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1 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
ie, il est de règle que la leucine et la tyro-sine se montrent dans l' urine en même temps que l'urée y fait défaut ou n'y est
ont pour effet de faire passer la matière colorante de la bile dans l' urine , où les ré-actifs la mettent en évidence; tels so
firme du moins — le passage de la matière colorante biliaire dans les urines , il n'en est plus de même quand l'hé- (1) Voir
n, p. 258, etc. moglobine dissoute est injectée dans l'intestin : l' urine , en pareille circonstance, offre toujours la réac
n, elle se transforme en partie en me substance qu'on retrouve dans l' urine et qu'on a dénom-mée urochrome. Cette relation en
sans quelques difficul-tés pratiques, d'obtenir cette réaction avec l' urine des icté-rîques Dans l'ictère le plus vulgaire, o
cté-rîques Dans l'ictère le plus vulgaire, on peut obtenir dans les urines la réaction de Petlenkofer. M. Hoppe Seyler, en 1
e, dans l'ictère le plus simple, les acides bi-liaires passent dans l' urine en même temps que la matière colorante. e) Où s
l'on en juge par l'importance justement accordée aux altérations de l' urine dans la pathologie rénale, l'étude cor-respondant
ifiques, 1867, p. 74. II. altérations physiques ou chimiques de l' urine traduisent fré-quemment l'état anatomique des rei
e difficultés que le clinicien ne rencontre pas lorsqu'il s'agit de l' urine . On peut se pro-curer l'urine presque à volonté,
ne rencontre pas lorsqu'il s'agit de l'urine. On peut se pro-curer l' urine presque à volonté, pendant la vie des malades ; l
ù le sang en contient 3 sur 1000; pour que le sucre apparaisse dans l' urine , il faut qu'il y en ait dans le sang 4 sur 1000 (
it les importantes ob-servations de Frericbs sur les altérations de l' urine dans l'atrophie jaune aiguë du foie, qu'on s'est
Prévost et Dumas (1). « Tous les chimistes savent, disent-ils, que l' urine des malades affligés d'hépatite chronique, contie
urcroy et Vauquelin avaient déjà annoncé (1806) que, dans l'ictère, l' urine peut contenir une forte pro-portion d'urée. (1)
a écrit, mais sans preuves bien régulières, que l'urée diminue dans l' urine des malades atteints d'hépatite chronique [Rose,
ves, parce qu'ils ont opéré sur de simples échantil-lons et non sur l' urine des 24 heures. Aujourd'hui, nous possédons à ce
rvation qui a été prise dans le service de M. Bucquoy, l'analyse de l' urine a été faite par M. Byasson. Le chiffre de l'urée,
inution des sulfates et des phosphates, et par l'apparition, dans les urines concentrées, de la leucine et delà tyrosine en fo
ases of Liver, p. 231. Fig, 17. — Tyrosine. Fig. 18. — Leucine. l' urine recueillie durant la vie et se retrouver cependan
ichs, ainsi queje viens de le relever, semble consi-dérer l'état de l' urine qui vient d'être indiqué, comme parti-culièrement
é en même temps que la leucine et la tyrosine apparaissaient dans les urines . On retrouva après la mort ces mêmes substances,
ions hépatiques dans lesquels l'urée diminue tem-porairement dans les urines en même temps que la leucine et la tyrosine y app
'on l'a cherchée, la présence de la leucine et de latyrosine dans les urines . Comment interpréter ce fait? En me fondant sur
ucine et la tyrosine, lesquelles passent en dernière analyse dans les urines . Cette intéressante observation n'est pas isolé
Goutte consécutive aux lésions du foie. — De l'acide urique dans les urines . — Gravelle urique. Du glycogène et de la fonct
s profonde, soit aisément démontrable. La présence fréquente dans les urines de sédiments d'acide uri-que cristallisé ou d'ura
d'urates amorphes, ou d'un dépôt d'acide urique cristallin, dans les urines , peu de temps après l'émission, ne saurait prouve
ue l'excrétion de cet acide est augmentée d'une ma-nière absolue. Des urines chargées de semblables dépôts peu-vent, en réalit
sous du taux normal. L'oligurie fébrile, un haut degré d'aci-dité des urines , tel qu'on le rencontre, par exemple, dans cer-ta
arles travaux de Bence Jones et ceux plus récents de Bartels, que des urines qui ont conservé leur transparence, même longtemp
. Par conséquent, une analyse méthodique portant sur la otalité des urines , rendues dans les vingt-quatre heures, permettr
ujets non goutteux, qui rendaient habituellement, en même temps que l' urine , des petits cristaux ou des concré-tions plus ou
veloppe au sein même des voies urinaires, une fermentation acide de l' urine analogue à celle que subit ce liquide, dans les c
ipitation de la presque totalité de l'acide uri-que contenue dans les urines . Quoi qu'il en soit, on ne saurait nier que la
ait jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire ; les urines ne renfermaient pas trace d'albumine. Il faut san
aires, traduites par J. Patron. Paris, 1845, p. 251, 278. —Parkes, On urine . London 1860, p. 218. —Ranke, Ausscheidung der Ha
glycose dans la veine jugulaire d'un animal, le sucre passe dans les urines . Si, au contraire, le sucre est injecté par la ve
la veine porte, il est arrêté par le foie et n'apparaît pas dans les urines . Ces expériences ont été ré-cemment répétées et c
ls le sucre en proportion notable apparaissait régulièrement dans les urines pendant la période de digestion des féculents, re
Cette dernière substance, qui existe en très faible proportion dans l' urine , concourt cependant pour la plus grande part, à l
a ligature du cholédoque de déterminer l'apparition du sucre dans les urines (1). Par suite de la persistance de l'obstacle
Hardy avait, pendant la vie, rencontré ces mêmes substances dans les urines . Une observation de M. Hayem, présentée récemme
e qui se compliquent de fièvre hépatique. — Rôle des altérations de l' urine et de celles de la bile. Messieurs, Je vais c
ce qui a lieu dans l'accès de fièvre légitime — et la présence dans l' urine de la leucine et de la tyrosine. Je ferai remarqu
des voies urinaires capable d'apporter un obstacle à l'émission de l' urine : rétrécissement uréthral, hypertrophie de la pro
ultant d'une lésion de la moelle épinière, etc., et chez lesquels les urines sont sou-vent altérées. L'accès fébrile, qui, e
uréthral, de l'hypertrophie prostatique, de la paralysie vésicale, l' urine n'est évacuée que d'une façon incomplète; elle es
pelle l'angiocholite et dont les produits sont incessamment mêlés à l' urine . Celle-ci est toujours alcaline, d'odeur ammoniac
line, d'odeur ammoniacale, fétide et, en somme, cette altération de l' urine paraît être dans l'espèce, un élément constant.
cieux. L'introduction delà sonde dans la vessie don-nait issue à de l' urine fétide, ammoniacale. comme un des éléments de l
raient en conséquence d'une sorte d'infection locale, au contact de l' urine altérée qui stagne dans toute l'étendue des voies
est-il, pour en revenir à la fièvre uréthrale, que l'altération de l' urine paraît ici, comme l'altération de la bile dans le
atteints de fièvre uro-septique. En quoi consiste l'altération de l' urine , cause des accidents fébriles? On ne le sait pas
On ne le sait pas au juste, mais très certainement, la fétidité de l' urine n'est pas, tant s'en faut, toujours accom-pagnée
e que, dans des circonstances qui restent à déterminer, il y a dans l' urine altérée formation d'un poison morbide particu-lie
ns directe-ment aux troubles de ces fonctions, c'est l'altération des urines qui sont très chargées de matières colorantes et
qui concerne les urates, d'un simple phé-nomène de concentration des urines ? on l'ignore. Je ne crois pas que le dosage ait é
rois pas que le dosage ait été régulièrement établi par l'analyse des urines recueillies pendant 24 heures. Relativement à la
éphrite albumineuse, par la seule constatation de l'albumine dans les urines . En effet, toutes les fois qu'il y a ascite, ains
s veines rénales peut avoir pour conséquence de faire passer dans les urines une certaine quantité d'albumine qui disparaît lo
fet, quand on lie un uretère, de manière à produire la rétention de l' urine dans le rein, il se produit un œdème rénal; le li
ndigo, par exemple, dans les espaces lym-phatiques, très rapidement l' urine devient bleue. Or, on ne saurait admettre, quant
ont être utilisées par la suite. Les produits dits spécifiques de l' urine , tels que l'urée et l'acide urique, préexistent d
ant Ludwig, le glomérule serait la pièce la plus impor-tante; toute l' urine serait là, sécrétée avec les principes es-sentiel
nimal une solution très peu concentrée de sulfate d'indigo sodique, l' urine et le rein ne tarderont pas à présenter une color
nabsonderung.iPflïi-ger's An-hiv, 9 Bd. p. 1 1874. éliminée par les urines . Or, remarquez qu'il y a la plus grande analogie
à l'égard de l'urée ou de l'acide urique, principes spécifiques de l' urine . Cette analogie est le fil conducteur qui a dir
eiden-hain dans ses recherches. Dans la sécrétion du bleu d'indigo, l' urine n'est pas seule colorée ; les différentes parties
rai, comme l'assure Ludwig, que la sécrétion des divers éléments de l' urine (eau et principes spécifiques), se fit en même te
permettent de supprimer ainsi la sécrétion des parties aqueuses de l' urine : l'un d'eux consiste à dimi-nuer la pression art
on observe : il n'arrive pas dans la vessie la plus petite quantité d' urine , mais la matière colorante passe cependant dans
s descendantes ou grêles, dans les canaux collecteurs et enfin dans l' urine . C'est ce qui fait que, à un moment donné qui sui
animal, toute la matière colorante entraînée par l'eau passant dans l' urine . Les autres expériences de M. Heidenhain ne son
tiquer la ligature de l'uretère. Au bout d'un jour, la sécrétion de l' urine est complètement suppri-mée ; si alors on injecte
colorante est indé-pendante delà sécrétion de la partie aqueuse de l' urine , où tout au moins que la matière colorante n'entr
conséquence, avoir d'autre rôle que de fournir la partie aqueuse de l' urine . La sécrétion des principes spécifiques de l'ur
tie aqueuse de l'urine. La sécrétion des principes spécifiques de l' urine s'opère-t-elle exactement de la même façon que l'
e parcours à tra-vers les canalicules urinifôres, en même temps que l' urine sé-crétée subissait une concentration progressive
rappellent ce qui s'observe à l'état normal chez les oiseaux, dont l' urine solide est, vous le savez, composée en grande par
agéré l'importance que peut avoir la présence de ces cylindres dans l' urine . — Étude de ces cylindres dans le rein, à l'aide
; — dans les tubes contournés. Étude des cylindres urinaires dans l' urine . — Variétés de forme et de volume. — Variétés sui
us ou moins complètement oblitérés par des produits sécrétés avec l' urine , ou qui se sont mêlés à ce liquide dans son parco
hent, en général, aujourd'hui à la recherche de ces cylin-dres dans l' urine : on suppose que, comme ils proviennent des profo
-même, à l'aide des procé-dés anatomiques ; B. Pendant la \ie, dans l' urine . A. L'étude des cylindres dans le rein permet d
nt les seuls qui puissent, suivant toute vraisemblance, passer dans l' urine , à cause du petit calibre de l'anse descendante.
onséquent, on ne doit pas s'at-tendre à les rencontrer souvent dans l' urine . Cette remarque est fort importante et elle enlèv
impor-terait le plus de constater la présence ne passent guère dans l' urine . B. Nous devons actuellement, Messieurs, étudie
s, étudier les cylindres urinaires tels qu'ils se présentent dans les urines , pendant la vie ; on en reconnaît facilement plus
; la présence de ces cylindres, constatée pendant long-temps dans les urines , aurait, d'après Dickinson, une certaine importan
ins altérées, et provenant des tubes urinifères. Leur présence dans l' urine est un fait banal dans certaines maladies aiguës,
s tubes contournés ne peuvent probablement que rarement passer dans l' urine . 2° Les cylindres hyalins peuvent se rencontrer
° Les cylindres hyalins peuvent se rencontrer à l'état nor-mal dans l' urine : indiqué déjà par M. Robin en 1855, ce fait a ét
ment dans les cas d'ictère intense s'accompagnant d'élimination par l' urine des acides biliaires, quelle que fût d'ailleurs l
n des acides biliaires sur le sang ; car Leyden les a observés dans l' urine des animaux dans le sang desquels il avait in-jec
persistance ; constatés pendant longtemps et en grand nombre dans les urines , ils indiquent en général une lésion rénale confi
squ'on les retrouve pendant un certain temps à chaque examen dans une urine abondante et peu albumineuse, ils annoncent sui-v
de Bright peuvent exister sans que l'on trouve de cylindres dans les urines ; ils sont formés dans le rein, mais sont retenus
observé par M. Àckermann (Centralblatt, 1872, p. 602) : l'examen des urines , pendant plusieurs mois, m'avait à aucun moment r
arque, hydropisies dans les parenchymes et les cavités séreuses. — b) Urines plutôt ra-res, souvent troubles, colorées, chargé
s plus de lamoi-tié des cas; souvent il est à peine appréciable. — b) Urines abondantes, au moins dans la première période ; q
l'albuminurie est peu marquée, et peut faire passagèrement défaut ; l' urine contient peu de cylindres. A une époqueavancée ce
te s'il existait, et l'albumine peut se montrer plus abondante dans l' urine . — c) Complications assez fréquentes, elles const
e l'évolution, par la rareté de l'œdème, par certains caractères de l' urine . Les malades présentent souvent une teinte cachec
ujet goutteux, rendant depuis plusieurs années de l'albumine dans ses urines , sans avoir jamais eud'œdèrne, et qui aura succom
n contracté (Néphrite insterstilielle). Sommaire. — Caractères de l' urine : — polyurie, expliquée par l'excès de ten-sion.
qu'on pourrait appeler période d'état, non seulement la quantité des urines n'est pas diminuée, mais encore elle s'élève habi
ppante avec ce qu'on observe dans la néphrite parenchymateuse, où les urines sont toujours plus ou moins rares. Diokinson a ob
uire tout comme dans le gros rein blanc. 2° Un second caractère des urines , dans la néphrite inters-titielle primitive, c'es
le est la raison physiologique de la présence de l'albu-mine dans les urines dans les cas de néphrite interstitielle, et pourq
-lation de la maladie, et c'est à l'occasion de ces accidents que les urines sont examinées pour la première fois. B. — Les
s et s'est hypertrophié ; par suite, l'eau se trouve excrétée par les urines en quantité anormale, et entraîne avec elle une q
lquefois déterminer la production de l'urémie ; Bartels a examiné les urines chez des sujets atteints de néphrite inters-titie
e l'acide urique peut être déjà consi-dérablement limitée. Ainsi, les urines claires et abondantes que rendent, en 24 heures,
s remarqué que certaines substances odorantes ns passent pas dans les urines chez les sujets atteints de néphrite interstitiel
sujet goutteux qui prenait des préparations de térébenthine et dont l' urine ne présentait nullement l'odeur de violette ; des
actères cliniques: — Mode de début et circonstances étiologiques. — Urines rares, très albumineuses; — hydropsies: cahexie;
ne. On Dropsies connected with supprrssed perspiration and coagulable urine . London, 1835. ses ; les poumons étaient œdémal
ranulations graisseuses deviennent libres ; les unes passent dans les urines ; les autres sont résorbées, et c'est en pareille
main il présente une anasarque considérable, une fièvre intense ; les urines sont rares et sombres, fortement albumineuses. Le
maladie, les symptômes sont tou-jours à peu près les mômes. 1° Les urines sont rares et dans la période aiguë quelque-ois t
s Anglais, la vessie irritable, mais, si l'on mesure la quan-tité des urines rendues dans un temps donné, on constate qu'elle
un temps donné, on constate qu'elle est très faible. Celte rareté des urines est d'ailleurs expliquée : par l'hydropisie, qui
certains malades perdent dans les 24 heures. 15 à20gr. d'albumine; l' urine en contient donc alors 3 0/0, c'est-à-dire une pr
des vésicatoires. 2° Après les caractères fournis par l'examen des urines . Xhydropisic est le phénomène le plus saillant ;
lesquels il reste toujours une certaine quantité d'albu-mine dans les urines , amendements qui pourtant ne sont que temporaires
s dans le reste de l'échelle zoologiquc. Caractères essentiels de l' urine en tant que produit de sécrétion : Proportion de
cle apporté au cours du sang dans la veine rénale. Nous verrons que l' urine rare, qui s'écoule en pareil cas, subit d'aille
libre. Par la canule, le sang s'écoule avec une certaine vi-tesse. L' urine elle, — et c'est cette fois vraiment de l'urine —
certaine vi-tesse. L'urine elle, — et c'est cette fois vraiment de l' urine — s'écoule goutte h goutte et continuellement com
valant à 35 millimètres de mercure vient à être opposée au cours de l' urine , on voit la circulation se ralentir très manifest
rein Fig, 38. — Disposition schématique de Vappareil sécréteur de l' urine chez la couleuvre (d'après Bowmann). — A, artère
en premier lieu le produit de la sécrétion rénale ou, autrementdit, l' urine . Sans entrer dans un exposé de détails que vous a
s'il en est ainsi, Messieurs, pour deux des éléments spécifiques de l' urine , urée et acide urique, il n'en est pas de même, c
L'acide hip-putique appartient, vous le savez, plus spécialement à l' urine des herbivores. Il n'existe qu'en faible proporti
à l'urine des herbivores. Il n'existe qu'en faible proportion dans l' urine de l'homme où son taux, chez l'adulte, ne s'élève
, l'acide benzoïque, par exemple. Quoiqu'il en soit, cet élément de l' urine n'offre pas pour nous, quant à présent, d'intérêt
pas dans le sang, même chez les herbivores où il se rencontre dans l' urine en si grande abondance. Il ne s'y trouve pas même
le répèle, à ce qui a lieu pour les autres principes spécifiques de l' urine , urée et acide urique, le rein doit être considér
'eau, cet élément qui joue un si grand rôle dans la constitution de l' urine . Enfin, pour ce qui est des canalicules contour
érer la sélection et la concentration des princi-pes spécifiques de l' urine , urée et acide urique ; c'est là sans doute que s
Identité des albumines du sang et des albumines contenues dans les urines — Fibrionogène, serine et globuline. — Différen
e est l'albumine de l'albuminurie. — Existence de la globuline dans l' urine — Des peptones dans l'albuminurie et de l'albumin
'abumine du sérum, cette substance qui, lors-qu'elle se trouve dans l' urine , constitue le phénomène pré-dominant de la séméio
de Ludwig que vous connaissez et qui fait résider la fillra-tion de l' urine dans un simple phénomène physique de trans-sudati
i glomérulaire que passent les sels du plasma, qui se trouvent dans l' urine ainsi que le glycose. Pour ce qui est des sels,
mamifère une solution un peu con-centrée de sucre dans les veines, l' urine devient sucrée. Les résultats de la même expérien
e participation du laby-rinthe. a) La présence de l'albumine dans l' urine , en quelque pro-portion que ce soit (j'entends pa
'albumine qui vient du rein et non pas de celle qui se mélange avec l' urine dans son trajet à travers les bassinets et la ves
rtion plus ou moins considérable d'albu-mine peut apparaître dans les urines . C'est lorsque, dans un but de recherche, on ingè
on d'albumine du sang. Dans ces cas, l'albumine qu'on retrouve dans l' urine s'y présente avec les caractères de l'albumine
aractères distinctifs des diverses variétés d'albumine du sang et des urines , tant au point de vue physique qu'au point de vue
on sait y distinguer se retrouvent avec les mêmes caractères dans les urines , de telle sorte qu'on peut établir comme un fait
e, que les diverses espèces d'albumines du sang peuvent passer dans l' urine sans y subir de modifications. C'est seulement ap
ux espèces d'albumine se retrouvent, lorsqu'elles font partie d'une urine albuminu-rique. c) Un mot maintenant sur la glo
ans lesquelles on peut reconnaître la présence de l'albumine dans les urines ; et, à ce propos, faisant allusion à l'albuminur
qu'on distingue dans le sérum du sang et celles qu'on trouve dans les urines des albuminu-riques. La conclusion qui est résult
iétés d'albu-mine que l'analyse chimique est parvenue à isoler dans l' urine des albuminuriques ordinaires, se retrouvent avec
ent rares, toutes les albumines dont on constate la présence dans les urines , et qui nécessairement proviennent du sang, ne so
e la sécrétion des diverses variétés d'albumine qu'on trouve dans les urines ? D'après les travaux les plus récents, c'est, ai
lement étrangère d'ailleurs à la constitution du sang, passe dans les urines quand on l'ingère en assez grande quantité ou qu'
reil cas, l'albumine de l'œuf peut être recon-nue pour telle dans les urines , parce qu'elle y conserve les caractères physico-
quantité d'une solution de blanc d'œuf, cette solution passe dans les urines , ainsi que cela a lieu chez les mammifères. Mais,
des peptonesqui, elles aussi, suivant M. Nuss-baum, passent dans les urines à l'état normal chez la gre-nouille et sont sécré
du blanc d'œuf, mais bien de l'albumine même du sang passant dans les urines , c'est-à-dire, qu'en pareil cas, on est en présen
trois quarts d'heure après l'ablation de la ligature. Or, la première urine qui passe est rare et albumineuse. D'autre part,
naturellement dans la \res-sie. Tant que la ligature subsiste, cette urine ne contient pas d'albumine. Mais, si l'on enlève
re, pendant les quatre ou cinq heures qui suivent cette ablation, les urines contiendront, en outre de l'urée, de l'albumine.
e s'élève, du moins relativement, dans le système veineux. Alors, les urines sont rares, foncées en couleur, d'un poids spécif
ortion d'albumine. Mais, le fait important dans l'espèce, c'est que l' urine des vingt-quatre heures étant recueillie, on trou
s de son développement, et alors que, depuis longtemps cependant, les urines sont albumineuses, les cellules de l'épithélium l
g, y compris l'albumine. Mais cette albumine ne passe jamais dans les urines . Elle est reprise, chemin faisant, dans son traje
n conséquence, que ce produit doit nécessairement apparaître dans les urines . Cela est ingénieux, mais cela est contredit par
savez, d'une inflammation suraiguë.) et l'albumine, qui passe dansles urines , y est accompagnée d'élé-ments (leucocytes et hém
uées par les auteurs pour expliquer le passage de l'albumine dans les urines albu-minuriques peuvent être ramenées, quelque no
g des animaux une certaine quantité d'eau, et, presque à coup sûr les urines de ces animaux devenaient albumineuses. Le fait e
e fait est exact, mais il avait reçu une interprétation vicieuse. Les urines albuminuriques de ces animaux sont teintées en ro
après dissolution des globules rouges, passer très aisément dans les urines . Lorsque pareille chose a lieu, ce n'est pas de l
it Vogel, ou mieux de l'hémoglobinurie, comme on dit aujourd'hui. Ces urines sont colorées de diverses façons, tantôt en rouge
ution, jamais, d'après les expériences de Stokwis et de Westphal, les urines ne contiennent ni albumine ni hémoglobine. Il est
e Mialhe pour établir les caractères différentiels de l'albumine de l' urine et de l'al-bumine du sang. — Recherches de Becque
mples chimiques propres à démontrer la réalité de cette influ-ence. — Urines cardiaques. Messieurs, Ainsi que je l'ai dit
uées par les auteurs pour expliquer le passage de l'albumine dans les urines peuvent, quelque nom-breuses qu'elles soient, êtr
ours ici de conditions expérimentales, — l'albumine ne passe dans les urines que si la quantité d'eau introduite dans le sang
globine. Cette hémoglobine se mêle au sérum, et de là, passe dans les urines . C'est là un exemple de ce qu'on appelle l'hé-mog
il existe un rapport frappant entre les réations de l'albumine de l' urine et celles de l'albumine du sérum, chez les album
-ils affirmer l'identité de l'albu-mine du sérum et de l'albumine des urines albuminuriques, au moins en ce qui concerne leurs
in-sisté sur les caractères qui permeitent d'assimiler l'albumine des urines albuminuriques à la serine normale, et de la dis-
l'aide de ce procédé que M. Stokvis a examiné un très grand nombre d' urines albumineuses de diverses provenances et qu'il a r
provenances et qu'il a reconnu que, sans exception, l'albumine de ces urines offre identiquement les mêmes caractères que la s
u fonctionnelle, est tout à fait hypothétique, puisque l'albumine des urines , en pareille circonstance, ne diffère en rien de
établi ce premier fait; il faut démontrer en outre que l'albumine des urines albuminuriques jouit des mêmes propriétés physiol
en albuminurique en lui injectant du blanc d'oeuf clans les veines. L' urine de ce chien est injectée à un autre chien qui, à
qui, à son tour, devient albuminurique ; et l'albumine que contient l' urine de celui-ci présente toujours les caractères de l
umine du sérum, lorsqu'on l'injecte dans le sang, ne passe pas dans l' urine . Stokvis en conclut que, par ses caractères physi
bumine du blanc d'œuf. On comprend maintenant que si l'albumine des urines et celle du sang chez les albuminuriques étaient,
i, injectées dans le sang des animaux, elle devraient passer dans les urines . Voici les expériences instituées à ce sujet pa
qui avait été préala-blement rendu albuminurique par une injection d' urine pro-venant d'un autre chien auquel on avait trans
chez ce chien, l'albumine rendue par le malade ne passe pas dans les urines . En second lieu, de l'albumine du sang provenan
es, des albumi-nuries dites anormales, en ce sens que l'albumine de l' urine y diffère notablement, au moins par ses caractère
it, par exemple, que, chez les sujets atteints du mal de Brigïit, les urines rendues après les repas sont plus riches en album
entreprises à ce sujet par M. Lépine ont démontré que l'albumine de l' urine de la digestion, chez les albuminuriques, présent
ésente en effet des caractères spéciaux : 1° Elle diffuse mieux que l' urine du jeûne ; 2° soumise, paral-lèlement à cette der
s vite en peptone. Ainsi, non seulement, chez les albuminuriques, l' urine de la digestion est plus riche en albumine, mais
eur Semmola, à la tlléorie hématogène. On pourrait citer encore les urines albuminuriques des sujets atteints d'une maladie
après Gerhardt, sous le nom albuminurie latente, c'est-à-dire que les urines contiennent une albumine qui ne précipite ni par
, s'est transformée en pep-tones, lesquelles passent ensuite dans les urines . On pourrait encore citer quelques autres exemp
re que celle-ci, est une condition de pas-sage de l'albumine dans les urines . III. En premier lieu, il importe de faire re
rieur du glomérule. En effet, dès que la circulation se rétablit, les urines sont rares etalbu-mineuses. Le résultat est peu
nt toute l'expérience. Or, si le rétrécissement est considérable, l' urine cesse de couler ; si on le diminue, l'urine appar
ement est considérable, l'urine cesse de couler ; si on le diminue, l' urine apparaît, mais rare et albumineuse. Nous verrons
sultat. a) Si la ligature de la veine est complète et permanente, l' urine , d'abord supprimée, devient rare et albumineuse a
et reste telle. b) S'il y a simple rétrécissement de la x^eine, les urines ne sont pas supprimées; il y a dès l'origine une
rénales ou de la veine cave. On sait qu'en pareille circonstance, les urines sont albumi-neuses. Malheureusement, les autres c
ons n'ont pas été jusqu'ici étudiées suffisamment et on ignore si les urines sont rares en même temps qu'albumineu-ses. 3° C
s des reins 28 sion s'exagère. Or, l'albuminurie fait défaut el les urines sonL abondantes. h) Ce qui s'observe dans la né
ombe rapidement de 137 m. m. de mercure à 22 m,m., et, peu après, les urines deviennent rares et albumineuses. On peut admet
diaques avec asysfolie, c'est-à-dire dans le cas où appa-raissent ces urines roses et albumineuses qu'on appelle urines cardia
e cas où appa-raissent ces urines roses et albumineuses qu'on appelle urines cardiaques et dont je vous parlais dans notre der
rnière réunion. La clinique montre, qu'en pareil cas, la quantité des urines et le taux de l'albumine sont en proportion inver
es urines et le taux de l'albumine sont en proportion inverse. Plus l' urine est rare, plus l'albumine y est abondante. D'un a
nution de la pres-sion artérielle. Plus la pression diminue, plus les urines sont rares et albumineuses, et inversement. Or,
uable que, dans l'abuminurie liée aux troubles de la circulation, les urines sont rares en même temps qu'elles sont albumineus
élé-ment suffisant pour déterminer le passage de l'albumine dans les urines . Ainsi, dans l'expérience de Gull, où il s'agit d
r + V, condition incompatible avec le passage de l'albu-mine dans les urines , l'albuminurie devra faire défaut. Ainsi sont les
ellement très élevée dans le système artériel et, en conséquence, les urines sont abondantes. Mais, en outre, elles sont album
et, en même temps, une certaine proportion d'albumine qui se mêle à l' urine ; 3° Enfin des glomérules complètement atrophié
reprend à plusieurs reprises à des intervalles variés. Les premières urines , à la suite de cette expérience, sont rares et al
t des organes, dans le rein en particulier. Sous cette influence, les urines deviennent rares et albmineuses. Si, au contraire
tion appropriée la pression se relève, on voit dans le même temps les urines redevenir abondantes et ces-ser d'être albumineus
fois à s'abaisser, l'albumine reparaît à nouveau et simultanément les urines redeviennent rares. Cette sorte de parallélisme
é, de l'autre côté l'oligurie et l'appa-rition de l'albumine dans les urines est un fait de connais-sance vulgaire, relevé dan
ervation de Rosenstein). Au début de l'observation, la totalité des urines en 24 heures est représentée par 1000 à 1200 et i
Peu après surviennent les symptômes de l'asystolie. Le 29 décembre, l' urine rendue n'est plus que de 800 grammes, et l'albumi
e 23, même chiffre, même propor-tion d'albumine. Le 25, la quantité d' urine s'étant élevée à 900 grammes, la proportion d'alb
umine est en proportion moindre. Enfin, le 1er janvier, la quantité d' urine ayant atteint le chiffre de 13, 000 grammes, l'al
marquer, Messieurs, que dans les cas d'af-fections cardiaques, où les urines présentent les caractères que je viens d'indiquer
même de l'attaque ou au milieu du stade asphyxique, on recueille les urines , à l'aide du cathétérisme, celles-ci sont trouvée
réaction, alors que la cyanose cesse, et que le pouls se relève, les urines contiennent encore de l'albumine, mais dans une p
ique, car, suivant cette théorie, la pré-sence de l'albumine dans les urines relèverait en toutes cir-constance, ou peu s'en f
, disent Becquerel et Vernois, que la présence de l'albumine dans les urines ne peut être attri-_ buée au mélange soit du sang
ar on pourrait citer nombre de cas où l'albumine se présente dans les urines sans qu'il y ait lésion appréciable des épithé-li
de la néphrite interstitielle chronique primitive, dans laquelle les urines contiennent fort peu d'al-bumine et par moment pa
Goutte consécutive aux lésions du foie. — De l'acide urique dans les urines . — Gravelle urique. Du glycogène et de la fonct
e qui se compliquent de fièvre hépatique. — Rôle des altérations de l' urine et de celles de la bile. 192 DIX-NEU VIÈME LE Ç
agéré l'importance que peut avoir la présence de ces cylindres dans l' urine . — Étude de ces cylindres dans le rein, à l'aide
; — dans les tubes contournés. Étude des cylindres urinaires dans l' urine . — Variétés de forme et de volume. — Variétés sui
in contracté (Néphrite interstitielle). Sommaire. — Caractères de l' urine : — polyurie, expliquée par l'excès de ten-sion.
ractères cliniques : — Mode de début et circonstances étiologiques. — Urines rares, très albumineuses ;— hydropisics; cahexie;
s dans le reste do l'échelle zoologique. Caractères essentiels de l' urine en tant que produit de sécrétion : Proportion de
Identité dos albumines du sang et des albumines contenues dans les urines — Fibrionogène, serine ot globuline. — Différence
est l'albumine de l'albuminurie. — Existence do la globu-line dans l' urine . -—? Des peptones dans l'albuminurie et de l'albu
e Mialhc pour établir les caractères différentiels de l'albumine de l' urine et de l'al-bumine du sang. — Recherches de Becque
mples chimiques propres à démontrer la réalité de cette influ-ence. — Urines cardiaques.......................................
a leuse. 360. — Mécanisme des accidents, 238. Uricémie, 111, 115. Urine (Sécrétion de 1' —i,303, 307 — Théorie de Ludwige
2 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
l'étouffé, s'accompagnent parfois d'une émission involontaire des urines ; elles la fatiguent plus que les accès et lui don
es deux côtés; T. V. 1.1 ? Par la sonde, on retire environ 30 gr. d' urine qui ne contient pas d'albumine. De 6 heures à 6
en plus diffi- cilement ;- les garde-robes étaient supprimées; les urines involontaires. Les membres étaient dans la réso
métrique de Margueritte pour le dosage du fer, par exemple dans les urines qui contiennent de si faibles quantités de ce m
5 à 13 ans, crises légères et rares. Pas d'incontinence nocturne d' urine . Elle fut réglée facilement en juillet 1870. En
t de l'accès, P. 132; à la fin, P. 92. S.... n'écume pas, mais elle urine assez souvent sous elle. Le poids est, en génér
t entravé cette tendance. Observation IV. - Incontinence nocturne d' urine . Epi- lepsie consécutive à une émotion vive. ?
axis. Enfin, elle aurait été affectée d'une incontinence nocturne d' urine jusqu'au début de l'épi- lepsie. , Celle-ci s
auche (autrefuis la morsure portait sur le bord droit), elle écume, urine sous elle. A la suite de l'accès, et pendant to
rait primitivement modifiée. Outre que sa quantité serait accrue, l' urine con- tiendrait une proportion considérable de s
ion des vaisseaux hépatiques. Déjà, nous avions souvent examiné les urines rendues par les malades, dans le but de savoir
M. P. Regnard, très- versé dans l'étude de la chimie médicale. Les urines excrétées dans les 24 heures, recueillies sépar
vingtaine de minutes, des chats gris ( ? ) et des étin- celles. Les urines expulsées quinze minutes "et deux heures àprés~
des oreilles et du cou, est très-prononcée chez cette malade. Les urines , rendues une demi-heure et trente heures (1) aprè
une 11 lie, les attaques sont souvent suivies d'une réten- tion d : urine et cette rétention ne se montre qu'après une prem
eures, D... n'a pas uriné sous elle. - Première miction à 3 heures, urines jaunes, un peu troubles.^- Seconde miction à 6
res, urines jaunes, un peu troubles.^- Seconde miction à 6 heures : urines plus claires. - Pas de sucre (Liqueur de Barres
ions : T. V. 37°,8. Un quart d'heure plus lard : T. V. 33°,1. - Les urines recueillies une heure, sept heures et 24 heures
reuses qui la forcent à faire des grimaces. Chez cette malade les urines rendues après l'inhalation de nitrite d'amyle o
vier. Attaque. Nitrite d'amyle. Mêmes phénomènes.- Une heure après, urine de couleur jaune orange. 4 heures après, urines
- Une heure après, urine de couleur jaune orange. 4 heures après, urines presque incolores : Pas de sucre. 19 février, 2
nutes, d'un délire d'abord religieux, puis érotique. L'examen des urines recueillies durant les 24 heures qui ont succédée
avec le réactif de Mulder. Le mélange de ce dernier réactif avec l' urine donne une coloration bleue. On chauffe; s'il y
ne ; contracture du col de la vessie donnant lieu à une rétention d' urine qui exige l'usage de la sonde. - L... ne peut p
ètement, la malade mange seule, la parole re- vient, la rétention d' urine fait place à une incontinence qui guérit elle-m
sidérablement ballonné, et il y a, depuis ce matin, une rétention d' urine qui oblige à pratiquer le ca- thétérisme. ' 2
évrier. Attaque d'une intensité modérée. 25 février. La rétention d' urine a cessé ce matin et est remplacée par une incon
es du soir et 37° à 10 heures. La voix est rauque; l'incontinence d' urine persiste. A 7 heures du soir, attaque convulsiv
ts ré- flexes, une vive anxiété et du larmoiement. La rétention d' urine persiste. 126 1 ¡YSTÉHO- ÉPILEPSIE, 28 févrie
sopllagÍsme), du larynx (aphonie), du col de la vessie (rétention d' urine ), des membres (contractures va- riées, erz(cili
ttaques qui se succédèrent pendant deux jours. Consécutivement, les urines reparurent, mais il fallut prati- quer le cathé
re 1868, Etch... fit son service, tout en conservant sa rétention d' urine . La sé- crétion urinaire, en tant que quantité,
m. La paralysie du côté gauche persistait, ainsi que la rétention d' urine qui nécessitait le cathétérisme trois fois par
nécessitait le cathétérisme trois fois par jour. La quantité des urines était normale. Nous avons reconstitué les antéc
s, on n'obtient, par le cathétérisme. qn'une très-faible quantité d' urine (à peine 30 grammes en 24 heures). 19 avril.
. Les membres inférieurs sont contractures et dans l'extension. - Urines rares. 25 avril. Attaque qui ne modifie en rien
uent et qu'ils sont suivis avec soin. 29 avril. On retire 100 gr. d' urine , tandis qu'on n'avait rien extrait durant les q
issements alimentaires. En huit jours, elle n'a rendu que 300 gr. d' urine . Elle ne va à la garde-robe qu'après purgation.
. 5 juillet. L'anurie est la même. Il est certain que la malade n' urine pas ou urine à peine. Elle vomit chaque fois qu'e
. L'anurie est la même. Il est certain que la malade n'urine pas ou urine à peine. Elle vomit chaque fois qu'elle boit ou
mposées d'un liquide jaunâtre et d'aliments. - Le 30 juin, 15 gr. d' urine ; le 2 et le 4 juillet, 11 gr.; les autres jours.
le 4 juillet, 11 gr.; les autres jours. rien. 6 juillet. 3 gr. d' urine . Le ventre n'est pas ballonné. La pres- sion au
.') septembre. Pour la première fois, on relire, en la sondant, des urines mélangées de sang. 10 octobre. Chloroformisatio
eur droit a récupéré quelques mouvements. 16 6 octobre. La malade urine spontanément. Elle meut tant bien que mal le br
oeur 1 mon coeur ! » - Rien de nouveau, quant à la paralysie et aux urines . 20 octobre. La somnolence a persisté. Interpel
r un' grognement. L'ovaire gauche est toujours très-douloureux. - Urines involontaires ; pas de vomissements. 21 octobre
On a sondé la malade heure par heure pour con- naitre la quantité d' urine , et on a remarqué que, jusqu'à quatre heures du
rt. - Apparition des règles. 25 octobre. On cesse de recueillir les urines . Les règles con- tinuent. -Persistance de la tr
'hystériques, -supposées atteintes d'ischurie, - qui buvaient leurs urines , etc. in HYSTLlRO-ÉPILEPSIE. 4 novembre. Le m
parole, phénomènes habituels après ses attaques. - In- continence d' urine ; pourtant, par la cathétérisme, qui n'esi pas
érisme, qui n'esi pas douloureux, on retire une certaine quantité d' urine . 8 décembre. Augmentation des douleurs de la ré
depuis minuit; par la sonde, on n'extrait qu'une petite quantité d' urine . - Le soir, attaque convulsive qui a débuté par
il,ies, en l7-2, par notre ami M. Gombault. ISCHURIE. 165 - Les urines deviennent de moins en moins abondantes. 24 jan
onservation de la sensi- bilité tactile. - Depuis quatre jours, les urines sont beaucoup plus abondantes. J mars. Le mem
s doigts, la malade finit par toucher le but. - , Depuis hier, elle urine moins. Les douleurs lombaires, ap- parues au co
barras de la parole et la difficulté de la mastication. - Hier, les urines ont été supprimées. 18 mars. Nausées puis vom
besoin d'uriner. Par la sonde, on ne retire que quelques gouttes d' urine . L'ap- pétit est presque nul : les vomissements
lle ne peut avaler. Par instants, le bras droit se contracture. Les urines , aujourd'hui, ont été plus abondantes que de co
racles de Lourdes, 1873.) 168 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. de vomissements; urines relativement abondantes. L'épaule droite est do
hénomène particu- lier, on a retiré par la sonde près de 2 litres d' urine . - Dès le lendemain, la quantité d'urine retomb
a sonde près de 2 litres d'urine. - Dès le lendemain, la quantité d' urine retombe à 110 grammes, puis à 95 grammes et osc
s, on ne retire rien par la sonde ou seulement quel- ques gouttes d' urine . - Depuis le 1er août jusqu'au 7 sep- CRISES NÉ
presque nulle, la malade rend, en un jour, une certaine quantité d' urine . Ainsi, le 27 novembre, on re- lire 300 gr.; pu
e. Le 12 décembre, 1 litre ? i. Du 12 au 31 décembre, la quantité d' urine a constamment été au-des- sous'de .30 gr. (En m
as discontinué. Elles sont plus marquées durant les périodes où les urines sont très-diminuées. C'est surtout alors qu'ell
insupportable. Quelques jours avant les évacuations considérables d' urine , dont nous avons déjà parlé, les douleurs redou
permanentes, ont reparu hier avec plus d'intensité que jamais. Les urines étaient sup- primées depuis vingt-quatre heures
té suivies de l'évacuation, en une heure, de trois litres et demi d' urine . Soir. Etch... a encore rendu par la sonde 800
t demi d'urine. Soir. Etch... a encore rendu par la sonde 800 gr. d' urine . La crise (attaque avortée) a laissé un grand a
ontanément, sans y parvenir. Par la sonde, elle retire 33 grammes d' urine (1). 23 mai. La nuit a été très-calme, quoique
te du rectum.- La miction s'accomplit sans douleur; la quantité des urines est normale ou tl'ès-exagé1'ée.- Parfois, doule
elles ont dans toute autre cir- constance (1). c. Une rétention d' urine , qui a duré près de dix ans, a constitué le sec
ble avoir eu la malade et surtout la longue durée de la rétention d' urine ? Nous ne saurions nous prononcer à cet égard.
le-même de nouveaux phénomènes hystériques permanents : rétention d' urine , impossibilité de la mastication, dysphagie néc
un seul dosage avait été fait. Il avait démontré la présence dans l' urine de 24 heures de 6 grammes d'urée, ce qui n'a ri
la moyenne des vomissements est d'un litre par jour. Deux grammes d' urine sont excrétés chaque jour. » En août, les vom
, les vomissements sont encore d'un litre par jour, la moyenne de l' urine est de 3 gr. Il survient même uue anurie totale
» En septembre, les vomissements ont pour moyenne un litre 1/2, l' urine 2 gr. 1/2. ISCHURIE, : 185 » Il y a, on le vo
nt l'a démontré) pour l'excrétion de l'urée. Un jour (10 oct.) où l' urine contenait 179 milligrammes d'urée, les vomissem
Pendant un espace de temps (janvier, octobre 1872), la moyenne des urines a été de 206 gr., contenant 5 gr. d'urée; la mo
difficile d'obtenir d'un malade qu'il conserve la totalité de ses urines . C'est pourtant une condition essentielle au su
rs, et il n'est jamais arrivé qu'on ait trouvé ses draps mouillés d' urine . Nous sommes donc certains d'avoir toujours opé
eures, quelquefois en quelques minutes, 2, 3 ou même 4 litres 1/2 d' urine , contenant 20, 25, 28 grammes d'urée. L'attaque
ise doulouieuse qui produit la guérison, E... rend 43 gram- mes d' urine contenant 1 gr. "986 centigr. d'urée. Quelque t
substances salines sont peu augmentées, tandis que l'excrétion de l' urine 190 IiYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 1 subit une exagérati
3 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le prépuce et comme la plaie ne se cicatrisait point on analysa les urines et on trouva du sucre. Une analyse faite à cette
ite qui mit encore un an à guérir. A la fin de sa cure minérale ses urines ne renfermaient plus, dit-il, que 60 grammes de
et ensuite à la Salpêtrière. Etat actuel (juin 1890).- L'examen des urines révèle la pré- sence d'une quantité notable de
t, interne en pharmacie du service, -donne les résultats suivants : urine de vingt-quatre heures : trois litres, d'aspect
ont pas cessé depuis lors; s'il veut résister au besoin d'uriner, l' urine sort toute seule brusquemenl. Parfois il pisse
un ulcère variqueux qu'on ne parvenait pas à guérir. On examina ses urines et on y découvrit du sucre. Deux ans après, une a
beaucoup, sans qu'il ait jamais songé à recueillir la totalité des urines . Il se levait la nuit cinq à six fois pour piss
et polyurie modérées avec polyphagie etpolydipsiepeu marquées. Les urines renferment, d'après un examen fait séance te- n
d'acide urique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L' urine est trouble, acide, d'une densité normale, et l
plein tabes confirmé, que la présence du sucre a été notée dans les urines (40 grammes par litre) à propos d'un ulcère qui
quentes mais beaucoup moins sévères. Troubles vésicaux, rétention d' urine ; ne peut uriner qu'à l'aide de la sonde. Déma
rter le pied en avant. Le sucre a été tout le temps constaté dans l' urine , examinée une fois par semaine. Cette observati
. Début du diabète. Il s'est aperçu qu'il avait du sucre dans les urines en 1888. Mais le début réel du diabète remonte pr
ine d'années. Quoi qu'il en soit, en 1888, un examen méthodique des urines fut fait. On trouva 45 grammes de sucre par lit
égime sans médi- action. Deux mois après la polyurie diminuait et l' urine ne conte- ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE
sucre n'était plus dosable. La soif avait disparu et la quantité d' urine émise était sensiblement normale. Définis cette
En 1889, il eut une bronchopneumonie; on fit examiner et doser ses urines et on trouva 3 grammes de sucre par litre. Il se
- En novembre 1889, alors qu'il n'y avait déjà plus de sucre dans l' urine , D... fut pris d'engourdissements et de fourmil
urinaires sont une impuissance absolue et une légère incontinence d' urine de temps à autre. Comme troubles moteurs, incoo
ucide. Il n'a rien de l'état mental des diabétiques. L'examen des urines n'a révélé aucune trace de sucre ni d'albu- min
ssant à souligner. Ne sait-on . ZD pas que le sucre disparaît des urines dans le cours d'une affection inflammatoire ? T
ue lorsqu'un diabétique devient fou le sucre disparaît parfois de l' urine ? Du reste, dans les affections du système nerv
ongtemps. Depuis trois ans on a constaté beau- coup de sucre dans l' urine , sans polyurie ni polydipsie, et depuis de long
région abdominale inférieure ainsi que dans la région dorsale. Les urines et les selles sont si impérieuses parfois que l
genoux. Anes- thésie de la plante des pieds. Troubles du tact. L' urine a une densité de 1,028 et renferme de 10 à 25 gra
ien d'anormal du côté du coeur, du poumon, du tube digestif ou de l' urine . On ne trouve ni ovarie, ni zone hystérogène en
ur, les pou- mons sont sains ; pas d'anémie ; pas d'albumine dans l' urine . La malade ne peut pas circonscrire le siège de
, on s'est aperçu pour la première fois qu'il laissait échapper ses urines dans son lit. Etat actuel. G... est de taille p
deux mois environ, le malade de temps en temps laisse échapper ses urines dans son lit; 7° Des accès de céphalées frontal
ré, on constate, à un moment donné, la pré- sence du sucre dans les urines . Il s'agit, dans le pre- mier cas, de détermine
qu'ici observés ' i » ; 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention d' urine peut survenir accidentellement, dans le diabète
ns les vingt-quatre heures. Le malade de Reumont dont la quantité d' urine était normale rendait 6 à 10 grammes de glycose
s le tabes. Ce caractère n'a encore rien d'absolu. La densité des urines tabétiques glycosuriques sem- ' Le Gendre. - Tr
est en rapport direct de la quantité de glycose con- tenue dans l' urine . Le chiffre de l'azoturie n'a pas plus de valeu
ales. En vérité, les caractères différentiels tirés de l'examen des urines n'ont qu'une valeur limitée, surtout si on les
B. Etant donné un tabes authentique, au cours duquel l'examen des urines décèle la présence du sucre, dire si cette glyc
194 PATHOLOGIE NERVEUSE. b. Il s'agit d'un tabétique avéré dont les urines oontiennent du sucre. Si cette glycosurie s'acc
enoux et des fissures aux talons et aux bords externes des pieds. L' urine ne présente rien de particulier. Pas de céphala
é, puisqu'il s'agit de cinq personnes. R. M. C. XXII. NOTES SUR l' urine ET la température dans la paralysie générale DE
irer de ses recherches des conclusions générales. ' La quantité d' urine émise dans les vingt-quatre heures par les mala
s cette époque éprouvé quelques troubles nerveux, de la rétention d' urine , de la dysurie. Mariée à vingt-six ans, grosse au
amétrite anciens à gauche. La suggestion fait cesser la rétention d' urine . Appelé sur notre désir pendant une attaque de
rité de la connaissance et de la sensibilité; elle laisse aller ses urines et ses matières. Le soir la parole est plus disti
teurs préten- dent avoir trouvé constamment de l'albuminurie dans l' urine à la suite des paroxysmes ; d'autres affirment
à la suite d'un grand accès, revenait à elle, on la faisait uriner. Urine n° 1. Puis dans les quatre heures consécutives,
ite, on la mettait sur le bassin. On parvenait à recueillir ainsi S urines qui étaient examinées séparément. Les cas dans
urines qui étaient examinées séparément. Les cas dans lesquels l' urine a été fournie dans ces conditions entrent seuls d
a miction survient au début de l'accès, nous ferons remarquer que l' urine rendue alors, est exclusivement proe-paroxystiq
echerche de l'albuminurie a été faite parle procédé clas- sique : l' urine est acidulée avec une goutte d'acide acétique;
très faibles. Sans doute il aurait mieux valu neutraliser d'abord l' urine puis l'acidifier à l'acide acétique. Nous feron
ous accuser que d'une seule chose ; c'est d'avoir laissé passer des urines faiblement albumineuses, la proportion que nous
ons dans cette statistique : a) que les malades chez lesquelles les urines ont été recueillies à temps, et en dehors de to
ul accès au maximum un second accès pendant qu'on recueillait les 8 urines . Nous verrons plus loin les résul- tats obtenus
s plus loin les résul- tats obtenus par l'examen d'une ou plusieurs urines recueillies dans d'autres conditions. : Cette
re de tubes d'Es- bac suffisant pour doser l'albumine de toutes nos urines , 386 PHYSIOLOGIE pathologique. nous nous somm
S ont présenté une albuminurie intense au moins dans l'une des cinq urines : 24 ans, Cib..., 1 accès : . Nuage intense d
nq urines : 24 ans, Cib..., 1 accès : . Nuage intense dans la lre urine ; Albumine moyenne dans la 2°; Traces dans les
d'intensité moyenne dans 9 cas sur 21 : 24 ans, Gau..., 1 accès, 5 urines : Nuage moyen dans la 110 urine; Traces dans
21 : 24 ans, Gau..., 1 accès, 5 urines : Nuage moyen dans la 110 urine ; Traces dans les 4 dernières. 45 ans, Barth..
urine; Traces dans les 4 dernières. 45 ans, Barth..., i accès, 5 urines : Nuage moyen dans la 1" urine; Traces dans l
res. 45 ans, Barth..., i accès, 5 urines : Nuage moyen dans la 1" urine ; Traces dans les 4 dernières. 37 ans, Bod...,
1" urine; Traces dans les 4 dernières. 37 ans, Bod..., 1 accès, 5 urines : Albumine moyenne dans la ire urine; Traces
37 ans, Bod..., 1 accès, 5 urines : Albumine moyenne dans la ire urine ; Traces d'albumine dans la 2" et 3e; Pas d'al
E ET ÉPILEPTIQUE. 3S7 20 ans, Tac..., 1 accès suivi d'excitation, 5 urines : Albumine moyenne dans la l'° urine; Traces
1 accès suivi d'excitation, 5 urines : Albumine moyenne dans la l'° urine ; Traces dans la 2°; Pas d'albumine dans les 2
ans, Bern..., 1 accès. A eu un 2° accès pendant qu'on recueillait l' urine n° 5 : Albumine moyenne dans la ire urine; Tr
ant qu'on recueillait l'urine n° 5 : Albumine moyenne dans la ire urine ; Traces dans la 2e et 3°; Pas d'albumine dans
Pas d'albumine dans les 2 dernières. 33 ans, Diet..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans la 1 ro urine ; Albu
33 ans, Diet..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans la 1 ro urine ; Albumine moyenne dans la 2°; Pas d'albumine
enne dans la 2°; Pas d'albumine dans les 3 dernières. La première urine aurait été recueillie d'après les rensei- gneme
cès. 26 ans, Deman..., 1 accès d'épilepsie : Dans les 3 premières urines , nuage moyen d'albumine; Traces dans les 2 dern
lbumine; Traces dans les 2 dernières. 36 ans, Leco..., 1 accès, 5 urines : Albuminurie moyenne dans les 3 premières urin
co..., 1 accès, 5 urines : Albuminurie moyenne dans les 3 premières urines ; Traces dans les 2 dernières. 17 ans, Rous...
urines; Traces dans les 2 dernières. 17 ans, Rous..., 1 accès, 5 urines : Nuage moyen d'albumine dans les 5 urines. C
ans, Rous..., 1 accès, 5 urines : Nuage moyen d'albumine dans les 5 urines . C. Dans 6 cas, l'albumine était il l'état de t
, l'albumine était il l'état de traces : 49 ans, Vev..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 5 urines. 19 ans
49 ans, Vev..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 5 urines . 19 ans, Eud..., 1 accès, 5 urines. Un second a
: Traces d'albumine dans les 5 urines. 19 ans, Eud..., 1 accès, 5 urines . Un second accès pendant qu'on recueillait les
., 1 accès, 5 urines. Un second accès pendant qu'on recueillait les urines : 1 Traces d'albumine dans les 2 premières urin
recueillait les urines : 1 Traces d'albumine dans les 2 premières urines ; Rien dans les 3 dernières. 51 ans, Boul...,
es urines; Rien dans les 3 dernières. 51 ans, Boul..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 3 premières urines
Boul..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 3 premières urines ; Pas d'albumine dans les 2 dernières. 17 ans,
Pas d'albumine dans les 2 dernières. 17 ans, Vaud..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumiue dans la Ira urine seulement
17 ans, Vaud..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumiue dans la Ira urine seulement. 358 PHYSIOLOGIE pathologique. 23 a
ulement. 358 PHYSIOLOGIE pathologique. 23 ans, Gou..., 1 accès, 5 urines : : ' - -. ' Traces d'albumine dans la 1"° urin
ou..., 1 accès, 5 urines : : ' - -. ' Traces d'albumine dans la 1"° urine seulement. 14 ans, Viol..., 1 accès, 5 urines :
d'albumine dans la 1"° urine seulement. 14 ans, Viol..., 1 accès, 5 urines : C~ Traces d'albumine dans les 5 urines. Les
4 ans, Viol..., 1 accès, 5 urines : C~ Traces d'albumine dans les 5 urines . Les malades n'ayant pas présenté d'albumine da
s 5 urines. Les malades n'ayant pas présenté d'albumine dans leur urine sont t albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET épilept
urine sont t albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET épileptique. 3M 9 Urines albumineuses : Cir..., 4 examens; Dur..., 2 exame
euses : Cir..., 4 examens; Dur..., 2 examens; Dict..., 2 examens. Urines non albumineuses : Bieuv..., 3 examens; Goii ...
es : Eud..., Lug..., Broch... Il est donc habituel alors, de voir l' urine rester seulement à l'état de traces chez les ma
l'urine rester seulement à l'état de traces chez les malades dont l' urine à un premier exa- men ne contenait rien d'anorm
bles. Telle malade, Diet..., qui avait, après un premier accès, une urine notablement albumineuse, n'a présenté à la suit
inurie post-paroxystique est toujours plus intense dans la première urine que dans celles qui suivent : très sou- vent, e
es qui suivent : très sou- vent, elle a complètement disparu dans l' urine n° 5 ou dans celles qui précèdent. 11 n'y a eu
n avons eu l'explication pour Diet... (voir plus haut); la première urine était mélangée aune notable quantité d'urine pr
lus haut); la première urine était mélangée aune notable quantité d' urine proe-paroxystique. Il en a été probablement de
.. Chez ces deuxma- lades, même après plusieurs jours de calme, les urines conte- naient des traces d'albumine. Or, nous f
dant tout l'accès, il n'y a pas eu la moindre cyanose de la face. L' urine recueillie à la suite de cet accès incomplet ne c
dans un laps de temps relativement court amène l'albumine dans les urines ; c'est ce que nous étudierons dans l'un des ch
I. Petit-Mal. Nous possédons un nombre très restreint d'examens d' urines recueillies à la suite des vertiges. Ces exa- m
le vertige épileptique. ' Aussi lorsqu'on cherche à se procurer des urines recueillies à la suite de vertiges, s'expose-t-
suite de vertiges, s'expose-t-on le plus souvent à n'avoir que des urines d'accès; ces considérations ont beaucoup plus d'i
n n'assistant que rarement aux paroxysmes. III. - Les examens d' urines d'épileptiques présentant une période délirante
un accès vers 8 heures et demie. A Il 1 heures, on recueille une urine : traces d'albumine. ' Thé..., quarante-sept an
isoler et de la passer aux cellules. Pas d'attaques constatées. Une urine , pas d'albumine. , Gon..., vingt-deux ans : ne
ystique. : . Deux jours de trouble mental consécutif aux accès. Une urine recueillie le 2° jour : pas d'albumine. , ' '
lleuse affirme d'autre part qu'elle n'a pas eu d'accès la nuit. 2 urines : Iraces d'albumine dans les deux urines. Reste e
pas eu d'accès la nuit. 2 urines : Iraces d'albumine dans les deux urines . Reste enfin l'examen fait par M. Olivier, inte
tion violente, aui ait eu un jour 4 grammes d'albumine' par litre d' urine . "Dans la thèse signalée plus haut, Bazin donne
donnerons d'abord les observations des malades chez lesquelles les urines ont été recueillies avec tout le soin nécessair
eures du matin, ne présente pas traces d'albumine. Ail heures, 2° urine : albuminurie moyenne. A 2 heures de l'après-mi
res, 2° urine : albuminurie moyenne. A 2 heures de l'après-midi, 3° urine : traces d'albumine. Deux autres urines ont été
2 heures de l'après-midi, 3° urine : traces d'albumine. Deux autres urines ont été recueillies dans la nuit du 30 au 31. B
en que la malade n'ait pas eu d'accès depuis le 30 à midi, ces deux urines contiennent des traces d'albumine. Une dernière
, ces deux urines contiennent des traces d'albumine. Une dernière urine , recueillie le 31 vers 9 heures du matin, ne prés
m... a eu, la nuit du 29 au 30, 5 accès. La veilleuse a recueilli l' urine après chaque accès. Les 2 premières urines ne ren
a veilleuse a recueilli l'urine après chaque accès. Les 2 premières urines ne renferment rien d'anormal. La 38 urine prése
e accès. Les 2 premières urines ne renferment rien d'anormal. La 38 urine présente des traces d'albumine. Dans la 4e et l
au matin, on recueille d'heure en heure, après un accès de jour, 5 urines . Peu de temps avant la 3e urine, Lem... a eu un
n heure, après un accès de jour, 5 urines. Peu de temps avant la 3e urine , Lem... a eu un second accès de jour. Dans la
urine, Lem... a eu un second accès de jour. Dans la ire et la 2° urine , pas d'albumine. A la 3e urine, traces d'albumi
accès de jour. Dans la ire et la 2° urine, pas d'albumine. A la 3e urine , traces d'albumine. Dans la 4e et la 5° urine,
s d'albumine. A la 3e urine, traces d'albumine. Dans la 4e et la 5° urine , pas d'albumine. 3 septembre. La série s'arrête
La série s'arrête. Le 4, on recueille, vers 9 heures du matin, de l' urine de Lem... Pas d'albumine. Le 1er septembre, Lei
r, l'autre dans la nuit : Après la ire attaque, on recueille de l' urine : pendant qu'on prend d'heure en heure 5 urines
e, on recueille de l'urine : pendant qu'on prend d'heure en heure 5 urines , Lei... a 5 accès. 11 n'y a des traces d'albumi
es, Lei... a 5 accès. 11 n'y a des traces d'albumine que dans la 4e urine . Les autres ne présentent rien d'anormal. 5 s
i... continuant, on recueille, après une attaque de jour, une seule urine qui renferme des traces d'al- bumine. Lei... a
mine. Lei... a eu 2 attaques dans la nuit précédente. L'examen de l' urine de Lei..., fait en dehors de ses séries, ne fait
s, a 4 attaques presque coup sur coup à deux heures d'intervalle. 5 urines sont recueillies : albuminurie intense dans les
premières; albuminurie légère dans les 2 suivantes; rien dans la 5e urine . Les urines d'Albruz..., en dehors de ses série
albuminurie légère dans les 2 suivantes; rien dans la 5e urine. Les urines d'Albruz..., en dehors de ses séries, ne contie
r coup. Une heure après la dernière de ces attaques, on recueille l' urine . Elle présente un nuage léger d'albumine. D'a
Le 18 août, Vill..., vingt et un ans, a 11 accès dans la nuit. 4 urines sont recueillies, mais le matin seulement : pas d
s : à 7 heures du matin, à 1 heure, à 4 heures de l'après-midi. Une urine est recueillie après chaque accès : pas d'album
Le 25 août, Rong..., neuf ans, aurait eu 11 accès dans la nuit. 5 urines sont recueillies dans la matinée : pas d'albumine
lade. . Quant aux deux autres, nous avons noté expressément que l' urine avait été recueillie le matin seulement. Or nous
nsidérable d'accès. Il est donc vraisemblable d'admettre que si les urines de Vill... et de Rou..., avaient été recueillie
oubles sécrétoires suffisants pour que l'albumine apparaisse dans l' urine . Nous voulons seulement retenir ce fait : à mes
,* albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET épileptique. 367 l'examen des urines n'ayant pas été fait. Ce que nous pouvons affir
ès. Nous pre- nons la temp. rectale : 36° 6. - On sonde la malade : urines claires, ne contenant pas d'albumine. A midi
es les sépare. La malade est sondée à une heure moins le quart. Les urines contiennent un très léger nuage d'albumine. A 4
La connaissance revient 368 PHYSIOLOGIE pathologique. un peu. Les urines recueillies à ce moment contiennent une quan- t
tité considérable d'albumine : T R = 39° 8". A 6 heures du soir, 4e urine . T, 38° 6. Nuage léger d'albumine. 26 juillet.
léger d'albumine. 26 juillet. La nuit a été bonne. Ce matin, 37° 6. Urines assez abondantes : pas traces d'albumine. Nou
9 Le 21 juillet, après 16 accès de nuit, traces d'albumine dans l' urine . Le soir, après 8 accès de jour, plus d'albumine.
ease. KRAUSs. - Rhus aroznatica in the lreatment of incontinence of urine . Brochure in-8° de 4 pages. New-York, 1892. Jou
104; gé- némle à début très précoce, par Charcot et Dutil, 145; - urine et température dans la -, par Tur- ner, 223;
4 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
elles sont la conséquence de la pression prolongée et du contact des urines altérées, ainsi que des matières fécales auxquell
ite des-quelles l'animal reste constamment souillé par le contact des urines , se blesse en se heurtant à tous les contacts, et
le frottement exercé sur un sol rugeux, par le contact permanent des urines altérées, le manque de prop.eté; c'est-à dire en
o- 1. Voyez Zeitschrift fur ration. Med. 35 Bd., p. 343. ongé des urines , mais elles peuvent se produire encore, bien que
le contact répété et prolongé de substances irri-tantes telles queles urines ou les matières fécales. Elles peuvent, de même q
sister aux causes d'excitation et aussi des modifications que subit l' urine longtemps retenue dans les parties les plus décli
s de la face en pinçant fortement divers points de la peau. Selles et urines involontaires. Peau chaude, couverte de sœur; tem
ois jours ? On ne saurait, non plus, invoquer le contact irritant des urines . Dans plusieurs cas, j'ai fait recueillir ce li-q
ent dans le temps même où se produit le décubitus aigu, l'émis-sion d' urines sanguinolentes, alcalines et même purulentes, c'e
, au membre inférieur, elle remonte jusqu'au niveau du mamelon. — Les urines et les matières fécales sont rendues involontaire
dent, une escharé avait commencé à se former à la région sacrée, et l' urine qui s'écou-lait de la vessie était ammoniacale. L
à début brusque, traumatiques ou spontanées. — Altération rapide des urines dans ces circonstances ; elle se manifeste souven
olonne vertébrale, avec lésion consécutive de la moelle épinière, les urines subissent fréquemment une altération ra-pide. Dup
areil cas, les sondes mises à demeure pour remédier à la ré-tention d' urine , se recouvrent rapidement d'incrustations cal-cai
'on doit d'avoir appelé l'attention sur les caractères que présente l' urine chez les indi-vidus atteints de paraplégie trauma
que (2). Dès le huitième, le troisième, le deuxième jour, il a vu les urines devenir alcalines, répandre une odeur ammoniacale
ans les auteurs un très grand nombre de faits où les altérations de l' urine signalées par Brodie se sont produites, en effet,
Brodie. — Medic. chir. Trans., loc. cit. 3. Voir Stanley. 1er cas : Urines fortement ammoniacales dès le cinquième jour; — 2
cas : Urines fortement ammoniacales dès le cinquième jour; — 2e cas : urines ammoniacales le quatrième jour (Lond. Med. chir.
quatrième jour (Lond. Med. chir. Trans., t. XVIII, p. 1). — Jeffreys, urines ammoniacales et sanguinolentes, le septième jour
ques,une modification plus ou moins profonde dans la constitution des urines ,# liée à des altérations néphro-vésicales souvent
é précédemment, d'hémiparaplégie produite par un coup de couteau, les urines se montrèrent alcalines dès le troisième jour ; p
e rapporté par M. Brown-Séquard, d'après le doc-teur Maunder (2), les urines furent trouvées alcalines également fort peu de t
ologie, t. VI, p. 152, 1803. et dans l'hématomyélie, l'apparition d' urines ammoniacales, sanguinolentes, muco-purulenLes, pe
ptômes paralytiques, est un fait qui s'observe fréquemment. Ainsi les urines étaient déjà profondément alté-rées dès le cinqui
annkopf (4). Dans le cas d'hématomyélie publié par M. Duriau (a), l' urine était ammoniacale et contenait des caillots sangu
e la vessie, auxquelles doivent' être rattachées ces altérations de l' urine (7). Plusieurs des observations qui viennent d'
ns », dit Rayer, « dans les maladies de la moelle épinière, lorsque l' urine contenue dans la vessie est alcaline, elle l'est,
tein,2« édil.. p. 287. Berlin, 1870. échapper. Il y est dit que les urines , jusque-là restées normales, sont devenues, ainsi
athogénique unique, ou même prédominant, la rétention paralytique des urines . Il n'est guère possible non plus d'accorder une
ur à l'opinion (2) qui attribue-rait, en pareil cas, l'altération des urines à l'introduction de sondes malpropres et portant
aurait être qu'une circons-tance aléatoire, tandis que l'apparition d' urines ammoniacales, sanguinolentes et purulentes, dans
vait déjà noté, que dans la paraplégie traumatique, c'est lorsque les urines s'altèrent de bonne heure qu'on voit les eschares
, affections dans lesquelles il y aune grande dépense musculaire, les urines pré-sentent, dans leur constitution chimique, que
de vue par M. P. Begnard, dans le laboratoire de la Sorbonne, sur les urines de deux malades de M. Gharcot. Chez toutes deux,
ne, sur les urines de deux malades de M. Gharcot. Chez toutes deux, l' urine , contenait une proportion à peu près normale d'ur
ne porte que sur quelques symptômes, eu particulier l'incontinence d' urine et des matières fécales. — Chez un malade observé
et, comme il est survenu dans les derniers temps de l'incontinence d' urine , il prescrit 3pillules deO gr. 03 d'extrait de be
rescrit 3pillules deO gr. 03 d'extrait de belladone. L'incontinence d' urine , après avoir présenté des amendements passngers,
Hémiopie et achromatopsie. — Ilyperesthésie ovarienne. - Rétention d' urine . — Tympanisme.— Attaques convulsives, trismus. —
otale. — Vomissements urémiques. — Balancement entre la quantité de l' urine excrétée et les vomissements. Analyse chimi-que d
rétée et les vomissements. Analyse chimi-que des matières vomies, des urines et du sang. — Suspension des acci-dents. Retour
vec la vie. — Influence de l'évacuation d'une quan-tité même minime d' urine . — Rapidité de l'apparition des symptômes dans l'
hystérique. —L'innocuité de8 accidents est en rapport avec la dose d' urine produite dans l'organisme. — Résis-tance des hyst
, est plus restreinte. Il ne s'agit pas là de la simple rétention d' urine dans la ves-sie, fait vulgaire chez les hystériqu
années même, l'intervention de la sonde est nécessaire; mais alors, l' urine extraite de la vessie est abondante ou, tout au m
y a là une question à juger. Le fait capital, c/est que la quantité d' urine rendue en vingt-quatre heures, à l'aide de la son
endant plusieurs jours, il y a, en définitive, sup-pression absolue d' urine . B. Il convient d'ailleurs, dans l'espèce, d'ét
'établir des caté-gories. Voligurie ou même la suppression totale d' urine , peut n'être qu'un phénomène passager chez les hy
alades, surtout aux époques catamé-niales, une suppression complète d' urine qui ne dépasse pas vingt-quatre ou trente-six heu
laise et d'accélération du pouls , mais bientôt quelques cuillerées d' urine sont expulsées et tout ren-tre dans l'ordre (1).
. Durant des jours consécutifs, des semaines, des mois, la quantité d' urine rendue en vingt-quatre heures peut être insignifi
il y a, pendant une série de plusieurs jours, suppression com-plète d' urine . Lorsque les choses prennent cette tournure, à
n t.he Nervous Diseuses of Women. London, 1840 p. 229. l'odeur de l' urine . Toujours est-il que, dans deux ou trois cas, 1
es accidents semblent exciter riniérôtetlacuriositédes médecins, de l' urine pure sera expulsée parles vomissements, en quanti
t reconnu l'existence de l'urée. Peu après, survinrent l'écoulement d' urine par le nombril, les oreilles, les yeux, les mamel
ie hysté-rique : c'est que, en dehors de l'hystérie, la suppression d' urine pour peu qu'elle se prolonge au delà de quelques
de mort. La vie se prolonge un peu, si une quantité même mi-nime d' urine peut être rendue, mais le résultat final ne varie
atorzième jour. Le quinzième, le malade évacua un certaine quantité d' urine . Les accidents s'aggravèrent néanmoins et la term
rts m Mouvement médical, 1871. 3. J Pajet. — Case of suppression of urine very slowy fatal in Transac. of the clinical Soci
Parmi les autres symptômes, je ne dois pas oublier Préten-tion des urines et le ballonnement du ventre qui, eux aussi, sont
eux ou trois fois par an environ. Dix ans plus tard, la rétention d' urine apparaît. La malade est prise d'une hémiplégie av
1871, p. 103. La Planche XXV de la Revue représente celle malade. d' urine extraite par le cathétérisme était minime ; que,
artir de laquelle je fis recueillir jour par jour, séparément, et les urines et les vomissements. Il s'arrête en octobre 1871
centilitres, la moyenne quotidienne étant de 1 litre. La quantité des urines a varié entre 0 et 5 grammes : moyenne, 2 grammes
a été absolue de deux jours l'un (Pl. IX.) En août, la moyenne des urines a été de 3 grammes; celle des vomissements de 1 l
pendant plusieursjours. Mais remarquez que jamais l'ab-sence totale d' urine n'a persisté pendant plus de onze jours. Du 1er
la moyenne des vomissements a été de 1 litre 1/2 par jour, celle des urines ne s'élevant pas au-dessus de 2 grammes 50 (Pl. X
ne des vomis-sements s'élève, d'une manière générale, quand celle des urines Charcot. Œuvres complètes, t. i. . . 19 s'aba
ous le prêta avec la plus grande obligeance. 22 centilitres cubes d' urine recueillis le 10 octobre,et repré-sentant la tota
bes d'urine recueillis le 10 octobre,et repré-sentant la totalité des urines rendues ce jour-là, donnèrent à l'analyse 0 gr. 1
rêt; il y eut à la suite, pendant plusieurs jours, une incontinence d' urine . La contrac-ture disparut adroite : il ne fallait
xactes. Les vomissements, d'ailleurs, se suspendirent bientôt, et les urines revinrent progressivement au taux normal. V.
plète des symp-tômes, nous avons vu reparaître d'abord la rétention d' urine , c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite
e d'une attaque, nous notons des alternatives de polyurie (2 litres d' urine par jour) etd'oligurie. En mars, la sécrétion uri
e fut de 800 grammes pour les vomissements et de 100 grammes pour les urines (Pl. VII). Durant celte nouvelle phase d'expé-rim
isait manger. M. G réhanta analysé, à diverses époques du mois, les urines et les vomissements de douze jours. Durant ce lap
s de douze jours. Durant ce laps de temps, la moyenne quotidienne des urines a été de 206 grammes con-tenant 5 gr. 09 d'urée.
emple, certains symptômes extraordinaires, tels que l'écoulement de l' urine par le nez, les yeux, etc., et les vomissements d
térique. En examinant le tracé (Pl. XI), qui représente la quantité d' urine rendue chaque jour et celui qui résulte des 112 a
t trois mois, la malade rendait quoti-diennement de 15 à 20 grammes d' urines , contenant de 3 à 4 décigrammes d'urée. Certains
reuses, la malade émettait en quelques heures jusqu'à quatre litres d' urine , renfermant 27 grammes d'urée.— Pendant cette pér
jusqu'au quatorzième jour. Sans doute chez Etchev..., la quantité d' urine expulsée dans les jours intercalaires est très mi
rique des calculeux, lors de l'é-mission des plus petites quantités d' urine . Autre particularité : le calculeux est frappé,
rée évacuée dans les vingt-quatre heures par notre malade, soit par l' urine , soit par les vomissements, a sans doute frappé v
ccurence, d'ana-lyser comparativement, jour par jour, le sang- et les urines , afin d'y déterminer la proportion de l'urée et d
e phlegmasie de la glande rénale ou des uretères ; la composition des urines , de même que les autres symptômes, protesteraient
eut se produire, par ce fait même, une suppression momen- tanée des urines , ainsi que l'a vu M. Cl. Bernard; que dans l'o-pé
n de la fistule vésico-vaginale, il arrive également par-fois que les urines soient supprimées pendant un certain laps de temp
émon-trent, vous le savez, que la proportion de l'urée diminue dans l' urine relativementau volume de celle-ci, lorsqu'on étab
elleàO m. 060 millimètres de mercure, on ne trouve plus d'urée dans l' urine . M. Robert (de Manchester) (2;a confirmé la réa
truction calculeuse de l'ure-tère, il s'échappa une petite quantité d' urine claire, contenant seulement0 gramme, 50 centigram
entigrammes d'urée pour 1,000 gram-mes. Or,chez notre hystérique, les urines renferment 15 gram-mes d'urée pour 1,000 grammes,
e normal. 1. Donder's Physiologie. 2. The Palh. of Suppression of Urine . In The Lancet, 1868, may 23 et 30. — 870, juin 1
ure que depuis leur apparition, elle ne rend qu'une miuime quantité d' urine , que souvent elle reste plusieurs jours sans en r
égime lacté exclusif. — Du 4 au 9 sept., il n'y eut qu'une émission d' urine ^150 gr. environ). A partir de cette époque M. Ch
aliments ingérés, d'autre part, la quantité des matières vomies et d' urine rendue et, après avoir indiqué dans un tableau ce
le 9 et le 16 septembre, c'est-à-dire pendant huit jours pleins, les urines sont complètement supprimées durant les six premi
lité des ali-ments ingérés : or, pendant ce temps, il y a eu un peu d' urine dans les deux premiers jours (15 gr. et 250 gr.),
pt.), nous voyons la fonction urinaire se rétablir et le chiffre de l' urine atteindre le taux normal (1,000 gr., 500 gr., 1,1
'urée par l'esto-mac, M. Ch. Fernet a fait analyser par M. E. Hardy l' urine et les matières vo-mies. Du tableau récapitulatif
chiffre s'est élevé de 0 gr. 62 à 1 gr. 08); enfin, que du jour où l' urine rendue par la vessie a atteint un chiffre qu'on p
ine par des mouvements de bassin, avec constriction laryngée, pleurs, urines abondantes. Chez elle, aussi, la pression ovarien
ues. Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballonnement et la rétention d' urine , existent encore aujourd'hui. b) Presque en mêm
ble duventre, ces douleurs de la région ovarienne cette rétention des urines , constituent un ensemble de symptômes dont l'impo
16 ans ; — b) elle estatteinte, depuis quatre ans, d'une rétention d' urine réclamant ordinairement le cathétérisme ; c) elle
à la date du 21 mai pouvait se résumer ainsi qu'il suit : rétention d' urine , avec périodes d'ischurie, depuis neuf ans; — con
n de particulier: il y a eu hier une garde-robe après lavement. lh... urine sous elle. Plaque érythémateuse sur la fe.^se dro
mble apparaître presque en même temps. Ni vomissements, ni selles, ni urines . Même état de la fesse droite. Respiration sterto
pilepsie ; à aucune époque, il n'y a eu d'évacuations involontaires d' urine ou de matières fécales; dans les courts répits qu
19 au 20, 6 accès et dans la journée du 20, 7. Pas d'albu-mine dans l' urine ; fort sédiment urique. Langue chargée. Températur
Température o7(,,76: selles normales; léger trouble albu-mineux de l' urine . Les jours suivants de 8 à 16 accès par jour. É
16, éruption miliaire, conflncnte, en vésicules, au bout des doigts. Urine chargée de phosphate, sans albumine. Dans les acc
dant les accès, elle parle souvent et crie. Évacuations fré-quentes d' urines et de matières dans le lit. Amélioration, puis ét
fixée sur la tempe gauche , un autre jour, enfin, il y a rétention d' urine . Pendant plus d'un mois, la malade a vomi après t
NCHE IX ischurie hystérique. La ligne bleue indique la quantité d' urine rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des v
Charcot, oeuvres complètes, Tome I, Pl.IX 1871. Juillet Août Urine .2 gr. 50 Vomissements looo gr. A. Delahaye e
LANCHE X ischur1e hystérique La ligne bleue indique la quantité d' urine rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des v
complètes. Tome 1, Pl. X. 1872 Septembre Octobre Analyse des urines (u) et des vomissements (v) Urine dir 10 Octobre
Septembre Octobre Analyse des urines (u) et des vomissements (v) Urine dir 10 Octobre 22 00 Urée Ogr. 1Z9 Vomissements
NCHE XI ischurie hystérique. La ligne bleue indique la quantité d' urine rendue en 24 heures, et la ligne rouge celle des
Tome I, Pl. XI. 1872. Mars Avril Mai, 12 jours d'analyste Urine moyenne par jour 206cc pour: looo gr , 15 gr. d'u
pour: looo gr , 15 gr. d'urée Vomissements id 362 id 30 id t j . ( Urine 3 gi 095 Uree i Vomissements 2 „ 138 5 . 133
ystérique. Cette planche représente les variations de la quantité d' urine et d'urée pen-dant la période d'ischurie hystériq
inage de zéro. Puis tout à coup, en quel-ques heures, 3 ou 4 litres d' urine et 25 à 27 gr. d'urée étaient sécrétés. Le len-de
de la sonde et la même nourriture lui a été donnée chaque jour. — Les urines ont été également recueillies à l'aide de la sond
té d'uree rendue en 24 heures. La ligne rouge indique la quantité d' urine rendue en 24 heures. Charcot, œuvres complètes.
à début brusque, traumatiques ou spontanées. — Altération rapide des urines dans ces circonstances : elle se manifeste souven
. — Hémiopieet achromatopsie.— Hyperesthésie ovarienne. - Rétention d' urine . — Tympanisme.— Attaques convulsives, trismus. —
otale. — Vomissements urémiques. — Balancement entre la quantité de l' urine excrétée et les vomissements. Analyse chimi-que d
rétée et les vomissements. Analyse chimi-que des matières vomies, des urines et du sang. — Suspension des acci-dents. Retour
vec la vie. — Influence de l'évacuation d'une quan-tité même minime d' urine . — Rapidité de l'apparition des symptômes dans l'
hystérique. —L'innocuité des accidents est en rapport avec la dose d' urine produite dans l'organisme. — Résis-tance des hyst
ion ou abolition de la contractilité électrique, 65. — Altération des urines , 129. Hémianesthésie hystérique, 285,300, 330.
