). — V, V,
vaisseau
. —? VL, vaisseau long, — Cexc, canal excréteur. —
42, 43. Fig. 27. — (D'après M. Farabeuf). — V, V, vaisseau. —? VL,
vaisseau
long, — Cexc, canal excréteur. — CH, cellule hépa
uche conjonctive embryonnaire plus ou moins épaisse qui la sépare des
vaisseaux
avec lesquels elle était au-trefois en contact im
s périlobulaires épaissies. — C, coupe des vais-seaux sanguins. — I),
vaisseaux
lymphatiques. — E, travées conjonctives périacine
e est saine et ne s'altère que dans une période plus avancée. Les
vaisseaux
lymphatiques du poumon participent au pro-cessus.
lobulaires et périaci-neux, sous laplèvre, autour des bronches et des
vaisseaux
, on trouve des amas de leucocytes et quelquefois
ri-bronchi-ques sont en rapport avec les dispositions anatomiques des
vaisseaux
bronchiques terminaux dans le lobule. Messieurs
ties hépatisées, on trouve des leucocytes en nombre considérable; les
vaisseaux
sont exsan-gues ou bourrés de globules blancs. On
réseau est en grande partie constitué par les rameaux termi-naux des
vaisseaux
bronchiques. Cette disposition anatomique fait co
ns cas on le dirait injecté avec de la cire ou du suif; bon nombre de
vaisseaux
capillaires sont devenus imperméa-bles, comprimés
s se sont affaissées par suite de la résorption de leur contenu ; les
vaisseaux
capil-laires ont en grande partie disparu, laissa
uxième et de troisième ordre se reconnaissent aisément, ainsi que les
vaisseaux
un peu volumineux, au milieu de ce tissu condensé
bre d intersections blanchâtres, dues aux cloisons celluleuses et aux
vaisseaux
épaissis et oblitérés ; ailleurs il existe dans l
i de cette opinion le cas des néo-membranes pleurales, renfermant des
vaisseaux
à parois embryonnaires, et qui deviennent facilem
'injection montre un réseau lymphatique très riche, aboutissant à des
vaisseaux
à valvules qui suivent les bords inférieur ou sup
dans les parties anté-rieures, aux lymphatiques qui accompagnent les
vaisseaux
mammaires et, dans les parties postérieures, aux
agnent les vaisseaux mammaires et, dans les parties postérieures, aux
vaisseaux
qui sont le long de la colonne vertébrale (voir l
stitue la membrane fonda-mentale de la plèvre. En certains points, le
vaisseau
lympha-tique superficiel est immédiatement en con
. Il faut donc, à propos de la plèvre, tenir compte non seulement des
vaisseaux
issus des artères bronchiques et des veines pulmo
lle est encore contenue dans des éléments cellulaires ; 3° autour des
vaisseaux
sanguins et des canaux bronchiques, où elle se di
t la masse pulmonaire ; 3°D'une enveloppe commune, la plèvre; 4° De
vaisseaux
sanguins et lymphatiques et de nerls. Les ramif
de la bronche et arrive ainsi jusqu'à la bronchiole acineuse. Là, le
vaisseau
sanguin se ramifie à la surface des infundibules
-sinage, tandis que les anastomoses artérielles n'existent pas. Les
vaisseaux
lymphatiques sont extrêmement nombreux; ils ont é
e vasculaire et le système aérien, est plongé dans les mailles de ces
vaisseaux
. Leur description générale est donc très simple
très simple et doit se mouler sur la description même du poumon. Les
vaisseaux
lymphatiques sont péribronchiques, péri-lobulaîre
dibulaire. 11 en est de même dans l'in-térieur du poumon, quoique les
vaisseaux
lymphatiques y soient moins développés et surtout
moins développés et surtout plus difficiles à injecter. Autour des
vaisseaux
et autour des bronches, les lympha-tiques prennen
bronchique n'est pas complète, mais simplement semi-lunaire. Tous ces
vaisseaux
lymphatiques communiquent largement ensemble, et
e système péri-vasculaire. En outre, quand on pique sous la plèvre un
vaisseau
lymphatique et que l'injection est réussie, on vo
tif les unit, et dans les mailles de ce tissu se trouvent de nombreux
vaisseaux
lympha-tiques péri-bronchiques et péri-vasculaire
centre du lobule à la péri-phérie, séparant les acini et portant les
vaisseaux
sanguins et lymphatiques. Lapériphérie, ou espace
hiole sus-lobulaire pénètre dans le lobule. En ce point, les divers
vaisseaux
aériens ou sanguins qui jusque-là cheminaient côt
se de la caséification du tubercule? On invoque surtout l'absence des
vaisseaux
, c'est sansdouteunelementimportant.il est facile
es se nourrissent, et le nodule tuberculeux n'est pas plus loin des
vaisseaux
que l'ovule de la paroi des vésicules de de Graaf
erlobulaires dont le tissu conjonctif ne convient qu'au seul ordre de
vaisseaux
, les branches des veines pulmonaires. Le mécani
séification, laquelle est donc con-finée dans la partie centrale. Des
vaisseaux
se sont dévelop-pés dans cette zone embryonnaire,
ale ou di-recte; infection à une distance plus ou moins grande parles
vaisseaux
lymphatiques ; enfin infection généralisée, dissé
ont au- Ire chose que des granulations développées dans la paroi du
vaisseau
. Dans ces cas, il y avait tuberculose généralisée
des élé- ments qui le composent autour d'un centre; 2°l'absence de
vaisseaux
; 3° la tendance à la vitrification ou caséificat
t depuis longtemps, prouvé que ces cellules sont en relation avec les
vaisseaux
sanguins. Quelques-uns ont pensé qu'il s'agissait
u'il s'agissait là d'une simple coagulation du plasma sanguin dans le
vaisseau
, avec incorporation de cellules rondes provenant
s qui, d'après Arnold et Rouget, sont en rapport avecla formation des
vaisseaux
. Elle représenterait une ano-malie angioplastique
due à un cordon angioplastique qui esten rapport, à son tour, avec un
vaisseau
. Seulementici, la cellule étoilée (ou cellule géa
émentaires indiqués par les cellules géantes B B'. offrent avec les
vaisseaux
sanguins la relation qui vient d'être indiquée, c
le poumon comme dans la pie-mère, le tubercule se former autour d'un
vaisseau
, par exemple, dans la tuber- culisation général
que Klein l'a bien représenté dans une planche de son ouvrage sur les
vaisseaux
lymphatiques du poumon1. Ce mode d'envahissemen
és ; b) les artérioles, satellites des bronchioles. La lumière de ces
vaisseaux
dont la tunique moyenne résiste longtemps à l'all
ale caséeuse. B, cellules géantes. C. zone embryon-naire. D, coupe de
vaisseaux
artériels. A côté, coupe oblique des bronchioles,
dans certaines circonstances, frappe, par places, l'endothélium des "
vaisseaux
d'un certain calibre. Dans tous ces cas, nous voy
ulle part de l'œdème : souffle assez prononcé, intermitlent, dans les
vaisseaux
du cou. Malgré l'altération qu'a évidemment subie
umulation de ces mêmes corpuscules de pigment dans la cavité même des
vaisseaux
capillaires; quant aux symptômes qu'il conviendra
avec les caractères de vérita-bles cellules. Pour ce qui concerne les
vaisseaux
capillaires, c'est d'une manière générale, dans l
capillaires, c'est d'une manière générale, dans la cavité même de ces
vaisseaux
, et non pas en dehors d'eux, dans les cellules de
e, que les corpuscules colorés siègent à peu près uniquement dans les
vaisseaux
capillaires de l'organe ; on les rencontre rareme
illaires est quelque-fois porté à un tel point, que la lumière de ces
vaisseaux
est littéralement oblitérée, et que leurs parois
ce a été quelquefois si-gnalée. Lorsque les reins sont altérés, les
vaisseaux
de la subs-tance corticale et des glomérules de M
oire, ceux de ces corpuscules qui ne sont pas retenus dans les petits
vaisseaux
du foie s'accumuleraient dans les divers organes,
iable du cerveau et des méninges ; le cerveau était plutôtpàle et les
vaisseaux
exsan-gues. Les ventricules contenaient un peu de
ant faites, il n'est pas impossi-ble d'admettre que l'obstruction des
vaisseaux
capillaires du cerveau ou des méninges par les co
apoplexie, et la mort est presque subite. A l'autopsie, on trouve les
vaisseaux
capillaires de la substance grise du cerveau dist
delà substance cor-ticale du cerveau consécutive à l'oblitération des
vaisseaux
ca- 1 Jacquot, loc. cit., 1849. — Jlaspel, loc.
dre devraient être distingués de ceux dans lesquels l'obstruction des
vaisseaux
capillaires de la substance corticale du rein par
chacun des paroxysmes féhriles. Il est possible que l'obstruction des
vaisseaux
capil-laires hépatiques ait contribué, ainsi que
— L'accumulation des corpuscules du pigment dans la rate et dans les
vaisseaux
lymphatiques reste, à ce qu'il paraît, toujours l
ques reste, à ce qu'il paraît, toujours latente. — L'ob-struction des
vaisseaux
capillaires des poumons s'observe ra-rement, et e
C'est à la présence du pigment dans le sang qui circule à travers les
vaisseaux
capillaires de la peau que serait due, suivant Fr
Dans la mélanémie, le pigment serait contenu dans la cavité même des
vaisseaux
capillaires de la peau. ' Gazette hebdomadaire,
Le tronc de la veine porte, les mésaraïques, les splcniques, tous les
vaisseaux
du système porte, en un mot, sont énormément dist
crétions polypifor-mes des ventricules du cœur, se ramifiant dans les
vaisseaux
. — Description. Arnould, Louis, âgéde 29 ans, b
e et teinte jaunâtre des téguments. Souffle à double courant dans les
vaisseaux
du cou. Souffle doux au premier temps du cœur aya
, aéré, très fluide. Un pratiquant cette section, on remarque que des
vaisseaux
de divers calibres sont exactement remplis par de
'une teinte vineuse, résistantes, solides, exactement moulées sur les
vaisseaux
qui les renferment; elles adhèrent çà et là, et t
peu d'une matière gélatineuse ver-dâtre autour de l'origine des gros
vaisseaux
. Le feuillet séreux dans les points où existent l
ient aussi des concrétions polypiformes qui, dans quelques-uns de ces
vaisseaux
, renfer-maient aussi des points de suppuration. (
nombreux, fortement contournés, et qui sont des ramifica- tions des
vaisseaux
de la scissure de Sylvius. A gauche, et dans une
urtout au mo-ment de certaines inspirations. Souffle continu dans les
vaisseaux
du cou, avec double souffle ptus ou moins couvert
place de ce bruit anormal un claquement valvulaire très net. Dans les
vaisseaux
du cou (côté droit), bruit de souffle artériel di
sissement de la paroi aortique, en dedans et auprès de l'origne de ce
vaisseau
: cet épaississement est dû probablement à une mu
i altérée, on aperçoit deux petites taches rouges constituées par des
vaisseaux
injectés. Dans aucun autre point du repli valvula
des parois de l'aorte peuvent, lorsqu'ils s'ouvrent dans la cavité du
vaisseau
, devenir le point de dé-part d'une véritable infe
23. partie détruites ; ou encore elle dépend d'un rétrécissement du
vaisseau
que comprime une tumeur, un noyau d'induration pu
it observer avec raison que la coagulation spontanée du sang dans les
vaisseaux
a surtout lieu chez les individus cachectiques, a
n-voquer, du moins à titre de cause principale, lorsqu'il s'agit d'un
vaisseau
comme l'artère pulmonaire, situé très près du cœu
ue primitive mérite une description spéciale : adhérent aux parois du
vaisseau
dans sa partie inférieure, qui se confond avec le
tance. Il pénètre en se ramifiant dans les branches de bifurcation du
vaisseau
principal, dans les rameaux de deuxième et de tro
cé à cheval sur l'éperon saillant que forment en se bifurquant deux
vaisseaux
de troisième ordre, et fortement recourbé sur lui
ième ordre, et fortement recourbé sur lui-môme pour pénétrer dans ces
vaisseaux
. En ce point, le caillot ressemble sous tous le
e caillot qui obture l'artère pulmonaire n'est adhérent aux parois du
vaisseau
. Celles-ci sont parfaitement saines, dans toute l
re obli-térées par des coagulums fibrineux enclavés dans la cavité du
vaisseau
; et qu'en outre la constitution anatomique de ce
es concrétions fîbrineuses, sans qu'il y eût altération des parois du
vaisseau
. Dans tous les cas, les malades étaient atteintes
t aérés, sains. Quand on y pratique des sections, on remarque que des
vaisseaux
il s'échappe des caillots de sang en partie mo-di
veineuse elle-même est lisse, d'appa-rence normale. A l'extérieur, le
vaisseau
est adhérent au tissu cellulaire périphérique et
rent faites laissèrent voir des caillots fibrineux pendre de tous tes
vaisseaux
et boucher complètement leur lumière. On cessa al
ions fines. Ce caillot n'adhérait nulle part intimement aux parois du
vaisseau
et avait le même aspect que celui de la veine cru
, iliaques, et enfin dans la veine cave inférieure. Les parois de ces
vaisseaux
étaient en général très épaissies, et le tissu ce
nes de diamètre et quatre pouces de long. En arrière, la lu-mière des
vaisseaux
est à peu près libre ; ils contiennent du sang li
geâtre entre les couches. Ce caillot n'adhère nullement aux parois du
vaisseau
qui sont lout-à-fait saines. A deux autres endroi
illots de sang qui remplissaient presque complètement le cali-bre des
vaisseaux
. Les principaux caillots avaient environ un pouce
ar des caillots cylindriques, résis-tants et fermes. Dans aucun autre
vaisseau
on ne trouva de caillots. La veine cave inférieur
s les cavités anévrysmales ; mais ils n'adhé-raient pas aux parois du
vaisseau
. Les couches extérieures étaient d'une consistanc
naler ici, on n'a pas rencontré de caillots fibrineux dans les autres
vaisseaux
, et en particulier dans les veines. Il est fâcheu
-cipal, se trouver, par suite, tout à fait libres dans la cavité d'un
vaisseau
où le sang circule encore, et enfin, les circons-
mais assez volumineux pour interrompre la circulation du sang dans le
vaisseau
où il siège. Aussi, lorsque son accroissement s'e
qu'au voisinage de la veine cave, peut-être même pénétrait-il dans ce
vaisseau
. Ce qui rend à nos yeux celte hypothèse probable,
ci d'ailleurs comment la circulation était entretenue dans ce dernier
vaisseau
: il y avait, nous l'avons dit, oblitération comp
ment, et s'est mis à cheval sur l'éperon formé par la bifurca-tion de
vaisseaux
de troisième ordre. C'est à ce moment que se so
agé, d'un volume insuffisant pour obturer complète-ment le calibre du
vaisseau
. C'est seulement alors que de nouvelles couches f
orme irrégulière, ils ne remplissaient pas complètement le calibre du
vaisseau
; mais, dans certains cas, ils s'envelop-paient d
oublier que, sous le rapport anatomique, les alté-rations de ce grand
vaisseau
ont plus d'une fois servi de type à la descriptio
caractérisée anatomiquement par la rougeur de la membrane interne des
vaisseaux
, par des altérations athéro- mateuses et des dé
capitale à la présence de concrétions oblitérantes, à l'intérieur du
vaisseau
. Indépen-damment des caillots sanguins, un exsudâ
t, de boursouflement, et d'un dévelop-pement extraordinaire de petits
vaisseaux
dans la tunique moyenne. » Ce grand observateur n
ré-gné. On est allé plus loin, et on s'est demandé si, dépourvue de
vaisseaux
, à l'état normal, la membrane interne des artères
ulentes, ne peut exister que dans les couches externes ou moyennes du
vaisseau
; c'est ce qu'il appelle la périartérite ou la més
d plus épaisses, plus rigides et plus friables qu'àl'état normal ; le
vaisseau
lui-même est sou-vent rétréci au niveau du point
réci au niveau du point enflammé. La membrane interne, dépourvue de
vaisseaux
, est le siège d'un travail différent. On a décrit
o-prement parler, le siège anatomique.. Mais la surface intérieure du
vaisseau
se dépolit, et devient le siège d'un dépôt partic
indépendante de tout travail inflammatoire. La membrane interne du
vaisseau
malade subit, d'après cette manière de voir, un é
s'incruster de sels calcaires. Enfin, dans plusieurs cas, un lacis de
vaisseaux
capillaires se développe au sein de celte concrét
permis de constater l'existence d'un exsudât à la surface interne des
vaisseaux
: et les pseudo-membranes signalées par quelques
grosseur d'une noi-sette, entre les tuniques externe et moyenne de ce
vaisseau
. 1 Du Dictionnaire encyclopédique des sciences
ui succomba à l'infection purulente, la poche s'étant ouverte dans le
vaisseau
. — La troisième a été publiée par M. le professeu
des lésions les plus exceptionnelles ; mais il arrive souvent que le
vaisseau
est rétréci, au niveau du point enflammé par l'ép
onséquences les plus or-dinaires del'artérile : lorsqu'il s'agit d'un
vaisseau
d'un cali-bre ordinaire, une ligature serrée suff
aortite suppurée, ni même de l'ouverture de l'abcès dans la cavité du
vaisseau
, comme le prouve l'observation de Rokitansky; mai
aux dilatations anévrismales, ou à des rétrécis-sements permanents du
vaisseau
. Étiologie. —Dans les cas bien avérés de celte
II. Atherome et dégénérations ossiformes de l'aorte. De tous les
vaisseaux
artériels, l'aorte est incontestable-ment celui q
ge. Il est assez singulier de constater que les deux extrémités de ce
vaisseau
, sa portion ascendante et celle qui précèdent imm
ses les plus habituelles des dilatations simples ou sacciformes de ce
vaisseau
; tantôt l'aorte s'élargit d'une façon irrégulièr
pposé, c'est-à-dire au rétrécissement ou à l'oblitération complète du
vaisseau
(Barth.) Celte dernière lésion est plus fréquente
matières grasses, comme celui qu'on trouve, à l'autopsie, dans les
vaisseaux
. Nous avons eu plus d'une fois l'occasion de cons
de palper directement la crosse aorlique, ou la portion abdominale du
vaisseau
induré (Bamberger). L'auscultation fait entendr
l'aorte, indépendante de toule autre lésion. Lors-que la crosse de ce
vaisseau
a subi une ampliation notable, la percussion perm
diagnostic des indices plus sûrs. Il est rare qu'une ossification des
vaisseaux
péri-phériques ne s'accompagne pas d'une lésion s
déchirées, sont toujours malades, car la dilatation pure et simple du
vaisseau
, sans aucune altération de structure n'est point,
n résulte un anévrisme mixte externe, communiquant avec la lumière du
vaisseau
par un orifice au pourtour duquel les deux mem-br
névrisme sacciforme est celui qui se développe sur un point limité du
vaisseau
. Il peut s'implanter sur une ar-tère qui présente
ticulière sont variables à l'infini : communiquant avec la lumière du
vaisseau
par une ouverture tantôt large, tantôt étroite, i
mes de l'aorte. — Fig. 46. Cavité de l'anévrisme communiquant avec le
vaisseau
par une large ouverture. — Fig. 47. —Cavité de l'
rge ouverture. — Fig. 47. —Cavité de l'anévrisme communiquant avec le
vaisseau
par une ouverture étroite. — Fig. 48 et 49. La tu
t entée sur un anévrysme fusiforme. — Fig. 50. Les deux extrémités du
vaisseau
proéminent dans la cavité anévrismale. — Ces figu
solés. Un abcès des parois arté- rielles s'ouvrant à l'intérieur du
vaisseau
, un dépôt athéroma-teux qui viendrait perforer la
-longe sur la paroi artérielle, comme pour rétablir la conti-nuité du
vaisseau
. Ces dépôts intra-anévrismatiques sont quelquefoi
la poche occupe habituellement la convexité ou la paroi antérieure du
vaisseau
. Ce sont alors les côtes et le sternum qui en sub
abdomen. On comprend aisément que l'ouverture du sac dans un au-tre
vaisseau
, ou dans une partie quelconque du système à san
s dans le sens antéro-poslérieur que le voisinage du cœur ou des gros
vaisseaux
peut imprimer aux fumeurs solides du médiastin.
anévrismes de l'aorte. Lorsqu'ils siègent à la portion abdominale du
vaisseau
, le souffle existe presque toujours ; mais quand
rgitation qui s'opère pendant la diastole, dans l'aorte et les grands
vaisseaux
: le frémissement cataire est un indice de ce phé
te; mais ce phénomène peut coïncider avec une dilatation simple de ce
vaisseau
, ainsi que l'un do nous a eu l'occasion de le con
produit un état variqueux des branches afférentes de ces deux grands
vaisseaux
; il en résulte de la cyanose, de l'œdème, et des
s of- frait même un certain degré d'embonpoint. Les anastomoses des
vaisseaux
chylifères avec les lymphatiques du foie et du di
émentaires s'établissent avec les veines du cou, la veine azygos, les
vaisseaux
du rein, etc. Il est donc plus rationnel d'attrib
ations habituelles de la goutte et le développement à l'intérieur des
vaisseaux
de dépôts alhéromateux ou calcaires. Cette dern
iel, chez les sujets qui présentent une dilata-tion anévrismale de ce
vaisseau
. L'influence des excès vénériens, souvent invoq
atique agissant directement sur l'artère ; en effet, les plaies de ce
vaisseau
, presque toujours immédiatement mortelles, ne lai
trine est quelquefois occasionnée par des lésions du cœur ou des gros
vaisseaux
. C'est donc encore une fois à l'exploration physi
ormaux. Il n'en est pas ainsi dans les affections du cœur et des gros
vaisseaux
, qui produisent aux extrémités du système vascula
la poitrine, soit dans l'abdomen, peuvent simuler l'anévrisme de ce
vaisseau
, elles surviennent, en général, chez des sujets h
il s'agit d'une tumeur artérielle ; on perçoit, à chaque pulsation du
vaisseau
, un soulèvement en masse, qui n'est jamais accomp
manière générale, que plus la tumeur est rappro-chée de l'origine du
vaisseau
, plus les phénomènes de com-pression seront pénib
e, en raison de l'intensité du courant sanguin et du volume énorme du
vaisseau
malade : cependant, il existe dans la science que
aux données actuelles de la physiologie pathologique. En effet, le
vaisseau
ne présentait plus aucune trace de dilatation au
s degrés d'é^ volution ; et s'il n'en est pas toujours ainsi pour des
vaisseaux
d'un calibre inférieur, il semble qu'une artère a
cas d'anévrisme de l'aorte, mais bien à l'histoire d'un polype de ce
vaisseau
. C'est donc par erreur que Dezeimeris avait donné
divisées et que de l'air ou de l'eau sont injectés avec force dans ce
vaisseau
, la membrane extérieure se laisse dis-tendre, de
occuper les deux tiers ou la presque totalité de la circonférence du
vaisseau
. Dans un cas présenté par Goupil à la Société ana
étendue : on l'a vu se propager depuis l'aorte ascendante jusqu' aux
vaisseaux
poplités. Dans un cas rapporté par Rokitansky,
ue la fréquence relative de cette lésion sur les différents points du
vaisseau
. 1 peacock rokitansky total Aorte ascendant
e Valsalva, dont les rapports intimes avec le cœur droit, et les gros
vaisseaux
qui en émanent, suffisent pour expliquer la possi
aux pa-rois de l'aorte qu'il devient impossible de l'en séparer. Les
vaisseaux
afférents de la veine cave sont dilatés comme dan
fissures et de fentes, qui intéressent les deux tuniques internes du
vaisseau
; il peut en résulter un ané-vrisme faux consécuti
Les dilatations de l'aorte peuvent occuper toute la circon-férence du
vaisseau
, ou proéminer sur l'un des côtés. Les artères qui
et d'A. Cooper ont établi que l'occlusion, même absolue, de ce grand
vaisseau
, n'opposait pas un obstacle insurmontable à la ci
fréquente de cette lésion, qui peut quelquefois amener une rupture du
vaisseau
, dont les parois sont notable-ment amincies. Bi
fait suite, une ondée volumineuse, qui dilate la portion rétrécie du
vaisseau
et trace à la circulation générale la voie nouvel
tion qui survient d'une façon régulière après la naissance ; d'autres
vaisseaux
, e.' principalement les branches de la sous-clavi
r la crosse pulmonaire, et de la hauteur variable à laquelle ces deux
vaisseaux
se rencontrent. Cette explication, déjà présent
e à travers le cordon fibreux qui a remplacé l'artère, l'occlusion du
vaisseau
n'est donc jamais absolue. Les limites du rétréci
au point où elle présente la plus grande étroitesse. A l'intérieur le
vaisseau
est souvent cloisonné par des replis qui n'intére
intercos-tales, y contribuent également pour une large part. Tous ces
vaisseaux
ont subi une dilatation manifeste ; on a vu la ma
le volume énorme de l'artère mammaire interne, de la thyroïdienne, de
vaisseaux
sus et sous-scapu-laires, frappera nécessairement
identels. — Ils peuvent résulter, soit d'une altération intérieure du
vaisseau
, soit d'une rétraction spontanée, soit d'une pres
ppement de caillots fibrineux, qui, d'abord insérés sur les parois du
vaisseau
, en réduisent pro-gressivement le calibre par leu
uée au-dessous des artères rénales, et se prolongeait jusque dans les
vaisseaux
iliaques ; la fémorale droite et la plupart de ce
emplie de dépôts fibrineux, peuvent amener une occlusion partielle du
vaisseau
par l'extension du coagulum qui les remplit et qu
plémentaire sont, à la fois, plus nombreuses et plus va-riées, et les
vaisseaux
pelviens peuvent entrer en jeu. C'est peut-être c
ès de la tumeur. Lorsque, au con-traire, une altération intérieure du
vaisseau
est le point de départ des accidents observés, la
riétaux y sont assez fréquents, surtout lorsque la surface interne du
vaisseau
est dépolie et rugueuse. On les rencontre quelque
une noisette dans l'aorte, immédiatement au-dessous de l'ori-gine des
vaisseaux
du cou. Elle adhérait aux parois artérielles par
régression graisseuse, avaient versé leur contenu à l'intérieur de ce
vaisseau
: aussi le sang artériel, examiné sur plusieurs p
bre exceptionnel du tronc aortique, de rencontrer à l'intérieur de ce
vaisseau
des caillots migratoires; cependant on comprend q
e l'aorte elle-même; mais c'est toujours la por-tion abdominale de ce
vaisseau
qui en est le siège. C'est à l'intérieur même d
servateurs, pouvait amener des ulcérations de la membrane interne des
vaisseaux
, et même provoquer une inflammation suppurative.
ques coïncide ordi-nairement avec l'élargissement et l'allongement du
vaisseau
, on la rencontre d'une façon presque constante d
'atrophie des trois tuniques, avec resserrement général du calibre du
vaisseau
, résulte d'un arrêt de développement, comme nous
ment sanguin se fait entre les lamelles qui constituent les parois du
vaisseau
, et il se forme un anévrisme disséquant. Lorsqu'a
ette manière de voir. Ainsi, un choc exercé sans intermédiaire sur le
vaisseau
lui-même, comme il arrive pour les plaies d'armes
u trois lignes, ou embrasser les trois quarts de la circonfé-rence du
vaisseau
. Sur tous les points de son trajet, l'aorte peut
e même lorsqu'une tumeur cancéreuse, après avoir envahi les parois du
vaisseau
, subit un ramollissement qui laisse à découvert l
ent de date récente et ne remplissent pas complètement la lumière des
vaisseaux
, si bien que la circulation artérielle interrom-p
anévrismale qui s'était formée dans l'épaisseur même de la paroi du
vaisseau
(anévrisme disséquant).— Oblitération plus ou moi
u cœur, au premier temps ; souffle continu à double cou-rant dans les
vaisseaux
du cou ; pas de signes d'hypertrophie car-diaque;
e l'iliaque primitive droite. Ce sont les deux tiers supérieurs de ce
vaisseau
qui ont subi la dilatation anévrismale, son tiers
gamenteux, dans l'étendue d'un centimètre. Au-dessous de ce point, le
vaisseau
reparaît un instant, mais il donne nais-sance pre
l'oblitération était déterminée parla présence, dans-la paroi même du
vaisseau
, d'un anévrisme disséquant. Mais, quoi qu'il en s
nt le maximum siège vers la pointe et qui ne se prolonge pas dans les
vaisseaux
du cou. Les battements y sont intermittents, très
ins. Ces deux organes sont en outre, un peu ramollis. Leurs plus gros
vaisseaux
contiennent beaucoup de sang noir; on remarque au
destruction qui s'empare tôt ou tard des éléments du sang sortis des
vaisseaux
, que ne le font les globules rou-ges. Dans l'ob
înés au loin par le courant sanguin, s'arrêter, par la suite dans les
vaisseaux
trop étroits pour leur donner passage, les obture
u sang et circu-lant avec lui, viendraient déterminer l'occlusion des
vaisseaux
. 1 Legroux. — Thèses de Paris, 1827, n° 215. —
ent et aient provoqué la formation des cail-lots qui oblitéraient ces
vaisseaux
. Les caillots se sont formés d'abord, et l'artéri
gments du poumon frap-pés d'hépatisation rouge. On sait aussi que les
vaisseaux
capillaires qui traversent ces noyaux, les veines
rendent au noyau hémoptoïque, sont l'indice d'une inflammation de ces
vaisseaux
, lis existent non seulement dans les ramification
tenant un liquide verdâtre et d'aspect pu-rulent. Quant aux parois du
vaisseau
, elles sont plus pâles que de coutume, ou, au con
lus souvent dans des circonstances où la coagulation du sang dans les
vaisseaux
est évidemment la conséquence du retard que ce li
conséquence de l'altération graisseuse que subit parfois la paroi des
vaisseaux
sanguins de petit calibre qui traversent la subst
ème ordre. Mais il ne paraît pas l'avoir directement observée sur des
vaisseaux
ayant moins d'un demi-millimètre de diamètre, et
e cette modification de texture existe également dans les plus petits
vaisseaux
, et qu'elle peut rendre compte de l'hémor-ragie q
ompte de l'hémor-ragie qui s'opère dans les points des poumons où les
vaisseaux
présentent le plus haut degré d'altération. Le
si que les fibres élastiques ont conservé leur structure normale; les
vaisseaux
seuls paraissent quelquefois distendus par le san
la seule particularité nouvelle qu'il y ait à y noter, c'est que les
vaisseaux
sanguins du réseau capillaire sont dans un état d
struction sanguine des vésicu-les pulmonaires. Dans le cas où un gros
vaisseau
s'est ouvert dans les bronches, le sang pénètre s
s cellules conservent leurs caractères nor-maux, et en même temps les
vaisseaux
des trabécules pulmonai-res ne présentent dans le
ri-bronchi-ques sont en rapport avec les dispositions anatomiques des
vaisseaux
bronchiques terminaux dans le lobule...........
68; — nature, 269; — an-gioplastiqucs, 269; — rapports des — avec les
vaisseaux
san-guins, 270, 272, 281, 282; — di-mensions, 289
35; — analogie avec une glande, 51, 115; — développement, 57, 74; —
vaisseaux
, 58; — processus de destruction du —, 261 ; — eng
1; — opa-cité centrale, 268 ; — stroma, 268 ; — formation autour d'un
vaisseau
, z71 ; — formation au-tour d'un conduit glandulai
es du poumon, 189. Uretère (Effets de la ligature de P-), 82. v
Vaisseaux
lymphatiques, 107, 236, 238, 273; — pigmentation
isseaux lymphatiques, 107, 236, 238, 273; — pigmentation des—, 345.
Vaisseaux
sanguins, 236, 237. Végétations, globuleuses, 3
ne débranches de division relativement volumineuses. Sur la paroi des
vaisseaux
auquels je faisais allusion tout à l'heure on not
stices des lobules. La veine porte n'est pas la seule à fournir des
vaisseaux
méritant l'appellation à'inter-lobulaires ; il y
s par la cap-sule de Glisson. — Des ramifications, nées de ces divers
vaisseaux
, pénètrent dans les interstices qui, chez le coch
e rouge occupe la périphérie du lobule (de Sinéty). La congestion des
vaisseaux
portes pro-duit une apparence analogue, en ce sen
Sommaire. — Constitution du lobule du foie : cellules hépatiques ; —
vaisseaux
sanguins et capillaires; — réseau des canalicules
lules sont en quelque sorte rapportées et soute-nues par une trame de
vaisseaux
sanguins et capillaires qui établissent une relat
intra-lobulaire. Ils figurent les rayons d'une roue et on les appelle
vaisseaux
radiés. Il convient de remar-quer, toutefois que,
transversal de ces mailles ne dépasse pas notablement le diamètre des
vaisseaux
capillaires qui les circonscrivent (1). Vous comp
rivent (1). Vous comprenez, d'après cela, quelle est l'importance des
vaisseaux
capillaires, puis-que, par leur réunion, ils comp
la substance du foie est à peu près exclusivement constituée par des
vaisseaux
capillaires, se trouve ainsi, en quelque sorte ju
Mais les cellules ne sont pas disposées pôle-môle, (1) Diamètre des
vaisseaux
capillaires, 0,001 [x, largeur des mailles, 0,015
quadrila-tères, dont les angles sont excavés de manière à recevoir un
vaisseau
(Fig. 4). Le calibre du vaisseau doit être circon
ont excavés de manière à recevoir un vaisseau (Fig. 4). Le calibre du
vaisseau
doit être circonscrit par quatre gouttières appar
gée de rectan-gles allongés, séparés de chaque côté par le calibre du
vaisseau
; ces cellules sont isolées les unes des autres p
coupe passe à travers le lobule,verticalement, sans intéresser le
vaisseau
, chaque cellule apparaît comme un hexagone, et l'
e est un peu épaisse, on voit par transparence, en même temps que les
vaisseaux
, la disposition hexagonale qui vient d'être signa
Fia. 6. — Coupe longitudinale. — Â, A, A, lacunes occupées par les
vaisseaux
sanguins. — B, B, capillaires biliaires. (Figure
me des éléments. Supposons une distension permanente, congestive, des
vaisseaux
du foie, s'exerçantprincipalement dans le système
l'état normal, esta peine visible. On remarque en même temps que les
vaisseaux
de la veine centrale sont, eux aussi, considérabl
our effet que les rangées de cellules hépatiques, intermédiai-res aux
vaisseaux
radiés, sont aplaties à un haut degré et que, sur
t souvent en quantité telle qu'ils paraissent oblitérer la lumière de
vaisseaux
volumineux. La leucine et la tyrosine, dont je vo
orme cubique ; en même temps que le diamètre relatif de la lumière du
vaisseau
s'amoindrit, la tunique externe devient de moins
réseau, telle que les conduits n'entrent jamais en con-tact avec les
vaisseaux
sanguins dont ils sont toujours sépa-rés par une
s et creusé le long des arêtes de gouttières destinées à recevoir les
vaisseaux
capillaires sanguins. Sur chacune des faces lat
re et de ses relations : 1° avec les cellules hépatiques, 2° avec les
vaisseaux
capillaires sanguins qui, comme vous avez pu le r
par considérer une coupe pratiquée paral-lèlement à la direction des
vaisseaux
capillaires radiés. Vous savez, par nos études an
ent sous la forme d'un rectangle à grand axe dirigé parallèlement aux
vaisseaux
sanguins. Les capillaires biliaires se montrent l
arallèle au grand axe de la cellule, à peu près à égale dis-tance des
vaisseaux
auxquels ils sont également parallèles, offrant u
ns maintenant une coupe faite perpendiculaire-ment à la direction des
vaisseaux
radiés. Vous connaissez la disposition générale d
ervalle et à égale dis-tance des orifices ménagés pour le passage des
vaisseaux
san-guins, vous apercevrez sur la ligne de sépara
lules épithéliales cubiques. Par conséquent, il y a lieu Fig. 10. —
Vaisseaux
biliaires dans Vatrophie jaune aiguë du foie. —a,
, contenant quelques cellules de tissu conjonctif embryonnaire et des
vaisseaux
, v. En b, on voit une section transversale de l'u
IÈME LEÇON Des capillaires biliaires (suite). — Tissu conjonctif et
vaisseaux
lymphatiques du lobule. — Espaces inter-lobulaire
e des coupes minces, durcies, faites parallèlement à la direction des
vaisseaux
ra-diés, on voit, sur la ligne de séparation des
rtuis arrondis, situés au milieu de cette ligne, à égale distance des
vaisseaux
: ces petits pertuis répondent évidemment à la lu
encore, ces petits calculs en place, ayant avec les cel-lules et les
vaisseaux
sanguins des rapports qui établissent péremptoire
s graisseux. C, Noyaux en-core apparents des cellules hépati-ques. Û,
vaisseaux
sanguins remplis de globules. B. Une autre ques
s la règle : 1° d'une membrane propre sur laquelle sont appliqués les
vaisseaux
capillaires ; 2° en dedans de celte membrane exis
le répète, n'existe pas ici ; elle est remplacée par la paroi même du
vaisseau
capillaire et, à part cela, nous retrouvons tous
e l'absence de membrane propre, en contact immédiat avec la paroi des
vaisseaux
capillaires, mais ceux-ci sont séparés de la cavi
si je ne vous disais pas quelques mots sur le tissu conjonctif et les
vaisseaux
ou mieux les espaces lymphatiques qui entrent dan
ellules étant chassées, on a sous les yeux les mailles du ré-seau des
vaisseaux
capillaires. Par un examen attentif, on re-connaî
examen attentif, on re-connaît alors, à la surface des parois de ces
vaisseaux
, de minces fibrilles entrecroisées qui se prolong
complètes, t. vi. Maladies du foie. 4 de celle des capillaires. Les
vaisseaux
capillaires du foie nage-raient donc, pour ainsi
lement des interstices qui traversent des tractusqui, de la paroi des
vaisseaux
, pénètrent dans l'intervalle des cel-lules. Tou
n fin réseau bleu et que, en même temps, les espaces qui séparent les
vaisseaux
capillaires des cellules, sont remplis par le liq
nent de cesdivers vaisseauxets'insinuent dans les fissures, enfin des
vaisseaux
lymphatiques. Ces petites régions, dis-je, sont l
erçoit encore dans les premières phases de l'évolution la lumière des
vaisseaux
et des canalicules biliaires. Revenons à la com
uelles nous venons d'appeler votre atten-tion. Ce sont, en somme, les
vaisseaux
veineux (émanant de la veine porte), les vaisseau
ont, en somme, les vaisseaux veineux (émanant de la veine porte), les
vaisseaux
artériels ou les canaux biliaires qui semblent êt
seraient primitivement, d'après quelques auteurs, une altération des
vaisseaux
lymphatiques interlobulaires (Klebs). — On conçoi
lle ne survient au contraire que consécutivement à une altération des
vaisseaux
sanguins ou des canalicules biliaires interlobula
ux. — Nécessité d'une connaissance exacte du mode de distribution des
vaisseaux
sanguins ou biliaires dans les espaces interlobul
ulaire aux dépens de la capsule de Glisson, ont leur origine dans les
vaisseaux
sanguins, artériels ou veineux, dans les lymphati
de Glisson n'aurait pas ce même caractère de dériver d'une lésion des
vaisseaux
. C'est là une hypothèse que je vous signale; j'au
r qui s'attache à une connaissance exacte du mode de distribution des
vaisseaux
sanguins ou biliaires dans les espaces interlobul
ser ce but, il faut prendre les choses de loin et montrer comment les
vaisseaux
, après avoir pénétré dans le hile,, se répandent
e et arrive, en fin de compte, à fournir, suivant ce mode, des petits
vaisseaux
qui s'enfoncent dans les espaces interlobu-laires
e seule, au contraire, la paroi des canaux veineux sub-lobulaires. Le
vaisseau
est constamment séparé du lobule par une épaisseu
oit la division dichotomique ou le sys-tème des veines vaginales, les
vaisseaux
portes interlobulai-res se comportent tous dans l
ance aux capillaires que nous avons appris à connaître sous le nom de
vaisseaux
radiés. (1) Voir les planches du mémoire de Kie
la distribution de l'artèie hépatique. C'est le plus petit des trois
vaisseaux
principaux qu'on voit dans les canaux portes et d
alicules biliaires hépatiques se montrent aussi rouges que celles des
vaisseaux
artériels; — c) Le troisième ordre est constitué
notions anatomiques. Ce serait pourtant l'occasion de vous parler des
vaisseaux
lymphatiques et des nerfs du foie, mais c'est là
ttait encore. Mais la découverte, vers le milieu du XVIIe siècle, des
vaisseaux
lactés, montrant que le chyle passe en dehors du
l'organe plusieurs fois à l'aide d'un courant d'eau pas-sant dans les
vaisseaux
avant de le soumettre à l'analyse. Le foie par
s très rare néanmoins, en raison des rap-ports qui existent entre ces
vaisseaux
et les voies biliaires. Plusieurs cas de ce genre
de l'oblitération du canal cholédoque; enfin, elle ne figure pas les
vaisseaux
artériels et veineux, satellites obli-gatoires de
l'altération de la crase du sang ou tout au moins de l'altération des
vaisseaux
sanguins que celle-ci déterminerait à la longue.
rme de cirrhose hypertrophiques que nous étu-dions. Par contre, les
vaisseaux
sanguins ne sont pas affectés au même degré. Us n
iaires, de gaîne fibreuse spéciale. Seulement, à un degré avancé, les
vaisseaux
portes ont perdu leur paroi et paraissent comme s
iaires. Ainsi, c'est autour de ces canaux et non pas au voisinage des
vaisseaux
artériels et veineux, qu'on rencontre plus partic
e. Le foie était granu-leux. Bizzozero y reconnut une obstruction des
vaisseaux
por-tes intra-hépatiques. Nous reviendrons dans u
st poussé par la veine porte. Quoi qu'il en soit, l'obstruction des
vaisseaux
intra-hépati-ques a quelquefois pour résultat une
es deux organes. Les membranes diaphragmatiques reçoivent du sang des
vaisseaux
diaphrag-matiques,branches appartenant au système
par l'anatomie descriptive ordi-naire, parce qu'elles se font par des
vaisseaux
de petit diamè-tre et qu'elles sont sans importan
hique qui se jette dans le tronc de la veine porte. Les deux derniers
vaisseaux
peuvent servir au rétablissement de la circulatio
à la veine cave inférieure. La relation s'effectue par un système de
vaisseaux
qui établissent une communication entre les hémor
bornerai à les mentionner. Premier groupe ou gastro-épiploïque. Les
vaisseaux
de ce groupe proviennent, en majeure partie, de l
où le cours du sang est inter-rompu dans les lobules hépatiques. Ces
vaisseaux
, à l'état normal, sont très ténus. Dans un cas de
la cirrhose, quand il y a un obstacle à la circulation hépatique, ces
vaisseaux
se dilatent. ïl se forme un courant principal. En
les effets de l'obstruction porte dans les branches abdominales de ce
vaisseau
, il nous faut étu-dier les modifications anatomiq
ements. — Cirrhose annulaire. — Cirrhose monolobulaire. — Lésions des
vaisseaux
et du tissu coujonctif qui les entoure. — Effets
x et du tissu coujonctif qui les entoure. — Effets de la ligature des
vaisseaux
portes. — Phlébite et périphlébite portes : elles
seaux portes. — Phlébite et périphlébite portes : elles affectent les
vaisseaux
prélobulaires. — Tendance du système artériel hép
vue les autres éléments qui entrent dans la compo-sition du foie. Les
vaisseaux
en premier lieu, et plus parti-culièrement les ra
l'occasion, Messieurs, de signaler que c'est dans l'affection de ces
vaisseaux
et du tissus conjone-tif qui confine immédiatemen
gangue conjonctive de tout le foie, consé-cutivement à une lésion des
vaisseaux
portes produite en de-hors du foie. Je vous rappe
es deux extrêmes et qu'on pourrait appeler, pour abréger, système des
vaisseaux
prélobulaires qu'il faut incriminer, si l'on se r
u'il faut incriminer, si l'on se reporte à la disposition normale des
vaisseaux
de cet ordre, on arrivera peut-être à comprendre
grossissements. Il y a à considérer dans le mode de distribution des
vaisseaux
portes, en outre des Dans le cas où l'occlusion
présentent une vascularisation très accentuée, très riche et que les
vaisseaux
de formation nouvelle s'écartent par leur arrange
les yeux un véritable tissu caverneux (Rindfleisch). Il s'agit là de
vaisseaux
tortueux, volumineux, bien qu'ayant la structure
mités seulement par une couche endothéliale. 11 est certain que ces
vaisseaux
sont en connexité étroite avec le système porte i
une remarque qui appartient à M. Frerichs, la disposition radiée des
vaisseaux
intra-lobulaires persiste plus ou moins, tant qu'
ntrales correspondantes et aussi en raison de l'état embryonnaire des
vaisseaux
de formation nouvelle ; il faut tenir compte enfi
ystème de la veine porte. A mesure que les travées, qui portent les
vaisseaux
dont nous donnions tout à l'heure la description,
er, sans pouvoir espérer résoudre la uestion, quant à présent, si les
vaisseaux
qui forment le Gharcot. CEuv compl, t. vi, Mala
adies du foie et des reins 18 système lacunaire sont réellement des
vaisseaux
préexis-tants, modifiés par l'état pathologique,
aisseaux préexis-tants, modifiés par l'état pathologique, ou bien des
vaisseaux
de formation nouvelle. Il y a lieu de remarquer à
artères et les veines sus-hépatiques, on voit : 1° que le nombre des
vaisseaux
du système lacunaire injecté par l'artère est sou
re injecté par l'artère est souvent plus grand que celui de ces mêmes
vaisseaux
injecté par la veine porte : 2° que, par la voie
phénomènes, déjà suffi-samment étudiés, de la stase du sang dans les
vaisseaux
portes abdominaux. Je ne parlerai donc pas de Yas
le s'ouvre, en effet, sur un point opposé à celui qui donne accès aux
vaisseaux
du glomérule, dans un trajet canaliculé d'abord é
au niveau du noyau et tout à fait analogue à celui que présentent les
vaisseaux
sanguins ; de fait, il est fort difficile de dist
descendant de Henle, coupé en travers de la section transversale d'un
vaisseau
sanguin. Dans la grosse branche ou branche mon-
— a, canalicule de Bellini. — b, branche descendante de Henle. —c,
vaisseaux
sanguins. » • , ?,, Après cette vue d ensem-ble
s. 11 n existe branche montante de l'anse de Henle. , , ,, , . — d,
vaisseaux
sanguins. donc dans cette région que deux varié
ntes de ces anses. C'est à la présence de ces bran-ches et à celle de
vaisseaux
sanguins désignés sous le nom de vaisseaux droits
es bran-ches et à celle de vaisseaux sanguins désignés sous le nom de
vaisseaux
droits qu'est due surtout l'augmentation de volum
qui por-tent les glomérules de Malpighi. — c, Veinules rénales. — d.
Vaisseaux
droits.— e, extrémité de la papille rénale. — f,
dans la couche corticale : à la périphérie se trouvent des groupes de
vaisseaux
formés par les divisions des vasta recta ; le cen
inions contradictoires des auteurs sur le tissu conjonctif du rein. —
Vaisseaux
lymphatiques de la capsule et du hile ; — ils com
son importance au point de vue pathologique. Brève description des
vaisseaux
du rein. Quelques mots sur la sécrétion urinair
éléments qui entrent dans la cons-titution du rein, c'est-à-dire les
vaisseaux
sanguins et lym-phatiques et le tissu conjonctif.
ubstance corticale ne seraient séparés les uns des autres que par des
vaisseaux
capillaires, sans interposi-tion de tissu conjonc
uvent de valvules, se voient : 1° sur la capsule du rein ; 2° sur les
vaisseaux
artériels et veineux qui forment le hile. (1) A
substance corticale du rein, entre les canalicules contournés et les
vaisseaux
sanguins. Ainsi, suivant Ludwig, auquel la plupar
uli contorti ne sont en contact absolu, soit entre eux, soit avec les
vaisseaux
sanguins ; ces parties sont constamment séparées
a substance médullaire, où on ne les trouve que dans le voisinage des
vaisseaux
droits. Les espaces lym-phatiques de la substance
la substance corticale du rein sont en communi-cation facile avec les
vaisseaux
lymphatiques de la capsule et aussi avec ceux duh
vasé occupe les espaces lymphatiques et de là passe aisément dans les
vaisseaux
lymphati-de la capsule et ceux du hile. D'un autr
des cellules, situées dans l'intervalle des canaux contournés et des
vaisseaux
. Ce sont, d'après Schweigger-Seidel, des cellules
Le tissu conjonctif du glomérule mérite une mention spé-ciale. Les
vaisseaux
capillaires et les lobules dont l'ensemble consti
es principales dispositions que présentent dans leur distribution les
vaisseaux
artériels et veineux du rein ; je suivrai, dans c
ullaire et la substance corticale, donnent naissance à deux ordres de
vaisseaux
qui sont destinés, les uns à la subs-tance cortic
à angle droit, les artérioles qui vont aux glomérules sous le nom de
vaisseaux
afférents. Le ras afferens, ordi-nairement indivi
res. Dans le glomérule, le vas efferens qui sort en même temps que le
vaisseau
afférent, du côté de la capsule opposé à l'orific
ent, du côté de la capsule opposé à l'orifice du tube urinifère. Le
vaisseau
efférent, après sa sortie du glomérule, se dirige
wig, n'au-raient pas de tunique musculaire) sont des vasa aberrantia,
vaisseaux
très allongés, venant de ceux des glomérules qui
e plus bas, c'est-à-dire le plus près de la substance médullaire. Ces
vaisseaux
, d'ori-gine diverse, donnent naissance à un lacis
er qui prétend, au contraire, que tous les vasa recta proviennent des
vaisseaux
afférents, et que le sang qui y circule a, par co
un amas granuleux central, /, formé de granulations d'hématine, — v,
Vaisseau
sanguin. Grossissement de deux cents diamètres.'C
upe, la substance corticale pa-raît volumineuse, décolorée, privée de
vaisseaux
. C'est le gros rein blanc, le gros rein lisse des
s chimiques spéciaux. L'altération porte primitivement sur les petits
vaisseaux
; le tissu conjonctif et le parenchyme ne sont at
isch). L'anémie ici n'est qu'apparenté ; il n'y a pas compression des
vaisseaux
et, contrairement à ce qui a lieu dans la néphrit
ion qu'ils ont employé. If. glomérules ; 3° autour des principaux
vaisseaux
. — c) Le tissu nouvellement formé est doué, à une
quelques glomérules restés sains et capables de fonctionner. D. Les
vaisseaux
artériels présentent une altération spé-ciale et
lasie de la tunique interne et surtout de l'adventice. Les parois des
vaisseaux
paraissent relativement très épaissies, alors que
tielles dans d'autres organes 'dia thèse fibroïde]. — Altérations des
vaisseaux
; — athérome des artères ; hémorragies — Lésion
a une gêne circulatoire très prononcée, en conséquence de ce que les
vaisseaux
sont comprimés dans la substance corticale ? A ce
éphrite interstitielle, il me reste à vous parler des altérations des
vaisseaux
que l'on peut retrouver à l'autopsie des sujets q
phie rénale soit à l'hypertrophie du cœur, soit à l'alhérome des gros
vaisseaux
. Je dois ajouter que dans quelques cas d'hémorrha
lobulaire du rein, telle qu'elle est marquée à l'état normal par des
vaisseaux
, est ici effacée ; les vaisseaux ne se montrent q
est marquée à l'état normal par des vaisseaux, est ici effacée ; les
vaisseaux
ne se montrent que çà et là sous formes de rares
ieu, plus, rarement dans les veinules ; jamais on ne la voit dans les
vaisseaux
d'un certain calibre, et si on l'a signa-lée dans
cupait là, seule-ment les vasa vasorum. Les parties altérées de ces
vaisseaux
sont en général aug-mentées de volume ; elles pre
es, qui peut aller jusqu'à une oblitération complète de la lumière du
vaisseau
. b) Les cellules parenchymateuses peuvent aussi
e on distingue des stries ou quelquefois des plaques, suivant que les
vaisseaux
seuls ou les autres éléments sont frappés de dégé
ontre sous forme de stries parallèles qui correspondent au trajet des
vaisseaux
droits ; nous reconnaîtrons bientôt la raison his
établit primitivement dans le système des artérioles : 1° Ce sont les
vaisseaux
des glomérules qui sont atteints en premier lieu
a lésion se montre ensuite sur les vais-seaux afférents, puis sur les
vaisseaux
efférents, et, parmi ces derniers, d'abord sur ce
t duglomérule, descen-dent dans la substance tubuleuse sous le non de
vaisseaux
droits ; enfin, les artères interlobulaires et d'
é les capillaires peuvent être envahis à leur four. B. Souvent, les
vaisseaux
sont seuls affectés; cependant les parois des tub
s qu'elles soient jamais alté-rées. C. En dehors de ces lésions des
vaisseaux
et des membra-nes hyalines, la plupart des altéra
rement à la surface, on aperçoit tout le système des glomé-rules, les
vaisseaux
afférents et efférents, les artères inter-lobulai
s coupes faites au voisinage de la substance corticale, on trouve les
vaisseaux
droits altérés, disposés par petits groupes autou
ein par synthèse ; en effet, si au lieu de lier l'u-retère on lie les
vaisseaux
du rein, on ne trouve plus d'acide hippurique dan
n n'est changé dans le filtre. Le sang artériel, en rentrant dans les
vaisseaux
du glomérule, y apporte de nouveau le matériel de
gé-nérale ou de la circulation locale dans le rein, amenant dans les
vaisseaux
de cet organe, une modification par excès de la p
allons voir, dans un instant, qu'une augmentation dépression dans les
vaisseaux
du rein ne suf-fit pas pour produire l'albuminuri
sidé-rable de transsudats quand la pression du sang augmente dans ces
vaisseaux
. Ainsi, en dehors du rein, on peut citer l'expéri
t déjà remarquer Bowmann,bien qu'il n'existe pas de valvules dans les
vaisseaux
efférents, les injections poussées dans les veine
es de cellules hépatiques. B,B, Espace interlobulaire contenant les
vaisseaux
sanguins et les conduits biliaires interlobulaire
is entourant le lobule d'une zone complète de tissu conjohetif. — Les
vaisseaux
sanguins et les conduits biliaires interlobulaire
aire. B. Gros canalicules biliaires du centre de l'espace. Ces deux
vaisseaux
sont entourés par une zone de tissu conjonctif ad
u lobule. B,B, Espaces interlobulaires, très élargis, contenant des
vaisseaux
sanguins et des canalicules biliaires Charcot
I, I. Intestin. 0. Ombilic. Re. Rein. Rec. Rectum. T. Testicule. 2»
Vaisseaux
. V. G. Veine cave inférieure. V. il. Veines i
ÈME LEÇON. des capillaires biliaires (suite). — tissu conjonctif et
vaisseaux
lympha-tiques du lobule. — espaces interlobulaire
ux. — Nécessité d'une connaissance exacte du mode de distribution des
vaisseaux
sanguins ou biliaires dans les espaces interlobul
ssements. —Cirrhose annulaire. — Cirrhose monolobulairc. —Lésions des
vaisseaux
et du tissu conjonctif qui les entoure. — Effets
x et du tissu conjonctif qui les entoure. — Effets de la ligature des
vaisseaux
portes. — Phlébite et périphlébite portes : elles
aux portes. — Phlébite et périphlébite portes : elles affectent les
vaisseaux
prélobulaires. — Tendance du système artériel hép
nions contradictoires des auteurs sur le tissu conjonctif du rein. —?
Vaisseaux
lymphatiques de la capsule et du hile : — ils com
son importance au point de vue pathologique. Brève description des
vaisseaux
du rein. Quelques mots sur la sécrétion urinair
itielles dans d'autres organes [diathèse fibroïde . — Altérations des
vaisseaux
; — athérome des artères ; hémorragies — Lésion
liaire. 78. Amiloïde (Dégénération) en général, 373.—Altération des
vaisseaux
, 373; — des cellules, 374 ; — des; mem-branes h
ions du tissu conjonctif, 267 ; — du parenchyme hépatique, 68 : — des
vaisseaux
, 269. — Développement des vais-seaux, 273 ; — lés
291, 292. — Physiologie, 303; Rein amyloïde, 323, 372. — Lésion des
vaisseaux
dans lo —, 373 ; — des tuhu.fi, 374 ; — lésions c
ns la néphrite in-terstitielle, 339. — Produit par le foie, 27. V
Vaisseaux
sanguin du foie, 14 Peines interlobulaires, du fo
naître la vue d'une hémorrhagie aussi considérable, c'est qu'un gros
vaisseau
avait été intéressé, mais les vaisseaux principau
considérable, c'est qu'un gros vaisseau avait été intéressé, mais les
vaisseaux
principaux examinés parurent sains : le sang vien
continue. Je ne crois pas que l'hémorrhagie se soit faite par un gros
vaisseau
par suite d'une variété anatomique. Je ne crois p
ée: ainsi les trous et conduits par lesquels passent les nerfs et les
vaisseaux
se rétrécissent, lorsque ces nerfs ou ces vaissea
les nerfs et les vaisseaux se rétrécissent, lorsque ces nerfs ou ces
vaisseaux
sont atrophiés ou oblitérés : telle est aussi, et
assent à l'état graisseux; les nerfs musculaires s'atrophient, et les
vaisseaux
artériels et veineux perdent de leur calibre. L
osés remplis de liquide synoviforme, et se ramifiant à la manière des
vaisseaux
. La surface interne de ces canaux et de leurs amp
s l'épaisseur de la tumeur, où il était impossible de les suivre. Les
vaisseaux
représentés fig. 1 faisaient suite aux veines obt
stalactiformes. Lorsqu'on considère combien est grand le nombre de
vaisseaux
veineux du périoste et des os, lorsqu'on se rappi
ain gauche. On voit l'arcade palmaire superficielle, les nerfs et les
vaisseaux
des deux derniers doigts. AN, AN, représentent de
s os en supposent de correspondans dans les muscles, les nerfs et les
vaisseaux
des membres inférieurs. En outre, le vice de conf
dans cette région que les tendons des fléchisseurs, des nerfs et des
vaisseaux
. Point de muscles proprement dits; on trouve seul
lume d'un pois, de couleur rosée, avec de nombreuses ramifications de
vaisseaux
capillaires pour les uns, violacés et même noirât
ur surface, ainsi que sur celle du mésentère, la plus petite trace de
vaisseaux
lactés. ce Les ganglions lymphatiques qui sont
dans cette note ne seraient pas autre chose. Toujours est-il qu'aucun
vaisseau
chilifère ne partait de leurs bases, et cela a ét
ait toute récente. Un cordon ombilical très volumineux, et dont les
vaisseaux
étaient très dilatés, partait du côté interne d'u
en filamens comme la substance du testicule, et qui enveloppe un gros
vaisseau
, d'où partent quatre ou cinq divisions qui gagnen
; elles m'ont paru organisées, car j'ai pu y constater la présence de
vaisseaux
et de petits paquets graisseux de la grosseur d'u
convertie en une masse graisseuse ferme, lobulée, d'un blanc mat. Les
vaisseaux
qui s'y rendent ne sont nullement oblitérés. La v
de flexibilité des viscères thora-ciques et abdominaux, des muscles,
vaisseaux
et nerfs, pendant dix-huit ans, conservation tell
disposition de l'anneau ombilical que remplissaient chez le fœtus les
vaisseaux
ombilicaux, qui se trouve vide au moment de la na
x, qui se trouve vide au moment de la naissance par la vacuité de ces
vaisseaux
et tout prêt à recevoir les circonvolutions intes
mbre de sujets, le resserrement de l'anneau et son adhérence avec les
vaisseaux
ombilicaux flétris s'opéraient plus tardivement q
artie au resserrement de l'anneau en faisant refluer le sang dans les
vaisseaux
ombilicaux. Hernie ombilicale chez l'adulte.— D
Mais est-ce bien une cicatrice que l'ombilic? Oui, par rapport aux
vaisseaux
qui le traversent , à la peau qui s'est séparée c
; mais non à l'égard de l'anneau qui revient sur lui-même lorsque les
vaisseaux
ombilicaux ont cessé d'être perméables au sang, c
e était située entre l'artère ombilicale, qui était en dedans, et les
vaisseaux
épigastriques qui étaient en dehors. J'ai dit qu'
la moitié delà longueur du cordon et qui présentait à son centre les
vaisseaux
ombilicaux, ne contenait aucune anse intestinale.
res naturelles que présentent les aponévroses pour donner passage aux
vaisseaux
, et le long de 1 espèce de tige que représentent
ge aux vaisseaux, et le long de 1 espèce de tige que représentent ces
vaisseaux
; que les deux foyers principaux avaient pénétré d
formé : le sac herniaire ayant été détruit, le pus a fusé le long des
vaisseaux
, ou plutôt l'inflammation s'est propagée à l'aide
mation s'est propagée à l'aide du tissu cellulaire qui accompagne les
vaisseaux
jusque dans des espaces celluleux plus considérab
local d'érosion dans un ou plusieurs ulcères. 3° Uhémorrhagie. —Les
vaisseaux
de l'intestin n'échappent pas au travail d'ulcéra
où des hémorrhagies plus ou moins considérables. Toutefois, comme les
vaisseaux
qui rampent dans l'épaisseur des parois intestina
on chronique sur quelques-uns des points de la surface interne de ces
vaisseaux
: lorsqu'il y a érosion de la membrane interne, sé
ines adhérentes. La section de l'utérus montre du pus dans quelques
vaisseaux
: je crus alors que c'était une phlébite. Canal
sont nullement développés. Réflexions. La présence du pus dans les
vaisseaux
utérins, l'entérite avec eschare , l'érysipèle er
ne me vint pas même à l'idée que le pus pouvait être contenu dans les
vaisseaux
lymphatiques; mais quelques mois de séjour à la M
er que, dans les péritonites puerpérales, la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques est infiniment plus fréquente que la
, et je suis convaincu que, dans le cas actuel, c'était bien dans les
vaisseaux
lymphatiques qu'il était contenu. Du reste, je ne
te, je ne suis pas moins convaincu que la présence de ce pus dans les
vaisseaux
lymphatiques ne peut pas être considérée comme ca
comme inoffensif, lorsqu'il est circonscrit de toutes parts dans les
vaisseaux
, comme il le serait dans un foyer purulent ordina
e d'ulcérations ou d'érosions dont chacune correspond à un follicule.
Vaisseaux
des méninges injectés. Réflexions. Ce faiï est
alités irritantes du sang qui circule et qui stagne dans cet ordre de
vaisseaux
. La figure 2, planche 11, représente une fin d'
voisin de l'apoplexie comme tenant plus souvent à une obturation des
vaisseaux
pulmonaires , que l'œdème séreux pur, dans lequel
aires. Au centre delà matière gélatiniforme se voyaient deux ou trois
vaisseaux
sanguins semblables à ceux qui se forment dans le
ux sanguins semblables à ceux qui se forment dans le germe du poulet,
vaisseaux
sans parois, terminés par un renflement à l'une d
hangement, seulement elle était parcourue par un plus grand nombre de
vaisseaux
sanguins. En arrière du rectum était une masse
sse aréolaire gélatiniforme, dont toutes les aréoles présentaient des
vaisseaux
sanguins. Réflexions. Le cancer aréolaire gélat
r plus tard dans la cavité pleurale. Si l'on se rappelle combien de
vaisseaux
sanguins, combien de divisions de conduits hépati
isseur du foie, si l'on considère en outre que si ces conduits et ces
vaisseaux
sont souvent oblitérés par adhésion, il arrive no
allait en augmentant à mesure qu'on s'éloignait du point central. Les
vaisseaux
sous-péritonéaux étaient extrêmement développés.
les unes sont couleur blanc de lait et ne paraissent contenir aucuns
vaisseaux
dans leur épaisseur, les autres en contenaient un
s, les masses blanc de lait sans apparence vasculaire, présentent des
vaisseaux
capillaires d'une extrême ténuité qui apparaissen
ans le tissu cellulaire intermédiaire aux granulations. Du reste, les
vaisseaux
veineux du foie de divers ordres, ceux même qui p
ranulations, que traversaient des espèces de cloisons formées par les
vaisseaux
du foie dont les parois étaient très épaisses et
glanduleux dégénérés. Les grosses tumeurs étaient traversées par des
vaisseaux
et par des conduits biliaires. Sous le rapport de
d'autres offraient l'aspect d'une sorte de mucilage traversé par des
vaisseaux
. Le ramollissement, comme mucilagineux, en occupa
de ces poches étaient traversées par des colonnes que constituent des
vaisseaux
de diverses dimensions soutenus à l'aide d'un tis
séjour, le sang vermeil s'écoulant immédiatement après sa sortie des
vaisseaux
, et le sang fétide ne s'écoulant qu'après un séjo
tre que la cause de cette hémorrhagie est dans la rupture de quelques
vaisseaux
; rupture spontanée ou provoquée par l'introductio
ercera contre les parois une compression qui suffira pour obturer les
vaisseaux
. Dans le cas, au contraire, où cette hémorrhagie
foie après l'ablation de son enveloppe fibro-séreuse. On voit que les
vaisseaux
seuls soutenaient le tissu ramolli et comme diffl
es divers organes, et en particulier ceux qui sont les plus riches en
vaisseaux
sanguins, tels que le foie, les poumons, et comme
ue, plongé sous l'eau, le tissu, du foie se présente sous l'aspect de
vaisseaux
le long desquels étaient régulièrement rangés de
trophiés. Toute la surface de la tumeur était parcourue par de petite
vaisseaux
veineux. Le nerf pneumo-gastrique gauche était ac
s, c'étaient du pus infiltré à demi concret et des milliers de petits
vaisseaux
sanguins, mêlés à la matière encéphaloïde. La qua
e détachée du kyste. Au centre de la tumeur, j'ai pu suivre un gros
vaisseau
de trois pouces de long, qui était brusquement in
e long, qui était brusquement interrompu au milieu de la bouillie. Ce
vaisseau
contenait du pus ou plutôt de la matière encéphal
veine. On sait aussi que, d'après ma manière de voir, c'est dans les
vaisseaux
qu'est le siège primitif de la sécrétion du suc e
inflammation du péritoine, du tissu cellulaire sous-péritonéal et des
vaisseaux
lymphatiques utérins et ovariques. La dénominat
blanches qu'on voit à sa surface ne me paraissent autre chose que des
vaisseaux
lymphatiques oblitérés et indurés. Réflexions.
-veille de son entrée, on avait tenté de saigner Je malade ; mais les
vaisseaux
ne donnèrent pas de sang : on fut obligé d'y supp
surface du poumon (fig. 1) est recouverte par une grande quantité de
vaisseaux
de nouvelle XXIXe LIVRAISON. a formation et p
elle XXIXe LIVRAISON. a formation et par des macules de sang. Ces
vaisseaux
de nouvelle formation et ces macules appartiennen
on peut détacher avec la plus grande facilité. Les gros troncs de ces
vaisseaux
nouveaux sont sous la plèvre, les divisions dans
en arrière, et en bas le long de la gaine celluleuse, qui entoure les
vaisseaux
et nerfs brachiaux jusqu'au pli du bras. En outre
à gauche. En incisant le tissu pulmonaire,j'ai vu, sur la coupe, des
vaisseaux
pleins de concrétions fibrineuses, et il m'a été
t que cette concrétion allait se divisant et se subdivisant comme les
vaisseaux
; blanche ou décolorée dans les vaisseaux d'un ce
et se subdivisant comme les vaisseaux ; blanche ou décolorée dans les
vaisseaux
d'un certain calibre, elle était noire et probabl
un pédicule fort délié , constitué par une division bronchique et des
vaisseaux
sanguins. Les veines iliaques primitives et leurs
agment, à l'exception du point par lequel il reçoit la bronche et les
vaisseaux
sanguins correspondans. On peut se rendre compte
aration s'opère à la circonférence. La résistance de la bronche etdes
vaisseaux
sanguins qui constituent le pédicule, n'a pas bes
ent dans le foyer pulmonaire. Le trajet fistuleux était antérieur aux
vaisseaux
et nerfs de la région latérale du cou. Réflexio
ses et tubercules cancéreux. Une grosse masse était traversée par des
vaisseaux
sanguins et par un tuyau bronchique, preuve manif
a tumeur, on enlevait en même temps une couche de tissu cérébral. Des
vaisseaux
veineux très développés, rampaient sur la surface
es à la loupe, ces granulations paraissent n'être autre chose que des
vaisseaux
contournés sur eux-mêmes. La coupe présente des p
tré de sérosité et nullement de suc cancéreux; le sang qui suinte des
vaisseaux
présente des globules appréciables à l'œil nu. Ce
cidentelles. Chaque colonne ou bride contenait dans son épaisseur des
vaisseaux
sanguins et un conduit aérien. Cette caverne qui
accusent une douleur plus ou moins vive à l'aine ou sur le trajet des
vaisseaux
cruraux. Chez un grand nombre, cette douleur prés
u tiers inférieur de la cuisse, qui cesse dans le point précis où les
vaisseaux
fémo- raux traversent le troisième adducteur, pou
les troncs veineux seulement, la douleur est limitée au trajet de ces
vaisseaux
, et l'œdème est peu considérable ; la douleur et
t après l'accouchement, œdème avec douleur le long du trajet des gros
vaisseaux
, et dont l'intensité est en rapport avec l'étendu
et dont l'intensité est en rapport avec l'étendue de l'obturation des
vaisseaux
veineux : circonscrite au trajet des troncs veine
au niveau de la paire de valvules la plus voisine de l'embouchure du
vaisseau
. Réflexions__Dans le cas représenté planche iv,
tères dans le cas d'artérite. La structure de la membrane interne des
vaisseaux
est lymphatique comme celle des séreuses. Les v
ôt c'est un simple filament, qui est lui-même résorbé et la cavité du
vaisseau
est complètement effacée : plusieurs fois j'ai re
rétions ossiformes qui occupaient une grande partie de la longueur du
vaisseau
. Du reste, la distinction de la phlébite en cel
ansformation variqueuse peut débuter par l'un ou par l'autre ordre de
vaisseaux
. Enfin, les tumeurs variqueuses développées dan
la varice latérale n'occupait qu'un des points de la circonférence du
vaisseau
, et que tous les autres points de la circonférenc
e varices peut s'expliquer de deux manières, ou par une élongation du
vaisseau
sans augmentation de calibre, ou par son augmenta
en circonférentielles lorsqu'elles occupent toute la circonférence du
vaisseau
et en latérales lorsqu'elles n'occupent qu'un des
par des brides. Ijes varices ampullaires peuvent exister sur le même
vaisseau
que les varices serpentines, ce qui donne à ce va
r sur le même vaisseau que les varices serpentines, ce qui donne à ce
vaisseau
un aspect noueux, comme dans la veine collatérale
l'intestin colon. Les étranglemens représentent le calibre normal du
vaisseau
. Lorsque le vaisseau dilaté a conservé sa directi
s étranglemens représentent le calibre normal du vaisseau. Lorsque le
vaisseau
dilaté a conservé sa direction rectiligne, il est
gère du caillot est vaincue dans un des points de la circonférence du
vaisseau
par le sang en circulation ; bientôt le caillot e
se fait une circulation très active entre ce caillot et les parois du
vaisseau
. Joignez à cela que le sang coagulé revient peu-à
it décolorés, adhérens seulement dans un point de la circonférence du
vaisseau
dont ils rétrécissent le calibre. — J'ai vu des v
ulaire pénétré de sang. Ce sang était épanché et non contenu dans ses
vaisseaux
. Il y avait hémorrhagie sous-cutanée , aussi bien
lanc , fibreux , extrêmement dense, tellement adhérent aux parois des
vaisseaux
, qu'il a été impossible de l'en séparer. Au milie
a circulation s'était rétablie entre ce cordon et la paroi opposée du
vaisseau
. Il était manifeste que ce n'était que lentement
resque capillaire ; dans d'autres, le sang remplissait la totalité du
vaisseau
. La veine poplitée qui, au toucher? présentait
sang, qui était parvenu à s'insinuer entre le cordon et les parois du
vaisseau
, parcourait un trajet extrêmement sinueux pour ré
ébrile. La maladie est purement locale, et l'examen attentif des gros
vaisseaux
artériels et veineux ne fait découvrir aucune alt
e et de la péronière et dans toutes les divisions appréciables de ces
vaisseaux
. Du reste, l'oblitération de la tibiale postéri
la gangrène suppose une oblitération aussi complète que possible des
vaisseaux
artériels ; que pour peu que quelques gouttelette
terruption du cours du sang est subite, dans une certaine longueur du
vaisseau
, la mort du membre est inévitable. J'ai fait une
dans tous les points correspondant à la surface interne enflammée du
vaisseau
: dans les grosses artères, dans l'aorte en parti
x dire une artérite qui n'occupe qu'une partie de la circonférence du
vaisseau
, en sorte que la circulation n'est pas sensibleme
petit calibre, l'artérite occupe en général toute la circonférence du
vaisseau
. L'artérite latérale de l'aorte ne paraît avoir
taient plusieurs caillots qui n'obturaient que très incomplètement le
vaisseau
; quelques-uns de ces caillots répondaient à des p
le centre ele ces caillots, soit le côté qui regardait les parois du
vaisseau
. Rien de plus variable que l'étendue de l'oblit
: c'est que les moyens de communication entre ces différens ordres de
vaisseaux
étaient interceptés. Les artères tibiale postérie
e quelque temps avant l'apparition de cette gangrène, la dureté de ce
vaisseau
qui représente sous le doigt une corde tendue à l
sseau qui représente sous le doigt une corde tendue à la manière d'un
vaisseau
rempli d'une injection solide. J'invoquerai cet
J'invoquerai cette même douleur pour prouver que l'oblitération des
vaisseaux
est le résultat d'une véritable inflammation. Qua
ctable, au moins quant au sang, et qu'on n'y a pas encore démontré de
vaisseaux
sanguins; que jamais elle ne rougit; que ce qu'on
celle qu'on observe sur un cadavre dont l'épiderme a été enlevé. Les
vaisseaux
veineux qui rampent dans l'épaisseur de la peau é
; joignez à cela la douleur et souvent la dureté le long du trajet du
vaisseau
principal du membre. Le mot de gangrène ne s'ap
plus de sang dans les membres, et, d'une autre part, les veines, les
vaisseaux
lymphatiques conservant encore quelque temps leur
érieur : elle a été divisée par son côté postérieur; on y voit que ce
vaisseau
est parsemé dans toute sa longueur de plaques cir
de l'artère au niveau de ces bosselures, on voit que le calibre du
vaisseau
n'est ni augmenté, ni diminué, ce qui tient à ce
arcourue de rides parallèles disposées perpendiculairement à l'axe du
vaisseau
, égalise en quelque sorte la surface interne de c
l'axe du vaisseau, égalise en quelque sorte la surface interne de ce
vaisseau
dans toute la partie correspondante à la dilatati
'un ouvrier habile qui aurait artistement mastiqué les excavations du
vaisseau
. C'est à peine si j'ai pu reconnaître par la surf
t 3 répondent aux bosselures correspondantes de la surlace externe du
vaisseau
; le n° 5 répond à un caillot situé à côté de l'o
une route. Ces caillots stratifiés se prolongeaient encore le long du
vaisseau
, dans toute la portion de ce vaisseau qui était l
prolongeaient encore le long du vaisseau, dans toute la portion de ce
vaisseau
qui était le siège d'une dilatation morbide. La
aisseau qui était le siège d'une dilatation morbide. La plupart des
vaisseaux
qui naissaient de l'artère mésentérique supérieur
favorable à la dilatation de tel ou tel point de la circonférence du
vaisseau
. Sous ce rapport, je ne puis que renchérir sur ce
ires, ou ramassée en foyer, elle cherche à se faire jour au-dedans du
vaisseau
et soulève la membrane interne, qui est tantôt mi
uelquefois aussi bien à la surface externe qu'à la surface interne du
vaisseau
et occupent toute son épaisseur; un autre mode de
viennent successivement s'ajouter et le tissu cellulaire extérieur au
vaisseau
et les parties ambiantes. A cette doctrine, que
occupant une partie plus ou moins considérable de la circonférence du
vaisseau
, la moitié, les deux tiers, la totalité de cette
en ampoule ovoïde ou sphéroïde qui occupent toute la périphérie du
vaisseau
sont bien évidemment formés aux dépens des trois
e sorte de prolongement conoïde dont la base répondait à l'origine du
vaisseau
et dont le sommet tronqué répondait au tronc brac
semi-lunaire, espèce de collet rudimentaire, se voyait à l'orifice du
vaisseau
. Dans un cas présenté à la Société anatomique p
rculation du sang était parfaitement libre du côté de la concavité du
vaisseau
: la partie renflée de l'anévrysme était remplie
xaminant l'aorte par sa surface extérieure, que la partie saine de ce
vaisseau
se continue avec un tissu artériel altéré : or, l
nt de libre pour la circulation, que la partie de la circonférence du
vaisseau
qui n'avait pas subi d'altération dans son tissu.
n'appuie que sur un point très circonscrit de la circonférence de ce
vaisseau
, qui semblerait avoir subi une perte de substance
ulaire interne, était telle, qu'il aurait fallu entamer le sac ou ces
vaisseaux
pour la séparer complètement. Le nerf pneumo-gast
ec ou sans bruit, suivant les conditions dans lesquelles se trouve le
vaisseau
. Quant à la difficulté de distinguer une tumeur p
ration des parois. La figure 3' donne une idée exacte du calibre du
vaisseau
, qui admettait à peine un stylet très fin. L'artè
is n'avait pas diminué dans ce point, il en résulte que la lumière du
vaisseau
était extrêmement petite. Il n'y avait de dilatat
e d'un obstacle aussi considérable au cours du sang dans le principal
vaisseau
de l'économie. XLe LIVRAISON. 3 Quant à la qu
entent d'ailleurs aucune trace d'organisation, aucun développement de
vaisseaux
. Comme dans les poches anévrysmales des artères
ar la coagulation du sang est le premier effet d'une inflammation des
vaisseaux
. Le sang coagulé forme quelquefois une digue suff
orte présentait une rupture occupant la moitié de la circonférence du
vaisseau
. Les deux tuniques internes avaient seules été la
illots sanguins, qui avaient singulièrement rétréci le calibre de ces
vaisseaux
. Le ventricule gauche était notablement hypertr
été signalée par Mor-gagni comme propre à favoriser les érosions des
vaisseaux
, et il infère cette corrélation de la coïncidenc
pport avec la quantité de sang contenu dans le foyer et le calibre du
vaisseau
, source de l'hémorrhagie. Enfin comme cause de
plus long-temps encore, eh bien'.jamais on n'a vu trace du plus petit
vaisseau
dans l'épaisseur de ces lamelles. Toutes les alté
Les caillots sanguins peuvent se former dans le cœur comme dans les
vaisseaux
, par suite de deux causes bien distinctes, savoir
ion ; les caillots par stagnation ne sont pas adhérens aux parois des
vaisseaux
, les caillots par inflammation sont toujours adhé
cœur; dans l'adhérence organique, le caillot est accolé aux parois du
vaisseau
à la manière d'une fausse membrane : or, de même
réquentes) sont un prolongement de tumeurs cancéreuses extérieures au
vaisseau
dont elles ont envahi les parois pour pénétrer et
vahi les parois pour pénétrer et se développer dans l'intérieur de ce
vaisseau
. Les autres naissent de la surface interne du vai
ntérieur de ce vaisseau. Les autres naissent de la surface interne du
vaisseau
, sans avoir aucune connexion de continuité avec l
reuse des muscles et du tissu cellulaire de l'épaule, j'ai trouvé les
vaisseaux
axillaires enveloppés et comme pressés de toutes
ation adhésive accidentellement contractée avec les parties saines du
vaisseau
. Quant aux racines, elles naissaient d'une partie
eau. Quant aux racines, elles naissaient d'une partie dégénérée de ce
vaisseau
, et il fut facile de voir que la tumeur carcinoma
eur de la veine était une dépendance de la dégénération extérieure au
vaisseau
, à travers les parois duquel elle s'était propagé
ère dont avait lieu la pénétration de ces tumeurs dans l'intérieur du
vaisseau
; car, dans d'autres points, on voyait la veine cr
exes et concaves en sens opposé pour se mouler sur la convexité de ce
vaisseau
. La fig. 2 représente l'oreillette droite large
sses cancéreuses extérieures aux veines envahissent les parois de ces
vaisseaux
. Réflexions—On. peut à peine concevoir que la v
u artériel proprement dit avait été respecté. La circulation de ces
vaisseaux
devait être gênée sans être empêchée au moins d'u
l'aspect de zones incomplètes, et paraissent suivre la direction des
vaisseaux
. La fin de l'intestin grêle présente tous les car
arence mamelonnée.La partie supérieure du péricarde adhérait aux gros
vaisseaux
correspondans. Les fausses membranes péricardiq
de gouttelettes de sang, preuve bien évidente de la communication des
vaisseaux
des fausses membranes avec les vaisseaux sous-pér
ente de la communication des vaisseaux des fausses membranes avec les
vaisseaux
sous-péricardiques. Le cœur , dépouillé de son
'autres cas, l'œdème paraissait indépendant de toute oblitération des
vaisseaux
pulmonaires. La distinction entre l'œdème actif e
ndant,examinée à la loupe, elle présente une multitude de très petits
vaisseaux
. J'ai considéré cette altération comme devant êtr
uleuse et comme demi transparente. Sa surface était parcourue par des
vaisseaux
veineux très développés qui lui formaient une esp
re gélatiniforme, transparente, au milieu de laquelle se voyaient des
vaisseaux
longs et flexueux, qui n'ofit pas été représentés
la moelle sont convertis en une pulpe molle, gris rosé , pénétrée de
vaisseaux
sanguins. Cette altération allait en diminuant de
sée, il fit de vains efforts pour rester debout, à cause du roulis du
vaisseau
qui lui faisait perdre l'équilibre, en sorte qu'i
terne de petits points rouges, des plaques rouges que constituent des
vaisseaux
veineux pointillés. Ces vaisseaux appartiennent à
plaques rouges que constituent des vaisseaux veineux pointillés. Ces
vaisseaux
appartiennent à des fausses membranes extrêmement
sme avait trois pouces de long, occupait la partie latérale droite du
vaisseau
: sa surface, était bosselée, sa cavité était rem
eine nuancée, dans l'épaisseur de laquelle on apercevait çà et là des
vaisseaux
extrêmement déliés visibles seulement à la coupe.
ait très épais et constitué par une pseudo-membrane parcourue par des
vaisseaux
: tout autour la substance cérébrale était ramoll
ce avec les parois de cette cavité, qui était d'ailleurs parcourue de
vaisseaux
plus nombreux et plus développés que de coutume;
été le siège d'une destruction moindre, et partout parcourue par des
vaisseaux
sanguins: j'ai pu à l'aide d'une pince, attirer d
de la cavité: la source de i'hémorrhagie était probablement dans les
vaisseaux
de nouvelle formation développée dans l'épaisseur
'apoplexie capillaire, qu'il est consécutif à la déchirure des petits
vaisseaux
. La fig. 3 représente un mode d'apoplexie capil
ses, ici noires, là décolorées, toutes très adhérentes aux parois des
vaisseaux
. Dans le sinus longitudinal supérieur, la phlegma
lques foyers de ramollissement semblent n'être constitués que par des
vaisseaux
dilatés. Le ramollissement est quelquefois unifor
e sa surface interne: ses parois sont celluleuses et vasculaires; des
vaisseaux
d'apparence veineuse semblent se détacher de, ces
e, mince, celluleux, jaunâtre. Entre ces deux feuillets rampaient des
vaisseaux
déliés , qui pénétraient déjà la fausse membrane.
selée, murale en quelque sorte,était parcourue par un grand nombre de
vaisseaux
sanguins d'apparence veineuse: elle était recouve
icielles. La coupe de cette tumeur avait l'aspect cérébriforme: les
vaisseaux
sanguins qui la pénétraient étaient capillaires ,
ait granuleuse et vasculaire, plusieurs granulations présentaient des
vaisseaux
très dilatés. Cette tumeur adhérait par le quart
logue au blanc-manger et par une cellulosité lâche, parcourue par des
vaisseaux
. Cette altération était fort ancienne. Tout le re
masse compacte, blanchâtre, très dense, aréolaire, traversée par des
vaisseaux
assez volumineux. La coupe de la tumeur rendait p
cs phosphatiques, qui, examinés à la loupe, m'ont paru formés par des
vaisseaux
ossifiés. Tumeurs de la face interne de la dure
petit trochanter,dans la gaine du psoas, en dehors et au dessous des
vaisseaux
cruraux. Poitrine. Grand nombre de petites tume
extrémités des nerfs ? Je ferai remarquer que, en opposition avec les
vaisseaux
artériels et veineux, les nerfs qui appartiennent
tes colonnes qui s'entrecroisaient et qui étaient probablement et les
vaisseaux
et les conduits excréteurs de cet organe glandule
ntrecroisées, lesquelles devaient être, au moins pour la plupart, des
vaisseaux
ou des conduits excréteurs. La vessie était con
ophié, sa couleur jaunâtre, sa surface parcourue par une multitude de
vaisseaux
. Cette figure établit qu'un des effets de la pr
où l'autopsie n'a pas fait découvrir la moindre trace de pus dans les
vaisseaux
. Jusqu'à ce que des preuves nouvelles et direct
tement par d'autres voies, par l'inoculation , par l'inflammation des
vaisseaux
lymphatiques ; qu'une mauvaise alimentation , que
milieu d'un tissu blanc; 20 là, petits foyers de sang sans parois; 3°
vaisseaux
noueux, tantôt suivant la direction des fibres, t
es faits, s'opérer, en quelque sorte sous nos yeux, la génération des
vaisseaux
accidentels du tissu cancéreux, génération qui a
d'abord des points de sang, des gouttelettes, des caillots, puis des
vaisseaux
sans parois; plus tard viennent les parois. Ces v
s, puis des vaisseaux sans parois; plus tard viennent les parois. Ces
vaisseaux
sont des veines dont la circulation est indépenda
i souvent dans le cancer ulcéré par suite de l'érosion des parois des
vaisseaux
artériels, et qu'il est d'autant plus difficile d
ux artériels, et qu'il est d'autant plus difficile d'arrêter, que ces
vaisseaux
, devenus excessivement fragiles, ne se prêtent nu
ence synoviale. La partie supérieure du kyste était parcourue par des
vaisseaux
veineux, longs, filamenteux, comme chevelus. Le
ntait beaucoup de variétés : la vascularité consistait dans de petits
vaisseaux
capillaires, disséminés, à peine visibles à l'œil
sibles à la loupe. Au centre de quelques lobules, on trouvait de gros
vaisseaux
veineux qui ressemblaient à de petites masses de
es. J'ai pu déterminer la manière dont procède l'usure delà peau: des
vaisseaux
veineux, flexueux, se manifestent à sa face profo
salivaire : au premier abord, on eût dit qu'elle ne contenait pas de
vaisseaux
sanguins, mais à la loupe et même à l'œil nu, on
aux sanguins, mais à la loupe et même à l'œil nu, on voyait de petits
vaisseaux
veineux très nombreux et très ténus, dont les uns
ulations elles-mêmes, je vis que leur surface était parcourue par des
vaisseaux
excessivement déliés. Exprimé, le tissu de cett
acée, marbré de stries blanc-jaunâtre qui ne sont autre chose que des
vaisseaux
artériels restés intacts. La fig. 2 représente
ncrétions de sang, là des espèces de dilatations ou varices. Tous ces
vaisseaux
de nouvelle formation avaient l'apparence veineus
ande partie de la tumeur, c'était l'image du cerveau parcouru par des
vaisseaux
veineux très développés. La glande mammaire était
0 petits appareils de veine-porte, lesquels étaient constitués par un
vaisseau
veineux central duquel partait dans deux sens opp
hatiques G L, situés sous le grand pectoral et au devant des nerfs et
vaisseaux
axil-liaires sont extrêmement volumineux, et ont
morbide. Supposez, au milieu d'un cancer fibreux, un développement de
vaisseaux
nouveaux, une grande activité de sécrétion, et vo
cérébrale ramollie qui l'environnait. Sa coupe présentait de nombreux
vaisseaux
et des prolongemens fibreux : au centre était un
ui diffère essentiellement de celle des artères et même de celles des
vaisseaux
lymphatiques, je les ai suivies jusqu'au moment o
qui, par leur groupement, leur tassement, constituent ces corps. Les
vaisseaux
veineux ambians deviennent plus apparens et peuve
ellulaire lâche et infiltré, dans lequel rampaient un grand nombre de
vaisseaux
. On peut considérer ce ramollissement comme un tr
er sollicite au développement nutritif la totalité de l'organe; ses
vaisseaux
artériels et veineux acquièrent un calibre consid
considérable (voy. fig. a, pL vi,xinc livr.), probablement aussi les
vaisseaux
lymphatiques; les parois utérines augmentent beau
ux lui-même; lorsque, à côté de ces veines altérées, on rencontre les
vaisseaux
lymphatiques et artériels libres, perméables et s
l'organe. Mais lorsque les veines libres sont saines comme les autres
vaisseaux
, ou du moins lorsque leur altération consiste soi
mmence à poindre; si on avance du côté de l'altération, on trouve ces
vaisseaux
remplis de matière puitacée, noueux, distendus co
on fait ressortir leurs contours : si on avance encore, on trouve ces
vaisseaux
perforés comme avec un emporte-pièce, coupés à pi
nnaissables. Deux circonstances méritent d'être remarquées dans les
vaisseaux
qui contiennent la matière puitacée : i° leur éno
manifeste que les ulcérations ou érosions ne sont autre chose que des
vaisseaux
lacérés. Que si l'on examine avec attention la
s ou l'orifice du vagin. Certes, ce ne peut être que par le moyen des
vaisseaux
lymphatiques que les ganglions sont affectés, mai
Une autre fois, j'ai trouvé le suc cancéreux dans un grand nombre de
vaisseaux
lymphatiques qui répondaient à des ganglions lymp
ondant : ce même suc se retrouve dans le canal thoracique et dans les
vaisseaux
lymphatiques qui s'y rendent immédiatement. Une
ité notable de suc cancéreux : le même suc se retrouve dans plusieurs
vaisseaux
lymphatiques collatéraux qui sont considérablemen
part des ganglions lymphatiques abdominaux et susclavi- culaires. —
Vaisseaux
lymphatiques cancéreux. Madame Delacour, 45 ans
stance, peut-être au niveau de chaque paire de valvulves, le long des
vaisseaux
lymphatiques. Le canal thoracique avait acquis
ère, étaient très volumineux: à ces ganglions aboutissaient plusieurs
vaisseaux
lymphatiques visibles sans injection, et qui prés
n siège dans tout le système veineux utérin, mais sans distension des
vaisseaux
, de telle manière que le tissu de l'utérus interm
, mais non de dépendance. Cette observation me paraît établir que les
vaisseaux
lymphatiques sont susceptibles de la dégénération
ter que le suc cancéreux contenu dans le canal thoracique et dans les
vaisseaux
lymphatiques collatéraux, y a été transporté par
à la matière tuberculeuse qu'on rencontre aussi quelquefois dans les
vaisseaux
lymphatiques, pus, matières tuberculeuses que j'a
ées sinon dans le lieu même où ils ont été observés, au moins dans le
vaisseau
lymphatique lui-même. Cette sorte d'indépendanc
Cette sorte d'indépendance d'altération entre les ganglions et les
vaisseaux
lymphatiques, sous le rapport de la suppuration
emarquable et qui à lui seul prouverait qu'il y a autre chose que des
vaisseaux
lymphatiques dans ces ganglions : il y a, en effe
; chacune de ces masses était un ganglion lymphatique cancéreux. —Les
vaisseaux
lymphatiques correspondans ne présentaient aucune
impossible d'en isoler , par la dissection, et le plexus sacré et les
vaisseaux
hypogastriques. Le rectum, le vagin, et en partie
t absolument l'aspect du tissu du placenta. C'étaient des pinceaux de
vaisseaux
rameux, constituant des mailles, des houppes, alt
, que leshydatides placentaires sont évidemment formés aux dépens des
vaisseaux
(voyez ire livraison, je n'ai pas déterminé aux d
oyez ire livraison, je n'ai pas déterminé aux dépens de quel ordre de
vaisseaux
), on sera fondé à considérer, sinon comme établie
ue deux. On peut voir sur la figure la différence du calibre des deux
vaisseaux
. Le ventricule destiné au fœtus gauche est donc à
ainsi que l'affirment plusieurs médecins américains, ou bien quelques
vaisseaux
? il n'est pas probable qu'un cœur commun réunisse
que du phosphate ou du carbonate calcaire. Je n'ai pu découvrir aucun
vaisseau
sanguin dans l'épaisseur de cette trame. Les vais
découvrir aucun vaisseau sanguin dans l'épaisseur de cette trame. Les
vaisseaux
sanguins occupaient la surface seulement de l'est
flocons de graisse qui sont souvent disposés en traînées le long des
vaisseaux
: on dirait des tubercules jetés çà et là au mili
s tuberculeuses présentent les caractères suivans: un grand nombre de
vaisseaux
superficiels occupent leur circonférence : ce son
e de vaisseaux superficiels occupent leur circonférence : ce sont des
vaisseaux
veineux. Chaque tubercule, chaque granulation a s
; mais , dans l'épaisseur de chaque tubercule , il n'y a pas un seul
vaisseau
sanguin. Les plus petites granulations, comme les
a manière du cerveau d'un jeune enfant; que ce tissu était pénétré de
vaisseaux
sanguins très considérables,d'apparence veineuse,
général, ce qui n'étonnera pas, si l'on considère le grand nombre de
vaisseaux
qui les pénètrent, vaisseaux d'apparence veineuse
as, si l'on considère le grand nombre de vaisseaux qui les pénètrent,
vaisseaux
d'apparence veineuse, et la fragilité de ces vais
les pénètrent, vaisseaux d'apparence veineuse, et la fragilité de ces
vaisseaux
dont les parois excessivement ténues se déchirent
é la conséquence de phlébites, car j'ai trouvé un grand nombre de ces
vaisseaux
remplis de sang coagulé et adhérent. Je ferai r
reux suintait par points isolés, qui m'ont paru être les orifices des
vaisseaux
divisés. Le suc cancéreux était renfermé dans les
fices des vaisseaux divisés. Le suc cancéreux était renfermé dans les
vaisseaux
sanguins. Le petit épiploon était épaissi, pars
bondant. Ce même suc se retrouve dans le canal thoracique et dans les
vaisseaux
lymphatiques qui s'y rendent immédiatement. — Can
a plupart des ganglions lymphatiques abdominaux et sus-claviculaires.