, 103, 106. — Atrophie musculaire dans 1' —, 105. — Altérations des urines dans 1' —, 129. Hémiplégie dans les attaques ap
283. — Fait clinique. 285. — Tracé indicatif des vo-missements et des urines , 289. — Analyses chimiques, 290, 292. — Rémission
tri-que, 65. — Lésions des capsules surrénales, 127. —Altérations des urines , 129. — Crises gastriques, 261. — partielles :
ité musculaire dans la), 39. Paraplégie traumatique (Altération des urines dans la), 128. (V. Hé-miparaplégie. ) Parésie d
ictions expérimentales, 19. Rémission, 166, 240, 259. Rétention d' urine chez les hystéri-ques, 277, 353, 356. Rétropues
5 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, le sphincter de la vessie se prend; il survient de la rétention d' urine et on fut dès lors obligé de le sonder. ' ' ' 1
le dixième jour de la maladie, le malade a été pris de rétention d' urine et il a fallu le sonder pendant un cer- tain te
de jours, des phénomènes contraires sont survenus et maintenant il urine involontairement et dit que l'émission de l'uri
et maintenant il urine involontairement et dit que l'émission de l' urine se fait par intervalle et par jet sans cependant
ns les muscles et les troncs nerveux, vomissements, diminution de l' urine , albuminurie intermittente. Tout guérit, moins
s nous deman- dions alors si la constatation de l'albumine dans les urines ne nous permettrait pas d'expliquer certaines d
pportent les conclusions suivantes qui résultent de l'injection des urines de treize malades atteints d'épilepsie « idiopa-
ines de treize malades atteints d'épilepsie « idiopa- thique ». Les urines sont toxiques de la même façon que celles des s
sur treize, le coefficient urotoxique, calculé sur la totalité de l' urine des vingt-quatre heures, était normal. Chez les
l consécutif aux paroxysmes, rendant très difficile la récolte de l' urine des vingt-quatre heures, les ont empêché de mul
éré fit trois communi- cations sur les injections intra-veineuses d' urines d'épilep- tiques. Dans une première note (26 av
nocturnes sans mictions involontaires. On conservait séparément l' urine de la miction du soir. Dans la nuit, le malade
il n'urinait pas au lit. On recueillait alors le matin une deuxième urine , la pre- mière était prae-paroxystique, la seco
que, la seconde post-paroxystique. Dans ces conditions, la première urine amenait la mort rapidement avec de fortes convu
dont les conditions physiologiques n'ont pu être déterminées, les urines pra ? -paroxystiques sont plus toxiques et plus c
-paroxystiques sont plus toxiques et plus con- vulsivantes que les urines post-paroxystiques. » « Les coefficients urotox
sécutives . à vingt-quatre heures » et non pas sur la totalité de l' urine de vingt-quatre heures. Le malade de M. Féré
d'erreur dans ses propres expériences. « Une partie de la deuxième urine , dit-il, est en réalité de l'urine proe-paroxys-
ces. « Une partie de la deuxième urine, dit-il, est en réalité de l' urine proe-paroxys- tique, puisqu'elle a été sécrétée
u'elle a été sécrétée avant l'accès. » Aussi, il n'in- jecte plus l' urine de la première miction consécutive à l'accès, m
le de la deuxième miction. Dans ces conditions, il cons- tate que l' urine prae-paroxystique est treize fois et demie plus
t demie plus toxique et onze fois et demie plus convulsivante que l' urine post-paroxystique. Ici, comme dans les expérien
une dernière note enfin, après avoir constaté de nou- veau que les urines post-paroxystiques sont peu toxiques, il rappor
Chevalier-Lavaure', qui trouve une diminution dans la toxicité de l' urine des maniaques et est tenté d'attribuer à cette
e la journée ils rendent proportionnellement sept à huit litres d' urine , bien que la totalité de l'urine de vingt-quatre
tionnellement sept à huit litres d'urine, bien que la totalité de l' urine de vingt-quatre heures ne soit pas, en fin de c
airet, de Montpellier, on a étudié successive- ment la toxicité des urines des aliénés et des hystériques. 1 Thèse de doct
coefficients urotoxiques sur une donnée constante, la totalité de l' urine des vingt-quatre heures; leurs résultats sont p
comparables entre eux. Ces résultats s'appliquent à la toxicité des urines des épileptiques et en dehors des accès. Pour l
'ils n'ont pu arriver à recueillir pendant vingt-quatre heures de l' urine avant des accès impos- sibles à prévoir, ou apr
ant lesquelles ils rendent proportionnellement sept à huit litres d' urine sans que la totalité de l'urination soit en som
les préceptes de M. Bouchard, c'est-à-dire à recueillir toutes les urines de vingt-quatre heures et à les injecter très d
yes; nous avons fait comme M. Féré ; nous avons pris les mictions d' urine avant et après les accès convulsifs, avons inje
coefficient d'urotoxicité par la quantité totale approximative des urines en prenant quand nous le pouvions toutes les ur
proximative des urines en prenant quand nous le pouvions toutes les urines de vingt-quatre heures pendant plusieurs jours
ne pas terminer une opération commencée avec une seule miction (les urines recueillies ne sont pas en assez grande quantit
rce que dans plu- sieurs de nos expériences la quantité totale de l' urine a pu être assez exactement évaluée et la compar
s nous conseillons d'abandonner les cobayes pour les injec- tions d' urine : 1° parce que l'injection intra-veineusc chez le
r l'albuminurie des épileptiques 1, de recher- cher la toxicité des urines : 1 Jules Voisin et A. Pérou. (Archives de Neur
nfin nous nous sommes demandés quelle est la toxicité nor- male des urines des épileptiques. Nous n'avons pu remplir toute
utes ces conditions parce que nous n'avons pu recueillir toutes les urines des vingt-quatre heures dans ces cas déterminés
que attaque, nous avions soin, quand nous voulions expérimenter les urines de ces malades, de les faire aller à la garde-r
outes les deux heures et de cette manière nous évitions une perte d' urine qui serait arrivée brusquement au moment de l'a
ou trois heures. De cette manière encore nous évitions une perte d' urine involontaire. Nous avons expérimenté aussi sur
e perte d'urine involontaire. Nous avons expérimenté aussi sur de l' urine de malades qui n'étaient pas trop avancé dans l
itions. Les expériences que nous avons faites sur la toxicité des urines nous prouvent une fois de plus que nous avons rai
ager la question sous cet aspect, car pendant tous ces jours, leurs urines présentent la même toxicité pour se mo- difier
ssitôt que les accès sont finis. Quand, au contraire, la toxicité d' urine augmente après un accès isolé, c'est que vrai-
s accès en apparence isolés avec ou sans petit mal. La toxicité des urines des vingt-quatre heures, avant la série, pendan
s expériences que nous avons entreprises. Une fois les mictions d' urine recueillies, nous les mélan- geons toutes dans
mise dans les vingt-quatres heures et ses qualités phy- siques. L' urine une fois recueillie nous l'injections immédiateme
hard ont démontré qu'il n'y avait aucun inconvénient à injecter des urines acides. Si on ne pouvait faire l'injection immé
mettre une petite pincée de naphtol dans le bocal renfermant cette urine . Ce naphtol est un très bon antisep- tique et s
R LES COBAYES Coefficient d'zirotoxicité calculé sur la moyenne des urines de vingt- quatre heures. Le 11 septembre, on
atin, à l'aide de la sonde, avant la période clonique d'un accès, l' urine de Sep..., dont voici le relevé des attaques da
che et en cinq minutes, de 2 h. 30 à 2 h. 35, on injecte 23 c. c. d' urines . Je dois m'arrêter parce que je n'ai plus d'uri
jecte 23 c. c. d'urines. Je dois m'arrêter parce que je n'ai plus d' urines proe-paroxys- tiques. On détache l'animal à 3 h
s l'injection. II). Une heure après l'accès dont on a injecté les urines proe-pa- roxystiques. On recueille l'urine de S
s dont on a injecté les urines proe-pa- roxystiques. On recueille l' urine de Sep... Cette urine ne renferme pas de traces
s urines proe-pa- roxystiques. On recueille l'urine de Sep... Cette urine ne renferme pas de traces d'albumine. Filtrée e
Dénudation à gauche facile : injection en dix minutes de 65 c. c. d' urines . Arrêt des mouvements respiratoires à 65 c. c.
es différences de poids des animaux, les diffé- rences de poids des urines injectées et enfin le temps relativement assez
assez long qui a amené la mort du premier animal, la toxicité des urines de Sep ? proe ou post-paroxystiques est sensiblem
340 - 65 - - pendant l'injection. Malheureusement la totalité de l' urine des 24 heures n'a pas été recueillie ce jour. P
QUES. 187 III). Le 25 septembre on recueille à 11 heures du matin l' urine de Sep..., on la filtre et elle est alcalinisée
e est alcalinisée avec la solution de bi- carbonate de soude. Cette urine ne contient pas d'urohiline ni d'albumine. Co
oite, injection de 50 c. c. en vingt minutes environ. La quantité d' urine des vingt-quatre heures a été ce jour-là de 1650
es a été ce jour-là de 1650 grammes. IV). Le 2 octobre on injecte l' urine de Sep... sans attaques depuis quatre jours.
e on injecte l'urine de Sep... sans attaques depuis quatre jours. Urines de une heure de l'après-midi alcalinisées et filt
perte de sang appréciable. Injections en dix minutes de 75 c. c. d' urines . Mort à 75 c. c. avec convulsions toniques répé
s. Pas de réaction. Par une erreur faite par la fille de service, l' urine de Sep... n'a pas été recueillie en totalité ce
, absolument perdue, a dû être camisolée. Elle mange cependant. L' urine est très acide. On la neutralise, on la filtre. E
he, dénudation facile. Injections en un quart d'heure de 47 c. c. d' urines . A 42 c. c., l'animal se raidit en arrière, tout
ien dans l'encéphale à l'oeil nu. Voici dans quelles conditions l' urine a été recueillie : - A 10 heures et demie on fa
A 10 heures et demie on fait pisser la malade qui donne 30 c. c. d' urine environ, à 5 heures un quart elle n'a pas encore
res cubes qui ont été mé- langés aux précédents. La totalité de l' urine des vingt-quatre heures recueillie avec beau- c
on état normal, On a dû la sonder .pour recueillir environ 60 ce. d' urines depuis 11 heures du matin. Urine très acide, al
.pour recueillir environ 60 ce. d'urines depuis 11 heures du matin. Urine très acide, alcalinisée, filtrée, injectée, à 2 h
ion très claire. On interrompt l'injection parce qu'il n'y a plus d' urines . On va sonder le malade pour la deuxième fois (
midi, à l'aide de la sonde, avant la période clonique de l'accès, l' urine de Mon... Or, Mor..., le 11 septembre, a eu 2
ICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 189 Le 29, 4 accès de jour, l' urine a été recueillie avant le premier accès. Le 3
cès de jour. Du 1er au 10 octobre, pas d'attaques ni de vertiges. L' urine prise pour comparer l'état sériel avec l'état n
obre, une attaque de jour. Le 11 2 de nuit. Première injection. L' urine recueillie le 29 est claire, elle est alcalinis
sang appréciable. En vingt minutes environ, injection de 90 c. c. d' urine ; à 30 c. c., miction d'urines troubles; à 52 c.
nutes environ, injection de 90 c. c. d'urine; à 30 c. c., miction d' urines troubles; à 52 c. c., agitation; à 75 c. c.; seco
Mor... pèse 61 k. 800. Le cochon d'Inde 490 grammes. La quantité d' urine recueillie dans les vingt-quatre heures est de
t-quatre heures est de 1.700 grammes. Mor... n'aurait pas perdu d' urine pendant ses quatre accès qui se sont succédé da
dans les vingt-quatre heures. Voici, d'autre part, la totalité des urines pendant dix jours, du 3 au 13 octobre inclus, r
énale sans infarctus. Le coeur continue à battre. Pas d'injection d' urine dans le tissu cellu- laire autour de la veine.
'injection d'urine dans le tissu cellu- laire autour de la veine. L' urine n'était ni albumineuse ni urobi- lique. La tota
ne. L'urine n'était ni albumineuse ni urobi- lique. La totalilé des urines recueillies dans les vingt-quatre heures a été
té de 1.600 grammes. - Coefficient urotoxique du 2 octobre, 0.45. URINES DE DEM... Relevé des attaques en septembre et o
s de jour. 18 - Trois de nuit. Voici d'autre part la totalité des urines du 3 au 13 octobre (pas d'attaques). (Le 8 octo
c. Accélération des mouvements respiratoires à 6 c. c. Mictions d' urines claires à 26 c. c. - répétées très abondantes d
vant la période clonique du deuxième accès, à l'aide de la sonde, l' urine de Dem... La série a commencé hier soir (se rep
as eu d'autre attaque dans la journée, la série était terminée. L' urine injectée, a été recueillie à une heure et demie d
e sans perte de sang. Infection en 10 minutes environ de 34 c. c. d' urine filtrée et alca- linisée ; à 30, secousses sans
hes. Pas de miction ni de défécation. Autopsie. - Vessie pleine d' urines troubles ; congestion pulmo- naire et rénale. L
e qui semble indiquer que la décharge est rapide. La totalité des urines , dans vingt-quatre heures, recueillies avec soi
é de 1900 c. c. Coefficient urotoxique 1,02. UI). 8 octobre 1891. - Urines de Dem... sans accès depuis le 2 oc- tobre, rec
Pas de perte de sang. Injection en un quart d'heure, de 90 c. c. d' urines ; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20
ion en un quart d'heure, de 90 c. c. d'urines ; à 25, tre miction d' urines troubles ; à 40, 20 mic- tion d'urines troubles
urines ; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20 mic- tion d' urines troubles. Les mictions se répètent jusqu'à la mor
se répètent jusqu'à la mort, claires. On peut recueillir 25 c. c. d' urines du cobaye, sur la plan- chette. Elles ne sont p
. A 90, mort. ' 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' La totalité des urines recueillies dans les vingt-quatre heures, avec
avec soin, a été de 2 litres 300. Coefficient urotoxique 0,42. - URINES DE BART... Le -lek octobre, on recueille à 11 h
ES DE BART... Le -lek octobre, on recueille à 11 heures du matin, l' urine de Mme Bart..., pesant 63 lui. 3. Cette malade,
lendemain 15, elle était d'ailleurs revenue à son état normal. L' urine est très trouble, en petite quantité, à réaction
its infarctus disséminés. Peu de congestion rénale. Vessie pleine d' urines troubles. L'animal n'a pas uriné, n'a pas dé- f
n'a pas dé- féqué pendant la durée de l'injection. La quantité d' urines recueillies dans les vingt-quatre heures, s'élè
selles liquides, une à 8 heures du soir, une à 2 heures du matin'.) Urines recueil- lies, 700 grammes. Poids de la malade,
0,54. 1 La fille de service de nuit nous a dit qu'il y avait peu d' urine dans la selle de 8 heures, mais que dans celle
, sans exagération, pouvoir fixer approxi- mativement la quantité d' urines à 1 litre. La journée suivante l'urine fut recu
i- mativement la quantité d'urines à 1 litre. La journée suivante l' urine fut recueillie en totalité. Il y en eut 1650 gr
ÉRIENCES SUR LES LAPINS. Coefficient d'urotoxicité calculé avec les urines des 21 heures. 2 avril. Broc..., vingt et un an
e manifestation comitiale vers dix heures du soir. On recueille l' urine du le, avril, 11 heures du matin, au 2 avril mê
nés, encéphale sain. Coeffi- cient urotonique : 0,443. 4 avril. L' urine a été recueillie du 2 avril, 4 heures du soir a
u soir, trois heures par conséquent après la fin de la récolte de l' urine , Broch... a eu un grand accès. - 8 avril. Bro
re attaque dans la nuit du 4 au- 5 avril, vers 10 heures du soir. L' urine injectée a été recueillie trente-huit heures ap
vril, vers 7 heures du matin, dix-neuf heures après la récolte de l' urine , un grand accès. Q = 1.500 c. c. ; . , Lapin de
n grand accès. Q = 1.500 c. c. ; . , Lapin de 1 kil. 550. f " ' L' urine injectée a été naphtolée. Sa réaction est netteme
avec épilepsie. Père alcoolique, mère hystérique. Accès en série. Urines post-paroxystiques. 4 ? avril. Gauth..., poids
que de jour, deux accès dans la nuit du 30 au 31. (On recueille l' urine le 31 mars, à 10 heures du matin, jusqu'au 1er
troubles gastriques. . A 4 heures de l'après-midi, le 1C" avril, l' urine est injectée. Elle est à réaction nettement aci
e. Dans l'encéphale, légère congestion. z Coefficient urotoxique. Urines post-paroxystiques : 0,578. 2 au21l. - Gault...
0,578. 2 au21l. - Gault... n'a pas eu de nouvel accès depuis hier. Urines recueillies du 1cr avril, 4 heures de l'après-m
idi au 2 avril même heure : Q = 850 ce. Lapin de 2,480 grammes. - Urines à réaction acide, filtrées avec soin. ' · Ver
etbrusque. Perte immédiate du réflexe cornéen. Mort. Une miction d' urines troubles dans les derniers temps de la vie. Dur
avril. - Gault... est toujours sans accès. Q = 1,200 c. c. environ. Urines recueillies du 2 au 3 avril. Lapin de 1,920 gra
é dans cette expérience, dont on ne peut rien conclure à injecter l' urine de Gault... dans l'inter- valle des accès. (Voi
ne de Gault... dans l'inter- valle des accès. (Voir le relevé.) L' urine a été recueillie le 20 (mercredi), 10 heures du m
au 21 (jeudi) même heure. Q = 1,500 c. c. Odeur ammoniacale ; les urines par erreur n'ont pas été naphtolées. Elles ne b
coeur. Coefficient urotoxique calculé d'après ces données, 0,670. Urines d'accès. - 2 mai. - Le 30 avril, Gault... a quatr
le 1er mai, deux grands accès de jour et un accès incom- plet. L' urine a été recueillie du 30 avril, 9 heures du matin,
eu de miction involontaire pendant ses accès. Elle n'a pas perdue d' urines la nuit. Q = 775 c. c. Naphtolées. - On les inj
e ait été .mise en défaut, en admettant que Gault... ait perdu de l' urine , ce qui d'ailleurs est nié très catégoriquement
nuit. (A remarquer la longue durée de la période de calme avec des urines très toxiques.) 11 avril. Deux accès complets
convergente. Grand-père épileptique. - Père et mère éthyliques. 1 Urines d'accès. 29 mars. Eud..., 51 kil. 500. Le 27 mars
idi du 27, un grand accès le 28 au matin. Elle n'aurait pas perdu d' urines pendant ces diverses manifestations. , - Urin
urait pas perdu d'urines pendant ces diverses manifestations. , - Urines naphtolées, à réaction nettement acide, contenant
; A 235 c. c., mort sans nouvelles convulsions. Une seule miction d' urines , troubles au début de l'ex- périence. ' Autop
ience. ' Autopsie. - Le coeur bat. Congestion rénale intense. Pas d' urine dans la vessie. Foie et poumons congestionnés.
s congestionnés. Encéphale normal. Coefficient urotoxique, 0,194. Urines post-paroxystiques. 21 mai. Eud... a eu deux accè
rveillante qui ne croyait pas la série terminée, on n'a recueilli l' urine que le 20 à partir de 6 heures du soir jusqu'au
Lapin de 2 kil. 100. Injection en 25 minutes environ de 176 c. c. d' urines . Myosis 35 seulement. A partir de ce moment les
accentuent rapidement et deviennent superfi- cielles comme dans les urines post-paroxystiques; A 120, respi- ration irrégu
ère de magasin avec difficulté. - 200 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Urines préparoxystiques. 4 avril. Hug.... Poids, 57 kil.
ent les « secousses qui, chez elle, précèdent la série des accès. Urines Q = 2000 c. c. du 3 avril 7 heures matin au 4. Ac
rès la fin de l'injection sans convulsions. 4 mictions abondantes d' urines claires pendant l'injection des trois cents premi
nt de liquide dans le péritoine. Coefficient urotoxique, 0,121. ' Urines pendant l'accès. 5 avril. Hug... a eu, le 4 avril
u matin, à midi, à 4 heures et demie du soir, un grand accès. - L' urine a été recueillie du 4 de 2 heures après midi au 5
est énorme. Mort à 220, sans accès convulsif. Plusieurs mictions d' urines claires pendant l'injection. Autopsie. Congesti
201 elle criait ses visions. Le 8 avril, on cherche à recueillir l' urine , mais la malade est tellement indocile qu'on ne
ile qu'on ne peut recueillir la totalité des vingt-quatre heures. Urines pendant le délire. Le 11 avril, l'excitation des
che, cependant la malade mange avec assez d'appétit. On recueille l' urine du 11 avril, 2 heures après midi, au 12, même h
ril, 2 heures après midi, au 12, même heure. Totalité : 1.240 c. c. Urines non albumineuses, acides, filtrées, non naphtol
l'occasion d'une convulsion. L'animal a eu une miction abondante d' urines claires dans les derniers moments de l'injec- t
gestion du cou et de l'encéphale. Coefficient urotoxique : 0,155. Urines pendant et à la fin du délire. 19 avril. Hug... n
lire plus depuis hier soir; on a pu l'envoyer à l'atelier ce matin. Urines recueillies le 18 à partir de 6 heures du matin,
: 0,173. 202 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. -DE LA TOXICITÉ URINAIRE. Urines pendant la période de calme. 28 avril. Hug... peu
e. Elle n'a pas de délire depuis la dernière injection... " . - - Urines recueillies du 26 au 27 avril. Naphtolées à réact
ilation qui suit immédiatement la série de Hug... pour recueillir l' urine des vingt- quatre heures. Hug... est sans accès
s-midi; le soir du 4 mai, commencement de la période délirante. 1 Urines recueillies du 3 mai, 4 heures du soir,' au 4 mai
disque optique. Pas de troubles gastriques, le coeur normal, les urines aussi. Immédiatement après une inhalation de
re. M. Gilles de la Tourette croit, que pour ces cas l'examen des urines pourrait trancher le doute : en effet, la migrain
perdre conscience et de se mordre la langue. Pas d'incontinence d' urine la nuit. ' Les crises sont très irrégulières. I
uls est normal, régulier, plutôt un peu fort. Pas de pouls veineux. Urines rares 350 à 500 grammes densité moyenne 1018 Co
ur pongitive dans le côté gauche, dyspnée suffocante, insomnie, - l' urine diminue, albumine en abondance, céphalée, oedèm
ervations de Korsakow. Hyperexcré- tion anormale d'urobiline dans l' urine comme dans les faits de Harley (British med. Jo
rne ou interne luto-intoxication),bactérienne ou autre. Peut-être l' urine était-elle ans l'espèce l'émonctoire protecteur
vertiges, ralentissement de la parole, par moments incontinence d' urine passagère. Intégrité de la sensibilité, de l'inte
ail de Kussmaul. Dans le premier cas, il regrette que l'examen de l' urine n'ait pu être pratiqué, et rappelle, à propos d
ce, des douleurs lancinantes, le signe de Romberg, l'incontinence d' urine , le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de
6 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ctions ne sont pas décolorées, et n'ont jamais donné de concrétion; l' urine est rouge brun. Dans l'intervalle de ces crises,
de la rate, puis, plus tard, l'amaigris-sement et l'évacuation d'une urine foncée et souvent sédimenteuse. Mais l'inappéte
ste, n'ont été obser-vés que dans les premiers temps de la maladie. L' urine doit ordi-nairement, dans la cirrhose, sa teinte
nt du plasma ; de là leur présence dans le sang. 5° Altération de l' urine . Les caractères principaux sont la colo-ration ro
de dire de l'ictère rend parfaitement compte de ces altérations de l' urine . 6° Paralysie. Après avoir démontré que la para
de sa mère, trois onces de sang par l'urèthre. Jamais de rétention d' urine , ni de symptômes d'irritation du méat urinaire. L
gie. Une surveillance attentive ne permet de constater ni rétention d' urine , ni signes de calcul. — Le 24, l'enfant rend troi
'urine, ni signes de calcul. — Le 24, l'enfant rend trois onces d'une urine semblable à celle du 17 mai. Elle avait accompli
e avait accompli la miction quelques minutes auparavant et rendu de l' urine nor-male. La surveillante remarqua que le premier
ais bien de l'urèthre.— Le premier juin, évacuation de quatre onces d' urine sanglante. — Le 15 juin, rougeole. — A partir de
r de sa sortie de l'hôpital, l'enfant n'a plus rendu de sang avec les urines (the Lancet, 1870, vol. II, p. 552). — Le Dr Gree
sudoriiîque (Pereira) ; la sueur est fétide (Gilibert). Le cours des urines est ordinairement augmenté et quelquefois d'une m
z notable (Bryan, Gilbert). Dans ces cas, le Hachisch communi-que à l' urine une forte odeur de chanvre (Ballard, Garrod). — O
petite dose, ces substances sont utiles dans les cas d'incontinence d' urine , de constipation; pour diminuer les sécrétions ex
s accidents de l'intoxication urineuse sont dus à la pénétration de l' urine dans le sang, soit par une plaie, soit par l'abso
risme, la descrip-tions des opérations nécessitées par la rétention d' urine , par les rétrécissements de l'urèthre, par les fî
sés. Viennent ensuite les opérations nécessitées par la rétention d' urine ; or, quand il est urgent d'évacuer l'urine pour
sitées par la rétention d'urine ; or, quand il est urgent d'évacuer l' urine pour éviter un accident grave, tel que la rupture
l'urèthre, en raison soit de la nature de l'obstacle au passage de l' urine dans l'urèthre qui est infranchissable, soit de l
xécuter, elle ne pouvait se vider com-plètement, d'où altération de l' urine , usage continuel de la sonde. M. Voillemier, en
de rétablir le calibre du canal, de rétablir l'émis-sion facile de l' urine , défaire disparaître tous les troubles de la mict
re disparaître tous les troubles de la miction, tels que stagnation d' urine dans la vessie et dans l'urèthre, et consécutivem
aborder, l'auteur donne d'excellents préceptes sur l'évacuation de l' urine par les sondes, sur les injections vesicales, sur
'uriner violente et douloureuse ; il s'écoula beaucoup de sang avec l' urine . Cet accident n'eut pas de suite. —A partir de 18
t de plus en plus fréquentes. La mic-tion est très-douloureuse et les urines sont de plus en plus chargées de mucosités purule
pierre. Pendant la guerre, il survient brusquement une rétention d' urine qui oblige le docteur Hacherelle à pratiquer le c
rostration, cessent vite, mais la vessie reste indolente. Le malade n' urine pas sans se sonder, et, par la sonde, il fait tou
es. — Les envies d'uriner arrivent tous les quarts d'heure ; le jet d' urine est accompagné d'une douleur, allant de l'anus au
ui a conseillé, et du bon vin de Bordeaux coupé d'un peu d'eau. — Les urines , incolores, ont une odeur de macé-ration, elles l
e la vessie qui dure de une heure à une heure et demie. — Le malade n' urine qu'une fois pendant ce temps, il rend alors de 10
ine qu'une fois pendant ce temps, il rend alors de 100 à 60 grammes d' urine . Mais bientôt les spasmes se réveillent, les envi
une envie violente et persistante d'uriner avec douleur, quoique de l' urine s'écoule par la plaie. — Je passe une sonde en go
ne sonde en gomme coudée de moyen calibre et je retire 300 gram-mes d' urine . Je conseille au malade dont l'état général est t
douleurs cessent. Les jours suivants, la miction se fait bien et l' urine commence à passer par l'urèthre. — Le 20 octobre,
plaie, dont la cicatrisation se fait régulièrement en entonnoir. Les urines reprennent leur couleur normale. — L'enduit noirâ
que toutes les deux ou trois heures. Dès qu'il y a du dépôt dans les urines , le malade se fait lui-même une injection d'eau p
mière fois avec une ascite. Les bruits du cœur étaient réguliers, les urines normales. On ne sentait aucune tumeur dans l'abdo
oigt d'un aide, permettait d'obtenir à volonté de petites quantités d' urine qu'on examinait à l'aide de l'amidon et de l'acid
des, les réactifs commencèrent à déceler la présence de l'iode dans l' urine ; une minute après l'injection la réaction violett
lle était très-marquée. Quelquefois l'iode disparaît promplement de l' urine . Ainsi, dans un essai, la réaction violette était
Cette opération fut suivie de symptômes fébriles et de rétention d' urine avec ballonnement du ventre; néanmoins la malade
, est plus restreinte. Il ne s'agit pas là de la simple rétention d' urine dans la vessie, fait vulgaire chez les hystérique
nées même, l'in-tervention de la sonde est nécessaire ; mais alors, l' urine extraite de la vessie est abondante ou, tout au m
a là une question à juger. Le fait capital, c'est que la quantité d' urine rendue en vingt-quatre heures, à l'aide de la son
pendant plusieurs jours, il y a, en définitive, suppression absolue d' urine . B. Il convient d'ailleurs, dans l'espèce, d'ét
établir des catégories. h'oligurie, ou même la suppression totale d' urine , peut n'être qu'un phénomène passager chez les hy
a-lades, surtout aux époques cataméniales, une suppression complète d' urine qui ne dépasse pas vingt-quatre ou trente-six heu
laise et d'accélération du pouls ; mais bientôt quelques cuillerées d' urine sont expulsées et tout rentre dans l'ordre. (Laye
. Durant des jours consécutifs, des semaines, des mois, la quantité d' urine rendue en vingt-quatre heures peut être insignifi
il y a, pendant une série de plusieurs jours, suppression complète d' urine . Lorsque les choses prennent cette tournure, à
ont la matière présente quelquefois, dit-on, l'aspect ou l'odeur de l' urine . Tou-jours est-il que, dans deux ou trois cas, l'
cidents semblent exciter l'intérêt et la curiosité des médecins, de l' urine pure sera expulsée par les vomissements, en quant
t reconnu l'existence de l'urée. Peu après, survinrent l'écoulement d' urine par le nombril, les oreilles, les yeux, les mamel
ie hysté-rique : c'est que, en dehors de l'hystérie, la suppression d' urine , pour peu qu'elle se prolonge au delà de quelques
vis de mort. La vie se prolonge un peu, si une quantité même minime d' urine peut être rendue, mais le résultat final ne varie
torzième jour. Le quinzième, le malade évacua une certaine quantité d' urine . Les accidents s'ag- 1 Med. Transad. published
erts in Mouvement médical, 1871. 4 J. Paget, Case of suppression of urine very slotvly fatal. In Transad, of the clinical S
Parmi les autres symptômes, je ne dois pas oublier la rétention des urines et le ballonnement du ventre qui, eux aussi, sont
ux ou trois fois par an environ. Cinq ans plus tard, la rétention d' urine apparaît. La malade est prise d'une hémiplégie av
malade plu-sieurs fois par jour, s'aperçut que parfois la quantité d' urine extraite par le cathétérisme était très-minime ;
rtir de laquelle je fis re-cueillir jour par jour, séparément, et les urines et les vomisse-ments. 11 s'arrête en octobre 1871
centilitres, la moyenne quotidienne étant de i litre. La quantité des urines a varié entre 0 et 5 grammes : moyenne, 2sr,50 en
'ischurie a été absolue de deux jours l'un. En août, la moyenne des urines a été de 3 grammes; celle des vomissements de 1 l
ndant plusieurs jours. Mais remarquez que jamais l'absence totale d' urines n'a per-sisté pendant plus de onze jours. Du 1e
la moyenne des vomissements a été de 1 litre 1/2 par jour; celle des urines ne s'élevant pas au-dessus de 2sr,50. Un fait m
igne des vomissements s'élève, d'une manière générale quand celle des urines s'abaisse, et inver-sement. 11 y a donc eu un bal
ous le prêta avec la plus grande obligeance. 22 centilitres cubes d' urine recueillis le 10 octobre, et représen-tant la tot
es d'urine recueillis le 10 octobre, et représen-tant la totalité des urines rendues ce jour-là, donnèrent à l'analyse 0gl',l7
rêt; il y eut à la suite, pendant plusieurs jours, une incontinence d' urine . La contracture disparut à droite : il ne fallait
xactes. Les vomissements, d'ailleurs, se suspendirent bientôt, et les urines re-vinrent progressivement au taux normal. V
mplète des symptômes, nous avons vu reparaître d'abord la rétention d' urine ; c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite
e d'une attaque, nous notons des alternatives de polyurie (2 litres d' urine par jour) et d'oligurie. En mars, la sécrétion ur
yenne quotidienne des matières vomies fut de 500 grammes et celle des urine : de 300 grammes. En avril, celte moyenne fut de 8
e fut de 800 grammes pour les vomissements et de 100 grammes pour les urines . Durant cette nouvelle phase d'expérimentation,
isait manger. M. Gréhant a analysé, à diverses époques du mois, les urines et les vomissements de douze jours. Durant ce lap
s de douze jours. Durant ce laps de temps, la moyenne quotidienne des urines a été de 206 grammes, contenant 5sr,09 d'urée. La
emple, certains symptômes extraordinaires, tels que l'écoulement de l' urine par le nez, les yeux, etc., et les vomissements d
jusqu'au quatorzième jour. Sans doute, chez Etchevery, la quantité d' urine expulsée dans les jours intercalaires est très-mi
etérique des calculeux lors de rémission des plus petites quantités d' urine . Autre particularité : Le calculeux est frappé,
rée évacuée dans les vingt-quatre heures par notre malade, soit par l' urine , soit par les vomis-sements a sans doute frappé v
currence, d'analyser comparativement, jour par jour, le sang et les urines afin d'y déterminer la proportion de l'urée et de
phleg-masie de la glande rénale ou des uretères ; la composition des urines , de même que les autres symptômes,protesteraient
ventre est ouvert, il peut se produire une suppression momentanée des urines (Cl. Ber-nard) ; que, dans l'opération de la fist
on de la fistule vésico-vaginale, il arrive également parfois que les urines soient supprimées pendant un certain laps de temp
lle è O"1,060 millimètres de mercure, on ne trouve plus d'urée dans l' urine . 1 Donder's Physiologie. M. Roberts (de Manch
truction calculeuse de l'uretère, il s'é-chappa une petite quantité d' urine claire, contenant seulement 0gr,50 centigrammes d
centigrammes d'urée pour 1000 grammes. Or, chez notre hystérique, les urines renferment 15 grammes d'urée pour 1000 grammes, c
et le médecin du pays qu'habitait 1 The Pathology of suppression of urine . In the Lancet, 1868, may 23 et 30; — 1870, june
pporter nous a fourni l'occasion d'appliquer dans l'ex-ploration de l' urine , un procédé de dosage de l'albumine, imaginé par
titude presque mathématique la proportion d'albumine con-tenue dans l' urine ; 2° par sa sensibilité, puis- qu il fait découv
ramme. 100 — Pour opérer le dosage, on prend 10 centimètres cubes d' urine filtrée, et l'on y verse goutte à goutte la lique
décroissance progressive de la proportion d'albumine contenue dans l' urine , en même temps que la décroissance de la températ
e son ventre et ses membres inférieurs étaient enflés. On examina son urine par la chaleur et un liquide, mais chaque fois l'
On examina son urine par la chaleur et un liquide, mais chaque fois l' urine restait claire. Quelque temps après l'accouchemen
0 grammes. Second accès écïamptique aussitôt après la délivrance. L' urine , examinée les jours précédents, ne contenait pas
. T. V. 37°,4 ; P. 84. — juin. T. V. 37°,5 ; P. 80. L'albumine de l' urine , ayant été dosée par le procédé Tanret, a présent
mbre, par un érythème chronique, résultat du contact irritant et de l' urine et de l'ichor cancéreux. Un peu déjetées à droite
me pour vider la vessie ; la douleur pro- duite par le passage de l' urine , soit sur l'urèthre enflammé, soit sur les partie
vessie et catarrhe de cet organe. Depuis plusieurs mois, le malade n' urine plus qu'avec dif-ficulté et goutte à goutte. Dans
re. — État général assez bon. — Dans la nuit du 24 au 25, rétention d' urine , cathétérisme. — Pansement de la plaie avec linge
qui s'y trouve, et qu'on le mélange avec de l'eau sucrée, salée, de l' urine ou de l'iod-sérum préférai dément, on aperçoit so
pilepsie; à au-cune époque, il n'y a eu d'évacuations involontaires d' urines ou de matières fécales ; dans les courts répits q
19 au 20,6'accès et dans la journée du 20, 7. Pas d'albu-mine dans l' urine ; fort sédiment urique. Langue chargée. Températur
. Température 57°, 75; selles normales; léger trouble albumineux de l' urine . Les jours suivants de 8 à 16 accès par jour. E
le 26, éruption miliaire, confluente en vésicules au bout des doigts. Urine chargée de phosphates, sans albumine. Dans les ac
dant les accès, elle parle souvent ou crie. Éva-cuations fréquentes d' urine et de matières dans le lit. Amélioration, puis ét
ie absolue. — Amendement de la paralysie. — Incontinence nocturne d' urine . — Intelligence conservée. — Spécimens du langa
T. R. 38°, 4. 3 déc. P. 100; T. R. 39°, 8. Incontinence nocturne d' urine . — Soir : P. 72; T. R. 37°, 8. V... a été levé po
. — Soir : P. 64 ; T. R. 37°, 4. 5 déc. P. 60; T. R. 37°. Le malade urine toujours sous lui. — Soir : P. 68; T. R. 37°, 2.
7°. Constipation depuis deux jours. Lavement purgatif. Incontinence d' urine . V... descend de son lit et y remonte sans aide;
male. Le malade se trouve mieux. P. 96; T. R. 37°,7. L'incontinence d' urine , qui avait cessé, se montre de nouveau. ^Sjanv.
sement de l'urèthre, qui joue peut-être un rôle dans l'incontinence d' urine . V... nous fait comprendre qu'il a eu cinq hémorr
on de peu de durée. On a constaté la présence de l'hyoscyamine dans l' urine du malade. 14 août. La céphalalgie a disparu; l
ans qu'elle éprouve de soubresauts. Enfin elle peut mieux retenir ses urines et ses jambes, qui étaient enflées tous les soirs
anal de Sténon. Temp. axil. 38°,4. 96 puisât. Pas d'albumine dans l' urine , aug-mentation du chlorure de sodium. La malade s
aitement fondées. Le chapitre premier consacre 21 pages à étudier l' urine physio-logique et pathologique, l'examen microsco
d'impression : la quantité des matières solides qui pas-sent dans les urines en 24 heures est évaluée à 3 grammes et une fract
seulement aux pubis, mais encore sur le corps. Pas d'albumine dans l' urine , malgré l'infiltration. Depuis la maladie dont
effet sur la pression intra-va-cu-laire. A mesure que la quantité des urines augmente, leur densité diminue. 5° L'action de
7 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
cédé la maigreur et la sécheresse de tissus habituelles au sujet. Les urines étaient devenues très abondantes, et les digestio
ession qu'il détermine sur le col de •sic, doit gêner l'éjection de l' urine , avant de commencer le tai iponnement, il est bo
langes de l'enfant ne sont pas mouillés, attendu cpi'il ne rend pas d' urine ; puis à ses cris, et surtout à une tumeur transpa
une partie du prépuce, lorsqu'il a trop de longueur; le passage de l' urine suffit pour maintenir l'ouverture artificielle. T
e prépuce est très allongé et son ouverture très étroite. En effet, l' urine ne sortant que difficilement, il en reste toujour
les bords de son ouverture contractent des adhérences, la rétention d' urine devient complète, et l'enfant succomberait si l'o
verture du prépuce est assez large pour permettre une libre issue à l' urine , on ne s'aperçoit de la présence du phimosis que
ormée, observant de laisser une petite ouverture pour le passage de l' urine . Cette opération est ajuste titre inusitée, d'a
ans qui ont le prépuce très long et dans la cavité du-quel séjourne l' urine . Lorsque les calculs ne sont pas très gros et q
point que l'on fasse uriner le malade avant l'opération , parce que l' urine s'oppose à ce que la sonde qu'on introduit dans l
sent que la sonde à demeure dans la vessie est inutile, attendu que l' urine s'opposera suffisamment à l'oblitération du méat
conservé est d'une certaine longueur les malades peuvent pousser leur urine au loin , comme dans l'état ordinaire ; mais lors
forme conique, en buis ou en métal, destinée à diriger le cours de l' urine , en s'ap-pliquantpar sa partie la plus large sur
e celle-ci fût enfoncée de i3 à i4 cent, dans le canal excréteur de F urine . Il ne faut donc pas attacher à la longueur connu
d'une manière plus ou moins complète et s'opposer à l'écoulement des urines ; d'autres fois le veru monta-num s'épanouit et fo
t inférieurement par les muscles bulbo-caverneuxou accélérateurs de l' urine qui le séparent de la peau; ces muscles, unis par
table étui susceptible de se décoller au loin par l'infiltration de l' urine ; quand il existe des crevasses du canal, la porti
as ou Xépispadias , dispositions qui, en per-mettant l'expulsion de l' urine au dehors, rend le sujet via-ble, et donne tout l
ment à en pratiquer un suivant le trajet normal pour donner issue à l' urine . L'un perforation du pénis s'annonce d'elle-même
e vue. Le point où elle s'ar-rête est indiqué par la fluctuation de l' urine qui se fait égale- ment sentir dans toute la lo
tuée un peu plus en arrière. Dans la seconde espèce, l'expulsion de l' urine a lieu sans difficulté , mais il y a souvent impu
me élastique portée jusque clans la vessie, donna une libre issue à l' urine . La fistule touchée à diverses reprises avec le n
d'argent se cicatrisa, et le trajet nouveau servit à l'excrétion de l' urine . Il conserva néanmoins pendant long-temps encore
il y a impuissance absolue et bien constatée et que l'ex-crétion de l' urine ne s'opère pas en toute facilité. C'est dire posi
bis, laquelle lui constitue une paroi supérieure jusqu'à la vessie. L' urine n'est souvent retenue que d'une ma-nière incomplè
iciel s'était maintenu et donnait, sans douleur, un libre passage à l' urine . Il est bien entendu que, s'il existait des fongo
à introduire dans la vessie un cathéter ou une sonde , pour évacuer l' urine , pour explo-rer la cavité de ce viscère, et pour
lées les yeux de la sonde, et qui sont destinées à donner passage à l' urine . On a le soin de les placer à des hauteurs dif-fé
riations et de petits ulcères; d'un autre côtelés fils corrodés par l' urine pou-vaient se rompre , le bec de la sonde se déta
à tous les mouvemens. Elles ne sont point sensiblement altérées par l' urine ; seulement, lorsqu'on les laisse séjourner dix à
nne de l'urètre. La sensation d'un obstacle vaincu, et la sortie de l' urine , indiquent suffisamment qu'on est arrivé dans la
brièvement : i " on éprouve la sensation d'un ob stacle vaincu; a° l' urine sort parle pavillon de la sonde lorsqu'elle est c
arrive quelquefois, on ne rentre dans la vessie, d'où la sortie de l' urine , mais sans beaucoup de mobilité. Lesmou-vemenslib
spécialement pendant le cours de la gastro-entérite, la rétention « d' urine et la nécessité de pratiquer le cathétérisme, ne
prostatique, et dans la poche « rétractée que forme le réservoir de l' urine . » Dans d'autres cas on a vu des mucosités épai
épaisses, et des concré-tions sanguines s'opposer à l'écoulement de l' urine , par suite de leur engagement dans les yeux de l
ue la sonde y est arrivée elle donne issue à une certaine quan-tité d' urine , qui s'y accumule pendant l'expulsion de celle de
arrivé dans la vessie on ôte le mandrin et l'on aide à la sortie de l' urine au moyen d'une pression douce et soutenue sur la
un fosset de bois on peut le garnir d'un peu de coton pour empêcher l' urine de suinter; il suffit au malade delà retirer tout
de delà retirer toutes les deux ou trois heures pour donner issue à l' urine qui s'est accumulée dans la vessie. On doit ret
rrait être suivi de l'incrustation de son extrémité par les sels de l' urine , et non-seulement amener des difficultés pour la
irurgien et moins douloureuse pour le malade. On pourrait remplacer l' urine par une injection d'eau tiède. Cathétérisme ave
s, en spasmodiques et en inflamma-toires (Leçons sur les rétentions d' urine ). Pour bien comprendre ce qui est relatif à la
sceptibles de mettre un obsta-cle plus ou moins complet au cours de l' urine ; mais ces affec-tions sont très rares et se renc
rétrécissement faisant l'office d'un col vesical non contractile , l' urine sort constamment et involontairement ; son séjour
pliquer contre son ouverture. C'est alors que survient la rétention d' urine . S'il n'y a qu'un seul rétrécissement il siège
obstacle qui s'oppose plus ou inoins complètement à l'excrétion de l' urine , la première chose à faire est de reconnaître son
eux cas : celui où le rétrécissement ne fait que gêner la sortie de l' urine , sans s'opposer complètement à son excrétion ; e
opposer complètement à son excrétion ; et celui où il y a rétention d' urine complète causée par un rétrécissement ou toute au
re , jusqu'à ce que le canal ait repris son calibre naturel, et que l' urine sorte sans difficulté. On a pour but, dans cette
r une plus grosse. Ordinairement, lorsque la bougie est introduite, l' urine sort entre elle et les parois du canal ; si ce li
irer un peu la bougie, surtout si 52 rlle est conique, pour que l' urine s'échappe. En pareil cas M. Amussat fait une inje
t les parois du canal, et prétend en retirer des avantages. Lorsque l' urine s'est écoulée, il devient souvent facile de pouss
route plus ou moins profonde, dans laquelle il serait dangereux que l' urine séjournât, ou lorsque déjà il s'est iormé des cre
long-temps employé, s'applique surtout aux cas où il y a rétention d' urine complète, quelle qu'en soit la cause, lorsqu'il e
, quelle qu'en soit la cause, lorsqu'il est indispensable d'évacuer l' urine . La dilatation forcée a été proposée en 1835 pa
re offrait de difficultés au cathétérisme et à la libre excrétion des urines , plus aussi il avait soin de s'armer d'un cathéte
ns se restreignent dans les cas suivans : t° Quand les rétentions d' urine ont lieu par tumeur ou mala-die de la prostate, p
us consi-dérable, et s'opposât plus que les autres à l'excrétion de l' urine , on se trouvait dans l'obligation de perdre un te
tre portées, quoique rarement, au point de déterminer une rétention d' urine ; cette rétention résulte aussi quelquefois de l'a
jours, l'action du caustique est terminée et le malade expulse avec l' urine des fausses membranes; mais quelquefois cette exp
it bien agi. Aussitôt que la sensibilité est tombée, et que le malade urine sans douleur, ce qui arrive vers le troisième ou
le ; elle procure un prompt agrandissement des voies d'excrétion de l' urine ; la saignée locale, qui résulte de son emploi, dé
conduisant à travers une canule, n'est point employée. RÉTENTION D' URINE . Diverses affections peuvent, intercepter compl
Diverses affections peuvent, intercepter complètement le cours de l' urine : les rétréeissemens de l'urètre avec les causes
e. Les méthodes opératoires mises en usage contre la rétention de l' urine sont les injections forcées, le cathétérisme forc
i, dans l'espèce de cul-de-sac formé en ce point par la pression de l' urine , de ma-nière à faire obstacle un premier jet de c
issement, car, après quelques ten-tatives, en retirant la seringue, l' urine coule goutte à goutte. On retire la sonde, et pou
tire la sonde, et pour peu que le malade ait de force pour pousser, l' urine ne tarde pas à couler par un petit jet. Si la pre
en pratiquer une seconde et même une troisième. Si, lorsque le jet d' urine a paru, il se suspendait de nouveau, il serait à
avec une sonde à dard et réus-sit de la sorte à frayer une route à l' urine . Le moyen employé par Chopart consistait à opér
elle est parvenue dans la vessie : alors on retire le stylet, et si l' urine s'écoule, la présomption se convertit en certitud
ion se convertit en certitude: l'opération est terminée. Mais comme l' urine commence à sortir aussitôt que l'ouverture latéra
quelques millimètres. Dans ces deux cas , s'il n'y a pas rétention d' urine complète, on n'insiste pas; on retire la sonde qu
ans la cloison recto-vésicale, ou dans le rectum lui-même. En effet l' urine alors ne trouvant pas d'issue pour sortir ou ne t
u 48 heures les parois de ce nouveau canal, habituées au contact de l' urine , ne se laissent plus imprégner et infiltrer par c
et pénétrer jusqu'à la vessie. Si malgré tout ce qu'on aurait fait, l' urine s'infiltrait, et qu'on vît survenir les accidens
ion des fistules urinaires et le rétrécissement nor-mal du cours de l' urine , sont la dilatation, la suture , la cautéri-satio
oujours les fistules urétrales dépen-dent d'un obstacle au cours de l' urine , situé au-devant de la cre-vasse. La première i
tre qu'elles dilatent les parois de l'urètre, elles donnent issue à l' urine au dehors, et empêchent qu'il n'en passe par la f
peut être rempli par les bougies. A mesure que le cours naturel de l' urine se rétablit, le plus souvent les callosités de la
trajets fistuleux et de leurs ouvertures extérieures, aussitôt que l' urine a pris son cours par la sonde, et a cessé deles t
dant, malgré l'usage de la sonde, et quoique l'obstacle au cours de l' urine soit neutralisé par sa présence, la fistule néanm
ns persiste. On a pensé que cela tenait à ce qu'une petite quantité d' urine , poussée parles contractions de la vessie, s'insi
ucoup de cas, de tenir la sonde constamment débouchée, de sorte que l' urine , trouvant une issue toujours libre, ne pût pas s'
tenue dé-bouchée, et que la fistule ne laissât passer aucune goutte d' urine : tel est le cas d'un jeune homme d'Abbeville , d
ire dans le canal, à chaque fois qu'on veut uriner, afin d'empêcher l' urine d'agir sur la cicatrice encore faible , et. de la
de plus de 6 à 7 millimètres les uns des autres, sous peine de voir l' urine s'infil-trer entre eux, et s'opposer à la réunion
é sur les succès qu'on y a pour ainsi dire renoncé. Tantôt en effet l' urine , venant s'interposer entre les lèvres de la plaie
sorte que les lignes des sutures, étant moins éloignés du trajet de l' urine , courrent moins le risque d'en être imprégnées qu
. De quelque manière qu'on s'y prenne, on a toujours à redouter que l' urine , liquide si pénétrant, ne s'in-filtre entre les l
bvier à cet inconvénient majeur, a proposé de détourner le cours de l' urine pendant tout le temps nécessaire pour que l'adhér
dans la vessie à travers l'ouverture artificielle et donne is-sue aux urines . L'auteur a réussi deux fois, par ce procédé, à o
rtait aussi la sonde d'abord introduite dans la vessie pour évacuer l' urine . Le succès de cette opération ne fut pas complet
ne, sur l'observation de M. Ricord, concluent que le détournement des urines de la voie habituelle par l'intro-duction d'une s
culs urètraux. Les callosités disparaissent ordinairement lorsque l' urine cesse de passer par la fistule; cependant il n'en
chant avec facilité dans le canal où ils sont poussés par le jet de l' urine . Dans les cas ordinaires, les calculs urétraux
être reconnus. Alors ils se creusent une rigole pour laisser passer l' urine , et peuvent faire croire à l'existence d'un rétré
ion assez grande pour donner passage au corps étranger et puis à de l' urine . Dans ce cas, si l'ouverture anormale est oblique
ien le calcul ferme complètement l'urètre et interrompt le cours de l' urine , ou bien l'urètre n'est pas com-plètement oblitér
s de l'urine, ou bien l'urètre n'est pas com-plètement oblitéré, et l' urine peut encore s'échapper. Dans l'un et l'autre cas,
mps qu'on retirait la sonde, on recommandait au malade de pousser son urine avec, force pour tâcher de chasser le calcul. É
sage de l'éponge présente de grands avantages, puisqu'elle permet à l' urine de s'écouler en même temps que l'urètre est soumi
ait employé toute autre substance qui se fût opposée à la sortie de l' urine . Chez l'adulte, on se contenterait délaisser l'ép
rritabilité à cet âge, elle provoque plus de douleurs. La rétention d' urine , pen-dant que l'éponge est dans le canal, détermi
le du cylindre d'épongé, afin de favoriser l'écou-lement graduel de l' urine . On pourrait craindre de voir une in-continence d
offrait une dilatation considérable d'où résultait une incontinence d' urine . Pour remédiera ce grave inconvénient, M. Hobart
très bien; l'urètre reprit son calibre primitif, et l'incontinence d' urine cessa (Archives gènèr., 2e série, t. vm). TUMEU
ruent l'orifice vésical de l'urètre, et s'opposent à l'excrétion de l' urine . Naguère encore , on ne tentait contre la rétenti
peu-à-peu, l'usage des sondes devenait impossible, et la rétention d' urine , complète, exigeait la ponction sus-pubienne qui
pour plusieurs mois, et même pour plusieurs années, de ré-tentions d' urine qui avaient résisté à tous les autres moyens, M.
ndrin. Cet instru-ment a sur le précédent l'avantage de permettre à l' urine de sor-tir, et de pouvoir être laissé en place ju
en putri-lage, et se détache par morceaux qui sont entraînés avec les urines . PONCTION DE LA VESSIE. Lorsqu'on a essayé de
yé de tous les moyens propres à débarrasser le passage naturel de l' urine , et qu'on n'a pu réussir, il faut créer pour ce l
ie une canule qu'on y fixe à de-meure pour servir à l'évacuation de l' urine . Dionis recommande aussi de préférence de faire l
port avec l'extrémité correspondante de cette rainure, de façon que l' urine pénètre dedans, sort à l'extérieur par son autre
prostate et l'insertion de l'urètre. La sortie de quelques gouttes d' urine , qui s'échappent par le sillon du trocart, et le
la canule avec la main gauche, retire le poinçon, et laisse écouler l' urine . Lorsque la vessie est vidée il bouche la canule,
urrait être salutaire pour l'affection qui a déterminé la rétention d' urine . Du reste, en Angleterre, l'incision n'a jamais é
'il était jamais dans la nécessité d'ouvrit-une voie artificielle aux urines , il se bornerait à chercher l'urètre, et à lui fa
e percer avec un trocart le rectum et la vessie pour donner issue à l' urine , et obtint plusieurs succès. Procédé de Fleuran
che pour l'empêcher de sortir, il retire en même temps le poinçon : l' urine sort aussitôt. A mesure qu'elle s'écoule il faut
on ouverture pendant que la vessie revient sur elle-même. Lorsque l' urine a cessé de couler, on fixe la canule avec des fil
ant la sortie des ma-tières. On la maintient ainsi jusqu'à ce que les urines aient repris leur cours naturel. Alors seulement
e vidant, revenait sur elle-même, elle abandonnait l'instrument, et l' urine s'infiltrait dans le tissu cellulaire; ou tout au
'enflammer et y causer une eschare gangreneuse suivie d'épanchemens d' urine dans les tissus environnans. Le trocart courbe de
arie suivant l'embonpoint des sujets. La sortie de quelques gouttes d' urine , qui viennent par la cannelure du trocart, et la
sortie du li-quide.Cette canule doit rester en place jusqu'à ce que l' urine sorte par le canal naturel, ou bien jusqu'à ce qu
t pour ainsi dire devenu muqueux, et imperméable à l'infiltration des urines . On peut alors sans crainte retirer la canule pou
P. Franck sur le cadavre d'un individu très gras, mort de rétention d' urine , incision qu'A-bernethy a proposé de faire en tou
et pénétra dans ce viscère ; il retira alors le mandrin, et lorsque l' urine se fut écoulée, il assujettit l'algalie, et ne la
e la voie artificielle qu'il avait créée, pouvait donner pas-sage aux urines sans le secours des sondes. Les modifications q
le péritoine , et qu'elle ne donne pas à craindre l'infiltration de l' urine dans les tissus voisins, tant que la canule est d
n a rarement recours à la ponction, le malade at-teint de rétention d' urine est frappé à mort ; aucun effort humain ne pourra
temps conve-nable, fait d'abord cesser les accidens delà rétention d' urine ; et n'eût-elle point d'autre effet, que ce serait
, le canal n'étant plus irrité par le passage fréquemment répété de l' urine , se déterge; l'intensité de la cause qui avait do
ment par la dilatation, ou par la cauté-risation , afin de rendre à l' urine son cours naturel. N'arrivât-on à ce résultat que
nt il s'agit comme un précieux moyen de secours contre la rétention d' urine . Certes, il serait moins désagréable et aussi moi
tes, il serait moins désagréable et aussi moins gênant d'expulser les urines par un canal artificiel, situé au-dessus des pubi
ons à leur opinion, et pensons comme eux, qu'alors que la rétention d' urine , déter-minée par les rétrécissemens de l'urètre,
hypertrophiée au point de fermer com- 57 plétoment le passage aux urines ; encore ne serait-ce que pour éviter de l'aire un
ssie, de ne pas exposer aux fistules et de frayer une voie facile aux urines . Mais avant d'arriver à cet organe, il faut trave
exécuter, peu douloureuse, sans danger, donnant un passage facile à l' urine , parce qu'elle existe dans la partie la plus décl
les plus élevés de la vessie, de ne donner issue qu'à une partie de l' urine contenue dans ce viscère et par conséquent d'expo
ourt, la vessie en se vidant se rétracte , abandonne la ca-nule, et l' urine se répand dans les tissus; et si le trocart est t
et y cause une inflammation ulcéreuse, suivie d'un trou par lequel l' urine tombe dans le ventre ou dans le rectum. Mais peu
s une voiture; envies fréquentes d'uriner, et pendant l'éjection de l' urine , suppression brusque qui reparaît aussitôt par un
ôt par une se-cousse imprimée au corps ou un changement de position ; urines habituellement jumenteuses, fétides, parfois puru
mme à l'ordinaire dans la vessie, sans donner préalablement issue aux urines , par une succession demouvemens méthodiques, pous
me une der-nière manœuvre, sans déplacer la sonde, on donne issue à l' urine , et il arrive parfois qu'en se contractant, à mes
on. Eu égard à l'état des organes urinaires, le catarrhe vésical avec urines mu-queuses, purulentes et sanguinolentes, n'est p
ois par jour, avait, dans la plupart des cas, les meilleurs effets. L' urine , sous l'influence de cette médication, se mainten
MM. Woehler et Magendie sur le passage des substances solubles dans l' urine , il est certain que ce liquide se maintient alcal
a persistance du traite-ment; la disparition du catarrhe vesical, les urines fétides et pu-rulentes devenant promptement limpi
é extraite, et d'où il résulte (i) qu'il s'agissait d'une rétention d' urine causée par une petite pierre placée au col de la
in chirurgica determinatur), ou si elle n'empêche pas la sortie de l' urine , on aura recours à des médi-camens pour la faire
duire à un assez petit volume pour qu'elle pût être expulsée avec les urines . Sans doute si ce fait est vrai la lithotritie ét
ait à détacher quel-ques parcelles du calcul qu'il expulsait avec les urines , et qu'il conservait soigneusement; en moins d'un
sitôt que l'instrument est retiré, le liquide de l'injection mêlé aux urines s'écoule et entraîne avec lui la poussière des pe
ère qu'ils pussent être expulsés en totalité avec l'in-jection et les urines . Procédé de M. Meyrieux et de ses imitateurs. L
tractant d'une manière presque permanente, expulse à chaque instant l' urine qu'elle contient, et ne peut conserver le liquide
iquer sur le corps étranger, le ma-te lade n'éprouve point, lorsque l' urine cesse de couler, la dou-ce leur avec sensation sp
époque reculée, que la vessie se débarrasse encore d'une par-tie de l' urine , que la phlogose a peu d'intensité, et que d'ail-
mière séance , le retour et la régularité de l'émission naturelle des urines , sont autant de circonstances qui font au-gurer
pape contre l'orifice postérieur de l'urètre lorsqu'on veut évacuer l' urine , et s'oppose à la sortie de ce liquide. Les eng
l'aide de ce moyen il est quelquefois parvenu à rétablir le cours des urines qui se trouvait totalement supprimé. D'après ce q
e méat urinaire qui, suffisamment large en-core pour l'excrétion de l' urine , est néanmoins trop étroit pour admettre les inst
e moyen de la prostate hyper-trophiée s'oppose à la libre sortie de l' urine . Dans ces cas la lithotritie ne peut être pratiqu
es peuvent avoir des suites fort graves , telles que l'infiltration d' urine et la fistule urinaire. H'importe d'autant plus d
il résulte une inflammation nécessairement accompagnée de rétention d' urine . On remédie à cette dernière par l'emploi de la s
démontre, à cha-que séance, le ténesme qui accompagne l'éjection de l' urine et les matières muqueuses qu'elle contient. Mais
utant mieux cpie cette sensation est accompagnée de la rétention de l' urine . M. Ci-viale conseille, en pareil cas, de pratiqu
e moyen, à faire cesser cet état de spasme et à rétablir le cours des urines . Il est encore quelques autres accidens qui ne
a taille recto-vésicale. Chez la femme on par-vient au réservoir de l' urine par l'hypogastre, le vagin et le ves-tibule. Le
e trigone vésical, et que c'est à tra-vers la paroi du réservoir de l' urine lui-même, qu'on le déprime vers le périnée et qu'
io-lentes, desorchites, des fistules urinaires ou des incontinences d' urine , la stérilité et, enfin, fréquemment la mort. Imb
sta dans les hôpitaux vingt-quatre, atteints les uns d'incontinence d' urine , et les autres de fistules urinaires; les treize
gement la peau et le tissu cellulaire pour éviter l'infiltration de l' urine dans ces parties ; de ménager les parties intermé
utres à blesser le rectum, ou le bas-fond de la vessie à mesure que l' urine sor-tait. Qu'il abandonnait facilement la cannelu
et dans la vessie, sans abandonner sa rainure. On s'arrête, lorsque l' urine sort, et qu'on n'éprouve plus de résistance; c'es
t de l'eau dans la vessie, ou recommandait à son malade de garder ses urines , et s'assurait si la vessie était suffisamment pl
a tubérosité de l'ischion gauche, en tournant sa cannelure en haut. L' urine qui s'échappait par cette voie l'avertissait qu'i
cette cannelure près de son extrémité. A ce moment de l'opération, l' urine qui sortait en plus grande quantité lui annonçant
re manœuvrer avec plus de facilité, en même temps qu'elle fournit aux urines un écoulement plus facile. Aucune des inci-sions,
garni d'une toile cirée, recouverte d'alèses destinées à rece-voir l' urine , et à l'empêcher de pénétrer dans les matelas; le
flexion, est le meilleur et le plus conve-nable pour l'écoulement des urines , et pour changer les alèses ; toutefois rien n'o
ès. Pendant les huit ou dix premiers jours qui suivent l'opération, l' urine passe entièrement par la plaie; quel-quefois il e
es lèvres de la plaie; aussitôt que cette tuméfaction est dissipée, l' urine recommence à passer par la plaie. Durant cçtte pé
des tégumens. C'est ordinairement du huitième au quinzième jour que l' urine commence à sortir par l'urètre ; la quantité qui
e, la plaie extérieure, qui n'est plus entretenue par le passage de l' urine , se resserre peu-à-peu et se trouve complètement
utre le dix-neuvièrne. Mais aussi on en cite d'autres chez lesquels l' urine n'a commencé à sortir par la verge que le vingtiè
de placer une canule dans la plaie , soit pour diriger le cours de l' urine , soit pour prévenir son infiltration dans les tis
et abandonner les choses à la nature. Si l'on redoute le séjour de l' urine dans la vessie, on préfère pratiquer le cathé-tér
grande simplicité, l'avantage de per-mettre un écoulement facile aux urines et une libre issue aux caillots sanguins contenus
aindre cet accident lors-qu'au bout de cinquante ou soixante jours, l' urine passe encore par la plaie. Après cette époque, il
in de pouvoir y remédier par les moyens appropriés. Vincontinence d' urine est très rare après l'opération de la taille laté
parties froissées. Cette maladie est incu-rable toutes les fois que l' urine s'écoule de la vessie à mesure qu'elle y arrive,
et que cet état persiste plusieurs mois. Lorsque l'incontinence de l' urine est incomplète, de telle sorte qu'une partie du l
division de l'urètre et du col de la vessie, et lorsque le cours des urines est rétabli, cette fistule guérit par le traiteme
ent ordinaire des autres fistules à l'anus. Si néanmoins le cours des urines tardait trop à se rétablir, on doit introduire un
on persiste entre le rectum et la vessie : alors le ma-lade rend de l' urine par le rectum, et quelques matières stercorales d
rtion moyenne de l'intestin n'est séparée, en haut, du réservoir de l' urine que par du tissu cellulaire lâche, quelques veine
col. Lorsqu'il y est arrivé, ce dont il est averti par la sortie de l' urine , il élève le manche du bistouri, abaisse sa point
et plus facile que les autres tailles sous-pubiennes; 3° d'offrir à l' urine , après l'extraction des calculs, pendant que le m
zontalement sur le dos, une ouverture qui livre un passage facile aux urines et s'oppose à ce qu'elles s'extravasent dans le t
dominale a formé son cul-de-sac, entre le rectum et le réservoir de l' urine , elle continue de s'avancer d'abord sur la face p
st par là qu'on doit arriver sur la face antérieure du réservoir de l' urine . Manuel opératoire. Personne ne sera tenté d'im
et diriger le bistouri. Aussilèt qu'il avait ouvert le réservoir de l' urine , il portail son doigt indi-cateur dans l'incision
les dou-leurs causées par les injections; 2° la facilité que trouve l' urine à sortir par la plaie delà vessie, à s'infiltrer
; puis il plaçait son doigt indica-teur gauche dans le réservoir de l' urine , qu'il soulevait comme avec un crochet, faisait r
e, à travers la plaie faite au périnée, afin de fournir une issue à l' urine par la partie la plus déclive de l'organe et l'em
qu'il n'oblige pas à avoir recours aux injections et qu'il donne à l' urine une issue facile, la pratique, néanmoins, à la pl
ussi graves. Ainsi, d'une part, la plaie du périnée n'empêche point l' urine de sortir par la plaie de l'hypogastre et de s'in
lésion du péritoine, dans les deux incisions, et l'infiltration de l' urine , après l'opération, étant les deux acci-dens esse
d'orge ou de l'eau de guimauve, doit être préférée à la rétention des urines par le malade, que les fréquens besoins d'uriner
sion doit s'étendre un peu sur le pubis, afin d'éviter le séjour de l' urine dans l'angle inférieur de la plaie, ef son infilt
enne le viscère. Ce doigt, qui ferme et remplit l'incision, empêche l' urine de sortir; immédiatement le chirurgien s'en sert
manœuvre du doigt et des instrumens. Dès que la plaie est agrandie, l' urine s'écoule en abondance et il faut se hâter d'in-tr
cruciale. Opération en deux temps. Pour éviter l'infiltration de l' urine M. Vernière (Bulletin de Férussac, t. xxn, p. 224
e tissu cellulaire serait devenu imperméable par l'inflammation, et l' urine ne pourrait plus le traverser. Mais les chirurgie
hypogastrique ; les moyens employés pour s'op-poser à la sortie de l' urine par la plaie, et pour obtenir la gué-rison de cet
it croire de tous les moyens proposés pour s'opposer à la sortie de l' urine par la plaie de l'hypogastre. Emploi de la mèch
dont l'autre pend entre les jambes; cette bandelette, en s'imbibant d' urine , a pour usage de servir de filtre et de conducteu
roire, et sa présence n'est point indispensable. La crainte de voir l' urine s'ex-travaser dans le tissu cellulaire, est en gé
et qu'on ne laisse que l'angle inférieur d'ouvert pour le passage des urines . Lorsque le pansement est appliqué, on place un
de l'appareil. Outre la mèche effilée pour servir de conducteur à l' urine , et pour l'empêcher de s'infiltrer , plusieurs au
seillée dans le but de s'opposer à la sortie et à l'infiltration de l' urine , par Solingen, Praîbisch, Douglas, Rossi, Gehler,
lement applicable, pût s'opposer à la sortie et à l'infiltration de l' urine , ce qui est pour le moins fort contestable, il ne
à demeure dans la vessie. L'importance qu'on atta-chait à diriger les urines au dehors a fait croire qu'une canule laissée à d
s dans un contact assez parfait durant les premiers jours, pour que l' urine ne trouve pas moyen de s'échapper entre elles, et
bord serrés clans une plaie, ne tardent pas à s'y trouver au large, l' urine , après quelques jours, s'écoule entre la canule e
e est assez condensé pour n'avoir plus à craindre l'infiltration de l' urine à travers ses mailles. De toute façon, soit imméd
e sort par l'urètre et l'autre par la plaie, dans le but de retirer l' urine par ces deux con-duits à-la-fois, partageant les
e deux ou trois jours par exemple, parce qu'alors l'infiltration de l' urine n'est plus à craindre. Si on laissait plus long-t
n bas que le trou élargi de l'instrument conducteur donnant issue à l' urine , comme il est arrivé à M. Kirby et à ce qu'il par
antage de cet instrument. Quand on n'a pas fait usage de la canule, l' urine sort dans les premiers jours en totalité par la p
renou-veler fréquemment. Peu de jours après, une certaine quantité d' urine sort par l'urètre ; elle augmente à mesure que la
on verticale ou assise sera même très avantageuse pour la sortie de l' urine . accidens qui peuvent accompagner la taille hyp
n-moins, dans le cas dont il s'agit, c'est la présence constante de l' urine qui sort par la plaie, peut tomber dans la cavité
u'on doive moins redouter les lésions du péritoine et l'épanchement d' urine dans son intérieur qu'on ne l'a fait jusqu'à prés
arrivé, est de tenir le malade presque assis dans son lit, afin que l' urine puisse sortir par l'angle inférieur de la plaie,
t quelquefois l'opération, peuvent résulter ou de l'infiltration de l' urine dans le tissu cel-lulaire ambiant, ou bien de l'i
gir avec beaucoup de circonspection , pour éviter l'infiltration de l' urine , car cet accident est grave, et lorsqu'il est sur
est d'inciser, lorsque cela est possible, les foyers dans lesquels l' urine s'est accumulée, et de panser les plaies qui en r
la taille hypogastrique, la division dupéritoineetles infiltrations d' urine , dangers réels et qui parlent en faveur de l'opin
attons subira la loi commune, lorsque quelque fâcheuse infiltration d' urine dans le tissu cellulaire du bassin, causée par la
ouvent sans qu'on s'en aperçoive, parce qu'ils sont expulsés avec les urines , avant d'avoir acquis une grosseur assez considér
oureux et laisse quelquefois T. VII. après lui une incontinence d' urine , il est souvent insuffisant, et l'on est obligé d
de diviser transversalement les parties molles entre le conduit de l' urine et les os pubis, de ma-nière que l'incision s'éte
ens et des suites fâcheuses, tels que l'hémorrhagie, l'incontinence d' urine , etc.; nous n'insisterons pas plus long-temps, vu
ce, mais se contentent de mettre les conducteurs dans le conduit de l' urine , puis après font une petite incision tout au-des
le vagin; dans la seconde, la femme, récemment accouchée, rendait son urine par le vagin; plusieurs petites pierres sortirent
femmes; il croit que par son moyen on pouvait éviter l'incontinence d' urine , attendu qu'on ne touchait ni à l'urètre ni au sp
l pensait qu'il pouvait, dans tous les cas, prévenir l'incontinence d' urine . Le procédé qu'ont adopté les chirurgiens moder
opérée demeure affectée pour If reste de ses jours d'un écou-lement d' urine par le vagin. Sur les trois personnes opérées par
lumineux, mais la crainte (pion a de voir survenir une incontinence d' urine consécutive, on des infiltrations urineuses, l'a
cidive ou atteints d'infirmités , telles que fistules, incontinence d' urine , etc., le nombre des sujets véritablement guéris
er, sa présence est si incommode, que lors même qu'il y a rétention d' urine , il vaut mieux la retirer chaque fois pour la réi
étend au méat urinaire, ou le laisse intact : si le méat est fermé, l' urine ne peut sortir, et la mort serait certainement oc
ule; si l'on ne s'en aperçoit pas immédiatement après la naissance, l' urine s'accumule dans la vessie, et forme bientôt une t
l'hypogastre; l'enfant crie et s'agite. Ces symptômes et l'absence d' urine dans les langes conduisent à examiner le méat, et
i la membrane ne présentait qu'un trou insuffisant pour permettre à l' urine de s'échapper, il faudrait se borner à l'a-grandi
uelquefois, dit « Royer, la nature fournit une route artificielle à l' urine qui coule « par l'ombilic, mais le plus souvent l
ainsi l'on voit des femmes chez lesquelles le contact permanent de l' urine avec les parties génitales les irrite, les enflam
pensant que la plaie se fermerait si l'on parvenait à empêcher que l' urine ne passât au travers, avait conseillé la po-sitio
conseillé la po-sition demifléchie sur le ventre, afin de forcer les urines à s'échap-per par l'urètre ou par la sonde qui y
de Desault. Ce chirurgien se proposait deux choses : i° d'assurer à l' urine un écoulement constamment libre par l'u-rètre, 2°
de faire placer la femme sur le côté, afin que la moindre quantité d' urine possible se présentât à la plaie. Cette position
pas avec une suffisante efficacité à la conti-nuelle filtration de l' urine dans le vagin. D'ailleurs les bords de la fistule
ée sonde-érigne (V. pl. 76, fig. 27), pour procurer un écoulement à l' urine . Des crochets recourbés, mus par une vis placée d
se forme des abcès, ou même d'autres fistules, par la filtration de l' urine par les petits trous descrochets. C'est probablem
istule, n'étant plus en contact l'une avec l'autre, laissent passer l' urine entre elles et ne s'agglutinent pas. Mais, au res
la fistule s'écarteraient de la même manière et laisseraient passer l' urine . Procédé de M. Dufresse-Chassaigne. Dans sa thè
quand les choses marchent bien, le lendemain et les jours suivans, l' urine cesse peu à-peu de couler par le vagin. Vers le q
rve une diminution dans l'ouverture, et par suite dans l'écoulement d' urine qui se fait par elle. Une sonde doit être placée
t en con-tact. On plaça dans la vessie une sonde par laquelle toute l' urine s'écoula pendant les deux premiers jours. Mais al
s rapproché de l'urètre ayant déchiré les tissus , quelques gouttes d' urine s'échappèrent par le vagin; M. Mala-godi, au lieu
it, et établir une sonde à demeure dans la vessie , afin d'en vider l' urine à mesure qu'elle y arrive; lorsqu'il ne survient
uisant il faut prendre garde de ne pas presser le lambeau. Pour que l' urine , à laquelle la sonde doit constamment donner pass
, la su-ture enchevillée put être exécutée. A dater du lendemain, l' urine sortit par l'urètre, et, pendant près d'un mois,
par l'urètre, et, pendant près d'un mois, il ne vint pas une goutte d' urine par le vagin ; les règles survinrent et furent ch
rent et furent chassées au-dehors par l'urètre ; mais un jour que les urines avaient de la difficulté à sortir, l'élève voulan
ca-trice qui fut ainsi déchirée. A dater de ce moment, le sang et les urines sortirent par le vagin, et l'opération fut manqué
opération : i" que les règles pouvaient passer par l'urètre; i" que l' urine peut être expulsée et jaillir de ce nouveau bas-f
expulsée et jaillir de ce nouveau bas-fond de la vessie ; 3° que ces urines n'entraient pas dans la matrice pour pas-ser dans
agin, tendait à y former des caillots qui ren-daient l'expulsion de l' urine difficile; puisque, lorsque la cica-trice fut déc
orsque la cica-trice fut déchirée, il sortit du vagin du sang et de l' urine . Ensuite, quant aux concrétions calcaires, le tem
femme d'uriner sans le secours de la sonde, parce que, dans ce cas, l' urine ne passe par la fistule qu'au moment de l'éjectio
ger les grandes lèvres, les cuisses et les fesses contre l'Acreté des urines qui les baignent, et à cher-cher à rendre l'écoul
onge qu'on dirige du côté de la fistule, afin que, par itnbibition, l' urine s'engage peu-à peu dans la bou teille. La malade
lus grande circonspection pour ne pas pénétrer dans le réservoir de l' urine . En général l'hémorrhagie n'est pas à redouter; e
ie antérieure de la tumeur, avec un trocart, et, après la sortie de l' urine , de maintenir la sonde dans la vessie, afin de p
leurs deviennent plus aiguës pendant la défécation et l'éjection de l' urine , qui sont quel-quefois gênées jusqu'à ne pouvoir
ur le côté, est un des meil-leurs moyens de prévenir la récidive. Les urines doivent être rendues aussitôt que le besoin s'en
ortion pendante de l'utérus, dit-il, s'ulcère à cause de l'âcreté des urines , et si elle se putréfie, extirpez-la sans rien cr
enir à l'opération césarienne ; que 5 ont conservé une incontinence d' urine , et une autre une claudication; enfin, sur 34 cas
07, 208. Cautérisation, 208-212. Scarifications, 212-214.^Rétention d' urine . Injections forcées, 214- Cathé-térisme forcé, 21
vessie par une cloison. Un pertuis qui la tra-verse donne passage à l' urine . Figure 6. Oblitération de l'urètre par le déve
vessie par l'orifice de son col et forme un obstacle au passage de l' urine . Figure 8. Oblitération du col de la vessie par
mais le bout qui surmonte cet orifice donne en même temps passage à l' urine ; de sorte qu'elle peut être laissée à demeure pen
de la vessie, et produit ainsi un obstacle invincible au passage de l' urine . Figure 3. Ligature du lobe pathologique de la
8 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ressions. Sur le tronc, la sensi-bilité est normale. Incontinence d' urine de temps en temps ; pour accomplir la miction, Le
ient amaigries, pour ainsi dire à l'état squelettique. Incontinence d' urine et des matières fécales. 11 se produisit du décub
ues. Observation I. — Grossesse à terme. — Attaques éclamptiques. — Urines albumineuses. — Température. — Mort. — Autopsie :
ns d'une pièce d'un franc. Huit ventouses scari-fiées à la nuque (les urines , exlraites par la sonde, contiennent de l'albumin
sse à terme. — Éclampsie. — Tempéra-ture durant et après les accès. — Urines albumineuses. — Accouche- 1 Dans le premier vol
re, elle avait depuis deux mois de la bouf-fissure de la face, et ses urines étaient devenues plus abon-dantes, au point que,
; sécrétion aqueuse. Miction involontaire. Par la sonde on retire une urine épaisse qui, traitée par la chaleur seule, et ave
s en moins abondante. Les iochies ont suivi leur cours régu-lier. Les urines ne renferment plus d'albumine. — Soir : P. 128 ;
aginale 38°,8. Par le cathétérisme on retire plus d'un demi-litre d' urine , qui renferme une grande quantité d'albu-mine,
41°,2. (Fig. 2. ) Des trois cas qui précèdent et dans lesquels les urines , assez abondantes, contenaient une quantité notab
éphrites parenchyma-teuses ou encore dans les cas de suppression de l' urine par un obs-tacle mécanique s'opposant à son libre
dème, ni épanchement ; pas de vomissements, mais diarrhée abondante ; urines rares (200 gr. en vingt-quatre 1 Revue photogra
le 16 et le 17, jusqu'à dix fois en un jour. Il n'y a presque plus d' urine . 18 nov. Affaiblissement notable ; sécheresse d
ités. Diarrhée et vomissements incoercibles. Suppression complète des urines . P. 92, régulier, petit. T. 56°,4. — Le soir, inc
Dans mon second cas; le soir du septième jour de la suppression de l' urine , alors que la langue était sèche et la soif vive,
e parut même plus frappant, car plus d'une quinzaine avant la mort, l' urine , devenue très-rare (9 à 12 onces en vingt-quatre
uction soudaine de Vuretère droit par un calcul (1868).—Suppression d' urine ; mort en dix jours.— Marche de la température. ¦—
868, vol. I, pages 655 et 682. 3 On the Pathology of suppression of Urine with a case. 1870, vol. I, p. 868. Mais, aussit
la miction. Il rendit, après des efforts, deux cuillerées à bouche d' urine sanglante. Malgré ces accidents il alla à Manches
res et les envies fréquentes d'u-riner persistèrent. Une demi-pinte d' urine sanguinolente fut encore évacuée et ce fut tout c
s, ni douleurs au pénis. Pouls à 72. 4e jour : Deux onces environ d' urine un peu sanglante ont été rendues, poids spécifiqu
et. Depuis ce moment jusqu'à la terminaison, M. I... ne rendit plus d' urine et, à la mort, la vessie fut trouvée vide. État g
e n'étaient dilatés. Ils contenaient environ deux cuillerées à café d' urine sanguinolente. On découvrit un petit calcul d'a
Roberts au début de son travail, à savoir : « Si la suppression de l' urine per-siste, la température du corps, à la longue,
ent, dans les antécédents des épileptiques, l'incontinence nocturne d' urine est notée. Au coup d'État de décembre 1851, les
la n'est point nécessaire. La sonde est destinée à laisser écou-ler l' urine , à empêcher son contact avec la plaie fraîche, et
il suffit donc qu'elle remplisse assez le col de la vessie pour que l' urine ne puisse s'échapper entre elle et le canal. Auss
e la région dans la-quelle se pratique l'opération : l'infiltration d' urine , les abcès uré-thraux, la néphrite, la cystite ut
minés. La peau est le plus souvent sèche, terreuse, chaude, acre. Les urines sont rares, très-chargées, quelquefois albumineus
constaté une descente de 54°,4 5. Sous ce titre — Suppression de l' urine , jaunisse. — M. Ilutchin- 1 Voy. Revue photogra
ÎII. — Blennorrhagie. —Rétrécissement de Vurèthre.— Suppression de l' urine . — Jaunisse. — Urémie. —Abcès de la pros-tate. —
Douze heures après la dernière exploration, X... rendit 280 grammes d' urine foncée, contenant de l'albumine et dans laquelle
nsomnie, etc. 28 février. — Le malade a rendu une petite quantité d' urine al-bumineuse, ne renfermant pas les matières colo
nt pas les matières colorantes de la bile. 1er mars. — 75 grammes d' urine . Vomissements incoercibles; hoquet. -— On remarqu
les symptômes qui précèdent, sauf la diminution de la sécrétion de l' urine , qui redevint libre le 4 mars, persistèrent avec
service de M. Charcot, qui ne rend guère quune quinzaine de grammes d' urine par semaine, mais a des vomissements co-pieux, ay
: il ne pèse que 52 grammes. — La vessie, normale, ne contient pas d' urine . L'encéphale pèse 1555 gr. À l'ouverture delà d
Coma permanent. —Mort. — Néphrite par enclin mateus e. —Analyse de l' urine . — Petit, Jules, 67 ans, jour-nalier, est entré,
— Par le cathôtérisme nous avons obtenu environ un verre à Bordeaux d' urine claire. — P. 64; R. 28 ; T. R. 32°,6. 10 heures
stence de l'intoxication urémique nous est fournie par l'analyse de l' urine . Voici les résultats obtenus par notre ami Carvil
tats obtenus par notre ami Carville. Ainsi pour 1000 grammes, cette urine ne contenait que 15sr,68 d'urée. Or la quantité m
cette urine ne contenait que 15sr,68 d'urée. Or la quantité moyenne d' urine rendue en vingt-quatre heures par l'homme sain ét
s, nous au-rions donc seulement 16 grammes d'urée pour 1250 grammes d' urine de notre malade. 11 y a loin de ce chiffre — 16 g
Matières minérales........... 8 — 1000 grammes. 1250 grammes d' urine de notre malade n'auraient même pas donné 16 gram
malade n'auraient même pas donné 16 grammes d'urée : (a) parce que l' urine ayant été analysée un jour après qu'elle avait ét
ubi un certain degré de con-centration ; (b) parce qu'il s'agissait d' urine de la nuit, laquelle est plus chargée de matières
es. Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballon-nement et la rétention d' urine , existent encore aujourd'hui. b. Presque en mêm
ui. b. Presque en même temps Etch... est affectée d'une rétention d' urine persistante qui nécessite habituellement le cathé
e du ventre, ces douleurs de la région ovarienne, cette rétention des urines , consti-tuent un ensemble de symptômes dont l'imp
6 ans ; —• 2° elle est atteinte, depuis quatre ans, d'une rétention d' urine ré-clamant ordinairement le cathétérisme ; — 3° e
uls dans le sens propre du mot ; c'est-à-dire la cause qui fait que l' urine étant chargée d'une quantité de phosphate dou-ble
ance dure, réunie par une très-petite quantité de mucus, don-nant à l' urine une couleur blanc de neige ; cette substance tomb
ous la forme d'une sphère du volume d'un pois qu'elles gardent dans l' urine , comme j'ai eu très-souvent l'occasion de l'obser
e ne suffisant pas, comme je l'ai montré, à les chasser avec le jet d' urine , ils arrivent à former un calcul d'une façon part
êtant dans l'urèthre et y adhérant, ils s'opposent à l'expulsion de l' urine , et cette rétention devient souvent assez dangere
cessaire pour maintenir le gravier phospha-tique en suspension dans l' urine ou dans une solution inoffensive pour l'organisme
sphatiques étant sortis de la vessie depuis quelque temps, l'eau de l' urine s'est éva-porée, ils forment aussitôt de petites
nomènes sont le signe certain que le petit calcul a été poussé avec l' urine dans l'urèthre et l'obture. Le médecin appelé a
r, et évacua le calcul sans la moindre difficulté, avec un fort jet d' urine . 11 est possible que les secousses de la voiture
l'obstacle ; aussitôt la sonde retirée, le calcul fut expulsé avec l' urine . Dans un troisième cas, l'expulsion se fit dans l
a nature des concrétions urinaires, dans le cas de pouvoir examiner l' urine , dans laquelle se trouvaient les concrétions part
près le moment où la pierre venait d'être expulsée avec un fort jet d' urine dans un vaisseau de verre. L'urine et la con-crét
d'être expulsée avec un fort jet d'urine dans un vaisseau de verre. L' urine et la con-crétion méritaient toutes deux d'être s
e l'a prouvé immédiatement la publication des analyses chimiques de l' urine et des sédiments, j'ai trouvé la confir-mation pé
n chimi-que que le premier. Dans les deux cas aussi, l'analyse de l' urine donna le même ré-sultat. Immédiatement après son
l'urine donna le même ré-sultat. Immédiatement après son expulsion, l' urine était trouble et d'un jaune vineux ; au bout de q
es inférieures devenant d'autant plus trou-bles. Dans les deux cas, l' urine sentait la levure. Son poids spécifi-que était de
graviers phosphatiques nageaient d'abord dans toutes les couches de l' urine et lui donnaient l'aspect de petit-lait ; ils se
t d'urophéine, d'uroxanthine, de chlo-rures et de sulfates que dans l' urine normale. Je laissai l'urine déposer et s'évapor
de chlo-rures et de sulfates que dans l'urine normale. Je laissai l' urine déposer et s'évaporer en partie au soleil ; il se
diments se réunissaient aussi en concrétions quand on refroidissait l' urine rapidement. Ces intéressants résultats chimique
Ces intéressants résultats chimiques de l'examen du calcul et de l' urine , dans laquelle le calcul se trouvait pour ainsi d
usivement de phosphates et de graviers phosphatiques. L'examen de l' urine permet de constater que la plus petite partie des
ement, et notamment pour les calculs oxaliques, il n'arrive pas que l' urine qui les accompagne soit chargée d'oxalates, comme
que je publierai bientôt. Les résultats précédents de l'examen de l' urine établissent en outre, d'une manière irréfutable,
se former dans l'organisme, quand il n'y a plus assez d'eau et que l' urine n'a plus la température nécessaire pour tenir en
et les phosphates. Le même phénomène s'observe hors du corps dans l' urine des malades atteints de diathèse phosphatique. Au
ux, que l'on trouve en si grande abondance parmi les sédiments dans l' urine des vessies atteintes de cette maladie, et auquel
n prochain travail, se trouvait aussi en quantité considérable dans l' urine dont l'examen vient de nous occuper, et ce nous a
cliniciens, car précisément les malades auxquels appartenaient cette urine et ces calculs, évacuaient depuis des années du
Le malade ne prend rien et évacue involontairement ses selles et son urine . Ses parents sont d'ailleurs bien portants ; une
ions sur le ventre ; vessie distendue : la sonde en évacue un litre d' urine rouge, dont le poids spécifique est 1022, sans al
s de 40°,2. Le 25 mai, l'état est le même. Nouveau cathétérisme : l' urine , sans albumine, a un poids spécifique élevé (1026
atité de 6 à 7 centimètres. Pas d'ictère. La miction est normale; les urines ne contiennent pas d'albumine. Le malade dit avoi
s dans les orbites (amaigrissement). —Soir : P. 84 ; T. R. 58°,8. Les urines , examinées à l'aide de l'acide azotique et de i'a
9 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
a- lade, la chaleur du corps, les mouvements de la respiration, les urines , les sueurs, les évacuations diverses. N'est-ce p
it., p. 102. La plupart des sécrétions s'amoindrissent, celles de 1 urine et de la sueur en particulier ; et il n'est guère
tômes fort différents de ceux qui le caractérisent chez l'adulte. Les urines , souvent peu abondantes, ne renferment de glycose
ccessoires dans la composition du sang, chez les goutteux. — État des urines dans la goutte aiguë, pendant l'accès et dans l'i
e. Comme complément de cette étude, nous devons examiner l'état des urines dans la goutte ; il s'agit de savoir si l'acide i
la quantité proportionnelle d'acide contenue clans un échantil-lon d' urine , mais de constater la quantité totale d'acide uri
que, et l'on doit se rappeler que la présence d'un acide libre dans l' urine , ou le peu d'abondance de la partie aqueuse de ce
aux résultats suivants ; Dans la goutte aiguë, pendant l'accès, les urines sont rares et foncées en couleur, mais la quantit
ion de sa proportion dans le sang. Dans l'intervalle des accès, les urines n'ont pas été exami-nées ; cependant nous ferons
nce à la diminution s'ac-cuse de plus en plus. Pendant les accès, les urines sont pâles et abondantes il ne s'y forme pas de d
s de temps en temps, il se produit des décharges pendant lesquelles l' urine renferme une quantité plus considérable de ce pro
ces caractères persistent; sou-vent on observe de l'albuminurie, et l' urine contient quel-quefois des cylindres fibrineux.
m-moniaque. C'est donc ce dernier produit qui seul se trouve dans les urines . Messieurs, les auteurs de divers traités sur l
le, elle est moins abondante et plus riche en ma-tériaux solides; les urines sont rares, mais très-acides et forte-ment coloré
dans la vessie ; il est fréquent en pareil cas de rencon-trer dans l' urine des cristaux d'acide urique ; c'est la gravelle m
rême irritabilité ; enfin, une diminution no-table de la quantité des urines , qui laissent déposer, par le refroidissement, de
savons déjà qu'il existe ici une altération permanente du sang et des urines , qui nous explique, jusqu'à un certain point, pou
ymptômes, de la maladie de Brigth ordinaire. On trouve en général les urines claires peu colorées; elles renferment une quanti
t provoquées par de simples piqûres, il s'agissait d'individus dont l' urine contenait de temps en temps du sucre, et laissait
ept mois à un goutteux, sans produire cette odeur caractéristique des urines qui se mani-feste habituellement en pareil cas. C
t-il, dans un autre endroit, que de rencontrer un peu de sucre dans l' urine des goutteux; ils ne s'en aperçoivent que lorsque
. Lorsque cet individu vint nous consulter pour la première fois, ses urines contenaient une quantité considérable de sucre. U
onnées sont faciles à apprécier. Il faudra soigneusement examiner les urines des goutteux: et lorsqu'on aura reconnu ce genre
ren-contrer dans le sang des goutteux (3), dans la sueur et dans les urines , en dehors des périodes où se manifeste la 1. S
loc. cit., p. 531. 2. De l'oxalate de chaux dans les sédiments de l' urine , etc. [Mém. de la Soc. de Biologie. Paris, 1859,
osé d'urates amorphes ou d'acide urique à l'état cristallin, dans les urines , peu de temps après leur émission, ne saurait pro
ne manière absolue. Une diminution nota-ble de la partie aqueuse de l' urine , une acidité prononcée de ce liquide, sont des co
é, nous savons aujourd'hui, grâce aux travaux de Bartels (1), que des urines qui ont conservé uue limpidité parfaite, longtemp
des choses, il serait donc indispensable d'ana-lyser la totalité des urines rendues pendant les vingt-quatre heures, et même
n. Mé-dian. Bd. I, Heft. I, p. 13. Leipzig-, 1865.) 2, Parkes. — On urine , London, 1860, p. 218. — Banke. Ausscheidung der
78. — Maladies des reins, Paris, 1809, t. T, p. 94, 197,198, avec l' urine et albuminurie passagère; il peut exister de la g
i paraissent ne point avoir été albuminuriques ; car on a examiné les urines , et l'on s'est assuré que la proportion d'acide u
uelle il s'appuie : après avoir examiné, pendant plusieurs jours, les urines d'un cer-tain nombre de malades atteints d'affect
e Vacide lithique (acide urique) dans les calculs urinaires et dans l' urine ; en 1793, Murray Forbes, en raison des rapports q
plénique, Uhle etBanke ont trouvé un excès réel de cet acide dans les urines ; dans les af-fections du foie, Harley est arrivé
et dans ces expériences que la quantité d'acide urique rendue par les urines correspond à celle qui est formée dans l'économie
e. — Aussch,. der Harnsäure. München, 1858, p. 210. 3. Parkes. — On urine , p. 50 el 320. 4. Bocker. — Bellrage zur Hellku
le nombre des jointures affectées. — Pouls. — Sécrétions. — Salive. — Urines .— Anémie profonde. Parallèle entre le rhumatism
es, quelquefois acides, sont aussi quelquefois alcalins. L'état des urines doit tout particulièrement nous occuper, car nous
es, mais à un degré bien inférieur. Todd, O'Ferral, 1. Parkes. — On Urine , London, 1860, p. 286. Fuller, en Angleterre; C
s, et n'ont point cette acidité que nous avons signalée. L'état des urines diffère de ce que nous avons constaté dans le rhu
extérieure soit la môme; mais lorsque nous procédons à l'analyse des urines , chez les goutteux, loin d'avoir un excès d'acide
par les rhumatisants, et qui tiennent à la concentration extrême des urines . Dans le rhumatisme chronique, la cystite est a
ces derniers observateurs est fondée sur des analyses attentives de l' urine , qui ne parais-sent laisser aucune prise à la cri
s avons parlé. Son action diurétique est très manifeste ; elle rend l' urine fortement alcaline et dissout avec énergie l'acid
en chef de cet établissement, a bien voulu se livrer à l'analyse de l' urine des sujets que j'avais soumis à la la médication
Dans le premier cas, on a constaté la présence de l'arsenic dans les urines , après un court espace de temps. Dans le se-cond,
-néral ils se traduisent soit par de la diarrhée, soit plutôt par des urines abondantes ou troubles. Lorsque la terminaison
o-duits de métamorphose des tissus ne se montrent pas en excès dans l' urine . » Dans deux cas de tétanos observés chez le chev
tétanos observés chez le cheval, M. Senator dit n'avoir trouvé dans l' urine , qu'une proportion faible d'urée (IX Ce que l'o
, et quatre heures après, il retrou-vait les traces d'iodure dans les urines . On ne saLirait douter, d'après cela, que les sub
comme dans l'ictère expérimental, on retrouve dans le sang et dans l' urine , ces éléments fondamentaux de la bile. Dans les d
it pas de diarrhée. Les évacuations alvines étaient plutôt rares, les urines pâles, peu abondantes, renfermaient une proportio
e. A l'époque des exacerbations, quand il y a un peu de fièvre, les urines sont quelquefois troubles et sédimenteuses ; en
cessé de manger, mais elle a observé que souvent, à cette époque, ses urines étaient troubles et rouges; en même temps, elle a
à la malade, les règles ont cessé de paraître pendant deux mois. Les urines , assure-t-elle, n'ont jamais présenté rien de rem
nce ; au-jourd'hui, les douleurs ont presque complètement cessé ; les urines sont normales. Etat des jointures. — Articulati
e soit du côté de l'estomac, soit du côté du cœur ou des intestins. L' urine est habituellement trèsclaire. Cet homme, outre
rs. Dans son remar-quable travail sur les altérations du sang et de l' urine dans la goutte et le rhumatisme (Medic-Chirurgie.
hritiques bien caractérisés ; chez plusieurs d'entre eux le sang et l' urine furent soumis à l'examen chimique, et l'on s'assu
de nos connaissances, sur ce sujet. se rencontrait parfois, dans l' urine des goutteux, qu'ils fussent ou non hydropiques e
vec une remarquable diminution de l'urée et des principes salins de l' urine (1). La néphrite albumineuse a été observée égale
érale et abondante, comme dans la maladie de Bright. La quantité de l' urine n'est pas di-minuée, mais elle est, au contraire,
ques de goutte, pour reparaître au prochain accès. Les sédiments de l' urine y sont relativement enpetite quantité. De l'épith
ouilles granuleuses (waxy casts) des tubes urinifères, forment dans l' urine , un dépôt blanchâtre quelques heures après l'é-mi
aiguë de goutte ou une irritation bronchique, et l'on trouvera dans l' urine des urates en grande abondance. Tels sont les c
l'œdème est rare et limité, que l'albumine, quand elle existe dans l' urine , est peu abondante, que les reins sont ordinaire-
, comme les décrit Todd, sous le nom de gouty Kydney. Dans ces cas, l' urine était albumineuse et contenait des dépouilles (cy
e passage d'une grande quantité d'urates, l'albumine se montre dans l' urine , irrégu-lièrement et en faible quantité et coïnci
rod, dans son remarquable travail sur les altérations du sang et de l' urine , dans la goutte et le rhumatisme (2), a fait figu
articula-tions. Dans ce cas, en effet, notre malade perdait avec ses urines une quantité considérable d'albumine, et l'autops
s chevilles cedéma-tiées. On examina alors, à plusieurs reprises, ses urines qui présentèrent les caractères suivants : elles
d'une ascite et de douleur continue dans les régions lombaires. Les urines présentèrent les mêmes caractères et la même abon
t avec quelle facilité ils peuvent être dissous et éliminés par les urines , et leur présence n'en a pas moins une haute impo
oici sur quoi il se fonde : la quantité d'acide urique rendue par les urines dans les vingt-quatre heures fut dosée avec soin,
l'hydrargyrisme, comme dimi-nuant la quantité d'acide urique dans les urines , rappelle qu'il n'est point rare de voir la goutt
vulsives dans la tête et dans le bras. Il ne se mord pas la langue, n' urine pas sous lui. L'attaque est courte, et à peine es
soit du côté de l'estomac, soit clu côté du cœur ou des in-testins. L' urine est habituellement très claire. Cet homme, outr
26). (p. 133). Urates amorphes et acide urique cristallisé dans les urines . — Il n'est peut-être pas hors de propos d'insist
d'urates amorphes, ou d'un dépôt d'acide urique cristallin, dans les urines , peu de temps après l'émission, ne saurait prouve
que l'excrétion de cet acide est augmentée d'une manière absolue. Des urines chargées de semblables dépôts peuvent, en réalité
ssous du taux normal. L'oligurie fébrile, un haut degré d'acidité des urines , tel qu'on le rencontre, par exemple, dans certai
ussi parfaitement établi, par les travaux récents de Bartels, que des urines qui ont con-servé leur transparence, même longtem
Par conséquent, une analyse méthodique portant sur la totalité des urines rendues dans les vingt-quatre heures, permettrait
rates amorphes se forment non plus après l'émission, mais bien dans l' urine encore contenue dans un point quelconque des voie
sujets non goutteux qui rendaient ha-bituellement en même temps que l' urine de petits cristaux ou des concrétions plus ou moi
eloppe, au sein même des voies urinaires, une fermentation acide de l' urine , anatogue à celte que subit ce liquide, dans les
écipitation de la presque totalité de l'acide urique contenu dans les urines . Quoi qu'il en soit, on ne saurait nier que la
ait jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire ; les urines ne renfermaient pas traces d'albumine. Il faut sa
ires, traduites par J. Patron. Paris, 1845, p. 251, 278. — Parkes, On Urine . London. 1868, p. 218. — Ranke, Ausscheidung der
klinische Median, I Bd., 1 Heft., p. 13. Leipzig. 1865. —Beale, De l' urine ,etc. Paris, 1865, p. 121, 171, 197, 404. (Traité
en urinant, du sable d'acide urique cristallisé ; en même temps, les urines renferment une proportion variable d'albumine, et
rare-ment très accusés ; la proportion d'albumine que renferment les urines est fréquement peu considérable, etc. Ces caractè
rix). On sait que chez les oiseaux et chez la plupart des reptiles, l' urine à l'état normal, ainsi que l'ont démontré John Da
, dans la Leucémie splénique (Parkes, Médical Times, June, 1850. — On Urine . London, 1860, p. 331. — Walshe et Ranke, Aussche
, on a plu-sieurs fois constaté, à l'aide de l'analyse méthodique des urines , un accroissement remarquable de la proportion de
de urique et goutte. — Voyez aussi Rayer (Rapports des alté-rât, de l' urine et du sang ; in Traité des malad. des reins. Pari
ur, sans avertissement préalable, d'une très abon-dante salivation. L' urine ne renfermait pas traces d'albumine et il n'exist
oreilles externes, de volumineuses concrétions d'urate de soude. Les urines pâles, exemptes de sédiment, renfermaient une cer
dre de Dover. Peu après, il tomba dans une somnolence profonde et les urines devinrent très rares. Sous l'influence d'une médi
d'une médication appropriée mais seulement au bout de deux jours, les urines se montrèrent abondantes et en même temps, l'état
nution de la proportion de l'urée et de l'acide inique rendus par les urines (p. 445). Différence entre lu gout le et le rhm
ades goutteux présenter tout à coup des symptômes diabétiques, et les urines se charger de sucre, c'est-à-dire la goutte se ch
vent latente : il est donc important d'exami-ner de temps à autre les urines des sujets affectés de goutte ou de gravelle uriq
ccessoires dans la composition du sang, chez les goutteux. — Etat des urines dans la goutte aiguë, pendant l'accès et dans l'i
e nom-bre des jointures affectées. — Pouls. — Sécrétions. — Salive. — Urines . Anémie profonde. Parallèle entre le rhumatisme
goutte viscérale, 91 ; — dans le rhu-matisme aigu, 202 ; —? dans les urines , 534 ; — dans les poumons, 535; — dans le foie, 5
sang, 52; — état du sang dans l'intervalle des accès, 538; — état des urines dans la —, 53, 518 ; — albuminurie dans la —, 54,
sur les dévia-tions, 369 ; — fièvre, 375 ; — sueurs, 375 ; — état des urines , 375 ; — ordre d'envahissement successif des jo
0; — sécrétions dans le —, 201 ; — sueurs, 201,205; — salive, 201 ; — urines , 202, 203 ; — anémie, 203 ; — état du sang, 205 ;
; — dans la sérosité sous-arachnoïdienne, 517 ; — amorphe dans les urines , 518 ; •— dans les différents tissus des gout
70, 157, 153 ; — chez les oiseaux, 571. Uréthrite goutteuse, 105. Urines dans la goutte, 53, 75; — dans le rhumatisme ai
10 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1 ac- cumulation d,a,n-s'-i'e san-ide.tou. iles- principes de, 1 ? urine indis- tinctement, njestpas seulement la-conséq
-eur'de la race ; les *pupilles sont contractées; pas de fièvre. Il urine dans son pantalon. r ,,... ïl ^, , g , , . U,.e
nt une irritation inflammatoireide l'orifice préputial causée par l' urine ; mais encore^ un^oedènie blanc très marqué des
r- '1f7 '^ h-'f n,ao^ C.` «i n ? t), j - 10 décembre. si Le malade urine de temps en, temps spontane- ^1 ? .....^ ? ? I
ent, mais sans .vider sa vessie môme à moitié. Le reste du temps il urine par regorgement. Sûbâgitatitin ; délire bizarre,'
.. '< ! t1 ? H( ? ) ,. .matin"il,aluriné environ 200,Çrammèsdune urine rouge, sedi- menteuse, mais la vessie n'en arri
;Jie comprend pas pourquoi' on'lui met le ther- '"momètré,1 etc ! 1 Urine rouge, épaisse,' odeur ammoniacale, sans albu-
"^°24 décembre]' 'T.' m. 37°,5 ? Langue meilleure, ! nuit calme, urine un peu avec ne rands efforts. t : ...,at ? f<b
re de la, vessie avec l'appareil Dieulafoy. On'i,etii'540 grammes d' urine ;"à ce* moment le malade se 'débat tellement qu'i
se de 0,75 ? "" " - ? tr9,28,décembre., ,T.,m.37°,2.`luitcalme; il urine , mais la vessie' -t est toujours distendue. Sul
la . ponctionna vessie a repris'' un peu, de son1 élasticité' et il urine mieux c r'1 ">>'<' m"' -il ut· 'i.K'-
m'avait 'donné 'pour mes verrues. » -">Pas d'albu-P mine dans' l' urine ? 8Do3 J6 sf no np .on3us au`6 altiuo asl lul 3
r(nre Tf ? ffn ? r ? rr<r nr ofrt. a (r ? ( nb 3 jvnvier. - Les urines sont épaisses, ammoniacales, mantes;" cystite.'
Sx3 ? 3 tzoqzcb9Tq t)b 4yâzzvzet r Uriiies plus c'lairës. Le malade urine au ht la1 nuit ! 1* Mange mieux ? iJ3S9Tgoiq tm
T : es : 3 ? cT.3m : i36°,B.uMieux,ztoutLàifait°calme;v retient son urine , nedélirepas. A'.trs.bien.ma.nge.j gab ;xu8VT9n
tion, sont sus- ,, pendus à cause, du -retour, de la fièvre,,et des urines purulentes. ft -i<jL* ; ? âj ? t L m.rJ4,.C·
occupe un" peuîairménàge'"1ét aide rihfirmiéFqûi''est malade. Lés" urines ne'11 sonsplds purulêntes'J'ni1 filahtés ? 0Dep
z,> lui les outils d'un autre, qu'on le dit de tous c6tés,f él ? Urines , a^Bl^at^'.^^ T,-n,v ia.H ? n.lAws9b ` 10 ma
sible ? 'CépeiTdant'l'albumine ' a constamment* fait'défaut dans l' urine examinée à £ de'nombreuses,'reprises; maistëeT si
mplications urémiquesCes dernières proviennent, d'une' rétentions d' urine prolongée,, due ,non,pastantlau'rétrécissement,
ps . doute ! {le)'principal, rôle ? Mais c une fois la, rétention^d' urine constituée, ! c'estàl'empoisonnement urineux qu
doucette note sont les. analyses chimiques des, os malades et de l' urine du sujet. La, seconde note est de M. H. Meunier
<//0- SOCIÉTÉS savantes. 6o iitil. L'auteur a constaté dans l' urine des aliénés prenant du sulfonal de l'hématoporp
rtain délicate teests for </ ! 6 détection of sérum albumin in the urine , especially the trichlor-acelic acid lest. Broc
e, rate normaux. Sang : hémoglobine 100. Plasmodies non pigmentées, urine normale. Traitement. Injection hypodermique de
. Rate normale. Sang : plasmodies sans pig- ment, hémoglobine 0,70, urines et règles normales. Après la première injection
mastication et la déglutition s'opèrent lentement, l'incontinence d' urine et des matières fécales apparaît, sans para- ly
ette matière étaient moins hérissées de difficultés. L'examen' de l' urine de M-11 B..., fait par M. Lailler, le distingué p
ce des douleurs caractéris- tiques et la présence du sucre dans les urines permit de porter le diagnotic de tabès avec dia
uand on en connaît les résidus. Nous pouvons donc, par l'examen des urines , acquérir des idées très vraisemblables sur la co
es, acquérir des idées très vraisemblables sur la composi- tion des urines qui baignent les éléments anatomiqucs d'un sujet
n montre combien les délires actifs modifient la constitution des urines , tandis que la démence les rend pauvres en élémen
ndance à la simulation. Telle affectée d'anurie, boit plus tard ses urines afin de les vomir et d'ajouter à l'intérêt du s
rtout si l'on dirige contre sa cause un traitement approprié. DES URINES A la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie générale ,
IPPEL et Sérieux (de Paris). Il résulte de nos recher- ches que les urines des paralytiques généraux sont essentiellement
aralysie générale. Il existe alors une polyurie incontestable ; les urines ont une faible densité et sont de coloration cl
it de 360,8; son pouls battait 84 fois par minute et le taux de ses urines oscillait entre 800 et 1,000 grammes. Le lendem
ns le sommeil hypnotique provoqué par les moyens ordi- ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE 365 naires 1. Nous n
eurs expériences. CHIMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE; Par les D" KLIPPE
ut tout d'abord étudier les excré- tions de l'individu et surtout l' urine . C'est ce qui nous a engagé à entreprendre, d'a
e notre excellent maître M. le professeur Joffroy, ce travail sur l' urine des paralytiques généraux, qui a pour but la dé
mportant que le début de la paralysie générale est plus obscur. L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE, D'APRÈS LES AUTEURS
la prétention de faire ici un historique complet des travaux sur l' urine des paralytiques généraux, et nous espérons que
dans son déclin. A. Addison 2 conclut, au contraire, d'analyses d' urine de paralytiques généraux, que dans l'excitation
, 1850. r A. Addison. Medico-chir. Review, avril 1805. ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 367 Î De son côté,
e de l'acide sulfurique est normale, que le poids spéci- fique de l' urine varie à peine, et que le volume de vingt-quatre
t avec le poids du corps. Rabow 2 considère lui aussi la quantité d' urine comme aug- mentée ainsi que celle de l'urée, ma
, cité par M. A. Voisin dans son Traité de la Paralysie générale, l' urine a les caractères de celle des fébricitants. A
er, dans les phases d'excitation que de dépression, la densité de l' urine est toujours plus ou moins élevée au-dessus de
crises épileptiformes. A la troisième période, ajoute M. Voisin, l' urine est souvent fétide et trouble et contient quelq
GIQUE. - Les résultats de ces analyses des matériaux normaux de l' urine n'ont donc rien donné de bien net, rien établi sû
s agités). Et nous trouvons un peu plus tard vingt- deux analyses d' urines de paralytiques généraux publiées par Marre dan
que dans les cas de diagnostic douteux l'absence de peptone dans l' urine permettrait d'écarter l'hypothèse de paralysie
t que la peptonurie ne saurait être invoquée ' Rabenau. Analyse des urines des aliénés paralytiques. (Archiv. fur. Psych.
893. 1 Lailler. Ann. médéc.-psycla., XIX, p. 17, 1894. ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 369 comme un symptô
valeur chez les aliénés. Enfin, parmi les substances anormales de l' urine des paralytiques, M. Régis' a signalé la glycos
qui suit et qui ne représente qu'une minime partie de l'étude de l' urine dans la paralysie générale. Il nous semble en e
ieux documents les points suivants : 1° la composition moyenne de l' urine dans chacune des trois périodes de la pa- ralys
c la forme clinique de la paralysie générale ; 3° la variation de l' urine chez un même individu dans une même période de
erons seulement du premier point, et encore ne considérerons-nous l' urine de paraly- tique général que durant la seconde
t et il est bien difficile de recueillir inté- gralement toute leur urine . Nous espérons, du reste, pouvoir dans peu de t
les résultats que nous allons exposer : Constitu- tion moyenne de L' urine dans la seconde période de la paralysie général
iode de la paralysie générale. Pour y arriver nous avons pris les urines d'un certain nombre de paralytiques quelconques
rs basé les données qui vont suivre sur les dosages effectués sur l' urine des vingt-quatre heures. Avec des aliénés tels
tiques généraux, il est très difficile de recueillir exactement les urines d'une journée entière, néanmoins nous croyons a
es cas, heureusement fort rares, croyons-nous, y a-t-il eu un peu d' urine perdue ; mais nous le répétons ces faits consti
ts constituent l'exception, car nous avons impitoyablement rejeté l' urine chaque fois qu'il nous sem- blait y avoir un do
isqu'il ne peut y avoir eu comme cause perburbatrice qu'une perte d' urine qui, nous aimons à le répéter, a été tout à la
rès rare et certainement très petite. i Constitution moyenne DE L' URINE dans la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie général
. Caractères GÉNERAUX. - 1° Quantité. En consultant les tableaux I ( Urines des hommes) et II (Urines des femmes), on voit
° Quantité. En consultant les tableaux I (Urines des hommes) et II ( Urines des femmes), on voit que vingt hommes sur trent
que six femmes sur treize, soit environ la moitié ontune quantité d' urine supérieure à la moyenne (1,200 cent. cubes pour
,100 pour les femmes, d'après Yvon et Berlioz : Manuel d'Analyse d' Urines . Paris, 1894) et dans un nombre assez notable e
' Urines. Paris, 1894) et dans un nombre assez notable e ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 371 de cas cette po
male. Et encore, ici surtout, faudrait-il pouvoir tenir compte de l' urine qui a pu être perdue. Il y a donc, comme Rabon
onc, comme Rabon l'avait annoncé, une augmentation de la quantité d' urine . En un mot, s'il est vrai qu'il y ait parfois m
égère polyurie pouvant devenir parfois très notable. Couleur. Les urines des paralytiques généraux sont géné- ralement c
eu diminuées ou normales, et il en est de même des chromogènes de l' urine , comme on peut s'en assurer par l'action de l'a
iquer ce fait dans un autre travail. Aspect. Il est bien rare que l' urine soit transparente; elle est presque toujours au
cus en quantité toujours très appréciable, souvent très notable ; l' urine des paralytiques généraux présente donc une vér
quente de l'albumine, comme nous le verrons par la suite, que cette urine mousse toujours bien facilement, et que la mousse
odeur, elle est en général normale, mais plus forte que celle d'une urine ordinaire ; quelquefois on peut noter qu'elle e
dans un sixième dès cas, et alcaline dans le dernier sixième. Les urines neutres ou alcalines se rencontrent donc aisément
e et cela sans troubles de la miction et sans rétention prolongée d' urine à l'intérieur de la vessie. (Nous n'avons pas e
xaminé ces cas.) Densité. M. Lailler nous indiquait la densité de l' urine des paralytiques comme plus forte que la densit
t que faire se peut, à l'abri de toute cause d'erreur. ÉTUDE DE l' urine dans la paralysie générale. 373 HOMMES 374 CH
(tableau I et II) en montrent partout l'excré- FEMMES ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 375 TABLEAU III. Ra
ement augmentés. Tableau IV. Excrétion des phosphates. ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 377 celle de l'urée
l'urée ou des phosphates l'action due aux fluctuations du volume d' urine émis dans les vingt-quatre heures. Tableau V. É
ourtant la légère polyurie des paralytiques, la faible densité de l' urine et les lésions rénales constatées par M. A. Voi
a été négatif. Comme nous n'avons pas examiné une seconde fois les urines où nous n'avions point trouvé de peptones, il n
sur dix. Comparativement nous avons fait la même recherche sur des urines normales et les résultats positifs ont été seul
peut-on dire qu'on la rencontre un peu plus fréquemment que dans l' urine normale. Résumé ET conclusions. En résumé, nous
e point de critérium permettant de dire immédiate- ment : Voici une urine de paralytique ou permettant de faire un diagno
fureux et qui vire au violet en présence de l'acétone. ÉTUDE DE L' URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 379 De plus, nous a
RINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 379 De plus, nous avons vu que les urines des paralytiques étaient essentiellement variab
a polyurie dans la seconde période de la paralysie géné- rale ; les urines ont une faible densité et sont de coloration cl
restrictions sur la peptonurie ainsi que sur tout ce qui touche les urines de la paralysie générale en dehors de la second
suturée, était complètement guérie. Rentré chez lui, il mesure ses urines (15 litres en vingt- quatre heures) et en fait
ersisté sans modifica- tion, malgré divers traitements. Le taux des urines de vingt- quatre heures s'élevait à une vingtai
qu'il lui est arrivé deux ou trois fois, faute d'eau, de boire son urine . Il n'est jamais plus heureux que lorsqu'il peu
étouffements avec tremblement, d'une véritable attaque de nerfs. Il urine souvent un litre par miction. Voici quelques dé
iction. Voici quelques détails sur la quantité et la qualité de ses urines . Toute supercherie a été évitée ; nous avons pl
e ; nous avons plusieurs fois fait uriner le malade devant nous ; l' urine encore dans ces conditions était physiquement e
é, on ne peut avoir aucune espèce de doute.. L'analyse chimique des urines a été faite, pendant quinze jours consécutifs,
onsécutifs, par M. Yvon, que nous remercions de son obligeance. Les urines émises, les boissons absorbées dans les vingt-qua
un mois D... est resté en observation. Durant ce temps, le taux des urines de vingt-quatre heures a oscillé do 1G à 19 litre
,500. La quantité d'eau ingérée a été un peu inférieure au taux des urines , mais en tenant compte du vin, du café et de l'ea
nnera des renseignements suffisants sur la composition chimique des urines des vingt-quatre heures. L'urine est pâle à reu
s sur la composition chimique des urines des vingt-quatre heures. L' urine est pâle à reuetverdàtre, à peine acide et de d
t. Du 13 au 16 juin, il a été hypnotisé chaque jour et le taux de l' urine a baissé quotidiennement d'un litre. Le 22 juin,
ment d'un litre. Le 22 juin, après sept séances de suggestion, il n' urine plus que 7 litres. Du 22 au 30 juin quatre séan
illet et à 3 litres et demi le 3. Enfin, le 4 juillet, le taux de l' urine atteignait 3 litres 200. Chaque suggestion a am
2 septembre, le malade n'a reçu aucune sugges- tion hypnotique; ses urines ont été régulièrement mesurées et leur taux quo
tre heures une quantité constante (10 à 45 centimètres cubes) d'une urine acide, trouble, dont la densité varie entre 1,0
ainsi, chez cinq lapins, une polyurie durable, caractérisée par une urine pâle, d'une densité moyenne de 1,006, dont le tau
homme de vingt-cinq ans, ne présentant aucun stigmate d'hys- térie, urine de 20 à 28 litres par jour. La thérapeutique habi
persuadant de l'efficacité merveilleuse du médicament. Le taux de l' urine tombe à 3 litres. Donc, les observations ancienne
de ses polyuriques les excès d'alcool et l'incontinence nocturne d' urine , mais il ne les a pas interprétés. « Dans les a
s presque toujours dans leur enfance de l'inconti- nence nocturne d' urine , qui se prolonge souvent assez tard, mais n'est
érie. » Nous pensons, au contraire, que l'incontinence nocturne d' urine et les excès éthyliques sont pour beaucoup et ont
ictions fréquentes et impé- rieuses diurnes, croit en réalité qu'il urine plus que normale- ment. L'enchaînement logique
ues dans la production de la polyurie hystérique. Qui boit beaucoup urine plus et plus souvent qu'un sujet sobre. Il est
et soignée à l'hôpital du Midi. Envies très fréquentes d'uriner et urines san- guinolentes. Instillation de nitrate d'arg
hypersécrétoire (excès alcooliques aigus, inconti- nence nocturne d' urine , etc.). L'idée inhibe probablement les centres
la femme, par Idanow, 134; à forme tabétl- que, par Joffroy. 321; urines dans la-, par Klippel et Serveaux, 327, 327,
11 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te; ici c'est la mamelle qui se prend, là l'appareil sécréteur de l' urine ; chez tel malade l'agent infectieux des oreill
Le le, et le 2 juin, le pouls, petit, bat 90 fois à la minute, l' urine est albumineuse et les selles contiennent un peu
ment disparu. Le malade, qu'il avait encore fallu sonder la veille, urine seul. La température s'abaisse, 38°,5 le matin,
n). A dater de ce moment, la déchéance s'accuse : les selles et les urines sont involontaires, les contractures s'accentue
a bouche, convulsions toniques prédominant à droite, émission des urines . L'aberration du sens génital ne s'est pas amen
st Pettérs et Kaulich qui, frappés de l'odeur spéciale de certaines urines diabétiques, eurent les premiers la pensée d'y
oniaque, puis successivement toutes les substances contenues dans l' urine . les matières extractives, les sels de potasse,
nues dans l'urine. les matières extractives, les sels de potasse, l' urine en nature, les ptomaïnes, sans arriver à aucun
ndamental pour nous, la présence ou l'absence de l'acétone dans les urines ou dans l'air respiré. Dans l'un, à aucun momen
eur acétonique de l'haleine ni la réaction caractéris- tique dans l' urine . Dans l'autre, au contraire,.l'urine traitée pa
inutile d'énumérer tous ceux qui en ont constaté l'existence dans l' urine . Berti l'a extraite, par distillation, du coeur
même, étant donné le peu d'acétone obtenue par distillation de l' urine , que ce n'est qu'une voie accessoire.- L'acétone,
un temps plus ou moins long, l'odeur et la réaction spéciales de l' urine , et cela, à diverses reprises, sans autres acci
d'une intoxication continue; l'acétone est en vain éliminée par les urines et par les poumons; elle continue à se former d
formique de l'haleine; L'absence de la réaction acétonémique dans l' urine . Le type est ainsi constitué. Un diabétique avé
tère négatif qui a pour corollaire l'absence de la réaction de l' urine par le perchlorure de fer ou les autres réactifs
ces deux signes se constatent. Il faut ajouter que la quantité d' urine rendue est plutôt augmentée que diminuée chez c
s symptômes que nous venons de décrire, la vessie était remplie d' urine , et cette urine contenait 50 grammes de sucre par
e nous venons de décrire, la vessie était remplie d'urine, et cette urine contenait 50 grammes de sucre par litre. Mais n
mour. Cette jeune fille rendait en moyenne de deux à trois litres d' urine par jour, contenant 40 à 50 grammes de sucre pa
coup, et sans raison appréciable, on vit augmenter la quan- tité d' urine rendue; la peau et les muqueuses pâlirent, en m
perdait de 4SO à 600 grammes de sucre par jour, avec six litres d' urine , fut prise tout à coup, à la suite d'un voyage de
re ordres principaux de phénomènes : 1° La réaction spéciale de l' urine et l'odeur de l'haleine ; 2° Des troubles gastr
ncomplets; mais l'odeur aigrelette de l'haleine ou la réaction de l' urine doivent de toute nécessité exister pour justifi
atation de l'haleine acétonique autorise à affirmer le diabète. L' urine peut donner la même sensation odorante; mais il
s usité est la réaction que fournit le perchlorure de fer. Dans une urine , additionnée au préa- lable de quelques gouttes
ubis. Il suffit donc d'ajouter quelques gouttes de ce réactif à une urine où l'on soupçonne la présence de l'acétone pour
e. On comprend que, suivant la quantité d'acétone con- tenue dans l' urine , la réaction sera plus ou moins nette, et la te
ate de soude (10 centigrammes pour 15 grammes d'eau). On ajoute à l' urine une certaine proportion de la solution ammoniac
es constater à différentes fois la réaction de l'acétone dans les urines . 2° Acétonémie chronique. Les faits de ce genre
e du malade au point d'incommoder les personnes qui s'y trouvent. L' urine , pendant tout ce temps, donne, en général, d'un
nés, l'odeur aigrelette de l'haleine et la réaction acétonique de l' urine , en même temps que se mani- festent sous une fo
némie, avec odeur spéciale de l'haleine et réaction acétonique de l' urine . Ces accès passagers coïncidaient toujours avec
elle rendait 100 grammes de sucre par jour et environ deux litres d' urine . La glycosurie diminua sous l'influence des alc
glycosurie diminua sous l'influence des alcalins. Mais, en 1878, l' urine ne renfermant plus que des traces de sucre, cette
faire disparaître complète- ment et trop brusquement le sucre de l' urine des diabétiques. La suppression rapide de la gl
porte sur l'agi- tation, et cet affaissement est si marqué que B... urine souvent sous lui. Toutefois, l'alimentation se
d'insuffisance mi- trale. Pulsations de la veine jugulaire externe. Urine normale, quoique d'une densité très élevée. S
pendant lesquels elle aurait perdu partiellement connaissance; elle urine inconsciemment dans son lit, elle se mord la la
e temps qu'une tuméfaction médiocre des paupières; on examine ses urines qui ne contiennent ni albumine, ni sucre. Depuis
ois. Trois semaines plus tard se manifestent de l'incontinence de l' urine et des matières, puis une cystite opi- niâtre e
nt, grincement de dents; faibles cris, évacuation involontaire de l' urine . Le neuvième jour, les convulsions s'étendent d
h annonçait qu'il avait souvent trouvé la diacéturie (réaction de l' urine au perchlorure de fer, et présence de l'acétone
ns que l'examen révélât autre chose que de l'acide diacétiquedans l' urine . Ces états se dis- siperaient en général prompt
après une selle copieuse. De là la néces- sité de rechercher dans l' urine des aliénés l'acétone et le corps donnant la ré
rure de fer, celle de Lieben qui donne de l'iodoforme (addition à l' urine d'io- diure de potassium ioduré et de lessive d
e). Il a, à plusieurs reprises, interrogé ces réactions tant dans l' urine que dans son produit de distillation chez plus
ades n'ayant quelque temps auparavant que peu ingéré; chez elles, l' urine donnait simultanément très nettement la réactio
ments atteignit ici jusqu'à quatre jours; ;la réaction Légal dans l' urine se montra trois fois le premier jour, une fois le
jours d'inanition. En revanche, le produit de la distillation de l' urine (obtenu avec l'urine pure ou avec l'urine addit
revanche, le produit de la distillation de l'urine (obtenu avec l' urine pure ou avec l'urine additionnée d'acide sulfuriq
t de la distillation de l'urine (obtenu avec l'urine pure ou avec l' urine additionnée d'acide sulfurique) pré- senta nett
inence. Les mêmes réactions dans le produit de la distillation de l' urine se rencontrèrent aussi chez deux malades ; l'une
upart des repas une heure après l'ingestion au plus tard, et dont l' urine , distillée, fournit, à une époque où tous les r
tée en deux cas à l'approche des malades; dans l'un de ces faits, l' urine réagissait au perchlorure de fer, et présentait a
utre, elle ne fournit que la réaction Légal. Dans le premier cas, l' urine exhalait aussi l'odeur douceâtre de la pomme; d
fférence entre l'odeur de l'acétone'et l'odeur de l'haleine ou de l' urine des sitiophobes. Nos observations ne nous ont p
établir avec certitude si les réactions de l'acétone fournies par l' urine , qui se montrent dès le début de l'abstinence (
l'abstinence. Dans un autre cas, le produit de la distillation de l' urine montra nettement les réactions Lieben et Légal qu
32. SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 fixées. Elle ne retint qu'une fois ses urines pendant deux jours et demi, à la suite d'halluc
t de conceptions délirantes; puis elle émit 830 centimètres cubes d' urine d'une densité de 40311. : absence de sucre et d
lus lard. Chez d'autres individus ayant retenu volontairement leurs urines , rétention qui n'avait jamais été poussée aussi l
. Wi< ? 6u;'jy, 1882). Hoppe-Seyler trouva cette réaction dans l' urine d'un malade intoxiqué par l'acide sulfurique, à
de rien prendre ; en même temps, le produit de distillation de son urine présentait la réaction l,iel)en (Zeilschi-. f. kl
n, l'acétone se forme dans l'organisme, car toujours alors, sinon l' urine , du moins le produit de la distillation de l'ur
s alors, sinon l'urine, du moins le produit de la distillation de l' urine fournit les réactions de l'acé- tone, au bout d
ation au perchlorure de fer s'accompagne delà réaction Légal dans l' urine ; d'autre part, l'une peut persister des jours dur
que la réaction Légal, plus tard le produit de la distillation de l' urine seul donnait les réactions Lésât et Lieben. I
ne du muscle se transforme en acétone, mais on en constatait dans l' urine de la sitiophobes. Maintenant la substance dont
tion. Il est, en revanche, douteux que l'acétone existe déjà dans l' urine de t'inanitié. En cette espèce, M. Loelir n'ajama
ique se montre aussi bien que la réaction Légal quand on ajoute a l' urine normale de l'acétone. Les corps qui donnent ces
e de l'acétone. Les corps qui donnent ces diverses réactions dans l' urine doivent donc être les éléments générateurs de l
réaction au perchlorure de fer, si forte qu'elle fût souvent dans l' urine , ne s'est jamais montrée dans le produit de disti
ontrée dans le produit de distillation, bien qu'on n'eût ajouté à l' urine à distiller aucun acide. Et cependant on contin
lt;'0-ëpt<ep4'M«j/)'tMtei< . crises, vertiges, incontinence d' urine dès l'enfance, asymétrie RAMOLLISSEMENT DES COR
langue, sans aura, mais fréquemment avec émis- sion involontaire d' urine . Quelques minutes après, elle a de la peine à r
nt une semaine, avec subdélirium etmanie religieuse. Incontinence d' urine , conscience des vertiges, pas de trouble de sen
ur, les bruits sont éclatants, pas de souffle. Après une crise, l' urine est acide, d'un aspect louche avec léger nuage
acés par les rhonchus bullaires de la respiration. Incon- tinence d' urine . Sudation excessive. Pâleur et cyanose de la face
conjuguée des yeux, tantôt à gauche, tantôt à droite. L'examen des urines est impossible. La malade meurt dans l'as- phyx
men du coeur n'offre rien d'anormal. Ni sucre ni albumine dans les urines recueillies avant et après les crises. Le 13 du m
es. Les bruits du coeur parais- sent normaux.-Rien aux poumons. Les urines sont normales. Le 24 du même mois, faux besoins
LISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 415 5 L'état général est bon. Les urines sont normales. Le 2 janvier 1883, perte de conn
ysurie qui, dans ces derniers temps, se convertit en incontinence d' urine . Depuis le mois de novembre 1884, alternatives
lissement des con- tractions cardiaques, des éjections spontanées d' urine , de la sali- vation, du larmoiement. Septfois l
12 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
étaient si douloureux, que cette malade rendait involontairement les urines et les matières fécales. Il était impossible de
n. 8, division dite des gâteuses). Elle rendait involontairement les urines et les matières fécales. Voici les symptômes qu
elles-ci sur le bassin. Depuis un mois, écoulement involontaire des urines . Du reste, intelligence parfaite; exercice réguli
ont sentir de temps en temps: il y a une constipation invincible; les urines s'écoulent difficilement, mais sans douleur. «
n'y a point de dépression dans la fosse iliaque droite. Dévoiement : urines rares. ( 20 sangsues, fomentations, bains.) Le
toujours la partie supérieure « de la vessie lorsqu'elle est pleine d' urine . Si, dans la dilatation de toute la ligne blanche
ouffrance. Pouls petit, peu fréquent : chaleur naturelle; sécrétion d' urines abondante; aucun phénomène morbide du côté de la
loureux, surtout par la pression : insomnie, délire, point de selles, urines rares et troubles (lavemens, embrocations, catapl
t de la verge; en un mot, tous les symptômes d'un calcul vésical. Les urines devinrent successivement catharrales, purulentes,
anieuses, d'une horrible fétidité ; il y avait souvent hématurie. Les urines présentaient de petites masses demi concrètes qu'
bre de boulettes stercorales; et de même que j'ai vu des rétentions d' urine subsister plusieurs années sans accidens, de même
malade que dans les momens de crise, je pus croire à une rétention d' urine , et j'engageai M. Sobaud son chirurgien à s'assur
de celle qui résulte d'un coup d'épée, avec épanchement de bile ou d' urine dans la cavité péritonéale. MALADIES DIT FOIE
r décembre, et voici ce que j'observai : teinte légèrement ictérique, urines également ictériques; angoisse extrême du malade;
égère, est beaucoup plus prononcée, et la matière colorante verte des urines a augmenté dans la même proportion. Toute la jour
urent toujours régulières, avec leur coloration naturelle. Jamais les urines ne furent ictériques; elles conservèrent, au cont
leurs, ne fut pas de longue durée. Le Ier septembre, incontinence d' urine ; les urines coulent, durant une heure, goutte à g
ut pas de longue durée. Le Ier septembre, incontinence d'urine; les urines coulent, durant une heure, goutte à goutte. Penda
irritation ; sa volonté ne peut rien pour empêcher l'écoulement de l' urine .—Le 28 septembre, rétention d'urine; incontinence
n pour empêcher l'écoulement de l'urine.—Le 28 septembre, rétention d' urine ; incontinence par regorgement;besoin de la sonde;
rtion du caillot.—Le 26, persistance des mêmes douleurs ; rétention d' urine , qui oblige de sonder le malade. Cet incident dir
Je soupçonne une péricardite. Du reste, persistance de la rétention d' urine , nécessité du cathétérisme. — Traitement: vingt
che du thorax/Purgatifs répétés, boissons diurétiques. La rétention d' urine persiste et nécessite le cathétérisme. 19 juill
e des membres inférieurs, et même des membres supérieurs. Rétention d' urine , cathétérisme. Le 20 et les jours suivans, augm
arfaite du mouvement et du sentiment dans les membres supérieurs: les urines et les selles sont rendues volontairement; intégr
ion des gâteuses, ce qui suppose qu'elle rendait involontairement les urines et les matières fécales. Je n'ai pas noté si cett
la malade contraste avec son état de paralysie presque générale. Les urines sont volontaires, mais péniblement expulsées. Le
r avaient roulé douloureusement dans tout son corps. L'émission des urines est impossible. Cathétérisme. L'élève chargé de c
eur de la perception est la même aux doigts qu'aux pieds. Rétention d' urine depuis quelques jours; cathétérisme; sortie des m
lieu de janvier : fièvre habituelle avec frisson le soir. Rétention d' urine ; urines purulentes. L'exploration attentive de l'
janvier : fièvre habituelle avec frisson le soir. Rétention d'urine; urines purulentes. L'exploration attentive de l'abdomen
espérance , l'état de la malade s'améliore: point de fièvre, appétit, urines toujours purulentes , que j'attribue à un catarrh
cellulaire sous-péritonéal. Il est difficile de comprendre comment l' urine a pu être sécrétée par des reins aussi profondéme
t sur les reins. La paratvsie de vessie, surtout s'il y a rétention d' urine , peut devenir la cause d'une cystite, d'une infla
dominée par les accidens du coté des voies urinaires. La rétention d' urine a précédé l'appareil fébrile, qui était évidemmen
épendance de l'inflammation de l'appareil sécréteur et excréteur de l' urine .La terminaison delà néphrite par une perforation
se qu'elle ne présentait rien de particulier. Je n'ai pas noté si les urines et les matières fécales étaient rendues involonta
e les infirmières. Sa face est hébétée: elle crie quand on la touche. Urines et selles involontaires. Je n'ai pas noté l'état
avaient contracté la mauvaise habitude de rendre involontairement les urines et les matières fécales. Ces paralysies apparente
e les muscles se raidissent et tendent au raccourcissement. Du reste, urines et évacuations alvines involontaires. Lorsque c
s le principe, la peau conservait toute sa sensibilité. En même temps urines et matières fécales involontaires. Les tressaille
n était brusque, sans intermédiaire. Point de secousses convulsives : urines et matières fécales toujours involontaires , état
se de Saint-Guy. Tous les sens sont dans un état complet d'intégrité. Urines et selles retenues et rendues volontairement. M
est d'ailleurs parfaite et demeure telle jusqu'au dernier moment. Les urines et les selles sont volontaires. Je considérai c
très bien que la peau de la face et de la partie supérieure du col : urines et selles involontaires. Dévoiement depuis le moi
s cesse de nouveaux progrès. Les secousses convulsives cessèrent, les urines et les selles furent rendues involontairement, et
eschares, sous la double influence de la pression et de l'action des urines . Chose remarquable! les régions qui sont le siège
légie, qu'elles s'accompagnent souvent de l'émission involontaire des urines et des matières fécales. Quelques réflexions sur
une contraction volontaire très forte des muscles abdominaux, que les urines sont expulsées. L'autopsie va nous prouver que ce
rongent; elle a crié toute la nuit. Même difficulté pour expulser les urines , si bien que la malade garde le bassin toute la n
de la paralysie. L'abdomen est sensible à la pression. Rétention d' urine . Voici les commémoratifs qui me sont donnés par s
dévoiement avec épreintes ayant l'odeur dysentérique ; la rétention d' urine qui existait dans le principe ; et avait tiécessi
e besoin d'uriner; mais il ne peut le satisfaire volontairement : les urines sont expulsées involontairement, à intervalles pl
uliers, si bien qu'il est quelquefois assez heureux pour recevoir les urines dans l'urinoir: l'expulsion des urines se fait do
ssez heureux pour recevoir les urines dans l'urinoir: l'expulsion des urines se fait donc par la contraction de la vessie, san
t affecté d'une maladie des voies urinaires, il avait une rétention d' urine dont la cause était bien évidemment dans la .pros
'Etiolés l'avait débarrassé par la lithotritie d'un petit calcul. Les urines (1) Physiologie du Systeme nerveux,, par J. Mul
ondait lui-même trois fois le jour, et, à notre grand étonnement, les urines d'abord catarrhales à un point tel qu'il y avait
oint tel qu'il y avait le tiers de mucus purulent et les deux tiers d' urine devinrent bientôt limpides; et cette limpidité s'
puis quatre mois dans la division dite des gâteuses (elle rendait ses urines involontairement); la myotilité était affaiblie;
s complète et sans rigidité du membre inférieur. Sensibilité intacte. Urines et selles involontaires. Intelligence affaiblie.
; mais la malade pouvait marcher à l'aide d'une béquille, retenir ses urines : elle avait toute sa tête; la vue était affaiblie
gauche. Depuis cette époque, altération des facultés intellectuelles; urines involontaires, paralysie presque complète du mouv
nce, et qui,par suite de cet affaiblissement, ne retiennent pas leurs urines et leurs matières fécales. Ces foyers sanguins
plutôt qu'intelligence; pouls naturel pour la fréquence ; rétention d' urine , qui oblige d'avoir recours au cathétérisme. Le
es ailleurs (voyez xvne livraison) sur le traitement des rétentions d' urine par hypertrophie de la prostate, traitement qui c
s de la vessie que le moins d'espace possible. Lorsque la rétention d' urine tient à l'hypertrophie du lobe médian, il suffit
hie de la prostate est évidemment le seul obstacle à l'excrétion de l' urine . -„ vio MALADIES DE LA PROSTATE Chacal. Zit
éminens dans la vessie et dans le canal de l'urètre. — Incontinence d' urine suivie de rétention.— Calcul mural. — Hypertrophi
hirurgie de l'hospice de Bicêtre pour y être traité d'une rétention d' urine . Cette rétention avait succédé à une incontinence
inze jours. Au bout de ce temps on la retira ; car on s'aperçut que l' urine s'écoulait entre la sonde et le canal, lors même
it ce malade, et à chaque fois on évacuait une très petite quantité d' urine purulente excessivement fétide. La sonde d'argent
. Ouverture du cadavre. — La vessie contenait une petite quantité d' urine purulente et un calcul mural gros comme une forte
à la capacité de ce réservoir, me paraît établir que l'incontinence d' urine dont ce malade était depuis long-temps affecté, n
ait depuis long-temps affecté, n'était autre chose qu'une rétention d' urine avec regorgement. Je ferai remarquer l'hypertroph
vessie était restée pendant long-temps immobile, laissant échapper l' urine à mesure qu'elle la recevait et dans la même prop
state, les sillons qui séparent ces lobules expliquent la rétention d' urine et l'incontinence lorsque, par suite de cette rét
n calcul urinaire. Un malade entre à l'hôpital pour une rétention d' urine : ce liquide suinte goutte à goutte. Le malade fa
iquide suinte goutte à goutte. Le malade fait remonter la rétention d' urine à plusieurs années, et la rapporte à une chute su
mpossible de découvrir, à l'aide d'un stylet, le pertuis par lequel l' urine suintait goutte à goutte du vivant du malade. A c
é en un cordon fibreux extrêmement dense. Par suite de la rétention d' urine , les deux uretères, surtout celui du côté droit,
écissement de la partie membraneuse du canal de l'urètre; rétention d' urine ; calcul qui s'est creusé une poche aux dépens de
buleuse LMP, proéminente dans la vessie, devait rendre l'émission des urines bien difficile, et l'épaisseur des parois de la v
l a éprouvé autre chose qu'une grande difficulté dans l'émission de l' urine et, s'il y a eu rétention d'urine proprement dite
nde difficulté dans l'émission de l'urine et, s'il y a eu rétention d' urine proprement dite. Je serais porté à croire que la
d'urine proprement dite. Je serais porté à croire que la rétention d' urine n'a pas été complète, et je me fonde sur ce que l
le volume de la tumeur qu'il faut mesurer l'obstacle à l'émission des urines ; j'ai vu de très petites tumeurs mobiles occasio
; j'ai vu de très petites tumeurs mobiles occasioner des rétentions d' urine qui nécessitaient l'usage habituel delà sonde, ta
s efforts de contraction vigoureux, nécessaires pour l'expulsion de l' urine , la portion des parois de la vessie qui répond à
La théorie dit encore que ces calculs peuvent être expulsés avec les urines ; mais cela n'a point été constaté. Il serait d'a
s urinaires. Us constituent la cause la plus commune des rétentions d' urine et par suite du plus grand nombre des lésions don
caverneux. — Abcès gangreneux. — Pneumonie. Mort, (i) Rétention d' urine , cathétérisme forcé, abcès gangreneux dans les bo
s les follicules muqueux de l'urètre : c'est une cause de rétention d' urine qui vient s'ajouter au rétrécissement. Quant à la
vembre 1829, les voies urinaires d'un individu affecté de rétention d' urine depuis vingt ans, et qui parvenait à uriner assez
alculs urétraux et prostatiques étaient le résultat de la rétention d' urine , laquelle avait déterminé la dilatation du canal
e d'irritation, à cause de l'obstacle qu'il apporte â l'émission de l' urine . La figure 2, planche 1, fournit un exemple d'h
nécessairement une liberté pleine et entière dans la circulation de l' urine . La couleur jaunâtre du tissu du rein , sa dispos
altération, qui peut servir de type pour les lésions du même genre. Urines purulentes. ¦— Tuméfaction considérable et doulou
rages d'aiguille, pour lesquels elle était très habile. Etat local. Urines toujours troubles et purulentes. Le pus forme la
présente tous les caractères du pus phlegmoneux. D'une autre part, l' urine qui surnage, parfaitement limpide et citronée, of
age, parfaitement limpide et citronée, offre tous les caractères de l' urine normale. La malade se plaint constamment du rei
par la saignée. Depuis cette époque, elle dit avoir expulsé avec les urines plus de deux cents graviers, dont souvent six à-l
iloculaire rempli de pus. Ce pus est phlegmoneux sans aucun mélange d' urine . Quelques calculs nagent au milieu du pus. Les ce
ssinet; que ce calcul, faisant bouchon, a dû produire une rétention d' urine dans le rein, et, par suite, la distension, l'atr
t quelquefois spontanément à la suite d'une évacuation de pus par les urines ;mais d'autres fois elles étaient rebelles, et c'é
ubitement à la suite de l'évacuation spontanée dune grande quantité d' urine purulente. La tumeur diminuait rapidement,et, au
assé de ces matières,qui le remplissaient entièrement, sans mélange d' urines et de matières purulentes, le rein ( voyez fig. i
is. Dans le sens transversal, elle atteignait la ligne blanche. Les urines étaient rares, peu abondantes, rendues sans doule
malade : elles se terminaient par l'émission d'une grande quantité d' urine sédimenteuse. Dans l'intervalle des crises, il y
arfaite. Le seul symptôme de maladie était la fétidité habituelle des urines . D'après ce qui précède, le diagnostic était faci
rein, du calice et du bassinet, produits par un obstacle au cours des urines existant dans l'uretère; toute crainte de dégénér
s le 9 octobre jusqu'au 8 novembre, c'est-à-dire pendant un mois. Les urines sont albumineuses, muqueuses, souvent avec gravie
infects, ayant l'odeur des matières fécales ; les éructations et les urines ont la même odeur que les selles, et tout l'appar
des matières rendues par le vomissement et de celles rendues par les urines et par les selles, fait soupçonner une communicat
t de chaux, io° la plupart des sels qu'on « rencontre dans les autres urines . » » Conclusions de l'analyse. « Les particular
« Les particularités remarquables qui résultent de l'examen de cette urine sont: i° la présence d'une « matière glutineuse a
à la date du 11 novembre : «La malade a rendu une énorme « quantité d' urine purulente : elle trouva dans son lit une quantité
e. XXXVIe LIVRAISON. 2 miriutiori. Vomissemens toujours infects ; urines d'abord purulentes , puis sanguinolentes. Les uri
ujours infects ; urines d'abord purulentes , puis sanguinolentes. Les urines sanglantes sont expulsées avec douleur vive ; épu
i rappellent exactement celles rendues par le vomissement et avec les urines , s'échappent par la solution de continuité. Une l
mois; invasion d'accidens d'un nouveau genre; vomissemens stercoraux; urines stercorales; soupçon de communication du rein dro
elles embrassent tous les dérangemens qui ont lieu dans le cours des urines , les rétentions, les incontinences, les fistules,
anique qu'ils apportent par leur présence à la libre circulation de l' urine ; i° à l'irrita-.tion qu'ils provoquent directemen
anes plus ou moins éloignés. Pour qu'il y ait obstacle au cours des urines par suite de la présence d'un calcul rénal, il fa
ccupe le bassinet et fasse bouchon ou soupape: aussi les rétentions d' urine dans le rein reconnaissent-elles presque toujours
érent. Ce sable , mêlé de mucus , était ordinairement expulsé après l' urine , et remplissait le canal; de l'urèthre, qui ne s'
enus dans les calices et le bassinet s'opposent à la circulation de l' urine , qui peut, dans le plus grand nombre des cas, sui
on atrophique suppose une liberté pleine et entière dans le cours des urines . (Voyez fig. i, pl. ni, xxxvie livraison.) Dans
Que, dans d'autres cas, ils gênent plus ou moins la circulation de l' urine et deviennent une cause de rétention plus ou moin
-nous ici un instant de l'effet le plus remarquable de la rétention d' urine dans le rein, je veux parler de sa distension ou
ulement sur les calices, mais encore sur le tissu du rein lui-même. L' urine retenue comprime d'abord les mamelons des cônes d
e. Pour peu qu'il existe encore vestige du tissu du rein, il y a de l' urine sécrétée; mais, lorsque le rein tout entier est t
liquide contenu dans la poche rénale ne renferme aucun principe de l' urine : c'est de la sérosité pure, et la dénomination d
e du rein lui est alors bien plus applicable que celle de rétention d' urine . Toutefois, il est rare que la transformation du
dans le second cas. Lorsqu'il y a interception complète du cours de l' urine par oblitération de l'uretère, on ne comprend pas
, incomplète d'abord, puis complète de la sécrétion. La rétention d' urine dans le rein peut être intermittente. On conçoit
s douleurs, à la suite de l'émission spontanée dune grande quantité d' urine purulente. Dans un certain nombre de cas, l'obs
purulente. Dans un certain nombre de cas, l'obstacle au cours de l' urine ayant cessé d'exister, le rein, transformé, fourn
on contingent de sécrétion morbide chaque jour à la vessie; alors les urines seront un mélange de liquide normal, sécrété par
peut considérer comme le type des accidens causés par la rétention d' urine dans le rein, ce grand praticien se refusa à la p
'hémiplégie faciale. Intégrité de la sensibilité et de la perception. Urines et selles involontaires depuis la veille. Le 23
s sont le siège de contractions qui sont extrêmement rapprochées. Les urines et les selles continuent à être involontaires. li
tre à la Salpêtrière comme cancéreuse incurable. Douleurs très vives; urines involontaires. Tout-à-coup, frisson, sentiment de
angue; écoulement très fétide qui ressemble aux matières fécales. Les urines sont rendues péniblement et souvent avec des doul
ns la chute de l'utérus, a quelquefois pour résultat l'incontinence d' urine ; plusieurs des malades couchées dans la division
entraîne non moins souvent une grande difficulté dans l'émission des urines . De là le développement ou l'allongement de la ve
altéré dans le cancer utérin, expliquent la difficulté du passage des urines à travers les uretères dont la partie inférieure
a pas les conséquences funestes que la théorie semblerait indiquer. L' urine dilate l'uretère (voyez fig. i)\ en même temps qu
int d'acquérir une capacité très considérable. Le rein comprimé par l' urine accumulée dans les calices dilatés s'atrophie gra
right; et cette atrophie peut être portée au point que la sécrétion d' urine soit nulle ou si peu abondante que l'absorption p
e de son volume: et rapprochant ce fait de la rétention complète de l' urine dans les uretères, je me suis demandé si la théor
entaires l'économie se débarrasserait des matériaux qui constituent l' urine , si les deux uretères étaient en même temps oblit
déchirée, ce qu'il fut facile de reconnaître par l'issue d'un flot d' urine . Cette opération fut surtout douloureuse dans l
sion dans l'abdomen. Jamais de diarrhée ; jamais de vomissemens : les urines sont peu abondantes. Je diagnostique une périto
éminens dans la vessie et dans le canal de l'urètre.—Incontinence d' urine , suivie de rétention.— Calcul urinaire. Hypertrop
nnaissance au moment de l'attaque; stupeur; émission involontaire des urines . Mort le cinquième jour. = Apoplexie de la couche
nnaissance au moment de l'attaque; stupeur; émission involontaire des urines . Mon le cinquième jour. Apoplexie de la couche op
iv., pl. 1, n, m, iv, v, p. u. — Des vomissemens. De la suppression d' urine . Des crampes. De l'angoisse épigaslrique. Du faci
cultés apportées par l'hypertrophie de la prostate à l'évacuation des urines , au diagnostic de la pierre vésicale et au cathél
imperforation. lrc liv., pl. vi, p. 3. INCONTINENCE. Incontinence d' urine résultant du déplacement de la vessie, s'observe
, pl. 1, n, ni, iv, y, p. 14. — Des vomissemens ; de la suppression d' urine ; des crampes ; de l'angoisse épigastrique; du fa
iv., pl. 11, p. 2. — Observation : Dysurie, puis rétention complète d' urine . Difficulté du calhétérisme. Ecoulement d'une gra
sonde. Orifice vésical artificiel donnant très librement passage aux urines . 17e liv., pl. 11, p. 4- — Prostate hypertrophiée
roéminens dans la vessie et dans le canal de l'urètre. Incontinence d' urine suivie de rétention. Calcul mural. Hypertrophie d
ant de la présence d'un calcul rénal dans le bassincl. Observation. Urines purulentes. Tuméfaction considérable et douloureu
est mise en jeu. 40e liv., pl. 11, m, p. 4. RETENTION. Rétention d' urine causée par une hypertrophie de la prostate. 17e l
la prostate. 17e liv., pl. 11, p. 4, 4. — Traitement des rétentions d' urine résultant de l'hypertrophie de la prostate par la
rostate (cathétérisme forcé). 22e liv., pl. n, p. 2. — Incontinence d' urine suivie de rétention. 26e liv., pl. v, p. 4. — Rét
, pl. i, n, p. 3.—Double canal de l'urètre. 39e liv., pl.i,n, p. 4. URINE . Rapport entre la sécrétion urinaire et la goutte
crétion urinaire et la goutte. 4e liv., pl. m, p. 5.—La suppression d' urine est un phénomène constant du choléra. 14e liv., p
stant du choléra. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. /2. — Rétentions d' urine causées par une hypertrophie de la prostate. 17e
prostate (caihétérUme forcé). 22e liv., pl. n, p. 2. — Incontinence d' urine suivie de rétention. 26eliv., pl. v, p. /. — Inco
vie de rétention. 26eliv., pl. v, p. /. — Incontinence et rétention d' urine , suite du déplacement de la vessie inévitable dan
chute de l'utérus. 26e liv., pl. iv, p. 3. — Rétention complète de l' urine dans les uretères. 27e liv., pl. n, p. 4. UROMÈ
13 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Observation LVIII. - M. 117..., trente-deux ans Inconti- nence d' urine nocturne et diurne jusqu'à quatorze ans; mi- gr
ge de dix-sept ans; premiers phénomènes de l'ataxie (incontinence d' urine ) à trente ans. LA FAMILLE KËYROPATUIQUE. 37 N
jours, à la suite d'une syncope, il y a eu un peu d'incontinence d' urine . c) Sensibilité. - La malade se plaint d'éprouv
uvée dans les derniers temps de retenir les matières fécales et les urines . Vers le 20 janvier 1883, la malade est prise d
de température. On ne note ni morsures linguales, ni incontinence d' urine , et l'on reste étonné du calme absolu qui se ma
e devient flasque. La sensibilité ne présente rien d'anor- mal. Les urines ne renferment pas d'albumine. Du 4 au 14 octobr
ions se font bien ; l'appétit est conservé. Le coeur parait sain. L' urine ne contient ni sucre ni albumine. Ces symptômes
plètement. Vers la fin d'octobre, troubles du côté de la miction, l' urine s'écoulant goutte à goutte. Le 6 novembre, affa
ous toutes ses formes jusqu'à un pouce de l'ombilic, incontinence d' urine et des matières, es- chare au sacrum. Paralysie
es douleurs dans les gros orteils et rend souvent du sable dans les urines . Elle avait eu quelques absences dans sa jeunes
ent ; ataxie et incoordination motrice très marquée; incontinence d' urine par moments ; - toux laryngée; - suppression de
signes objectifs classiques de la papille étranglée. L'analyse des urines est négative; la température normale. 17 mai. -
ion sont caractérisés par des modi- fications dans la quantité de l' urine excrétée, dans les propor- tions des éléments n
l'état phy- siologique. a. La diminution absolue de la quantité d' urine (Voligurie, l'auuoie) s'observe dans un certain
hanges nutritifs, il existe souvent une diminution de la quantité d' urine et un abaissement de l'urée et des chlo- rures
s chlo- rures ? )Jsquirol avait noté que, chez les mélancoliques, l' urine est rare mais colorée, dense, riche en urée et
en urée et en urates. Il s'agit là d'une simple concentration de l' urine , due à ce que ces sujets, pour éviter le mouvem
observé, deux cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la quantité d' urine n'a pas dépassé 300 et 700 grammes pendant quel
n cas de mal de l'ott, avec compression médullaire, dans lequel les urines étaient tombées à 300 grammes et augmentèrent p
nuait. Enfin, M. Leduc a observé un' cas de tétanos dans lequel les urines n'ont guère dépassé300et800 grammes parjour, et
uverte de sueurs profusesa. 3. b) L'augmentation de la quantité des urines se rencontre beaucoup plus fréquemment, dans de
attaques d'hystérie et principalement dans la petite hystérie : les urines sont alors in- colores et caractérisées par la
II. l-i 226 REVUE CRITIQUE. solides uniformément. Quelquefois ces urines , au lieu d'être pâles, sont plus ou moins color
t-elle en général; et il n'est pas rare que les malades rendent une urine d'une densité supérieure à la normale. A côté d
remarquer que, dans un certain nombre d'affec- tions, la quantité d' urine augmente par ce seul fait de la fré- quence de
expériences faites sur nous-mêmes qu'à l'état normal la quantité d' urine excrétée croit à mesure que la miction volon- t
us ou moins permanentes. On rencontre encore ces modifications de l' urine dans certains faits de lésions trau- matiques d
par irritation du bulbe. On voit aussi l'albumine apparaitre dans l' urine dans quelques myélites aiguës, à début apoplect
l que soit leur siège ; et ces modifications de la composition de l' urine peuvent subir des oscillations en rapport avec de
is MM. Bouchereau et Magnan 2 ont examiné à l'asile Sainte-Anne les urines de 6,000 aliénés, présentant les diverses forme
nence, la première de beaucoup la plus fréquente. a) La rétention d' urine d'origine nerveuse peut être détermi- née soit
ent, par le fait même de la distension exagérée, laisse écouler l' urine goutte à goutte, et qu'il se produise une inconti
é sa miction volontaire, on évacue encore une cer- taine quantité d' urine . Quelquefois la paralysie de la vessie se tradu
raduit par une grande difficulté à expulser les dernières gouttes d' urine , sans qu'il y ait rétention véritable ; ou bien l
alade s'en aperçoive, ou bien, quand il évacue artificiellement son urine , c'est l'heure et non la sen- sation qui le gui
ondes malpropres, il est des cas de myélite aiguë dans lesquels les urines s'altèrent, deviennent alcalines, purulentes, s
n. , DES TROUBLES URINAIRES. 231 pousser violemment, mais quand l' urine parvient à s'écouler; c'est en jet d'une grande
e" comme une sorte d'hystérie locale. On a signalé la rétention d' urine pendant les crises du téta- nos; mais, peut-êtr
peut-être s'agit-il d'une diminution considérable de la quantité d' urine en rapport avec les sueurs. Quelle que soit sa
sa cause, et quel que soit son mode de pro- duction,la rétention d' urine .lorsqu'elle est durable, détermine, au bout d'u
tteints de maladies du système nerveux qui souffrent de rétention d' urine . b) Il est une variété d'incontinence, l'incont
a vessie, les sphincters cèdent mécaniquement et laissent écouler l' urine goutte à goutte. Elle est la conséquence de la
ons siégeant dans la même région. La miction se fait à mesure que l' urine arrive dans la vessie, et à quelque moment que
vessie vide. Cet état est rare; plus souvent une petite quantité d' urine s'accumule dans la vessie, puis elle est expuls
AIRES. 233 nible. Tantôt il y a une sensation vague de besoin, et l' urine s'écoule sans que le malade ait même songé à ré
urnée, mais pres- que toutes les nuits, ils laissent échapper leurs urines . En de- hors des faits où ce symptôme trahit de
névralgies brachiales s'accompagnaient d'émissions involontaires d' urine . Inversement certains individus en apparence sain
e, dans les myélites par compression, etc.; le malade ne sent pas l' urine s'écouler, et peut ne pas sentir la sonde qu'on
un besoin impérieux d'uriner, et ils rendent une grande quantité d' urine claire. Dans les'àutres cas, le malade, qui n'a
valles très' courts, rend une quantité plus ou moins considérable d' urine presque incolore; un de nos malades nous a affi
il en est de môme en ce qui concerne les organes d'expulsion de l' urine ; aussi étudierons-nous d'abord ces altérations.
ment; et d'ailleurs, le ma- lade déclare qu'il ne sent pas passer l' urine . L'anesthésie de la vessieetcelle de l'urèthre
malades conservent le be- soin d'uriner, et ne sentent pas couler l' urine . Nuus explique- rions volontiers ces faits en d
uand ils n'ont pas commencé, ou de ra- juster leur vêtement quand l' urine s'écoule encore. 2° L'hyperesthésie ou plutôt l
te spontanée, tantôt ne se manifestant qu'au moment du passage de l' urine . L'endolorissement de la région membraneuse peu
re une malade qui, à la suite de chaque crise vésicale, rendait des urines sanguinolentes et qui restaient teintes pendant
tre un temps plus' ou' moins long à obtenir les premières gouttes d' urine , quelquefois ils'sont obligés d'y renoncer mome
rminée, le cathétérisme peut encore fournir une certaine quantité d' urine . '3° L'incontinence se manifeste de manières tr
istendue, il s'écoule malgré la volonté du sujet quelques gouttes d' urine qui ne sont, en somme, que des atténuations del
orts prolongés, renonce à la mic- tion, mais au bout d'un instant l' urine s'écoule malgré lui dans ses vêtements. D'autre
avoir fini, mais à peine s'est-il ra- justé, que quelques'gouttes d' urine oubliées s'écoulent de nou- veau. Il importe
s : L'expulsion involon- taire et parfois inconsciente d'un filet d' urine , l'incoordination vésicale, l'anesthésie vésica
ncier les sons que par transmission au contact des os du crâne ; il urine de 10,000 à 14,000 cent. cubes : ni albumine, n
ies respiratoires, odeur de chloroforme répandue par l'haleine et l' urine des malades, troubles gastriques ou intestinaux
ne sort plus. L'odeur caractéristique de l'haleine, la réaction des urines qui deviennent rouges par l'addition de perchlo
sur l'acétonémie. Depuis que Petters, en 1857, eut démontré dans l' urine d'un malade plongé dans le coma diabétique la p
oformique. Frerichs ne nie pas qu'on puisse extraire l'acétone de l' urine des diabétiques. Mais, dans ses recherches réit
un trouble notable et n'a pas mieux réussi à extraire l'acétone des urines . « Nous ne pouvons donc pas accepter, dit-il, q
est dégénérée ou détruite. Dans les deux autres groupes de faits, l' urine et l'haleine offrant une réaction caractéristiq
des manifestations névropalhidues; les uns avaient eu des pertes d' urine nocturnes, d'autres étaient franchement épileptiq
de constamment le lit. Pas d'escarres fessièrp, mais incontinence d' urines et de matières fécales. Ni sucre, ni albumine d
nence d'urines et de matières fécales. Ni sucre, ni albumine dans l' urine . Yers le 15 janvier, on remarque que la paralys
exe patellaire, en raison de la raideur de l'articulation. Dans les urines , albumine; pas de sucre. Mort le 29 janvier, au
14 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
suivies d'une hématurie qui dura pendant un mois, au bout duquel les urines étaient redevenues naturelles. C'est à dater de c
ein gauche devait donc être complètement étranger à la sécrétion de l' urine . La figure 4 représente une tranche mince du ti
pissés par du sable rougeâtre, preuve manifeste que la sécrétion de l' urine avait continué dans le rein. Cette dernière circo
Ces calculs ne fermaient pas hermétiquement le canal, en sorte que l' urine et le pus pouvaient arriver librement jusque dans
en n'avait été employé jusqu'à son entrée à l'hôpital. On dit que les urines avaient été naturelles tout le temps de son séjou
s symptômes tirés des organes urinaires eux-mêmes, la suppression des urines , les urines troubles, sanguinolentes, complétera
irés des organes urinaires eux-mêmes, la suppression des urines , les urines troubles, sanguinolentes, compléteraient le diagn
uccomba dans l'état d'adynamie le plus complet, après avoir rendu des urines purulentes. On soupçonnait un squirrhe au pylore.
eur présence ils n'apportassent aucun obstacle mécanique au cours des urines . D'ailleurs il y a une affinité non contestable e
ison ou un accroissement excessif de l'inflammation parle passage des urines . Le ramollissement progressif du tissu propre du
il articulait un mot pour un autre. Par fois il laissait échapper ses urines et ses matières fécales. L'appétit fut constammen
en petite quantité. Le 2 novembre, assoupissement tel que la malade urine involontairement. Si on l'excite, elle répond par
Cette infusion tient le ventre libre en même temps qu'elle pousse aux urines . Cependant les extrémités inférieures deviennen
onc, de la vessie et du rectum ; l'abdomen était tendu, météorisé ; l' urine ne pouvait être expulsée qu'à l'aide du cathétéri
connaît aucune saillie. La chaleur est égale partout; l'excrétion des urines est involontaire, celle des fèces l'est également
hâte, parce que le malade ne pouvait pas remuer les jambes. Déjà les urines et les matières fécales s'étaient échappées invol
paralysie des parois abdominales s'oppose à l'émission volontaire des urines et des matières fécales. Peut-on méconnaître une
a base des tophus goutteux; or l'acide urique ne se trouve que dans l' urine , dans l'urine se trouve encore la soude : le phos
hus goutteux; or l'acide urique ne se trouve que dans l'urine, dans l' urine se trouve encore la soude : le phosphate de chaux
oude : le phosphate de chaux, dont on ne rencontre qu'un atome dans l' urine ordinaire, s'y voit quelquefois en quantité consi
pathologique; nous ne devons plus être étonnés quand nous voyons une urine rouge, chargée d'une quantité énorme d'acide uriq
it pots de tisane par jour et quelquefois un pot d'un seul trait. Les urines étaient très-abondantes, mais involontaires, ce q
naissance au moment de l'attaque ; stupeur; émission involontaire des urines . Mort le cinquième jour. — Apoplexie de la couche
sont adressées. La face exprime la stupeur. Emission involontaire des urines . Du reste, le pouls est naturel pour la fréquence
ême état de stupeur, d'immobilité; toujours émission involontaire des urines . Aucune évacuation alvine malgré le lavement purg
érir des individus à hémiplégie complète; l'émission involontaire des urines , la stupeur, l'immobilité sont encore des signes
ins il répond très-bien aux questions qu'on lui adresse. Immobilité*, urines involontaires. Si on lui dit de sortir la langue,
endre quelques médicamens.— Les jours suivans, perte de connaissance; urines involontaires; strabisme; pupilles inégalement di
naissance; elle nous entend et fait effort pour répondre. Rétention d' urines . Le soir, respiration très-préci-pitée, bruyante,
u-devant de ses yeux comme pour voir la place de la meurtrissure. Les urines sont involontaires. ( Vésicatoire à la nuque.)
nkystées. Dans la transformation enkystée, le rein, distendu par de l' urine , du pus, ou des mucosités, perd bientôt ses carac
soit un liquide qui conserve encore quelques-unes des propriétés de l' urine , soit un mucus limpide ou purulent. Dans la pro
ue qui est sèche {tosta) et crevassée. Le pouls est peu fréquent. Les urines sont rendues involontairement. Constipation. Le m
efforts du malade; respiration très-fréquente; pouls très-fréquent ; urines involontaires ; surdité; hypo-gastre tendu et mét
pression moindre; pouls toujours très-fréquent, dévoiement; selles et urines involontaires. Les jours suivans, un peu d'amélio
a fallu contenir le malade dans son lit pour l'empêcher de se lever ; urines involontaires. Délire plus fort que la veille et
un peu sale, mais humide. A peine fréquence dans le pouls. Selles et urines involontaires. Diagnostic. Entérite folliculeus
ent dans les lèvres ; soubresauts dans les tendons; abdomen ballonné; urines involontaires ; langue sèche et noire; soif ; pou
'abdomen météorisé, mais indolent; le pouls faible, peu fréquent; les urines involontaires. Le 21, à la suite d'une sueur extr
r; ils ne contenaient point de calculs. — La vessie 3 distendue par l' urine , remontait au-dessus du pubis et n'offrait aucune
trée : supination permanente; immobilité avec ou sans assoupissement; urines involontaires; constipation. La malade ne demande
r; ils ne contenaient point de calculs. — La vessie j distendue par l' urine , remontait au-dessus du pubis et n'offrait aucune
trée : supination permanente; immobilité avec ou sans assoupissement; urines involontaires; constipation. La malade ne demande
quent et grêle; la respiration fréquente; la déglutition facile ; les urines ont été rendues involontairement dès le premier m
la maladie du testicule persiste après le rétablissement du cours des urines , nous aurons recours immédiatement au traitement
aujon portait une sonde à demeure dans la vessie pour une rétention d' urine produite par le gonflement de la prostate. Des do
l'enfantement; écoulement infect de matières purulentes ; rétention d' urine qui oblige d'avoir recours à la sonde. Le seizièm
dénum par une sorte de regorgement assez analogue au regorgement de l' urine lorsque la vessie est distendue outre mesure. Il
dus, à peu près comme la vessie urinaire après une longue rétention d' urine . Dernièrement, j'ai vu une vésicule du fiel aussi
petitesse du pouls, l'affaiblissement de la voix, la suppression de l' urine , la tendance au refroidissement : voilà les sympt
urs ne m'a jamais paru dénoter un grand danger. XL La suppression d' urine est un phénomène constant dans le choléra. Elle e
étions se suppléent mutuellement. Le rétablissement de la sécrétion d' urine est un signe non équivoque d'amélioration. Chez p
uivoque d'amélioration. Chez plusieurs de mes malades, la rétention d' urine a succédé à sa suppression. Presque toujours des
de quelques heures et assez souvent d'un jour ou deux l'émission des urines . XII. Les crampes sont peut-être le symptôme le
e malade a pris trois quarts de bouteille de vin chaud sucré. Point d' urine depuis hier. Prescription : Réchauffer avec vap
oide; le pouls est moins misérable : deux selles cholériques; point d' urine ; continuelles envies de vomir. Prescription : M
aucoup d'efforts : le hoquet en est la conséquence. Il n'y a pas eu d' urine depuis le 15. Continuation de l'eau de Seltz po
ssée; pouls fréquent et peu développé. Deux selles en diarrhée verte, urines abondantes. Prescription. Huit sangsues sur l'é
a cavité buccale et la langue, en particulier, sont très froides. Les urines sont supprimées; les selles nulles ou abondantes,
es fréquentes; faciès cholérique; yeux profondément excavés ; point d' urine ; point de selles; point de vomissements; langue
oncée de la face; envies d'uriner ; la sonde n'amène pas une goutte d' urine . Commémoratifs. Depuis deux jours , dévoiement
stre ; oppression; soif intense; langue rouge et sèche; suppression d' urine . Prescription : Trente sangsues à l'épigastre.
s a de l'ampleur et prend de la résistance; il est peu fréquent ; les urines qui avaient été supprimées jusqu'à ce moment ont
e ; expectation ; la malade ne va à la selle que par lavements ; elle urine depuis hier. Le 25 , l'assoupissement est moind
gèrement jaunâtres; vomissements de matières jaunâtres; suppression d' urines ; étouffements; sentiment d'un feu brûlant, d'une
ute la longueur du sternum ; soif vive ; pouls fréquent; émission des urines , qui a commencé le 14. Vingt sangsues sur l'épi
ration. Le pouls est fréquent, petit, quelquefois grêle. Emission des urines , application de douze sangsues avec ventouses, qu
chez les sujets morts dans la période asphyxique. Elle contient de l' urine chez les individus morts pendant la période de ré
reneuse du tissu cellulaire pelvien, suite elle-même d'infiltration d' urine , il n'y avait qu'un seul abcès dans le foie et ce
e possède des observations de panaris, de phlegmons, infiltration des urines , qui ont été suivis d'abcès au foie mortels. On
onnaître et articuler quelques sons à voix basse. Les selles et les urines sont involontaires. Deux vésicatoires à la partie
ure du vagin. Cette déviation peut avoir pour résultat la rétention d' urine . Le développement très considérable de la vessie
s cas que j'ai observés, prouve avec quelle difficulté l'émission des urines a lieu. La déviation du canal de l'urètre rend qu
de matières fécales par regorgement, de même que des incontinences d' urine . Le sphincter long-temps distendu finit par n'opp
pelé, en 1816, auprès d'une pauvre femme qui avait une incontinence d' urine . Elle portait entre les cuisses une tumeur sphéro
ière sous le nom de gâteuses, parce qu'elles rendent sous elles leurs urines et leurs matières fécales, réduites à une vie vég
sains contenant peu de matières. Vessie contractée, renfermant peu d' urine . Crâne. Le volume du crâne est normal. La fonta
bre recueillies par Morgagni (3), avaient établi que les rétentions d' urine reconnaissent quelquefois pour cause l'engorgemen
i intercepta d'abord incomplètement, puis complètement , le cours des urines . La difficulté que cette disposition apporte à
rines. La difficulté que cette disposition apporte à l'émission des urines favorise singulièrement la formation de la pierre
e. Sur le cadavre d'un homme qui avait éprouvé plusieurs rétentions d' urine , et qui avait souvent été sondé sans qu'on eut ja
vé à Padoue, sur le cadavre d'un homme de 49 ans, mort de rétention d' urine , deux tubercules placés de chaque côté de l'orifi
llards. Sa gravité tient à Fobstacle qu'elle apporte à l'émission des urines , et nullement à la lésion organique elle-même. La
ouvelle cause d'hypertrophie qui ne tarde pas à amener la rétention d' urine . La présence long-temps continuée d'une grosse
inente, peut rétablir, pour un temps plus ou moins long, le cours des urines , et je crois avoir vu dans ma pratique plusieurs
en quelque sorte, ou du moins de rétablir temporairement le cours des urines . Attendons pour la juger que cette méthode ait ét
de ait été mise à exécution. Dans le cas où l'obstacle au cours des urines ne pourrait être ni écarté ni détruit, si cet obs
aladies des voies urinaires (i). Dysurie, puis rétention complète d' urine . Difficulté du cathétérisme. Ecoulement d'une gra
sonde. Oi^ifice vésical artificiel donnant très librement passage aux urines ^ M. D. éprouvait depuis longues années un senti
des besoins fréquents d'uriner et une difficulté dans l'émission des urines qu'il rapportait à des hémorrhoides, et pour lesq
'avait jamais réclamé de conseils. Survint une rétention complète d' urine . Je fus appelé: la rétention d'urine datait de 18
Survint une rétention complète d'urine. Je fus appelé: la rétention d' urine datait de 18 heures; le malade s'épuisait en effo
, j'exerçai un léger effort de pression : un obstacle fut surmonté, l' urine coula librement. Pour éviter de nouveaux tâtonnem
q ansà une hématurie plus ou moins abondante, fut pris de rétention d' urine . L'introduction de la sonde qui pourtant eut lieu
ble; les caillots obstruaient la sonde et s'opposaient à l'issue de l' urine . J'introduisis la sonde la plus volumineuse que j
curer ; mêmes accidents : je supprimai la sonde; nouvelle rétention d' urine , efforts d'expulsion extrêmement douloureux et pr
ang, les injections d'eau tiède ne pouvant rien pour l'évacuation des urines , les efforts d'expulsion restèrent aussi violents
t s'appliquer contre le col de la vessie et produisait la rétention d' urine . Je reviens à notre malade. M. Dupuytren appelé
des voies urinaires) appelé auprès d'Astruc , affecté de rétention d' urine , ne put jamais parvenir à introduire la sonde j l
e qu'il exécuta avec beaucoup de bonheur : ayant retiré le dard, et l' urine s'étant écoulée, il introduisit l'algalie par la
e à la première. Astruc vécut encore 10 ans, sujet à des rétentions d' urine auxquelles Lafaye seul pouvait remédier. A l'ouve
ue j'avais tentée plusieurs fois était toujours suivie de rétention d' urine . Cependant le sang cessa bientôt de couler; la
spontanément et même beaucoup plus librement qu'avant la rétention d' urine . Six mois se passèrent dans l'état le plus sati
on douloureuse de la vessie et douleur à l'extrémité de la verge. Les urines devinrent catarrhales. Le malade présenta tous le
ices, tellement que la défécation accompagnait souvent l'émission des urines . Urines catarrhales. Les derniers jours de la vie
llement que la défécation accompagnait souvent l'émission des urines. Urines catarrhales. Les derniers jours de la vie on sent
son développement, cette végétation ayant intercepté le passage de l' urine , la rétention d'urine a été complète. La difficul
tte végétation ayant intercepté le passage de l'urine, la rétention d' urine a été complète. La difficulté du cathétérisme est
re, lisse, qui a probablement servi ultérieurement à l'évacuation des urines ; car l'orifice naturel de la vessie était couvert
t orifice vésical artificiel, le malade était guéri de la rétention d' urine . Un caillot resté dans la vessie est devenu le no
nal de l'urètre, écoulement tout-à-fait indépendant de l'émission des urines qui étaient parfaitement limpides; que cet accide
s'était plus reproduit, mais qu'à dater de ce moment, l'émission des urines avait été moins libre qu'auparavant; que de très
vis un verre ou deux d'eau de Bonnes tous les matins. Cependant les urines devinrent plus sanguinolentes et furent renduesav
ou leur , le lendemain 3 juin , à la suite d'une émission pénible d' urines teintes de sang: rétention complète d'urine. J'
d'une émission pénible d'urines teintes de sang: rétention complète d' urine . J'arrive à 9 heures du soir, la rétention data
que d'augmenter les efforts d'expulsion en augmentant la quantité des urines . Je sonde, et j'arrive, après quelques difficul
n modérée mais progressive fut exercée ; l'obstacle fut surmonté et l' urine coula immédiatement. La sonde d'argent a été lais
Diarrhée abondante Selles involontaires. Emission libre et facile des urines . Peau sèche et chaude ; pouls petit, régulier , 1
ès légère de la respiration ; un peu de râle muqueux des deux côtés ; urines briquetées, bourbeuses, rares. Les jours suivan
urables, pour un cancer des petites lèvres qui rendait l'émission des urines extrêmement douloureuse. Le doigt ne put pas être
trière dite des gâteuses y malades qui rendent involontairement leurs urines et leurs matières fécales. Leur intelligence affa
l'époque où cette malade avait été dans l'impossibilité de garder ses urines . Ramollissement amaranthe et hortensia du cerve
béquille; mais elle est dans l'état d'hébétude le plus complet : les urines et les matières fécales sont rendues involontaire
sont fermés; la face pâle; la respiration est facile; le pouls lent, urines involontaires. (4o sangsues aux apophyses mastoïd
15 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a vessie est distendue, et le cathétérisme donne environ un litre d' urine limpide, un peu foncée, fortement acide. La col
ous de l'ombilic. Mouvements réflexes, comme la veille. Rétention d' urine persistante ; urines claires et acides ; pas d'
uvements réflexes, comme la veille. Rétention d'urine persistante ; urines claires et acides ; pas d'évacuations alvines.