Vaisseaux
lymphatiques cancéreux.......... --Hernie de l'
L. — TABLE DES MATIERES. n, iu,p.g.— Le pus est-il apporté dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins par voie d'absorption ? 13°
ient-il? 13° liv., pl. i, n, m, p. y.— La circulation du pus dans les
vaisseaux
et les ganglions lymphatiques sains ne prouve pas
r l'apoplexie pulmonaire. 3e liv., pl. i, p. 2. — Quel est l'ordre de
vaisseaux
affectés dans l'apoplexie pulmonaire. = L'éliolog
la gangrène suppose une oblitération aussi complète que possible des
vaisseaux
artériels. 27e liv., pl. v, p. 3. — Ce qu'il y a
grène spontanée, le caillot a précédé la gangrène. L'oblitération des
vaisseaux
est le résultat d'une véritable inflammation. La
sang dans les points correspondans à la surface interne enflammée du
vaisseau
; l'artérite latérale ne troublant pas sensiblemen
bondant. Ce même suc se retrouve dans le canal thoracique et dans les
vaisseaux
lymphatiques qui s'y rendent immédiatement.= Canc
a plupart des ganglions lymphatiques abdominaux et sus-claviculaires.
Vaisseaux
lymphatiques cancéreux. 27e liv., pl. 11, p. 2. —
eux du croup. 5e liv., pl. n, p. 3. CRUIKSHANK. Son opinion sur les
vaisseaux
lactés. 2e liv., pl. i, p. 2. CUROIDE. Son rôle
rmes. = Entérite pseudo-membraneuse,- importance des états divers des
vaisseaux
de la muqueuse et du péritoine, dans l'entérite f
e liv., pl. 1, p. 4. Voy. Nouveau-nés. FOHMANN. Son opinion sur les
vaisseaux
lactés. 2e liv., pl. 1, p. 3. FOIE. Importance
la gangrène suppose une oblitération aussi complète que possible des
vaisseaux
artériels. 27e liv., pl. v, p.3.—L'étendue de la
ène spontanée, le caillot a précédé la gangrène. = L'oblitération des
vaisseaux
est le résultat d'une véritable inflammation. = S
p. G. GRÉGORINI. Preuve fournie par lui de la transformation des
vaisseaux
sanguins du placenta en vésicules hydatidiformes.
xtrémité libre. 37° liv., pl. vi, p. 3. HEWSON. Observation sur les
vaisseaux
lactés. 2e liv., pl. i., p. t. HOOPER. Perfecti
xister de luxation incomplète. 29e liv., pl. 1, p. 2. LYMPHATIQUES (
Vaisseaux
). Maladies des vaisseaux lymphatiques: matière tu
lète. 29e liv., pl. 1, p. 2. LYMPHATIQUES (Vaisseaux). Maladies des
vaisseaux
lymphatiques: matière tuberculeuse dans les vaiss
). Maladies des vaisseaux lymphatiques: matière tuberculeuse dans les
vaisseaux
lactés. 2e liv,. pl. 1, p. 4.— Exemples de pus da
les vaisseaux lactés. 2e liv,. pl. 1, p. 4.— Exemples de pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins. 13eliv.,pl. 1, n, ni, p. 3-
pl. ni,p.2.—Considérations générales sur la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. 13eliv., pl. 1, n, m,p.5. — Extensi
ques. 13eliv., pl. 1, n, m,p.5. — Extensibilité et inaltérabilité des
vaisseaux
lymphatiques. 13e liv., pl. 1,11, ni,p. 8.— Effet
., pl. 1,11, ni,p. 8.— Effets de la présence du pus dans cet ordre de
vaisseaux
. 13° liv., pl. 1, 11, m, p. 9. — Vaisseaux lympha
e du pus dans cet ordre de vaisseaux. 13° liv., pl. 1, 11, m, p. 9. —
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. 13e liv., pl. 1, n, m
es pleins de pus. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 11,12. — Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins passée à l'état chronique. 1
l rapport y a-t-il entre le rhumatisme et la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. 17e liv., pl. m, p. 6%. — Les vaiss
du pus dans les vaisseaux lymphatiques. 17e liv., pl. m, p. 6%. — Les
vaisseaux
et les ganglions lymphatiques sont susceptibles d
e liv., pl. i, p. /; 36e liv., pl. m, iv, p. /, et pl. v, p. /; — des
vaisseaux
lymphatiques. 2e liv., pl. i, p. /; — des veines.
vrage. lreliv., Avant-propos, p. vij. MASCAGNI. Son opinion sur les
vaisseaux
lactés. 2e liv., pl. 1, p. 3. MASSAGE. Son util
hie pathologique. lreliv., Avant-propos, p. iv. — Son opinion sur les
vaisseaux
lactés. 2e liv., pl. 1, p. 3. — Sa théorie sur la
. Etat ataxique. Pus et pseudo-membranes dans la cavité du péritoine.
Vaisseaux
lymphatiques utérins, pleins de pus. Ramollisseme
tissu cellulaire libre de la cuisse et de la jambe. Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins, passée à' l'étal chronique.
17e liv., pl. m, p. 3. — Péritonite hypogastrique. Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins. Suppuration dans l'articula
contenu dans ces veines avec des foyers purulens formés autour de ces
vaisseaux
. 11e liv., pl. r, n, m, p. /.5.—Causes les plus f
plus grand nombre des phlébites ; mais il n'est pas impossible que le
vaisseau
redevienne perméable. 11^ liv., pl. 1, n, m, p. 1
ins. 38e liv., pl. 11, m, iv, p. 4- PUS. Il ne s'organise jamais de
vaisseaux
dans le pus. lre liv., pl. iv, p. 3. — De l'actio
ésorption dupus.lleliv. pl. 1,11, mip.i4. — Exemple de pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins. 13eliv.pl.i,ii,iii, p. 3; 1
. pl. m,p.2.—Considérations générales sur la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins: La présence du pus dans les
dans les vaisseaux lymphatiques utérins: La présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques de l'utérus est aussi fréquente que
1, n, m, p. 5. — Caractères analomiques avec lesquels seprésententles
vaisseaux
lymphatiques utérins. 13e liv., pl. 1, 11, m, p.
ins. 13e liv., pl. 1, 11, m, p. 6. — Le pus a-t-il été formé dans les
vaisseaux
lymphatiques par suite d'un travail inflammatoire
liv., pl. 1, n, m, p.y. — Théorie de la formation du pus au sein des
vaisseaux
lymphatiques. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 8. — Effe
, pl. 1, n, m, p. 8. — Effets de la présence du pus dans cet ordre de
vaisseaux
. 13° liv., pl. 1, n, m, p. g. — Cas de présence d
seaux. 13° liv., pl. 1, n, m, p. g. — Cas de présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. 13e liv., pl. 1,11,111, p. 40, 44,
/2, i3. — Observations établissant que la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques peut avoir lieu sans péritonite sans
l rapport y a-t-il entre le rhumatisme et la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques? 17e liv., pl. ni, p. 6. —Théorie su
pl. iv, p. t. — Innocuité du pus circonscrit de toutes parts dans les
vaisseaux
. 31e liv., pl. m, p. 2.— Sur la théorie de la dia
d. Etat ataxique. Pus et pseudomembranes dans la cavité du péritoine.
Vaisseaux
lymphatiques utérins pleins de pus. Ramollissemen
e tissu cellulaire libre de la cuisse el delà jambe. Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins passée à l'état chronique. I
re. 17eliv., pl. ni, p. 3,—Péritonite hypogastrique. Inflammation des
vaisseaux
lymphatiques utérins. Suppuration dans l'articula
l rapport y a-t-il entre le rhumatisme et la présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques? 17e liv., pl. m,p. 6. — Le rhumatis
ó". SÉCRÉTION. Produits de sécrétion dans lesquels il s'organise des
vaisseaux
. Ve liv. pl. iv, p. 3. SELLES. Leur absence est
s tuberculeux et les produits cancéreux. = Il ne s'organise jamais de
vaisseaux
dans les matières tuberculeuses. lre liv-, pl. iv
s tuberculeuses. lre liv-, pl. iv, ». 3. — Affection tuberculeuse des
vaisseaux
lymphatiques. 2e liv., pl. 1, p. i, 3. — Tubercul
rulente du tissu cellulaire sous-péritonéal. Présence du pus dans les
vaisseaux
lim-phatiques.=Typhus puerpéral mortel en vingt-q
ures. Péritonite. Inflammation du tissu cellulaire sous-péritonéal.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus- Ramollissement d'un o
/0. — Typhus puerpéral mortel en quinze heures. Péritonite purulente.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Ramollissement aigu a
e purulente. Infiltration du pus dans le tissu cellulaire péritonéal.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Pus dans la trompe ut
,11, m, p. 2. — Causes du typhus puerpéral ; exemples de pus dans les
vaisseaux
lymphatiques utérins. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 3
ltration purulente du tissu sous-péritonéal. Présence du pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. — Typhus puerpéral mortel en vingt-
heures. Péritonite. Inflammation du tissu cellulaire sous-péritonéal.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Ramollissement d'un o
ulente. Infiltration du pus dans le tissu cellulaire sous-péritonéal.
Vaisseaux
lymphatiques pleins de pus. Pas dans la trompe ut
, 11, m, p. 42. — Péritonite pseudo-membraneuse latente. Pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. Double pleurésie, pseudo-membraneus
e .Mort le neuvième jour. Pour toute lésion cadavérique, pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 44. — T
bondant: ce même suc se retrouve dans le canal thoracique et dans les
vaisseaux
lymphatiques qui s'y rendent immédiatement.^Cance
par érosion delà partie supérieure du vagin. 37e liv., pl. n, p. 3.
VAISSEAUX
. Produits de sécrétion morbides dans lesquels il
SEAUX. Produits de sécrétion morbides dans lesquels il s'organise des
vaisseaux
; autresproduits de sécrétion morbide dans lesquel
organise pas. lre liv. pl. iv, p. 3. — Matière tuberculeuse dans les
vaisseaux
lactés ; origine de ces vaisseaux dans les papill
3. — Matière tuberculeuse dans les vaisseaux lactés ; origine de ces
vaisseaux
dans les papilles intestinales; leur trajet dans
s de l'intestin. 2e liv., pl. i, p. i. — Opinions des auteurs sur les
vaisseaux
lactés. 2e liv., pl. î, p. 3, — Pus dans les vais
uteurs sur les vaisseaux lactés. 2e liv., pl. î, p. 3, — Pus dans les
vaisseaux
lymphatiques. 13e liv., pl. i, n , ni, p. i3 (voy
contenu dans ces veines avec des foyers purulens formés autour de ces
vaisseaux
. 11e liv., pl. 1, n, m, p. i5. — L'oblitération d
out son éclat et sa vivacité; ses pommettes sont rosées, les petits
vaisseaux
cutanés présentant des varicosités que l'on doit
e Parkinson. On a attaché une certaine importance à des lésions des
vaisseaux
san- guins et des cellules de la moelle, signal
lésions des fibres musculaires, des ter- minaisons nerveuses ou des
vaisseaux
sanguins. Schwenn n'hésita pas à faire, de cett
l'hématoxyline montrent l'intégrité complète des mé- ninges et des
vaisseaux
de la moelle ; celles qui ont été colorées au car
ystématique. Leur distribution est réglée alors par les lésions des
vaisseaux
, des ménin- ges, des lymphatiques. Cette deuxiè
de Clarke sont normales ; il existe des lésions très accentuées des
vaisseaux
au niveau de la moelle dorsale. Le canal épendy
à l'hématéine et l'éosine, de nombreuses cellules lymphatiques. Les
vaisseaux
médullaires ne sont pas altérés. Enfin, sur tou
Kieman sont envahies par du tissu conjonctif dense en- globant les
vaisseaux
. Nombreux vacuoles dans plusieurs cellules hépati
nses : il est épaissi et hyalin par endroits. Il en est de même des
vaisseaux
qui sont relativement peu malades. La capsule g
s paraissent creusées dans du tissu fibreux ou hyalin. La paroi des
vaisseaux
est elle-même extrême- ment épaissie et hyaline
adulte, fibreux, hyalin, les noyaux y sont plutôt rares. La paroi des
vaisseaux
est également épaissie, fibreuse, hyaline. Il e
i prédomine, c'est une congestion assez intense avec dilatation des
vaisseaux
. La capsule gan- glionnaire est peu épaissie. Q
qui proviennent sans doute de la désintégration cellulaire. - Les
vaisseaux
et le tissu interstitiel sont en général peu mala
erstitiel sont en général peu malades ; dans la lumière de quelques
vaisseaux
(en particulier ceux du 4" lombaire gauche) on
ulaires, mais la plupart des cellules nerveuses sont normales ; les
vaisseaux
sont assez nombreux et dilatés : ce qui indique u
; mais la sclérose interstitielle n'est pas très dévelop- pés ; les
vaisseaux
sont normaux. La capsule ganglionnaire n'est pas
e du ganglion. Le tissu interstitiel n'est pas très développé : Les
vaisseaux
sont peu malades. Dans le 5e ganglion lombaire
ose interstitielle est encore plus nette. Dans tous ces ganglions les
vaisseaux
sont peu malades. , 1 Fin. 4. Obs. V. Let....
ssu fibro-hyalin. Le tissu conjonctif n'est pas très proliféré, les
vaisseaux
sont peu malades. Région dorsale. Le 12" gang
liférées. Le tissu interstitiel n'est pas sensiblement épaissi. Les
vaisseaux
sont sams, mais ils paraissent plus nombreux et d
er la valeur pathologique. Les lésions du tissu interstitiel et des
vaisseaux
sont variables. Dans certains cas,ce tissu para
inés : la dégénérescence hyaline est alors fréquente. - Quant aux
vaisseaux
, ils se montrent très fréquemment atteints de s
rs tuniques. Toutefois les modifications du tissu conjonctif et des
vaisseaux
ganglionnaires nous ont toujours paru sans impo
njonctif ou à la gêne circulatoire produite par les altérations des
vaisseaux
. Ainsi envisagées, ces lésions cellulaires ne peu
rossissement : 190 diamètres. Raréfaction et atrophie des cellules.
Vaisseaux
nombreux et dilatés. Epaissis- sement du tissu
é- rieures et obturation dans les parties supérieures. La paroi des
vaisseaux
épais- sie. Diminution des cellules du noyau de
de Clarke dépourvues des cel- lules et des fibres. Augmentation des
vaisseaux
dans la substance grise, leur paroi est épaissi
et une épaisse couche de fibres constitue seule la papille avec les
vaisseaux
. Entre ces couches .de neurones sont quelques é
nution relative aussi grande que la couche intergra- nuleuse. Les
vaisseaux
de la rétine ne paraissent pas sensiblement modif
e volume ; cependant leur paroi paraît assez souvent épaissie ; les
vaisseaux
de la choroïde paraissent épaissis, et certains s
- v) Hypertrophie des travées du périmysium avec épaississement des
vaisseaux
. B. - Muscles de l'éminence thénar (coupe trans
sur l'élément interstitiel, sur le tissu conjonctif et adipeux, les
vaisseaux
et les nerfs intra-musculaires. 1 Lésions des f
en moins malades que les fibres musculaires qui les avoisinent. Les
vaisseaux
et les capillaires ne sont pas absolument sains :
ès peu marquée, c'est surtout-de la fibrose, néanmoins même là, les
vaisseaux
interstitiels sont malades; la gangue qui entoure
gaine conjonctive; les grands tractus sont eux- mêmes épaissis, les
vaisseaux
et les capillaires ont subi la transformation U
, à la constitution duquel prennent part le tissu conjonctif et les
vaisseaux
, les débris du sarcolemme, les fibres musculai-
le tissu interstitiel et ses divers éléments, particulièrement les
vaisseaux
, sont en somme les producteurs principaux du ti
ur des capillaires et en plein tissu nerveux sans relation avec les
vaisseaux
. Calola. )1 -\ c;SON ET Cie, Éditeurs. NOTE
cylindriques. Toutes ces formations sont disposées soit autour des
vaisseaux
, soit au milieu du tissu nerveux sans relation, a
Le plus souvent les éléments calcaires sont échelonnés le long des
vaisseaux
capillaires et en reproduisent exacte- ment le
amas plus ou moins considérables qui n'ont * aucun rapport avec les
vaisseaux
, fci aussi nous avons des boules et des masses
ours. Parfois, à la vérité, l'indépendance des dépôts calcaires des
vaisseaux
est plus apparente que réelle dans le sens que
s que le plan de section peut être tombé au-dessous ou au-dessus du
vaisseau
qu'ils entourent, mais ce fait est bien loin de s
mentionnés. Dans le voisinage il n'existe pas la moindre trace d'un
vaisseau
quelconque. L'étude histologique ne décèle pa
ci-dessus. En effet, dans l'athéromasie ce sont en général les gros
vaisseaux
qui se montrent atteints et, dans leurs parois,
rencontre jamais des dépôts calcaires entièrement indépendants des
vaisseaux
sanguins et disséminés dans les espaces interstit
- remarquer qu'il y constitue une exception : en règle générale les
vaisseaux
ne présentent pas ici de ces formes de dégéné-
e l'état du tis.su nerveux qui se trouve immédiate- ment autour des
vaisseaux
calcifiés. En effet, si épais que puissent être
des lacunes, elles se rencontrent justement dans le putamen où les
vaisseaux
n'ont subi aucun processus de calcification. Tout
rente n'em- pêche pas de voir les nerfs optiques, le chiasma et les
vaisseaux
sous- jacents, dans l'amaurose tabétique l'arac
à surface un peu chagrinée souvent, qui ne laisse même pas voir les
vaisseaux
accolés à sa face profonde ; 3 6A lé ri l'ara
s le cas contraire. Elles sont abondantes surtout au pour- tour des
vaisseaux
qui traversent l'espace intervaginal et de ceux q
alement clair entre la gaine durale et l'arachnoïde décollée. Les
vaisseaux
semblent peu nombreux dans la gaine piale, au moi
tes ne nous ont pas paru pénétrer loin dans le nerf au pourtour des
vaisseaux
, comme d'autre part ces noyaux n'entourent pas le
à fait nette et complètement ronde ; il s'agissait manifestement de
vaisseaux
. D'ailleurs, dans des cas moins ré- cents, nous
ceaux, dans les cas récents, on voit poin- dre de semblables petits
vaisseaux
engainés de sclérose ; or à l'état nor- mal c'e
dans les gaines conjonctives interfasciculaires que l'on trouve des
vaisseaux
et jamais dans la gangue purement névroglique i
I'lI[iUl; DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 3t)î sclérose non seulement des
vaisseaux
préexistants, mais de très nombreux vaisseaux n
ose non seulement des vaisseaux préexistants, mais de très nombreux
vaisseaux
néoformés : chacun des innombrables nodules que l
brables nodules que l'on trouve dans les atrophies anciennes est un
vaisseau
, préexistant ou néoformé, sclérosé, épaissi et
alors que la sclér.ose estailleurssi intense et s'attaque même aux
vaisseaux
nou- veau-venus. Mais cette sclérose est essent
encore largement perméables, des travées conjonctives joignent les
vaisseaux
. - Dans le bas, à gauche, les fibres sont moins n
nombreuses ; à' ce niveau les travées ont en partie disparu et les
vaisseaux
ne laissent plus voir sur la coupe qu'un seul g
de nodules scléreux s'explique par la sclérose et l'obturation des
vaisseaux
préexistants et des vaisseaux néoformés, leur dis
e par la sclérose et l'obturation des vaisseaux préexistants et des
vaisseaux
néoformés, leur dissémination, leur isolement s
elques nodules vasculaires sclé- rosés isolés. Un certain nombre de
vaisseaux
assez volumineux subsistent dans le nerf ; beau
avées con- jonctives et nodules fibro-vasculaires, l'obturation des
vaisseaux
et la disparition des libres nerveuses. La méni
reux nodules sclé- reux et de travées scléreuses épaisses. Certains
vaisseaux
sont perméables au cen- tre des nodules. Quelqu
ocation en nodules des travées vasculo-conjonctives, l'obturation des
vaisseaux
et la disparition des fibres nerveuses. L'évolu
onjonctive. Les travées, non hypertrophiées, ne contiennent que des
vaisseaux
peu nombreux et plus ou moins obturés ; les fai
opie. - La totalité du pourtour est privée de fibres nerveuses, les
vaisseaux
très nombreux y sont com- plètement obturés ou
la partie inférieure, sclérose rayonnante suivant les branches d'un
vaisseau
à la partie supé- rieure. v et w) Portion orb
tabes- cécité, même distribution à la périphérie et autour des gros
vaisseaux
. x) Nerf optique d'un cas de paraplégie spasmod
La sclérose est aussi ici périvasculaire, mais prédomine autour des
vaisseaux
du centre et non à la périphérie, sous la ménin
le ne se traduit par une diapédèse lymphocytaire qu'au pourtour des
vaisseaux
qui ont déjà un certain calibre ; sur nos coupe
; sur nos coupes nous voyons la diapédèse disparaître sur certains
vaisseaux
qui entrent dans le nerf à très peu de distance d
ie de dégénérescence, ils sont pour ainsi dire totalement privés de
vaisseaux
. Mais du fait que la lésion interstitielle expl
sions de l'amaurose tabétique se localisent surtout au pourtour des
vaisseaux
; il est donc une localisation qu'elles doivent su
fois multiloculaire et neUement plus marquée aux alentours des gros
vaisseaux
pie-mériens ; on comprend ainsi les rétrécissem
u centre : dans ces cas il y avait sclérose surtout au pourtour des
vaisseaux
contenus dans le nerf. Il existe, en somme, t
partie la plus périphérique du nerf à cause de la présence des gros
vaisseaux
centraux. Fréquemment, dans les parties vascula
ces cas nous avons constaté que le quadrant sclérosé qui joint les
vaisseaux
à la périphérie du nerf est peut-être plus souv
isceau maculaire quitterait l'axe du nerf au-niveau de l'entrée des
vaisseaux
el occuperait dans la portion vasculaire.toute
raux. La sclérose parait varier uniquement avec la distribution des
vaisseaux
; aussi il existe toutes les variétés dans les
r la coupe trans- versale qu'un champ uniforme de fibres piqueté de
vaisseaux
de place en place : or c'est précisément cet as
l'état pathologique dans la portion orbitaire du nerf. Pourtant les
vaisseaux
paraissent souvent augmentés de nombre et leurs
tion crânienne. Sou- vent une zone de sclérose rayonnante part d'un
vaisseau
pie-mérien un peu plus volumineux que les autre
éoformation vasculo-conjonctive et sans doute névroglique; puis les
vaisseaux
, préexistants et néoformés, se sclérosent et s'ob
ns doute par le fait de la compression ; le nerf se trouve privé de
vaisseaux
perméables et l'atrophie des fibres nerveuses s
ement palenchymateuse. L'atrophie des fihres débute au pourtour des
vaisseaux
, et surtout à la périphérie, dans la zone sous-
que caractérisent essentiellement la sclérose et l'oblitération des
vaisseaux
, préexistants et néoformés, avec dégénérescence s
doute con- sécutive, une par une, en commençant par le pourtour des
vaisseaux
, des fibres nerveuses privées de leurs moyens d
remarquer les faisceaux de tissu conjonctif qui entourent les deux
vaisseaux
. En avant, les replis du tissu conjonctif végét
arrière, tandis qu'en avant, ils sont édités par l'interposition de
vaisseaux
. Un manchon névrogliquc sépare la lésion du tis
nduleux, sinueux, homogènes ou stratifiés reliés à de très nombreux
vaisseaux
et qui par leur aspect et leurs réactions lrist
u conjonctif adulte, fibreux ; vasculaire, car la participation des
vaisseaux
à sa formation est indéniable : partout où le p
rencontre d'ailleurs si souvent dans le syringomyélie. La part des
vaisseaux
au processus histologique est considérable. Sur c
pes la fente elle-même paraît n'être formée que par la lumière d'un
vaisseau
, les deux feuillets conjonctifs en figurant les t
éalité, on voit souvent entre les feuillets conjonctifs la coupe de
vaisseaux
et peut-être en quelques points a-t-il pu se co
te. Ce qui surtout est remarquable, c'est l'abondance des coupes de
vaisseaux
au contact et au voisinage des lames conjonctiv
de vaisseaux au contact et au voisinage des lames conjonctives. Ces
vaisseaux
, à direction géné- ralement ascendante, sont de
e présente une telle tendance végétative qu'elle entoure souvent le
vaisseau
d'une zone conjonctive épaisse, envahissante, f
is ces feuillets adventi- liels ne se bornent pas à circonscrire le
vaisseau
d'une tunique épaisse; un certain nombre se sép
le vaisseau d'une tunique épaisse; un certain nombre se séparent du
vaisseau
, se portent dans le voisinage où ils vont se dé
ù ils vont se développer tout à leur aise, Ils s'y insèrent sur des
vaisseaux
sembla- bles, ou bien ils se mêlent à d'autres
ctivo-vasculaire. Les connexions du tissu conjonctif libre avec les
vaisseaux
mettent hors de doute son origine ad- ventitiel
rplasie, d'abord périvasculaire, a bientôt abandonné les limites du
vaisseau
. C'est pour leur propre compte que les feuillet
c dont la pie-mère serait la corde. En résumé, la participation des
vaisseaux
et spécialement de leur tunique externe peut êt
ique externe peut être affirmée ; il est remarquable encore que ces
vaisseaux
ne présentent que peu d'autres altérations, on
rne. L'hypertrophie de l'adventice est la particularité de ces néo-
vaisseaux
qui mérite d'être mise au premier plan. Remarquon
tement dans la cavité. L'hyperplasie de la tunique adventice de ces
vaisseaux
est particulièrement nette. - B. - Poch... 5e C
onctifs. Le processus parait ici encore en activité. Au voisinage les
vaisseaux
néofurmés sont nombreux. A signaler la présence
e étendue. Sur le trajet de ce feuillet on trouve toujours soit des
vaisseaux
, soit des paquets de vaisseaux atteints des altér
feuillet on trouve toujours soit des vaisseaux, soit des paquets de
vaisseaux
atteints des altérations que nous avons décrite
vité n'est nulle part tapissée de cellules épendymaires. L'état des
vaisseaux
, au milieu des régions les plus saines en apparen
és à différents niveaux témoignent d'une fragilité particulière des
vaisseaux
. C'est ainsi que sur des coupes de la 2e lombai
identique. C'est, au début, une multiplication, une néoformation de
vaisseaux
et bientôt une hyperplasie de leur adventice. P
nt leur myéline. Tel semble être le début, et si nous assignons aux
vaisseaux
le rôle pri- mordial et directeur du processus,
nces parallèles à leur direction ; au voisinage, on remarque un petit
vaisseau
à paroi hyperplasiée. (c) Base de la corne anté
roite. Ici, c'est la néoformation vasculaire qui domine. Autour des
vaisseaux
néoformés, et en connection intime avec leur paro
sions très variables, se réduisant tantôt à un ou à quelques petits
vaisseaux
réunis, s'enrobant ailleurs de quelques fibres
ne peuvent avoir perdu que partiellement leurs connexions avec les
vaisseaux
et les fibres nerveuses des régions saines, car
t en somme tout ramener à un seul phéno- mène : la néoformation des
vaisseaux
, l'hyperplasie de leur adventice et la tendance
rocessus qui paraît se limiter, nous l'avons vu, au trajet des gros
vaisseaux
de la moelle et notamment des artères des cornes
tive qui la commande. Sans doute est-ce une lésion inflammatoire du
vaisseau
, et non une tumeur vascu- laire (angiome). Ma
porter surtout sur la tunique externe, de se propager en dehors du
vaisseau
et d'exercer sur les tissus ambiants une action
carter beaucoup de ce qu'on a décrit sous ce nom. L'hyperplasie des
vaisseaux
avec prolifération NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA. SA
nerveuses. Remarquer aussi l'hyperplasie de la tunique externe des
vaisseaux
, notamment de l'artère du billon antérieur et de
uche assez étroite de fibres conjonctives agglomérées avec quelques
vaisseaux
dont l'adventice est manifestement épaissie. En q
cependant quelques nodules détachés de la paroi, composés de petits
vaisseaux
et de tissu nerveux. , Les fentes sont limitées
blent n'être que l'écartement. Au voisinage se montrent de nombreux
vaisseaux
quelquefois oblitérés mais dont l'adventice surto
ts où la lésion est particulièrement végétante (PI.LVI, fig. B) les
vaisseaux
anciens ou néoformés donnent naissance à des trac
cune réaction névroglique appa- rente. C'est encore le trajet des
vaisseaux
qui commande le siège et la direc- tion des fen
évroglie très végétante an milieu de laquelle se voient de nombreux
vaisseaux
néoformés. Dans la cavité se trouvent de petits p
issance à ia périphérie et pénètre dans la moelle le long d'un gros
vaisseau
; qu'elle est en outre indépendante du canal ce
des scléreuses rectilignes dont le centre était occupé souvent par un
vaisseau
épaissi et oblitéré ou par des tractus conjonct
des tractus conjonctifs onduleux d'origine vasculaire (fig. 8). Les
vaisseaux
voisins sont malades. A la région cervicale, un
conjonctive dont la continuité avec la tunique externe de certains
vaisseaux
est indiscutable (fig. 9). A son pourtour (1) T
HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA. SYRINGOMYÉLIE 391 les
vaisseaux
présentent des altérations consistant surtout en
gine épendymaire, il n'en est plus de même partout ailleurs, où les
vaisseaux
des cornes postérieures semblent commander le.p
vité bordée par une fine membrane conjonctive en conlinuité avec un
vaisseau
. ' HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA
aires d'une syringomyélie franche peuvent aboutir à la rupture d'un
vaisseau
et à la formation d'un foyer hémorrhagiqne ; il
ées plus haut relativement à leurs rapports topographiques avec les
vaisseaux
médullaires pourraient souvent s'appliquer ici.
res dans la syringomyélie. Tous ont insisté sur la néoformation des
vaisseaux
, sur la sclé- rose, l'oblitération, la dégénére
ne qui retient l'attention. Il est aussi noté parfois qu'autour des
vaisseaux
le tissu conjonctif anorma- lement développé fo
ymond (2) des propor- tions qui avaient frappé cet observateur. Les
vaisseaux
se groupaient au nom- bre de trois ou quatre, a
dépens d'espaces conjonctivo-vasculaires dégénérés et dilatés : les
vaisseaux
ont disparu ou forment encore des travées à l'i
cider cette question, a cru pouvoir la rattacher principalement aux
vaisseaux
. Les vaisseaux abondants et résistants, une foi
stion, a cru pouvoir la rattacher principalement aux vaisseaux. Les
vaisseaux
abondants et résistants, une fois oblitérés, se t
laire de cette substance et en particulier dans l'existence de gros
vaisseaux
de chaque côté du canal central ». Faisons remar-
ig. 11. - Syringomyélie (tb. de G. Hauser). En un point se détache un
vaisseau
dont la paroi se continue directement avec la m
peut être invoqué pour les fentes étroites, limitées au trajet d'un
vaisseau
, mais ne répondant nullement à une zone de dist
ibution vasculaire. En d'autres termes, si les fentes dépendent des
vaisseaux
, ce n'est pas dans le sens que l'on entend ha-
rte donc selon eux c'est le rétrécissement, c'est l'oblitération du
vaisseau
; ils ne comptent pas le fait que la néoformation
néoformation vas- culaire parallèle si constante doit suppléer les
vaisseaux
oblitérés ; il semble en un mot que le rôle pat
isseaux oblitérés ; il semble en un mot que le rôle pathologique du
vaisseau
ne puisse être conçu autre- ment que dans les t
ouvent forme de vastes placards, si elle semble rayonner autour des
vaisseaux
atteints, eux aussi, on ne peut que préjuger so
l y a là une lésion bien spéciale sem- blant se propager autour des
vaisseaux
comme centres et dont on ne trouve guère d'exem
re est aujourd'hui établie. Cette membrane ne peut provenir que des
vaisseaux
dont elle est le reliquat ou l'émanation, puis-
tunique adventice par l'accu- mulation d'un liquide exsudé hors du
vaisseau
ou la stase lymphatique, peut créer autour de c
é hors du vaisseau ou la stase lymphatique, peut créer autour de ce
vaisseau
une zone circulaire vide qui l'entoure comme d'un
ilatation d'un espace lympha- tique. On peut aussi penser que les
vaisseaux
en voie de multiplication exercent sur le paren
irsoïde ; et il n'est pas rare de noter en effet autour de certains
vaisseaux
altérés une zone de tissus désor- ganisés et dé
ne myélite lente, diffuse, manifestement secondaire aux lésions des
vaisseaux
. Cette myélite d'ordre irritatif pourrait être ra
ur constitution. Si l'on a méconnu, à notre sens, le rôle exact des
vaisseaux
dans la syringo- myélie, en revanche l'importan
a limite interne de la paroi, au centre des nodules se trouvent des
vaisseaux
malades, et même des végétations conjonctives, tr
st avantageux, parce qu'il n'y a pas là de chairs, et parce que les
vaisseaux
sont loin du point où l'on coupe. On incline al
e foyer est plus étendu qu'à droite et à/son centre on voit un gros
vaisseau
dont la gaîne contient des noyaux, mais pas d'a
près du centre de presque tous ces foyers, on voit encore un petit
vaisseau
. Les cornes antérieures dans leur ensemble sont
artie antéro-externe des deux cornes antérieures ; à gauche un gros
vaisseau
au centre du foyer. B. 6c-"je cer- vicale. Part
volumineuses munies d'un petit nombre de prolongements. Quelques
vaisseaux
sont entourés d'une large zone claire. L'état d
nt entourés d'une large zone claire. L'état de la méninge et de ses
vaisseaux
semble à peu près intact. Dans les racines, ant
petites éparses. L'épendyme est obturé par un amas nucléaire. Les
vaisseaux
de la substance grise sont très nombreux, beaucou
rolongements. Quelques débris seulement des cellules de Clarke. Les
vaisseaux
de la substance grise ne présentent plus à leur p
ns la corne antérieure gauche. Larges zones claires au pourtour des
vaisseaux
. Ependyme obturé. 3° lombaire (Planche LIX bis,
vascularisé que dans le cubital et 'plus in- filtré de graisse. Les
vaisseaux
, très multipliés, ont une paroi très épaissie et
res, prolifération nu- cléaire sans aucun ordre, multiplication des
vaisseaux
. Muscles postérieurs de la cuisse gauche. - Mêm
art des lésions en foyers nous a paru être manifeste- ment dans les
vaisseaux
, nous n'en voulons pour démonstration que l'exi
aisseaux, nous n'en voulons pour démonstration que l'existence d'un
vaisseau
situé près du centre de la plupart des foyers.
de la plupart des foyers. D'ailleurs en dehors même des foyers, les
vaisseaux
paraissaient très mul- tipliés et entourés d'un
ux un vaste espace clair ; en certains points même, semblait-il, un
vaisseau
était au centre d'un petit foyer de dégénéresce
ombaires. En aucun point cependant nous n'avons constaté autour des
vaisseaux
de gaines lymphocytiques, mais malgré cette con
de prolifération lymphocylique dans la méninge ou dans la gaîne des
vaisseaux
, nous serions fort tentés d'attribuer l'affection
vical et lombaire : il existait par places de véritables trous. Les
vaisseaux
présentaient des gaines nucléées surtout dans l
aux, enleva sous anesthésie un fragment du jambier antérieur droit.
Vaisseaux
veineux nombreux et volumineux. Le muscle mis à n
x premières périodes du tabes. Elle ne peut agir à mon avis sur les
vaisseaux
dilatés que par la fer- meture et l'ouverture d
plexus brachial du membre malade. Je compte sur le resserrement des
vaisseaux
de la pie-mère cervicale parce que les vaisseau
e resserrement des vaisseaux de la pie-mère cervicale parce que les
vaisseaux
des nerfs qui constituent le plexus brachial prov
lus que la vascularisation des nerfs des extrémités se fait par des
vaisseaux
qui sont longs et reliés entre eux par de nombr
cou n'a pas d'influence sur LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 5t les
vaisseaux
des nerfs des membres pelviens et reste sans effe
t souvent. Un courant trop fort ne provoque pas le resserrement des
vaisseaux
; il ex- cite le centre vaso-dilatateur général
e la région antérieure de l'avant-bras gauche, en pleine région des
vaisseaux
et nerf cubitaux. En outre, on constatait chez
is la plaie causée par l'éclat de verre siégeait dans la région des
vaisseaux
et nerfs cubitaux, notablement en dedans du tra
e la hauteur. Prédominance évidente de l'infiltration au pourtour des
vaisseaux
; '. formations nodulaires autour des capillaire
flasque, le myocarde jaunâtre : pas de lésion valvulaire. Les gros
vaisseaux
sont sains ; pas d'athérome. Rien d'anormal dans
ions impor- tantes de la pie-mère et de l'arachnoïde, ainsi que des
vaisseaux
, qui les tra- versent, et parmi ceux-ci, tout p
c quelques détails. Région lombaire inférieure. Les méninges et les
vaisseaux
périphériques seulement sont intéressés. La pie
onjonctifs de la pie-mère, et s'accumulent surtout au voisinage des
vaisseaux
capillaires, autour de ceux-ci elles forment comm
pes transversales comme un nodule embryon- naire avec la lumière du
vaisseau
au centre. Quant aux vaisseaux de calibre qui c
e embryon- naire avec la lumière du vaisseau au centre. Quant aux
vaisseaux
de calibre qui cheminent dans les méninges, la ve
de cellules rondes qui les dis- socient. Ajoutons que le calibre du
vaisseau
a conservé néanmoins ses dimen- sions normales.
ées. Mais ici, les parois ont une épaisseur telle que la lumière du
vaisseau
est réduite à une simple fente ; dans quelques-un
rois sont 5 ou 6 fois plus épaisses l'état normal, et la lumière du
vaisseau
est réduite d'autant. Sur les coupes transversale
les rondes vivement teintées, formant une épaisse virole autour des
vaisseaux
capillaires ; ces amas se présentent sur la cou
stance blanche, les travées pie-mériennes qui conduisent les petits
vaisseaux
sont recouvertes de cellules rondes semblables
u colloïde qui se serait infiltrée dans les gaînes lymphatiques des
vaisseaux
ou entre les éléments propres de la substance gri
nce grise : il est fréquent d'apercevoir la coupe transversale d'un
vaisseau
au centre des taches de ce genre qui occupent l
a voit encore s'insinuer dans le sillon médian antérieur autour des
vaisseaux
qui sont logés dans celui-ci. Il semble que cette
e de Clarke, altérations du même genre, moins avancées. Quant aux
vaisseaux
de la substance grise, les modifications qu'ils p
la moelle, rectangulaires ou ovales. Dans leur voisinage les petits
vaisseaux
présentent des parois épais- sies ; leur lumièr
é de cellules rondes ; vers sa base il présente la coupe d'un petit
vaisseau
autour duquel l'infiltration redouble d'intensité
e qui concerne les lésions de la substance hlan- che que les petits
vaisseaux
soûl altérés partout, même dans les régions où le
t leurs parois plus ou moins envahies par la néoformation. Dans les
vaisseaux
obstrués, tantôt l'infiltration embryon- naire
iltration du périnèvre et des travées interstitielles ainsi que des
vaisseaux
qui parcourent celles-ci, parfois irrup- tion d
e. En A, cet exsudat occupe visible- ment la gaine lymphatique d'un
vaisseau
. B, B', B" - petits territoires de tubes nerveu
pinale absolument saine. B. Veine spinale antérieure. La lumière du
vaisseau
est réduite à une fente étroi- te, l'épaisseur
arachnoï- dien et dans la profondeur de la scissure, en suivant les
vaisseaux
qui y che- minent, presque jusqu'à la commissur
is toujours au pourtour d'artérioles de second ordre. En dehors des
vaisseaux
, et au milieu de l'infiltration embryonnaire qui
t dé- montré l'intégrité du tissu nerveux. Mais les méninges et les
vaisseaux
offrent la même infiltration néoplasique que da
que dans la moelle épinière ; et ceci s'applique non seulement aux
vaisseaux
de calibres, extérieurs à la moelle allongée, mai
e calibres, extérieurs à la moelle allongée, mais encore aux petits
vaisseaux
qui parcourent les travées conjonctives intra-bul
elle est par places intimement soudée à la pie-mère. Enfin dans les
vaisseaux
que supportent ces enveloppes, nous trouvons la
ion embryonnaire dans les tuni- ques des autres. Toutefois tous les
vaisseaux
ici ont conservé leur calibre. Ajoutons que les
ALPÊTRIÈRE. nèvre, les espaces interfasiculaires, le périnèvre, les
vaisseaux
ne semblent pas en contenir. Dans les coupes
s'y pré- sentent un peu moins abondantes que normalement. Quant aux
vaisseaux
, leurs tuniques sont notablement sclérosées aus
lites. L'examen microscopique seul a révélé, dans les méninges, les
vaisseaux
et dans la moelle, des altérations importantes do
en d'une façon diffuse, mais plus habituellement groupés autour des
vaisseaux
sanguins. Disposés sur plu- sieurs rangées, en
les nodules au centre desquels on voit géné- ralement la lumière du
vaisseau
plus ou moins oblitérée. Dans quelques nodules
rence complète d'une granulation spécifique. En ce qui concerne les
vaisseaux
de calibre contenus dans les méninges, nous obs
de la pie-mère qui pénètrent la moelle, et dans la paroi des petits
vaisseaux
qui occupent ces travées, des amas de cellules ro
ent aux altérations considérables que nous avons signalées dans les
vaisseaux
des méninges, les lésions vasculaires observées d
lles sont cependant très notables il y regarder de près. Les petits
vaisseaux
qui parcourent les cloisons conjonctives émanée
ail- leurs pour une part à diminuer encore la lumière de ces petits
vaisseaux
. Mais nulle part nous n'avons rencontré les gai
RIÈRE. a dû retentir tout spécialement sur celte partie si riche en
vaisseaux
et si fine de structure de l'axe spinal. Le pre
lles avait lieu la circulation, l'augmentation de pression dans les
vaisseaux
, ont contribué pour une part au moins à sa péné
Mais nous devons porter notre attention sur les méninges et sur les
vaisseaux
, siège de la néoformation. Ici nous trouvons to
ous croyons en droit d'admettre que les lésions des méninges et des
vaisseaux
, dans le cas actuel, présentent des caractères
ptoméningite et arachnite spinales avec participation constante des
vaisseaux
méningés. Lésions médullaires consécutives aux
s éléments embryonna ires, dit l'auteur, son t grou- pés autour des
vaisseaux
qui forment autant de centres d'infiltration. Dan
- crire et à mettre en valeur les altérations des enveloppes et des
vaisseaux
nourriciers de la moelle dans les cas de ce gen
éningite spinale (arachnite et leptoméningite) avec les lésions des
vaisseaux
qui cheminent à la surface de la moelle. Le pre
a phlébite d'aulre part. L'infiltration de la tunique adventice des
vaisseaux
accompagne la méningite : l'endartéri te, l'end
dans la moelle... Celles-ci s'agglomèrent principalement autour des
vaisseaux
, elles pénètrent dans les tuniques vasculaires el
ues vasculaires elles- mêmes qu'elles dissocient.... la lumière des
vaisseaux
est ordinairement étroite ; parfois elle est co
spondante. Il existait à ce niveau des lésions importantes dans les
vaisseaux
spinaux antérieurs; mais tandis que la veine étai
E DE LA SALPÊTRIÈRE. premières en date occupent les méninges et les
vaisseaux
et que les élé- ments nerveux sont intéressés s
sulte un bourgeonnement latéral qui fait saillie dans la lumière du
vaisseau
. La tunique adventice est envahie ultérieurement
uivant M. Lancereaux, la présence de gaines lymphatiques autour des
vaisseaux
sanguins des centres nerveux pourrait expliquer l
Cette hypothèse très plausible cadre bien avec l'envahissement des
vaisseaux
de dehors en dedans. Pourtant si l'accord est
'oeil nu. Mais le microscope montra des lésions consi- dérables des
vaisseaux
méningés, veines et artères, et des altérations d
une multiplication cellulaire généralement limitée au pourtour des
vaisseaux
. Or un examen attentif des vaisseaux malades mo
lement limitée au pourtour des vaisseaux. Or un examen attentif des
vaisseaux
malades montra dans ce cas que le processus déb
plète; les autres tuniques restant normales. Sur un petit nombre de
vaisseaux
seulement, dont la tunique interne avait végété
s éléments nerveux, sans participa- tion aucune des méninges ni des
vaisseaux
. Le terme de myélite convient donc ici à propre
Autopsie. - Lepto méningo-myélite scléreuse, avec participation des
vaisseaux
nourriciers de la moelle (périartérite et périp
ns postérieurs et les cornes postérieures ; il présente la coupe de
vaisseaux
à parois énormes. Le sillon mé- dian a disparu.
hie concentrique des tu- niques musculaires et surtout adventice du
vaisseau
(fig. 16). Le tissu conjonctif de cette dernièr
quelques traces d'irritation. On trouve, tombées dans la lumière du
vaisseau
, de grandes cellules endothéliales des formes l
Périartérite ancienne : rétré- cissement concentrique du calibre du
vaisseau
. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 169 artèr
hrombus déjà anciens, complètement fibreux, et montrant la coupe de
vaisseaux
des nouvelles formations creusés dans leur épai
orne antérieure droite est le siège d'une bcmorrbagie abondante. Un
vaisseau
capillaire dilaté, qui la parcourl dans toute sa
est atrophiée, mais ne présente pas d'hémorihagies semblables. Les
vaisseaux
de la substance grise n'offrent pas d'alléralions
est méconnaissable. A droite, on en retrouve les vestiges. De gros
vaisseaux
di- latés, aux parois peu altérées, en marquent
n du septum médian postérieur d'autre part. Les parois des pe- tits
vaisseaux
sont énormes (5 ou 6 fois plus épaisses qu'a l'ét
rtant et teinté plus faiblement. En plusieurs endroits, on voit des
vaisseaux
capillaires creusés dans leurs parois épaissies.
ires : les fibrilles viennent s'insérer directement sur la paroi du
vaisseau
. Nulle part dans cette région il n'existe de DE
TIQUE 171 gaine 1 sympathique distendue apparente autour des petits
vaisseaux
. Il semble qu'elle ait été oblitérée par l'hype
semble qu'elle ait été oblitérée par l'hypertrophie des tuniques du
vaisseau
. La réaction indiquée par M. Malassez pour diff
ue. Dans quelques coupes, la dilatation vasculaire et le nombre des
vaisseaux
prennent une importance telle que les parois va
les régions antéro-latérales de la subs- tance blanche, les petits
vaisseaux
sont altérés suivant le même mode que dans les
atoxy- line (fig. 18). Le centre du foyer est au contraire privé de
vaisseaux
: il est constitué uniquement par une infiltrat
nappe de tissu conjonctif adulte, qui s'est développé autour d'un
vaisseau
. Il n'existe plus un seul tube nerveux dans cet
d'une racine antérieure de la région dorsale. On voit, autour des
vaisseaux
, et principalement sous le périnèvre, des champ
e et infiltrée en ce point. Elle pré- sente en cette région un gros
vaisseau
qui chemine dans son épaisseur, et dont la lumi
de la moelle dorsale. Les altérations méningées et celles des gros
vaisseaux
périphériques cessent d'exister vers la 6° raci
principalement les cordons latéraux. Les méninges sont saines, les
vaisseaux
importants ne présentent rien d'a- 174 NOUVELLE
xamen anatomique qui précède nous a démontré dans les méninges, les
vaisseaux
et la moelle, l'existence de lésions diffuses, an
sclérose dans le tissu médullaire lui-même montre bien la part des
vaisseaux
. La nature de la lésion originelle qui a attein
évidente en certains endroits de la pie-mère, el surtout autour des
vaisseaux
et dans les parois de ceux- ci ; infiltration d
l'espace arachnoïdien, à l'entrée du sillon antérieur et autour des
vaisseaux
qui pénètrent en ce point, une accumulation de
rer que sa répartition : îlots de sclérose isolés autour des petits
vaisseaux
, bandes de sclérose le long des travées conjoncti
se médullaire. D'épais tractus conjonctifs servant de support à des
vaisseaux
couverls de noyaux nombreux, traversaient ce cord
rtébrales et le tronc basilaire ont leurs parois hypertrophiées : ces
vaisseaux
cheminent dans un tissu fibreux dense. A la f
tissu conjonctif fibreux, dense, teintée en rose clair, et creusée de
vaisseaux
nombreux. L'arachnoïde et la pic-mère sont co
l'hématoxyline colore des noyaux nom- breux, au pourtour des petits
vaisseaux
principalemenl. Les parois de ceux-ci sont le s
'une infiltration embryonnaire abondante; un grand nombre de petits
vaisseaux
sont oblitérés et montrent une transformation fib
s volumineuses, par- ties de la périphérie. Ces travées portent des
vaisseaux
il parois relativement t énormes, et dont la lu
i persistent ou situés dans la gaîne lymphatique de quelques petits
vaisseaux
. Ces corps granuleux sont faciles à apercevoir
s se montrent normales comme nombre et comme structure ; les petits
vaisseaux
ne présentent pas d'hypertrophie de leurs parois,
térieure. Au niveau du cordon antéro-latéral droit, quelques petits
vaisseaux
méningés ont leurs tuniques infiltrées de cellule
le n'est pas intéressée à ce niveau. Fait intéressant à noter : les
vaisseaux
nourriciers de la moelle ne présentent d'altéra
res sont transformés en cordons fibreux compacts, traversés par des
vaisseaux
à parois hypertrophiées, sans aucune trace de fil
, mais on ne voit d'infiltration cellulaire, ni dans les parois des
vaisseaux
, ni dans les travées conjonctives. Les racine
s avec le périnévre épaissi ; elles pré- sentent de nombreux petits
vaisseaux
oblitérés. Région dorsale supérieure. Comme l
latéral, accessoire de l'hypoglosse, noyau inférieur du facial). Les
vaisseaux
présentent d'ailleurs, dans la substance grise
disparu. Cette zone marginale présente en outre la coupe de petits
vaisseaux
dont les parois sont pénétrées de cellules rondes
issu conjonctif. Mais la lumière est restée perméable dans tous les
vaisseaux
de calibre. En outre; sur presque toutes les artè
é au niveau du foyer même de la lésion rachi- dienne, c'est que les
vaisseaux
nourriciers de la moelle et ceux des ménin- ges
au plus existe-t-il quelques cellules rondes au pourtour des petits
vaisseaux
qui sont plongés dans ce tissu cicatriciel, et
opagation de l'inllammalion a la moelle; enfin la participation des
vaisseaux
nourriciers de la moelle, ayant pour conséquenc
l'ischémie médullaire ré- sultant du rétrécissement de calibre des
vaisseaux
nourriciers. Nous dé- crirons ces deux périodes
oins étendues, qu'elles le cèdent en importance aux altérations des
vaisseaux
nourriciers de la moelle dont elles sont insépara
ent que l'on tend aujourd'hui à faire intervenir les thromboses des
vaisseaux
nourriciers de la moelle, par analogie avec ce qu
is- tence souvent constatée d'altérations considérables du côté des
vaisseaux
nourriciers de la moelle épinière chez les syph
iffuse, accompagnée d'une façon constante d'altérations du côté des
vaisseaux
nourriciers de la moelle. Les lésions des méninge
pé- riode tout à fait rapprochée du début, en montrant, du côté des
vaisseaux
, DE LAM É NIN G 0 - M Y ÉLI TES SYPHILITIQUE 27
s favorables à cetle recherche, a lieu par la tunique adventice des
vaisseaux
, par les vasa vasorum, conformémenl à l'opinion
sclérose et crurent à l'intégrité, dans les ré- gions envahies, des
vaisseaux
, des septa et seplula conjonctifs périvascu- la
est surtout de nature névroglique, mais le tissu conjonctif et les
vaisseaux
y prennent part également, quelle que soit la r
état de la moelle et avoir été déterminé par la rupture de quelques
vaisseaux
de nouvelle formation entourant le segment scléro
dessin. Elle ne peut le faire. Ecrivez le mot poisson. - Elle écrit
Vaisseaux
. Lecture. - On lui présente les mots qu'elle a
Clarke et de la substance gélatineuse de Rolando. e) Méninges et
vaisseaux
. Les vaisseaux des cordons postérieurs et les s
la substance gélatineuse de Rolando. e) Méninges et vaisseaux. Les
vaisseaux
des cordons postérieurs et les septa conjonctif
es espaces lymphatiques de dimensions pathologiques (fig. 1). Les
vaisseaux
ne sont pas fortement engorgés, les espaces périv
cubes.Type alvéolaire à gros septa de tissu conjonc- tif, riches en
vaisseaux
; les alvéoles occupées par des cellules allongée
ées au microtome de Gudden (Carmin et exclusivement Weigert-Pal).
Vaisseaux
. Ils présentent un degré notable de sclérose séni
, T2, circonvol. temporales. 144 WEBER ET PAPADAKI de la coupe du
vaisseau
et la direction prépondérante des fibres nerveuse
la moelle des circonvolutions ils lui donnent un aspect criblé. Les
vaisseaux
sont gorgés de sang. A proximité de la tumeur o
issement du cerveau en faisceaux de cette nature. - Engorgement des
vaisseaux
, épanchements vieux et récents dans les espaces
ncéreuses. Au centre de la perle on voit assez fréquemment un petit
vaisseau
. Angiosarcome, d'un volume d'environ 80 à 100 cen
e au néoplasme (PI. XXV, A). Les ventricules ne sont pas dilatés.
Vaisseaux
, etc. (fig. 3 et 4). Les espaces périvasculaires
rdition en fibres nerveuses, mais elle est Fie. 3. - P, pigment. V,
vaisseau
. Esp. Espace péri-vasculaire élargi. T, tissu
er- veuses denses.- N, noyaux névrogl.- T, tissu conjonctif. - V,
vaisseau
. Fic. 5 et 5 a. V, vaisseau. Va, vacuoles. F,
névrogl.- T, tissu conjonctif. - V, vaisseau. Fic. 5 et 5 a. V,
vaisseau
. Va, vacuoles. F, fibres blanches. .V, noyaux név
périvasculaire ; en effet au centre des alvéoles se trouve un petit
vaisseau
. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSEN
que, dans ces larges espaces. Les filaments qui relient la paroi du
vaisseau
à la couche sclérosée qui borde l'espace périvas-
lité. Jamais la malade n'a eu de troubles sphinctériens. Coeur et
vaisseaux
. Le maximum des battements cardiaques est dans le
le tissu de soutien, entre l'épithélium choroïdien et la lumière des
vaisseaux
dont la tunique moyenne est généralement épaiss
s épaississements formés par la condensation de leur feutrage ; les
vaisseaux
étaient nombreux et gorgés d'hématies; en un po
jusqu'à l'extrémité est de 44 millimètres. Névraxe. L'athérome des
vaisseaux
de la base de l'encéphale rend compte des lésio
dégénéres- cence graisseuse, ni de sclérose interfasciculaire. Les
vaisseaux
ont leur tuni- que un peu épaissie. Les viscè
légère, est normal. Reins. Les reins, dont les glomérules et les
vaisseaux
sont normaux, ont quelques îlots inflammatoires
e par sa couleur blanc-nacré, dans sa profondeur on voit des petits
vaisseaux
dilatés,un vaisseau un peu plus grand passe en
c-nacré, dans sa profondeur on voit des petits vaisseaux dilatés,un
vaisseau
un peu plus grand passe en pont sur l'excavatio
l'excavation et se dirige transversalement vers la macula. Les gros
vaisseaux
forment un coude très prononcé au niveau du bord
rouge-violacé, à bords surélevés, mais à contours nets. Les petits
vaisseaux
, dilatés, s'avancent beaucoup dans la région ma
ds rosés, légèrement surélevés, mais nets de la papille. Les petits
vaisseaux
dilatés semblent plus nombreux au niveau de la
ux dilatés semblent plus nombreux au niveau de la papille. Les gros
vaisseaux
sont dilatés, les veines sinueuses tranchent pa
s rétiniennes très dilatées, les bords de la papille cachés par les
vaisseaux
, les veines et les artères vont jusqu'à la fove
Leber cite le cas de Knapp et ajoute une nouvelle observation avec
vaisseaux
rétiniens très dilatés et sinueux, papille rouge
alades observés ne présentait de lésion rénale, ni du coeur, ni des
vaisseaux
, ni même des signes d'hystérie, notre diagnosti
ularite très marquée. L'écol'ce est également infiltrée; autour des
vaisseaux
on trouve de nom- breuses lacunes de désintégra
vaisseaux on trouve de nom- breuses lacunes de désintégration. Les
vaisseaux
sont très dilatés. Dans certains points, se voi
- mement congestionnées, elles contiennent du sang en nature. Les
vaisseaux
sont en dégénérescence hyaline. Ecorce. Une con
t été injectés au suif. L'infiltration cellulaire est légère. Les
vaisseaux
sont infiltrés de pigment ocre souvent réparti
ce. L'infiltration cellulaire, très nette, est maxima au niveau des
vaisseaux
. La périartérite et l'artérite, par l'accumulatio
pyramidales moyennes ont une coloration floue. Protubérance. Les
vaisseaux
méninges sont en dégénérescence hyaline. Le tis
aisceaux pyramidaux croisés. La région lombaire paraît normale. Les
vaisseaux
des racines sont très dilatés. Ganglion rachi
es de sang et de pus ; elle est recouverte d'une couche de pus. Les
vaisseaux
et surtout les veines ont leurs parois très alt
il présente de la méningite et de l'infiltration de la paroi de ses
vaisseaux
. Le Nissl montre l'altération des cellules des
nfiltrée. Dans l'intérieur même de la moelle les parois de quelques
vaisseaux
sont épaissies et entourées de nombreux noyaux.
lysie générale. La pie-mère est épaissie et infiltrée. La gaine des
vaisseaux
est remplie de petites cellules. Les fibres de Tu
es rondes. Ces mêmes éléments s'observent dans la gaine de quelques
vaisseaux
de l'intérieur de la moelle. La méthode de Ni
sont encore plus touchées, il existe une périphlébite intense. Les
vaisseaux
intra-médullaires sont élargis, remplis de sang,
rée. Dans l'intérieur même de la substance corticale les parois des
vaisseaux
sont infiltrées et entourées de nombreuses cell
lammée chroniquement, est plus atteinte en avant qu'en arrière, les
vaisseaux
qui pénètrent dans le parenchyme sont enflam- m
ltrées, surtout dans les sillons, de cellules rondes ou ovales. Les
vaisseaux
sont en dégéné- rescence hyaline. Dans l'écor
'infiltration cellulaire est plus marquée que dans la méninge ; les
vaisseaux
avec périvascularite et dépôt pigmentaires sont a
petits foyers de myélite (PI. XXXIV, fig. 11). Les reins ont leurs
vaisseaux
dilatés et quelques foyers de petites cellules
r place, sont fibreuses et infiltrées. Le cortex est infiltré ; les
vaisseaux
présentent de la périvascularite très accentuée
t peu altérées. Bulbe. Il existe un certain degré de méningite. Les
vaisseaux
du bulbe ont de la périvascularite ; le planche
la pie-mère est formée par des fibres conjonctives adultes. 1 Les
vaisseaux
méningés ne présentent ni dégénérescence de leur
ante que dans la méninge-céré- brale, de petites cellules rondes.
Vaisseaux
. L'artère spinale antérieure ne présente ni dégén
s il existe une légère péri-vascularite. A l'intérieur du bulbe, le
vaisseaux
sont congestionnés et enflammés ; gra- nulation
rs parois sont dégénérées sur le mode hyalin. Les racines ont leurs
vaisseaux
très congestionnés, les veines surtout ; les ar
he et grise où l'on voit des traînées de cellules rondes autour des
vaisseaux
; les artères de la subs- tance médullaire sont
in e-éo sine. Les méninges sont infiltrées de cellules rondes ; les
vaisseaux
des sillons médians antérieur et postérieur son
vasculaires, on voit des lacunes de désintégration centrées par des
vaisseaux
inflammés et contenant des cellules rondes,de g
encéphalite subaiguë évidente avec infiltration cellulaire énorme,
vaisseaux
enflammés avec petits foyers lacunaires inflamm
a pie-mère au cortex. Pas de lésions vasculaires apparentes sur les
vaisseaux
de la base. Le cervelet présente une atrophie d
e noyaux prenant avec avidité les matières co- lorantes. Les petits
vaisseaux
qui circulent dans les méninges molles sont en-
onnaires. Dans le cortex, les altérations prédominent au niveau des
vaisseaux
. Ceux-ci sont entourés d'un grand nombre de cel
ules rondes, tassées les unes contre les autres. On ne trouve aucun
vaisseau
normal ; les capillaires sont aussi le siège d'
ue avec conservation partielle de la couche de grains. Partout, les
vaisseaux
sont atteints de périartérite, et, dans le tiss
atteints de périartérite, et, dans le tissu scléreux, quelques petits
vaisseaux
sont complètement obstrués par des cellules emb
romophiles prennent bien les colorants par la méthode de Nissl. Les
vaisseaux
du bulbe sont atteints de périartérite. Moelle.
faisceaux pyramidaux croisés. Pas d'autres lésions des cordons. Les
vaisseaux
, et principalement ceux qui sont situés de chaque
é du canal cen- tral, sont le siège d'une périartérite intense. Les
vaisseaux
qui circulent dans les méninges molles sont moi
. Leurs prolongements sont peu apparents. Ganglions rachidiens. Les
vaisseaux
sont atteints de périartérite et les espaces in
aractère d'une importance majeure, car c'est le signe de l'état des
vaisseaux
superficiels. Bazin (30) dont les livres sont c
de chronicité ; l'oedème s'établit avec le coeur, les reins et les
vaisseaux
sains ; il ne donne pas de la gêne à la fonction
compagnent jamais de lésions anatomiques ou fonctionnelles des gros
vaisseaux
veineux ou artériels. Il nous sera facile au
que la plaque ortiéesoit la conséquence de la dilata- tion même des
vaisseaux
. 268 VALOBRA La vasodilatation localisée dans
ouvenir que dans l'épaisseur des tissus, il y a une double série de
vaisseaux
: les capillaires du sang et les capillaires de l
du sang et les capillaires de la lymphe. Entre ces deux systèmes de
vaisseaux
il y a le tissu conjonctif plus ou moins com- p
e fait normalement un échange d'éléments entre les deux systèmes de
vaisseaux
. L'oedème reconnaît sa pathogénie dans le fait qu
it été due à une simple filtration du sang à travers les parois des
vaisseaux
sanguins. L'oedème aurait été la conséquence d'un
QUES 269 tion de plasma avec exode de globules blancs en dehors des
vaisseaux
. Cette deuxième variété d'oedème était donc lié
it donc liée à la vasodilatation et à l'altéra- tion des parois des
vaisseaux
. Ces idées étaient admises par tous, mais on so
donné une faible quantité d'atropine à l'animal et il a vu que les
vaisseaux
se dilatent, la pression du sang augmente, mais l
théories de Borner (98) (augmentation de la pression dans les gros
vaisseaux
), et d'Unna (99) (augmentation du tonus des veine
mènes cutanés de la sécrétion de la lymphe par les parois mêmes des
vaisseaux
. Nous rappelons ici comme très démonstratives,
siques de filariose où les parasites ou leurs oeufs remplissent les
vaisseaux
lymphatiques ; dans la lèpre où fNlarategazNa (
iologie une cicatrice qui empê- che la marche de la lymphe dans ses
vaisseaux
; il s'agit toujours d'une lésion des voies lym
ruc- tion localisée du système lymphatique ». Cette obstruction des
vaisseaux
lymphatiques produit une rupture d'équilibre en
e manifester dans le territoire entier qui se trouve au-dessous des
vaisseaux
oblitérés, tandis que le trophoedème se fait po
le mécanisme de la stase. Dans l'un des cas c'est l'obstruction des
vaisseaux
; dans l'autre l'aug- mentation permanente de la
iss ont trouvé que ces fibres se portent directement aux parois des
vaisseaux
. De telle façon que, malgré les études approfon
cérébrale apparaît dès l'abord sous forme d'un fluide transsudant des
vaisseaux
, au sein duquel s'élabore secondairement le tis
es gràce à une néoformation subséquente - mais tout hypothétique de
vaisseaux
sanguins. z Nous verrons, par la suite de ce tr
ca- tions. La pie-mère est extrêmement épaissie ; elle renferme des
vaisseaux
nom- breux, très dilatés, gorgés de globules ro
les rouges et d'une quantité relativement grande de leucocytes. Les
vaisseaux
forment tout autour de la moelle une sorte de g
s les interstices desquels s'insinuent une assez grande quantité de
vaisseaux
dilatés et gorgés de globules ; ces derniers vais
quantité de vaisseaux dilatés et gorgés de globules ; ces derniers
vaisseaux
sont des troncs isolés ; leurs parois sont minc
ansversale de l'extrémité inférieure de la moelle. M. moelle.- V.a.
vaisseaux
antérieurs. V.p. vaisseaux postérieurs. E.m.ménin
nférieure de la moelle. M. moelle.- V.a. vaisseaux antérieurs. V.p.
vaisseaux
postérieurs. E.m.méninge épaissie. PATHOGÉNIE
HALIE 371 Le fait de l'existence d'une gaîne vasculaire composée de
vaisseaux
dilatés, gorgés de sang, entourant une moelle p
urvenues des modifications très appréciables en ce qui concerne les
vaisseaux
. Ceux-ci se sont multipliés tout autour de la moe
oelle, cette gaîne est constituée par un paquet vasculaire de 4 à 5
vaisseaux
larges, dilatés, à parois épaisses ; au-dessous
e la travée conjonctive qui s'enfonce dans le sillon antérieur. Ces
vaisseaux
sont les vaisseaux habituels, simplement dila-
tive qui s'enfonce dans le sillon antérieur. Ces vaisseaux sont les
vaisseaux
habituels, simplement dila- tés ; la multiplica
térieure du pourtour de la moelle, la gaine vasculaire est faite de
vaisseaux
petits, compris dans l'épaisseur même de la pie
extérieur de la méninge. Dans la moitié postérieure, le calibre des
vaisseaux
est sensi- blement plus considérable ; ils sont
erstice des nombreux troncs radiculaires, se trouvent également des
vaisseaux
de di- mensions diverses, à parois d'épaisseur
diverses, à parois d'épaisseur variable. Le nombre de ces derniers
vaisseaux
n'est pas en augmentation appréciable relativemen
ion appréciable relativement aux coupes pré- cédentes. Ces divers
vaisseaux
renferment toujours, en outre de très nombreux
ion, il n'y a plus seulement une seule rangée, mais deux rangées de
vaisseaux
et l'on remarque une tendance à la multiplication
e vers la dure-mère et non vers la moelle. Il existe, en outre, des
vaisseaux
isolés entre les troncs radiculaires ; la paroi
aux isolés entre les troncs radiculaires ; la paroi de ces derniers
vaisseaux
est sensiblement épaissie. La tendance de la
tion des faits. Néanmoins, on constate encore ici la dilatation des
vaisseaux
. De plus, bien que ce soit avec lenteur, le pro
étend aussi vers la moelle. On observe, en effet, la dilatation des
vaisseaux
qui pénètrent dans l'épaisseur de la moelle ; o
tion vasculaire est rapide surtout à la partie postérieure. Là, les
vaisseaux
constituent une couche sur plusieurs assises, cou
cette couche vasculaire ne provient pas seulement de la formation de
vaisseaux
nouveaux. Un processus, dont le début apparaît
devient ici très marqué : c'est l'épaississement de la paroi de ces
vaisseaux
; autour de l'endothélium, le tissu conjonctif em
abaud). PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 373
vaisseaux
(PI.XLV-D). Ce sont là deux phénomènes importants
la moelle, les phénomènes qui ont pour siège les mé- ninges et les
vaisseaux
ne font que s'accentuer ; ils s'accentuent avec u
e elle- même. Nous avons noté, tout à l'heure, la pénétration des
vaisseaux
dans la subs- tance blanche ou, tout au moins,
r ; il se pro- duit également en dehors de ces deux régions. Chaque
vaisseau
pénétrant dans Fic. 9. Coupe transversale de la
de leurs parois. R. Racines nerveuses. M. Moelle. - Vpc.Couche des
vaisseaux
postérieurs. 374 RABAUD la moelle est accompa
postérieur. La propagation marche lentement : la multiplication des
vaisseaux
extra-médul- , laires, l'épaississement de leur
orragies (PI. XLV-D) et non de simples dilatations vasculaires. Les
vaisseaux
dilatés existent, nous l'avons dit, dans l'épai
enfin les hémorragies intra-médul- laires avec la participation des
vaisseaux
de la moelle et la prolifération con- jonctive.
ion vicieuse des sinus veineux et d'une compression exercée sur les
vaisseaux
de la base du crâne renfermés dans des conduits
ÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 377 des conduits osseux renfermant des
vaisseaux
, il est, non pas la cause, mais l'effet, de la
e en outre avec la présence de leuco- cytes abondants tant dans les
vaisseaux
que dans les tissus nerveux, et enfin avec une
ucun élément cellulaire. Les faisceaux sont envahis par de nombreux
vaisseaux
sanguins de calibre divers, à parois d'épaisseu
de la moelle réduite en bouillie. La présence de nombreux et larges
vaisseaux
souligne encore l'intensité de l'inflammation d
tres par un stroma conjonctif abondant, dans lequel se trouvent des
vaisseaux
dilatés. Les dispositions restent sensiblement
lus aucune cellule nerveuse, mais elle ne renferme pas davantage de
vaisseaux
, ni de plaques hémorragiques ; elle est constit
ma- toire. Cette aggravation se manifeste par l'existence de petits
vaisseaux
dans la moelle atrophique. La recrudescence n
épaisse, renfermant à la fois du tissu conjonctif embryonnaire et des
vaisseaux
. Ceux-ci sont en nombre considérable ; sans êtr
les autres, ils sont cependant en contact immédiat. La paroi de ces
vaisseaux
est toujours épaisse; un certain nombre d'entre e
n d'assez grandes proportions. Dans l'espace que laissent libre les
vaisseaux
, s'insinuent des travées de tissu conjonctif em
forme un tissu très cohérent, dans lequel prédominent nettement les
vaisseaux
. Cette couche vasculaire se retrouve sur toute
artie centrale, et l'on rencontre, par amas d'étendue variable, des
vaisseaux
accumulés, à parois épaisses, confluentes ou in
ébrales, a été envahi par du tissu conjonctif embryonnaire, par des
vaisseaux
de nouvelle formation dont les parois proliféra
ltiplication, des élément conjonctifs embryonnaires de la paroi des
vaisseaux
nouvellement formés. Déjà très voisins les uns
eaux nouvellement formés. Déjà très voisins les uns des autres, les
vaisseaux
parviennent au contact. Souvent chaque vaisseau
ns des autres, les vaisseaux parviennent au contact. Souvent chaque
vaisseau
reste parfaitement individualisé, mais sou- ven
qui constitue comme une sorte de substance fondamentale parsemée de
vaisseaux
. Il n'y a là, on le voit, que l'aboutissant néc
rve une gaîne vasculaire très nette dans une pie-mère épaissie; les
vaisseaux
sont petits, mais nombreux. L'envahissement 386
ne le bleu de méthylène. Au milieu de ces débris, il n'exista aucun
vaisseau
, aucune trace de tissu con- jonctif embryonnair
urs de la moelle, en effet, on voit s'ébau- cher la pénétration des
vaisseaux
dans la moelle et l'envahissement conjonctif; t
moins creusé de lacu- nes. De même que dans les cas précédents, les
vaisseaux
sont particulièrement abondants et serrés dans
nt un point par lequel ce tissu encéphalique se distingue : ici les
vaisseaux
ne sont que très exceptionnellement isolés les un
asculaires et par une prolifération conjonctive indépendante de ces
vaisseaux
. Cette phase n'est évidemment pas la dernière ;
. Le tissu intra-rachidien n'est plus, exclusivement, qu'un amas de
vaisseaux
et d'éléments conjonctifs jeunes. C'est tout au
deux régions assez nettement séparées : l'une superficielle où les
vaisseaux
sont petits, nombreux et serrés, l'autre profonde
s, distantes les unes des autres. D'une part, comme de l'autre, ces
vaisseaux
semblent creusés dans une substance conjonctive t
de la prolifération conjonctive qui étouffe, comble ou supprime les
vaisseaux
néoformés. On peut, par un examen attentif, sai
saisir sur le vif cette terminaison de la méningite. Sur cer- tains
vaisseaux
, en effet, on observe nettement une sorte d'effra
éments jeunes, d'aspect leucocytaire, qui envahissent la lumière du
vaisseau
. Ces éléments sont englobés dans un réseau de fin
dans un réseau de fines FiG. 12. - Envahissement de la lumière d'un
vaisseau
. P.v. Paroi vasculaire épaissie. PATHOGÉNIE D
de nombreux troncs nerveux, dans les interstices desquels quelques
vaisseaux
dilatés et gorgés de sang témoignent d'un process
érieur est bien visible. La pie-mère, épaissie, englobe de nombreux
vaisseaux
dilatés et gorgés de sang. Dans l'intérieur de la
ALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 395 mais ils sont dissociés ; de nombreux
vaisseaux
ont pénétré dans leurs intersti- ces, et, suiva
stratum à l'envahis- sement du tissu conjonctif embryonnaire et des
vaisseaux
néoformés. De plus, l'inflammation envahissant
nt pas en dehors, masqués qu'ils sont par la moelle et la masse des
vaisseaux
. ' Plus haut, la moelle disparaît complètement,
que quelques filets nerveux reposant sur la dure-mère, infiltrés de
vaisseaux
. Dans la partie médiane existe, par endroits, d
ble d'un foetus il l'autre : elle est uniquement constituée par des
vaisseaux
dis- posés sous une membrane cutanée très aminc
e. Ce qui semble caractériser cette paroi, c'est que, en dehors des
vaisseaux
, existent un certain nombre de lacunes sanguines
nsidérable dans la paroi la plus mince. Ces lacunes ne sont pas des
vaisseaux
; elles sont limitées par des parois irrégulières
examen à un fort grossissement montre quantité de détails. Dans les
vaisseaux
on peut distinguer les globules rouges et les dif
s avec la névroglie, du sillon médian antérieur, des travées et des
vaisseaux
. . D'ailleurs ces fibrilles n'affectent jamais
vées ainsi formees délimitent des espaces allongés où cheminent les
vaisseaux
. L'ossification se complète par appositions suc
ur les cou- pes, criblé de lacunes représentant les lumières de ces
vaisseaux
. a) Le cartilage indifférent, au lieu de se con
ansformation fibrillaire du carti- lage et ne renferme que quelques
vaisseaux
de petit calibre limités par de fins tractus co
one de rivulation. - g) bourgeon vasculaire faisant communiquer les
vaisseaux
de la bande fibreuse avec ceux de la moelle osseu
e ce qui suit : Méningo-encéphalite chronique diffuse, athérome des
vaisseaux
cérébraux ainsi que de l'aorte, cir- rhose atro
urs que les altérations des membres précédent la formation même des
vaisseaux
. Je ne crois pas non plus à un rachitisme foeta
en guirlande et au feutrage sous-lobaire. La plus grande partie des
vaisseaux
du cervelet a une paroi plus épaisse qu'à l'éta
faisceaux pyramidaux directs est un peu plus évidente. On y voit les
vaisseaux
entourés d'un large anneau de glia et les septa
midaux. Méninges spinales. La pie-mère est nettement épaissie ; ses
vaisseaux
ont aussi une paroi plus épaisse et plus homogè
our pénétrer dans la moelle sont aussi plus gros que d'ordinaire.
Vaisseaux
. Les vaisseaux de la moelle, du bulbe, de la prot
ns la moelle sont aussi plus gros que d'ordinaire. Vaisseaux. Les
vaisseaux
de la moelle, du bulbe, de la protubérance, du
vec l'espace périvasculaire. Les altérations ne se limitent pas aux
vaisseaux
des zones sclérosées ou dégénérées, mais elles ex
es fibres nerveuses semblent encore complètement intactes. Tous les
vaisseaux
, on peut dire, y sont visibles à l'oeil nu tellem
euse, d'une origine vasculaire : à ce dernier égard les lésions des
vaisseaux
et des zones périvasculaires nous témoi- gnent
de- hors vers les cartilages de la base ; mais l'absence totale de
vaisseaux
chez ceux-ci rend toute néoformation vasculaire
ible grossissement (PI. LXXV b et c). Chaque foyer a pour centre un
vaisseau
et l'on en peut distinguer plusieurs types : a)
n en peut distinguer plusieurs types : a) La paroi et la lumière du
vaisseau
sont nettes ; l'infiltration est stricte- ment
nfiltration augmente elle paraît complètement dissocier la paroi du
vaisseau
. On voit au milieu des cellules blanches des élém
thrombose et d'infiltra- tion. On remarque souvent autour de ces
vaisseaux
infiltrés un espace périvascu- laire dilaté. A
grands mononucléaires, mais pas ou très peu de polynucléaires. Les
vaisseaux
infiltrés sont en-dessous de cette zone; en que
e présentent que peu de réaction inflammatoire et à leur niveau les
vaisseaux
sous-épendymaires apparaissent indemnes (fig. 3).
s de ce pus par une couche de tissu très infiltrée on voit tous les
vaisseaux
entou- rés d'une zone d'infiltration analogue à
comme intacte sauf en quelques très rares endroits où l'on voit un
vaisseau
être entouré d'un manchon leucocytaire, pas trè
t précédé de peu la mort. Dans tout le cervelet et sa méninge les
vaisseaux
sont gorgés de sang ; quel- ques-uns prennent u
colo- rations réussissent mal. Il s'agit là sans doute d'oedème.
Vaisseaux
. Nous constatons un épaississemeut notable de leu
re que sur l'adventice infiltrée. Là où la méninge est indemne, les
vaisseaux
le sont aussi. Les veines de Galien ne sont pas
ent tout d'abord sur les méninges, en dehors du tissu nerveux : les
vaisseaux
se multiplient, leur paroi s'épaissit et l'épaiss
multiplient, leur paroi s'épaissit et l'épaissis- sement permet aux
vaisseaux
voisins de confondre leurs parois en une seule
antité des corps gra- nuleux et beaucoup de tissu conjonctif. Les
vaisseaux
sont sclérosés. On voit la dilatation du ventri
st assez récent ; ici on rencontre de nombreux corps granuleux. Les
vaisseaux
(branches de l'artère cérébrale postérieure) so
du cerveau où elle est très riche en cellules et renferme de nombreux
vaisseaux
capillaires. Elle devient ensuite plus âgée, re
me surtout des fibres. De nom- breuses cellules conjonctives et des
vaisseaux
embryonnaires se retrouvent de nouveau au voisi
ropre du toenia; 1. Tissu cérébral organisé autour du toenia ; - 8.
Vaisseaux
. 36 LÉVI ET LEMAIRE II La connaissance de l
dans les parties centrales du cerveau. Quant aux rapports,avec les
vaisseaux
, de ces kystes, ils peuvent se trou- ( ver grou
tra- verser une foule, et arrivent en les perforant dans les petits
vaisseaux
où ils sont charriés jusqu'aux organes des dive
ère ; 2- l'exa- men histologique des lésions des. tissus (méninges,
vaisseaux
, substance ner- veuse). I. - ETUDE topographi
laires, visibles avec un faible grossissement; un certain nombre de
vaisseaux
intramédullaires ont des parois épaisses et une
ui ne sont pas atteintes par les dégéné- rescences secondaires. Les
vaisseaux
extra-médullaires sont d'apparence nor- male,et
supérieure du 5» segment dorsal. 110 LONG ET WIKI raux, où les
vaisseaux
se montrent par places en état de dégénérescence
ons des cordons postérieurs ne sont pas d'origine radiculaire. 2.
Vaisseaux
extmmédullaÏ1'es. Ce qui frappe de prime abord da
- men des coupes histologiques, c'est l'état de quasi-intégrité des
vaisseaux
extra-médullaires. Ceux qui sont représentés su
un assez grand nombre de coupes que nous avons pu trouver quelques
vaisseaux
extramédullaires plus ou moins épaissis et obli
parties par foyers et que constamment on peut retrouver à côté d'un
vaisseau
de structure anormale un ou plusieurs vaisseaux
etrouver à côté d'un vaisseau de structure anormale un ou plusieurs
vaisseaux
en état d'intégrité complète. Ces lésions, ains
use que l'on observe, rarement de la dégéné- rescence hyaline. 3.
Vaisseaux
intramédullaires. - Ils présentent des lésions be
des lésions beaucoup plus avancées et plus diffuses que celles des
vaisseaux
extramédullaires. Ces lésions Fig. 16. - Pie-mè
des vaisseaux extramédullaires. Ces lésions Fig. 16. - Pie-mère et
vaisseaux
. 2e segment dorsal. SUR l'état ATROPIIIQUE DE l
egment de la moelle on peut voir, sur une coupe trans- versale, des
vaisseaux
altérés à divers degrés, et à côté d'eux des vais
versale, des vaisseaux altérés à divers degrés, et à côté d'eux des
vaisseaux
normaux, et ceci aussi bien dans la substance b
s la substance grise. Il en est de même dans le sens vertical : les
vaisseaux
para-épendymai- res, par exemple, se montrent a
autre de la moelle. Lorsqu'elles sont peu intenses, ces lésions des
vaisseaux
intramédullaires se présentent sous la forme d'
ne, qui tantôt produit une diminution concentrique de la lumière du
vaisseau
, et tantôt transforme ce dernier en un conduit
bissent en totalité la dégénéres- cence fibreuse ou hyaline, et les
vaisseaux
, s'ils se montrent en coupe longi- tudinale, so
as ailleurs, que l'ou voit fréquemment à la périphérie des Fig. 17.
Vaisseaux
intramédullaires. 2e segment dorsal. Fig. 18.
ig. 18.-Vaisseaux extramédullaires. 5e segment dorsal. Fig. 19. -
Vaisseaux
extramédullaires. Gaz segment dorsal. 114 LONG
aux extramédullaires. Gaz segment dorsal. 114 LONG ET WIKI petits
vaisseaux
de la substance blanche des corps globuleux, remp
rescence cellulifune se prolonge jusqu'au cône terminal. Fig. 20. -
Vaisseaux
intra-médullaires. 6e segment dorsal. Fig. 21.
des éléments de ^nature conjonctive proliférés à la périphérie des
vaisseaux
. On n'y voit pas d'amas de cellules embryonnaires
ssent pas, il peut se former, sui- vant le degré d'oblitération des
vaisseaux
, soit des lésions en foyer, soit un état dystro
diminue peu à peu ; plus bas les membranes épais- sies et riches en
vaisseaux
recouvrent la moelle allongée. Si nous soûle- v
lange du doigt unique. DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN DÉMIMÈLE '137
Vaisseaux
. - Le système vasculaire, artères et veines, semb
des artères. - Les poumons manquent. - Le cordon ombilical manque ;
vaisseaux
ombilicaux très courts ; le placenta adhé- rent
centre des amas. (Col. Van Guson, obj. AA; oc. 2 Zeiss.) FiG. 2.
Vaisseaux
dont les parois, formées par des cellules accol
lules accolées parallèle- ment, renferment de nombreux globes. Le
vaisseau
inférieur envoie dans le parenchyme environnant
aires qui l'attachent, par l'intermédiaire de la pie-mère et de ses
vaisseaux
, à la substance cérébrale. Le résultat des pesé
variées. Tantôt ce sont de véritables canaux qui font songer il des
vaisseaux
normaux, tantôt des fentes allongées sans parois
tre elles forment des rangées sinueu- ses, surtout au voisinage des
vaisseaux
, d'autres au contraire, et c'est la ma- jorité,
à constituer plusieurs centres dans un seul lobe. La présence d'un
vaisseau
modifie cette ordination. Ces derniers cheminent
'on voit alors les cellules s'incliner pour ramper parallèlement au
vaisseau
, quelques-unes mêmes se détachent et s'accollent
as on les retrouve contre les cloisons. Mais c'est surtout auprès des
vaisseaux
, comme l'a bien décrit Cornil, qu'ils sont plus
s nombreux. Sur une coupe prise à la périphérie de la tumeur où les
vaisseaux
étaient très abondants, il n'y avait que quelqu
très important, on distingue un pédicule qui rattache le globe à un
vaisseau
voisin. D'autres fois, on voit un vaisseau coup
i rattache le globe à un vaisseau voisin. D'autres fois, on voit un
vaisseau
coupé longitudinalement se terminer par une point
ésentent sous trois formes distinctes : des fentes vasculaires, des
vaisseaux
proprement dits, et des an- giomes. Les fente
e modifications. Cette absence de paroi véritable les distingue des
vaisseaux
. Cependant leur nature vasculaire ne paraît pas
, mais sans localisation (fig. 3). A côté de ces fentes, il y a des
vaisseaux
franchement caractérisés. Ils che- minent presq
lus nombreux vers les zones périphériques de la tumeur, ce sont des
vaisseaux
de petit calibre. Ils se distinguent des fentes
nt beaucoup celle des globes con- centriques. Quelques-uns de ces
vaisseaux
vont aboutir aux formations angiomateuses. Cell
tes. Du côté de la cavité, contrairement à ce qui se passe pour les
vaisseaux
, on remarque une zone, mince en comparaison de
s orifices sans con- tours réguliers. Ce sont ou des embouchures de
vaisseaux
ou des formations lacunaires plus petites. En r
montrent les différents stades du processus angioma- teux (fentes,
vaisseaux
, lacunes angiomateuses). Discussion. -- Les cou
par des fenles intercellulaires sans parois différenciées, par des
vaisseaux
à struc- ture hyaline et enfin par de vastes la
s osseuses qu'elles perforent pour faire saillie à l'extérieur. Les
vaisseaux
de l'encéphale et de la moelle sont déviés de l
e à propos de l'observation de Bouchard. Ces tu- meurs n'ont pas de
vaisseaux
proprement dits, mais des capillaires, qui, ven
de vaisseaux proprement dits, mais des capillaires, qui, venus des
vaisseaux
cheminant à leur surface, pénètrent dans la profo
lui-même de l'en- veloppe externe de la tumeur.Cette ordination des
vaisseaux
les rapproche, dit-il, des épithéliomes de la p
de sarcome, tandis que la forme des cellules et les caractères des
vaisseaux
les en éloignent. Pour lui, il faut donc en faire
ompare aux tumeurs développées aux dépens de la tunique interne des
vaisseaux
lymphatiques et des ganglions. Cornil et Ranvie
e que les cellules ne sont pas soudées entre elles et parce que les
vaisseaux
sont directement en rapport avec les cellules.
aucun cas; elle se rapproche surtout des sarcomes par l'aspect des
vaisseaux
. Comme chez ceux-ci, le sang traverse des espac
mes ayant leur origine dans d'autres organes (capillaires sanguins,
vaisseaux
lym- phatiques, ganglions, enfin glandes elles-
e vasculaire, c'est-à-dire, la prolifération de l'endothé- lium des
vaisseaux
. Mais il peut paraître exclusif de ne pas tenir c
ment de ces tumeurs,du périthélium ou de la gaine lym- phatique des
vaisseaux
de l'encéphale. L'étude de ces faits est encore p
ou corps concen- triques, qui eux sont en rapport constant avec les
vaisseaux
. Pour Cornil et Ranvier (3), les vaisseaux de n
apport constant avec les vaisseaux. Pour Cornil et Ranvier (3), les
vaisseaux
de nouvelle formation envoient des pointes vasc
ls calcai l'es et ainsi le globe se forme petit à petit, appendu au
vaisseau
par un petit pédicule ; il peut arriver que la
fondant sur l'absence apparente de relations de ces corps avec les
vaisseaux
que Virchow a pu les assimiler aux globes épiderm
rer, et former ainsi des traînées qui cheminent paral- lèlement aux
vaisseaux
. C'est en effet autour de ces derniers que se tro
tal diseases, Edinburg, 1900. 194 DUPRÉ ET DEVAUX enveloppant les
vaisseaux
dure-mériens et, comme nous l'avons dit plus ha
es éléments. Dans les premières, le trajet se fait parallèlement au
vaisseau
, dans les se- condes, le rôle primordial revien
sse, resserre et oriente concentriquement les éléments. Le rôle des
vaisseaux
est donc capital dans la genèse des corps con-
re cas, nous nous rattachons à l'opinion des auteurs français : les
vaisseaux
envoient des pointes vascu- laires, aux dépens
ellules. En résumé, il existe, dans les cellules situées autour des
vaisseaux
, un processus dégénératif spécial, que Robertso
re les cellules homo- gènes et de faire disparaître les noyaux. Des
vaisseaux
de nouvelle for- mation partent des pointes vas
ateuses et dans la structure spéciale que présentent les parois des
vaisseaux
. Les formations angiomateuses diffèrent des angio
lle qui fait provenir ces derniers d'une coalescence des parois des
vaisseaux
voisins dont les lumières arrivent à se confond
l'abondance de la troisième variété dans l'intérieur et autour des
vaisseaux
. Dans la zone occipitale nous observons le mini
en général péri-cel- lulaires, les petits plutôt situés autour des
vaisseaux
. Le rôle de ces éléments nous semble ressortir
de leur situation, de leur distribution,de leurs rapports avec les
vaisseaux
et les cellules. Ils semblent appelés à détruir
e de la torpille, après cautérisation, il constata l'issue hors des
vaisseaux
des leucocytes, qui grâce à leurs mouvements am
ente l'aspect de la couperose. On y distingue à l'oeil nu de petits
vaisseaux
sinueux, tandis qu'ailleurs la coloration viola
ième es- pace intercostal droit. NOEVUS VEINEUX ET HYSTÉRIE 219
Vaisseaux
. - Artères facilement dépressibles, non indurées,
ations nerveuses se manifestent chez lui : 1° par une paralysie des
vaisseaux
de la peau du bras gauche ; 2° par des décharge
des lésions nerveuses que présente notre malade, à la paralysie des
vaisseaux
de la peau. Il n'est pas possible en effet de d
ons pos- térieurs, est épaissie et elle présente un grand nombre de
vaisseaux
. Les changements ultérieurs consistent en ce qu
quatrième ventricule; en son intérieur est placé un tissu, riche en
vaisseaux
. Des deux côtés de la moelle allongée nous trouvo
es colonnes de substance intercellulaire (rivulation), bientôt, les
vaisseaux
venus de la diaphyse pé- nètrent et effondrent
e l'os, tou- jours sur la face palmaire, ou trouve deux tout petits
vaisseaux
du volume d'un fil blanc, à peine visibles, et,
c, à peine visibles, et, au devant du squelette du médius, un autre
vaisseau
, plus-gros et très net. C'est tout, et à part que
la pulpe, il n'y a qu'un tissu graisseux homogène. En somme, comme
vaisseaux
, on rencontre une collatérale externe palmaire et
contre une collatérale externe palmaire et deux autres torit;petits
vaisseaux
au milieu de la graisse : la vascularisation est
e des réseaux artério-veineux qui l'entourent. Le développement des
vaisseaux
est surtout marqué à la pé- ' riphérie de la tu
um de lésions méningitiques diffuses, chroniques et subaiguës : les
vaisseaux
présentaient des altérations inflam- matoires é
s : les uns sont cons- titués par des travées contenant de nombreux
vaisseaux
,délimitant des alvéoles, renfermant de grosses
rré de fines fibrilles, infiltré de nombreuses cellules rondes. Les
vaisseaux
de calibre sont peu altérés et con- tiennent qu
térés et con- tiennent quelques éléments polynucléaires, les petits
vaisseaux
, au contraire, ont leur paroi épaissie et sont
couches ,de cellules moyennes. Dans les couches superficielles les
vaisseaux
sont peut-être moins abondants, mais leur paroi e
etits foyers hémorrhagiques anciens et récents dus à la rupture des
vaisseaux
. L'adhérence de la dure-mère à la tumeur est tr
apillaires sanguins pleins de globules rouges. Dans certains de ces
vaisseaux
, il existe une prolifération endothéliale très ne
abondant, à noyau volumineux, disposées concentriquement autour des
vaisseaux
, possédant une paroi propre et paraissant infiltr
plus que d'uue façon très vague. La tunique interne et moyenne des
vaisseaux
, épaissie, paraît macérée en beaucoup de points
ellules rondes. Dans ses par- ties supérieures il est obturé. Les
vaisseaux
delà moelle dans toutes les régions sont altérés.
le des fibres minces. Hypoplasie et altérations de la structure des
vaisseaux
sanguins. Comparons d'abord le résultat de notr
é du système nerveux, du moins pas de troubles appréciables, caries
vaisseaux
, quoique débiles, suffisent encore à la nutriti
aussi d'autres parties du système nerveux par suite des lésions des
vaisseaux
,comme les voies motrices (cas de Menzel) et cer
e qui l'autorise, c'est que nous trouvons des lésions chroniques de
vaisseaux
. Cette lésion seule ne pouvait pas produire une
qui s'enveloppent le plus tôt de myéline. Par suite des lésions de
vaisseaux
, comme nous l'avons dit, se produit au commence
s éléments sont séparés par place par des corps embryonnaires ; les
vaisseaux
sont très dilatés et gorgés de sang. Quelques f
médullaire et périmédullaire semble avoir gagné les ganglions. Les
vaisseaux
qui les entourent et les pénètrent sont très dila
jours été rencontrés, notablement augmentés de nombre et de volume.