on retire cependant encore, avec la sonde, une certaine quantité d' urine qui est neutre ou légèrement acide. 4e jour. Le
s mouvements passifs provoquent de vives douleurs. L'incontinence d' urine continue; mais il en reste toujours un peu dans
aux membres inférieurs, mais un peu obtuse. Inertie de la vessie. L' urine fraîche est neutre, mais elle prend vite la réa
ments continuent à s'accentuer dans le membre inférieur gauche. L' urine fraîche est neutre ; un peu de diarrhée. Eau albu
le bassin sous les cuisses, mais il n'a pas la sensation du froid. Urine neutre, les dernières portions un peu troubles.
re, les dernières portions un peu troubles. 12e jour. La quantité d' urine rendue dans les vingt-quatre heures est de deux
uatre heures est de deux litres et demi. 13e jour. Trois litres d' urine . 1 fi- jour. Les mouvements volontaires s'accen
e d'une manière normale. La vessie contient une petite quantité d' urine très purulente et neutre.La totalité'des urines
ne petite quantité d'urine très purulente et neutre.La totalité'des urines rendues dans les vingt-quatre heures a dépassé
cathétérisme de la veille au soir n'a donné que quelques gouttes d' urine purulente. Quantité des vingt-quatre heures, tr
rois litres. Un peu de diarrhée. 170 jour. - La diarrhée a cessé. Urine des vingt-quatre heures, trois litres. 18° jo
confusément la piqûre de l'épingle à la face externe des jambes. L' urine est purulente et alcaline; la quan- tité des vi
ue, injection vésicale d'acide borique au centième. 26e jour. Les urines des vingt-quatre heures ne repré- sentent plus
atre heures ne repré- sentent plus que deux litres. 299 jour. - L' urine examinée à la sortie de la sonde est légèrement
é thermique est encore obtuse aux membres inférieurs. 39° jour. - Urines beaucoup moins troubles. Exploration électrique
l accuse des fourmillements dans les mains. llaperdu l'appétit. Les urines sont acides, fortement colorées. 72° jour. Sens
ture du soir, 39°,la. 104° jour. - Même état. Dépôt purulent dans l' urine . Ce liquide, examiné immédiatement à sa sortie
nus. Après sept semaines de traitement, on trouva du sucre dans l' urine . DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. 49 Observation X
cation avaient disparu. Dans ce cas, la présence de sucre dans les urines fut aussi constatée après plusieurs semaines de t
ent. La polyurie a été observée, et, quand elle se pro- longeait, l' urine renfermait moins de matières constitutives (uré
l des excrétions azotées. Chaque jour, il déterminait la quantité d' urine , sa densité, sa réaction, l'élimination d'urée,
s résultats généraux suivants : 10 Au début du jeûne, la quanlité d' urine diminue, mais sa densité s'élève, pour décroîtr
fectueuse malgré l'ingestion d'un notable appoint d'albumine. - L' urine des 110 iôtiter-inp ni albumine ni sucre. On n'
deuxième et troisième jours qui suivent la terminaison du jeûne, l' urine n'en contient plus. Pour rechercher )'ace- toil
de la nutrition dans la diminution des déchets organiques dans l' urine , comme MM. Charcot et Bouchard, mais encore dans
eucorrhée, comparable par son mode de sécrétion et ses qualités à l' urine , aux larmes, à la salive anormalement sécrétées
ensuite aux muscles du bras entier et de l'omoplate. En examinant l' urine , on n'observa pas de pré- cipitation calcaire c
té propre de bonne heure et n'a jamais eu depuis d'inconti- nence d' urine , jamais de chorée. Etait sujet à des colères très
urne sur lui- même et tombe; mais il ne perd jamais connaissance, n' urine 160 CLINIQUE NERVEUSE. jamais ; màisinui arri
, accélération du pouls et soif vive ; par l'analyse chimique des urines , on y trouva du sucre. Ces accidents disparurent
face d'un rouge vermillon intense, couverte de sueur, brûlante; il urine involontairement et abondamment sous lui; ' Les
si cet acide est lié à la nutrition de ce tissu ? Par l'examen des urines . . L'homme rend chaque jour par les urines une
tissu ? Par l'examen des urines. . L'homme rend chaque jour par les urines une certaine quantité d'acide phosphorique. Une
ais ne fait pas disparaître l'acide phos- phorique contenu dans les urines et portent ainsi à penser qu'une certaine quant
ssible qu'en étudiant l'élimination de l'acide phosphoripue par les urines on puisse arriver à savoir si cette substance j
s excrétions, dans les lèces, par exemple; mais ce sont surtout les urines qui renferment cette substance. Les recherches
b, 1. -1-1$et sp.) b) L'acide pliosphorique qu'on retrouve dans les urines y existe soit sous tormedeseis.'soitHntt tiès l
tiès laible quantité à l'état Lbte. Longtemps la présence dans les urines de l'acide pliosphorique non 0-,)(lé a pu èlre
ctifs permettant de doser la quantité de cet acide contenu dans les urines . Parmi ces réactifs, le plus employé, on pourra
exact. Partant donc de cette idée qu'on peut, par l'examen des urines , arriver à savoir si l'acide phosphorique se lie
veux par l'étude de i'élimination de l'acide phosphorique par les urines sont encore peu nombreuses. Elles se résument à n
augmentation dans le chiffre d'acide pliospho- rique rendu par les urines , ils en concluent que le système nerveux emploi
e du travail. L'acide phosphorique qu'ils trouvent en plus dans les urines est regardé par eux comme de l'acide phospho- r
er- veux diminue le chiffre de l'acide phosphorique rendu par les urines . ' Sans insister sur le désaccord qui existe en
- mentation dans le chiffre de l'acide phosphorique rendu par les urines pour être en droit de conclure que cet acide en e
phosphorique total, mais cet acide suivant qu'il se trouve dans les urines sous la forme de phosphates solubles ou insolub
ou insolubles. L'acide phosphorique oxyde' qu'on retrouve dans les urines y existe en effet sous deux formes : sous la fo
terres éliminé par les DE I.A NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2 le7 urines n'est pas augmenté'. Par conséquent, pour avoir u
travail intellectuel diminue le chiffre de l'azote éliminé par les urines ; 1 Voir pour les rapports qui existent, relativ
port constant entre l'acide phosphorique et l'azote éliminé par les urines . Ce rapport qui serait d'après lui : : 17 : 100
ent, la prostration devient ex- cessive ; délire; incontinence de l' urine et des matières; accidents du décubitus ; oedèm
un peu d'emphysème pulmonaire, nous ne trouvons rien; rien dans les urines , il n'y a pas à penser non plus à de l'alcoolis
e titre est suivie à courte échéance d'altération am- moniacale des urines et d'escarres graves de décubi- tus. Ajoutons q
ttachons une grande importance est la persistance de l'acidité de l' urine , jusqu'au trente-deuxième jour. La contractilit
de la moelle amène rapidement la décomposition ammonia- cale des urines , et la formation d'escarres. Nous devons nous a
taille élancée, est atteint depuis son enfance d'une incontinence d' urines nocturne intermittente.Il n'existe dans sa fami
gnostic sur des bases rationnelles. La persistance de l'acidité des urines jusqu'au cinquante-sixième jour, chez notre mal
de l'alié- nation mentale, la quantité de phosphates rendus par les urines est diminuée; Mendel résume, en effet, de la ma
66, cité par Beale. 2 Sutherland, cité par Beale. 3 Beale. De l' Urine , etc., trad. de l'anglais par Olivier et Bergeron
ttribuer à l'étude de l'élimination de l'acide phosphorique par les urines pour savoir si l'aliénation mentale modifie ou
avec les résultats qu'ils ont obte- nus. Ceux qui trouvent dans les urines une augmentation de l'acide phosphorique pensen
autions à prendre. Ainsi ilestindis- pensable de recueillir toute l' urine rendue en vingt-quatre heures par les malades o
était trop intense, il nous a été impossible de recueillir toute l' urine rendue dans les vingt-quatre heures, et que l'é
travail les résultats que nous a donnés jour par jour l'examen des urines . Nous nous contenterons ici d'indiquer les résu
ie modifie diversement, suivant LES PÉRIODES, l'élimination par LES urines DE l'acide PHOSPHORIQUE ET DE l'azote ; 2° La
tableau qui suit les résultats que nous a fournis l'exa- men de ses urines au mois de mai 1880 et aux mois de mars et avri
Gib... restant le même, nous avons examiné à plusieurs reprises les urines de ce malade : au mois de septembre 1880, penda
lectiques, une augmentation de l'acide phosphorique éliminé par les urines et que Külin 1, au contraire, n'aurait pas cons
e mal épileptique sur l'élimination de l'acide phosphorique par les urines . A. Attaques d'épilepsie. Sous l'influence des
le chiffre de l'acide phosphorique uni aux terres éli- miné par les urines , nous sommes, par la force des choses, amené à
: 1° Les attaques 'd'épilepsie modifient l'élimina- tioîz, par les urines , de l'azote et de l'acide phosphorique ; elles
ptique, l'élimination de l'azote et de l'acide phosphorique par les urines n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l'état d
16 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
r. Peu de temps après, elle souffrait d'une incontinence complète d' urine , accompagnée d'une constipation opiniâtre. A la m
ois suivant, la malade n'avait plus conscience de ses évacuations d' urine et de matière fécale. La malade est entrée dans
oubles vésico-rectaux consistaient en une incontinence incessante d' urine , sans regorgement, dontlamaladen'avaitpas conscie
culaire s'accompagnaient de troubles vésico-rectaux (incontinence d' urine et constipation opiniâtre), d'une anestliésie t
envies d'uriner tout à fait impérieuses et cependant la quantité d' urine rendue est peu considérable. Il n'existe pas de
régulières. Appareil urinaire. Pas de sucre ni d'albumine dans les urines . Appareil ganglionnaire. On constate dans la ré
uche. ,' . 1 v . Le lavement a amené une débâcle ; l'incontinence d' urine ne s'est pas modifiée. ' (Piqûre de morphine
ré après 4 mois. A son entrée, il présentait de l'incontinence de l' urine et des matières fécales que le traitement améli
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE vient de l'incontinence de l' urine et des matières fécales. Abolition du sens géni
u bout de quelque temps, survint une paraplégie avec incontinence d' urine et troubles de la sensibilité, au moins du côté g
colonne vertébrale. Sphincters normaux. Ni sucre ni albumine dans l' urine . Les bosses fron- tales sont très prononcées de
ans, deuxième attaque de paralysie spasmodique avec incontinence- d' urine ; guérison en un an. ' A 10 ans, troisième atta
paralysie spasmodique des membres inférieurs avec inconti- nence d' urine qui dure six mois et guérit sous l'influence du t
l arrive parfois à la malade de laisser échapper involontairement ses urines . Habituellement, elle demande le bassin, mais i
as de douleurs dans la colonue vertébrale. Incontinence absolue des urines et des matières fécales. Parait intelligent, ne
oux. Même état des sphincters, mais il a conscience du passage de l' urine et des matières fécales. Quitte l'hôpital très
ment. Hémoptysies, toux, diarrhée ; réapparition de l'albumine dans l' urine ; oedème des malléoles, puis anasarque. Emaciat
n ; les liquides n'étaient pas rejetés par le nez. Vers lé 10 août, urine à deux reprises dans son lit sans s'en apercevoir
pas. Dès le jour de son attaque, elle présenta de l'incontinence d' urine qui s'amé- liora depuis mais sans jamais dispar
e des membres inférieurs. Pas de signe de Romberg. Incontinence d' urine permanente et constipation opiniâtre. Les membr
rieurs sous forme de para- - plégie spasmodique avec incontinence d' urine et constipation opiniâtre. La malade ayant prés
nvolon- taires. De même, elle n'a pas conscience de l'émission de l' urine , bien que par- LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MO
ient impérieux. Ils exigent une satisfaction immédiate, sans cela l' urine s'écoulerait malgré la volonté. En dehors de ce
ossibilité de contrôler, sans le secours delà vue, l'émis- sion des urines et des matières fécales. Lorsqu'elle est assise
e a la sensation du passage des ma- tières fécales ; de même pour l' urine ; les besoins restent néanmoins un peu impérieux
thoracique. Troubles vésicaux. Il y a de l'incontinence nocturne d' urine et un certain degré de paresse vésicale. La mic
mbes remontant presque au milieu du mollet. Pas d'albumine dans les urines , aucun trouble général. Suppression du borax. L
elle fut prise de vomissements et ce qu'elle vomit parut être de l' urine avec encore des pierres, « gros- ses comme des
qu'elle connut alors, était de ne pouvoir très souvent retenir ses urines pendant la nuit. Agée de seize ans, elle quitta
ent inconnu,' ayant jusque-là toujours eu de la peine à retenir ses urines , au point de les laisser aller dans le lit, comme
a été précédée de vomissements que l'on caractérise vomissements d' urine , lesquels venaient sans effort et étaient suivis
on 30 ans a commencé à rendre' beaucoup de petites pierres avec ses urines et l'urèthre s'étant, dit-on, ensuite trouvée em-
ouvée em- barrassée par des pierres, on aperçut du gravier dans les urines que la malade vomissait par intervalle, à chaqu
qui lui faisaient jeter de grands cris.. ' . . Les vomissements d' urine étaient aussi précédés de plaintes et de cris, qu
upissement accompagné d'agitations, de rêves pen- dant lesquels les urines prenaient leurs Cours naturel, surtout si ce rêve
e bruit, ou à effrayer la malade de quelque manière que ce fut, les urines venaient très promptement. Après ces cris, qui
uantité de pierres ramassées depuis longtemps dans le réservoir des urines , on s'attend bien que la sortie d'une petite pi
d'une grosseur médiocre ; ellle en a rendu aussi beaucoup avec les urines par haut et par bas. Environ 15 jours après, c'
udre il se la laisser tirer, et préférant vomir jour- nellement des urines et des pierres, l'extraction fut différée jusqu'a
tirées et qui était la douzième. Vers le 20 mai, les vomissements d' urines et de pierres reparurent avec des crampes si fo
aient ensemble. Vers le mois de septembre 1 riz, les vomissements d' urines et de pierres, les crampes qui y succédaient, o
e, absolument de la même nature, un peu plus grosse, sortiravec les urines dans l'efforl^d'un vomissement. On regarde cett
si elle eût été prise d'un grand frisson. Elle exhalait une odeur d' urine âcre, échauffée et très fétide ; elle me serra
es siennes, qui me parurent suantes, et me lais- sèrent une odeur d' urine semblable à celle qui m'avait frappé au premier
soulagée par cette opération, elle rendit environ un grand verre d' urine ; mais je fus surpris de ce qu'elle était très cl
s la vessie, où j'ai eu peine il loucher la pierre, à la quantité d' urine que la malade rendit sur le champ, j'ai jugé qu
jeta cette pierre et qu'on la tira du bassin; il y avait très peu d' urine ; mais le 16, étant allé le matin voir Geneviève,
ut ce que je jugerais à propos. Le 17 au matin, je ne pus juger des urines de la malade, ses règles ayant paru. Sur les
me déclara avoir de grandes douleurs au talon, elle me dit que ses urines ne coulaient plus que goutte il goutte, et que c'
ns des agitations et dans des convulsions presque continuelles, les urines ont été totalement supprimées ; j'ai proposé il l
ouffrait la malade étaient excessives en ap- parence, cependant les urines avaient repris un peu leur cours ; elle en rendit
cette observation, Morand fait connaître les analyses qu'il fit des urines de la malade avec MM, Charles et Diez. « Il ne s'
si s'expliquent les filaments de toile trouvés en suspension dans l' urine à la suite des évacuations. \ A cette analyse
Après les vomissements sanguins, Geneviève eut des « vomissements d' urine , survenant sans effort, et suivis d'un flux menst
diminution peut d'ailleurs aller jusqu'à la suppression complète des urines qui constitue anurie hystérique. Des observat
ait. Une jeune religieuse de Padoue, à la suite d'une suppression d' urine , rendit par le vomissement plusieurs litres d'u
rendit par le vomissement plusieurs litres d'un liquide analogue à l' urine par son odeur et sa couleur (Marcellus Donatus,
t sur les analyses chimiques comparatives des vomissements et de. l' urine , admet : , « Que si l'ischurie est, le plus sou
ent les matières vomies pouvaient être assimilées dans ce cas à des urines supplémentaires, mais que dans les unes et les
vive quand elle s'attaque à la vessie, mais encore, elle supprime l' urine et simule tous les symptômes d'un calcul vésical.
es reins fonctionnent normalement, mais à cause de l'hypospadias, l' urine n'est pas émise sous forme de jet. La rate et l
G mois, des troubles vésicaux marqués par une légère incontinence d' urine . Il présente actuellement le signe de Westphal,
ncé pour l'exis- tence d'une myélite, en raison de l'incontinence d' urines et des matières fécales, qui, chez cette fillet
Rendu, qu'une névrite périphérique donne lieu à de l'incontinence d' urine et des matières fécales. A priori tout ce que p
aire de degré et de durée. C'est précisément quand l'incontinence d' urine et des matières fécales est mal dessinée et de co
resque pas d'appétit. Détail d'une grande importance en l'espèce, l' urine dégageait une^ odeur d'ail. La ma- lade perdait
bassin. On a constaté de t'hyperesthésie aux jambes. L'analyse des urines a décelé la présence de l'arsenic. A la suite d
the analyses of' twenty-five cases in wich arsenic was found in the urine . The Boston médical and surgical Journal, 7 mar
on d'un empoisonnement arsenical. En dernier ressort, l'analyse des urines sera toujours là pour fournir la démonstration
17 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
6. N° 7. ARCHIVES DE NEUROLOGIE THÉRAPEUTIQUE. L'INCONTINENCE D' URINE ET SON TRAITEMENT PAR LA SUGGESTION ; Par le
, et accessoirement à la clinique de l'Incontinence essentielle d' urine . En l'espace de quatre années, nous avons traité
lequel ou s'entende à l'heure actuelle, c'est que l'incontinence d' urine dite essentielle, c'est-à-dire qui n'est sympto
relative de ces tares héréditaires 1 L. Guinon. De l'incontinence d' urine des enfants. Thèse de Paris, 1889. 1 J. Janet
la miction. Thèse de Paris, 1890. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 3 et à ce point de vue les obse
e de J. Janet, précédemment citée. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 5 zième année. Or il est très r
Ecartons d'abord ces dernières. L'une suppose la présence dans l' urine d'un excès de sels suffisant pourirriterla vessie
aussitôt que ce réservoir est distendu par une certaine quantité d' urine , les muscles lisses se contractent et en provoq
1 Bérillon . Le traitement psychique de l'incontinence nocturne d' urine . Revue de l'hypnotisme, 1894. TRAITEMENT DE L'I
'urine. Revue de l'hypnotisme, 1894. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 7 tiques, le sommeil lourd et p
rze ans d'incontinence diurne dont il n'a conscience qu'en voyant l' urine couler sous ses pieds. Même chose se passe vrai
ie hystérique. Thèse de Paris, 1893. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 9 l'idée fixée sur sa triste in
mictions fréquentes et impérieuses diurnes, croit en réalité qu'il urine plus que normalement. L'enchaîne- ment logique
ggestive, 1 vol. in-12. Paris, 1893. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. ils en admettant qu'elle représ
atistiques des auteurs précédents, que l'incontinence essentielle d' urine est, dans la grande majorité des cas, justiciab
ppé, pâle, très émotif, portant au cou des ganglions volumineux. Il urine au lit depuis la première en- fance ; n'a jamai
dent depuis la date précédente. -' TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 13 Il s'agit d'un enfant chétif
he, ayant été atteint lui-même jusqu'à vingt ans d'inconti- nence d' urine contre laquelle il a essayé tous les traitements
s son lit. Rien que guéri, il a tou- TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 15 jours eu une grande difficul
INE PAR SUGGESTION. 15 jours eu une grande difficulté à retenir ses urines et quand le besoin se fait sentir, il doit le s
s automatiques; suggestion de ne plus pisser au lit, de retenir son urine , de sentir le besoin et de se réveiller. Il revie
la suite de fièvres intermittentes. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 17 Observation VII. F. M..., se
rtante. Enfant chétive, d'un tempérament lymphatique marqué. Elle urine au lit depuis quelques mois seulement et d'une fa
temps, et ne me four- nit aucun renseignement tuile. La jeune fille urine au lit depuis la naissance, mais ce n'est qu'à
t plusieurs fois par semaine. Ça lui TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 19 arrive plusieurs fois de sui
outes les nuits depuis quatre ans. ' TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 21 Avant elle était absolument
dent. Il n'a plus besoin de se lever la nuit et garde très bien ses urines jusqu'au matin. 31. - Deux nuits mouillées à hu
d'une façon irrégulière. A partir de TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 23 l'apparition des règles elle
ner avec pollakiurie passagère. 28. Un peu fatiguée, céphalalgie, urines chargées, dépo- sant abondamment. Fatigues phys
ance qui ne se sont pas reproduites. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 25 Depuis deux ans il pisse au
est pris d'incontinence surtout diurne. Il ne s'en aperçoit qu'à l' urine qui coule par terre et mouille son pantalon. Il
légère avec catalepsie suggestive. Suggestion : « Il retiendra ses urines sans difficulté et éprouvera toutes les deux he
ent que deux fois cette semaine. \ TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 27 1er mars. Il ne se mouille p
genre, entre autres chez deux femmes qui perdaient constamment leur urine nuit et jour à la suite de fausses couches. Il
lit depuis trois ans seulement. C'est venu sans cause connue. Elle urine une 28 THÉRAPEUTIQUE. première fois presque a
ut affirmé qu'elle allait très bien. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 29 Malgré l'attestation des par
ieurs enfants que je connais tous et qui sont normaux. Cet enfant urine au lit depuis dix-huit mois seulement. Tout d'a
s parents se lassent et cessent de me l'amener. Mars 1896. L'enfant urine toujours au lit. A la suite d'un traitement ord
propose de me l'amener de nouveau. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D' URINE PAR SUGGESTION. 31 C'est sans doute dans les ac
es entrés dans le cours de ce mémoire. L'incontinence essentielle d' urine des enfants et des adoles- cents est un stigmat
a sensa- tion voluptueuse est abolie. Enfin il y a incontinence des urines et des matières fécales. Bien noter que les zon
nt à Roberto, convulsions dans l'enfance, incontinence noc- turne d' urine assez longtemps. D'un caractère expansif, très La
tionnent bien, sauf le système nerveux; on ne constate pas dans les urines l'inversion des proportions des phosphates. Crâ
sant (J.). Recherclies expérimentales sur le degré de toxicité de l' urine des aliénés. Brochure in-8' de lu pages. - Gand,
e et d'un timbre rauque tout spécial. Pouls et température normaux. Urine de quantité normal, non albumineuse. - Transpir
lu. Pas de morsure de la langue, quoi qu'il en dise. Pas de perte d' urine . ' Sensibilité tactile, seulement conservée en
ersistance d'une teinte verdâtre de la peau et coloration noire des urines . Dès ce moment les troubles psychiques et morau
? 30. Fait-on (et dans quelle mesure) les examens du sang et de l' urine ? Dire aussi comment on procède pour les examens,
ons sécréloires, salivation, sueur, du système gastro-intestinal. Urine : Couleur, consistance, odeur, réaction, densit
stinal. Urine : Couleur, consistance, odeur, réaction, densité. Urine anormale : urée, phosphates, chlorures, oxalates,
s d'indications spéciales. 86 asiles d'aliénés. 30. L'examen de l' urine , à l'admission, est à peu près général. Celui d
e flasque de la jambp gauche survenue brusquement, puis rétention d' urine . La paralysie se dissipe en partie et progressi
re, de la vessie, de la vulve à gauche et du rectum. Incontinence d' urine . En somme l'ensemble des trou- bles sensitifs p
chez la malade de la première observation. Rétention complète des urines et des matières fécales. OEdème marqué des membre
ATROPHIQUE PROGRESSIVE chez UN HYSTÉRIQUE atteint d'incontinence d' urine ; par M. GASNE, interne des hôpitaux. (Nouvelle
s. Troubles de la sensibilité nettement hystériques, incontinence d' urine également rapportée à l'hysté- rie. L'auteur pe
de même pour les soubresauts musculaires. Il reste l'incontinence d' urine , à la vérité très rare dans l'hystérie, elle se
tion : l'inconti- nence est surtout nocturne. -Cette incontinence d' urine d'origine hystérique est à noter. CanrUSET. X
normale. Les réflexes rotuliens complètement abolis. Incontinence d' urine , constipation. Sens spéciaux intacts, mais inég
a tête et du cou seuls avaient échappé à l'atrophie. Incontinence d' urine 'et constipation, anesthésie totale superficiel
rd libre des gencives saignant, ramolli et bleuâtre. Plomb dans les urines . On dénote aussi la présence du plomb à la peau
à gau- che. Le malade ne peut pas parler, mais il semble entendre, urines involontaires. La situation reste telle pendant
des mêmes membres, la malade ne les sent pas. T = 38°. Rétention d' urine . Intelligence intacte. L'auteur diag- nostique
ci la marche de l'affection, à partir de ce début. La réten- tion d' urine dura seulement cinq jours, elle fut remplacée par
a pointe. Foie et rate REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 normaux. Urines normales. Réflexes patellaires exagérés, les autr
et cornéen, de perte de la conscience et d'émission involontaire d' urine . L'amnésie fut complète, jusqu'au lendemain, po
pupillaires, abolition de la conscience; émission invo- lontaire d' urine , hyperthermie 38°,2). Il faut noter cependant que
rale ou au col de la vessie, puisque le malade ne sent pas quand il urine , ni quand il a fini d'uriner. Il Archives, 2e s
INIQUE NERVEUSE. faut qu'il voie, ou qu'il entende pour savoir s'il urine . Pas d'im- puissance génésique. Le réflexe scro
t. Depuis dix-huit mois de temps en temps incontinence nocturne des urines . Le jour des envies fréquentes et des fausses e
e présentent aucune anomalie. Constipation. Légère incontinence des urines le jour et surtout la nuit. Le malade mouille s
Depuis quelque temps la malade n'a plus d'incontinence nocturne des urines , il n'a plus non plus mouillé sa chemise le jou
s : affaiblisse- ment de la puissance génésique et incontinence des urines . Signe de Romberg dès le début. En 1885, douleu
st forcé d'uriner souvent. La nuit il a parfois de l'incontinence d' urine . Aux organes internes rien de pathologique. C
viguant pas. Le trouble urinaire reparaît, mais un peu différent. L' urine est chassée de la vessie, mais le jet s'arrête
e très bien. Pas de calcul dans la \ essie. Analyse minutieuse de l' urine qui ne donne aucun résultat intéressant. Il s'a
ie entre en même temps en contraction, les muscles expulseurs (de l' urine ), aussi bien que le sphincter. Il faut, en plus
om de consti- pation nautique. C. L. DE l'incontinence nocturne d' urine ; par M. le Dr GOGNETTI DE MARTIIS. (Extrail de
e qui ne permet à l'organe de ne tolérer qu'une quantité donnée d' urine ; 2° elle est due à une hyperexcitabilité des musc
olon- taires sont possibles sans amener le réveil. L'incontinence d' urine ne peut donc se manifester que pendant ce trois
marin de l'Etat, est atteint, depuis son enfance, d'incontinence d' urine ; il a suivi de nombreux traitements mais sans r
ns résultat. Aucune lésion vésicale ou urétrale, pas de calcul, les urines sont normales. Entré à l'hôpital, la première n
l, les urines sont normales. Entré à l'hôpital, la première nuit il urine au lit. Le lendemain soir, couché, on lui appliqu
les vrais nerfs rénaux, les nerfs qui président à la sécrétion de l' urine . C'est pourtant ce que faisait, ou du moins ce
les animaux nou- veau-nés, par de Dechterew, 320. Incontinence d' urine . Traitement par la suggestion, par A. Cullere,
18 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rygmes, etc. Rien d'anormal dans les poumons, ni dans le coeur. L' urine ne contient ni albumine, ni sucre. La miction est
i assise et se laisse aller comme une masse inerte; haleine fétide, urines rares, constipation ; pas de' coloration violac
sur la lèvre supérieure, la conjonctive palpébrale inférieure... L' urine ne contient ni albu- mine, ni sucre; abondance
jours, durant lesquels il fallut sonder le malade, la rétention des urines fut suivie, au contraire, d'une incontinence co
es urines fut suivie, au contraire, d'une incontinence complète : l' urine coulait goutte à goutte et mouillait constam- m
les dou- leurs et la paraplégie disparaissent, sauf une rétention d' urines et de selles de quarante-huit heures environ.
c'est-à-dire douleurs lombaires, para- plégie complète, rétention d' urines et de selles durant deux jours, et de même duré
SCAPHANDRES. 1S7 Le malade a de temps en temps de l'incontinence d' urines , tou- jours la nuit ; quelquefois il pressent l
Nous avons oublié de noter qu'il y avait encore de la rétention des urines et des selles ayant nécessité l'emploi de la so
quemment et avec plus de force. -A la même époque, la rétention des urines a fait place à une incontinence, qui survenait
paralysie de trois membres cités, le malade avait de la rétention d' urine et une constipation opiniâtre. Le 11 octobre, l
la sonde au malade ; purgatif à l'huile de ricin. La rétention d' urines , qui pendant six jours a nécessité l'emploi delà
mbes. Paraplégie des membres inférieurs, accompagnée de rétention d' urines et de selles. Evolution des symptômes spasmodiq
e cet accident, ajoutons qu'il y avait en outre de la réten- tion d' urines et de selles, qui a nécessité l'emploi de la sond
sibles à la piqûre. Le malade enfin avait en outre des rétentions d' urine et de selles. Le 3 novembre, vingt-quatre heure
vaguement la piqûre. Ce jour-là le malade a eu de l'incontinence d' urines et de selles. Pendant vingt jours, il a été for
rd connaissance, sans aucun symptôme prodromique et à l'instant ses urines et ses selles lui échappent involontairement. I
malade sans qu'il en ressentit la moindre sensation. Unerétention d' urines et de selles a nécessité le sondage et les purg
e ces symp- tdmes à 9 heures. A minuit, paraplégie avec rétention d' urines et de selles ; le malade reste paralysé pendant
ès bien à l'électricité. Pas de troubles vaso-moteurs. L'examen des urines a montré une grande quantité de pus et de mucus.
tilité et de la sensibilité des membres inférieurs avec rétention d' urines et de selles. Pas de symptômes cérébraux gastri
sibilité des membres inférieurs, qui est accompagnée de rétention d' urines persistant pendant un mois. On était naturellem
ure s'était aussi paralysée peil- dttnt une demi-heure; rétention d' urines ; douleurs aux lombes. État actuel le 15 févrie
immobiles. Les bourdonnements d'oreilles continuent. La rétention d' urine gêne beaucoup le malade, car il est en voyage,
l a rencontré beaucoup de difficulté pour introduire la sonde ; les urines étaient rendues en quantité considérable. La co
sie des membres inférieurs, ayant débuté par le gauche, rétention d' urines , difficulté de défécation. Disparition de la pa
tre membres étaient parétiques, il avait en outre une ré- tention d' urines , qui a nécessité l'emploi de la sonde. Les ma-
SE. inférieurs restent dans le même état. Le malade rend seul ses urines bien que difficilement. Rectum à l'état normal.
é d'uriner persiste; il est obligé de se forcer pour faire sortir l' urine . Vers la fin de ce mois, il a pu soulever ses mem
uentes. La difficulté d'uriner n'était pas constante, quelquefois l' urine sortait sans que le malade fût obligé de faire le
raplégie complète des membres inférieurs ; anesthésie ; rétention d' urines et de selles. Le 48 juizz, marche ci l'aide d'u
m- plètement abolie. A ce moment, le malade ne pouvait rendre ses urines . Rétention des matières fécales. Pas de paralysie
rs, mais il lui était impossible de se tenir debout. Il a rendu ses urines seul, mais avec grande difficulté. Il était obl
grande difficulté. Il était obligé de se forcer pour faire sortir l' urine ; un intervalle de quelques minutes s'écoulait en
rémiéo; la capsule s'enlève facilement. La vessie contient un peu d' urine . La moelle épinière frappe par la mollesse de s
paraldéhyde. Ventre tendu non douloureux. Foie augmenté de volume. Urine claire; ni sucre ni albumine. Vie sexuelle deme
ches. D'abord, il ne faut croire à l'existence de l'acétone dans l' urine que quand le produit de la distillation de cell
ant au pourpre quand on acidulé par l'acide acétique, enfin quand l' urine distillée dissout l'oxyde de mercure dans une sol
W'I. 20 306 SÉNAT. provenant de l'albumine, sa diminution dans l' urine indique que l'albumine des tissus va manquer. S
nt été présentés par nos malades sont les suivants : La rétention d' urines , qui est presque constante; en effet, elle a ma
malade que nous avons observé avec M. le Dr Xanthos, la rétention d' urines avait occa- sionné une distension considérable
de rares ex- ceptions près, marche de concert avec la rétention d' urines , et comme elle, une fois dissipée, fait place r
t encore de temps en temps un peu de difficulté pour faire sortir l' urine et, le 10 août, il était guéri. A côté de ces
ise à la région lombaire. Pour être complet, n'oublions pas que les urines du malade, le 15 juillet 1886, c'est-à-dire env
eu moins prononcée au membre gauche, anesthésie, légère rétention d' urines . Le 4 novembre, il DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI D
s membres inférieurs et du supérieur droit. Anesthésie, rétention d' urines . A 11 heures du soir, disparition de la paralysie
isparition de la paralysie, de ~~ l'anesthésie et de la rétention d' urines . Auréveil, 3 mai, 7 heures du matin, retour de
égie des membres inférieurs, de l'anes- thésie et de la rétention d' urines et de selles. 18 ? ntti, marche avec un seul ap
s, qui en même temps étaient tout à fait anesthésiques. Rétention d' urines . - An bout de 24 heures, paraplégie, anesthésie
urines. - An bout de 24 heures, paraplégie, anesthésie, rétention d' urines ont disparu subitement. Le malade reprend ses i
t à fait intègre. Rien à la face ; anesthésie complète, rétention d' urines . A 10 heures, une amélioration surprenante a co
aussi bien de la motilité que de la sensibilité ; il rend bien ses urines et ne se plaint de rien. Il dort bien, croyant
a constaté qu'il était repris de sa paraplégie et de sa rétention d' urines et de selles. L'ancsthésie aussi était complète
1otililé et de la sensibilité des quatre membres. Soif. Rétention d' urines et de selles. Décubitus aigu, accompagné de déc
'urines et de selles. Décubitus aigu, accompagné de décomposition d' urines et de fièvre, guéri. Le 15 février, retour de l
pas de gaz, pas de douleurs gas- triques. Impossible de rendre ses urines et ses selles. Pas de troubles respiratoires, p
25 janvier, cette plaque rouge s'ulcère, il avait de la fièvre. Ses urines rendues par la sonde exhalaient une forte odeur.
s'améliore. Le 6 février, l'escarre était complètement guérie, les urines n'avaient presque plus d'odeur, il a commencé à
eur, il a commencé à mouvoir ses membres supérieurs. La rétention d' urines et de selles persiste ; on continue l'emploi de
depuis l'accident, il a, pour la première fois, rendu tout seul ses urines et ses selles. Pas d'amélioration aux membres i
s aux articulations des coudes. Paraplégie, anesthésie, rétention d' urines et de selles, pouls petit, fréquent et irréguli
ment. L'anesthésie était complète dans tous ses modes : rétention d' urines et de selles, petitesse, fréquence et irrégularit
oteurs, il n'y a pas de symptômes céphaliques. Il n'y a fréquence d' urines , et, de temps en temps, le malade rend involont
'urines, et, de temps en temps, le malade rend involontairement ses urines . Les fonctions du rectum et des or- ganes génit
ée d'une demi-heure de durée. - Paraplégie, anesthésie, rétention d' urines et de selles suivie d'incon- tirzence. Le 10 ju
sthé- sie non moins complète et d'une rétention, très pi ononcée, d' urines et de selles qui a duré dix jour=. 1.% sonde n'
ention, la vessie, grâce à l'accumula- tion d'une quantité énorme d' urines , a formé une tumeur considé- rable dans le bas-
ssie sont arrivés après bien des efforts à la vider. La rétention d' urines a été suivie d'incontinence. La constipation ét
ue le malade ne pouvait se tenir debout; anesthésie, incontinence d' urines et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQU
orter dans son pantalon un tube en caoutchouc, afin de recevoir les urines qui s'écoulent goutte à goutte. Parfois, il ren
x membres inférieurs et du supérieur droit, anesthésie, rétention d' urines pendant deux jours. Dans la journée du 23 mars,
eux membres inférieurs et du supérieur droit, suivie de rétention d' urines . Archives, t. XVI. 25 386 CLINIQUE NEIIVEUSE.
sensibilité; ils ont consisté dans tous les cas, en une rétention d' urines . Par suite de cette rétention, qui a duré dixyj
r pour D L.1 GLIO>L1TOSU ? II : DULI,.\IRG. 393 faire sortir l' urine (OBs. XVI) et tantôt à l'incontinence (OBs. XVI
s troubles vési- caux, n'oublions pas de noter la décomposition d' urines qui a eu lieu chez le malade de l'OBS. XVI. e).
cas, la rétention de selles marche de pair avec la réten- tion d' urines , c'est le trouble initial du rectum; une fois d
19 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
moitié gauche de la face. Bientôt après, elle perd connaissance. Elle urine parfois sous elle, écume peu, se mord la langue,
s du côté droit. Les pupilles ont repris leurs dimensions normales. L' urine , recueillie aussitôt après l'accès, ne contient n
ont porté exclusivement sur le côté droit de la face et du corps. Les urines et les selles ont été involontaires. A la suite d
ois jours avant les accès et lui en annonceraient l'approche. —Elle n' urine pas sous elle dans ses crises. Etat actuel (186
inutes plus lard, la malade étant revenue à elle : T. V. 37°,3. Les urines , recueillies un certain nombre de fois après les
gauche. P... se promène dans la salle. Bientôt on s'aperçoit qu'elle urine tout debout dans la ruelle d'un lit. On le lui re
mes permanents de l'hystérie.— Caractères des attaques. — Rétention d' urine et surdité consécutives. —¦ Incontinence d'urine.
aques. — Rétention d'urine et surdité consécutives. —¦ Incontinence d' urine . — Mélallothérapie. —Marche des attaques.— Influe
es deux côtés, mais plus forte à gauche.— Démangeaison. — Rétention d' urine remontant à 5 ou 6 jours. — Constipation depuis l
a disparu. — Les règles ont commencé ce matin. — On retire un litre d' urine par le cathétérisme. 4 juin. — V... ne mange pa
térisme. 4 juin. — V... ne mange pas ; la surdité et la rétention d' urine persistent. — Soir : T. R. 38°,2. 5 juin. — Mat
e plusieurs fois de suite, avec violence. — Constipation; rétention d' urine . — Les attaques ont fini à 4 heures du soir. A 6
issait elle rêvait qu'elle tombait dans des précipices. — Rétention d' urine ; cathétérisme facile. — Pas de surdité. — T. V.
ues ont fini ce matin à 10 heures ; on en a compté 185. — Rétention d' urine . — T. R. 38°. Soir.— V... a été tranquille ; il
. ATTAQUE; PÉRIODE ËPILEPTOÏDE STERTOH dite et la rétention d' urine persistent ; il en est de même des contractures p
.) Soir (8 heures). — Elle a eu déjà 63 attaques'. T. R. 37°,9. Les urines , extraites par la sonde, sont claires et ne conti
ôpital mauvaise. — La nuit a encore été un peu agitée. La rétention d' urine persiste. L'introduction de la sonde se fait as
ur et a crié. 1 31 octobre. — V... a conser vé une incontinence d' urine depuis le 10 septembre. Elle a été prise d'attaqu
trébucher la malade et la fait quelquefois tomber. 1?incontinence d' urine continue : Injection sous-cutanée de 20 gouttes d
nouvelles attaques. Il n'y a, cette fois, ni surdité, ni rétention d' urine , mais l'incontinence est la même (1). (l) V...
, que ses jambes tressautent et qu'elle s'endort. Elle perd moins ses urines ; dans le jour, l'incontinence a bien diminué ; q
aperçoit des flammes et crie : « Au feu! » Mai. — L'incontinence d' urine , qui s'était amendée sous sans grand résultat c
café ; pas de vomissements ; une selle après lavement. Incontinence d' urine . Clou hystérique. — Il siège au niveau de l'ang
e fatiguée. 2 novembre. — Pas de nouvelles convulsions. Rétention d' urine depuis deux jouis; hier V... a refusé de se laiss
du col de la vessie et de Vurèthre). On retire environ deux litres d' urine . V... a mal dormi, souffrait du ventre ; il en es
etourne et s'accroche le plus dans l'autre. 7 nov. — La rétention d' urine a persisté jusqu'au 5 et il a fallu sonder V.
il a fallu sonder V... tous les jours. Depuis lors, incontinence d' urine . — La paraplégie persiste ; elle est plus forte à
férieur gauche. 13 nov. — Paraplégie hystérique avec incontinence d' urine . — Application, de l'aimant : 1° à la face intern
la vessie et de Yurèthre, donnant lieu, à son tour, à une rétention d' urine . Le dernier état de mal a laissé une paraplégie i
er état de mal a laissé une paraplégie incomplète avec incontinence d' urine . Divers moyens suspendent ou arrêtent les attaq
liésie générale. — Contracture des membi es inférieurs. — Rétention d' urine . — Contracture des mâchoires et de la langue. — I
nservée à gauche ; même état de l'œil droit. — Il y a une rétention d' urine qui nécessite le cathétérisme, lequel s'opère, d'
t à des injections de morphine. Anesthésie générale ; — rétention d' urine ; — perte de la notion de position des deux jambe
a malade à 5 heures (10 juillet) et on a retiré une grande quantité d' urine . — La sécrétion vaginale est très-abondante, et t
aient par des rires ou des pleurs et par une copieuse éva~ citation d' urine . Les adtaques de délire, dont nous avons signal
. Dans l'observation actuelle, nous avons eu une simple rétention d' urine , sans aucune trace de contracture. GhezV... (Obse
vait habituellement mie paralysie de la vessie (d'où Y incontinence d' urine ) et sous l'influence des séries convulsives, il s
19; — Température, 132; — Disparition, 20S, 207. I Incontinence d' urine , 103, 113. Incurvation du tronc, 145. Injecti
47, 55, 73, 89. — Sur les attaques, 107, 132, 137, 166. Rétention d' urine , 98, 138. Rire hystérique, 111, 138. S Seco
ement, 50, 133, 136, 141. Trépidation, 70, 76, 79,81, 113, etc. u Urines , 78, 101, etc. Urticaire, 141. V Valérate à'a
20 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
abolis. Le malade ne présente aucun trouble de la sensibilité, il urine normalement, dort bien et n'a jamais eu de cris
MARIE 57 Les autres organes et fonctions sont en parfait état : ses urines sont nor- males, son coeur, son poumon, son foi
de dégénérescence. Les, organes internes sont normaux La densité d' urine : 1012, la quantité des 24 heures : 2000-2300 ;
pétit étai L nul. Le malade ne suait pas la nuit, mais il avait les urines purulentes, et son eschare au siège suppurait a
sonde à demeure ; il prétendait sentir le contact de la sonde. Ses urines contenaient encore une légère quantité de pus.
scles para- lysés ; . 2° Une paralysie vésico-rectale ; le malade urine par regorgement et il ne peut retenir ses matiè
tin, à sa- voir : des alternatives de rétention et d'incontinence d' urine (urination par regorgement; ischurie paradoxale
ra recours aux lavages antiseptiques de la vessie, pour peu que les urines charrient du pus ou du sang. L'incontinence des u
peu que les urines charrient du pus ou du sang. L'incontinence des urines et des matières fécales réclame des soins pénib
ce nocive de la com- pression, d'une part, du contact irritant de l' urine et des matières fécales, de l'autre. HOSPICE
établies. Le corps thyroïde est inappréciable à la palpation. Les urines examinées ne contiennent ni sucre, ni albumine, e
és. Cet état d'anémie concorde assez bien avec la pré- sence dans l' urine d'uro-bématine en quantité assez considérable.
d'uro-bématine en quantité assez considérable. L'examen complet des urines , fait le 11 janvier, donne 13 grammes d'urée, 1
atoire de la clinique de la Salpêtrière. De tout temps l'examen des urines a appelé l'attention des médecins soucieux de s
frappée de l'importance que les médecins accordaient à l'examen des urines qu'il est souvent tombé dans l'erreur que nous ve
de très curieux spé- cimens. Mais n'oublions pas que l'examen des urines compte au nombre des procédés d'investigation l
s en vers latins et que l'un d'eux tout en- tier était consacré aux urines , Liber de urinis. Dès cette époque, la coutume
rines, Liber de urinis. Dès cette époque, la coutume d'examiner les urines était fort répandue dans la pratique médicale.
le mal. Ainsi, sans perdre de temps, Renart demande à examiner les urines et il affirme qu'il y découvrira les causes du
en 184.7 (1), un très curieux traité sur les signes fournis par les urines , qui futplus tard reproduit dans le Fascicullls
ispice de l'ouvrage de B.11lontagnana sur les si gnes fournis par les urines . LES UROLOGUES 189 sens des rayons, vingt et
Le titre de la planche est très significatif : Du moyen déjuger les urines d'après leur couleur. Les médecins du XVe siècl
en toute hâte, arrive près d'elle, lui tâte le pouls et demande ses urines : « Quand elle eust ceste urine, fist tant qu'e
, lui tâte le pouls et demande ses urines : « Quand elle eust ceste urine , fist tant qu'elle eust ung urinai et dedans la
e remède. « Vecy nostre gueux qui arrive devers le médecin à tout l' urine de sa femme. Et quand il y eust fait la révéren
sa femme estait deshaitiée et merveilleusement malade : et vecy son urine que vous aporte afin que mieulx vous informes d
édecin prent l'urinai etconlremont leliève, et tourne et retourne l' urine et puis va dire : Vostre femme est fort aggravée
e et en dangier de mort, s'elle n'est prestement secourue, vécy son urine qui le monstre. » 190 PAUL IIICIIEN Quant au
parler ici. Nous verrons comment cette scène chez le charlatan des urines a été souvent représentée par les artistes. Une
mps chanoine de Saint-Quentin. Il élève de la main gauche le vase à urines ,, l'urinal, symbole de la profession, pendant q
lie comme en France, quelle part importante revenait à l'examen des urines dans les soins donnés aux malades et combien cett
au nombre desquels se trouve un remarquable cha- pitre consacré aux urines . Dans ce chapitre, il ne se contente pas de don-
s ce chapitre, il ne se contente pas de don- ner les caractères des urines dans l'état de santé et dans les diverses ma- l
s linéaments de la science si complexe aujourd'hui de l'analyse des urines , en étudiant les résultats des expériences auxq
ventre et la poitrine, J'aurais un beau teston (1) pour juger d'une urine . Les beaux testons devaient pleuvoir dans l'esc
oits charla- tans habiles à exploiter l'impression que l'examen des urines a toujours produite sur le vulgaire. Comment d'
e du liquide couleur d'ordes produits rares, tels que l'es- sence d' urine (sel ammoniac, extrait des urines), alors que la
uits rares, tels que l'es- sence d'urine (sel ammoniac, extrait des urines ), alors que la philosophie hermétique appelait
urines), alors que la philosophie hermétique appelait le vinaigre, urine du vin, et le mercure philosophai, urine des je
ique appelait le vinaigre, urine du vin, et le mercure philosophai, urine des jeunes colériques, enfin alors que la pharmac
er- tus . Mme de Sévigné faisait un fréquent usage de l'essence d' urine . Elle écri- vait à sa fille le 13 juin 1685 : «
13 juin 1685 : « Pour mes vapeurs je pris huit gouttes d'essence d' urine , et contre mon ordinaire elle m'empêcha de dormir
e de l'Académie des sciences, Nicolas Lémery,écrivait en 1759 : « L' urine de l'homme,-nouvellement rendue, purge et est bon
uelque peu voisine de la cabale, consistait à tirer de l'examen des urines les pronotics les plus invraisembla- bles. Aujo
jourd'hui même l'espèce n'en a pas disparu. « Il (le jugeur par les urines ) se vante, dit A. Chéreau, de connaître a l'asp
es) se vante, dit A. Chéreau, de connaître a l'aspect d'une fiole d' urine , si on le consulte pour un homme ou une femme,
me députe sa camériste chez un urosco- pe avec une bouteille de son urine ; la pauvre fille perd en route la pré- cieuse
ur, mais répare ingénieusement ce malheur en la remplaçant par de l' urine de vache. 0 prodige ! L'Esculape s'écrie aussitôt
ont-ils pas là ? Leur science, qui découvre tant de choses dans les urines , ne peut-elle y trouver la preuve de l'innocence
he vers l'éminent empirique une servante avec une fiole remplie des urines de la belle dont le sort dépend de l'arrêt qu'i
de reconnaître à la présence d'un certain corps, la kyestéïne, les urines de la grossesse, mais c'est à une période déjà
SCIIALI\EN (1643-1706) au musée de La Haye, intitulé le Médecin aux urines ou la Consultation indiscrète, reproduit une co
ancien n'a pas été favorable à la vertu de la pauvrette. La fiole d' urine gît brisée il terre. La jeune fille toute confuse
re 1900, il commença à être sujet à des émissions invo- lontaires d' urines . Le 1er octobre, il prit une purgation. A parti
fécales. Appareil urinaire. Le malade présente de l'incontinence d' urine par émissions involontaires. Les urines ne co
ésente de l'incontinence d'urine par émissions involontaires. Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Evolution
ogressivement. Il est sujet ri des bâillements répétés. Il perd ses urines et ses matières. 10 novembre. Le malade est tom
18 Décembre. - Nouvelle crise qui dure quelques minutes. Le malade urine sans cesse dans son lit, il se forme une escarr
es, Rosalina, avait eu une fièvre élevée, l'examen de la quantité d' urines émises, la respiration, le pouls, la température
de l'oeil normal. Diplopie passagère à distance. In- continence des urines . Morte de cachexie le 27 novembre 1899. ' Exame
eurs. R"é(]exes fibrillaires et plantaires abolis. Incontinence des urines et des matières. Cécité totale. Disparition des
ielle et profonde aux membres inférieurs. Incontinence complète des urines et des matières fécales. Signe d'Argyll-Robertson
é à 40 ans. Il y a 4. ans, troubles des sphincters : incontinence d' urine ; à la même époque apparition des douleurs fulg
es où l'on trouve la représentation soit d'un médecin qui examine l' urine , soit d'une application de ventouses. Ces pratiqu
e pendue à la ceinture-qui inspecte un vase de verre à demi plein d' urine qu'il lient de la main droite. En face de lui,une
ble réclamer l'attention du médecin trop absorbé dans l'examen de l' urine , vers le malade qu'il indique avec la main droi
traire, F... se plaignait maintenant de ne plus pouvoir retenir ses urines , quand elle était debout et quand elle essayait
sayait de marcher; elle avait parfaitement conscience du passage de l' urine à travers l'urèthre. En décembre (1900), les
t la malade, qui se croyait en voie de guérison, retenait mieux ses urines . Mais voici qu'en février 1901 les douleurs fir
les réflexes achilléens étaient nor- maux. La malade perdait ses urines , même quand elle était couchée; ces évacua- tio
les demi-heures environ. La malade avait conscience du passage de l' urine , du contact d'une sonde avec la muqueuse vésico
t restés stationnaires ; voire que la malade perd moins souvent ses urines . De plus, cette incontinence se complique de ré
s. involontaires, on retire de sa vessie jusqu'à 4 et 500 grammes d' urine . AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 477 11 est
admission définitive dans le service. Entre temps l'incontinence d' urine avait fait son apparition, incontinence qui, d'ab
éri- phériques : Le symptôme, troisième en date, l'incontinence d' urine , a également revêtu des caractères qui parlent
e d'une origine spinale, nucléaire : tout d'abord, l'incontinence d' urine était essentiellement transitoire, elle se mani
l'hypothèse d'une lésion nucléaire, responsable de l'incontinence d' urine . La distribution de l'anesthésie superficielle
gré de l'analgésie au pied gauche. L'incontinence et la rétention d' urine ont disparu. IL.. a parfaitement conscience du
, il est obligé de pousser. Il n'a pas la sensation du passage de l' urine à travers le canal. Le jet formé par l'urine n'
sation du passage de l'urine à travers le canal. Le jet formé par l' urine n'a aucune force ; le malade est obligé d'é- ca
d'uriner. Dans la journée, il put le faire, non sans difficulté ; l' urine s'écoulait en buvant, et pour ne pas mouil- ler
e de la charité publique. Il n'y a rien aux viscères, rien dans les urines . Pas de troubles trophiques. La voûte est légèr
s qu'il dit avoir pesé jadis jusqu'à 106 kilogrammes. L'analyse des urines a été pratiquée par M. Savinel, interne -en pharm
s considérable que celui d'un homme normal. Pas de soif exagérée. Urine normale, D : 1012. Ni sucre, ni albumine. Les o
a polydypsie (12 litres d'eau environ) et de polyurie : 13 litres d' urine claire, de densité 1027, donnant la réaction du s
94. --Pneumonie de la base gauche, pendant laquelle la quan- tité d' urine tomba à 3 ou 4 litres et la teneur en sucre à 1 o
et la teneur en sucre à 1 ou 2 pour 0/0. Mars 189S. 9 à 16 litres d' urine par jour ; teneur en sucre : 6 ou 6,5 pour 0/0.
er de bacilles de Koch dans l'expectoration. Le sucre a disparu des urines , dont la quantité oscille entre 2 à 3 litres 1/
21 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
très nerveuse. A l'Age de dix ans, il aurait eu une anasarque avec urines rouges à la suite d'un refroidissement. A vingt
été présentée par l'absence des zones hystérogènes. L'analyse des urines , laquelle, selon l'enseignement de Gilles de la
r le fait même de sa courte durée. Pour ce qui est de l'analyse des urines laquelle, selon Gilles de la Tourette, nous don
lm... Poids : 50 kil., 5, âgée de dix-huit ans. Période de calme. Urines intercalaires. - Pour ses accès voir le relevé.
9 mai a eu lieu vingt-quatre heures après la fin de la récolte de l' urine . Depuis plusieurs années, Vilm..., autrefois in
avons voulu rechercher quelle pouvait être la toxicité actuelle des urines de cette malade. Totalité des vingt-quatre heur
Totalité des vingt-quatre heures : 2 lit. 500. Lapin de 2 lui. 350. Urines acides filtrées. Rien à noter au début. Pas de
arrêt de quelques minutes dans l'injection à 180 c. c., parce que l' urine filtrée manque; deuxième arrêt à 260 pour la '
PATHOGÉNIQUES ET THERAPEUTIQUES. Nous venons de voir que l'état des urines est différent avant, pendant et après les accès
tatant cet état. Cet état saburral accompagnant l'hypotoxicité des urines s'accuse de plus en plus pendant une série et s'a
us la même dépen- dance. Cette corrélation entre l'hypotoxicité des urines et ces troubles gastriques est donc très import
permis souvent de prédire un accès. De même cette hypotoxicité d' urine nous a permis de prédire un nouvel accès convulsi
i qu'un malade sujet au délire doit être surveillé aussitôt que ses urines ne présentent plus la toxicité normale. A quo
ts. En effet, avant l'accès et pendant la période paroxystique, les urines sont hypotoxiques, ce qui indique que l'éliminati
, le sérum du sang est plus toxique pendant les attaques et que les urines * Février 1892. Société de Biologie. 70 PHYSI
ptiques mais nous pouvons avec les données que nous avons sur leurs urines , données tout à fait identiques à celles que M.
n théorique. Nous avons, avant et pendant l'accès, hypotoxicité des urines , c'est-à-dire intoxication du sang, et après l'
st-à-dire intoxication du sang, et après l'accès, hypertoxicité des urines , c'est-à-dire élimination des toxines du sang.
u, en comparant les expériences de Chambrelent, qui ont rapport aux urines et au sang des éclamptiques, c'est-à-dire à ces
1891.) . Les auteurs n'ont fait porter leurs recherches que sur les urines d'un seul aliéné, atteint de délire mélancoliqu
la glande thyroïde.' G.D. XII. DE la présence DE l'acétone dans l' urine DES aliénés; par les D™ J. DE Roeck et A. SLOSS
nt, de Belgique, 1891.) De leurs recherches qui ont porté sur les urines de 31 aliénés et d'une quinzaine de sujets norm
ent les conclu- sions suivantes : lorsqu'on veut constater dans les urines la pré- sence de l'acétone, il faut les récolte
ces azotées. La constatation d'une petite quantité d'acétone dans l' urine des aliénés n'a donc aucune signification patho
e signification pathologique. La quantité d'acétone contenue dans l' urine n'est pas en rapport avec l'état psychique du mal
rtaines affec- tions mentales que l'on trouve de l'acétone dans les urines ; l'exis- tence d'acétone en quantité plus ou m
Sailler avait constaté maintes fois la présence de l'acétone dans l' urine d'hommes sains de corps et d'esprit, et que, d'au
ains de corps et d'esprit, et que, d'autre part, sa présence dans l' urine des aliénés n'avait aucun point d'attache avec
gré leur affir- mation de l'existence constante de l'acétone dans l' urine des alié- 96 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nés
n, c'est que la constatation d'une petite quantité d'acétone dans l' urine des aliénés n'a aucune signification patholo- g
ication patholo- gique et que la quantité d'acétone contenue dans l' urine , n'est pas en rapport avec l'état psychique du
nte une augmen- tation considérable du taux des phosphates dans les urines . Le malade, interrogé sur son sommeil, répond i
cette hypothèse par des expériences entreprises sur la toxicité des urines des aliénés. Les résultats obtenus par ces aute
s obtenus par ces auteurs au cours d'expériences antérieures avec l' urine normale, ont servi de terme de compa- raison po
male, ont servi de terme de compa- raison pour juger de l'effet des urines pathologiques. Au point de vue du degré de toxi
u degré de toxicité, ces dernières expériences avaient montré que l' urine normale, en injections intra-veineuses, tue le
au point de Vue des qualités toxiques, c'est-à-dire de l'action des urines nor- males sur les différentes fonctions de l'é
on de la pie-mère ; troubles trophiques cutanés. Les injections d' urine pathologique ont été faites avec l'urine de mal
cutanés. Les injections d'urine pathologique ont été faites avec l' urine de malades atteints de manie, de stupeur, de ly
men- tale, autres que la démence sénile, le degré de toxicité de l' urine a été augmenté, dans des proportions différente
manie sans agitation a une toxicité presque semblable à celle de l' urine normale, tandis que la stupeur simple et la folie
qu'un élément secondaire au point de vue du degré de toxicité de l' urine , l'élément premier dépendant de l'intensité de
lités toxiques, D'une manière générale, les qualités toxi- ques des urines des aliénés sont les mêmes que celles de l'urine
és toxi- ques des urines des aliénés sont les mêmes que celles de l' urine normale pour ce qui concerne toutes les fonctio
uve dans tous les cas des symptômes semblables à ceux que produit l' urine nor- male, mais, à côté de ces symptômes, en ex
ie des persécutions). la symptomatologie est semblable à celle de l' urine normale : l'affaissement et la résolution sont se
que, lypémanie) on constate des symptômes qui n'existent pas avec l' urine normale : les urines de maniaques avec agitatio
onstate des symptômes qui n'existent pas avec l'urine normale : les urines de maniaques avec agitation considérable donnen
itive et à un état de convulsi- bilité qu'on ne retrouve pas avec l' urine normale. Cet état est poussé si loin que, dans
oduire des convulsions généralisées. Les chiens, injectés avec de l' urine des malades atteints de stu- peur lypémaniaque,
te che; l'individu atteint de cette forme d'aliénation mentale. L' urine des lypémaniaques donne naissance non seulement à
ance à la folie : puerpéralité, puberté, maladies infectieuses; les urines , à part peut-être quelques éléments secondaires
ne peut même presque pas lever ses jambes dans son lit; rétention d' urine continue (calhétérisation journalière), des déc
due et appuyée sur de nombreux tableaux rap- portant des analyses d' urine dans des cas de folies liées à l'arthri- tisme,
xions rhumatismales seraient les princi- paux facteurs; l'étude des urines et des antécédents héréditaires BIBLIOGRAPHIE.
rde, elle ne peut lire ni coudre. Elle est régulièrement menstruée, urines normale ? Le vertige vient au moindre mouvement
1892.) Il s'agit d'une idiote urinant 6,000 centimètres cubes d'une urine ayant pour densité 1002 à 1004; cent deux à cen
1004; cent deux à cent vingt mictions qui l'empêchent de dormir. L' urine est ammoniacale et précipite une abondance de p
es de trois minutes. Sous l'influence de ce traitement, la malade n' urine plus que 580 centimètres cubes d'une urine acid
traitement, la malade n'urine plus que 580 centimètres cubes d'une urine acide pesant 1028 (sels acides (urates) avec ox
tion doit être mise en train par une douce pression sur le, ventre; urines normales; conserva- tion de la tonicité des vai
produite par le dé- faut d'élimination des éléments chimiques de l' urine a provoqué des troubles dans les centres coordi
ance de la plupart des malades des convulsions, de l'incontinence d' urine , des perver- sions d'ordre moral, etc. Dans tro
igestives, gâtisme irrégulier. Quelquefois albumine et sucre dans l' urine . Etiologie. La femme y est particulièrement pré
la coloration du tégument soit la même des deux côtés. L'examen des urines n'a révélé ni sucre, ni albumine; leur ana- lys
par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 469 des idés de persécution. Son urine contenait de l'albumine et une grande quatité d
de dé- pression alternant avec des périodes de gaieté exhubérante. Urine pâle, acide, avec traces d'albumine et importan
rtie de l'asile, les cy- lindres épithéliaux avaient disparu de son urine et son état phy- sique et mental était excellen
ation considérable et tendance au suicide. Traces d'albumine dans l' urine . Amélioration rapide. 5° Maniaque avec hypoch
lbumine et les cristaux n'existaient plus. L'auteur a analysé les urines des malades de son service et il a trouvé de l'
re de mélancoliques agités sans albumine et sans cylindres dans les urines . Les maladies rénales sont donc beaucoup plus c
ante peut donner de l'albumine et [des cylindres épithéliaux dans l' urine avec de l'oedème dans quelques cas. 3° Cette af
de Gudden, 111. Tumeur cérébrale, par Erb, 275 ; Rorie, 463. Urines , chez les épileptiques, par Voisin et Péron, ga
z; chez les aliénés, par de Boecke et Slasse, 92 ; acétone dans l' urine des i aliénés, par de Boecke et Slasse, . 93.
22 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
s les organes des sens sont intacts. Il n'y a pas d'albumine dans les urines . A partir de ce jour, la faradisation est prati
, les régions rénales sont doulou-reuses, au moins à la pression, les urines rares ou supprimées, les symptômes putrides rapid
es plus caractéristiques de l'affection typhoïde choléri-que : 1° Des urines rares, toujours chargées d'albumine, laissant dép
tremblements des mem-bres ; rétention ou écoulement involontaire des urines . La langue est recouverte d'un enduit d'une color
. — L'appari-tion des phénomènes critiques, tels que sueurs profuses, urines abondantes, selles diarrhéiques survenues brusque
abituellement molles, abon-dantes, et d'une coloration jaune clair. L' urine rare présente une réaction fortement acide et con
début, nausées, vomissements, diarrhée plus ou moins abon-dante ; les urines sont rares, quelquefois supprimées, parfois sangu
algie la plus violente. D'ailleurs, il existe une soif ardente et les urines sont rares, d'une colo-ration rouge foncée et séd
, commencent à prendre une coloration jaune plus ou moins foncée; les urines , enfin, présentent une teinte brune qu'elles doiv
ses parties du corps, principalement au cou et sur la poitrine. — Les urines deviennent très rares, elles sont rendues goutte
-tifs, l'existence du principe coloré de la bile dans le sang, dans l' urine et dans la sérosité des vésicaloires (La Roche).
table. — Les reins sont gorgés de sang, tantôt la vessie est pleine d' urine , tantôt au contraire elle est parfaitement vide.
s péléchies, une teinte très foncée des téguments, la suppression des urines , le ralentissement très marqué du pouls, l'algidi
es. Celui-ci préconise la saignée celui-là voudrait que l'on but de l' urine d'enfant, etc. Les Notes ou Mémoires émanant de
ce de tubercules pulmonaires; il y a même plusieurs ex-cavations. Les urines , très claires, peu abondantes, traitées par l'aci
s'amoindrit chaque jour ; la diarrhée persiste quoi qu'on fasse ; les urines sont toujours albumineuses, l'algidité continue,
développés. En effet, on les a vu gêner ou empê-cher l'émission de l' urine et des matières fécales, et devenir chez la femme
ntenu, alors les hydatides qu'ils conte-naient ont été rejetés avec l' urine ou les matières fécales, et ce travail morbide, a
comprimant l'urèthre, occasionnait de temps à autre la rétention de l' urine dans la vessie et nécessitait l'emploi du cathéte
, en la refoulant par hasard avec le doigt, déter-mina l'émission des urines . Il instruisit le mari de cette ma-nœuvre, et le
inq ans. Mais, pendant les trois années qui suivirent, l'émission des urines et des matières fécales devint difficile, et le m
e rectum étaient aplatis; la vessie médiatement comprimée et pleine d' urine . Dans l'épiploon gastro-splénique existait aussi
s d'autres parties du corps ; 3° Les kystes gênent l'excrétion de l' urine et des matières fécales et peuvent être un obstac
, il expira subitement. A l'autopsie, la vessie, très distendue par l' urine , dépassait le pubis de 8 pouces anglais ; après l
s anglais ; après l'avoir vidée, et elle contenait environ 6 pintes d' urine , on découvrait une volumineuse tumeur, située ent
n du foie, de l'épiploon ou de quelque autre viscère. L'émission de l' urine resta toujours naturelle, ainsi que la défécation
oup d'œil on crût avoir affaire à la vessie elle-même distendue par l' urine ; une incision ayant été pratiquée dans la tumeur,
uite considérée comme le résultat de la distension de la vessie par l' urine qu'on cherche à éva-cuer par une ponction. Obs.
; cette fois, on la considère comme due à la vessie distendue par l' urine ; cependant, en introduisant une sonde par l'urèth
èce d'élasticité quand on cessait de le presser. Comme la rétention d' urine persistait, on crut de-voir ponctionner la vessie
ar la canule un liquide limpide, incolore, et presque en même temps l' urine coula par la verge avec facilité et a plein canal
ortait par la canule finit bientôt par être interrompu. « Dès que l' urine , qui était fortement colorée en brun, eût com-men
aura appuyé sur le col de la vessie et aura occasionné la rétention d' urine . A l'époque où la ponction fut faite, le kyste ne
t le malade est encore une fois soulagé. La difficulté à rendre les urines avait cessé elle-même, lorsque le 8 avril, une en
e 8 avril, une envie soudaine et pressante d'uriner se manifeste. Une urine trouble, blanchâtre, laissant déposer un précipit
dans la région du kyste, laquelle s'était de nouveau manifestée. Les urines redeviennent normales, les hydatides cessent de r
ission des hydatides par le rectum, l'ischurie suivie de l'émission d' urines purulentes et de gaz, sont venus simplement confi
apis, était accolée uu cœcum. Cet homme était sujet à la ré-tention d' urine ; lors de son entrée dans le service de M. Vel-pe
ux, on les voit déterminer la constipation, Tischurie, la rétention d' urine . La menstruation ne peut pas manquer d'être gênée
mplètement exempts de lésion. Aucun phénomène du côté du cerveau. Les urines ne sont pas albumineuses ; elles sont fortement c
L'ascite n'a ni augmenté ni diminué ; il n'y a pas d'albumine dans l' urine . Le malade n'ayant pas de diarrhée et de l'appé
séquence, son bord supérieur se fut rapproché de la clavi-cule. Les urines n'ont jamais présenté d'altérations, ni en partic
que nous le dirons plus tard, on a pu s'en assurer par l'analyse de l' urine . 2. Sur un cas d'atrophie des cordons postérieu
diarrhée ; violentes douleurs dans la région hypogastrique, dysurie, urines purulentes. Cette affection intercurrente s'apais
M. S. Cloez a bien voulu se charger. Or, ayant soumis à l'analyse les urines rendues par nos malades, M. Cloez y a constaté la
En effet, divers observateurs ont retrouvé des traces d'argent dans l' urine , chez les sujets longtemps soumis à ce genre de t
loëz est parvenu à recueillir un globule d'argent, en réu-nissant les urines de plusieurs de nos malades de la Salpê-trière. C
s, on retrouvait l'argent (en petite quantité, il est vrai), dans les urines ; preuve évidente que le métal avait été ab-sorbé.
lement au bout de deux ou trois jours dans les cas très intenses, les urines rendues deviennent parfaitement transparentes ; e
Chose remarquable, la réaction alcaline et aussi l'effervescence de l' urine persistent quelque-fois deux ou trois jours après
2 à 4 jours seulement, après l'apparition de la réaction alcaline des urines , que les divers symptômes (état fébrile, douleurs
eré bleu des gencives, 414 ; — argyrée, 415 ; — présence des — dans l' urine ,419; — effets thérapeutiques des pré-parations
phénomènes pro-duits par le traitement, 394 ; — analyse clinique des urines dans le traitement de 1' —, 395. Atrophie muscu
23 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
reur, une des attaques s'étant accompagnée de perte involontaire de l' urine et des matières fécales. Mais si on avait pu alor
uisinier... G... (il s'adresse à un malade de la salle), c'était de l' urine à B... (autre malade)... Je lui demande du rhum..
comotrice progressive et d'autre part sur la présence du sucre dans l' urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les
éprise a été commise et plus d'une fois la découverte du sucre dans l' urine est venue réformer le diagnostic. Mais il ne fa
c. Mais il ne faudrait pas croire que la présence du sucre dans les urines puisse toujours lever la difficulté et décider qu
au quatrième ventricule. Althaus2 l'avait relatée en ces termes : « L' urine au début de la deuxième période du labes peut avo
sucre était accompagnée d'un excès d'urée et le poids spécifique de l' urine variait entre 1,030 et 1,037. Le sucre montait qu
e ses 125 labéliques) le cas d'un malade atteint de tabès vrai dont l' urine avait renfermé du sucre d'une manière temporaire.
nburg ne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de tabès. Un de nous, dans l' urine de 50 tabétiques, n'a jamais constaté la présence
ocomotrice progressive et n'a trouvé que trois fois du sucre dans les urines . Et encore n'est-il nullement démontré qu'il se s
ière... Mais s'ensuit-il d'une part que la présence du sucre dans les urines d'un tabétique signifie toujours glycosurie sympt
vec le diabète à un autre point de vue. La présence du sucre dans les urines d'un tabétique avéré ne signifie point toujours g
t encore assez obèse. Depuis quatre à cinq ans, elle boit beaucoup, urine de même et est obligée de se lever plusieurs fois
peu près perdu du même côté. Les réflexes rotuliens sont absents. Les urines sont examinées très régulièrement ; le sucre y a
outte paternels n'est pas douteuse ; le sucre a été constaté dans les urines à diverses reprises. Quant à la goutte, elle est
s dans les membres inférieurs et de (roubles vésicaux (incontinence d' urine ). Au moment où nous l'avons examiné, outre les sy
ceinture et une incoordination motrice typique. Pas de sucre dans les urines . On peut résumer les antécédents héréditaires d
rnières années, MM. Livon et Alezais2, au cours de recherches sur les urines tabé-tiques, étaient frappés de la tendance à l'h
chard. Loc. cil., p. 182. (2) Livon et Alezais.— Recherches sur les urines tabéliques. (Marseille médical, 1888, p. 193 et 2
le prépuce et comme la plaie ne se cicatrisait point, on analysa les urines et on trouva du sucre. Une analyse faite à cette
thite qui mit encore un an à guérir. A la fin de sa cure minérale ses urines , ne renfermaient plus, dit-il, que 60 grammes de
t ensuite à la Salpêtrière. Etat actuel (juin 1890). — L'examen des urines révèle la pré sence d'une quantité notable de s
llet, interne en pharmacie de service, donne les résultats suivants : urine de vingt-quatre heures : trois litres d'aspect lo
'ont pas cessé depuis lors ; s'il veut résister au besoin d'uriner, l' urine sort toute seule brusquement. Parfois il pisse in
e un ulcère variqueux qu'on ne parvenait pas à guérir. On examina ses urines et on y découvrit du sucre. Deux ans après, une a
et beaucoup, sans qu'il ait jamais songé à recueillir la totalité des urines . 11 se levait la nuit cinq à six fois pour pisser
et polyurie modérées avec polyphagie et polydipsie peu marquées. Les urines renferment, d'après un examen fait séance tenante
21 d'acide urique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L' urine est trouble, acide, d'une densité normale, et lai
n plein tabès confirmé, que la présence du sucre a été notée dans les urines (40 grammes par litre) à propos d'un ulcère qui n
uentes, mais beaucoup moins sévères. Troubles vésicaux, rétention d' urine ; ne peut uriner qu'à l'aide de la sonde. Démar
porter le pied en avant. Le sucre a été tout le temps constaté dans l' urine , examinée une fois par semaine. — Cette observa
. Début du diabète. — Il s'est aperçu qu'il avait du sucre dans les urines en 1888. Mais le début réel du diabète remonte pr
ine d'années. Quoi qu'il en soit, en 1888, un examen méthodique des urines fut fait. On trouva 45 grammes de sucre par litre
au régime sans médication. Deux mois après la polyurie diminuait et l' urine ne conte nait plus que 5 grammes de glycose par
de sucre n'était plus dosable. La soif avait disparu et la quantité d' urine émise était sensiblement normale. Depuis cette ép
En 1889, il eut une bronchopneumonie ; on fit examiner et doser ses urines eton trouva 3 grammes de sucre par litre. Il se r
. — En novembre 1889, alors qu'il n'y avait déjà plus de sucre dans l' urine , D... fut pris d'engourdissements et de fourmille
o-urinaires sont une impuissance absolue et une légère incontinence d' urine de temps à autre. Comme troubles moteurs, incoo
lucide. Il n'a rien de l'état mental des diabétiques. L'examen des urines n'a révélé aucune trace de sucre ni d'albumine à
on intéressant à souligner. Ne sait-on pas que le sucre disparaît des urines dans le cours d'une affection inflammatoire ? Tro
que lorsqu'un diabétique devient fou, le sucre disparaît parfois de l' urine ? Du reste, dans les affections du système nerveux
er longtemps. Depuis trois ans on a constaté beaucoup de sucre dans l' urine , sans polyurie ni polydepsie, et depuis de longue
la région abdominale inférieure ainsi que dans la région dorsale. Les urines et les selles sont si impérieuses parfois que le
aux genoux. Anes-thésie de la plante des pieds. Troubles du tact. L' urine a une densité de 1,028 et renferme de 10 à 25 gra
avéré, on constate, à un moment donné, la présence du sucre dans les urines . Il s'agit, dans le premier cas, de déterminer si
1) Charcot. — Loc. cit. 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention d' urine peut survenir accidentellement, dans le diabète,
dans les vingt-quatre heures. Le malade de Roumont dont la quantité d' urine était normale, rendait 6 à 10 grammes de glycose
ans le tabès. Ce caractère n'a encore rien d'absolu. La densité des urines tabétiques glycosuriques semble moins élevée que
nsité est en rapport direct de la quantité de glycose contenue dans l' urine . Le chiffre de l'azoturie n'a pas plus de valeur
érales. En vérité, les caractères différentiels tirés de l'examen des urines n'ont qu'une valeur limitée, surtout si on les
B. — Etant donné un tabès authentique, au cours duquel l'examen des urines décèle la présence du sucre, dire si cette glycos
ocié au diabète sucré. b. — 11 s'agit d'un tabétique avéré dont les urines contiennent du sucre. Si cette glycosurie s'accom
acte. Jamais on n'a constaté ni délire ni pertes de connaissance. L' urine est normale comme quantité et comme qualité. Pas
gauche et la base du poumon droit. Le malade ne peut plus retenir ses urines ni ses matières fécales. Il répond néanmoins, mai
ine {Rev. de méd., 1890, p. 307). a eu de l'incontinence nocturne d' urine jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfanc
habitude, comme la morsure de la langue, du sang sur l'oreiller, de l' urine dans les draps, le lit bouleversé, etc., etc..
très nerveuse, atteinte de fureur utérine. Incontinence nocturne d' urine pendant l'enfance. De 18 à 20 ans, à huit ou dix
elles. 6 Spasmes fonctionnels, du cou, etc...... 5 Incontinence d' urine essentielle........ 1 Polyurie essentielle.....
battait sans jamais ni se mordre la langue, ni avoir d'incontinence d' urine . Ces crises disparurent après qu'elle se fut mari
ganes viscéraux n'a permis de découvrir aucune lésion ; rien dans les urines . Les réflexes sont normaux. En entendant cette
attaques convulsives ou comateuses, parfois accompagnées de perte des urines (ce qui n'est pas absolument contraire à l'idée d
24 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt avec une constipation opiniâ- tre et de l'inconti- nence des urines . La rigidité spas- modique, la nais- sance
e présente une réaction partielle de dégénérescence ; la quantité d' urine atteint 300 à 400 centimètres cubes par vingt-q
nt une inclination a s'améliorer. Le sucre disparut totalement de l' urine après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur,
hésie au niveau de la moité inférieure du thorax, incontinence de l' urine et des masses fécales, impotence complète. Le m
: il y a de la pollakiurie, surtout nocturne, non douloureuse. Les urines ne renferment pas d'albumine mais elles sont pa
matin, on note souvent de l'oedème de la face et des paupières. Les urines renferment des traces d'albumine (elles en ont
a grossesse, qui le matin seulement du jour où elle mourait vit ses urines devenir albumineuses et la fièvre s'élever de 37
idence, d'autant plus que le sucre ayant un instant reparu dans les urines quelque temps après, cette réapparition fut ell
mais il résulte surtout de l'alimentation carnée. Son dosage dans l' urine n'indique que la quantité qui en est excrétée ;
sence d'un enfant qui a des frayeurs nocturnes, de l'incontinence d' urine , ou tout autre phénomène épisodique de même genre
engagent à vous dire quelques mots des rapports de l'incontinence d' urine infantile avec l'hystérie. J'ai déjà insisté ai
que présente l'état mental, des enfants atteints d'incontinence d' urine avec celui des hystériques. Aujourd'hui je vais p
ues. Aujourd'hui je vais plus loin et je crois que l'incontinence d' urine est une manifestation apparte- nant en propre à
que je vais essayer de démontrer. L'étiologie de l'incontinence d' urine ne diffère pas de celle de l'hystérie. Elle se
auchemars agi- lés, ayant pour conséquence indirecte une émission d' urine . Ce dernier mécanisme est très net chez nombre
itable. Je crois donc être en droit d'affirmer que l'incontinence d' urine n'est, dans un très grand nombre de cas, qu'une
ifestement hystérique, qui était atteinte d'incontinence nocturne d' urine et chez laquelle cet accident a complètement disp
blépharospasme, le strabisme hystérique, l'incontinence nocturne d' urine ; 2° les habitudes auto- matiques, l'onanisme ir
l'in- sornmie, l'agilation et le délire nocturnes, l'incontinence d' urine et de matières fécale=. Dans tous les cas, lo
maigrissement, pâleur, anémie) précisés par l'examen du sang et des urines ; 3° dans ces trois cas la suggestion à l'état
tenace cède après un second lavement qui amène une selle abondante, urines en quantité assez notable puisqu'elles ont impré-
ent pâle et présente le souffle carotidien. Pas d'albumine dans les urines . Quelques jours après, le 6 mars, on me fait entr
lavement purgatif assez énergique qui n'a- vait rien produit. Pas d' urine depuis quinze heures. L'insensibilité est absol
contracture dorsale, figure grimaçante, écume à la bouche. Jamais d' urine et de vomissements depuis la perte de la connais-
malade venait de reprendre connaissance. Elle se met à uriner, une urine claire, limpide assez abondante, urine nerveuse
e. Elle se met à uriner, une urine claire, limpide assez abondante, urine nerveuse. Ceci m'étonne un peu, car une demi-he
la vessie, sondé la malade et n'avais retiré que quelques gouttes d' urine . Je revois la malade le soir, elle est bien, so
ux ans et demi. 10 à 12 litres par jour de boisson. 8 à 10 litres d' urine . Aucune trace de sucre. Parésie hys- térique à
uit jours environ), que rien ne pouvait étancher, et ces mictions d' urine si fréquentes. J'ai pensé aussitôt au diabète, ma
si fréquentes. J'ai pensé aussitôt au diabète, mais l'analyse de l' urine faite, séance tenante, à la liqueur de Fehling ne
araissaient tout d'abord taxés d'exa- gération, tant le chiffre des urines et du liquide absorbé était hors de proportion,
iller, on le surprit, dis-je, urinant dans son verre pour boire son urine . C'était du liquide, cela lui suffisait tant le
eux. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 315 Quelle était la quantité d' urine rendue par jour ? Il est difficile de le savoir
les parents l'évaluent à 8 ou f0 litres, en se basant sur ce qu'il urine la nuit. C'est un robinet continuel, disent-ils
tinuel, disent-ils; en effet, à une de mes visites, je demande de l' urine dans le but de la faire analyser, « Il vient d'ur
'était la vérité, car je puis recueillir sur-le-champ 400 grammes d' urine . Donc polyurie et polydipsie très prononcées ch
de deux ans et demi. Mais quelle sorte de polyurie ? L'examen des urines fait par Bertault, chef du laboratoire agricole d
rtant est assez incomplète. 6 décembre 1893. Enfant de trois ans. Urine d'nne limpi- dité parfaite, sans dépôt, presque
aux (sucre, bile, albumine). Examen microscopique. Rien. Résumé : Urine sans éléments anormaux, mais avec un excès d'ea
us fournira des données plus complètes sur les autres éléments de l' urine : chlorures, phosphates, etc. Outre ces symptôm
hosphates, etc. Outre ces symptômes fondamentaux : soif insatiable, urine abon- dante sans sucre, et sans augmentation de
rrhée, rien à la poitrine. L'enfant boit moins pen- dant sa fièvre, urine moins abondante. Je n'ai pas fait faire l'ana-
vre, urine moins abondante. Je n'ai pas fait faire l'ana- lyse de l' urine à ce moment; mais elle était, comme toujours, trè
Enfant de six ans et demi. 10 à 12 litres en vingt-quatre heures. Urine absolument sans couleur, limpide, sans dépôt. D
t acide. 318 CLINIQUE NERVEUSE cependant que ne l'est la soif, il urine un peu plus qu'il ne boit. « Je n'ai plus soif,
soif est poussée à un tel degré qu'il boira des eaux grasses, de l' urine même, s'il ne peut autrement satisfaire sa soif
auto-intoxication dans l'épilepsie en recherchant l'urée non dans l' urine et les matières fécales, comme la plupart des a
iminution après la crise. L'augmentation de l'urée trouvée dans l' urine après une crise peut être mise sur le compte d'
ance, ni de sensation vertigineuse. Pas d'émis- sion involontaire d' urine ou de matières fécales. État général bon. L'exa
c communique une observation de chorée chronique héréditaire où les urines se sont montrées hypotoxiques dans toutes les e
anche le prognathisme et la cyphose ont paru amoindris. Du côté des urines , les auteurs ont constaté une augmentation croi
cette malade, avant chaque opération, présentait de la rétention d' urine , qui disparut après chaque intervention. Sur la
ulement sur les préparations au liquide de Millier). L'analyse de l' urine démontra une augmentation de créatinine et de s
Depuis quinze jours, la mère remarque que l'enfant boit beaucoup et urine beaucoup ; ce n'était pas certes une soif aussi
lion précédente; cepen- dant, le bébé buvait litres environ. Pour l' urine , la mère ne peut donner même un chiffre approxi
, du reste, aisément l'impossibilité qu'il y a à recueillir toute l' urine de la journée chez un enfant de cet âge, d'auta
l urinait presque autant qu'il buvait, voilà un , il*t certain. Son urine est claire, lim- pide, ne donne pas d'odeur .mm
IQUE NERVEUSE. Malheureusement, je n'ai pas l'analyse complète de l' urine (c'est pour cela que mon observation sera brève
« Son affection ne s'est pas reproduite, mais je crois bien que son urine s'est changée en sueurs, car nous sommes obligé
des crises de sueurs vraiment extraordinaires, pendant lesquelles l' urine diminuait d'une façon notable. Pour en reveni
être obligé aujourd'hui de me con- * Cette incontinence nocturne d' urine est un accident fréquent chez les enfants hysté
souvent sans effet. On ne constate pas toujours l'albumine dans l' urine . Les abcès et collections purulentes méritent u
sans ulcérations, un peu congestionnée. La vessie contient un peu d' urine , la muqueuse non ulcérée est aussi congestionné
e transformé en hématoporphyrine qui est résorbée et excrétée par l' urine . Il faut donc qu'il y ait intoxica- tion chroni
directement comme toxique on trouve de l'hémato- porpliyrine dans l' urine et des troubles gastro-intestinaux. L'obser- va
nguine et de l'acidité urinaire suivent une marche paral- lèle. Les urines examinées à la fin des périodes maxima de l'alc
dité élevé; le fait a déjà été constaté par les cliniciens pour les urines post-paroxyslidues. En présence des résultats q
Degré minimum entre deux attaques à 11 heures de matin = IV. Les urines restent abondantes et très faiblement acides. L
cence du sang mesurée il 5 heures du soir (heure du mini- mum) = V. Urines acides et abondantes. Les 12, 13, 16, 17, injec
ion mélancolique. Du 1er au 7 juillet 1890, l'examen du sang et des urines donne les résultats suivants : 170 C.WC,UL nr
eures après l'injection (10 b. s.), seiie de 9 attaques. Ale.= 111. Urines et sueurs abondantes. Les 21, 22, injections de
. Menstruation régulière. Etat général bon. L'examen du sang et des urines , pratiqué du 1 ? au 7 juillet, donne les résult
roduisent isolées à raison de 4 à 6 par mois. Examen du sang et des urines du ,1 cr au 7 juillet : -. l'alcalescence DU sa
ement. Facile à diriger. Etat physique bon. Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : 480 CLINIQUE NERVEUSE.
malade est facile à diri- ger et s'occupe. Examen du sang et des urines d1l1e.' au 7 juillet : l'alcalescence DU sang C
tat physique assez bon. Fonctions régulières, Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : TABLEAU III ( 1. lll2qr
Le pouls est rapide, 120 à 130 par minute; pas de palpitations. Les urines , claires et limpides, abondantes (2 litres et dem
MÉLANCOLIE ET GOITRE EXOPHTALMIQUE. 495 rieurs. Pas d'exopthalmie. Urines : ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure.
1897. Librairie 0. Dom. Carsnoa de la Carrière et Montât (L.). L' urine normale de l'enfant. t, Brochure in-8° de 16 pa
25 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
avements quoti- diens. Une seule fois on l'a sondé pour rétention d' urine , cela six semaines environ après l'accidenl. In
atrices. Il y eut, pendant un an et demi environ, de la rétention d' urine qui exigea le cathétérisme ; le passage de la son
Avec la paraplégie coexista immédiatement une rétention complète d' urine et des matières fécales contre laquelle on lutt
nes d'incontinence ayant consisté dans l'émission involontaire de l' urine , en rêvant, pendant la nuit. , Vers cette époqu
jusqu'à l'époque actuelle. Les troubles recto-vésicaux, rétention d' urine et de matières, puis incontinence d'urine, sont
cto-vésicaux, rétention d'urine et de matières, puis incontinence d' urine , sont nuls aujourd'hui. La contracture, qui avait
peut être la conséquence de la rétention plus ou moins complète des urines . L'incontinence des matières fécales s'ob- DES
r- maux. Le réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie de la peau. Urine nor- male il tous les points de vue. « L'exam
tendance à tomber. Le coeur et les poumons o n été trouvés sains, l' urine non albumineuse. La parole n'était pas lente, m
s réflexes cutanés et ten- dineux. Il n'existe pas de troubles de l' urine ou de la miction. L'examen minutieux de la visi
normaux. L'examen des organes internes ne donne rien d'anormal ; l' urine présente une composition et une abondance ordin
qui puissent être constatées sur le foie, la rate et les pou- mons. Urine contenant une très faible quantité d'albumine, av
ne constate pas d'artério-sclérose. Une surveillance attentive des urines permit de fixer la quantité rendue dans les vin
ril, elle se sauve vers la chaise percée et boit par deux fois de l' urine «pour mourir », dit-elle; elle dit aussi qu'ell
o.ut à. coup pour se sauver dans la cour. L'idée d'aller boire de l' urine . revient assez souvent; elle n'en peut donner d
imprime à ses bras. croyant se faire mourir, boire dans les seaux à urine . Elle cherche dans les armoires' le vinaigre de
jours sans connaissance. Dans un certain nombre d'accès il perd ses urines . Quelquefois ces paroxysmes convulsifs débutent p
it petit, mais soif excessive. Pouls rapide. Température normale. L' urine ne contient ni albumine ni sucre. Intelligence
main fermée, pas de mouvement, ni écume, ni morsure de la langue; l' urine s'écoule au dehors pendant l'accès. Après quelque
ts de direction portant sur le pénis et l'urètre, l'évacuation de l' urine et du sperme se fail bien, le malade a des éjacul
étail a son intérêt : on sait de quelle importance est l'examen des urines dans les affections qui produisent t'hydropisie
La digestion est bonne. On ne note ni constipation ni diarrhée'. Urines normales, ni sucre ni albumine. ; , La peau est
d'uriner; s'il peut la satisfaire, l'accès est con- juré : le jet d' urine est alors très fort. Depuis celte époque, le ma
ève, sort vivement dans la cour et ne prévient son attaque que s'il urine ; En 1888, nous trouvons 38 accès et 8 vertiges
te; l'anesthésie est remplacée par de l'hyperesthésie : rétention d' urine . En mars, tuméfaction malléolaire gauche, sensa
sion de la formule des phosphates. En ce qui regarde le volume de l' urine des vingt-quatre heures, celui-ci' est le plus
s la température est restée normale pendant la durée des accès; les urines ont été recueillies à l'aide de la sonde. Négli
convulsive ordinaire. Elle se juge par l'abaissement du taux de [l' urine , du résidu fixe, de l'urée et des phosphates av
, 19 ans, poids 48 kilo- grammes, excrète 1,150 centimètres cubes d' urine ; 49 gr. 50 de résidu fixe pour 1,000 centimètre
e jour de l'attaque de sommeil elle excrète 550 centimètres cubes d' urine ; 34 gr. 10 de résidu fixe; 8 gr. 25 d'urée; 1 gr.
e sommeil dure 4 jours et s'étend du 29 juin au 3 juillet 1888. Les urines ne peuvent être recueillies, car, ainsi qu'il a
60 le jour du début de l'attaque de sommeil, les analyses donnent : urine 750 centimètres cubes ; résidu fixe 20 gr. 60;
74, alors que la veille, malgré les vomissements, elles donnaient : urine 870 centimètres cubes; résidu fixe 29 gr. 62; u
iminue rapidement en même temps que l'on constate par l'analyse des urines une constante diminution qualitative et quanti-
régulièrement, 2 ou 3 jours avant le réveil, on voit le volume de l' urine , le poids de l'urée se relever progressivement
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPêTRIèRE. corps, la diminution de l' urine et l'abaissement du taux de l'urée, l'attaque d
ndant cette période, elle a excrété en moyenne, par jour, 655 gr. d' urine ; 39 gr. de résidu fixe; 19 gr. d'urée; lgr.GO d'a
eprises, on note, comme précédemment, un abaissement du volume de l' urine , du taux I.'IG. 79. - Biz. 17 ans. Etat de mal
et des phosphates. En effet, à l'état normal, excrète 1,100 c. c. d' urine , 44gr.50 de résidu fixe pour 1,000, 18 r.10 d'u
. Pendant son som- meil, elle excrète en moyenne par jour 800 gr. d' urine , 30 gr. de résidu fixe, 10 gr. d'urée, 1 gr.10
te en effet, dès le début de l'état de mal, la chute du volume de l' urine et de l'urée (et aussi du résidu fixe et des ph
états de mal, en se fondant sur le tracé fourni par le volume de l' urine et le taux de l'urée, prévoir la durée de l'éta
s chi- miques. On y observe, en effet, l'abaissement du volume de l' urine , du taux du résidu fixe, de l'urée et des phosp
l l'objection qu'on pourrait tirer de la présence possible dans les urines des produits excrémentiels azotés inférieurs, s
conclusions sont exactes. L'urée on le sait, est accompagnée dans l' urine à l'état normal par d'autres produits également
ement faibles que pour les déceler il faut opérer sur des volumes d' urine considérables. Pour tous nos dosages d'urée, no
rtains cas, on peut retrouver ce syndrome presque en entier..., les urines sont surchargées de matières extractives, parfo
vembre. T. (R ? ) 11T.89 ? 1; S. 38°,2. Pouls, 160. Respir. ( ? ) Urine , 2 lit. 150. Urée, 16 gr. 80 par vingt-quatre h
0 par vingt-quatre heures. - · 7 grammes par litre. 2 novembre. - Urine , '1,200 c. ,c., épaisse. Urée, 5 gr. 25 par lit
orique, 0 gr. 420 par litre. T(R. ? )M.38°; S. 38°. 4 décembre. - Urine , 2 litres; claire. Urée, 2 gr. 50 par litre.
NOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. A l'inverse de ce qui existe dans les urines fébriles, le spectroscope ne donne pour l'urobi
26 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
toutefois présenter aucune trace de desquama- tion. - Examen des urines . 8 BERTOLOTTI ticularités intéressantes et qu
t sans connaissance, ronfle, sa figure est cyanosée. Incontinence d' urine . Le mem- bre inférieur droit est en état de par
ant, il se tenait tout il fait droit. Il n'eut jamais de troubles d' urines ; toujours constipé Jamais sérieusement malade.
sacrum principalement). A la fin d'avril, début d'incontinence de l' urine . Constipation habituelle. Depuis le mois de mai,
Depuis une semaine, la malade souffre d'une rétention complète de l' urine . Depuis 3 semaines il y a constipation (la mala
s retenir, la même chose pendant le toucher rectal). Rétention de l' urine . Les sphincters externe et interne de l'anus sont
e des matières fécales. Depuis une semaine, rétention complète de l' urine . Depuis 3 semaines, affaiblissement du membre in-
che. Rétention et incontinence des matières fécales, rétention de l' urine . Réflexe du sphincter anal aboli. Se basant s
. Depuis quelques semaines, troubles urinaires minimes (rétention d' urine de faible degré). Du côté du rectum pas de trou
s crémastériens sont abolis. Vessie et rectum : incontinence de l' urine et des matières fécales à un faible degré, esca
es inférieurs, des vertèbres, dou- leurs en ceinture, rétention des urines , paralysie, affaiblissement ou abolition des ré
s altérations du côté des sphinc- ters, n'ayant jamais perdu ni ses urines ni ses matières (1). Etat actuel de Marguerite.
muscles sphinctériens paraît assez bien conservée ; à l'examen des urines , on n'a pu relever rien de pathologique. Les fo
est assez bien conservée. Rien de patho- logique dans l'analyse des urines . Les fonctions organiques chez Elisabeth sont t
isté pendant un an ; on notait 25 à 30 grammes de sucre par litre d' urine . 136 MARCHAND L'affection actuelle a débuté i
telligence était intacte. Pendant toute la durée des accidents, les urines ne contenaient ni sucre, ni albumine. Dix jours
es troubles de la mémoire des mots et des troubles de l'écriture. L' urine examinée régulièrement tous les quinze jours ne c
ut plus avaler les aliments. Le poids du corps est de 65 kilos. Les urines contiennent du sucre. Les jours suivants, on ue
les murs. 21. M. A. est plus calme ; l'anxiété est moins vive. Les urines ne con- tiennent plus de sucre. Le traitement i
tement ioduré est repris et est continué jusqu'au 20 juin. 5. Les urines contiennent 22 grammes de sucre par litre. Total
poids du corps est de 66 kilos. 4 juillet. - Même état mental. Les urines ne contiennent plus de sucre. Le traitement iod
. A. s'alimente mieux. Suspension du traitement ioduré. 9 août. Les urines ne contiennent pas de sucre. Le poids du corps es
ont les mêmes que ceux observés à l'entrée du malade à l'asile. Les urines ne contiennent pas de sucre. Le poids du corps es
Pendant toute la durée de ces accidents, absence de sucre dans les urines . Dans la suite, disparition des troubles paralyti
extension du gros orteil, phénomène de Babinski ? ). Rétention de l' urine et des matières fécales. A la palpation on cons
T. = 38°5. L'examen du sang démontre 14,160 leucocytes. Rétention d' urine . Dans l'urine pas de sucre, pas d'albumine. L
xamen du sang démontre 14,160 leucocytes. Rétention d'urine. Dans l' urine pas de sucre, pas d'albumine. La malade est mor
Plantaire très faible (du côté droit Babinski ? ). Ré- tention de l' urine et des matières fécales. La sensibilité est aboli
oir les jambes. Eu même temps il s'est produit une réten- tion de l' urine (cathétérisme). Le jour suivant, incontinence de
tion de l'urine (cathétérisme). Le jour suivant, incontinence de l' urine . Jusqu'aujourd'hui l'urine s'élimine par goutte
sme). Le jour suivant, incontinence de l'urine. Jusqu'aujourd'hui l' urine s'élimine par gouttes. Le malade n'a pas eu d'aut
pied et au genou. 17 juin. On a remarqué aujourd'hui du sang dans l' urine (lavages de la vessie). 19 juin. - Le réflexe
t de douleurs dans la région lom- baire. Affaiblissement général. L' urine est un peu plus claire. Incontinence d'urine. L
iblissement général. L'urine est un peu plus claire. Incontinence d' urine . Le malade parle à voix basse, enrouée. Pendant l
veau des dernières côtes gauches. Quelques jours après, rétention d' urine qui fait place à une difficulté d'uriner, à un
e. 6 septembre. - Fortes douleurs du dos et de la tète. Rétention d' urine . Fièvre. Rien aux poumons. 8 septembre. - Mou
eils. 17 septembre. - Douleurs du cou et de la tête. Rétention de l' urine et des matières fécales. Fièvre. 2'l. Les mou
elle sent les piqûres sur les jambes et les pieds.Incontinence de l' urine et des matières fécales. La malade est morte
Réflexes tendineux des membres inférieurs plus vifs. Rétention de l' urine el des matières fécales. Enfin il survient une
astication, douleurs des mains, démarche incertaine, incontinence d' urine , ophtalmoplégie externe, excitabilité électrique
bêtasse et mauvaise tête ; il n'y a pas plus de trente mois qu'il n' urine plus au lit. Normal jusqu'à trois ans, il devint
érieurs; actuellement, dit la mère, il marche, apprend à lire, mais urine au lit. Les deux derniers enfants, dont l'un a tr
toutes les espèces de sensibilité. Examens particuliers. Examen des urines et du sang : rien de remar- quable. Examen op
elle tend un peu à la démarche du canard. Examens particuliers des urines et du sang. -Rien de remarquable. Examen radiog
diverses espèces de sensibilité. Examens particuliers. Examens des urines et du sang, rien de particu- lier. Examen oph
st très voilé. Foie, rate : rien à mentionner. Reins : examen des urines , rien qui soit digne d'être mis en un relief part
énitales : cicatrices de date récente du sillon glando-prépu- tial. Urines ne contenant ni albumine, ni sucre. Poids 59 kil.
quelques semaines, affaiblissement des jambes. Enfin, depuis peu, l' urine s'élimine plus souvent que normalement et quelq
plaint de contractions involontaires des jambes pendant la nuit. Il urine plus souvent et par gouttes. Constipation. 27
sensi- bilité thermique y est abolie ou troublée. Constipation. Il urine avec difficulté. Les douleurs dans la région lo
Krajevski nous avons décidé l'opération. 2 décembre. Rétention de l' urine (cathétérisme). 3. Opération (Dr Krajevski) : A
un ou deux travers de doigt au-dessus de l'ombilic. Rétention de l' urine et des matières fécales. Douleurs dans les vert
Dès les premiers moments de la maladie, on trouve de la rétention d' urine . Dans l'anamnèse personnelle et celle des antéc
e s'apperçoit pour la première fois qu'elle retient avec difficulté l' urine ; bientôt après est apparue la difficulté d'uri
des pau- mons et du coeur ne décèle rien de pathologique. La malade urine avec diffi- culté, la constipation est persista
malade urine avec diffi- culté, la constipation est persistante. L' urine est normale. Thérapie : mas- sagè, bains salins
membres inférieurs. La paralysie et les réflexes comme au début. L' urine s'élimine par petites quan- tités, la constipat
nski bilatéral. Les abdo- minaux sont abolis. Légère retention de l' urine ; constipation. Douleurs en ceinture dans le ba
ent encore l'abduction de tous les orteils. Rétention complète de l' urine et des ma- tières fécales. ' 20 juin. - Pouls
La température élevée. Le pouls est bon. La para- plégie flasque. L' urine ne s'élimine pas. Constipation. il juin. Pouls
é hier le pansement. La plaie élimine un peu de sérosité. Fièvre. L' urine ne s'élimine qu'à l'aide de la snnde. OEdème des
juin. - Etat fiévreux. Pouls petit. OEdème des membres. Rétention d' urine . 25 juin. Etat fiévreux. Pouls petit, accéléré.
a duré quelques heures. 5 août. Hier il y avait l'incontinence de l' urine avec anesthésie de l'urèthre. 16. L'incontine
de l'urine avec anesthésie de l'urèthre. 16. L'incontinence de l' urine a cessé. Etat identique. 22. -La fonction de l'
mbres inférieurs et de la partie inférieure de l'abdomen. La malade urine difficilement. Constipation. 9 décembre. De f
Aujourd'hui, engourdissement et crampes des jambes. Constipation. L' urine vient diffi- cilement. - 4. Cette nuit fortes
est conservé, le gauche et tous les autres abdominaux abolis. Elle urine difficilement. Constipation. Les troubles sensiti
2. T. 37°. Phénomènes spastiques considérables. L'incontinence de l' urine et des matières fécales. Pouls 108. La plaie est
, pas de granulations. 45. - T. 37°4. Pouls, 112. Incontinence de l' urine et des matières fécales. De très fortes contrac
ments après chaque repas. Incontinence des matières fécales et de l' urine avec anesthésie. La paraplégie est devenue fias
s sont surtout fortes la nuit. Incontinence, ensuite rétention de l' urine . La paraplégie est complète. La tonicité musculai
aud. Fonction urinaire normale. Constipation. 15. Incontinence de l' urine (la nuit). Les douleurs sont les mêmes. La sens
t dans les jambes. 24. Douleurs brûlantes aux mains. Rétention de l' urine et des matières fécales, 26. Pas de douleurs.
ie complète des jambes et des régions du coude. Incon- tinence de l' urine . Paralysie complète des jambes avec abolition des
patellaires et anesthésie jusqu'à la IVe côte. Escarre. Rétention d' urine et de matières fécales. Le malade est mort trois
che droite. Pendant un certain temps la malade éliminait beaucoup d' urine (normale). Le diagnostic fut posé de syphilis c
gie spasmodique avec trou- bles de la sensibilité et incontinence d' urine . Il peut marcher étant soutenu. Durée de la mal
s également, il y a, après la miction, sortie de quelques gouttes d' urine dont elle ne sent pas le passage Mui 28 418 8
sible à doser du reste.Depuis quelques an- nées, une incontinence d' urine est apparue, qui s'est accusée considérable- me
uvements du membre supérieur droit un peu affaiblis. Rétention de l' urine . Incontinence des matières fécales. Sensibilité
ominaux manquent. Phénomène de Babitislii bilatéral. Rétention de l' urine et des matières fécales. La sensibilité est notab
tions spontanées des jambes. Rétention, parfois incon- tinence de l' urine . Pas de douleurs. On pose comme diagnostic prob
compte du besoin de défécation. Le 15 août 1909, incontinence de l' urine . Impossibilité d'avaler la nourri- ture solide
ntanées des jambes. Phénomène de Babinski bilatéral. Rétension de l' urine et des matières fécales. Cet état s'aggrava de
roubles des sphincters (besoin d'uriner son vent, incontinence de l' urine , ischurie paradoxale, incontinence des matières
sont intactes. Examen électrique. - Rien d'anormal. Examen des urines . Quantité : 450 grammes (urines de la nuit et du
rique. - Rien d'anormal. Examen des urines. Quantité : 450 grammes ( urines de la nuit et du matin). - Couleur : jaune cl
taite et prompte. Examen électrique. Rien d'anormal. Examen des urines . - Quantité ! 350 gr. Couleur jaune paille. Aspec
donne un résultat absolument négatif pour la syphilis. Examen des urines . - Quantité : 400 grammes. Couleur : jaune paille
également, le premier jour après l'opé- ration, une amélioration (l' urine s'évacuait normalement, sensibilité tac- tile e
, caractérisés par des mictions impérieuses et parfois la perte des urines . L'autopsie et les coupes macroscopiques ont mo
vie végétative sont parfaites chez nos deux nains. Les examens des urines et du sang nous ont permis de mettre en relief
fication digne de mention de la formule cylologique. L'examen des urines nous a donné chez les deux une abondance re- de
deux aînés, à 15 et 12 ans, ont encore parfois de l'incontinence d' urine . Enfin une soeur, plus jeune, n'avait que deux de
27 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'est pas douteux, passent la nuit dans leurs déjections, ou dans l' urine ; mais n'en est-il pas de même avec les matelas
e, cependant, que nos malades sont moins mouillées, une partie de l' urine filtrant dans la paille. après avoir traversé l
déséquilibration mentale, à son âge avancé, à la présence dans son urine , d'une faible quantité de sucre et de traces d'al
NTALE. 49 surlout chez les myopes courbés sur les vases de sulfure; urine pâle, peu dense, d'odeur douceâtre. Rien dans l
droits, Le pouls était faible, mal- aisé à trouver, dépressible ; l' urine était normale. La pigmentation cutanée présenta
s doses faibles sont mal tolérées;. il est même sage d'examiner l' urine au moins une fois pendant le cours du traitement.
de 11. Marie, : \1. Ballet ajoute que malgré la ré- duction par les urines de la liqueur de Fehhng dans le chloralisme aig
'acide urique. Le rapport de la totalité de l'azote contenue dans l' urine à la quantité d'azote de l'urée (coefficient de
plus ou moins marquée. Le rapport de la totalité de l'azote de l' urine à la quantité d'acide phosphorique est augmenté
l n'eut jamais, alors qu'il était enfant, d'incontinence nocturne d' urine : il n'en a jamais eu plus tard. A dix-sept a
ins d'uriner devenant plus impérieux et plus fréquents, le jet de l' urine devenant de plus en plus filiforme, le malade c
s amènent quelques sensations douloureuses, un peu de sang dans les urines , mais rendent au jet son calibre normal. Dans u
constate une large traînée érythémateuse due à l'écoulement de l' urine . Rien de particulier à signaler à la face. Pas
re assez vivement son pantalon ou sauter assez vite de son lit et l' urine part en jet dans ses culottes ou dans les draps
trois fois de suite à quelques minutes d'intervalle, la quantité d' urine rejetée est alors évidemment de moins en moins
conditions que nous avons fait recueillir au malade la totalité des urines émises en vingt-quatre heures. La quantité ains
illes de la Tourette. Dans l'enfance, pas d'incontinence nocturne d' urine , plus tard, aucune lésion suffisante des organe
Elle est mo- deste tout d'abord en quantité, et le volume total des urines émises en vingt-quatre heures n'excède pas quat
queuse enflammée devient hyperexcitable ; au moindre con- tact de l' urine , la douleur apparaît et avec elle, la nécessité
êmes causes produisant les mêmes effets, chaque nouvelle quantité d' urine sécrétée viendra de nouveau mettre en jeu l'arc
. Il se sépare du second par l'intégrité des voies d'excrétion de l' urine et l'absence de lésions vésicales douloureuses.
seulement quelques détails. Le 18 décembre, la quantité totale des urines émises en vingt- quatre heures est de 3 400 cen
t est institué : le malade, frappé par la coloration étrange de ses urines , voit leur taux diminuer progressivement à partir
supposition suggestive, le malade voit en réalité le volume de ses urines monter de 2 litres à 3100, puis à 5, 6, 8 litre
étaient nécessaires pour la calmer. En même temps, la densité de l' urine diminuait, le taux des chlorures s'élevait, l'u
te et fraîche et n'a jamais témoigné de la moindre dénutrition. Les urines recueillies à plusieurs reprises, avant toute e
e repère. Revenue à l'état normal, elle ignore la sug- gestion. Les urines sont recueillies au sur et à mesure de leur exc
ssons persister la suggestion sans la renou- veler. Les quantités d' urine sont successivement de 2 750, 2 250, 500 centim
habituée qu'elle est à des chiffres plus modestes. Un échantillon d' urine a été prélevé le dernier jour sur le volume tot
exécuté. La malade qui avait pissé plus de 5 litres la veille, n' urine plus que 8DO centimètres cubes, durant les vingt-
goisse est à son paroxysme, les efforts deviennent impuissants et l' urine coule le long de ses jambes. Elle s'arrête alor
même dans le bocal qui lui servait à recueillir la totalité de ses urines . Nous avons cherché à savoir si ces phénomènes
mine, des cellules épithéliales et des leucocytes que con- tenait l' urine : ces éléments anormaux sont imputables à des c
agités de secousses cloniques. Le malade se mord la langue, mais n' urine jamais sous lui. Le lendemain, le malade se rév
SKY (20 mai). A. M. XXIX. Compte rendu préliminaire de l'examen des urines chez les aliénés, avec le compte rendu de 202 c
dus était en général au-dessous de la normale. L'urée, comme dans l' urine normale, variait avec la densité, mais son taux
sations assez peu caractéristiques. Dans ces cas l'inconti- nence d' urine a une grande valeur séméiologique, et ce symptôme
ment d'un signe probant de l'épilepsie. Dans ces cas, l'examen de l' urine révéla dans le liquide la présence de spermatoz
venait à surgir, il serait nécessaire d'examiner quotidiennement l' urine à l'aide du microscope et de rechercher avec so
'agissait là que d'un diabète hydrurique : les huit ou dix litres d' urine émis quoti- diennement par le malade ne renferm
s convulsions localisées ; 8 des accidents non convulsifs. Pour l' urine : sur 42 lapins : 3 ont eu de la grande épilepsie
bilation de la conscience, symp- tômes vaso-moteurs, incontinence d' urine et parfois encore quel- ques contractions toniq
crises du début étaient courtes, sans cri initial, sans émission d' urine ; mais avec chute, morsure de la langue, perte
rte de connais- sance, morsure delà langue, émission involontaire d' urine et quel- quefois de matières fécales, écume san
uls un peu tendu. Em- physème pulmonaire. Appareil digestif normal. Urines : élimination moyenne, ni sucre, ni albumine.
III, 1899.) LUI. Sur l'élimination des éthers sulfuriques dans les urines des épileptiques et des sitiophobes; par Galant
ge de l'absorption du mercure, selon la quantité de ce métal dans l' urine , et plus il y a de mercure dans l'urine, plus i
quantité de ce métal dans l'urine, et plus il y a de mercure dans l' urine , plus il est absorbé par l'organisme et par là,
- naison et si dans le fait, la quantité du mercure ioduré dans l' urine peut servir de mesure de la saturation de l'organ
'eux, en outre, des préparations iodurées. Après avoir analysé leur urine , nous trouverons chez l'in- dividu, qui n'a pas
préparations iodurées, une quantité de mercure bien moindre dans l' urine , que chez l'autre. N'avons-nous pas le droit, d
sparaissent et le mercure se dégage de nouveau de l'organisme par l' urine , par la sueur, par la salive et par toutes les
tant qu'on peut en juger, par la quantité du mercure, dégagé par l' urine , chez le même indi- vidu. Mais il n'y a rien à
ue les bains activent le dégagement du mercure de l'organisme par l' urine et par la sueur et, par suite, se dégageant moi
et, faisons à l'autre des injections sous-cutanées. L'analyse de l' urine du second donnera une quantité beaucoup plus gr
out après les repas. Le mercure commence d'abord à se dégager par l' urine en quan- tité plus grande, que pendant les fric
ion de l'organe sexuel, une cer- taine lenteur de l'évacuation de l' urine , exigeant certains MALADIES NERVEUSES A L'HÔPIT
ction, le malade sent une certaine excitation : il lui semble qu'il urine , qu'il marche mieux, mais une fois l'action exc
des douleurs lancinantes, la démarche devenait un peu plus sûre, l' urine se dégageait avec moins d'effort, etc. A mesure
ions vésicales et intestinales (incontinence fécale, et rétention d' urine ) ; (3) paraplégie douloureuse ; (4) douleur loc
amène des convulsions (face grimaçante, langue mordue, émission d' urine ) ne produirait-elle pas l'amnésie par le même pro
à un médicament d'une puissance considérable; avant une heure, les urines seront devenues bleues et elle sera guérie. Je
u de méthylène; quarante minutes après l'ingestion de la pilule les urines deviennent bleues, en effet ; à partir de ce mo-
été relevé aucun cas analogue chez les ascendants. R. C. XLIII. L' urine dans l'épilepsie ; par A. M. BLEILE. (The New Yor
Médical Journal, 8 mai 1897.) Ce travail porte sur l'examen de l' urine de douze malades pen- dant trente jours : on a
n sens ni dans un autre, ni le poids spécifique ni la quantité de l' urine émise. L'excrétion des phosphates urinaires est
fait vient à l'appui de la théorie de l'auto-intoxication, que les urines des épileptiques, possèdent une toxicité supérieu
conservée. Ten- dance au sommeil. Les réponses lentes et brèves. L' urine foncée, émission fréquentepar de très petites q
n prononce le diagnostic de l'urémie. A l'examen microscopique de l' urine on trouve des cellules épithéliales, des globul
ttente et à des intervalles très irréguliers, de l'incontinence des urines et des matières. La constatation de la parésie
au suicide. M. BIiRILLON. - Un jeune homme atteint d'incontinence d' urine venait d'être reçu à l'Ecole navale. Très affec
on dans certaines formes il ? par Voisin, 54. Aliénés. Examen des urines chez les -, par Klein, 23H. La nouvelle loi s
e, par Luntz, 445. - d'ori- gille périphérique, par Ellsall. 521. Urine dans Il , par Bleile, 522. Surmenage oculau et
s -, par Ducosté, 237. Les - 272. Elimination des éthers dans les urines des -, par Ga- laute et Savini, 312. Manière de
S 1TI0PIIOBr.S sur l'élimination des éthers sulfuriques dans les urines (les épileptiques et des -, par Galante et Sa
28 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
(lues) ; légère exostose du tibia droit. Les organes internes et l' urine ne présentent rien de pathologique. Réflexes te
ses et des hémoptysies, des troubles urinaires passagers, rétention d' urine nécessitant des sondages répétés. Localement, o
.. a présenté jusqu'à l'âge de 10 ans une incontinence noc- turne d' urine . B..., à l'âge de 19 ans, après une chute sur le
la description que sa mère nous donne, parfois même avec émission d' urine . Lui-même ne se rappelle de rien, sauf cependan
e. Outre ces accès, il présente des accès atypiques avec émission d' urine parfois. Etat actuel. Anesthésie de la cornée,
s maladies comme la migraine, l'émission involontaire et nocturne d' urine , etc., etc, dans des cas où il arrive que les é
Aucun trouble de motililé électrique. Ni albumine ni sucre dans l' urine . Aucun antécédent pathologique. - - Le malade a
ayant eu aucune infection antérieure, sans sucre ni albumine dans l' urine , fils de parents actuellement encore très bien
s ne nous ont per- mis aucune analyse chimique des humeurs, sang ou urine , ni même aucune radiographie. Toutefois les ano
Le symptôme culminant que l'on apprécie est la polyurie. Le malade urine avec fréquence, à peu près chaque trois quarts
t le jour comme pendant la nuit; très souvent, s'il est endormi, il urine dans le lit. Il a une soif énorme, buvant avec
ec fréquence deux ou trois verres chaque fois. Voici l'analyse de l' urine : Nouvelle Iconographie de la Salpetrièrk T. XX
; au bout de ce temps il se trouve dansée même état : la quantité d' urine a tendance à augmenter (8-9 litres en 24 heures
yse produisit une rapide et progressive diminution de la quantité d' urine , avec augmentation de la densité, l'urine deven
minution de la quantité d'urine, avec augmentation de la densité, l' urine devenant, en 15 jours environ, complète- ment n
he, sans pres- sion. Très rares lymphocytes. Pas de polynucléaires. Urines : 750. 5. Peut légèrement serrer avec la main.
ec la main. Peut tourner la tête. T. vers 37°, Langue blanche. 6. Urine : 1.250 ; pas d'albumine. 7. Très légers mouvem
t à 9 heures. T. : 37°3. Céphalée violente. 19 heures. T. : 37°2. Urines : 5,50. Pas de glycosurie. Pas d'acide (3 oxybu-
conservé. L'élévation des bras se fait normalemeut. Pollakyurie; urines troubles avec dépôt floconneux. Le malade accus
c dépôt floconneux. Le malade accuse une très grande fatigue. 26. Urines rares, troubles. Constipation. Le malade soulèv
ulaire ; pas de contractions fasciculaires. Respiration facile. Urines rares, 500 centimètres cubes. Dysurie. Relâchemen
l. Etat saburral des voies digestives. Haleine forte. Rétention d' urine , le globe vésical atteint presque l'ombilic. Cath
droit; trépidation du pied presque indéfinie à gauche. Le malade urine spontanément. La force musculaire paraît intact
pied droit moindre. Réflexe rotulien se rapproche de la normale. Urines avec flocons muqueux, couleur acajou clair. 20.
de la céphalée, a un vomissement alimentaire, dort mal, rétention d' urine , tempé- rature. 31. Au matin, disparition des
iolente. Le malade, en adynamie profonde, est coulé dans son lit. Urines 1.600 centimètres cubes, louche d'albumine non ré
égal, assez bien frappé. Epistaxis. Constipation. 6. Epistaxis. Urine : 2.200 grammes, teinte.rouge, hémophéiques. Un
Liquide normal et sans pression. 7. La céphalée parait diminuée. Urines : 1.500 centimètres cubes. Pigments biliaires. Un
argée. Fétidité de l'haleine. N'a pas été à la selle depuis le 5. Urine : 1.200 grammes, foncée, de teinte presque normal
ps (Il est examiné à droite seulement). Pas de signe de Kernig. 10. Urine : 1.200 grammes, Plus d'albumine. MYÉLITES AIGU
énéral. Pas de signe.de Kernig. 11, - Amélioration très sensible. Urines de coloration normale : 1.500 grammes. Persistanc
ite quantité de pigment biliaire. Pas de signe de Kernig. , 12. Urines : 2.750 grammes environ. 14. - Léger épistaxis.
ère exagération des réflexes des genoux. Sensibilités normales. 13. Urines couleur normale. Sueurs. 20. Douleur dans les t
Du côté de la motilité viscérale, nous avons observé la rétention d' urine dans l'observation III. Au 4° jour, jour de l'ent
pas agrandi. On ne peut découvrir la rate par la palpation. Dans l' urine , pas d'albumine, pas de substance réductive. 29
cutanées aux plantes des pieds ont augmenté. Pas d'albumine dans l' urine . L'examen du rectum a donné un résultat uégatif.
'ont donné aucun résultat pathologique. 24. - Pas d'albumine dans l' urine . 27. - On trouve, en faisant l'examen par le re
de somnolence. Pouls 120. Trace d'albumine. Pas de cylindres dans l' urine . 14. Pas de symptômes pathologiques du côté des
is il se plaint de douleurs fortes. 16. - En faisant l'analyse de l' urine pour un jour, nous trouvons une quantité de mer
hilitique sur les plantes des pieds est maintenant diminuée. Dans l' urine , trace d'albumine et quelques cylindres hyalins.
URIELLE 229 24 : . Réflexes rotuliens et achilléens faibles. Dans l' urine , 1,5 0/00 d'albumine, quelques cylindres hyalin
00 d'albumine, quelques cylindres hyalins. - 26. - Depuis hier, l' urine et les excréments salissent ie lit. Il a passé le
é d'albumine souvent grande, tandis que les éléments organisés de l' urine ne sont que peu développés ; il est surtout rem
éterminer, et comme on a aussi établi la présence de mercure dans l' urine , on ne peut mettre en doute qu'il s'agisse d'un
lles. La présence d'une e quantité considérable de mercure dans les urines est plus tard constatée parles auteurs. Il y av
stomatite intense, une quantité consi- dérable d'albumine dans les urines et d'ailleurs le tableau clinique d'une poly- n
xamens complémentaires. Réaction de Wasserman, négative. Examen des urines , rien de remarquable. Examen du sang, rien de r
qui aimaient la propreté lâchent sous eux leurs excréments et leur urine (p. 339). 1 (1) F.-B. de Sauvages, Nosologie mé
faciale à gauche. Déviation de la bouche perceptible. Rétention des urines . On lui mit de la glace à la tête et des sangsu
-Rocci et avec une large manchette) 165 millimètres mercure. Dans l' urine on trouve des traces d'albumine avec des fragment
s symptômes d'hyper- trophie du coeur ainsi que d'albumine dans les urines , l'état de la malade a été interprété comme uré
pendant elle est toujours apathique et som- nolente. Incontinence d' urine pendant la nuit. - 23 novembre soir. La tempéra
, la pression un peu élevée du sang, ainsi que la présence dans les urines d'albumine avec un certain nombre de cylindres
ure de la maladie l'indiquaient aussi. L'étude plus approfondie des urines fut rendue impossible durant la plus grande par
a température : 36°8. Le pouls : 64, irrégulier. In- continence des urines . Le patient a une ridigité générale des muscles
symptômes urinaires bien nets : ni poliakyurie, ni polyu- rie ; les urines examinées au point de vue chimique (qualitatif et
ssité un sondage régulier deux fois par jour. Depuis trois mois, il urine seul. Il faut ajouter que ces troubles étaient an
ient. Il avait en même temps des maux de tête, et il aurait vomi et urine du sang pendant les trois ou quatre premiers jo
emble-t-il, ni plaies ni ecchymoses. Il aurait eu de la rétention d' urine pendant 30 heures ; mais on ne l'aurait pas son
le sexe mâle et le sexe femelle. Vous n'avez qu'à me montrer votre urine ; j'aurai tôt fait de voir ce qui s'est passé dans
29 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
l était sim¬plement survenu delà gêne pour uriner, et l'émission de l' urine s'effectuait par plusieurs jets, comme au travers
; il y avait des hémorrhagies sous l'influence des mêmes causes, et l' urine sortait par plusieurs fissures à la fois. Des ten
a miction malgré cet énorme champignon qui embrasse toute la verge. L' urine s'é¬coule par un grand nombre de points à la fois
étaient durs, comme fibreux, et laissaient échapper continuellement l' urine . La malade, préparée pendant plusieurs jours par
trouva complètement oblitérée et que, depuis, pas une seule goutte d' urine n'a passé parle vagin. Une sonde spéciale et très
fetas gommé fut placée entre les jambes de la malade, pour recevoir l' urine qui s'écoulait goutte à goutte par la sonde. Le q
e plaignit d'une sensation de déchirure dans l'urèthre et évacua de l' urine en abondance. Le troisième prisonnier était toujo
50 grammes. plus régulière ; les convulsions diminuent. L'animal urine . — 10M5-55: les convulsions persistent. Le cochon
longées. Bientôt il cherche à se relever sur les pattes de devant. Il urine deux fois à un court intervalle. Pas de selles, n
e. Sensibilité conservée depuis le début; les poils tremblent encore. Urine de nouveau. — Midi et demi à 1 heure : selle soli
ère; parésie du train postérieur. — 10h25: convulsions généralisées ; urines abon¬dantes, blanchâtres ;jetage ; l'animal se ti
e tient couché sur les quatre pattes; oreilles fraîches. — 10h25-50 : urines peu abondantes, selle dure. Tremblement général,
on d'atropine. — 6M5 : Faiblesse et tremblement du train postérieur ; urine à deux reprises. — 6h20-40 : les symptômes augmen
symptômes augmentent. —6H0-7 heures: mieux ; démarche chancelante. Urine laiteuse assez abondante. — Neuf heures : remis t
blit progressivement; la démarche devient plus assurée. Ni selles, ni urines . — Midi : par¬faitement rétabli. 20 avril. Inje
solution de fève de Calabar (16 milligr.) à 9h45. — 9h50-55 : selles, urines ; tremblement léger; parésie très-nette du train
...... Alcool.......... 0*',60 20 grammes. 10 — côté. Selles, urines . —10b5: mieux. Se promène plus facilement. — On
ombe et les convulsions deviennent plus énergiques. — Ni selles, ni urines , ni salivation, etc. — 10M5 : amendement des acci
on de 60 gouttes de la solution de fève.—5hl 2 : convulsions; selles, urines .—5M5 : convulsions générales; l'animal tombe sur
uche ; efforts de déglutition ; bruit laryngien. — 5h40 : salivation; urine en petite quantité; convulsions presque nulles. R
grosses, résistantes; reins médiocrement hypérémiés; vessie, un peu d' urine , muqueuse normale. — Cette expérience confirme pa
ussitôt de 40 gouttes de solution d'atropine. —10l,15 : selles, bave, urine (il convient sans doute d'attribuer ces phéno¬mèn
h5 : convulsions ; décubitus abdominal ; selles solides. — 6h 10-20 : urine un peu, convulsions généralisées, rapides plutôt
: toujours couché sur le ventre, la tête portant sur le sol ; selles, urines . — 6h45 -.même état grave, toutefois les convulsi
jection de 70 gouttes de la même solution de fève de Calabar. —5h25 : urine ; inquiétude; tremblement; fai¬blesse du train pos
s pattes du côté gauche et s'incline fortement à droite. Aggravation. Urine . — Minuit : il est tombé dans une sorte d'immobil
urinaires : reins très-peu congestionnés ; vessie distendue par de l' urine blanchâtre qui, traitée par la chaleur, s'est pri
t. Le corps de l'utérus est incliné un peu en arrière. L'examen des urines ne fait découvrir la présence d'aucun élément ano
lante et son pouls bat 100 pulsations. — Les réactifs décèlent dans l' urine une petite quantité d'albumine. Les jours suiva
s en urinant, et une sonde introduite dans la vessie fait sortir de l' urine purulente. Quatre jours après, le 8 mai, elle meu
rsistent; de plus, Mén. .a des selles diarrhèiques involontaires et urine sous elle, ce qui ne lui arrive pas ordinairement
travers du doigt le rebord inférieur des fausses côtes. L'examen des urines , d'abord négatif, ne permit de constater des trac
roite. la malade n'ayant jamais eu de coliques néphrétiques, et ses urines ne renfermant au début que quelques traces d'albu
re d'épaisseur. Dans ce fait, comme dans le précédent, l'examen des urines avait été complètement négatif, car au moment où
purulent. Cette absence de renseignements résultant de l'examen des urines , dans les cas de calculs rénaux, peut paraître ex
de l'uretère du côté malade, et que celui du côté sain seul conduit l' urine dans la vessie ? Ce qui, pour nous, rend cette hy
coliques néphrétiques et les renseigne¬ments fournis par l'examen des urines : nous venons de voir que ces symptômes peuvent ma
30 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
roubles du même genre dans l'émission et même dans la sécrétion des urines , etc. L'ischurie hystérique est l'un des plus i
ires 9,4 p. 100; formes éosinophyles 0,5 p. 100. On constate dans l' urine une certaine augmentation d'urée (41, 8 gr.) et
ces et les saillies de ces os sont aug- mentées. Légère rétention d' urine , affaiblissement de l'énergie sexuelle et const
, pustules malignes, 1841 ; Mémoire sur divers cas de réten- tion d' urine , 1841; - Mémoire sur divers cas de fractures, 181
-18 de 79 pages. - Bahia, 1892 - Imprenza popular. CHlAïs (F.). - Urines et nutrition. Variations quantitatives des élém
e diagnostic de' folié paralytique, ai moins d'examens répétés de l' urine . J. SÉGLAS. ,¡;>fHj¡A .8 vst, ¡ ,U ? l1dO Ji
ande h'ystrie. ¡Il a constaté d'autre part les modifica- tions de l' urine décrites par MM. Gilles de la Tournette et Cathel
était' mauvais,'la température' élevée, l'albumine abondante'dans l' urine .' Quand la malade n'était pas plongée dans lé c
stic. Foie et rate moins engorgés. Fonctions digestives normales. Urines normales. Examen du sang : hémoglobine 0,65. Plas
t surtout par le rein, SOCIÉTÉS savantes. 241 aussi est-ce dans l' urine et ses produits extractifs que les expéri- ment
expérience par rapport à la quantité injectée. Mais la toxicité des urines est en raison inverse de celle du sérum et des au
, les auteurs posent les conclusions suivantes : La toxicité de l' urine serait notablement diminuée dans les états mani
, augmentée, au contraire, dans les états mélancoliques. De plus, l' urine des maniaques et celle des mélancoliques aurait
psie, il y aurait assez souvent dans la folie toxicité inverse de l' urine et du sang; dans la manie, notamment, le sang e
ie, notamment, le sang est parfois d'autant plus hypertoxique que l' urine est plus hypotoxique. 2° Ces résultats qui, t
faites en commun sur la toxicité et la composition chimique de l' urine des aliénés. La question des relations des vésani
s vésanies étaient supposées s'accompa- gner. Parmi ces liquides, l' urine qui est la voie d'élimination la plus important
recherches de la vitesse avec laquelle sont faites les injections d' urine , de la température de l'urine injectée, de la q
laquelle sont faites les injections d'urine, de la température de l' urine injectée, de la quantité d'urine rendue en 24 heu
ns d'urine, de la température de l'urine injectée, de la quantité d' urine rendue en 24 heures par le malade qui est le su
5 d'eau ordi- naire, avec 9 ce. d'une solution se rapprochant d'une urine artifi- cielle. Voilà donc des liquides qu'on é
exceptée) et qui se sont mon- trés notablement plus toxiques qu'une urine normale et même que la plupart des urines patho
ement plus toxiques qu'une urine normale et même que la plupart des urines pathologiques. Quoi qu'il en soit, MM. Ballet e
Roubinovitch ont poursuivi leurs expériences sur le lapin avec des urines de mélancoliques, de ma- niaques, de malades af
ire dé- généra tif. . En prenant comme chiffre de la toxicité des urines normales ceux indiqués par M.Bouchard (45 cc. p
ceux indiqués par M.Bouchard (45 cc. parkilogramme en moyenne), les urines des mélancoliques se sont constamment montrées pl
ore certaines anomalies embarrassantes : Chez l'une des malades les urines ont continué à se montrer toxiques après la gué
. Ballet etRoubinovitch relèvent d'ailleurs que l'hypertoxicité des urines a coïncidé dans presque tous les cas avec un ét
ennent à l'appui de cette interprétation. Chez trois maniaques, les urines ont semblé moins toxiques qu'à l'état normal; m
ale, l'autre consécu- tive à des fatigues physiques et morales, les urines ont été nette- ment (légèrement dans un cas) pl
e de fonder sur elle seule des distinctions nosologiques, l'une des urines les plus toxiques (9 ce. par kilog.) que l'aute
é, autre que l'hystérie. M. Ballet pense que l'analyse chimique des urines n'a pas moins d'intérêt que l'étude de leur tox
ur at- tention sur les ptomaïnes. Les analyses ont porté sur cinq urines d'individus bien portants et sur dix urines d'a
yses ont porté sur cinq urines d'individus bien portants et sur dix urines d'aliénés. Chez les gens bien portants on n'a t
t de relever que, dans ces deux cas, l'expérimentation faite avec l' urine en nature avait décelé une notable hypertoxicit
z l'un des malades (dégénérée avec délire mélan- colique), dont les urines étaient également hypertoxiques, l'ana- lyse dé
ux produits alcaloïdiques qu'elle renferme accidentellement que l' urine emprunte sa toxicité. - SOCIÉTÉS SAVANTES. 248
scérales. M. Jules Voisin lit une communication sur la toxicité des urines chez les épileptiques aliénés. Dans les cas de
aisons. Tous les auteurs devraient expérimenter sur la totalité des urines de vingt-quatre heures, adopter une pression co
abord la difficulté de fixer exacte- ment le degré de toxicité de l' urine normale; la dose nécessaire pour tuer un kilogr
un nycthémère est très variable. Il faut tenir compte du vo- lume d' urine en vingt-quatre heures et du poids du sujet. L'ho
mme on le fait souvent, se borner à fixer le degré de toxicité de l' urine pour un kilo.. d'animal sous- peine d'erreur, m
vantes. 247 cause du gâtisme qui empêche de fixer le volume total d' urine en vingt-quatre heures. D'autre part, l'urine d
xer le volume total d'urine en vingt-quatre heures. D'autre part, l' urine d'un même individu subit d'un jour à l'autre de
ience. M. Séglas pense qu'il est utile d'élever la température de l' urine au même degré que la température centrale, pour
a journée du 5 et avait eu six sangsues le 6. Dans l'autre cas, les urines examinées les 22 juin, 7, 8, 15 juillet ont don
as fut trouvée égale à la moyenne normale. L'analyse chimique des urines n'a donné rien de particulier pour le premier c
arquer que chez ces deux malades, atteints d'une façon identique, l' urine est plutôt hypertoxique dans un cas et constamm
nalyse chimique reste négative, dans le second cas l'analyse de ces urines hypotoxiques montre des variations de quan- tit
le de Lafond par MM.Michaud, Mabille et Collin, sur la toxicité des urines des aliénés. Chez les ar- SOCIÉTÉS SAVANTES. 24
nte et hypotoxicité uri- naire, d'où nécessité de faire l'essai des urines et l'étude de leur- toxicité sur les animaux.
d'expériences faites par MM. Ballet, Bordas et lui ont porté sur l' urine simple non réduite. (M. Colin objectait à MM. B
olin objectait à MM. Ballet et Roubinowitch l'emploi expérimental d' urines réduites par la chaleur. Communication du matin
et boire, sans quoi elle n'y penserait pas ; elle laisse aller ses urines et ses matières sous elle. Lorsqu'on l'interroge,
ient un vomissement de lait caillé, qui se produit sans'effort. Les urines sont peu abondantes et ne contiennent ni albumi
osphates. 11 en conclut à la nécessité d'examiner la nutrition et l' urine des malades affectés de maladie de Basedow. M.
ien aux poumons. Rien au coeur. Pas de sucre ni d'albumine dans les urines . 26 février 1886. OEdème des pieds el des mallé
cou- lage de l'air. 15 juin 1889. Le malade a de la cystite avec urines purulentes et ammoniacales. Lavages de la vessi
este constam- ment assis sur une chaise roulante. L'écoulement de l' urine est constant. Pas d'incontinence des matières f
er, c'est le surmenage. , R. M.-C. LIV. RECHERCHES sur LE sang et l' urine DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (The Journal
pas, l'anomalie n'a rien de caractéristique. B. En ce qui touche l' urine : 1° au point de vue de la quantité, le maximum
e dura deux ans. Quelques années plus tard, c'était une rétention d' urine , avec douleurs vésicales, troubles qui persistè
laloine, édit., 1893. En examinant par le procédé de Gautrelet l' urine des neurasthé- niques, l'auteur a constaté qu'e
ion ou présence anormale des produits d'oxydation incomplète. Cette urine présentant les mêmes caractères que dans l'arth
Ajoutez à cela l'emploi des alcalins pour combattre l'acidité de l' urine et vous aurez la moitié du trai- tement. La sec
familiale des -, par A. Bothe, '269; recherche sur le sang et l' urine des =, par Smyth; 393; sur. le poids du cerveau
les colonies d ? par Th. Ewart," 80 ; ' aliénés ;' toxi- cité des urines ' chez les , par 518 r TABLE DES 'MATIÈRES. J
as de maladie des par Roubihowitch, 504 ! 1 ! \/I'MI Toxicité des urines chez les'épilcp- IIl'tiqu,es aliénés, par J."jo
31 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
morte aliénée, et une soeur, qui a eu de l'incontinence nocturne d' urine jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfa
d'une minute euviron. Ni morsure de la lan- gue, ni incontinence d' urine . Conscience parfaite. Le diagnostic d'hystérie
ne laissent rien à désirer et les sphincters ne sont pas troublés. Urines normales. Revue deux mois plus tard, cette peti
réflexes tendineux. La parésie de la vessie et l'incontinence de l' urine cèdent en général à une série de séances si ell
s de chaleurs et sueurs fréquentes. Parfois incontinence nocturne d' urine . Troubles trophiques. Les dents, excellentes ju
és (plantaire, crémastérien, épigastrique) diminués. Incontinence d' urine fréquente. Pas d'albuminurie ; pas d'ar- thropa
PAT111QUES 83 signe d'Argyll Robertson persiste. A l'incontinence d' urine s'ajoute par- fois celle des matières fécales.
le malade a dû cesser tout tra- vail. En même temps, incontinence d' urine et constipation. Etat du malade à son. entrée.
pulmonaire aux deux bases. Il existe des traces d'alhumine dans les urines . In- continence des urines et des matières féca
Il existe des traces d'alhumine dans les urines. In- continence des urines et des matières fécales. Fièvre légère : 38°5.
état. 2G octobre. Eschares fessières et sacrées au début. Le malade urine par DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 91 reg
e urine par DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 91 regorgement : l' urine est évacuée par la sonde. Quelques minutes après,
s poumons, ni du coeur; mais respiration Ï1'l'é- gulière, profonde. Urines normales. En examinant la vulve, on est frappé
stant au 2° et au 3e jour de la maladie ; 3° Enfin, une rétention d' urine presque absolue, avec un certain degré d'a- nur
un hypospadias pénien et de l'hypoalgésie testiculaire sans atrophie; urines et miction normales. Main droite. (PI. 1VII).
u irritable. Depuis quelque temps cauchemars (précipice affreux). Urines : ni albumine, ni sucre. Nous joignons à cette ob
remarquer en particulier l'intégrité de l'appareil ex- créteur de l' urine si fréquemment infecté chez les malades de ce gen
flasque d'abord, puis contracture au bout de 3 mois. - Rétention d' urine . scltare sacrée, infection septique. Mort un an
t-à-dire un an après le chancre), le malade est pris do rétention d' urine ; depuis 7 à 8 jours déjà, il souffrait d'une con
appelle un médecin qui retire de la vessie par la sonde 2 litres d' urine . Le jour suivant, il Veut se lever ; mais à pei
vi, état stationnaire de la paraplégie, persistance de la rétention d' urine : il était obligé de se sonder. Le malade préte
des mouvements convulsifs du pied. Persistance de la réten- tion d' urine ; pas de constipation. Malgré les pansements an
La vessie est prise; la malade est incapable de retenir longtemps ses urines . Ultérieurement, pendant son séjour à l'hôpital
malade doit faire de violents efforts pour rendre quelques gouttes d' urine ; il existe aussi do l'incontinence. Constipati
n'avait encore que des céphalées, il se produisit de la rétention d' urine : on a dû le sonder une fois. Pendant le mois d
bres inférieurs sont apparues, et il a commencé il perd ! ' £ ' les urines . agit NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
rs. La paralysie du sphincter vésical persiste ; l'in- continence d' urine est absolue. La constipation est toujours très ac
urs très forts malgré la flaccidité des mus- cles. L'incontinence d' urine persiste ; la constipation résiste aux purgatifs.
continuent se produire d'une façon intermittente. L'incontinence d' urine est aussi abso- lue qu'au début ; mais il n'exi
nte, et qui se traduit par de l'inconti- nence ou de la rétention d' urine selon les cas, s'accompagne dans la règle d'imp
surtout le droit. En même temps, le malade a commencé à perdre ses urines dans son pantalon. Il n'a jamais eu d'incontinenc
blirent d'une façon évidente ; puis se produisit une incontinence d' urine (mictions fré- quentes absolument inconscientes
ntinence d'urine (mictions fré- quentes absolument inconscientes; l' urine coulait en jet). Février 1893. Le malade est da
vant : paraplégie incomplète plus marquée il droite, incontinence d' urine . La tête est complètement dégagée, la mémoire b
timent de lourdeur dans le membre inférieur droit. L'incontinence d' urine persiste. Aux membres supérieurs, la motilité
de pisser, il laisse échapper involontaire- ment quelques gouttes d' urine dans son pantalon. Le malade n'a pas eu de rap-
rieurs. Anesthésie absolue du mem- bre inférieur droit. Rétention d' urine . Traitement spécifique inefficace. Eschare sacr
s 36 heures. Le cathétérisme immédiatement pratiqué amène 1 litre d' urine char- gée en couleur, trouble, fortement ammoni
embres inférieurs ; l'impotence motrice est absolue. La rétention d' urine nécessite le cathétérisme qui est pratiqué 2 fois
servation qui pré- cède, notre malade est atteint d'une rétention d' urine complète, 2 jours avant que la paraplégie se pr
le qui contient tantôt un cordial, tantôt du lait, tantôt même de l' urine qu'il veut faire examiner. Dès son entrée dans
qu'on les a décrites. Pendant cette période l'appétit reste normal. Urines normales. Insomnies sans cauchemars. Le carac
a frapper. 7-11-12-19. La malade est agitée et dort mal. 25. Elle urine sous elle. Le reste du mois elle garde le lit.
. Pendant tout le mois d'octobre elle reste couchée. Le zip. Elle urine sous elle. A partir du Il,' février 1891, la ma
olu. MARCIIE ULTÉRIEURE DE LA MALADIE 1-2 février 1891. La malade urine sous elle. 4-7 Elle chantonne pendant l'espace
he. 2-3 mars. Herpès labialis ? la lèvre inférieure. 20 La malade urine sous elle. OS'l'LO-.111'f111t01'.1TI11E AIGUË C
-31 OEdème des pieds ; les tissus cutanés sont pâles. La quantité d' urine émise dans l'espace de 24 heures est de 1800 cent
u côté sain est fiasque; les réflexes rotuliens sont plus actifs. L' urine ne présente ni sucre ni albumine. Le sommeil et l
érable. 23-24. Herpès à la lèvre supérieure. 28-29. - - La malade urine sous elle. 1er septembre. Les phénomènes de ten
érotique. A l'appro- che d'un homme, elle se roule sur le plancher, urine et expulse des matiè- res fécales. A partir du
elle danse en exé- cutant des mouvements rythmiques. 29-31. Elle urine sous elle. 1-14 janvier 1892. Elle déchire et r
32 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
décubitus dans la position où la femme pouvait le mieux conserver son urine , les injections émollientes, le cathétérisme, le
et des injections vaginales, en lui donnant de l'eau de Vichy si les urines sont acides, et en l'entourant de toutes les préc
n urinoir de femme, dont le col est rempli par une éponge, afin que l' urine ne puisse être renversée dans le lit. Il import
vessie ; des expériences nombreuses lui ont dé-montré, dit-il, que l' urine n'exerce d'action nuisible ni sur une plaie, ni s
mpliquer la fistule. Quand elle est ancienne et laisse passer toute l' urine , l'urèthre se rétrécit dans toute sa longueur, ma
ro-tomie, permettent d'ouvrir une voie suffisante à l'écoulement de l' urine ; ce traitement préliminaire doit être fait assez
urcissement extrême de l'urèthre n'est pas une cause d'incontinence d' urine , après l'opération de la fistule; dans plusieurs
ue la fistule recto-vaginale peut être conservée pour le passage de l' urine et des règles quand on se décide à oblitérer la v
t des uréthrites qui peuvent avoir pour conséquence l'incon-tinence d' urine . Plusieurs fois on a vu la sonde chassée par les
un cas de fistule recto et vésico-vaginale, les matières fécales et l' urine étaient conservées et expulsées volontairement pa
aire de la vessie et du vagin une seule cavité qui reçoit à la fois l' urine et le sang des menstrues dont l'urèthre devient l
raire une ouverture entre l'utérus et la vessie, de telle sorte que l' urine ne passe plus par le vagin, et c|ue le sang des m
cules inodulaires et livrant passage tout à la fois aux règles et à l' urine ; ce n'est qu'en introduisant une sonde dans cett
cavité au-dessus de l'insertion du vagin, réceptacle du sang et de l' urine . Avec quelques autres variétés dans les dispositi
Dans cette fistule il n'y a qu'une légère altération de l'uté-rus, l' urine ne pénètre pas sa cavité ; mais d y a une grave l
artie correspondante de la vessie; ce dernier organe se remplissant d' urine forme dans le vagin une tumeur bien circonscrite
vessie ne parvenant pas à vaincre la résistance du col, re-foulent l' urine vers le fond de la vessie qui se dilate, et dé-pl
le sorte qu'on a une vessie à deux loges, dont l'inférieure retient l' urine même quand la supérieure se vide. Cette dispositi
limité ou généralisé de la vessie avec décom-position permanente de l' urine . Le diagnostic de la cystocèle vaginale est fac
On voit cette tumeur entre les grandes lèvres; elle augmente quand l' urine reste dans la vessie; elle s'affaisse, au contrai
à annihiler ces contractions et à préserver la plaie du contact de l' urine et des lochies qui la souillent continuellement.
ueux, sans forme bien déterminée ; c'est un vrai cloaque qui reçoit l' urine , le sang des menstrues, les liquides leucorrhéiqu
érisme sans changer la position de l'opérée, et sans laisser tomber d' urine dans le vagin. Après cinquante-quatre heures envi
rait pas et ne pourrait vaincre l'obstacle qu'oppose à la sortie de l' urine la flexion anormale qu'a subie le canal de l'urèt
n bandage en T double. Comme ce pansement gênerait l'éva-cuation de l' urine , par la compression cpi'il exerce sur le col, on
à la gangrène; l'urètre peut être aplati, ce qui rend l'émission de l' urine très-difficile ; la vessie est souvent déplacée,
paroi abdomi-nale. 8° Complications après l'opération. L'examen des urines et l'examen du pouls ont une très-grande importan
ortance dans l'ap-préciation des suites de la gastrotomie. Tant que l' urine reste claire et abondante, il n'y a rien à craind
as-fond avec le kyste, au début ; mais quand elle est distendue par l' urine , elle peut s'interposer entre lui et la paroi abd
thre est comprimé et il y a rétention, ou au contraire incontinence d' urine ; quand cette rétention est très-prolongée, elle
il est vrai. Engourdissement, refroidissement, soif, diminution de l' urine , exanthèmes à la peau, au voile du palais, pustul
filiforme, face violette^ insensibilité de la peau, suppression de l' urine ; tels sont les symptômes qui, joints aux précéde
deux septénaires, l'albumine s'élimine par la peau et l'iode par les urines . [F. Rose.) Pour se mettre complètement à l'abr
faut re-cberclier avec soin si la quantité d'albumine que contient l' urine est la même aux différents moments de la journée,
t surtout s'il existe des tabidi ou des cylin-dres fibrineux dans les urines , et dans ce cas s'abstenir, parce que les reins s
d'adhérences générales, ne s'en aperçut que le lendemain en voyant l' urine sortir à la partie inférieure de l'incision qu'on
enlevé la tumeur. Le sixième jour, il enlève le clamp ; le septième l' urine passe par la plaie abdomi-nale, et coule ainsi ju
avant; mais en arrière de cette paroi il y a un cloaque qui reçoit l' urine et le sang des règles. Suppléments à la Médecin
. Dynamomètre vésical, pour déterminer la force d'impul-sion du jet d' urine . Quand le robinet B de la sonde S est ouvert, le
du jet d'urine. Quand le robinet B de la sonde S est ouvert, le jet d' urine frappe sur un piston à ressort placé dans la port
u col de la vessie. On voit une gouttière creusée par le passage de l' urine . Figure iv. Fistule uréthro-pénienne. Procédé p
, d'a-près M. Guyon. La poche est vue dans l'état de distension par l' urine . Le jet d'urine sort par le méat; il n'a de force
yon. La poche est vue dans l'état de distension par l'urine. Le jet d' urine sort par le méat; il n'a de force que lorsque la
33 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
notre attention sur l'état de sa vessie. Elle a de l'incontinence d' urine , et elle nous a fort bien signalé qu'elle n'épr
le n'éprouve pas le besoin' d'uriner, qu'elle perd jour et nuit son urine , tantôt par gouttes, tantôt par plus grandes quan
par plus grandes quantités, mais sans jamais sentir le passage de l' urine . En somme, l'ensemble des troubles de la sensib
he, cle l'2crètlcre, de la vessie et du rectum, avec incontinence d' urine ; anesthésie coïncidant avec de l'hy- peresthési
gna presque dès les premiers jours de constipation, de rétention d' urine ^ avec incontinence par regorgement. La malade r
roussais, fut reçue d'abord en chirurgie, à cause de sa rétention d' urine , puis passa rapidement en mé- decine dans le se
ue parM. Barth et l'un de mes internes actuels M. Lévi. Rétention d' urine avec incontinence par regorgement. Sur la régio
. " Les .phénomènes vésicaux, qui ont été d'abord de la rétention d' urine , se traduisent ensuite par de l'incontinence, a
-interne. L'étal général était satisfaisant, l'appétit diminué, les urines ne contenaient ni sucre ni albumine. J Dans les
té des accidents de pseudo-péritonite, accom- pagnés de rétention d' urine . Elle est restée alitée pendant 10 mois ; dans
endant près d'une année, il a souffert d'une rétention incomplète d' urine , sans incontinence. Au mois de septembre 1894, il
habituellement des alternatives d'incontinence et de ré- tention d' urine , qu'on désigne sous le nom d'iscla2criecc°adoxale
alysie atteint, dans une certaine mesure, le sphincter vésical, les urines s'écoulent au dehors par regorgement, sans que le
motrice des jambes, avec de l'engour- dissement, de la rétention d' urine . La paralysie motrice et l'engourdisse- ment se
contre, le ma- lade est resté affligé d'une incontinence complète d' urine et des matières fécales. Il n'avait plus consci
trique. En outre, le malade est dans l'impossibilité de retenir ses urines et ses matières fécales, et-il n'a plus conscienc
a région des lombes en arrière. Les malades ont de l'incontinence d' urine et des matières fécales, et ils n'ont plus cons
). Il s'agit d'un malade chez le- quel les accidents incontinence d' urine et de matière fécale- s'étaient développés la s
cancer de la vessie, parce que, indépendamment des altérations de l' urine , indépendamment de l'incontinence et de la réte
ône terminal). c) Des alternatives d'incontinence et de rétention d' urine , d'inconti- nence des matières fécales et de co
as-ventre, la presse et la suffoque, enfin ce sont des rétentions d' urine qui la tourmentent » (1). Le 9 août 1 î31, elle
gri, pâle, les paupières oedématiées, sans sucre ni albumine dans l' urine . Il portait en écharpe, enveloppés dans un épai
e début, cet homme avait été pris de constipation et de rétention d' urine . Or c'est là un phénomène capital sur lequel je n
l n'en est plus ainsi. Au bout-ci'un mois environ, la rélen- tion d' urine fait place à l'incontinence qui persiste depuis l
ffet, ne perçoit ni le hesoin d'uriner ni le passage incessant de l' urine ; il ne sent pas davan- tage le passage des mati
UÉMAT0MYÉL1E DU CONE TERMINAL 153 opiniâtre, par une incontinence d' urine incessante et par des troubles gé- nitaux signi
trice avec engourdissement des membres inférieurs, avec rétention d' urine . La paralysie motrice et l'en- gourdissement se
emps. Mais le malade reste affligé d'une incontinence complète de l' urine et des matières, de la perte de l'érection et e
èmes cir- culatoire, respiratoire, génito-urinaire. L'examen de l' urine indique l'absence d'albumine, mais -une forte réa
a bien le ton brun rougeâtre qu'il n'est pas rare d'observer dans l' urine des chloroti- ques ; mais on peut douter que, p
, de paralysie des membres avec inconti- nence des matières et de l' urine . Tous ces phénomènes s'amendèrent pro- gressive
ère crise dura une heure et se termina par une abondante émission d' urine . Il est bon d'ajouter que, au moment de ses crise
ue, au moment de ses crises, la malade a toujours envie d'uriner et urine beaucoup (deux litres au moins). Une deuxième c
ui, intitulé le Médecin, et représentant un empirique examinant des urines . Le vieux Teniers a peint également des gueux e
du musée cle Bruxelles, qui représente un em- pirique examinant des urines , est une peinture remarquable, où l'on re- trou
courant un peu plus fort à gauche qu'à droite. L'incontinence des urines et des matières fécales est absolue. La sensibi
congestives ; sa muqueuse est couverte de petites exulcérations ; l' urine qu'elle contient est louche et fétide. Les vein
paralysie était complète. En même temps survenait une réten- tion d' urine qui, après quelques fluctualions, s'est installée
inué. Le sphincter anal, est complètement paralysé ; la rétention d' urine per- siste et l'on est obligé de pratiquer le c
laint de ressentir quelques fourmille- ments dans les avant-bras. L' urine est devenue fétide. L'appétit, qui était assez
es, présente une muqueuse congestionnée et légèrement exulcérée ; l' urine qu'elle contient est louche et un peu fétide. E
Troubles de la sensibilité nettement hystériques, in- continence d' urine également rapportée à l'hystérie. , Sat... Pier
u mois de novembre 4895 jamais il n'y eut la moindre incontinence d' urine , le malade dit au contraire qu'il urinait un peu
bligé de pousser pour uriner et que souvent il ne pouvait émettre d' urine malgré un besoin pressant. Or à la date du 10 nov
roubles vésicaux caractérisés en ce moment par l'inconti- nence des urines . On sait combien peu fréquente est l'incontinence
racture qui peuvent également donner naissance à l'incon- tinence d' urine , nous pensons qu'il s'agit ici d'une paralysie du
tout nocturne tandis que dans la journée le malade peut retenir ses urines , la coexistence d'autres phénomènes net- tement
Myopathie progressive chez un hystéri- que atteint d'incontinence d' urine , par GASrrE, : 3.ïr. Myélite transverse aiguë
Myopathie progressive chez un hys- térique atteint d'incontinence d' urine ,354. Gilles DE la TOURETTE. Le sein hystéri-
34 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aine. Elle remarqua en même temps une diminution dans sa quantité d' urine . Comme traitement général on lui appliqua des a
lquefois une anurie complète de plusieurs jours. Actuellement, elle urine par jour 200 à 300 grammes. La mémoire et l'i
i plus de crises. Demain je serai tout à fait guérie. La quantité d' urine augmente. Je suis plus gaie. » Cependant elle l
effort. Tous les jours il a été dressé un tableau de la quantité d' urine et des crises qui est continué par la malade de
Les premiers résultats furent : l'augmentation dans la quantité d' urine . L'urine était avant le début du traitement en tr
miers résultats furent : l'augmentation dans la quantité d'urine. L' urine était avant le début du traitement en très petite
le plus haut obtenu, le 15 mai est de 3,700 grammes. La quantité d' urine subit des variations. Augmentant sous l'in- flu
ouvenirs chez la malade. Elle sort le 18 mars, le 19 et le 20, elle urine 800 grammes pour uriner 1800 grammes le 21. -
ur uriner 1800 grammes le 21. - Elle sort le 14 et le 15 avril, ses urines dont la quantité s'élevait à 3000 grammes le 13
500 grammes, 1,200 grammes, a des cauchemars. Bientôt la quantité d' urine baisse. 1 Chez une malade du service, guérie pa
plètement diaphragmatique, secousses du grand pectoral, rétention d' urine , urticaire par pression, absence de sudation, r
otilité et pour la sensibilité, réflexes très exagérés. Rétention d' urine et des fèces. Céphalalgies violentes, vomisseme
ses. Battements normaux dans toutes les artères superfi- cielles. Urines . Pas de sucre, ni d'albumine. 11 s'agit évidemm
), sous l'influence de l'hypnose, les variations de la quantité d' urine sous des causes psychiques, nous montre ici la na
autre valeur. Nous avons considéré l'augmentation de la quantité d' urine comme une pierre de touche et avions persuadé à
ion de la pathogénie de la maladie de Reynaud. Quelques examens d' urine ont été pratiqués par l'interne en pharmacie du
ériformes : envies de pleurer involontaires, fréquentes émissions d' urines , qui sont extrêmement claires, ont une réaction
e contiennent ni sucre, ni albumine. Ce sont, dit-il, de véritables urines nerveuses. En outre dans nombre d'observation
es, t. XXIX. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'abondance de l' urine et l'intensité des accidents : le petit polyu-
e l'urine et l'intensité des accidents : le petit polyu- rique, qui urine 5 à 6 litres en moyenne; le grand polyurique, q
De plus, l'urée peut être en quantité normale ou exagérée dans l' urine ; de là deux types secondaires : le type azoturiqu
aines formes de la paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité dé l' urine ; mais il ne croit pas à l'efficacité de la saigné
sions que M. Legrain. Comme M. Briand il a toujours trouvé leurs urines hypotoxiques pendant l'état de mal et hypertoxiqu
vic cyst, of probably of poslazzal origin, leading tho rétention of urine . Brochure in-8" de 3 pages, avec une ligure. Lo
oir pas dormi ni jour ni nuit depuis le début de son affection. L' urine est au-dessous de la normale : 800 grammes. Vu
a pensée de sa soeur, nous lui prescrivions d'uriner davantage. L' urine de 900 grammes au début monte à 1,800, le 10 août
let ; la langue était pen- dante et tuméfiée, le pantalon mouillé d' urine . Après l'avoir décro- ché en le soulevant, puis
t de Chiî,uig., 1877, p. 573. 264 . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DES URINES . L'étude delà sécrétion urinaire chez les épile
ert' signale la présence de l'al- bumine en grande abondance dans l' urine après les attaques, mais il ajoute que cette al
communs. Depuis les travaux du professeur Bouchard', l'examen des urines présente, en outre, un nouveau point important. N
tateurs s'occupèrent de déterminer le coefficient uro- toxique de l' urine dans toutes sortes d'affections. Pour ce qui co
résultats. i - , 1 .. 1 ,De plus il'faut,agir avec la. totalité des urines émises dans les vingt-quatre heures physiologiq
sque toujours-ils s'accompagnent de mictions involontaires et cette urine n'est point recueillie dans la totalité des'vin
ntal consécutif aux accès ou agitation maniaque, le prélèvement des urines est à peu près impossible. La sonde à demeure e
du corps. Nous en avons vu supporter des doses très considérables d' urine et se mettre à uriner goutte à goutte d'une faç
t donc pouvoir tenir compte de toutes ces conditions. D'ailleurs, l' urine est un milieu dont la com- ''position, très com
eants. Toutefois, si la recherche' du coefficient uro- toxique de l' urine est épineuse, si les résultats ne' sont-pas ' r
avons fait à plusieurs reprises doser les principaux éléments de l' urine émise en vingt-quatre heures en dehors des accè
s de ses analyses : 1.1UL., vingt-deux ans; épilepsie. Analyse de l' urine des vingt- quatre heures après les accès. Vol
t morts présentant, les, mêmes accidents, que dans les injections d' urine , c'est-à-' dire, des accidents, convulsifs et a
convulsifs et avec des doses proportionnelles i aux ,qûantités4[ d' urines employées ,pour,, obtenir,, le., mêmet résultat
tat, .. Y,r ' f,l 1( "1 t t- pli., » , ^Nous concluerons donc que l' urine , est hypotoxique avant.et pendant les accès. et
certaines habitudes vicieuses, la masturbation ou l'incontinence d' urine . ' , Quant à la formation du caractère, il faut
pour ainsi dire pas, température 37°,9 ; la vessie n'évacue plus l' urine d'ailleurs indemne d'albumine ou de sucre. Mort
prescrit du trional. Démangeaisons quasi-douloureuses à la peau. L' urine ne présente pas la coloration de l'liématoporpb
poussées de sueur sur le côté droit; rétention et incontinence d' urine . 3° Myxoedème au début. Femme de trente-quatre an
forçant d'uriner tous les cinq minutes et qu'en dehors des accès l' urine s'échappe goutte à goutte malgré lui. C'est ce
es contractions du sphincter vésical externe ; par cet expédient, l' urine qui demeure dans l'urèthre après l'évacuation d
s en plus mauvais, bien que le malade ait conservé sa lucidité. Les urines ne présentent ni sucre, ni albumine. Mort dans la
ure des objets les plus vulgaires. Ainsi, il but plusieurs fois son urine , croyant boire de l'eau, et croquait des morcea
ont revenues et les orteils nécrosés sont à peu près éliminés; elle urine au lit et dort douze heures par jour pendant qu
urinoirs seront disposés de façon à empêcher toute stagnation de l' urine . Enfin relativement a ce service des vidanges u
modifiant un peu la méthode expérimentale. Nous avons recueilli les urines des vingt-quatre heures physiolo- giques (état
caout- chouc rouge rendue aseptique, qui conduisait directement l' urine dans un récipient. Toutes les injections que nous
clusions que dans nos expériences avec M. Péron; c'est-à-dire que l' urine qui précède l'accès ou la série est hypotoxique
toute la durée des accidents convulsifs ou mentaux. Au contraire, l' urine qui est émise après la fin de ces accidents dev
ves, t. XXIX. 29 450 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. raître avant que l' urine soit devenue hypertoxique, mais nous répondrons
excrétion au dehors, et que d'autre part la nécessité d'agir avec l' urine des vingt-quatre heures ne permet pas de voir à
es vingt-quatre heures ne permet pas de voir à quel moment précis l' urine rendue commence à être hyper- toxique. Nous 1 a
xicité urinaire. est fort épineuse. Il est très difficile d'avoir l' urine des vingt- quatre heures, surtout chez les épil
ux (indigestion, embarras gastrique, cons- tipation) ou rétention d' urine ; 3° la pathogénie des accidents con- vulsil's o
ômes rappelant ceux que produisent les injections intra-veineuses d' urines convulsi- vantes. 4° Cette urotoximie trouver
35 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
nels morts de vieillesse.- Grand'père maternel, mort de rétention d' urine à 91 ans; - grand'mère maternelle, morte paraly
nt, et fait pour vomir de vains ef- forts. Il a de l'incontinence d' urine et des matières fécales. - La maigreur est extr
ois en deux mois. - Chaque fois, la crise était suivie d'émission d' urine . Les bras se contractaient en dedans, la tête e
fant retomba dans le coma. Pas d'écume aux lèvres, pas d'émission d' urine . Traitement : Lavement purgatif; enveloppement
pas de déviation de la bouche ; écume, quelquefois incontinenco d' urine . En temps normal, l'enfant 'semblait aussi inte
cent. de long. La vessie est distendue par une grande quantité d' urine . - Cause probable de la mort : asphyxie par oedèm
riclité, l'épilepsie chez le père de l'enfant ; -l'in- continence d' urine jusqu'à 16 ans chez sa mère ; - des excès de bo
isses ; rien aux mains, ni aux paupières : on ne peut savoir si les urines furent albu- mineuscs à ce moment. L'accouche
ature de 38°, le malade ne prend qu'un demi-lobe. Rien dans les urines . Pouls : 120. 9 juin. - Tremblement généralis
esse et sueurs. Deb... marche dillici- lement. Sueurs dans la nuit. Urine de 24 h. : 750 grammes. Il juin. - Pas de gland
. TROIS cas D'IDIOTIE myxoedémateuse. 173 au niveau'de l'estomac. Urine : 650 gr. Le visage est beaucoup moins gonflé,
'ig. 20. - 174 THÉRAPEUTIQUE. tiondes tumeurs graisseuses du cou. Urine : 400 gr. Potion de Tood et caféine. z15 juin
veilleuse. Ce matin il ne se rappelle point de ce qui s'est passé. Urine : 500 gr. L'appétit est toujours médiocre et le
ui s'était abaissé jusqu'à 24 k., 100 est remonté à 25 le, 050. Les urines se maintiennent aux environs de 500 gr. Jamais
er examinait ses poches. Le pouls est descendu à 60. 6 juillet. - Urine : 500 gr. Pouls : 60. 7 juillet. - La températu
s : 60. 7 juillet. - La température s'élève de nouveau à 37°, li. Urine : 1 litre. Pouls : 70. 8 juillet. - Pouls : 70
Urine : 1 litre. Pouls : 70. 8 juillet. - Pouls : 70 ; T.R. 37", 2. Urine : 525 gr. 9 juillet. - La peau du malade reste
4. - Soir : 38°. 11 juillet. - Pouls petit : 130 ; ;1'.lut. 370,4. Urine hier 750 gr., aujourd'hui 500 gr. 12 juillet.
hée a disparu, la faiblesse des jambes est moindre. Pouls : 120 gr. Urine : 500 gr. 13 juillet. - Depuis hier soir, coliq
, courba- ture générale. Le malade est affaissé, n'a pas d'appétit. Urine : 500 gr. Pas de glande. La desquamation de la
squamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500 gr. 14 juillet. - ? lobe. Pouls : 120. Ur
ue. Pouls : 120. Urine : 500 gr. 14 juillet. - ? lobe. Pouls : 120. Urine : 260 gr. ( ? ). 15 juillet. - l'as de glande.