Vaisseaux
et méninges. Nous venons d'étudier l'état du neur
état du neurone et de la névroglie, examinons maintenant l'état des
vaisseaux
et des méninges. 398 VASCHIDE ET VURPAS Les v
l'état des vaisseaux et des méninges. 398 VASCHIDE ET VURPAS Les
vaisseaux
sont le siège de particularités remarquables. Ce
qui s'étend sur toute l'étendue du névraxe. En certains points les
vaisseaux
sont tellement abondants qu'ils forment un véri
ffuse sur la presque totalité de leur étendue. Dans l'intérieur des
vaisseaux
sanguins gorgés de sang on observe soit dis- sé
obules blancs. Mais c'est surtout les interstices laissés entre les
vaisseaux
qui sont bourrés de globules blancs. Les méning
che d'éléments embryonnaires. Ces mêmes éléments forment autour des
vaisseaux
de larges manchons qui les entourent et leur fo
orment de larges couronnes péri- vasculaires. Lorsqu'il s'agit de
vaisseaux
de petit calibre ils dessinent seuls leur trajet.
globules blancs vivement colorés, qui tantôt forment un manchon aux
vaisseaux
sanguins tantôt indiquent seuls leur direction.
lammation parti- culièrement intense, qui a porté à la fois sur les
vaisseaux
, les méninges et tout DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ U
ctif et très intense touchant le tissu nerveux, les méninges et les
vaisseaux
. Les considérations auxquelles donnerait lieu c
tubes et quelques glomérules. Au voisinage des kystes, on voit les
vaisseaux
, les cavités glomérulaires s'aplatir, les tubes
iers de la glande. Les expansions conjonctives qui accompagnent les
vaisseaux
, traversent tout l'organe et pénètrent jusque d
colo- rés au carmin. Ici, là pie-mère est d'épaisseur normale, les
vaisseaux
situés à sa face profonde sont normaux. Dans la
tance grise, les cellules ont le nom- bre et le volume normaux, les
vaisseaux
sont sains, il n'y a pas trace de sclérose névr
théliale. Partout la névroglie est épaissie par travées le long des
vaisseaux
, et ceux-ci sont entourés d'une zone étoilée de
nt pu, porter que sur lui seul. Dans le tronc principal, les petits
vaisseaux
du tissu conjonctif d'enve- loppe, et ceux cont
ale était extrêmement lésée, ainsi que les artères des membres. Les
vaisseaux
de l'encéphale, des os du crâne, du cerveau, du
3't : i la jambe droite. La peau est blanche, saine, sans varices, ni
vaisseaux
apparents. Nulle part on n'observe de taches sa
douce au toucher et partout paraît normale. L'on ne remarque aucun
vaisseau
sa surface. Le froid la cya- nose légèrement et
à résulte l'aspect plus saillant de la striation longitudinale. Les
vaisseaux
sont intacts. Les altérations de la substance
nte car elle règle leur vascularisation. Ils reçoivent en effet leurs
vaisseaux
artériels des gros troncs de la base du cerveau
optique postérieure et externe. De l'origine même de ces différents
vaisseaux
résulte un fait qui pour nous a une grande impo
ence sur le siège des lacunes. .. Comme nous le verrons ce sont les
vaisseaux
qui guident les lacunes : or il est probable qu
nes : or il est probable qu'étant donnée la direction constante des
vaisseaux
les lacunes se font également dans une directio
r- pendiculaires par conséquent à l'axe des lacunes qui suivent ces
vaisseaux
et nous les coupons dans leur plus grande large
de désintégration, envahissent la substance cérébrale Au centre, un
vaisseau
altéré, mais perméable. (Préparation par la métho
e. Peut-être est-elle plus allongée verti- calement dans le sens du
vaisseau
que transversalement ? Cela est parfois as- sez
elui qui circule dans les gaines périvasculaires entourant tous les
vaisseaux
des centres nerveux. Mais les liquides fixateur
s ces éléments formant le centre et l'axe de la cavité se trouve un
vaisseau
. Ce vaisseau dont nous étudierons complètement
formant le centre et l'axe de la cavité se trouve un vaisseau. Ce
vaisseau
dont nous étudierons complètement nature histolog
ne substance variable, produit de la désintégration cérébrale et un
vaisseau
qui occupe le centre de la cavité et se dirige su
ntre le tissu gris comme piqueté d'un nombre considérable de petits
vaisseaux
. Ces vaisseaux sont coupés perpendiculairement
ris comme piqueté d'un nombre considérable de petits vaisseaux. Ces
vaisseaux
sont coupés perpendiculairement à leur axe et p
stingue autour d'eux une cavité. Dans le cas de lacune miliaire ces
vaisseaux
sont encore apparents, mais au- tour d'eux le t
a dimension d'un tout petit pois. Au milieu se retrouve toujours le
vaisseau
qui traverse le kyste comme il traversait la lacu
on du tissu cérébral environnant, on constate encore la présence de
vaisseaux
. Bref ce sont des hémorragies mais elles se com
r d'une artériole cérébrale le tissu est raréfié, mais il adhère au
vaisseau
sans qu'il y ait solution de continuité ou ruptur
Dans la seconde, il y a au contraire formation d'une cavité entre le
vaisseau
central et le parenchyme cérébral : c'est une l
et les noyaux moins abondants. Au centre de cette zone se trouve un
vaisseau
de volume variable, assez souvent une artériole d
ni- que externe ou adventice. La gaine lymphatique est adhérente au
vaisseau
dont les parois sont de plus infiltrées d'une g
encore de ca- vité : seul le tissu cérébral était raréfié autour du
vaisseau
; mais on n'obser- vait pas de solution de cont
ou moins rempli d'éléments normaux ou pathologiques. 1° Lésions du
vaisseau
. - Le vaisseau central est habituellement une ar-
i d'éléments normaux ou pathologiques. 1° Lésions du vaisseau. - Le
vaisseau
central est habituellement une ar- tère de volu
et Jolyet) qu'elle soit de nature lymphatique légèrement écartée du
vaisseau
et que son contenu communique avec les espaces
' fait de sa perméabilité. Toujours, en effet, nous avons trouvé ce
vaisseau
perméable et renipli de globules sanguins prenant
e lacune soit sur ses confins supérieurs ou inférieurs, toujours le
vaisseau
nous est apparu en plein centre de la coupe rempl
peut-être retirer la la- cune du cadre des ramollissements. Si le
vaisseau
est perméable, en revanche ses parois sont très a
coupes qui ont été colorées il l'hématoxyline-éo- sine. Parfois le
vaisseau
se trouve coupé un peu obliquement, dans ce cas l
ND de périartérite, les leucocytes migrateurs déjà dans la paroi du
vaisseau
ont été suffisamment chargés de graisse pour fi
jonctives. Ile se disposent aussi par amas. Ils ne forment pas au
vaisseau
une couronne régulière mais sont parfois groupé
(1) Ilucii,&Ri), Traité clinique des maladies du coeue, et des
vaisseaux
. LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 113 on n
les paraissent s'accentuer à mesure que l'on gagne la périphérie du
vaisseau
, tandis que l'endartère ne laisse pas apercevoi
le prend toutes les apparences : elle est assez souvent éloignée du
vaisseau
par l'émigration globulaire qui en sort. Si ell
par le bord même de la cavité. Ce bord est plus ou moins éloigné du
vaisseau
central suivant ses an- fractuosités. Il est en
oujours parfaitement régulières et que l'espace vide situé entre le
vaisseau
et le tissu cérébral ne contient pas d'éléments
ns certaines coupes de tissu cérébral normal nous avons observé des
vaisseaux
aux parois minces se rétractant dans le centre
e période le tissu se désagrège mais n'est pas encore séparé de son
vaisseau
, tandis qu'au 2e degré la séparation s'est eff
'importance hémorragique de ce proces- sus de désintégration. Les
vaisseaux
sont également nombreux et très altérés dans cett
ryonnaires nombreux formant par places comme des paquets autour des
vaisseaux
d'où ils se dissé- LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉ
de dire que nous sommes hors de la zone de désintégration. Seuls les
vaisseaux
conservent leurs parois épaisses et infiltrées,
lacune. - Il nous reste à voir ce qu'il y a dans la lacune entre le
vaisseau
qui en forme le centre et le tissu cérébral qui e
ments, les uns venant du parenchyme cérébral, les autres émigrés du
vaisseau
. Tous sont parsemés dans une cavité plus ou moi
les débris sont plus serrés vers les parois lacunaires qu'autour du
vaisseau
. Ce sont d'abord des fibres nerveuses tantôt co
ces cellules se voient encore les débris de la gaine lymphatique du
vaisseau
dont on reconnaît les grandes cellules plates à
s soit directement avec une hémorragie, soit par diapédèse hors des
vaisseaux
intra-lacunaires. Parmi tous ces leucocytes nou
point de vue les parois vasculaires et les gaines lymphatiques des
vaisseaux
autant que les cavités'lacunaires elles-mêmes. C'
es du parenchyme céré- bral et sont toujours dans le voisinage d'un
vaisseau
altéré. Aussi sommes-nous convaincus qu'il s'ag
ant bien à notre avis la genèse de ces corps granuleux. Autour d'un
vaisseau
central d'une lacune était une gaine périvascul
o- cytes. Mais tandis que tous ceux qui étaient en dedans autour du
vaisseau
avaient la taille et l'aspect des lymphocytes q
isseuse qui en fait des corps granuleux. Tous cependant venaient du
vaisseau
par diapédèse, mais les premiers sor- tis avaie
nté- gration nous avons décrit une cavité contenant à son centre un
vaisseau
altéré dans ses parois mais toujours perméable.
eut être un peu modifié. La des- truction du tissu atteint d'autres
vaisseaux
et la cavité s'augmentant inégale- ment on ne v
référence au voisinage des parois de la lacune un certain nombre de
vaisseaux
qui présen- tent tous les caractères que nous a
ible d'y reconnaître une dilatation anévrysmale. Et cependant ces
vaisseaux
traversent'ainsi une cavité dans laquelle rien ne
e que nous n'avons jamais observé d'anévrysmes miliaires et que les
vaisseaux
qui tra- versent les lacunes nous paraissent ré
aires dans la cavité lacunaire, le tissu blanc étant moins riche en
vaisseaux
que la substance grise il s'épanche moins d'hémat
nterne. Il en est de même pour les lacunes du centre ovale : peu de
vaisseaux
, peu de globules rouges épanchés ; mais en rais
ées par les éléments d'in- filtration; on y trouve également peu de
vaisseaux
. Le vaisseau central manque même assez fréquemm
éments d'in- filtration; on y trouve également peu de vaisseaux. Le
vaisseau
central manque même assez fréquemment. Peut-ê
qui permet d'embrasser les deux côtés de la protubérance. Mais les
vaisseaux
devant être étendus souvent dans le sens de nos
de névro- glie également répartie et non en noyaux déterminés, les
vaisseaux
san- guins sont également plus nombreux, tandis
s fibres et les cellules de la névroglie sonthy- perplasiées et les
vaisseaux
sanguins augmentés. -Les cordons de la moelle s
et ceux-ci paraissent s'être formés de préférence autour des petits
vaisseaux
de la substance céré- brale. A un faible grossi
ît constituée d'un stroma d'appa- rence counectif, parcouru par des
vaisseaux
dilatés et ramifiés, si abondants qu'ils donnen
, parfois lobulés, autour des gaines conjonctives qui entourent les
vaisseaux
, elles sont par place tassées les unes contre l
ns les points qui sont directe- ment en contact avec les gaines des
vaisseaux
. En certains points de la tumeur, particulièrem
s de la tumeur, particulièrement dans les zones plus claires où les
vaisseaux
et les petites cellules polymorphes sont moins la
et d'autre part le tissu conjonctif des gaines vas- culaires et les
vaisseaux
eux-mêmes. Cette prolifération conjonctivo-vascu-
rientation des éléments (fin. 5). Cette masse est parcourue par des
vaisseaux
de dimensions plutôt minimes, d'ailleurs rares,
a préparation ; c'est dans ces cloisons que cheminent les plus gros
vaisseaux
. Les travées secondaires se disposent assez irr
dans la masse de la tumeur, celle-ci n'est donc nourrie que par les
vaisseaux
qui lui arrivent an niveau de son point d'implant
i après une décortication difficile et un arrachement minutieux des
vaisseaux
qui rampent à sa surface, laisse voir un certain
onds d'une part, à de simples dépressions linéaires tracées par les
vaisseaux
d'autre part ; nous avons parlé plus haut d'un ét
quelques petits fascicules disséminés. Le reste est occupé par des
vaisseaux
(v), des tractus fibreux, des faisceaux de tissu
ss. Obj. : J.3. Oc. 2. 302 THOMAS ET HAUSER Dans cette région les
vaisseaux
sont malades pour la plupart, épaissis, leur lu
, les noyaux plus nombreux ; sur quelques-uns de ces ganglions, les
vaisseaux
paraissent plus nombreux et sont gorgés de sang
te, les altérations inflammatoires sont extrême- ment intenses, les
vaisseaux
sont nombreux et dilatés, on remarque de nom- b
u ganglion. Le périnèvre, très épaissi, contient un grand nombre de
vaisseaux
, atteints de dégénérescence hyaline. A l'intéri
de vaisseaux, atteints de dégénérescence hyaline. A l'intérieur, un
vaisseau
présente également des tuniques dégénérées. Les f
ules péricellulaires sont très hypertrophiées. Dans le ganglion les
vaisseaux
ne sont pas malades. La racine antérieure est nor
cicules,ni de tissu conjonctif interstitiel entre leurs fibres. Les
vaisseaux
inclus dans les racines postérieures sont nombreu
es méningées de la racine postérieure sont à peine épais- sies. Les
vaisseaux
présentent les mêmes altérations (épaississement
ésultat est invariable à proximité et à distance du ganglion. Les
vaisseaux
contenus dans les racines postérieures sont génér
aussi plus nombreux. Dans les racines antérieures au contraire les
vaisseaux
paraissent indemnes. En résumé l'atrophie des
du tissu conjonctif interstitiel. Enfin on peut rencontrer quelques
vaisseaux
dont les tuniques présentent les mêmes altérati
tation très variée surtout dans la profondeur vers les racines. Les
vaisseaux
y sont assez généralement nombreux, mais beaucoup
ombreux noyaux, ou des amas embryonnaires dont les rapports avec un
vaisseau
ne peuvent pas toujours être établis. On distin
ucléaires, avec du pigment sanguin ou des foyers hémorragiques. Les
vaisseaux
sont pleins, leur lumière rétrécie, plu- sieurs
les : il existe quelques petits amas d'éléments embryonnaires : les
vaisseaux
ne sont pas très altérés. Racine antérieure nor
cules on remarque encore quelques foyers hémorragiques récents. Les
vaisseaux
sont nombreux, proliférés, leur paroi est épaissi
érinèvre, il existe des amas nucléaires en assez grand nombre ; les
vaisseaux
sont malades, leur paroi hypertrophiée ou calca
icule. Le tissu interfasciculaire est également épaissi. Les petits
vaisseaux
sont malades, leur paroi hypertrophiée, quelques-
urée d'un périnèvre épais, elle contient des amas nucléaires et des
vaisseaux
malades. Dans les ganglions, il existe quelques
s soit au centre, soit à la périphérie du faisceau radiculaire. Les
vaisseaux
sont éga- lement malades, leur lumière rétrécie
mère est extrêmement épaissie ; sur toute l'étendue du sac durables
vaisseaux
sont malades leur paroi est épaissie ; quelques-u
giques avec pigment sanguin, des altérations vasculaires; plusieurs
vaisseaux
sont oblitérés et ont subi la transformation calc
onjonctives ou entre elles,des foyers hémor- ragiques récents ; les
vaisseaux
sont pour la plupart malades, sclérosés. Gangli
idérablement diminué et ceux qui persistent sont très petits. Les
vaisseaux
des racines et des travées conjonctives sont mala
es les unes des autres par un tissu conjonctif riche en fibres, les
vaisseaux
n'y sont pas très malades. A la sortie du gangl
s, les noyaux y sont abon- dants ; ils le sont également autour des
vaisseaux
. La racine antérieure paraît également infiltré
idérable,'par rapport à la coupe des racines antérieures. Enfin les
vaisseaux
y sont pour la plupart atteints d'altérations pro
e (épaississement des gaines, existence d'amas embryonnaires) ; les
vaisseaux
sont eux aussi atteints de lésions de même ordre
même ordre (sclérose, amas d'éléments nucléés à la périphérie d'un
vaisseau
; hémorrhagies interstitielles). Aucune anomali
s radiculaires sont normales; les enveloppes sont saines; seuls les
vaisseaux
présentent quelques altérations. Observation VI
es nerveuses du tissu conjonctif proprement dit hyalin aussi. Les
vaisseaux
sont tous hyalins, et par places très nombreux,
mement épaissie (PI. XLII, fig. A). A l'intérieur des fascicules les
vaisseaux
présentent les mêmes altérations : malgré cela
ni à la périphérie ni à l'intérieur de chaque fascicule. Parmi les
vaisseaux
des racines, quelques-uns sont hyalins, mais le
ellules et les capsules péricellulaires sont normales. La paroi des
vaisseaux
est un peu épaissie et hyaline, mais ce sont de
eux dans la ra- cine postérieure que dans la racine antérieure. Les
vaisseaux
ne présentent pas d'altérations manifestes. D
elques capsules sont épaissies et leurs cellules prolifé- rées. Les
vaisseaux
ne sont pas malades. Les racines antérieures so
ment à du tissu musculaire. Les éléments nucléés y sont rares ; les
vaisseaux
nombreux ont leurs tuniques épaisses et hyalines.
fusionnées; leurs interstices contiennent un grand nombre de petits
vaisseaux
aux tuniques hyalines. Elles semblent exercer s
à ce niveau d'endonévrite. En outre les tractus conjonctifs et les
vaisseaux
y prennent ce même aspect amorphe, ou hyalin qu
ans l'inté- rieur des fascicules ont la même structure. Quant aux
vaisseaux
ils sont partout épaissis et leurs parois ont sub
être suivie jusqu'au ganglion et en des lésions des méninges et des
vaisseaux
. Tandis que les fibres des racines antérieures
épaississement et dégénérescence hyaline des tuni- ques des petits
vaisseaux
. Quaut aux cellules ganglionnaires, autant que
un peu pâle dans la moitié temporale' de l'aeil droit. ' Rétine,
vaisseaux
, choroïde, normaux. Acuité visuelle 2/3. Champ
des méninges, du tissu conjonctif péri et intra-fasciculaire et des
vaisseaux
, que nous devons maintenant résumer. Voici l'
ulaires (sclérose et dégénérescence hyaline des tuniques des petits
vaisseaux
) pouvant donner lieu à des foyers hémor- rhagiq
dissocier, car le tissu conjonctif ne s'infiltre pas entre eux. Les
vaisseaux
restent le plus souvent normaux. Cette immunité r
égénérescence spéciale, et contenant de nombreux capillaires et des
vaisseaux
dont les tuniques, réfringentes, hyalines se fo
rencontré ici. 11 mérite d'être signalé et rapproché de l'étal des
vaisseaux
qui d'une fa- çon constante sont le siège d'alt
pect hyalin. Cette dé- générescence atteint presque fous les petits
vaisseaux
de la racine posté- rieure ; il est impossible
veines plutôt que les arlérioles. Elle semble res- pecter les gros
vaisseaux
voisins. ' Ce n'est pas toutefois le seul mode
isme de formation des cavités ; il est probable que la rupture d'un
vaisseau
a donné lieu à une hémorrhagie interstitielle q
cerveau, à laquelle succède une anémie par con- traction active des
vaisseaux
cérébraux. Les autres bromures provoqueraient a
qui contient encore de nombreux éléments cellulaires (fig. 1). Les
vaisseaux
participent dans une large mesure à ce processus
que interne. Tun. i. Tuniqua interne épaissie. L. v. - Lumière du
vaisseau
, obstruée par les débris d'un caillot récent. C
. o. - Caillot organisé ancien, oblitérant complètement la lumière du
vaisseau
. L. s. - Lacunes sanguines creusées au centre d
e Aomet, caractérisé essentiellement par les lé- sions typiques des
vaisseaux
; l'artérite du tronc basilaire, en particu- li
cence graisseuse, mais il existe déjà à la périphérie et le long des
vaisseaux
des corps granuleux disséminés (Pl. LVI, fig. J
quide céphalo-rachidien plus considérable qu'à l'état normal, que les
vaisseaux
sont fortement dilatés et injectés. Il existe
entre deux lames grises égales. Pas de lésion il noter du côté des
vaisseaux
pénétrants. 2° Fragment de l'hémisphère cérébel
la jambe. Les épiphyses sont plus inégales que les diaphyses; leurs
vaisseaux
sont plus larges. Insertions musculaires très s
iste aucune trace de souffle cardiaque. L'aire du coeur et des gros
vaisseaux
, contrôlée à la radioscopie, est assez volumine
sale et la lombo-sacrée les cloisons sont devenues plus larges et les
vaisseaux
: sanguins augmentés en nombre. Ils sont dilaté
augmentés en nombre. Ils sont dilatés et remplis de sang. Quelques
vaisseaux
ont leurs parois un peu épaissies et par place on
ques-unes se colorent faiblement. Les méninges sont normales. Leurs
vaisseaux
sont dilatés et remplis de sang. On ne constate
s par la méthode de Weigert démontrent une augmentation notable des
vaisseaux
sanguins qui sont dilatés en même temps que gor
erveau. Sur les coupes on est frappé par le nombre considérable des
vaisseaux
sanguins et par la quantité notable de noyaux.
ble de noyaux. Les parois vasculaires sont par place épaissies, les
vaisseaux
dilatés gorgés de sang. Les cloisons de la pie-mè
ilatés gorgés de sang. Les cloisons de la pie-mère accompagnent les
vaisseaux
; comme elles sont épaissies, les colorations sur
es faisceaux rouges dessinant un réseau assez étrange. Le nombre de
vaisseaux
est sans doute augmenté, et sur les coupes colo
rsuader qu'il s'agit non seulement des capillaires dilatés mais des
vaisseaux
néoformés. On voit des corpuscùles amyloïdes as
espon- dant aux cordons postérieurs. L'augmentation du nombre des
vaisseaux
sanguins et des noyaux se voit dans tous les se
x de névroglie mais aussi des cellules qui sont en rapport avec les
vaisseaux
(pour la plupart des cellules endothéliales). O
plupart des cellules endothéliales). On y voit une néoformation de
vaisseaux
, les cellules se groupent le long de la lumière
supérieurs, de même qu'un léger épaississement et la dilatation des
vaisseaux
et cloisons dans d'autres régions de la moelle).
nnaître une rela- tion entre les changements précités et l'étal des
vaisseaux
et des cloisons TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE E
lame cribreuse au milieu des faisceaux nerveux très atrophiés. Les
vaisseaux
artériels et veineux sont aussi réduits de volume
apparaît excavé comme dans l'atro- phie primitive très avancée. Les
vaisseaux
sont très réduits de volume et très pâles. La c
e à proprement parler une exca- vation du fond de la papille et les
vaisseaux
sont encore assez bien' dessinés, mais les fibr
tuée par une quantité de tumeurs et comprimant le coeur et les gros
vaisseaux
. Le médiastin antérieur est'occupé par cette mass
re au cours de la myélite. Mais on n'y voit pas d'infiltration, les
vaisseaux
ne mon- trent pas de lésions notables. Dans d
ons notables. Dans d'autres points de cette coupe on constate des
vaisseaux
augmentés de nombre, à parois épaissies, en-
ement. Beaucoup de corpuscules amyloïdes sont visibles autour des
vaisseaux
et des cloisons névrogliques. Dans la substan
ogliques. Dans la substance grise il y a des lésions ana- logues (
vaisseaux
à parois un peu épaissies, lumière vasculaire r
ales montrent par contre la disposition des corpuscules le long des
vaisseaux
. Les différentes méthodes de coloration ont pro
ux ou toxique et que le principe actif de la maladie siège dans les
vaisseaux
. Il faut attirer l'attention encore sur ce poin
pas d'alvéoles vides. Ce doivent être des foyers plus jeunes. Les
vaisseaux
n'ont pas de lésions notables. Ils sont partout d
vasculaires sont un peu épaissies. il est exceptionnel Fig. 1. 1.
Vaisseau
sanguin infiltré. 4. Cylindraxe gonflé. 2. Hémo
Hémorragie. 5. Maille vide de la névroglie. 3. Masse dégénérée. 6.
Vaisseau
sanguin infiltré. 152 `I FLATAU , de voir une
é. 152 `I FLATAU , de voir une agglomération de noyaux autour des
vaisseaux
. Par places se voient de petites hémorragies fr
e ou toute la fibre). A côté de cela beaucoup d'alvéoles vides. Les
vaisseaux
étaient très peu modifiés. Pas de prolifération
antéro-latéraux, les cloisons élargies dans tous les cordons et les
vaisseaux
des méninges dilatés et gorgés de sang. Avec un
daire. Dans les cloisons élargies de la substance blanche on voit des
vaisseaux
di- latés et souvent entourés de larges espaces
lée. Des corpuscules amyloïdes y sont disposés en petit nombre. Les
vaisseaux
ont augmenté de nombre dans la substance blanche
nombre dans la substance blanche aussi bien que dans la grise. Les
vaisseaux
de la périphérie de la moelle et des méninges son
des espaces péri-cellulaires élargis. Racines médullaires normales (
vaisseaux
dilatés et gorgés de sang). Méninges normales.
avec un grand nombre de formes intermédiaires. Au milieu du foyer,
vaisseaux
dilatés gorgés de sang. Dans le foyer gauche on v
térieurs. Les cloisons élargies dans toute la coupe contiennent des
vaisseaux
gorgés de sang. Dans les espaces péricellulaire
péricellulaires légè- rement élargis ; les- méninges normales. Les
vaisseaux
y sont dilatés, gorgés de sang. La moelle conse
est perpendiculaire à la périphérie (correspond à la direction des
vaisseaux
ou des cloisons). La masse néoplasique adhérente
écisément des alvéoles dilatés qui donnent ce caractère tamisé. Les
vaisseaux
dans le foyer même et à sa périphérie sont augm
plus souvent elles sont amorphes. Tout ce XXIII 11 Fig. 11. i.
Vaisseaux
sanguins. 2-4-7. Masses gonflées (cylindraxes g
vroglie. On ne constate, pas non plus d'infiltration cellulaire des
vaisseaux
ou de leur voisinage. Quant à la tumeur même, e
us commençait seulement, on ne trouva de lésions inflammatoires des
vaisseaux
ou de prolifération réactionnelle de la névrogl
ur la face postérieure de la dure-mère el y pouvait compri- mer les
vaisseaux
qui pénètrent dans la moelle. On doit rappeler qu
upe lisses et d'une consistance cérébrale. Au cou, le long des gros
vaisseaux
, les ganglions lymphatiques sont très gros et tra
lique dans un endroit. Les cloisons étaient également élargies. Les
vaisseaux
n'avaient subi que des changements minimes (par
fération uniforme de la névroglie dans les endroits clairsemés. Les
vaisseaux
ne présentaient pas de changements notables. Pas
trous de conjugaison, y provoquer la com- pression des nerfs et des
vaisseaux
radiculaires, mais n'avoir pas le temps d'entre
tête et du tronc pendant la vie ! ) et comprimait les nerfs et les
vaisseaux
dans le voisinage des ganglions spinaux. Il e
forme en coin, ou en bandelette et correspondant à la direction des
vaisseaux
ou des cloisons. Quelquefois ils siègent seulemen
leuses, quelque- fois un grand nombre de corpuscules amyloïdes. Les
vaisseaux
sont nor- maux ou un peu épaissis. La névroglie
le. Parfois on remarque la prolifération de la névroglie autour des
vaisseaux
épaissis. Pas de lésions inflammatoires. Rarement
s ou contenant le reste de myéline ou des cylindraxes modifiés. Les
vaisseaux
sont partout élargis et remplis de sang (aussi
nt la compression des nerfs (non loin des ganglions spinaux) et des
vaisseaux
, et par suite, des lésions de la moelle par isc
ute encore l'ischémie générale causée par la compression des grands
vaisseaux
radiculaires ou l'ischémie locale causée par l'af
sseaux radiculaires ou l'ischémie locale causée par l'affection des
vaisseaux
. Comme causes rares Fickler mentionne les lésions
ations tuber- culeuses qui entourent la dure-mère et compriment les
vaisseaux
lympha- tiques de cette méninge provoquent l'ob
i entourent la dure-mère ne peuvent pas produire l'oblitération des
vaisseaux
lymphatiques de la moelle même. Mais elles peuv
aux inférieurs et dorsaux supérieurs, nous voyons que les plus gros
vaisseaux
sanguins pénètrent à travers les trous de conjuga
arrive seulement jusqu'à la co- tonne vertébrale, elle comprime les
vaisseaux
des racines et provoque des lésions par ischémi
ellules ganglionnaires, du tissu interstitiel et dégénérescence des
vaisseaux
. IV. Démence sénile. Homme de 70 ans. Fragment
En effet, les cellules névrogliques, les cellules endothéliales des
vaisseaux
sont remplies, gorgées de granula- tions fines,
nt donné que le mécanisme du rétrécissement et de la dilatation des
vaisseaux
sanguins, capillaires et autres, n'est pas suff
é de deux sortes de nerfs, les constricteurs et les dilatateurs des
vaisseaux
qui sont régis par des centres nerveux particul
elle allongée dont l'excitation produit la contraction générale des
vaisseaux
produite par le jeu des fibres musculaires logé
eur princi- pal, sait expliquer le mécanisme de la construction des
vaisseaux
, mais se trouve très embarrassée quand il s'agi
aire, la dilata- tion, vu qu'il n'existe pas dans les membranes des
vaisseaux
de fibres mus- culaires dont l'action produirai
centre sont suivies de retrécissement et non de la di- latation des
vaisseaux
(1). Le centre vasomoteur appartient à la vie v
gique, l'abolition de son influence est suivie de la dilatation des
vaisseaux
. La question se pose d'elle-même : ne serait-il
d'elle-même : ne serait-il pas permis d'expliquer la dilatation des
vaisseaux
, qui est produite par l'irritation locale comme
le in- tensité augmentent sa tonicité et partant la contraction des
vaisseaux
sanguins tandis que les irritations fortes prod
ces contraires l'une l'autre; dans l'un des cas les dilatateurs des
vaisseaux
sont en état de très forte excitation, dans l'a
ces phénomènes ? Détermann (1), qui a bien étudié les névroses des
vaisseaux
sanguins, avoue qu'il ne peut comprendre les dé
et forte accentuation du deuxième ton à la pulmonaire. Du côté des
vaisseaux
périphériques on peut relever une forte athérom
e des branches terminales de la carotide externe), c'est-à-dire des
vaisseaux
artériels desquels dérivent principa- lement le
n foyer de malacie du pont de Varole par affection syphilitique des
vaisseaux
. Jolly fit connaître le cas d'un malade, qui dé
vices valvulaires, montrent la nature syphilitique des lésions des
vaisseaux
. La deuxième observation se rapporte à un homme
s qui sont mortelles, sont dues en grande partie à une artérite des
vaisseaux
céré- braux. Ce fait explique à son tour un aut
hémorragies distendent en quelque sorte le centre de la coupe ; les
vaisseaux
augmentés en nombre, à parois épaissies. A mesu
on notable, quoiqu'elle soit peut-être plus dense que normalement..
Vaisseaux
partout dilatés, leurs parois entières sont épa
hémorragies récentes. Les méninges molles sont très infiltrées. Les
vaisseaux
des méninges sont très dilatés, mais non épaissis
et à une grande distance d'elle une infiltration, la dilatation des
vaisseaux
est évidente surtout du côté dorsal de la moelle.
L'examen mi- 1 croscopique de cette région prouve que le nombre des
vaisseaux
est augmenté, qu'ils sont très dilatés et que l
sont par contre presque intacts. Dans les endroits lésés il y a des
vaisseaux
dilatés, mais non épaissis. Les noyaux sont aug
diatement à la tumeur lia droite) est plus lésée que la gauche. Les
vaisseaux
à la péri- phérie de la moelle aussi bien qu'au
s on constate un épaississement bien évident des cloisons, avec les
vaisseaux
plus larges que normalement. Pas de signes de s
e la compression ou de la méningite puru- lente et le thrombus d'un
vaisseau
sanguin (avec toute probabilité). Les coupes co
lorées par l'hématoxyline et l'éosine montrent une dilata- tion des
vaisseaux
sanguins gorgés de sang. Il faut appuyer tout spé
né- vrogliques dilatés, fibres disparues, cylindraxes gonflés). Les
vaisseaux
sont par place tout à fait oblitérés, aussi bie
out dans la substance grise, l'infil- tration cellulaire autour des
vaisseaux
et l'accumulation des cellules gra- nuleuses.
ratoire, des foyers de ramollissement à cause de l'oblitération des
vaisseaux
). La conclusion générale qui se laisse déduire
libres à direction longitudinale normale. Sur la coupe on voit des
vaisseaux
sanguins en nombre augmenté dans la moitié gauc
opique). Sur toute la coupe se voient des cloisons épaissies et des
vaisseaux
dilatés. Par places les espaces périvasculaires
don latéral gauche est plus mince que le droit. Les cloisons et les
vaisseaux
semblent être élargis ; de même les espaces pér
tout à fait bien conservée. Les cloisons sont partout élargies, les
vaisseaux
dilatés, les cellules nerveuses en petite quantit
ement à la tumeur. On.a aussi constaté l'augmentation du nombre des
vaisseaux
dans la substance grise aussi bien que dans la
dans quelques segments au-dessous et au-dessus de ce ni- veau. Les
vaisseaux
sont dilatés, gorgés du sang.Pas de signes d'infl
des raies claires. Ce sont des cloisons élargies qui renfei ment des
vaisseaux
dila- tés et gorgés de sang. Les parois vascula
de sang. Les parois vasculaires sont un peu épaissies. Le nombre de
vaisseaux
de la substance grise est augmenté. Méninges sans
aces de pro- cessus inflammatoire. Les cloisons sont épaissies. Les
vaisseaux
sont dila- tés. Les racines adhérentes à la tum
; masses rondes, produit de dégénérescence des fibres ner- veuses ;
vaisseaux
dilatés remplis de sang. A part çà on remarque de
.res) et dans les antérieurs (le fond et le centre en partie). Les
vaisseaux
en nombre augmenté. Pas de lésion inflammatoire
cordon latéral gauche. - 2. Foyer alvéolaire. 3. Foyer en coin. 4.
Vaisseaux
dilatés. 5. Foyer en coin. 6. Foyer alvéolaire.
ère, dure à la palpation ; le tissu cérébral ambiant est ramolli. Les
vaisseaux
sur la base 'du cerveau sont sclérosés. On ne t
es cloisons sont épaissies, surtout celles des cordons postérieurs.
Vaisseaux
en nombre augmenté. Ils portent des lésions spé
isinage sont en partie intactes, en partie fortement dégénérées.Les
vaisseaux
lésés spécifiquement (parois épaissies, endartéri
. Les racines sont fortement dégénérées (en grand nombre). Certains
vaisseaux
(des méninges) sont excessivement modifiés, les p
re est soudée à la moelle ; elle est peut-être un peu épaissie. Les
vaisseaux
présentent des lésions spécifiques. L'arachnoïde
cordons postérieurs ; quelques racines dégé- nérées en partie ; les
vaisseaux
présentent des altérations spécifiques ; névro-
ture caractéristique pour les gommes et les lésions spécifiques des
vaisseaux
et des méninges. Les lésions les plus prononcée
gomme intra-médullaire ou dans le tissu de la moelle épinière. Les
vaisseaux
présentent des lésions spécifiques non seulement
ode de Weigert des contours des gommes, des méninges épaissies, des
vaisseaux
ayant des modifications spécifiques. Il faut soul
OLONNE VERTEBRALE 361 1 tale une forte infiltration cellulaire, des
vaisseaux
épaissis et des foyers de tissu conjonctif. L
enne (on y voit une grande gomme) ; on constate un nombre énorme de
vaisseaux
. Les cylindraxes y sont conservés. Dans certain
assez pointus, pénètrent de la péri- phérie vers la profondeur. Les
vaisseaux
par contre avaient des lésions profondes et bie
r le pigment, ses grains s'accolent à elles. En ce qui concerne les
vaisseaux
, nous pouvons dire que les pigments se trouvent d
rtant indiquer une cer- taine prédilection de ces éléments pour les
vaisseaux
. Dans les méninges molles il y a aussi accumula
on a constaté des troubles vasomoteurs : c'était une paralysie des
vaisseaux
des membres (le syndrome de Baynaud ou l'érytl1
lus ou moins vides apparaissant au sein du tissu névroglique. Les
vaisseaux
étaient dilatés (aussi bien dans la moelle que da
tes ou à peine démyélinisées. Méninges sans lésions évidentes, avec
vaisseaux
dilatés. Il faut tout spécialement insister sur
lésions secondaires, c'est-à- dire produites par la compression des
vaisseaux
sanguins. " " La compression immédiate exercée
supposer que d'autres agents y jouent un rôle. , La compression des
vaisseaux
sanguins a une grande importance ; ce' fait est
ut. La pie-mère est très épaissie, opaque, et anormalement riche en
vaisseaux
sanguins. Une plaque cica- tricielle très saill
rmale ; on observe seu- lement sur les joues une quantité de petits
vaisseaux
ectasiés, tels qu'on les voit constamment chez
n ne constate pas de per- sistance thymique ni d'aplasie des grands
vaisseaux
. Abdomen. -Le ventre est arrondi, mais à peine
n, le nerf est cloisonné par des bandes fibreuses, centrées par des
vaisseaux
à paroi épaissie, mais il ne semble pas qu'il y
e. Le tissu sous- pie-mérien du chiasma est légèrement épaissi, les
vaisseaux
méningés sont légèrement sclérosés, autour de q
int ; la peau et ses annexes, les tendons, le tissu cellulaire, les
vaisseaux
et les nerfs sont cliniquement intacts. Le doigt
n des tissus qui vont former la main de l'embryon, à une lésion des
vaisseaux
ou du système nerveux ? » (Polaillon, in Die. Dec
ndantes, il est vraii, mas on peut toujours les calmer en liant les
vaisseaux
ou tamponnant assez lonclemps.11 faut éviter l'em
e la façon suivante : Tout d'abord elles sont orientées autour d'un
vaisseau
, et d'un vaisseau malade. Les altérations vascu
e : Tout d'abord elles sont orientées autour d'un vaisseau, et d'un
vaisseau
malade. Les altérations vasculaires sont surtou
et altérées. Un second point est la richesse des plaques en petits
vaisseaux
et en néo- vaisseaux. Ces capillaires sont dila
nd point est la richesse des plaques en petits vaisseaux et en néo-
vaisseaux
. Ces capillaires sont dilatés et gorgés de sang.
tion (PI. LXIX). Beaucoup de ces fibrilles se condensent autour des
vaisseaux
et se termi- nent dans leurs parois. Il existe
nante, sont formées par des fibrilles denses et serrées autour d'un
vaisseau
et se détachent au contraire en plus foncé sur
e, mais on en rencontre cependant encore un assez grand nombre. Les
vaisseaux
, plus volumineux, présentent également une moin
indique un processus de réaction à la périphé- rie des plaques. Les
vaisseaux
sont en ces points dilatés, gorgés de sang et p
en existait, en certains points, un nombre considérable autour des
vaisseaux
. Certaines plaques vraisemblablement jeunes, ét
cette région a été surtout soutenue par Borst (2). L'altération des
vaisseaux
, l'infiltration cellulaire de leur gaine, joue
ns la zone sous-épendymaire et particulière- ment dans la gaine des
vaisseaux
, dans les cralnespéi-iveliietises.11 est donc l
e dif- férencier. Les unes nettement périvasculaires,entourant un
vaisseau
dont la gaine est infiltrée de cellules rondes,
le fond de la préparation, convergeant souvent vers les parois d'un
vaisseau
. C'est là le type des petites plaques à distance
nt plus profondément, la localisation dépendant de la situation des
vaisseaux
. Les autres caractères fournis sur les diverses
lésions syphilitiques microscopiques dont la tunique médiane de ce
vaisseau
est parfois le siège. ' L' aortite moyenne gomm
tant dans les parois de l'aorte que dans l'écorce cérébrale et ses
vaisseaux
. Microscopie : Mésaortite gommeus(f1oride. 4"
TE MOYENNE GOMMEUSE FLORIDE. - 1 faible grossissement. -La paroi du
vaisseau
est augmentée d'épais- seur, cette tuméfaction
t des amas bien circonscrits de petits noyaux dans le voisinage des
vaisseaux
, dans le tissu conjonctif et autour des faiscea
oyers sont ici plus circonscrits et localisés aux abords des petits
vaisseaux
. On peut très bien suivre la marche envahissant
très épaissie et la tuméfaction progresse du côté de la lumière du
vaisseau
, repoussant ainsi la tunique intime devant elle
si à la produc- tion de tissu connectif enflammé qui accompagne les
vaisseaux
qui ont pénétré dans cette membrane et dont on
qui fait hernie et refoule l'intime à l'intérieur de la lumière du
vaisseau
. L'élastique externe est mieux conservée elle e
sous les yeux le stade terminal de l'in- flammation syphilitique du
vaisseau
. Le tissu de granulation s'est organisé et a fo
de foyers leucocytaires, le plus souvent le long ou au pourtour des
vaisseaux
oblitérés. Quelques fusées leucocytaires s'ob-
gommes, le plus souvent microscopiques avec cel- lules géantes. Les
vaisseaux
sont le siège d'inflammation oblitérante de l'a
aissance à des cicatrices minus- cules qui rétractent les parois du
vaisseau
; et d'autre part des gommes typiques. Cette
en plutôt la forme cicatri- cielle évoluée que l'on observe dans ce
vaisseau
chez les paralytiques généraux. C est précisé
ologiques en pleine activité, soit des gommules dans la paroi de ce
vaisseau
. Mais à côté de ces lésions on rencontre aussi
'une lésion vasculaire ancienne : pie- mère' épaissie et adhérente,
vaisseaux
sanguins oblitérés, granules d'hématoï- dine, e
trigone, entre celui-ci et la circonvolution limbique, d'un amas de
vaisseaux
choroïdiens évidemment dérivés du plexus du trois
centuées. Le revêtement épendymaire 642 ARCHAMBAULT est rempli de
vaisseaux
sanguins altérés et présente un contour irréguliè
sont saines et quelques-unes en voie de dégénérescence. Méninges.
Vaisseaux
. La pie-mère est notablement épaissie ainsi que
ue la couche sous pie-mérienne sur tout son pourtour ; la paroi des
vaisseaux
des méninges présente un phénomène du même ordr
être considérées comme sdines. L'épaississement des méninges et des
vaisseaux
est manifeste. FI ? 7. - Moelle cervicale supéi
pourrait-on pas voir dans certaines idées de notre malade (que les
vaisseaux
ne marchent plus, que les ouvriers ne travaille
ient, à raison des rapports de voisinage très étroit du nerf et des
vaisseaux
, être attribués plutôt aux troubles de l'appare
arties du centre ovale des deux côtés. Le microscope montre que les
vaisseaux
sont gorgés de sang ; les leu- cocytes se press
ramifications vasculaires; en quelques endroits on voit autour des
vaisseaux
de l'infiltration nucléaire; en d'autres, hémor
, ne présente que çà et là quelques petites hémorrhagies autour des
vaisseaux
et de l'infiltration nucléaire. Etiologie incon
ue. Dans la peau on trouve des infiltra- tions en îlots, autour des
vaisseaux
, avec des bacilles dans les infil- trations réc
hogénique de ces faits doit être cher- chée dans l'inflammation des
vaisseaux
et la moindre résistance de la cellule cérébral
nce grise, sur le tissu de soutènement, sur les enveloppes et les
vaisseaux
. Passons successivement en revue chacun de ces
issu de sclérose avec les organes de soutien, la névro- glie et les
vaisseaux
. 86 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b) La substance
substance gélatineuse de Rolando. c) Enveloppes tissu de soutien.
Vaisseaux
. La dure- mère est habituellement normale. La p
ettent en contact avec la pie-mère, et semblent rayonner autour des
vaisseaux
. - Les vaisseaux sont toujours altérés. Général
vec la pie-mère, et semblent rayonner autour des vaisseaux. - Les
vaisseaux
sont toujours altérés. Généralement, ils sont p
la région postérieure. Il n'est pas rare, cepen- dant, de voir des
vaisseaux
spinaux antérieurs très malades. Les artères so
blanche du segment posté- rieur. Elles sont très accusées dans les
vaisseaux
des cornes antérieures, de la colonne de Clarke
peut être sous l'influence et postérieure- ment à l'altération des
vaisseaux
, avec lesquels le Golgi nous la montre affectan
ature syphilitique, parce que le microscope nous a montré, dans les
vaisseaux
médullaires, de l'artérite et de la phlébite su
n des centres convul- sifs chez les prédisposés, en contractant les
vaisseaux
cérébraux par l'intermédiaire des centres vaso-
farcis d'hématies; une accumulation de cel- lules rondes autour des
vaisseaux
et dans le tissu ambiant ; une encéphalite aigu
chez lui les signes de l'alcoolisme chronique (injection des petits
vaisseaux
sanguins de la face dilatés, tremblement de la
sclérodermie, où elle s'explique par obstacle à la circulation des
vaisseaux
afférents, par la compression mécanique due à l
nurie est due à une convulsion tonique des tuniques musculaires des
vaisseaux
des reins précédant l'accès d'épilepsie il la m
: 17 millimètres sur 24) est occupé par un tissu néoformé, riche en
vaisseaux
et en travées conjonctives, adhérant à la dure-
lobules rouges et une substance granuleuse indistincte; ce sont des
vaisseaux
eu pleine dégénèration hyaline. A ce niveau n
eu pleine dégénèration hyaline. A ce niveau nous voyons aussi des
vaisseaux
qui ont subi un autre genre de métamorphose rég
seaux de calibre en forme des anneaux calcaires. Alais outre les
vaisseaux
dégénérés, ce stroma fibreux contient encore de n
lules sarcomateuses sont moins abon- , danies et où prédominent les
vaisseaux
dégénérés et des blocs 1 1 0 Ii Hyalins. Au c
sont séparés par de larges bandes conjonctives contenant d'énormes
vaisseaux
à parois très épaissies et infiltrées. La moe
dégénérescence hyaline; tout ce tissu est excessive- ment riche en
vaisseaux
à parois épaissies, pour la plupart aussi hyali
nes très larges et infiltrées portant une quantité innom- brable de
vaisseaux
; plusieurs tubes nerveux atrophiés, par places
oi on voit un anneau de névroglie très dense, infiltrée et riche en
vaisseaux
; cette couche contient aussi le canal central
tissu névroglique très dense, riche en faisceaux conjonctifs et en
vaisseaux
. A ce 170 - CLINIQUE NERVEUSE. niveau nous
de quantité SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 'lÎ'1 de
vaisseaux
à parois épaissies, les uns offrant encore une pe
térieur en forme d'un mince filet. Le stroma est traversé d'énormes
vaisseaux
, à parois infil- trées, remplis de sang ; en pl
sent sous des directions variées; tout ce territoire est parsemé de
vaisseaux
à parois fibreuses. Sur les différentes coupes
que dans le segment précédent. Hyperémie énorme de toute la moelle,
vaisseaux
de dimensions extraordinaires. Le canal central
rilles névrotiques et du tissu conjonctif; quantité considérable de
vaisseaux
, par places petits foyers hémorrhagiques. Il y
ntrale 176 CLINIQUE NERVEUSE. on voit la néoformation, riche en
vaisseaux
et en foyers hémorrba- giques ; elle embrasse l
les fentes lymphatiques, entourer en anneau les capillaires et les
vaisseaux
de calibre ; et à l'état normal, on trouve à ce
uve à ces endroits un cndothélium (dans les gaines lymphatiques des
vaisseaux
, on les nomme périthé- lium); l'état morbide co
e dernier nom fait valoir une connexion entre la néo- plasie et les
vaisseaux
; elle était bien intime dans tous les cas, ce
us les cas, ce qui n'est guère étonnant vu la grande abondance de
vaisseaux
dans le tissu (pie-mère) où prend naissance la né
end naissance la néo- plasie. Dans notre observation la quantité de
vaisseaux
dans la tumeur était colossale ; à plusieurs en
n aurait cru voir un tissu caverneux. Mais en ce qui concerne les
vaisseaux
notre observation reste isolée : les auteurs dé
ui s'émiette ensuite en des blocs amorphes. Nous trouvons aussi des
vaisseaux
en pleine dégénération calcaire. Il est à noter
le tissu nerveux. Ainsi dans la partie inférieure de la tumeur les
vaisseaux
et les cordons hyalins -sont limités presque ex
périphérique et centrale, c'est dans celle-ci que nous trouvons les
vaisseaux
hyalins, tandis que dans celle-là les lésions v
et détruit par un oedème. Tout le territoire de la gliose abonde en
vaisseaux
à lu- mière très rétrécie ou même complètement
ès rétrécie ou même complètement oblitérée ; par places on voit ces
vaisseaux
changés en cordons fibreux, par- ticiper à la f
ellules conjonctives du tissu conjonctif et des tuniques des petits
vaisseaux
, les cellules nerveuses et leurs prolongements
iques dites systématiques, on ne voit pas davantage que le rôle des
vaisseaux
soit primordial. Dans les dégé- nérescences pri
gaires et n'atteignent, au début tout au moins, que les plus petits
vaisseaux
. Archives, 2° série, t. VI. 16 242 SOCIÉTÉS
ne est en état de méiopragie d'origine artérielle. Si le calibre du
vaisseau
arrive jusqu'à l'oblitération, comme les artère
ce défaut de nutri- tion sera la mort du territoire irrigué par le
vaisseau
, la nécro- biose des éléments. Ces faits de sim
evant de foyers de ramollissement multiples par artérite des petits
vaisseaux
, nous signalerons une hémiplégie qui est le fai
d'eudarlérite annulaire ayant diminué considérablementlalumière du
vaisseau
. Voici donc deux lésions éloignées, oedème des
équemment et pour ainsi dire sous nos yeux dans l'artérite des gros
vaisseaux
, et particulièrement dans l'artérite fémorale.
niveau du pli du coude gauche, d'un coup de couteau. La ligature du
vaisseau
fut faite le même jour; il en résulta une paralys
isséminées dans la substance céré- brale, placées sur le trajet des
vaisseaux
sanguins ; b) d'autres cel- lules, deux fois pl
ès délicats et un ou plusieurs prolongements épais s'attachant à un
vaisseau
voisin. L'auteur pense que ces cellules tirent
eur pense que ces cellules tirent leur origine de l'endothélium des
vaisseaux
sanguins et qu'elles passent par des stades de tr
eur commun. Forte hypérémie partielle de la moelle ; les parois des
vaisseaux
y sont peu altérées, mais le tissu interstitiel
ur les cellules nerveuses; 3° sur les méninges, la névroglie et les
vaisseaux
. On n'est pas encore arrivé à affirmer par l'hi
l'appareil cardio-vasculaire. Un désordre initial du coeur et des
vaisseaux
, survenu sans aucune représentation psychique pré
es parties périphériques de la tumeur sont riches en cellules et en
vaisseaux
à parois épaissies ayant subi la dégénérescence
, la face jaunâtre, les pommettes marbrées d'un lacis très serré de
vaisseaux
violacés, l'oeil fixe et vague gar- dant un mut
rempli de caillots en partie organisés se prolongeant dans les gros
vaisseaux
. Les poumons sont entièrement congestionnés.
nts, ne se laisse pas colorer par la méthode de Pal et renferme des
vaisseaux
sans paroi propre. Sa situation, ses caractères
as être considé- rées comme secondaires à l'âge, aux conditions des
vaisseaux
, à l'installation ou à la marche de la maladie
es dans la substance grise et plus souvent entourent ou côtoient un
vaisseau
d'un certain- calibre. Sauf sur quelques points,
ents. Un second élément important de ces foyers est formé par les
vaisseaux
. On trouve toujours au milieu ou à côté du foyer
les tuméfiées, arrondies et proéminant fortement vers la lumière du
vaisseau
. Quelques cellules même sont en état de pro- li
léments cellulaires quelconques. - Daus la paroi de certains gros
vaisseaux
nous avons constaté des cristaux d'hômatine ves
e nerveuse, s'adap- tant exactement à la conformation extérieure du
vaisseau
, a dû précéder la modification régressive de la
blanclie. Elles sont constituées par deux éléments principaux : les
vaisseaux
et les cellules névrogliques. A certains endroi
duquel on ne distingue que de nombreuses cellules de neuroglie. Les
vaisseaux
d'un certain calibre présentent les mêmes modif
deux ou plusieurs pro- logements qui se mettent en rapport avec les
vaisseaux
. Les pro- longements vasculaires abordent le va
ort avec les vaisseaux. Les pro- longements vasculaires abordent le
vaisseau
soit parallèlement, .soit obliquement, mais le
r l'adventice du vais- seau. Quand le prolongement est parallèle au
vaisseau
, il se con- fond avec les couches externes de l
- sieurs petits \aisseaux à paroi fortement proliférée. Autour du
vaisseau
, comme un peu partout dans le foyer, on rencontre
nière quand les foyers siègent à la limite des deux substances. Les
vaisseaux
présentent pour la plupart les mêmes altérations
formes que prennent les leucocytes lors de leur migration hors des
vaisseaux
dans l'iullammation hématogène. D'autrefois ell
nt quelquefois sont épais, à contours vagues et en rapport avec les
vaisseaux
ambiants. A part les agglomérations, ces ceilul
sons cet exa- men d'abord pour la région rolandique inférieure. Les
vaisseaux
jouent ici le rôle important et nous les prenon
es consistent en l'épaississement considérable de l'adven- tice des
vaisseaux
. A certains endroits, elle dépasse en épaisseur
yaux sont très bien colorés et visibles. L'endo-- tliélium des gros
vaisseaux
ne parait pas altéré. Ces derniers ren- ferment
beaucoup de sang, et leur paroi des cristaux d'hématine. Autour des
vaisseaux
la substance fondamentale n'est nullement altér
En effet, à part le léger épaississement de l'adventice de quelques
vaisseaux
, nous n'y avons rien trouvé de bien anor- mal.
menteux quelquefois'. Peu ou pas de substance fondamen- tale. Les
vaisseaux
présentent de la prolifération de leur paroi. J
ènes : hyperémie, accumulation de globules blancs dans la gaine des
vaisseaux
et dans les tissus. On n'y trouve pas de corps
Wernicke chez les alcoo- liques. Ces derniers ont la paroi de leurs
vaisseaux
très altérée, fragile, et de simples hypérémies
part aucun vestige de corps pigmenlaires. La paroi vasculaire (gros
vaisseaux
, capillaires) ne présente aucune des altéra- ti
s le tissu périvasculaire, la présence d'hématies dans la paroi des
vaisseaux
, la dégénérescence rapide des cellules nerveuse
acté des rapports très intimes avec les capillaires et les petits
vaisseaux
. Certaines de ces cellules, en état de modificati
tions progressives, sont en effet accolées par une large base aux
vaisseaux
. La figure 3 en donne le dessin exact. Il ne faut
lu invoquer les rapports directs des cellules névrogliques avec les
vaisseaux
comme un fait plaidant en faveur de la parenté
rien autre d'anormal qu'un faible épaississement de l'adventice des
vaisseaux
et peut-être l'atrophie d'un certain nombre de
ondamentale. En second lieu seulement nous voyons l'endothélium des
vaisseaux
et les cellules névrogliques pro- liférer. La p
de la névroglie vis-à-vis de l'agent inflammatoire apporté par les
vaisseaux
. Dans ces foyers, avant toute extravasation des
ant sanguin. La preuve en est donnée par'l'altération prononcée des
vaisseaux
san- guins, même en dehors de la région inflamm
des ; c g, cellules nerveuses com- plètement dégénérées; ! ), petit
vaisseau
à adventrice proliférée ; f r, dissolution de l
ale, et à ne respecter qu'un très mince pédicule contenant quelques
vaisseaux
; cette ingénieuse manoeuvre (maneg- gio) ayant
moelle épinière, même en ce qui regarde les mouvements réflexes des
vaisseaux
sanguins. Le temps de réflectivité vasculaire d
ui va en diminuant du cerveau au bras et est inappréciable dans les
vaisseaux
du membre inférieur. Les mouvements du sang dans
ides ; c g, cellules nerveuses com- plètement dégénérées ; v, petit
vaisseau
à adventrice proliférée ; f r, dissolution de l
e ont pour premier élément le dé-veloppement anévrismatique de petits
vaisseaux
sanguins. C'est le nom générique donné à des tume
ve. Comme caractère commun, l'un et l'autre sont formés par de petits
vaisseaux
qui, procédant de la gouttière oculo-palpébrale d
seul l'hémisphère supérieur. Le ptérygion renferme un épais lacis de
vaisseaux
variqueux convergens de l'angle interne de l'œil
ar un sommet unique ou bifide ( Beer, Weller). Suivant M. Sichel, ces
vaisseaux
ne s'anastomosent pas entre eux : observation que
emore, le ptérygion ne consiste pas seulement dans l'existence de ces
vaisseaux
et forme comme une membrane distincte par une séc
re la transparence et l'opacité, suivant le volume et l'épaisseur des
vaisseaux
qui la re-couvrent. Néanmoins le pannus n'est pas
trois millimètres et comptait sur l'atrophie pour la destruction des
vaisseaux
, au con-tour et sur la cornée, après les avoir in
la maladie, dans son état le plus avancé, peut être alimentée par des
vaisseaux
nouveaux venus de la profondeur de la cornée, con
offre peu de résistance, surtout en arrière, et est parcourue par les
vaisseaux
et nerfs sous-orbitaires. 3° La paroi externe ou
le plus déclive de sa cavité ; 2° on n'a pas à craindre la lésion des
vaisseaux
et nerfs sus-orbitaircs. Mais souvent il existe
ndante; mais, comme elle ne se produit qu'en nappe par de très petits
vaisseaux
, elle ne tarde pas à s'arrêter d'elle-même par la
rois lambeaux, un peu seulement le vertical supérieur pour éviter les
vaisseaux
et les nerfs dans la fosse canine;mais dans toute
s de leurs insertions, privés d'une partie de leurs nerfs et de leurs
vaisseaux
naturels, et placés dans des directions plus ou m
ire qui, vu l'encastre-ment de la glande et le nombre considérable de
vaisseaux
et de nerfs qu'elle renferme, devrait amener les
et la veine jugulaire externes qui fournissent dans cette étendue les
vaisseaux
maxillaires internes et auriculaires postérieurs,
x maxillaires internes et auriculaires postérieurs, outre de nombreux
vaisseaux
parotidiens; 2° dans le diamètre hori-zontal, par
reux temporo-maxillaire au travers de la glande et par conséquent des
vaisseaux
et des nerfs. Et cependant il ne s'est présenté q
lle on déchire les adhérences celluleuscs sans craindre de couper les
vaisseaux
et les nerfs. Parvenu derrière la branche de la m
ssité absolue des organes im-portans, comme la situation profonde des
vaisseaux
et des nerfs s'oppose à ce qu'ils puissent être d
it eu pour conséquence une hémorragie d'autantplus redou-table que le
vaisseau
rétracté ne put être lié et mit le chirurgien dan
on angle, et le plan du muscle mylo-hyoïdien ; circonscrite entre les
vaisseaux
faciaux à son bord supérieur, et ceux de la langu
l'isoler par excision et déchirure, en prenant garde d'intéresser les
vaisseaux
voisins, et achever de la séparer en quelque sort
le pinçant entre les doigts, on sent à sa base, où il s'élargit, les
vaisseaux
compris dans son épaisseur et au devant desquels
qui connaît déjà le danger de l'hémorrhagie, et avertit d'éviter les
vaisseaux
. Cette crainte préoccupe après lui les chirurgien
ésentent de tous côtés les organes environnans, les nerfs et les gros
vaisseaux
du cou, la trachée-artère et l'œsophage. La proxi
goitre ancien ; mais par contre, M. Brodie a lié en même temps, deux
vaisseaux
thyroïdiens, sans obtenir aucune diminution de la
ant et agissant avec beau-coup de précaution, pour ne pas blesser les
vaisseaux
et les nerfs. Quand on se trouve arrêté, et qu'il
ive de l'extirpation, quand il ne reste qu'un pédicule fourni de gros
vaisseaux
, dont la section pourrait avoir des dangers, la l
en arrière, si la tumeur est d'un grand volume, se trouvent les gros
vaisseaux
du cou, et les nerfs pneumogastriques, grands sym
c'est alors qu'il place ses ligatures partielles pour obli-térer les
vaisseaux
, et pouvoir immédiatement séparer la tumeur, sans
tère thyroïdienne de Neu-bauer, quand elle existe. La présence de ces
vaisseaux
cause, au point de vue anatomique, la plus grande
e conseil, et je crois que le plus prudent est de lier rapidement les
vaisseaux
divisés. La plaie étant immédiate-ment abstergée,
a respiration est encore assez facile, on a tout le temps de lier les
vaisseaux
. Ce parti nous paraît donc le meilleur et le plus
le sang coule et soit aspiré dans ce canal, soit qu'il provienne d'un
vaisseau
préalablement divisé que l'on n'au-rait pas recon
t la base de l'épiglotte. Les parties qu'il importe d'éviter sont les
vaisseaux
et le nerf laryngés supérieurs situés le long du
le tranchant du bistouri en arrière et en haut, inciser au-dessus des
vaisseaux
laryngés, dans la même direction transversale , l
tide primitive , fait tomber assez pré-cisément sur la gaine des gros
vaisseaux
: on les écarte en arrière, et l'œsophage se trou
faut redoubler d'attention : en ar-rière se trouve la gaîne des gros
vaisseaux
, l'artère carotide et la veine jugulaire interne,
rimer d'une main, réservant l'autre pour appliquer les doigts sur les
vaisseaux
coupés, si la compression du tronc principal n'es
; un aide intelligent surveille la marche du bistouri. Ame-sure qu'un
vaisseau
est coupé il y applique un doigt, éparpillant ain
r externe et supérieur ou axillaire de la plaie, d'où proviennent les
vaisseaux
, en même temps qu'un autre aide, concourant au be
evant au-delà dans les tissus sains. i" S'il existe sur le trajet des
vaisseaux
des glandes lymphatiques altérées, on les enlève
ncision. Ces chapelets glandulaires affectent les deux directions des
vaisseaux
thoraciques : en bas sur le grand dentelé, dans l
. Avant de les séparer, il est bon de lier préalablement en masse les
vaisseaux
au-dessus. Quant aux glandes axillaires, trop élo
tuées en amas dans le creux axillaire, sur le grand dentelé, les gros
vaisseaux
et le plexus branchial dont elles ne sont séparée
ns. On élève fortement le bras en haut et en dehors, pour écarter les
vaisseaux
et les nerfs, et on détache les adhérences cellul
chirurgicale, pl. *• définitive , de lier en niasses au-dessus, les
vaisseaux
thoraciques longs, dont on fait la section sous l
ue ou dé-chirure spontanée, la situation profonde ou superficielle du
vaisseau
, artère ou veine, qui a donné lieu à l'hémorrhagi
s'est écoulé un temps suffisant pour donner lieu à l'oblitération des
vaisseaux
et seulement aussi, dit M. Vel-peau, dans les cas
Il sert d'appui verticalement sur chacune de ses faces latérales, aux
vaisseaux
diaphragmatiques supérieurs; des arté-rioles four
comme la plus probable, l'accumulation du sang qui se fait clans les
vaisseaux
abdomi-naux, devenus libres tout-à-coup, tandis q
é. On doit avant l'opération essayer de recon-naître le trajet de ces
vaisseaux
pour les éviter. Néanmoins lors-que la ponction é
'assurer s'il est artériel ou veineux et s'il dépend delà lésion d'un
vaisseau
des parois du ventre. Dans ce dernier cas, Petit-
ne trouve sur le trajet de l'instrument que des tissus fibreux et des
vaisseaux
de très petit volume. Procédé opératoire. Le ma
incision, au reste, n'est pas indifférent. C'est dans l'espace où les
vaisseaux
sont le moins volumineux, qu'il convient d'ouvrir
ties herniées se soient gonflées par l'afflux des liquides dans leurs
vaisseaux
, il arrive fréquemment qu'une portion ou la tota
e les points sont plus déclives; 3° D'éviter les trajets connus des
vaisseaux
et des nerfs. Appareil instrumental. Il est le
urd'hui mieux vaudrait avoir recours aux mâchures et à la torsion des
vaisseaux
lésés. Les choses étant à ce point, de la main
les ; elle a beaucoup discuté sur la manière d'éviter la blessure des
vaisseaux
pendant l'opération du débridement, et sur l'agen
ac. Après la réaction inflammatoire qui résulte de la compression des
vaisseaux
sanguins dans l'intestin ou dans l'épiploon , arr
artère épigastrique et l'ombilicale oblitérée chez l'adulte. Ces deux
vaisseaux
rampent, en bas et en arrière du canal, entre le
t-à-dire le canal déférent, l'artère et les veines sper-matiques, des
vaisseaux
lymphatiques et des filets nerveux ; le tout entr
te, le ligament de Gimbernat, et dans l'angle externe se trouvent les
vaisseaux
fémoraux. On remarque que l'anneau crural est plu
fémo-rales , la première en dehors et la seconde en dedans. Ces deux
vaisseaux
sont enveloppés d'une gaine qui est un dédoubleme
uver un canal dans la région, ce serait cette gaine, par laquelle les
vaisseaux
fé-moraux sont conduits du bassin à la cuisse, qu
bassin à la cuisse, qu'il faudrait ainsi désigner. Les rapports des
vaisseaux
avec le pourtour de l'anneau cru-ral doivent être
le bistouri légèrement en arrière, on diviserait infailli-blement ce
vaisseau
. L'artère épigastrique côtoie de bas en haut la p
interne de l'anneau. H résulte donc de ces rapports qu'on trouve des
vaisseaux
sur presque tous les points du pour-tour de l'ann
xiste plus. Le seul point où nous n'ayons pas si-gnalé la présence de
vaisseaux
importans, est le côté interne, vers le ligament
n effet, ce côté est libre dans le cas d'une distribution normale des
vaisseaux
; mais il n'est pas rare de voir l'artère obturatr
t la chute du cor-don, les débris de celui-ci, c'est-à-dire les trois
vaisseaux
ombi-licaux entourés de tissu cellulaire, se cica
entre, les ligamens fibreux qui résultent de l'oblitération des trois
vaisseaux
du cordon, adhèrent fortement tant au péritoine q
., vol. 22e, p. 5y) a démontré le peu de solidité de ces raisons. Les
vaisseaux
ombi-licaux, à leur sortie du ventre pour entrer
meur, où elle est remplacée par la mem-brane externe du cordon. Les
vaisseaux
ombilicaux sont ordinairement étalés autour du pé
nie accidentelle, soit des jeunes enfans, soit de l'adulte, les mêmes
vaisseaux
, réduits à de simples tractus fi-breux, n'existen
ec faveur, puisqu'elle n'expose point le chirurgien à la blessure des
vaisseaux
que peut rencontrer l'instrument tran-chant. Le c
rnie crurale chez l'homme, parce que, ici, la difficulté d'éviter les
vaisseaux
est plus marquée que partout ailleurs. Cependant
e, pour l'étendue relative à donner à la section, sur le voisinage de
vaisseaux
artériels qu'il est impor-tant de ménager. La cra
est une raison de médiocre valeur; mais le précepte de s'éloigner des
vaisseaux
dont la lésion est capable de causer une hémorrha
à cette partie. Sans doute il n'est pas tou-jours besoin de lier ces
vaisseaux
, et le sang qu'ils peuvent fournir n'est pas touj
iploon, le couper d'un bord à l'autre, et à mesure qu'on aperçoit des
vaisseaux
les lier isolé-ment. Enfin, on peut se demander s
accidens sont principalement la blessure de l'intestin et celle d'un
vaisseau
qui peut donner lieu à une hémorrhagie. On est ex
nies. Nous donnerons les règles à suivre pour éviter la bles-sure des
vaisseaux
, en décrivant l'opération pour les diverses espèc
et toujours , en dedans ou en dehors, on devra s'exposer à ouvrir ce
vaisseau
et à causer ainsi une grave hémorrhagie. Plusieur
rtère soit placée en dedans ou en dehors, ou même que par anomalie ce
vaisseau
soit double, on débride parallèlement à sa direct
sont en dehors et en haut, l'épigastrique, directement en dehors, les
vaisseaux
iliaques, en haut et en dedans chez l'homme, l'ar
que et la testiculaire , et s'il existe une distri-bution normale des
vaisseaux
de la région, on ne court aucun dan-ger d'hémorrh
rter le débridement en haut et à gauche, afin d'éviter les débris des
vaisseaux
ombilicaux, et de l'ouraque qui sont situés en se
postérieur du canal sous-pubien, on aurait à éviter les nerfs et les
vaisseaux
obturateurs. Or, il a été reconnu, d'après une pi
la courbure de la tige. Troisième temps. Après s'être assuré qu'aucun
vaisseau
n'existe sur le point qui va être per- t. vji.
es chirurgiens sont parvenus à respecter le cordon, le testicule, les
vaisseaux
et même le péri-toine. Mais à quoi sert toute cet
lombes, ne l'est pas; viennent ensuite le carré des lombes, puis des
vaisseaux
et des nerfs; enfin, plus profondément encore, le
énito-crurale et inguino-cutanée, il n'existe dans cette région aucun
vaisseau
et aucun nerf important qu'on doive craindre de c
s les pents enfoncemens dé-terminés par les brides cellulaires et les
vaisseaux
, et harmoniant les mouvemensdu stylet avec ceux d
s, les choses se compliquent; par suite del'engor-gement habituel des
vaisseaux
hémorrhoïdaux, des constipations qui en résultent
es veines anales ( Ribes) ; la transformation d'un caillot de sang en
vaisseaux
( Abernethy ) ; une hypertrophie de plexus veineu
ct spongieux ou fongueux. Les polypes mous, pourvus d'une quantité de
vaisseaux
plus ou moins consi-dérables, sont les plus fréqu
i environ que plus haut, où le doigt suffit pour les disséquer. Les
vaisseaux
qu'on divise pendant l'opération donnent beau-cou
s pour séparer l'intestin des organes génito-urinaires, et on lie les
vaisseaux
à mesure qu'on les ouvre. Lorsque la dissection
'hémorrhagie, si elle se montrait. quoiqu'on oui (ail la ligature des
vaisseaux
pendant la dissection à mesure qu'on les divisait
l'extirpation et de produire l'atrophie du testicule en divi-sant ses
vaisseaux
artériels ou son canal déférent. Ainsi M. Mau-noi
é ordinaire, coupent le cordon en totalité avant de lier aucun de ses
vaisseaux
; d'autres en opèrent la ligature en masse avant d
ent la ligature en masse avant de le couper; d'autres enfin lient les
vaisseaux
isolément à mesure qu'ils les coupent. Dans le
touri près des doigts de l'aide , et l'on pro-cède à la recherche des
vaisseaux
qu'on lie isolément. Quelques chirurgieria préfèr
e à reconnaître à sa dureté; de l'isoler, de glisser entre lui et les
vaisseaux
un bistouri pour les couper, sans toucher au cond
portion, qui lui sert à retenir le tout au dehors, ne contient pas de
vaisseaux
importans. Lorsqu'il n'en est pas certain, il ne
gature en masse. On a reproché au procédé de la ligature isolée des
vaisseaux
, après la séparation de la tumeur, d'exposer à la
e, parce que ayant exercé pendant long-temps des tiraillemens sur les
vaisseaux
testiculaires et le canal déférent, ceux-ci se so
le se desserrait, et pou-vait permettre au sang de s'échapper par les
vaisseaux
encore perméables. Mais la plupart de ces reproch
. Lorsqu'on arrive près du péritoine, de l'artère épigastrique et des
vaisseaux
iliaques, il faut user de grandes précautions pou
n terminée, il faut procéder à la torsion ou mieux à la liga-ture des
vaisseaux
delà plaie, ce sont de petits rameaux ve-nant des
après l'opération et dépend de ce qu'on a omis la ligature de petits
vaisseaux
divisés, qui, revenus de l'état de spasme où ils
faire l'appareil pour s'assurer d'où elle pro-vient, et pour lier les
vaisseaux
qui y donnent lieu. a° On voit quelquefois surven
ure de la verge, avec la précaution de n'offenser ni l'urètre, ni les
vaisseaux
qui rampent sur le dos de la verge, ni les corps
u. Lorsque la verge est amputée, il faut procéder à la ligature des
vaisseaux
: ce sont les artères dorsales qui rampent sur le
trancher la verge couche par couche du haut en bas , afin de lier les
vaisseaux
à mesure. L'exposé seul de ce procédé suffit pour
ur en prévenir la rétraction et pouvoir ensuite lier sans crainte les
vaisseaux
. T. vii. Appréciation. La ligature est rareme
ineux qui entoir rent la prostate; on peut aussi, dit-on, blesser les
vaisseaux
et les nerfs du périnée, mais ce doit être un acc
tion est la moins dangereuse, car il n'y a sur son trajet ni nerf, ni
vaisseaux
importans, et l'on agit en dehors du péritoine. E
aste enveloppe osseuse, épaisse et garnie de masses musculaires et de
vaisseaux
, les seules régions par lesquels la vessie puisse
elle; 4° Ia couche musculeuse, le bulbe de l'urètre et les principaux
vaisseaux
sanguins; 5o l'apo-névrose périnéale moyenne; 6°
uelle sont contenus le bulbe de l'urètre, les muscles du périnée, des
vaisseaux
sanguins et des nerfs. Cette disposition seule su
ée de grands orifices pour laisser passer le rec-tum, l'urètre et les
vaisseaux
, et fournit des prolongemens qui viennent s'insér
sidérable que dans les cas où elle a ses dimen-sions ordinaires. 3°
Vaisseaux
du périnée. Les artères de cette région ont une g
que 3o à 34 millimètres au-devant de l'anus ; comme la division de ce
vaisseau
peut donner nais-sance à une hémorrhagie assez gr
on ne peut arrêter, ni par la ligature, ni par la cautérisation , les
vaisseaux
qui les fournis-sent étant à-la-fois trop nombreu
laire voisin, ou des fistules urinaires, des lésions du rectum et des
vaisseaux
du périnée. Mais avant les accidens de l'opératio
ngereuse que les tailles latérales, car elle n'expose à couper aucuns
vaisseaux
qui puissent donner lieu à une hémorrhagie. En re
les parties intermédiaires, parce qu'elles contiennent les principaux
vaisseaux
, et enfin d'éviter le rectum , son incision dans
sie et clans les tissus voisins; enfin, qu'il était sujetàdiviser les
vaisseaux
honteux et surtout l'artère transverse du [périné
être arrêtée par un aide qui appliquerait son doigt sur la bouche du
vaisseau
. S'il y a hémorrhagie , Boyer conseille de tenir
la plus volumineuse, était sanglante et présentait quelques bouts de
vaisseaux
déchirés qui formaient une frange attachée à sa s
se manifeste pendant l'opération, il vaut mieux lier immédiatement le
vaisseau
qui la fournit, que d'at-tendre pour le faire que
pour le faire que l'opération soit terminée, parce que, alors, si le
vaisseau
est superficiel, il est facile à trouver, tandis
llés dans ce but. Si, après être parvenu à saisir avec une pince le
vaisseau
ouvert dans la plaie, il était trop difficile de
te disposition elle-même rend son effet très incertain, surtout si le
vaisseau
qui fournit le sang est profond , car la compress
es pro-fondes qui, souvent même, lui échappent complètement; alors le
vaisseau
continuant à verser du sang qui ne peut s'échappe
d'abord suspendu par suite du refroidissement et de la crispation des
vaisseaux
, reparaît aussitôt que la chaleur revient et que
r, ou bien à ce que l'appareil de compression n'agit pas assez sur le
vaisseau
ouvert pour arrêter le sang. La pâleur du malade,
s ressources de l'art : c'est lorsqu'elle pro-vient de la rupture des
vaisseaux
de la vessie, à la suite de l'ex-traction de pier
inée dont nous avons déjà parlé. Sur la ligne médiane il n'y a aucuns
vaisseaux
dont on puisse redouter la lésion. « Enfin, dit D
Cette hémorrhagie fut attribuée au développement anormal de quelques
vaisseaux
sous-cutanés, ou placés dans l'épaisseur de la li
i ellesurvenait pendant l'opération, il seraitfacile de rechercher le
vaisseau
qui fournirait le sang, et de le tordre ou de le
devrait en- lever Je pansement, alin de pouvoir lier ou [tordre le
vaisseau
comme précédemment, et si cela ne se pouvait pas,
ur ainsi dire abandonné, parce qu'il exposait à diviser le vagin, les
vaisseaux
du périnée, et même l'artère honteuse interne, lo
e l'accouchement; dans les deux cas, elles résultent de la rupture de
vaisseaux
sanguins qui rampent dans l'épaisseur de la grand
à redouter, car il n'y a pas, dans l'épaisseur des grandes lèvres, de
vaisseaux
assez gros pour donner lieu à une hémorrhagie gra
te de sa dégénérescence, il s'était déve-loppé dans son épaisseur des
vaisseaux
assez considérables pour donner lieu à un écoulem
adi-peuse et cellulo-vaseulaire qui le soutiennent, et renferment les
vaisseaux
sans lesquels il tomberait en gangrène. Le pédicu
leur plus ou moins foncée, suivant qu'ils sont pourvus d'un nombre de
vaisseaux
plus ou moins considérables, et laissent constamm
ar il est formé des mêmes élémens unis par du tissu cellulaire et des
vaisseaux
nourriciers, qui en général sont peu nombreux. On
n'est unie à son enveloppe que par du tissu cellulaire lâche et sans
vaisseaux
clans les premiers temps; mais qui se condense pe
nférieure, puis dans toute son étendue, et se laisse parcourir parles
vaisseaux
qui servent de moyen d'union, en sorte que, dans
eux, la tumeur se gonfle, prend une teinte ar-doisée ou violacée; les
vaisseaux
superficiels se déchirent, et lais-sent écouler d
polypes muqueux, dit-il, ceux où « viennent se distribuer de nombreux
vaisseaux
qui se continuent « d'une manière évidente avec l
di-cule est très épais, et donne à penser qu'il peut contenir quelque
vaisseau
artériel dans son épaisseur; 3° Ceux où l'inserti
r; et, d'ailleurs, fût-il tout enlevé, comme il est. probable que les
vaisseaux
lymphatiques auraient déjà trans-porté au loin la
ps, la ligature du tiers inférieur du ligament large qui contient les
vaisseaux
; divise ce ligament entre la ligature et l'utéru
t mieux employer un de ceux dans lesquels on pratique la ligature des
vaisseaux
compris dans les ligamens larges. Quant à présent
constitué par la trompe et le ligament large, et renfermant aussi des
vaisseaux
d'un fort volume. Parfois ce pédicule est en-glob
hairs avec les doigts pour pénétrer jusqu'à l'ovaire; lier les petits
vaisseaux
qui donnent du sang, car il n'est pas sup-posable
ongueuse, si sa base était large, et qu'elle fût pour-vue de nombreux
vaisseaux
, mieux vaudrait , comme le fit M. Dieffenbach dan
la matrice, étant divisée dans la partie où elle contient le plus de
vaisseaux
, pouvait aussi donner lieu à une hémorrhagie abon
rt avec celle de la paroi abdominale. Si pendant l'incision, quelques
vaisseaux
de la ma-trice versaient du sang en abondance, le
ammes d'eau fraîche légèrement aluminée pour faire crisper les petits
vaisseaux
et tarir l'hémorrhagie. L'œil étant essuyé il app
ien cependant d'une incontestable habileté, la section intérieure des
vaisseaux
sanguins est assez grave pour que l'opération soi
n de leur partie inojenne et profonde , car là encore se trouvent des
vaisseaux
et des nerfs trop importans. Génio-hyoidiens. O
ire salutaire une hémorrhagie qui survient par la section de nombreux
vaisseaux
artériels et veineux? Pourquoi aussi ne pas faire
mme on lésait, le muscle s'épanouit en éventail, et il est entouré de
vaisseaux
et de nerfs. » A la rigueur, ce premier procédé
Comme il était facile de le prévoir par le volume et le nombre des
vaisseaux
lésés , ce sont les opérations de MM. Dieffenbach
On a donc à les suivre dans les os, les ligamens, les mus-cles , les
vaisseaux
, les nerfs, les viscères, et dans l'organisme ent
leurs points d'in-sertion rapprochés ; au repos ils s'ossifient. »
Vaisseaux
. « Les artères au lieu de s'adapter comme les mus
rtie à couper ayant une grande étendue, la surface profonde garnie de
vaisseaux
et nerfs n'offre, en outre, qu'un plancher mou qu
vant un fait d'anatomie pathologique, observé par M. Chassaignac, les
vaisseaux
, l'ar-tère poplitée surtout, se raccourcissent au
mi tendineux, et enfin, le demi membraneux. Pour éviter la lésion des
vaisseaux
et des nerfs, l'instrument est intro-duit du creu
ir cpie, avec la position du nerf médian et la situation latérale des
vaisseaux
et des nerfs cubitaux et radiaux, cette opération
eu des sections au travers des parties molles abondamment fournies de
vaisseaux
et de nerfs, on se confie pour le redressement au
e ce faisceau charnu et dont l'interposition refoule tout d'abord les
vaisseaux
. Enfin, lorsqu'il convient de diviser le muscle d
t la face postérieure du muscle, afin de le soulever, de l'isoler des
vaisseaux
et de guider en même temps le bistouri à l'aide d
le, nourrit et organise les tissus, et en laissant les extrémités des
vaisseaux
et des nerfs dans les conditions propres à l'exer
sur la figure, par l'anneau qui forme le tubercule lacrymal. 19.
Vaisseaux
et nerfs frontaux. 20. Vaisseaux ethmoïdaux.
forme le tubercule lacrymal. 19. Vaisseaux et nerfs frontaux. 20.
Vaisseaux
ethmoïdaux. Région zygomato-maxillaire. 21. I
ce du sinus maxillaire dans la fosse na- sale correspondante. 24.
Vaisseaux
et nerfs sous-orbitaires saillans en dehors de le
droite (b) du même aide compriment immédiatement sur les orifices des
vaisseaux
divisés, le pouce sur une branche de l'artère tho
t le siège primitif de la hernie dans le canal crural accidentel. Les
vaisseaux
fémoraux se voient sur la paroi postérieure. — (b
onctué la position réelle des orifices péritonéaux avec le trajet des
vaisseaux
fémoraux sur l'arcade crurale , et le trajet des
trajet des vaisseaux fémoraux sur l'arcade crurale , et le trajet des
vaisseaux
épigastriques présumé d'après la situation de l'o
Resserrement par l'anneau inguinal externe. — (c) Passage présumé des
vaisseaux
épigastriques sous la tumeur, (d) Tumeur scrotale
ouce. La sortie des viscères de l'abdomen paraît avoir lieu entre les
vaisseaux
épigastriques et l'anneau inguinal externe. — (b)
entre les vaisseaux épigastriques et l'anneau inguinal externe. — (b)
Vaisseaux
iléo-fé moraux. —(c) Position présumée des vaisse
l externe. — (b) Vaisseaux iléo-fé moraux. —(c) Position présumée des
vaisseaux
épigastriques. Coté droit. Hernie directe. Cell
Contour ponctué de Panneau inguinal interne. — (b) Trajet présumé des
vaisseaux
épigastriques. — (c). Vaisseaux tégumentaires.
nal interne. — (b) Trajet présumé des vaisseaux épigastriques. — (c).
Vaisseaux
tégumentaires. Figure 2. Hernie crurale (présum
niaire sous-cutanée, au-dessous et à la sortie du canal crural. — (c)
Vaisseaux
iléo-fémoraux. — (d) Veines saphènes internes var
ction du sac herniaire. f. Intestin grêle et epiploon hernies. g.
Vaisseaux
iléo-fémoraux. h. Vaisseaux épigastrique9. Fi
ntestin grêle et epiploon hernies. g. Vaisseaux iléo-fémoraux. h.
Vaisseaux
épigastrique9. Figure 2. Intérieur du sac herni
rci par le rapprochement des deux ori-fices, m. Poche scrotale, g, h.
Vaisseaux
fémoraux et épigastriques. FIGURES 3 et 4. HERN
eur de l'anneau crural. c. Feuillet aponévrotique de revêtement des
vaisseaux
qui forme la paroi antérieure du canal crural a
rtés de son mésocolon (i,i), dans l'intervalle desquels se voient les
vaisseaux
éraillés du cordon spermatique aplati. Les vaisse
ls se voient les vaisseaux éraillés du cordon spermatique aplati. Les
vaisseaux
épigastriques (k) passaient au-dessous et en de-d
e supérieure est indiquée au-dessus par la tension des airi-gnes. Les
vaisseaux
fémoraux (m), disséqués à l'arcade crurale pour m
érieure du sac une portion de péri-toine est enlevée pour montrer les
vaisseaux
du cordon spermatique disséminés en arrière et un
du cordon spermatique disséminés en arrière et un peu en dehors. Les
vaisseaux
épiga-striques (o), dans leur position normale, p
de la ligne blanche. A. Hernie inguinale externe. Ici le cordon des
vaisseaux
sperma-tiques, situé en bas et en dehors, se trou
anneau inguinal interne, dans lequel on voit s'insinuer le cordon des
vaisseaux
sperina-tiques (c). Ce pilier, au bord externe de
on voit naître sous le péritoine de l'iliaque externe; (d) cordon des
vaisseaux
sperma-tiques, (f ) artère et veine iliaques exte
dehors, où elles ont été écartées par la pression des viscères. (e)
Vaisseaux
épigastriques, situés en dehors et en haut de l'o
gastriques, situés en dehors et en haut de l'ori-fice crural. ( f )
Vaisseaux
spennatiques également un peu déviés de leur di-r
e (D) coupée latérale-ment, sur les artères ombilicales, et entre ces
vaisseaux
, au-dessus de la vessie. PLANCHE 58. Figure i
r à nu la prostate. A. Bulbe de l'urèlhre.—B. Orifice de l'anus.—C.
Vaisseaux
honteux internes. — D Section latérale gauche de
r à nu la prostate. A. Bulbe de l'urèlhre.—B. Orifice de l'anus.—C.
Vaisseaux
honteux internes. D. Grande incision bilatérale
le un peu plus haut ou (tendue un peu plus en dehors, elle blesse les
vaisseaux
et sort de la prostate. E. Petites incisions su
viennent tomber, de chaque côlé, à dis-tance moyenne du rectum et des
vaisseaux
honteux internes, sans courir le risque de les bl
de les blesser. A. Bulbe de l'urèlhre. — B. Orifice de l'anus. — C.
Vaisseaux
honteux in-ternes. — D. Section de la prostate. —
e le rectum à une profondeur de dix-huit millimètres (8 lignes). — C.
Vaisseaux
honteux internes. — D. Incision verticale de la p
n. La ligature du tiers inférieur du ligament large, qui renferme les
vaisseaux
, a été pratiquée du côté droit, puis la section e
ors et au-dessus de l'anneau crural, pour ne pas risquer de léser les
vaisseaux
fémoraux et les origines des vaisseaux épigastriq
ur ne pas risquer de léser les vaisseaux fémoraux et les origines des
vaisseaux
épigastriques et circonflexes iliaques. A. Sect
sscs, disséqués avec soin, rampent, en sur-face ou en profondeur, les
vaisseaux
et les nerfs.— 1, 2. Artères et veines linguales.
sur le dessin même de ce chirurgien. On voit sur notre figure que les
vaisseaux
et nerfs linguaux sont coupés en tra-vers des deu
-hypoglosses, comme c'est l'in-tention de l'auteur, et, avec eux, les
vaisseaux
inférieurs de la langue. De b en b, section de
, afin qu'il n'aille point, par une échappée en arrière, blesser les
vaisseaux
tibiaux postérieurs. PLANCHE R. FIGURE t. pie
l, la section sous-tendineuse est préférable afin de ne pas léser les
vaisseaux
et le nerf tibiaux antérieurs. To me 7. Pl. H
particulier, demande une nouvelle allenlion pour éviter la lésion des
vaisseaux
: c'est dans cette intention que la piqûre à la p
la peau est faite, sur le bord externe, pour laisser tout d'abord les
vaisseaux
, en arrière de l'in-strument. Ce n'est donc que d
i peuvent à leur tour déterminer des congestions sanguines dans les
vaisseaux
de la pie-mère, etc. » (Maladies du cerveau et
un mélange expansible qui fait sans cesse effort pour distendre ces
vaisseaux
et pour augmenter de volume. Le résultat défini
finitif est une turgescence générale plus ou moins considérable des
vaisseaux
sanguins et une imminence hé- morrhagique plus
de l'économie le liquide sanguin exerce contre les parois de ses
vaisseaux
de dedans en dehors, et tendant à les dilater,
il supporte extérieurement. « Pour résister à cette dilatation de
vaisseaux
, chaque tissu a sa résistance propre, et la fra
différents tissus résistent très inégalement à cette dilatation des
vaisseaux
, et que celle-ci est d'au- tant plus grande que
s tissus diminue avec la profondeur. Par conséquent, dilatation des
vaisseaux
dans les tissus profonds, où la pression venant
ression venant de l'extérieur est faible; diminution du calibre des
vaisseaux
dans les couches superfi- cielles où la pressio
e, enfermés qu'ils sont dans leurs cavités osseuses, et ayant leurs
vaisseaux
protégés de même, ne peuvent pas céder à la pre
où le sang sort de ces organes. Les canaux osseux dans lesquels les
vaisseaux
sanguins sont creusés rend cette issue plus pén
le artères. Nancy, 1879. 88 CLINIQUE NERVEUSE. brisant les petits
vaisseaux
, et produisant la série des redoutables acciden
térieur et le lancera subite- ment vers les autres organes dont les
vaisseaux
qui ont perdu leur tonus,... ne s'accommodent p
rbonique tendra à faire irruption sous forme gazeuse, même dans les
vaisseaux
, et par sa brusque expansion, ou par l'oblitéra
ension gonfler en quelques endroits et en d'autres, res- serrer les
vaisseaux
qui portent dans tout le sang et la nourriture,
NTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 93 surtout les plus petits de ces
vaisseaux
, boucher les passages ou changer leur figure, e
nfleront naturellement ce liquide, pouvant ainsi distendre les gros
vaisseaux
, et changer notablement la rapidité de la circula
les animaux à sang chaud, il se dégage du gaz dans l'intérieur des
vaisseaux
par une rapide diminution de pression. Il n'en
sseux dans les veines, le système porte, les artères, même dans les
vaisseaux
du placenta et des foetus, lorsque l'animal est
PLOI DES SCAPHANDRES. 97 Î « Le gaz repasse à l'état libre dans les
vaisseaux
, les divers liquides, l'épaisseur même des tiss
s pattes fortement tendues. Ses yeux x sont très rouges, les petits
vaisseaux
de la conjonctive injectés; Archives, t. XVIII.
respond est oblitérée par une embolie de même nature. Dans tous les
vaisseaux
artériels qui rampent sur la surface encé- phal
rable de petites perles gazeuses ; elles sont innombrables dans les
vaisseaux
qui avoisinent les foyers. Ayant fait des coupe
n'y a aucune trace de foyer hémorrhagique. Nous remarquons dans ses
vaisseaux
, sur plusieurs points, des bulles d'air en nomb
oelle épinière. - On voit une grande quantité de bullettes dans ses
vaisseaux
. Le liquide céphalo-rachidien contient du gaz.
de gaz au milieu de la région ramollie. Il sort de l'air aussi des
vaisseaux
, qui entourent le processus de nécrobiooe. Nous
tes de gaz que l'on voit surtout à l'aide de la loupe oblitérer les
vaisseaux
. On en trouve aussi dans l'épaisseur du tissu m
in la boîte crânienne et nous fendons les méninges. Tous les petits
vaisseaux
qui ram- pent sur la surface de l'encéphale con
t oblitérée, Moelle. - Il y a des bulles de gaz aussi bien dans ses
vaisseaux
que dans l'épaisseur de son tissu que dissocien
présence de l'air dans l'artère pulmo- naire car les branches de ce
vaisseau
ne contiennent pas d'air en cas de mort prompte
, les centres myélencéphaliques étant anémiés par ces embolies, les
vaisseaux
et les vaso-moteurs sont d'abord excités puis p
n'est survenu, aucune bulle de gaz n'a paru à l'état libre dans les
vaisseaux
, parce que l'air que respiraient les animaux ét
Cet appareil réaliserait ces avantages : de ne pas comprimer les
vaisseaux
et nerfs du creux axillaire, et de graduer l'inte
sont : l'athéi,onie très prononcé, pouvant entraîner la rupture des
vaisseaux
axillaires par les courroies, des congestions, l'
pathologique. Un dernier cha- pitre traite des méninges et des gros
vaisseaux
de l'axe cérébro- spinal. On conçoit, puisqu'
tain nombre de bulles gazeuses bien dirigées, bien localisées aux
vaisseaux
qui se rendent aux cordons latéraux et au centr
eveux, sur les glandes sudori- pares et sébacées, sur le réseau des
vaisseaux
capillaires et ' fiiill. Transac. of the clinic
ibres élastiques et des leucocytes, sur- tout dans le voisinage des
vaisseaux
. Warfwing décrivit un cas de myxadème où le mal
or- nons à les signaler. DE LA SUBSTANCE GRISE. 335 Le rôle des
vaisseaux
dans ces lésions déjà anciennes paraît peu cons
érentes sur les coupes ; et on les voit constituées surtout par des
vaisseaux
très dilatés et remplis de sang; les veines son
st la preuve. En effet, c'est, comme nous l'avons vu, parce que les
vaisseaux
sont épaissis et rameux qu'ils enlèvent avec eu
olution, déterminant une irritation assez forte. On a dit que les
vaisseaux
paraissaient plus nom- breux à cause de l'atrop
remière et la seconde couche. Sur quelques-uns on voit nettement un
vaisseau
occuper le centre de l'amas. Les dilatations va
l- lules à contour peu distinct, à noyaux multiples. La paroi des
vaisseaux
parait sur certains points épaissie, mais il n'y
élial est incomplet, ses cel- lules sont aussi sphériques. Les deux
vaisseaux
qui accompagnent le canal sont petits et entour
ntégration assez étendus; quelques-uns sont même formés Je long des
vaisseaux
dans la partie profonde de l'écorce. Les LÉSION
lobe occipital, l'état est le même. Il existe autour de beaucoup de
vaisseaux
des taches opaques formées d'amas de cellules d
s par petits groupes, mais toujours espacés les uns des autres. Les
vaisseaux
sont dilatés. Cette bande tranche très visiblem
roduisent pas et l'on a des Ilots irréguliers, circonscrits par les
vaisseaux
dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact
t de méthyle. 11 n'y a pas d'infiltration embryonnaire au- tour des
vaisseaux
. En somme, on voit que le tissu pathologique si
ie et l'accumulation de cellules en îlots circonscrits an- tour des
vaisseaux
ramifiés, ensuite l'aspect aréolaire de la névro-
es, mais les cellules pyramidales sont entièrement disparues. Les
vaisseaux
présentent un épaississement parfois énorme de le
t, ce sont les taches opaques, riches en noyaux sur le pourtour des
vaisseaux
. Nous avons fait dessiner une des plus petites
nt très peu marquées des deux côtés du sillon et dans son fond. Les
vaisseaux
dans leur gaine et la substance blanche présent
méthyle, on voit une infiltration lymphoïde marquée de la gaine des
vaisseaux
, chacun est entouré d'un cordon de cellules à g
x, fortement colorés en vert, on voit autour de quelques-uns de ces
vaisseaux
des foyers de désintégration, où la substance g
bande de sclérose fournie par du tissu conjonctif rubané, émané des
vaisseaux
. 11 n'y a donc plus là de simples modifications
contiennent par des bandes conjonctives qui suivent les trajets des
vaisseaux
; elles ont par conséquent un bord dentelé et fe
res dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors de la lésion.