. Urine : 260 gr. ( ? ). 15 juillet. - l'as de glande. Pouls : 120. Urine : 500 gr. La peau est moite. 16 juillet. - Va
: 500 gr. La peau est moite. 16 juillet. - Va lobe. Pouls : 120. Urine : 500 gr. Quelques coliques. 17 juillet. - Pa
gr. Quelques coliques. 17 juillet. - Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 gr. Coliques, sueurs. 18 juillet. - Dep
ourrelet hémorrhoidaire. Pouls : 100; Sueurs; faiblesse générale. Urine : 560 gr. - Potion : bismuth, bétol, laudanum. -
a parole est moins lente, le malade est moins engourdi. Pouls : 90. Urine : 500 gr. 28 juillet. - Bien que la médication
e qui l'a décidé à faire venir le médecin. Fièvre ; P. à 1 ! 0. - L' urine est rare et son expulsion s'accompagne d'une ém
ure de camphre chez un malade, âgé de 7 ans, atteint de rétention d' urine consécutive à une hyper- trophie de la prostate
un excel- lent adjuvant du traitement classique de la rétention d' urine . C'est ainsi que nous avons été amené, ainsi qu
idés, refroidissement des extrémités, incontinence invo- lontaire d' urine , etc., ce médicament produira dans la plupart d
36 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ésultats vraiment utiles./page> page n="55"> Incontinence d' urine et suggestion pendant le sommeil naturel- Par M
naturel- Par M. le D' Paul V/ ;-.:;/.. L'incontinence nocturne d' urine n'est certes pas rare chez les enfants ; d'ordina
instituteur de l'Aisne m'écrit un jour au sujet de son jeune fils qui urine au lit chaque nuit. Tout naturellement je recomma
ement en chemin de fer avec ses voisins, se déshabille tout-à-coup et urine sur eux, on le saisit; il sort de cet état second
ne est atteinte de mal comitial et non pas d'hystérie. L'individu qui urine sur ses voisins au milieu d'une conversation rais
la colère, elle ne se mordait pas la langue, elle ne perdait pas ses urines . C'étaient des crises d'hystérie. Elles ont dispa
ce qui s'était passé. Jamais on ne s'est aperçu qu'elle eût perdu ses urines . Une attaque nocturne d'hystérie n'est possible,
ileptique, sauf un, celui qui est relatif à la porte involontaire des urines . L'âge avancé n'ost pas une objection à notre dia
e jours environ, elle présente un accès con-vulsifavec incontinence d' urine , morsure de la langue, amnésie et grande lassitud
ions de bouse de vache fraîche, et les ulcères en les lavant avec des urines . Ce remède se trouve également indiqué dans Pline
es jambes et les abcès, sur lesquels on met des linges trempés dans l' urine . On soigne delà même façon les engorgements du se
es, mais, dans ce cas, les applications doivent être faites avec de l' urine d'homme. » Et le D* Bidault conclut que, même q
e de 30 ans, laisse échapper inconsciemment cinq ou six petits jets d' urine , lors du spasme vénérien et au moment même où ce
l'abdomen agissent directement sur une vessie distendue et forcent l' urine à s'échapper sous forme de jets synchrones à ces
depuis cinq ans. Malgré des doses élevées de sucre contenues dans les urines , le patient continue à s'occuper très activement
ent en pareil cas, j'avais eu soin de demander une analyse complète d' urine . Celle-ci a été faite le 20 novembre. Quand le le
alade, on n'avait pas osé espérer qu'elle consentirait à recueillir l' urine des 24 heures; l'examen a été fait à son insu, su
èmes. Tout ce que je puis dire, c'est que l'émission du sucre par les urines n'a pas été soupçonnée; la malade, en effet, n'a
de polyphagie et de polyurie, densité normale ou presque normale de l' urine , présence dans celle-ci d'une substance réduisant
de polyphagie.de polydipsie et de polyurie; en outre, la densité de l' urine est à peu près normale; et puis,l'amélioration es
eul que le régime a fait diminuer la quantité de sucre émise dans les urines ? Justement, ce jour-là, 27 novembre, ma malade
ement, ce jour-là, 27 novembre, ma malade doit m'apporter un flacon d' urine . Je fais aussitôt un essai avec la liqueur de Feh
se bien que je n'ai pus négligé de faire faire une nouvelle analyse d' urine . Voici ce qu'elle donne à la date du 6 décembre :
gr. 85 par litre. On se rappelle que, le 20 novembre, la quantité d' urine des 24 heures n'a pu être dosée. Or, depuis que j
heures, une grande tasse d'infu6ion chaude de tilleul. La quantité d' urine émise par jour est donc plus abondante, partant l
e, partant le sucre est plus dilué. Ainsi, à la date du 6 décembre, l' urine des vingt-|uatre heures s'élève à 1.820 centimètr
ée (fasc. I, p. 136). Je fais promettre qu'on m'enverra une analyse d' urine à la fin de cette première étape, me réservant de
bonnes. » Comme les règles ne lardent pas à apparaître, l'examen de l' urine se trouve retardé de quelques jours ; it est fait
; it est fait le 22 décembre; voici la note que l'on m'adresse : a L' urine ne contient pas de sucre et ne produit pas de dév
u traitement alter- tifs sont employés en vue de découvrir dans les urines une élimination quelconque d'antîpyrine : résulta
nes une élimination quelconque d'antîpyrine : résultat nu). De même l' urine no présente pas d'acide carbonique pouvant proven
nng : après l'ingestion *·© chloral, on trouve p&amp;rfo'b dans l' urine do l'acide uro chloraiiquc fiuuiaut.ilaiu certain
nombreuses. On peut dire qu'il y a polyurie, lorsque le volume des urines dépasse deux litres par jour ; mais I'hyperdiurès
re, cinq, huit, dix, vingt et même vingt-cinq litres par 24 heures. L' urine alors est pâle, décolorée, sans saveur, d'une den
e le cas d'un malade qui, émettant chaque jour quarante-cinq litres d' urine , pouvait boire, également chaque jour, un litre d
la suite d'un grand chagrin, émettait chaque jour environ 18 litres d' urine , a été traité jadis à Lille dans le service de M.
ui a donné de l'ergot de seigle et, au bout de vingt-quatre heures, l' urine est tombée de 18 à 3 litres. En dépit des proprié
du bicarbonate de soude coloré. Grâce â cette suggestion indirecte, l' urine tombe le lendemain à 3 litres. Un procédé de su
our pendant trois jours et de le convaincre qu'il guérira lorsque ses urines seront devenues vertes : la première et la second
sous forme de pilule, un médicament d'une énergie considérable ; ses urines deviendront bleues et à ce moment précis, la guér
ène. Au bout d'un quart d'heure, la malade émet une potito quantité d' urine , mais le liquide a encore sa coloration normale;
encore de changement de coloration. Au bout d'une heure environ, les urines sont bleues et le spasme du diaphragme disparaît,
. M. Lemesle. — Pour hâter le passage du bleu de méthylène dans les urines , ne serait-il pas préférable d'introduire cette s
foi en moi. M. Bébillox. — Un jeune homme atteint d'incontinence d' urine venait d'être reçu à l'Ecole navale. Trèsaffecté
s délirantes de persécution, par Paul Farez, p. 296. Incontinence d' urine et suggestion pendant le sommeil naturel, par Pau
et l'art. 64 du code pénal, p. 311. Sommeil naturel (Incontinence d' urine et suggestion pendant le), par Paul Farez, p. 53.
37 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
dans les membres et la ceinture et la malade fut prise de rétention d' urine qui nécessita le cathétérisme. EXAMEN. - La m
; au niveau de la région sacrée elle est macérée par le contact des urines et il existe de profondes es- carres ; il n'y a
e tout le membre. Il existe des troubles des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont troubles et
es troubles des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont troubles et purulentes ; elle a de la rétent
fait de ses escarres sa- crées et de ses émissions involontaires d' urine . Au bout d'un mois environ l'infection urinaire
ire et digestif ont un fonctionne- ment parfait. Il n'y a, dans les urines , ni albumine, ni sucre. Le malade n'a pas maigr
puis six semaines, constipation tenace : depuis 4 jours rétention d' urine passagère à peine accentuée. Avant la maladie a
r suite de la douleur, cesse de travailler. Depuis quelques mois il urine avec arrêts et après un certain effort; ses force
de l'abdomen fai- bles, ceux du crémaster normaux. Constipation ; l' urine (absence de corps pa- thologiques) est rendue a
des orteils ; parésie des mouvements du genou ; faible rétention d' urine . Ainsi donc un homme de 56 ans, ressent subitem
, au niveau des vertèbres lombaires ; constipation ; incontinence d' urine à un faible degré ; douleurs dans la région car
artie inférieure de la cage thoracique et le ventre; incontinence d' urine partielle, constipation prolongée. Accrois- sem
mois, mouvements involontaires ; depuis un mois, l'émis- sion de l' urine se fait avec difficulté ; depuis une semaine, fai
uis plusieurs jours douleurs dans l'aine, rétention com- plète de l' urine . La malade, quoique anémique, était jusque-là ass
et à la douleur. Dans la suite apparaît la rétention complète de l' urine , et )'oedème des deux extrémités jusqu'à la moi
ble du moindre mouvement des jambes. Après un mois d'incontinence d' urine partielle, arrive la faiblesse complète de la ves
scarre ex- térieure dans la région sacrée ; rétention complète de l' urine et des fèces ; absence du sens musculaire dans
musculaire dans les orteils, les pieds et les genoux ; rétention d' urine ; constipation. 31. - Paralysie flasque ; manqu
o-sa- crée ; pas de douleurs ; constipation, parfois incontinence d' urine . Etat présent. Organes intérieurs, nerfs crânie
mouvements et de la position des orteils ; faible incontinence de l' urine et des fèces. Tel est dans les termes généraux
garde aux soins de propreté les plus élémentaires, crache sur elle, urine dans le lit, etc. L'attention est facilement at
un peu d'otite scléreuse bilatérale. Ni albumine ni sucre dans les urines . - Examen radio graphique (PI. XXXIV et XXXV).
r les aliments solides. Le malade n'a jamais présenté de pertes des urines , ni de matières, il ne s'est jamais plaint de d
, quand les phénomènes d'éclampsie, la fièvre, et l'albumine dans l' urine , étaient disparus depuis plusieurs jours, et la
e a eu encore trois accès d'éclampsie, d'une intensité moyenne. L' urine contenait plus de deux grammes d'albumine par lit
t de son état comateux, elle se plaint de voir trouble. Rétention d' urine : 600 grammes en 24 heures, go. 50 d'albu- mine
12. Température 37°2 le matin, 37°4 le soir, pouls 82. Rétention d' urine , 720 grammes en 24 heures. Albumine : 1 gramme pa
9° le soir. On lui a fait une irrigation intra-utérine. Rétention d' urine , 1000 grammes en 24 heures. Albumine 1 gramme par
ours suivants, et le 20 avril elle arrive à 37°. De même quantité d' urine a augmenté régulièrement jusqu'à la normale et
t l'albumine n'existait plus le 16 avril. A cause de la rétention d' urine , on a dû la sonder tous les jours jusqu'au 18 a
pétit est bien conservé, et il n'existe aucun trouble digestif. Les urines ne contiennent pas d'albumine. La température ne
akiurie, mais pas d'albuminurie. L'analyse des résidus minéraux des urines a marqué une aug- mentation des sels phosphatiq
et les poumons sont sains, qu'il n'y a ni sucre ni albumine dans l' urine , qu'il n'y a ni cylindres ni caillots de sang bla
cylindres ni caillots de sang blancs ou rouges et que la quantité d' urine , mesurée par 24 heures, est normale, ainsi que
. Une fois par semaine ? Oui, jusqu'au bout. Avait-on examiné vos urines ? Non. L'accouchement s'est-il bien passé ? A h
l'oedème malléolaire, .mais actuellement pas d'al- bumine dans ses urines . Depuis 1897 elle n'a plus été rééduquée et n'a
s sphincters. Rien au coeur ni aux poumons. Hien d'anormal dans les urines . L'état mental, sauf les modifications du carac
ce dure quelques minutes pen- dant lesquelles il y a incontinence d' urines , morsure de la langue et présence d'écume à la
de constipation. Les mictions sont fréquentes, surtout la nuit ; urines foncées avec dépôt fibrineux et même purulent,
tat fébrile à grandes oscillations se maintient. L'incon- tinence d' urine est permanente et due à une rétention vésicale, l
e d'urine est permanente et due à une rétention vésicale, la malade urine par regorgement. La céphalée, vive au début, a ét
ir. Elle a lieu dans la nuit du 21 au 22 avril 1913. , Analyses d' urines . 4UU' ' RAUZIER ET BAUMEL - des méninges) sur
ant de rattacher cette comitialité à une in- suffisance rénale. Les urines sont purulentes, contiennent quelques traces d'
uvons aucune trace de rétention urémique. Le tableau des analyses d' urine montre que l'élimination d'urée par cette voie
e et cette polyurie ont persisté depuis lors ; jamais l'analyse des urines n'y a révélé de sucre ni d'albumine. Vers l'âge
r de quatre mois. Pendant toute la durée de ce séjour la quantité d' urine a oscillé entre 6 et 10 litres par 24 heures. L
quantité d'urine a oscillé entre 6 et 10 litres par 24 heures. Les urines étaient jaune pâle, limpides, sans dépôt, de faib
as de chlorures et d'urée. Voici une de ces analyses : Quantité d' urine , 10 litres. \ NaCI, par 24 heures, 12,87. Uré
La restriction des boissons diminuait naturellement le chiffre des urines , mais cette res- triction était péniblement sup
riction était péniblement supportée par le sujet. Il y avait dans l' urine des traces légères d'albumine, mais pas de sucre.
ivi d'autopsie et où la polyurie était mon- tée jusqu'à 19 litres d' urine dans les 24 heures, trouva une tumeur ayant com
5 litres, la pituitaise dès la pre- mière injection fit tomber les urines de 5 il : 3 2 litres 1/2. En continuant les inj
areil non plus qu'il l'examen microscopique des fèces. L'examen des urines a montré une couleur jaune claire, aspect limpide
normalement ; la tension artérielle est de 16 à 17 au Potain. Les urines ne contiennent aucun élément pathologique. Les
ignaler l'impuissance sexuelle existant depuis quelques années. Les urines sont bonnes, pas de sucre. Rien au coeur, si ce
- Comme troubles sphinctériens, le malade présente incontinence des urines et constipation. 1 A la ponction lombaire, on
. Les troubles vésicaux nécessitaient un cathété- risme journalier. Urines purulentes. Le malade a fréquemment des frissons
es des membres inférieurs persistent. In- continence et rétention d' urine , constipation opiniâtre. 3 juin. - L'état génér
38 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ifestations de la dégénérescence, telle que l'incontinence nocturne d' urine , les tendances impulsives, les terreurs nocturnes
conseillé. OBSERVATION V ONYCHOPHAGIE. - INCONTINENCE NOCTURNE D' URINE . - .GUERISON RAPIDE PAR la suggestion hypnotiqu
au lil toutes les nuits jusqu'à l'âge de 10 sus : actuellement elle n urine que tons les 15 jours environ. A l'école, elle tr
suffi pour faire disparaître définitivement 1 incontinence nocturne d' urine et guérir l'onyrhophagie. Observation V| onycho
on âgé de l'i ans. est atteint d'onanisme, d'incontinence nio turne d' urine , d'ouycliophagie : le plus jeune, garçon de 1 ans
té rapidement guérie chez Ira six enfants. L'iiiconlinence nocturne d' urine el l'onanisme de l'ainé el du plus jeune ont dema
onyrhophagic. Observation IX onychophagie.-incontinence nocture d' urine . —-onanisme.-— troubles du caractère. — guériso
sa patronne : Lise H... non seulement se ronge les ongle", mais elle urine an lit trois ou quatre foi" par mois II lui arriv
sl facile de constater que lonvrhophagir et I incontinence nocturne d urine ont disparu empiétement sons l'influence de la su
dans le ventre et lui suggérai que désormais elle émettrait selles et urines sans gène — à preuve que. à peine rentrée chez el
eurasthéniques, d'enfants vicieux, ainsi que des cas d'incontinence d' urine , d'agoraphobie, de crampe des écrivains, de contr
se dissiperaient pas aussi promptemeut. L'hvpolliesc d'infiltration d' urine ne lui semble pas admissible pour le premier cas.
euse, yeux excavés. pouls 120 pulsations par minute, température 38°, urine rare, pas d'albumine, l'ingestion, même la vue
r suite de couches, à l'ombre du clocher des Eygalades. Rétention d' urine . — Pourquoi dît-on. dans la préface de Pantagruel
n fait certain, c est que sous l'influence de la crise épîleptique. l' urine devient particulièrement toxique. Est-ce le malad
bourrés de notes sur sa vue, son appétit, son pouls, ses sueurs, ses urines , sa mémoire, ses souffrances, ses ascendants, il
les phobiques. LE TRAITEMENT PSYCHIQUE DE L'INCONTINENCE NOCTURNE D' URINE (1) Par le Docteur Bérillon. Le but de cette
oins de préconiser un nouveau traitement de l'incontinence nocturne d' urine que d'apporter quelque lumière sur les causes d'u
l'étiologie reste encore à élucider. Pour expliquer l'incontinence d' urine si fréquente chez les enfants, les théories les p
les faits se passent beaucoup plus simplement. Dans l'état normal l' urine est maintenue dans la vessie par le concours des
lie, la tonicité des fibres musculaires lisses suffit pour contenir l' urine . Au contraire, dès que la quantité d'urine, dépas
ses suffit pour contenir l'urine. Au contraire, dès que la quantité d' urine , dépassant une certaine mesure, commence à disten
on des muscles volontaires devient alors indispensable pour retenir l' urine dans la vessie. Dès la plus tendre enfance, les
isses suffisent pour maintenir dans la vessie une certaine quantité d' urine et pour assurer l'intermittence de la miction. Né
fants sont primitivement atteints d'incontinence diurne et nocturne d' urine . Par l'éducation, on obtient généralement, vers
ant la nuit. Il arrive cependant assez souvent que l'incontinence d' urine persiste pendant la nuit au-delà de la troisième
D'Gaudez a fait, en 1891, du traitement de l'incontinence nocturne d' urine par l'antipyrine, le sujet de sa thèse inaugurale
'être mentionnés. Convaincu que la cause de l'incontinence nocturne d' urine réside dans ce fait que le sphincter vésical n'es
e sphincter vésical n'est pas assez, fort pour retenir derrière lui l' urine qui se collecte dans la vessie pendant les premiè
Dans cette position, la ves-sie peut contenir une certaine quantité d' urine avant que celle-ci n'atteigne l'orifice uréthral.
n quinze jours, la suppression complète de l'incontinence nocturni' d' urine ; mais, outre que ce procédé n'est applicable qu'a
en 1891, M. le D' Liébeault. de Nancy, affirmait que l'incontinence d' urine était justiciable d*un traitement purement psychi
es, il présentait une statistique portant sur 77 cas d'incontinence d' urine traités par la suggestion hypnotique, et il indiq
bservation courante des plus intéressants, c'est que lorsque l'enfant urine au lit toutes les nuits, on peut presque sûrement
n hypnotique. Il n'en est pas toujours ainsi lorsque l'incontinence d' urine n'a lieu que de temps en temps. II est probable q
n'a lieu que de temps en temps. II est probable que l'incontinence d' urine intermittente est liée à des causes bien différen
année entière, de dix-neuf ans et demi à vingt ans et demi, elle n'a urine au lit qu'une dizaine do fois au plus. L'in-
dressé par M. le D' Landry, de Courtenay. L'incontinence nocturne d' urine a débuté seulement il y a trois ans. Depuis ce mo
rne d'urine a débuté seulement il y a trois ans. Depuis ce moment, il urine toute les nuits dans son lit. Le malade est entré
suggérer de l'insomnie avec la préoccupation constinle de retenir son urine , préoccupation devant avoir pour effet de le teni
endunt trouve ici une nouvelle application. L'incontinence nocturne d' urine n'est ni un symptôme, ni, à plus forte raison, un
ournies par l'état général du sujet atteint d'incontinence nocturne d' urine . SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séanc
s, ni de l'alcool, et il n'a pas eu la syphilis. Pas d'incontinence d' urine , ni de matières fécales. Aucune paralysie. 11 mar
15. Idiotie (l'), par Jules Voisin, 128. Incontinence nocturne d' urine traitée par suggestion, 14, 15. Incontinence d'
nce nocturne d'urine traitée par suggestion, 14, 15. Incontinence d' urine (le traitement psychique de l'), 359. Index bib
39 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ombre 122 étaient atteints de gâtisme; 41 d'incontinence nocturne d' urine seulement; 14 de cécité complète ; 7 de cécité
mbre 110 sont atteints de gâtisme; 32 d'incontinence noc- turne d' urine seulement, 15 de cécité complète; 6 de cécité i
peut préciser. Marche à 2 ans. Est encore gâteuse la nuit pour les urines . La parole est limitée à quelques mots. On arri
i dans la paume, perte com- plète de connaissance, pas d'émission d' urine , pas de mor- sure de la langue. Stertor consécu
a plutôt une tem- pérature un peu basse (Voir le tableau). Dans ses urines ni sucre, ni albumine. Il pèse 53 kilog., mesur
sourds ; le pouls radial est petit, très difficile à sentir. Les urines ont été examinées à plusieurs reprises ; leur d
esse et sueurs. Deb... marche diffici- lement. Sueurs dans la nuit. Urines de vingt-quatre heures : 750 grammes. 11 juin
Pouls : 120. Haleine fétide, dou- leur au niveau de l'esto- mac. Urine : 650 gram- mes. Le visage est beau- coup moi
eurs, affaiblisse- ment, persistance des douleurs s stomacales. Urine : 500 grammes. 13 juin. Dans la nuit, vomisse
leurs abdominales, dimi- nution des tumeurs graisseuses du cou. Urine : 40 0grammes. Potion de Todd et caféine. 15 ju
veilleuse. Ce matin, il ne se rappelle point ce qui s'est passé. - Urine : 500 grammes. L'appétit est toujours médiocre
er examinait ses poches. Le pouls est des- cendu à 60. 6 juillet. Urine : 500 grammes. Pouls : 60. 7 juillet. - La temp
uls : 60. 7 juillet. - La température s'élève de nouveau à 37°,G. Urine : 1 litre. Pouls 70. 8 juillet. - Pouls : 70; T
Urine : 1 litre. Pouls 70. 8 juillet. - Pouls : 70; T il. 37°,2, Urine : 525 grammes. Fig. 11. - Deb... en septembre 1
37% - Soir : 3°. 11 juillet. Pouls petit : 130; T. R. 37% Urine hier : 750, aujourd'hui 500 grammes. 12 jui
disparu, la fai- blesse des jam- besest moindre Pouls : 120. Urine : 500 gr. 13 juillet. Depuis hier soir, col
cour- bature générale. Le malade est affaissé, n'a pas d'appétit. Urine : 500 grammes. Pas de glande. La desquamation de
squamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. 14 juillet. Demi-lobe. Pouls :
s : 120. Urine : 500 grammes. 14 juillet. Demi-lobe. Pouls : 120. Urine : 2GO grammes ( ? ). 15 juillet. Pas de glande.
Urine : 2GO grammes ( ? ). 15 juillet. Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 gram- mes. La peau est moite. .. Fiy. 1
Traitement thyroïdien. 103 16 juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. Quelques coliques. 17 juillet.
ammes. Quelques coliques. 17 juillet. Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. Coliques, sueurs. 18 juillet.
bourrelet hémor- roïdaire. Pouls : 100. Sueurs, faiblesse générale. Urine : 560 grammes. Potion : bismuth, bétol, laudanu
a parole est moins lente, le malade est moins engourdi. Pouls : 90. Urine : 500 grammes. 28 juillet. - Bien que la médica
oraire des paupières, surajouté il leur bouffissure habituelle. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine (Fig. 3. 4
maines qui n'ontjamais reparu depuis. Pas d'incontinence nocturne d' urine . 4° Notre malade.-A la conception, les parents
se relevait presque aussitôt; ni bave, ni écume, ni incontinence d' urine . - Les grimaces continuaient quand même. On s'e
nchâtre (phimosis). Pénil, glabre. Taches jaunâtres sur la chemise. Urine : ni albumine ; ni sucre. Membres supérieurs :
urs fois pour aller aux cabinets, malgré sa hâte pour y aller, elle urine tout le long du dortoir, il lui est même arrivé
u soir jusqu'à 4 heures du matin, s'accompagnent d'incontinence d' urine et des matières fécales et se terminent par un
n- tre les barres de son lit, à s'égratigner avec son manchon, il urine et défèque au lit malgré toutes les précautions q
ne partie de la journée. T. R. 35° et 36°. 26 février. Examen des urines . (M. Wille, interne en pharmacie.) Albumine : n
40 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
deux ans et demi ; - parole à deux ans ; - incontinence nocturne d' urine jusqu'ci qua- torze ans. Instabilité mentale. C
quinze mois à deux ans) ; propre seulement à quatorze ans pour les urines . Jamais de convul- sions. Envoyé à l'école à se
ileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Evacuation involontaire d' urine . Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant s
osé : retard dans la marche et la parole, incontinence noc- turne d' urine , débilité mentale, irritabilité, actes de violenc
Scha... est devenu gâteux. Auparavant il gâtait seulement pour les urines . 20 avril. - Scha... a encore tenté de se sauve
elet de vin, il le prit et le lui jeta à la figure. Nuit et jour il urine sous lui. - L'onanisme persiste. Depuis le 1 ?
ipation. Pas de taches rosées. Rien à l'auscultation. Rien dans les urines . Potions vinai- grées, sulfate de quinine, naph
ce ; jalousie. Coqueluche (septembre); présence du sucre dans les urines . ' Geor-eo.... Marie, âgée de 7 ans, est entrée
ulière ; il n'y a aucun trouble de la digestion ; les selles et les urines sont volontaires. Elle s'habille et se déshabil
: T.R. 3 ? 8.-Soir : T. Il. 38,), 8. 11 septembre - On examine les urines . Elles donnent avec la liqueur de Fellling un p
vec la liqueur de Fellling un précipité rouge absolument net. Les urines sont d'une teinte claire et ne paraissent pas en
septembre Diarrhée assez forte depuis hier. La quantité totale des urines n'a pu être conservée. Le sucre est toujours en
utres symptômes ni dans l'état général. 13 septembre. La quantité d' urine ne dépasse pas 300 gr, 1 18 Coqueluche ; glycos
a de nouveau de la diarrhée, aussi n'a-t-on pas conservé toute l' urine . Matin : T.R. 37,8. Soir : T.R. z,4. 15 septemb
complication et sans qu'on ait jamais retrouvé de sucre dans les urines analysées à plusieurs reprises. I. Voilà donc u
che dans lequel on a trouvé quatre jours de suite du sucre dans les urines . Ce sucre n'a pas été dosé, parce qu'à cette ép
avons obtenu aucune réduction en analysant avec le même réactif les urines de différents enfants qui présentaient au même
ueluche. D'après Gibb (Lance/, janvier 1858) on trou- verait dans l' urine de presque tous les coquelucheux du sucre en qu
, faible d'ordinaire, mais parfois assez forte. Dans quelques cas l' urine aurait une densité notable et offrirait les aut
t émacié, triste et abattu. Les poumons sont sains. La quantité des urines ren- dues en 24 heures est de 1600 à 1700 gr. L
antité des urines ren- dues en 24 heures est de 1600 à 1700 gr. Les urines , au repos forment un dépôt rouge où l'examen mi
bocal. Par la chaleur et l'acide acétique, on reconnait dans cette urine la présence d'une notable quantité d'albumine.
se plaint de la tête et d'une douleur vive dans le bas-ventre. Les urines , peu abondantes, sont trou- bles. Pas d'albumin
oloration que les cavernes du rein. . La vessie est remplie d'une urine purulente, trouble. Réflexions. f3'i Réflexio
de la sychnurie, et l'existence du sang et de l'albumine dans les urines qui étaient assez abondantes. Après avoir été s
émaciation très prononcé. Nulle part il n'y avait d'oedème et les urines , peu abondantes et troubles, ne contenaient plu
41 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
leu et ceux obtenus par la recherche si délicate de la toxicité des urines . Dans quelques cas, nous avons trouvé à la fois
s méthodes de détermination de la toxicité du sérum sanguin et de l' urine [Revue de médecine 1900). i Charrin, Société de
igation clinique appliqués aux aliénés. Sans parler de l'examen des urines systématiquement pratiqué, nous avons recherché
op, le myosis, la cryesthésie, etc. Nous avons recherché dans les urines la diminution de l'excrétion de l'urée, la preuve
aux procédés d'expérimentation les plus cliniques : l'examen des urines , leur analyse aussi rigoureuse que possible, avan
nné d'utiles confirmations. Mais d'autre part, l'examen complet des urines nous a montré souvent que l'auto-intoxication r
ence, pendant que l'albuminurie augmen- tait et que la quantité des urines excrétées diminuait, nous avons constaté souven
ruit de galop à rythme d'anapeste (bruit systolique surajouté). Les urines pâles, abondantes, ne contiennent ni sucre, ni al
elle et mange avec assez d'appétit. '1 il, CLINIQUE NERVEUSE. Ses urines recueillies le 2 juin ont donné à l'analyse les r
oie parait à la percussion diminué de volume. L'examen clinique des urines révèle une quantité notable d'albumine. Au poin
meil. Le régime lacté absolu est institué. - L'examen complet des urines pratiqué quelques jours après son entrée a révé
acé par un régime mixte, dont le lait, toutefois, fait la base. Les urines sont plus abondantes et plus claires. L'albumine
délirantes, qu'il a presque totalement oubliées. Un nouvel examen d' urine a donné dans les grandes lignes les résultats s
ines qui n'ontjamais reparu " depuis. Pas d'incontinence nocturne d' urine . 4° Notre malade.-Ala corzception, les parents
poraire des paupières, surajouté à leur bouffissure habituelle. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine (flg. 12, 1
D... n'avait pas de sommeil, délirait la nuit et constata dans ses urines la piétence d'une certaine quantité d'albumine, D
la présence d'un bruit de galop à dédoublement au le' temps et les urines pâles, abondantes, con- tiennent une certaine q
quée par la glycosurie alimentaire sera confirmée par une analyse d urine pratiquée ulté- rieurement. Même état ju-qu'au
par des alternatives de dépression et de gaîté avec excitation. Les urines ont été examinées chaque semaine, et l'albuminuri
que éet état psychique a coïncidé avec une poussée rénale, car les urines devenues plus rares contenaient par litre 1 gra
nt par litre 1 gramme d'albumine. Le 7 juillet l'examen complet des urines a donné les résultats suivants : . 140 CLINIQ
ale, le foie est douloureux, les jambes légèrement oedématiées; les urines extrêmement rares ne contien- nent pas d'albumi
iande grillée, les légumes, etc. Après deux jours de ce régime, les urines diminuèrent, M... ressentit des maux de tête et
égion mésocardiaqueest beaucoup plus obscure. L'examen clinique des urines qui sont peu abondantes et forte- ment colorées
inconscient, s'affaiblissant de plus en plus. L'examen clinique des urines , pratiqué dans les premiers jours d'octobre, au
de l'albumine aux diffé- rentes heures de la journée a montré que l' urine du soir contient plus d'albumine que celle de m
ndrie avec anxiété coïncidaient avec la diminution de la quantité d' urine et l'augmentation de l'albumine. L'eu- phorie s
intellectuel et euphorie, syphilis ancienne. L'examen clinique des urines fut négatif au moment de l'admission et l'état d'
ion du médicament n'existe pas, puisque l'élimination se fait par l' urine avec une grande rapidité. Par de nombreux dosag
lendemain delà cessation du médicament on ne trouvait plus dans les urines qu'environ un gramme; au bout de 48 heures il n
rose. Pouls petit, non tendu, fortement intermittent. Rien au sang. Urine quelque peu albumineuse : 0,23 pour 1000; pas d
dégénérative des extrémités inférieures, d'une incontinence de l' urine et des matières, de troubles trophiques et vasomo
de l'autre oeil, tous deux guéries par suggestion. Incontinence d' urine guérie par la suggestion pendant le sommeil nat
l'athérome artériel, de l'albuminurie : C..., a de l'incontinence d' urine , mais n'est pas gâteux, L'état de démence, d'mc
rante et 2° une lenteur très grande de l'élimination. L'analyse des urines de vingt- quatre heures a donné dans une périod
ote que le faciès est pâle que les jambes sont cedématiées, que les urines contiennent de l'albumine et qu'il existe au co
vec l'augmentation de l'albuminurie. En juillet 1902, l'analyse des urines dénote qu'il n'existe presque plus d'albumine,
e inguinale droite de petit volume est parfaitement réductible. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine et leur exa
pation. Depuis plusieurs jours. S..., n'est pas allé à la selle, il urine souvent et peu à la fois. Le régime lacté;- l
u et une lenteur très grande de l'élimination. L'examen complet des urines donne a cette époque les résultats suivants :
ique que l'élimination est très retardée et très lente, puisque les urines sont encore colorées à la soixante- douzième he
sont encore colorées à la soixante- douzième heure. L'analyse des urines du 5 décembre donne : RECUEIL DE FAITS. Un ca
maladie, ce que peut démon- trer soit l'examen bactériologique des urines , soit la toxicité du sang et les troubles de l'
rps et de ses vêtements. 1898. Il devient propre dans le jour; mais urine fréquemment la nuit dans son lit. Il distingue
ppait notre malade se dissiper. 1899. Il ne gâte plus le jour, mais urine souvent au lit. I ! s'ha- bille seul, mais ne s
t un accroisse- ment de l'acide phosphorique et de l'azote dans les urines , accrois- sement proportionnellement plus grand
rrhée fétide, sanglante et incoercible, pouls très petit et rapide, urines rares et foncées contenant des pigments bi- lia
rstrand, 13 décembre 1900. Neurasthénie, Alcoolisme; Incontinence d' urine , Onycho- phagie, Kleptomanie; Alcoolisme ; Névr
ade souffre ordinairement de constipation, la langue est chargée, l' urine a la réaction presque neutrale et est un peu trou
PLÈTE DE CÉCITÉ. 401 De temps en temps on faisait des analyses de l' urine , qui démon- trèrent que le mercure était effect
ieurs et reste ainsi pendant plusieurs jours avec de la rétention d' urine et une constipa- tion des plus opiniâtres. Dè
outes les excitations, sans re- flexes, -avec de l'incontinence des urines et des matières fécales. Ces phénomènes ont déb
notique. Voir Ilcoo- lisi,ie. - Voir Hystérie. Von incontinence d' urine . Voit- Impuissance génitale. - 1'u,r Troubles
42 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ar le nez. Les fonctions digestives s'accomplissent bien. La malade urine bien, demande le bassin tous les jours ou tous
, les sons, sont parfaitement perçus. Il n'y a pas d'incontinence d' urine ni des matières, quoique, en réalité, la malade
intention. Du côté droit, il y eut suppuration. L'incon- tinence d' urine nécessita un changement perpétuel du pansement.
après-midi, nuit), chez des individus dont nous avons examiné les urines pendant l'état de repos. L'élimination de 1 Voy
l'azote. La physiologie nous apprend que l'azote éliminé par les urines est intimement lié à l'alimentation, d'une part,
quantité relativement considérable d'azote trouvé en moins dans les urines ; cela devient impossible lorsqu'on réfléchit que
de la nutrition ; et comme le chiffre de l'azote contenu dans les urines peut « servir à mesurer l'énergie avec laquelle s
générale : les phos- phates terreux qu'on retrouve en plus dans les urines à la suite du travail intellectuel ne provienne
'acide phosphorique uni aux terres, qu'on retrouve en plus dans les urines sous l'influence du travail intellectuel, est d
acide phosphorique uni aux terres, qu'on retrouve en excès dans les urines à lasuite du travailintellectuel, est de l'acide
'acide phosphorique uni aux terres qu'on retrouve en excès dans les urines lorsque le cer- veau fonctionne étant un produi
emment une partie des phosphates alcalins trouvés en moins dans les urines , sous l'in- fluence du travail intellectuel, so
NTELLECTUEL MODIFIE l'élimination DE L'A- CIDE PHOSPHORIQUE par LES URINES ; IL DIMINUE LE CHIFFRE DE l'acide PHOSPHORIQUE
érieures (jambe gauche principalement), enfin de l'in- continence d' urine et une soudaine et complète paralysie de la jam
droite, paralysie complète de la vessie (écoulement inconscient d' urine goutte à goutte), gâtisme, extrême dépression psy
peau, miction au lit); elle s'élimine par les poumons et non par l' urine (procédé en décelant un dixième pour cent dans
boulimie diabétique, mais l'ana- 116 SOCIÉTÉS SAVANTES. lyse des urines sera faite demain et j'en donnerai le résultat à
e, sur les 1 M. Magnan nous communique le résultat de l'analyse des urines de sa malade qui ne contiennent pas de sucre. M
estif et ses annexes ne présentent absolu- ment rien d'anormal. Les urines ont été analysées par 'M. 'le Dr Denigés, chef
nique. Voici les résultats de cette analyse : Quantité totale des urines recueillies du 25 au 26 mars 1883 : 1000 c. c.
llies du 25 au 26 mars 1883 : 1000 c. c. - la Examen du dépôt : L' urine , laissée au repos pendant huit heures, présente
aves. En plus, paralysie des membres inférieurs avec incontinence d' urine et de matières fécales. Intelligence in- tacte.
BSTIIÉoOE faciale, dysesthésie linguale, sialormiée, Toux, cuises d' urine ; par le Dr Archibald WATSON. (Fr. méd. 4884,1.)
En second lieu, dans les derniers stades de l'abstinence absolue, l' urine contient de l'albumine issue des reins. Cette a
u s'expliquer plus simplement sort besoin fié manger. L'analyse dès urines faite à deux reprises par l'in- ternt én pharma
rent sentir. Il s'y joignit une constipation tenace, rétention de l' urine et huit mois après le commencement de la maladi
orsale, et de douleurs continues dans les jambes. L'émission de l' urine est plus fréquente et plus douloureuse quoique
mission de l'urine est plus fréquente et plus douloureuse quoique l' urine ait les qualités normales; constipation. Dès le
omanie. - Allégation fausse d'une incontinence nocturne et diurne d' urine avec morsures de la langue et inconscience ae c
tait depuis son en- fance ; il avait, disait-il, une incontinence d' urine nocturne DES INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTI
hute inconsciente des objets avait coïncidé avec une incontinence d' urine tout aussi inconsciente. Enfin, en 1871, il aur
int, jusqu'à l'âge de seize ou dix-sept ans, d'une incontinence d' urine , depuis une vingtaine d'années il était guéri de
en '< 877 ; transfert à Bicétre en 1881. Incontinence nocturne d' urine . Traitement ; école, uymnas- tique : améliorati
eptembre -1884, parce qu'il est atteint d'incontinence noc- turne d' urine . Les notes prises sur lui pendant son premier séj
igeon. Il avoue se masturber encore quelquefois. L'incontinence d' urine a diminué, mais n'a pas complètement disparu. O
se croit amputé des parties génitales et, dans cette conviction, il urine dans son lit ou dans ses vêtements. Les traitem
deux jours : pas de vomissements. - Né- vralgie occipitale. 14. - Urines abondantes (chiendent). 2 f écrier. Mêmes impul
e médication appropriée, à faire baisser le sucre éliminé par les urines . Elles résistent le plus souvent à toute autre mé
ans (Cas. XLIX). Cette femme, qui rendait chaque jour deux litres d' urine contenant 50 grammes de-sucre par litre, fut pr
n- cidé avec une augmentation du chiffre de sucre éliminé par les urines . Elles se dissipèrent avec l'abaissement de la gl
LXIX) assez fortement diabétique, rendant 4700 centimètres cubes d' urine avec 40 grammes de sucre par litre. Tout en rel
Olivier; car, bien que nous ayons souvent recherché le sucre dans l' urine des sujets frappés d'hémorragie cérébrale, nous
hénomènes cérébraux qui coexistent avec la présence du sucre dans l' urine nous paraissent plutôt un effet qu'une cause du
uroncles, et l'on avait même constaté la présence du sucre dans ses urines antérieurement à l'éclosion des troubles nerveu
43 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Père : peintre en bâtiment, mort à trente-huit ans, de rétention d' urine . C'était un homme assez sobre, intelligent et b
ciser, fièvre typhoïde. Il n'a jamais eu ni incontinence nocturne d' urine , ni attaque de nerfs, ni accès d'épilepsie, ni
énérale est absolument satisfaisante. Le malade, cependant, boit et urine beaucoup. Son urine est ambrée, légèrement trou
nt satisfaisante. Le malade, cependant, boit et urine beaucoup. Son urine est ambrée, légèrement trouble et saquantité va
cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice et sensitive, rétention d' urines et de selles; à une étape plus ou moins ultérie
un peu, le malade avait une grande difficulté à les soulever. Les urines et les matières fécales étaient rendues sans que
rois mois de soin à Aden, G... fut rapatrié, il ne perdait plus ses urines et pouvait alors se tenir un peu sur ses jambes
quand il était très fatigué, il lui arrivait la nuit de perdre ses urines . En 1870, il fut rappelé à bord du Montcalin, m
ibles, elles ployaient sous lui, ne perdait qu'accidentellement ses urines , la nuit, quand il était très fatigué, mais resse
rantes, crises gastriques, aboli- tioit de réflexes, incontinence d' urine accidentelle, constipation habituelle, érection
abolie. N'oublions pas d'ajouter qu'il a rendu involontairement ses urines et ses selles. Le 18 mars au matin, le malade c
ement couslalable par les procédés élémentaires. L'incontinence d' urines ne survient qu'accidentellement, sur- tout aprè
et l'invasion de la paraplégie. Paraplégie, anesthésie, rétention d' urines , fièvre légère. Vers la fin de juin, douleurs u
fulgurantes. Chute des ongles. Pollution par crises. Incontinence d' urines pai-oxystique, spasmodique. Traitement suivi de
ce, qui se fait d'une manière paroxystique; tout d'un coup un jet d' urine lui échappe involontairement. Il n'y a rien d
nt consisté, chez ceux des Observations XX et XXI en incontinence d' urines , tandis que chez celui de l'O13SER\'A1'ION XXII
oque servait à prolonger le supplice du malade; 2° l'incontinence d' urines . L'incontinence d'urines des malades des Observ
supplice du malade; 2° l'incontinence d'urines. L'incontinence d' urines des malades des Observations XX et XXI paraît d
e, ayant lieu d'une manière pa- roxystique; tout d'un coup un jet d' urine lui échappe involontairement. c). Symptômes r
n de la sensibilité du même membre. Un certain degré de rétention d' urines . Le 13 août, possibilité de marcher à 1'tii(le d'
. Le malade à ce moment aurait eu un certain degré de rétention d' urines ; il était forcé de pousser pour faire rendre l'ur
e rétention d'urines; il était forcé de pousser pour faire rendre l' urine . Rien du côté du rectum. 11 a été forcé de gard
marcher un peu à l'aide d'une béquille. A ce moment, la rétention d' urines a été remplacée par une fréquence d'uriner dix
st obligé d'uriner dès le besoin perçu.$. S'il veut y résister, ses urines alors lui échappent involontaire- ment. Les fon
troubles cardiaques et vésicaux, anomalies de la salivation et de l' urine , recherche de l'ovarie, signes de dégénérescenc
s furent des constipations et, de temps à autre, des rétentions d' urine ; à l'âge de quarante et un ans, se produisirent d
d'anes- 190 PATHOLOGIE NERVEUSE. thésie. Sens musculaire aboli. L' urine et les excréments s'échap- pent souvent involon
attaques. Catarrhe très violent de la vessie avec réten- tion de l' urine ; grâce à ce dernier phénomène, le docteur qui la
ncore maintenant; de temps à autre, elle commença à remarquer que l' urine s'échappait involontairement pendant la marche.
té était complètement abolie. Il y avait en outre de la rétention d' urines et de selles, ayant nécessité l'emploi de la so
sans appui, traînant toutefois les jambes. Il a pu rendre seul ses urines . Enfin, le soir, le malade était complètement e
ité générale et sensorielle et du sens musculaire. Rien du côté des urines . Les fonctions du coeur et des autres organes p
ant il arrive de temps en temps que J... est atteint de rétention d' urine . La nutrition des muscles est parfaitement norm
absolue et tendance, peu fréquente il est vrai, à la ré- tention d' urine ; 5) dans le pseudo-tabes, il n'a pas de étude d
. Il n'y a pas de convulsions. Il n'a rendu involontairement ni ses urines , ni ses matières fécales.Hn'yapasdepriapisme.
s liés fortes au bas-ventre et à la région lombaire. La rétention d' urines concomitante a rendu nécessaire trois fois l'ap
avant son aecident. A ce moment, il a rendu involontairement ses urines et ses selles. Les mois suivants, le malade n'ava
s inférieurs avec anesthésie et un certain degré de réten- tion d' urines qui, elle aussi, peut survenir à titre de forme
plète dans deux heures. A ce moment, le malade a eu une rétention d' urine qui a néces- sité le sondage. La constipation e
s pas. La sensibilité aurait été diminuée. Il n'a pas pu rendre ses urines ni ses selles. A 5 heures du soir, il revient à
trace de paralysie. La sensibilité est normale, il a pu rendre ses urines tout seul. Enfin rien, et le lendemain matin il
e genre Eschares sacrées à formation rapide. Troubles uriuaires : l' urine est albumineuse, ammonia- cale et parfois sangu
ar des pressions fortes à l'hypogastre, de provoquer la sortie de l' urine ; de là et du séjour prolongé de l'urine dans l
e provoquer la sortie de l'urine ; de là et du séjour prolongé de l' urine dans la vessie, survint l'inflammation de celle-c
44 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
niste. Pas d'antécédents hérédi- taires. Nervosisme. Incontinence d' urine pendant l'enfance. Jamais de mala- dies graves.
tache est peu abondante. La barbe manque à peu près complètement. L' urine est claire, de réaction acide : densité 10,10, pa
t symétrique des téguments des membres infé- rieurs. L'examen des urines a donné les résultats suivants : TROPIIOEDÈIE C
aux Urologues empiriques, où ceux-ci sont traités de « médecins aux urines », « zcroscopuva », et accessoirement de « miséra
le ventre et la poitrine, J'aurais un beau teston pour juger d'une urine , Et me prenant le nez, loucher dans un bassin
médecin)... Monsieur Gorgibus, n'y aurait-il pas moyen d'avoir de l' urine de l'égrotante ? ... Voilà de l'urine qui marque
ait-il pas moyen d'avoir de l'urine de l'égrotante ? ... Voilà de l' urine qui marque grande grande inflammation dans les
are : FALSTAFF. Eh bien, maraud, colosse, que dit le docteur de mon urine ? LE Page. Il a dit, Monsieur, que l'urine étai
ue dit le docteur de mon urine ? LE Page. Il a dit, Monsieur, que l' urine était, par elle-même une bonne et saine urine,
dit, Monsieur, que l'urine était, par elle-même une bonne et saine urine , mais que quant à la personne dont elle sortait,
e- (1) Janus, 15 avril J902. 64 HENRY MEIGE bas. On portera son urine demain au médecin. Prends garde que l'urinai so
l'intérieur d'eau et de cendres. Maximilien le médecin regarde les urines et sait bien y voir si les gens sont malades. E
enant quelques nouvelles oeuvres d'art inspirées par la science des urines . J'ai signalé très brièvement dans ma précédent
i en quel dangier se mettent les malades, lesquels envolent de leur urine aux apoticaires pour monstrer aux médecins. Les a
ccidentz qui ne sont point, aussi qui ne se cognoissenl point par l' urine , car plusieurs maladies adviennent au corps des-
'urine, car plusieurs maladies adviennent au corps des- quelles les urines ne atestifient rien, et font cela affin que le mé
e les pharmaciens se sont occu- pés de l'examen et de l'analyse des urines (La 3° édition do Y Officine de Dorvault, publi
Dorvault, publiée en 1850, contient, p. 76o, un long chapitre sur l' urine qui ne se trouve pas dans les deux éditions pré
s précédentes) ». Je crois, en effet, que l'examen scientifique des urines pratiqué par les pharmaciens ne remonte pas à u
il n'est pas besoin de faire de grands frais. Seul, le médecin aux urines apporte une note pompeuse dans cet intérieur rus-
le geste même de ce personnage, exclut l'hypothèse d'un examen des urines . Cependanl l'Alchimie et l'Urologie allaient so
ficile, a jugé prudent de s'adresser aux lumières de la science des urines . On a donc apporté l'urinai, dont le réci pien
e et d'un diagnostic de grossesse : divination par l'inspection des urines permettant de certifier l'existence d'un germe
ation entre les cavités vésicales et autres,... De là àcroire que l' urine de la femme peut contenir des traces visibles d
est venue consulter un médecin ; elle a apporté une petite fiole d' urine . Le médecin la regarde, fronce le sourcil, fait l
e el par bé- mol », et prétendaient reconnaître à la couleur de ses urines , si une jeune et jolie fille avait jeté son bon
du foie, de la rate, du coeur, des gros vaisseaux, des reins et des urines , de l'appareil génital. ' On ne constate aux po
e boule d'eau chaude. , « Les réflexes rotuliens sont exagérés. Urines et selles involontaires. A son entrée, la malad
le compare à ce qu'il était autrefois. La soif est toujours vive ; il urine de 5 à 6 litres par jour ; son urine renferme d
La soif est toujours vive ; il urine de 5 à 6 litres par jour ; son urine renferme de 40 à 50 grammes de glycose par litre
accroissement exagéré du corps, souvent la présence du sucre dans l' urine et les signes généraux des tumeurs cérébrales,
de saturnisme, pas de diabète. Pas d'onychophagie ni d'incontinence d' urine dans son jeune âge. Enfant unique, très nerveux
en présente pas les symptômes ; enfin l'ab- sence de sucre dans les urines élimine, indépendamment de la différence de tab
. Dans son enfance, il était atteint d'incontinence essen- tielle d' urine . C'est un homme de stature moyenne et d'une const
elques mictions involontaires ; le malade n'a pas la sensation de l' urine passant dans le canal. Pas d'anesthésie du gl
ns le canal. Pas d'anesthésie du gland, du périnée, du scrotum. Urines claires, sans sucre, ni albumine. Organes des s
r le foyer de l'aorte, arythmie. La malade est un peu dyspnéi- que. Urines albumineuses légèrement. La ponction de la plèvre
es tendineux très affaiblis. Les résultats fournis par l'examen des urines (1) el du sang (2), l'ab- (1) L'analyse de l'ur
ar l'examen des urines (1) el du sang (2), l'ab- (1) L'analyse de l' urine a donné les résultats suivants : volume d'urine e
(1) L'analyse de l'urine a donné les résultats suivants : volume d' urine excrété en 24 heures : 1100 centimètres cubes ;
ppré- ciables. ' - Nous signalerons le résultat de nos analyses d' urine dans trois cas de trophoedème : . LE PSEUDO-O
bles trophiques comme la xérodermie (Jiudiceandrea). L'examen des urines a montré que l'excrétion en quantité est peut-êtr
légèrement diminuée et que, par ailleurs, les autres éléments de l' urine s'y trouvent en quantité normale. Le syndrome
45 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tout différents de ce qu'ils sont chez les hystériques ; et si les urines étaient peu abondantes, leur quantité s'élevait
ée, mais elle n'en a pas assez, car son ventre est ballonné; elle n' urine pas assez; on lui donne trop à manger. » Il exi
ement violente. Les accès se jugeaient par une polyurie excessive d' urine très diluée, très peu dense, sans sucre ni albu
chimiques du diabète sucré. En effet, la composition chimique de l' urine , du sang, voire de tous les organes, peut s'éca
ssible d'y voir la cause de la modalité patholo- gique du muscle. L' urine du malade contenait du sucre en perma- nence, a
ée, reste chargée d'une quantité donnée et élimine l'excédent par l' urine , soit à un moment donné, la quantité correspond
duits par les aliments, plus de 93 gr. de chlorure de sodium, par l' urine . Il perdit donc plus de 26 gr. de chlorure de s
de sodium on a considérablement augmenté l'élimination du Br. par l' urine . Chez deux malades, pendant les premiers jours
mment un ou deux jours avant l'accès, invariablement, la quantité d' urine dimi- nuait en môme temps que sa densité montai
ine des nerfs cruraux, obturateurs et cutanés externes. Rétention d' urine . L'affection fait des progrès rapides : vers le
r, cyanose des membres inférieurs. De temps à autre, incontinence d' urine , plus souvent rétention absolue. Urines trouble
emps à autre, incontinence d'urine, plus souvent rétention absolue. Urines troubles, ammoniacales; pas d'albumine. Consti-
il n'y a que la face dont la sensibilité reste intacte. Rétention d' urine permanente. Escarres très vastes, ulcère profon
ndes oscillations de la température (35-38°). Diarrhées - profuses, urines purulentes : Le 27 novembre, paralysie du voile
état des voies digestives de la malade, de la qualité toxique des urines , et s'entendre sur la valeur du mot série, différ
spontanément ou à l'aide de la sonde au moment de l'injection, les urines ont été recueillies de demi-heure en demi-heure
a première journée, et enfin de deux en deux heures. L'examen des urines a été fait à chaud et à froid, soit par simple
ion avec ou sans le secours du chloroforme,soit dans certains cas d' urines très pigmentées, en précipitant les pigments pa
ccès. Ainsi chez Vaud..., après une injection faite le 20 juin, les urines contenaient encore du bleu à la 95° heure bien qu
à 0 à la 32° heure pour redevenir bleu foncé à la 1° heure. - Les urines n'ont pas été prises entre la 1° et la 42° heure.
eau. En même temps, on constate chez quelques- uns de l'iode dans l' urine . , Mais à côté de ces cas particuliers, il est
d'une auréole rouge. - Désordres génito-urinaires. Les rétentions d' urine sont si fré- quentes chez ce malade qu'il est f
Ces rétentions ont lieu seulement le matin. A chaque évacuation l' urine est précédée de quelques gouttes de pus et le jet
l y a contractions vésicales et rectales. L'urètre est perméable. L' urine est troublée, à peine acide, char- gée de pus e
de soude, salol et acides minéraux, a fait disparaître le pus de l' urine en lui resti- tuant en partie sa limpidité, quo
rotuliens ; immobilité des pupilles à la lumière ; inconti- nence d' urine ; constipation. L'affection date de cinq-six ans
lysie brusque de la jambe gauche en même temps qu'une rétention d' urine . Le 8 avril on constate l'absence des réflexes ro
respiration et de l'expectoration); dé- cubitus sacré, rétention d' urine et de matières; fièvre il type irrégulier, 37,5
hénomènes céré- braux, en même temps que l'urobiline décelée dans l' urine indique le fonctionnement imparfait du foie. Da
ouvement fébrile assez marqué ; les HÉPATISME ET PSYCHOSES. 359 urines , rares, sont d'un brun rouge très foncé et laisse
e, T. M. 38° 4; T. S. 39° 8. Régime lacté ; traitement approprié. L' urine ne contient ni albumine, ni sucre. 24. - T. m.
est dans une demi-somno- lence continuelle. 25. T. m. 37° 4. Les urines sont redevenues claires. Le soir, la fièvre rep
ppropriée. Du 5 au 13 décembre, la fièvre cesse de se montrer ; les urines sont claires et abondantes, sans albumine ni su
que nous semble pouvoir être incriminée dans le cas précédent : les urines hémaphéiques du début, la fièvre avec ses allur
iser davantage faute d'avoir pu nous livrer à l'examen chimique des urines et d'avoir pu suivre le malade jusqu'au bout. E
isse pas volontiers examiner. Coeur sain. En raison du gâtisme, les urines ne peuvent être examinées. , 8. - Hébétude, o
langue, se disait un chat, un chien. La nuit a été calme et propre. Urines pâles, floconneuses; une goutte d'acide leur rend
urtout à gauche. Le foie parait considérablement diminué de volume. Urines brunes, chargées de pigment biliaire. Vomisse-
En avril 1875, ictère généralisé intense ; décoloration des selles, urines d'un vert foncé. Le foie est tuméfié, la matité e
ont évolué sans fièvre ; 10 fois on a trouvé de l'albumine dans les urines . Le sommeil cri- tique est survenu du deuxième
ements non pédérastiques; dégoût du corps de la femme. L'odeur de l' urine étrangère, même en décomposition ou chaude, don
dans sa bouche, excite chez lui l'orgasme vénérien ; il prend de l' urine d'homme ou faute de mieux, de l'urine de femme (m
asme vénérien ; il prend de l'urine d'homme ou faute de mieux, de l' urine de femme (maso- chisme larvé). L'excitation sex
ût dans le wagon soulevé. Le même phénomène a lieu en présence de l' urine féminine, des linges sales de femmes, mais le c
LI. La signification pathogénique DES substances toxiques dans l' urine DES aliénés; par PELLEGRINI. (Riv. sp. di fren.,
liénés; par PELLEGRINI. (Riv. sp. di fren., fasc. I, 1897.) , Les urines des aliénés renferment en général un excès d'endo
LOGIE PATHOLOGIQUES. 495 urotoxique est d'autant plus élevé que les urines contiennent une plus grande quantité de cette s
l ! . 31. Typhoïde. Fièvre chez les alié- nés, par Hyvert, 103. Urine . Substances toxiques de l' - des aliénés, par l
46 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
nt une période de 7 ou 8 mois. Ch... a eu aussi de l'incontinence d' urine , dans le jeune âge. Il est père d'une petite fi
fs et des lavements. Il urinait sans difficulté à cette époque, ses urines étaient normales. Voici, d'autre part, l'état
ensibilité élec- tro-musculaire est un peu augmentée. Analyse des urines . - Rien de spécial ; on note quelques granules d'
'hypertrophie de la rate. 54 ' sabrazès ET BRENGUES Le volume des urines est d'environ 700 ce. par 24 heures. La difficult
émue. Elle accourut, visita les victi- mes, tâta le pouls, lorgna l' urine , drogua, purgea, saigna, puis, finale- ment,...
e verre. L'urinai comme son nom l'indique, servait à recueillir les urines du malade, dont le médecin exami- nait la limpi
urinaire ni de tendance à la rétention. Mictions non douloureuses. Urine émise pendant 24 heures avec un régime composé
s et qui sont loin d'être toujours inof- lessives. INCONTINENCE D' URINE D'ORIGINE HYSTÉRIQUE PAR R P. RAVAUT Intern
qui au cours de son séjour à l'hôpital fut atteint d'incontinence d' urine de même nature que son tremblement ; bien que l
rine de même nature que son tremblement ; bien que l'incontinence d' urine d'origine hystérique soit un fait rare, mais bi
nuit sans qu'il s'en aperçût et mal- gré lui : cette incontinence d' urine succédant à cette série de manifesta- tions hys
e anesthésie desmu- queuses vésicale et uréthrate. INCONTINENCE D' URINE D'OtUGINE UYSTÉRIQUE 169 Tel était le fait, res
t, restait à l'expliquer : la physiologie nous montre que lorsque l' urine a trop distendu la paroi vésicale, celle-ci réagi
op distendu la paroi vésicale, celle-ci réagit, se con- tracte et l' urine expulsée arrive au contact de la muqueuse prostat
lexe qui se tra- duit par la contraction du sphincter uréthral et l' urine ne pouvant aller plus loin rentre dans la vessi
araître, la contraction du sphincter uréthral ne se l'ait plus et l' urine s'écoule au sur et à mesure de son arrivée dans
re de son arrivée dans la vessie, donnant lieu à une incontinence d' urine analogue à celle qui accompagne les paralysies du
s parties normales. Appareils respiratoire et circulatoire normaux. Urines très albumineuses, 3 grammes environ par 24 heu
plus accentuées. A ce niveau la peau est fine et transparente. Les urines renferment toujours une grande quan- tité d'alb
des cuisses, augmentent de vo- lume. Au lit, elles diminuent et les urines deviennent plus abondantes. Nous ne nous étendr
il ne serait pas mauvais que son médecin fit un examen sommaire des urines . Peut-être sommes-nous ici en présence d'un de
ants atteints d'incontinence nocturne xu £ 20 294 E. HERTOGUE d' urine . Très souvent les testicules sont appliqués encor
articulaire aigu, et pendant longtemps a eu de l'albumine dans ses urines . Durant sa seconde grossesse, elle a vu les veine
me généralisé. A partir de ce moment, il y a eu de l'incontinence d' urine la nuit; toutes les nuits, sans exception aucune,
m. G12, ce qui dépasse la normale. (Fig. 28.) Il est incontinent d' urines la nuit. Les pieds sont extrê- NOUV. ICO-.IOC;R
ade. Il a réduit pres- que complètement l'incontinence nocturne des urines . Les pieds sont bien moins fétides. La taille s
ent facilement. Les parties génitales sont très peu développées. Il urine au lit toutes les nuits. La mère (44 ans) souff
kg. 100 à 42 kg. 100. A l'heure actuelle, l'incontinence nocturne d' urines a complètement disparu. HOSPICE DE BICÊ'TRE.
pousser pour pouvoir uriner, et elle ne sent pas le pas- sage de l' urine pendant l'émission, à aucun moment elle n'a eu d'
it quelquefois atten- dre et pousser pour provoquer l'émission de l' urine , il n'y a pas d'insensibilité du canal. Les c
ri- ner et l'anesthésie du canal persiste ; rien d'anormal dans les urines , les rè- yles sont toujours régulières. Pl. I
sont normales, il n'y a pas d'anesthésie du sphincter. L'examen des urines ne révèle rien de spécial. L'examen des yeux mo
vélation en vérité ! Ne voilà-t-il pas qu'au fond de la bouteille à urines , il se produit une sorte de remous où bientôt app
oût, odorat, ouïe normaux. Pas de phénomènes psychiques anormaux. Urine facilement, pas d'incontinence vésicale ou anale.
tendance à la constipa- tion. Appareil urinaire. Rien de spécial, urines claires, abondantes. 15 mars. - La déglutition
momanomètre du Professeur Po- tain, chiffre tout à fait normal. Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Leur quan
la diplopie. Au début également elle aurait eu de l'incontinence d' urine et des matières avec de l'anesthésie des sphinc
is son entrée à la Salpêtrière, il s'est déclaré de la rétention de l' urine qui a nécessité des sondages et qui persiste en
nt disparu, il n'y a plus d'insensibilité du canal : l'analyse de l' urine ne révèle rien de spécial. Les règles ne vienne
reuses peinturée suggérées par les Médecins empiriques, docteurs ès urines , dont toute la science diagnostique était enclo
elle menacée de devenir hydro- pique ? Vite, que l'on recueille ses urines et qu'on les porte chez l'empi- rique à l'oeil
, clignant de l'oeil, inspecte d'un air entendu le petit ballon aux urines qu'il vient d'extraire de son panier. Ce qu'il
ns sont en excellent état (il n'y a pas trace d'al- bumine dans les urines ) ; d'ailleurs l'affection est franchement unilaté
s renseignements né- gatifs : coeur normal, pas d'albumine dans les urines , aucun désordre des organes abdominaux. A 14
enant sans lésion viscérale apprécia- ble et sans modifications des urines . Chez certains malades, l'apparition de l'oedèm
issement mitral, mais n'avait jamais eu de crises asystoliques. Les urines ne contenaient pas d'albumine. Ce n'était donc
risme, quelquefois vomissements, suppres- sion presque complète des urines , quelquefois albuminurie, obnubilation sensorie
sont pas trop fréquentes, mais elles se font un peu at- tendre. Les urines normales comme quantité ne contiennent ni sucre,
47 (1911) La pratique neurologique
que; appareil circulatoire ma- lade (vaisseaux, coeur) ; examen des urines . Tumeur. Céphalée, hébétude; néoplasie ailleurs
ide dphalocr : 1chirlien ana- logue au trouble de la sécrétion de l' urine , caractérisé aussi par un excès de sécrétion al
les diabétiques au coma (vertige acétoné- mique ? ) : l'examen des urines donnera de précieuses indications dia- gnostiqu
urer de l'état de la vessie et de l'évacuer au besoin. L'examen des urines permettra la reconnaissance éventuelle d'albumine
sance est souvent fugitive : au réveil, il y a émission abondante d' urines nerveuses et le tremblement est fréquent. On n'ac
danum par exemple), par la constatation d'oedènws, par l'examen des urines , du pouls, de la respiration. Il est important
Stokes),. suspirieuse et profonde dans le second (Kussmaul-King). L' urine retirée de la vessie montre du sucre chez celui
e foie est gros; la vessie ne renferme ! que quelques grammes d'une urine extrêmement albuinineuse; les excréta présenten
tère cérébrale' postérieure. Les malades perdent inconsciemment les urines et les matières fécales. Le plus souvent cet état
tard, on constate le plus souvent de la constipation, et le malade urine goutte à goutte par regorgement. Ce phénomène e
éralement frappant lorsque l'on regarde marcher le paraplégique : l' urine s'échappe et roule sur les membres déplacés avec
t l'existence de mictions impérieuses. Jamais le malade ne perd ses urines goutte à goutte ou n'urine dans son pantalon sa
périeuses. Jamais le malade ne perd ses urines goutte à goutte ou n' urine dans son pantalon sans s'en rendre compte; mais
es ou d'une minute au plus, il ne peut se retenir plus longtemps et urine dans ses vêtements. Ce symptôme est, dans sa ne
noncés. Il y a quelquefois au début du priapisme, de la rétention d' urine avec miction vraie. Le malade garde le lit. Les
rdinairement d'assez vives douleurs. Les sphincters sont paralysés, urine et matières souillent le malade. Des escarres s
halée souvent, d'autres fois par de la tympauite, de la rétention d' urine , de la constipation ou des troubles menstruels. A
des réflexes, et par- fois de l'incontinence ou de la rétention des urines . Les malades finissent par être tout à fait imp
diagnostic. Il yole le plus souvent constipation et incontinence d' urine . On note, comme caractères distinctifs propres
ptiformes mais jamais de morsure de la langue ni d'incon- tinence d' urine . L'étal syncopa) suffit à faire cesser le spasme
es signes manifestes de tabès (douleurs fulgurantes, incontinence d' urine , lymphocytose, etc.), qui avaient précédé et ac
nvulsion. On observe tantôt la rétention, tantôt l'incontinence des urines et des matières; les convulsions peuvent en eff
t à l'Interrogatoire, à la recherche de la lièvre, à l'exa- men des urines . Les convulsions symptomatiques de lésions céré
ne) que chez l'adulte, seront facilement reconnues par l'examen des urines et les commémoratifs. Les convulsions épileptiq
érencient du mal comitial, outre la présence de l'albumine dans les urines : l'accès éclamptique est pré- cédé de quelques
iale. En dehors de l'éclampsie, la recherche de l'albumine dans les urines peut encore être une source de renseignements p
besoin il sonde le malade pour se procurer la quantité nécessaire d' urine . Ce sera le seul moyen de déceler Y urémie conv
, on peut observer des évacua- tions involontaires de matières et d' urines . Le pouls est fréquent, la pression artérielle
ulature respiratoire participe il la convulsion. L'éva- cuation des urines et des mat ières fécales s'observe comme précédem
ubliera pas de constater lui-même si la langue a été mordue, si les urines ont été rejetées et si le malade s'est blessé;
ertoreuse : le praticien recherchera s'il n'y a pas eu évacuation d' urine ou morsure de la langue pendant la nuit, s'il n'y
e, elle apparaît sans motif apparent, s'accompagne d'incontinence d' urine , de morsure de la langue, est suivie d'une long
ces caractères, morsure' de la langue, évacuation invo- lontaire d' urine , peuvent se rencontrer accidentellement dans le p
tats trouvés par les auteurs sont tout à l'ait contradictoires. Les urines sont modifiées, il y a diminution de leur quant
ntité et modification dans l'élimination des éléments anormaux de l' urine sans que nous puissions nous arrêter ici sur ce p
t à ne négliger aucun moyen d'exploration. Certains trou- bles de l' urine , tels que l'waltlric, la phosphalurie sont des ca
une certaine douleur sur le trajet de l'uretère. Pendant la crise l' urine diminue de quantité, quelquefois une polyurie a
sont quelquefois l'occasion de douleurs atroces ; la séparation des urines , et surtout le cathétérisme des uretères ne ser
tuel, la dyspepsie, etc.; loca- leruent i mcontinence nocturne de l' urine , l'abus du coït, la masturba- tion, la sperinal
ble, lente à venir, entrecoupée; le jet est diminué, au point que l' urine sort goutte' à goutte, ce qui en imposé pour un
raction prématurée du sphincter amène une rétention incomplète de l' urine . En général bénignes et d'assez courte durée, l
t reste plutôt affaibli et la pression vésicale s'abaisse. Enfin, l' urine ne renferme ni micro-organismes ni éléments ano
ractères fondamentaux : fréquence, douleur mictionnelle, pus dans l' urine ; les deux premiers prêtent à confusion, le dern
étro-prostatite, une pyélite déversant du pus qui se mélange dans l' urine et provoquant des crises vésicales. Un calcul vés
le; les divers viscères abdominaux; faire des analyses répétées des urines , chimiques, histologiques et bactériolo- giques
urantes qu'elle précède. Enfin, à chaque miction. le pas- sage de l' urine provoque une sensation de brùlure plus ou moins v
il y a rétention : celle-ci est complète lorsque la totalité de. l' urine est retenue, et incomplète lorsque, après l'émiss
t incomplète lorsque, après l'émission d'une certaine quantité de l' urine , une autre partie, grande ou petite, ne peut être
fois, après des efforts de miction infructueuse, quelques gouttes d' urine s'écoulent involontairement : phénomènes initiaux
ercevoir l'acte IlIictiol1lH'l, soit de mictions incon- scientes, l' urine , s'écoulant parce que la vessie et le col, anesth
muscles abdominaux produisent t'evacuation d'une petite quantité d' urine ; aussi est-il indispensable de s'assurer, par l
ents contenant la sonde et l'huile, etc. ou destinés à recueillir l' urine , de découvrir le malade, d'entourer les cuisses
neux qui cède facilement : la traversée prostatique étant l'aile, l' urine s'écoule. Il faut en régler le débit de manière
n bouchera avec le doigt le pavillon de la sonde, pour ne laisser l' urine s'écouler que par un filet mince, presque goutt
ne faut jamais vider une vessie distendue en une rois. Si me ! ne l' urine ] tarait déjà infectée on introduira dans la ve
erismc aussi souvent qu'il sera nécessaire, et en , INCONTINENCES D' URINE . 955 cas de.difficulté d'introduction on laisse
on vers les voies supérieures de l'infection est la stagnation de l' urine dans le bas-fond. INCONTINENCES D'URINE Quand
on est la stagnation de l'urine dans le bas-fond. INCONTINENCES D' URINE Quand l'urine s'échappe de la vessie, soit d'nn
nation de l'urine dans le bas-fond. INCONTINENCES D'URINE Quand l' urine s'échappe de la vessie, soit d'nnc'll1anière cont
opposer, il y a incontinence. En réalité, l'issue involontaire de l' urine résulte de quatre phénomènes distincts, quoique
poser; b, miction inconsciente : la vessie se contracteet expulse l' urine , le malade ne s'aperçoit de la miction que parce
e ne s'aperçoit de la miction que parce qu'il se sent mouillé par l' urine évacuée ; c, incontinence vraie ; les contraction
nce vraie ; les contractions de l'appareil sphinctérien manquent, l' urine s'écoule constamment; d, incon- tinence par reg
accès, les vertiges, les absences; le malade, perdant connaissance, urine sans le vouloir ou ne résiste que quelques inst
es mictions involontaires ou à une incontinence vraie, l'issue de l' urine se fait différemment. Dans les deux cas, le mal
ne se fait différemment. Dans les deux cas, le malade est mouillé d' urine , mais dans' le premier, on peut assister à l'ém
ts, mais seulement lorsque la vessie retient une notable quantité d' urine . Or, dans certaines maladies du système nerveux
ment s'établit très vite, nous l'avons vu, et une faible quantité d' urine produit le regor- gement qui n'a lieu qu'avec u
avons expliquées ailleurs (voir rétention).. En cas de retenue de l' urine , le pronostic est relativement favorable, car des
faire cesser ou tout au moins de diminuer l'issue involontaire des urines . Ces dernières sont ordinairement limpides au d
habitude, est impropre, car les petits malades ne perdent pas leur urine inconsciemment : le nom de miction involontaire
e (rare), tuberculose, etc.), ou n'est autre qu'une altération de l' urine (acidité excessive, albuminurie, glycosurie). 2
né, la tète dans une position déclive pour éviter que la masse de l' urine ne pèse sur le col. Récemment Cathelin a appliq
de symptômes propres : ni douleurs, ni troubles mictionnels, mais l' urine louche et trouble en masse dégage une odeur fad
i avec ses caractères habituels, fréquence, douleurs, purulence des urines : mais ceux-ci sont influencés par l'état du mu
ides, de. l'amaigrissement ; comme symptômes locaux, on observe des urines troubles en niasse, ne s'éclaircissant pas par
pétition dépendra de la marche de la maladie et de l'abondance de l' urine retenue. Une faible quantité, de 40 à 50 grammes
les crises de névralgies rénale ou vésicale, soit que la « crise d' urine » se maintienne en dehors de toute douleur. La
moins prononcée. On « signalé jusqu'à 15, : W, même : 2;) litres d' urine rendue en 24 heures, [E. DESNOS.] 964 TROUBLE
e, tout au moins l'excitabilité vésicale est créée. La quantité d' urine rendue impose le diagnostic, mais on ne doit con-
tanos, dans des cas de compression médullaire on a vu la quantité d' urine tomber à 200 ou 300 gr. et revenir à la normale
ents, sueurs profuses, sialorrée, diarrée, etc., puis tout à coup l' urine reparait, mais en faible quantité. L'oligurie
es, sans donner lieu à des troubles notables de la santé. On voit l' urine tomber à 00, 50, même 20 grammes dans les vingt
un Lui inqualifiable, ou les conclusions hasardées d'une analyse d' urine , appa- raît et s'installe dans l'esprit d'un su
ue, le malade examinant à tout instant comment se comporte le jet d' urine . Ailleurs, et plus souvent, c'est à la suite d'un
n prématurée du sphincter détermine un certain degré de rétention d' urine incomplète, très peu marquée d'abord et intermi
n peut retrouver au microscope quelques spermatozoïdes mélangés à l' urine , chez des individus continents depuis longtemps o
fait est exceptionnel. Quant à la description du sperme mélangé à l' urine , quelquefois reproduites depuis Lallemand et Tr
e héréditaire ou per- sonnelle, beaucoup ont eu de l'incontinence d' urine nocturne infantile. D'autres sujets sont condui
D'ailleurs la constatation de la présence de spermatozoïdes dans l' urine ne suffit pas pour établir le diagnostic, car c
même que quelques- uns de ses éléments sont parfois entraînés par l' urine chez des sujets continents depuis longtemps,' c
douleur ou une gêne périnéale est accusée. Le mélange du sperme à l' urine peut faire croire à une spermatorrée qui n'est
e. dit-elle, ceci la ferait vomir, cela ne serait point supporté. L' urine tombe à 500 ou 000 grammes, l'urée à quelques g
oercibles simulent souvent l'intoxication urémique, et 1 examen des urines ne donne pas toujours la clef du diagnostic. Il
rance est absolue. Il y a une constipation opiniâtre et le taux des urines est très diminué. Peu de symptômes abdominaux d
tionnent mal, il y a quelque- fois de l'albumine, du sucre dans les urines ... On peut relever enfin des troubles persistan
nt la pomme de rei- . nette. Il y a fréquemment de l'acétone dans l' urine , mais pas de- sucre. Enfin, des hémiplégies, de
matières fécales. Il importe, en effet. d'éliminer l'incontinence d' urine essentielle. Le syndrome étudié se présente che
cours de son évolution. Au début, il y a géné- ralement rétention d' urine et constipation. Parl'ois même la rétention uri
ssie est vide; dans celle-là, elle est pleine; dans les deux cas, l' urine coule sans cesse et goutte il goutte. Il est as
répétées qu'elles dé- terminent, et fréquemment quelques gouttes d' urine s'échappent et souil- lent le linge du malade.
'hygiène et de pro- preté. Il importe de faciliter l'écoulement des urines par des matelas spéciaux, et de veiller il ce q
roy), certaines chorées, athétose double. Epilepsie, incontinence d' urine . Tremblement héréditaire. Stigmates mentaux. Le
l'enfance ; on a signalé également quelques signes d'incontinence d' urine par hérédo- syphilis. Nous ne nous arrêterons p
cre baisser proportionnellement après un régime, à la fois dans les urines et dans le liquide céphalo-rachidien. L'urée
iologique a donné également de bons résultats dans l'incontinence d' urine infantile (Cathelin). Enfin cette méthode a pu
e la facilité avec laquelle les poisons (acide chlorhydrique dilué, urine stérilisée), les pigments (carmin), les microbe
yée aussi contre les troubles vésicaux. rétention ou incontinence d' urine . Le plus souvent on pourra s'en tenir à des app
1551. - au collodion, -1552. - la paraffine, 1355. Incontinence d' urine . Étiologie, 955. symptômes. Diagnostic. Traitem
- thologiques, 1285. - Respiration, troubles, 940. Rétentions d' urine , étiologie, 950. - Rétention aiguë. - chronique
48 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
temps. L'interne en pharmacie du service, M. Goiogot a analysé ses urines , qui ne contiennent aucun élément anormal. Pour
. Syphilis en l<885 à 18 ans. Début par une crise de rétention d' urine à 23 ans. Puis faiblesse et incoordination des me
tion VI de la thèse de Sureau : douleurs des jambes, incontinence d' urine , myosis, abolition des réflexes rotuliens, signe
les bruits du coeur sont rapides ; le premier bruit est sourd. Les urines sont normales. Il n'y a pas de fièvre. A l'exam
ÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE E 109 Poumons et coeur sains. Urines : ni sucre ni albumine. Evolution de l'affectio
giques, un peu rares (60 à la minute). Pas de bruits anormaux. Les urines sont très chargées avec dépôt abondant d'urates,
e semble normale. Pas de troubles sen- soriels. Incontinence de l' urine et des fèces. A noter la déformation des doigts
vraies régurgitations. En même temps on constate de la rétention d' urine : on sonde régulièrement la malade. La malade e
ilocarpine) la malade est restée 7 jours sans selle. La rétention d' urine continue ; les urines sont très claires. Les
de est restée 7 jours sans selle. La rétention d'urine continue ; les urines sont très claires. Les 6 et 7 mai. - Depuis q
'elles ayant un timbre sourd. Depuis quelques temps, incontinence d' urine . Pas de troubles subjectifs, ni objectifs de la
Coeur : ryhtme pendulaire très net. Pouls petit, très irrégulier. Urines foncées, dépôt abondant d'urates et de phosphates
iens, le malade se trouve en parfaite santé. Cependant l'examen des urines nous réservait une surprise ; la liqueur de Fehli
atre ans, on s'est aperçu pour la première fois incidemment que son urine contenait du sucre ; cependant il n'a jamais eu
jamais eu ni polyurie, ni polyphagie, ni polydipsie. Actuellement il urine de 1.500 à 2.000 grammes par jour ; la quantité
y rentrer ; en l'absence de traitement pan- créatique, l'analyse d' urine donnn les chiffres suivants : le 15 mai, 5 gr. 20
. Ragot, in- terne en pharmacie, pratiqua une analyse complète de l' urine dont voici les résultats : Volume des 24 heures
5 ; la perte de poids par dégagement de C02 après fermentation de l' urine par la levure de bière à 24.83. Après fermentat
ion, la réaction au Fehling avait disparu ; après ébulli- tion de l' urine additionnée de 1 pour 100 d'acide sulfurique, et
quent les matières réductrices et polarisantes contenues dans cette urine sont bien" du glycose et uniquement du glycose, à
ques et mentaux du myxoedeme, ainsi que la quantité de sucre dans l' urine , plus accentués encore, dents usées, cheveux rare
du coeur ne montrait rien d'anormal à l'auscultation ; l'examen des urines révélait une petite quantité d'albumine. Le 20
p- porter cet oedème des jambes. Il n'y a pas d'albumine dans les urines . La malade a été soumise pendant trente-cinq jo
ignes d'insuffisance mitrale, un souffle systoiique aortique et ses urines renfermaient de l'albumine. Allen (Charles Lewi
ation phéniquée : délire, vomissements, soif intense, langue sèche, urines noires. Un érythème recouvrait toute la jambe e
obules blancs : 5 : 000. Le nombre des hématies est un peu diminué. Urines . Nous mettons en parallèle les moyennes de nos an
é. Urines. Nous mettons en parallèle les moyennes de nos analyses d' urine pratiquées d'abord vers le 1er avril avant l'ép
nt nerveux, pas de convulsions dans l'enfance, pas d'incontinence d' urine , pas de vertiges ni d'accès d'épilepsie. A l'éc
aboli. Inégalitépupillaire. Signe d'Argyll-Robertson. Incontinence d' urine . Le 2 septembre 1903, la malade est atteinte d'
ouloureux dans le rectum, en 1895 apparaissent l'incon- tinence des urines et des matières fécales, puis la frigidité sexuel
s sensibilités pro- fondes et de la notion de position. Rétention d' urine . Signe d'Argyll Robertson. Tuberculose pulmonai
rd des sensations. Abolition des réflexes tendineux. Incontinence d' urine . Inégalité pupillaire. Signe d'Argyll-Robertson
hésie plantaire et quelques erreurs de localisation. Incontinence d' urine . Examen anatomique. -Deux ganglions lombaires o
bres, avec abolition des réflexes cutanés et tendineux, rétention d' urine et des ma- tières, priapisme, et douleur sponta
E 273 Les appareils circulatoire et génito-urinaire sont normaux. L' urine ne contient pas de sucre, ni d'albumine, ni ne
et dans la journée (n'avait jamais de céphalalgies aupa- ravant). Urine bien. Ne présente rien d'anormal le long de la
- lien gauche a toujours disparu. Sensibilité à la chaleur normale. Urine norma- lement. Les membres supérieurs ne prés
de grands efforts pour uriner et de s'y reprendre à plusieurs fois. Urine 3/4 de litre; pas d'albu- mine. Appétit conse
disparu. Appétit bon. A uriné presque facilement 1 litre 3/4. Cette urine contient 1 gr. 30 d'albu- mine par litre. T.
le au soir ; il a été agité et a déliré toute la nuit. Un litre d' urine contenant de l'albumine en abondance. T. : mati
nférieurs. Il a été agité la nuit, a crié. Il a uriné 1 litre ; l' urine contient beaucoup moins d'albumine ; 0.25 centi-
bres. A pris la veille au soir chloral et morphine et a bien dormi. Urine un litre, ne contenant plus que 0,10 centigramm
bien, lit facilement, mais au début se fatiguait vite en lisant. Urines normales. Appétit normal. Pas de gène de la parol
plus fortement que le droit ; en même temps rétention incomplète d' urine qui ne nécessita pas le sondage et albuminurie qu
ur complète avec négativisme. Il s'ali- mente très difficilement et urine au lit. 24. Déprimé, inerte, hébété, reste cons
fois. 3 décembre. Même état de stupeur, il est mal tenu, malpropre, urine sur le parquet, est tout à fait incohérent. 3
49 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
axie locomotrice progressive : douleurs en ceinture, incontinence d' urine , absence persistante du phénomène du genou; amb
peur, on vit cesser sous l'influence des injections une rétention d' urine parpara- lysie vésicale. On n'a noté aucun chan
ifférents. - . On observe enfin une modification complémentaire des urines , correspondant à la période ascensionnelle fina
: 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. Bouchard : injections intra-veineuses d' urine en nature chez le lapin. L'urine a été réduite
ard : injections intra-veineuses d'urine en nature chez le lapin. L' urine a été réduite au tiers par évaporation pour se dé
vec une seringue mais avec une pipette de Dazère, l'écoulement de l' urine étant assuré par une * pression mercurielle.
ne * pression mercurielle. Dans ces conditions, on a trouvé que l' urine de provenance vésa- nique est beaucoup moins to
l'urine de provenance vésa- nique est beaucoup moins toxique que l' urine normale. (La pre-, mière a été fournie par un h
oxicité a été vérifiée par des injections comparatives : : 30 ce. d' urine de fou réduite au tiers, ne font rien ou donnent
, ne font rien ou donnent quelques convulsions passagères, 30 ce. d' urine normale tuent, et elles tuent un animal qui a r
nt un animal qui a résisté quelques jours avant à une injection d' urine pathologique. La diminution de la' toxicité uri
inaire chez notre vésanique est d'autant plus remarquable que cette urine était plus dense, 1020 au lieu de 1010, plus ri
nique était plus pesant que le sujet normal pour la même quantité d' urine en vingt-quatre heures (2 litres) que les lapin
s) que les lapins les plus lourds, les plus résistants recevaient l' urine normale. Cette diminution de la toxicité ne peu
rapeutique. Il ne serait pas choquant de donner en lavement de l' urine normale ou ses principes actifs à un vésanique. 1
e et glycosurie. Archives, t. XXII. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. l' urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, le
se a été commise et plus d'une fois la découverte du sucre dans l' urine est venue réformer le diagnostic. ' Bouchard. D
Mais il ne faudrait pas croire que la présence du sucre dans les urines puisse toujours lever la difficulté et décider
quatrième ventricule. Althaus2 l'avait relatée en ces termes : « L' urine au début de la deuxième période du tabes peut a
élait accompagnée d'un excès d'urée et le poids spéci- fique de l' urine variait entre 1,030 et 1,037. Le sucre montait
ses 125 tabétiques) le cas d'un malade atteint de tabes vrai dont l' urine avait ren- fermé du sucre d'une manière tempora
rgne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de tabes. Un de nous, dans l' urine de 50 tabétiques, n'a jamais constaté la pré- s
omotrice progressive et n'a trouvé que trois fois du sucre dans les urines . Et encore n'est-il nulle- ment démontré qu'il
TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRE. 309 que la présence du sucre dans les urines d'un tabétique signifie toujours glycosurie sym
c le diabète à un autre point de vue. La présence du sucre dans les urines d'un tabétique avéré ne signifie point toujours
encore assez obèse. Depuis quatre à cinq ans, elle boit beaucoup, urine de même et est obligée de se lever plusieurs fo
u près perdu du même côté. Les réflexes rotuliens sont absents. Les urines ont été examinées très régulièrement; le sucre
te pater- nels n'est pas douteuse; le sucre a été constaté dans les urines à diverses reprises. Quant à la goutte, elle es
dans les membres inférieurs et de troubles vésicaux (incontinence d' urine ). Au moment où nous l'avons examiné, outre les
inture et une incoordination motrice typique. Pas de sucre dans les urines . On peut résumer les antécédents héréditaires d
ères années, MM. Livon et Alezais 2, au cours de recherches sur les urines tabé- tiques, étaient frappés de la tendance à
hard. - Loc. cit., p. 182. * Livon et Alezain. - Recherches sur les urines tabcliques. (Maiseille médical, 1888, p. 193 et
à deux ans et demi; - parole à deux ans ; - incontinence nocturne d' urine jusqu'à (lita- torze ans. Instabilité mentale.
e quinze mois à deux ans); propre seulement à quatorze ans pour les urines . Jamais de convul- sions. Envoyé à l'école à se
ileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Evacuation involontaire d' urine . Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant s
osé : retard dans la marche et la parole, incontinence noc- turne d' urine , débilité mentale, irritabilité, actes de violenc
les variations de la température, du pouls, de la composition de l' urine , la dose administrée, le temps nécessaire à l'a
loué au lit. Chez un autre atteint d'amaurose et d'inconti- nence d' urine , cette dernière infirmité disparut, son état géné
ombait dans le marasme. Chez un dément alcoolique, l'incontinence d' urine cessa. En somme, douze faits d'amélioration des
- Symptomato- lagie des -, par Rossolimo, Roth, Kersakof, 138. Urines , toxicité des - des aliénés, par `Veill et Dubo
50 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res supérieurs ni à la face. Pas de tremble- ment. La rétention d' urine , qui s'est montrée il y a deux jours, est rempl
dèmes. Rien du côté des voies digestives. On n'a pu recueillir de l' urine . Traitement. On prescrit 3 grammes de Il à l'in
10 novembre. -Jusqu'ici il avait été impossible] de recueillir des urines , la malade souillant son lit. Depuis hier elle a
s hier elle a de la réten- tion. On a été obligé de la sonder : les urines sont très rouges, con- tenant une notable quant
ntourée d'une zone d'érythème. Pas de sucre, ni d'albumine dans les urines . i Réflexion. Cette malade est doublement intér
n'est pas non plus syphilitique. Pas de sucre ni albumine dans les urines . L'eschare. Un des troubles trophiques de la pa
jours. Il n'y avait antérieu- rement ni albumine ni sucre dans les urines . Quantité d'urine : 1 litre 1/2. La malade ne
t antérieu- rement ni albumine ni sucre dans les urines. Quantité d' urine : 1 litre 1/2. La malade ne prenait aucun méd
pénis une sensation comparable à celle qui pré- cède le débit de l' urine . Mais cette sensation peut à son tour dispa- ra
ltation coïncide régulièrement avec une excrétion considérable de l' urine dans les vingt-quatre heures, atteignant 6,000
ession se traduit par une diminution considérable de l'émis- sion d' urine , qui ne dépasse plus 300 cent. cubes dans les vin
bes dans les vingt- quatre heures; alors la densité monte à 1031. L' urine n'est jamais pathologique. Pendant ces deux pha
e il se forme, dans la nutrition, plus d'azote, qui apparaît dans l' urine à l'état d'acide urique et d'éléments xanthique
ent abolie. Tendance à la constipation et réten- tion médiocre de l' urine ; ensuite on remarqua une certaine fai- blesse
Genève, 1897. Ch. Eggimann et Cee. CULI.ERnE. -De l'incontinence d' urine dans ses rapports avec l'hystérie infantile. Br
e. Aucun stigmate d'hystérie. Pas d'albu- mine ni de sucre dans les urines . On institue le traitement spéci- fique. 4 dé
t violente, accompagnée de vomissements répétés et d'incontinence d' urine . 9 jiiin. - L'état est resté stationnaire; ce m
s réflexes et trépidation épileploide du côté droit. Incontinence d' urine . DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 109
a eu une crise couvulsive, avec écume à la bouche et incontinence d' urine . Ces convulsions ne prédominaient pas d'un côté
retentissement de la voix et de la toux. Un peu d'albumine dans les urines . 3 février 1896. Vomissements répétés, intoléra
be gauche, enfin au bras gauche; comme aux levers, pas d'émission d' urine . La perte de connaissance a duré un quart d'heu
es, mais sans que les choses aillent jusqu'à la pédérastie. C'est l' urine , son odeur, son goût, son contact qui exerce su
act qui exerce sur lui une action excitante : volontiers il garde l' urine d'un garçon dans la bouche ou bien plonge ses m
bien encore mouille avec elle ses organes génitaux et son linge. L' urine qui a subi un commencement de putréfaction, sur-
on mouchoir qu'il étale pour la nuit près de son lit. A côté de l' urine il existe encore un tout autie moyen qui lui pr
Mais il estime que les données de l'expérimentation (toxicité de l' urine , du sang) ne sont pas encore édifiantes et que de
e ; en même temps, parésie de la jambe gauche, rétention complète d' urine qui dura deux à trois jours, et constipation op
nesthésie se trouve une bande étroite d'hypéresthésie ; rétention d' urine ; constipation; la moitié supérieure du corps es
s pour les prix de 1898 et de 1899. CULLERRE. De l'incontinence d' urine dans ses rapports avec l'hystérie infantile. Br
es, froides. Pouls normal. Rien au coeur. Pas d'al- bumine dans les urines . Hémiauesthésie cutanée droite. Retard de la tr
pieds sont oedématiés. 11 n'y a pas d'albumine ni de sucre dans les urines . Les ongles des doigts sont bruns; ils présente
sécrétée plus abondamment. (Magnan et Sérieux.) On a noté, dans les urines , une augmentation des phosphates et des sulfate
ncidant avec une élimination exagérée des produits azotés par les urines (Durante). Nous avons noté déjà deux cas d'amaigr
60 kilo- grammes. La peau est anesthésiéo sur tout le corps. Les urines ne con- tiennent ni albumine ni sucre ; nous n'
a confirmation par la décou- verte faite par Féré de toxines dans l' urine convulsive. Après l'âge de vingt-cinq ans, et'
ctions digestives. Réduction notable des éléments constitutifs de l' urine . A noter qu'avant le début de l'insomnie la mal
digestifs, les manifestations épileptiques, et l'hypotoxicité de l' urine , rapprochée de la dispa- rition de l'état gastr
scatol. Trouvés purs dans les fèces, ces corps se retrouvent dans l' urine sous forme de sulfates. L'examen des matières
léger rétrécissement du champ visuel, d'une pollakiurie diurne avec urines normales, et est très préoccupée par son nodule
nde élévation de la tempé- rature. Dans plusieurs cas, l'examen des urines a montré de l'albu- mine et un excès de phospha
t pour le blanc ainsi que pour le rouge et le vert. L'analyse des urines dénote un défaut d'élimination, sans inver- sio
iveau des os atteints, l'affaiblissement intellectuel, la perte des urines et des matières et le nystagmus binoculaire); l
n'y a pas de paralysie du diaphragme. Il y a de l'incontinence de l' urine seule- ment la nuit : le besoin d'urmer n'est p
.contraire, lorsque la mousse aura absorbé une grande quantité d' urine , celle-ci, sous la pression du corps, finira par
coussins de paille sont souvent souillés de matières fécales et d' urine , ce qui, en fin de compte, ne laisse pas d'être f
de 3/5 : il suffit pour cela de conserver la mousse mouillée par l' urine à l'air libre et ne détruire que celle qui a été
ramasse une quantité suffisante de mousse simplement mouillée par l' urine , on la lave dans des paniers d'osier ordinaires
51 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éflexe rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de clonus du pied. Urines normales. L'appétit est très diminué. Il existe
'origine nerveuse, car il n'existait ni sucre, ni albumine dans ies urines et on ne constata aucune lésion des organes tho
rd on fut obligé de la sonder; mais bientôt elle perdit matières et urines sans être avertie en rien du passage de l'urine
perdit matières et urines sans être avertie en rien du passage de l' urine et des fèces. La malade resta 3 semaines dans
rs sont toujours insuffisants et le passage des ma- tières et de. l' urine n'est pas senti. Au niveau de la région lombair
e limitée aux dernières racines sacrées et de l'in- continence de l' urine et des matières. Ces troubles sphinc- tériens n
'elle rencontre. Les grandes crises sont accompagnées de chute avec urines in- volontaires et convulsions très violente* ;
réagissaient normalement. Pas de troubles senbitifs. L'analyse des urines ne donnait rien de particulier . Le 15 août 190
graisse 11111'1 lia 11'1111'11 abondante, parait être excellente. Urines . La recherche de la créalinine signalée dans les
excellente. Urines. La recherche de la créalinine signalée dans les urines detnyotoniques (l3PrhIPI'I'I\, I\.al'pink ? 1\'
tion abondante. Le malade a présenté des traces de sucre dans les urines à l'entrée. Dans la dernière période qui précéda
stertor. Pas de morsure de la langue, pas d'émission involontaire d' urine ou de matières fécales. Après l'attaque, diminu
ts intervalles et incomplètes : absence d'émission involontaire d' urine et de matières fécales, de morsure de la langue.
et le pouce un peu replié vers la paume de la main. L'analyse des urines , l'aile aussitôt après la crise, ne décèle pas
itôt après la crise, ne décèle pas la moindre trace d'albumine. Les urines sont claires et abon- dantes. A la suite de cel
is sans cyanose du visage, et d'une courte période co- mateuse. Les urines ne contiennent pas trace d'albumine. Traite- me
on relève un symptôme inexistant dans les précédentes : émission d' urine et de fèces. Les mouvements choréiques persiste
ute. pour constituer le syndrome éclamptique. A aucun moment, les urines n'ont contenu ces quantités abondantes d'al- bu
ance. Elle n'a pas du convulsions des membres, pas d'incontinence d' urine , seulement des sueurs 2Hi REVUE DE PATHOLOGIE
IL11tI1701S, il.l crises par jour, troubles psychiques, rétention d' urine , anorexie hystérique. Fièvre typhoïde contracté
té avec perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d' urine , accompagnée souvent de ga fisme complet. La ph
ait bien la gymnastique. Elle a encore de l'incontinence nocturne d' urine , mais ne gâte plus. L'enfant est donc, sous tous
oncé. Inertie et mutité pres- que complète. Incontinence nocturne d' urine . Elle était triste, ne se donnait aucun exercic
i est con- tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L'enfant n' urine plus au lit. La physionomie est moins triste, l
t de vue du caractère, des travaux manuels et de l'in- continence d' urine . XLI. GORFÉGtJ ? (Désirée), née le 25 novembre
s, vols, vagabondage), renvoyée de l'école. Emission inconsciente d' urine . D'après ce diagnostic, il était permis de dout
nte d'épilep- sie. imbécillité légère, avec incontinence nocturne d' urine . Le caractère était assez doux, sérieux, souven
eptiques ont complè- tement disparu; plie n'a plus d'incontinence d' urine depuis six mois. Le caractère présente encore
te d'imbécillité, incapacité de se diriger, incontinence nocturne d' urine . - Cette enfant était nulle en instruction, con
oin tout particulier de sa personne. Elle n'a plus d'incontinence d' urine . - Amélioration notable au point de vue classiq
illité, perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d' urine . - Son caractère était bruyant, turbulent au po
l'in- fluence du traitement médico-pédagogique, l'incontinence d' urine a disparu, de même que l'onanisme. Le caractère s
s vives ; hypoalgésie des membres inférieurs; lente évacuation de l' urine ; diminution de la virilité ; ophtalmoplégie in
res nerveux. Il s'est con- vaincu que pendant l'accès de migraine l' urine contient toujours un excès de paraxanthine ; or
Les mêmes recherches faites sur des épileptiques ont montré que les urines de quelques-uns d'entre eux contiennent un excè
e l'intestin, quantité considérable d'urates et d'oxalates dans les urines ; absence de toute anomalie sexuelle (l'examen a
ux alcalines d'Essentouki n° 4. En ce laps de temps elle maigrit, l' urine devint presque normale. La malade reprit de la
emps on cons- 440 CLINIQUE MENTALE. tate de l'albumine dans les urines . Elle succomba le '30 janvier dès les premières
les heures de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne d' urine . L'enfant, soumise au traitement dès le début,
beaucoup plus tranquille en classe. Elle n'a plus d'incontinence d' urine . La gymnastique va bien, elle s'efforce même de
l'étude; en plus, elle avait encore de l'incontinence nocturne d' urine . Sous l'influence du traitement, une véritable
895, 5 ans. Idiotie profonde, paralysie, onanisme, incontinence d' urine . A son entrée (27 janvier 1901), à l'âge de 5 ans
52 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Pas de convulsions ni de cauchemars, ni d'incontinence nocturne d' urine dans son enfance; il n'était pas non plus peure
II. Tout aussi importantes sont les altération * des sécrétions. L' urine contient, dans les cas accentués, de l'albumine e
tracturée, sou- vent aussi paralysée, et il ya dysurie, rétention d' urine . -Les réflexes cutanés sont augmentés, et les r
inction du réflexe tendineux; exagération des ré- ilexes cutanés; - urines troubles, sédimenteuses, albumine appré- ciable
en secret aucune dose de morphine, ainsi quel'a révélé l'examen des urines , qui a été fait depuis le mars, dans le laborat
d'un psychiatre. M. DRRENBC11G lit un mémoire sur les examens de l' urine chez les aliénés. Après avoir rappelé l'influen
organes, il se pro- pose de déterminer les anomalies chimiques de l' urine dans leurs rapports avec les formes des psychos
eur a analysé avec le , plus grand soin la plus grande quantité des urines des aliénés à des moments du jour identiques; c
roupes chimiques que cette humeur renferme. Ce sont notamment les urines de la nuit de dix aliénées en proie à des entités
es rapides, des douleurs, de l'état trouble carac- téristique d'une urine fréquemment sanglante : L'ordre du jour étant é
ispo- sition de certains aliénés qui s'efforcent de retenir leurs urines et leurs excréments. Mais il ne signale pas le
rique qui, at- teinte pendant ses accès d'aphasie et de rétention d' urine , voyait disparaître l'aphasie quand on plaçait
n plaçait une plaque de zinc au-devant du larynx, et la rétention d' urine quand on en pla- çait une à l'hypogastre. De pl
n des plaques de zinc avait une influence sur l'excrétion même de l' urine . Quand les plaques étaient retirées, l'urine de
l'excrétion même de l'urine. Quand les plaques étaient retirées, l' urine devenait plus abon- dante en quantité et plus p
vue relatif; quand les plaques étaient appliquées la quantité de l' urine diminuait et se main- tenait au-dessous de la m
moyenne des individus sains, mais sa composition se rapprochait des urines normales. L'auteur constaté aussi que, pendant
tion des plaques, et attribue ces différences dans l'excrétion de l' urine à des variations dans la circulation san- guine
re double complet, hémiplégie droite, hoquet incessant, rétention d' urine , glycosurie. Après trente-six heures de coma, c
res. Vl° J... résiste à tout, retient ses matières fécales et ses urines , il faut lutter pour l'habiller, pour la déshabil
ec le diabète. Ce qui montre bien que la présence du sucre dans les urines n'est pas la condition indispensable à la produ
e paralysie limitée, rechercher s'il n'existe pas de sucre dans les urines . Ces paralysies peuvent être bornées à un membr
té droit de la face (coïncidant avec la disparition du sucre dans l' urine ; difficulté de l'articulation des mots. Paralys
sensation spéciale, et doit appeler notre attention sur l'état des urines . Nous avons souvent entendu notre maître, le pr
dont la cause échappe et d'analyser fréquemment en pareil cas les urines . C'est dans l'ouvrage célèbre de Rollo 1 que l'
res, il oppose deux de ses propres observations dont les analyses d' urine ont été four- nies par Bouchardat et Mialhe, un
roisième cas de Noyés et un 'quatrième de Haltenhof. Les analyses d' urine ont été faites si exactement et si souvent, qu'
vain tenté de dresser un tableau de ces différences. L'examen de l' urine peut seul trancher le diagnostic. Des hémorrhag
s ou quatre fois pour boire. Dans l'espace de six mois environ, les urines , examinées à trois reprises, contenaient 31, `2
en outre, dès le premier jour, selles involontaires, etrétention d' urine qui nécessita le cathétérisme. Trois semaines a
ction des malades externes, souffrant d'une incontinence nocturne d' urine pour laquelle le galvanisme, le bromure de pota
re, tensions musculaires dans les quatre extrémités. Incontinence d' urine et des matières ; accidents du décubitus. Mort
53 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
t pris 2 gr. d'éosinate sans autre accident que la fluorescence des urines . Les essais thérapeutiques que nous avons entre
ien aux pieds. Appétit conservé, selles fortement colorées enroule; urines , en quantité normale, présentant une coloration
bles des fonctions digestives. selles fortement colorées en rouge. Urines peu abondantes, fluorescentes, sans sucre ni al
loration anormale a disparu au visage, mais le gonflement persiste. Urines (quantité : 1 litre et quart) ont presque entiè
perdu leur couleur fluores- ccnte. P. ù 90. 29 avril. Même état. Urines (1 1. 1ju) revenues à leur couleur normale. Con
Appétit conservé, pas de diarrhée, selles très colorées en rouge. - Urines , (quantité : 1.500 grammes) pré- sentant une co
lement symétrique de la face; il a disparu aux mains. Pouls à 88. Urines (quantité 1 litre et quart) fluorescentes, ayant
u'a« voisinage du bord alvéo- laire des dernières grosses molaires. Urines en quantité nor- male, conservant leur colorati
ons- tipation ni de diarrhée, selles /brtement colorées en rouge. Urines (1 litre 1/2) vertes à la lumière réfléchie, rose
ertiges vers 3 ans. Premier accès à 7 ans et demi. - Incontinence d' urine . EOSIXATE DE SODIUM. 27 Br... (Pierre), 20 an
traitement en 1898.] Voici, il titre de document, quatre analyses d' urine pratiquées par l'interne en pharmacie du servic
pratiquées par l'interne en pharmacie du service, M. Au- briot. ' Urine du 25 au 26 avril 1898. I. Itoma..., 17 ans. En
eures. l3uoitaLVILL1 : , Bicêtre, 1899. 50. Eosinate de sodium. Urine limpide très colorée et très fluorescente.- Elle
donne par agitation une mousse rouge. Analyse des U1UNES. ' 51 Urine très trouble, colorée et fluorescente. II. De
sements ni de diarhée, mais tousse fréquemment, sans expectoration. Urines normales. - Pas de dyspnée. Pas de signes nets
gue saburrale, rouge sur les bords qui sont fendillés et desséchés. Urines rares et foncées. Pas d'albumine. - A 10 heures
créas est entouré de ganglions tuberculeux. La vessie est remplie d' urine ; aucune lésion. - Les organes génitaux sont ex
ette époque, c'Onvulsions. - De 10 à 12 ans incontinence nocturne d' urine . - Rougeole à 4 ans. - Scarlatine à 4 ans 1/2.
, et de 10 à 12 ans, elle a présenté de l'incontinence nocturne d' urine . Elle aurait eu des convulsions après sa première
s limitées Ù la face ; elle a présenté de l'incontinence nocturne d' urine jusqu'à 12 ans, et à partir de là, dans sa 1 :
cloniques sans morsures de la langue, mais avec des émis- sions d' urine . Ces crises se répétent environ tous les trois
es; ils se décortiquent facilement. Les bassinets contiennent une urine louche et puriforme. - Capsules surrénales, pancr
. Il écume un peu, se mord légèrement la langue quelquefois. Il n' urine jamais sous lui. l'as de folie consécutive, pas d
" janvier, cependant, il a eu un accès par mois, excepté en mai. Il urine rarement sous lui, pas d'évacuation spernta- ti
s, variables (1888-1900), accompagnés de cris, d'incon- tinence d' urine , compliqués de traumatismes et d'hé- morrhagies
54 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nsorielle ; du mutisme hys- térique transitoire ; de la rétention d' urine transitoire. La monoplégie disparaît à la suite
cès de colère. - 11 a eu aussi, pendant six jours de la rétention d' urine qui a néces- sité le cathétérisme. ? Etat act
ntait tous les caractères du mutisme hystérique, sur la rétention d' urine qu'il a eue 1 Progrès Médical, 1885, nos 34, 37
t âgée de soixante et un ans, qu'il n'y avait pas d'albumine dans l' urine , qu'il existait une diathèse rhumatismale, M. L
le, surtout dans le domaine uro-génital (aménorrhée, incontinence d' urine , constipation opiniâtre), active la circula- ti
l y a quelques mois. Observation V.. Père : incontinence nocturne d' urine jusqu'à dix- huit ans ; - Alcoolisme, colère, t
ent il fait bien les coutures et sait se servir du fer. 20 déc. L' urine contient 25 gr. 63 d'urée par litre. 1 22. Gr..
conjonctives. Traitement : deux verres d'eau de Sedlitz. 29. - L' urine examinée de nouveau contient 16 gr. 65 d'urée p
on langage. 24. - Poids : 37 I : il. fort; taille : 1 m. 27 fort. L' urine est claire, ne contient ni sucre, ni albumine.
ante-six ans; pas nerveuse. Un frère de la mère a du sable dans les urines . Frère et sceur bien portants ainsi que leurs e
e le malade pouvait à peine tenir une soucoupe de la main droite. L' urine s'échappait'avec peine et en même temps le mala
-20; la température à 36. Le malade est constipé et l'émission de l' urine est difficile. Le malade ne peut remuer la jamb
désordres trophiques de la peau, pas de décubitus. La quantité de l' urine pendant vingt-sept heures était 500 c. c. de ré
c. de réaction acide; poids spécifique 1,017. Les premiers jours, l' urine contenait de l'albumine en petite quantité. En
à 36, le pouls a 140; il est à peine sensible. La sécrétion de l' urine et de la selle est involontaire, la mort survie
six mois atteinte d'une conslipation opiniâtre et d'une rétention d' urine nécessitant l'emploi de la sonde. En présence
nage et les travaux des champs. Mais détail à noter, la rétention d' urine dont je n'avais pas eu le temps de m'occuper, con
ysie spasmodique de la jambe gauche, une incontinence complète de l' urine et des matières, des douleurs en ceinture, de l
e raide attribuée à des douleurs dans les genoux ; incon- tinence d' urine , céphalalgie; plus tard, maintien permanent de
patellaires et des réflexes cutanés, parésie vésicale (rétention d' urine ) et douleurs très prononcées tout le long du ra
on le peut voir d'après les tableaux qui montrent la surexcrétion d' urine . d'urée, d'acide sulfurique et phosphorique, et
- veaux symptômes. Il est atteint de paraplégie et de rétention d' urine ; les envies d'uriner sont douloureuses; il urine
et de rétention d'urine; les envies d'uriner sont douloureuses; il urine très peu et avec beaucoup d'efforts. La sensibi
symptômes de sténocardie, tantôt des paralysies, des rétentions d' urine , des vomissements rebelles, etc.; 2° l'inconsta
s et la paralysie a disparu sans laisser de traces ; la rétention d' urine paraît et disparaît sans avoir de cause; il en
st con- tracturé en dehors, à l'état d'extension. L'évacuation de l' urine se fait au moyen d'un cathéter. Il a une prédis
malgré que la maladie ait duré trois mois et malgré la rétention d' urine qui ne pouvait être causée que par de profondes
sains; pas d'autre déviation que des envies fréquentes d'uriner. Il urine jusqu'à 4.000 centimètres cubes, bien qu'il s'a
ubes, bien qu'il s'abstienne de boire; la pesanteur spécifique de l' urine est de 1.014; on n'y trouve ni 278 CLINIQUE NER
a paralysie des membres inférieurs est compliquée d'une rétention d' urine , de constipation et de douleurs dans le dos. Ce
ourses et ont à peine le volume d'une noisette. Pas d'onanisme. L' urine , examinée à plusieurs reprises et avec soin par M
difficulté où l'on se trouve de recueillir isolément la quantité d' urine rendue dans les vingt-quatre heures, n'a pas pe
culatoire, biliaire et rénal; rien au coeur,pas d'albumine dans les urines . Le cri est guttural, enroué, d'ailleurs rare.
e, sa mobilité, son siège, par les caractères tirés de l'examen des urines , etc., et enfin par l'absence de signes importa
55 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
eurs abdominales avec météorismc, vomissements bilieux, rétention d' urine , si bien que le médecin appelé prescrivit des a
eurs déjà décrites, sondé à plusieurs reprises pour de la rétention d' urine et présentant de temps-en temps des attaques co
nt (environ 400 grammes chaque fois ; cela n'a pu être contrôlé). L' urine est claire, de couleur ordinaire, ne contient n
s. IX. - La miction est absolument normale. Jamais d'incontinence d' urine , ni diurne, ni nocturne; jamais de rétention, n
pas la moindre altération dans les fonc- tions de l'excrétion de l' urine . Les fonctions de sécrétion sont tout aussi nor-
. Les fonctions de sécrétion sont tout aussi nor- males. Un litre d' urine par jour ou peu près. Urines claires, transparent
sont tout aussi nor- males. Un litre d'urine par jour ou peu près. Urines claires, transparentes, légèrement acides, sans
tend que, depuis quelque temps, il est affecté d'une incontinence d' urine , dont il trouve les traces sur sa chemise et sur
is il pouvait marcher sans troubles apparents. Outre sa rétention d' urine , on cons- tata une anesthésie du périnée- Au bo
j Nous constatons une paralysie vésicale, ayant amené une rétention d' urine : quelques gouttes d'urine s'échappaient parfoi
ie vésicale, ayant amené une rétention d'urine : quelques gouttes d' urine s'échappaient parfois par regorgement. On soumit
les de térébenthine, et bientôt tout dépôt de muco-pus disparut des urines . Mais la paralysie et la rétention persistèrent
, elle était redevenue normale, même pour l'urèthre. La rétention d' urine disparut définitivement, et le malade put marcher
ême année, il rentra dans le service de médecine. On constate qu'il urine bien, mais qu'il reste constipé comme auparavant,
e la sensibilité au niveau des membres inférieurs. Incontinence d' urine . - Signalons une incoordination très marquée au
s enfin des vomissements pendant le premier jour, de la rétention d' urine ayant duré une semaine, une constipation opiniâtr
: état permanent de semi-érection, constatation de sperme dans les urines . Fait assez singulier, comme on pratiquait de t
e vive douleur. Il y eut pendant quelques jours de la réten- tion d' urine , qui nécessita le cathétérisme, et, pendant un mo
, il demander à ses voisines de lui donner la leur; la quantité des urines était abondante, mais aucune mensu- ration de c
mensu- ration de cette quantité n'a été conservée sur l'examen de l' urine ; il n'y avait pas de glycosurie. Au bout d'un
u'elle se montre encore quelquefois à intervalles assez éloignés. L' urine examinée par les procédés ordinaires (il n'a pas
es petites, comme par exemple celles des doigts et des orteils. Les urines ont été analysées fraîches et conservées, et Ha
ajoute Sauce- rotte, ne pourrait-on pas conclure que la terre de l' urine se portait aux os, chez ce malade ? Dans le c
oyens excitants pour régulariser un peu les fonctions intestinales. Urines toujours abondantes, parfois même un peu difficil
epuis de nom- breuses années. On n'a pas remarqué que la quantité d' urine fùt anormale. Depuis plusieurs années perte de
Le malade tousse et crache un peu, sécrétion catarrhale modérée. L' urine ne présente rien de particulier; pas d'albumine
56 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il y a même une sensation de faim. Pendant deux ou trois jours les urines sont rougeâtres et épaisses. Il reste un peu de
a main, on y note d'ailleurs un abaissement de tempé- rature. L' urine examinée à plusieurs reprises, n'a présenté ni
Mais nulle part la pression du doigt ne détermine de godet, et l' urine ne renferme pas d'albumine (d=10 t 5). Le coeur
de particulier, à part un claquement énergique du second bruit. L' urine est normale (d 10 10). La malade qui possédait
la constipation; ses règles ont été supprimées pendant six mois. L' urine (d- 1015 à 1022) ne présente ni albumine, ni gl
e des bronches et une constipation habituelle. Le pouls est à 80. L' urine ne renferme pas d'albu- mine (d = 1005). Réglée
rons encore une constipation habituelle, un excès d'urates dans les urines , un pouls lent et faible, enfin l'abaissement d
miplégie faciale. Hhchare sacro-fessière gauche ; ni incontinence d' urine , ni illeoil- tiucnce des matières fécales. 84
à la base, qui se propage dans les vaisseaux du cou. La quantité d' urine rendue dans les vingt- quatre heures est normal
ité d'urine rendue dans les vingt- quatre heures est normale. Cette urine (d= 1013- 1030), même fraîche, présente une lég
nte au microscope aucun caractère bien par- ticulier. Cet état de l' urine est dû probablement à un peu de catarrhe vésica
heures parait diminuée. L'analyse n'a mêlé que 1 \ grammes dans les urines rendues du 25 au 26 février. Il n'existe d'aill
hanges organiques : toutes les fois qu'on a procédé à l'analyse des urines , on a trouvé une diminution dans la quantité d'
Les organes internes restent d'ailleurs parfaitement sains et les urines ne contiennent pas d'albumine. Quant aux troubl
ion ici. A une époque de son séjour, il s'était ingénié à boire son urine pour guérir ses accès d'épilepsie et à se faire
prise de vomissements dont l'aspect rappelle absolument celui de l' urine ; tous les matins on la sonde et dans la journé
ller la jeune malade, et on ne tarde pas à la surprendre buvant ses urines en cachette tous les matins '. Ces faits de sim
dents semblent exciter l'intérêt et la curiosité des médecins, de l' urine pure sera expulsée par les vomissements, en qua
iction est fréquente, difficile, douloureuse, et peu abon- dante. L' urine offre la réaction acide ; elle ne renferme ni a
aires présentent à peu près les mêmes caractères que la veille; l' urine des vingt-quatre heures est alcaline ; sa quantit
nsibilité aux températures qui est toujours absolue. La rétention d' urine est complète, et le cathétérisme est devenu néc
complète, et le cathétérisme est devenu nécessaire , 250 grammes d' urine seulement sont rendus dans les vingt-quatre heu
malade atteint d'insuffisance mitrale. Le t mars, la rétention d' urine disparaît ; mais la miction reste embarrassée.
'urine disparaît ; mais la miction reste embarrassée. La quantité d' urine des vingt-quatre heures est de 700 grammes ; el
70 puis.), inégal, irrégulier, intermit- tent. Comme la rétention d' urine , la constipation cède tout à coup spontanément,
L'hyperes- thésie disparait à peu près complètement. La quantité d' urine est normale (1,500 gr.). Le pouls est toujours
plus, et le malade peut presque soulever sa jambe. Le 21 mars, les urines sont troubles, muco-purulentes. Le 23 zzzazs, s
uvements. L'hydarthrose s'est résorbée. La miction est facile : les urines sont normales comme quantité et comme qualité.
au début, puisqu'avant d'atteindre le faux normal, la quantité des urines a été successivement de 300, 250, puis 700 gram
ment de 300, 250, puis 700 grammes. Le premier jour seule- ment l' urine avait conservé la réaction acide, dès le deuxiè
té. » 11 est rede- venu propre depuis deux mois ; parfois encore il urine au lit, la nuit. La mère ne signale pas d'onani
57 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
apte à passer en I1'0 classe. Imbécillité, surdité, incontinence d' urine . ?— Mugn..., est entré au service le 9 octobre 18
nombre 131 étaient atteints de gâtisme ; 32 d'incontinence nocturne d' urine ; 9 de cécité complète ; 6 de cécité incomplète ;
8 en-fants 124 sont atteints de gâtisme; 30 d'incontinence nocturne d' urine ; 7 de cécité complète ; 6 de Bourneville, Bicê
es ou imbéciles, 38 sont gâteuses ; 20 ont AeYincontinence nocturne d' urine ; 5 sont attein-tes de surdi-mudité; 6 de cécité;
Sur ce nombre 50 sont gâteuses; 12 ont do l'in-continence nocturne d' urine ; 5 sont atteintes de surdi-mutité; 7 do cécité; 4
ion, constipation, etc ), respiration, circu-lation, etc. —Urination, urines , ses caractères. —Albumine, sucre, gravelle, inco
usculaire (dynamomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e) Tableau des urines . — /) Tableau de la vaccination. — g) Tableau de
lité avec perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d' urine , accompagnée souvent de gâ-* 'isme complet. La ph
fait bien la gymnastique. Elle a encore de l'incontinence nocturne d' urine , mais ne gâte plus. L'enfant est donc, sous tous
rononcé. Inertie et mutité pres-que complète. Incontinence nocturne d' urine . Elle était triste, ne se donnait aucun exercice,
qui est con-tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L'enfant n' urine plus au lit. La physionomie est moins triste, les
oint de vue du caractère, des travaux manuels et de l'in-continence d' urine . XLI. Gorrégu... (Désirée), née le 25 novembre
ges, vols, vagabondage), renvoyée de l'école. Emission inconsciente d' urine . D'après ce diagnostic, il était permis de douter
teinte d'ép/lep-sie, imbécillité légère, avec incontinence nocturne d' urine . Le caractère était assez doux, sérieux, souvent
pileftiques ont complè-tement disparu; elle n'a plus d'incontinence d' urine depuis six mois. T.e caractère présente encore
inte à'imbécillité, incapacité de se diriger, incontinence nocturne d' urine . —r Cette enfant était nulle en instruction, conn
soin tout particulier de sa personne. Elle n'a plus d'incontinence d' urine . — Amélioration notable au point de vue classique
cillité, -perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d' urine . — Son caractère était bruyant, turbulent au poss
Sous l'in-fluence du traitement médico-fédagogique, l'incontinence d' urine a disparu, de même que l'onanisme. Le caractère s
ut beaucoup plus tranquille en classe. Elle n'a plus d'incontinence d' urine . La gymnastique va bien, elle s'efforce même de s
pour l'étude; en plus, elle avait encore de l'incontinence nocturne d' urine . Sous l'influence du traitement, une véritable
e 1895, S ans. Idiotie -profonde, paralysie, onanisme, incontinence d' urine . A son entrée (27 janvier 1901), à l'âge de 5 ans
58 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
tions nor- males. Le système pileux est ni exubérant ni pauvre. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine. RÉSUMÉ.
examen complet des échanges organiques. Toutefois par l'analyse des urines nous avons constaté une tolérance anormale aux
line au millième et l'ingestion de 200 grammes de glucose, dans les urines des 24 heures il n'y avait aucune trace de sucr
statés nulle part. La peau et les muqueuses sont subictériques. L' urine ne contient ni albumine ni sucre. La percussion
Les deux dernièrpsannées il toussait beaucoup. Ictère depuis 6 mois, urine d'une couleur brune, matières grisâtres. L'appé
qui le soulagent beaucoup. Foie agrandi, très dur. Rate très dure. Urine d'une couleur foncée, contient un peu d'uro- bi
u d'uro- biliàe, . Depuis mars 1912, pleurite à gauche. En juin l' urine contient beaucoup d'u- robiline, pas d'albumine
ères, se sont ulcérées ; en ces zones la peau est souvent imbibée d' urine et une escarre sacrée se constitue bientôt qui ga
llations se déclare ; la température atteint 39° à 40° le soir; les urines sont troubles, on est obligé de sonder le malade
fort peu influencée par le régime. Les trois analyses complètes des urines que nous reproduisons et dont nous tenons à rem
pécial dans noire observation, c'est la concentration en sucre de l' urine ; nous avons en effet constaté au litre les chi
e que, sous l'influence du régime, le taux du sucre baisse dans les urines . Il y a comme un balancement entre le coefficie
tre le coefficient azoturique du sérum et le taux du sucre dans les urines . Chez notre malade qui est resté constamment un
ques. Thèse de Lyon, 1913-1914. 240 CLUZET ET LÉVY azoturique des urines qui s'est montrée sensiblement normale, encore qu
êché de faire. Rapprochée cepen- dant de la cryoscopie parfaite des urines , elle montre qu'il n'y avait pas de viciation p
ssant que le taux du coefficient azolurique du sérum sanguin et des urines permet d'écarter, dans le cas particulier, l'hy
nfin, de signaler que la purine recherchée à deux reprises dans les urines , s'est montrée une première fois â un laux sens
and il fait des efforts de défécation ou autres, quelques gouttes d' urine sortent du méat. Un toucher rectal permet de co
es- carres de la région sacrée. La vessie, qui contenait un peu d' urine trouble, présentait une hypertro- phie accusée
e lever, se lève, va sur la chaise et fait une abondante quantité d' urine . Examen Mallet. Pas d'albumine, ni sucre, ni pi
nc., puis les bras et la face, très variable d'un jour à l'autre. L' urine toujours purulente contenait un peu de sucre qui
La menstruation se fait normalement. La malade pèse 59 kilos. Elle urine dans son lit. - L'urine ne contient ni albumi
ormalement. La malade pèse 59 kilos. Elle urine dans son lit. - L' urine ne contient ni albumine ni sucre, mais elle est a
toires. 328 nOUHINOVITCH Et' REGNAULT DE LA SOUDIÈRE L'examen des urines n'a montré ni sucre ni albumine. La malade accu
uels. Pas de trouble digestif, respiratoire, ni circulatoire. Les urines ne présentent ni sucre, ni albumine. Les sens s
nte (Moore, Alexander) et que, de plus, on n'a jamais trouvé dans l' urine des épileptiques une augmentation constante dan
lepsie essentielle (morsure de la langue, évacuation involontaire d' urine , perte complète de connaissance, les convulsion
zote par rap- port à l'alimentation (examen des défécations et de l' urine ), quand d'ail- leurs la proportion entre l'azot
et de la chaux dans les défécations et celle de la magnésie dans l' urine diminuent également. De plus, suivant Fassin,
,par exemple, pensait que dans les cas de tétanie, on trouve dans l' urine une augmen- tation d'ammoniaque et d'acide carb
aux et de la magnésie ; en outre, l'élimina- tion de l'azote dans l' urine serait fortement augmentée. Il range la tétanie
en des reins, des poumons et de la peau, d'une masse de toxines : l' urine qui s'écoule pendant ou immédiatement après l'att
même chose du sang et-de la sueur (Ardin- Deiltel entre autres). L' urine aussi bien que la sueur excrétées dans les péri
vo- quant pas de spasmes. On observe exactement le contraire pour l' urine et la sueur excrétées immédiatement avant, pend
tendre quelques minutes. Il ne tient pas compte de notre demande et urine dans la salle. Il s'attendrit très facilement d
59 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ec soin, parait très satisfaisante La santé générale est bonne. Les urines sont normales. En raison de la trop. grande int
ventouses scarifiées, cathétérisme qui donne issue à 600 grammes d' urine . 25. - liypéresthésie des téguments du tronc; l
600 grammes d'urine. 25. - liypéresthésie des téguments du tronc; l' urine contient de l'albumine. La sensibilité reparaît
it jusqu'à la partie moyenne de la jambe ; plus d'albumine dans les urines . Traitement. Eau de Sedlitz, lavements purgatif
ventouses scarifiées, bromure. 27.-Nuit : on extrait 700 grammes d' urine par le cathétérisme; Archives, t. XIX. 4 50 .
l; saillies considérables de l'in- testin au creux épigastrique ; l' urine contient des phosphates. T. 38°,8, selles invol
,2. Bro- mure, pilules au tannin. 1er septembre.- 1,150 grammes d' urines en quinze heures par le cathétérisme. T. 37°,8,
uit; plaie de position au niveau du sacrum. T. 38°. l,f00 grammes d' urine dans les vingt-quatre heures par le cathétérism
T. 38°,7. Sulfate de quinine, 0, 60 ; séance de faradisation. Le 8. Urine seul, mais involontairement. La plaie du sacrum s
Le 9. Douleurs en ceinture; l'eschare s'élimine ; incontinence d' urine , qui, à l'analyse, est très alcaline et présente
. L'anes- thésie des deux membres inférieurs est encore complète. L' urine extraite par la sonde est légèrement colorée de
3 août. L'état de la sensibilité et de lamotilité reste le même; l' urine est trouble, alcaline, de mauvaise odeur, légèrem
ureux. Les mouvements sont brusques. Sommeil agité, remue beaucoup. Urine parfois au lit (7 à 8 fois depuis le 1er jan- v
cristaux de phosphate triple^ les- quels ne furent retrouvés dans l' urine à aucun autre moment. Il se pouvait que le sang
t sourds; le pouls radial est petit, très difficile à sentir. Les urines ont été examinées à plusieurs reprises; leur dens
é à l'hyp- none sur le fonctionnement du rein, il a fait examiner l' urine de tous les malades soumis à ce traitement ; pa
mme de trente et un ans. Soudain en juillet 1864, augmentation de l' urine , vertiges, céphalalgies, névralgies du trijumea
: exa- gération des réflexes tendineux; émission de 3 à 5 litres d' urine (sans augmentation des matières fixes); soif in
u moins transitoire ou au contraire habituelle, du sucre dans les urines . Ces cas-là existent d'une façon parfaite- ment
re lui-même qui se trouve souvent en quantités considérables dans l' urine chez les malades atteints de ces complications,
ertains diabétiques le sucre peut momentanément faire défaut dans l' urine ou encore y être représenté par un taux peu éle
onsidé- rable ('10 litres constatés à l'hôpital avec les bocaux). Urine très peu colorée, non trouble. D. 1040. Ne contie
quelquefois s'il ne se présente pas assez vite à la garde-robe, il urine dans son pantalon ; quelquefois il pisse encore
Les courbes ci-jointes montrent les variations du sucre par litre d' urine et par jour pendant les premiers jours du séjour
Ces quantités de sucre peuvent être considérées 1 Les analyses d' urine complètes et pratiquées avec grand soin ont été
ant d'un trouble de la nu- trition et marqué par la présence dans l' urine , ainsi que je vous le faisais remarquer tout à
cre peut apparaître à une époque en général assez tardive, dans les urines des malades. M. Oppenheim et d'autres auteurs o
'à 12 litres par jour. Aujourd'hui la la moyenne de la quantité des urines en vingt-quatre heures oscille entre 6 et 7 lit
. La dernière analyse donne 49 grammes de sucre par 1,000 grammes d' urine avec une excrétion urinaire de 7 litres, c'est-
l. 111. · 1 1 1 1 Fig. 2 Courbe des variations du sucre par litre d' urine . Fiv. 4. Courbe des variations du sucre par lit
r litre d'urine. Fiv. 4. Courbe des variations du sucre par litre d' urine après traitement. Archives DE Neurologie. T. XI
s après traitement. Fig. 6. Courbe des quantités d'urée par litre d' urine après traitement. li 1 CATSARA8 - Tableau V
60 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
nchants pervers, l'onanisme, les terreurs nocturnes, l'incontinence d' urine qu'on observe si fréquemment chez les prédisposés
rouve un trajet ristuleux. entouré de bords épais, à travers leqael l' urine s'échappe goutte à goutte. Le voisinage de la f
urs nocturnes, somnambulisme, kleptomanie, onanisme, incontinence d' urine , tics, bégaiement, paresse invétérée, malpropreté
de l'urèthre une sonde destinée à remédier à une rétention complète d' urine remontant à dix-huit mois. Il se plaint de fourmi
tements, le malade fut atteint inopinément d'une rétention complète d' urine , coïncidant avec de violents maux de reins, qui d
a marche dans du colon; abolition des réflexes rotuliens; rétention d' urine complète; élancements sous la plante des pieds et
diminué. C'est alors que nous eûmes l'idée de traiter sa rétention d' urine par le même procédé, de lui faire la suggestion d
, contre l'incoordination de la marche et enfin contre la rétention d' urine . La persistance de l'abolition des réflexes nous
excréta urinaires. Ils basent leur raisonnement sur ce fait que les urines d'une malade, la nommée R..., pendant son état no
it dans la note (page 4) commniquée au Congrès de Rouen, à propos des urines de l'état de veille : « Nous ne les avons analysé
analysées que lorsque nous étions absolument certains de posséder des urines de vingt-quatre heures. » Ce qui a pu tromper l
nous n'avons pu nous procurer, comme pendant le sommeil hypnotique, l' urine de trois jours consécutifs, mais nous avons eu à
jours consécutifs, mais nous avons eu à trois reprises différentes l' urine totale de vingt-quatre heures, de sorte que nos a
: le volume, l'urée, le résidu sec el l'acide phosphorique total des urines émises à l'état de veille présentaient une diminu
Congrès de Rouen (pages 6 et 1) donné les résultats de l'analyse des urines de deux autres malades : Tune hystérique et l'aut
pas fait pour ces deux dernières malades plusieurs analyses de leurs urines et, par suite, nous n'avons pu établir de moyenne
rs urines et, par suite, nous n'avons pu établir de moyenne, mais les urines analysées étaient celles émises après trois et qu
rie représentée par une évacuation quotidienne de six à huit litres d' urine ; il y a aussi de l'azoturie, mais celle-ci doit ê
lle tiendrait plutôt celle-ci sous sa dépendance, car la quantité des urines émises dans les vingt-quatre heures a été plusieu
ique, de vingt ans. qui, depuis douze ans, souffrait d'incontinence d' urine , d'insomnie, de tremblement des lèvres, de mal de
Dan» lt première séance, on lui dit de bien dormir et de retenir son urine , ce qu'elle fil comme on le lui avait suggéré. Dè
., âgé de onze ans, traité à la clinique pour une incon- linca ce d' urine , qu'il csl arrivé depuis très longtemps et qu'il
n bon élève, est amené à la clinique pour une incontinence nocturne d' urine . M. Zakrevrskv, procureur général de Moscou, m'ay
atteint d'une lâcheuse infirmité. Il souffrait d'une incontinence d' urine . Celle maladie, que n'ignoraient pas ses supérieu
, on ne connaît guère d'autre traitement de l'incontinence nocturne d' urine que de soumettre le soldat qui est atteint de cet
nde polyurîe névropathique ; il rendait, en effet de 22 à 25 litres d' urine lorsqu'il n'était soumis à aucune intervention th
l'influença de l'extrait de -valeriane (6 gr. par jour), le taux des urines s'était abaissé a 14 litres. Le malade quitta alo
e époque. H... urinait de nouveau 25 litres par jour; la densité do l' urine mesurée immédiatement après la miction était sens
ement après la miction était sensiblement la même que la densité de l' urine mixte des vingt quatre heures, ce qui excluait to
ation. J'avais trouvé, de mon coté, autrefois que l'urée dosée dans l' urine directement recueillie et dan» le bocal s'élevait
. En outre, j'ai vu le malade émettre, d'un seul coup, 2 litres 1/2 d' urine , ce qui, non plus, ne se simule pas. Avec cela,
phénacétine. Ce médicament fut pris pendant deux jours en solution; l' urine diminua un peu, elle descendit à 21 litres. Au
s 2 gr.. puis 2 gr. 50. Le résultat fut remarquable : le 9 février, l' urine était à 9 litres; à S litres le 11. Après quelque
n opérée par lui. Du coup, la charme fut rompu et. tout aussitôt, les urines reprirent une marché ascendante. Le 29 février, e
lle dure longtemps, peut amener un affaiblissement du sens génital. L' urine a sur l'urèthre malade une action irritante qui p
s reviennent, mais moins Iréquentes [toujours pas d'albumine dans les urines ). Elles sont supprimées de nouveau par la suggest
61 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nutri- tion très avancée. Incontinence des matières fécales et de l' urine . Après un séjour à l'hospice sans amélioration
désire personne. Il est incontinent des ma- tières fécales et de l' urine ; fiés sale; dort bien. 31 juillet. - Le malade
nt delà propreté, absent. Incontinence des matières fécales et de l' urine . Observation XII.Le nommé Jean Huzum, âgé de tr
as de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence d' urine . Aime beaucoup rester au lit, on ne constate pa
de remarque réside dans ce fait que la présence d'albumine dans les urines a été constatée jusqu'à la mort, dans tous les
iabétique, question qui sera généralement tranchée par l'examen des urines ; enfin l'attaque BIBLIOGRAPHIE. 81 hystériq
ystérie qui en dernier ressort pourra être tranché par l'examen des urines . L'accès d'épilepsie en effet élève pendant vin
ant vingt-quatre heures le taux de tous les élé- ments solides de l' urine , l'attaque d'hystérie au contraire ainsi que M.
sse des muscles vésicaux; on retire par la sonde un litre et demi d' urine . Etat psychique. Le malade est très déprimé. La
ancolie. Les conclusions sont les suivantes : 1° La quantité de l' urine sécrétée et des matériaux solides qu'elle conti
oussée : la peau de la main est en moiteur. Supprsesion des règles. Urine normale, etc. Le diagnostic de tumeur située au
1854, Seyfert signale la présence de l'albumine en abondance dans l' urine de quelques épilep- tiques, après l'attaque. Ba
et Pérot18 en France, ont fait des recherches sur l'albumine des urines des épileptiques. D'après MM. Voisin et Péron,
8 à 102), 1893. ° Mairet et Bosc. Recherches sur la toxicité de l' urine des épilep- tiques. Soc. de biol., 1895, et Arc
ch. de physiologie, 1896, n- 2. - Re- cherches sur la toxicité de l' urine normale el palhol., 1891. ' Mairet et Vires. Un
Doleris 3 et Blanc 3 ont pu isoler des microbes dans des cultures d' urine . Eux aussi concluent à l'intoxication. PourHe
roubles gastriques ; il y a de la constipation et de la rétention d' urine . Le diagnostic du délire aigu est à faire avec
es crises, les troubles vésicaux, dont le type est l'incontinence d' urine , les ttoubles trophiques, les désordres psychiq
ue à une' auto-intoxication, la présence d'éléments anormaux dans l' urine constitue une sorte de confirmation. Il y a plu
iacétique et p oxybutirique, de tyrosine, de sulfo-conjugués dans l' urine . L'auto-intoxication hépatique se manifeste par
auto-intoxication rénale, enfin, par la diminution de la quantité d' urine , la présence de cylindres et de tubes, l'albumi
précipités mais réguliers, pas de souifle. Rien d'anormal dans les urines , les pupilles sont égales et réagissent convena
s au bout de ce temps on obtient par la sonde une grande quantité d' urine normale ; le cinquième jour le rectum fonctionn
n opération de la craniotomie. Il recommande l'examen préalable des urines pour éviter d'opérer des malades en puissance d
ne fugace. Les auteurs pensent que la présence de l'albumine dans l' urine de certains malades est liée à l'intensité de l
nésie et de faux souvenirs. En outre on nota une légère rétention d' urine et de la constipation. Etat présent. 2 IX. 1898
nerveux sont souvent douloureux à la palpation. Légère rétention d' urine et constipation. Les réflexes rotuliens sont ex
mémoire, amnésie, douleurs aux membres inférieurs et incontinence d' urine . Au mois de novembre 1892, on constate des symp
e chez les hysté- riques ou chez certains dégénérés ; la quantité d' urine émise dépasse rarement 2 litres, mais se mainti
ous retrouvons : * polyurie légère, augmentation de la densité de l' urine , élimination considérable d'urée et surtout pho
'une vivo frayeur, criant et laissant sur son passage une traînée d' urine , il court se blottir vers le coin le plus obscur
gauche; cette malade devient gâteuse, elle ne peut conserver ni ses urines ni ses matières. Le 14, les mouvements athétosiqu
d'atrophie, pas de troubles trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor- males. La paralysie suit une marche rapide
iens ; elle est moins prononcée à ganche. Incontinence complète des urines et des matières ; urines normales. Pas d'élévat
noncée à ganche. Incontinence complète des urines et des matières ; urines normales. Pas d'élévation de température. Au bo
du côté de l'intelligence, soit du côté des organes des sens. Elle urine par regorgement. Absence de sucre» et d'albumine,
ur et poumons sains, écoulement blennorrhagique vaginal abon- dant, urines rares, chargées de pus, diarrhée fétide. Au bout
plus tard, l'es- carre srcrée n'a aucune tendance à se cicatriser; urines purulentes, diarrhée profuse, gonflement du gen
teur poursuit par les recherches modernes sur l'état gastrique, l' urine , le sang des épileptiques avant, pendant et après
érections douloureuses (Bourneville), ainsi que dans la rétention d' urine par hypertro- phie prostatique. De même, dans l
62 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ieurs fois pendant la nuit pour uriner. Ni albumine ni sucre dans les urines . Jamais d'oedème des malléoles ni des paupières
ous ses modes il gauche. Le lendemain de l'attaque apoplectiforme l' urine était légèrement albumi- neuse. Ce symptôme fut
ransitoire ; en peu de jours l'albumine disparut com- plètement des urines . On constata dès lors la marche suivante de la
cons- tata une incontinence plus ou moins complète des fèces et des urines , qui s'aggrava progressivement. Les urines anal
omplète des fèces et des urines, qui s'aggrava progressivement. Les urines analysées il plusieurs reprises ne ren- fermère
çon assez marquée (Planche IV). L'examen des poumons, du coeur, des urines ne révèle aucune particularité pathologique.
de la rate et l'accélération des battements du coeur. L'analyse des urines et du sang a été l'objet de recherches peu nombre
ondante et co- pieuse (pas de tuberculose, pas de modifications des urines ). OBS. II (PI. VII, B). Communiquée par M. ALBE
veur, a des digestions mauvaises, mais pas de lésion viscérale. Les urines sont acides et contiennent des traces d'albu- m
urs changent de volume de temps à autre. L'examen du sang et de l' urine ne révèle rien de particulier. Le début de la m
ent à la Salpêtrière l'a arrêtée. La respiration est normale. Les urines normales. Le poids, qui était, on se le rappell
aussi de la pollakiurie dont l'existence n'est pas établie. Dans l' urine , dontl'émission se fait avec peu de vigueur, on
ade se salit. ' Pas d'atrophie. Les autres appareils normaux. Les urines examinées à plusieurs reprises absolument norma
que l'on est obligé de la réveiller. Depuis 6 mois incontinence d' urine . Depuis un an raideur, faiblesse, dou- leurs da
x existent encore : la malade perd quelquefois quel- ques gouttes d' urine : d'autrefois, elle est obligée de faire de longs
meil, précédés de rêves érotiques, suivis d'émission involontaire d' urine et laissant après elles un état de prostration co
ncters ont une certaine tendance parétique. Les dernières gouttes d' urine sont perdues dans la chemise ; les lavements ne p
s bourses sont grosses, le vi- sage lui-même est bouffi. Enfin, les urines contiennent 4 gr. 50 d'albumine par litre. Le
illose. Mais le thorax était sain, il n'y avait pas de pus dans les urines , l'article ne s'était pas fistulisé depuis quat
e alcoolique, sans hallucinations, sans troubles de la mémoire. Les urines ne renfermaient pas d'albumine et le foie n'éta
lées. On ne peut constater un reliquat de la pleurésie double ; les urines renferment un peu d'albumine qui a cédé rapidem
up plus marquée du bras droit. Le malade présente de la rétention d' urine pen- dant deux jours. Le 15 octobre, les mouvem
. Les réflexes rotuliens n'étaient ni exa- gérés ni diminués. Les urines contenaient de l'albumine, la température et le p
la température normale. Il n'y a pas d'émissions involontaires des urines ou des féces. Les alentours de la plaie sont
les objets usuels et leur emploi. Ainsi if lui arriva de boire son urine en prétendant que c'était de l'eau et pendant plu
des autres appareils n'a révélé rien d'anormal. La composition des urines est normale. En résumé nous nous trouvons en pr
(1). Les fonctions digestives s'exécutent bien. Miction normale ; urine physiologique. Le malade n'a ni céphalal- gie,
tique. Rien au coeur, les artères sont un peu athéromateuses. Les urines n'ont jamais été troubles ni lactescentes. L'exam
usqu'aux pieds. De plus elle ne sentait pas le besoin d'uriner; les urines s'écoulaient à l'extérieur sans qu'elle en eût
montrent encore des troubles passagers de la miction, réten- tion d' urine , et des troubles de la vue, diplopie transitoire.
re trace d'arthropathies quelconques. La miction est normale, les urines non modifiées dans leur composition. La constip
issaient des troubles des sphincters, incontinence puis rétention d' urine , crises doulou- reuses rectales avec constipati
pas baissé. Depuis trois mois, elle se plaint d'une incontinence d' urine continuelle : les urines coûtent goutte à goutt
s mois, elle se plaint d'une incontinence d'urine continuelle : les urines coûtent goutte à goutte ; il n'y a pas d'incont
pique le Dr Nattier n'a constaté aucune anomalie. Sphincters. Les urines partent quelquefois malgré lui, ou bien quand il
il sent le besoin il doit attendre plusieurs secondes avant que les urines ne viennent. Le malade a été examiné de nouveau
scères ne révèle rien de pathologique. La voix a un timbre grave. Urines du 14 avril : 6200 centimètres cubes en 24 heures
rendre un peu d'opium (10 centigrammes d'extrait). En même temps, l' urine tombe à 2 litres 500 et 2 litres le 20 avril, et
disparait presque entièrement (4 grammes). C'est seulement dans les urines émises quelques heures après le déjeuner et le
n de 10 grammes de glycose sous la peau fit monter la quantité de l' urine à 5 litres et celle du sucre à 165 grammes. - L
ail, mais il se fatigue vite et est incapable d'un long effort. Les urines sont relativement peu abondantes : 1500 centimètr
la suite des repas. Le sucre ne dépassait pas 3 grammes par jour. L' urine était en moyenne de 1000 à 1100 centimètres cub
pulaire. J'ai. insisté souvent sur la fréquence de l'incontinence d' urine chez les xiii '27 414 nrERTOGUE infantiles.
uellement à l'huile de foie de morue sauf depuis l'hiver dernier. Urine souvent au lit. En juillet 1899, fluxion de poi
bes pourrait être considérée comme trouble trophique. L'examen des urines effectué par M. le D' Moitessier donne : '/¡20
(digestif, circulatoire ou pulmonaire). Rien de spécial du côté des urines ou de l'appareil rénal. Cette petite malade,
u coeur. Pas de lésions vasculaires. Ni sucre, ni al- bumine dans l' urine . s Le corps thyroïde paraît normal ; on sent ne
s et, bien qu'elle n'en soit pas 636 LANNOIS .sûre, croit que les urines avaient de l'albumine. Celle-ci a d'ailleurs dis-
ATOSE 641 Sphincters. - Parfois, au moment d'une émotion, selles et urines incons- cientes. - Durant un an l'état du mal
dre d'astragale, le foie de lézard, les cendres de vers de terre, l' urine , les crottes de chat sauvage, les excréments aggl
63 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
il de Potain, est de 14 à droite et de 13 à gauche. L'analyse des urines de 24 heures a fourni les chiffres suivants (la m
n. La voix est un peu rauque. Il y a toujours de l'incontinence des urines , sous forme de mictions invo- lontaires. Il ne
er d'autre part à l'examen viscéral. Ni sucre, ni albumine dans les urines . 25 octobre 1904. On est frappé aujourd'hui en
de tachycardie. La tension artérielle est normale. Un examen des urines donne les chiffres suivants. NOUVELLE Iconograp
ibuer l'ostéomalacie et dans notre cas la scoliose. L'analyse des urines que nous possédons bien qu'incomplète (car nous
inctériens est parfaitement normale, on n'a rien trouvé du côté des urines . Tous les viscères ont été examinés et retrouvé
de son membre inférieur gauche. Elle présentait de l'incontinence d' urine dans la première semaine de sa maladie. On étai
ment de ses autres appareils est assez bon. Rien d'anormal dans les urines . L'hémiplégie est entrée assez rapidement en dé
thésie pharyngée ; pas d'anesthésie cornéenne ; Digère normalement. Urines normales ; , Bon sommeil. Réactions électriques
myélocites et les hématies sont d'aspect normal. I . L'examen des urines donne un seul caractère anormal : l'abondance de
onvulsive généralisée, avec cri, morsure de la langue, évacuation d' urine et des ma- tières fécales, et sommeil stertoreu
Pas de troubles fonctionnels du territoire urinaire. L'analyse des urines , faite par M. le Dr Florence, chef du laboratoi
x du malade n'a pas changé de tonalité. Le larynx est normal. Les urines émises dans les 24 heures atteignent dès 1200 à 1
4 heures atteignent dès 1200 à 1500 ce. a peu près. L'analyse des urines a donné : Acidité normale. Couleur jaune claire
ilité la syphilis héréditaire chez le malade. L'examen chimique des urines nous a révélé des altérations profondes portant
ls terreux de chaux et de magnésie qui ne sont pas éliminés par les urines , peuvent être retenus dans l'organisme et accum
respiratoire et digestif paraissent ne présenter aucun trouble. Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. La palpatio
oedème des jambes est très prononcé. Ni sucre, ni albumine dans les urines . On ne constate aucune lésion cardiaque. 5 ju
; la peau présente par places de petites écailles brunâtres. Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Dans la s
39 centi- mètres (La planche XXXVI reproduit une photographie). Les urines ne con- tiennent ni sucre, ni albumine. 20 Ma
ellent chaque jour. Il existe une incontinence presque complète des urines et des matières fécales. Le strabisme divergent
raniens et du plexus cervical. Présence d'albumine et de pus dans l' urine retirée par la sonde. Temp. : 37° s., 37° m.
ïde semble assez notablement atrophié à la palpation. L'analyse des urines , pratiquée à deux reprises à trois jours d'interv
ses : la pression vasale est assez élevée, 140-145 mm. de Hg. Les urines très légèrement albumineuses nous apprennent que
anifestés quelques troubles importants : d'abord une incontinence d' urine accompagnée de ténesme ; presque à la même date i
troubles de la miction persistent : il ne perçoit pas l'émission de l' urine à travers le canal uréthral ; il est même oblig
n spontané d'uriner même quand il y a dans la vessie une quantité d' urine suffisante. Quant à son état général il n'a pas
trophie musculaire par inactivité et sur les examens du sang et des urines ; ils n'ont pas donné de résultats'très intéressa
est normal ; le pouls régulier bat à 75 pulsations à la minute, les urines ne contiennent ni sucre ni albumine. ULCÉRATI
palpation de grandes scyba- les. Il y a 0,02 0/0 d'albumine dans l' urine . La tête ne peut point du tout être fléchie en
qui disparu en peu de temps, et Wickman raconte qu'une rétention d' urine a 'apparu dans l'épidémie suédoise en 1905, in ni
») jours. Mon expérience m'a fait observer moi-même une rétention d' urine dans 5 cas et, pour deux autres cas, j'ai appri
insi, chez le géant Charles décrit par ces auteurs, la quan- tité d' urine en 24 heures atteint 2.500 centimètres cubes, la
les phosphates 4 gr. 31. Ils en viennent donc à la conclusion que l' urine est anormale quant à la quantité et à l'élimina
et d'urée. Chez le géant Simon Botis décrit par Buday et Jancso, l' urine , d'abord normale, augmenta ensuite et contint du
rd normale, augmenta ensuite et contint du sucre. Dans l'examen des urines du'géant acromégalique décrit par Achard et Laper
à la diète de viande et au lait, le sujet ne présenta plus dans son urine qu'une quantité insignifiante de sucre (4 gr. e
ignifiante de sucre (4 gr. en 24 heures). Dans un second examen des urines fait au retour du malade dans la clinique, sur
te, de graisses, d'anidride phosphorique et d'oxyde de calcium. Les urines étaient recueillies toutes les 24 heures et les m
dosage que pour les aliments (Voir les tableaux spéciaux). Dans les urines , outre la quantité, la densité et la réaction, on
tats obtenus, on trouve que (voir le tableau n° 1) la quantité de l' urine dans les 24 heures fut normale, variant entre 1.6
normale. Quant aux différents groupes sulfuriques éliminés par les urines , il faut remarquer que le soufre total se maint
à la réparation, comme le prouve la quantité de chaux normale de l' urine et la bonne absorption de la chaux par l'intest
lipémie ; ce fait n'é- tant pas lié à la présence de sucré dans les urines , on ne peut pas parler de lipémie diabétique.
ade a souffert depuis sa première enfance d'incontinence nocturne d' urine . A 7 ans il eut la rougeole. Il a terminé l'éco
AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 6\ : I guait et tombait. L'incontinence d' urine qui jusqu'alors n'était que nocturne survient é
nys- tagmiformes verticaux. - Le malade souffre d'incontinence d' urine diurne et nocturne. Il présente une 630 MARINES
pratiqué la ponction lombaire (3 sep- tembre), de l'incontinence d' urine et des matières fécales. A droite il se produit
marcher ni se tenir debout depuis quelques semaines. Incontinence d' urine et des matières. ter mars 1906. Le malade conti
ace sont dépourvues de poils, mais il en a au pubis. Incontinence d' urine et des matières. DEUX CAS D·HYDROCÉPHaLIE AVEC
est impossible de les apprécier. La malade pèse 52 kil. 800. L' urine ne contient ni du sucre, ni de l'albumine. Gâtism
prolongée : pas de râles. Les autres organes sont normaux. Dans les urines , ni sucre ni albumine. Conditions générales : f
ure ; le cerveau s'organise et le passage des matières fécales, des urines à travers les conduits qui leur sont destinés,
ce moment, le nouveau-né est conscient du moment où il mange, où il urine , mais non seulement ne sait pas pourquoi, mais
64 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
. En même temps que la paraplégie sont survenus de l'incontinence d' urine et des accidents gastriques. L'incontinence dis
e avec incontinence 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. d' urine et constipation non opiniâtre. La malade souffre
a durant toute la nuit. - Le 20, température élevée. Incontinence d' urine . - Le 21, la paralysie se dissipe et le malade
douloureux, et il a des vomis- sements bilieux et de la rétention d' urine . On croit à une péritonite et on applique de la
n d'un cathéter n'est pas perçue jusque dans la vessie. Rétention d' urine et constipation depuis l'accident. Puis une cys
à la limite iniérieure de laderniere paire dorsale. Incontinente d' urine . L'urine reste saleel purulente. Tempéra ure ir
ite iniérieure de laderniere paire dorsale. Incontinente d'urine. L' urine reste saleel purulente. Tempéra ure irrégulière
réflexes sont toujours absents. La vessie retient partiellement les urines , qui sont moins sales et moins purulentes. No
les paralysies médullaires d'ordre trauma- tique. L'incontinence d' urine est beaucoup plus fréquente dans la catégorie d
1° Des signes de présomption : atrophie musculaire, incontinence d' urine , élévation de la température, fourmillements doul
qu'il était à Orégon, il se souvient qu'il ne pouvait garder ni son urine ni ses matières. La jambe gauche n'a jamais été a
Depuis un an, périodes d'anesthésie vési- cale avec incontinence d' urine . Paraplégie flasque sans troubles trophiques. R
menstruation est normale; un peu de leucorrhée depuis deux ans. Les urines ne renferment ni albumine ni sucre; deux examens
00 gr.), l'aspect, la couleur, la densité (1.019) et la réaction de l' urine sont normaux. Elle ne renferme aucun élément an
entre très gonflé; pas de selle depuis plusieurs jours; rétention d' urine , vessie disten- due ; foie dc grandeur normale
x. . On fit sortir au moyen du cathéter environ 1,000 cent. cubes d' urine trans- parente, très concentrée, sans albumine
us l'avons sondé séance tenaille, et retiré de sa vessie un litre d' urine d'aspect normal. La sensibilité uréthrale était
a paralysie des membres inférieurs est compliquée d'une rétention d' urine , de constipation et de douleurs dans le dos ».
(Communiquée par notre collègue et ami M. Thiro- loix). Rétention d' urine . Flénaiparaplogir. Hystérie. - Maria Des..., tren
urs, on fut obligé de la sonder, retirant chaque fois 500 grammes d' urine . La sonde est bien sentie pendant son passage il
longue pleurésie, sur- viennent de la tympanite, de la rétention d' urine et une contracture du membre inférieur. Les car
35). Pa- raplégie datant de dix-1kuf ans, compliquée de rétention d' urine et de contracture tardive. Guérison. Ces. XLI
ût se retenir et au bout de ce temps, la fonction s'est rétablie. L' urine ne renfermait tv. 21 ,314 NOUVELLE ICONOGRAPH
e et ami M. Poulalion). Para- plégie hystérique avec incontinence d' urine . -Adeline J..., vingt et un ans, mécanicienne,
quatre pattes ». Jusqu'à l'âge de six ans, incontinence nocturne d' urine . A sept ans, à la suite d'une émotion (elle avait
raplégie compliquée de constipa- tion opiniâtre et d'incontinence d' urine continuelle. Le 26 mars 1890, déses- pérée de s
yélopathiques ne sentent pas le besoin d'uriner, ni le passage de l' urine ou de la sonde à travers l'urèthre. Les hystériqu
etc. ; qu'enfin les troubles vésicaux (réten- tion, incontinence d' urine , par exemple), les troubles oculaires (am- blyo
rtaine difficulté dans la miction, sans rétention ni incontinence d' urine . Étal actuel (février 1890). 1° Troubles de la
mpotence mo- trice dont elle souffre. Ni sucre ni albumine dans les urines dont le taux est normal. Rien à noter dans les
vec une nou- velle crise. Le 4 avril, attaque suivie de rétention d' urine . Depuis ce mo- men t cette rétention a persisté
sente encore des troubles vésicaux caractérisés par une rétention d' urine qui date de plusieurs mois et qui nécessite deux
ant dans le dos, les membres, autour de la cein- ture ; rétention d' urine , paresse pupillaire, amblyopie et achroma- tops
n entrée. Pas de lésions cardiaques. Pas de troubles viscéraux. Les urines ne renferment ni sucre ni albumine. ÉTUDE DES
ésicaux. Ici encore la différenciation est malaisée. La rétention d' urine est très fréquente dans l'hystérie (l'incontinenc
ouvent arrêté par un spasme du col vésical. De plus, la rétention d' urine dans la névrose a une marche très irrégulière,
ceux du début (absence d'aura, morsure de la langue, incontinence d' urine , stertor et courbature). Vers le milieu de l'an
lle ne perd pas connaissance, elle ne se mord pas la langue, elle n' urine pas sous elle. Le lendemain elle est fatiguée,
diurnes. Il est arrivé plusieurs fois qu'il a laissé échapper et les urines et les matières fécales dans les accès de nuit.
65 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
est petit et bat 84 pulsations à la minute. L'analyse chimique des urines a été pratiquée par le Dr Souza Garcez ; elle a
n de l'ostéomalacie. L'élimination du phosphore et du calcium par l' urine n'était pas modifiée. Malheureusement on n'a pa
éjà existante dans ce cas. IIaushalter etGuerin (58) trouvent que l' urine des myxoedéma- teux est plus riche en calcium.
t de ces constatations, et sur la base des résultats donnés par des urines dans un cas d'infantilisme avant et pendant le tr
s modifications dans l'éli- mination de l'acide phosphorique dans l' urine des femelles châtrées. Il faut dire pourtant qu
Lutje (95), Neumann et Vas, en dosant l'acide phos- phorique dans l' urine et les fèces des femelles châtrées ont obtenu éga
ca- tion des os. Le même auteur avait trouvé l'acide nitreux dans l' urine de ostéomalaciques. Seligman, iIertz et Lolil
e trouve, d'après ces au- teurs, dans le sang, la moelle osseuse, l' urine , etc. Dans le cas de notre crétine avec tétanie
x ihyroparathyroïdectomisés éliminenl plus d'ammo- niaque-par leurs urines que les animaux normaux et, que Isac Ott (163)
région lombaire : pendant deux semaines il eut de l'incontinence d' urine et de l'anesthésie locale; il 31 ans, blennorrhag
de signe d'Argyll.Robertson). Le malade a parfois de la rétention d' urine , pour laquelle on est obligé de le sonder. Sur
res. ? Coeur. - Le second bruit, il la base, est dur et parcheminé. Urine . - Un peu d'albumine, pas de sucre. Poumons. -
les différents appareils ; on ne note rien de particulier dans les urines . Le poids du corps est de 80 kilogrammes ; la t
e lève cette fiole et paraît l'examiner à la façon des Médecins aux Urines (2). Nous retrouvons ces trois rondelles ou pilul
e, ne participe pas aux phénomènes jacksonniens. Le malade perd ses urines . La température est à 38° et le pouls à 96. Il n'
e. Les réflexes rotuliens paraissent égaux des deux côtés. Dans les urines , grande quantité d'albumine. Le malade est touj
s très dures, la pres- sion artérielle exagérée (21 au Potain), les urines claires et albumineuse ? . Pas de bruit de galo
ou un sentiment. Rien à noter au point de vue somati- que. Dans les urines dépôt phosphatiqne abondant et pigment biliaire.
is ne répond plus. Il sort sans forme de politesse. - On a noté qu'il urine de temps en temps au lit. 25 janvier,- Mutism
attend qu'on lui enfourne les aliments. 20 mars. Analyse complète d' urine . 222 CHASLIN ET SÉGLAS 25 mars. Sa femme, ven
volume du sinus frontal (Pl, XLVIII). Organes génilo-urinaires. Les urines ont été analysées à l'entrée du malade à l'hôpi
t normaux. Le pouls est de 80 ; pas d'albumine ni de sucre dans les urines . On constate l'absence du testicule gauche. Le
névropathique dans la famille. ANTÉCÉDENTS ph;soNNELS. Rétention d' urine dans l'enfance de nature indéterminée. Affectio
érieurs. De plus, depuis ce temps-ia, il a re- marqué aussi que son urine sort avec beaucoup de difficulté, qu'il doit fair
mberg, des érections insuffisantes et des retards dans l'émission d' urine . Bien que l'absence du- réflexe patellaire ne fut
nt bien ; les sommets ne sont pas suspects. Pas d'albumine dans les urines . La menstruation est devenue irrégulière, mais
'élimination, l'enfant eut une hématurie qui- dura deux jours ; les urines , acajou foncé, contenaient des hématies, dont il
s. Pas d'adénopathie. Depuis l'hématurie que nous avons signalée, l' urine a toujours été normale. Pas de trouble de la mo
2. Augmentation du volume des pieds et des mains. ' Polyurie avec urines normales. Champ visuel normal. Anémie profonde.
s. Cyphoscoliose, augmentation de volume des pieds. Polyurie avec urines normales. Anémie. Le traitement a consisté en c
nue, impérieuse, de polyurie, de polydypsie, de céphalée très vive. Urines normales. Six mois après, oedème de la face, ch
est de 159 ; on note une légère cy- phoscoliose cervico-dorsale. Urines normales ; pas de traitement. Observation XI (G
ecs et peu abondants. Légère bouffissure de la face. Céphalalgie. Urines abondantes. Nombre des globules rouges (4.357.0
bé en deux, avec une spondylose rhizomélique très nette. Galop avec urines normales. Tuberculose du sommet gauche. Echec c
nales n'a rien fait sourdre et n'a pas provoqué de filaments dans l' urine ; la prostate n'a pas été perceptible au toucher
n obligeant du Dr Genet, chef de clinique oph- talmologique). 1 - Urines sans sucre ni albumine; élimination régulière du
Légère diminution de l'acuité visuelle : ni polydypsie, ni polyurie, urines normales. Observation XX (Cordier, inédite).
empé- rature est à 37 ? le foie et la rate ne sont pas perçus ; les urines sans sucre ni alumine. Le sang (examiné seuleme
es des fonctions gastro-intestinales et l'appétit est conservé. Les urines de quantité normale ne renferment ni sucre, ni al
temps de la diplopie, et puis depuis trois mois de l'incontinence d' urine . Avec tous ces phénomènes de tabès, la marche é
s eu de douleurs lancinantes. La miclion se fait avec difficulté, l' urine sort goutte par goutte et avec beaucoup d'effort
66 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
blesse et sueurs. Deb... marche difficilement. Sueurs dans la nuit. Urines de vingt-quatre heures : 750 grammes. Il juin.
lande. Pouls : 120. Haleine fétide, douleur au niveau de l'estomac. Urine : 050 grammes. Le visage est beau- coup moins g
s sueurs, affai- blissement, persistance des douleurs stomacales. Urine : : i00 grammes. 13 juin. Dans la nuit, vomis
ouleurs abdominales, diminution des tumeurs grais- seuses du cou. Urine : 400 grammes. Potion de Tood et caféine. 1
i s'était abaissé jusqu'à 24 kg. 100, est remonté à 25 kg. 050. Les urines se main- tiennent aux environs~de 500 grammes.
mier examinait ses poches. Le pouls est descendu à 60. 6 juillet. Urine : 500 grammes. Pouls : G0. ' 7 juillet. - La te
uls : G0. ' 7 juillet. - La température s'élève de nouveau à 37°,6. Urine : 1 litre. Pouls : 70... 8 juillet. Pouls : 7
rine : 1 litre. Pouls : 70... 8 juillet. Pouls : 70; T. R. 37°,2. Urine : 525 grammes. Firl. 3. Firl. 4. TROIS CAS
. R. 37°,4. Soir : 38°. 11 juillet. Pouls petit : 130; T. R. 37°,4. Urine hier : 750, aujourd'hui 500 grammes. Fig. 5.
arrhée a disparu, la faiblesse des jambes est moindre. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. 13 juillet. Depuis hier soir, co
e, courbature générale. Le malade est atl'aissé, n'a pas d'appétit. Urine : 500 gram- mes. Pas de'glande. La desquamation
squamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. , 14 juillet. - Demi-lobe. Pouls
: 120. Urine : 500 grammes. , 14 juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120. Urine : 260 grammes ( ? ). 15 juillet. -Pas de glande
Urine : 260 grammes ( ? ). 15 juillet. -Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. La peau est moite. 1G juillet.
grammes. La peau est moite. 1G juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. Quel- ques coliques. Fifl. li.
'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 11 17 juillet. Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. Coliques, sueurs. 18 juillet.
bourrelet hémorroï- daire. Pouls : 100. Sueurs, faiblesse générale. Urine : 560 grammes. Potion : bismuth, bétol, laudanu
a parole est moins lente, le malade est moins engourdi- Pouls : 90. Urine : 500 grammes. ' 28 juillet. - Bien que la médi
vait au lit changer de positions. Mais en greffe pas 'de dysphagie, urine normale, circulation, respiration normales, gué
l'accompagnent et l'éclairent. R. M. C. XIV. LES sulfates dans l' urine DES paralytiques généraux, étudiés SURTOUT AU P
-moteurs sont manifestes. Les pupilles sont quelquefois inégales. L' urine est normale. Ce cas présente [de grandes analog
pour un temps, et reviennent ensuite aussi intenses. La rétention d' urine n'est pas rare, il y a parfois de l'albuminurie
à peu près 120-130 dans une minute). Le malade tousse assez fort. L' urine est concentrée ; sa quantité est très diminuée
ue, on trouva dans sa pituite les bacilles de Koch. La quantité d' urine n'augmentait pas et restait très diminuée. Le p
i se réfléchit, entre autre, sur la qualité et sur la quantité de l' urine . THÉRAPEUTIQUE. PHARMACOLOGIE DU CORPS THYROÏ
EUTIQUE. riences faites sur la toxicité des tissus, du sang et de l' urine , par Gley, Lamori, Masoîn, Ragowitz prouvent qu
t paroxystiques dans les extrémités inférieures, - d'incontinence d' urine ou de paresse dans l'évacua- tion de la vessie,
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 LIX. Diabète insipide avec rétention d' urine SP.15110D1QUE simul- TANÉE chez UNE jeune fille
0, 4,500, 8,000, 7,000, 6,000, 5,000. 3,000 centimètres cubes d'une urine faiblement acide, jaune clair, limpide, ayant des
la malade par les plaintes d'une voisine atteinte d'une rétention d' urine ; en tout cas, elle eut pour cause physique le s
s avaient absolument l'aspect de meurtrissures. La température, l' urine étaient normales, ce qui permet déjà d'exclure un
nne. P. KERAVAL. LUI. Contribution A L'ÉTUDE DES altérations DE l' urine dans LES MALADIES MENTALES, ET, EN PARTICULIER,
Les convulsions sont suivies de parésies musculaires. Deux fois l' urine contenait de l'albumine, jamais de sucre. Les sym
u nez, de la langue et des clavicules. Pas de troubles oculaires. Urine normale. La malade est soumise depuis plusieurs m
un état humoral déterminé. Les recherches expérimen- tales avecles urines trouvent aussi pla,e dans ce chapitre. L'intitulé
Tabès ou - sucré, par Grube, 58. - insipide avec réten- - tion d' urine chez une hystérique, par Linke, 283. Drainage
par Pasquarel, 482. Paralytiques généraux. Sulfates dans dans l' urine des -, par Turner, 138. Paralysie infantile.
par Goebel,478. Uramsme et pédérastie, par Stefa- nowsl ? 293. Urine . Altération de l'- dans les maladies mentales e
67 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
nt : l°Les envies fréquentes d'uriner avec émission douloureuse des urines ; 2° Le satgriasis sur lequel insistait Trousse
er en convulsion aux moindres attouchements ou encore quand le malade urine ou va à la selle. Je n'insiste pas sur ces trou
xemple, on observe, en général, de la dif-ficulté dans l'émission des urines . Cette difficulté semble due à ce que les muscles
aisément cette contraction permanente, et l'émission involontaire des urines , qui se produit quelquefois, en pareil cas, s'opè
ver que les sphincters soient paralysés d'une manière continue et les urines s'écoulent alors involontairement. Il est possi
bsistent plus , le sphincter est paralysé d'une façon constante, et l' urine s'écoule alors inces-samment goutte à goutte, l'a
usculaires qui, peu à peu, présentèrent une atrophie remarquable. Les urines en même temps deviennent purulentes. Les accident
mission, il se trouva tout à coup dans l'impos-sibilité de rendre ses urines volontairement et quinze jours plus tard les geno
nt une période de 36 heures. Il importe de relever que la rétention d' urine fut, comme on le voit, tout à fait transitoire. E
'œil, appartiennent également à cette période. Enfin l'incontinence d' urine , la dysurie, les crises gastriques, sou-vent témo
troubles fonctionnels du rectum et de la vessie. Très communément les urines deviennent fé-tides et purulentes en conséquence
es symptômes dits céphaliques. Les seuls troubles dans l'émission des urines qui se produisent, s'observent chez les femmes, e
ale, nécessitant de temps à autre l'emploi du cathéter ; qu'enfin les urines sont habituellement fétides, troubles, et laissen
dé à une cystite développée sous l'influence d'une simple rétention d' urine 1 occasionnée par un refroidissement. En généra
urinaire, sou- 1 Leyden, Centralblatt, 1865, 1er cas. — Rétention d' urine de plus de qua-rante-huit heures de durée survenu
la para-lysie survint quatre semaines seulement après une rétention d' urine déterminée par l'impression du froid, montre que
con-science, convulsions généralisées, d'emblée, écume à la bou-che, urines involontaires, etc. L'invasion, je le répète, par
que des ré-sultats négatifs. La fonction urinaire est normale. Les urines ne présentent au-cune altération dans leur consti
des bras. Il est certain que le malade ne se mord pas la langue et n' urine pas sous lui. L'accès est de très courte durée et
ns la face et dans les membres ; pas de cri initial, pas d'émission d' urines . Le malade ne s'est jamais mordu la langue; il n'
le sache, du moins, morsure de la langue *, émission involon-taire d' urine , comme cela se voit fréquemment dans l'épilepsie.