Vaisseaux
nombreux, vascularisés, à cavité large, avec in
la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par le
vaisseau
vasculaire. A ce point, ainsi que dans la subst
lle est parsemée de corps granuleux ainsi que la substance blanche.
Vaisseaux
moyennement abondants, un peu rameux. Bonn...
isation anormale très prononcée dans toute la substance grise ; les
vaisseaux
sont ramifiés dans toutes les directions. Le no
de cellules. Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagnent les
vaisseaux
et forment à la face interne de la paroi du pet
sses pédiculées, composées de ce lissu fibrillaire feutré, de rares
vaisseaux
et contenant des cellules à noyaux ronds ou allon
points, on rencontre les corps granuleux, principalement autour des
vaisseaux
. Ces vaisseaux sont très ra- mifiés ; l'espace
ontre les corps granuleux, principalement autour des vaisseaux. Ces
vaisseaux
sont très ra- mifiés ; l'espace périvasculaire
; on voit nettement que le centre de la dépression est formé par un
vaisseau
ramifié; les parois sont constituées par les mê
n voit les mêmes lésions que dans les préparations précédentes; les
vaisseaux
sont très dilatés, les corps granuleux sont trè
a même sur tous les cordons. Il n'y a pas de systématisation. Les
vaisseaux
sont dilatés. Moelle dorsale. - L'aspect est le
été décrites dans les observations qui précèdent portent sur les
vaisseaux
, qui sont dilatés, multipliés, avec gaines épai
(baume). 2° Lobe occipital (Schad.). De la pie-mère (A) partent des
vaisseaux
qu'on voit entourés de masses opaques, contenan
ce de l'en- céphale un aspect froncé (Maisonhaute). Tout autour les
vaisseaux
sont dilatés et la sériation des couches est tr
e fibres élastiques et de leucocytes, surtout dans la direction des
vaisseaux
. Voici plus ou moins toutes les données que nou
ques, une accumulation de leucocytes, surtout dans la direction des
vaisseaux
, et un élargissement particulier des conduits l
ère rupture resta d'abord contenu dans la gaine résistante des gros
vaisseaux
du cou, donnant ainsi lieu au gonfle- ment circ
LI Congrès, t. XVI, p. 85. 444 14 sociétés savantes. endroits des
vaisseaux
, elles affectent, sur les artères, la forme d'a
dans la moitié des cas. Chez 30 p. 100 d'entre eux, la lumière du
vaisseau
, réduite en certains endroits, prenait l'aspect b
. 100 d'entre eux, il y avait hémiplégie. L'opblhalmoscope, par les
vaisseaux
rétiniens, nous permet donc de poser le dia- gn
étiniens, nous permet donc de poser le dia- gnostic de maladies des
vaisseaux
de l'économie etnolamment des d'artères cérébra
ne augmentation de la pression intracrânienne qui, compri- mant les
vaisseaux
encéphaliques, s'opposerait au retour du sang d
chaque accès une brusque contraction des artères de la rétine; ces
vaisseaux
demeurèrent rétrécis pendant la phase convulsive
'io-sclél'euse. I,'artério-sclérose généralisée n'a pas épargné les
vaisseaux
encéphaliques et semble, par ce méca- nisme, av
chez les), par Kast,153. Artério - sclérose généralisée (état des
vaisseaux
rétiniens dans l'), par Roehlmann, 443. Asile
(baume). 2° Lobe occipital (Schad.). De la pie-mère (A) partent des
vaisseaux
qu'on voit entourés de masses opaques, contenan
de l'en- céphale un aspect froncé ())aisonbaute). Tout autour, les
vaisseaux
sont dilatés et la sériation des couches est tr
nfin, avec l'état sclé-reux et les anévrysmes siégeant sur les petits
vaisseaux
de la pie-mère ou même sur les artères volumineus
re ramenées à trois chefs : 1° La tension exagérée du sang dans les
vaisseaux
de l'encéphale ; 2° La diminution de consistanc
ablement altéré qui ne fournit plus alors qu'un appui insuffisant aux
vaisseaux
; 3° La diminution de résistance des vaisseaux
ppui insuffisant aux vaisseaux ; 3° La diminution de résistance des
vaisseaux
consécutive à une altération de leurs parois. O
tériel, les ramollissements hémorrhagïpares ; la fragilité des petits
vaisseaux
, résultant de leur dégénération graisseuse ou cel
e analogie avec des dilatations observées par M, Vircliow(2) dans les
vaisseaux
de la pie-mère, et que cet auteur fait rentrer da
s la vieillesse ; qu'ils sont le résultat d'une altération sénile des
vaisseaux
de l'encéphale, au même titre que l'athérome ; dé
considérer ces anévrysmes comme le produit de l'extension aux petits
vaisseaux
cérébraux de cette artério-sclérose qui amène les
e dilatation miliaire ; elle est étendue à tout le système des petits
vaisseaux
intra-cérébraux et s'accompagne quelquefois d'une
sorte un aspect pelure d'oignon. Etudiée seule ment sur les petits
vaisseaux
de la substance cérébrale, cette artérite scléreu
ndances du système artériel. La gaîne lymphatique qui enveloppe les
vaisseaux
de ces deux variétés, peut présenter seulement un
on d'un faisceau de tissu conjonctif disposé dans le sens de l'axe du
vaisseau
. Les tuniques sous jacentes sont alors plus diffi
le plus intense. Si l'adventice n'est pas épaissie et fibreuse, le
vaisseau
se dilate d'une façon ampullaire au niveau des po
ase ou des méninges ; mais, ainsi que nous l'avons dit plus haut, ces
vaisseaux
parraissent participer à la maladie qui n'est pas
reuse que nous venons de décrire, n'est pas exclusivement dévolue aux
vaisseaux
intra-côrôbraux ; nous la considérons comme une a
millimètre à un millimètre et quelquefois un peu plus, appendus à un
vaisseau
également visible à l'œil nu ; une simple loupe s
loupe suffit du moins pour les distinguer nettement ; le diamètre du
vaisseau
peut varier de 1/3 de dixième de millimètre à un
ète, on constate que ce grain se continue par un de ses pôles avec un
vaisseau
qui plonge dans l'épaisseur de la circonvolution.
eau. Ces divers moyens qui ont été employés déjà pour la recherche du
vaisseau
rupture où l'on pensait trouver la source de l'hé
nt que des fragments du caillot bouchant à la façon d'un capuchon des
vaisseaux
ruptures (Pl. 111, fig. 2), mais on finit par en
on finit par en trouver quelques-unes, dans lesquelles, en suivant le
vaisseau
à travers la masse fibrineuse, on le voit se dila
sa paroi se continue sans ligne de démarcation avec les tuniques du
vaisseau
qui s'y rend et de celui qui en émerge ; mais ces
es ou en cristaux d'hématoïdine. L'anévrysme s'oblitère, ainsi que le
vaisseau
qui l'alimentait, et on peut constater jusqu'à un
nt ces transformations du contenu, les parois de l'ané vrysme et du
vaisseau
au voisinage de l'anévrysme, peuvent s'épaissir p
fusifornies se font généralement aux dépens de toute la périphérie du
vaisseau
; d'autres fois, elles sont latérales et n'interr
te de grappe suspendue au même filament vasculaire ; d'autres fois le
vaisseau
présente successivement plusieurs dilatations et
pie-mère, très nombreux anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les
vaisseaux
de la substance cérébrale présentent au microscop
s points de est hémisphère. Anévrysmes miliaires des petites artères.
Vaisseaux
de la base peu altérés. Obs. XXXIV. Salpêtrière
ques-unes cle ces plaques sont ulcérées dans la portion abdominale du
vaisseau
. — Le rein gauche pèse 130 grammes et ne semble p
. On rencontre quelques anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les
vaisseaux
de la base sont peu athéromateux. Le cœur norma
la protubérance, mais encore dans les circonvolutions cérébrales. Les
vaisseaux
étaient pour la plupart très altérés, scléro-athé
mort le 12 octobre 1863. On trouva des ectasies capillaires sur les
vaisseaux
des parois des ventricules latéraux et une hérnor
émorrhagie méningée intra-arachnoïdienne serait due à une rupture des
vaisseaux
du feuillet viscéral de l'arachnoïde ; le sang ép
ces couches membraneuses sont réellement organisées. On y trouve des
vaisseaux
en assez grand nombre, vaisseaux ramifiés et dont
ellement organisées. On y trouve des vaisseaux en assez grand nombre,
vaisseaux
ramifiés et dont les plus petits ont encore d'ass
coup d'entre eux ont de 2 à 3 centièmes de millimètre de largeur. Ces
vaisseaux
sont remarquables par la faible épaisseur de leur
ce de noyaux larges, elliptiques, à grand axe dirigé suivant l'axe du
vaisseau
, et extérieurement, cette couche est recouverte p
ntermédiaires aux deux couches précédemment indiquées, dans plusieurs
vaisseaux
, mais rarement, si ce n'est dans les vaisseaux as
iquées, dans plusieurs vaisseaux, mais rarement, si ce n'est dans les
vaisseaux
assez larges, la tunique à noyaux transversaux, o
miner un petit segment d'une partie jaunâtre et saillante. C'était un
vaisseau
à parois très graisseuses, et de calibre assez co
ramifiées, et à bords parratlèfes; or, ces lignes correspondent à des
vaisseaux
. Les granulations dont il s'agit ici sont formées
, en effet, du tissu connectif, des éléments embryoplastiqu.es et des
vaisseaux
. Comment croire qu'une pareille organisation au
lle dépend, en termes plus explicites, de la rupture accidentelle des
vaisseaux
qui se sont produits daus ces membranes de nouvel
r le feuillet pariétal de l'arachnoïde; ce tissu acquiert bientôt des
vaisseaux
, et plusieurs couches peuvent se former successiv
On y trouve du tissu connectif, des noyaux, des corps fusiformes, des
vaisseaux
. Plus tard, de nouvelles couches d'exsudat se dép
émorrhagie intra-méningée a son origine dans la néo-membrane dont les
vaisseaux
souvent très nombreux, relativement très volumine
aient été le point de ment le produit de la rupture de très petits
vaisseaux
, tandis que les kystes sanguins et les hémorrliag
. Toujours est-il que, dans un cas comme dans l'autre, c'est dans les
vaisseaux
de la néo-membrane qu'il faut chercher le point d
dans l'hémorrhagie intra-arachnoïdien ne, serait fourni, non par les
vaisseaux
de la néo-membrane, mais par ceux du feuillet par
te manière de voir ; même en reportant la source de l'hémorrhagie des
vaisseaux
du feuillet problématique de l'arachnoïde à ceux
rait expliquer ainsi bien certainement que la minorité des faits. Les
vaisseaux
de la néo-membrane offrent des caractères qui s'a
ux avec l'opinion dans laquelle on fait provenir l'hémorrhagie de ces
vaisseaux
. Et d'ailleurs, l'examen même du siège des épan
ane. Pourquoi supposer dans ces cas, que le sang a été fourni par les
vaisseaux
de la partie la plus interne de la dure-mère et s
ffet, dans cette hypothèse, supposer d'abord qu'il y a eu rupture des
vaisseaux
de la dure-mère et même déchirure des lames les p
un autre côté, quelle est la structure tant des néo-membranes que des
vaisseaux
qui y rampent, et nous trouverons là des conditio
oduction des hémorrliagies du genre cle celles qui nous occupent. Ces
vaisseaux
, en général nombreux, se font remarquer par leur
es normales. On conçoit aisément qu'avec cle telles dispositions, les
vaisseaux
, ainsi que le tissu intermédiaire, cèdent facilem
rtains cas, des dépôts graisseux se forment, soit dans les parois des
vaisseaux
, soit dans l'épaisseur des éléments constitutifs
ns l'épaisseur d'une néo-membrane de la dure-mère, on conçoit que les
vaisseaux
des parois de ce kyste pourront se rompre, et le
épanché au sein de la cavité séreuse paraît provenir de la rupture de
vaisseaux
nombreux et à parois minces qui rampent dans l'ép
s longtemps cle pachyméningite : elle résulte alors de la rupture des
vaisseaux
propres aux néo-membranes pachymé-iii agi tiques
ux outrois seulement tout au plus pour chaque préparation). Plusieurs
vaisseaux
capillaires avaient subi, à un faible degré, la d
n voit de plus ramper à sa surface, dans l'épaisseur du névrilème des
vaisseaux
, relativement volumineux et fortement injectés. L
incipalement dans l'oreillette gauche, et se prolongent dans les gros
vaisseaux
. Encéphale. Les artères de la base présentent à
rsal du carpe, sont sillonnés à leur face postérieure par de nombreux
vaisseaux
fortement distendus par le sang. (Pl. VI, fîg. 6.
reux vaisseaux fortement distendus par le sang. (Pl. VI, fîg. 6.) Ces
vaisseaux
siègent principalement dans l'épaisseur de la mem
tuent la séreuse articulaire, augmentation du nombre et du volume des
vaisseaux
capillaires qui s'y répandent, mais, habituelleme
de la force musculaire, de la température, de la tonicité des petits
vaisseaux
dont les modifications suivent une marche général
donnent pas ou peu de sang, à cause de la constriction énergique des
vaisseaux
produite par une irritation habituelle des nerfs
en même temps que les noyaux de l'adventice se multiplient et que le
vaisseau
se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne.
ravasé qui a distendu, puis déchire la gaine lymphatique. Fig. 2. —
Vaisseau
rompu et entouré par un fragment de caillot qui,
voit de plus ramper à sa surface, dans l'épaisseur du névrilème, des
vaisseaux
relativement volumineux, et fortement injectés. L
ssi bien rouge que blanc. , Il n'existe pas de toril) au niveau des
vaisseaux
du cou. L'auscultation pul- monaire révèle l'ex
du derme. Bien que (1) Cadéac, Path, chirurgicale de la peau et des
vaisseaux
, p. 141. (2) IGid., p. 249. (3) Ibid., p. 281
riche en noyaux arrondis ; il existe des lésions inflammatoires des
vaisseaux
; en un mot l'état de cette région est très compa
ial de la dégénérescence des éléments névrogliques (Pl. XXXIX). Les
vaisseaux
ont des parois constituées par une ou plusieurs c
pécial de leur chromatine nucléaire, s'ordonnent surtout autour des
vaisseaux
. Zone moyenne. Au faible grossissement elle app
formé de cellules allongées arrondies, à noyaux très foncés. Les
vaisseaux
apparaissent, au fort grossissement, avec des par
ncéreux est en train de se déve- lopper juste à la bifurcation d'un
vaisseau
. Ces tumeurs ont ceci de commun, qu'elles sont
ssit très bien. Fig. 3.- Métastase cancéreuse à la bifurcation d'un
vaisseau
. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 253
la moelle, l'étude histologique fit voir un étatathé- romateux des
vaisseaux
spinaux, mais une intégrité absolue de tout le co
qu'a présentés cette malade et,d'autrepart, l'artério-sclérose des
vaisseaux
spi- naux et l'épaississement de la névroglie a
musculaires, prolifération du tissu conjonctif et de l'adventice des
vaisseaux
. t ? \r71,Ul;¡ ? i> -,g z ? .JI.iÓ" 1.. \ ..
ur de celles du ventricule droit normal. Les altérations des gros
vaisseaux
sont variables ; tantôt l'aorte est très athéro
is les faisceaux pyramidaux sont toujours respectés. Comme les gros
vaisseaux
, les artères spinales peuvent être manifeste- m
es nerfs périphériques sont indemnes d'altération névritique, leurs
vaisseaux
ont les parois épaissies et le périnèvre est légè
s, nous envisagerons successivement celles du tissu conjonctif, des
vaisseaux
, puis celles plus délicates de la fibre muscula
onjonctif épaissi ; on suit facilement les branches de division des
vaisseaux
dont la paroi est hyper- trophiée et souvent l'
résence de macrophages non plus que de polynucléaires en dehors des
vaisseaux
. Les muscles les plus atteints (demi-tendineux,
caractéristiques de cette affection musculaire. L'alté- ration des
vaisseaux
est également constante avec toutefois quelques v
nts considéra- blement proliférés, rétrécissant ainsi la lumière du
vaisseau
; quant à l'adventice, elle se confond avec le
t plus difficile d'élucider la part qui revient aux altérations des
vaisseaux
dans la genèse de la maladie. Certes, dans tous
genèse de la maladie. Certes, dans tous les cas les altérations des
vaisseaux
sont indéniables et nous avons fait remarquer q
a plupart des viscères des rétrécissements plus ou moins serrés des
vaisseaux
nourriciers sans modifications de la substance
se d'une action irritante agissant sur tous les éléments à la fois (
vaisseaux
, tissu con- jonctif, fibres musculaires) avec u
e graves per- turbations'et, qu'enfin, bien que les altérations des
vaisseaux
ne soient pas négligeables, du moins, elles ne
rs des dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes, les
vaisseaux
présenteraient des lésions plus ou moins consid
e qu'ils n'ont pas trouvé dans leur cas d'altérations évidentes des
vaisseaux
. Ces lésions au contraire ont été rencontrées d
ale amyotrophique, et ayant trouvé des lésions assez prononcées des
vaisseaux
il leur attribue le rôle principal dans le proc
assez souvent on voit les plaques de sclérose suivre le trajet des
vaisseaux
. Il reconnaît en même temps qu'on peut trouver
méninges et des 342 GIUNIO CATOLA septums, par l'augmentation des
vaisseaux
et l'épaississement de leurs pa- rois, par le g
cas aigus ou subaigus où l'on a trouvé l'augmentation du nombre des
vaisseaux
(Schuster etBielschowsky),l'épais- sissement de
des métamorphoses régressives. Dans les espaces périvasculaires des
vaisseaux
de ces mêmes plaques scléreuses on a encore ren
robst, Leyden). Borst a vu des dilatations non seulement autour des
vaisseaux
sanguins, mais aussi autour des cellules nerveu
a substance grise. Cramer, Greiff et quelques autres ont trouvé des
vaisseaux
à paroi très épaissie ou oblitérée dans la part
cervelet ne présentent aucune altération à l'examen extérieur. Les
vaisseaux
-delà base du cerveau ne sont pas atteints d'ar
ononcée au ni- veau du sillon longitudinal postérieur et autour des
vaisseaux
et présente ceci de caractéristique que les élé
jours de la maladie s'était mise à suppu- rer abondamment. Tous le
vaisseaux
de la pie-mère ont leurs parois plus ou moins é
gaine péri- vasculaire et au tissu avoisinant (fig. 11). Dans les
vaisseaux
de la substance médullaire transformée en plaques
on en nombre des capillaires, épaississement de la paroi des petits
vaisseaux
avec augmentation des noyaux et rétrécisse- men
ssez grands. Ces noyaux parfois sont très nombreux (fig. 13). Les
vaisseaux
du cervelet dans cette même région et un peu dans
e très mince d'infiltration nucléaire située entre l'ad- ventice du
vaisseau
et le tissu uerveux sans aucun espace vide interm
ures apparais- sent presque complètement normales partout. Tous les
vaisseaux
de la pie-mère et de la moelle présentent des a
sclérose y met en évidence une augmentation non douteuse des petits
vaisseaux
et des capillaires. Tous les vaisseaux contenus
tion non douteuse des petits vaisseaux et des capillaires. Tous les
vaisseaux
contenus dans leur intérieur ont leur paroi épa
des foyers scléreux de la moelle sous-jacente. Elle y contient des
vaisseaux
à parois plus ou moins épaissies et très'souvent
les placards de tissu conjonctif adulte, lamelleux qui renferme des
vaisseaux
encerclés d'un épais manchon de tissu scléreux.
ent la dégénérescence traumati- que. Les cellules endothéliales des
vaisseaux
montrent, au niveau de la dégénérescence trauma
Il en résulte un tissu embryonnaire formé de grosses cel- lules, de
vaisseaux
et d'autres cellules. Il constitue une espèce d'e
cellules névrogliques reste toujours infime, celle des cellules des
vaisseaux
, et surtout des petits capillaires, s'accentue de
nnent des racines postérieures et pénètrent dans la moelle avec les
vaisseaux
de nouvelle formation partis de la pie-mère. Il
crit également des plexus de fibres nouvellement formées autour des
vaisseaux
qui à coup sûr ne représentent pas des fibres v
ois considérables. Il se dégage du bout central un riche système de
vaisseaux
anastomosés qu'on peut suivre sur un long parco
cependant, les fibres de nou- velle formation suivent le trajet des
vaisseaux
. Les fibres hypertrophiées contiennent indiscut
nouvelle formation suivent le trajet des cellules-satellites ou des
vaisseaux
, aussi, leur direction est-elle des plus variab
nombreux macrophages logés librement ou situés dans les mailles des
vaisseaux
de nouvelle formation. Sur les bords de cette exc
té opposé également en bas de cette excavation, on voit de nombreux
vaisseaux
de nouvelle formation, se ramifiant de plus en
ée dans l'excavation décrite plus haut. Dans les interstices de ces
vaisseaux
, on trouve des cellules émigrées dont t la plup
igure, il y a une masse constituée par ces cellules et dépourvue de
vaisseaux
. (Compres- sion de la moelle par fracture de la
t, le tis- su de nouvelle formation est constitué par un système de
vaisseaux
qui circons- crivent des cavités dans lesquelle
ègent des lymphocytes et des macrophages. A mesure que le nombre de
vaisseaux
augmente et que s'organisent leurs pa- rois, le
s de nouvelle formation varient suivant la région considérée. Les
vaisseaux
situés tout près de la périphérie de la moelle et
au niveau de ce coude, se replient sur elles-mêmes pour sui- vre le
vaisseau
. Remarquer que la plupart des fibres présentent d
des fibres présentent des épaississements sur leur trajet et que le
vaisseau
traverse une masse de macrophages, m m'. 432 MA
e une masse de macrophages, m m'. 432 MARINESCO ET MINEA tour des
vaisseaux
(Fig. 7) Sur des coupes transversales, on s'aperç
de nouvelle formation ne restent pas cantonnées dans le domaine des
vaisseaux
, mais des ramifications qui se déta- chent d'el
ges qu'elles embrassent pour ainsi dire (Fig. 8). Au contraire, les
vaisseaux
qui sont situés près de la substance grise et d
parler, Au niveau du bout supérieur de la moelle, là où il y a des
vaisseaux
de nouvelle formation, on voit quelques grosses
entre les macrophages, et qu'elles suivent quelquefois le trajet des
vaisseaux
. A l'autre extrémité inférieure, on voit des ré
isseaux. A l'autre extrémité inférieure, on voit des régions où les
vaisseaux
de uuu- velle formation sont entourés de faisce
ou réunies en faisceaux ; elles suivent plus ou moins le trajet des
vaisseaux
ou du tissu conjonctif; quelques- RECHERCHES SU
breux plexus nerveux fibrillaires que nous avons décrits autour des
vaisseaux
de nouvelle formation sont des fibres en régéné
lle formation. On rencontre encore des faisceaux nerveux autour des
vaisseaux
qui se trouvent dans cette névroglie épendymaire
également dans le septum antérieur suivant de près la direction des
vaisseaux
(Fig 13). Ils ne sont pas si volumineux que ceu
(PI. LXIII). Les méninges sont absolument intactes ainsi que leurs
vaisseaux
. Afin de vérifier s'il existait une atrophie nu
ée à son centre ; mais, sur tout le pourtour, il existe de nombreux
vaisseaux
qui lui forment comme une paroi vasculaire ; ce
nombreux vaisseaux qui lui forment comme une paroi vasculaire ; ces
vaisseaux
sont de petite dimension, gorgés de sang, ne pr
gique comprenant aussi les muscles qui s'insèrent sur ces os, leurs
vaisseaux
et leurs nerfs, et qu'on peut appeler le système
par du tissu fibreux adulte, relativement compact par endroits. Les
vaisseaux
sont presque [tous malades, leurs tuniques sont
Par places il y a un peu d'adi- v pose interstitielle. La paroi des
vaisseaux
(principalement la tunique externe) est légèrem
nérescence hyaline ; la pigmentation n'est pas exagérée. Quelques
vaisseaux
ont subi la dégénérescence hyaline, leur paroi es
me tuméfiée, granuleuse, mais sans multi- plication des noyaux. Les
vaisseaux
sanguins sont, en général de volume 512 - ; ALQ
Au voisinage de ces foyers, et en leur absence, on peut trouver des
vaisseaux
plus ou moins volumineux, rétrécis ou thrombose
'ordinaire, on ne trouve pas d'accumulation leucocytique autour des
vaisseaux
des méninges molles et de la moelle : en plus de
araissent pouvoir aller jusqu'à la myélomalacie, indépendamment des
vaisseaux
sanguins (Schmaus), enfin, la dilatation des vo
° Pour les uns, il s'agit d'un oedème mécanique. L'oblitération des
vaisseaux
, au niveau et autour des lésions tuberculeuses de
s, plus intenses à la périphé- rie de la moelle. Méninges molles et
vaisseaux
sanguins sans lésions ; cellules nerveuses : le
tamment dans les cordons postérieurs. Intégrité complète des autres
vaisseaux
et des méninges. Pas de lésions dans les autres
t là, quelques cellules géantes et petits foyers nécroti- ques. Les
vaisseaux
intra-médullaires et intra-radiculaires sont ento
ues. Rien aux méninges ; quelques rares amas leucocytiques dans les
vaisseaux
sanguins. Pas de lésions du cervelet, en partic
omalacie, limités à la substance blan- che du cordon latéral. Les
vaisseaux
sanguins largement perméables, pleins de sang, pr
épithéliaux. Quelques granulations noires diffuses par le Marchi.
Vaisseaux
sanguins partout largement perméables, les veines
est respectée. Au ni- veau. du foyer, les méninges molles et leurs
vaisseaux
sont intacts : les racines sclérosées avec atro
e Marchi. Le canal central ne peut être nettement dif- férencié des
vaisseaux
intra-médullaires, qui apparaissent béants, plutô
lexes, et d'interprétation délicate. Nous avons toujours trouvé les
vaisseaux
sanguins largement perméa-' bles. Aussi bien da
atteintes à leur sortie de la moelle. La pie-mère est intacte, ses
vaisseaux
largement dilatés, ceux des racines, épaissis m
de Goll ; pas de gaînes dilatées ni de cylindres-axes tuméfiés ; les
vaisseaux
san- guins partout bien perméables, quoique de
es lésions de l'inflammation banale, avec accumulation au- tour des
vaisseaux
, de nombreux polynucléaires. Ici, comme dans l'ob
e et ne semble pas pouvoir comprimer notablement les racines ni les
vaisseaux
. Les méninges molles n'adhèrent à la dure-mère
ules polymorphes. Chroma- tolyse légère des cellules nerveuses, les
vaisseaux
sont dilatés, pleins de sang. Ces. XIII (n° 798
n dans toute la hauteur de la moelle, sclérose des méninges molles.
Vaisseaux
largement remplis de sang, plutôt dilatés. Lési
, est un tissu de sclérose sans tuber- cules, contenant de nombreux
vaisseaux
sanguins artériels et veineux, remplis de sang,
e nombreux lymphocytes : cette infiltration se pro- page autour des
vaisseaux
à l'intérieur de la moelle et des racines. La moe
ue, au niveau des lésions tuberculeuses de l'espace épi- dural, les
vaisseaux
sanguins sont oblitérés comme dans tout tubercule
ntués ; nous n'avons pu trouver aucun parallélisme entre l'état des
vaisseaux
sanguins de la moelle et les lé- sions de celle
ntraire, disséminés dans la protubérance on voit autour de quelques
vaisseaux
des grains de pigment hématiques mélangés à des
arbre de vie précédant la branche horizontale médiane est percée de
vaisseaux
très dilatés et entourés de grains noirs (Fig.
x foyers scléreux. On voit une lacune de désintégration autour d'un
vaisseau
à paroi épaissie.Les cellules ner- veuses sont
. On remarque aussi une petite lacune de désintégration autour d'un
vaisseau
. Dans la moelle cervicale, on ne voit pas de lé
e cavité creusée dans la substance grise tout autour d'un groupe de
vaisseaux
: on la voit à peine à l'oeil nu, mais avec le
presque complète. On y trouve des détritus et des leucocytes ; les
vaisseaux
sont épaissis, mais, cependant, ils sont perméa
médullai- res ont pour caractéristique d'avoir, dans le milieu, un
vaisseau
perméa- ble entouré par une substance amorphe e
rganes sont imprégnés de bromure. Le médicament n'agit plus sur les
vaisseaux
et l'infection prend le dessus. Quand nous supp
noyau collé contre la paroi ou un noyau central : des nerfs et des
vaisseaux
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
te des éléments nerveux, fibres et cellules. Extrême altération des
vaisseaux
. Syphilis probable, mais les vais- seaux n'en p
de dans les cordons posté- rieurs, était constituée par de nombreux
vaisseaux
, à lumière très rétrécie, à tunique interne lég
érite avec propagation du processus inflammatoire aux alentours des
vaisseaux
. Il convient d'en rapprocher les altérations sé
ouve aussi dans la paralysie agitante. Quant à l'épaississement des
vaisseaux
, il n'at- teint jamais dans la moelle de vieill
chez le vieillard, on ne rencontre pas la couche grenue externe des
vaisseaux
, ni la sclérose périvasculaire. Ces lésions a
s éléments lymphatiques et la présence de noyaux adventices sur les
vaisseaux
sanguins. Ces altérations sont, en somme, celle
couleur cuir, devient de plus en plus blanche en même temps que les
vaisseaux
sont beaucoup moins visibles que dans l'atrophie
se solitaire dans la région lombaire. Ce tuber- cule est parti de ?
vaisseaux
centraux. Son travail est remar- quable surtout
eucocytes. L'infiltration est surtout marquée dans le voisinage des
vaisseaux
qui sont dilatés et remplis de beaucoup de sang.
aux qui sont dilatés et remplis de beaucoup de sang. Les parois des
vaisseaux
sont de même infiltrées de leucocytes et de gra
névroglie multipliés. On observe régulièrement dans la gaine des
vaisseaux
, dont les parois sont infiltrées, des agglomérati
intenses de leucocytes. Ces infiltrations, s'assemblant autour des
vaisseaux
, prennent soit la forme d'un cylindre, soit celle
peut se convaincre que ce tuber- cule se place sur la courbure d'un
vaisseau
dont les parois présentent une infiltration int
n peut voir même dans d'autres coupes, où elle est remplacée par un
vaisseau
. Or, on peut bien supposer que dans ce dernier ca
r que dans ce dernier cas le tubercule a été posé sur la paroi d'un
vaisseau
. Dans le cordon latéral, on voit six agglomérat
istinctement la manière dont les infiltrations se pla- cent sur les
vaisseaux
, dont elles les entourent et enfin comment elle
nous observons, au lieu d'infiltrations, une section transverse de
vaisseaux
plus ou moins grands dont la gaine est remplie d'
de petits îlots de cellules rondes placées, en partie, autour d'un
vaisseau
(fig. 8). Dans une coupe, on a pu observer, au cô
venant de cette partie de la moelle l'infiltra- tion des parois des
vaisseaux
est particulièrement abondante et elle pénètre
Goll et dans ceux de Burdach, on observe un nombre considérable de
vaisseaux
entourés de petits amas de leucocytes. Il y a a
Il y a aussi quelques amas de leucocytes qui ne contiennent pas de
vaisseau
au centre. . La surface entière de la moelle es
face entière de la moelle est riche en leucocytes et en noyaux. Les
vaisseaux
autour du canal central oblitéré sont exces- si
ier, nous pou- vons remarquer que, dans quelques-unes, les nombreux
vaisseaux
entourés de petits amas de leucocytes, qui se t
idal croisé droit, deux nodules confluents placés tous deux sur les
vaisseaux
. Dans la corne postérieure gauche, vers la péri
roupe de leucocytes. Dans la corne postérieure droite, le long d'un
vaisseau
, on remarque une infiltration très dense et all
re. Le cordon postérieur, sauf une légère infiltration le long d'un
vaisseau
, reste intact. De plus, nous avons constaté une
de la pie-mère ainsi que de la surface de la moelle. Les parois des
vaisseaux
y sont aussi légèrement infiltrées et le canal
ns grands, des infiltrations qui se placent le plus souvent sur les
vaisseaux
dont elles remplissent la gaine. Elles se propage
se propagent, principalement à partir de la périphérie, le long des
vaisseaux
et des tractus conjonctifs dans l'intérieur de
rement depuis la périphérie, le long des tractus conjonctifs et des
vaisseaux
, mais on peut chercher aussi son point de dépar
vaisseaux, mais on peut chercher aussi son point de départ dans les
vaisseaux
centraux. Les nodules tuberculeux ont le même c
pois (Raymond). ~~ Ils peuvent se ramollir. Ils se placent sur les
vaisseaux
, ainsi que les infiltrations isolées que l'on d
nes inflammatoires ; prolifération de la névroglie et lé- sions des
vaisseaux
. Ces dernières se présentent comme endo- périva
acines et aux endroits où s'étendent les tractus conjonctifs et les
vaisseaux
dans la moelle. Toute la surface de la moelle est
se est normale. Sur quelques coupes, on trouve, dans les parois des
vaisseaux
, de petites agglomérations de leuco- cytes. A c
e d'une part par l'infiltration diffuse ou isolée des membranes des
vaisseaux
et, d'autre part, par les processus inflammatoire
d'autre part, par les processus inflammatoires dans les gaines des
vaisseaux
, les processus amènent l'épaissis- sement des p
s vaisseaux, les processus amènent l'épaissis- sement des parois de
vaisseaux
; et peuvent donner naissance même aux tubercul
unir pour faire naître les tubercules mixtes. , Les processus des
vaisseaux
et de la névroglie produisent des PSYCHOSES DE
e vasculite tuberculeuse qui peut aboutir jusqu'à l'oblitéralion du
vaisseau
. Il y a encore des dégénérescences secondaires
s troubles trophiques, il faut tenir compte encore des troubles des
vaisseaux
lymphatiques. Dans la pie-mère, on n'a pas trou
yroïdectomie quelques morts subites; en raison de la friabilité des
vaisseaux
dans la maladie de Basedow et vu la nécessité de
utres par de larges bandes de tissu conjonctif lâche où courent les
vaisseaux
sanguins de distribution. Les veines sont gorgées
athies; on peut en dire autant des altérations de la névroglie, des
vaisseaux
et des cellules. La distinction avec la démence
roglie; ces derniers présentaient un état de division du noyau. Les
vaisseaux
étaient peu altérés à part ici et là de la karyok
hologique ne sait pas distinguer les affections syphi- litiques des
vaisseaux
(l'artérite gommeuse étant, bien entendu, mise
ralysie générale. La maladie, due 'à des lésions athéromateuses des
vaisseaux
, débute de quarante- 'cinq à cinquante-cinq ans
s rénales. Le cerveau est peu atrophié. Les gaines lymphatiques des
vaisseaux
sont agrandies; on constate l'existence de peti
lésions en foyer (microscopiques), de la névroglie au voisinage des
vaisseaux
dégénérés. Cette forme se dislingue donc par le
s avec la syphilis, il existe des lésions diffuses, portant sur les
vaisseaux
et le tissu con- jonctif et étendues à une très
. Tout l'intérêt que présente cette moelle se rapporte à l'état des
vaisseaux
et surtout des méninges. La pie-mère, du haut e
amas sont ordinairement triangulaires et embrassent l'origine d'un
vaisseau
au niveau de son entrée dans la moelle. Il se for
nt une tache violette. Les cellules sont orientées parallèlement au
vaisseau
et, sur la face externe, parallèlement à la ménin
es méningo-myéliles syphilitiques en voie d'évolution (fig. 9). Les
vaisseaux
qui cheminent à la surface de la pie-mère ont sub
entrevoit encore vaguement un noyau en bâtonnet. Le calibre de ces
vaisseaux
est parfaitement conservé, il n'existe ni diste
a moelle elle-même ne paraît pas avoir souffert de la lésion de ses
vaisseaux
nourriciers. En aucun point ses éléments n'ont su
ont subi de dégénérescence avancée. Les capillaires sont sains. Les
vaisseaux
de moyen calibre ont leurs parois épaissies et
sont intacts, ainsi que les noyaux d'origine. Quelques-uns des gros
vaisseaux
qui pénètrent dans la protubé- rance présentent
isibles à l'oeil nu sur les coupes colorées à l'hématoxyline. Les
vaisseaux
de la substance cérébrale sont extrêmement malade
lière et par l'intensité étonnante de l'infiltration des parois des
vaisseaux
de moyen calibre. Les capillaires sont relative
èrement l'élément conjonctif, dans lequel les lésions spéciales des
vaisseaux
jouent un rôle prépondérant, avec celui qui con
OBS. 1.) La dégénérescence toute particulière des éléments et des
vaisseaux
de la pie-mère spinale, qui respectait pourtant l
partie sur un espace considérable, à la dégénérescence colloïde des
vaisseaux
de l'écorce cérébrale , décrite par M. Magnan d
a maintenant nous faire connaître des lésions de la pie-mère et des
vaisseaux
médullaires, qui sont com- plètement indépendan
iltration embryonnaire interstitielle discrète qui accom- pagne les
vaisseaux
. La membrane conjonctive qui entoure les fascic
cules de ces racines est assez fortement épaissie et infiltrée. Les
vaisseaux
de la moelle elle-même sont peu atteints par l'in
pace assez limité, les cellules embryonnaires accumulées autour des
vaisseaux
de la pie-mère, accompagnent ceux-ci sur une ce
eau des cordons postérieurs. · Outre ces lésions irritatives, les
vaisseaux
des régions dégénérées présentent une sclérose
nt une sclérose assez modérée de leurs parois. Cette réac- tion des
vaisseaux
vis-à-vis des processus morbides qui les entou-
és enlre les faisceaux conjonctifs et particulière- ment autour des
vaisseaux
. Les veines sont extrêmement malades; la paroi
x- terne légèrement infiltrée, mais sans trace d'endartérite. Les
vaisseaux
de la substance du bulbe et de la protubérance
sont beaucoup plus atteints et l'infiltration qui accompagne leurs
vaisseaux
évolue vers la transformation fibreuse; les vei
cellules de la moelle ni des fibres des racines antérieures. Les
vaisseaux
médullaires proprement dits sont beaucoup plus
ent; cette lésion n'est pas limitée aux cordons postérieurs, où les
vaisseaux
offrent en outre une sclérose modérée de leurs
s sont sains. La protubérance et le bulbe contiennent quelques gros
vaisseaux
infiltrés. Les veines et les capillaires sous-j
es prédominent tou- jours sur la pie-mère et l'arachnoïde, mais les
vaisseaux
de la substance médullaire elle-même sont plus
nsécutive à la destruction des élé- ments nobles, prédomine sur les
vaisseaux
des cordons dégé- ÉTUDE SUR LA. IBNINGO-NY&
e préciser la nature du processus. Les lésions de la méninge et des
vaisseaux
sont essentiellement différentes des altéra- ti
la plaque de myélite de l'ob- servation IV et la sclérose lente des
vaisseaux
d'un faisceau pyramidal dégénéré à quelque péri
aisceau pyramidal dégénéré à quelque période qu'on l'examine. Les
vaisseaux
et le tissu connectif, en-un mot l'appareil mésod
en vue, quelques éléments épars de ce pro- cessus morbide; certains
vaisseaux
de la sclérose en plaques peuvent bien donner l
roglie et des produits de destruction inflammatoire. .Ce sont les
vaisseaux
qui débutent. Ils forment le centre de chaque f
la névroglie s'altère à son tour. Quant aux lésions des parois des
vaisseaux
qui ouvrent la scène, elles consistent en une i
ë> la lésion s'étend uniformément à une distance assez grande du
vaisseau
, la substance blanche est plus grenue, les cyli
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 389 foyers il y a néoformation de
vaisseaux
sanguins, tandis qu'autour du vaisseau lésé là
yers il y a néoformation de vaisseaux sanguins, tandis qu'autour du
vaisseau
lésé là destruction des tissus nerveux suit son c
es cas; les adhérences localisées dans 14,9 p. 100. La sclérose des
vaisseaux
de la base existait dans une pro- portion de 12
férentes voies varie selon le degré de contraction ou de béance des
vaisseaux
; la distribution du sang dans les différentes p
rable 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. de calorique due à la dilatation des
vaisseaux
cutanés, cette der- nière étant elle-même sous
foyer de ramollissement dans la région de l'oculo-moteur droit. Les
vaisseaux
grands et petits présentaient partout des altér
coloration légèrement jaunâtre et sont sillonnées çà et là par des
vaisseaux
. Lorsqu'on examine le cerveau en dehors de la s
e interne, de parties dures, sur lesquelles cheminent deux ou trois
vaisseaux
d'apparence capillaire. - A la partie moyenne,
éphalitir¡ue avec désintégration de l'écorce, aussi bien autour des
vaisseaux
émanés de la pie-mère qu'au voisinage de ceux d
s fibres sont hypertrophiées et les tuniques interne et moyenne des
vaisseaux
sont sclérosées. Les interstices sont remplis de
lots périvasculaires, fonte névro- glique autour de ceux-ci). Les
vaisseaux
subissent la dégénérescence fibreuse. Les méninge
rmés pé- nètrent dans la substance grise, et, autour de ces amas de
vaisseaux
la substance nerveuse se nécrose. Il s'agit là
des fibres à myé- line. Les altérations dominantes sont celles des
vaisseaux
qui semblent avoir été le siège d'un processus
des espaces périvasculaires très dilatés et, dans les parois des
vaisseaux
, on trouve une augmentation du nombre des noyau
voit un certain nombre de taches scléreuses de petites dimensions (
vaisseaux
avec parois très épaissies). Les fibres nerveus
culaires 112 Examens histologiques. sont très épaissies, avec des
vaisseaux
très dilatés. Quelques bandes de sclérose parte
udo-canaliculées, recouvertes de cel- lules cubiques. Du côté des
vaisseaux
, on observe une artérite fibrillaire qui tend à
myéline est très granuleuse. Entre ces fibres et dans la gaine des
vaisseaux
, on trouve des quantités de cellules rondes dont
s dont le protoplasma est rempli de granulations myéliniques. Les
vaisseaux
sont assez nombreux, mais présentent peu d'alté
peu de protoplasma. On trouve cependant, ..dans...le voisinage des
vaisseaux
, quelques grandes cellules araignées il. protop
lules sont souvent disposées en tourbillons, en spirales autour des
vaisseaux
, elles sont peu abondantes. Il y a peu de grand
s, apparaissent de grandes cavités remplies de blocs arrondis et de
vaisseaux
ddates ; par contre, les régions les plus exter
ourbillons, en spires, qui domine. Il en est ainsi au voisinage des
vaisseaux
. Ceux-ci présentent des lésions typiques ; leur
Au début du processus cavitaire, on voit se produire au- tour des
vaisseaux
ou même dans un point quelconque du tissu une d
onctives el, dans leur interstice, très peu d'éléments migrateurs ;
vaisseaux
nombreux, avec parois épaissies, sclérosées et
nt 1'IE Histologie. radiairc. Il y en a beaucoup au voisinage des
vaisseaux
et dans la substance corticale. La paroi des ve
ules est at- teinte d'un certain degré de sclérose fibrillaire; ses
vaisseaux
sont ectasiés, mais l'épithélium épendymaire n'
ithélium épendymaire n'a pas subi de prolifération notable. , Les
vaisseaux
présentent des altérations importantes, prin- c
méningée existe une uéofornla- tion de capillaires abondants ; les
vaisseaux
plus importants sont atteints d'endartérite. Au
a, il noyau très coloré par l'hématoxyline ; ces amas entourent let
vaisseaux
comme un manchon. En certains points, ces amas
viennent très con- sidérables et peuvent même être indépendants des
vaisseaux
. La pie-mère présente, elle aussi. une vascular
paisseur de la paroi ventriculaire, très sclérosée, criblée de gros
vaisseaux
béants, autour des- quels le tissu se raréfie;
d'une zone scléreuse assez dense, dans leur intérieur flottent-des
vaisseaux
sclérosés, parfois réunis en amas comme de véri
nt fibreux avec prolifération vasculaire et sclérose des parois des
vaisseaux
, principalement au niveau de la zone externe ;
plus importants semblent se passer dans la névroglie et du côté des
vaisseaux
. La névroglie épendymaire est très dense, les c
L'hyperplasie est ici bien plus fibril- laire que cellulaire. Les
vaisseaux
, qu'ils appartiennent aux méninges ou à la subs
bien des points, la raréfaction de ce tissu fibreux : dès lors, le
vaisseau
apparait formé de deux cercles concentriques, l
rappelent la struc- ture de la dure-mère ; pauvre en cellules et en
vaisseaux
, elle renferme de véritables lacs sanguins ou s
us fines qui circonscrivent de grands espaces libres. Le nombre des
vaisseaux
calibrés augmente au sur et à mesure que l'on s
la paroi épendymaire s'observe dans beaucoup de cas. - Du côté des
vaisseaux
de la substance blanche et de la portion inféri
anuleux, avec un certain de ? ré d'endartérite ; souvent aussi, les
vaisseaux
sont envahis de l'extérieur vers l'intérieur, p
le la circonvolution. Cette masse glieuse est parcourue de nombreux
vaisseaux
à parois épaissis et abondants surtout dans la
iant les cas en pleine évo- lution. Il existe dans le voisinage des
vaisseaux
, une hyper- pla,ie névroglique considérable, so
s forme de nodules végétants allant jusqu'à oblitérer la lumière du
vaisseau
. A là périphérie de ces nodules, la névroglie d
rticales séparées de leur centre ovale comme par un fossé rempli de
vaisseaux
libres et de nodules glieux, et cela sur, toute
rose ; elle semble cependant prédominer surtout au voisinage des
vaisseaux
. On observe aussi des bandes scléreuses qui par
e tout coïncidant avec l'hyperplasie névroglique et la sclérose des
vaisseaux
. III. Hydrocéphalies. L'examen des coupes per
é les mômes résultats. On constate, en résumé, la prolifération des
vaisseaux
et,, des cellules non différenciées ; un retard
ment de diagnostic encore avec l'érythromélalgie, dans laquelle les
vaisseaux
rétiniens sont dilatés et turgescents. Dans deux
. III. OEdèmes chroniques. A. Au cours des maladies du coeur, des
vaisseaux
, des reins,r : tll cours des cachexies, et de c
ste également dans le petit bassin, aucune cause de compression des
vaisseaux
sanguins ou lymphatiques. Les ganglions inguinaux
e qui atteint la pointe de cette corne. Dans cette lacune,'quelques
vaisseaux
à parois épaisses. Au niveau de la IVe racine c
u clair, 'vacuolaire, tous éléments d'origine névroglique. Quelques
vaisseaux
traversent cette cavité. ' Le V° étage radicula
face de l'encéphale. Les noyaux très apparents suivent la gaine des
vaisseaux
ou pénètrent en pleine substance cérébrale, s'arr
d d'une plaque de méningo-encéphalite. H. Dégénérescence hyaline d'un
vaisseau
de l'ence- phale dans un tissu d'infiltration.
eprésentent des lumières vasculaires plus ou moins lésées. Entre le
vaisseau
peu atteint de la périphérie du placard, entouré
estent distinctes et non infiltrées et la tache hyaline, trace d'un
vaisseau
oblitéré, comme il en existe dans les régions p
trales, on peut rencontrer tous les intermédiaires. La majorité des
vaisseaux
est cependant très atteinte et la plupart reprodu
r les hémisphères. Les ménin- ges infiltrées, contenant de nombreux
vaisseaux
dilatés et épaissis, restent presque partout bi
e transversale, sans épilleélium tet, mais encombrée de noyaux. Ses
vaisseaux
satellites comme ceux du reste de la colonne gr
rieures, surtout de celles qui ont subi une déviation marquée, les
vaisseaux
sont nombreux, parfois sinueux et dilatés. La
rée fortement du côté de la corue postérieure la plus allongée. Ses
vaisseaux
sont dilatés, remplis de globules, mais non mod
par un pont de substance intacte ; autour de ces zones, il n'y a ni
vaisseaux
ni cellules jeunes. Le long des septa pénètre
air de la coupe. Quelles sont les modifications de la pie-mère, des
vaisseaux
extra-médullaires, des racines ? ' ! Les méning
olorée; nulle part on ne peut voir une zone nettement ramollie. Ses
vaisseaux
sont très nombreux : simples fentes du tissu conj
eaux sont très nombreux : simples fentes du tissu conjonctif larges
vaisseaux
à parois minces, gorgés de sang, étroitement ento
sie uniformément, la lumière rétrécie, encore perméable. Les petits
vaisseaux
sont aussi très atteints ; l'anneau fibreux qui f
s épais, formée par la pie-mère épaissie, infiltrée, accompagnée de
vaisseaux
flexueux, dilatés, à parois modifiées. L'artère
istant, ont leur noyau vivement coloré et renferment à côté de néo-
vaisseaux
nombreux, beaucoup de vaisseaux de calibre moyen,
coloré et renferment à côté de néo- vaisseaux nombreux, beaucoup de
vaisseaux
de calibre moyen, entière- ment thromboses et a
pie- mériens disparaissent dans la masse des noyaux infiltrés, les
vaisseaux
sont plus ou moins lésés, mais presque tous att
, des altérations constantes du canal central el des lésions de ses
vaisseaux
satellites. De notre côté, nous avons noté surtou
épithélium distinct, il était rempli par une masse nucléaire ; ses
vaisseaux
annexes n'étaient pas lésés. Les modification
infiltrées, mais jamais sur un système fasciculaire déterminé. Les
vaisseaux
sont altérés dans les masses nucléaires, qui co
ibreux de la pie-mère et qui montre en un point une accumulation de
vaisseaux
à endo- thélium net, semblant creuser en plein
mulant un tissu caverneux. Boettiger signale la grande abondance de
vaisseaux
« qui n'ont que de minces parois, endothélium et
su jeune entourant la moelle est surtout intéressant par l'état des
vaisseaux
qu'il contient. Les formes à évolution rapide, ca
amollissement étendus, ni de lésions parenchy- maleuses aiguës, les
vaisseaux
étaient moins gravement lésés que les petits va
aiguës, les vaisseaux étaient moins gravement lésés que les petits
vaisseaux
de l'encéphale. A côté des néo-vaisseaux à parois
inces etétroi- tement serrées par les masses nucléaires, les autres
vaisseaux
montraient surtout de l'infiltration de l'adven
ssions extérieures et à l'épais- sissement des tuniques. Tous les
vaisseaux
de la moelle étaient encore perméables, les vais-
ément caractéristique, sous forme de granulations fines le long des
vaisseaux
. Oddo et Olmer (1) ont rapporté un cas de lepto
ien de pathologique du côté du foie, de la rate, du coeur, des gros
vaisseaux
, des reins et des urines, de l'appareil génital.
tomoses similaires anormales ; au niveau des soudures costales, ces
vaisseaux
et nerfs passaient en de- dans du plan osseux,
dyme, on 148 SPILLMANN ET COCUE voit deux traits plus foncés (des
vaisseaux
) et également une zone plus colorée sur laquell
brilles diversement associées, au milieu desquelles se trouvent des
vaisseaux
de calibres variés, et par endroits des cellules
ées, sauf dans la région centrale où la zone foncée contigue à deux
vaisseaux
est une zone de dégénérescence. Les parties clair
sition des faisceaux cellulaires de la tumeur, et l'orientation des
vaisseaux
; et il est facile de suivre la pro- gression d
la moelle vers les parties périphériques. -C'est parallèlement aux
vaisseaux
que se développent les trousseaux cellulo-fibrill
ent les trousseaux cellulo-fibrillaires ; de telle sorte que si les
vaisseaux
ont une direction rectiligne ou siuueuse, ces tro
. Par suite du développement continu de ce nouveau tissu autour des
vaisseaux
, suivant les réseaux névrogliques préexistants,
plus petites, jusqu'à disparaître complètement (PI. XXXIII). Les
vaisseaux
sont nombreux dans certaines parties de la tumeur
hémo1'l'hagiques au sein même de la tumeur. On trouve cependant des
vaisseaux
mieux constitués ; les parois sont relativement
es à leur coloration rose due à la fuchsine acide. Par endroits ces
vaisseaux
forment des sinuosités nombreuses, accolées les
ne de dégénérescence centrale de nombreuses sections de deux petits
vaisseaux
oblitérés par un caillot fibrino-cruorique. Il n'
énérescence du tissu voisin. Dans toute la zone en rapport avec ces
vaisseaux
qui est irriguée par de petits capillaires colla-
s prolongements névrogliques profonds bien nets (PI. XXXIV, P). Les
vaisseaux
n'offrent aucune modification sensible. Ni les
NN ET 110CUE est considérablement épaissie; l'infiltration suit ses
vaisseaux
, comme elle a suivi les capillaires intra-médul
arrière de la commissure grise, et comme encadrée en avant par les
vaisseaux
centraux, arlères et veines, ra- meaux des artè
et veines, ra- meaux des artères et veines du sillon antérieur. Ces
vaisseaux
sont ext1'001'di- nairement développés ; ils pr
ession de petits angiomes. En dehors de ces amas vascu- laires, les
vaisseaux
pénètrent le tissu de la tumeur dans diverses dir
. XXXIV, R). Il y a en outre, dans quelques gaines lymphatiques des
vaisseaux
pie-mé- riens, une accumulation anormale de leu
tre les autres, et présentant leurs noyaux à diverses hauteurs. Les
vaisseaux
ne présentent plus d'altéra- tion (PI. XXXIV, S
de la tumeur, et en considération de la présence de nombreux petits
vaisseaux
, agglomérés et accolés les uns aux autres sous
doit pas être oubliée dans cette discussion, c'est la thrombose des
vaisseaux
centraux au niveau de C.VIII, D. I. Cette thrombo
ste des Nervensystems . Berlin, 1897. 158 SPILLAIANN ET HOCHE des
vaisseaux
, du peu de résistance de leurs parois au milieu d
points de la région dorsale on voit seulement de la dilatation des
vaisseaux
situés à la jonction des deux cornes, avec épai
traventriculaire), un aspect de cordons épithéliaux séparés par des
vaisseaux
sinueux assez régulièrement disposés. Dans d'au
aire, la section longitudinale ou transversale d'un vais- seau. Ces
vaisseaux
sont, dans les parties périphériques de ce prolon
nde normale sauf que les tubes sont beaucoup plus larges et que les
vaisseaux
sont beaucoup plus visibles. (1) Cet aspect jus
GALIE 173 A un grossissement plus fort (Pl. XLI,B), on voit que ces
vaisseaux
n'out pas l'apparencedecapillaires : tous possè
he interne d'élément fib¡'o-plas- tiques absolument remarquable.Les
vaisseaux
les plus petits, situés au centre du prolongeme
ctive relativement plus épaisse, étant donné leur calibre, .que les
vaisseaux
de la périphérie. Ceux-ci sont dila- tés, rempl
tumeur et que nous allons décrire ; c'est ainsi qu'on voit un gros
vaisseau
, tout à fait périphérique, oblitéré par un véri
e. Cellules à 3 noyaux (rares). Les cellules libres dans quelques
vaisseaux
affectent le type général que nous avons décrit
lonne vertébrale ne montre pas de déviation. Le coeur et les grands
vaisseaux
sont sains, ainsi que les poumons; seu- lement
nous attendre à constater une dystrophie plus ou moins intense des
vaisseaux
immédiatement voisins de la variation osseuse,
imultanément les os et les muscles ; un seul d'entre eux touche les
vaisseaux
. Ce dernier, processus commun à toutes les part
: infiltration vasculaire et périvasculaire. Parfois les parois des
vaisseaux
sont épaissies et par ci par là on voit des globu
de la moelle, plus accentuée au niveau de la région cervicale. Les
vaisseaux
de la pie- mère sont souvent infiltrés et épais
que l'examen à l'oeil nu ne l'aurait fait supposer. Les parois des
vaisseaux
interfasciculaires sont notablement épaissies.
sceaux présentent, du reste, ici, des dimensions normales. Mais les
vaisseaux
sont toujours notablement épaissis. Sur les c
antité d'éléments nus que la coloration a laissés invisibles. Les
vaisseaux
, tant de l'endonèvre que de l'épinèvre sont épais
plus foncées, homogènes. NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 343 Les
vaisseaux
intra-fasciculaires sont nombreux et leur paroi é
e. Colloïde dans les vais- seaux lymphatiques et même dans certains
vaisseaux
sanguins où l'on ren- contre des coagulats iden
lats identiques à ceux qu'on trouve dans les lymphatiques. Tous les
vaisseaux
sanguins, y compris les capillaires sont gorgés d
ent pas de colloïde dans leur intérieur. Au voisinage de certains
vaisseaux
, on trouve des cellules conjonc- tives en nombr
yéline (bleu-noir), les noyaux des cellules de la né\ roglie et les
vaisseaux
des centres ou des méninges, dont la tunique mu
r les plasmazellen ; lanevroglie prolifère surtout au voisinage des
vaisseaux
d'une fa- çon diffuse ; enfin on observe une ab
a- çon diffuse ; enfin on observe une abondante formation de néo-
vaisseaux
. 54 sociétés savantes. Dans la syphilis céréb
tubercules sont absolument caractéris- tiques et plus nombreux. Les
vaisseaux
sont un peu épaissis, par- tout parfaitement pe
u tissu fibreux ; elle aussi ne présente pas de tubercules et a ses
vaisseaux
, elle aussi, légèrement épaissis et plutôt cong
rès épaisse de tissu fibreux entourant et étouffant la racine ; ses
vaisseaux
, comme ceux de la racine même, sont tous bien per
e centrale et quelques cellules très riches en pigment. Méninges,
vaisseaux
(excepté un léger épaississement) partout intac
myélinique se colore bien et ne présente pas d'irrégularités. Les
vaisseaux
ont des parois un peu épaisses. Dans les muscle
nt que de très minimes altérations, les méninges sont intactes, les
vaisseaux
légèrement épaissis. Les nerfs périphériques de
es, dans la gaine et près de la gaine adventice, de nombreux petits
vaisseaux
dans la région bulbaire au niveau des 10° et 12e
iltration cellulaire dans les espaces lymphatiques ad- ventices des
vaisseaux
; un moyen degré de leptoméningite chro- nique.
bution à l'anatomie pathologique de la tétanie ; étude clinique des
vaisseaux
de l'encé- phale calcifiés; parA.PicK. (Nl'lWo7
mentale avec agitation auquel elle finit par succomber. Les petits
vaisseaux
et les capillaires du noyau dentelé du cerve- l
en proviennent, on trouve la réaction de l'albuminate de fer ; les
vaisseaux
décalci- fiés ne la fournissent pas. P. Keraval
e lymphome tuberculeux de la région lombo- aortique, comprimant les
vaisseaux
et les nerfs de l'abdomen, et une méningite tub
ique ascensionnelle des éléments inlra-ner- veux (tissu conjonctif,
vaisseaux
, faisceaux nerveux) et celle delà réaction infl
s la plupart des cas. Il va sans dire que les lésions des nerfs des
vaisseaux
favorisent singulièrement l'apparition du sympt
t les muscles lisses et striés, particulièrement les tuniques des
vaisseaux
. Vaso-paralysie et arrêts de sécrétion de l'intes
ue précédent, une déco- loration pupillaire avec rétrécissement des
vaisseaux
, décolo- ration souvent limitée au côté tempora
i, d'après un cas typique. avec Paret : stase des globules dans les
vaisseaux
, diapédèse et accumulation de globules blancs d
les unes disséminées en plein tissu nerveux et in- dépendantes des
vaisseaux
, les autres disposées circulairement dans l'adv
a lésion initiale, fonda- mentale, consiste dans la néoformation de
vaisseaux
et l'hyper- plasie de leur adventice, puis dans
emière de ce complexus, ce doit être une lé- sion inflammatoire des
vaisseaux
; il s'agit en tous cas d'une in- flammation pa
porter surtout sur la tunique externe, de se propager en dehors du
vaisseau
et d'exercer sur les tissus ambiants une action
lombaire. Le point de départ des lésions était visiblement dans les
vaisseaux
(existence d'un vaisseau au cen- tre de la plup
rt des lésions était visiblement dans les vaisseaux (existence d'un
vaisseau
au cen- tre de la plupart des foyers), et la ca
tre part et surtout le périmysium interne et externe ainsi que les
vaisseaux
(théorie classique) concourent à sa production. D
ciser les ca- ractères. Les lymphocytes sont des éléments venus des
vaisseau
\ sanguins, les plasmazellen et les mastzellen s
se aux lois générales : elle esl manifestement conditionnée par les
vaisseaux
et prédomine là où 1'liypeiliéiiiie est la plus
bord du sillon et il la périphérielui contact des méninges dont les
vaisseaux
sont très dilatés. Dégénérations secondaires.
Hammatoiro exercée directement sur la névroglie et les parois des
vaisseaux
sans qu'il y ait une propagation par continuité
ticipation du tissu interstitiel au processus, sans altérations des
vaisseaux
ou hémorragies ; plus tard (2-10 jours), les cy
L'absence d'infiltrations cellulaires dans le tissu ou autour des
vaisseaux
, de lésions vasculaires, d'hémorragies font éca
it par la transmission de la compression directe de la moelle à ses
vaisseaux
. Les phénomènes d' oedème de la moelle décrits
rmettre une certaine circulation collatérale supplémentaire par les
vaisseaux
sanguins et lymphatiques latéraux et postérieur
jusqu'au moment où la flexion de la moelle devient si forte que les
vaisseaux
dorsaux sont eux aussi comprimés par suite de l
r » ; l' oedème parlût plu- tôt dû, selon lui, à la compression des
vaisseaux
san- guins et lymphatiques efférents qu'à l'ext
su épidural. h'ICrL>;R (/. c.) fait observer à ce propos que les
vaisseaux
des parties affectées par la tuberculose et par
à la moelle, contractentdes rapports très peuimpoilants avec les
vaisseaux
médullaires; ils sont, en outre, pour la plu- p
e serait produit en partie par la compression et l'oblitération des
vaisseaux
lymphatiques et sanguins du tissu épidural et d
u'on puisse avoir stase et oedème médullaire par l'oblitération des
vaisseaux
: sanguins et lymphatiques du tissu épidural et
lymphatiques du tissu épidural et de la dure- mère ; en effet, les
vaisseaux
lymphatiques de la dure- mère et du tissu épidu
s, Fickler ne croit pas, que l'oblitération même de nombreux petits
vaisseaux
veineux en relation avec le système veineux spi
ns l'organisme en général grâce aux innombrables communications des
vaisseaux
lymphatiques entre eux on a stase seulement si
peut être provoquée soit par la compression et l'oblité- ration des
vaisseaux
radiculaires, soit, dans les cas où la compress
a compression médullaire est très intense, par la com- pression des
vaisseaux
de la pie-mère ou de la moelle elle- même. Hoch
ement pur plaide en faveur de leur origine. par l'oblitération de
vaisseaux
pénétrant de la périphérie produite par le proc
cherchée, selon Birr (3), Jick- ler, Pick, dans les altérations des
vaisseaux
spinaux mê- mes,. Burr, en effet, attache une c
irrigation sanguine résultant de l'épais-; sissement dés parois des
vaisseaux
spinaux. Si la dégé- nération hyaline et l'épai
seaux spinaux. Si la dégé- nération hyaline et l'épaississement des
vaisseaux
se re- trouvent assez souvent dans les moelles
t Fickler, de ramollissement consiste- rait dans l'oblitération des
vaisseaux
artériels de la pie- mère ou de la moelle par t
x par des traînées d'é- léments inflammatoires propagés suivant les
vaisseaux
. Dans la forme décrite par Piilippe et Cestan (
it l'infiltration intense pie-mérienne ; l'infiltration entoure les
vaisseaux
artères et veines indifféremment, créant ainsi
ses efférentes avec stase etoedèmeconséeutifs, l'oblitéra- tion des
vaisseaux
radiculaires, de la pic-mère ou de la moelle av
H'u avancée et qui contient de nombreux- tubercules typiques. Les
vaisseaux
,'assez nombreux, sont congestionnés : leur paroi
égèrement épaissie, mais n'est pas inlilll,t;p ; seulement quelques
vaisseaux
présentent une très légère inlilUalinn 1W i- va
ules Sl'R LA PATHOGÉNIE DES ALTERATIONS MÉDULLAIRES. 411 géantes.
Vaisseaux
très légèrement épaissis, plutôt congestion z 1
'1' l'st plulôt dilat{'e <JlIl' rétl'{'eie. Dans le» racines les
vaisseaux
, surtout les veines, sont conges- fi01l11l\I'S
s, mais largement perméables. Aucun signe d'inflamma- tion dans les
vaisseaux
radicntairesni dans les racines mêmes : , bien
nombreux vides correspondant à des libres nerveuses détruites Les
vaisseaux
,autant dans le sillon antérieur que dans la moell
naire ni autour des parois ni dans les parois mêmes : dans certains
vaisseaux
il existe une légère dilatation des espa- ces p
sont présents et disséminés dans toute la substance blanche. Les
vaisseaux
se comportent comme dans la coupe supérieure. -
de myélomalacie comme un ramollissement d'origine anémique : les
vaisseaux
sanguins des racines, de la pie- mère, delà moe
bondants surtout dans le voisi- nage du gros tubercule central. Les
vaisseaux
durc-mériens sont très sclérosés, il parois inl
sculaire est accentuée surtout autour du gros tubercule ou quelques
vaisseaux
sont presque complètement oblitérés : la plupar
eaux sont presque complètement oblitérés : la plupart toutefois des
vaisseaux
sont perméables. La dure-mère, latéralement, au
sans pré- senter aucune trace d'inliltration, sans tubercules : ses
vaisseaux
sonldiscrèleinonl sclérosés, mais toutefois lar
du sillon antérieur, sontapla- Lis, vides. . Les racines ont des
vaisseaux
légèrement sclérosés, mais bien perméables, san
nservé el central : dans des rares cellules il est invisible. Les
vaisseaux
, lrl'" légL'remen 1 d{'rot's,ont, surtout les vei
re est légèrement épaissie sur toute la hauteur de la moelle. Les
vaisseaux
n'()/ll'ent,tlall la muelle 10J1lbo-acl'ée et dor
es de l'infiltration et quelques tubercules nefs, Ly ltillucs : les
vaisseaux
sont large- ment perméables, pleins de sang, à
s être infiltrées ; seulement, par endroit, on retrouve autours des
vaisseaux
quelques cellules allongées. ' La dure est disc
ns dense, on aperçoit quelques rares élé- ments embryonnaires ; ses
vaisseaux
, il part un épaississement .très léger, sont ab
sidérablement épaissie, a 15G 1',\ 1 HOLOl,¡r : ? ¡;RVE¡;SES, des
vaisseaux
sanguins normaux, assez congestionnes, lanl il la
mbaire et sacrée, la pie-mère est considéra- Ittementepaissie ; les
vaisseaux
de la moelle, à parois légèrement épaissies, so
s. Dans au- cun pointon n'observe de l'infiltration cellulaire. Les
vaisseaux
des racines sont légèrement épaissis aussi et p
s, celles-ci restant intactes, ni par des troubles ischémiques, les
vaisseaux
ne présentant d'altération d'aucune sorte, la l
agies, par endroit, quelques rares el discrets points casu·w el des
vaisseaux
sanguins nombreux, surtout, à la partie externe
sanguins nombreux, surtout, à la partie externe congestionnés. Ces
vaisseaux
présentent de l'infiltration péri-vas- cnlaine
rme Il'infiltration péri-vasculaire en suivant les capillaires. Les
vaisseaux
des ra- cines sont congestionnés, à parois légè
estionnés, à parois légèrement épaissies, pas infil- trées. , Les
vaisseaux
de la pie-mère sont eux aussi congestionnés avec
ies : leurliunière contient beaucoup de idobules blancs, mais aucun
vaisseau
n'est thrombose. .\ la région dorsale, celle in
e n'est pas déformée, conserve son volume normal : tout le long des
vaisseaux
qui entrent par le sillnn anlnrieur c·L parlapu
. Dans la moelle l'infiltration cellulaire est limitée autour des
vaisseaux
; on ne retrouve pas de lover d'infiltration indé
u lapin à doses modérées, il se produit un rétrécissement subit des
vaisseaux
,de l'oreille, une ischémie extrême, suivis rapi
que de la -, étude clinique . 33 514 TAULE DES MATIÈRES. des
vaisseaux
de l'encéphale c : elcifiés, par l'iclc, . 1G2.
; bientôt elle s'inter-rompait et il n'y avait môme plus l'ombre d'un
vaisseau
perméable. Le nombre des battements du cœur dimin
de la circulation capillaire; après quelques secondes, on voyait les
vaisseaux
se di-later et le cours du sang devenir manifeste
développé dans le tissu fibreux. Les tumeurs étaient peu fournies de
vaisseaux
Ceux-ci, dans les plus grosses tumeurs, étaient
aisceaux conjonctifs ; 5° de cel-lules de tissu conjonctif... ; 4° de
vaisseaux
sanguins, qui ne sont pas très-multipliés. M. Mal
Plusieurs fois, nous avons rencontré la particularité suivante : un
vaisseau
avec une gaine très-épaissie ; de cette gaine par
ile direction d'un de nos meilleurs histolo-gistes, M. Ranvier. il.
Vaisseaux
capillaires musculo-élastiques des veines, par Mu
de faits établissant de la manière la plus évidente qu'il existe des
vaisseaux
capillaires dans la tunique mus-culo-élastique de
s dans la tunique mus-culo-élastique des veines, et que, de plus, ces
vaisseaux
y sont très-nombreux. C'est surtout en examinan
ue M. Muron est arrivé à ces conclusions. — Le réseau que forment ces
vaisseaux
ressemble en tous points au réseau vasculaire du
toujours une proportion d'O. et de CO2 plus élevée dans le contenu du
vaisseau
le plus volumineux ; — 5° Que le sang artériel de
upille par la contraction de son muscle radié : 5° la contraction des
vaisseaux
artériels en général et de leurs branches capilla
e réflexe des vaso-moteurs ; — 2° le relâchement et la dilatation des
vaisseaux
arté-riels en général et de leurs divisions capil
re delà tumeur qui représente les condyles du fémur. Les rapports des
vaisseaux
et nerfs qui traversent le creux poplitée ne sont
de chenevis et circonscrits par des tubes séminifères rougeâtres. Les
vaisseaux
du corps d'Highmore, invisibles sur le testicule
et au sommet de l'angle formé par les deux fragments du péroné. Les
vaisseaux
et les nerfs principaux ne semblent avoir subi au
que les muscles et se dévient avec eux. Il en est de même pour les
vaisseaux
et nerfs postérieurs ; ils se réfléchissent à la
considération la structure de l'organe, ses rapports établis par des
vaisseaux
volumineux, avec l'estomac et le foie, on voit qu
par exemple, on (rouve fréquemment des rates accessoires ayant leurs
vaisseaux
et leurs nerfs particuliers. La rate peut subir
mblait une pulpe noirâtre qui s'écoulait par la moindre pression. Les
vaisseaux
du foie étaient également gorgés 'de sang. Rien d
voyons ensuite les lymphatiques du corps de l'utérus se séparer des
vaisseaux
sanguins, pour se diriger vers la surface externe
l'étude de certains abcès utérins qui paraissent être simplement des
vaisseaux
dilatés. Les abcès utérins ont une paroi lisse, d
sse aussi en revue les plaies par régions, les plaies avec lésion des
vaisseaux
, des nerfs ; les plaies pénétrantes de l'ab-domen
nifestement des fibres musculaires en assez grand nombre, beaucoup de
vaisseaux
à parois entièrement orga-nisées, et, plusieurs é
n excellent effet. Mais la méthode évacua' le, par son action sur les
vaisseaux
pulmonaires et sur la circulation générale est le
de tissu conjonctif la sillonnent dans tous les sens; les parois des
vaisseaux
sont extrêmement épaissies. Nulle part, on ne ren
ée sur une partie en pleine suppuration ; on ouvre alors une série de
vaisseaux
lymphatiques dans lesquels le foyer de matière pu
i peut donner lieu à des produits fétides et oblitère ra-pidement les
vaisseaux
jusqu'à une certaine hauteur de la surface de la
uches d'autant plus dangereuses, que dans ces condi-tions, les petits
vaisseaux
restent toujours béants. 24 mai. — Soir. — Hémo
plus remarquable dans ces points, c'était le volume considérable des
vaisseaux
qui arrivaient près de la surface en droite ligne
arquable au niveau même de la partie ulcérée et spécialement dans les
vaisseaux
artériels, dont les parois étaient intactes, mais
les tuniques moyenne et externe ont été enlevées avec une tumeur, le
vaisseau
résiste dans la grande majorité des cas ; il ne s
nuité. Les plaies par arrachement dans les cas rares où la rupture du
vaisseau
en laisse une partie saillante dans la plaie, et
, il est question d'une dénudation occupant toute la circonférence du
vaisseau
. La plupart des auteurs ne se sont occupés que de
er Fécartement des extrémités artérielles, il faudra donc dénuder les
vaisseaux
le moins possible. Aussi M. Delbarre peut-il conc
ryn-gienne, aucune gêne de la déglutition. —Rien non plus du côté des
vaisseaux
carotidiens. Le refoulement du pavillon de l'or
ts par le galvano-cautère ; 5° Entre ces deux régions, la gaîne des
vaisseaux
carotidiens en bas, et plus haut, la bifurcation
ventives. L'une au-dessus, l'autre au-dessous de la partie dénudée du
vaisseau
. Il ne reste dans la plaie aucune trace apparen
o-moteurs ; les uns dont l'action coïn-cide avec une constriction des
vaisseaux
: nerfs constricteurs ; les autres, dont l'action
-ils pourvus de nerfs vaso-moteurs de deux espèces accompagnant leurs
vaisseaux
? » Pour le sympathique, dont les filets accompagn
isseaux? » Pour le sympathique, dont les filets accompagnent tous les
vaisseaux
, il n'y a pas de doute; relativement aux nerfs co
temporal, les extrémités des pneumo-gastriques excités resserrent les
vaisseaux
; la démonstration est encore à donner pour les au
viscères et des organes péri-phériques au profit du cœur et des gros
vaisseaux
, et l'autre, pro-duisant la dilatation des capill
dilatation des capillaires, amènera la déplétion du cœur et des gros
vaisseaux
au profit des viscères et des organes périphé-riq
nstricteur. — Le grand sympathique agit sur l'élément contractile des
vaisseaux
, et par eux sur la nutrition, par conséquent sur
ties qu'il énerve, d'où le nom de nerf frigorifique ; il resserre les
vaisseaux
et rend ainsi les organes pâles et exsangues, d'o
mmomes, gliomes; eues sont rares ; kystes (Revue). VI. Maladies des
vaisseaux
de la rate : lu maladies de l'artère splé-nique :
chien robuste, nous avons trépané le crâne afin d'examiner l'état des
vaisseaux
cérébraux sous l'influence des courants continus.
pôle négatif sur une plaie du cou, on déterminait un resserrement des
vaisseaux
et le cerveau s'affaissait légèrement, mais d'une
même être observée directement en examinant en même temps l'état des
vaisseaux
de l'œil au moyen humecté ou qu'il est détruit,
ications électrothérapeutiques : 1° le courant ascendant resserre les
vaisseaux
et diminue la circulation, tandis que le courant
t diminue la circulation, tandis que le courant descendant dilate les
vaisseaux
et amène une congestion plus ou moins forte ; 2°
ntercellulaire devient plus dure, striée, souvent même réticulée; les
vaisseaux
comprimés par l'épithélium disparaissent en parti
u a l'aspect et porte les lésions microscopiques de la démence. — Les
vaisseaux
de la base du crâne ne sont pas athéromateux. — S
ts embryonnaires à différentes périodes de leur dé-veloppement. — Le»
vaisseaux
paraissent être assez rares. — L'ensemble des piè
ientôt, les couches périphériques de ces bourgeons trop éloignées des
vaisseaux
se mortifient et subissent la transformation casé
t pressés les uns contre les autres, développement parfois énorme des
vaisseaux
; 5° Tumeurs d'origine osseuse. Le carcinome,
a veine ombilicale et un système artériel. Nous n'avons pas trouvé de
vaisseaux
pour la circulation porte. La veine ombilicale
a partie supérieure, veine cave supérieure, qui fournit bientôt trois
vaisseaux
secondaires : le médian pour l'extrémité céphaliq
ent, tan-tôt elle porte de préférence sur un seul système tel que les
vaisseaux
, 1 Voy. Revue photogr. des hôpitaux de Paris, p
ent dans cette forme d'hypertrophie un développement considérable des
vaisseaux
artériels du col. Or cette assertion du micrograp
e à cette opé-ration. Dans un certain nombre de cas, cependant, les
vaisseaux
utérins sont plus volumineux que normalement; leu
le décrire, présen-tant les particularités suivantes : plusieurs gros
vaisseaux
artériels pénètrent dans la base de la tumeur, qu
a tumeur, qui offre une richesse vascu-laire considérable. Tantôt ces
vaisseaux
sont assez superficiels pour qu'on puisse en sent
teur,l'ergot agissant sur la contractilité des libres musculaires des
vaisseaux
, en rétrécit d'abord le calibre ; de là anémie et
principale préparation, l'extrait aqueux, font contracter les petits
vaisseaux
à tunique musculaire; 2° la contraction des petit
la section des nerfs vaso-moteurs; 4° elle paraît s'étendre môme aux
vaisseaux
pulmonaires, dont la contraction a pour effet de
lard), 207. — Traitement du —, par Guëneau de Mussy, 268. Veines (
Vaisseaux
capillaires musculo- élastiques des), par Muron
contient une grande quantité de tissu dur, d'aspect fibreux. Les
vaisseaux
qui partent de la base du coeur sont en état d'ap
te, une gaine lamelleuse, dont la face interne adhère intimement au
vaisseau
, tandis que sa face externe , répond à une couc
t, par places, de très nombreuses hématies. La paroi des principaux
vaisseaux
est épaissie, surtout dans ses couches externes ;
tions arrondies ou ovalai- res, siégeant dans le voisinage des gros
vaisseaux
et entourées d'une capsule rudimentaire, qui, e
ubstance corticale sclé- rosée, existent quelques corps jaunes. Les
vaisseaux
de la partie centrale sont abondants, gorgés de
apsulaire : seul, le tissu périvasculaire est épaissi, sans que les
vaisseaux
eux-mêmes paraissent lésés. La glande ne présen
est pas épaissie ; il n'existe pas de sclérose interstitielle ; les
vaisseaux
sanguins sont moins nombreux et moins volumineux
régulièrement. Il est difficile de la retrouver dans la plupart des
vaisseaux
lymphatiques. Les vaisseaux du corps thyroïde s
e de la retrouver dans la plupart des vaisseaux lymphatiques. Les
vaisseaux
du corps thyroïde sont gorgés de sang. Par places
de la protubérance et du bulbe, intégrité des fibres à myéline, des
vaisseaux
et de la névroglie, contrastant avec une légère
chromatolyse. Rien à signaler du côté de la substance blanche. Les
vaisseaux
sont normaux. Enfin, pas plus au niveau de l'encé
même en ces points, il n'existe pas de polynucléaires ; de plus, les
vaisseaux
sont normaux : leurs parois ne présentent aucun
de la substance blanche, la pie-mère, le tissu conjonc- tif et les
vaisseaux
intra ou extra-médullaires ne présentent pas non
ifasciculaire et la gaine lamelleuse ne sont pas hypertrophiés. Les
vaisseaux
, vasa nervorum, ne sont pas modifiés dans leur
; il n'y a pas ici de sclé- rose interstitielle hyperplasique. Les
vaisseaux
ne sont pas altérés dans leur structure. Les
su conjonc- tif intrafasciculaire est notablement moins altéré, les
vaisseaux
des nerfs sont normaux. Marinesco tente comme H
dans cette couche ; il n'y a pas de mul- tiplication nucléaire. Les
vaisseaux
ne sont pas proliférés, ils ne présentent pas d
interstitiel nulle part. Ici, comme dans la couche moléculaire les
vaisseaux
ne présentent pas de lésions appréciables ; il
sente pas trace de sclérose, de Ramollissement ou d'hémorragie; ses
vaisseaux
ne présentent non plus rien à noter de particulie
d'infiltration embryonnaire ou de multiplication des noyaux. Les
vaisseaux
ne paraissent pas malades. Noyaux centraux. - L
s ; ne présentent d'infiltration embryonnaire en aucun point. Leurs
vaisseaux
, à part un léger épaississement des parois en q
raréfaction bien que diffuse est toutefois plus marquée autour des
vaisseaux
qui sont un peu épaissis, mais pas infiltrés. A
ion diffuse, et sur les coupes au Gieson d'une légère sclérose. Les
vaisseaux
des racines sont légèrement épaissis ; les vein
rs, diffuse, nullement systématisée, un peu plus accusée autour des
vaisseaux
légèrement épais- sis ; dans la même raréfactio
ifération de tissu interstitiel, ni formation de tissu fibreux. Les
vaisseaux
ne sont que légèrement épaissis. Ces faits, et
r en- seigner le rôle plastique du tissu graisseux sous-cutané, des
vaisseaux
et de la peau elle-même avec ses dépendances. D
s mêmes os avec les mêmes articulations, la même graisse, les mêmes
vaisseaux
, etc... Ce qui diffère, c'est la figuration de
rçoit, sur quelques coupes des divers segments en question, un gros
vaisseau
, fortement dilaté, avec des parois très épaissi
ivasculaire. En gé- 128 ITALO ROSSI néral, tous les autres petits
vaisseaux
situés tant au sein du foyer que dans le reste
mmatoire aigu, dont le point de départ doit être recherché dans les
vaisseaux
. (1) S'ff1U111'ELL, Deutsches Archiv fiir klin.
éressant à la fois les cellules nerveuses, les tubes nerveux et les
vaisseaux
. Mais c'est l'étude de cas de paralysie spinale i
moelle, des petits foyers inflammatoires dans le bulbe au- tour des
vaisseaux
, un gros foyer de ramollissement inflammatoire da
mais aussi en se localisant exclusivement ou simultanément sur les
vaisseaux
de plus gros calibre (1). Ce serait alors à des
attribuant et à une action .de pression du liquide sur la paroi des
vaisseaux
, et à un degré de per- méabilité de cette paroi
y sont comme incluses mais ne participent pas à l'hypertrophie, les
vaisseaux
s'y montrent peu développés et leurs parois ne
une épaisse couche adipeuse sanglée par un derme fibreux dense. Les
vaisseaux
, sans lésions appréciables pouvaient, on le con
ans le syndrome qui nous occupe d'un trouble dans l'innervation des
vaisseaux
lymphatiques. Hertoghe cherche à établir une
ition des fibres transversales du pont. \ remarquer ici, pour les
vaisseaux
, que les artères an voisinage et au sein du foy
dont la prolifération est parfois très considérable. La lumière des
vaisseaux
esten géné- ral fortement rétrécie ; dans quelq
deux côtés. Les racines antérieures sont normales, ainsi que les
vaisseaux
et les mé- ninges de la moelle. 4° Lobe occip
e, soit par la disparition du trombus, soit par l'élargissement des
vaisseaux
non oblitérés ». D'Astros, au travail duquel l'
érations très accusées d'en- dartérite oblitérante dans de nombreux
vaisseaux
, de calibre divers ; dans plusieurs d'entre eux
gestionnés ; bulles d'air surtout dans les veines. Le cerveau.- Les
vaisseaux
cérébraux étaient pleins de petites bulles d'air,
on des bases. ' Coeur. Pas de bulles d'air dans le sang ni dans les
vaisseaux
. Mésentère. Les grands vaisseaux étaient pleins
les d'air dans le sang ni dans les vaisseaux. Mésentère. Les grands
vaisseaux
étaient pleins de grosses bulbes d'air. Les pet
grands vaisseaux étaient pleins de grosses bulbes d'air. Les petits
vaisseaux
en contenaient aussi des plus fines. Estomac et
foyers nécrotiques et des dégénérescences, mais pas de ruptures des
vaisseaux
et des hémorragies, pas de lésions dans la substa
sie des membres supérieurs et l'absence des réflexes tendineux. Les
vaisseaux
de la substance grise et blanche sont dilatés, co
on voit des leucocytes et des éléments arrondis ou fusiformes. Les
vaisseaux
rompus des foyers hé- niorragiques ne présenten
bules du sang (c'est-à-dire des petits foyers hémorragiques dont le
vaisseau
ne se trouvait pas dans la coupe examinée). Dan
ifs de ce tissu nécrosé on voit des petits foyers d'hémorragie. Les
vaisseaux
gorgés de sang présentent de la diapédèse leuco
chées à la moelle; infiltrées de leuco- cytes, elles présentent des
vaisseaux
très congestionnés avec diapédèse. Les méninges
lules ner- veuses sont troubles, les fibres nerveuses gonflées, les
vaisseaux
conges- tionnés ; infiltration et diapédèse leu
ès intéressant : des dilatations énormes, de vrais ané- vrysmes des
vaisseaux
dans la substance même. Les lésions anatomiques
ue avec ça et là des cylindraxes nus et atrophiques. Les parois des
vaisseaux
étaient épaissies. J'ai trouvé ces lésions chez d
légèrement épaissie, infiltrée de noyaux cellulaires, contenant des
vaisseaux
très congestionnés, mais dont les parois ne son
; à droite, dilatation des veines, interruptions de continuité des
vaisseaux
,bords de la papille indistincts (Stauungspapille)
rface des circonvolutions les impres- sions profondes qu'y font les
vaisseaux
. D'abord c'est une sorte d'U, recouvert DE QUEL
ans lequel sont abritées artère et veine; à un stade plus avancé le
vaisseau
est complètement rentré dans l'écorce (fig. 2). '
dilaté dans la partie frontale, il est normal au carrefour. Fig. 2.
Vaisseaux
faisant empreinte dans la substance cérébrale.
ntriculaire du côté opposé au néo- plasme (Icotogr., n° 2, 1905).
Vaisseaux
. Il y en a qui paraissent intacts. D'autres ont u
si la pression' am- biante. Il semble plus simple de dire que les
vaisseaux
sont usures, mortifiés, par l'effet simultané d
sses amorphes comme coagulées (analogues à celles qui entourent les
vaisseaux
) et des vacuoles. Puis vient une large zone d'a
à de simples effets de compression ; il faut ne pas oublier que les
vaisseaux
étaient également touchés par l'infection syphi
dans toute l'étendue du bras, le nerf est franchement en dedans des
vaisseaux
. A la partie infé- rieure du bras, au voisinage
gauche ; vers la partie moyenne, 97 à droite et 140 à gauche. Les
vaisseaux
et la névroglie ne présentent aucune altération d
oite, sur le petit cartilage calcaire. Il n'y a pas de pédieux. '
Vaisseaux
. rM. em&rMeWeurdro. - La radiale, très ténue,
out marquée au niveau des tendons des radiaux et du grand palmaire.
Vaisseaux
et nerfs. Ces organes présentent déjà, au niveau
horax, coeur dans les limi- tes normales, rien à la charge des gros
vaisseaux
. Pouls lent et régulier; les deux pouls radiaux
ité- rantes sont peu fréquentes dans le cervelet et l'angle que les
vaisseaux
forment avec l'artère basilaire rend difficile
. Ces plaques s'organisent souvent, et c'est le cas ici, autour des
vaisseaux
. Dans la Usure 2 au contraire la couche molécul
des grains, on voit aussi s'organiser ,habiluellement au- tour d'un
vaisseau
, des plaques de sclérose; celle qui est dessinée
yramidaux. D. Lacunes plus petites, dont plusieurs, centrées par un
vaisseau
sanguin. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrièr
at de la cavité ; dans l'intérieur de cette cavité, on remarque des
vaisseaux
dont la paroi épaisse est en dégénérescence hya
ion névro- glique est active, près de la cavité et aussi autour des
vaisseaux
, les fibrilles deviennent indistinctes et peu n
n remar- que des colonnes constituées par un tissu névroglique, des
vaisseaux
et entou- rées par une membrane conjonctive pli
rtl)ür et Thomas et Hauser dans le processus syrin- gomyélique. Les
vaisseaux
sont tortueux, dilatés, extrêmement nombreux (p
sculaires s'épaississent à un point tel que la cavité s'efface ; le
vaisseau
ainsi transformé en un ruban fibreux devient l'
de fibres en dégénérescence, de corps granu- leux en abondance. Les
vaisseaux
étaient normaux, non épaissis, sans aucune infi
est épais ; les glandes sébacées et sudoripares sont normales, les
vaisseaux
ne sont pas altérés. - Glandes vasculaires sa
Il n'existait pas trace de lésions inflammatoires de la peau et les
vaisseaux
étaient de tous points normaux. L'hypophyse a
nsi que du derme, sans que les glandes sébacées et sudoripares, les
vaisseaux
ou soient lésés en rien. Les muscles présenta
pas voir très clair ; les papilles sont un peu congestionnées, les
vaisseaux
en sont dilatés surtout à droite ; les pupilles
va à la cloison inter-musculaire interne et sous lequel passent les
vaisseaux
hu- méraux est l'exagération de l'arcade aponév
us-cutané, l'instrument tranchant a divisé un assez grand nombre de
vaisseaux
anormalement dilatés, réunis en faisceau et forma
de la tumeur, au moins dans les fragments qui m'ont été remis. Les
vaisseaux
capillai- res sont assez nombreux ; je n'ai pas
e, quoiqu'on ne retrouve pas de reliquat manifeste d'une lésion des
vaisseaux
; le trouble circulatoire aura été transitoire, e
ssie, forme comme un rideau étendu au-des- sus de cette cavité; les
vaisseaux
qui sillonnent les circonvolutions se conti- nu
lexion de la séreuse montre que celle-ci est très épaissie, que les
vaisseaux
sont gorgés de sang, et que la paroi de la cavité
é à quelles lois elle était soumise. « Les nerfs sont peu riches en
vaisseaux
, écrivait, en 1866, dans sa thèse d'agrégation,
rtement à l'inflammation. » Et encore : « Les nerfs reçoivent leurs
vaisseaux
des branches artérielles voi- sines, et si les
collatérale, et faisait ressortir la part que doivent y prendre les
vaisseaux
des nerfs. Déjà, Ilyrtl émettait l'opinion que
propre, qui reçoit, de place en place, une série d'anastomoses des
vaisseaux
voisins : de là des voies collatérales toutes p
s collatérales toutes prêtes. » De son côté, Porta avait trouvé les
vaisseaux
des nerfs largement dilatés par le sang, dévié
rneuil. ' Medicin..Jahrb.. Wien., 18&5, p. 272. ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 3 les varices des nerfs et
enait donc d'un grand intérêt de soumettre à une étude complète les
vaisseaux
des nerfs chez l'homme. La méthode de la double
st donc commune : elle est fournie par le système des ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 7 thyroïdiennes, et nous ve
- hnes aux ncrfs. Fig. 3. Artères du nerf médian. ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 9 cendant à chacune de ses
t ses arté- rioles d'une grosse artère dont il est satellite, les
vaisseaux
ne l'abordent jamais normalement à sa surface,
rations voulues ou accidentelles des grosses artères. ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 11 toutes ascendantes, et l
E. divisions s'écartent à angle presque droit; ou bien encore, le
vaisseau
afférent ne se dichotomise pas, il s'irradie en
C'est, du reste, dans cet axe cellulo-graisseux du ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 1, nerf, dans les grands
n tronc nerveux reçoit ses artères du tronc artériel satellite, ces
vaisseaux
ne l'abordent jamais perpendiculairement, mais
l'épaisseur d'un cordon nerveux; elle se divise avant ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 15 5 d'y pénétrer, suivant
nes des nerfs profonds : plexus, tissus nerveux satellites des gros
vaisseaux
, nerfs musculaires. I. Les nerfs superficiels
ournit aucune branche. Richement vascularisé, le saphène reçoit ses
vaisseaux
, en haut de la terminaison de la grande anastom
ison de la grande anastomotique, plus loin, de rameaux émanés des
vaisseaux
tibiaux postérieurs, et qui con- tournent le bo
patte d'oie, en un long ramuscule qui suit le côté ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 17 interne du nerf, et que
est aisé de retrouver la série des rameaux qui se détachent des
vaisseaux
tibiaux postérieurs, émergent de l'aponé- v
nche fit. 7. Nerf )712LSC2ll(J-CilEd7tC à la jambe. ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 19 de la saphène externe (V
sur les cadavres frais d'enfants, convergent vers le ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 21 bord postérieur du stern
nguin vers les veines musculaires a déterminé l'atrophie des autres
vaisseaux
, de même que le développement de la deuxième circ
ig. 9. Nerfs collatéraux des doigts. N, N, nerfs collatéraux. V, V,
vaisseaux
colla- téraux. A, A, A, veines des nerfs collat
portent au-devant des muscles profonds du cou, ram- ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 25 pent à la surface, et, s
us de veines mus- culaires ou le rete des vasa vasorum des gros
vaisseaux
adjacents. Ce- ci demande une courte explicat
ème tout spécial, d'une richesse toujours extrême, et ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 27 qui n'est pas sans avoir
veines d'un tronc nerveux satellite (nerf médian). ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 29 niveau de l'anneau, pour
rrêterons pas sur les nerfs muscu- laires : les connexions de leurs
vaisseaux
avec ceux du muscle lui-même semblaient toutes
. ' Nous n'insisterons pas plus longuement, et nous ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 31 ne cherchons qu'à marque
ssez souvent, même en dehors de tout état variqueux, ces Fig. 1j.
Vaisseaux
du plexus brachial. 32 ANATOMIE. veinules son
e et d'activité, le rapprochement se justifie de tout ÉTUDE SUR LES
VAISSEAUX
SANGUINS DES NERFS. 33 point. C'est la même ric
ielle des nerfs. L'incidence oblique, la dichotomie régulière des
vaisseaux
afférents et le long trajet que chaque bran- ch
ve dans les varices, quand le processus d'ectasie s'étend jusqu'aux
vaisseaux
des nerfs, en créant autour de lui une véritabl
Enfin, nous avons signalé les connexions étroites qui relient les
vaisseaux
des nerfs aux vasa vasorum de l'artère voisine
t régulièrement à la lumière et à là dis- tance. Du côté des grands
vaisseaux
de la face et du cou, on n'ob- serve pas des mo
ges, épaississement- des capsules et ligaments. Dans la moelle, les
vaisseaux
sont épaissis ou oblitérés, la dure-mère et les
t que la mélancolie émane de la con- tracture des fibres lisses des
vaisseaux
, tandis que la manie résulte de l'inertie des m
même côté ; 2° épaississement des parois de quelques-uns des petits
vaisseaux
corticaux ; 3° présence de granu- lations à la
e (dans la pre- mière observation) une lésion disséminée des petits
vaisseaux
; leurs lumières et leurs gaines sont dilatées;
caractérisé par la dégénérescence du ganglion entier ; de nombreux
vaisseaux
y étaient atteints de dé- générescence hyaline
parait avoir une consistance solide et ferme partout la lumière du
vaisseau
, sans toutefois adhérer à ses parois. L'artère
de telles proportiùns qu'il n'en reste plus que la char- pente. Les
vaisseaux
qui gagnent cette région sont les uns per- méab
isinage de la pa- pille, on reconnaîtencore beaucoup de fibres. Les
vaisseaux
rétiniens sont ici gorgés de sang, là tout à fa
ncée du nerf optique tient à l'obstruction par thrombose des petits
vaisseaux
qui siègent en arrière de l'embolie. M. GILBE
outre de petits foyers de sclérose disséminés et une altération des
vaisseaux
, symptômes propres à la syphilis du système ner
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 395 plus ou moins distincts ; des
vaisseaux
plus ou moins volumineux apparaissent nettement
sent nettement colorés. Sur les limites de la masse tran- chent des
vaisseaux
ténus. Les plus nets sont les plus petits : rec
x de la paroi étant de deux à cinq fois plus gros que la lumière du
vaisseau
, il faut que la paroi subisse une expansion capab
rois qui aurait pour effet de faire paraître sous le microscope les
vaisseaux
plus étroits qu'ils ne le sont pendant la vie,
nt encore les modes de communication. P. K. III. DÉGÉNÉRESCENCE DES
VAISSEAUX
CAPILLAIRES DANS LA PARALYSIE progressive DES a
ltérations consistent en ; dilatation irré- gulière et variable des
vaisseaux
, dont les parois sont épaissies ou affectées d'
à soixante- quinze ans. L'autopsie révèle une artério-sclérose des
vaisseaux
de la base. La seule altération des éléments ne
s artères ou à des cellules de la névroglie accolées aux parois des
vaisseaux
... Les cellules rondes en nids sont manifestement
tat de veille, mais moins marquées par suite de la constriction des
vaisseaux
. Les états hypno- tiques ne doivent pas être co
ytiques généraux, on rencontre de la péri- artérite des plus petits
vaisseaux
de la pie-mère et de la substance cérébrale, et
s de leptoméningite fibreuse chronique. -Par- fois, dans les petits
vaisseaux
de ces mêmes régions, outre de la péri-artérite
péri-artérite, on trouve de l'endartérite oblitérante, et dans les
vaisseaux
de moyenne grandeur, un épaississement ou une dég
contre, chez les paralytiques généraux, la péri-artérite des petits
vaisseaux
, même chez les individus morts au début de la m
faire accepter l'idée de Meyer, Rumpf, Mendel, que les lésions des
vaisseaux
, à la suite d'hyperhémies persistantes, représe
gère infiltration nucléaire, diffuse ou localisée autour des petits
vaisseaux
de la pie-mère ou de la substance céré- brale.
etc.), la pie-mère peut être légè- rement épaissie, les parois des
vaisseaux
, rigides et tortueuses : altérations semblables
itration de petites cellules et de très graves altérations dans les
vaisseaux
. Dans l'écorce, partout, notamment dans les asc
au niveau de la troisième couche; pas de lésions notables sur les
vaisseaux
, ni dans la névroglie. Il serait possible que l'o
,'91; -et sa folie, par Mackenzie, 217. NÉCROLOGIE, 287. Nerfs,
vaisseaux
sanguins des -, par Quénu et Lejars, 1. Neura
e, M.NIN(-0-MYÉLITE vasculaire diffuse ET lésions SYPHILITIQUES DES
vaisseaux
; Par M. le docteur F. RAYMOND, professeur agrég
ent, qu'elle prédo- mine en tel point ou en tel autre, que les gros
vaisseaux
sont pris ou indemnes, suivant, enfin, que les
s scléreuses et seléro-gomineuses. Enfin lorsque la lésion des gros
vaisseaux
nourriciers de la moelle, artères ou veines, pr
ignature de la syphilis se trouvait dans certaines lésions des gros
vaisseaux
du cerveau et de la moelle. L'Observation II a
ts mentaux. Ce fait me semble bien propre à prouver que ce sont les
vaisseaux
qui commencent le processus dans la paralysie g
élite diffuse embryon- naire de MM. Gilbert et Lion ; 3° Les gros
vaisseaux
de la base du cerveau et des méninges rachidien
s à noyaux arrondis dans la paroi et la gaine lymphatique, pour les
vaisseaux
de calibre, dans la gaine lymphatique seule pou
tacts et la lumière est libre ; de même les noyaux transversaux des
vaisseaux
de calibre, qui appartiennent aux cellules musc
'hématoxyline et exa- minées à un faible grossissement, voit-on ces
vaisseaux
dessiner un Observation 1. Ecorce prise tt la c
tion 1. Ecorce prise tt la convexité du lobe frontal. Lésions , des
vaisseaux
, dont les parois sont surchargées de noyaux; légè
nt surchargées de noyaux; légère hémorrhagie dans la gaine des deux
vaisseaux
les plus volumineux. 7/ema ! <o-c ! /<M6/
e grossissement on voit qu'elles présentent toutes à leur centre un
vaisseau
assez volumineux et que leurs limites répondent
et que leurs limites répondent assez bien à celles de l'aire de ce
vaisseau
. A un plus fort grossissement, la substance fon
ées. Pédoncules cérébraux, protubérance et bulbe. Les lésions des
vaisseaux
de tout calibre sont exactement semblables à cell
ndent parfaitement compte. Les lésions de la pie-mère et des gros
vaisseaux
de la base sont considérables ; les premières s
filtration embryonnaire périvasculaire ; quant aux lésions des gros
vaisseaux
, je les décrirai plus loin. 16 PATHOLOGIE NER
, dont le fascicule supérieur contient une petite gomme; lésion des
vaisseaux
de la moelle. 7M ? M<o.N/MM de Delalield, éo
; pourtant il ne parait pas en manquer beaucoup. Lésions des gros
vaisseaux
. C'est ici que nous allons trouver les lésions
que leurs prolongements, ce qui leur donne un aspect trouble. Les
vaisseaux
présentent les lésions habituelles ; on aperçoit
nombreux corps granuleux, encore visibles dans la glycérine. Les
vaisseaux
des cordons postérieurs sont entourés d'un man-
1'liématoxylitie les noyaux sont très abondants dans ce tissu : les
vaisseaux
en sont couverts; sur les coupes bien transvers
que les autres appartiennent à la paroi vasculaire elle-même. Les
vaisseaux
ainsi lésés ne sont pas les capillaires les plus
les coupes colorées à l'hématoxyline, un réseau à larges mailles de
vaisseaux
malades, limité exactement aux cordons postérie
des cellules sont seuls visibles, de sorte que la teinte foncée des
vaisseaux
est due surtout à l'infiltration de leurs parois)
ordons postérieurs, en examinant plus attentivement on voit que les
vaisseaux
des autres cordons sont altérés également : les
à un plus fort grossissement, pour montrer les lésions des petits,
vaisseaux
. (Obj/0, oc. 1 Vérick.) ' 32 ' PATHOLOGIE NERVE
en dehors des foyers propre- ment dits, se dessinent les coupes des
vaisseaux
qui tantôt conservent leur intégrité et tantôt
it supposé naguère que l'altération très fré- quemment observée des
vaisseaux
contenus dans le périnèvre et les cloisons intr
es éléments endothéliaux, l'hyperplasie fibreuse de l'adventice des
vaisseaux
, la condensation sclérotique de la couche corti
ut nettement accusée. La gaine lamelleuse (1) est intacte. v, v, v,
Vaisseaux
. , >1 Fig. 4. 1/500. Le reticulum mésoneuria
des ventricules latéraux et surtout^ du. quatrième ventricule. Les
vaisseaux
de la base paraissent sains. , , .t,l . \ 9fLés
fibreux, ancien, sans trace, d'infiltration -embryonnaire. Les gros
vaisseaux
sont sains dans la. partie inférieure du renfle
ent dilaté. Dans la moelle,- au niveau du point le plus malade, les
vaisseaux
ont des parois foi,temeiit, épaissies,, s léveu
assé 'la' phase embryonnaire pour aboutir à la sclérose. Autour des
vaisseaux
malades, il s'est 'fait une sclérose névrogliqu
te, amené lui-même par une circulation delectueuse,du sang dans des
vaisseaux
malades, et doit-il être. considère comme ,lafc
sem- blableméiit"d'un seul' et'même processus ? De^plus, les gros
vaisseaux
, veines'et artères ? de a bas'e"d ? et, de. la
les gros vaisseaux, veines'et artères ? de a bas'e"d ? et, de. la
vaisseaux
,, veines et, artères, de la base du, cerveau et,
mbien'est·èncôre discutée ,'cette question" ! de' l'altération des'
vaisseaux
dans* Ji l'àtaxie locomotrice. Rien n'est yaria
tération'semblable; <c'est'aussi ce fait'que l'altération'1' des
vaisseaux
est à son maximum' dans le renflement cervical ?
aire, 'comme le montrent bien les altérations constatées dans les
vaisseaux
. Ce processus n'a, à vrai dire, rien de spécifiqu
s, cette lésion, qui procède 'd'une infiltration embryonnaire des
vaisseaux
, semble'pouvoir être rapportée avec certitude à s
écorceéérébrale : · vilyNrYy ? 4t 1t'; - ? «,;»' La lésion des gros
vaisseaux
estTendartérite oblitérante de Heubner ; c'est
asculaires précèdent toute lésion,des éléments nerveux; ce sont les
vaisseaux
qui com- mencent, les fibres et les cellules ne
ui se continuent directement avec des lésions gom- meuses,des gros ^
vaisseaux
;. la seconde montre les. mêmes lésions vascula
rce; dans la troisième c'est encore lelmême processus irritatif des
vaisseaux
, mais descendant encore moins bas dans l'arbre
nciennes trahis- sent pourtant la participation antérieure des gros
vaisseaux
. Dans les trois cas, la lésion cérébrale était
ne syphilitique, l'altération parait porter en premier lieu sur les
vaisseaux
de l'écorce céré- brale ; cette altération peut
eaux de l'écorce céré- brale ; cette altération peut se limiter aux
vaisseaux
de la subs- tance cérébrale et de la pie-mère,
où la lésion des capillaires ne s'accompagne pas de lésion des gros
vaisseaux
, elle n'en a pas moins les mêmes caractères, et
s cas véritablement 'complets sont ceux où l'altération diffuse des
vaisseaux
s'étend du haut en bas de l'axe cérébro-spinal.
ue l'écorce ne modère plus le centre vasculaire du bulbe; alors les
vaisseaux
cor- ticaux sont contractures. Quoi qu'il en
ne une hypérémielimitée qui déterminel'al- tération de la paroi des
vaisseaux
; ceux-ci présentent alors plu- sieurs variétés
t ^ici'd'un 'sclérose primitive ? y a 'nerveuses dégénérées ? Les
vaisseaux
des cories ântéi·isûêes`sontdilâtés;les ellûlés s
ollissements cérébraux, soit des altérations inflammatoiresdans les
vaisseaux
sanguins avec dia- pédèse'des hématies (hémorra
rablement la' pression sanguine, pré- pare évidemmentla rupture des
vaisseaux
dont les parois sont lésées. 1"1*- >' . il ?
1 arrêt ou la "-rêne de la circulation consécutif a l'obturation du
vaisseau
a détruit tuti e eu ? v -m . - ' 5.. tout'd'a
était te)le;'qu'il''a'été"impossible'do déterminer ! quel' était le
vaisseau
qui s'était rompu Doit-n'14 1 £ t, iiliip 1 <
interstitiel, stase . sanguine extrême, développement exagéré «des
vaisseaux
. Ceci explique cliniquement les'phénomènes d'irri
^ sciant le't.crâne,1 puis, d'exa- miner la base, la convexité, les
vaisseaux
,' de se : rendre compte de la' facilité du'déco
était né lorsqu'elle s'est pro- dûité. C'èstilné süü le maladie des
vaisseaux
? ' ' t , · , .... o oo. ? u ? tii.1 -v>i ..
sseaux'desmeninges, ]'en -,ôr ? èmen' t'dé ? espaces dilatation des
vaisseaux
dés'ménihges, rengorgèmeiit des1 espaces lympha
mplètement déçu dans son attente. D'autre part, la pie-mère 'et'les
vaisseaux
etai'è'ntlévid'em- méht1'malâdes'ff1 contrairem
'les hématomes d6'la- avec des preuves évidentes' de1 maladie 'des-
vaisseaux
. ? . ? fl'7 nul 'fc-' De mêmè1Phématome',dé'Tor
et les nbres'superradiées sont diminuées, presque dis- parues. Les
vaisseaux
^capillaires de l'écorce sont dilatés; leurs pa
véritables petits nodules inflamma- toires leucocytaires. ? sur les
vaisseaux
de la La lésion vasculaire porte'non-seullem le
sur les vaisseaux de la La lésion vasculaire porte'non-seullem les
vaisseaux
de la substance grise, niais aussi sur- ceux de
tération dénote d'une façon évidente une irritation^vasculaire. Les
vaisseaux
qui sont contenus dansles.prolou,emeiLsintra-cor-
ux de l'exameiiMiistologique (lésion des cellules nevrogliques, des
vaisseaux
de 1 ecorce et ! .ff;r t t. trTJ ^DO·. o , a .trt
g dès vais- seaux cérébraux, soit qu'il y ! ait constriction de ces
vaisseaux
; soit que la tension artérielle soit abaissée p
quel les REV'UE D'ANATO.lilE ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 371
vaisseaux
superficiels du cerveau et de la dure-mère sont p
t de'provoqner' l'engor- gêment,' quelquefois1 même la' rupture des
vaisseaux
superficiels, ''principalement des^grosses vein
nguine intra-vasculaire et l'énergie contractile,, ou tonicité des,
vaisseaux
; d'où dilatation vas- culaire. Et, cette, dilat
n, la lésion passe à la deuxième période : il se fait à travers les
vaisseaux
superficiels de la dure-mère une' transsudation
arrête(la deuxième période. «.. , , Quand l'excès de distension des
vaisseaux
dépasse la mesure qui vient d'être signalée, le
de la^ dure-mère, avec néo-formations vasculaires, et ces nouveaux
vaisseaux
subissent à leur tour les effets déjà décrits de
condaire parenchymateuse : le rôle prin- cipal 'serait joué'par les
vaisseaux
; puis'le'processus inflammatoire 'gagnerait la'
adegéué- rescéiice dés'fibres nerveuses; tandis'que les lésions des
vaisseaux
, des cellules-nerveûsessont`secondaires : '·I;e
,,iiiflam-. matoires et de.sclérose (multiplication des noyaux^ des
vaisseaux
, hypertrophie et prolifération de la névroglie,
d'examiner les organes de la base, les organes de ]a convexité/les
vaisseaux
, en se rendant compte du degré d'adhérence, de la
itabilité des nerfs sensitifs, de la peau, amène la contraction des
vaisseaux
, et accélère. le cours du.sang; l'effleurage plus
ut nettement accusée. La gaine lamelleuse (1) est intacte. v, v, v,
Vaisseaux
. 1 1 1 1 . hig. 4. - 1/500 : Le reticulum méson
de la névroglie, nous nous bor- nons à les signaler. Le rôle des
vaisseaux
dans ces lésions déjà anciennes paraît peu cons
érentes sur les coupes ; et on les voit constituées surtout par des
vaisseaux
très dilatés et remplis de sang; les veines son
st la preuve. En effet, c'est, comme nous l'avons vu, parce que les
vaisseaux
sont épaissis et rameux qu'ils enlèvent avec eu
olution, déterminant une irritation assez forte. On a dit que les
vaisseaux
paraissaient plus nom- breux à cause de l'atrop
remière et la seconde couche. Sur quelques-uns on voit nettement un
vaisseau
occuper le centre de l'amas. Les dilatations va
l- lules à contour peu distinct, à noyaux multiples. La paroi des
vaisseaux
parait sur certains points épaissie, mais il n'y
élial est incomplet, ses cel- lules sont aussi sphériques. Les deux
vaisseaux
qui accompagnent le canal sont petits et entour
ntégration assez étendus; quelques-uns sont même formés le long des
vaisseaux
dans la partie profonde de l'écorce. Les 132 EN
lobe occipilal, l'état est le même. Il existe autour de beaucoup de
vaisseaux
des taches opaques formées d'amas de cellules d
s par petits groupes, mais toujours espacés les uns des autres. Les
vaisseaux
sont dilatés. Cette bande tranche très visiblem
roduisent pas et l'on a des îlots irréguliers, circonscrits par les
vaisseaux
dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact
t de méthyle. Il n'y a pas d'infiltration embryonnaire au- tour des
vaisseaux
. En somme, on voit que le tissu pathologique si
ie et l'accumulation de cellules en îlots circonscrits au- tour des
vaisseaux
ramifiés, ensuite l'aspect aréolaire de la névro-
e-, mais les cellules pyramidales sont entièrement disparues. Les
vaisseaux
présentent un epaississement parfois énorme de le
t, ce sont les taches opaques, riches eu noyaux sur le pourtour des
vaisseaux
. Nous avons fait dessiner une des plus petites
nt très peu marquées des deux côtés du sillon et dans son fond. Les
vaisseaux
dans leur gaine et la substance blanche présent
méthyle, on voit une infiltration lymphoïde marquée de la gaine des
vaisseaux
, chacun est entouré d'un cordon de cellules à g
x, fortement colorés en vert, on voit autour de quelques-uns de ces
vaisseaux
des foyers de désintégration, où la subslance g
bande de sclérose fournie par du tissu conjonctif rubané, émané des
vaisseaux
. Il n'y a donc plus là de simples modifications
ntiennent par des bandes conjonctives qui suivent t les trajets des
vaisseaux
; elles ont par conséquent un bord dentelé et fe
dans ce réactif. f. Lobe occipital clroit en dehors de la lésion.
Vaisseaux
nombreux, vascularisés, cavité large, avec infi
la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par le
vaisseau
vasculaire. A ce point, ainsi que dans la subst
lle est parsemée de curps granuleux ainsi que la substance blanche.
Vaisseaux
moyennement abondants, un peu rameux. Bonn...
isation anormale très prononcée dans toute la subslance grise ; les
vaisseaux
sont ramifiés dans toutes les directions. Le no
de cellules. Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagnent les
vaisseaux
et forment à la face interne de la paroi du pet
sses pédiculées, composées de ce tissu fibrillaire feutré, de rares
vaisseaux
et contenant des cellules à noyaux ronds ou allon
points, on rencontre les corps granuleux, principalement autour des
vaisseaux
. Ces vaisseaux sont très ra- mifiés; l'espace p
ontre les corps granuleux, principalement autour des vaisseaux. Ces
vaisseaux
sont très ra- mifiés; l'espace périvasculaire e
; on voit nettement que le centre de la dépression est formé par un
vaisseau
ramifié; les parois sont constituées par les mê
n voit les mêmes lésions que dans les préparations précédentes; les
vaisseaux
sont très dilatés, les corps granuleux sont trè
a même sur tous les cordons. Il n'y a pas de systématisation. Les
vaisseaux
sont dilatés. Moelle dorsale. - L'aspect est le
été décrites dans les observations qui précèdent portent sur les
vaisseaux
, qui sont dilatés, multipliés, avec gaines épai
me). 2° Lobe occipital (Schad.). - De la pie-mère (A) partent des
vaisseaux
qu'on voit entourés de masses opaques, contenant
e de l'encéphale un aspect froncé (\iaisonhautc. Tout t autour, les
vaisseaux
sont dilatés et la sériation des couches est tr
es, la cavité centrale de l'os sont remplis. Ce sont tout d'abord les
vaisseaux
artériels et veineux. De ces vaisseaux, les uns
is. Ce sont tout d'abord les vaisseaux artériels et veineux. De ces
vaisseaux
, les uns très-nombreux proviennent du périoste ou
ce dernier avant d'aboutir aux diaphyses. L'immense majorité de ces
vaisseaux
remplit fort incomplètement les canaux par lesque
ologique de quelque importance. A part ces quelques exceptions, les
vaisseaux
traversent les canaux de Havers, en laissant, à l
e ils baignent complète-ment. Après s'être anastomosés, divers de ces
vaisseaux
arrivent à la face interne de l'os, où ils formen
éseau très-riche. On peut donc établir que le plus grand nombre des
vaisseaux
n'ont jamais de rapport intime avec le tissu osse
s modifications pathologiques qui y peuvent survenir. Ce milieu des
vaisseaux
osseux, c'est la moelle, dont le siège n'est pas
et le lieu où on l'examine. Les enfants ont un périoste très-riche en
vaisseaux
, épais, peu adhérent ; les os superficiels en son
ns la profonde, où il forme souvent presque une membrane. De nombreux
vaisseaux
artériels et veineux y aboutis-sent, mais la plup
iques, n'ont pas été anatomi-quemenf démontrés. Les nerfs suivent les
vaisseaux
. Si, partant de cette étude succincte de l'os,
sser le but. Le périosten'est pas seulement « la membrane pauvre en
vaisseaux
, blanche, mince, d'un brillant pareil à celui des
-termédiaire dans tous ses actes nutritifs, qui partout le sépare des
vaisseaux
, il n'a pas le droit d'initiative; il subira les
ce interne ; elle est anfractueuse et, au fond, on voit le paquet des
vaisseaux
fémoraux. Enfin, elle com- 1 Celte ambulance, c
e du mollet, se trouve aussi sectionnée au même endroit. — Les autres
vaisseaux
et nerfs de la région sont intacts. De l'orific
. Enfin, sa surface lisse et humectée par les larmes est dépourvue de
vaisseaux
et complète-ment insensible. En dehors, elle s'av
pect irrégulier à la pupille. On constate aussi la présence de petits
vaisseaux
qui parcourent la tumeur. — (La fi-gure 3 de la P
llaire de l'iris auquel il est visiblement adhérent; on voit même des
vaisseaux
sanguins passer de l'iris sur la tumeur. Celle-ci
d'abord d'ostéite raréfiante, puis condensante, d'où compression des
vaisseaux
du canal et né-crose. Dans un autre ordre de lé
une gaine infiltrée de pus se continuant le long de la trachée et des
vaisseaux
du cou. Telles sont encore les phlébites des gros
n gris rosé et huileux ; des tramées rouges indiquent la présence des
vaisseaux
. Vers son centre, on re -marque trois points, don
s expérimenta-teurs, et qui étaient produits par la présence dans les
vaisseaux
d'embolies multiples résultant de l'injection d'u
où la pierre venait d'être expulsée avec un fort jet d'urine dans un
vaisseau
de verre. L'urine et la con-crétion méritaient to
incision plus petite en dedans pour ne pas aller jusqu'à la gaine des
vaisseaux
. Les morceaux de la continuité de l'os enlevé,
t s'accumuler dans la rate, d'où elle allait causer l'engorgement des
vaisseaux
, l'obstruction des intes-tins et des troubles gr
seule pourvue de pigment. Une fois formé, le pigment passe dans les
vaisseaux
, et il est porté dans la circulation générale : d
apparaît formant des irra-diations semblables à celles du.trajet des
vaisseaux
; dans les reins, le pigment s'arrête de préférenc
énomènes les plus saillants. Par suite de l'arrêt du pigment dans les
vaisseaux
, arrivent aussi des altérations secondaires que n
ée offrait des sillons larges et profonds dans lesquels régnaient des
vaisseaux
veineux très-dilatés. Ces sillons et ces vaisse
ls régnaient des vaisseaux veineux très-dilatés. Ces sillons et ces
vaisseaux
s'entre-croisaient fréquemment : tout, en un mot,
rouvâmes sous la tumeur un pédicule très-court renfermant de nombreux
vaisseaux
. Dans les deux cas que nous avons observés, en
nt la fosse de Sylvius, est presque complètement ramollie. Les gros
vaisseaux
cérébraux sont tout à fait normaux, sans athérome
s, et dans l'artère cen-trale un caillot ferme, de couleur foncée; le
vaisseau
est dilaté, sa partie périphérique étant complète
entouré de. petites hémorrhagies et, au sommet du coin, on trouve le
vaisseau
obturé par un bouchon fibri-neux jaune. En plusie
nulle part 5 à 4 centimètres de haut. Dans quelques-uns, on trouve le
vaisseau
obturé. Les bronches sont remplies d'un mucus vis
tus cunéiformes où le plus souvent on peut trouver très-facilement le
vaisseau
afférent et l'embolie qui l'obstrue. En outre, le
angulaires, dont la base atteint la séreuse; je n'ai pu y trouver les
vaisseaux
mésentériques obstrués. —Vessie normale. (Berlin.
peu de sang a coulé, quelques ligatures ont été jetées sur des petits
vaisseaux
ou-verts. Laplaiequiaétépratiquéeest énorme; aufo
e externe, avait été coupée ; on remarqua en outre que la division du
vaisseau
était incomplète, la paroi postérieure restant, i
ux heures de l'après-midi. — Rigidité ca-davérique considérable. Le
vaisseau
blessé pendant l'opération est oblitéré par un ca
grosses que celles que nous avions vues sur la jugulaire externe. Ce
vaisseau
fut disséqué dans une étendue de 6 à 7 centimètre
amen des organes contenus dans la ca-vité thoracique, on lie les gros
vaisseaux
qui vont aux poumons et au cœur. Une fois celte o
cas. Chez notre malade on remarquait facilement le volume exagéré des
vaisseaux
sous-cutanés dans les régions de la face et du co
minci, transparent, laissant apercevoir une grande quantité de petits
vaisseaux
qui s'irradient dans toutes les directions et lui
n. La déchirure des ad-hérences, constituées en grande partie par les
vaisseaux
de la tumeur, amène un écoulement de sang assez a
réap-plique alors sur la tumeur, on observe en outre que chacun des
vaisseaux
correspond à l'un des sillons qu'on avait remarqu
position lobulée superficielle semble donc être due à la pression des
vaisseaux
de la tunique fibreuse et au développement plus f
on intestinale, soit enfin de la rup-ture d'un anévrysme ou d'un gros
vaisseau
de l'abdomen. Mais le diagnostic ne peut jamais r
que. Les sinus sont normaux. Le réseau veineux est très marqué; les
vaisseaux
sont remplis de sang noir, liquide. Les artères t
sang. Il y a des extravasations sanguines et dans le voisinage des
vaisseaux
les fibres nerveuses sont atrophiées; on y remarq
ventricule. La substance qui l'entoure est un peu sclé- rosée ; les
vaisseaux
sanguins sont variqueux. Du même côté l'artère ch
parois sont très épaisses, parfois aussi épaisses que la lumière du
vaisseau
. Hémisphères cérébraux. Dans le centre ovale et
de fibres et des lacunes dans la substance blanche au voisinage des
vaisseaux
, mais pas de lé- sions en foyer. Ces lésions an
émités d'un diamètre perpendiculaire à l'axe de l'intestin, de gros
vaisseaux
serpentins en relation directe avec les vaisseaux
l'intestin, de gros vaisseaux serpentins en relation directe avec les
vaisseaux
mésentériques. , Si l'on ouvre la cavité de l
Elles n'ont aucune connexion apparente ni avec les nerfs ni avec les
vaisseaux
. La muqueuse stomacale est saine. Système ner
t qu'ils prennent 'il la constitution du neurofibrome total. v,
vaisseau
courant à la surface du nerf Coupe C Coupe tr
éoplasme est encapsulé par la gaine lamelleuse fasciculaire 1. v,
vaisseau
. Coupe D Coupe longitudinale du nerf brachial
conjonctif lâche qui ne semble pas modifié. Dans ce tissu courent des
vaisseaux
quelque peu sclérosés. Le nodule a une capsul
hérie qu'au centre. Ce tissu est sillonné de capillaires et de petits
vaisseaux
gorgés de sang. Au sein de ce tissu dans la p
nt assez marqué et généralisé de la méninge molle avec sclérose des
vaisseaux
pie-mé- riens. Peau. * Des fragments de peau
res elles sont disposées par grou- pes et souvent juxtaposées à des
vaisseaux
. Ces nodules sont très nettement limités par un
nt des capil- laires sanguins en nombre assez considérable. . Les
vaisseaux
cutanés sont malades. Ils sont sclérosés. Et la l
for- mant un nodule très dense. Ils sont parcourus par de nombreux
vaisseaux
gorgés de sang. Un ne trouve dans leur tissu ni
raisse ; au sein de ce tissu sont d'assez nombreux noyaux, des fins
vaisseaux
et quelques faisceaux nerveux. Les nerfs extra-
t, ne pré- sentent d'autre lésion importante que de la sclérose des
vaisseaux
. Sur aucune coupe nous n'avons constaté de neur
l'acide osmique ne donne trace de libres nerveuses à myéline. Les
vaisseaux
se réduisent le plus souvent a des fentes étoilée
atrophie complète et avancée des deux papilles avec altération des
vaisseaux
. Sens stéréognostique intact ; sens musculaire
s postérieurs sur toute la hauteur. Crâne d'épaisseur remarquable .
Vaisseaux
fortement eithéroniaielix. Rupture de la fronta
. Les méninges sont très épaissies, congestion- nées, sillonnées de
vaisseaux
nombreux, de calibre exagéré, aux parois d'une
um une ressemblance ana- tomique et que, par suite, les lésions des
vaisseaux
doivent jouer un rôle très secondaire dans l'ap
s la pression de la main qui palpe et appuie. Il s'agit en somme de
vaisseaux
dilatés dont les parois paraissent épaissies. L
'il s'agisse ici de productions calcaires développées au niveau des
vaisseaux
ectasiés. La radiographie montre encore une cer-
ies un as- pect moiré, et qui semblent bien être l'ombre portée des
vaisseaux
ectasiés entourés et pelotonnés dans le tissu c
viscères, tous ses organes sont sains. Le coeur, l'aorte, les gros
vaisseaux
thoraci- ques sont normaux. Il n'existe pas d
s ne sont pas pulsatiles et d'ailleurs ne suivent pas le trajet des
vaisseaux
arté- riels. Le fait qu'une incision a permis
ductions lipomateuses diffuses en rapport avec les ganglions et les
vaisseaux
lymphatiques. La désignation « adéno-lipomatose s
l'affection comme ayant pour origine une maladie des glandes et des
vaisseaux
lymphatiques. Baker et Bowlby s'étaient demandé
filtration graisseuse gagne la profondeur, en suivant le trajet des
vaisseaux
lymphatiques. Marçais constate que l'infiltration
filtration graisseuse dans les masses cervicales se fait autour des
vaisseaux
comme centre ; dans un cas, Langer suivit un pr
t le Pe Hayem, d'une maladie du système lymphatique (gan- glious et
vaisseaux
), mais que cette affection est absolument distinc
tissu artériel n'a que peu ou pas d'importance, étant donné que les
vaisseaux
de la périphérie du cerveau sont lésés directemen
les grands pectoraux et la cage thoracique. Le long de la gaine des
vaisseaux
du bras droit, à quatue travers de doigt au-des
et lobulée. Une dernière se trouve sur le bras gauche, le long des
vaisseaux
. Le ventre est volumineux, avec une adipose ass
régulier, battant 72 fois par minute, de tension moyenne. Coeur et
vaisseaux
paraissent normaux. Accentuation du second brui
Quelques rares cylindres-axes courent au milieu de ces mailles. Les
vaisseaux
paraissent normaux : ni prolifération vasculaire,
trouve pas davantage de fibres à myéline ou des cylindres-axes. Les
vaisseaux
ne sont ni proliférés ni malades. 4" Couche m
épaississement des méninges, ni altérations vasculaires ; seuls les
vaisseaux
méningés ont leur paroi un peu épaissie, mais s
lles névrogliques. (Le tissu névroglique n'est pas très dense.) Les
vaisseaux
ne présentent pas d'altérations manifestes. Toute
ypothèse de la rupture d'équilibre de la pression sanguine dans les
vaisseaux
par suite de l'ébran- lement causé par le choc.
é par le choc. Mais cette hypothèse est surtout admissible pour les
vaisseaux
des noyaux centraux et de la capsule interne à ca
miplégie traumatique tardive peut provenir de lésions profondes des
vaisseaux
, sans qu'il y ait ni fracture du crâne, ni lésion
oint le plus proche de celui où il a porté, mais ce ne sont pas les
vaisseaux
immédiatement sous-jacents qui rompent, ils son
nt loin la vibra- tion gagne les parties profondes et rencontre les
vaisseaux
. Les artères cen- trales sont moins pourvues de
par plaie pénétrante, le sont aussi par simple contusion. Ainsi les
vaisseaux
de ces régions profondes peuvent céder et s'ouvri
lite de propagation. Ou bien, par l'intermédiaire de la lésion d'un
vaisseau
compris dans la première altération, il s'est d
dée de lésion primitive de l'os et des ,cavités de l'oreille. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont très congestionnés, il n'y a
ont se plaignent les priseurs : Tabatière, cloaque d'immondices !
Vaisseau
détestable et puant ! Dont toutes les sortes de
oir très distinctement que les cellules névro- gliques entourent un
vaisseau
. Concernant les cellules nerveuses il faut remar-
er dans le périssement.des cellli nerveuses, dans l'excroissance de
vaisseaux
menus, dans l'existence des é ments lymphoïdes,
ente dimen- sion, souvent groupés sur un fond plus clair ; dans les
vaisseaux
on rencontrait par places de gros globes en asp
es, on parvenait à voir de petites hémorrhagies et des tromboses de
vaisseaux
menus, accompagnées d'une désagrégation du tiss
nées d'une désagrégation du tissu nerveux dans la circonférence des
vaisseaux
. Les cellules de l'écorce cérébrale sont toutes r
omme il paraît, de pareilles cellules ne sont pas en liaison avec les
vaisseaux
; pourtant dans l'une d'elles on pouvait voir t
beaucoup de globes granuleux, par places, disposés par le trajet les
vaisseaux
. La myéline dans les fibres altérées subit une
un grand nom- bre de globules noirs se trouvant en liaison avec les
vaisseaux
. B) Lobe occipital. - Le tableau microscopique
différentes figures, tout cela se trouve pour la plupart auprès des
vaisseaux
; dans ces derniers on rencontre assez souvent
pareils points noirs peuvent aussi être contenus dans les parois des
vaisseaux
eux-mêmes, par exemple, dans leur enveloppe int
tout le long de la substance blanche et grise. Le long de certains
vaisseaux
, qui passent dans la substance blanche, par pla
imensions ; tantôt on voit par places sur la coupe transversale des
vaisseaux
et dans leur intime de petits globules noirs, et
et en- core de grosses cellules sphériques se trouvant en dedans du
vaisseau
et con- tenant de pétites gouttes noires. Dans
ibres dégénérées sont comparativement peu nombreuses. Dans l'un des
vaisseaux
, en dedans de la moelle épinière, on trouva une
er, que ces formations, co- lorées en noir, se disposent auprès des
vaisseaux
. Parmi les faisceaux dégénérés de la moelle épi
oints et de glo- bules noirs, souvent disposés en groupes. Dans les
vaisseaux
et auprès d'eux on observe souvent des corpuscu
ez marquée de pigment. Par places on voit une quantité augmentée de
vaisseaux
et parfois des anévrysmes. En comparant les pré
Là il y avait dans l'écorce cérébrale un développement exagéré des
vaisseaux
, le périssement des cellules nerveuses des lobe
ges. On y voit l'infiltration considérable de la pie-mère et de ses
vaisseaux
. L'artère du sillon an- térieur est moins touch
liées. 566 MARINESCO qu'exerce l'agent microbien sur la paroi des
vaisseaux
ou bien par l'inter- médiaire du système nerveu
dire l'apparition des leucocytes dans la paroi ou autour des petits
vaisseaux
, constituant quelquefois de véritables nodules pé
subs- tance blanche ou la substance grise sont parsemées de petits
vaisseaux
infiltrés de cellules embryonnaires. Les réacti
plus souvent mononucléaires se ramassent non seulement autour des
vaisseaux
mais sont également très nombreux à leur intérieu
robien. Les phénomènes de réaction ne se limitent pas seulement aux
vaisseaux
, mais les autres éléments de la moelle sont int
re désorganisée, la digèrent et puis retournent de nouveau dans les
vaisseaux
d'où ils sont sortis. Il est possible que quelque
avec les agents microbiens. Ces derniers, en suivant le trajet des
vaisseaux
lymphatiques du nerf malade, arriveront, eux ou
est pour cette raison, je pense, que les réactions généralisées des
vaisseaux
sanguins et lymphatiques ont plus de valeur pou
odules, de follicules miliaires qui ont pour centre de formation un
vaisseau
lymphatique ou un vaisseau sanguin, ou bien encor
ires qui ont pour centre de formation un vaisseau lymphatique ou un
vaisseau
sanguin, ou bien encore, le pour- tour de la ce
la myélite arrivent dans la moelle non pas par l'intermédiaire des
vaisseaux
sanguins de cet organe, mais bien par le liquid
erait difficilement si le microbe était apporté à la moelle par les
vaisseaux
sanguins. Du reste, l'injection des microbes dans
ningite, et même dans ce cas, elle est loca- lisée au voisinage des
vaisseaux
. Pour étudier les lésions médullaires expérimen
LA MYÉLITE AIGUË 583 y avoir des phénomènes de réaction du côté des
vaisseaux
et des tissus conjonctifs, de la part de la név
nce blanche et la substance grise. Les foyers suivent le trajet des
vaisseaux
et ont envahi le pourtour du canal ; les lési
RAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 585 dans les espaces lymphatiques des
vaisseaux
sans déterminer des réactions vasculaires et le
bes injectés exercent une action sur ces leucocytes qui sortent des
vaisseaux
très rapidement en très grand nombre, donnant nai
rsque ces dernières empêchent la libre circulation du sang dans les
vaisseaux
. - La lésion la plus légère et l'une de celles
sumer de la manière suivante : 1° phénomène de réaction du côté des
vaisseaux
donnant naissance à une infiltration diffuse ou n
ante du côté du nerf sciatique opéré avec participation de quelques
vaisseaux
de la moelle épinière et les mi- crobes suivent
ans le canal arachnoïdien, on trouve une forte leucocytose dans les
vaisseaux
de la pie-mère et même de la moelle et les strept
ation physiologique bilatérale et légère des deux pupilles dont les
vaisseaux
, naissant à une faible distance du rebord interne
hrôder, excavée bilatéralement dans 1 observation de Raehlmann. Les
vaisseaux
centraux naissent du centre de la papille ordin
de la commissure latérale avec épaississement de la.pie-mère et des
vaisseaux
, diminution de volume de la moelle malgré une p
grande netteté, d'une vive intensité, mais qui, de par l'examen des
vaisseaux
, des cylindraxes, des gaines myéli- niques et d
s irritatives du cerveau (tumeurs, foyers cicatriciels, lésions des
vaisseaux
, des méninges) seraient en proie à des phénomèn
c démence. Elles portent sur les cellules, les tubes nerveux et les
vaisseaux
. Partout les cellules sont presque toutes, peti
ues granulations noires par la méthode de Marchi. Partout aussi les
vaisseaux
sont en état de dégénérescence granulo-graisseu
titués par de grosses granulations pigmentaires ou graisseuses. Les
vaisseaux
capil- laires sont altérés de la même manière :
ar place un processus de con- gestion chronique avec dilatation des
vaisseaux
, pigmentation ocreuse, blocs pigmentaires dans
ment normal suivant ]*âge, le sexe et la constitution physique, les
vaisseaux
sanguins et fréquemment aussi le coeur, restent
e coeur, restent dans un état d'infantilisme, l'aorte et les autres
vaisseaux
présentent une étroitesse congénitale, associée
points sur les- quels elle est basée : 1° diminution de calibre des
vaisseaux
de la base du cerveau, ou de l'aorte, ou des de
tupeur intermittente ; 7° l'action des médicaments qui dilatent les
vaisseaux
est favorable sur l'état mental. P. S. XXVII.
atrophie et la vacuolisation des cellules, dans les changements des
vaisseaux
, dans de petites hémorragies du système nerveux
tre cela, nous voyons dans la région altérée une multiplication des
vaisseaux
et une congestion. Nous observons ce tableau se
atomiquement : à la dure-mère, à la pie-mère et à l'arachnoïde, aux
vaisseaux
sanguins, à la névro- glie, aux cellules nerveu
réquemment le siège d'hémorragies miliaires dues à l'altération des
vaisseaux
: les points où ces hémorragies se rencontrent
st la dégé- nérescence pigmentaire. - Les éléments constitutifs des
vaisseaux
cérébraux de l'écorce ne se dégagent pas nettem
par compres- sion, d'un grand nombre de fibres longitudinales. Les
vaisseaux
sanguins présentent également des particularité
ltrés de cellules graisseuses. Les modifications présentées par les
vaisseaux
sanguins du tronc nerveux sont intéressantes ;
nique interne au point d'effacer presque complètement la lumière du
vaisseau
. Les petits vaisseaux qui courent le long des f
t d'effacer presque complètement la lumière du vaisseau. Les petits
vaisseaux
qui courent le long des fibres nerveuses, sous
us, ou, en d'autres termes, des caractères du sang et de l'état des
vaisseaux
qui le distribuent. Chez beaucoup d'aliénés, la d
comme dans les artères plus grosses. Les tissus qui constituent le
vaisseau
se fondent, prennent un aspect homogène et les
sparaissent; le cordon vasculaire prend l'aspect d'un chapelet. Des
vaisseaux
de moyenne taille, présentant ces anomalies à u
les entoure, paraissant prendre naissance sur la tunique externe du
vaisseau
et ayant pour effet de durcir et de ratatiner l
se, mais ils ne sauraient demeurer sans effet sur l' les tissus des
vaisseaux
qui les charrient. En étudiant les dégénérescen
nectif voisin, dérivé de la névroglie et de la tunique externe des
vaisseaux
entre en hyperplasie active et pousse vers la sur
plusieurs nerfs rachidiens et de presque tous les nerfs crâniens ;
vaisseaux
athéromateux , stigmates syphilitiques de plusieu
gions qui possèdent de la substance grise, sont bien plus riches en
vaisseaux
que celles 230 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
quadrijumeaux, sont alimentées par les rameaux qui proviennent des
vaisseaux
contournant d'avant en arrière la protubérance
ostérieures s'abouchent dans la basilaire, partent nombre de petits
vaisseaux
, dans l'angle même où les pédoncules cérébraux
érieures c'est-à-dire les tubercules quadrijumeaux. Il n'y a pas de
vaisseaux
unissant les vaisseaux des parties latérales et
es tubercules quadrijumeaux. Il n'y a pas de vaisseaux unissant les
vaisseaux
des parties latérales et médianes de la région de
des anastomoses d'un côté à l'autre. Il est probable qu'entre les
vaisseaux
de la région médiane d'un côté et de la région mé
édiane d'un côté et de la région médiane de l'autre côté il y a des
vaisseaux
très fins qui établissent une ' communication e
es vaisseaux très fins qui établissent une ' communication entre le
vaisseau
médian d'un côté et le vaissean médian de l'aut
arotide et de la vertébrale viennent se choquer ; de plus, tous les
vaisseaux
qui finalement se résolvent dans ce noyau en ra
x, montent presque perpendiculairement de la base en arrière et ces
vaisseaux
sont des artères terminales ; le noyau de l'ocu
e noyau de l'oculo-moteur commun ne reçoit donc son sang que de ces
vaisseaux
. Voilà trois conditions défavorables expliquant
. Il est donc très probable que la dilatation s'étend également aux
vaisseaux
des glandes sudoripares tant que la sécré- tion
sous la forme de filets ténus et imperméables. La multiplicité des
vaisseaux
atteints permet d'exclure l'embolie comme cause
upérieurs, ce qui frappe surtout c'est la différence du calibre des
vaisseaux
des membres gauche et droit; les artères du mem
raux, les parties cervicale et thoracique du grand sympathique, les
vaisseaux
et les nerfs des extrémités supé- rieures, la p
on n'y trouve aucune modification, mais à mesure que le calibre des
vaisseaux
décroit, on aperçoit des lésions de leurs paroi
on aperçoit des lésions de leurs parois d'autant plus nettes que le
vaisseau
est plus petit. L'endothélium vasculaire est
s, présentant des plis festonnés qui oblitèrent toute la lumière du
vaisseau
. On trouve parfois des petites hémorragies dans
es thrombus pariétaux' avec un commencement d'organi- sation. Les
vaisseaux
lymphatiques sont partout notablement dilatés.
euses dégénérées avec cylindraxes difficilement percep- tibles. Les
vaisseaux
sont légèrement sclérosés avec un emlollié- liu
lium gonfle. Plus on s'approche des parties oedématiées, plus les
vaisseaux
et les fentes lymphatiques sont dilatés, plus aus
tion des capillaires est grande. On trouve ici aussi par places des
vaisseaux
complètement oblitérés, avec disparition complète
es. La recherche des bacilles de la tuberculose dans les nerfs, les
vaisseaux
et la peau a donné des résultats négatifs. Dans
e la pathogénie de l'oedème bleu l'attribue à un spasme de tous les
vaisseaux
; Gajkiewicz cherche sa cause dans une lésion d
lésion de l'endothélium ; Bauchouïeff l'explique par un spasme des
vaisseaux
et par un ralentissement de la circula- tion ca
immobilisé par la paralysie ou la contracture. En même temps les
vaisseaux
lymphatiques sont soumis aux mêmes conditions.
s sont soumis aux mêmes conditions. En plus, une fois le spasme des
vaisseaux
produit, il survient non seulement une gêne de
son décollement, des hémorragies dans l'é- paisseur des parois des
vaisseaux
et dans la lésion cellulaire périvasculaire.
e très développée (c); et la prolifération de la tunique interne du
vaisseau
(tl). fin. 2. - Petite veine du tiers inférieur
du tiers inférieur de l'avant-bras. Thrombose des vasa-vasorum (a);
vaisseau
oblitéré, sclérose (b); décollement de l'endoth
la peau de la région oedématiée. Fentes lymphatiques dilatées (a) ;
vaisseau
sanguin oblitéré (b) ; hémorragies (c). Fig. 4.
est très fréquente; 2° La similitude des altérations subies par les
vaisseaux
sanguins dans les deux maladies est tellement g
r comme causes probables que la congestion, ou une alté- ration des
vaisseaux
, ou, peut-être, une modification du sang. Il es
de l'intestin) et à la transsudation consécutive qui s'effectue des
vaisseaux
sanguins vers l'intestin, et qui est encore aid
pie-mère et l'accroissement de la tension artérielle dans les gros
vaisseaux
, il serait bien surprenant de ne pas trouver un
elles et d'autres processus pathologiques occupant le voisinage des
vaisseaux
. Sans doute aussi une gomme au sein du système
Dans les formes compliquées d'infection septique secondaire, les
vaisseaux
de la moelle présentent des altérations bien diff
mpose d'une tunique interne et d'une tunique externe. Les plus fins
vaisseaux
ont un diamètre de 1 p. 4. A la tunique interne
gs, deux noyaux ronds. Suit une revue des lésions pathologiques des
vaisseaux
dans la paralysie générale, la syphilis cérébra
irritative est due vraisemblablement à la filtration à travers les
vaisseaux
des toxines sécrétées par les microbes ; on ne tr
titielles et parenchymateuses seraient la conséquence de celles des
vaisseaux
. Les dégénérescences cellu- laires peuvent être
es englobées mais les cylindraxes et la myéline sont intacts. Les
vaisseaux
de la pie-mère résistent moins bien à la compress
e très développée (c); et la prolifération de la tunique interne du
vaisseau
(d). Fig. 2. - Petite veine du tiers inférieur
du tiers inférieur de l'avant-bras. Thrombose des vasa-vasorum (a);
vaisseau
oblitéré, sclérosé (b); décollement de l'endoth
la peau de la région oedématiée. Fentes lymphatiques dilatées (a);
vaisseau
sanguin oblitéré (b); hémorragies (c). Fig. 4.
axe. D. Cloison secondaire. E. Cloison pie-mérienne contenant un
vaisseau
. F. Tissu névrotique. PLANCHE IV Figure 7.
altérée du cordon laté- ral gauche. M. Coupe longitudinale d'un
vaisseau
altéré. JV. Coupe transversale d'un vais- sea
dente, vue à un fort grossissement (ohj. 4, Vcrick). A. Cavité d'un
vaisseau
enflammé. B. Sa paroi. C. Espace périvasculai
. Espace périvasculaire infiltré de leucocythes. D-D-D-D. Coupes de
vaisseau
altérés. 7 : . Tissu de sclérose. F. Tubes ne
1. Cordon antérieur sain. /. Faisceau latéral altéré. K. Coupe de
vaisseau
altéré. L'. Faisceau postérieur sclérosé. CI.
e et ré- duit au cylinder-axis. D. Tube nerveux moins altéré ].
Vaisseau
. Ces pièces proviennent d'une malade, la nommée
s transver- salement. C. Tubes nerveux, coupés obliquement. /).
Vaisseau
à paroi épaissie. Les préparations qui ont four
cléreux. B-B. Tubes nerveux persistant. C. Globules hyalins. D.
Vaisseaux
. Les préparations qui ont donné les figures des
ondulés du même tissu. C-C-C. Tubes nerveux sains. D. Cavité d'un
vaisseau
altéré. E. Paroi épaissie du môme faisceau. L
laire. A-A. Cellules altérées. B-B-B. Cellules peu altérées. C.
Vaisseau
. D. Tissu fibrillaire. PLANCHE XXIII Figure
altérées dans un tissu formé de détritus granuleux sillonné par des
vaisseaux
thromboses. A. Cellule ganglionnaire altérée.
ule très altérée. G-G. Lcucocythcs, H. Substance granuleuse. ? 7.
Vaisseaux
. J. Tissu de sclérose. PLANCHE XXV Figure 4
ure. C. Foyer myélitique droit. C'. Foyer myélitique gauche. D.
Vaisseau
altéré. E. Racine postérieure. F. Commissure
. B. Tube nerveux. C. Corps hyalin. D. Coupe longitudinale d'un
vaisseau
. E. Sa coupe transversale. F. Épaississement
ires. A-A. Faisceaux fibreux. B. Corps granuleux. C. Paroi d'un
vaisseau
. D. Globules rouges. Toutes ces préparations
B. Tubes nerveux restés sains. - C-C-C. Tubes nerveux altérés. D.
Vaisseau
. PLANCHE XXXVII FIGURE 73. MALADIE DE FRIED
ule peu altérée. B-B. Cellules très altérées. C. Leucocythe. D.
Vaisseau
. E. Tissu fibrillaire. Toutes les figures de
tudinalement. C-C. Trousseaux fibreux coupés transversalement. D.
Vaisseau
. PLANCHE XLV Figure 89. TUMEUR DE LA MOELLE
ce fait peut s'expliquer assez bien par t'attrition simultanée des
vaisseaux
de l'artère svivienne. MIGRAINE OPUTnAMHOUE ET
réquente répétition du spasme finit à la longue par amener dans les
vaisseaux
d'ailleurs prédispo- sés par la diathèse arthri
tubes dans les mailles du tissu scléreux. L'épaississement des gros
vaisseaux
est très peu marqué. Dans les cordons latérau
l'épaississement et la transformation fibreuse des gaines des gros
vaisseaux
, et le tissu intersti- tiel qui entoure les cap
y a nulle part d'épaississe- ment de la gaine, ni de dilatation des
vaisseaux
. Les méninges présentent les mêmes lésions que
é dans le lobe occipital que dans les autres régions examinées. Les
vaisseaux
sont très altérés, ils paraissent plus nombreux,
rne, il serait, suivant les uns, formés par la pie- mère et par des
vaisseaux
ténus ; suivant d'autres (Luschka, Charpy), ce
des altérations dans les fonctions de sécrétion, l'innervation des
vaisseaux
et enfin l'eczéma si elle attaque/les centres t
Dans ce foyer formé seulement de tissu névroglique, les parois dos
vaisseaux
présentent une forte infiltration cellulaire. C
t posté- rieure etaussi de la substance blanche dans le domaine des
vaisseaux
du sillon postérieur. Nous avons noté que les
ne s'en eussent pu exhaler ». Heureusement, grâce aux incisions des
vaisseaux
et aux cautères mis en bonne place, les a humeu
béni- gnes du cuir chevelu telles que les loupes, ou l'incision des
vaisseaux
san- guins préconisée contre les maladies nerve
par les mêmes ra- meaux. Vous savez que la protubérance reçoit ses
vaisseaux
du tronc ba- silaire el que ses artères se divi
trajet des principaux cordons nerveux qui s'y rendent, soit sur les
vaisseaux
, de façon à gêner la circulation artérielle et ve
ature sur la cuisse droite, de manière à comprimer les muscles, les
vaisseaux
et les nerfs. Les orteils correspon- dants se c
r- rait être une espèce de sonde, le chirurgien semble découvrir un
Vaisseau
, en arrière et au-dessous de l'oreille. Peut-êt
grand nombre de bandes rayonnées, au centre desquelles il existe un
vaisseau
altéré; les vaisseaux volumineux semblent donc
s rayonnées, au centre desquelles il existe un vaisseau altéré; les
vaisseaux
volumineux semblent donc exercer par leur conta
er de myélite il existe une congestion sanguine .très marquée ; les
vaisseaux
irrégulièrement dilatés se laissent traverser p
diapédèse de leucocytes qui, sans s'accu- muler beaucoup autour du
vaisseau
malade, se diffusent assez rapidement dans le t
une action directe sur les éléments ner- veux, car le long des gros
vaisseaux
qui pénètrent dans le foyer et qui sont déjà ch
n rapport avec la zone de diffusion des leucocytes. - La lésion des
vaisseaux
ne se borne pourtant pas exclusivement à la dia=
ui rappelle par certains points celui des lésions syphilitiques des
vaisseaux
médullaires, est loin d'être caractéristique ; le
caractériser chaque lésion séparément. L'étude microscopi- que des
vaisseaux
du foyer de myélite, corroborée d'ailleurs par to
er dès maintenant l'idée d'une lésion syphilitique. En dehors des
vaisseaux
qui viennent d'être décrits et qui sont le siège
n, deux ou même trois rangs de corps granuleux (Fig. 66). Entre les
vaisseaux
le tissu est constitué par de très nombreux corps
ineux sont des cylindres-axes dénudés et tuméfiés. Au centre est un
vaisseau
entouré d'une couronne du corps granuleux. DE
fs on aperçoit des leucocytes disséminés, plus abondants autour des
vaisseaux
d'où ils semblent sortir. Cette infiltration de
on lésée; les leucocytes forment là de vérita- bles lacs autour des
vaisseaux
, en écartant et en refoulant les faisceaux conj
ulent qui envoie des prolongements dans les gaines lymphatiques des
vaisseaux
perforants postérieurs, jusqu'à une certaine dist
s ne sont pas lésées. Dans l'intérieur du parenchyme médullaire les
vaisseaux
ne sont lésés que tout à fait au voisinage du f
voie vasculaire ou par la voie lymphatique, il est évident que les
vaisseaux
ont joué un rôle prépondérant dans l'évo- lutio
on on voit sourdre des gouttelettes de sang noir d'une multitude de
vaisseaux
dilatés; les cornes antérieures sont ramollies
te pas une disposition en rapport avec la distribution générale des
vaisseaux
dans la moelle, puisque dès son origine elle em
en secteur des portions épar- gnées, semblent déjà indiquer que les
vaisseaux
jouent un grand rôle dans sa pathogénie. Dans
nd rôle dans sa pathogénie. Dans toute l'étendue de la lésion les
vaisseaux
sont gorgés de sang et énormément dilatés, sauf
Il faut noter qu'à ce niveau, comme dans le reste de la moelle; les
vaisseaux
nourriciers de la moelle ont leur calibre parfa
libre, aussi bien l'artère et la veine du sillon antérieur que les
vaisseaux
radiculaires anté- rieurs et postérieurs. Les a
, mais leur lùmiËire'n'a pas subi le moindre rétrécissement.' ' Les
vaisseaux
intra-médullaires, à part quelques lésions diffus
s, et ne contiennent plus que fort peu de noyaux colorables ; leurs
vaisseaux
sont vides de sang et affaissés ou remplis par
ie de ces îlots, dans le tissu encore vivant, on voit également des
vaisseaux
throm- boses et remplis de fibrine. Le tissu
très caractéristiques. Ils s'accumulent particulièrement autour des
vaisseaux
, mais on en voit également dans les fentes lympha
onds. Les racines du glosso-pharyngien sont les plus atteintes; les
vaisseaux
qui cheminent dans leur épaisseur sont accompag
ut se convaincre que ces granulations sont situées sur le trajet de
vaisseaux
de moyen calibre et développées aux dépens de l
perçoit une infiltration moitié em- bryonnaire, moitié fibreuse des
vaisseaux
qui cheminent entre les fasci- DEUX CAS DE MYÉL
leur émergence. Les noyaux d'origine sont complètement sains. Les
vaisseaux
de la substance nerveuse ne sont pas altérés, sau
out le processus morbide est sous la dépendance de l'altération des
vaisseaux
. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 345 D'a
non du sang et pénètrent par effraction à tra- vers les parois des
vaisseaux
, ou bien qu'elles proviennent du retour à l'éta
hôp.). Dans un cas nous avons une altération lente, plastique, des
vaisseaux
médullaires qui se rétrécissent graduellement e
étendue, parais- sent avoir une action dynamique considérable ; les
vaisseaux
, quoique leur musculature paraisse intacte, son
ctuel, sous l'influence d'une cause mécanique : d'une part les gros
vaisseaux
de la moelle sont intacts, d'autre part le dévelo
e part le dévelop- pement du tissu embryonnaire dans les parois des
vaisseaux
intra-médul- laires est loin d'être assez consi
pide, comine des ramollissements amenés par l'obstruction subite de
vaisseaux
préalablement rétrécis. Le processus morbide n'
on signalée par notre auteur d'aphasie consécutive à la rupture des
vaisseaux
méningés, observation dont le diagnostic rétros
opsie dans un cas (infiltration de grandes cellules éosinophiles et
vaisseaux
dilatés) pemet- taient de mettre le syndrome cl
'ouverture du crâne, proémine à cause de la tension intérieure. Les
vaisseaux
sont congestionnés et les circonvolutions aplat
trouve une infiltration diffuse et une autre nodulaire. Autour des
vaisseaux
, ainsi que dans leurs parois on voit des accumula
n embryonnaire légère de la pie-mère avec prédo- minance autour des
vaisseaux
. Au cervelet on ne constate d'autre lésion appré-
à noyau rond et sombre et à protoplasma à peine visible, autour des
vaisseaux
: il n'y a pas de polynucléaires ; il y a donc
ment déchirée. Tous les fragments osseux furent enlevés et quelques
vaisseaux
d'où le sang s'échappait furent ligaturés, après
et la vascularisation ont subi des modifications, des faisceaux de
vaisseaux
importants ayant été détruits et d'autres ayant é
luy des autres glandes, est surtout de servir à la distribution des
vaisseaux
qui sont dispersez par le cerveau (4). » Dans l
colonne cervico-dorsale. Les rapports des poumons, du coeur et des
vaisseaux
méritent d'être préci- sés, nous les avons étud
m, occupant presque tout l'angle que forment en s'écartant les gros
vaisseaux
du cou. Le bord supérieur du cartilage thyroï
bifurcation). Slemo-cléido-mastoïdiel1. A la centimètres de long.
Vaisseaux
du cou. Naissent normalement de l'aorte. Tous c
long. Vaisseaux du cou. Naissent normalement de l'aorte. Tous ces
vaisseaux
ont une grande partie de leur trajet intra-thorac
les méninges, les plexus choroïdes attenant DU 'le ventricule, les
vaisseaux
, les noyaux de la substance glise, ni dans les fa
aible grossissement (fig. 1), ni lésions interstitielles (méninges,
vaisseaux
, tissu con- jonctif), ni lésions parenchymateus
s, diminution considérable des fibres et épaississement de quelques
vaisseaux
; dégénérescence musculaire très avancée. Obs
circulaire des gaines de Schwann et gangue amorphe interstitielle.
Vaisseaux
sanguins épaissis. Daus les muscles, altération
PE AiA-DUCIIRiZINE 307 quelquefois un épaississement des parois des
vaisseaux
, inexplicable par un état inflammatoire ancien
me en certains points (S2) avoir presque complètement disparu ; les
vaisseaux
médullaires antérieurs sont volumineux et ont l
assées par pression réciproque, sans organisation conjonctive, sans
vaisseaux
; il ne paraît pas s'agir d'un lipome, d'un fibro
La tumeur à ce niveau n'est composée que de graisse,un ou deux gros
vaisseaux
apparaissent 3 l'intérieur. B) Un peu au-dessus
c l'enveloppe fibreuse de la tumeur qui paraît formée par elle. Les
vaisseaux
médullaires sont toujours très dilatés, surtout
ette dernière ne paraît qu'être un dédoublement de la pie-mère. Les
vaisseaux
, surtout les antérieurs, sont fortement dilatés e
ormations capillaires et des dilatations vasculaires intenses ; les
vaisseaux
radiculaires sont également dilatés et leurs paro
Van Gieson. c. t. cône terminal. 1. tumeur lipotnaleuse. v. a.
vaisseaux
antérieurs dilatés. PLA'CIIE XLI ! . Fin. a e
ubles trophiques dus à une lésion primitive soit des nerfs soit des
vaisseaux
. C'est à des lésions de ce genre, surtout à des
lade : le traumatisme aurait déterminé les lésions des nerfs ou des
vaisseaux
qui assurent la nutrition de l'extrémité infé-
léger degré de méningite-postérieure, et des lésions manifestes des
vaisseaux
de la base. Pas de thrombose vasculaire appréci
elles < portent à la fois sur les grosses branches et les petits
vaisseaux
. La spinale ' 1 antérieure a une paroi considér
peut, à un plus fort grossissement, distinguer dans l'intérieur des
vaisseaux
des globules rouges en parfait état. Il y a cep
, et l'on voit très nettement, même sur la corne pos- térieure, les
vaisseaux
à paroi peu épaisse et gorgés de sang du côté sai
omme étriquée, diminuée de volume et rèclle en cellules rondes. Les
vaisseaux
sont très épaissis, et, au point maxima, les cell
que de la corne postérieure est presque complètement dis- paru. Les
vaisseaux
ont leurs parois très épaissies et sont presque v
as tout dans l'ana- tomie pathologique de la syringomyélie ; si les
vaisseaux
et le tissu con- jonctif ont été l'objet d'obse
s de cellules épendymaires. Il est peu vasculaire et les quel- ques
vaisseaux
qu'on y rencontre ont une paroi fibreuse avec une
émietté aux limites périphériques des fentes transversales par des
vaisseaux
, des membranes conjonctives. Les blocs ainsi fr
soit par une membrane conjonctive, le plus souventpapillaire ou des
vaisseaux
. Plus rarement la cavité est bordée, sans inter
s les festons. Les membranes conjonctives sont accompagnées par des
vaisseaux
de petit calibre qui occupent leurs deux faces;
ibres entou- rés d'une membrane conjonctive, centrés parfois par un
vaisseau
, sur la structure duquel nous reviendrons; véri
ent dans le gliome. : Les membranes conjonctives affectent avec les
vaisseaux
et les méninges des rapports, qui ne laissent a
inges des rapports, qui ne laissent aucun doute sur leur origine.
Vaisseaux
. Les vaisseaux qui sont compris dans la cavité, d
ports, qui ne laissent aucun doute sur leur origine. Vaisseaux. Les
vaisseaux
qui sont compris dans la cavité, dans le gliome
s culs- de-sac. 2° Ils ont une adventice énorme; entre elle et le
vaisseau
existe un espace clair, de même qu'entre elle e
. 14.). En plusieurs endroits, on voit l'adventice se détacher d'un
vaisseau
pour se continuer avec une membrane conjonctive
membrane conjonctive de bordure, ou pour morceler le gliome. Les
vaisseaux
à adventice hypertrophiée se rencontrent encore a
usque dans les cordons latéraux. Dans plusieurs régions, les petits
vaisseaux
, même les capillaires, ont SYR1NGOAfI,LIE, IIYP
ieu des infil- trations conjonctives qui viennent des méninges; les
vaisseaux
présentent des altérations analogues (mais moin
Des méninges partent des tractus conjonctifs qui accompagnent les
vaisseaux
et qui convergent vers les lésions centrales, ils
2° Des membranes conjonctives (rectilignes ou papillaires), 3° Des
vaisseaux
, surtout au niveau des extrémités des diverticule
cordons latéraux on voit des membranes conjonctives se détacher des
vaisseaux
, tandis que dans le voisinage, il n'y a pas de gl
de la moelle, se continue en diverses régions avec l'adventice des
vaisseaux
ou les méninges molles ; or l'hypertrophié adve
jonctif, que ce soit au niveau des membra- nes, des méninges ou des
vaisseaux
n'est pas la conséquence du gliome. On ne saura
é un rôle décisif dans la for- mation des cavités ; l'adventice des
vaisseaux
(et en certains endroits il y a eu néoformation
e la moelle qui a subi plusieurs enfoncements ; les ano- malies des
vaisseaux
, néoformations vasculaires, développement exagéré
ntation de névroglie ainsi que des cellules de Deiters isolées. Les
vaisseaux
et les espaces périvasculaires sont dilatés. Les
nt avant tout dans la démyélinisation des fibres, la dilatation des
vaisseaux
, des espa- ces périvasculaires et péri-ce Ilula
eure, côté malade. CdA cordon antérieur. CdP cordon posté- rieur. V
vaisseau
, côté sain. V' vaisseau, côté malade. Z aspect ré
ordon antérieur. CdP cordon posté- rieur. V vaisseau, côté sain. V'
vaisseau
, côté malade. Z aspect réticulé d'une partie du
mphocytique de la pie-mère et manchons péri-vasculaires. En outre les
vaisseaux
ont leur paroi épaissie ; 2° l'absence de la co
triquée et ne contient pas autant de fibres myéliniques ; 4° les gros
vaisseaux
sont de- meurés perméables et sont pleins de gl
ins de globules rouges colorés en noir par le Pal. Quant aux petits
vaisseaux
, perméables et gorgés de sang du côté sain, ils s
en Z aspect réticulé de la subs- tance blanche centré par un petit
vaisseau
; 6° On note en outre une pâleur des cor- dons
nt dorsal. Au même niveau, la corne postérieure est plus grêle, les
vaisseaux
moins abondants et moins volumineux que du côté
iveau du 8e segment. Au même niveau : Corne postérieure plus grêle.
Vaisseaux
moins abondants et moins volumineux que du côté
ubs- tance cérébrale. Elle a une couleur blanche, et de fins petits
vaisseaux
cou- rent sur elle, l'orifice de la selle pitui
, ni tontine par le hal- same du feu naturel, ni distribué dans les
vaisseaux
. Le corps toinbeniu- lade de même quand l'actio
e la constipation, fortifie le suc nerveux, lequel conduit dans les
vaisseaux
. Je crois alors que la nature vivante produit un
en a trois caté- gories : dans les yeux, dans le larynx et dans les
vaisseaux
. Le sang est électrisable et d'autres particule
corps sont électriques. Des frôlements du sang qui circule dans les
vaisseaux
proviennent des minima électriques qui électris
lus déliés que partout ailleurs. Je néglige actuelle-ment l'étude des
vaisseaux
qui devra nous arrêter prochaine-ment d'une façon
vreté de cette couche en éléments nerveux et avec le petit nombre des
vaisseaux
capillaires qu'elle renferme. En effet, les artér
s doute de la présence du pigment des cel-lules et de l'abondance des
vaisseaux
capillaires, cette région de l'écorce des circonv
es maladies du cerveau. — Nécessité de l'étude de la distribution des
vaisseaux
. — Aperçu extérieur des artères cérébrales. Mes
céphale devra être cher-chée surtout dans le mode de distribution des
vaisseaux
. Car le vaisseau primitivement lésé étant connu,
cher-chée surtout dans le mode de distribution des vaisseaux. Car le
vaisseau
primitivement lésé étant connu, on pourra en dé-d
— Artères principales du cerveau. — Système des artères corticales; —
vaisseaux
nourriciers. — Système des artères centrales ou d
i l'on n'est pas parfaitement éclairé sur le mode de distribution des
vaisseaux
artériels dont l'altération est le point de dépar
rtères principales donne naissance à deux système; très différents de
vaisseaux
secondaires. Le premier de ces sys-tèmes peut êtr
peut être désigné sous le nom de système des artèret corticales. Les
vaisseaux
qui le composent se répandent dam l'épaisseur de
re et s'y divisent selon un mode spécial, avant de fournir les petits
vaisseaux
qui pénètrent dans h pulpe cérébrale et qui sont,
tème central ou des ganglions centraux (masses grises centrales). Les
vaisseaux
qui entrent dans sa constitution partent de chacu
e de Sylvius dont il faut écarter les lèvres pour bien mettre à nu le
vaisseau
arté-riel. Mais auparavant, elle adéjàfburni, par
rent les circonvolutions de l'insula auxquelles elles fournissent des
vaisseaux
. Elles se pigt 9, — Distribution de Vartère syl
e arborisations. C'est un système particulier très original de petits
vaisseaux
qui partent non-seulement des extrémités des rame
éphalique, lesquels pénètrent celle-ci perpendicu-lairement. Tous ces
vaisseaux
nourriciers sont déjà des capil-laires, suivant l
ivant la nomenclature de M. Ch. Robin. Ce caractère les distingue des
vaisseaux
des ganglions centraux qui s'en-foncent dans la s
sseur de la couche grise. Ces artères courtes donnent naissance à des
vaisseaux
capillaires qui, conjointe-ment à ceux qui émanen
ce grise et l'écorce blanche sous-jacente sont solidaires puisque les
vaisseaux
qu'elles reçoivent dérivent également des artères
ement superfi-ciel. Vous vous rappelez la distribution générale des
vaisseaux
nourriciers. Ils se dirigent parallèlement les un
ussi à des cas pathologiques qui indiquent que Foblitération d'un des
vaisseaux
du système cortical ou de ses branches ne s'est r
rs le centre du territoire envahi. Eue s'opère par l'intermédiaire de
vaisseaux
de petit calibre appartenant au système des ramif
de M. Heubner qui prétend qu'il s'agit, en pareille circonstance, de
vaisseaux
artériels d'un millimètre de diamètre. Le nombr
de Willis. Les artères qui for-ment ce système sont, en général, des
vaisseaux
d'une cer-aine importance, quant au calibre. Ce s
moins, la définition de M. Robin — et les secondes, au contraire, des
vaisseaux
d'un certain calibre. Un autre caractère des no
fourni un long trajet dans la pie-mère et s'être trans-formées en des
vaisseaux
très ténus, qui sont à proprement parler des capi
ité, compensée dans une certaine proportion par le mode d'origine des
vaisseaux
qui s'opère à angle droit et aussi par la différe
e une condition fâcheuse, car, en cas d'une pression exagérée dans un
vaisseau
, le dégagement est impossible en raison de l'ab-s
gale. La cérébrale antérieure, par exemple, envoie seulement quelques
vaisseaux
à la tête du corps strié et encore l'exis-tence d
II. Mais, avant d'entrer dans le détail de la description de ces
vaisseaux
, il est tout à fait nécessaire, Messieurs, d'envi
e faisceaux médullaires, — et vous verrez qu'il n'y a pas non plus de
vaisseaux
— qui re-lient la capsule externe au troisième se
l j'opère de petites ruptures sur les différents points du trajet les
vaisseaux
, imitant ainsi tant par le siège que par la forme
dans la portion postérieure de la couche optique. Les ruptures de ce
vaisseau
déterminent des hémorrhagies Ciiarcot. Œuvres c
par exemple, — et ce fait s'explique par le- mode de distribution des
vaisseaux
qui s'y rendent — n'est détruit dans toute son ét
ioles ; et, remarquez-le bien, con-trairement à ce qui a lieu sur les
vaisseaux
artériels corticaux destinés à nourrir la substan
ais bien des artères véritables . La disposition que présentent les
vaisseaux
lenticulo-striés, une fois qu'ils ont pénétré dan
n les perd de vue. Pour bien reconnaître le trajet ultérieur de ces
vaisseaux
et leurs ramifications dans l'épaisseur des noyau
ente presque le tiers de la quantité totale contenue dans le sang des
vaisseaux
afférents. Je vous rappellerai que, pour expliq
es maladies du cerveau. — Nécessité de l'étude de la distribution des
vaisseaux
. — Aperçu extérieur des artères cérébrales. M C
— Artères principales du cerveau. — Système des artères corticales; —
vaisseaux
nourriciers. — Système des artères centrales ou d
la lésion, on distingue les signes d'une myélite, les tuniques des
vaisseaux
se sont épaissies et le tissu conjonctif en pro
ur des cellules granuleuses situées les unes auprès des autres. Les
vaisseaux
surtout des parties périphériques des cor- dons
constitué par un tissu dense, visqueux ; au pour- tour de quelques
vaisseaux
plus grands se trouve une substance assez étend
llatérale. Sous l'influence de l'aug- menfation de la pression, les
vaisseaux
se dilatent et dans un bon nombre de cas quelqu
rare, contrairement à l'opinion de Blanchard, que la distension des
vaisseaux
par les gaz, produise directement l'hémorrhagie
56 CLINIQUE NERVEUSE. lettes de gaz que l'on y voit emboliser ses
vaisseaux
. Les belles recherches de Duret et de Heubner o
idement suivie d'une con- gestion fluxionnaire collatérale dans les
vaisseaux
perméables; l'augmentation excessive de la pres
tatait ni de la rupture, ni de l'hémorrhagie dans les alentours des
vaisseaux
. > Ces cellules étaient ndes, ayant la gross
immédiate de toute embolie est l'ischémie du territoire dont les
vaisseaux
sont obstrués. Or, est-il difficile, .en connai
re de l'au- dition mentale n'est pas capable par l'ischémie de ce
vaisseau
de déterminer la perte d'un grand facteur senso
rigine : en effet, l'embole gazeux étant une chose transitoire, les
vaisseaux
ne s'étant pas altérés, l'ischémie est, elle au
s altérés, l'ischémie est, elle aussi, transitoire, et une fois les
vaisseaux
désobstrués par la dissolution et l'absorption
tificiel des parois crâniennes une brusque embolie se faire dans un
vaisseau
, une ischémie con- sécutive au territoire irrig
n vaisseau, une ischémie con- sécutive au territoire irrigué par ce
vaisseau
et au bout de quelques moments cette embolie, p
faire place après quelques minutes à une nouvelle embolie du même
vaisseau
suivie d'une nouvelle ischémie d'une durée touj
héorie du spasme temporaire et l'anémie consécutive transitoire des
vaisseaux
sylviens pour expliquer le cortège des phénomèn
i, qui a pu voir, par l'exa- men ophtalmoscopique une thrombose des
vaisseaux
de la rétine vient corroborer cette théorie. On
chémie durera plus longtemps, le tissu em- bolisé sera nécrosé, les
vaisseaux
finiront par s'alté- rer, comme cela arrive à l
ne. C'est à la présence de fines bullettes de gaz dans les petits
vaisseaux
de la sclérotique qu'il faut attribuer cette se
espi- ratoires, par l'explosion et l'accumulation de gaz dans les
vaisseaux
pulmonaires, interceptant ainsi leur cir- culat
schémie transitoire de la moelle par des em- bolies gazeuses de ses
vaisseaux
. - Parmi les accidents extra-nerveux, les plus
-cutané. L'hémorrhagie thyroïdienne est certes due à la rupture des
vaisseaux
par les gaz, dans le corps thyroïde. VII. - T
istait, en outre de ces lésions médullaires, une dégénérescence des
vaisseaux
toute spéciale, très voisine de la dégénérescen
alunée, on observe une accumulation très abondante de noyaux. Les
vaisseaux
sanguins renfermés dans les parois de la cavité
en rapport avec les cellules de la névroglie et avec les parois des
vaisseaux
sanguins qui rampent dans l'écorce. La fonction
it Golgi, que ces prolon- gements sont les canaux par lesquels, des
vaisseaux
sanguins et des cellules de la névroglie, le pl
entés vers la périphérie de l'écorce, se terminent au voisinage des
vaisseaux
sanguins et servent à la nutrition des cellules
ents des cellules de la névroglie qui s'insèrent sur les parois des
vaisseaux
sanguins : elles n'ont que des fonctions trophi
r une place à part. M. BUCHHOLZ (d'Heidelberg). Des altérations des
vaisseaux
de la base de l'encéphale. L'auteur a examiné l
tides de 31 malades y compris les branches collatérales de ces gros
vaisseaux
. Il s'agissait ici de : 19 cas de démence paralyt
es. Les autopsies n'ont pas décelé d'altérations macroscopiques des
vaisseaux
dans 14 cas; en deux cas il est fait mention de
en deux cas il est fait mention de l'absence absolue de lésions des
vaisseaux
de la base; quinze faits témoignent de dégénére
aisse : - mais quatre de ces cas étaient indemnes d'altérations des
vaisseaux
de la base ; trois autres étaient caractérisés
de la folie qui dans un cas, datait de 47 ans; " 2° L'intégrité des
vaisseaux
chez un jeune homme de 22 ans mort de tumeur cé
ammes de morphine ne dépendent pas d'actions vaso-motrices, car les
vaisseaux
de l'intestin ne révèlent aucune modification n
e la claudication intermittente, produite par une obli- tération de
vaisseaux
. Ce n'est pas, Messieurs, sur les lésions centr
nerveuses ont des diamè- tres inégaux, plusieurs ont disparu, leurs
vaisseaux
sont hypé- rémiés. Cette altération se voit dan
ut à fait saine. Sur d'autres coupes, on observe une dilatation des
vaisseaux
dont les parois sont infiltrées par du sang. Ce
ures, surtout sur ces dernières. 11 résulte de cette dilatation des
vaisseaux
et des exsudats sanguins de petites cavités sin
cune altération significative si ce n'est une hypérémie intense des
vaisseaux
qui contiennent beaucoup de leucocytes. Si l'
iron- nantes et est quelquefois manifestement en rapport avec des
vaisseaux
ou des cellules de Deiters. Les cylinder-axis o
rtrophiés et fortement colorés. En même temps, on remarque quelques
vaisseaux
dilatés et 342 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. qui con
, on observe des traînées de cellules embryonnaires qui suivent les
vaisseaux
et pénètrent avec eux dans les parties plus pro
. ' On ne peut apercevoir les cellules de Deiters; les parois des
vaisseaux
sont épaisses en plusieurs endroits. Quant à la s
érieures intra-méduttaires sont plus grêler qu'à l'état normal. Les
vaisseaux
semblent hypertrophiés en cer- tains endroits.
niveau où la dégénérescence est à son maxi- mum. Pas d'ectasie des
vaisseaux
de la pie-mère. La dégénérescence dans les deux
et se colore bien par les couleurs d'aniline. Quant aux lésions des
vaisseaux
, on peut ranger sous les quatre chefs suivants
atre chefs suivants les aspects qu'elles pré- sentent : 1° certains
vaisseaux
sont absolument nor- maux, 2° d'autres offrent
otre sens la diminution de volume de la moelle, les altérations des
vaisseaux
et la formation de la sclérose. Il nous reste à
ons spéciales du tissu conjonctif, ou bien dans la distribution des
vaisseaux
sanguins ou des voies lymphatiques ? On ne poss
avec la substance grise, les cellules du tissu con- jonctif, et les
vaisseaux
. - Déjà en 1867, M. Frommann avait trouvé que l
don- cules cérébraux, formant une couche blanchâtre qui englobe les
vaisseaux
et les nerfs crâniens à leur émergence (PI. VI,
celui de la dure-mère et on y trouve une quantité consi- dérable de
vaisseaux
aux parois altérées fortement épaisses : toutes c
accentuée et une dilatation assez considérable des ventricules. Les
vaisseaux
sanguins présentent partout des lésions très ma
liquides, dans les espaces d'écoulement et sous-arachnoïdien et les
vaisseaux
vei- neux, reprit son état normal, la limite su
ueuse de cette partie de la moelle, par suite de la compression des
vaisseaux
contigus aux racines. ' Pour l'évolution de la
tion du cytoplasme, rétraction du karyoplasme). Le long de quelques
vaisseaux
, nous trouvons des groupes de cellules Fie. 12
central sauf aux éléments nerveux (cellules et, cylindraxes) et aux
vaisseaux
. En conséquence nous devons considérer tout ce
les trouve aussi dans d'autres processus morbides. IV Dans les
vaisseaux
dans nos deux cas de paralysie agitante, nous avo
décrites plus bas. On rencontre çà et là, surtout au voisinage des
vaisseaux
, de petits groupes de cellules rondes (lymphocy
exsudation de même sorte se trouve également dans le voisinage des
vaisseaux
en plusieurs régions de la glande. L'autre des
inés. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 145 Quant aux
vaisseaux
dans la paralysie agitante, plusieurs auteurs ins
ent les vésicules les unes des autres. On observe par-ci par-là des
vaisseaux
il paroi épaissie. On note en outre une intense
s de lui on remarque des espaces périvasculaires assez dilatés ; le
vaisseau
qui se trouve à leur centre, est parfois thromb
auteur. La surface interne du kyste est lisse et couverte de petits
vaisseaux
superficiels, bien développés. Le quatrième ventr
la partie médiane des cordons de Goll sont' faiblement colorés. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont dilatés. Rien d'anormal dan
egments dorsaux (fig. 2) on voit une dilata- tion assez marquée des
vaisseaux
et surtout de la substance blanche. La plupart
ée des vaisseaux et surtout de la substance blanche. La plupart des
vaisseaux
sont thromboses. Excepté la moitié dorsale des fa
dorsal et dorsolatéral de la préparation se colore faiblement. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont distendus et gorgés de sang.
t, Batten et Collier font seulement mention qu'ils ont constaté les
vaisseaux
tantôt vides, tantôt gorgés de sang. Wollenberg a
très vascularisés (sehr gefâssreich).Dans tous nos propres cas les
vaisseaux
étaient dilatés et gorgés de sang, surtout dans l
ent dilatés et gorgés de sang, surtout dans le second cas. Quelques
vaisseaux
étaient thromboses. Dans le second cas celte di
thromboses. Dans le second cas celte dilatation et engorgement des
vaisseaux
fut notée non seulement (1) Hoche, Ueber die be
dullaire et la pie-mère, dû problablement à la rup- ture d'un petit
vaisseau
. Les parois des vaisseaux ne présentaient rien
dû problablement à la rup- ture d'un petit vaisseau. Les parois des
vaisseaux
ne présentaient rien d'anormal ni dans nos cas
mphe de la moelle dorsale, et d'autre part pénètre lui-même par les
vaisseaux
lymphatiques dans la substance médullaire ; d'o
on des espaces lymphatiques et stase lymphatique. En comprimant les
vaisseaux
et surtout les veines dont les parois sont moin
d'un goitre, la dégénérescence hyaline et l'ar- tério-sclérose des
vaisseaux
. A l'autopsie la thyroïde était très petite, elle
tème nerveux végétatif qui innerve leurs centres ainsi que ceux des
vaisseaux
. La relation intime entre le groupe basedowien et
DES EXTRÉMITÉS INFÉRIEURES z7 7 éulaires du dartos se répandent des
vaisseaux
lymphatiques très dilatés avec un tissu pariéta
eurs dans le bassin qui puisse causer une pression anormale sur les
vaisseaux
sanguins ; pas de ganglions tuméfiés dans les a
dont la cause est une anomalie de certaines parties du système des
vaisseaux
lymphatiques, qui a déjà pris naissance durant
que la cause de l'oedème est plutôt dans une maladie du système des
vaisseaux
lymphati- ques et du système veineux et, d'aprè
'oedème du scrotum résidât dans une maladie primaire du système des
vaisseaux
lymphatiques ; l'oedème du scrotum et celui des
ons donc, quant à présent, admettre qu'il n'y a pas d'ano- malie de
vaisseaux
lymphatiques qui puisse causer l'oedème des jambe
ser l'oedème des jambes. Il est plus probable que les anomalies des
vaisseaux
lymphatiques sont consécutives à l'oedème et qu
troma conjonctif qui forme charpente et dans lequel se trouvent des
vaisseaux
très nombreux, dilatés et gorgés de sang. Sur t
sens antéropos- térieur comme un cimier de casque ou une carène de
vaisseau
on dit qu'il y scaphocéphalie; quand il s'étale
it les mêmes caractères d'hyperémie, d'oedème et d'infiltration des
vaisseaux
. Dans certains endroits les adhérences des méni
disséminés; dans un endroit on trouve un foyer de tissu nécrotisé (
vaisseau
). Passant à l'étude du tissu néuoglir¡1te, nous
. - Nevroôlie atypique, forme libreuse. PLANCHE LXI11 Fie 5. - Un
vaisseau
de la pie-mère. Stroma reticulaire de la couche m
enticiPlle ; mlr, membrane réticulaire terminale. FiG. 8. Un gros
vaisseau
de l'écorce avec l'espace périvasculaire élargi e
nets des grosses cellules marginales. Paral- lèlement à la paroi du
vaisseau
s'étend la membrana glix perivascularis en lais
rge espace périvasculaire. Dans l'angle formé par la bifurcation du
vaisseau
, on voit qu'à la membrana glise perivascularis
orte à la pie-mère; il est la continuation de la lumière d'un large
vaisseau
lymphatique qui se divise en plus dans la profo
ns les espaces périvasculaires. L'es- pace périvasculaire étroit du
vaisseau
voisin devient large, comme sur le dessin le va
ire étroit du vaisseau voisin devient large, comme sur le dessin le
vaisseau
lymphatique efférent. Le petit capillaire qui s'y
u de fibres collagènes (elles se trouvent dans l'adventice des gros
vaisseaux
), par contre il contient un réseau très fin de
tre le réticulum prend part à la formation dn stroma des parois des
vaisseaux
encéphaliques (pli. LXIII, fig. 5) en formant u
) en formant un stroma reticulaire de la couche musculaire des gros
vaisseaux
et une 440 SNESSAREFF membrane réticulaire de
nale). Sur la figure 8 on voit les espaces périvasculaires des gros
vaisseaux
palhologiquement élargis et remplis par le tiss
par le tissu réticulaire. Les points plus sombres représentent*les
vaisseaux
dont la lumière est rempliede cellules. Dans le
par les membranes réticulaires des espaces périvascu- laires et des
vaisseaux
qui de leur côté présentent un lien organique et
organique et géné- tique avec les cellules dites adventicielles des
vaisseaux
du cerveau et avec les cellules épithélioïdes q
fibrilles sont produites par les cellules dites adrenticielles des
vaisseaux
(c'est un fait prouvé) (1)et, à ce qui paraît, pa
des espaces en fentes dans les espaces périvascu- laires autour des
vaisseaux
du système veineux qui en même temps s'ou- vren
uses irrégulières et par les profondes dépressions que creusent les
vaisseaux
méningés. La fria- bilité apparaît surtout sur
ment des orifices traversés par le système nerveux central, par les
vaisseaux
et les nerfs qui vont dans le crâne ou qui en s
ne pluie diapédétique de polynucléaires et lymphocytes, sorties des
vaisseaux
de la pie-mère, en rapport avec les troubles mé
nombre des polynucléaires, de celle du sang, enfin les lésions des
vaisseaux
méningés, trouvées dans tel cas à la nécropsie,
ou hémorragique) ; 2° D'une altération (infectieuse ou toxique) des
vaisseaux
de cette cavité créant une transsudation ou mul
use la plus délicate et la plus sensible, ainsi que l'hémorrhagie des
vaisseaux
hémorrhoïdaires, qui résulte de la section complè
t congestionné la membrane muqueuse de l'utérus, le sang qui sort des
vaisseaux
ne peut s'échapper facilement; il s'accumule dans
es et d'inflammations péri-utérines produites ainsi par la lésion des
vaisseaux
qui se trouvent en ce point {vo/. fig. ii et 12,
manière à former déjà une espèce de tam-pon qui bouche la lumière du
vaisseau
; la tunique celluleuse suit une marche inverse,
nt tellement agglutinées, qu'il y a là un second mode de fermeture du
vaisseau
. Si après avoir ainsi di-visé l'artère avec l'écr
lenteur : c'est cette lenteur qui permettra de fermer exactement les
vaisseaux
et les cellules écrasés, cpii permettra l'exsudat
effet? Une surface en grande partie sèche; mais il suffit qu'un seul
vaisseau
ne soit pas fermé, cpi'une goutte de pus puisse s
l'excès sans qu'il s'y interpose de tissu cellulaire; le calibre des
vaisseaux
est beaucoup plus considérable qu'à l'état normal
e cloche qui pend hors de la vulve. Les pédicules qui contiennent des
vaisseaux
importants, sont ceux qui sont formés surtout par
du tissu musculaire, ou bien jaunâtre; la masse est parcourue par des
vaisseaux
bien développés ; les veines n'ont pas de valvule
détacher ces ligaments en ayant soin de lier successivement tous les
vaisseaux
et continuer ainsi la dissec-tion jusqu'au col ;
des plus graves et des plus fréquents. Parfois le sang vient de gros
vaisseaux
qu'on a coupés sans avoir préalablement posé deux
de constriction. \Jétranglement du pédicule dù à la constriction des
vaisseaux
des ligaments larges dans l'angle inférieur de la
tumeur. Un point qu'il est impor-tant de noter, c'est l'existence de
vaisseaux
volumineux dans l'épaisseur de la tunique fibreus
'épaisseur de la tunique fibreuse ou entre elle et le péritoine ; ces
vaisseaux
sont surtout des veines ; mais il y a aussi des a
axe se dévie et devient oblique, parfois même horizontal. Quant aux
vaisseaux
et aux nerfs, vaisseaux iliaques, veine cave infé
oblique, parfois même horizontal. Quant aux vaisseaux et aux nerfs,
vaisseaux
iliaques, veine cave inférieure, plexus sacré, pu
ur; la ponction sur la ligne blanche a l'avantage de faire éviter les
vaisseaux
de la paroi abdominale, et elle convient surtout
te. Cette hémorrhagie a été la conséquence de l'absence d'un des gros
vaisseaux
qui rampent dans les parois du kyste, et, par exc
isseaux qui rampent dans les parois du kyste, et, par exception, d'un
vaisseau
de l'épiploon qui était resté entre l'abdomen et
le retarde la reproduction du liquide, probablement en comprimant les
vaisseaux
qui le fournissent; quand on a l'espoir d'obtenir
incision deux et trois fois plus longue, qui permettrait de lier les
vaisseaux
un peu volumineux, divisés en ouvrant le kyste ;
kyste en plusieurs endroits, que l'on choisit de manière à éviter les
vaisseaux
, et à se dispenser par là d'en faire la ligature.
miner avec soin les lèvres de la plaie faite au kyste, et lier chaque
vaisseau
avec un fd de soie dont on coupera les chefs au r
ans la cavité abdominale, avant qu'on eût pu lier de nombreux et gros
vaisseaux
, que M. Wilson perdit une de ses opérées ; il inv
e pour la herniotomie, couches par couches, et avoir soin de lier les
vaisseaux
de la paroi abdominale, ou d'y placer de pe-tites
ns d'épiploon qu'il aura fallu couper pour voir s'il n'y reste pas un
vaisseau
béant; toute portion d'épiploon qui paraîtra alté
aîtra altérée par les manœuvres de l'opération sera retranchée et les
vaisseaux
qu'elle contient se-ront ou tordus, ou écrasés, o
r rouge ou le perchlorure de fer ; la ligature sera réservée pour les
vaisseaux
trop volumineux et ne com-prendra que le vaisseau
réservée pour les vaisseaux trop volumineux et ne com-prendra que le
vaisseau
seul. L'intestin ne peut être traité comme l'épip
les fils au ras du nœud, ou même à se contenter de lier seulement les
vaisseaux
de ce pédicule, après l'avoir coupé, et à l'aband
versant le pédicule par les ligatures par-tielles, on aurait piqué un
vaisseau
; puis, tendre toutes ces ligatures à l'aide d'un
si l'on y voit de petits points jaunâtres, qui sont les orifices des
vaisseaux
, on les cautérise à part avec un cautère en bec d
tins et les autres viscères, tellement intimes ou tellement riches en
vaisseaux
, qu'on est forcé d'abandonner l'ovariotomie. Quan
térus ne se contracta pas, il y eut une hémorrhagie fournie par trois
vaisseaux
qu'il fallut lier. En outre pour combattre l'hémo
er de la tumeur. M. Baker-Brown a vu une hémorrhagie fatale venir des
vaisseaux
d'une adhérence rompue ; ce fut ce malheur qui lu
du canal cervical, montrant la grandeur normale de cet orifice et les
vaisseaux
volumineux qui se trouvent à ce niveau. Figure
nt du varicocèle par le procédé de Jobert. On voit une dissection des
vaisseaux
qui entrent dans la composition du cor-don, d'apr
pointe de l'aiguille, tout en protégeant le cordon spermatique et les
vaisseaux
profonds. Figure xvi montre le passage du bout
gaîne trachéale, ils entraînent sur les côtés et compriment tous les
vaisseaux
contre la peau, comme le conseillait Malgaigne.
rtiaire) : 1° folie due à une lésion syphilitique de la base et des
vaisseaux
; 2° folie due à une lésion syphilitique de la
lle est nettement blanche, et les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 63
vaisseaux
rétiniens sont tous un peu diminués de volume. La
ers d'elle on perçoit une certaine coloration, Loin d'obscurcir les
vaisseaux
qui la pénètrent, elle les rend plus distincts
cordons de Goll. Dans tous les cas épaississement des septa et des
vaisseaux
, souvent aussi par places allération ou dispari
dans les cordons postérieurs, et en rapport avec les septa et les
vaisseaux
dont l'altération est souvent bien constatable. A
e distance, dans l'intérieur des cordons, et communément autour des
vaisseaux
. Par le fait que ces foyers s'étendent, conflue
e de myélite. Ces foyers, souvent combinés avec des altérations des
vaisseaux
, débu- tent et s'étendent, du moins dans les co
, du moins dans les commencements, surtout le long des septa et des
vaisseaux
. Leur confluence, une certaine symétrie, et les
dante- et destruction des fibres nerveuses, généralement autour des
vaisseaux
plus ou moins épaissis, et toujours principalem
efois une dégénération des fibres isolées, ordinairement autour des
vaisseaux
. Les racines posté- rieures sont peu ou pas alt
taine de cas), soit dépendantes des altérations des méninges ou des
vaisseaux
, soit apparemment indépendantes de ceux-ci, elles
dans la moelle par le sang et produit la lésion dégénératrice, les
vaisseaux
pouvant être parfois quelque peu malades. Dis
élite aiguë, c'est un processus mul- tiple de réactions du côté des
vaisseaux
, du tissu interstitiel et des cellules nerveuse
aces périvasculaires et péricellulaires. Ils se propagent selon les
vaisseaux
lympha- tiques, les grandes cavités séreuses et
térite, périphlébite ; pas d'oblitération vasculaire. Au niveau des
vaisseaux
, prolifération intense de la névroglie. Ils pén
s et des fibres ner- veuses sur de vastes espaces, infiltration des
vaisseaux
, etc.), lésion dans laquelle se trouvaient comp
t (fibres radiculaires intramédullaires). En outre, les, parois des
vaisseaux
qui existent en ce même point étant d'ordinaire
me quantité de leucocytes qui obturent en même temps la lumière des
vaisseaux
. REVUE D'ANATOMIE Er DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
servés. Les parties pâles et les kystes n'ont rien à faire avec les
vaisseaux
. Pas du tout de phénomènes inflam- matoires. -
phie des cornes antérieures, une dégénérescence hyaline de tous les
vaisseaux
et une oblitération du canal central par la pro
genre de vie, de son état général, de l'état de ses organes (coeur,
vaisseaux
, reins), etc. Il ne faut pas oublier le rôle du
uter par de la dyspnée, avec tachycardie et battements violents des
vaisseaux
du cou, ou encore par de l'oedème aux pieds et
iminué à gauche. Pus dans l'urine. Mort. Autopsie : à l'coil nu les
vaisseaux
de la base ne paraissent pas très athéromateux
udat pareil à celui de la face postérieure mais moins accentué. Les
vaisseaux
de la face antérieure sont anormalement saillan
inattendue, c'est l'épaississement considérable de quelques-uns des
vaisseaux
sanguins, épaississe- ment non limité à une seu
appelait celui des altérations de dégénérescence survenant dans des
vaisseaux
préalablement malades. Ces vaisseaux, à calibre
énérescence survenant dans des vaisseaux préalablement malades. Ces
vaisseaux
, à calibre rétréci, ont-ils provoqué des modifi
ter qu'il existait de la dégénérescence graisseuse aigué autour des
vaisseaux
sanguins du foie, ce qui fait immédiatement pen
coloration légèrement jaunâtre et sont sillonnées çà et là par des
vaisseaux
. Lorsqu'on examine le cerveau en dehors de la s
e interne, de parties dures, sur lesquelles cheminent deux ou trois
vaisseaux
d'apparence capillaire. A la partie moyenne, mê
ph(ilitiqzic avec désintégration de l'écorce, aussi bien autour des
vaisseaux
émanés de la pie-mère qu'au voisinage de ceux d
es fibres sont hypertrophiées et les tuniques interne et moyennedes
vaisseaux
sont sclérosées. Les interstices sont remplis de
lots périvasculaires, fonte névro- giique autour de ceux-ci). Les
vaisseaux
subissent la dégénérescence fibreuse. Les méninge
rmés pé- nètrent dans la substance grise, et, autour de ces amas de
vaisseaux
la substance nerveuse se nécrose. Il s'agit là
osses bronches ; rien dans les petites. L'examen du coeur, des gros
vaisseaux
est négatif; il en est de même pour celui des o
ie à travers la solution de conti- nuité. La dure-mère enlevée, les
vaisseaux
de la pie-mère nous apparaissent énormes, tortu
s enlèvement de cette mem- brane, le cerveau, de par la rupture des
vaisseaux
, se couvre d'une épaisse nappe sanguine. L'en
nt ils sont allongés et prennent un aspect très analogue à celui de
vaisseaux
épaissis, similitude qui est encore augmentée p
entriques, très semblables à ceux qu'il a trouvés ailleurs dans les
vaisseaux
malades. la forme allongée de quelques-uns de ces
au-delà des masses hyaloïdes, tout cela suggère fortement l'idée de
vaisseaux
malades. Les corps granuleux sont des élément
ntiectif (itévi-oglie ? et même des fibres mus- culaires lisses des
vaisseaux
(iltiguenin, cité par Obersteiner). Enfin Guizz
leur constitution. Récemment l'auteur aeu l'occasion d'étudier des
vaisseaux
artério-scléreux, provenant delà région protubé
vraiment pathologiques, il décrit l'altération hyaline fibreuse des
vaisseaux
.' En terminant, il fait remarquer que toutes le
lésion caractéristique est l'énorme invasion de la gaine des petits
vaisseaux
par les leucocytes mononucléaires, l'atrophie des
para- lysie générale. M. Mott fait observer qu'ici les lésions des
vaisseaux
avec leurs gaines gorgées de noyaux sont beauco
circulatoire des centres susdits, con- sécutive à des ligatures de
vaisseaux
pie-mériens. Au bout de trois jours, l'aphasie,
seau vasculaire de la pie-mère et de l'écorce dévelopé exagérément,
vaisseaux
gorgés de sang, diapédèse et en même temps 7,ex
ies profondes et que dans la substance blanche. Des altérations des
vaisseaux
procède le développement du tissu conjonctif, et
e, selon l'étendue du processus pathologique. Les altérations des
vaisseaux
en occupent les parois : les noyaux sont augmen
trécie, parfois jusqu'à la com- plete oblitération. Tout autour des
vaisseaux
se développe le tissu conjonctif. Un tel proc
du néoplasme syphilitique, mais ce rôle n'est pas exclusif, et les
vaisseaux
plus volumineux du cerveau et de la moelle sont
résentent sous la forme d'endartérite, avec occlusion ultérieure du
vaisseau
et ramollissement de la zone qu'il alimente. La
la disposition en cordons cellulaires des tissus qui entourent les
vaisseaux
; et 4° par places la transition qui va des type
e autre tumeur; et la disposition histologique qui règne autour des
vaisseaux
est tout à fait caractéristique de la forme d'e
lésions confirmées, telles que les altérations vasculaires des gros
vaisseaux
et les dégénérescences des faisceaux de la moelle
pécifique qui atteint à la fois, ou isolément, les membranes et les
vaisseaux
du système nerveux central. L'auteur passe en r
eau du plancherdu quatrième ventricule. A l'examen histologique des
vaisseaux
du cortex on constata de la diapédèse autour de
ce grise, de l'hyperproduction névrogliquc surtout au voisinage des
vaisseaux
et la disparition des fibres lau- gentielles et
ants. L'intérêt du cas pré- sent réside dans ce que l'affection des
vaisseaux
(car il s'agit ici sans nul doute d'une affecti
théorie sur la pathogénie de cette affection. Fallait-il dilater un
vaisseau
? vite on paralysait le grand sympathique; {,(I
de la congestion corticale et de la dégénéres- cence graisseuse des
vaisseaux
moyens de 1 écorce ainsi que, de la a' substanc
nétiques de l'auteur. Un épileptique tombe' par suite du spasme des
vaisseaux
artériels de tout un hémisphère; mais on peut s
e, qui engen- drera une irritation. Un rétrécissement prononcé d'un
vaisseau
artériel provoquera une diminution de pression
tion. Sang noir, ., dépourvu de) consistance.] Stases lymphatiques (
vaisseaux
, et espaces) visibles il¡l'oeil nu. 9qqolv ? To
table : les fibres nerveuses, le tissu conjonctif interstitiel, les
vaisseaux
paraissent tout à fait normaux. Sur des coupes tr
et fibres nerveuses ; fibres, noyaux et cellules de la névroglie ;
vaisseaux
, cristaux de cholestérine; granulations graisse
lleurs d'une manière uniforme par les réactifs. Les altérations des
vaisseaux
(capillaires et vaisseaux de ca- libre), en ce
rme par les réactifs. Les altérations des vaisseaux (capillaires et
vaisseaux
de ca- libre), en ce qui touche leurs parois, s
ion de ces noyaux, que nous avons pu parfaitement constater sur des
vaisseaux
et capillaires isolés traités à l'hématoxyline.
s vaisseaux et capillaires isolés traités à l'hématoxyline. Sur les
vaisseaux
de calibre, cette altération des parois se prés
able. Nous avons pu trouver dans l'épaisseur même des parois de ces
vaisseaux
des granulations pigmentaires de couleur jaunât
bles par l'acide acétique (2 p. 100). L'espace sous-adventitiel des
vaisseaux
de calibre contenait toujours une certaine quan
paces ENCÉPHALITE PARENCHYMATEUSE. 21 : 5 5 sous-adventitiels des
vaisseaux
dont les parois sont épaissies, ou qui sont att
raisseuses, globules rouges et blancs, grains de pigment hématique,
vaisseaux
de calibre avec extravasation sous-adventitiell
dres-axes présentaient quelquefois une tuméfaction moniliforme. Les
vaisseaux
isolés, pris dans d'autres parties de la région
ontaux, temporaux et occipitaux des deux hémisphères, pris avec les
vaisseaux
des mêmes points, ne pré- sentaient point d'alt
ésence des noyaux de la névroglie, plus nom- breux au voisinage des
vaisseaux
de calibre et des capillaires (PL. III, fig. 4)
ig. 4). Ces noyaux, disposés par groupes suivant la di- rection des
vaisseaux
, se montrent en plus grand nombre dans la parti
, ou pouvait constater que, tandis que le tissu interstitiel et les
vaisseaux
ne présentaient pas d'altérations notables, les
Sur certains points, nous avons pu cons- tater qu'au voisinage des
vaisseaux
, les altérations des cel- lules étaient beaucou
contraire les cellules qui se trouvaient un peu plus éloignées des
vaisseaux
ne présentaient alors qu'une tuméfaction trouble,
oyau et du nucléole'. Nous avons aussi pu voir, qu'au voisinage des
vaisseaux
avec proli- fération des novaux et extravasatio
ations jaunâtres, se trouvant en dehors de la gaine lymphatique des
vaisseaux
, ces dernières paraissaient pénétrer dans le co
laire. - ! En examinant attentivement le rapport mutuel entre les
vaisseaux
de cette ^région et les cellules nerveuses, on pe
llélisme entre l'évolution des altérations de ces deux parties. Les
vaisseaux
des parties profondes présentent un épaississem
lus rapprochés de la surface convexe, les capillaires ainsi que les
vaisseaux
de ca- libre, ne présentent qu'une tuméfaction
ais- seaux, on peut remarquer que l'épaississement des parois des
vaisseaux
ainsi que la vacuolisation des cellules se rencon
ang. C'est surtout lorsqu'on examine les sections transversales des
vaisseaux
, sur des coupes colorées par l'hématoxiline, qu
nt remarquer que l'hy- perémie des capillaires, ainsi que celle des
vaisseaux
de calibre sans altération des parois, avec ext
es centrales, ne présentait rien d'anormal, sauf une dilatation des
vaisseaux
et de leurs gaines lymphatiques, plus prononcée
mêmes méthodes, et prise en différents points avait seulement ses
vaisseaux
plus dilatés dans la région frontale du côté droi
ents nerveux (cellules), les seconds à celle de la névroglie et des
vaisseaux
. Autrement dit : la lésion doit-elle être envis
n des cellules à un degré très avancé alors que la névroglie et les
vaisseaux
ne présentaient pas d'altérations notables, et
les se trouvait as- sociée à des altérations de la névroglie et des
vaisseaux
; ce qui indiquait un processus pathologique int
ent dans les parties qui avaient des cellules araignées et où les
vaisseaux
étaient profondément altérés dans la structure de
présence des cellules tuméfiées dans, un stroma non lésé, avec des
vaisseaux
sans altérations de leurs parois. Quant au fait
des éléments de nou- velle formation d'origine connective. Or, les
vaisseaux
pré- sentent aussi, en même temps, des lésions
renchymateuses des cellules, alors que le tissu interstitiel et les
vaisseaux
ne sont pas encore altérés. Aussi, nous croyons
) est plus ancien dans l'endroit où nous constatons les lésions des
vaisseaux
et les cellules araignées. Il résulte de ces fa
grand nombre. Ces noyaux se trouvent aussi abondamment autour des
vaisseaux
qui contiennent une grande quantité de noyaux r
ons, cepen- dant, que l'auteur ne dit rien de l'état des parois des
vaisseaux
, et qu'il se borne à la constatation de la tumé
lasma. Les noyaux sont particulièrement nom- breux au voisinage des
vaisseaux
. (Verick, 3/2.) Fig. 5. Coupe verticale à trave
et vacuolisée en même temps avec atrophie ries prolonge- ments. Les
vaisseaux
et les noyaux libres de la névroglie sont peu nom
erminé des régénérations cellulaires, a rendu la perméabilité à des
vaisseaux
sanguins obstrués ou rétrécis, a augmenté l'irr
aralysie des vaso-moteurs, soit au trouble trophique des parois des
vaisseaux
(Baelz), soit aux lésions des nerfs, et sont anal
eur nombre diminuait graduellement de haut en bas. Quelques-uns des
vaisseaux
de la moelle épinière conte- naient dans leurs
jaunâtre entre la 378 REVUE CRITIQUE. dure-mère et l'arachnoïde ;
vaisseaux
de la pie-mère engorgés ; plaques nombreuses de
ant à peine perceptibles; cellules araignées ou connexions avec les
vaisseaux
remplis de globules blancs; globules blancs dan
hématique) dans la chlorose (l'observation), ou par compression des
vaisseaux
du cou du fait d'un goitre dont le volume varia
la femme, ou pour peu qu'on se défie de l'état du coeur et des gros
vaisseaux
, on se contentera de la moitié. Or, le shock manq
lasma. Les noyaux sont particulièrement nom- breux au voisinage des
vaisseaux
. (Verick, 3/2.) Fig 5 ? Coupe verticale à trave
et vacuolisée en même temps avec atrophie des prolonge- ments. Les
vaisseaux
et les noyaux libres (le la névroglie sont peu no
e externe de la dure-mère; l'ara7chnoïde est injectée, sillonnée de
vaisseaux
turgescents; les espaces sous- arachnoïdiens ne
istendus, le liquide céphalo-rachidien est en quantité normale. Les
vaisseaux
ne sont pas en général altérés : cependant l'ar
sortir de la question; le diabétique, en raison de l'état de ses
vaisseaux
, est exposé, tout comme un autre athéromateux ou
le vivant à l'aide de l'opthalmoscope des embolies graisseuses des
vaisseaux
rétiniens. Mais, d'une part, ces observations s
ieurs. REVUE DE pathologie nerveuse. 77 Atteinte indiscutable des
vaisseaux
qui irriguent les cordons postérieurs, soit dan
donné. Donc le point de départ de la lésion est, dans l'espèce, le
vaisseau
. Autre preuve : les zones de dégénérescence des
cessus inflammatoires intenses ; on peut suivre les altérations des
vaisseaux
jusqu'au niveau des noyaux du facial. P. K. I
muscles altérés présentent la moindre augmentation de volume. Les
vaisseaux
, les nerfs n'offrent aucune altération. Au poin
endue transversalement, puis, ou bien côtoient longitudinalement le
vaisseau
le plus proche, ou bien forment une anse dans l
che, ou bien forment une anse dans les environs d'une section de ce
vaisseau
. A la hauteur exacte de 26 centimètres au-dessu
t-elle de ce déplacement des fibres nerveuses par la rétraction des
vaisseaux
; on conçoit en effet que ce processus puisse e
ticulier, que la pression de la colonne sanguine à l'intérieur d'un
vaisseau
n'est fias forcément égale à la tension qu'elle
as forcément égale à la tension qu'elle exerce sur la paroi du même
vaisseau
, enfin qu'une partie de la pression peut être t
'expérience suivante qui décèle les vibrations toutes spéciales des
vaisseaux
jusqu'à ce jour étrangères aux formules. Soit u
eau à pression nulle, à parois rigides; on le fait traverser par un
vaisseau
élastique G à parois très minces dont les deux ex
uratrices du tuyau à l'aide d'un système étanche. On dirige dans le
vaisseau
élastique un courant continu de liquide sous pr
a colonne d'eau A. Or, dès que A atteint une hauteur déterminée, le
vaisseau
élastique se metàvibreretie courant de Hquideju
s une diminution considérable dans l'écoulement du liquide par le
vaisseau
élastique; cette quotité devient faible bien que
arent, on voit aussitôt qu'il n'y a que l'extrémité périphérique du
vaisseau
élastique qui vibre, qu'elle est très rapidemen
rimée et décom- primée. Pourquoi donc l'extrémité périphérique du
vaisseau
est-elle soumise à la compression rhythmique ?
sera jamais plus haute, et il ne saurait y avoir de compression du
vaisseau
G à aucune place tant que son contenu 10 le SOC
lui faire perdre une goutte de liquide. L'extrémité périphérique du
vaisseau
G étant complètement ouverte, on voit les vibra
du vaisseau G étant complètement ouverte, on voit les vibrations du
vaisseau
se produire dès que dans R la pression atteint
nsable pour presser complètement l'une contre l'autre les parois du
vaisseau
élastique G remplies d'eau à pression nulle. Do
des, plus tard surviennent les vibrations, et inversement; quand le
vaisseau
élastique G a des parois si délicates qu'elles
parois si délicates qu'elles se peuvent toucher sans pression, le
vaisseau
vibre, dès que la pression atteint dans R une val
une valeur positive. Rétrécit-on un peu l'extrémité périphérique du
vaisseau
G complètement ouverte, ou lui ajoute-t-on, en
lastique, ce qui augmente la pression à l'extrémité périphérique du
vaisseau
G, aussitôt les vibrations du vaisseau cessent;
l'extrémité périphérique du vaisseau G, aussitôt les vibrations du
vaisseau
cessent; ces vibrations ne reparaissent que lorsq
ez grande pour vaincre la pression dans l'extrémité périphérique du
vaisseau
G. La genèse des vibrations vasculaires est la
tions vasculaires est la suivante : A l'extré- mité périphérique du
vaisseau
G, règne la plus faible pression lorsqu'il est
ppose à la compression la plus faible résistance. La compression du
vaisseau
suspend le courant de liquide ; mais, en même t
ît, il peut survenir une vibration des extrémités périphériques des
vaisseaux
de l'encéphale, en supposant que l'augmentation
ales qui doi- vent être tenues pour les extrémités péuphériques des
vaisseaux
encépha- liques ; comme les parois des sinus so
d'oi-ig. vosctil. (Revue de nzédec.), octobre 1881. Les scier, des
vaisseaux
s ? zrz. Ibid. janvier 4885. De la contracture
eil : pas d'insuffisance d'aucun côté à 20' ou l'. Fond de l'oeil :
vaisseaux
sanguins de dimensions normales. Le quart exter
orte étaient nor- males. Le cerveau en général était anémié ; les
vaisseaux
delà base et les artères cérébrales moyennes ex
e qu'en soit l'origine, se traduit par une diminution de volume des
vaisseaux
périphériques (exp. au pléthysmographe de Mosso
nt où on observe. Une fois que le neurasthénique est aguerri, les
vaisseaux
du bras répondent promptement par leur rétraction
veaux 730; hémisphères égaux; intégrité du cervelet, des nerfs et
vaisseaux
de la base, atrophie extrême du corps calleux, de
scendantes, delà protubé- rance, du bulbe, des cornes d'Ainmon, des
vaisseaux
, le micros- cope révèle simplement, sous forme
e nous ne connaissons pas encore. Les altérations syphilitiques des
vaisseaux
découvertes par Ileubner n'ont jeté aucune lumi
e copieuse accumulation de cellules granuleuses surtout le long des
vaisseaux
; les cellules nerveuses sont les unes conservée
rémie, de prolifération vasculaire, d'épaississement des parois des
vaisseaux
, tandis que des altérations vasculaires se présen
e égalant à peu près en diamètre celui d'une plume de corbeau. Ce
vaisseau
porte un renflement anévrysmal, de la grosseur
vements forcés ainsi produits, ainsi qu'à l'excitation réitérée des
vaisseaux
sanguins et lympha- tiques (modification locale
cellules de la névroglie et des cellules lymphatiques sor- ties des
vaisseaux
par diapédèse. On peut s'expliquer ainsi, plus
, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 9 gauche est rétrécie, blanche et les
vaisseaux
sont minces atropine congé- nitale. Il existe
se est augmentée de volume et présente un développement exagéré des
vaisseaux
sanguins et la multiplication de cellules éosin
es cellules sent riches en granulations thyroïdes. - La paroi des
vaisseaux
a subi également la dégénérescence graisseuse.
. Le tissu interstitiel augmenté en certains endroits, contient des
vaisseaux
dont la paroi est épaissie. Mais en général,
s au voisinage de ce dernier, on observe une dilatation marquée des
vaisseaux
qui sont remplis de sang. Sur une coupe du foie
obules hépatiques. Les trabécules cellulaires sont désorientés. Les
vaisseaux
capillaires intralo- bulaires sont très dilatés
de la substance réticulée et trabéculaire on voit, par endroit, des
vaisseaux
capillaires très dilatés, remplis de sang et disp
zone périphérique que nous venons de mentionner. En outre tous les
vaisseaux
, surtout les vaisseaux plus petits et les capil
nous venons de mentionner. En outre tous les vaisseaux, surtout les
vaisseaux
plus petits et les capillaires se sont colorés
isse ainsi que le montre la coloration au scharlach. Les parois des
vaisseaux
se colorent également d'une façon intense par ce
d'insertion des tendons. Microscopiquement il y avait beaucoup de
vaisseaux
dans la substance cor- ticale des os, les canau
nt dans les ovaires d'ostéomalaciques la dégénérescence hyaline des
vaisseaux
, phénomène banal qui ne saurait nullement expliqu
ndividu normal, les circonvo- lutions ont une surface bosselée. Les
vaisseaux
sont sains. On note une pro- lifération névrogl
yaux sont plus denses et plus grands dans la substance blanche, les
vaisseaux
y sont plus engorgés ; les espaces périvasculaire
rfois recourbés. Cela me donna l'idée qu'il pourrait bien s'agir de
vaisseaux
modifiés ainsi, et en effet, on peut voir dans
mmédiatement remarquer par leur réfraction spéciale : on dirait des
vaisseaux
en verre. Le fort grossissement démontre qu'ils s
de gouttelettes s. I. v. apposées les unes aux autres. De pareils
vaisseaux
se rencontrent dans le Th. opt., les îlots postér
tions sont recourbées à angle droit, laissant juste de la place aux
vaisseaux
. 4° Evacuation plus ou moins complète des ventr
roduit une pression qui facilite sa pénétration ;'1 l'intérieur des
vaisseaux
. Il est donc tout naturel qu'on ait eu l'idée d
ssés, présents et futurs. A cinq cens dyables la vérolle Et l'ord
vaisseau
où je la prins ! 1 Je n'ay dent qui ne branle o
s d'ulcères tout esprius. A cinq cens dyables la vérolle Et l'ord
vaisseau
où je la prins. Le gérant : P. Boucnez. Imp.
ites lacunes dans les noyaux gris centraux. Pas d'athérome des gros
vaisseaux
de la base. Dans ces deux observations l'hémorr
e tissu spongieux néoformé et par des espaces médullaires riches en
vaisseaux
sanguins, par endroits des restes du cartilage
aît une grande quantité de faisceaux collagènes, surtout autour des
vaisseaux
sanguins. Il n'y a pas de rangée de capsules au
LIQUE - (Nicolas Eldaroff) LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 241 1 les
vaisseaux
soient dilatés. 11 n'y a pas d'épaississement du
gion médullaire, contiennent quelquefois dans leur épaisseur un lin
vaisseau
sanguin qui se détache des vaisseaux de la moelle
fois dans leur épaisseur un lin vaisseau sanguin qui se détache des
vaisseaux
de la moelle. Chaque papille de l'arborescence
ente au microscope une tendre substance conjonctive riche en larges
vaisseaux
aux parois minces ; ces vaisseaux sont plus nombr
tance conjonctive riche en larges vaisseaux aux parois minces ; ces
vaisseaux
sont plus nombreux à la péri- phérie de la papi
quefois une quantité considérable de fibres collagènes jeunes et de
vaisseaux
néoformés qui tous, les uns et les autres, ne p
Fig. 2 Partie d'une cloison élargie colorée par bleu de toluidine. a.
Vaisseaux
. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme.
n'en avons trouvé aucune à l'exception de celles qui sont dans les
vaisseaux
. Nous avons cherché aussi des fibres nerveuses il
Urechia ont décrit quelques cellules qu'ils ont trouvées autour des
vaisseaux
de la glande pinéale. Ces cellules sont rondes
taient en très grand nom- bre ; on pourrait voir des glandes où les
vaisseaux
en étaient entourés copieusement. Leur abondanc
s.Mais il est remarquable qu'on ne trouve pas, sauf la sclérose des
vaisseaux
, de changements relativement plus grands à l'âg
2. Partie d'un septum élargi, coloration par bleu de toluidine. a.
Vaisseaux
. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. d.
ce chomatophile); 2° les lésions péri-cellulai- res (altération des
vaisseaux
de la capsule fibreuse du ganglion et des capsu
i- cellulaires qui portent sur la capsule fibreuse du ganglion, les
vaisseaux
et les capsules endothéliales des cellules gang
n est considérable- ment épaissie et sillonnée d'un grand nombre de
vaisseaux
capillaires. En comparant deux coupes de gangli
emarque d'une manière à peu près constante la présence de plusieurs
vaisseaux
capillaires quel- quefois très distendus et gor
for- mations. Cet envahissement des cellules envahissantes par des
vaisseaux
de nouvelle formation nous parait tout à fait c
e fois le nodule constitué la réaction vasculaire entre en jeu, les
vaisseaux
de nouvelle formation compriment et pénètrent ent
sommes tentés de croire que c'est ce remaniement du nodule par les
vaisseaux
de nouvelle formation qui cons- titue la derniè
us les ganglions examinés sont très vascularisés à parties nombreux
vaisseaux
capillaires distendus et gorgés de sang, les vais
ies nombreux vaisseaux capillaires distendus et gorgés de sang, les
vaisseaux
de nouvelle formation qui compriment et travers
ique. Coupe du Vle ganglion cervical. En (c) capsule fibreuse ; (v)
vaisseaux
capillaires distendus et gorgés de sang au vois
inage d'un petit nodule (n) ; (u) nodule poliomyélique pénétré par un
vaisseau
de nouvelle formation. Planche XLIII. Fig.
i deux nodules poliomyéliques fusionnés; (nr) nodule remanié par un
vaisseau
de nouvelle formation (v v' v") vaisseaux capil
(nr) nodule remanié par un vaisseau de nouvelle formation (v v' v")
vaisseaux
capillaires. Etc. 2. Même technique Coupe du IV
du volume des cellules nerveuses et une certaine multiplication des
vaisseaux
. Dans la région du tronc cérébral, il existait
limine également la possibilité d'une atrophie par constriction des
vaisseaux
du fait de la méningite; on ne saurait invoquer
s les traces d'un processus myélitique depuis longtemps éteint; les
vaisseaux
sont sclérosés et le tissu intermédiaire est de
e. Nous n'avons pas observé d'altération circulatoire au niveau des
vaisseaux
rétiniens. Les incisives supérieures sont petit
e semble pas atrophié ; les cordons ne laissent percevoir que leurs
vaisseaux
: la prostate passe inaperçue au toucher. Actuel-
araissent. Les capillaires sont peu nombreux et étroits, les petits
vaisseaux
sont sclé- rosés. Nulle part on ne trouve de
lte, com- pact, traversé de rares capillaires et de quelques petits
vaisseaux
à paroi fibreuse; il est impossible de retrouve
peu ou pas de pyknose. On ne voit de substance colloïde ni dans les
vaisseaux
, ni entre les cellules, il semble donc bien qu'
x ne formant plus qu'un bloc hyalin presque acellulaire. Les petits
vaisseaux
sont peu ou pas lésés. , INSUFFISANCE PLURIGL
ées et pour ainsi dire séparées les unes des autres par de nombreux
vaisseaux
. Pour suivre pas à pas la genèse de la lésion e
être influencées par l'action réflexe de l'agent électrique sur les
vaisseaux
sanguins des centres nerveux (faradisation selon
substance cérébrale. Nous ne connaissons que son effet sur certains
vaisseaux
artériels qui consiste dans l'augmen- tation de
ui consiste dans l'augmen- tation de leur volume; la distension des
vaisseaux
de la tête a 1 Voy. Archives de Neurologie. R
nous arrêteront pas, ce que nous voulons savoir , c'est l'état des
vaisseaux
dans la boite crânienne. Pour étudier cette q
nous devons éclaircir s'il y a des changements dans le vo- lume des
vaisseaux
du cerveau après inhatation de l'amylnitrite, e
seur Semisch, montrèrent qu'il n'y avait aucun changement dans les
vaisseaux
du fond de l'oeil. Ruger et Forster prouvèrent au
èrent au contraire qu'à la suite d'inhalation de l'amylnitrite. les
vaisseaux
du fond de l'oeil devenaient plus volumineux et
antes pour nous, parce qu'il n'y a aucune raison qui prouve que les
vaisseaux
du cerveau soient toujours hyperémiés -en même
e éponge ; après 3-5 inspirations, on constatait une dilatation des
vaisseaux
de la pie-mère, veines et artères ; le cerveau
gt-cinq minutes d'inhala- tions ininterrompues il y a réplétion des
vaisseaux
de la pie-mère, de violentes convulsions, cramp
nom d'oedème cérébral. La circulation gênée par la réplétion des
vaisseaux
et l'accumulation du liquide céphalo-rachidien re
R LES CENTRES respiratoires ainsi QUE sur les nerfs du COEUR ET des
vaisseaux
; par L. rOLDSTEIN. (Centralbl. f. Nervenheilk.,
is. 116 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'opinion de W. Sander (convulsion des
vaisseaux
spinaux d'après les expériences de Sten,on); d'
ution on ne découvrit ni dégénérescence totale ni inflammation. Les
vaisseaux
étaient tortueux ; la substance corticale elait
uge foncé, formée par la membrane néoplasma- tique tranchée par les
vaisseaux
(Pachym. extern.). La dure-mère est tendue par
substance grise en voie de dégénération pigmentaire. Fig. 4. Les
vaisseaux
et les cellules nerveuses des cornes antérieures
entre le cerveau et le crâne; dès que la tension augmente dans les
vaisseaux
infra-crâniens, le liquide céphalo-rachidien re
sseaux infra-crâniens, le liquide céphalo-rachidien rentre dans les
vaisseaux
lymphatiques par l'intermédiaire de la cavité a
ement en foyer seraient identiques à l'inflammation généralisée des
vaisseaux
que l'on trouve chez les chiens soumis à un emp
de lésions émanent d'altérations inflam- matoires syphilitiques des
vaisseaux
en des régions distinctes. Du moins, c'est l'av
ges accumulés; ces. lexsudais, qui existent également en dehors des
vaisseaux
proprement dits, s'accompagnent, sur plu- sieur
n). Le poison diphthéritique atteint donc aussi bien les parois des
vaisseaux
que le névrilemme, et cela du même coup. P. K.
ïde et de l'é- corce ; dans les mailles de la pie-mère, le long des
vaisseaux
dilatés ou allongés en fuseaux; dans les parois
peu grisâtre. Sur la crosse de l'aorte on remarque quelques petits
vaisseaux
dilatés et gorgés de sang et même de petites ec
présentait une atrophie avec sclérose; absence de follicules clos;
vaisseaux
oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur,
appréciables sur la table interne, asymétrie "légère des diamètres.
Vaisseaux
de la base sans grands changements à gauche. La
arties périphériques de l'écorce sont par place, surtout autour des
vaisseaux
, très riches en noyaux. Les espaces périvascula
contiennent parfois des granulations laiteuses. A l'état frais, les
vaisseaux
corticaux, enlevés à la pince sont souvent couv
, pour éviter de 38fi C) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. couper les
vaisseaux
collatéraux; 3° elle doit être dessinée de faço
mère, juste sur le bord de l'incision et nouée avant la division du
vaisseau
. Traitement du cerveau. - Après la division de
e, dans la couronne rayonnante. On doit ensuite examiner l'état des
vaisseaux
et des lym- phatiques périvasculaires, et surto
lexion nous montrera que, dans le cerveau comme dans les reins, les
vaisseaux
(et ce sont les artérioles à qui nous avons le
ce l'absorption par les lymphatiques des méninges, comme pour les
vaisseaux
du péritoine après l'ovariotomie, en permettant
tés produites par la perte de substance, déplacent souvent les gros
vaisseaux
et donnent passage à de grosses veines. - La
êcher, autant que possible, le retour de l'épilepsie. De nombreux
vaisseaux
furent ligaturés, surtout trois ou quatre sur le
t-être la perte du sens musculaire survient après la liga- ture des
vaisseaux
qui fournissent le centre moteur des mou- vemen
e ce liquide, qu'on exagère l'effort exercé sur le tuyau élastique [
vaisseau
sanguin) qui se dilate [exagération de la press
surve- nir des vibrations vasculaires arrêtant la circulation d'un
vaisseau
élastique qui, de même que les vaisseaux sangui
rrêtant la circulation d'un vaisseau élastique qui, de même que les
vaisseaux
sanguins, est entouré d'un liquide mobile, dont
emple des modifications de la pression du sang ou du diamètre des
vaisseaux
exlen-ibles, voilà qu'il se peut produire un arrê
à la syphilis décèle des alté- ration, des gaines lymphatiques des
vaisseaux
de l'écorce : épaississements, duplicalures, dé
ubstance grise pu voie de dégénération pynen ! ;rire. Fig. 4. Les
vaisseaux
et les cellules nerveuses îles cornes antérieures
Bornait-Lagueute (4) est artério-scléreux (chez l'autre l'état des
vaisseaux
n'est pas noté) ; notre malade, sans présenter de
es les observations publiées on n'a pas noté l'état du coeur et des
vaisseaux
, et d'un grand nombre d'observations on ne peut r
éléments cellulaires, remplacés par un tissu conjonctif f pauvre en
vaisseaux
; « dans les lamelles osseuses prédomine une subs
ant une grossesse. Ferrio posa le dia- gnostic d'embolie des petits
vaisseaux
aux pourtours des noyaux de la XIe et de la XII
, les unes et les autres présentent une injection très violente des
vaisseaux
méningés, sans foyer de ramollissement (pas d'e
ique à l'orifice valvulaire de l'artère pulmonaire ; l'aorte et les
vaisseaux
du cou ont un fonctionnement régulier. Le pouls
e de Langhaus). Le trouble vasculaire, la dégénérescence des petits
vaisseaux
paraissent être la cause des modifications du tis
issent aucun symptôme ni du côté du plexus brachial, ni du côté des
vaisseaux
sous-claviers. Ces symptômes se manifestent tou
mes de la pression qu'exercent parfois les côtes cervicales sur les
vaisseaux
sous-claviers [même la gangrène des doigts peut s
tre que des plus utiles pour activer le processus de réparation des
vaisseaux
, des muscles et des nerfs malades ». Ainsi le
jonctivo-vasculaire constitué par des fibrilles conjonctives et des
vaisseaux
capillaires à paroi mince, gorgés de sang. On t
prolongements et groupées d'une façon prédominante au voisinage des
vaisseaux
. Le tissu nerveux, comprimé par la tumeur, est
yaux en partie détruits. Dans la zone d'extension du néoplasme, les
vaisseaux
sont distendus par les globules sanguins ; en c
sanguins ; en certains points, le sang fait même irruption hors des
vaisseaux
, et l'on observe une véritable hémorragie microsc
ues. Parfois, les cellules cancéreuses font irruption en dehors des
vaisseaux
capillaires et se propagent dans les interstice
agent dans les interstices du tissu conjonctif pleural, comme si le
vaisseau
capillaire était le point de départ de la proli
tées par de petits axes de tissu con- jonctif où l'on peut voir des
vaisseaux
assez abondants, sans parois propres. Beaucoup
tendances télangiectasiques, avec stroma jeune peu abondant et des
vaisseaux
bien formés notablement dilatés. Cet épithéliom
rnum et des côtes où l'on trouve comme dans la tumeur cérébrale des
vaisseaux
très dilatés, d'abondantes hé- morragies et le
t dans les centres nerveux. La dissection des globes oculaires, des
vaisseaux
, des nerfs et des muscles donne les résultats s
rence sarcomateuse, tassées autour de capillaires sanguins. ' Les
vaisseaux
sont nombreux, de petit volume, avec une paroi pr
part ovalaires, quelques-unes sont d'apparence épitllélioïde. Les
vaisseaux
sanguins sont nombreux et séparés de la masse név
moelle de foyer de myélite ou de lésion de poliomyélite aiguë. Les
vaisseaux
intramé- dullaire étaient normaux ; les gaines
sante pour exercer une action mécanique sur le tissu nerveux ou ses
vaisseaux
, et ceux où l'épaississement des méninges est a
soitdes embolies ou des thromboses, celles-ci atteignant les petits
vaisseaux
dans la forme vaso-pa- ralytique de Gilbert et
la région dorso-lombaire, quelques adhé- rences interméningées. Les
vaisseaux
pie-mériens sont, en majeure par- tie, indemnes
la spinale antérieure. Nous n'avons trouvé dans les méninges aucun
vaisseau
nettement oblitéré ou sténose. La moelle présen
liquer les foyers multiples que nous a révélés le microscope. Les
vaisseaux
des méninges ne sont pas oblitérés, avons-nous di
ne semble pas apporter d'obstacle au cours du sang, qui remplit le
vaisseau
, dont le calibre n'est nullement diminué. L'é
sseau, dont le calibre n'est nullement diminué. L'état des petits
vaisseaux
est plus intéressant, et doit nous arrêter da-
, une importance beaucoup plus considérable que lorsqu'il s'agit de
vaisseaux
plus volumi- neux. Mais, bien que nous n'ayions
s ce cas comme ici, le même problème se posait : l'oblitération des
vaisseaux
san- guins était infiniment plus considérable e
dement se divise en deux parties aplaties, remontant entre gros les
vaisseaux
. On enlève facilement la tumeur qui est unie au
ons il existe des amas cellulaires développés en général autour des
vaisseaux
à un fort gros- sissement, on constate que ces
etrouve dans le tissu conjonctif et particulièrement au voisinage des
vaisseaux
des amas cellulaires analogues à ceux que nous
n voit ces dernières particulièrement nombreuses au voisi- nage des
vaisseaux
où elles sont étalées. Le corps de la cellule est
ire de certains lobules font dans d'autres complètement défaut. Les
vaisseaux
n'offrent pas d'altérations. Hypophyses Des cap
rment à l'inté- rieur de la glande des travées épaisses partant des
vaisseaux
. Elles isolent des îlots de vésicules thyroïdie
modifications suivantes : Tous 440 LAIGNEG-LAVASTINE ET BOUDON es
vaisseaux
, même les capillaires, sont gorgés de sang. En ce
anormal arrêt de déve- loppement. , La papille est très pauvre de
vaisseaux
et apparaît blanche et un peu petite ; son cont
ar les masses graisseuses ; cou proconsulaire. - Rien du côté des
vaisseaux
et des glandes lymphatiques. Mobilité normale.
en outre que la papille de notre malade est très petite, fournie de
vaisseaux
plutôt minces, et légèrement atrophique. Nous s
is. La substance grise est d'un gris rose, amincie ; l'incision des
vaisseaux
sanguins de la substance blanche fait tomber de g
de la substance blanche fait tomber de grosses gouttes de sang. Les
vaisseaux
sont sclérosés. Le diaphragme est à droite à la
s phénomènes sont surtout marqués au niveau des lobes frontaux. Les
vaisseaux
du cerveau sont légèrement sclé- rosés. La dure
a pie-mère et son infiltration diffuse par des cellules rondes. Ses
vaisseaux
sont dilatés, remplis de sang ; leur paroi est ép
g ; leur paroi est épaissie, infiltrée par des cellules rondes. Les
vaisseaux
du cerveau sont aussi hyperémiés; leur paroi es
spaces péri-vasculaires sont un peu élargis. Les parois de quelques
vaisseaux
du cerveau et des méninges présentent dans leur
oyaux et très riche en fibres élastiques. Elle renferme très peu de
vaisseaux
. Quelques-uns de ces der- niers sont doublés d'
n constate à la surface interne de la dure-mère une série de petits
vaisseaux
calcifiés, vides de sang. Sur une coupe transve
me de corps composés montrant une membrane liyaline bien nette. Ces
vaisseaux
calcifiés siègent surtout dans les parties post
). La pie-mère présenle une infiltration inflammatoire diffuse. Les
vaisseaux
sont hyperémiés et présentent une paroi un peu
Les espaces péri-cellulaires sont très souvent nettement élargis. Les
vaisseaux
sont atteints d'endartérite oblitérante; leur l
ues appréciables, et les méninges cérébrales paraissent saines. Les
vaisseaux
de la base de l'encéphale, un peu flexueux, ne
Bergman) sont très augmentées à la fois de nombre et de volume. Les
vaisseaux
sont normaux et les fibres ne sont pas plus nom
ux et les fibres ne sont pas plus nombreuses qu'ailleurs autour des
vaisseaux
. La couche des grains est également atrophiée ;
lé- rose névroglique accentuée, notablement plus marquée autour des
vaisseaux
où l'on voit des fibrilles en grand nombre s'en
grand nombre s'entrecroisant, en suivant en général la direction du
vaisseau
et formant un feutrage assez dense. Noyaux cent
l') ATROPHIE OLEUSE 609 par le Van Gieson. Au niveau du foyer les
vaisseaux
ne paraissent pas malades. Les fibres du noya
corps granuleux, simplement quelques boules graisseuses. Quant aux
vaisseaux
des méninges, les veines sont béantes, avec dan
épaissie,comme on les trouve d'ordinaire chez les vieillards. Les
vaisseaux
du cervelet tant au niveau des couches superficie
ment importante ; tou- tefois dans l'intérieur du cervelet les gros
vaisseaux
ont quelquefois une paroi un peu épaissie. Jama
ou vasculaires, en dehors d'un épaississement modéré des parois des
vaisseaux
. Quant au syndrome de Weber présenté par cette
cheminer isolément, se groupent en cordons comprenant de cinq à dix
vaisseaux
et plus, s'enroulant les uns autour des autres
es qu'à l'état normal. Autour de ces régions comprimées on voit les
vaisseaux
très dilatés. Dans la portion dite nerveuse, on
tion dite nerveuse, on observe même une infiltration des parois des
vaisseaux
dilatés. Les testicules présentent également de
physe montrant des grandes cellules éosinophiles granuleuses et des
vaisseaux
dilatés. On ne voit plus la dis- position en ac
- trées. Il faut encore noter une dilatation considérable de petits
vaisseaux
de la substance corticale et médullaire. Dans
us grande, et au microscope on voit un développement plus grand des
vaisseaux
sanguins et une multiplication des cellules éosi-
lques petits foyers d'infiltration cellu- laire, surtout autour des
vaisseaux
; les altérations n'étaient visibles qu'au micr
pie-mère. Dans un cas, Redlich a trouvé une dilatation de quelques
vaisseaux
des circonvolutions cérébrales, mais seulement
e légère de leur paroi et pas d'infiltrations cellulaires entre les
vaisseaux
. Les recherches les plus complètes et les plus
ns l'un des cas parce qu'il y avait au 28 segment cervical quelques
vaisseaux
dilatés et quelques petites infiltrations cellu
ses pensées ; réaction enchaînée au moyen de nerfs agissant sur les
vaisseaux
, les muscles, les glandes dont ils modifient l'
ez les animaux supérieurs môme, sont totalement privés de nerfs et de
vaisseaux
. On cite comme exemples les cellules épithéliales
lupart des cas, le micro-scope fait constater qu'un bon nombre de ces
vaisseaux
subis-sent en outre l'altération graisseuse, en m
tance contractile, sous rinfluence de l'irritation transmise jusqu'au
vaisseau
musculaire primitif, par la voie des dernières ra
s signes nécessaires de la paralysie vaso-motrice, — la réplétion des
vaisseaux
sanguins et l'élévation de la tempé-rature locale
; la pupille gauche est plus contractée que la droite : de plus, les
vaisseaux
de l'œil gauche sont plus volumineux, plus nombre
nt la séreuse articulaire, aii^mevaJLatiph'du nombre et du volume des
vaisseaux
capillaires qiYfs^i^pandent. Dans les cas intense
directement, soit de la dilatation,soit de la con-traction des petits
vaisseaux
déterminées par une influence nerveuse. Mais en c
s dernières ramifications vont animer latunique musculeuse des petits
vaisseaux
. Je rap-pellerai, en premier lieu, les phénomènes
eurs a pour effet immédiat de produire une dilatation paralytique des
vaisseaux
auxquels ils se rendent(1). Delà résulte un état
e genre qu'il m'a été donné de rassembler, j'ai trouvé le calibre des
vaisseaux
rétréci par le fait d'une altération des parois a
trifuges dont l'irritation a pour effet de produire la dilatation des
vaisseaux
et conséquemment l'iiypérémie de la région dans l
) sur les filets nerveux du grand sym-pathique, nerf constricteur des
vaisseaux
, dontils paralyseraient l'action. Ainsi, la corde
pliquée par de simples phénomènes de dilatation ou de constrictiondes
vaisseaux
, et Ton est amené à reconnaître que le nerf gland
possède une double propriété puisqu'en outre de son influence sur les
vaisseaux
dont il détermine la dilatation, il exerce une ac
n physiologique a révélé la propriété de déterminer la dilatation des
vaisseaux
sous l'influence des excitations. Ces nerfs agira
« la dilatation active paraît être étrangère aux tuniques propres des
vaisseaux
et s'effectuer par l'intermédiaire des tis-sus in
ivant ce physiolo-giste, agiraient sur les cellules endothéliales des
vaisseaux
san-guins, de la même façon que les nerfs de sécr
tion : — région centrale. — Coupes lon-gitudinales. — Altérations des
vaisseaux
. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais.
l'air, elles prennent une couleur rosée et l'on voit s'y dessiner des
vaisseaux
abondants. Ces plaques ont une consistance ferme
ngieux. Dans ces deux condi-tions, du reste, elle sert de support aux
vaisseaux
sanguins. B. Il convient actuellement de recher
ter touchant une particula-rité anatomique qu offrent les plus petits
vaisseaux
, principale-ment les capillaires artériels, dans
léreuse, colorée par le carmin et traitée par dilacération. Au centre
vaisseau
capillaire portant plusieurs noyaux. A droite et
autres d'un très petit diamètre, tous dépouil-lés de leur myéline. Le
vaisseau
capillaire et les cylindres d'axe étaient for-tem
ne puis passer sous silence les altérations diverses que subissentles
vaisseaux
sanguins qui traversent les plaques de sclérose,
origine, c'est-à-dire dans les zones périphériques, les parois de ces
vaisseaux
, même celles des plus fins capillaires, se montre
is-seau distendue par des gouttelettes graisseuses volumineuses. — b,
vaisseau
coupé transversalement. La tunique adventice est
en petits amas disséminés ça et là dans la préparation en dehors des
vaisseaux
. de manière à constituer des amas confus ou des
désagrégation des tubes nerveux, les gaînes lympha-tiques des petits
vaisseaux
renferment dans leur cavité, en proportion variab
abondants que les gaines lymphatiques sont distendues à l'excès ; les
vaisseaux
paraissent alors avoir acquis un volume double ou
ris de la plaque sclérosée. Cependant les tuniques elles-mêmes de ces
vaisseaux
n'of-frent pas d'autres altérations que celles qu
une atrophie totale (coloration d'un blanc nacré, extrême ténuité des
vaisseaux
, etc.) avec ou sans excavation de la pupille. T
s\ stème vasculaire. Suivant lui, l'inflammation des parois despetifs
vaisseaux
qu'on rencon-trerait toujours au centre des plaqu
que reculer la difficulté. D'ailleurs, ce rôleprédominant accordé aux
vaisseaux
dans l'évolution du processus morbide n'est rien
é à croire, d'après mes propres observations, que les altérations des
vaisseaux
et celles du réticulum marchent du même pas, para
ne exsudation séreuse diffuse, qui s'é-tend sur la rétine le long des
vaisseaux
: — 3° la branche principale de l'artère centrale
d, X/aisseaux très visibles au milieu des plaques scléreuses. e,
Vaisseaux
devenant de plus en plus apparents dans la substa
gions cérébrales postérieures ; quelques-uns sont très profonds. e,
Vaisseaux
très apparents au milieu des zones scléreuses.
égions cérébrales postérieures. Quelques-uns sont très profonds. e,
Vaisseaux
devenus de plus en plus apparents dans la substan
ition ; — région centrale.— Coupes lon-gitudinales. — Altérations des
vaisseaux
. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais.
plaques de sclérose, 194. — Histo-logie, 195, 205. — Altérations des
vaisseaux
dans la —, 211. — Na-ture de la lésion, 219. — Fo
qu'on puisse faire à ce pro¬cédé ; il est dans le voisinage des gros
vaisseaux
. Il faut donc explo¬rer l'artère axillaire pour v
scie ordinaire. L'opération nécessite rarement la ligature de gros
vaisseaux
. J'ai toujours fait cette opération sans en lier,
ostiqua un abcès pleural ouvert dans les bronches avec destruction de
vaisseaux
. A défaut d'autres commé-moratifs que ceux d'un r
n point on aperçoit sur un tissu blanchâtre, présentant la forme d'un
vaisseau
, une ouverture longitudinale, filiforme, d'une lo
ale, filiforme, d'une longueur de 0m,007, parallèle à la direction du
vaisseau
. En partant de cette ouverture, et en remontant
on fait l'examen des yeux à l'ophthalmoscope, et, sur le trajet d'un
vaisseau
, on aperçoit plusieurs petites granulations, dont
ent des granulations graisseuses, les tuniques d'un certain nombre de
vaisseaux
offrent une multiplication de leurs noyaux ; un g
seaux offrent une multiplication de leurs noyaux ; un grand nombre de
vaisseaux
ont été étudiés, plu¬sieurs sont uniformément dév
on rencontre plusieurs foyers hémorrhagiques ; un certain nombre de
vaisseaux
étudiés au microscope apparaissent bosselés, ir r
ne portion de la périphérie, soit dans toute l'étendue du pourtour du
vaisseau
; quelques-uns se montrent avec les caractères tr
travaux sur la pathogénie de l'hémorrhagie cérébrale ; les parois des
vaisseaux
sont épaissies, les noyaux de leurs tuniques ont
s. Un lacis vasculaire très-serré lui donne une coloration rosée. Ces
vaisseaux
sont à peine visibles à l'œil nu, et n'occupent p
cée. On aperçoit aussi, sur la coupe, les orifices béants de quelques
vaisseaux
. La périphérie de la tumeur ne présente pas de la
tendue, lisse, luisante et dure. A sa partie moyenne, on remarque les
vaisseaux
capillaires injectés d'un sang très-foncé. Les lè
uels se rendent de nombreuses ramifi¬cations artérielles. Ce sont ces
vaisseaux
qui donnent lieu à des hé¬morrhagies si considéra
orte l'histoire. D'après son observation, elle renfermait beaucoup de
vaisseaux
; il y avait des hémorrhagies assez abondantes po
rs dermoïdes du crâne, par M. Giraldès; une Étude de la structure des
vaisseaux
ombilicaux, par M. Gimbert, et des Recherches sur
mpossible de le mettre à l'air, de le baigner, que la compression des
vaisseaux
poplités aug¬mente sans cesse cette tuméfaction m
et, ap¬paraît un léger écoulement sanguin dû à la déchirure de petits
vaisseaux
. Celle tumeur n'offre que fort rarement delà do
réalité est en bas. Il y a, ainsi qu'on peut le remar¬quer, quelques
vaisseaux
seulement sur la partie qui correspond au colobom
a partie qui correspond au coloboma de la choroïde. La pupille et ses
vaisseaux
sont nor¬maux et bien visibles. Quoique la mala
du cervelet sur la face postérieure de la moelle cervicale, quelques
vaisseaux
sont distendus et renferment du sang coagulé; sur
e Dr Up-ham, si le sang met un temps à peu près égal à parcourir deux
vaisseaux
de grosseur variable, il n'en est plus de même dè
seaux de grosseur variable, il n'en est plus de même dès que l'un des
vaisseaux
offre une dilatation locale comme celle de l'ané-
rhagies de cause locale peuvent être dues à une lésion des parois des
vaisseaux
, ou au sang lui-même, ou encore à une altération
au sang lui-même, ou encore à une altération du milieu extérieur aux
vaisseaux
. Dans la première va¬riété rentreront les métrorr
— Moelle : pas de ramollis¬sement, mais congestion remarquable de ses
vaisseaux
superficiels et profonds. —Appareil digestif : ri
placenta. Le col est déchiqueté, un peu noirâtre. Pas de pus dans les
vaisseaux
, ni dans les parois utérines.— Les autres organes
tantôt sur la substance cérébrale elle-même ; tantôt enfin sur ses
vaisseaux
. Sur les os elle produit des gommes, des caries
et de la sclérose, sans compter les lésions para-syphilitiques. Les
vaisseaux
, enfin, peuvent être simplement comprimés par u
ettement syphilitiques ; nous laisserons de côté la compression des
vaisseaux
par une néoplasie syphilitique, et aussi l'arté
si, en ce sens que sur une hauteur déterminée toutes les couches du
vaisseau
se sont transformées en un maigre tissu de gran
u cerveau ne présente au- cune lésion; la pie-mère est normale; les
vaisseaux
de la convexité ne paraissent pas altérés. L'
pas altérés. L'encéphale étantretiré, on examine d'abord l'état des
vaisseaux
: l'artère basilaire présente un aspect irrégul
résultent ici de la dilata- tion ou de la contraction anormale des
vaisseaux
sanguins et des troubles de nutrition qui peuve
CAPILLAIRES DE l'ÉCORCE DU CERVEAU DANS L ARTÉRIOSCLÉROSE DES GROS
vaisseaux
; par M. Lapinsky (Neurolog. Centralbl., XV, 1896)
Quinze seulement présentaient une apparente dégénérescence des gros
vaisseaux
de la base (artério- sclérose). Sur ces quinze
l'anémie cérébrale consécutive à la diminution du calibre des gros
vaisseaux
. Il faut y ajouter l'anémie des régions considé
ardivement, des phénomènes d'hyperthyroïdisation. La dilatation des
vaisseaux
rétro-bulbaires provoque la propulsion du globe o
hyperhémie des veines corticales et une sclérose très accentuée des
vaisseaux
basi- laires, on trouva encore un ramollissemen
rveuses (comme par la méthode de Nissl), les noyaux musculaires des
vaisseaux
, les cellules névro- gliques, en un mot tous le
entes bleues, tantôt en gouttes rondes bleues, sur- tout auprès des
vaisseaux
; souvent on observe aussi une formation abondan
ite) ou bien déterminer des lésions secondaires par compression des
vaisseaux
(ischémie, ramol- lissement). Dans tous ces c
é est très accentué, les exsu- dats sont très abondants le long des
vaisseaux
. Plus loin nous opposerons cette neuro-rétinite
Aucune altération des os ni de la dure-mère. Aucune altération des
vaisseaux
. Arachnilis et méningite pie-mérienne sclé- reu
nt saillie, d'aspect rayonné très net. Eu dehors de la papille, les
vaisseaux
sont tortueux, diminués de volume, accompagnés
points un aspect nacré et parais- sent en voie d'organisation. Les
vaisseaux
sont à peine visibles sur ,Ja papille; ils para
antité de liquide céphalo-rachidien. L'encéphale est extrait. Les
vaisseaux
de la base ne présentent pas de lésions macrosco-
cerveau par un pédicule très fin, qui appa- raît nettement comme un
vaisseau
s'enfonçant dans la substance cérébrale. Les
ral voisin, soit au rétrécissement et à l'obli- tération des petits
vaisseaux
comprimés ou envahis par la tumeur ». Mais plus
ammatoires très accusés, exsu- dats, stries blanchâtres le long des
vaisseaux
, saillie modérée de la papille, aspect rayonné
rayonnées bien accusées, il y a peu ou point d'exsudats le long des
vaisseaux
, assez souvent des hémorrhagies réti- niennes.
e. fait une saillie notable, affecte la forme d'un cône pointu; les
vaisseaux
font un crochet notable à leur entrée sur la pa
a dure-mère et l'appareil ligamentaire. La tumeur est très riche en
vaisseaux
, en partie oblitérés, en partie ayant subi une
ntes du cas actuel sont : 1° l'altération extrêmement prononcée des
vaisseaux
(oblitération, dégénération hyaline et athéroma
n rôle important a été joué dans la formation de ses parois par les
vaisseaux
oblitérés, transformés en bandes de tissu conne
ont nous venons de parler se continuent par un cordon contenant des
vaisseaux
et un cordon cylindrique rappelant le canal déf
re continuant son trajet en haut et en dedans pour aboutir aux gros
vaisseaux
centraux. (Ici un accident n'a pas permis d'en
formulée par Tamhuriui. J. S. XXXIX. Sur LES altérations DES PETITS
vaisseaux
DE QUELQUES ORGANES INTERNES DANS LA PARALYSIE
générale est essentiellement une maladie, très diffuse, des petits
vaisseaux
et vient, par suite, à l'appui de l'hypothèse que
nt de vue, il est important de noter que des lésions semblables des
vaisseaux
se rencontrent aussi bien dans les cas où préex
l'intermédiaire des pro- cessus inflammatoire des parois des petits
vaisseaux
. Cette diffu- sion du processus morbide à des o
ique, c'est un symptôme indirect dû aux troubles de circulation des
vaisseaux
du visage et du refroidissement de la région. P
te dans une direction spéciale. Un important centre vaso-moteur des
vaisseaux
cérébraux existe sous forme de couche diffuse p
it aussi de la congés- 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion des
vaisseaux
de la substance blanche et de la substance grise
sur la paroi externe du ventricule tant par l'épanouissement de ses
vaisseaux
que par l'apla- tissement des masses qui sont l
ie du système nerveux, sur les rapports du système nerveux avec les
vaisseaux
: de l'équi- libre de la circulation sanguine à
ant, par son action sur le sympathique, une dilatation générale des
vaisseaux
sanguins, c'est-à-dire une meilleure nutrition
leurs extrémités, les dendrites se fixent comme des racines sur les
vaisseaux
sanguins et attirent par le canal de ces extrém
quant à lui, aperçu nulle part ces rapports des dendrites avec les
vaisseaux
; il a même vu ces ramifications apparaître à un
ces ramifications apparaître à une période où il n'existait pas de
vaisseaux
dans la substance nerveuse, et, après l'apparitio
la substance grise de l'écorce, que parcourt un si riche réseau de
vaisseaux
sanguins, en rapport avec l'intensité des échan
du corps cellulaire au centre, dans une direction cellulipète. Les
vaisseaux
propres des faisceaux nerveux plaident déjà pou
es régions de l'écorce où, suivant Golgi, se trouvaient surtout des
vaisseaux
san- guins et des éléments de la névroglie, mai
nes antérieures et latérales montrent une dégénération intense; les
vaisseaux
de la substance grise sont hypérémiés et infilt
par une tache rose de tissu conjonctif embryonnaire qui supporte un
vaisseau
et dans laquelle sont de nombreux grains de pig
mpathique se traduit sur la glande thyroïde par une contraction des
vaisseaux
thyroïdien ? lorsque l'excitation est faite sur
cet auteur subor- donne l'action propre de la glande à celle de ses
vaisseaux
, suivant les idées qu'on se faisait autrefois d
anguin au cerveau, constrastant avec une diminution de l'action des
vaisseaux
sanguins du corps. Quand on pique le pont de Va
se. Etat des capillaires de l'écorce cérébrale dans l' - des gros
vaisseaux
, par Lapinski, 09. Assistance des aliénés en Be
ins hygiéniques et médicaux dans la - 162. Altérations des petits
vaisseaux
dans la , par Angiolella, 211. table DES mati
rtour ventriculaire, présentent une quantité de petites vacuoles.
Vaisseaux
gorgés de sang ; la veine- du corps strié est éno
ivasculaircs dilatés ; par endroits, de petites hémorragies. Certains
vaisseaux
ont une forme caractéristique en spirale ou tir
ce de l'écorce, de nombreuses- petites gouttières produites par les
vaisseaux
super- ficiels ; ces impressions vasculaires se
ssure cal- carine (fig. 3); à l'examen microscopique la présence de
vaisseaux
en PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXTCEPHALIQUE 21
terait à savoir comment il agit. Ici nous rappellerons que certains
vaisseaux
cérébraux ceux de la moitié antérieure nous fra
quer une anémie totale du cerveau par une simple compression de ses
vaisseaux
, car la disposition anatomique ne nous permet d
R LES troubles VASO-MOTEURS ET TROPHIQUES par LÉSIONS associées DES
vaisseaux
ET DES nerfs. Les lésions des nerfs mixtes péri
de froid à la main est douloureuse. Or, lors de la blessure, les
vaisseaux
axillaires avaient été lésés, il s'était fait u
t été lésés, il s'était fait un hématome diffus de l'aisselle ; ces
vaisseaux
avaient été liés, et consécutivement étaient ap
cculentes, alors qu'il paraissait bien peu vraisemblable qu'un gros
vaisseau
ait pu être touché. Dans d'autres cas nous avon
es l'altération des filets sympathiques périvasculaires plus que du
vaisseau
lui-même ; plu- sieurs interventions ont paru l
illots dans quelques sillons de l'hémisphère cérébelleux droit. Les
vaisseaux
arachnoï- diens gonflés. L'hémisphère cérébelle
olutions rolandiques droites avec quelques hémorragies petites. Les
vaisseaux
à la base du cerveau ont des parois minces. La su
meux, sur- tout une méningite gommeuse, ou il y a une affection des
vaisseaux
. Pour ces deux formes de processus morbides, il
pe IX 300. SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX 311
vaisseaux
de néoformation. Les noyaux sont allongés, irrégu
nolent est celui-ci : Le mélange de sang dépend-il d'une lésion des
vaisseaux
ménin- gés, produite par le trocard pendant la
l , INGVAR ment auparavant une hémorragie causée par une rupture de
vaisseaux
? Quant à la première possibilité, il existe no
rdée comme une unité. A côté des hémorragies causées par rupture de
vaisseaux
directement dans l'espace sous-arachnoïdien, il
triculaire. Enfin l'hémorragie peut naturellement venir des propres
vaisseaux
des ventricules dans le plexus choroïdien. Ce
nde fine, on n'a pas réussi à trouver une seule fissure d'aucun des
vaisseaux
, et à l'injection de l'eau dans l'artère, ou n'
le formol, on n'a pu découvrir aucune altération macroscopique des
vaisseaux
. Une attention spéciale a été donnée aux petits
pique des vaisseaux. Une attention spéciale a été donnée aux petits
vaisseaux
, qui partent de l'artère cérébrale moyenne et p
n microscopique plus approfondi de la substance cérébrale et de ses
vaisseaux
sanguins dans le voisinage du foyer hémorragique
t les recherches les plus minutieuses, découvrir aucune rupture des
vaisseaux
. La pie-mère est lacérée sur l'espace perforé a
e sang répandus dans la substance cérébrale 'ou agglomérés dans les
vaisseaux
lymphatiques aux envi- rons immédiats du foyer
vant dans ce. sillon par des abords très abrupts. Aucune rupture de
vaisseau
n'a été trouvée. Mais ce fait est compensé par l'
nou- velle irruption, avec rupture complète de la paroi d'un autre
vaisseau
, s'est produite dans le.voisinage immédiat de l
je n'ai pu trouver qu'un petit nombre de cas où l'on ait trouvé le
vaisseau
déchiré, et un nombre encore plus restreint où
ndant l'accouche- ment. Les cas, qui ont été décrits, de rupture de
vaisseaux
chez les jeunes enfants dé jusqu'à près de deux
conlre les méninges se produise et donne naissance à une rupture de
vaisseau
Les enfants sont plus que les adultes exposés a
ori penser â une violence, qui, pour produire une telle rupture des
vaisseaux
méningés, doit être tellement forte, qu'elle ne
r violence directe, soit par contre-coup, on trouve des ruptures de
vaisseaux
avec des hémorragies secondaires très générales
s forte dans la fosse de Sylvius. Là, elle entoure complètement les
vaisseaux
et se continue eu un caillot presque de la grosse
e le ramol- lissement des abords du .kyste et aussi la rupture d'un
vaisseau
, pas trop petit. Il s'ensuit une hémorragie cér
peuvent s'imposer comme spontanées. En général, les éclatements des
vaisseaux
des méninges doivent être très fréquents dans t
mment éclairés à l'autopsie. Rarement on est parvenu à retrouver le
vaisseau
éclaté. Ebrenbergn'a trouvé cités que troiscas
rite syphilitique n'amène que relativement rarement des ruptures de
vaisseaux
et des hémorragies. Nonne et Foerster entre aut
ntice un Irait si caractéristique des altérations syphilitiques des
vaisseaux
, forme en même temps une barrière contre les ru
es anomalies constitutionnelles Von Wiesner a trouvé le système des
vaisseaux
étonnamment pauvre en éléments musculaires. Il es
ent quitte telle hypoplasie des éléments musculaires des parois des
vaisseaux
doit prédisposer aux ruptures . Peut-être faut-il
le dilacération, qui se présente à coup sûr dans tous les cas où un
vaisseau
de grandeur moyenne se rompt, peut donner des s
proximité immédiate de l'anévrisme rompu. 'Dans les deux cas, les
vaisseaux
se trouvaient près des conluentes basales. Quan
érentiel entre l'hémorragie artificielle, causée par la lésion d'un
vaisseau
pendant la ponction et l'hémorragie primaire, i
e pré- sentent d'une autre manière. Alors on peut s'attendre que le
vaisseau
rup- turé se soit thrombosé, d'une manière qu'o
Large plaie d'entrée intéressant la sous-clavière. Ligature de ce.
vaisseau
. Guérison et retour au front. Seconde blessure
tes. Mais il s'est écoulé une notable quantité de sang par des petits
vaisseaux
qu'il eût été trop long de lier. Défalcation ta
écoloration des muqueuses, murmure continu avec redoublement dans les
vaisseaux
du cou. — Abattement ; la malade garde le lit dep
Groupe crural. — Il simule au premier abord une tumeur formée par des
vaisseaux
lymphatiques hypertrophiés situés à la partie int
s et d'y éprouver, sans dommage, des phénomènes de compression. Des
vaisseaux
veineux se dessinent sur la tumeur, et lui donnen
n du serre-nœud métallique, qui détruit le pédicule en oblitérant les
vaisseaux
veineux et artériels quelquefois assez volumineux
glions du creux poplité, de l'aine, un amincissement des parois des
vaisseaux
, avec dilatation de leur cavité. Ces deux lésio
cavité. Ces deux lésions, tuméfaction des ganglions, dilatation des
vaisseaux
, s'accordent bien avec la théorie pathogénique qu
es saillies seraient dues à de véritables dilatations variqueuses des
vaisseaux
lymphatiques. De ces deux faits, un seul, le se
et il est difficile de déterminer exactement le lieu d'émergence des
vaisseaux
qui sont comme voilés sur toute la surface de la
t disposées assez régulièrement. Elles rayonnent vers la papille. Des
vaisseaux
rétiniens, on ne distingue guère que les plus gro
nt à différents endroits des interruptions de continuité, et alors le
vaisseau
se termine par un point noir qui indique la prése
nt noir qui indique la présence d'un caillot sanguin. Les parties des
vaisseaux
qui se trouvent entre deux solutions de continuit
d axe vertical, a pris naissance aux dépens de la paroi antérieure du
vaisseau
. Le mésentère la recouvre et lui adhère dans sa m
ot volumineux, convexe, laissant libre environ la moite du calibre du
vaisseau
. Les parois aortiques, en se réunissant à la face
se voir très facilement par points le réseau circulatoire cutané. Les
vaisseaux
.sont variqueux, tortueux, surtout au niveau des t
ces différentes cellules; elles se touchent d'une manière intime. Les
vaisseaux
qui sillonnent le tissu morbide ont une paroi épa
des voies aériennes dans lesquelles peut couler le sang fourni par ce
vaisseau
. La prédilection de Desault pour la section du
aitement se fait suivant diverses méthodes qui sont : la ligature des
vaisseaux
qui alimentent la tumeur, la cautérisation par le
ipitale du ventricule et presque toute la corne sphénoïdale. Quelques
vaisseaux
irréguliers, plus volumineux que de coutume, sill
éâtre, se trouve contenue l'étude des muscles, des articulations, des
vaisseaux
et des nerfs. De même qu'à l'amphithéâtre le co
les tissus, pour disséquer les muscles superficiels et profonds, les
vaisseaux
et les nerfs, pour injecter les sujets et enfin p
tite noisette. L'orifice de l'aorte est sain, ainsi que la paroi du
vaisseau
: pas d'épaississement ni de concrétions-sur les
croscopique, l'attention'est d'abord attirée parles altérations des
vaisseaux
situés au milieu des îlots. Ils sont entou- Fit
re de noyaux et un aspect très légèrement granuleux. La paroi des
vaisseaux
elle-même n'est pas modifiée : nulle part, leur
blement distendue par le sang. Substance blanche. - Autour de ces
vaisseaux
, dont un ou plu- sieurs, de dimension plus cons
qui remplissent les espaces péri- vasculaires. Fig. 8. - Coupe de
vaisseaux
situés dans les foyers de sclérose. A, colo- ra
pect de la substance grise est tout différent de l'état normal. Les
vaisseaux
y présentent les mêmes modifications que dans l
on observe les mêmes lésions que plus bas : altération spéciale des
vaisseaux
, épaississement de la névroglie, tuméfaction de
d'épaississement. Cependant, on ne rencontre plus l'altération des
vaisseaux
, ni l'infiltration cellu- laire et les cellules
nent d'être décrites, la plus frappante est celle qui affecte les
vaisseaux
. En réalité, la paroi même des vaisseaux est de
st celle qui affecte les vaisseaux. En réalité, la paroi même des
vaisseaux
est de- meurée. intacte, mais, il s'est produit
nature de ces éléments ? ? Achard et Guinon ont observé autour des
vaisseaux
des accumulations d'éléments parfaitement sembl
et l3rosiu' ont également observé une modifi- cation semblable des
vaisseaux
: le centre des foyers de sclérose était occupé
es vaisseaux : le centre des foyers de sclérose était occupé par un
vaisseau
assez considé- rable et celui-ci était entouré
à fait identiques à celles que nous avons rencontrées autour des
vaisseaux
et dans les autres parties de la moelle. La p
ces éléments et leur disposition régulière, stratifiée, autour des
vaisseaux
. Observation II. Il s'agit d'un homme de soixan
s cornes antérieures des cavités de forme irrégulière, contenant un
vaisseau
, tapissées et à moitié remplies par des globule
lus à l'oeil nu aucune altération. Au microscope, on voit que les
vaisseaux
sont épaissis, gorgés de sang : des corps amylo
es traces jusqu'à l'extrémité inférieure de la moelle lombaire. Les
vaisseaux
sont assez distendus, leurs parois sont scléros
elle et en particulier, de l'espace périvasculaire : la paroi des
vaisseaux
est intacte; nulle part, on ne trouve d'hémorrh
ntraire, les espaces péri- vasculaires sont libres : les parois des
vaisseaux
sont sclérosées ; on trouve en différents point
es centres sous- corticaux qui commandent au système musculaire des
vaisseaux
de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1S l'intesti
tout à fait obstruée par un thrombus rouge, résistant, adhérent au
vaisseau
; on trouve un caillot lâche dans la carotide i
es ; les deux autres ne présen- taient ni alcooli-me, ni lésion des
vaisseaux
, ni atrophie des fibres intracorticales. D'aill
ompagnés de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et des
vaisseaux
, d'oedème cérébral ou de folie systématique ave
ccompagne si fréquemment l'aliénation mentale s'oppose à ce que les
vaisseaux
méningés soient soutenus comme ils le sont nor-
e delà distension REVUE DE pathologie mentale. 101 incomplète des
vaisseaux
, laquelle est probablement due à la lenteur r d
te d'ammoniaque témoigne de l'intégrité des cellules nerveuses. Les
vaisseaux
sont intacts, à l'exception d'un anévrisme capi
ant de corps amyloïdes, l'endartérite et la périartérite des petits
vaisseaux
médullaires et' des petits îlots disséminés, plus
carbone, il y a dégénérescence graisseuse de la tunique interne des
vaisseaux
comme dans l'intoxication phosphorée, distensio
A VAPEUR DE CHARBON. 235 mortification des parties nourries par les
vaisseaux
dilatés. Une autre théorie expliquerait le ramo
lie : il y aurait un véritable infarctus dû à l'oblitéra- tion du
vaisseau
nourricier par des globules rouges extravasés d
ge ; il modifie encore cet élément de façon à obstruer les petits
vaisseaux
et à produire des thromboses et des embolies.
côté du grand sympathique. L'auteur conclut à une atonie locale des
vaisseaux
de la peau par prédisposition congénitale et non
e et non à une paralysie des vaso-constricteurs; ce relâchement des
vaisseaux
du côté droit elleur réplélion sont infiniment
substance grise. Hyperplasie du tissu con- jonctif. Hyperplasie des
vaisseaux
par l'intermédiaire des cellules- araignées qui
par l'intermédiaire des cellules- araignées qui forment de nouveaux
vaisseaux
. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et d
ralytique, c'est-à- dire accompagnée d'affaissement de la paroi des
vaisseaux
. On in- jecte sous la peau, dès le début de l'a
la se soient bornés à l'examen des fibres sans constater l'état des
vaisseaux
. M. KERAVAL n'a pu faire cet examen qui devient
on doit recourir selon qu'il s'agit d'examiner des fibres " ou des
vaisseaux
. M. Charpentier maintient que si l'on n'a pas d
pentier maintient que si l'on n'a pas d'indication sur l'é- tat des
vaisseaux
, on ne peut tirer de conclusions. M. KERAVAL. s
qu'en se repliant et, à mesure qu'elle se plisse, il faut que trois
vaisseaux
viennent en irriguer toutes les parties en rése
au contraire sa partie périphérique, et qui est due à la présence des
vaisseaux
propres que renferme le nerf optique dans son L
inique des données plus décisives. épaisseur. — Pour ce qui est des
vaisseaux
de la papille, vous savez qu'ils consistent en de
t dans ses dimensions; ses contours sont toujours très accentués. Les
vaisseaux
restent ce qu'ils étaient aupara-vant; seulement,
re fortement la lumière et ne laisse plus voir dans sa profondeur les
vaisseaux
propres. Il s'ensuit qu'elle ne pré-sente plus la
son pourtour. Cet exsudât a une teinte gris rougeâtre. Çà et là, les
vaisseaux
centraux sont, en apparence, interrompus. Ce phén
optique, les capil-laires et la teinte rosée paraissent effacés. Les
vaisseaux
sont tortueux, sinueux, surtout les veines qui se
larité suivante : le gliôme est une production très vasculaire et les
vaisseaux
qui la tra-versent sont plus spécialement sujets
. La lésion de la névroglie est de nature inflammatoire ; ainsi les
vaisseaux
de la substance grise sont plus volumineux que de
gré-gation d'une trentaine de grandes cellules multipolaires. — V, un
vaisseau
qui circonscrit en avant et en dedans le noyau. —
urait pour effet de déterminer une sorte de contracture prolongée des
vaisseaux
de la moelle épinière et de ses enveloppes, et c'
es-unes de ces cellules rudimentaires renferment deux noyaux. Sur les
vaisseaux
capillaires, dont les parois ne présentent d'ail-
s, est ramollie, transformée en une véritable bouillie renfermant des
vaisseaux
gorgés de sang. Au-dessus de ce foyer principal,
eux myélocytes libres. Il n'y a pas de leucocytes. Sur les parois des
vaisseaux
, lesquelles présentent d'ailleurs un léger de-gré
t dans l'épaisseur des parties qui en constituent les parois : 1° des
vaisseaux
capil-laires présentant de distance en distance d
réciable du cylin-dre de myéline, du réticulum de la névroglie et des
vaisseaux
capillaires. Sous ce rapport, notre première ob
ents du tissu inter-stitiel et sur les cellules nerveuses. Etat des
vaisseaux
. — D'une façon générale, il s'agit ici d'un proce
assez abondant. Ces éléments font une saillie notable à la surface du
vaisseau
, et se distinguent facilement des noyaux de l'en-
tater nettement le fait de la néoformation des capillaires. Sur les
vaisseaux
pourvus de plusieurs tuniques, les phénomènes que
sie, sa cavité n'existe plus, elle adhère intimement à la sur-face du
vaisseau
. Du reste, l'aspect que présentent ces parties va
lètement atrophiées que celles de la région cervicale. Les parois des
vaisseaux
ne sont pas absolument saines ; sur les gros vais
Les parois des vaisseaux ne sont pas absolument saines ; sur les gros
vaisseaux
principalement, elles sont manifes-tement épaissi
sies, beaucoup moins toutefois qu'à la région cervicale. Cet état des
vaisseaux
se retrouve de l'étendue des cornes postérieures
res qui les traversent sont un peu plus larges que d'habitude, et les
vaisseaux
qu'ils con-tiennent ont des parois épaissies. Q
-terstitiel est envahi à son tour. Epaississement des parois des gros
vaisseaux
, multiplication des noyaux des capillaires, pro-l
lement dorso-lombaire, elle offrait une diffluence excessive. De gros
vaisseaux
gorgés de sang et une teinte rouge diffuse s'obse
ouvé de multiplication des noyaux dans les tubes du sarcolemme. Les
vaisseaux
, dans les muscles affectés, ne nous ont offert au
l'épaisseur de la commissure, comme dans les cornes an-térieures, les
vaisseaux
présentaient des parois manifestement épaissies,
sur les cel-lules nerveuses, la névroglie est intacte ; peut-être les
vaisseaux
y sont-ils plus volumineux qu'à l'état normal ; i
érose. — b, Noyaux disséminés dans le tissu scléreux. — e, Coupe d'un
vaisseau
dont la gaine se continue avec le tissu scléreux.
as de noyaux dans l'intervalle des faisceaux de libres. — d, Coupe de
vaisseau
. — e, Coupe du tissu végétant. — f, Eléments de n
siformes. — g, Capillaires en anse ou fiexueux. — h, Couche privée de
vaisseaux
et formés d'éléments caséeux. Charco't, Syst. n
laire antérieure sclérosée. — C, Corne antérieure remplie de nombreux
vaisseaux
, les cellules nerveuses y ont complètement dispar
uns des autivs par de larges faisceaux conjonctifs. Fig 6. — Petit
vaisseau
pris dtans la substance grise de la corne antérie
plusieurs noyaux. — c, Noyau d'une cellule endotbéliale. Fig. 7. —
Vaisseau
pris dam la même région et dont les parois sont c
Urines, Utérus. (V. Para-plégies, Rétrécissements, Trou-bles.) V
Vaisseaux
(Lésions des) dans la sclé-rose latérale, 4SI.
res. L'exophthalmie n'a pas pour cause l'action du goitre sur les
vaisseaux
du cou, sur la trachée et encore moins sur le gra
èces l'état frais, a ren- contré des cellules granuleuses, mais les
vaisseaux
étaient intacts. Cette intégrité vasculaire est
peut produire l'ectasie vasoparalytique consé- cutive au spasme des
vaisseaux
cérébraux, s'accompagne d'une atrophie de la co
fibres radiées qui traversent la' substance blanche' ainsi que les
vaisseaux
, et le tissu conjonctif de la moelle ? J0'" 1 t
l, Il 1-1 In, ,- ? riches en noyaux, parcouru de grands et nombreux
vaisseaux
5 en- trecroisant dans tous les sens. Sur cliaq
ne provenait ni delà surface de la moelle, ni de lapie-mère, ni des
vaisseaux
, mais très vraisemblablementde la névroglie de
njonctif parcburu' de SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 335 quelques
vaisseaux
. Quoique la. tumeur possédât les pro- priétés d
conclusion intéressante et nou- velle. Dans mon travail sur « les
vaisseaux
de la moelle épinière chez l'homme » '.publié r
a substance blanche accompagnent les plus grandes ramifications des
vaisseaux
de la moelle etque la substance grise est le si
ire, fibrillaire, comme les autres organes, qui accompagne les gros
vaisseaux
, et, 2° une espèce particulière de substance do
drémie, ouàl'acétoiiéiiiie, soit à la prolifération conjonctive des
vaisseaux
qui chez les diabétiques ont été constatées dan
s. Ce sont des excavations miliaires qui se rencontrent le long des
vaisseaux
et dans les- quelles on trouve du sang extravas
tteint déjà de cataracte nucléaire. L'ophthalmoscope lui mon traies
vaisseaux
, veines et artères d'une teinte fort claire, di
u non albuminurie concomitante, les altérations du sang, celles des
vaisseaux
, avec l'aide peut-être d'une aifec- tion cardia
ésignés sous le terme d'acétonémie. , REVUE D'ANATOMIE I. Sur les
vaisseaux
DE la moelle épinière (Analyse et critique du m
que nous avons publié une note très complète sur la circulation des
vaisseaux
nourriciers de la moelle épinière. Il y a bient
bientôt neuf ans. (Voy.,yVo/e' les artères nourricières et sur les
vaisseaux
capillaires de la moelle épinière, in Progrès m
ion des artères nourricières de la moelle épinière c'est-à-dire des
vaisseaux
artériels qui pénètrent dans la substance nerve
complète. - Il comprend deux parties : la première est relative aux
vaisseaux
artériels et veineux dans l'épaisseur de la moe
cédés de Gerlach. L'auteur étudie la distribution géographique des
vaisseaux
sur des coupes horizontales faites à différentes
ont coupés oblique- ment, et on n'a sous les yeux qu'une portion du
vaisseau
avec ses branches collatérales (Fig. XI V et fi
ntérieure (G2,a21eîi 17oîdeî,- saulen). La commissure est pauvre en
vaisseaux
; ils sont parallèles à ses faisceaux nerveux ;
près cette description de l'aspect général du réseau capillaire des
vaisseaux
de la moelle épinière, M. Adamkiewicz s'occupe
gue dans cet organe deux systèmes vasculaires : 1° Le système des
vaisseaux
centrifuges ou de l'artère du sillon, 2° le systè
vaisseaux centrifuges ou de l'artère du sillon, 2° le système des
vaisseaux
centripètes dans lequel il place l'artère médiane
e de la scissure, arteraa fissurai, comme il l'appelle) et tous les
vaisseaux
périphériques. Pour justifier cette division, i
nt immédiatement d'artères sulco-commr's- surales. Au moment où les
vaisseaux
sulco-commissuraux tra- versent chaque moitié d
ais, laissant à la périphérie une zone qui est fournie par d'autres
vaisseaux
. » (Voy. les Figures schématiques VIII et A'F7.
nt des capillaires de la substance grise. Le deuxième système des
vaisseaux
de la moelle épinière, d'après M. Adamkiewicz,
ipète ou des vais- seaux de la couronne et comprend tous les autres
vaisseaux
de la moelle épinière. La description qu'il en
e. Ce nom est à conserver : mais, nous aussi, nous avions décrit ce
vaisseau
: « A la partie postérieure, il convient de sig
eurs dites fulgurantes se rattachent à cette lésion. La présence de
vaisseaux
abondants dans la ré- gion (artères radiculaire
u plexus brachial, par Adamkiewicz, 323. Moelle épiniere (sur les
vaisseaux
de la), par Adamkiewicz, critique par Duret,
fait des extravasations sanguines dans les gaines lymphatiques des
vaisseaux
correspondants. Ces plaques, beaucoup plus éten
s à la dure-mère. Ce fragment de subs- tance cérébrale contient des
vaisseaux
dans la gaine lympha- tique desquels il existe
1M ; R. 56; T. R. 39°, 4. L'état des pupilles, des muqueuses et des
vaisseaux
auriculaires est noté avec soin. l0 heures 22
ce moment, est immobile; les pupilles sont légèrement dilatées; les
vaisseaux
des oreilles sont un peu plus apparents. Peu à
comptons il pulsations. R. : : ii ; T. R. 38°, 8. 40 heures 52. Les
vaisseaux
des oreilles sont manifestement contrac- tés.
primitif); T. R. 38", 3. -Les pupil- les sont assez dilatées ; les
vaisseaux
auriculaires sont encore contractés. Le nez et
bibliographiques. 76 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. La dilatation des
vaisseaux
, et en particulier des 'vais- seaux contenus da
et Kempter exami- nèrent avec soin, à l'aide de fortes loupes, les
vaisseaux
des méninges. Puis, quand l'animal fut entièrem
spirer du nitrite d'amyle. Sous l'influence de cette substance, les
vaisseaux
de la pie-mère se gon- . fièrent peu à peu ; de
nce, les vaisseaux de la pie-mère se gon- . fièrent peu à peu ; des
vaisseaux
qui, auparavant, étaient trop tenus pour être v
ax Schueller, de son côté, avait déjà constaté cette dilatation des
vaisseaux
de la pie-mère lorsque MM. Bride et Kempter ont
tion des artères de la rétine, conduisait aussi à penser que les
vaisseaux
encéphaliques subissaient eux-mêmes une action
e, Rutherford, Guttman). Ce diabète dépendrait de la dilatation des
vaisseaux
hépatiques. Déjà, nous avions souvent examiné l
des nerfs, ou bien immédiatement sur les fibres muscu- laires des
vaisseaux
. La plupart .des expérimentateurs accordent à c
tateurs accordent à cette substance une action sur les parois des
vaisseaux
; toutefois, Bernheim (1) et Guttman (2) con- (1
part sur ce fait que le nitrite d'amyle produit une dilatation des
vaisseaux
de la tête et d'autre part sur cette hypothèse
r cette hypothèse qu'il existe dans l'épilepsie une contraction des
vaisseaux
de l'encéphale, M. S. Weir Mit- chell a employé
st im- médiatement avant l'accès, car si on empêche le spasme des
vaisseaux
de se produire, on écarte par là même la série
s où l'accès était imminent, il pourrait dilater suffisamment les
vaisseaux
pour s'opposer à leur contraction, et intéresser
our. Cette rougeur est due à la réplétion des capillaires; les gros
vaisseaux
sont parfaitement nor- maux. Cette altération,
de la papille, disposés en couronnes, interruptions apparentes des
vaisseaux
, qui sont tortueux, très turgescents, d'apparen
ien délimité. Dans cette partie, la papille ne présente- que peu de
vaisseaux
. Du côté externe, la papille a des rebords très
dilatation fusiforme. De la branche inférieure se détache un petit
vaisseau
très mince et très ramifié qui va irriguer la p
cellules sont séparées par du tissu nerveux ; 2° On constate des
vaisseaux
sous forme de.lacs sanguins, vais- seaux ayant
autre délimitation que le tissu même de la tumeur. Il s'agit là de
vaisseaux
capillaires véri- tablement énormes, qui autori
qui autorisent la dénomination de téiangicc- tasiques. Parfois ces
vaisseaux
au nombre de quatre ou cinq forment un îlot dan
s. A un fort grossissement nous allons étudier ces deux éléments,
vaisseaux
et tumeur. 1° Du côté des vaisseaux, nous trouv
ns étudier ces deux éléments, vaisseaux et tumeur. 1° Du côté des
vaisseaux
, nous trouvons une paroi très mince, fibrillair
s par la méthode de Pall. Sur les coupes longitudinales de quelques
vaisseaux
on peut constater dans leur gaine la pré- sence
variqueuses, mais sans dégénérescence plus avancée. Au même niveau,
vaisseaux
du nerf congestionnés et remplis de globules. A
ture histologique des tumeurs est typique quant aux méninges et aux
vaisseaux
des régions voisines de la moelle épinière, ils
sphygmographique. La cardio- pathie aortique est bien nette. Les
vaisseaux
sont également intéressés : les temporales sont
en s'amoindrissant de haut en bas; aucune altération notable des
vaisseaux
médullaires; atrophie partielle des fibres des
clérose multiple disséminée ; 2° l'ab- sence notée d'altération des
vaisseaux
médullaires montre que ces cas ne sont pas des
i blancs qu'à l'état normal » ; G° des anévrismes miliaires sur les
vaisseaux
de la pie-mère; 7° un petit foyer de ramol- lis
exe : la sclérose porte sur la moelle, les nerfs, les méninges, les
vaisseaux
, le péricarde, le poumon. Examinée sans parti p
ose des cordons postérieurs; 2° atrophie du nerf optique gauche; 3°
vaisseaux
de la base du cerveau atbéromateux ; 4° teinte
léger emphysème pulmo- naire. Ainsi vous avez là de la sclérose des
vaisseaux
, peut- être du rein, de la sclérose du foie, du
ment dans l'encéphale c'est le plus souvent par l'intermédiaire des
vaisseaux
que la sclérose multiple dissé- minée se manife
e la sclérose d'un viscère avec des lésions inflammatoires de ses
vaisseaux
nourriciers ne comporte pas une corrélation de
e les furoncles et les tubercules, s'accompagnent d'endartérile des
vaisseaux
compris dans la lésion et conclut que « la conc
e..., la discussion entre les deux écoles sur le rôle pathogène des
vaisseaux
dans la production des scléroses observées. M
éveloppement du tissu conjonctif n'est commandé par les lésions des
vaisseaux
, puisque les lésions vasculaires existent sans
re, les indurations chroniques évoluent sans la partici- pation des
vaisseaux
nourriciers. » Après de pareilles déclarations
nerveux est excessive, spécialement dans la moitié extérieure. Les
vaisseaux
sont fortement agrandis, avec parois très épais
Un grand nombre de cellules lymphoïdes se voient surtout autour des
vaisseaux
. Les convolulions III ne sont que légèrement af
bablement dû au traumatisme ancien. Epaississe- ment oblitérant des
vaisseaux
capillaires de nouvelle formation à dégénéresce
éosine, nous avons pu apprécier la sclérose névroglique, l'état des
vaisseaux
, etc. L'étude des lésions parenchymateuses a ét
on trouve çà et là, dans le tissu inters- titiel et les parois des
vaisseaux
, des granulations graisseuses, en fine poussièr
granuleux occupaient les espaces intertubulaires ou la gaine des
vaisseaux
; mais c'est là un processus secondaire, car il
yramidale dont elles ont envahi la gaine lymphatique, ou autour des
vaisseaux
, soit dans, soit autour de la gaine péri- vascu
eau, atteignant la cellule sous forme de délire, de démence, et les
vaisseaux
sous forme d'attaques et de congestions liées n
llissement cérébral, développé sur un terrain d'altération innée de
vaisseaux
. Les apoplexies infantiles diffèrent des lésion
Séance du 14 février 1897. 1). M. n10L1·CriAnOFF ? Affection des
vaisseaux
(des veines) pro- venant d'une lésion des nerfs
ius ! : y, d'après l'auteur, trouvent que certaines altérations des
vaisseaux
dépendent des lésions des nerfs périphé- riques
es ou vasomoteurs) sur la nutrition de l'endothélium des parois des
vaisseaux
, mais en prenant en consi- dération la douleur
sclérose disséminée con- cerne deux points : l°la signification des
vaisseaux
et 2° le rapport du processus en question à la
indraxes gonflés, traversant les cavités dans le tissu ramolli. Les
vaisseaux
sont hyperplasiés, remplis de sang; les espaces
préfère des endroits qui sont situés auprès des ventricules et des
vaisseaux
. Les plaques peuvent occuper une région vascu-
ion de sébum, qu'on pourrait expliquer par une vaso-paralysie des
vaisseaux
capillaires des glandes et un trouble d'inner-
ve de l'oreille par congestion de l'encéphale et vaso-paralysie des
vaisseaux
capillaires de l'oreille. L'othématome se produ
avoir recu récemment. Au côté droit du cou dans la direction des
vaisseaux
et sur leur trajet on observe une tumeur longue d
r les expériences de Rung, qui établissent l'action exercée sur les
vaisseaux
de la moelle par les bains froids limités aux e
sculaire, et laquelle, surviendrait-elle d'emblée sur les plus fins
vaisseaux
du système nerveux central, à l'exclusion d'alt
rs modalités dans le système nerveux ; le calibre de la lumière des
vaisseaux
n'est point diminué dans les scléroses en plaqu
a paralysie du muscle orbitaire interne, et non au resserrement des
vaisseaux
rétro-bulbaires par section des nerfs vaso-dila
par Balla- bene, 442, 512. Névrite péhiphéhique. Affection des
vaisseaux
provenant d'une -, par Moltchanoff, 351. Névr
if à l'altération dite sénile des artères. De son côté, le réseau des
vaisseaux
capillaires sanguins s'ap-pauvrit progressivement
ng, peut être entraîné par le torrent circulatoire, pénétrer dans les
vaisseaux
d'un petit calibre, et produire les accidents sou
nts est pâle, violacée et re-froidie, par suite de la contraction des
vaisseaux
capillaires superficiels, la température du sang
s dépôts d'arate dé soude occupent de préférence les tissus privés de
vaisseaux
. — Etat de la synoviale et des ligaments. —Tophus
ation de ces dépôts, qui occupent de préfé-rence les tissus privés de
vaisseaux
; or la synoviale et l'os possèdent une structure
ce sont les appendices des franges de cette membrane, moins riches en
vaisseaux
, qui subissent les pre-mières atteintes; plus tar
atiques de la goutte. -Appareil circulatoire : lésions du cœur et des
vaisseaux
. — Mort subite. — Manifestations cérébrales de la
ui existent à l'état normal ; 2° d'une dilatation variqueuse de leurs
vaisseaux
(Lebert). Fig. 12. — Rhumatisme articulaire aig
ux. D'après Luschka, l'endocarde fait suite à toutes les tuniques des
vaisseaux
; mais d'après la plupart des auteurs, il ne se co
se continue qu'avec leur membrane interne. L'endocarde n'a point de
vaisseaux
propres : mais sur les parois cardiaques, en rais
es valvules. Ici la membrane de revêtement estplus épaisse : quelques
vaisseaux
se trouvent répandus, d'a-près Luschka, entre les
e la plus épaisse de l'endocarde, celle qui est la plus éloi-gnée des
vaisseaux
, que siègent de préférence les lésions in-flammat
l'endocarde. a". — Lamelle inférieure. b. — Couche moyenne dont les
vaisseaux
présentent un degré marqué d'hy-perhémie. c. —
une couche fibrineuse. Mais pendant que ce travail s'accomplit, les
vaisseaux
se développent. Dans la valvule mitrale où ils ex
aires voi-sins envoient des prolongements dans les parties privées de
vaisseaux
, comme il arrive pour la cornée lorsqu'elle s'en-
les proprement dites peuvent faire obstacle à la circulation dans des
vaisseaux
de premier ordre, on a vu la fémorale, et même l'
hirurg. Soc. of London, vol. XXVIII. 2e série, 1862. B. Lorsque les
vaisseaux
de l'encéphale sont atteints, il en résulte des r
de deux manières. — Des oblitérations réelles ont pu siéger dans des
vaisseaux
d'un calibre important ; mais le caillot s'étant
if ait persisté. — On peut admettre, au contraire, que de très petits
vaisseaux
ayant été oblitérés, une affection cérébrale se s
gée vers le hile, ce qui tient au mode de distribution bien connu des
vaisseaux
de cet organe. Nous avons eu nous-même l'occasi
hez les vieillards, présente un appauvrissement notable du réseau des
vaisseaux
capillaires sanguins, et en môme temps une activi
ités du cœur. Boerhaave supposait que la coagulation du sang dans les
vaisseaux
est une cause de mort dans la fièvre, et tout réc
bituelle, pâleur, bruit de souffle au cœur, bruit de souffle dans les
vaisseaux
du cou. Je dois noter qu'à l'hôpital Necker, on
, teinte blafarde des téguments, souffle anémique au cœur et dans les
vaisseaux
du cou, volume normal du cœur; la malade est dans
leur plus ou moins vive ; il n'est point rare, en pareil cas, que les
vaisseaux
cutanés ou sous-cutanés qui les avoisinent soient
ro-phiés. Leur volume est à peu près réduit de moitié. Les parois des
vaisseaux
artériels étaient épaissies. Nulle part, dans ce
aît manifestement épaissie; elle est d'une coloration jaune pâle; les
vaisseaux
et les glomérules de Malpighi injectés s'y dessin
et de coloration gris jaunâtre montrait une injection assez vive des
vaisseaux
et. des glomérules de Malpighi. Sur des coupes mi
le atrophiée, était couverte de kystes. Sur une coupe de ce rein, les
vaisseaux
se présentaient à l'œil nu, sous forme de ligne
légèrement athéromateuse; on voit seulement sur la face interne de ce
vaisseau
de petites plaques jaunes non ulcérées. Les cavit
du tissu. Ces granulations sont séparées les unes des autres par des
vaisseaux
injectés, qui rampent dans les sillons qui borden
illes cristallines. Bon nombre de ces amas siègent dans la cavité des
vaisseaux
fymphatiques qu'ils obstruent, tandis que les vai
la cavité des vaisseaux fymphatiques qu'ils obstruent, tandis que les
vaisseaux
sanguins restent perméa-bles. 3° La capsule du fo
ue, et après la mort, on trouve dans les caillots du cœur et des gros
vaisseaux
de petits grumeaux d'urate de soude. La bile auss
rées, opa-ques ; elles présentaient, dans leur épaisseur, de nombreux
vaisseaux
, et portaient à leur surface, aux lieux d'électio
s dépôts d'urate de soude occupent de préférence les tissus privés de
vaisseaux
. —Etat de la synoviale et des ligaments. — Tophus
atiques de la goutte. — Appareil circulatoire: lésions du cœur et des
vaisseaux
. — Mort subite. —Manifestations cérébrales de la
° « Dans les deux yeux existe un liseré grisâtre des deux côtés des
vaisseaux
qui émergent de la papille. Cette altération es
Cette altération est de la sclérose par propagation des parois des
vaisseaux
de l'encéphale; 2° Il existe de l'oedème péripa-
, d'un blanc grisâtre à l'image droite, mais à limites nettes ; les
vaisseaux
étaient nor- maux. Cet état indicateur d'une af
ration bleuâtre, enfin une excavation et une altération légères des
vaisseaux
de la papille ; 2° Aug- mentation du tissu conj
n peu [plus marquée, la trame de tissu conjonctif plus visible. Les
vaisseaux
étaient en quelque sorte ratatinés. Une fois l'
yenne ; quelques placards blancs, nacrés, avec quelques vestiges de
vaisseaux
choroïdiens, une coudure des vaisseaux rétinien
s, avec quelques vestiges de vaisseaux choroïdiens, une coudure des
vaisseaux
rétiniens, quelques corps flottants, formaient
as de lésions macroscopiques importantes de la substance cérébrale.
Vaisseaux
: Athérome des artères basilaire et sylviennes.
aux fibres nerveuses, et paraissent provenir surtout des parois des
vaisseaux
de la papille. En effet, l'artère et la veine c
ncontrons pas de leuco- cytes, et si nous avons trouvé la paroi des
vaisseaux
très hyper- plasiée, il n'existait dans son voi
que nous venons d'étudier. C'est surtout à la périphérie des petits
vaisseaux
que la prolifération névroglique est intense ; c'
es en cellules et au milieu des- quelles nous retrouvons les petits
vaisseaux
à paroi épaissie. La gaine piale du nerf est ég
es surtout à la périphérie, au voisinage de la gaine, et les petits
vaisseaux
qu'elles contien- nent ont leurs parois hypertr
u niveau des deux hémisphères, distendue par du liquide d'oedème.
Vaisseaux
: Basilaire non athéromateuse, non plus que la sy
s. En o, amas d'éléments du tissu conjonctif dans le voisinage d'un
vaisseau
de la gaine I)talc du iiet-1. 20 0 ANATOMIE P
ses cellules de névroglie se mêlent aux éléments conjonctifs. Les
vaisseaux
capillaires de la papille constituent un réseau p
ndre compte de la véritable sclérose qui frappe le nerf, les petits
vaisseaux
intratrabéculaires, ont leur paroi épaissie, enfi
llules conjonctives qui constituent notamment dans le voisinage des
vaisseaux
de petits amas, dont nous avons en o représenté u
jonctifs semblables à ceux que nous avons signalés plus haut. Les
vaisseaux
présentent une légère hypertrophie de leur tuniqu
pas d'autre altération macroscopique de la substance cérébrale. Les
vaisseaux
delà base, la basilaire notamment étaient athérom
ure 7, on voit très nettement leurs traînées partir de la gaine des
vaisseaux
et se diri- ger perpendiculairement par rapport
rne e de la papille, elles existent notamment dans le voisinage des
vaisseaux
et on en peut voir un en e qui présente autour
£ Pil droit du malade V... ; a, artère centrale ; v, veine; c, petit
vaisseau
entouré de nombreux éléments conjonctifs; 7, réti
prolifération du tissu conjonctif, l'épaississement de la paroi des
vaisseaux
plaidaient égale- ment pour une origine alcooli
t pour les organes les plus.variés; aussi bien pour le coeur et les
vaisseaux
dans les affections du système circulatoire, qu
catégoriquement niée. Reste l'hypothèse de lésions vasculaires, les
vaisseaux
accessibles étant durs. Une intervention chirur
oit trouble et épaissie : à gau-- che, elle est trouble le long des
vaisseaux
. A droite, .au niveau de la partie supérieure d
ntre l'existence de lésions d'asté- rites sur les sylviennes et les
vaisseaux
intra-cérébraux. L'autop- sie et l'examen micro
les du réseau artériel, la constatation directe de l'altération des
vaisseaux
, prouvent à l'évidence l'origine vasculaire du pr
le et exceptionnellement d'atrophie dite pigmentaire ; sclérose des
vaisseaux
; sclérose névroglique légère), cette poliomyélit
III, iV. 1. XI, 4900.) Toute toxine peut, par irritation, léser les
vaisseaux
et produire ainsi une affection en foyer, dont
les conséquences dépendent de la structure et de la disposition du
vaisseau
ainsi que de l'endroit du système nerveux centr
n formative de la névroglie. II. L'inflammation qui s'adresse aux
vaisseaux
engendre des lésions en foyer. Celles-ci sont,
tion qui lui succède procède des éléments suivants : altération des
vaisseaux
, exsudation, ébranlement de l'équilibre du tiss
ng épanché à la base du crâne quand on a eu le malheur de léser des
vaisseaux
de la scis- 268 REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
litique, avec altérations considérables du côté des méninges et des
vaisseaux
, et désorganisation complète de la moelle au ni
sublinguale du côté malade. Augmentation de volume très marquée des
vaisseaux
du cou et des veines ranines. La langue est trè
IE DES RELIGIEUSES. 425 cinq dernières heures. Cassez ensuite votre
vaisseau
, et en tirez seulement ce qui est monté et s'es
prenant chaque fois ce qui est élevé et attaché au parois de votre
vaisseau
, le broyant et le met- tant dans un autre, les
èlement à elles ; et outre l'augmentation et la sclérose des petits
vaisseaux
avoisinants, l'inflammation chronique des artèr
cot, leur forme est à peu près ronde, plus allongée dans le sens du
vaisseau
autour duquel elles siègent; leurs parois sont
louche ou un magma jaunâtre au milieu duquel se voit l'ouverture du
vaisseau
. La formation de la lacune passe par deux degré
, c'est la lacune miliaire (raréfaction du tissu cérébral autour du
vaisseau
sans solution de continuité) ; au deuxième degr
degré, lacune vraie c'est-à-dire cavité contenant à son centre un
vaisseau
altéré dans ses parois mais toujours perméable, c
tc. Après avoir étudié l'anatomie descriptive des enveloppes et des
vaisseaux
de la moelle, puis son anatomie topographique,
t à.une artérite syphilitique avec végétation dans la la lumière du
vaisseau
; soit à une artérite, avec anévrisme ; soit en
fait suite un profond sillon (e) dans lequel pénètrent de nombreux
vaisseaux
; au-dessus de ce sillon est une circonvolution,
olution précédente, et étant plus ou moins soudé à celle-ci par les
vaisseaux
et la pie-mère qui remplis- sent cet étroit sil
la membrane épendymaire, revêt l'espèce de panache que forment les
vaisseaux
san- guins du côté de la cavité ventriculaire :
san- guins du côté de la cavité ventriculaire : l'ensemble de ces
vaisseaux
(plexus choroïde) est ainsi compris entre deux
es irrégulièrement dis- posées) est pénétrée par un grand nombre de
vaisseaux
, qui, se disposant par nappes plus ou moins con
'enfonce entre les deux circonvolutions. En même temps, comme ses
vaisseaux
pénètrent dans les couches superficielles de la
, qui n'est pour ainsi dire qu'un accident, résultant de ce que les
vaisseaux
, ne trouvant pas assez de place dans l'étroit s
ique, séparée, par un sillon pro- fond, étroit, contourné, plein de
vaisseaux
, d'une belle circonvolution (CH, fig. 6) dans l
éparées par une mince zone (e), dans laquelle on trouve de nombreux
vaisseaux
, et qu'on reconnaît facilement, malgré son étro
égion knliculo-opliquc dans le cerveau humain. 30 ANATOMIE. les
vaisseaux
, développés dans le feuillet moyen, se sont acc
uestion est très nettement indiqué (en Y) ; il contient de nombreux
vaisseaux
, ou, pour mieux dire un pro- longement de la pi
orne d'Ammon. Fig. 13. Embryon de lapin, long de 36 millimètres; y,
vaisseaux
placés dans le sillon qui sépare deux plis, les
u nerf et contenant des fibres nerveuses transverses, ainsi que des
vaisseaux
sanguins. Le tissu conjonctif contenait égaleme
, n'en sont pas moins épaisses, et par endroits con- tiennent des
vaisseaux
de calibre assez fort. Les cel- lules étoilées
onctives de ce réseau, on distingue des éléments cellulaires et des
vaisseaux
capillaires. Les interstices de ce réseau sont
à l'apparence confuse de la papille dont on ne peut distinguer les
vaisseaux
, tandis que les examens ophthal- moscopiques du
une prolifération de la névralgie cérébrale : réplétion énorme des
vaisseaux
, exsuda- tion d'un grand nombre d'hématies, hyp
ha- gies très minimes. Le plus, souvent, c'est à la rupture, d'un
vaisseau
situé sur la paroi vasculaire ou dans son voisina
u cerveau, (ainsi;que des .diverses..modifications subies par les
vaisseaux
du cerveau en général, ou par les vaisseaux direc
ications subies par les vaisseaux du cerveau en général, ou par les
vaisseaux
directe- ment intéressés ! dans l'hémorrhagie.
lques faits vien- nent à l'appui de cette manière, de voir, que les
vaisseaux
ventriculaires ne se comportent pas autrement à
usieurs endroits, cet état avait amené de petites hémorrhagies. Les
vaisseaux
de la commissure surtout' 'étaient 'élài-is 1 -
e un bruit de souffle anémique à la base, qui se propage dans les
vaisseaux
du cou. La quantité d'urine rendue dans les vingt
rnirié, ne crépite pas, et plonge quand on le jette dans l'eau. Les
vaisseaux
sanguins, voisins de la caverne, sont obstrués
et sur le plancher de cette cavité, on voit se lever un faisceau de
vaisseaux
sanguins. (Fig. 10). Sur la coupe des masses ce
pèce d'ailleurs, ni hérédité, ni malformations du coeur ou des gros
vaisseaux
. Il ne faudrait imputer la mort du monstre qu'a
rent, ,en un cas, de la congestion cérébrale et de la réplétion des
vaisseaux
méningés; dans l'autre de la congestion et du r
vélé les particularités suivantes : L'encéphale est volumineux. Les
vaisseaux
de la base sont sains. La pie-mère présente çà
e vif uni- forme, son tissu dense fibroïde est traversé par de gros
vaisseaux
sanguins à parois épaisses. Avec un grossisseme
erveuses y sont en grand nombre, munies de beaux prolongements. Les
vaisseaux
qui la traversent sont sains; on n'y aperçoit p
e conjonctive aboutissant à la destruction granulo-grais- seuse des
vaisseaux
et des cellules pyramidales. (\111. 13oucliard et
rne d'Ammon. Fiq. 13. - rmlyon de lapin, long de 36 millimètres ; ?
vaisseaux
placés dans le sillon qui sépare deux plis, les
de percep- tion lumineuse. Atrophie blanche. Des deux côtés, les
vaisseaux
sont rétrécis. Il y a depuis plusieurs jours li
mprimés et manifestement atrophiés, surtout les neifs optiques. Les
vaisseaux
également sont compris dans cette sorte de faus
aires rencontrés dans la paroi, aussi bien que dans la lumière du
vaisseau
et dans l'espace péricapillaire, on trouve toutes
cessus porte probablement d'une façon pri- mitive sur le mésoderme (
vaisseaux
) ou simultanément sur le mésordermo et l'élémen
réunis en amas, par dizaines au plus. Un les trouve soit autoul des
vaisseaux
, soit en dehors d'eux sans prédominance pour les
vasculaire.sNulle part,on ne rencontre de cellules géan- tes. Les
vaisseaux
de la dure-mère sont normaux, et si on trouve q
es vaisseaux de la dure-mère sont normaux, et si on trouve quelques
vaisseaux
sous-pie-mériens épaissis, l'épaississement P
11. A l'ouverture du crâne, la dure-mère est épaissie, blanche, ses
vaisseaux
sont très apparents. Elle donne à la palpa- lio
vasculaires, et présentent plusieurs orifices donnant passage à des
vaisseaux
. A la coupe, on constate que cette tumeur est d
perpendiculaires aux premières. Dans ces deux couches cheminent des
vaisseaux
san- guins. La tumeur est entièrement comprise
duction, malgré la présence d'élé- ments cellulaires nombreux et de
vaisseaux
(2). Les kystes hydatiques eudocraniens, ne son
nt, si ce dernier fait est exact, il ne prouve pas que l'état des
vaisseaux
soit en cause, attendu que nombre d'ar- tério-s
e cicatrisent ou deviennent kystiques. Au microscope, autour d'un
vaisseau
, on voit que le tissu nerveux est raréfié et peu
ré : la névroglie plus abondante : la gaine lymphatique adhère au
vaisseau
; d'autres fois. elle est remplie de leucocytes.
ions du coeur et des reins, ne s'accompagnent jamais de lésions des
vaisseaux
; ils sont nettement sous la dépen- dance du sy
nt, l'auteur donne la reproduction de préparations histologiques de
vaisseaux
chez des paralytiques généraux. Les coupes ont
altérations vasculaires légères et limitées à un petit nombre de
vaisseaux
du névraxe et de la pie-mère. En terminant, l'aut
olemmu sont normaux comme nombre, forme, siège et dimensions. Les
vaisseaux
sanguins avoisinant les tendons rencontrent une
globe, et qui donne lieu à du rangio-sclerose surtout au niveau des
vaisseaux
rétiniens. Tou- tps les membranes qui composent
la diapédèse autour des artérioles gorgées de sang. Dans quelques
vaisseaux
, dont les parois sont remplies de glo- bules bl
ent formée de tissu conjonctif, venu de la pie- mère en suivant les
vaisseaux
. Friedmann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3 c
unies par une substance intercellulaire. Elle contient en outre des
vaisseaux
capil- laires grêles et peunombreux, des cellul
e le noyau est volumineux et ovale. En outre, il existe de nombreux
vaisseaux
, à parois épaissies et un certain nombre de cel
s rondes disséminées, rassem- blées en plus grand nombre autour des
vaisseaux
. La zone externe, zone d'irritation,large, mais
est parsemée de nombreuses cellules rondes ; elle est ri- che en
vaisseaux
; elle présente en outre des cellules né- vrogl
deux couches : l'une interne, composée de tissu lâche très riche en
vaisseaux
, avec parfois des hémorrhagies ; dans les maill
irritatif frappé les éléments nerveux, la myéline, et surtout les
vaisseaux
et la névroglie. En résumé, pour Kôlpin, à la f
e-là quelques rares noyaux épars. Cette couche ne con- tient pas de
vaisseaux
ou seulement quelques vaisseaux capillaires dil
. Cette couche ne con- tient pas de vaisseaux ou seulement quelques
vaisseaux
capillaires dilatés et seulement dans la partie
formant un feutrage lâche à travers lequel rampent de très nombreux
vaisseaux
. On y voit d'abord des cel- HISTOLOGIE PATHOL
gonflées et déformées; enfin des leucocytes.Dans cette couche,les
vaisseaux
sont très nombreux, largement dilatés ; ils son
ntice est épaissie et proliférée. A côté se voient de très nombreux
vaisseaux
embryonnaires, creu- sés pour ainsi dire sans p
illaires dilatés et gorgés de sang,la diapédèse est très active.Ces
vaisseaux
sont extrêmement nombreux. A un faible grossiss
coupe semble criblée de trous dont chacun représente la coupe d'un
vaisseau
. Ceux-ci sont surtout des capillai- res et des
et nettement appréciable de protoplasma. Cette couche contient des
vaisseaux
en abondance, très variables suivant les points
ion de Iioeplin, caractéri- sée surtout par son extrême richesse en
vaisseaux
plutôt que par ses caractères irritatifs et qui
tissu nerveux voisin normal que par cette extrême abon- dance de
vaisseaux
. Ceux-ci sont volumineux et extrême- ment nombr
ue ne le dit Kolpin.Cependant les cellules placées au voisinage des
vaisseaux
dilatés présentent assez souvent les caractères
souvent les caractères de la chromatolyse. C'est encore autour des
vaisseaux
que l'on observe des cellules névrogliques gonf
emblé être très accentués. Ils s'observent surtout au voisinage des
vaisseaux
, pour s'atténuer et disparaître rapidement dès
e est essentiellement formée par le tissu conjonctif, venu avec les
vaisseaux
de la pie-mère ;la névroglie ne jouerait aucun
spinale. La pie-mère est facilement enlevée, pas d'adhérences. Les
vaisseaux
à la base sont épaissis. Des hémorragies ne son
laires en plus grand nombre à certains endroits. Epaississement des
vaisseaux
, conditionné plutôt par la dégénération hyaline
prolifération de l'endothélium faisant saillie dans la lumière des
vaisseaux
n'est trouvée nulle part. Des infiltrations infla
flammatoires ne sont constatées dans aucune coupe. Mais beaucoup de
vaisseaux
sont obstrués par des thrombi, se constituant l
. Elles ne semblent pas donner naissance aux fibres névrogliques.
Vaisseaux
. Une infiltration inflammatoire n'est trouvée nul
e part, ni leucocytes, ni lymphocytes, ni plasmazellen. Le long des
vaisseaux
des accumu- lations d'un pigment jaune. - Gra
s noyaux névrogli- ques, dans les cellules nerveuses et le tong des
vaisseaux
. , . Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. z
nuleux, faiblement coloré, ressemblant souvent à des vésicules. Les
vaisseaux
sont souvent en dégénération hyaline ; les signes
proximité un petit amas de pigment jaune. Dégénération hyaline des
vaisseaux
, quelques thrombi, mais sans in- filtrations in
ssu, au lieu d'être spongieux, devient nettement ré- ticulaire. Les
vaisseaux
au milieu de ces foyers sont épaissis, en dégénér
. , Empyème à gauche. Tuberculose des poumons. Le long des grands
vaisseaux
cervicaux des ganglions lymphatiques bruns ; ég
endroit disposées en tourbillons souvent orientés autour d'un petit
vaisseau
. Ces tour- billons disposés sans ordre dans les
onstitue une capsule fibreuse, dense qui enveloppe la tumeur. Les
vaisseaux
du centre et de la périphérie gardent leurs carac
tumeur radiculaire. Si nous ajoutons enfin que les méninges et les
vaisseaux
des différents seg- ments de la moelle sont abs
lobe postérieur de l'hypophyse verserait sa sécrétion non dans les
vaisseaux
, comme le lobe antérieur, mais dans le troisième
e du froid était suffisante à déterminer une forte constriction des
vaisseaux
cutanés. Gerini a observé également un sujet ch
circonvolutions des lobes frontaux sont un peu amincies. Les grands
vaisseaux
de la base sont épaissis. Du reste on ne consta
ire une forte prolifération du tissu névroglique surtout autour des
vaisseaux
; elle se manifeste par la présence d'un grand n
uve ni infiltrations cellulaires, ni amas pigmentaires, autour ,des
vaisseaux
. L'épendyme forme une couclie cellulaire très rég
Gieson nous constatons quelque prolifération névroglique autour des
vaisseaux
, les tuni- ques elles-mêmes sont, pour un indiv
ugmentation de la névroglie, surtout autour 286 VAN WOERKOM - des
vaisseaux
. La couche optique ne montre ni des réductions ce
tatée dans la substance blanche sous-corticale ; surtout autour des
vaisseaux
, on remarque parfois des groupes de cellules ar
ale ; autour de ces noyaux, uu peu de pigment est accu- mulé. Les
vaisseaux
sont en très bon état. L'écorce du cervelet est
n vasculaire sont presque absents, c'est à peine si on rencontre un
vaisseau
montrant quelques lymphocytes. Il n'y a qu'une
la base de la partie antérieure du noyau lenticulaire. Ici tous les
vaisseaux
sont entourés d'un manchon très épais de lympho
. La nappe de cellules néoplasiques est traversée par de nom- breux
vaisseaux
sanguins et par de petits faisceaux ou des trabéc
différenciation du squelette due la répartition et la situation des
vaisseaux
, que la sépara- tion partielle ou l'absence de
elle réduira le volume des tissus, où elle oblitérera la lumière de
vaisseaux
jusque-là perméables. Ces conditions sont rempl
par suite la croissance, puis entraîne l'atrophie en oblitérant les
vaisseaux
, celle-là ne produit rien de semblable. En effe
rrive au contact de la membrane et commence à presser sur elle, les
vaisseaux
deviennent perméables, la nutrition continue donc
lentement et avant que le tassement ait pu arriver à oblitérer les
vaisseaux
, la masse s'est insinuée dans tous les recuins
encépha- lite se sclérosent très lentement ; par cette sclérose les
vaisseaux
sanguins 398 BOLTEN facilement compressibles
ver une évacuation permanente du liquide céphalo-rachidien vers les
vaisseaux
du diploé. Dans les cas d'épilepsie cérébrale q
) et aussi, quoiqu'à un moindre degré, d'une légère infériorité des
vaisseaux
afféi rents, il se produit alors, non seulement
(thymus persistant. Woland, état thymo-lymphalique; - Olilmachter,
vaisseaux
sanguins trop étroits, etc.); J'hypofonction de
mbre d'acéphales testacés, mais il a décrit les nerfs comme étant des
vaisseaux
cbylifères, et les ganglions comme étant les rése
ganglions n'étant séparés que dans une partie de leur étendue,-par un
vaisseau
artériel. De ce double ganglion parlent comme aut
plus loin ; car la division des nerfs ne se fait pas comme celle des
vaisseaux
, ce n'est jamais un tronc qui se ramifie, mais un
qu'ils contenaient, finissent par disparaître comme disparaissent les
vaisseaux
capillaires sanguins vides de leurs globules. En
. On sait que cet anato-miste, croyant avoir découvert et injecté les
vaisseaux
lactés des mollusques, avait découvert et injecté
tière à injection. S'il y avait pour les nerfs, comme il y a pour les
vaisseaux
artériels, veineux ou lymphatiques des réservoirs
lité et d'abondance, que les molécules sanguines s'échappent de leurs
vaisseaux
piqués ou dilacérés. La couleur et la consistan
ille, tant afin de faciliter sa sortie de l'eau, qu'afin de vider son
vaisseau
; arrivé sur l'eau, il vide sa coquille. Entre se
e des invertébrés aux vertébrés; chez les premiers, le cœur, les gros
vaisseaux
, le tube digestif, sont au-dessus de la moelle do
oscopiques, annonce que la matière corticale ou grise est composée de
vaisseaux
sanguins, tandis que la matière médullaire est co
elliptiques sanguins, et des fibres qui n'étaient autre chose que des
vaisseaux
sanguins très facilement reconnais-sablés ; aucun
de seulement cinquante l'ois, j'ai vu des fibres, des granules et des
vaisseaux
sanguins, partout où la substance examinée était
aient parallèles à la longueur de la moelle, les granules confus, les
vaisseaux
sanguins bien visibles. Le sillon fulcral très fa
e grasse , fluide , provenant de la moelle. Quant aux granules et aux
vaisseaux
sanguins observés avant la compression, je n'y ap
e transparence, par le fait de son amincissement, les granules et les
vaisseaux
devenaient de plus en plus visibles. D'unefibre d
s fibres, aussi bien que les granules, les plaques graisseuses et les
vaisseaux
sanguins, sont restés dans le même état. La sub
ules graisseux, que la compression a fait sortir de la moelle, et les
vaisseaux
sanguins, objets sur lesquels mon opinion est arr
intérieur. Tout à côté d'eux et les croisant quelquefois, j'ai vu des
vaisseaux
contenant des molécules sanguines, mais qui n'ava
est formée de fibres nerveuses longitudinales, de granulations et de
vaisseaux
sanguins. 2. Des granulations composent la subs
ttaque tous les animaux qu'il rencontre ; il s'attache à la suite des
vaisseaux
pour dévorer les cadavres que l'on jette à la mer
les nageurs qui descendent à la mer, il se met en embuscade sous les
vaisseaux
et se montre seulement quand il est temps de sais
ébraux, on les trouve creux, et la surface interne en est parsemée de
vaisseaux
sanguins. Les parois en sont minces, excepté cepe
exactement, de la lame optique, est parsemée d'un nombre infini de
vaisseaux
sanguins. 3° Cervelet. Cet organe est loin d'êt
moelle épinière deces derniers animaux. En outre, des granules et des
vaisseaux
sanguins très multipliés. Il est facile de déterm
lle épinière des reptiles est formée de fibres, de granulations et de
vaisseaux
sanguins. 3. Les fibres sont de deux sortes, le
un progrès dont l'organisation du lobe cérébral : ce sillon loge des
vaisseaux
sanguins. La partie interne de chaque lobe céré
lamelle un peu épaisse être parcourue et comme divisée en deux par un
vaisseau
sanguin : on aurait dit de deux lamelles , et pou
a compression a rendues articulées, et un nombre très considérable de
vaisseaux
sanguins. La substance blanche, au contraire, est
d'entre eux, on ne voit pas même de dépressions destinées à loger des
vaisseaux
sanguins. Les oiseaux chez lesquels il existe des
u. Je reviendrai ailleurs sur ces sillons, et je dirai quels sont les
vaisseaux
qui les parcourent. Lè volume relatif et la for
llosipyramidales, sutura) qui ne sont autre chose que l'empreinte des
vaisseaux
sanguins qui la parcourent et des stries transver
ang âgé de quinze à seize mois, qui ne marchait jamais sur le pont du
vaisseau
sans tenir fortement dans ses mains des cordes ou
ortement dans ses mains des cordes ou quelque autre chose attachée au
vaisseau
, et qui refusait toujours de monter aux mâts. Son
naturelle enfin? Serait-ce un enfoncement, une saillie, la trace d'un
vaisseau
sanguin? Non, absolument aucune autre limite que
e les sillons qui séparent les circonvolutions sont parcourus par des
vaisseaux
sanguins, il doit y avoir entre les subdivisions
des vaisseaux sanguins, il doit y avoir entre les subdivisions de ces
vaisseaux
chez les carnivores et chez les herbivores, des d
tomie, la construction du système ner- veux, la distribution de ses
vaisseaux
et la relation entre ces deux séries de faits e
-dire très près de la ca- vité du sinus. Les premiers sont ceux des
vaisseaux
de dégage- Fig. 1. 46 REVUE D'ANATOMIE ET DE
vertébrales. De cette série d'arcades, quelques auteurs ont fait un
vaisseau
particulier qu'ils ont appelé veine longitudinale
sous, et que Trolard appelle ligament vertébral latéral. Tous ces
vaisseaux
vont aux veines extra-rachidiennes; ceux du dos
ère et de l'écorce, atrophie cérébrale, surtout des lobes frontaux,
vaisseaux
scléreux, foyer de ramollisse- ment des deux no
qui se confie à un mécanicien de chemin de fer ou à un capitaine de
vaisseau
, escomptent la conduite de leurs sem- blables e
st-ce celle de la fibre à myéline, celle de la cellule ou celle des
vaisseaux
? On sait que chacune d'elles a eu ses défenseu
éterminant l'obstruction partielle de l'orifice oesophagien. ' 2°
Vaisseaux
de la base du cerveau avec embolie de la cérébral
es péri-vascu- laires. - Augmentation des noyaux le long des petits
vaisseaux
. z Dégénérescence granulo-graisseuse des cellul
a paroi vas- culaire et dans le tissu conjonctif qui accompagne les
vaisseaux
; il DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINI
érie de la tumeur circonscrite, où on aperçoit une couronne de gros
vaisseaux
di- latés. En étudiant de plus près la dispos
vaisseaux di- latés. En étudiant de plus près la disposition des
vaisseaux
, on voit que les plus volumineux d'entre eux se
eu abondant à l'étal normal, et dis- posé exclusivement le Joug des
vaisseaux
: il en résulte que, lorsqu'il Fig. z Un tractu
Tissu fibreux infiltré de granulations pigmentaires, contenant des
vaisseaux
dilatés. A la périphérie, membrane onduleuse d'
troma extrêmement lâche, à travées exclusi- vement vasculaires. Les
vaisseaux
sont certainement altérés, car leurs parois son
oupé obliquement et contenant des névromes de régénération avec des
vaisseaux
gorgés de sang. Membrane onduleuse séparant par
vient beaucoup plus épaisse et stratifiée sur les gros tractus. Les
vaisseaux
qui cheminent isolément et qui ne sont pas acco
dépens d'espaces coujonctivo-vasculaires dégénérés et dilatés; les
vaisseaux
ont disparu, ou forment encore des tra- vées à
aline et l'espace, très dilaté, ne contient plus à son centre qu'un
vaisseau
en voie de dégénères- 118 PATHOLOGIE NERVEUSE.
situé dans un espace vasculo- conjonctif, qui contient en outre des
vaisseaux
remplis de sang (co- loré en noir par l'liémato
de ces cavités et les rapports intimes qu'elles affectent avec les-
vaisseaux
;, mais dans d'autres circonstances, et c'était'
rine. Cette réaction est dite réaction delà tunique musculeuse des;
vaisseaux
).paralysés (HiLzi,,) ;Fce phénomène 'tien- - dr
et lepto-méningilejatropliie des circonvolutions, atiléromasie des'
vaisseaux
de la base..Le. microscope révèle de nombreux foy
sie des noyaux des tuniques adventices, musculeuses et internes des
vaisseaux
. Ces mêmes- foyers occupent les ,, espaces périce
QUE NERVEUSE. ; ' ceaux parcourent le tissu dans tous les sens. Les
vaisseaux
sont peu abondants; ils ont des'parois'saines e
l'ont démontré Charcot et Féré, que la contracture passa- gère des
vaisseaux
de l'encéphale qui produit ces accidents, peut
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 court à l'innervation des
vaisseaux
cérébraux, par des fibres vaso- constrictives e
ndis qu'elle est énergique, jusqu'à atteindre presque la crampe des
vaisseaux
, par le fait de stimulations mécaniques ou élec
s. Mais ce que nous ignorons, c'est lé rôle des distributions des
vaisseaux
qui ne sont pas, d'ailleurs, encore précisées.
ausssi en rapport avec l'alté- ration dans la région des parois des
vaisseaux
. P. K. XXXVII. CONTRIBUTION A l'anatomie pathol
e ramollissement n'a été constaté qu'une seule fois; l'athérome des
vaisseaux
de la base, la dilatation des ventricules sont
es sont demeurées absolument indemnes dans la manie. L'athérome des
vaisseaux
est de même très également réparti entre ces de
uleux de la membrane qui les tapisse. En revanche, l'athérome des
vaisseaux
de la base est ici peu commun. La proportion des
ue et leur volume, exactement en rapport avec la manière d'être des
vaisseaux
altérés. Ces modifications dans la forme du ner
Je n'ai pas trouvé d'atrophie du nerf optique dans le voisinage des
vaisseaux
malades, quand il n'y avait pas les mo- dificat
s mo- difications morphologiques susmentionnées du nerf et de ses
vaisseaux
. M. BAYER présente un malade atteint d'iaémihyp
rofondes ,,du tissu, conjonctif de , lopeti- d}me.et la paroi ,des(
vaisseaux
sous-épendymaires ;, probablement dans celles é
SOCIÉTÉS'SAVANTES ? qui se trouvent en contact avec la paroi de ces
vaisseaux
. Les accu- mulations des cellules delà névrogli
il 'y a'a'ussi 'dès altérations plus ou moins graves des parois des
vaisseaux
. 11, J. SEGLAS' ," 1.11, - ï'l Il , )7 fil i-i-
globant*'un'cértam ioinb·i·e' dé fibi·ill,és,intürièment uaia,s"jun
vaisseau
et souvent un nerf. C'est un''système\hist6)ogiqu
palais et dans la paroi du pharynx; -`endartérite'de l'aorte et des
vaisseaux
de l'encéphale; nodosité de la tunique alhu- .g
ent la lésion des nerfs dans les gaines lymphatiques adventices des
vaisseaux
sanguins des nerfs. Ce sont donc elles qui ramè
sieurs cas typiques dans un mémoire de 1859 'sur les anévrysmes des
vaisseaux
cérébraux. Pour Abercrombie et Thomas Watson 3
res de l'après-midi avec 40°,5. Autopsie. Pie-mère un peu épaissie.
Vaisseaux
de la base fortement athéromateux. Sylviennes b
travers la couronne rayonnante dans le diverticule sphénoïdal. Les
vaisseaux
sont, d ce niveau, athéromateux et criblés d'an
ondance de l'hémorragie s'expli- querait par la dimension du ou des
vaisseaux
rompus, et par la résistance légère opposée en
référé de l'hémorra- gie cérébrale. Elle se fait sur le parcours de
vaisseaux
volu- mineux, en particulier l'artère de 1 hémo
t se résumer comme suit : endartérite et dégénérescence hyaline des
vaisseaux
spinaux et méningés ; inflammation légère des m
stance chroma- tique des granulations de Nissl autour du noyau. Les
vaisseaux
sanguins, les artères surtout, ont les parois é
atteint d'un anévrysme de l'artère axillaire, et la ligature de ce
vaisseau
fut jugée nécessaire. Le malade accepta docilem
urs après la ligature de l'artère axillaire pour un anévrysme de ce
vaisseau
, que se sont manifestés chez C... les premiers
on des fibres muscu- laires. 11 est certain que l'innervation des
vaisseaux
joue un rôle dans l'hémorragie menstruelle. Com
ntes (cordons anléro-laté- raux) viendrait modifier la tonicité des
vaisseaux
. Cette mo- dification consisterait, à l'état no
rvons toujours une modi- fication des réflexes de l'innervation des
vaisseaux
; ils sont tantôt exagérés, tantôt abolis, et l
intra et iuterfasciculaires et dans la tunique externe de certains
vaisseaux
. Dans la moelle les lésions localisées au- dess
du cerveau; dans l'écorce elles occupaient même le voisi- nage des
vaisseaux
et étaient en très petit nombre, à l'inverse des
pour lui n'a aucun caractère pathognomonique, il a constaté que les
vaisseaux
étaient un peu dilatés partout; leurs gaines tr
re, ni modification du tissu engai- nant, ni enfin d'altération des
vaisseaux
. Les circonvolutions motrices ne nous montrèren
plus aucune altération des cellules nerveuses, des méninges, ni des
vaisseaux
. Moelle. La moelle nous offrit des lésions d'au
rairement aux éléments nerveux, les éléments conjonctifs (méninges,
vaisseaux
) ne présentent que des lésions minimes dans tou
t de trace de diapédèse autour des cellules nerveuses altérées. Les
vaisseaux
ne présentent nulle part de lésion de leur tuni
ur tunique interne. On trouve cependant autour de quelques petits
vaisseaux
et surtout près des méninges des zones d'infiltra
ci ne présentent pas de lésions de leurs bouquets vasculaires ; les
vaisseaux
de la substance corticale sont fortement conges
ante. On peut songer à une systématisation de l'infection par les
vaisseaux
de la partie antérieure de la moelle; mais ces
par les vaisseaux de la partie antérieure de la moelle; mais ces
vaisseaux
n'irriguent pas exclusivement les cornes anté-
mps que les cellules des cornes antérieures ; les altérations des
vaisseaux
(infiltration des parois, thromboses, hémorrhagie
es des neurones moteurs périphériques, avec intégrité des nerfs des
vaisseaux
et du tissu conjonctif. Si l'on doit distinguer
xclusives de la colonne motrice médullo-bulbaire, sans atteinte des
vaisseaux
ni de la substance blanche ni des nerfs. (Myéli
e cellules à gra- nulations graisseuses, de cellules- araignées, de
vaisseaux
dilatés; l'interruption est presque totale. Les
esthésie des membres mais rien que des pattes. Forte dilatation des
vaisseaux
de la tête, rougeur intense des oreilles, de la
i entourent le corps de la cellule se détachent. En même temps, les
vaisseaux
sont remplis et tendus, même les plus petites a
ndue importante et causé par des oblitérations inflamma- toires des
vaisseaux
... et attendons des observations nou- velles.
lux côté de ces altérations et de thromboses récentes de ces petits
vaisseaux
, on constate des throm- boses veineuses de la p
avait très probablement eu'hémorrhagie secondaire par thrombose des
vaisseaux
originellement lésés. La lésion des segments an
s parties orbitaires du lobe frontal en bas, ainsi que les nerfs et
vaisseaux
sous-jacents. Intégrité de la substance grise.
se saine. Des foyers qui avoisinent le centre partent deux ou trois
vaisseaux
déjà altérés qui s'en vont dans la zone intacte
yers, ceux surtout qui occupent la substance grise, sont remplis de
vaisseaux
pleins à éclater mais ne présentant point la fo
plus petits foyers lombaires renferment eux-mêmes un ou plu- sieurs
vaisseaux
altérés qui en forment le centre. L'adventice en
s, et, en certains points, tout se borne à des mailles vectrices de
vaisseaux
sans traces de tissu nerveux. Ni dans la paroi
ces de vaisseaux sans traces de tissu nerveux. Ni dans la paroi des
vaisseaux
, ni dans leur voisinage, il n'y a de collection
use, syphilitique. Evi- demment les foyers sont en rapport avec les
vaisseaux
, c'est pourquoi la substance grise est si attei
de savoir d'où viennent ces cellules; les éléments de la paroi des
vaisseaux
ne participant pas à l'altéra- tion, il convien
ollissement de la portion moyenne par dégénérescence hyaline de ses
vaisseaux
? Tout énorme que soit le néoplasme, si vascula
, soit par la disparition du thrombus, soit par l'élargissement des
vaisseaux
non oblitérés. Cette hypothèse d'une thrombosed
t à une localisation plus accusée de l'athérome dans un point de ce
vaisseau
, ou bien ne s'agirait-il pas d'une artérite syp
ous les caractères des noyaux névrogliques, sont groupés autour des
vaisseaux
capillaires. Tous ces nodules et en général tou
moteur, os, articulations et muscles, avec accessoirement celle des
vaisseaux
, artères et veines, qui assure sa nutrition et, p
, des corpuscules amyloïdes, enfin des lésions assez accentuées des
vaisseaux
(péri-artérite embryonnaire, caillots dans leur
mme éléments éruptifs du lichen ruber, soit par les altérations des
vaisseaux
dont parlent quelques auteurs, soit peut-être p
malie du processus de kératinisation sans altération précédente des
vaisseaux
, ce sont là des problèmes, qui, comme la ques-
liféré, prolifération qui est surtout marquée dans le voisinage des
vaisseaux
. Les muscles sont repoussés les uns contre les au
es du périmysium externe de la zone transitoire sont très riches en
vaisseaux
, que l'adventice de ces derniers semble participe
du tissu con- jonctif fin, muni de grosses cellules et de nombreux
vaisseaux
. Ce tissu celluleux et les différents aspects q
monlrent, dans un tissu extraordinairement riche en cellules et en
vaisseaux
, de larges traînées conjonctives se prolongeant
ession que les masses osseuses peuvent exercer sur les nerfs et les
vaisseaux
, à une action irritative directe, se propageant
ritative directe, se propageant de la tumeur sur les muscles et les
vaisseaux
, et enfin à l'impotence fonc- tionnelle à laque
que aisément, et percées de plusieurs trous qui donnent passage aux
vaisseaux
nourriciers (Testelin et Dam- bressi). D'autres
e du tissu osseux compact; on y constate des trous nourriciers, des
vaisseaux
néoformés, des canalicules de Havers, des ostéo
; elle est plus chaude que partout ailleurs et sillonnée de larges
vaisseaux
veineux ; le tissu cellulaire sous-cutané est l
A la période aiguë, sous l'influence de la formation de nou- veaux
vaisseaux
au niveau de la tumeur et de la dilatation vascul
ignalée dans tous les cas. Nous avons signalé aussi l'intégrité des
vaisseaux
de la moelle. Un autre fait à relever, c'est l'
eu abondante. Une couronne de trépan a été appliquée en arrière des
vaisseaux
méningés, l'ouverture circulaire, obtenue de la
us les organes de la région (protubérance, bulbe, filets nerveux et
vaisseaux
). Cet examen, tait a 1 oe)t nu, et le dessin qui
des sensations douloureuses sous l'influence de l'accumulation des
vaisseaux
sanguins de la peau, des cou- rants électriques
ccipital, tout à fait irrégulier de forme ; 4° Enfin jusque sur les
vaisseaux
: ainsi, dans les fosses occipitales, le sinus
a suite d'accidents convulsifs. Pas de lésions des membranes ni des
vaisseaux
. Tout l'hémisphère gauche est atrophié et sclér
ens exagérés de volume et paraissant gorgés de sang, à la façon des
vaisseaux
qui constituent une circulation supplémentaire.
Hypertrophie des ganglions mésentériques ; pas d'athérome dans les
vaisseaux
. Le processus semblait s'être confiné entièreme
est semblable. On y voit un trou nour- ricier par lequel pénètre un
vaisseau
d'un volume notable. C'est dans cet état que se
sément ; elle est percée de plusieurs trous qui donnent passage aux
vaisseaux
nourri- ciers. Dans l'espèce de canal qu'elle f
mée par de l'os, une petite portion est cartilagi- neuse, plusieurs
vaisseaux
assez gros furent coupés et il y eut consécutivem
ose complète, atrophie complète du nerf optique, rétrécissement des
vaisseaux
. La lamina cribrosa est très transparente sur t
e dirigeant en haut, des traces d'extravasats résor- bés et sur les
vaisseaux
ou dans leur intérieur de petits globules libres,
ne tache ronde comme la moitié de la papille, sur laquelle passe un
vaisseau
intact. OEil droit. Moitié externe de la papill
aplatie, la lamina cribrosa est très apparente jusqu'aux bords; les
vaisseaux
sont repoussés en dedans un peu plus qu'à gauch
géné- ral, lorsqu'un organe est augmenté ou diminué de volume, ses
vaisseaux
présentent une augmentation ou une diminution p
tite, l'autre sensiblement plus grosse que danl'état ordinaire, les
vaisseaux
du côté gauche ayant au contraire conservé leur
aire avec paralysie consécutive des hanches nerveuses destinées aux
vaisseaux
. Ons. II. - (Berger (0.), Zur fEliologie und Pa
sans engorgement des papilles ni modification dans le vo- lume des
vaisseaux
rétiniens. L'augmentation de volume de l'os pro
de cellules rondes; il en était de même le long et au pourtour des
vaisseaux
. L'épithélium de la peau nÉDIInIPI;liTR01'IiIE
umulation de cellules rondes dans le tissu conjonctif et autour des
vaisseaux
). La pathogénie des cas acquis, encore peu nomb
lié avec les autres parties du cerveau que par l'intermédiaire des
vaisseaux
seulement. La difformité du cerveau la plus m
te laideur presque re- poussante. Les yeux sont normaux, mais les
vaisseaux
de la conjonctive sont injec- tés ; les paupièr
e tou- jours égal ; on ne perçoit aucun souffle à leur surface. Les
vaisseaux
voi- sins ne paraissent présenter aucune anomal
corce cérébrale, laquelle présente un certain degré d'atrophie. Les
vaisseaux
pré- sentent des lésions accentuées. Un grand n
in de déterminer un certain degré d'anémie du cuir chevelu dont les
vaisseaux
san- guins exerceront, de la sorte, le minimum
commis- sure postérieure, etc. ; thromboses disséminées des petits
vaisseaux
. 11 est à remarquer que la lésion 6 REVUE DE PA
a diffusion du plasma nutritif, qui sont en rapport direct avec des
vaisseaux
et non dans les prolongements cylindraxiles qui
en rapport avec les cellules de la névroglie et avec les parois des
vaisseaux
sanguins qui rampent dans l'écorce. La fonction
doctrine, que ces prolongements sont les canaux par lesquels, des
vaisseaux
sanguins et de la névroglie, le plasma nutritif a
re des rap- ports intimes avec les cellules connectives et avec les
vaisseaux
san- guins. » (Snilu fina anat. degli ornant ce
ntés vers la périphérie de l'écorce, se ter- mment au voisinage des
vaisseaux
sanguins et servent à la nutrition des cellules
in- somnie, fournisse une explication correcte des symptômes. Les
vaisseaux
sont les serviteurs, et non les maîtres, de la ce
lule : rétablissez l'activité de la cellule et, règle générale, les
vaisseaux
s'arrangeront tout seuls. M. Clouston ne contes
x prolongements pro- toplasmiques, qui seraient en rapport avec les
vaisseaux
et les cel- lules de la névroglie, n'a plus guè
in des capillaires : elles ne sont pas plus en con- nexion avec les
vaisseaux
qu'avec la névroglie ; elles ont la même foncti
VUE CRITIQUE. · descendant des cellules mitrales, ne contiennent ni
vaisseaux
san- guins, ni cellules de névroglie. 11 n'en e
la contraction de ces prolongements, des dilata- tions locales des
vaisseaux
et de déterminer secondairement des hyperhémies
entre les éléments de la névro- glie, pourtant accumulés autour des
vaisseaux
, et les parois de ces vaisseaux : la névroglie,
glie, pourtant accumulés autour des vaisseaux, et les parois de ces
vaisseaux
: la névroglie, simple organe de soutènement ou d
roglie, et éventuelle- ment les corpuscules rouges du sang dans les
vaisseaux
; elle ne colore ni le protoplasma des. cellules
ellules nerveuses et la. névroglie n'existent donc point. Quant aux
vaisseaux
, on sait depuis Virchow en quelle quan- tité co
qui entourent ceux-ci. La névroglie est plus dense autour des gros
vaisseaux
, elle l'est d'ordinaire beaucoup moins dans l'e
oglie nous semble être, ainsi qu'à Lloyd Andriezen, par rapport aux
vaisseaux
des centres nerveux, le même que celui qu'elle
provenir de l'ambiance. Sans la gaine de névroglie, les parois des
vaisseaux
de l'écorce cérébrale n'oppo- seraient souvent
que le dit Weigert, qui parle ici de substance de soutènement, les
vaisseaux
sont, pour le système nerveux central, des corp
des corps étrangers au même titre que la pie- mère ; au regard des
vaisseaux
, la limite du tissu nerveux est une surface int
recherches de Kadji nous ont appris l'existence de deux systèmes de
vaisseaux
dans la moelle : 10 les artères centrales qui,
es sont normales; de même les cellules nerveuses, la névroglie, les
vaisseaux
. Dans la gaine adventice de nombreux vaisseaux,
s, la névroglie, les vaisseaux. Dans la gaine adventice de nombreux
vaisseaux
, et aussi dans la substance corti- cale elle-mê
M. Golgi, qui supposait qu'au bout de chaque dendrite se trouve un
vaisseau
sanguin, ne se confirma pas par les investigati
ologique montra qu'il s'agis- sait d'une dégénérescence hyaline des
vaisseaux
et de la substance voisine. Vorster présente de
e Sylvius et de la convexité; elle était le moins accentuée sur les
vaisseaux
de la base du cerveau. Des foyers hémorragiques r
mpte de la fréquence des récidives des hémorragies. Les lésions des
vaisseaux
ne sont pas aussi généralisées et aussi étendues
ration, gommes, sclérose avec atteinte spéciale des méninges et des
vaisseaux
. M. Gasne vient d'écrire un chapitre entièremen
'attaque épileptique est toujours accompagnée de constric- tion des
vaisseaux
cérébraux (au moins à son premier stade); 2° qu
e l'attaque complète serait donc le sui- vant : la constriction des
vaisseaux
, c'est-à-dire l'interruption subite de la nutri
ériphériques de la sensibilité a pour résultat une constriction des
vaisseaux
périphériques. Les neurasthéniques pré- sentant
é des perceptions, il en résulte que chez eux les constrictions des
vaisseaux
sont plus consi- dérables et par suite les cons
t de noter l'état de la pupille dans la peur; la constric- tion des
vaisseaux
détermine une dilatation intense et persistante.
mme par une compression. Le fragment osseux était enchâssé dans les
vaisseaux
de la pie-mère : de petits fragments de plomb y
, ayant cependant pour cause commune l'athérome ou la thrombose des
vaisseaux
. Les nombreuses hémorragies à disposi- tion spé
vrogliques), d'éléments figurés du sang; 'elle est traversée par un
vaisseau
qui en constitue l'axe. "La lacune est formée p
épare de la couche des cellules néoplasiques, présente au centre un
vaisseau
rempli de sang avec des parois plus ou moins ne
seau rempli de sang avec des parois plus ou moins nettes; autour du
vaisseau
se dispose une infiltration de cellules rondes
ube de cellules, soit gros tube avec papille cen- trale autour d'un
vaisseau
sanguin. En étudiant les divers points de la pr
sé, dont on comprend d'ailleurs fort bien la pathogénie puisque les
vaisseaux
nutritifs sont entourés d'une barrière épithéli
rencontré pour la première fois le papillome de la pie-mère et des
vaisseaux
... La substance de la tumeur était d'un gris rou-
énorme de papilles richement rami- fiées, dont chacune possédait un
vaisseau
central, très peu de tissu conjonctif et un dou
examinant le stroma des papilles on rencontrait en dernier lieu les
vaisseaux
sanguins qui passent de la pie-mère dans le cer
truc- tive plus que proliférative, et au surplus éloignée de tout
vaisseau
dont la compression aurait entraîné une hydrocé-
vent des cellules nombreuses, des éléments ner- veux altérés et des
vaisseaux
malades. Les cellules sont de deux variétés : l
varie suivant la date à laquelle ils ont été atteints. L'état des
vaisseaux
atteste aussi des processus de date diffé- rent
s et à les rendre fibreuses. A une période encore plus avancée, les
vaisseaux
n'ont plus de lumière, 148 REVUE D'ANATOMIE ET
embranes, quelques plaques laiteuses au niveau de Rolando à gauche.
Vaisseaux
piémériens gorgés de sang, avec quelques points
l ; partout elles sont infiltrées de petites cel- lules rondes. Les
vaisseaux
dans les méninges sont remplis de sang et leurs
ion du tissu par les petites cellules rondes. > Les parois des
vaisseaux
, mais surtout les gaines vasculaires sont plein
atineuse, jamais ils ne sont encéphaloïdes. Un grand nombre de fins
vaisseaux
les parcourent donnant lieu quel- quefois à des
de cas très envahissants, le tableau est tout différent.. - - Les
vaisseaux
sont souvent formés d'une seule couche d'appa-
ers dans la paroi de nos gliomes et principalement au voisinage des
vaisseaux
. Ce sont eux presque toujours, et les figures, de
rition presque complète des fibres tangentielles, dilatation des
vaisseaux
avec infiltration leucocytaire. On observe en cer
hez les dégénérés. SOCIÉTÉS SAVANTES. 371 L Sur V innervation des
vaisseaux
de la pie-mère elde l'écorce cérébrale. 013REGL
i- geant, en fin de compte, exclusivement-vers la pie-mère et les
vaisseaux
corticaux qui en émergent. Cette disposition se r
es cylindres-axes des cellules polyaxoniques de Ramon vont vers les
vaisseaux
(artérioles et veinules). Il ne faut pas perdre d
rficielle de l'écorce cérébrale, sont préposées à l'innervation des
vaisseaux
corticaux, et que les plexus d'entrelacement de
voies de communication entre les neurones cortico-cérébraux et les
vaisseaux
de différents territoires de la corticalité, car,
ignalées plus haut entre les cellules polyaxoniques de Ramon et les
vaisseaux
de la corticalité cérébrale. 372 SOCIÉTÉS SAVAN
palais; diminution de l'acuité visuelle à droite et turgescence des
vaisseaux
papillaires ; -, dents mauvaises avec sillon d'
ent intactes, sauf une légère diminution de volume. Les lésions des
vaisseaux
étaient caracté- SOCIÉTÉS SAVANTES. 383 risés
asculaires chroni- ques qui indiquent l'importance pathogénique des
vaisseaux
dans la sclérose multiloculaire; 61 l'importanc
385 A. Lésions interstitielles. L'écorce, abaissée ou refoulée, à
vaisseaux
très dilatés, est infiltrée de cellules rondes qu
llules rondes qui pénètrent à une plus ou moins grande distance des
vaisseaux
. B. Lésions cellulaires. Les cellules nerveuses
n du côté des os du crâne et des méninges, léger épaississement des
vaisseaux
de l'hexagone. Noyau dur siégeant au point d'or
lules rondes et fusiformes, surtout sous la pie- mère et autour des
vaisseaux
de celle-ci; début de réaction d'en- céphalite,
a dure-mère, très épaisse en ce point, est tout à fait dépourvue de
vaisseaux
sur la ligne médiane. En conséquence, incision
onne que son insomnie était due à une dégénérescence artérielle des
vaisseaux
cérébraux. Il se plaignait de la conspiration du
ort grossissement, c'est le nombre et le volume consi- dérables des
vaisseaux
, soit dans l'épaisseur de la pie-mère, soit t a
ssu scléreux de formation nouvelle. Le grand dé- veloppement de ces
vaisseaux
est particulièrement bien appré- ciable sur la
abord, c'est l'épaississement très marqué de la gaine adventice des
vaisseaux
, en sorte que ceux-ci se montrent sous l'aspect
s de la gaine adventice, c'est-à- dire sur la gaîne lymphatique des
vaisseaux
. De cette gaine partent des tractus conjonctifs
e et qui forment comme un petit lac au milieu duquel on aperçoit le
vaisseau
. D'un autre côté, au niveau des points les plus
pographie de ces lésions, et aussi le développement remarquable des
vaisseaux
dans les parties sclérosées, particularité que
ent remar- quable des cellules araignées, spécialement autour des
vaisseaux
. Il résulte pour nous de tout ce qui précède qu
chez Sarrazin. Or, ce point de départ, nous le trouvons dans les
vaisseaux
. On est frappé, en effet, lorsqu'on jette les y
dans les posté- rieurs. D'autre part, si l'on examine l'un de ces
vaisseaux
à un fort grossissement (PL. III, fig. 13, a),
leucocytes, ce qui dénote un état d'irritation très prononcé de ce
vaisseau
. Sans doute on pourrait objecter que cette irri
pour point de départ l'un quelconque des systèmes de canaux ou de
vaisseaux
qui cheminent à travers cet organe : veine port
ques de M. Vulpian); d'autre part, celles qui naissent autour des
vaisseaux
artériels. On pourrait dès lors opposer les pre
on de cellules à prolon- gements ou cellules araignées; lésions des
vaisseaux
et aussi des gaines péri-vasculaires par prolif
ment, puisqu'il est dans les habitudes de la vérole de procéder des
vaisseaux
aux tissus avoisinants. Il ne reste plus dès lo
u faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale. Nombreux
vaisseaux
coupés trans\ersalemen.t. Fig. 10. Coupe tran
vec exsudations miliaires à contours bien limités sur le trajet des
vaisseaux
. Hutchinson avait rattaché à la goutte une réti
très épuisés, ou bien elle est le prolongement d'une thrombose des
vaisseaux
vei- neux avoisinants; dans quelques cas, elle
en avant de la tumeur; en d'autres termes, on observera dans les
vaisseaux
des enveloppes et dans la substance du cerveau, u
existait encore d'autres altérations pa- thologiques (sclérose des
vaisseaux
, etc.), la diminution du cali- bre du sinus que
nt abouti par places à la dégénéres- cence caséeuse et vitreuse des
vaisseaux
(réticulums englobant des cellules granuleuses,
ces altérations chez des femmes. Dans un fait, elles dérivaient des
vaisseaux
calcifiés sur une étendue plus ou moins considé
t bien plus élevé. La dilatation par- tielle avec aplatissement des
vaisseaux
à quelque distance de la pa- pille, constatée p
s irrégularités vasculaires(calibre) avec anomalie de réflexion des
vaisseaux
du fond de l'oeil, ne sont pas pathologiques. L
) ; dans l'espèce, on remarqua souvent une dilatation fusiforme des
vaisseaux
. Motions proposées par le Dr S.aNDER. Le bureau
ant la substance nerveuse (fibres et cellules) atrophiée contre les
vaisseaux
aux- quels ces éléments se trouvaient intimemen
en question : leur caractère distinctif est de suivre le trajet des
vaisseaux
sanguins. M. Sakaki (du Japon). Cerveau d'un al
les se trouvent reportées en dehors du centre de leur en- clos. Les
vaisseaux
tantôt vides, tantôt gorgés de sang, sont entou
du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale Nombreux
vaisseaux
coupés transversalement. Fig. 10. Coupe trans
es, transitoires ou permanentes,atteignant non seulement les petits
vaisseaux
, mais encore les gros troncs artériels, les deu
gts et des orteils. Cette simultanéité des lésions des nerfs et des
vaisseaux
a été signalée dans la maladie de Raynaud, synd
vrite dégénérative généralisée s'accompagnait d'artérite des petits
vaisseaux
, allant presque jusqu'à l'o- blitération. Belko
ne part de petits rameaux sinueux, qui ne peuvent répondre qu'à des
vaisseaux
dont les parois sont infiltrées de sels calcaires
i font que les 3.000 figures qui garnissent l'ossature de l'immense
vaisseau
n'apportent jamais la satiété, mais se déroulent
le vont d'une lèvre à l'autre de la scissure de Sylvius, avec leurs
vaisseaux
. En écartant ces lèvres on s'aperçoit que la tu
, surtout en arrière,au niveau du point comprimé : en ce point, les
vaisseaux
sanguins sont très dilatés, la différenciation
yline- éosine et Van Gieson. Résultats complètement négatifs. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont tous très gorgés de sang, m
n extra médullaire des racines antérieures et pos- térieures. Les
vaisseaux
radiculaires et le tissu de soutien ont été étudi
ne. Ces deux méthodes nous ont paru suffisantes à démontrer que les
vaisseaux
, les zones périvasculaires, le tissu de soutien
-- Le tissu conjonctif interfasciculaire n'est pas proliféré : les
vaisseaux
et les zones périvasculaires ne nous offrent ri
es. Les nerfs iltramus- culaires ont perdu toutes leurs fibres. '
Vaisseau
: Les artères intra-musculaires présentent : paro
côté droit, s'étendant 'de là vers le bas en suivant le trajet des
vaisseaux
fémoraux jusqu'autour du creux poplité. Le 14 n
truction lymphatique. 3° Erreur dans la manière de se comporter des
vaisseaux
sanguins ou des lymphatiques sans qu'il y ait d
est pas secondaire à des altérations grossières de la structure des
vaisseaux
sanguins et lymphatiques, mais à une aberration
lymphatiques, mais à une aberration présumable des fonctions de ces
vaisseaux
; il est possible qu'elle soit la conséquence d'
la cellule par le point opposé à celui qui est en contact avec les
vaisseaux
et elle emprunte, pour sortir de la vésicule, les
en véritables amas réticulés en certains points de l'adventice des
vaisseaux
. On en trouve très peu de libres dans les maill
ar les poly- morphes. Les leucocytes contenus dans la lumière des
vaisseaux
renferment, à quelque variété qu'ils appartienn
masquant les détails de l'espace sous-arachnoïdien. V. Lumière d'un
vaisseau
pie-mérien, - e. c. écorce cérébrale. PI. XLIX.
asagli, a donné le résultat suivant : « Papilles blanches, nacrées.
Vaisseaux
de calibre quasi- normal. Les marges des papill
re- marquable à l'auscultation des sommets pulmonaires et des gros
vaisseaux
. La pression digitale de la trachée réveille un
ur paraît normal en proportion du développement du corps ; les gros
vaisseaux
sont d'un diamètre assez réduit, mais proportio
est droit et normalement mobile. . Le volume du coeur et des grands
vaisseaux
paraît, à l'examen clinique et radioscopique, n
courts de la colonne vertébrale et du sternum. Le coeur et les gros
vaisseaux
apparaissent petits,mais proportionnés au dévelop
égatif, fait voir maintenant les bords papillaires nuancés,avec des
vaisseaux
assez gros et tortueux, de manière à faire pré-
h. de Tiibinge, 1901. 354 PIERRE MERLE suite d'une hyperhémie des
vaisseaux
normaux qui se dilatent et par une néoformation
t pro- bable que la circulation sanguine, au moins celle des grands
vaisseaux
, n'a pas été fortement gênée. Ventricules. -
ses. 3° De dégénérescence colloïde ( ? ) de la tumeur. Fig. 2. V.
Vaisseau
. - Ep. Espace périvasculaire. C. colloïde. 3G6
sible. Ces masses colloïdes paraissent se former d'abord autour des
vaisseaux
; c'est en effet que l'on rencontre les plus pet
rend mieux le carmin qu'à droite. Araignées gonflées, va- cuoles et
vaisseaux
à espaces périvasculaires dilatés occupent bientô
ont déjà presque dépourvues de structure et de noyaux ; de nombreux
vaisseaux
y ont leur paroi d'une épaisseur extraordinaire.
ujet de l'obs. VIII [Iconogr., n° 4, 1907). Pourtant les parois des
vaisseaux
sont épaissies, riches en noyaux. Les espaces p
s du pouce ainsi que les muscles qui s'insè- rent sur les os, leurs
vaisseaux
et leurs nerfs. L'agénésie de,. ce noyau en- tr
ects classiques de désintégration cellulaire décrits par Nissl. Les
vaisseaux
de l'écorce sont multipliés. Leur gaine est inf
emprisonné dans les mailles inex- tensibles du derme, comprime les
vaisseaux
dont la lumière s'efface par contrepression, d'
e des tissus qui ne sont pas nourris suffisamment. Les nerfs et les
vaisseaux
des parties voisines étaient parfaitements sains.
encéphalite chronique, avec cela de particulier, toutefois, que les
vaisseaux
de la base présentaient un degré assez prononcé d
ne pûmes constater aucune altération de l'os ni du périoste ; les
vaisseaux
du pied ne nous parurent pas présenter d'altérati
, il est vrai, mais que nous n'avons pas rencontré d'altération des
vaisseaux
du pied. Notre observation paraît plutôt se rap
organe. Les foyers sont des foyers d'inflam- mation aiguë, liée aux
vaisseaux
(le centre de l'axe de chaque foyer est constit
(le centre de l'axe de chaque foyer est constitué par un assez gros
vaisseau
); le début en est représenté par l'émigration d
a une dégénéres- cence miliaire excepté dans la protubérance et les
vaisseaux
du cerveau, avec des signes de dénutrition de l
et là où il y avait certainement syphilis on rencontre souvent des
vaisseaux
ayant conservé leur délicatesse. Par les rotati
; peu à peu cette dilatation s'implante et devient continue. Ces
vaisseaux
, remplis d'une colonne sanguine large, rouge somb
ut marquées en des points .circonscrits. On trouve sur le nerf, des
vaisseaux
très scléreux, surtout les grosses veines; il n
n'y a pas de prolifération cellulaire ou nucléaire, mais les petits
vaisseaux
sont souvent bordés de petits éléments cellulai
laires, pas d'accroissement notable du tissu conjonctif vecteur des
vaisseaux
. Hypertrophie nette et dilatation des éléments
ons tiennent aux perturbations qui se passent 'dans la gaine et les
vaisseaux
du nerf ; ces perturbations sont elles-mêmes du
ement de mai aucune anomalie en dehors d'une étroitesse marquée des
vaisseaux
du fond de l'oeil, notamment des artères. Intég
ble au sérum du sang avec une grande diminution d'albu- mine. Les
vaisseaux
du système nerveux se répandent à la surface de
branes de la moelle d'un animal vivant, les DU VERTIGE MARIN. 22S
vaisseaux
de la pie-mère laissent échapper la partie liqu
au travers de leurs parois; et comme la pie-mère est très riche en
vaisseaux
, ce liquide se reproduit avec une grande rapidi
arties les plus intéressantes pour notre étude, nous voyons que les
vaisseaux
du cerveau se divisant en capillaires dans la p
alo-rachidien s'accumule avec une grande vitesse, il comprime les
vaisseaux
capillaires du cerveau et provoque ainsi l'aném
avec rapidité dans la cavité crânienne comprime en même temps les
vaisseaux
du bulbe, d'où les troubles circulatoires et re
des points où la lésion est' plus avancée, il existe autour de ce
vaisseau
vasculaire serré des fibrilles conjonctives en pl
contiennent par des bandes conjonctives qui suivent les trajets des
vaisseaux
; elles ont par conséquent un bord dentelé et fe
ures dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors delà lésion.
Vaisseaux
nombreux, vascularisés, à cavité large, avec in
d'anatomie pathologique tème vasculaire : les petits et les grands
vaisseaux
et surtout les veines sont très dilatés et remp
atés et remplis do globules sanguins; à côté de quelques-uns de ces
vaisseaux
et surtout dans les por- tions cervicale et dor
gliomateuse, sphéri- .que de deux centimètres de diamètre, riche en
vaisseaux
et en foyers de dégénérescence caséeuse siégean
roche de la constatation matérielle de la diminution de calibre des
vaisseaux
. La seconde observa- tion a trait encore à un é
lieu de penser à un trouble fonctionnel des nerfs ré- gulateurs des
vaisseaux
, soit dans le centre vaso-moteur lui-même, soit
vaso-moteur vers la peau. En outre , l'étroitesse particulière des
vaisseaux
notée chez ces deux malades constituait une pré
myope pendant qu'il prenait la paraldéhyde. Fond de l'oeil normal ;
vaisseaux
à peine un peu dilatés. Odorat normal. Goût tro
sculaires, sur- tout marquées dans les foyers, portent sur les gros
vaisseaux
(hyperplasie, sclérose) ; infiltrations de tout
édical. J. M. Ciuncor. Maladiei du poumon, du sang, du cceuo et des
vaisseaux
, f l'orne V (tes OEuvres complètes.) Un volume
ulaires aires. /, couche do fibres musculaires longitudinales. - g,
vaisseau
situé de chaque côté du gan- à l'origine des ne
OLONGEMENTS. COLORATION DE LA NÉVROGLIE, DU TISSU CONJONCTIF ET DES
VAISSEAUX
. Carmin, picro-cal'minale d'ammoniaque, hématox
ndre-axe des tubes nerveux, les septa conjonctifs, les tuniques des
vaisseaux
, les noyaux apparaissent colorés en rouge plus ou
és au parenchyme nerveux, (méninges, tissu con- jonctif, névroglie,
vaisseaux
), et qui rend de grands services en anatomie pa
s et de leurs noyaux, ainsi que des cellules de la névroglie et des
vaisseaux
. Les prolongements cellulaires sont colorés moins
colorés en noir, tandis que le reste de la coupe, tissu conjonctif,
vaisseaux
, a pris une coloration gri- sâtre. En anatomie
de la rétine et sa branche hyaloïdienne. Après la formation de ces
vaisseaux
, les deux branches du fer à cheval de la cupule r
vésicule des hémisphères, VO, vésicule oculaire secondaire. - VUJ1,
vaisseaux
omphalo-mésentériques. 74 ANATOMIE DES CENTRES
ilum terminale, qui s'insère au sommet du sacrum. Pénétration des
vaisseaux
dans la moelle embryonnaire. Immédiatement aprè
is- seaux méningés, qui proviennent dans la région rachidienne, des
vaisseaux
inter-costaux et dans la région crânienne, de l
res. Elles abordent la moelle un peu en avant du point de péné- Lcs
vaisseaux
mé- 1 ningés proviennent \1 des intercostales
en général, dès qu'ils atteignent un obstacle, tels que cartilage,
vaisseau
, muscle, etc. Pour certains nerfs, le trajet es
nutritif des dendrites, à savoir, leurs rap- ports intimes avec les
vaisseaux
et la névroglie, et leur façon d'enlacer les ca-
tion tiennent, non seulement à l'abondance de la substance grise en
vaisseaux
sanguins, mais surtout il la richesse plus ou m
ste qu'à l'état de trace et se réduit au rôle de simple soutien des
vaisseaux
sanguins et lymphatiques comme dans le système ne
euses; les éléments non nerveux compre- naient les épithéliums, les
vaisseaux
et le tissu de soutènement : tissu con- jonctif
embryonnaires. Les éléments non nerveux ne comprennent donc que les
vaisseaux
san- funins et lymphatiques et la mince trame d
de la substance blanche; 5° Les éléments non nerveux, tels que les
vaisseaux
et la trame conjonc- tive. 1° Les cellules ép
uses, doublent les cellules épendymaires et se pro- longent sur les
vaisseaux
, auxquels elles forment un véritable manchon né
ine de Schwann et de son origine ectodermique. "7wcH non nerveux,
vaisseaux
, tissu con jonc tir Les vaisseaux sanguins des
ectodermique. "7wcH non nerveux, vaisseaux, tissu con jonc tir Les
vaisseaux
sanguins des centres encéphalo-médullaires émet
richesse, est formé par des mailles arrondies et très serrées. Ces
vaisseaux
artériels, veineux et capillaires, ne se distin
r Pouchet et Tourneux. La gaine périvasculaire de Robin entoure les
vaisseaux
sanguins d'un véritable manchon, et se prolonge
prolonge sur toutes leurs ramifications. L'espace compris entre les
vaisseaux
et la gaine périvasculaire est rempli de liquide
rébraux et intra-spinaux de la (lui accompagnent et soutiennent les
vaisseaux
, présente les caractères histologiquesethisto-c
ux central. le tissu eonjonctif n'e- . xiste' ql1 : autom'- des
vaisseaux
. ' Caractères diffé- l'cntieb de la uéyl'o-
nerveux central, le tissu conjonctif ne se rencontre qu'autour des
vaisseaux
, et il est plus abondant dans la moelle que dans
-mère sur une moelle fraîche; on voitalors très nettement que ` les
vaisseaux
radiés sont accompagnés par du tissu conjonctif (
par une couche plus ou moins épaisse de fibres névrogliques. Les
vaisseaux
, entourés de fibrilles conjonctives, sont en outr
roglie inter-fasciculaire et inter-tubulaire. En résumé donc, les
vaisseaux
du système nerveux central sont entourés de deu
c pos- , térieure. v.I.euhos- sek, Cajal. Tissu conjonctif et
vaisseaux
des gan- glions cél'éhro-r : lchi- diens. ,
ectives. Ces travées servent de soutien aux éléments nerveux et aux
vaisseaux
et augmentent considérablement la consistance d
. Travaux de Beale, Arnold, Retzius. (.aine lamcllcusc. i 1
Vaisseaux
. . Itiseau veineux de Kanvier. Ganglions sy
line ou fibres de Remak, ainsi que le tissu de soutène- ment et les
vaisseaux
des nerfs. A. tubes nerveux A myéline. - Les tu
rons à propos de e `Ÿier £ (Va : ...1 ? 11), C. TISSU CONJONCTIF ET
VAISSEAUX
DES NERFS. L ? tts ? ç0ltllttdi.· des nerfs se
se et pénètrent entre les tubes nerveux, soit pour y conduire les
vaisseaux
san- guins, soit pour cloisonner un faisceau
on d'un faisceau nerveux. - n, un faisceau nerveux très grêle. - v,
vaisseau
sanguin. - fe. tissu conjonctif. - ca, cellules
et Marinesco, la coupe trans- versale de cylindres-axes déformés.
Vaisseaux
sanguins et lymphatiques des nerfs. Les nerfs d'u
iques des nerfs. Les nerfs d'un certain calibre possèdent seuls des
vaisseaux
, car les extrémités périphériques des nerfs se
bdivisent avant de pénétrer dans l'épaisseur du cordon nerveux. Les
vaisseaux
du plus gros calibre se rencontrent donc dans le
ieur de cette dernière en un réseau capillaire très serré. Tous ces
vaisseaux
ont une direction parallèle à l'axe du tronc ner-
et Lejars). Quant aux lymphatiques, ils n'existent pas à l'état de
vaisseaux
distincts, ni dans l'épaisseur des faisceaux ne
largement avec le tissu conjonctif péri- fasciculaire (Ranvier).
Vaisseaux
san- guins et lymphati ques des nerfs. 220
hnbein). - nd, couche odontoblastiquo. p, pulpe dentaire avec ses
vaisseaux
et nerf (r) : co dernier s'ar- borise librement
- - ger Jahrg. V. 1890. - Quénu et Leiaus. Étude anatomique sur les
vaisseaux
sanguins des nerfs. Arch. de Neurologie, 1892,
elles ne sont séparées que par des tractus conjonctifs et quelques
vaisseaux
. C'est dans cet espace ou à tra- vers une érail
adhère faiblement, grâce à un tissu conjonctif lâche et à quelques
vaisseaux
; cette membrane fibro-vasculaire la sépare à la f
ace, tantôt sessiles, . tantôt pédiculés ou disposés en grappe. Les
vaisseaux
qui constituent l'élé- ment principal des plexu
te la forme et les dimensions, et auquel elle est unie par quelques
vaisseaux
et tractus conjonctifs. La face inférieure repo
sens antéro-pos- lérieur; cette face est sillonnée par de nombreux
vaisseaux
artériels et vei- neux, parallèles entre eux, é
ion est verticale pour la plupart. Les antérieurs portent le nom de
vaisseaux
lf'7lticulo-striés (Duret), les postérieurs, celu
qui se dis- tingue des couches blanches voisines par sa richesse en
vaisseaux
. A sa partie externe, on trouve encore les dern
aire du lobe, frontal que de ses faces externe ou interne. Riche en
vaisseaux
, elle est traversée par un très grand nombre de
de cellules ner- veuses, de fibres nerveuses, de névroglie et de
vaisseaux
. Les cellules nerveuses présen- tent des formes
dépens de l'ectoderme et du mésoderme (voy. p. '155), entourent les
vaisseaux
d'un véritable man- chon névroglique et corresp
s manquent d'orientation radiale, s'insèrent géné- ralement sur les
vaisseaux
par un filament épais comme Golgi l'a reconnu,
nent aux confins de la zone moléculaire, dans des régions riches en
vaisseaux
et en névroglie, et c'est au niveau des épines
aucune fente linéaire ni aucune cavité virtuelle, mais de nombreux
vaisseaux
(artères lenticulo-caudées et lenticule-striées
reconnaît une vascularisation plus grande de cette région; quelques
vaisseaux
, coupés perpendiculairement à leur direc- tion,
ces vasculaires résultant de la section transversale ou oblique des
vaisseaux
. ) FIG. 2. Un point de la région sclérosée \u a
tèrent sans effet. On nota encore chez elle du spasme dans les gros
vaisseaux
, des pâleurs, des fris- sons, des fourmillement
ne énorme accumulation de eorpuscutesfymphoides, au voisi- nage des
vaisseaux
. On trowa encore un petit foyer près du noyau d
sous-jacontes. En partant de la première sans quitter le trajet des
vaisseaux
, on trouve dehauten bas tout autour d'eux une t
ollissement à l'intérieur des ca- vités, dégénérescence hyaline des
vaisseaux
). Une dégénérescence descendante modérée, unelé
s irrégularités relatives à l'origine, à la division, au trajet des
vaisseaux
rétiniens. Citons riiétérochromie delà choroïde e
onnement n'a rien à faire avec les difformités de la papille ou des
vaisseaux
rétiniens, car il n'existe pas, dans l'espèce, de
e; formes anormales de l'entrée du nerf optique; trajet inusité des
vaisseaux
rétiniens; quelques cololomas). La ma- ladie fo
atl)ie. svpliilis, i- : ieliitisiiie f'obtl). 1.l disposi- tion des
vaisseaux
joue, elle aussi, un rôle évident dans l'accrois-
le soir au lit, pour l'enlever le lendemain matin. En dilatant les
vaisseaux
, il produit une réplétion exagérée du système v
st à redouter. L'opium fortifie le système nerveux en tonifiant les
vaisseaux
; de là suppression des congestions fluxionnaires
la présence de quelques globules de sang dans la gaîne des petits
vaisseaux
, le mécanisme de la mort en eût été mieux connu
e que secondaire, que le traumatisme n'a pas agi directementsur les
vaisseaux
de la moelle, car, en admettant la possibilité
de Sanvic), nous a envoyé l'obsemation succincte d'un lieutenant de
vaisseau
affecté de tics convulsifs, pendant lesquels il
eureusement trop incomplète pour être pu- bliée, d'un lieutenant de
vaisseau
avec lequel il avait navigué, qui était animé d
III, VIII, IX); (nous pourrions également compter le lieutenant de
vaisseau
, cité par M. Laurent, 184 clinique nerveuse.
te des grossièretés qu'il peut dire, à l'instar de ce lieutenant de
vaisseau
qui faisait son service tout en proférant des m
ux en général, par des modifications histologiques de l'iris et des
vaisseaux
irions. P. K. XVII. Nouveaux cas de tabès chez
ccupe également les troncs, mais y est moins accusée; intégrité des
vaisseaux
. On n'a pas songé à suivre les nerfs jusqu'au c
collèges où ils sont internes; les habitudes de pédérastie sur les
vaisseaux
, dans les prisons, les casernes, etc. D'après l
ntes. 277 pouls est plus faible, et c'est tout. « On a l'âge de ses
vaisseaux
», a dit le professeur Peler; c'est vrai, mais
'est pas absolument exacte; elle est vraie pour les sujets dont les
vaisseaux
sont altérés, elle cesse de l'être pour ceux' q
ure du feuillet viscéral de l'arachnoïde dans le cas de lésions des
vaisseaux
sous-arachnoïdiens; c'est assez dire qu'elle s'
gnées, dont les prolongements multipliés, sont en relation avec les
vaisseaux
néoplasie vasculaire hypergenèse de noyaux). Un
fuse, d'une intensité modérée, avec plaques laiteuses le long des
vaisseaux
. Au microscope, on relève tous les signes d'une e
chez l'homme ? Ceci résulte de la différence de distribution des
vaisseaux
dans les deux substances. La substance grise renf
exposé à la lésion ? Il s'agit ici de rapports topographi- quesdes
vaisseaux
. M.Mendel y reviendra probablement plus tard. 4
ces vasculaires résultant de la section transversale ou oblique des
vaisseaux
.) FiG. 2. - Un point de la région sclérosée vu
gestif ou inflammatoire, car il ne peut venir par diapédèse que des
vaisseaux
sanguins. Les auteurs ne s'expliquent les résul
Ces cellules paraissent tout d'abord s'accumuler dans la gaine des
vaisseaux
, puis infiltrent d'une façon diffuse le tissu n
s plus récents nous a montré que ces nodules représentent autant de
vaisseaux
oblitérés. Mais le nombre de ces nodules est ho
le nombre de ces nodules est hors de proportion avec le nombre des
vaisseaux
contenus normalement dans le nerf optique et no
culaire intense. A cette phase succède une phase d'oblitération des
vaisseaux
pré- existants et néoformés essentiellement chr
cations du bout périphé- rique d'une artère liée ne signifie que ce
vaisseau
est constitué par une seule immense cellule tub
or- rhagique aiguë (d'énormes hémorrhagies, un élargissement des.
vaisseaux
, une accumulation des leucocytes, une multiplicat
pratique on rencontre toujours des formes complexes (altération des
vaisseaux
et des éléments nerveux). Mais dans une seule e
ire, vous ne constaterez que peu de lésions, mais tout autour des
vaisseaux
cutanés existe un véritable manchon périvasculair
ui enveloppe les fais- ceaux de fibres et dans lequel cheminent les
vaisseaux
, enfin l'endonèvre ou tissu intrafasciculaire p
nserver l'étiquette d'inflammation interstitielle dans laquelle les
vaisseaux
sanguins n'interviendraient pas pour engendrer
Ludwig. La pression du bout périphérique n'est autre que celle des
vaisseaux
du cercle artériel de Willis; celle du bout cen
ourbes dont l'examen et la comparaison fournissent la condition des
vaisseaux
du cerveau. : Conclusions. - 1° Pendant la copu
é par une rapide alternance de contractions et de dila- tations des
vaisseaux
du cerveau avec chute et élévation de la pressi
introduction du pénis que l'on observe le maximum de dilatation des
vaisseaux
du cerveau et le maximum d'hyperémie de cet org
On rencontrait dans la néoformation une quan- tité considérable de
vaisseaux
de diverse dimension, en commençant prr des cap
imension, en commençant prr des capillaires et en finissant par des
vaisseaux
et des cavités excessivement élargis et remplis
n ne voit dans l'écorce cérébrale aucune lésion des méninges ni des
vaisseaux
; il n'existe pas d'inflamma- tion : les pyrami
rite ni papillite évidente. Le nerf optique blanchit, s'excave, les
vaisseaux
papillaires ou rétiniens n'offrent aucune altérat
édullaire, quelques traînées de streptobacilles le long de certains
vaisseaux
. Les mêmes lésions, mais beaucoup plus discrète
en a rencontré 85. Voir le tableau détaillé. Conclusions. 1. Les
vaisseaux
de la base du cerveau for- ment deux systèmes,
nt des modes de formation anormaux (anomalies proprement dites) des
vaisseaux
, ou des variétés dans le calibre des vaisseaux.
roprement dites) des vaisseaux, ou des variétés dans le calibre des
vaisseaux
. 4. On rencontre bien plus souvent chez les ali
e d'anomalies de formation on rencontre des variétés de calibre des
vaisseaux
: on n'en a noté que dans 23,2 p. 100 des cas.
rétablissement de la circulation du cerveau.- 41. Les anomalies de
vaisseaux
du cerveau sont si intimement liées à la question
uite toutes les causes et circonstances qui contribuent à léser les
vaisseaux
du cervelet, à produire des hémorrhagies, des thr
racture vasculaire; peut-être s'agit-il d'altérations fugitives des
vaisseaux
. Deux espèces de complications dans l'observati
Après s'être défendu d'avoir jamais prétendu que les lésions des
vaisseaux
de l'écorce cérébrale étaient toujours primitives
un seul cas de paralysie générale indiscutable avec intégrité des
vaisseaux
de l'écorce, et d'autre part que si on rencontre
Les cinq autres se décomposent en : une affection syphilitique des
vaisseaux
du cer- veau ; une psychose de détention; un ca
asculaires sont rares. On trouve rarement des leucocytes autour des
vaisseaux
. .Autour des cellules de Purkinje atteintes et
des métacarpiens avec exten- sion, aux régions .musculaires et aux
vaisseaux
correspondants. A l'occasion de cette observati
lulaire considérable. Pas d'altérations des fibres à myéline ni des
vaisseaux
. Smon. XXXVII. Paralysie générale aiguë avec un
ère, à droite, à gauche du carrosse, comme des dauphins autour d'un
vaisseau
qui s'avance, battu par la tempête. Le fracas é
xsudat gélatineux ; elle est légèrement adhérente à l'écorce. Les
vaisseaux
de la base du crâne sont considérablement épais-
s forme de no- dules, formant ainsi une périartérite noueuse. Les
vaisseaux
des méninges rachidiennes ne présentent que peu
cérébrale, les cellules de la névroglie sont nombreuses autour des
vaisseaux
. Quant à ces derniers, artères et veines, ils p
ière de l'artère est oblitérée ; les ter- ritoires irrigués par ces
vaisseaux
oblitérés ne se colorent plus par l'hématoxylin
que de la première consiste en une constriction anormale des petits
vaisseaux
; celui de la seconde réside, en cette même cons
et au cours de la syringomyélie. M. VACHARD insiste sur le rôle des
vaisseaux
dans le processus de la syringomyélie. AI. Br
ent fléchis. P. KERAVAL.. XXIII. De la calcification prématurée des
vaisseaux
de l'encéphale, considérée comme cause d'épilep
urt et l'on constate une calcification très étendue des plus petits
vaisseaux
de l'encéphale, surlout pro- noncée dans les as
en cause. Mais pourquoi la calcification n'a-t-elle atteint que les
vaisseaux
fins, il est pos- sible qu'ils aient été origin
e lentement, il présente, çà et là, surtout dans le voisinage des
vaisseaux
qui restent calibrés, une dégénérescence spéciale
ale, qui, en s'agrandissant constitue la fente, puis la cavité. Les
vaisseaux
sont rarement oblitérés, et aussi, ils prennent
hys- tériques sont dues à des spasmes vaso-moteurs. Le spasme des
vaisseaux
de telle ou telle région du cerveau entraîne l'ab
itée dont le fond est ouvert. mais où l'on ne trouve pas trace de
vaisseaux
ulcérés. Au milieu des caillots retirés de 1 es
nt dans la substance grise, et se développaient à la périphérie des
vaisseaux
, dont les tuniques sont épaissies par un proces
stérieures, des noyaux névrogliques, quelques fibres à myéline, des
vaisseaux
. Elle n'est pas étendue en hauteur, car on ne l
la cuisse gauche. Le projectile n'atteignit heureusement au- cun
vaisseau
: la blessure guérit, sans qu'il survint aucune
nt pas assez traitée mène à l'affection successive du système des
vaisseaux
sanguins ou à l'hypertrophie des éléments du ti
ins. Tous les agents qui irritent, soit immédiatement, soit par les
vaisseaux
sanguins, les éléments du tissu conjonctif, tel
ompre ce traite- ment et souvent la veille même d'une affection des
vaisseaux
sanguins plus dangereuse encore du système nerv
guérison complète du malade. Mais les récidives, les affections des
vaisseaux
sanguins et l'hyperplasie du tissu conjonctif d
sme, sous la peau est absorbé immédiatement par les capillaires des
vaisseaux
sanguins, se dégage beau- coup plus vite de l'o
que les récidives de la syphilis, les affec- tions consécutives des
vaisseaux
sanguins et l'hyperplasie du tissu conjonctif d
artère spinale. La circulation du bulbe est assurée par les deux
vaisseaux
qui partent des côtés internes des deux vertébr
tion conduite de haut en bas, par l'artère basi- laire, remplit ces
vaisseaux
sans injecter le bulbe lui-même, mais, si on a
s autres artères vertébrales et que le genre et la distribution des
vaisseaux
intérieurs du bulbe sont tout à fait aptes à bris
ser le choc de la vague vertébio-spinale. Ce n'est pas par quelques
vaisseaux
de gros calibre qu'est assurée la circulation s
rtante de cet organe de premier ordre, c'est par un grand nombre de
vaisseaux
de tout petit calibre. Le courant sanguin qui s
évroglique très dense, par de nombreux noyaux névrogliques, par des
vaisseaux
très altérés dans leurs parois et ddns leur cal
. Les corps granuleux sont très rares ; dans la gaine adventice des
vaisseaux
se voient assez souvent des granulations myélin
q et même dix éléments tassés les uns contre les autres. Autour des
vaisseaux
et des capillaires les plus fins, nous les voyo
et ce sont justement les seuls qui n'émigrent pas ; d'ailleurs les
vaisseaux
sanguins, qui sont ici en partie vides, ne prés
nstituant un pseudo-kyste, rempli de liquide céphalo-rachidien. Les
vaisseaux
de la pie-mère correspondant à ce vaste foyer s
t tous plus petits que du côté opposé. Lorsque la pie-mère et les
vaisseaux
sont enlevés, les régions lésées se présentent
ir du ramollissement de la moelle et produc- tion de cavités. Les
vaisseaux
sanguins sont quelque peu altérés (dégénéres- c
uteur attribue ces troubles cérébraux à la rupture de quelque petit
vaisseau
, due à l'agitation pro- duite par l'éthérisatio
le fasse corps avec ce dernier; on y reconnaît un certain nombre de
vaisseaux
entourés de lacunes lymphatiques comblées en pl
," ce's fibres'élastiques forment des touffes[ intriquées avec' les
vaisseaux
: ' Chose1 'cu- rieuse', 'les 'vaisseaux sontlJ
ations bien manifestes de la névroglie, des éléments nerveux et des
vaisseaux
. D'abord cette coloration plus vive de la surfa
dier : 1 H t \' .. t, if l' .. le parenchyme, la névroglie et les
vaisseaux
sanguins; et, de même que dans la substance gri
'quelques détails sur les ,rapports des'cellules araignées avec les
vaisseaux
san- guins, sans dire quelques' mots préalables
'nti ,'G ? 1 i')v' ! of ? m ? 1 ? )'119) ¡¿UJJ d abord bien plus de
vaisseaux
que dans 1 état nor- f'1 l'nrh rntr.tal)r,·, 9
il.rqq '.H' "'1'1 '1'll1t¡¡'b' til tion, a propos des méninges, les
vaisseaux
de la subs- H')f1N n "'> f.;)l. Ir q(U' III
. ( ? Tt q ) "fi 't. ! 10;' Le fait de 1 augmentation du nombre des
vaisseaux
fJ' rI Il'1 ,, . t. " .' i', , 1 1 l t ,1 It'11
)'I(l unq ; .i -Viui" ? I te uW· 1 i ? fjJ) lvll tantôt séparées du
vaisseau
et ne lui étant reliées que; ('Hroo ? /')>1
apport avec 11 ? ·, f n ? >· . "1 l I 'J -i in 11 l' , t . les
vaisseaux
, on peut admettre qu'elles représentent ariéts
lles sont, aussi celles4qtiitsel forment dansjla ' paroi) mêmofdés ,
vaisseaux
,1sansJ donner accès auxôglobulespdursang.,Tj0''
longements traversée par une lumière circu- laire. Fig. 6 et 7. -
Vaisseaux
dont les parois renferment des noyaux qui proém
uits anémiques, qu'on ne retrouve du reste ni à la base ni dans les
vaisseaux
du cou : en examinant toutes les articulations,
deux sillons collatéraux postérieurs, parcourue par de nom- breux
vaisseaux
dilatés et portants çà et là entre l'arachnoïde
son insertion sur l'artère pulmonaire, on trouve dans la cavité du
vaisseau
un orifice très petit qui peut encore admettre
le riche réseau capillaire des circon- volutions saines; seuls, les
vaisseaux
de calibre sem- blent y pénétrer. Enfin, en auc
Dans la moelle des os de l'homme, les nerfs marchent acco- lés aux
vaisseaux
; on peut les suivre jusque sur les capillaires
es tubes à myéline et quelques fibres de Remak. Nulle part, sur les
vaisseaux
ou ailleurs, on n'a aperçu de terminaison nerve
de piqueté rouge, et il apparaît sur le bord externe de l'organe un
vaisseau
saillant comparable à une dilatation vasculaire
i annulaire, là d'ectasie diffuse , sans que le calibre interne des
vaisseaux
soit diminué. z Coloration d'un trouble laiteux
ues dans un stroma conjonctif fibrillaire, parcouru par de nombreux
vaisseaux
. L'auteur considère cette tumeur comme un sarcô
ellules rondes et ovalaires contenues dans un stroma granuleux. Les
vaisseaux
étaient nombreux et leurs parois mêmes étaient
nts épileptiformes sont vraisemblablement liés à une congestion des
vaisseaux
du laby- rinthe, expliquent les heureux effets
les deux cas, la nutrition peut se trouver réglée à nouveau, les
vaisseaux
sanguins et lymphatiques, à raison des changement
, notamment dans la fièvre typhoïde, émigrent en abondance hors des
vaisseaux
, jouent peut-être un certain rôle dans la régén
grise étaient plus nombreuses qu'à l'état normal; quelques-uns des
vaisseaux
des cornes antérieu- res semblaient anormalemen
es cellules nerveuses, adhéraient à la membrane externe de quelques
vaisseaux
. Les colonnes de substance blanche étaient parf
s attributs d'une myélite portant* sur tous les éléments et sur les
vaisseaux
en particulier plutôt que d'une altération prim
s des cellules par l'attrition traumatique de l'aliéné au moyen des
vaisseaux
sanguins ouverts du même coup (sugillatioiis no
nvisagé, et du degré de l'imper- méabilité qu'il détermine dans les
vaisseaux
pulmonaires, en un court laps de temps. Il faut
REVUE DE pathologie nerveuse. zones corticales, correspondant à ces
vaisseaux
(nécrobiose aiguë), des foyers de pneumonie dis
ures, dû soit àla contracture des fibres musculaires annulaires des
vaisseaux
, soit à une trop faible excitabilité des nerfs va
ité, l'hémorrhagie n'ayant pour limites que la compression même des
vaisseaux
par le sang extravasé. L'absence de sper- mato4
ces phénomènes sont dus à un trouble circulatoire localisé dans les
vaisseaux
des petits rameaux ou des extrémités nerveuses
formes de migraine : 1° la forme angiolonique avec contraction des
vaisseaux
crâniens, produi- sant une pâleur unilatérale d
rolongements traversée par une lumière circu- laire. Fig. 6 et 7.
Vaisseaux
dont les parois renferment des noyaux qui proém
ertébré; et en effet la position et les rapports mutuels du a cœur ou
vaisseau
dorsal, du canal alimentaire et du système « nerv
est parfaitement ouvert, et, quoi qu'on en ait dit, ne contient aucun
vaisseau
dans son intérieur. Souvent, il est vrai, et surt
ans la région cervicale, il est flanqué de deux autres canaux, où des
vaisseaux
longitudinaux sont logés, ce qui a fait croire à
eau a l'aspect spongieux d'une moelle de jonc. Il sert de soutien aux
vaisseaux
capillaires multipliés, qui nourrissent la substa
oblongue , peu saillante, toute percée de trous, pour le passage des
vaisseaux
. Le bord libre des couches corticales de l'hémisp
ue un grand nombre de trous semés çà et là, qui donnent passage à des
vaisseaux
nombreux, cette couleur et ces perforations ont f
e, tantôt grisâtre ou brunâtre. L'on n'y remarque que peu ou point de
vaisseaux
. « L'infundibulum correspond toujours et sans e
guines. Quant au lobe postérieur il contient, outre des noyaux et des
vaisseaux
sanguins, des tubes variqueux Irès-iïns, qui, com
des vaisseaux sanguins, des tubes variqueux Irès-iïns, qui, comme les
vaisseaux
, descendent de l'infundibulum. — Wenzel affirme q
e leur partie interne une fibre blanche nerveuse, qui en est comme le
vaisseau
propre, qu'on peut voir assez clairement au trave
cise de ces couches. Il y a déjà bien longtemps qu'on a distingué les
vaisseaux
qui les pénètrent et s'y ramifient en réseaux d'u
ent en réseaux d'une richesse excessive. Je ne décrirai point ici ces
vaisseaux
qui ont été admirablement injectés par M. Gerlach
oindres anfractuosités. Elle est essentiellement formée d'un lacis de
vaisseaux
, d'où naissent les fines artères qui pénètrent da
de la moelle ou du cerveau. Sa structure a été fort bien décrite. Les
vaisseaux
sont soutenus par une lame de ce tissu que Bordeu
cale de la pie-mère (1). Elle contient, avons-nous dit, beaucoup de
vaisseaux
. Mais (1) Voy. Kolliker, Mil. humaine, tr. fr.,
plexus sont formés de houppes et de lames parallèles, très-riches en
vaisseaux
et que recouvre un epithelium vibratile. Ces sa
gle, font saillie dans les ventricules latéraux et reçoivent quelques
vaisseaux
des parties voisines. Ces franges vasculaires, co
pendant la période primordiale, soit en servant à la distribution des
vaisseaux
qui nourrissent les parois intérieures de l'encép
veines, sans parois propres, dans l'une desquelles sont contenus des
vaisseaux
et des nerfs, ils n'eussent pas fait si grand bru
n outre un assez grand nombre de cellules pigmentaires. 2° Nerfs et
vaisseaux
des membranes du système nerveux céphalo-rachidie
épaisseur de sa masse nerveuse (4). (b) Nous ne dirons rien ici des
vaisseaux
de la lame pério- (1) Anal, et phys. du système
-mère; nous nous bornerons à rappeler sommairement la disposition des
vaisseaux
propres au système nerveux encéphalique. Les ar
veines la veine ophthalmique, qui s'ouvre dans le sinus caverneux.
Vaisseaux
lymphatiques. — La substance du cerveau paraît en
ment l'idée d'une troupe à cheval. La vue de la mer donne l'idée d'un
vaisseau
. Le bruit du tocsin éveille irrésistiblement, à P
occasionnait pendant la veille. Semblable au pilote qui gouverne son
vaisseau
sur l'inspection d'une carte, l'âme dirige le cor
ammairien. 11 racontait qu'il s'était « embarqué pour l'Italie sur un
vaisseau
chargé de beaucoup « de marchandises et d'un gran
enait, il s'acquitterait de l'ordre qu'il avait «c reçu. « Quand le
vaisseau
fut près de Palodès, le vent tomba, et « le calme
le calme le surprit de nouveau. Alors Thamus monta sur la « poupe du
vaisseau
, et le visage tourné vers la terre, il cria « com
torien, a raconté l'histoire d'un fantôme qui hanta fort longtemps un
vaisseau
négrier et que tout l'équipage voyait pendant la
lutte. Les organes supérieurs de l'âme sont eux-mêmes affectés, et le
vaisseau
flotte au hasard, parce que le gouvernail brisé é
te. Encéphale : 1150 gr.; la pie-mère est très congestionnée, les
vaisseaux
sont gorgés de sang. Les différentes parties de
apercevons la pie-mère qui en tapisse le fond, parcourue par des
vaisseaux
bleuâtres. Cette pie-mère n'est autre que la pi
ste aucune anomalie dans les cavités cardiaques, ni dans les grands
vaisseaux
, si ce n'est la persistance du trou de Dotal. -
uges qui apparaissent bien plus nettement qu'il l'ordinaire ; leurs
vaisseaux
surtout artériels, sont épaissis, ont une lumiè
iquent les uns clans les autres et renfer- ment,dans leur masse des
vaisseaux
assez nombreux, plus ' IIMrNINGO-BNCI;I'I-IALIT
un tissu conjonctif néoformé, très riche en fibres élastiques et en
vaisseaux
. Ce tissu conjonctif existe abondamment dans le
tomes microscopiques, dont le sang est plus ou moins modifié. Les
vaisseaux
se présentent, partout, en nombre considérable
libre, aisément reconnaissables à leur tunique musculaire. Tous ces
vaisseaux
, veineux ou artériels, présentent des parois re
eucocytes mononucléaires très tassés ; mais les tuniques propres du
vaisseau
sont saines, la lumière est bien calibrée, régu
ciale : elles apparaissent toujours ai une certaine distance d'un
vaisseau
. Ce sont donc les zones péri-vasculaires qui ré
s que, çà et là, dans les faisceaux blancs, se rencontrent quelques
vaisseaux
épaissis. De même, les méninges molles, surtout
ent un développement anormal de leurs faisceaux conjonctifs, et des
vaisseaux
néoformés, dont les tuniques sont épaissies dan
enl, il a été impossible de trouver des lésions. La pie-mère et les
vaisseaux
ne sont pas épaissis, la névroglie n'est pas hy
cérébral a l'aspect d'un pédicule recouvert de cette membrane et de
vaisseaux
. Ce pédicule rayonne sur la paroi externe du ve
terne, des sillons profonds marquent sur les pariétaux la trace des
vaisseaux
méningés. Les éminences mamillaires sont nombre
M. le professeur Charcot. (1 suivre.) REVUE D'ANATOMIE I. Sur les
vaisseaux
de la moelle épinière (analyse et critique du m
ie. Le second mémoire de M. Adamkie- wicz est relatif à l'étude des
vaisseaux
sanguins à la surface de la moelle épinière : n
la région postérieure de l'organe, on rencontre ces deux ordres de
vaisseaux
. 1°. Vertébro-spinales. a) Les artères vertéb
la précision de nos connaissances. L'étude de la disposition des
vaisseaux
à la surface de la moelle est oeuvre personnelle
arrière surtout, manche vu de face; jumbo crayeux, ni triangle, ni
vaisseaux
. Audition delà montre : bonne au front (bosse f
t liés aux affections cardio-pulmo- naires, aux anévrismes des gros
vaisseaux
du cou ; de ceux dont se plaignent certains ast
et sous l'arachnoïde, sous forme d'îlots et de traînées le long des
vaisseaux
, sur les circonvolutions frontales, sur les cor
dant l'oeil exsangue par compression, puis par la ligature des gros
vaisseaux
delà base du cou; les résultats ne l'ayant pas
i à l'influence vaso-motrice et que les produits accumulés dans ces
vaisseaux
subissent des transfor- mations qui aboutissent
eau fournir des fibres amyéiiniquesa à une plaque terminale et à un
vaisseau
sanguin; parfois une seule et même fibre se divis
divisait en un rameau destiné au muscle et en un second destiné au
vaisseau
. D'ailleurs, ou bien la fibre amyéiique se rend
es sont i particulièremeii 'iii t, al)o.iid aiitsiatito u 'r,91 des
vaisseaux
, encombrent la cavité des fines artérioles oudcs
maillés allongées, tout à fait comparable, à ceux- que forment les
vaisseaux
dans un plexus veineux : il faut renon ? ;, cer
' : L'exci1 tation ? morbide'des N,asomoteurs,, en rétrécissant les
vaisseaux
artériels"1 der'la' pie-mère'et'du cerveau; ané
ie. La faute en seraitauspasmède l'appareil» musculaire des 'petits
vaisseaux
du'centre'optiquc REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
fièvre. des hystériques caractérisée par une dilatation aiguë, des,
vaisseaux
sanguins delà peau, en état d'hyperthermie, con
pos,est relatée l'expérience. de. Schûller. qui, ayant rétracté les
vaisseaux
par une. injection sousycutanée , d'crgotine, f
quel que soit leur but (vaso-constricteur ou vaso- dilatateur), les
vaisseaux
du cerveau directement en traversant le canal c
hémisphère, entraînant la compensa- tion dilatatrice du système de
vaisseaux
de l'autre (voy. Rumpf, faradisation cutanée).
dilatatrice qui, par compensation, produit le rétrécissement des
vaisseaux
de l'autre côté. Comme à l'anémie correspond l'
ons, aphonies, convulsions diaphragmatiques ; le plus ou moins de
vaisseaux
atteints fait les hystéries partielles ou les hys
onfiance, c'est l'hydrothé- rapie scientifique : elle désemplit les
vaisseaux
du cerveau (expériences de Schûller), relève le
eau qui abaisse d'autant la température interné; en même temps ^les
vaisseaux
, pic- mériens,tôtit·l'âloô`rd dilates'sous cett
t; V 'if ,t ,j - l i'" ? 1, - ,1W Fi - , 1, r ., - dure-mèré ct les
vaisseaux
de la peau par 1 ensemble du,s5's- ? 'i ? y-tir/
, Heyfolder, l3aslien). Rappelant que testions atluromatcuses des
vaisseaux
de l'oreille chez les aliénés atteints d'othema
aître les circonvolutions et les sillons de l'organe, ainsi que ses
vaisseaux
dont les branches plongent dans la cavité après
njonctif de l'intestin dans les infarctus du rein, dans le sang des
vaisseaux
de la main, dans les capillaires de la pie-mère,
Pa- rinaud, 57. TABLE beys MATIÈRES. le.-)9 ACoclle 3llinitre (
vaisseaux
de la), par Addinlviewicz et Duret, 81. 3loel
ution on ne découvrit ni dégénérescence totale ni inflammation. Les
vaisseaux
étaient tortueux; la substance corticale était
peu grisâtre. Sur la crosse de l'aorte on remarque quelques petits
vaisseaux
dilatés et gorgés de sang et même de petites ec
présentait une atrophie avec sclérose; absence de follicules clos;
vaisseaux
oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur,
appréciables sur la table interne, asymétrie légère des diamètres.
Vaisseaux
de la base sans grands changements à gauche. La
arties périphériques de l'écorce sont par place, surtout autour des
vaisseaux
, très riches en noyaux. Les espaces périvascula
contiennent parfois des granulations laiteuses. A l'état frais, les
vaisseaux
corticaux, enlevés à la pince sont souvent couv
Nécropsie. La dure-mère est tendue, le cerveau est di- laté. Les
vaisseaux
de la pie-mère sont gorgés de sang. Au niveau d
vascula- risées, enfin une couche de cellules embryonnaires, sans
vaisseaux
, parsemée d'un grand nombre de cellules géantes
érentes sur les coupes ; et on les voit constituées surtout par des
vaisseaux
très dilatés et remplis de sang ; les veines so
isation anormale très prononcée dans toute la substance grise ; les
vaisseaux
sont ramifiés dans toutes les directions. Le no
de cellules. Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagnent les
vaisseaux
et forment à la face interne de la paroi du pet
sses pédiculées, composées de ce tissu fibrillaire feutré, de rares
vaisseaux
et contenant des cellules à noyaux ronds ou all
points, on rencontre les corps granuleux, principalement autour des
vaisseaux
. Ces vaisseaux sont très ramifiés; l'espace pér
ontre les corps granuleux, principalement autour des vaisseaux. Ces
vaisseaux
sont très ramifiés; l'espace périvasculaire est
; on voit nettement que le centre de la dépression est formé par un
vaisseau
ramifié; les parois sont constituées par lo mêm
la même sur tous les cordons. Il n'y a pas de systématisation. Les
vaisseaux
sont dilatés. Moelle dorsale. - L'aspect est le
ments le processus morbide a débuté. La substance grise montre ses
vaisseaux
très ramifiés, mais sans bandes fibreuses épais
e moignon d'os rudimentaircs, la disposition normale des nerfs, des
vaisseaux
et des muscles, non intéressés par la tumeur. C
ur intérieure d'une région comme par exemple par la contraction des
vaisseaux
sanguins qui irriguent une région cutanée; 6° t
qui, en augmentant la pression sanguine, resserre en même temps les
vaisseaux
; or, ce serait une des propriétés de l'adonis v
ur a examiné attentivement le fond de l'oeil à l'ophtalmoscope. Les
vaisseaux
de la rétine, surtout les artères étaient très
la vascularisation rétinienne était revenue à l'état normal. Les
vaisseaux
avaient repris leur calibre. 108 PATHOLOGIE NER
ces altérations auraient pour source les lésions syphilitiques des
vaisseaux
céré- braux et les troubles trophiques encéphal
. Il y avait dégénération parenchymateuse des nerfs biliaux, et les
vaisseaux
étaient très athéromateux. Mais l'auteur n'ose
tactes ainsi que les autres régions cérébrales. Réplétion forte des
vaisseaux
méningés, lepto- méningite chronique diffuse de
tion vasculaire. L'interruption de l'afllux du sang dans les petits
vaisseaux
est le résultat d'un spasme sous l'influence d'
veux déterminerait l'excitation des nerfs vaso-moteurs destinés aux
vaisseaux
de telles ou telles extré- mités. L'irritatio
est transmise le plus sou- vent aux artérioles et aux veinules. Ces
vaisseaux
en se resser- rant font passer le sang qu'ils c
sang qu'ils contiennent dans les veines des mains et des pieds. Les
vaisseaux
capillaires sont vidés eux- mêmes. Les artéri
naud, Vulpian a opposé la théorie périphérique. Le resserrement des
vaisseaux
sous l'in- fluence du froid a lieu d'abord par
ent de l'asphyxie locale des extrémités. Il pense que le spasme des
vaisseaux
capillaires des mains qui produit les phé- nomè
mains qui produit les phé- nomènes de Raynaud existe au niveau des
vaisseaux
encépha- liques cérébraux et que la dépression
les détruire. Consécutivement, ces substances toxiques irritent les
vaisseaux
voisins et déterminent une prolifération de la
eu de méthyle. Un faible grossissement montre que dans l'écorce les
vaisseaux
, jusqu'aux capillaires les plus fins, sont rempli
l'ombre. Karyokinèse de quelques noyaux de la névroglie. Dans les
vaisseaux
remplis de sang, on est frappé de l'abondance d
e. Ces diverses causes agiraient sur la contractilité réflexe des
vaisseaux
du cerveau par l'intermédiaire des centres vaso-m
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Sements cervical et lombaire. Parois des
vaisseaux
fort infiltrées, atrophie des racines postérieu
en relief l'encéphalite disséminée caractérisée par une lésion des
vaisseaux
, dès hémorrhagies, la prolifération des cellules
les cellules sont petites, recoquevillées, vacuolisées. Parois des
vaisseaux
épaissies et rayées ; accumulation en plusieurs
tres de diamètre, formé de grosses fibres de tissu conjonctif et de
vaisseaux
épaissis ; nombreuses cellules rondes entre l'end
eaux épaissis ; nombreuses cellules rondes entre l'endo- thélium du
vaisseau
et la membrane fenêtrée ainsi qu'au pourtour du
arrondies, sans prolongements ; noyau difficile à voir, nucléole ;
vaisseaux
gonflés de sang, entourés de magmas de cellules r
e, à la première période, sont dus à une paralysie vaso-motrice des
vaisseaux
de l'encéphale; l'encéphalite corticale et les
se comparable à l'imbibition cadavérique, congestion assez vive des
vaisseaux
; il n'y a point de ' tumeur, ni d'abcès. Le mal
tractus moteur au lieu de s'être propagé de proche eu proche ; les
vaisseaux
et le rein étaient également atteints de scléro
térés. Ces dernières particulièrement infiltrées au voisi- nage des
vaisseaux
; la névroglie hyperthrophiée avait étouffé les
cellules étoilées et des noyaux en état de prolifération autour des
vaisseaux
et de la névroglie. Si une dégénérescence de celt
de la pression artérielle et le rétrécissement de la lumière des
vaisseaux
. De là la préparation suivante : REVUE DE THÉRA
es, subdivi- sées, dans lesquelles il est facile de reconnaître des
vaisseaux
san- guins 'dilatés. A la loupe, on peut distin
: un an. Autopsie : emphysème pulmo- naire, léger athérome des gros
vaisseaux
. Dégénérescence très accusée des vasa nervorum;
rdons pos- térieurs. Inflammation dégénérative des muscles dont les
vaisseaux
sont très altérés. Cette observation a pour c
urement.) 2. M. STEINER. Traumatisme cranien et artériosclérose des
vaisseaux
du cerveau. Un homme de cinquante-six ans, un a
la parole. Mort par pneumonie. A l'autopsie, pie- mère opaque, ses
vaisseaux
sont rigides, pas d'adhérences. Les artères du
il y a de part et d'autre près de 300gram- mes de sang caillé. Les
vaisseaux
de la néomembrane ne [sont pas visibles à l'oei
Enfin l'examen microscopique ulté- rieur a montré l'endartérite des
vaisseaux
de la pie-mère. Le sujet ne faisait pas d'excès
Il est à remarquer que dans ce cas l'arachnoïde, la pie-mère et ses
vaisseaux
, bien plus altérés que la dure-mère paraissent
cs artériels et un peu d'endartérite invisible à l'oeil nu dans les
vaisseaux
de la pie-mère. M. Bondurant pose de nouveau la
ère devint le fait initial, elle engendrait la néomembrane dont les
vaisseaux
sans consis- tance devenaient à leur tour la ca
st le fait essentiel, et si l'inflammation de la pie-mère et de ses
vaisseaux
est admise comme présentant un caractère de chr
thérome avancé. Elle se retrouve dans notre cas : endartérite des
vaisseaux
de la pie-mère, arachnoïde épaissie et rougeàtre
ngées, de masses fibri- neuses et d'amas pigmentaires contenait des
vaisseaux
mi- croscopiques dont la finesse ne paraissait
e temps assez courts et tout porte à attribuer cette hémorragie aux
vaisseaux
chroniquement atteints de la pie- mère. Les art
onsidérable d'autopsies. Pour lui chez les aliénés chro- niques les
vaisseaux
méninirés, privés de soutien par le fait de l'atr
ion artérielle continue ou répétée qui engendre l'altération de ces
vaisseaux
et cause l'hémorragie, sans inflammation préalabl
ugmentation du tissu de soutène- ment avec diminution du nombre des
vaisseaux
dans les cordons postérieurs. Mais ces lésions
on ne peut que se rallier à l'opi- nion d'Alélékoff. Le spasme des
vaisseaux
produit une gêne de la circulation dans les art
veinules et de diapédèse, avec effacement consécutif du calibre des
vaisseaux
(c'est l'oedème d'abord congestif, puis anémiqu
ais empiète par place sur les différents cordons. Dans ce foyer les
vaisseaux
sont très conges- tionnés, irrégulièrement dila
e répandent dans le tissu voisin. On voit aussi dans les parois des
vaisseaux
des éléments embryon- naires à noyaux réguliers
localise surtout à la substance grise. Dans toute son étendue, les
vaisseaux
sont gorgés de sang, mais cette congestion ne d
asse pas les limites du foyer et partout, dans la moelle saine, les
vaisseaux
nourriciers ont leur calibre libre. Les lésions v
s foyers de nécrose, de ramollissement. Ils ne ren- ferment que des
vaisseaux
vides et un détritus friable. Le tissu médullai
embryonnaires. Tout ce processus morbide est sous l'in- fluence des
vaisseaux
, la prolifération excessive des cellules em- br
e autour d'elles, est infiltrée de noyaux embryonnaires, et que les
vaisseaux
péri- médullaires sont également infiltrés de c
sie a, en effet, montré l'endartérite oblitérante de plusieurs gros
vaisseaux
. Quant aux troubles de la sensibilité, on les com
86. Archives, 2e série, t. II. 28 434 CLINIQUE MENTALE. ciel un
vaisseau
lumineux, où Dieu' lui apparaît entouré de tout
et que là ils envoient des ramuscules à la tunique adventice de ces
vaisseaux
. Il n'est donc pas possible de sectionner en ce
ervicale; plus bas, degénératlon du faisceau pyramidal fauche et du
vaisseau
de Turck droit. Troisième cas : démence sénile
lle postérieure. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 21 blcs sillons pour les
vaisseaux
méningicns. La paroi du crâne cstd'une minceur
icularité est la coagulation du sang dans les canaux du diploé. Les
vaisseaux
méningiens ont'marque sur les pariétaux des sil
. 116. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 69 et inférieure. Los traces des
vaisseaux
méningés sont nom- breuses et nettement accusée
sistance est nor- male et on ne trouve nulle part de sclérose.- Les
vaisseaux
et nerfs de la base sont normaux et symétriques
les espaces allongés formés par les fais- ceaux longitudinaux. Les
vaisseaux
sont assez nombreux, d'un volume égal à celui q
ite est notablement plus développée que la gauche. Les nerfs et les
vaisseaux
de la base du crâne sont normaux. Les ventricul
table interne du crâne n'offre que de très faibles sillons pour les
vaisseaux
méningiens. La paroi crânienne est d'une minceu
le gauche, La moelle épiniè ? e (il gr.) est d'aspect normal. 'Les
vaisseaux
et les nerfs de la basé sont étirés,' milices,
ies de la face interne du crâne sont peu accusées', les sillons des
vaisseaux
méningés sont peu profonds et plus nets à gauch
rmillon uniforme. Les os du crâne sont très épais et très durs. Les
vaisseaux
pie-mériens et les sinus de la dure-mère sont g
enne est lisse et ne pré- sente que de très légers sillons pour les
vaisseaux
méningés. ' Hydrocéphalie : cerveau. 231. fac
très lourds. Leur table interne porte les empreintes profondes des
vaisseaux
méningés. Les plaques trans- parentes y sont ra
s tuberculeux. Le pus est descendu à droite et à gauche le long des
vaisseaux
jusqu'au ni- veau de l'arcade de Fallope et est
résente le moulage de la tête de Chev... CRANE ET cerveau. 289 de
vaisseaux
méningiens. Entre ces deux tables est un tissu
d'apparence normale. La pie-mère offre au niveau des sillons et des
vaisseaux
surtout vers la base, de nombreuses granulation
vant de la suture lambdoïde se trouye une dépression accentuée. Les
vaisseaux
méningés Crâne ET cerveau. 311 f ont laissé s
répétées, des méninges intra-ventriculaires ou la com- pression des
vaisseaux
de la base de l'encéphale par Bourneville, Bicê
t normales. L'examen de la papille ne donne pas grand résultat, les
vaisseaux
sont légèrement variqueux, les contours sont ne
la substance blanche, de la substance grise, de la névroglie, des
vaisseaux
et des méninges. Voici cinq observations dans l
et meurt dans le coma le 12 septembre. L'au- topsie révèle que les
vaisseaux
méningés sont gorgés de sang, les 62 REVUE D'AN
ellules épithéliales, de la substance grise sous-épen- dymaire, des
vaisseaux
, et de la dégénérescence du corps calleux, fort
la névro- glie et de la couche sous-épithéliale, la dilatation des
vaisseaux
, l'infiltration du tissu par de petites cellule
némie qui, dans la théorie de Bergmann, émane de la compression des
vaisseaux
: on se trouve en présence d'une lésion du tiss
ussi comprendra-t-on que nous n'insistions pas davantage ici. Les
vaisseaux
(4 et 5 fig. 18) ont leur paroi peu épaissie, ils
use proliMree; i, lacuacresula l'a désintégration des tissus 5, petit
vaisseau
Ci paroi hypertrophiée; 6, couche granuleuse inte
hémie et que la diapédèse. Les mêmes dé- générescences hyalines des
vaisseaux
qu'on trouve ici, Manasse les décrit dans les m
lus préoccupé les auteurs est de savoir par quel tissu névro- glie,
vaisseaux
ou éléments nerveux débute le processus mor- bi
toute terminologie équivalente. D'une part, en effet, la lésion des
vaisseaux
est la diapédèse et non la sclérose. Ces deux t
croissant en vient à étouffer les éléments nerveux et à envahir les
vaisseaux
. S'il en était ainsi, la définition serait des
t, avec toute l'évidence possible, que 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. les
vaisseaux
et les éléments nerveux sont souvent altérés, alo
s, je le répète, c'est surtout, d'après l'opinion actuelle, sur les
vaisseaux
et les éléments nerveux eux-mêmes que se fixe l
ces dernières formes, j'ai toujours trouvé des dégénérescences des
vaisseaux
analogues à celles des éléments nerveux et, par
s généraux; par contre, j'estime que les lésions athéromateuses des
vaisseaux
encéphaliques sont presque constantes à des deg
les nerveuses, ni fibres nerveuses. On y rencontre en abondance des
vaisseaux
san- guins dilatés à parois épaissies, entourée
int que, arrivées dans l'épaisseur de la pie-mère, presque tous les
vaisseaux
sont normaux. Entre les vaisseaux altérés on tr
de la pie-mère, presque tous les vaisseaux sont normaux. Entre les
vaisseaux
altérés on trouve un nombre considérable de petit
S SAVANTES. - tention. Est-ce à la compression ae la tumeur sur les
vaisseaux
et les nerfs du cou, ou plutôt au résultat du m
noyau. Neuronophages. Pas de lésions très marquées de la névroglie.
Vaisseaux
normaux. L'intérêt de cette observation réside
e tuberculeux témoigne d'une manière incontestable le système des
vaisseaux
lymphatiques : il ne manifeste aucunes enflures d
angé depuis un an, ses papilles sont un peu plus blanchâtres, leurs
vaisseaux
se sont amincis. Enfin L... dont la paralysie g
c grisâtre ; Les papilles de cinq autres avaient l'aspect lavé, les
vaisseaux
étaient sinueux, un malade avait la papille dro
nt surtout près de la membrane limitante interne et au pourtour des
vaisseaux
. Quand les lésions sont plus avancées, les cell
euse d'épaisseur inégale. Masse et capsule sillonnées de nom- breux
vaisseaux
. Dépôts calcaires entre la tumeur et le corps cal
jonctifs,et souvent prédominantes dans la zone adventice d'un petit
vaisseau
, artériole ou veinule. Les amas cellulaires n
sont épaissis, souvent encombrés de nodules à cellules rondes. Les
vaisseaux
artériels ou veineux présentent une inflammatio
dian-antérieur, bien individualisé par ses larges dimensions et ses
vaisseaux
, artériels ou veineux, auprès desquels passent
ules inflammatoires de petites cellules rondes à gros noyau, et des
vaisseaux
altérés de diverses façons. Les artères présent
odulaire, diffuse ou interstitielle, prenant son origine autour des
vaisseaux
. Ayant remarqué, chez une femme de trente-sept
e ce dernier. Il comble les interstices musculaires, accompagne les
vaisseaux
, remplit les vides autour des ligaments, des in
une conséquence de la réaction inflammatoire de la névroglie et des
vaisseaux
, qui se développe à la suite de la destruction de
longements forment un réseau très serré. Rien d'anormal du côté des
vaisseaux
. Les autres parties de la substance grise de la
par trois veines volumineuses et légèrement tortueuses; deux petits
vaisseaux
accompagnent la veine, on ne trouve pas de vaisse
s; deux petits vaisseaux accompagnent la veine, on ne trouve pas de
vaisseaux
ail- leurs, même à un fort grossissement. Pas d
t en haut et en bas où la papille semble se prolonger au niveau des
vaisseaux
par suite de l'existence d'un peu d'oedème réti
x par suite de l'existence d'un peu d'oedème rétinien. En outre des
vaisseaux
principaux, il existe encore un peu de vascular
à du tissu cicatriciel fibroïde qui siège de préférence autour des
vaisseaux
(PL XXXII, fig. 5, a). Les fibres nerveuses des c
fascicules presque sains; c, fascicules moyennement dégénérés ; d,
vaisseaux
du tissu conjonctif péri- fasciculaire ; e, gai
ules ganglionnaires; c, leucocytes; d, débris de tubes nerveux ; e,
vaisseau
. 1. Voy. le n' 4, 1890. 196 NOUVELLE ICONOGRA
state pas de signe de division indirecte (Pl. XXXII, fig. 5 c). Les
vaisseaux
sanguins et lymphatiques sont très dilatés. La ga
asculaire.*Ces tractus interfasciculaires, ainsi que les parois des
vaisseaux
sont très épaissis, et beaucoup de fibres nerveus
paru en général;^ les téguments sont pâles. I Méninges normales :
vaisseaux
pie-mériens un peu injectés. Les circonvolution
Plusieurs sont fortement pigmentées (Planche XXXII, fig. '1). Les
vaisseaux
de la moelle sont un peu dilatés, et leurs parois
othélium tuméfié et proliféré. On observe les mêmes lésions sur les
vaisseaux
lympathiques. b. Sur des coupes longitudinales,
urtout remarquable par les altérations vasculaires : la plupart des
vaisseaux
sont entourés d'une gaine d'une épaisseur consi
conjonctif; c, Zone moyennement altérée; d, Tractus pie-mérien; e,
Vaisseau
. Fc. 77. - Schéma do la paralysie infantile.
sissement) : a, Région peu altérée; b, Région très altérée : c, c',
Vaisseaux
à gaines épaissies; (1, Tube nerveux. Le gérant
nom de canaux émissaires, mais représentent en fait l'abouchement des
vaisseaux
diploïques tributaires des veines temporales prof
s. « Autopsie. — Le liquide arachnoïdien paraît trouble le long des
vaisseaux
. A la base du cerveau, dans la région du chiasma
divise en superficiels et en profonds ou interstitiels, reçoivent les
vaisseaux
lymphatiques du pavillon de l'oreille, du conduit
soit k une intervention intratympanique, soit k une ulcération de ces
vaisseaux
, spontanée ou traumatique. ïrautmann, dans son
a caisse, cette paroi s'élargit et affecte alors des rapports avec le
vaisseau
. Au-dessous de l'orifice tubaire, elle se continu
aquelle s engagent un prolongement de la dure-mère et quelques petits
vaisseaux
. On y observe des déhiscences dans 21,8 pour cent
seau veineux communique directement avec les sinus péripétreux et les
vaisseaux
de la dure-mère, ou bien avec les veines transtem
e façon qu'elles entourent les portions horizontale et descendante du
vaisseau
, tandis qu'elles laissent le coude relativement l
orifices osseux, de véritables canaux fibreux qui engainent nerfs et
vaisseaux
. Son adhérence à l'os est variable. Très solide a
t indique alors une infection plus ou moins importante de la paroi du
vaisseau
. Gomme souvent l'abcès se vide au dehors sponta
viter à coup sûr la lésion des noyaux centraux ainsi que des nerfs et
vaisseaux
qui pénétrent dans le méat auditif interne. On
Paris, 1900. Du ville (A.), Etude sur l'anatomie et la recherche des
vaisseaux
méningés moyens. Thèse de Bordeaux, 1902. Elswo
on du pus. Réfléchissez au défaut de résistance des tissus autour des
vaisseaux
, des nerfs, et vous saurez d'avance où doivent se
riété, passe par la grande échancrure sciatique, suit quelquefois les
vaisseaux
fessiers et apparaît à la région fessière, qu'il
artie antérieure de la poitrine, en contournant les côtes le long des
vaisseaux
et nerfs intercostaux ; on l'a vu aussi remonter
aisseaux et nerfs intercostaux ; on l'a vu aussi remonter le long des
vaisseaux
sous-claviers et pénétrer jusque dans l'aisselle.
Ce membre présente dans l'aine une dépression située à la hauteur des
vaisseaux
cruraux; cette dépression est plus ou moins prono
Mor-gagni a connu ce fait ; il a signalé le moindre développement des
vaisseaux
cruraux dans les membres anciennement luxés. IV
bre pied bot, porte sur toutes les parties de ce membre, os, muscles,
vaisseaux
, nerfs. Cet état persiste toute la vie et s'aggra
érable, en général, pour les tendons accolés à des os ou voisins de
vaisseaux
et de nerfs importants qui se trouvent mieux prot
plus loin dans la section sus-tendineuse. Quelquefois le voisinage de
vaisseaux
, de nerfs, ou quelque autre circonstance, command
ostérieure, en le plaçant sur un plan tout à fait séparé, l'isole des
vaisseaux
et des nerfs profonds. Sa double gaîne fibro-cell
s. Dans le varus, le déplacement du calcanéum rapproche ce tendon des
vaisseaux
tibiaux. La veine saphène externe, assez peu dist
plus sûr de diviser le plantaire grêle, soit pour mieux protéger les
vaisseaux
, on se placerait, pour l'un des pieds, de manière
, qui n'est pas loin. M. Bonnet pense avoir ouvert plus d'une fois ce
vaisseau
, mais sans suites graves. C'est pour obvier à c
, autant que possible, du côté externe et en arrière, pour éviter les
vaisseaux
et nerfs plantaires. B. Phénomènes de réparatio
tissu cellulaire. 11 augmente peu à peu de consistance, se pénètre de
vaisseaux
, devient fibreux, et s'unit aux deux bouts du ten
; des tendons qu'il serait préférable de respecter seront coupés; des
vaisseaux
et des nerfs pourront être atteints; souvent la s
al des os rachitiques dans la première période, c'est l'abondance des
vaisseaux
sanguins. On a voulu voir dans ce fait une cause
e plastique qu'elle aurait versé et au sein duquel se formeraient des
vaisseaux
. MM. Henoch et Remak (de Berlin) n'ont pas été pl
s dans la structure des os modifient puissamment leur vitalité; leurs
vaisseaux
sont étouffés par la matière calcaire. Il en résu
t l'action des extenseurs de la jambe. G. Chez les rachitiques, les
vaisseaux
et les nerfs, beaucoup moins retráctiles que les
culier, décrivent, en outre, des flexuosités comparables à celles des
vaisseaux
du même ordre dans l'état de vacuité des organes
la solidité des os doit plu- (1) Mémoire sur la situation des gros
vaisseaux
, h la suite de VAnato-mie de Sabaiirr, t. III, p.
en quelque sorte sur l'aorte, et cesse précisément à l'endroit où le
vaisseau
devient antérieur au rachis. Voici une pièce fraî
es produisent encore la dépression antéro-gauche de la poitrine. d.
Vaisseaux
sanguins. — Œsophage. — Les divers canaux renferm
...................... 413 c. Cœur........................ 415 d.
Vaisseaux
sanguins. — OEsophage.......... 416 e. Organes
lie) avec intégrité des formations vasculo- conjonctives (méninges,
vaisseaux
) ; elles consistent en une dé- génération systé
ue généralisée avec rétrécissement con- sidérable de la lumière des
vaisseaux
, sans thrombose ni ecta- sie ; il n'y avait auc
OMES OCULAIRES DE LA PARALYSIE GENERALE. 97 rose périvasculaire des
vaisseaux
neuro-rétiniens prennent déjà une signification
ble que dans le tabes, et l'excavation centrale plus marquée. Les
vaisseaux
conservent leur calibre normal. En somme, l'atr
ent à des fautes de technique : les microbes se trouvaient dans les
vaisseaux
, par conséquent dans le sang, et présentaient l
localisée des éléments intersti- tiels ; en lésions scléreuses des
vaisseaux
. Ces trois sortes de lésions ne paraissent pas,
être observées dans l'écorce et dans les noyaux gris centraux. 3°
Vaisseaux
. Les lésions artério-scléreuses des vais- seaux
e sont pas toujours proportion- nées aux lésions athéromateuses des
vaisseaux
de la base ; elles ne sont pas non plus analogu
ns les dif- férentes parties d'un- même cerveau, ni même dans les
vaisseaux
les plus voisins. La lésion est une artérite le
ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 115 J rapport avec la distribution des
vaisseaux
, mais se loca- liserait non à leur pourtour, ma
toxiques qui, de façon indépen- dante, produisent l'altération des
vaisseaux
. L'atrophie des cellules,et des fibres nerveuse
ssement par oblitération artério-scléreuse ou fibro-liyaline d'un
vaisseau
. L'état vermoulu est une ulcération corticale,
rd la réunion, en un point qui n'est pas toujours le voisinage d'un
vaisseau
, d'arthrocy- tes géants et néoformés, multinucl
ions des éléments nerveux succèdent à un processus d'altération des
vaisseaux
ca- pillaires. En terminant, il fait remarquer
frontal et du cingulum. A noter des altérations très prononcées des
vaisseaux
de l'écorce. Le deuxième malade, un homme âgé d
z 3 myxoedémateux ce qui est à rapprocher des sillons faits par les
vaisseaux
en rapport avec l'endocrfine. Ces vaisseaux ont
s sillons faits par les vaisseaux en rapport avec l'endocrfine. Ces
vaisseaux
ont absolument sculpté la table interne et dans
tal, transparence du crâne et sa faible densité, incrus- tation des
vaisseaux
endocraniens. Nota. Le crâne 219 est absolument
térisé essentiellement par : altéra- tion inflammatoire intense des
vaisseaux
, avec inliltralion cellu- laire des parois, sur
mo-pathologique est dans la majorité des cas limité en principe aux
vaisseaux
du système nerveux cen- tral. Par sa diffusion
omme l'a montré PauLBert, la formation d'embolies gazeuses dans les
vaisseaux
sanguins. D'ailleurs, les règlements actuels or
des cellules ganglionnaires et des altérations très accentuées des
vaisseaux
, dont les parois étaient épaissies et renfermai
aient un plus grand nombre de noyaux qu'à l'état normal. Autour des
vaisseaux
il existait en outre une grande quantité de cel
résente une vascularisation in- tense, tout à fait remarquable. Les
vaisseaux
courent à Archives, 2* série, 1900, t. XXII. 2
oit avec tendance à la prolifération évoluant vers la sclérose. Les
vaisseaux
sont en partie perméables, à parois non épaissi
i' ! plIlel1l1cs uns aux autres, ailleurs, tourbillonnent autour de
vaisseaux
san- guins dont les parois sont fibreuses, épai
arcome. Les points d'apparence héniorrhagique corres- pondent à des
vaisseaux
volumineux, gorgés de sang, plutôt qu'à des hém
de partie de son étendue, avec une dilatation prononcée de tous les
vaisseaux
, et cela sur toute la surface convexe et la fac
ousseaux ner- veux dans le sillon antérieur et dans l'adventice des
vaisseaux
centraux à l'endroit où s'exerçait la compressi
D'autres fibres apparaissent contre les capillaires et les petits
vaisseaux
à la base des cornes postérieures ainsi que dans
eures. 11 en est qui sont accolées aux veines centrales ou aux gros
vaisseaux
les plus voisins ; il y en a aussi dans les col
ans la pie-mère du sillon antérieur ; les autres accompagnent les
vaisseaux
pie-mericns à la périphérie antérieure de la moel
OGIE PATHOLOGIQUES. primé, la plupart des libres pénètrent avec les
vaisseaux
dans les curnc anlricurm ; il 1·n c·L lui trave
limites irrégulières, leur trajet en rapport avec la direction des
vaisseaux
centraux, l'a-pecl très transparent, raréfié, d
dans l'anneau gliomateux qui entoure le canal central, la paroi des
vaisseaux
, très épaissie, a, par places, subi la dégénére
ide dans le canal central a comprimé de dedans en dehors les petits
vaisseaux
à paroi mince du voisinage, nuisant ainsi à la
bstance de soutènement. Les relations des foyers avec le trajet des
vaisseaux
, et l'ex- trême ressemblance des foyers récents
rmale sont cependant un peu plus brillantes que d'ha- bitude et les
vaisseaux
y sont un peu étriqués. Déglutition difficile,
olue des lobes frontaux et temporaux : déchets de myéline plein les
vaisseaux
et en dehors des vaisseaux,'1 très peu de fibre
temporaux : déchets de myéline plein les vaisseaux et en dehors des
vaisseaux
,'1 très peu de fibres radiaires, pas de fi- bre
ls troubles. Ceux-ci seraient conditionnés tantôt par un spasme des
vaisseaux
(hys- tériques) ou par une lésion des tuniques
rvéesà la fois du côté du système nerveux central, des nerfs et des
vaisseaux
chez un idiot qui était atteint en outre de mal
niveau des lobes frontaux intéressaient à la lois les cellules, les
vaisseaux
et la néloglie. G. 1)., Zizi. Des limites de la
est béant dans' la pluie, le pharynx est complètement ouvert ; les
vaisseaux
et les nerfs ne sont pas inléressés. On fait la
pinate surtout chez l'enfant, infiltration leucocytaire le long des
vaisseaux
. L'examen bactériologique et la culture donnent
le mésoderme, dans la glande pituitaire normale, ne fournit que des
vaisseaux
avec le tissu conjonctif concomitant. Or, ici,
diminue, par action réflexe, l'activité du centre vaso-moteur. Les
vaisseaux
se dilatent, et, par suite, la pression s'abais
avec la tétanie, qui présentait une calcification typique des fins
vaisseaux
du cerveau et du cervelet. A rapprocher de - 1,
amis : on les secoue violemment el l'on voit qu'ils se composent de
vaisseaux
et de ramifications vasculaires presque absolum
s finit par s'atrophier et par n'être plus nourri que par de petits
vaisseaux
san- guins ; mais, en revanche, l'animal se ser
ave conséquence l'ulcération de la paroi et la perforation des gros
vaisseaux
avec les- quels l'oesophage se trouve en rappor
ment. Une autre soeur morte à 70 ans subitement, d'une rupture d'un
vaisseau
, ou dans une syncope ? Un cousin issu de germai
s du cervelet, de la protubérance, de l'isthme ou de la moelle. Les
vaisseaux
et nerfs de la base du crâne sont symé- triques
rcomes DU CERVELET : Histologie. 49 complète de tissu réticulé. Les
vaisseaux
sont très peu abon- dants et présentent une par
d'une vascularisation uniforme très-marquée. Le long de principaux
vaisseaux
on constate des traînées blanchâtres correspond
dû à une hyperplasie fibreuse de la membrane et à la dilatation des
vaisseaux
. Les faisceaux conjonctifs ont conservé leur di
points on constate aussi de petits ilôts de corps granuleux. Les
vaisseaux
de la couche interne de la pic-mère sont for- t
rouges altérés ou des cellules con- jonctives pigmentées. Quelques
vaisseaux
, partant de la face. externe de la pie-mère, pé
aires sont dilatés dans toute leur étendue. Il en est de même des
vaisseaux
de calibre plus considérable. Ceux-ci présentent
ion de globules rou- ges. On ne trouve pas de leucocytes autour des
vaisseaux
qui pénètrent dans la substance cérébrale, En q
bstance cérébrale, En quelques points, peu nombreux il est vrai, le
vaisseau
est complètement obli- téré et transformé en un
des globules rouges altérés et des amaspigmen- taires entourant le
vaisseau
dont la lumière est plus ou moins obstruée. Q
apparaît comme un phénomène secondai- re, consécutif auxlésions des
vaisseaux
et non comme un phénomène primitif, ce qui est
es traînées, à un degré plus avancé, forment des cercles autour des
vaisseaux
, enfin ces cercles deviennent caséeux à leur pa
eux à leur partie centrale, où l'on retrouve encore les vestiges du
vaisseau
, un capillaire le plus souvent, et l'on a sous
r, par la pie-mère. Les travées de la pie-mère qui accompagnent les
vaisseaux
sont surtout épaissis dans ces points ; mais il
NERVEUSE. Les coupes permettent de reconnaitre un grand nombre de
vaisseaux
remplis de sang et dont la paroi est épaissie. La
ormément répartis; ils sont à peine un peu plus nombreux autour des
vaisseaux
; il n'y a en somme pas de foyers de myélite en
qui s'in- sinue dans le sillon antérieur médian; elle contient des
vaisseaux
dilatés et pleins de globules rouges; par place
le pâle et mince. Hypertrophie concen- trique du ventricule gauche.
Vaisseaux
nullement athéromateux. Le canal rachidien est
elle ne serait qu'apparente en l'espèce. Cet homme devait avoir des
vaisseaux
délicats : épistaxis pendant l'enfance, alcooli
sculaire, l'inflam- mation lente, chronique, des vasa nervorum, des
vaisseaux
des méninges, du tissu interstitiel, aboutissan
off, comme une ven- tousequientraîne une augmentation du volume des
vaisseaux
du cerveau, de ses méninges, et surtout de la s
iatement après que l'exten- sion ou la suspension cesse d'agir; les
vaisseaux
du cerveau s'élargissent, la pression artériell
E. tion de la pression artérielle, d'où il résulte une anémie des
vaisseaux
,cérébraux et une hyperhémie consécutive. Outre
proliférations circonscrites des fibres musculaires lisses dans les
vaisseaux
de la moelle; par A.-l'ICh. (Neurolog. Cen- Jra
medic. Wochensclarift, M. Pick a publié deux cas dans lesquels les
vaisseaux
des méninges molles de la moelle portaient des
e- ment et une sphère par rapport à la direction longitudinale du
vaisseau
. Les fibres sont tantôt réunies en faisceaux, don
e de se disséminer qui atteint le système musculaire lisse des gros
vaisseaux
. La sénilité ne fait rien à l'af- faire. Le tab
elles se développent sous l'épithélium épendy- maire au niveau des
vaisseaux
et arrivent sur certains points à produire la s
Elles sont dues à l'influence du poison tuberculeux charrié par les
vaisseaux
. Il y a donc, comme on l'a déjà annoncé, un poi
vasatious disséminées et infiltra- tions locales de l'adventice des
vaisseaux
. Dans l'écorce et la substance blanche on const
a substance blanche on constate des altérations très prononcées des
vaisseaux
, telles que épaississement des parois vascnlair
y, 1900, p. 37-45.) A l'autopsie, on trouve dans un grand nombre de
vaisseaux
des méninges et de l'écorce de petits thrombus
un ictus apoplectiforme suivi de parésie, une altération sénile des
vaisseaux
, la conservation passable de la mémoire et part
ion aussi bien que celle de Serres, pour lequel, l'oblitération des
vaisseaux
de la par- tie difforme est la cause de l'arrêt
qu'il faut étudier la peau, les muqueuses, les yeux, le coeur, les
vaisseaux
et les viscères. L'auteur ne compte indiquer qu
: M' : La tachycardie avec irrégularité cardiaque est fréquente. 4°
Vaisseaux
: Endartérite oblitérante : Noter aussi un épaiss
altérations sémlcs des arteres ou à des lésions syphi- litiques des
vaisseaux
postérieurs de la moelle, aboutissant soit à l'
llait pas de beaucoup à la vérité. Le sang coulait abondamment d'un
vaisseau
profond (qui fut ensuite reconnu pour l'artère
te à préciser le siège de cette hémorrhagie, à nous entendre sur le
vaisseau
dont la rupture a été la cause déterminante des
vous que les circonvolutions cérébrales sont ali- mentées par trois
vaisseaux
artériels, par les artères céré- brales antérie
térieure. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 467 térieure. En effet, ce
vaisseau
alimente toute la surface du lobe temporo-occip
névroglie et diminution du nombre des fibres nerveuses : autour des
vaisseaux
, dont les parois étaient fortement épaissies, e
parole et un simple trouble paralytique. Signalés par M. Duret, ces
vaisseaux
réclament de nouvelles recherches. Jusqu'à prés
e grande, les autres petites, sem- blent correspondre au groupe des
vaisseaux
constitué par l'artère aphasique et ses rameaux
tions vasculaires (parois épaissies, riches en cellules) ; quelques
vaisseaux
contiennent de grandes quantités de matière col
eut-être, vu la présence de la ma- tière colorante du sang dans les
vaisseaux
, serait-on autorisé a penser que la paralysie
ubstance des circonvolutions ramollie, diffluente, en- flammée. Les
vaisseaux
présentent des altérations considérables, ils s
substance médullaire correspondante. Il est donc probable que les
vaisseaux
de la parole ne fonctionnaient pas dans le cas
ée d'une capsule, de consistance ferme, largement alimentée par des
vaisseaux
sanguins, et assez sem- blable, au point de vue
ême. Ces agrégats corpusculaires étaient toujours au voisinage d'un
vaisseau
. Ils ont été examinés par M. Batty Tuke, qui ne
quelques cas, on inclinait à croire qu'ils occupaient la place d'un
vaisseau
oblitéré et remplacé par une masse de noyaux ayan
cesse avec la cause. =Pt71bgc'nce.` Lë cltlôril paralyse lespetits
vaisseaux
encéphaliques ; î"dér''la1'dysl'rophie 'descent
oyenne intensité de la rétine, un rétrécissement assez prononcé des
vaisseaux
réti- niens. Cette fois, les phénomènes subject
spondants. Il nous faut cependant dire en terminant, que, parmi les
vaisseaux
sanguins, les uns (substance blanche de la moel
e 2 millimètres et longues de 7 millimètres, composées chacune d'un
vaisseau
épaissi à parois vitreuses, d'un tissu périvasc
ophie dégénérative des cellules ner- veuses, de la névroglie et des
vaisseaux
, les fibres nerveuses et les parties constituti
constate les lésions les plus accentuées du même genre. Partout les
vaisseaux
gorgés d'hé- maties et de leucocytes présentent
omprimé et détruit autour d'elles le tissu voisin. La paroi même du
vaisseau
offre une dégé- nérescence graisseuse des cellu
el ? P. K. XLVIII. DÉMENCE PARALYTIQUE. ALTÉRATION SYPHILITIQUE DES
VAISSEAUX
DE l'encéphale ; par R. SCIIULZ. (Neurol. Centr
gestion cérébrale due à la paralysie de la tu- nique musculeuse des
vaisseaux
ou des nerfs d'arrêt. L'application locale du m
niformes et la contraction spasmodique de la tunique musculeuse des
vaisseaux
. On sait aujourd'hui que l'albuminurie peut dép
0 novembre 1883. - Autopsie. Coeur gros. Arté- siosclérose des gros
vaisseaux
, principalement de l'aorte; hyper- trophie du v
urrénale égarée. In- tégrité de la dure-mère et de la pie-mère. Les
vaisseaux
de la base sont scléreux, surtout les artères s
e est en rapport avec la surface osseuse et parcourue par de nombreux
vaisseaux
. L'interne est lisse et envoie des prolongements
ar du tissu cellulaire fin et peu serré, contenant un grand nombre de
vaisseaux
, elle joue le rôle de membrane nour-ricière. Comm
nissante, nommée névroglie, au milieu de laquelle on voit de nombreux
vaisseaux
capillaires et des myélocytes. Les cellules ner
ces cellules. Ces trois ordres de cellules sont répartis, avec les
vaisseaux
capillaires, dans une substance unissante, la név
forment un réseau vasculaire très riche, à mailles très serrées. Ces
vaisseaux
sont entourés chacun d'une gaine très mince et tr
l est constitué par du tissu conjonctif, de la substance grise et des
vaisseaux
capillaires entourant une petite cavité centrale,
de diamètre (cellules volumineuses de la volition). c. Névroglie,
vaisseaux
capillaires et myélocytes. Fig. II. — Substance
nt formées de cellules arrondies, disséminées dans la névroglie. b.
Vaisseaux
capillaires nombreux dans cette région. c. Fais
taire ou de Schneider) ; elle est sillonnée d'un très riche réseau de
vaisseaux
et de filets nerveux. Le squelette de cette clois
uée par de la substance grise à la surface, du tissu connectif et des
vaisseaux
à l'intérieur. Elle repose sur les tubercules qua
ou par les muscles striés, dans les membres, les viscères ou les
vaisseaux
, « retournant ainsi, sous des formes plus éléme
toute espèce d'impression sensible pro- voquent une contraction des
vaisseaux
de l'avant-bras et une augmentation d'afflux du
Pour lui, la cellule cérébrale doit flotter dans une atmosphère de
vaisseaux
. les uns allérents et les autres efférents. Qua
ue du système nerveux, artérite des artères de la peau. Ce sont les
vaisseaux
qui jouent le rôle principal; ce sont eux qui s
à la formation de cellules géantes qui, à leur tour, engendrent des
vaisseaux
de nouvelle formation. On sait, en effet, que l
'espace cndol) mphatique en question ne contient normalement pas de
vaisseaux
. Quand les microorga- nismes arrivent en masse
érieur de l'insertion oplico-pupillaire que l'on trouve de nombreux
vaisseaux
à parois plus ou moins épaisses dont la lumière
e grise, ni dans le nombre des grandes cellules, ni dans l'état des
vaisseaux
. Sous ce rapport, l'autopsie si remarquablement
elles c'est par l'intermédiaire d'artérites et de périartérite, des
vaisseaux
, surtout des petits capillaires de l'encéphale, q
s des nerfs, notamment du nerf optique ; 2° Le plomb agit sur les
vaisseaux
de l'encéphale (artérites avec leurs conséquenc
et stellaires) de la névroglie et leurs rap- ports intimes avec les
vaisseaux
; 7° La névroglie et les vaisseaux du bulbe et
rs rap- ports intimes avec les vaisseaux ; 7° La névroglie et les
vaisseaux
du bulbe et de la moelle. En anatomie pathologi
e ascendante, du lobe occipital et des tempo- rales des deux côtés.
Vaisseaux
à parois épaissies, irrégulières, en zigzags. P
llules de la né- vroglie et des éléments anatomiques des parois des
vaisseaux
, à l'organisation d'un tissu conjonctif; à cett
postérieurs et des cordons antérieurs. Infiltration des parois des
vaisseaux
; recoquillement des grosses cellules nerveuses.
l'artère avait été perforée; il réséqua le morceau correspondant du
vaisseau
. Les nerfs en question étaient intacts, sauf à
ophié. La pie-mère n'est adhérente qu'au niveau de la tumeur. Les
vaisseaux
de la base ne présentent rien de particulier. Les
nsuffisant ne peut dépendre que du rétrécissement de la lumière des
vaisseaux
, c'est-à-dire du spasme primitif des vaso-const
les conditions indispensables pour déterminer un rétrécissement des
vaisseaux
et consécutivement, une diminution de la nutritio
s générales et aux maladies du poumon, de la plèvre du coeur et des
vaisseaux
, et nous tenons surtout à insister ici sur les
se au moyen du cautère actuel. « Malgré l'oblitération complète des
vaisseaux
superficiels, disent-ils, ainsi obtenue nous n'
ade on observait des phénomènes d hypertonie et de dilatation des
vaisseaux
, ce qui laisse incertaine la question de prédomin
étion de l' - à la suite de bains faradiques, par Loeln, 284. .
Vaisseaux
(mouvements des) par Buchl : liardt, 282. Veh
tratum anatomique de graves lésions cérébrales (oblitération des
vaisseaux
), la claudication procède à l'oblitération des ar
yau lenticulaire la dégénérescence hyaline de Flechsig; le long des
vaisseaux
existaient des chapelets de corpuscules ronds,
tère qui saigne notablement. Une pince hémostatique est mise sur ce
vaisseau
. L'injection est faite dans la veine axillaire
élait pas d'autres altérations pathologiques, qu'une congestion des
vaisseaux
corticaux ; l'écorce était amincie de moitié. C
s les idées. Mort. - Autopsie. Epaississement de la pie-mère et des
vaisseaux
cérébraux; épendymite. Atrophie des cornes anté
de quelques fibres dans les muscles atrophiés, grave altération des
vaisseaux
sur le plancher du qua- trième ventricule, dégé
prognathisme et l'asymétrie palatine. La compression permanente des
vaisseaux
englobés dans la région, a déterminé en même te
jà épaissie; on voit de belles cellules-araignées par groupes ; les
vaisseaux
commencent à être touchés. Mais en réalité, c'est
ans la moelle de l'inflammation méningée, des exsudats le long* des
vaisseaux
et de leurs gaines, de l'hyperplasie de la névr
é par l'autopsie; pachyméningite, altérations de la pie-mère et des
vaisseaux
, notamment de la sylvienne, dilatation du ventri-
e des faisceaux blancs. Au point de vue des lésions cérébrales, les
vaisseaux
sont peu enflammés, les gaines vasculaires très
t sous les yeux le résultat de réplétions fréquentes prolougées des
vaisseaux
, de congestions répétées, n'ayant que peu retenti
morrhagie de la méningée moyenne, je fais de suite la ligature du
vaisseau
au moyen d'une aiguille courbe. C'est toujours de
pinces et on examine soigneusement la plaie qui ne contient pas de
vaisseaux
qui cou- lent. On arrête ordinairement l'hémorr
de ces sources, puisque la plupart des hémorrhagies proviennent des
vaisseaux
divisés du cuir chevelu. Les inspirations de Wy
au en cas de migraine) puisse provo- quer le réflexe moteur sur les
vaisseaux
des organes de la vision. Cette explication pou
e siège des troubles circulatoires (contraction ou dilatation des
vaisseaux
) se trouve dans la rétine ou le nerf optique. D
aient vu (et plus tard Galezowski l'aurait confirmé), le spasme des
vaisseaux
du fond de l'oeil pendant l'accès de scotôme sc
vateurs, comme Mollendorf, qui aurait constaté la dilatation de ces
vaisseaux
pendant les crises; d'autres encore, plus nombr
que l'affection puisse quelque- fois être accompagnée de spasme des
vaisseaux
rétiniens, ce spasme n'est pas forcément la cot
salgie de Piorry, l'anesthésie de la rétine par la conslriclion des
vaisseaux
dans une partie du fond de l'oeil (Brewster et
riel (Pembester Peake), suivi plus tard par la dilatation des mêmes
vaisseaux
(artère temporale, carotide et artères rétinien
probablement circulatoire (anémie tempo- raire, suite de spasme des
vaisseaux
sylviens), doit intéresser l'une ou l'autre, ou
- seaux de la tète, tels que l'artère temporale, la carotide, les
vaisseaux
du fond de l'oeil. L'observation de Hilbert est p
436 . CLINIQUE NERVEUSE. Nous savons, en effet, que le spasme des
vaisseaux
ne pourrait pas se prolonger, puisque à l'irrit
amylacés et de cellules granulo-graisseuses, la dégénérescence des
vaisseaux
sont constants et d'importance subordonnée. C
ent ni anomalies, ni lésions patho- logiques ; le coeur et les gros
vaisseaux
sont normaux ; dans les poumons s'étale une bro
deux os ont leurs con- nexions habituelles ; quant aux muscles, aux
vaisseaux
et aux nerfs ils se sont adaptes de la façon su
scapulaire; PP, petit pectoral; SC\i, sterno-cléido-mastoïdien; V, N,
vaisseaux
et nerfs; TG, tête glénoïde. AMÉLIE 25 Les
ien; V, N, vaisseaux et nerfs; TG, tête glénoïde. AMÉLIE 25 Les
vaisseaux
et nerfs axillaires, très réduits de volume, s'ép
ntifique, que si un examen minutieux de leurs appareils géné- raux,
vaisseaux
et système nerveux, apporte quelque notion nouvel
, enveloppés dans du tissu cellulo-adipeux, un muscle, un nerf, des
vaisseaux
. Il était dès lors difficile en présence d'orga
cellulaire. Ce sarcome est très largement irrigué, parcouru par des
vaisseaux
à si- nuosités nombreuses, uniquement constitué
a lésion cérébrale proprement dite. C'est une lésion mécanique. Les
vaisseaux
qui circulent dans cette partie de la substance
me. Cette multiplication d'éléments,qui se retrouve sur de nombreux
vaisseaux
de la surface de l'écorce, n'est-elle pas une p
nte à la fois des lésions du tissu conjonctif, du parenchyme et des
vaisseaux
. On note une sclérose légère, a point de départ
général. Les glomérules sont peu atteints. L'endartérite des petits
vaisseaux
est accentuée. Le corps thyroïde est le siège d
ement mais nette- ment épaissie surtout il sa face postérieure. Les
vaisseaux
, artères particuliè- rement sont le siège de pé
cen- tuation change d'une façon irrégulière suivant les coupes. Les
vaisseaux
sont congestionnés. En ce qui concerne la moe
anifeste, c'est que la sclérose a toujours pour point de départ les
vaisseaux
. C'est autour des vais- seaux qu'elle débute, r
myéline avoisinante. Les épaississements conjonctifs parallèles aux
vaisseaux
coupés en long représentent des travées fibreus
souvent restent isolées. Ils forment des couches concentriques aux
vaisseaux
coupés transversalement. Les cylin- dres-axes,
alisée à leur niveau, la sclérose a toujours son maximum autour des
vaisseaux
. Quelle est la signification de ces lésions ? L
ire cutané normal, étudié par Manchot (1), ni avec la direction des
vaisseaux
lymphatiques, malgré l'avis de Heller. On ne pe
éléments histologiques constitutifs de la peau, dé- veloppement des
vaisseaux
, des glandes, des^oies lymphatiques (Heller). I
pertrophie de divers éléments cutanés, crêtesépithéliales,pigmen t,
vaisseaux
, glandes...; on conçoit que l'excitation anormale
col, parce qu'il y a une émonctoire accompagnée de plusieurs grands
vaisseaux
, par lesquels sortent plusieurs humidités super
ené une congestion des tissus et une hypertrophie correspondant aux
vaisseaux
pa- ralysés ; pour eux tout le désordre est con
atoire, on ne trouve aucune anomalie, ni dans le coeur, ni dans les
vaisseaux
. MARCHE DE la maladie. A partir du moment de so
ne ou de l'essence d'absin- the. On les trépane et l'on observe les
vaisseaux
de la pie-mère; on mesure en même temps la pres
a paupière inférieure avec coloration porcelainée; dilata- tion des
vaisseaux
avec élévation de la température; tous accidents
ents des parois vasculaires, ni accumulation de cellules autour des
vaisseaux
, ni multiplication, ni néoplasie de la substance
breux organites sphé- riques très réfringents, disposés le long des
vaisseaux
, qui résistent énergiquement aux matières color
arties : myéline, cylindre- axe, gaine et noyaux. Au contraire, les
vaisseaux
sont presque tous plus ou moins altérés, soit q
eur couche interne soit hypertrophiée et rétrécisse la lu- mière du
vaisseau
arrivant dans certains cas à l'oblitérer presque
ns cas à l'oblitérer presque complètement. L'endothélium des petits
vaisseaux
est hypertro- phié. Il existe, d'une façon géné
ulaires qui persistent dans le champ du microscope. Les lésions des
vaisseaux
"sont également plus prononcées. Il est à not
NERVEUSE. merlin ? et que ces auteurs les considéraient comme des
vaisseaux
oblitérés, opinion que lui-même ne partage pas. I
t, à l'origine, des cellules spéciales qui apparaissent le long des
vaisseaux
sanguins. Une cellule adi- peuse représente, en
lation se serait bien vite rétablie dans une région aussi riche en
vaisseaux
que la lèvre. Les suites de l'accident furent s
racines antérieures; dégénérescence hyaline de la paroi des petits
vaisseaux
, récentes hémorrhagies punctiformes dans la sub
de néo-mem- branes vasculaires, rupture consécutive de ces nouveaux
vaisseaux
et hémorrhagie. ' L'auteur pense au contraire
pro- bable que, dans la majorité des cas, elle provient des petits
vaisseaux
de la pie-mère qui occupent les sommets des cir
de la pie-mère qui occupent les sommets des circonvolutions. Ces
vaisseaux
ainsi situés pourront se rompre directement et à
breuses. Intégrité, par contre, du tube digestif, de la vessie, des
vaisseaux
sanguins. Digestion normale, matières fécales s
sur le, ventre; urines normales; conserva- tion de la tonicité des
vaisseaux
. Une excitation des tissus cicatri- ciels au ni
vasculaires relativement étendus, il se produit une contracture des
vaisseaux
pendant l'angoisse des mélancoliques. D'autre p
de la thérapeutique ont montré que le nitrite d'amyle dilate les
vaisseaux
et fait baisser la pression du sang ; la clinique
e. Il est donc rationnel d'attribuer l'anxiété à la contracture des
vaisseaux
qui se traduit par l'augmentation de la pressio
rote ; il provient d'une extrême tension de la paroi vasculaire, le
vaisseau
n'admettant plus qu'une petite ondée san- guine
ropos d'un cas où les lésions des fibres étaient nettes, celles des
vaisseaux
et des méninges importantes, mais où malgré l'i
érable de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I l î
vaisseaux
gorgés de globules rouges, entourés d'une hyperdi
s globules blancs serrés les uns contre les autres au voisinage des
vaisseaux
infiltraient en masses considérables tous les e
e des membres provoquant les accès, démontre la faible tonicité des
vaisseaux
sanguins qui se révèle dans les tracés plé- tis
ratoires. Ces tracés indiqueraient, en outre, une hyperesthésie des
vaisseaux
ou des tissus limitrophes dont l'irritation pro
survenue un an plus tard, en nous révélant la dégénérescence des
vaisseaux
, vient encore plaider en faveur de l'étiologie sy
5c lombaires. 11 y avait une- - énorme infiltration des parois des
vaisseaux
par des cellules ron- des : Les cornes antérieu
égénération des principaux nerfs périphériques, avec dilatation des
vaisseaux
sanguins dans la moelle et autour d'elle. Métho
cette lymphacytose prend naissance par lésion de l'endothelium des
vaisseaux
qui rompent au fond des sillons des hémisphères
au fond des sillons des hémisphères et par lésion endothéliale des
vaisseaux
sous-épithé- liaux de l'épendyme. Ce signe de d
couvrit une dégénération des cel- lules des cornes antérieures. Les
vaisseaux
sanguins de la moelle étaient légèrement altéré
i l'altération débute par la névroglie, par les cellules ou par les
vaisseaux
? A quoi bon tant d'efforts que devait couronne
la pression artérielle, dues à l'action de l'agent toxique sur les
vaisseaux
. l ? 0t : tW'PlwlÚ..e est un symptôme e très im
es altérées sont en plus grand nombre et plus gravement lésées. Les
vaisseaux
sont gorgés de globules rouges qui ne sortent j
vaisseaux sont gorgés de globules rouges qui ne sortent jamais des
vaisseaux
et ne font pas de véri- tables hémorrhagies. Da
ocessus secondaire de réaction contre les lésions cellulaires . Les
vaisseaux
et la névrogliese mon- trent normaux, ce qui ne
ssive de l'élément nerveux donne la phase de collapsus. Coeu1' et
vaisseaux
. - Briand indique une coloration spéciale de la
dans un cas de délire aigu des embolië"s*"de ? microcoques dans les
vaisseaux
du cer- veau. Pour pilzka, le délire aigu est u
épaissis et dégénérés. S'il y a eu périvascularité, les parois des
vaisseaux
lymphathiques restent épaissis et opaques, et les
emment rétrécies. S'il n'y a pas eu de lésions périvasculaires, les
vaisseaux
sanguins, plus particu- lièrement les artériels
ux ? le délai est variable : les altérations et dégénérescences des
vaisseaux
se montrent ordinairement après cinq à douze an
qui sépare en deux ordres de lésions. Il étudie ensuite l'état des
vaisseaux
dans la syphilis du cerveau : toute cette partie
de l'auteur sur ce fait rare se résument ainsi : l'état curieux des
vaisseaux
de la pie-mère, observé dans le cas actuel et d
aient en état de dégénérescence granulo- graisseuse. Les parois des
vaisseaux
étaient épaissies. L'auteur donne ici le détail
s isolément çà et là, dans les espaces conjonctifs, ou autour des
vaisseaux
assez dilatés et souvent gorgés de sang. Bref,
ès difficile de pré- ciser si c'est par la libre nerveus ou par les
vaisseaux
que débutent les lésions, ou si ces deux élémen
factive ou d'une compression exercée par du sang épanché de quelque
vaisseau
sangum accidentellement lésé. L'olfaction se mo
de l'affection pre- mière permettent de supposer une altération des
vaisseaux
du cer- veau suivie d'hémorrhagie. En effet, tr
Il est à penser qu'il s'agissait d'une altération syphilitique des
vaisseaux
: certains d'entre eux se thrombosaient, d'où des
té d'origine névroglique, mais seulement de fentes comblées par des
vaisseaux
et du tissu conjonctif et qui avaient en certai
ne épi- lepsie sympathique ce qui a son siège dans le système des
vaisseaux
blancs », épilepsie à laquelle seraient prédispos
ine. Les nerfs optiques sont atrophiés, de couleur grisâtre, et les
vaisseaux
tant artériels que veineux sont notable- ment d
ssoires (intoxi- cations d'origine exo ou endogène, altérations des
vaisseaux
, foyers cérébraux, etc...) occupent une place r
ues et font une légère saillie globuleuse en avant sur laquelle les
vaisseaux
s'éten- dent, en l'embrassant, comme des pattes
u plutôt gris rosé, mais les bords en sont assez nets et l'état des
vaisseaux
est normal. Nous croyons à une disposition norm
ande, pour agir, soit intacte et dans ses rapports normaux avec les
vaisseaux
sanguins, son extrait suffit à assurer la fonct
énérescence simultanée des fibres nerveuses, de la névroglie et des
vaisseaux
. Un des points les plus remarquables est la pré
bien ceci, les branches les plus étroitement en rapport avec les
vaisseaux
axillaires qni ont été le plus atteint par le néo
érus, ceux de l'estomac, du rein, par la richesse de ces organes en
vaisseaux
lymphatiques prédisposent entre tous aux métast
avec le cancer pri- mitif qui leur a donné naissance, soit avec des
vaisseaux
ou des ganglions lymphatiques nettement envahis
nettement l'origine du processus. Le tissu néoplasique, émané des
vaisseaux
lymphaliques prévertébraux, rencontrait la r21n
distribution facile du cancer à distance du foyer primitif par les
vaisseaux
et les lymphatiques. Vous connaissez les rappor
gite chronique de la convexité du cerveau, et de la sclérose de ses
vaisseaux
. 11 existe un kyste apoplectique de la pie-mère
un excès de liquide cérébro-spinal, une congestion généralisée des
vaisseaux
x ¡ cérébraux, de la congestion des poumons, du
phiques com- plexes occasionnés par des altérations matérielles des
vaisseaux
. J. SEGLAS. LXXI. Rotation autour de l'axe lo
iste. Peut être, d'après M. Jaboulay, se fait-il une anastomose des
vaisseaux
profonds avec les vaisseaux superficiels. Le ca
Jaboulay, se fait-il une anastomose des vaisseaux profonds avec les
vaisseaux
superficiels. Le cas de l'auteur est très favorab
ncienne ; au centre de la plupart d'entre eux se trouvait encore un
vaisseau
altéré, témoin de l'origine vasculaire de la lé
igine vasculaire de la lésion. La méninge paraissait indemne et les
vaisseaux
n'étaient pas entourés de gaines lymphocytiques
ur- tout des grandes cellules pyramidales, de la névroglie et des
vaisseaux
, dans l'épilepsie partielle. Depuis, la théorie d
âleur extrême de la papille du nerf optique. Le spasme artériel des
vaisseaux
de l'écorce cérébrale provoque l'accès par une
épilepsie jacksonienne. L'épilepsie dérive-t-elle d'une névrose des
vaisseaux
sanguins ? Cette né- vrose, en déterminant, un
ient formées d'éléments connectifs; au milieu rampaient de nombreux
vaisseaux
sclérosés, dont la lumière était obstruée par d
éningite de la région lombaire et d'une altération syphilitique des
vaisseaux
, l'autopsie a fait constater l'existence dans l
pas démontré qu'il existechez les mélancoliques une contracture des
vaisseaux
du cerveau, et que ceux-cisoient pa- SOCIÉTÉS S
impuissants à contenir .ou à faciliter le passage du sang dans les
vaisseaux
capil- laires ; de là des irrégularités, des tr
rés. Or, ces sels agissent surtout sur les fibres mus- culaires des
vaisseaux
capillaires ; ils modèrent la circulation. C'es
nt seulement d'éléments de tissu conjonctif avec un petit nombre de
vaisseaux
et ne contiennent aucune trace d'éléments nerve
de l'hyoscine, surtout quand il y a affection du coeur et des 'gros
vaisseaux
; il est meilleur marché que l'hyoscine. L'atropin
ro- dromique s'accompagne à l'ophtalmoscope d'une turgescence des
vaisseaux
papillaires, en même temps que d'hypérémie encéph
répane l'ani- mal, on voit au moment de la crise la turgescence des
vaisseaux
encéphaliques et diploïques correspondre à l'hy
morrhagie sous-dure -mérienne issue du déve- loppcment anormal d'un
vaisseau
du cerveau. Mémoire publié dans le Centrtrlb, f
. Prolifération interstitielle des muscles (tissu conjonctif et ses
vaisseaux
); atro- phie de la plupart des fibres, hypertro
ystéio-h3,pnoLiques dûs au traumatisme; dégénération variqueuse des
vaisseaux
de la pie-mère chez un épileptique. Section d
et qu'après sa disparition, les fibres élastiques contractent les
vaisseaux
et provoquent de cette façon l'anémie et des chan
ormale tant à la lumière qu'à l'accom- modation. Du côté des grands
vaisseaux
de la face et du cou pas de changements apparen
de carbonique produisait une vaso-dila- tation générale de tous les
vaisseaux
du cerveau ; 2° que l'élher éle- vait la pressi
- vait la pression artérielle générale et augmentait le débit des
vaisseaux
cérébraux; 3° que sous l'influence de la morphine
de légères altérations vasculaires (réplétion extraor- dinaire des
vaisseaux
, prolifération des cellules de leurs parois), u
urol. Centralbl., 1890.) Revue des altérations de la névroglie, des
vaisseaux
, des cellules, des fibres nerveuses, des lésion
eux qui se trouvenfle long des tendons, compriment probablement les
vaisseaux
et gênent la circulation dans une certaine limi
les autres éléments enfin ne s'écartaient en rien de l'état normal.
Vaisseaux
dilatés dans le terl'ltoirc-11cs noyaux de l'ab
raisseuse. Les fraîches hémorrhagies capillaires, le gonflement des
vaisseaux
de la moelle allongée doivent être regardés com
Sclérose marquée des fibres qui constituent les rubans de Reil. Les
vaisseaux
bulbaires étaient tortueux, oblitérés par des c
ciel, il s'agissait la d'une véritable encéphalite diffuse; - Les
vaisseaux
cérébraux examinés avec soin n'ont pas présentéd'
enlèvent facilement ; elles présentent par places des opacités. Les
vaisseaux
de la base du cerveau sont normaux. Ventricules
la partie moyenne des couches optiques, on put constater que leurs
vaisseaux
sanguins regorgeaient de sang; en outre le ) lo
beau- coup de ces dernières, ce tissu était ramolli. Les parois des
vaisseaux
étaient un peu épaissies, mais pas plus que dan
n'y avons jamais trouvé rien d'anormal, aucune trace de l'état des
vaisseaux
signalé par Maurice Raynaud dans le cas d'asphyxi
uefois d'amnésie, l'oedème des membres infé- rieurs, la rupture des
vaisseaux
, la paralysie temporaire des membres supérieurs
s nerveuses, une élongation de la moelle et de la pie-mère avec ses
vaisseaux
; ce ne serait que la dure-mère qui se déplacerait
tension mécanique des différentes parties du système nerveux et des
vaisseaux
^ les autres faisaient jouer le rôle principal a
t produire une dilatation et une richesse sanguine plus grandes des
vaisseaux
du cerveau et de ses enveloppes. La même chose de
pas son action sur la dure-mère, et alors elle devait agir sur les
vaisseaux
et amener TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NE
phérique qui venait de recouvrer sa forme primitive, les parois des
vaisseaux
se rapprochaient brusquement, ainsi que le témo
anomètre. La grande rapidité avec laquelle diminuait la lumière des
vaisseaux
montrait que la dilatation n'intéressait, en gr
que la dilatation n'intéressait, en grande partie au moins, que les
vaisseaux
des méninges. S'il en était autrement, si la dila
nges. S'il en était autrement, si la dilatation avait lieu pour les
vaisseaux
des parties profondes, elle serait accompagnée
cérébrale, et, dans ces conditions, la diminution de la lumière des
vaisseaux
se serait effectuée non pas instantanément mais
mène nouveau decause inconnue qui empêchaitle r etraitdesparois des
vaisseaux
. A priori, on devait attribuer ce phénomène à un
dure-mère. Il va sans dire que la dilatation et le regor- gement du
vaisseau
ne pouvaient passer du domaine de l'hypothèse dan
piques nous avons acquis la certitude : 1° qu'il y a dilatation des
vaisseaux
et surtout des capillaires et 2° qu'il se produ
n du cerveau de ce chien montrait une dilatation considé- rable des
vaisseaux
avec hyperhémie et de nombreuses hémorrhagies.
asthénie, probablement due à un spasme`circonscrit et/ passager des
vaisseaux
de l'encéphale. Il importe.de connaître ces REV
e veinules; l'infiltration embryonnaire a amené l'oblité- ration du
vaisseau
. ""f @-1,1 I ? ? & se hiim,, , ;1, .. ;,1. -
toujours une méninge-myélite diffuse avec altérationi constante des
vaisseaux
nourriciers delà moelle, et que le processus anat
delà moelle, et que le processus anatomique débute toujours par les
vaisseaux
? » nt . .» , -3 idj- un. On peut établir deux
us de la pneu- monie de Froe-nk'el.'Pas de microorganismes dans les
vaisseaux
ar- tériels ; quelques-uns dans les veines; dip
parait plutôt dépasser la normale. Dans la substance blanche, les
vaisseaux
offrent les mêmes lésions que dans la substance
me. 2° Par l'acide osmique. On voit dans les cellules et dans les
vaisseaux
de l'écorce, au niveau de la zone sous-méningée,
lui-même qui est troublé dans sa nutrition, les tubes nerveux, les
vaisseaux
et la névroglie ne devenant malades que seconda
ce qui domine dans la moelle épinière, ce sont les altérations des
vaisseaux
, tandis que l'atrophie des cellules nerveuses a
cet organe (de même que toutes les autres variations du volume des
vaisseaux
) peut se faire sans qu'elle soit accompagnée d'
érieure. Dans le faisceau pyramidal croisé et la zone de Gowers les
vaisseaux
présentent des gaines épaissies et les capillai
onstatée plus haut, mais seulement un très léger épaississement des
vaisseaux
de cette région. Dans la région dorso-lombaire
dorso-lombaire on note l'épaississement des mé- ninges et de leurs
vaisseaux
, la sclérose de l'ensemble des cordons postérie
urcissement par l'alcool : les éléments anatomiques sont fixés, les
vaisseaux
sanguins et lympha- tiques le sont aussi à l'ét
myélites conduisit à faire une part importante aux altérations des
vaisseaux
nourriciers de la moelle (Greiff, Rumpf, Moelle
iguës. Elles semblent plus parti- culièrement liées aux lésions des
vaisseaux
nourriciers impor- tants de la moelle. Le trait
njonctives de la pie-mère. Fait de la plus grande importance, les
vaisseaux
nourriciers (artères et veines spinales) sont a
efoule, les comprime (fig. 15) - et l'ischémie par oblitération des
vaisseaux
nourri- ciers spinaux. C'est principalement l
taient pourvues de cellules géantes. ' z . 3° Les altérations des
vaisseaux
nourriciers de la moelle - Fig. 15. Foyer de ?
aire par Siemerling, Godflam, etc.), enfin, d'aboutir dans quelques
vaisseaux
à la formation de foyers gommeux intra-pariétau
illaires; et injectée par la voie artérielle, elle pénètre dans les
vaisseaux
paraépen- dymaires. Adamkiewicz a déjà relevé c
, mais sans dépasser les limites de la papille du nerf optique. Les
vaisseaux
sanguins qui irriguent l'intérieur de la pa- pi
oser l'exis- tence de lésions graves des cellules, des tubes et des
vaisseaux
cérébraux. Dans les cas où l'autopsie a pu êt
l'exophtalmie, irrégulier, unilatéral ? Théorie de compression des
vaisseaux
et des nerfs (Marshal, Taylor, Piorry). Comment
é. - Les noyaux sont augmentés de nombre tant dans les parois des
vaisseaux
que dans le tissu de la substance grise. Région
es qui donnent pas- sage aux fibres radiculaires antérieures et aux
vaisseaux
; la plupart de ces corps semblent contenus dans
HOLOGIE EXPÉRIMENTALE. dispersés dans le voisinage. -Les parois des
vaisseaux
sanguins qui suivent la fissure longitudinale é
le. Dégénérescence diffuse des cordons pos- térieurs ; sclérose des
vaisseaux
, corpusculesamyloïdes. Le même tableau se retro
que lentement et incomplètement (persistance de la contraction des
vaisseaux
profonds). Conclusion : Chez l'homme sain, les
se comportent de façons opposées relativement à leur action sur les
vaisseaux
. Le courant faradique dilate les vaisseaux spasmo
nt à leur action sur les vaisseaux. Le courant faradique dilate les
vaisseaux
spasmodique- ment contractés ; inversement le c
c'est dans les ganglions spinaux qu'elle est le moins accusée. Les
vaisseaux
capillaires gorgés d'hématies présentent la dia
t les lésions macroscopiques et mi- cl'oscopiques des méninges, des
vaisseaux
et de la substance cérébrale, qui ont été le pl
rétine' ne constitue pas tout le globe oculaire, que celui-ci a, ses
vaisseaux
propres, etque)abib)iograpbio'nec'outient'pas d
stincts. Quand l'atrophie existait depuis un temps' assez long, les
vaisseaux
se trouvaient très larges dans les orgues en qu
eloppement et embrassent une plus grande quantité d'élé- ments. Les
vaisseaux
semblent être très développés et leurs parois é
ements s'étendent entre les éléments nerveux. c) En examinant les
vaisseaux
, nous voyons souvent DES FAUSSES SCLEROSES DE L
laquelle on voit clairement des fibres oblongues. d) Près de ces
vaisseaux
changés d'une manière pareille, nous rencontron
ise, nous trouvons aussi les changements décrits plus haut dans les
vaisseaux
et un développement des cellules-araignées. En
- mère et un développement exagéré du tissu conjonctif autour des
vaisseaux
. Tout cela mène à la conclusion qu'ici il s'agi
cellules, conservation des noyaux. Dans les premiers stades, les
vaisseaux
, rarement en état d'hypergenèse nucléaire, pré-
rose de la corne d'Ammon ', dégénérescence grais- seuse étendue des
vaisseaux
, thromboses hyalines, dégénéres- cence hyaline
euxième exemple : une femme atteinte de contraction spasmodique des
vaisseaux
cutanés (asphyxie locale) voit son mal s'aggrav
nnée à la résorption interstitielle; il doit en outre se former des
vaisseaux
nouveaux et même de nouveaux éléments nerveux.
rate pour l'opposer, avec celle d'autres organes, à celle des gros
vaisseaux
(p. 201) ; j'ai en- suite (p. 203) comparé son
plaque des cellules nerveuses ; leur enchâsse- ment dans les petits
vaisseaux
ou l'obstruction des vaisseaux plus gros, par u
leur enchâsse- ment dans les petits vaisseaux ou l'obstruction des
vaisseaux
plus gros, par un mécanisme analogue, rendrait
plus étendu et des caillots placés de facon à n'obstruer qu'un seul
vaisseau
au- ront des effets bien moins marqués que ceux
bien moins marqués que ceux qui, en bouchant complètement plusieurs
vaisseaux
, empêchent brusquement et complètement l'afflux
té remarquable de tous les viscères, notamment du coeur et des gros
vaisseaux
. Ch. BONNE. VIII. -Zur Aetiologie der progres
trapèze et le scaphoï- de, les muscles qui s'insèrent à ces os, les
vaisseaux
et les nerfs qui s'y rapportent, semblent const
ent pas la vitalité de la cellule, et ce à cause de l'intégrité des
vaisseaux
qui assurent un drainage facile des toxines ; cet
intensité variable ; elles se portent principalement sur les petits
vaisseaux
et les capillaires de l'écorce. Certains symp-
opiques : Artérite et phlébite obli- térante. Obturation des petits
vaisseaux
et des capillaires par des thrombus hyalins. Dé
ragies capillaires. Infiltration des gaines lymphatiques des petits
vaisseaux
de l'écorce des lymphocytes, des plasmazellen.
nato- mique ; il consiste en phénomènes de gliose, en lésions des
vaisseaux
sanguins et lymphatiques, en action phagocy- ta
e notre conscience, la digestion, la cir- culation du sang dans les
vaisseaux
.C'est le problème qui se pose à propos de la co
esure que les convul- sions cloniques augmentent d'intensité et ces
vaisseaux
sont aug- mentés de deux ou trois fois leur vol
mence à augmenter de volume aussitôt que commence la dilatation des
vaisseaux
cérébraux après la rupture du circuit. Et à mes
aisseaux cérébraux après la rupture du circuit. Et à mesure que les
vaisseaux
cérébraux se dilatent progressivement pendant q
en résulte la formation de véritables em- bolies gazeuses dans -les
vaisseaux
artériels. Ces embolies seraient constituées ex
mécanisme hémor- rhagique, dégagement brusque du gaz au niveau des
vaisseaux
médullaires créant ainsi des ruptures vasculair
aires. Il existe enfin une infiltration considérable des parois des
vaisseaux
par des granulations pigmentaires de nature encor
yéliniques, les fibrilles, les fibres et cellules névrogliques, les
vaisseaux
, mais surtout les cellu- les nerveuses toutes g
xamen histologique du cerveau et du bulbe resta négatif ; seuls les
vaisseaux
du bulbe 378 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
oyau volumineux et fortement basophile. siégeant surtout autour des
vaisseaux
, mais formant aussi des anneaux autour des fibres
i. Sous l'épithélium épendymaire normal du plancher nous voyons les
vaisseaux
très élargis avec les parois un peu épaissies.
le la moelle est nor- male, excepté un très grand développement des
vaisseaux
. Au niveau de l'ouverture, où la moelle épinièr
de fibres myéliniques. Au centre de ce triangle, il y a beaucoup de
vaisseaux
. Plus haut la moelle épinière est comprimée enc
opisie, nous avons dit plus haut, dans quel degré sont atteints les
vaisseaux
sous l'épendyme. A un faible grossissement on e
règle que plus le système nerveux est déformé, plus la quantité des
vaisseaux
nouveaux est augmentée. Enfin, en approchant de
rochant de ..la partie cervicale nous rencontrons déplus en plus de
vaisseaux
, et là où la moelle se termine, elle est toute
isseaux, et là où la moelle se termine, elle est toute infiltrée de
vaisseaux
; enfin quel- quefois l'encéphale, à la place d
u crâne est cou- verte d'une tumeur vasculeuse. Ce changement des
vaisseaux
par le fait de l'artérite chronique existe plus
e plus ou moins altérés qui ont encore échappé à la sclérose. Les
vaisseaux
des régions du muscle complètement sclérosés sont
ce des fibres musculaires dégénérées, l'irrigation est moindre, les
vaisseaux
ont une lumière centrale étroite; leur gaine ex
rmales et égales des deux côtés. Dans les méninges et le long des
vaisseaux
, surtout dans les faisceaux latéraux et les rac
tites gommes demeurent bien circonscrites au voisinage immédiat des
vaisseaux
. B. Région dorsale inférieure. 1) Par les col
épon- dent à rien de visible par les colorations myéliniques. Les
vaisseaux
radiculaires postérieurs ont une paroi très épais
à gauche qu'à droite. Autour de l'épendyme, il existe autour des
vaisseaux
, une zone assez étendue de la commissure grise
ulle part. Les méninges sont cependant un peu épaissies et quelques
vaisseaux
sont atteints de périarthrite, mais d'une façon
nombreuses que normalement. Fibres profondes saines. - , Quelques
vaisseaux
présentent de petites hémorrhagies dans leur gain
2<' Musculo-cutané. 3° Radial. 4" Muscles péri-scapulaires.
Vaisseaux
. Le pouls radical est moins fort à droite; il est
lieu duquel se trouvent quelques ilots conjonctifs des nerfs et des
vaisseaux
. Dans le segment où se trouvent encore quelques
grand nombre de noyaux entourant ces fibres en voie d'atrophie. Les
vaisseaux
sont épaissis, entou- rés d'un cercle de tissu
nes, dit ce dernier, le sang menstruel ne s'écoule, à cause que les
vaisseaux
, à scavoir veines et artères sont angus- tes et
la striation, sont les derniers vestiges de l'élément noble. Les
vaisseaux
intra-musculaires sont le siège d'une sclérose pé
organique constatable à l'auscultation ; il n'y a rien du côté des
vaisseaux
, le pouls bat 80 pulsations, la radiale est soupl
▲