, de paraplégie complète avec perte de la sensi-bilité et rétention d' urine ; six jours après le début, les urines ex-traites
e la sensi-bilité et rétention d'urine; six jours après le début, les urines ex-traites à l'aide de la sonde renfermaient du s
e escarre sur la fesse gauche. —8e jour, troubles de la respiration ; urines fétides. La contractilité électrique est conservé
00; R. 20. — 7 oct. P. 120. 10 oct. P. 130. Extrémités froides. Les urines sont troubles, ne contiennent ni sucre ni albumin
nes sont troubles, ne contiennent ni sucre ni albumine. — Rétention d' urine . 13 oct. P. 124. - 14 oct. P. 120. 23 oct. — L'
i-ble, mais non accéléré ; la température du corps est normale. — Les urines , examinées à plusieurs reprises, ne renferment ni
oelle.) Turgk (Développement des faisceaux de), 237. U Urèthre, Urines , Utérus. (V. Para-plégies, Rétrécissements, Trou-
68 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
embres inférieurs. Un mois plus tard, apparais- sait la rétention d' urine , puis, rapidement, une paraplégie complète, flasq
urs reparaissent, bientôt accompagnées d'une rétention complète des urines , rétention et incontinence des matières, et d'u
onstipation absolue, s'établit brusquement une rétention complète d' urines . Mort le lendemain. ' A l'autopsie (V. pl. II,
de la localisation indiquée par l'examen clinique. La rétention des urines permettait, tout au moins de localiser la lésio
ysie flasque et anesthésie des membres inférieurs, avec rétention d' urine . Abcès par congestion double aux aines, provena
s reproduisons le schéma; de l'incontinence et légère rétention des urines , une constipation opi- niâtre. La partie inféri
s remontant moins haut que la thermo-anesthésie. Incontinence des urines et des matières. Aucun trouble céphalique sen-
tre Rarement ils vont jusqu'à l'in- continence proprement dite, des urines et des matières. » Il convient d'attirer plus s
ue des membres inférieurs avec incontinence et légère rétention des urines , hypoesthésie remontant jusqu'au-dessous des sein
(axillaire et rectale), et des manifestations myxoedéma- teuses, l' urine était analysée tous les jours, et le malade fut p
uls augmenta immédiatement le chiffre des pulsations. La quantité d' urine , qui était de 1.650 centimètres cubes avant le
e me semble pas devoir indiquer les oscillations que le volume de l' urine subissait par jour, ni le résultat de l'analyse c
ou particulièrement les îlots de Langerhans .le sucre paraît dans l' urine , mais la glande thyroïde s'agrandit en même tem
temps : après l'ablation de cette glande, le sucre disparaît dans l' urine selon les expériences de Lorand dans le laborat
eucocy- tes, 4.500 ; les globules rouges et blancs sont diminués. Urines . L'examen des urines pratiqué à plusieurs reprise
; les globules rouges et blancs sont diminués. Urines. L'examen des urines pratiqué à plusieurs reprises n'a jamais per- m
rs reprises n'a jamais per- mis de déceler ni sucre, ni albumine. L' urine est jaune trouble, la quantité moyenne est de 8
00 et au 15 avril, après la suppression du traitement, 39 kil. 100. Urines . - Les urines ne sont modifiées ni en quantité ni
ril, après la suppression du traitement, 39 kil. 100. Urines. - Les urines ne sont modifiées ni en quantité ni en qualité.
aliments et avons chaque jour déterminé la teneur en chlorure de son urine par 24 heures. Nous trouvons 14 grammes au lieu
rquée : la moindre piqûre provoque une hémorrhagie prolongée. Les urines sont normales comme caractères et comme éléments,
ention des chlorures puisqu'une très minime quantité passait dans l' urine , mais les oedèmes n'ont subi de ce fait aucune
on entend un léger souffle mésosystolique au-dessus de la pointe. Urines : rien d'anormal ; pas d'albumine. C. - Mouveme
coolisme, pas de syphilis* Pas de convulsions ni d'in- continence d' urine , pas de crises d'épilepsie dans l'enfance. Pas de
ien au coeur, rien aux poumons. Pas de sucre ni d'albumine dans les urines . 164 RUDLER R... est atteint de neuro-fibroma
le ; la proportion des globules blancs et des hématies était 1/900. L' urine avait une densité un peu plus élevée que la nor
i- res, pas de syndrome méningitique. Ni sucre ni albumine dans les urines , abolition des réflexes tendineux. 8. Trouble
arche presque impossible, spastique. Réflexes patellaires exagérés. Urine , rien de particulier. Tuberculose pulmo- naire
- male. Pouls accéléré, environ 100 par minute. Température : 38°5. Urine , rien de particulier. Le malade est dans un é
olique à l'auscultation de la base du coeur. A son entrée le malade urine par regorgement, la vessie est énorme, disten-
est énorme, disten- due ; on le sonde pendant trois jours puis les urines reprennent leur cours. Pendant son séjour à l'h
ré- tend diagnostiquer les maladies de l'àme d'après la couleur des urines ? C'est un praticien de la même espèce que l'Ar
Pas de vomissements. Il ne perd pas ses matières. Incontinence d' urine . Il est obligé d'avoir un urinai en permanence.
0. L'état subcomateux persiste. La température s'est élevée à 40°3. Urine purulente. Eschare étendue au niveau de la fesse
sens musculaire est conservé. Il pleure facilement. Incontinence d' urine et parfois des matières. Impuissance génitale.
on du gros orteil de deux côtés. Facilité à pleurer. Incontinence d' urine et parfois des matières. Lymphocytose non douteus
d'oedème pulmonaire aux bases, le coeur est à peu près normal, les urines renferment 4 grammes d'albumine. D'après le pas
emploi de tubes de plomb toujours malpropres, où la souillure par l' urine et la décomposition ammoniacale caractéristique
pendant lesquels, la paraplégie va en progressant. Incontinence des urines . , Puis, il entre dans le service de M. le prof
affai- blisaient.Quelques jours plus tard, brusque incontinence des urines et des ma- tières ; le lendemain, paralysie com
a région lombaire droite devient douloureuse, en même temps que les urines sont de plus en plus rouges et rares. Au 5e jou
n plus rouges et rares. Au 5e jour de l'entrée, rétention brusque d' urines . Mort le lendemain. Autopsie. Symphyse pleurale
la droite se prend à son tour. 8 jours après, rétention brusque des urines , nécessitant le cathétérisme ; au bout de 15 jour
69 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
éphalalgie presque continuelle; anorexie, constipation opiniâtre. Les urines , chargées, à l'époque des crises gastriques, sont
s crises gastriques, les vomissements de pituite et la coloration des urines . 2° La névrose a pris le nom de petite hystérie
ouls et la température restèrent normaux Elle eut de l'incontinence d' urine et resta trois semaines sans avoir de gardes robe
. Sa sœur, plus jeune qu'elle, est atteinte d'incontinence nocturne d' urine . Un jour. Mlle D... apprit inopinément la mort
q crises pendant lesquelles elle perd complètement connaissance. Elle urine sous elle pendant l'attaque ; après il lui arrive
. la suggestion a amené la cessation de l'inconti- : nence nocturne d' urine . Nous avons noté aussi l'amélioration de la mémoi
actère, des tics nerveux, des incontinences nocturnes et diurnes de l' urine et des matières fécales, des terreurs nocturnes,
on avec un succès complet sont les suivantes: incontinence nocturne d' urine (22 cas), incontinence nocturne et diurne des mat
cas). !.e nombre des malades traités pour l'incontinence nocturne d' urine a été de 32. Bien que l'incontinence nocturne che
cncc de la suggestion dans le traitement de l'incontinence nocturne d' urine chez les enfants. Parmi les faits les plus conc
n de huit ans. atteints tous deux d'incontinence nocturne et diurne d' urine , et une petite fille de dix ans, atteinte d'in co
Chez une petite fille de 12 ans. atteinte d'incontinence diume de l' urine et des matières fécales qui la faisaient renvoyer
la guérison d'un assez grand nombre de cas d'inco-tinence nocturne d' urine . Dans tous ces cas, la guérison définitive a été
résistance volontaire du malade. Recherches sur la composition de l' urine dans la léthargie hypnotique. MM. Acg. Voisin e
ie hypnotique. MM. Acg. Voisin et Haraut (de Paris) ont analysé les urines de plusieurs malades mises en léthargie, et ils o
des sifflantes, constipation opinâtre. sueurs abondantes et fétides, urine limpide mais* fétide aussi et déposant après deux
es œdématiées; visage jaunâtre et boursouflé: pas d'albumine dans les urines . Douleurs gastralgiques contre lesquelles je tent
ISME EXPÉRIMENTAI THÉRAPETIQUE RECHERCHES SUR LA COMPOSITION DE L' URINE DANS LA LÉTHARGIE HYPNOTIQUE DURANT DE 8 A 20 JOU
e période de grand hypnotisme, on note : la diminution de volume de l' urine , l'abaissement du taux de tous les excréta urinai
ypnotique prolongé pendant plusieurs jours de suite. Les analyses d' urine ont été faites dans le laboratoire de pharmacie d
el la malade prend les aliments ordinaires et fait ses besoins. Les urines de la malade ont été analysées à trois époques di
qui comprenaient chacune trois jours, nous avons fait recueillir les urines de vingt-quatre heures : de onze heures du matin
i-joints. Pendant l'état de veille, nous n'avons pu nous procurer les urines trois jours durant, la malade étant souvent très
malade étant souvent très surexcitée et ne voulant pas donner de ses urines . Nous ne les avons analysées que lorsque celle-ci
tait plus calme et que nous étions absolument certain de posséder les urines des vingt-quatre heures. L'alimentation, qui n'
s; viande, 50 grammes; potage, 30 centilitres; pain, 200 grammes. L' urine de la malade, aussi bien pendant le sommeil qu'à
dre des soins de toilette an lavabo qui est dans une autre salle. L' urine a été recueillie comme dans le précédent cas, pen
de manie qui durait depuis trois jours. Aussi, les caractères de l' urine sont-ils un peu différents des deux précédents po
e normaux dans ces conditions. Dans cet état dit normal, jamais tes urines ne purent être recueillies en totalité, la malade
te cause d'erreur, car il est totalement indépendant de la quantité d' urine recueillie ou émise; c'est un rapport entre deux
u fixe, de l'urée et des phosphates, qui varie suivant le volume de l' urine excrétée dans les vingt-quatre heures. Reste le
blaient augmentés par rapport à l'état sain. Nous répondrons que, les urines n'ayant pu être recueillies en totalité pendant c
ons de), par Bernheim, 321, 371. Troubles mentaux tabagiques, 86. Urine dans la léthargie hypnotique (composition de l')
70 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
ité, perversions ins-tinctives. Imbécillité, incontinence noc-turne d' urine . Imbécillité, épilepsie. Imbécillilé, maladie d
ombre 50 sont gâteuses complètes; 32 ont de l'incontinence nocturne d' urine ; 147 sont tout à fait propres; 5 sont atteintes d
ée en 1902, atteinte de crises nerveuses avec incontinence nocturne d' urine , instable. Aucun accident nerveux depuis 1903, a
intellectuelle, avec perversions des instincts et émission nocturne d' urine très fréquente. A été en traite-ment pondant G an
er une amé-lioration notable sous tous les rapports, l'incontinence d' urine avait pour ainsi dire disparu. — Elle a été repri
e débarbouiller, elle avait quelque-fois de l'incontinence nocturne d' urine .— Vu sa dissipation, son espièglerie et son manqu
t se débarbouiller, fait elle-même son lit; l'incontinence nocturne d' urine a pour ainsi dire disparu. Mais le caractère de c
procède aujourd'hui à sa toilette et a toujours un air propret. Elle urine encore quelquefois au lit, mais ne gâte jamais po
enfant en bas âge; elle avait en outre de l'incontinence noc-turne d' urine . En réalité, l'enfant était gravement atteinte
la face devient livide, et la malade reste absolument inerte; elle n' urine pas sous elle, au cours de ses accès, De 7 heur
ras ne sont pas convulsés, on n'a pas remarqué qu'il perde plutôt ses urines à ce moment-là; ces crises qui durent un quart d'
. 0. — Tabour...à 13 ans, en l90i. pouls sont normaux. L'examon des urines est négatif. (Fig. 10, Fig. 11, Fig. 1903. 7 ja
71 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
bles génito-urinaires, l'incoordination motrice; l'in- continence d' urine par contre a paru peu influencée. Ce pourcentag
nutes, et qui étaient assez souvent suivies d'un lourd sommeil. L' urine s'écoulait presque toujours pendant l'accès et la
isés par de faux besoins d'uriner, sans incontinence ni rétention d' urine . A l'examen oculaire on constate une ophtalmoplég
très accentués, caracté- risés par de la dysurie, de la rétention d' urine , mais aussi, d'après le malade, de l'incontinen
tention d'urine, mais aussi, d'après le malade, de l'incontinence d' urine . D'autres crises viscérales se sont produites :
eloppée dans le sens vertical. Le cathétérisme difficile ramène une urine trouble et sanguinolente. L'examen histologique y
il la 46°. Les difficultés du cathétérisme qui ramène toujours une urine sanglante et purulente s'accentuent de telle fa
crises gastriques tabétiques. Léger diabète insipide. 3,900 grammes d' urine en 24 heures. Troubles oculaires d'origine syph
ohis, Godlée). Assez souvent on a relevé des modifications dans les urines . Dans la période aiguë, Munchmeyer a trouvé une
guë, Munchmeyer a trouvé une diminution notable des phosphates, les urines au lieu de 3 grammes n'en contenaient que 1 gr.
iminution de tous les éléments qui entrent dans la composition de l' urine sauf pour l'urée et le chlorure 160 A. WEILL ET
. Rosentlial explique cette diminution des éléments extractifs de l' urine , t en tenant compte de la différence nutritive
eille de les doser à la fois dans les aliments, les matières et les urines . Si l'on trouve, par exemple, qu'il y a beaucoup
r exemple, qu'il y a beaucoup moins de chaux dans les selles et les urines que dans les ingestats, on peut en con- clure q
la magnésie, l'acide phosphorique, etc., etc., se montrent dans les urines el les excréments dans les mêmes proportions qu
onjecturer qu'il rétro- cède si ces mêmes sels se trouvent dans les urines et dans les selles en plus grande quantité que
al. La puissance génitale est conservée. Voici une des analyses d' urine : chlorure de sodium, 8 gr. 70 ; phosphates, 2
ilité objective. Les sphinc- ters fonctionnaient régulièrement. Les urines avaient, une composition normale. 218 F. RAYM
douleurs, mictions fréquentes, impé- rieuses, de quelques gouttes d' urine le plus souvent. Depuis deux mois, il s'est mis
naire bilatérale, avec prédominance à droite. Le foie est atrophié. L' urine ren- ferme de l'urobiline. Il existe de l'ascit
bes et les parties génitales. L'abdomen est ballonné, douloureux. L' urine renferme du sang, de l'albumine ; quelques cyli
Pas de rhuma- tisme chez le malade, pas de dépôt calcaire dans les urines , pas de sécrétion acide de la peau. Les ossific
le calcanéum droit, à l'insertion da tendon d'Adulte. Rien dans les urines . Toutes les fonctions s'exécutent bien. Le XI res
e de la jambe gauche était tombée tandis que l'oedème continuait. Urines : diminution notable de l'acide phosphorique ; au
- ficultés dans les mouvements des membres. Rien d'anormal dans les urines . Le 14 avril 1887 (Soc. allemande de chirurgie)
nce d'une phalange. Organes internes normaux ; digestion bonne. L' urine ne contient aucun principe anormal ; il y a une
x nasal, bouche normale, organes abdominaux et thoraciques normaux. Urine normale. Tête penchée en avant et un peu à droi
dégénérés. T = 37° ; pouls = 90,.normal. Respiration affaiblie. Urines . - Ni sucre, ni albumine. Moyenne de 4 examens
ffaiblie. Urines. - Ni sucre, ni albumine. Moyenne de 4 examens d' urine relativement au phosphate de chaux 5 gram- mes
, symétrique- ment ; un peu de scoliose. Traces d'albumine dans les urines ; la mastication est normale. Ons. XXXIII. -
é interne du tibia droit. Les gros orteils sont en hallux valgus. Urines acides, densité 1025, rien d'anormal. 391 t A.
l'abatte- ment ; on n'a jamais remarqué d'émission involontaire des urines . La malade est peu intelligente ; elle répond a
nt dé- veloppés. ' Rien au coeur. Ni sucre ni albumine dans les urines . Cette observation nous a paru intéressante il
rmal (râles, frottements ou sibilances). Coeur normal, pouls 120, urines normales, température 38., Tous ces symptômes é
organes internes fonctionnent bien. Ni sucre, ni albumine dans les urines . Anomalies congénitales. Absence de lobule de l
scles de la mimique, de l'avant-bras et de la cuisse. Analyse des urines en 1892 : Diminution des sels calcaires. Un mor
tronc est raide. ' Les autres organes sont normaux ; rien dans les urines . Le %0juin. Résection partielle du grand pector
e de l'eau. Pendant ces quinze jours, il a analysé les fèces et les urines au point de vue des CaO, Pln'03, MgOCl, etc., c
72 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
moitié latérale gauche de la moelle. Je veux parler d'une rétention d' urine qui aurait duré plusieurs jours et aurait nécessi
diminue rapidement en même temps que l'on constate par l'analyse des urines une constante diminution qualitative et- quantita
des plus intenses. Il n'a pu quitter un instant le lit où il rend les urines involontairement. Impossible d'émettre le moindre
cas. En effet souvent il y a pendant l'accès, morsure de la langue et urines involontaires, faits vraiment exceptionnels dans
s ou quatre ans peut-être, je suis forcée de pousser pour uriner et l' urine ne sort que par saccades. J'ai aussi depuis ce te
férieurs. De temps en temps, il s'était produit un peu de rétention d' urine . Les douleurs en cein- 1. Il n est pas question
s'amender progressivement, en même temps du reste que la rétention d' urine et que les douleurs thoraciques. En juillet 1870,
dire maintenant si vous avez gagné quelque chose pour l'émission des urines ? Le malade : Oh ! de ce côté là, l'amélioratio
iner j'étais obligé de m'y reprendre à cinq ou six fois, maintenant j' urine en une seule fois. C'est comme dans le temps, alo
ui, comme on l'a dit, je puis faire de longues courses sans canne ; j' urine beaucoup mieux, presque aussi bien qu'avant ma ma
qu'il y a un an. Besoins fréquents d'uriner et parfois incontinence d' urine . Sensation de coton dans les pieds et les jambes;
t dans les membres inférieurs a cessé. Il n'y a plus d'incontinence d' urine . Les érections sont plus fortes et plus durables.
que je viens seul. M. Gharcot : Parlez-nous de vos douleurs, de vos urines , Le malade : Je n'ai plus la sensation de coton
efois encore une espèce de chatouillement qui paraît les remplacer. J' urine presque comme autrefois. Quatrième malade. - Ex
x-huit mois seulement. Elles sont peu intenses. Légère incontinence d' urine , un peu d'anes-thésie plantaire. Érections très f
raitement une proportion plus ou moins considérable de sucre dans les urines . En dehors du tabès, la suspension a été appliq
accès qui siègent dans les membres supérieurs. Pas de sucre dans les urines . Il a eu, à plusieurs reprises, des crises doulou
s subi d'augmentation. Dans notre cas, en particulier, six analyses d' urine faites avec soin par MM. Cathelineau et G. de la
M. Cathelineau et G. de la Tourette ont donné les résultats suivants: urines claires, sans dépôt. Le résidu fixe, l'urée, les
de l'urée clans les matières vomies et l'on a noté que la quantité d' urine rendue en vingt-quatre heures restait généralemen
diminue rapidement, en même temps que l'on constate par l'analyse des urines une constante diminution qualitative et quantitat
rement, deux ou trois jours avant le réveil, on voit le volume de l' urine , le poids de l'urée, le chiffre des phos-phastes
faite le 3 ayant montré que ce relèvement prémonitoire du volume de l' urine et du taux de l'urée ne s'était pas encore pronon
qui concerne la perte de poids du corps, la diminution du volume de l' urine et l'abaissement du taux de l'urée, l'attaque de
e que la malade est obligée parfois de faire effort pour expulser les urines . A la vérité, sur le membre inférieur droit, non
ans la nécessité de faire effort, de pousser quand on veut rendre les urines . Celles-ci s'écoulent quelquefois involontairemen
s. Il était donc intéressant de savoir ce que donnerait l'analyse des urines ; or, on est arrivé à reconnaître que les accès é
étaient suivis d'un accroissement de la quantité de l'urée. Un homme urine , par exemple, 25 grammes d'urée; après une attaqu
st jamais tombé de son lit; qu'enfin,il ne se mord pas la langue et n' urine pas sous lui comme il le fait dans ses crises de
ar quelques points ; habituellement, il ne se mord pas la langue et n' urine pas, et si l'on intervient violemment par des cri
térie est si bien une simple appa- i rence que si l'on étudie les urines des hystéro-épileptiques, au lieu d'y trouver un
rée a diminué. On n'a pas encore eu l'occasion de faire l'analyse des urines de notre homme lors de ses attaques hystéro-épile
), 67. — Nutrition, 273, 274. — Poids du corps, 273. — Réveil, 276. — Urines , 273. — Vibration des paupières, 273, 274. Atta
s, 234, 236, 239. — et hystérie, 240. — et tabès, 243.— Examens des urines , 238. — Exophthalmie, 233, 234, 236, 239, 241. —
, 423. — Etat de mal, 113, 239. — Etat mental, 321. —Composition de l' urine après l'attaque, 421. — et Amnésie trau-matique,
93. Troltsch, 225. Troostwyck, 449. Trousseau, 313, 321. u Urines (Examen des). — dans l'attaque de sommeil hystéri
73 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
alade, qui n'avait pas uriné depuis son accident. Celle rétention d' urine a persisté pendant 15 jours. En outre, le malad
ssé dans la suite : Au bout de quinze jours environ, la rétention d' urine a fait place à l'incontinence ; le malade s'est
ne a fait place à l'incontinence ; le malade s'est mis à perdre ses urines , sans en avoir cons- cience. Actuellement, il c
-incontinence; il est dans l'impossibilité de retenir longtemps ses urines ; toutefois il ne pisse plus au lit. Au bout d
d'araignées, etc., etc., sans oublier la momie oumumie, la salive, l' urine , le sang, la graisse de l'homme, et jusqu'à ses
aire l'ont aussi tenté, témoin son Médecin, empirique examinant des urines , au musée des Offices, sujet si souvent reprodu
l affirmait ne pas s'être mordu la langue et ne pas avoir perdu ses urines . Les quatre jours suivants, M... travailla comm
... se mordit t plusieurs fois la langue, mais il ne perdit pas ses urines . Un médecin con- seilla le bromure de potassium
amais été malade. Ses bruits cardiaques étaient irréprochables, ses urines étaient normales. 11 était de grande taille, vi
u de dilatation veineuse. Rien au coeur, pas d'albuminurie dans l' urine . Ni les extrémités infé- rieures ni la face ne
rés. Il ne présente pas de troubles de miction ni d'albumine dans l' urine , ni de bruits anormaux au coeur. La sensibilité
s qui feraient penser a une affection anale ; pas d'albumine dans l' urine ; le sphincter vésical fonc- tionne normalement.
les qui feraient penser une affection rénale; pas d'albumine dans l' urine . L'examen électrique des muscles des membres su
nt les malades que j'ai étudiés ne présentent pas d'albumine dans l' urine , mais ils sont indemnes de tout autre signe d'i
traces d'oerJ.l1le au pourtour des malléoles. La malade perd ses urines et ses matières depuis son entrée à l'hôpital. El
s pleurs faciles, un nystagmus binoculaire et enfin de la perte des urines et des matières. Sauf ce dernier symptôme, à su
time a eu les deux jambes paralysées, ainsi que de la réten- tion d' urine . Le lendemain, on a constaté de l'hyperesthésie c
légère parésie motrice à droite, le tout accompagné de rétention d' urine et d'évacuations involontaires de matières féca
membres supérieurs. Pendant trois jours, il a eu de la rétention d' urine et des matières fécales. Au bout de 15 jours, l
ieur du côté droit et anesthésie du côté gauche avec incontinence d' urine et constipation opi- niâtre. Au bout de 48 heur
sibilité dans le membre du côté opposé, ainsi que de la rétention d' urine . Lorsque le sujet fut examiné par Charcot, huit a
amendés. Je note qu'au dé- hut le malade avait eu delà rétention d' urine . D. Enfin dans un quatrième el dernier groupe,
xagérée dans le côté gauche de la face, sans compter la rétention d' urine . Ainsi que je vous le disais à l'instant, une a
partie supérieure du cou. En outre le malade a eu de la rétention d' urine .. Je note que le 27e jour après l'attentat, la
ouva dans la nécessité de le sonder, car il avait de la rétention d' urine depuis la veille. Le soir, la pa- ralysie du se
toute l'étendue du membre inférieur droit, ainsi qu'une rétention d' urine et de matières fécales qui a persisté pen- dant
ites avec une fréquence variable aussi bien la nuit que le jour. Il urine souvent et se mord quelquefois la langue. Il do
es. Il ne se souvient de rien, ne se mord que rarement la langue, n' urine presque jamais; 2'' des vertiges et des éblouisse
âles secs. Sclérose des artères. Pas de sucre, ni d'albumine dans l' urine . Faiblesse générale assez considérable ; le mal
accès commence. Il est classique ; elle se mord la langue, perd les urines , s'en- dort après l'accès. Nous remarquerons se
le froid. La sensibilité paraît un peu di- minuée. Il transpire et urine beaucoup. Très peu d'appétit. M. Matignon fait
es sphincters sont intacts. Pas de constipation ni d'incontinence d' urine . Bon appétit. Aucun trouble de la déglutition.
74 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
atastrophe : ils y avaient souffert de la soif au point de boire leur urine , ils y avaient souffert extrêmement de la faim, n
seules clignotent continuellement en tremblements fibrillaires. Elle urine au lit. Les selles ne surviennent qu'à la suite d
rapeutique. Étude psychologique sur le traitement de l'incontinence d' urine essentielle. Dr Jules Voisin : Sitiophobie trai
peutique. Etude psychologique sur le traitement de l'incontinence d' urine essentielle. Dr Binet-Sanglé : Lois des secousses
ison rapide des tics, de Tonycho-phagic, de l'incontinence nocturne d' urine et des défauts de caractère. Quelques nouveau
voir le corps du délit. Quelques jours plus tard, on lui apporta de l' urine renfermant plusieurs pierres qui avaient été rend
ité morbide. Dr Hahn: Le traitement psychologique de l'incontinence d' urine . D1* Paul Farbz : Un sommeil de trente ans. Dis
rapeutique. Etude psychologique sur le traitement de l'incontinence d' urine . Discussion : Dr Bérillon, Dr Félix Regnault.
dissoudrait ses pigments, lesquels pigments se retrouveraient dans l' urine . Il fut donc administré à Mme L... un mélange de
éosinate de soude. Le soir même de l'absorption de ce médicament, les urines étaient fortement colorées en vert : donc les pig
thérapeutique, en particulier dans le traitement de l'incontinence d' urine prise comme cas type, par M. le Docteur C. Hahn
ais nulle part peut-être avec plus de force que dans l'incontinence d' urine . Celle-ci, en effet, nous offre entre tous un bel
On a employé un nombre considérable de remèdes dans l'incontinence d' urine ; chacun d'entre eus s'est montré très efficac
des moyens médicamenteux qui ont été employés contre l'incontinence d' urine ; la liste vous en paraîtra peut-être un peu long
uve le matin le prépuce légèrement distendu par une petite quantité d' urine ; si l'enfant se réveille dans la nuit avec le be
l en 1891, M. le Dr Liébeault de Nancy affirmait que l'incontinence d' urine était justiciable d'un traitement purement psychi
886 il présentait une statistique portant sur 77 cas d'incontinence d' urine traitée par la suggestion hypnotique et il indiqu
n. On a tout d'abord utilisé dans le traitement de l'incontinence d' urine de l'enfance, la suggestion proprement dite ; act
s en thérapeutique clinique et particulièrement dans l'incontinence d' urine , (jui constitue à cet égard un cas type. Réce
nfluence exercée par les végétations adénoïdes « sur Pin-continence d' urine , ou mieux la miction involontaire d'urine ». II e
ïdes « sur Pin-continence d'urine, ou mieux la miction involontaire d' urine ». II est... des cas chez les adénoïdiens inconti
à effet entre les végétations adénoïdes et l'incontinence nocturne d' urine ne saurait être mise en doute, » L'auteur rappo
is environ l'âge de quatre ans, l'enfant est atteint d'incontinence d' urine . A peine couché, nous dit-elle, il s'endord profo
e d'urine. A peine couché, nous dit-elle, il s'endord profondément et urine dans son lit deux heures environ après s'être end
opération est pratiquée la plupart du temps sans qu'il s'éveille. Il urine d'ailleurs plusieurs autres fois dans la nuit. La
noter la coexistence de la respiration buccale avec l'incontinence d' urine essentielle, attribue cette dernière à la surchar
à la suite de géne respiratoire. II est de fait que l'incontinence d' urine essentielle s'observe également « dans de nombreu
épondérant dans le traitement des principales formes d'incontinence d' urine . Nous ne sommes malheureusement pas encore fixés,
75 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
roubles digestifs. Rien au cœur ni aux poumons. Pas de sucre dans les urines . Pas d'alcoolisme. Pas de maladies antérieures.
des lésions exactement limitées au domaine du sciatique ? Du reste, l' urine du malade ne contient pas de sucre. La blennorr
lombaire ou du plexus sacré. En général, il existe de la rétention d' urine , une paralysie atrophique, avec réaction de dégén
us ou moins transitoire ou au contraire habituelle, du sucre dans les urines . Ces cas-là existent d'une façon parfaitement aut
ucre lui-même qui se trouve souvent en quantités considérables dans l' urine chez les malades atteints de ces complications, o
certains diabétiques le sucre peut momentanément faire défaut dans l' urine ou encore y être représenté par un taux peu élevé
dérable (10 litres constatés à l'hôpital en recueillant chaque jour l' urine dans des bocaux). Urine très peu colorée, non t
és à l'hôpital en recueillant chaque jour l'urine dans des bocaux). Urine très peu colorée, non trouble. D. 4040. Ne contie
t; quelquefois s'il ne se présente pas assez vite à la garde-robe, il urine dans son pantalon ; quelquefois il pisse encore q
s (V. Planche I, fig. 1) montrent les variations du sucre par litre d' urine et par jour pendant les premiers jours du séjour
ralysie alcoolique et qui consistent en sensations 1 Les analyses d' urine complètes et pratiquées avec grand soin ont été e
elevant d'un trouble de la nutrition et marqué par la présence dans l' urine , ainsi que je vous le faisais remarquer tout à l'
sucre peut apparaître à une époque en général assez tardive, dans les urines des malades. M. Oppenheim et d'autres auteurs ont
jusqu'à 12 litres par jour. Aujourd'hui la moyenne de la quantité des urines en vingt-quatre heures oscille entre 6 et 7 lit
ué. La dernière analyse donne 49 grammes de sucre par 1,000 grammes d' urine avec une excrétion urinaire de 7 litres, c'est-à-
ciles,niais elle a peu d'appétit. Les divers viscères sont sains; les urines ne renferment ni sucre ni albumine. De temps en t
antécédents personnels : jusqu'à treize ans, il a de l'incontinence d' urine , de sept à treize ans plusieurs attaques probable
s ces crises la malade se mord la langue et perd involontairement ses urines . Il est un principe en clinique neuropathologiq
n'ont pas encore été observés. Ce critérium est tiré de l'analyse des urines . On sait en effet que MM. Gilles de la Tourette
prises dans le service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant
hystériques et les accès de bâillements épi-leptiques, l'analyse des urines trancherait vite la question, étant donné, ainsi
347. Tumeur dorsale du carpe dans la syringomyélie, 357, 360. u Urines : modifications apportées dans la composition des
T. I. Pl. II. Fig. 2. — Courbe des variations du sucre par litre d' urine . (V. n° XIII, p. 257 à 284. Fig. 4. — Couibo de
p. 257 à 284. Fig. 4. — Couibo des variations du sucre- par litre d urine après traitement. (V. n° XIII, p. 2S7 à £84.) C
76 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lement à uriner. S'il me faut uriner chez le médecin pour obtenir l' urine , je tends la musculature, je m'ef- force d'urin
membres de tous les modes de la sensibilité ; de la rétention de l' urine et des matières ; des convulsions toniques cont
grande majorité des cas, l'acide urique été trouvé en excès dans l' urine ainsi que l'acidité générale. Cène sont pas les v
teint de paraplégie flas- que survenue brusquement avec rétention d' urine diagnostiquè- rent un mal de Pott après ponctio
d'un grand secours pourla guérison de l'incontinence essentielle d' urine . Dans une dernière partie, l'auteur expose la r
sans être malade examine chaque jour atten- tivement sa langue, ses urines ou ses garde-robes, a certaine- ment une préocc
sie quelques mois après, suivi encore de guérison. Chaque fois, les urines contiennent de l'albumine, alors qu'elles n'en
utanées, éditer l' Ie bromismc (1), pour combattre l'incontinence d' urine (dou- che locale et générale), l'onanisme, léga
analogies présentées : morsure de la langue, convulsions, perte des urines , amnésie rétro-antérograde, etc. C'est l'inter-
ie quelques mois après suivi encore de guérison. Chaque fois, les urines contiennent de l'albumine, alors qu'elles n'en co
riser. Ce sont : la céphalée prémonitoire, les mo- difications de l' urine et du taux urinaire, l'état saburral, la consti
des 25 dernières années, dans les propriétés physico-chimiques des urines , l'élimination des sels minéraux, des substance
les sur l'application de la diazo-réaction cl'Erlich à l'étude des urines dans l'épilepsie. Sur lesonze sujets dont les u
l'étude des urines dans l'épilepsie. Sur lesonze sujets dont les urines furent recueillies quotidien- nement pendant un
z deux autres, ce phénomène fit toujours défaut. Enfin l'examen des urines des quatre derniers malades ne fournit que des
8G. La température est entre 3G"Set ? Foie ef raie anormaux. Les urines sont foncées ; elles ne contiennent ni sucre, ni
ur et grains de beauté sur la ligure. Foie un peu gros, sensible. Urines peu foncées. Pas de sucre. ni albumine. Indieanur
l monte ils. Les extrémités sont froides et lé;èrementcyanpséc;s, Urines foncées ; 111'Qbili]1ul'ie nette. Sérum sanguin r
colie. Urticaire il y a trois ans, pendant S jours, très fortement. Urines claires : pas d'urobiline. Ni sucre, ni albumin
s dans le sérum. 11 nous est arrivé de ne rien découvrir dans les urines , tandis que le sang nous apportait quelques élé
soumis au traitement et au régime lacté avant l'examen chimique des urines . CHOLÉMIE ET MÉLANCOLIE. 301 Observation \ ?
entre 36 ? ) et 37°2, sans perturbations ni irrégularités. - Les urines sont foncées. Pas d'acides biliaires : pas d'indi
ans, épistaxis. Gingivorragie très fa- cilement. Foie un peu gros. Urines claires : pas de sucre ni alllll- mine. Urobili
'anxiété et il l'agitai ion. Poumons, coeur, l'oie, rate normaux. Urines un peu foncé ? urobilinurie nette. Pas (l'indican
ndican, ni susre ni albumine..s,;rUIH : l;lllelin très léger. Les urines des mélancoliques ont été examinées sou- vent.
que de grossesse sur la ligure. Grains de beauté sur la poitrine. Urines claires (la malade absorbe par la sonde msophagie
re s'éclaircit,la tristesse disparaît, il mange et dorL bien. Les urines , analysées le premier jour de son entrée, sont d'
é. Le sérum est foncé ; le Gmelin est très net. Le 9 janvier, les urines renferment des traces de sucre et très peu d'ur
onde fois le 15 janvier. Le Gmelin était il peine perceptible.. Les urines ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQ
pérature entre, 36 ? et 37. ? C) anose légère des extrémités. Les urines , foncées les premiers temps, contenaient de l'uro
la coqueluche, l'éclampsie, l'urémie, la surdité, l'incontinence d' urine , etc , etc. , M. ]e P" Yas ( ? Ht CHT¡';N (de L
hallucinatoires sans systématisation et avec systématisation des l' urines paranoïdes, les élats angoissants relevant le plu
rs, sans accompagnement de douleurs.. ' Leli janvier, rétention d' urine et constipation opiniâtre qui cessent quelques
'examen ophtalmos- copique a été fait par le Professeur Gazepy. Les urines étaient normales et ne contenaient ni albumine,
ccident, les auteurs ne signalent aucun autre inconvénient. , Les urines , qui ont été examinées pendant toute la durée du
77 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
r. Jamais de douleurs, de dysurie, de rétention ni d'incontinence d' urine . Etat actuel. - Douleurs. Elles sont absolument
ropathique, sauf chez sa mère qui a eu de l'incontinence nocturne d' urine jusqu'à 13 ans. Le père est irascible, mais sans
nt à gauche. En général il ne se mord pas la langue, n'écume pas, n' urine pas dans ses vêtements. Il perd connaissance, mai
hystériques et les accès de bâillements épileptiques, l'analyse des urines trancherait vite la question, étant donné, ains
oches ; il mangeait de la terre, des feuilles mortes, il buvait son urine , défé- quait dans ses mains et disait qu'il vou
ont pas encore été observés. Ce critérium est tiré de l'analyse des urines . On sait en effet que MM. Gilles de la Tourette
ises dans le service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenan
il circulatoire est intact de même que l'appareil respiratoire. Les urines sont normales. Les règles sont supprimées depui
aires normaux. Pas de polyuric; point d'albumine ni de sucre dans l' urine . La peptonurie n'a pas été recherchée. Les règl
vent de n'être déplacés ni par enfoncement ni par protrusion. Les urines sont très chargées, ne donnent ni sucre ni albumi
diarrhée, la malade laisse aller sous elle. Pas d'incontinence d' urine . Pas d'eschares. Bras gauche beaucoup plus faib
ng, ne sent presque pas et quelquefois' pas du tout le passage de l' urine ; il lui arrive parfois d'uriner sans s'en apercev
te aucune lésion appréciable. Les divers viscères sont normaux. Les urines ne : renferment ni albumine ni sucre. L'état gé
garde continuellement l'attitude de la planche XLII. L'examen des urines ne révèle rien d'anormal; elles sont claires, s
ila1'ia sangninis. Nous avons également cherché la filaire dans les urines , dans la sérosité de l'oedème, et toujours avec
ces diverses affections. L'examen du sang, de la sérosité et des urines ne nous a rien appris sur la ftlaria sanguinis.
erdue; ptosis modéré, parésie légère du nerf facial de chaque côlé. Urine normale. Pas de troubles de la sensibilité. Org
inférieurs. - Quelques douleurs dans les articulations. - Le malade urine assez souvent; il est toujours un peu altéré. L
, ni rhumatisme, ni refroidissement ayant pu causer la paralysie. Urine = 4 litres par jour. Densité = 1,038 à -f- 15°; p
satisfaite qu'avec 1 : 2 ou 15 litres de liquide par jour; que les urines étaient en relation 1. Gayet, Gaz. hebdom., 187
plir quatre à cinq vases de nuit dans les vingt- quatre heures. Ces urines examinées immédiatement ne m'ont pas présenté t
vres, de la langue, surtout à la pointe, l'émis- sion fréquente des urines , la faiblesse du bras droit principalement dans
78 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
t très agitées, tantôt assez calmes. C... cherche moins à se lover, urine parfois dans son lit. peut-être à dessein. Elle
x aux fenêtres, elle les a déchirés. Elle mange malproprement. Elle urine et défèque dans sa cham- bre, se barbouille les
res enfants, ce qu'elle ne faisait pas auparavant. - L'examen des urines , pratiqué à différentes, reprises, n'a jamais déc
ilogrammes. La figure parait un peu bouffie. Il n'y a rien dans ses urines et nulle part d'oedème. L'examen des poumons es
as de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence d' urine . Aime beaucoup rester au lit, on ne constate pa
vomissements, pas de sensibilité spéciale de l'abdomen, examen des urines impossible. - Soir : T. R. 39,5. 4 septembre. M
ts, pas de diarrhée, selles régulières. Pas d'épistaxis. Examen des urines impos- sible. Jusqu'au 14 septembre la tempér
congestion pulmonaire en haut et a droite. Pouls plein' et rapide.' Urines albumincu'ses. ' Dans l'apl'ès-lilidi ? épi : .
staxis, toux légère, sans signes sté- thoscopiques nets. Examen des urines impossible. - Soir : 'l'.li. 10 ? >. 12 se
demi, pendant trois mois, le malade a présenté de l'incontinence d' urine et parfois même des selles. C'est vers l'âge de
j- Éruption complète. [-[- Accidents pulmonaires. Scarlatine. 127 Urines très chargées en urates. - Matin : 39°. Soir :
gées en urates. - Matin : 39°. Soir : T. R. 40°,8. 27 novembre. - Urines très rares, très chargées d'urates; pas d'album
rdu connaissance, mais n'offre ni raideur des membres ni émission d' urines . - (lette première crise a duré cinq minutes au
moment de l'éruption n'a'pas dépassé 39°, 3. Du 10 au 18 avril, les urines ont pré- senté une notable quantité d'albumine.
om- 172 Instabilité mentale. plètement à 18 mois : incontinence d' urine trihebdoma- daire jusqu'à 4 ans. Intelligence a
sevrage, à 13 mois. Exception faite de l'incon- tinence nocturne d' urine qui se seraitproduitejusqu'à 4 ans, Edouard n'a
inférieure. I : yt)ièt2e de la vulve occasionné par le contact de l' urine , l'enfant élant gâteuse ; pas d'onanisme. Les
79 (1934) Oeuvre scientifique
, la présence d'une écume sanguinolente aux lèvres, l'émission de l' urine , l'abattement consécutif sont des symptômes qui
Je vous disais, à propos de la crise épileptique, que l'émission d' urine pendant l'accès ne pouvait être considérée comm
i d'une manière générale à tous les cas où l'on note une émission d' urine qui, en apparence, s'effectue d'une manière inv
égard ; je reconnais fort bien, naturellement, que l'incontinence d' urine est un phénomène pathologique de haute valeur a
de l'intéressé ou même la constatation de vêtements souillés par l' urine ne peut être tenue pour rigoureusement probante,
ire ; si, par exemple, après avoir observé le sujet à nu, on a vu l' urine sortir sans jet, goutte à goutte, en quelque sort
a suggestion, ni à la simulation, qu'il s'agit d'une incontinence d' urine légitime. J'espère vous avoir convaincus de l'i
rum, aux cuisses, aux jambes et aux pieds. Il y a de l'incontinence d' urine et des matières fécales. Au commencement de m
t, à la piqûre et au froid semble normale. Il y a de l'incontinence d' urine et des matières fécales ; il existe des eschare
pas de troubles de la sensibilité aux membres supérieurs. La malade urine parfois avec difficulté, mais il n'est pas nécess
t pas nécessaire de la sonder et elle ne laisse jamais échapper son urine . Pas de troubles rectaux. Trem- blement de la t
ormales. Le malade ne souffre pas, n'a pas de douleurs de tête, son urine ne contient ni sucre ni albumine. Le diagnostic
réflexes tendineux, des douleurs lancinantes ou de l'incontinence d' urine , on est en droit de dire que le tabès est const
ement, quelques jours après l'entrée à l'hôpital, de la rétention d' urine pendant 24 heures. Les fonctions génitales sont
du 20 février, on doit le soutenir. " Dès le début de février, il urine difficilement et avec lenteur et perd parfois ses
dans les membres et la ceinture et la malade fut prise de rétention d' urine qui nécessita le cathétérisme. Examen. La mar
t les épaules. Il existe enfin des troubles de miction, la malade n' urine qu'avec effort et on doit avoir recours fréquem
; au niveau de la région sacrée elle est macérée par le contact des urines et il existe de profondes escarres; il n'y a pas
e tout le membre. Il existe des troubles des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont troubles et
des troubles des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont troubles et purulentes; elle a de la réten
du fait de ses escarres sacrées et de ses émissions involontaires d' urine . Au bout d'un mois environ l'infection urinaire
s de D 7 on ne trouve qu'un peu d'hypoesthésie légère. Incontinence d' urine et des matières. Une radiographie ne montre p
thésie a presque complètement rétrocédé et enfin l'inconti- nence d' urine et des matières fécales a disparu, ce qu'elle con
ux et cutanés sont abolis. De plus, il se produit de la rétention d' urine nécessitant le cathétérisme. Ce n'est qu'au bou
ques involontaires des membres inférieurs. Elle laisse échapper ses urines sans s'en apercevoir. A partir de ce moment jus
embres inférieurs et sur une partie du ventre. La malade perd ses urines et ses matières. Ajoutons qu'on ne constate auc
jours suivants ; bientôt la malade commence à sentir le passage des urines pendant la miction. (') J. Babinski et J. Jarko
manière progressive. Depuis son départ elle n'aurait plus perdu ses urines , la sensibilité serait, petit à petit, redevenu
ans le territoire auparavant anesthésique. Sauf une rétention des urines qui a duré plusieurs jours et quelques troubles p
ie, les hématuries, l'albuminurie, l'incontinence et la rétention d' urine pourraient être aussi des manifestations de cette
cité, de l'aphonie, du mutisme, des vomissements, de la rétention d' urine , de l'émission en apparence involontaire de l'uri
la rétention d'urine, de l'émission en apparence involontaire de l' urine . Tout cela est incontestable, car on observe de
ysies, d'anesthésies, d'hyperesthésies, d'aphonie, d'incontinence d' urine puissent être causées par l'hystérie ? Assuréme
és à l'hystérie. On observe parfois dans l'hystérie, une émission d' urine qui semble in- dépendante de la volition, mais
'une apparence et l'inconti- nence vraie, légitime, dans laquelle l' urine sort sans jet, goutte à goutte, en quelque sort
ation autrefois, me parait être simplement une émission abondante d' urine consé- cutive d'une polydipsie. Je considère co
a langue, présence d'une écume sanguinolente aux lèvres, émission d' urine , abatte- ment consécutif, tout en étant des élé
cutané s'étendant jusqu'à la sixième racine dorsale. Incontinence d' urine et de matières fécales. Légère excoria- tion à
sion des troubles : 10 heures après l'inter- vention la rétention d' urine avait cédé et les mouvements spasmodiques avaient
de D hypoesthésie légère sans erreur d'appréciation. Incontinence d' urine et des matières fécales. Pas trace d'excoriatio
te. L'enfant laisse de temps en temps échapper involontairement son urine et ses matières fécales. En raison de la poss
de Neurologie, 7 janvier igo4). 107. Traitement de l'incontinence d' urine par la ponction lombaire (en collaboration avec
80 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
atre fois par jour ; souvent ils ne sont pas gardés. Il y a aussi des urines involontaires en petite quantité. Cet état de vie
depuis près de trois ans de spasmes nerveux du canal de l'urèthre. L' urine s'écoulait en un mince filet ou môme goutte à gou
lgré tous ses efforts, il n'arrivait pas ù rejeter une seule goutte d' urine pendant trois heures consécutives, et, alors, il
kmct nous cite un remède populaire en Turquie contre l'incontinence d' urine chez les enfants. Il suffit de faire manger au pa
gure de sainte Thérèse de Jésus. Deux cas d'incontinence nocturne d' urine guéris en une seule séance de suggestion pendant
n allant crescendo, je répétai plusieurs fois les suggestions :« Tu n' urines plus au lit, tu n'urines plus jamais au lit, tu p
pétai plusieurs fois les suggestions :« Tu n'urines plus au lit, tu n' urines plus jamais au lit, tu prends l'habitude d'uriner
comme ils disaient, existait toujours sous le petit lit en fer qu'une urine abondante avait traversé. Comme elle me fuyait
peut-être deviendra-t-il la méthode de choix contre l'incontinence d' urine . M. Pau de Saint-Martin. — J'ai aussi traité un
ine. M. Pau de Saint-Martin. — J'ai aussi traité une incontinence d' urine par suggestion pendant le sommeil naturel, en me
logie et de psychologie. Note sur le traitement de l'incontinence d' urine par la suggestion (1), parle Docteur A. Culleiu
nais une première statistique tle 24 cas d'incontinence essentielle d' urine traités par la suggestion et m'ayant fourni 20 gu
s international do l'Hypnotisme. (2) A. CuLLBnnE : l'Incontinence d' urine et son traitement far U suggestion (Archives de N
est le traitement de choix à appliquer à l'incontinence essentielle d' urine . Et si l'incontinence d'urine cède à la suggest
liquer à l'incontinence essentielle d'urine. Et si l'incontinence d' urine cède à la suggestion c'est que l'élément psychiqu
qu'il existe une affinité étroite entre l'incontinence essentielle d' urine et l'hystérie. La mentalité des jeunes incontinen
tinente diurne, par l'appréhension qu'elle a de ne pouvoir garder ses urines pendant la classe. Deux ou trois séances de sugge
t se marier dans six mois, mais qu'elle est atteinte d'incontinence d' urine , ce qu'ignore naturellement son fiancé, et me dem
ébarrasser de celte infirmité. (1) A. Cullerre: De l'incontinence d' urine dans ses rapports avec Phystérie infantile (Congr
ressionnant. La sage-femme n'avait pas eu l'occasion d'analyser les urines n'ayant pas vu la jeune femme pendant son dernier
prendrez tout à l'heure ; elle les diluera et les chassera dans votre urine qu'elles coloreront en bleu. Vous serez guérie tr
abolition des réflexes, symptôme d'Arghyll-Robertson, incontinence d' urine , etc. Grâce à une rééducation soignée, il est par
ménorrhée fonctionnelle, ténesme. vesical, incontinence nocturne de l' urine , diabète insipide, diarrhée émotionnelle habituel
e. Communications déjà inscrites D'.Iules Voisin : Incontinence d' urine et hystérie. Dr Bérillon : Présentation d'un ap
tisme (Deux cas d'}, par Raymond, p. 284. Incontinence nocturne d' urine guérie en une soule séance de suggestion, pendant
naturel (Deux cas d') par tiourdon (de Méru), p. 87. Incontinence d' urine par la suggestion (Note sur le traitement de l'),
81 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
. — Hyperesthésie ovarienne. — Description des attaques : périodes. — Urines . — Température. — Traitement et marche des attaqu
ient 10 à 15 minutes. [Père, nerveux, mort à 83 ans d'une rétention d' urine . — Mère, âgée de 80 ans, bien portante.] Mère,
'HYSTÉRIE : 3e PHASE Bientôt la malade se réveille et pleure. Les urines recueillies après les attaques, loin d'être clair
ait débuté sa maladie convul-sive. (il L'incontinence nocturne de l' urine est due quelquefois à des accès. Nous relevons ce
aralysie de la sensibilité du côté gauche du corps et une rétention d' urine qui, pendant 15 jours, nécessita le cathétérisme.
constaté une contracture du membre inférieur droit et une rétention d' urine . 18 juillet.— La contracture et la rétention pe
ussi, le col de la vessie a été contracture : de là, des retentions d' urine qui obligeaient de recourir à la sonde (p. 53, 83
ar terre sans perdre connaissance. (Pas de morsure de la langue, ni d' urines involontaires). Le tremblement durerait quelquefo
t mal et que les enfants qui, comme elle, avaient de l'incontinence d' urine , couchaient au grenier, pêle-mêle, sur de la pail
e et demie et, aussitôt, la malade évacue une assez grande quantité d' urine très-claire. 1873 (1). M... est sujette à des a
c entre 1'— et l'épdepsie, 40. I Illuminées, 70. Incontinence d' urine , 4, 64, 111. Incube, 104, 106. Injections hypod
Relations des — avec les attaques, 10 39, 88, 142, 152. Rétention d' urine , 83,89. S Sangsues, 117. Scrofule et hystér
33, 35, 38, 01, 77, 91, 117, 143, 135. u Urbain Grandier, 100. Urines (Caractères des) chez les hystériques, 9. .Urti
82 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
Idiotie avec cachexie pachydermique. beaucoup et enfin rendait une urine claire. La crise était précédée d'une aura ovar
de la parole et de la marche, ainsi que l'incontinence nocturne d' urine , nous ne saurions nous prononcer. III. C'est il
semble un peu diminuée. Exa- minées il de nombreuses reprises, les urines n'ont jamais présenté d'ai6u ? rtine. La mictio
de même pour les changements produits sur la dentition, ltroix, les urines , qui, nous le répétons, contrairement il certai
e qui ressort des détails de mes observations. XIII. Examen des urines de trois malades atteintes d'idiotie myxoedémat
cie du service. Nous avons essayé de recueillir pour analyse, les urines de nos malades myxoedémateuses. Nous n'avons ré
1° Wath... a été mise en traitement du 4 janvier au 1er mai 1890. Urine du 26-27 décembre 1895. (Avant le traitement).
1. i. Éléments normaux. 188 Idiotie MYYOEDÊMATEUSE. Analyse DES urines . 189 . Observations ET conclusions. Urine tou
MATEUSE. Analyse DES urines. 189 . Observations ET conclusions. Urine toujours très dense, a gagné considérablenent en
° Gangl... a été mise en traitement du 4 janvier au ter mai 1896. Urine du 27-28 décembre 1895. (Avant le traitement).
6. Éléments normaux. 190 IDIOTIE -myxoedémateuse. . Analyse des urines . 191 3° 1-roe... a été mise en traitement du 18
ent du 18 janvier au 31 mai, puis du 1er au 31 juillet 1896, etc. Urine du 2-3 novembre 1895. (1re analyse, avant tout tr
016. Éléments normaux. 192 . IDIOTIE myxoedémateuse. Examen des urines . 193 Urine du 5-6 novembre 1895 (4° analyse, av
s normaux. 192 . IDIOTIE myxoedémateuse. Examen des urines. 193 Urine du 5-6 novembre 1895 (4° analyse, avant tout trai
lations de phosphate de chaux. Observations et conclusions. Cette urine est toujours remarquable par son acidité à pein
n de quelques auteurs qui pensent que l'albumine se trouve dans les urines de la plupart des myxoedé- iiiateux. ŸIV. D
taires. Il ne gâte jamais dans le jour, mais, toutes les nuits, il urine au lit. '. N.. est assez long à s'endormir, pui
atoires n'offrent aucun trouble, sauf une incontinence nocturne d' urine . Les facultés intellectuelles, ainsi que cela
83 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
prononcée ; le 21 les bourses commencent à se gonfler; cependant les urines ne sont point albumineuses. L'état local de la po
ux concrétions phosphatiques qui se for-ment dans la vessie lorsque l' urine reste ammoniacale, et que j'ai vu se déposer à la
— Délire. — Paralysie de la paupière supérieure droite. — Rétention d' urine . — Coma. — Mort. Autopsie. ?— Granulations gris
endre du sang en allant à la garde-robe, plusieurs fois par jour. Les urines , rares et d'une teinte foncée, ne donnent aucun p
d'anesthésie. Le malade n'a pas uriné, et la ves-sie est distendue. L' urine extraite à l'aide de la sonde et traitée par l'ac
dents recouvertes d'un enduit fuligineux. Constipation. Ré-tention d' urine . Coma profond. Même état de la paupière et de l'œ
ions ; le malade va à la selle deux fois par jour, sans diarrhée ; il urine avec facilité et son urine est claire, exempte d'
lle deux fois par jour, sans diarrhée ; il urine avec facilité et son urine est claire, exempte d'albumine et de la matière c
ervations de Frerichs et de Griesinger, on rencontre souvent dans les urines , outre une quantité d'albumine plus ou moins cons
-reille circonstance, rendre compte du passage de l'albumine dans les urines . Quoi qu'il en soit, un semblable vice anatomi-qu
ll1, MM. Rayer2 et Bouillaud3 ont rencontré des cas d'hydropisie avec urine coagulable, développée à la suite de fièvres inte
ourrait être invoquée pour expli-quer le passage de l'albumine dans l' urine . Cette obstruction, en effet, alors même qu'elle
forme. — Œdème. — Hypertrophie de la rate. — Signes de péricardite. — Urines albu-mineuses. — Dyspnée progressive : Mort. — Au
temps que la région des reins n'est pas douloureuse ; l'émission de l' urine est rare, non doulou-reuse. L'urine elle-même éta
pas douloureuse ; l'émission de l'urine est rare, non doulou-reuse. L' urine elle-même étant chauffée, puis traitée par l'acid
t redoublé, quelquefois intermittent; extrémités froides. L'état de l' urine n'est pas modifié. Même état les jours suivants
ns errati-ques; pas de chaleur cutanée ; même état des selles et de l' urine . — Rien de nouveau à noter dans les poumons. — Mê
108; peau très chaude, langue très sèche, état typhoïde, coma vigil, urines et selles involontaires. Le mem-bre supérieur dro
e du cœur et au premier temps ; ce bruit de souffle est assez fort. L' urine est très albumineuse (elle est traitée par l'acid
sayé cinq ou six fois pen-dant la nuit sans y réussir. On le sonde, l' urine ne contient pas d'albumine. Le 8. Le malade a d
s. Il y a eu encore celte nuit des vomissements légèrement bilieux. L' urine examinée de nouveau ne contient pas d'albumine, p
ite oppose à la percussion. On sonde le malade qui n'a pas uriné, l' urine s'écoule sans qu'il y ait la moindre impulsion do
détermine pas. Pas cle douleurs, pas de gonflement des jointures. L' urine retirée en grande abondance par le calhétérisme n
que; il y a au bout de quelques instants, à la partie supérieure de l' urine , un léger trouble dû à la mise en liberté d'une c
s sous-cutanées sont toujours très développées. Pas d'albumine dans l' urine retirée par le cathétérisme (pas de contractions
'affections rénales2, ont supposé que la rétention des matériaux de l' urine , et en particulier de l'urée, aura bien pu agir s
ille, demande le bassin, fait une selle liquide et rend douze onces d' urine . A peine avait-il fait tout cela et échangé quelq
Todd.). On a signalé, dans d'autres cas, une suppression complète des urines et des douleurs gra-vatives à la région lombaire.
le. Les fonctions delà vessie et du rectum ne sont point troublées; l' urine n'est pas albumineuse. L'appélit est assez pronon
84 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sale et de la constipation avec une légère teinte subictérique, les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Les réf
halluciné de l'ouïe, il a la raie vaso-motrice et pendant l'examen urine sous lui. Le 7 mars est mis au traitement spéci
pable de remuer des montagnes et ajoute que par le poison juif, ses urines puent et son sang est bouilli. Délire génital e
mpêchait son sang de couler c'était exactement ce qui empêchait ses urines de couler quand elle était devant le monde, qu'on
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vos règles viendront absolument comme vos urines viennent quand vous êtes dans la solitude et à
plein, un peu serré, le deuxième bruit retentissant à l'aorte. Les urines peu abondantes - 750 grammes par vingt-quatre h
inférieurs avec abolition des réflexes tendi- neux, incontinence d' urine et des matières etc. A l'autopsie ontrouva la c
is, avariéentre 10 et20 litres. En même temps a paru la polyure ; l' urine était claire et la quantité évacuée est allée j
gie ; de sorte que le malade a maigri d'une façon consi- dérable. L' urine contient lit) grammes de sucre par litre. Les r
n 1901. Présidence de M. Voisin. Deux cas d'incontinence nocturne d' urine guéris en une seule séance . de suggestion pend
tre même deviendra-t-il la méthode de choix contre l'incontinence d' urine . SOCIETES SAVANTES. c 161 M. PAU de SdINT-MAR
161 M. PAU de SdINT-MARTI1V. J'ai aussi traité une incontinence d' urine par suggestion pendant le sommeil naturel, en me
ion. Les fonctions rénales s'exécutent parfaite- ment. L'examen des urines fait à plusieurs reprises n'indiquent ni sucre
urs après la dernière crise, indique pour 1.430 centimètres cubes d' urine (dans les 24 heures) : densité à + 15 = 10 18,
p d'aliénés, le bleu de méthylène est éliminé non seulement par les urines , mais encore par les fèces. L'auteur a observé
si d'une cystite par hyper- trophie de la prostate avec rétention d' urine : à diverses reprises il y avait eu des colluti
pnée et surtout une accélération extrême du pouls (120 à 160). "Les urines sont rarës;°soùvent albumineuses; on peut constat
la la présence de microorganismes en quantité consi- dérable dans l' urine des malades. Leur forme était celle de petits b
ignalé 11. Carrier, de troubles circulatoires et respiratoires. Les urines sont très dimi- nuées, leur taux peut descendre
dépasse 40. Parfois l'albumine se montre en petite quantité dans l' urine souvent rare. La constipation est opiniâtre. L'
t de deux ou trois jours. Il n'y a eu aucun symp- tôme général, les urines ne contenaient ni sucre ni albumine. Le plus so
s aucune de nos obser- vations, il n'a été signalé d'incontinence d' urine . Chez aucun malade, on n'a constaté d'incontine
et un état vacuolaire des fibres musculaires. L'examen du sang, des urines et des matières fécales a été fait au moment et
lent, en effet, les particularités suivantes : 1° faible quantité d' urines émises (100 c. c. et au-dessous) ; 2° réac- tio
on rénale ne tarda pas à s'améliorer progressivement ; le taux de l' urine se releva, et la composition en redevint de plus
tension artérielle : dans la période aiguë la quantité moyenne d' urine émise était de 29 onces et demi et l'urée de 200
de 200 grains (12 grammes). Dans la période subaiguë la quantité d' urine attei- gnait 41 onces et demi et la dose d'urée
à 180 millimètres ; 3° tem- pérature tendant à devenir fébrile ; 4° urine rare, urée insuffisante, traces d'albumine; 5°
on artérielle 120 à 130 millimètres; 3° température non fébrile; 4° urine plus abondante, augmentation considérable de l'ex
granuleuse ne pesant chacun que 80 grammes. Vessie rétractée, sans urine . ' Pas de lésions cérébrales macroscopiques sau
ie, sans doute, parce que la malade laissant aller sous elle, les urines n'ont put être ni surveillées, ni recueillies ; m
Fonctions ner- veuses dans 1 ? par Barbera, 126. Incontinence d' urine guérie par sug- gestion, par Bourdon, 160. In
85 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
actère, les tics nerveux, les incontinences nocturnes et diurnes de l' urine et des matières fécales, des terreurs nocturnes,
. C'est ce qui arrive dans le traitement de l'incontinence nocturne d' urine , de la chorée, des tics, etc. Pour que cette manœ
fonctionnels tels que les vomissements incoercibles, l'incontinence d' urine et des matières fécales survenant dans les mêmes
stériques, hoquet hystérique, blépharospasme, incontinence nocturne d' urine ; 3° Les troubles psychiques tels que l'onanisme
ieu à une simple pesanteur ; il dit aussi que les premières gouttes d' urine sont rendues avec une certaine brûlure. Je ne p
s péniblement appuyé sur deux bâtons et se plaignait d'incontinence d' urine . Il faisait remonter ses accidents à un an au moi
des faits suivants : En même temps qu'il avait de l'incontinence d' urine (il urinait goutte à goutte dans un urinai), ce m
la température est normale, sauf une poussée à 38° le 12 au soir; les urines étaient chargées à son entrée. Il accuse surtou
5, le malade accuse, de plus, une sensation de brûlure en urinant; il urine souvent, dit-il, et peu à la fois. Les urines son
e brûlure en urinant; il urine souvent, dit-il, et peu à la fois. Les urines sont d'ailleurs claires et normales. Cette sensat
sus-épineuse gauche. — La digestion est normale, sans diarrhée. — Les urines ne sont pas albu-mineuses. Le malade accuse sur
de bonne heure pour se rendre sur l'eau. Il tombe du lit, mais n' urine pas; l'accès est court, pas de stertor, pas de cé
;— ses sœurs sont vicieuses aussi et ont de l'incontinence nocturne d' urine ;—j'en ai guéri une par la suggestion hypnotique e
ème observation Onanisme et onychophagie. — Incontinence nocturne d' urine . — Guérison rapide par la suggestion. Léon L. e
nuellement et depuis longtemps ; il se ronge les ongles de même. — Il urine au lit depuis sa naissance, — il est assez docile
on péché. « Ou bien, il doit boire, jusqu'à ce qu'il en meure, de l' urine de vache, de l'eau, du lait, du beurre clarifié,
des besoins naturels (II — 45-52) : « Que le Brahmane ne dépose son urine et ses excréments, ni sur le chemin, ni sur des c
silence, enveloppé de son vêtement et la tête couverte. « Celui qui urine en face du feu, du soleil, de la lune, d'un réser
mille fortement névropathique, était atlcintd'incontinence nocturne d' urine depuis sa tendre enfance; cette incontinence n'ét
ation d'anastomose avec les centres qui président à la rétention de l' urine , et qui normalement fonctionnent d'une manière au
ité, en outre, un cas d'épilepsie et un eus d'incontinence nocturne d' urine . Le traitement a échoué chez un seul alcoolique
que leur intensité. Quant au malade atteint d'incontinence nocturne d' urine , la suggestion a donné des résultats immédiats, m
ni à la tête, ni aux autres régions. Pas de troubles de la miction; l' urine est normale. L'animal est observé et promené tous
s peuvent résister à leurs impulsions. L'incontinence essentielle d' urine , l'onanisme, la kleptomanie, l'ony-chophagie, la
illon, 1. Inanition chez le mouton (l'), 124. Incontinence nocturne d' urine , guérison rapide par la suggestion, 140. Inculp
86 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sable; ce qui domine c'est la congestion rénale, c'est-à-dire que j' urine bien pendant quinze ou vingt jours; puis à prop
t jours; puis à propos de rien, sans cause apparente, la quantité d' urine décroît et passe de 1,200 ou 1,580 grammes, qua
ins à qui j'ai demandé la cause de cette variation de la quantité d' urine et qui très souvent ont différé sur d'autres po
vançais en âge, plus celte facilité à rougir augmenta. D'abord je 1 Urines normales. Pas de sucre ni d'albumine. Coeur norma
P. KERAVAL. IX. DE l'élimination DE l'acide phosphorique par LES urines dans la phase dépressive D'UNE folie cyclique;
es périodes maniaque et dépressive durent chacune treize jours. Les urines furent analysées tous les matins à partir du dé
c'est-à-dire pendant treize jours. Chaque matin on analysait donc l' urine émise pendant la journée et la nuit précédentes :
ervation, le malade avait tous les jours le même régime. Toutes les urines étaient recueillies, l'auteur est convaincu qu'
ériode de dépression, la proportion d'acide urique diminue. Comme l' urine analysée est celle de la veille et de la nuit pré
ions fétides, maigreur extrême, paleur de la peau et des muqueuses; urines claires sans albumine, selles noires et sèches,
s l'intervalle des crises, mais s'exagère de nouveau après chacune. Urines rares, sueurs profuses, peau froide et moile, a
ire 2, 3, 4, 5 fois moindre que celle de l'homme sain. Tandis que l' urine de l'homme sain tue un kilogramme de lapin à de
timètres cubes, il faut 150, 200 et jusqu'à 450 centimètres cubes d' urine épileptique. En outre cette dernière urine est
450 centimètres cubes d'urine épileptique. En outre cette dernière urine est beaucoup plus convulsivante que l'urine nor
outre cette dernière urine est beaucoup plus convulsivante que l' urine normale. Ces deux caractères, qui sont constant
S propriétés coagulantes et SUR LES PROPRIÉTÉS TOXIQUES DE QUELQUES URINES PHYSIOLOGIQUES ET pathologiques; par Antoine GU
ine de sacrilège. Dans le mucus des narines; dans la salive, dans l' urine , les matières fécales, encore des bulles, et pa
, de la parole et de la marche, ainsi que l'incontinence nocturne d' urine , nous ne saurions nous prononcer. III. C'est
re 1896.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° Les urines riches en indican contiennent très peu ou pas d
(236 236 REVUE DE pathologie mentale. grammes). La quantité de l' urine elle-même ne s'élevait au-dessus de la normale
ntrée à l'asile le 20 décembre apathie, mutisme, ictère accentué. L' urine renferme de l'albumine et des pigments biliaires.
es viscères, coeur, poumons, foie, a donné un résultat négatif. Les urines sont normales ; la vue, l'ouïe sont normales. L
ugmentation de l'oedème et trois semaines plus tard la quantité des urines monta de 2 000 centi- mètres cubes jusqu'à S 70
icité des produits d'élimination. 11 a démontré que la toxicité des urines est en partie d'origine alimentaire. Après l'
aux fesses et au sacrum, sur les points en contact habituel avec l' urine et les matières fécales. Un autre s'est fait au
organes abdominaux; aucun stigmate de syphilis. -Sphincters sains. Urine normale sans sucre ni albumine. A l'examen op
; peu à peu, paralysie des extrémités infé- rieures et rétention d' urine . En même temps, les apophyses épi- neuses étaie
t d'anormal à l'examen ; le foie et la rate étaient volumineux. Les urines ne contenaient pas d'al- bumine. La température
affection, et encore au début de la période de demyxoedémisation, l' urine est faiblement toxique. (Revue neurologique, ao
er cite une observation faite par le Dr Iiüni qui, en examinant les urines des candidats pendant l'examen et huit jours, a
West, 59. Sur l'ana- tomie pathologique des -, par Jores, 250. Urines . Propiiétés coagulantes et - toniques de quelqu
87 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pouls est dicrote à 125, la diarrhée profuse contient du sang, les urines recueillies difficilement, sont fortement album
sang persiste dans les selles diarrhéiques ; on le décèle dans les urines . Toujours même état pulmonaire. Sept bains, pot
mmes de sérum artificiel, huit bains par vingt-quatre heu- res. Les urines , examinées par M. Gigon, interne en pharmacie,
au; il est alité, isolé, soumis aux bains froids, régime lacté. Les urines peu abondantes sont légèrement albumineuses. No
de ce temps elle est prise de malaises, de troubles gastriques et l' urine prend une teinte violet foncé. Les vomissements c
du réflexe rotulien. Troubles du sphincter vésical, incontinence d' urines . L'examen électrique donne une diminution de la
ngénitale des centres trophiques médul- laires. La Cryoscopie des Urines de la Polyurie nerveuse; par Souques 'et BALT11
Souques 'et BALT11AZARD (de Paris). Le point de congélation de l' urine des malades atteints de polyurie nerveuse peut
00,50; par suite, étant donné que dans les canalicules urinaires l' urine ne peut que se concentrer par résorption d'eau,
se concentrer par résorption d'eau, le point de congélation de l' urine ne pourrait jamais être inférieur à 00,56. Or nou
té brusquement en novembre 1855 par une paraplégie avec rétention d' urine et anesthésie totale et complète de la région s
xpression de la physionomie devient inerte et un peu bestiale, elle urine souvent involontaire- ment au lit. Bref la déme
e très nette. Le coeur fonctionne bien. Les poumons sont sains. Les urines n'ont pas été examinées. Observation II. Goulve
née. Le coeur est sain, les poumons fonctionnent régulièrement. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine. Il n'y a p
ppétit est bon, les digestions bonnes, les selles sont faciles. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine. En résumé,
s la présence d'un corps analogue aux ptomaïnes retrouvé dans les urines de ces malades et dans la leucocytose qui serai
de delirium tremens, 1 de rhumatisme, 2 d'incon- tinence nocturne d' urine , 1 de stupeur, 1 de douleur par maladie chroniq
ir pendant le taxis réducteur. Les sécrétions étaient normales, l' urine seulement un peu rare, le bébé était le troisiè
plupart des malades étant de vieux pensionnaires de l'asile, dont l' urine avait été examinée a diverses reprises, il a ét
é par la jambe droite, et envahi - ensuite la gauche. Réten- tion d' urine : Sur les deux jambes, mais surtout sur la droite
ère. Réflexe du genou absent à droite, diminué à gauche. Pus dans l' urine . Mort. Autopsie : à l'coil nu les vaisseaux de
tenir compte aussi des effets produits par les mbdilications de l' urine , qui n'est presque jamais normale. L'auteur relat
au bout d'un quart d'heure en poussant des soupirs ; pas de pleurs, urines assez abondantes. Elle dit que quand elle peut
Les réflexes sont couservés, le cré-r mastérien étant diminué. Les urines sont normales. L'intelligence i est conservée,
gauche, presque nul à droite. Il y a aujourd'hui incontinence des urines mais les selles sont encore volontaires. Dans l
ué. La parésie delà jambe gauche n'augmente pas. L'incontinence des urines per- siste. Le soir vers quatre heures le mal
a main en pronation forcée. . Pendant l'examen, l'enfant perd ses urines et nous pouvons recueillir quelques grammes pou
int. Il y eut aussi une diminution importante dans la quantité de l' urine . R. DE IUGft\'E-CLY. 326 6 REVUE DE PATHOLOGI
avaient été abolis dès -le début, il y avait de l'incontinence d' urine . Trois jours après, l'auteur voit le malade, et o
es s'accomplissent bien. L'appétit et le sommeil sont excellents. L' urine ne présente rien de particu- lier. Au point d
et accès d tnstérie. Puis les accès changent de nature : la malade urine sous elle et se mord la langue ; ils sont suivi
se mordit pas la langue, n'écuma point, n'eut pas d'albumine dans l' urine . Il semble y avoir eu des auras représentées par
88 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ou do l'aorte, aucune tumeur appréciable du cou ni du thorax. Les urines sont normales. 58 CLINIQUE NERVEUSE. L'état g
sie est presque complètement vide; la miction est involontaire, les urines très peu abondantes; de temps en temps on vide
tuméfié est sensible au toucher. Pas d'albumine ni de sucre dans l' urine dont la quantité et le poids spécifique sont pa
bres jusque-là para- lysés reprennent leur motilité; intégrité de l' urine . Diagnostic : polynévrite rhumatismale compliqu
normal, les vais- seaux athéromateux. Pas de traces de syphilis. L' urine n'a pas subi d'altérations pathologiques. Mot
r, un peu d'écume. Parfois, il se mord les lèvres et la langue ; il urine sous lui toutes les fois qu'il a de forts accès
antécédents héréditaires. - Incon- tinence nocturne intermittente d' urine . - 1s'pilepsie, attribuée à des coups qu'il aur
quatre ans. - Convulsions à treize mois. - Incontinence nocturne d' urine jusqu'il seize ans. - Onanisme dès l'enfance. -
il a des secousses, de l'écume; il ne se mord pas la langue, mais urine quelquefois sous lui; enfin il se rendort. Obse
la palpation permettaientdereconnaitreque la vessie était vide d' urine ; de plus, c'est à peine si tous les huit ou dix
streindre à sonder les malades régulière- ment pour ne pas perdre d' urine , à recueillir les selles et à faire des analyse
xtrême obligeance de nous transmettre les résultats de l'examen des urines qu'il pratiqua à plusieurs reprises, mais on ju
isser transporter le malade à l'hôpi- tal. J'aurais voulu étudier l' urine au point de vue de sa quantité et de sa composi
artir de ce moment il a uriné, par suggestion. J'ai fait analyser l' urine à deux reprises et vous envoie la copie du rapp
p. 139. Archives, t. XV. 18 8 '274 4 REVUE CRITIQUE. ANALYSE D' URINE DE CHAUFFAT Première analyse (lor avril, septiè
CHAUFFAT Première analyse (lor avril, septième jour de sommeil). Urine trouble, très colorée, très acide; légère odeur.
uin 1887 nous avons eu l'occasion de faire pratiquer l'analyse de l' urine d'une malade du service de M. Charcot en proie
prolonged sleep. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 575 j' mes d' urine , ce qui est peu si l'on songe que la malade n'ava
pation spéciale de la face. Une paraplégie flasque avec rétention d' urine peut également se montrer et persister plus ou
ertébrale. Comme à cette époque il rendait une quantité excessive d' urines (jusqu'à quatre litres par vingt-quatre heures)
s), on pensa qu'il avait une affection rénale(quoiquel'analyse de l' urine ne révélât rien d'anormal dans la composition d
ssement des organes génitaux, des troubles vésicaux (incontinence d' urine ) et de la diplopie qui ne s'est mon- trée qu'en
ls fort, plein, 120. Sueurs ' abondantes, évacuation involontaire d' urine ; il n'est pas allé à la selle depuis le 5 ; il
Il y a deux espèces de gâteux. Les uns perdent simplement sous eux urine et matières fécales. Les autres jouent en outre
ail cérébral peut parfois déterminer l'apparition du sucre dans les urines ? M. Briand. - Pendant mon internat dans le ser
ième ventricule sur la production du sucre, j'ai faitl'analyse de l' urine d'un grand nombre de paralytiques généraux et je
89 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du poison. La diarrhée, les vomissements, les sueurs profuses, les urines abondantes, la salivation, etc., sont des sympt
milation des aliments azotés et de la désagréga- tion des tissus. L' urine émise après l'accès contient en masse de ces pr
enre. L'urobiline et l'hématoporphyrine peuvent se trouver dans l' urine à l'état normal mais c'est seulement dans les éta
stication et aux mouve- ments des globes oculaires. L'analyse des urines a montré chez les deux malades une augmentation
éralisés par une perle de la connaissance, de l'incon- tinence de l' urine et des matières fécales, j'ai noté pendant une
plète ; elle s'est maintenue depuis treize mois. ' Incontinence d' urine et suggestion pendant le sommeil naturel. M. Pa
tion d'un jeune garçon de cinq ans et demi atteint d'incontinence d' urine et guéri par la suggestion pendant le sommeil n
30 ans, laisse échapper inconsciemment cinq ou six petits jets d' urine , lors des coïts accompagnés de spasme vénérien et
'abdomen agissent directement sur une vessie distendue et forcent l' urine il s'échapper sous forme de jets synchrones à c
Les artères radiales et fémorales ne sem- blent pas sclérosées. Les urines ne renferment pas d'albumine. La plaie opératoi
tte sonde pénètre alors dans un canal et donne bientôt issue à de l' urine ; ce canal est donc l'urèthre, et l'orifice est le
ent : rougeole, variole, rhumatisme inflammatoire, inconti- nence d' urine dans l'enfance, épistaxis dans l'adolescence, exi
tions locales au moins inutiles. R. CHAI\ON, XXVI. Incontinence d' urine d'origine hystérique ; par P. Rivant. (Vouv. Ic
mment simulée par l'augmentation du pouvoir réducteur normal de l' urine , dû probablement à l'augmentation des substances
complète. Douleurs violentes au sacrum et aux jambes : Rétention d' urine . Amélioration notable à partir de la troisième
tes en ce point. Troubles de relâchement des sphincters ; le malade urine sous lui. On retire à peine de la vessie quelqu
e urine sous lui. On retire à peine de la vessie quelques gouttes d' urine pour la recherche de l'albumine qui est négativ
s cavités tubulaires des détritus granuleux fortement colorés par l' urine , ou de véritables cylindres épithéliaux ; catar
bat régulièrement. Bien au foie.- Pas d'albumine ni sucre dans les urine ? . Le lendemain et les jours suivants les hall
s de l'ombilic. Le coeur est un peu gros. Bien dans les pou- mons ; urines normales. Pas de lièvre. Le lendemain de son ar
physique ne nous révèle rien de particulier dans les ' organes. Les urines ne contiennent rien d'anormal. Les mains et les
t. Bien aux poumons. Foie-un peu petit. 'Traces d'albumine dans les urines ; elles ont disparu quelques jours après. Le 2
me non REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 421 podagres, des altérations de l' urine et que leurs muscles révèlent une hypertrophie
x. Ilien aux organes internes. Apyrexie. Rien au pouls. Rate saine. Urines normales. Appétit et sommeil bons. Aucune intox
AL. LXV. Sur une forme psychopathique particulière de rétention d' urine ; par W. de Bechterew. (1\'ezcroloc. Ceiztrulbl.,
uatre jours plus tard, vomissements, insomnie, dysurie, rétention d' urine . On diagnostique : hystérie. Elle entre le 2ï m
arue à la partie inférieure du bras droit. Vessie très pleine d'une urine alcaline (2 litres) non albumi- neuse. Taches r
. 503 note bientôt-0°,G-'r0°,8. Il se-produit de l'herpès labial. L' urine devient trouble. P=1 ? G; ;Il. 26. On\entend de
des obsessions impul- sives, par Le Groignec, 2l\. Incontinence d' urine et suggestion pendant le sommeil naturel, par
som- ,,ici[ d'un choréique, par Bour- riillon, 512. Béteniton d' urine . Une foime psy- chopatluque de la -, par de l
90 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
re) A propos de quelques récentes publications sur l'incontinence d' urine . par M. le D' Paul Fàrez. I Il ne se passe
ou plusieurs thèses de Doctorat sur l'Incontinence dite essentielle d' urine . Quand les auteurs arrivent au chapitre « Tra
n jour d'écrire : « On a proposé de traiter l'incontinence nocturne d' urine par l'hypnotisme. Hais M. Doulrebente a rapporté
ès remarquable qui est ce qu'on a écrit de mieux sur l'Incontinence d' urine . Ces auteurs m'ont fait le grand honneur, dont je
végétations adénoïdes guérit inévitablement l'incontinence nocturne d' urine ; de là à conclure que les végétations adénoïdes
se, agitée, dort mal, 60 réveille souvent... et, pas une fois, elle n' urine au lit. Dès qu'elle est convalescente, elle retro
re a sa famille parce que, chaque nuit, sa literie est souillée par l' urine qu'il a émise involontairement. Je le vois deux s
il). Ces deux nuits là et la suivante, aucune émission involontaire d' urine . Le lendemain, on l'opère de végétations adénoïde
e son travail. Ici le problème n'est pas de restreindre la quantité d' urine émise, mais de discipliner la vessie et de l'habi
discipliner la vessie et de l'habituer à conserver pendant la nuit l' urine , excrétée en quantité normale. VI Autre chose
, elle réveille l'incontinent et l'oblige à se mettre sur le vase ; l' urine que celui-ci reçoit n'ira toujours pas transperce
rd de s'entraîner à contracter son sphincter vesical et a retenir son urine jusqu'au lever. Toutefois, il est des sujets ch
cale commençait par ces mots : « La thérapeutique de l'incontinence d' urine chez les enfants n'a, jusqu'ici, enregistré qu'un
tion hypnotique triomphe de cette incontinence dite essentielle d' urine , dont les médecins étrangers a la psychothérapie,
un des troubles qui accompagnent l'anurie ou la rétention : quand les urines réapparurent elles étaient normales, même comme q
s, avril, mal et Juin 1898 : brochure Malolne. 46 p. — Incontinence d' urine et suggestion pendant le sommeil naturel, Indépen
june, 1901 et Revue de l'hypn., août 1901. — Incontinence nocturne d' urine , guérie par suggestion pendant le sommeil naturel
des troubles gastriques. 2° Dr Pychlau (de Pskoff). Incontinence d' urine traitée par la psychothérapie. 3° Dr Bérillon :
et d'origine cérébrale, dans les cas dont il s'agit. Incontinence d' urine , datant de dix ans, guérie par la suggestion hypn
t F ., âgé de 28 ans. vint me consulter à propos d'une incontinence d' urine , qu'il croyait résulter du traitement brutal d'un
ute société. Son linge et ses vêtements répandaient une forte odeur d' urine et a chaque instant il était angoissé par la peur
r était la présence de trois ou quatre grammes d'albumine par litre d' urine , avec bouffissure caractéristique de la face, enf
éva-lot. p. 317. Imbécillité, par Sommer, p. 126. Incontinence, d' urine datant de dix ans, par Pyohlau, p. 249. Inconti
nce, d'urine datant de dix ans, par Pyohlau, p. 249. Incontinence d' urine (A propos de quelques récentes publications sur l
91 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans les pores non seulement de l'eau, mais du sang, du sérum, do l' urine , de la bile et des autres liquides du corps humai
du cordon. - Parole et marche vers dix-huit mois. - Incontinence d' urine jusqu'à quatre ans. - Défécation involontaire j
RECUEIL DE FAITS. hémorrhagie abondante du cordon, l'incontinence d' urine jus- qu'à quatre ans et celle des matières féca
icultés considérables pour uriner pendant le jour; inconti- nence d' urine pendant la nuit. Douleurs fulgurantes très vives
engourdissement des membres a cessé, il n'y a plus d'incontinence d' urine , et les érections sont plus fortes et plus dura
e Romberg ont cessé d'exister. Un malade atteint d'in- continence d' urine a vu cesser cette dernière après 3 séances. Un
llaire, l'absence du réflexe patellaire, et un peu d'incontinence d' urine , qui disparaît progressivement. M. le D'' Simps
estphal a pu- blié l'observation. On trouvait une incontinence de l' urine et des matières absolues, et une cuillerée du p
vient complète. La sensibilité n'aurait pas été abolie. Rétention d' urines suivie, après vingt-quatre heures d'incontinenc
n sommeil agité, le pouls lent et faible, constipations constantes, urine contenant une quantité exagérée d'urates et enf
, température constamment sous-normale, diminution de la quantité d' urine , oedème isolé de la peau et du tissu sous-cutan
sence de réflexibilité des tendons, réllexibilité cutanée exagérée, urine normale. La bouche constamment t remplie de sal
sultats favorables ont été constatés dans l'incontinence nocturne d' urine , des matières fécales, dans les tics nerveux, les
hez les criminels, sont peut-être d'origine toxique. Des analyses d' urine ont montré la présence, chez des dégénérés ou d
epos après une vie active. D'après des recherches por- tant sur les urines de ces individus, il semble qu'il y ait chez eux
sychiques (folie systématique hallucinatoire aiguë) ; à ce moment l' urine ne contenait pas du tout de sucre; la glycosurie
Dans quelques cas, nous trouvons une augmentation d'urate dans l' urine . Le développement de la maladie est accompagné
u côté du coeur, rien, outre accélération du battement (120-140); l' urine sans albuminat, mais contenant une quantité con
rois fois d'une façon très nette, c'est l'apparition du sang dans l' urine sans aucun traumatisme préalable. Enfin, la der
cyanose qui n'est ni gênante ni inquiétante; coloration foncéede l' urine . Toutefois l'auteur n'a pas trouvé d'élimination
ie ordinaire, mais fréquemment par la présence de propeptone dans l' urine . Si l'on soumet cette humeur à l'action de l'acid
l'eau bouillante. Si l'on a à sa disposition de grandes quantités d' urine , on obtient par l'acide acétique, le chlorure d
vagin, sperma- torrhée, catarrhe vésical. La plupart du temps, les urines présentent un poids spécifique élevé, mais il n
ée sans qu'il y ait d'albuminurie : et, d'autre part, ou trouve des urines à faible densité qui contiennent de l'albumine.
92 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ysie presque complète des membres inférieurs, de l'incontinence des urines et des matières fécales. Bientôt, se manifesten
- quents. La dysphagie est considérable. Il y a aussi rétention d' urine nécessitant trois fois le cathétérisme. Le mala
procédé de préparation. Peu de temps après, Kunckel le retira de l' urine , ', mais il ne put être extrait en grande quant
ormes fréquents, avec écume à la bouche, aboiements, incontinence d' urine : les accès durent d'un quart d'heure à une heu
s inférieures, - pupilles irrégu- lières ; urates amorphes dans les urines . Guérison rapide des symptômes mentaux ; guéris
les régulières, congestion de la pupille; pol3urie ; incontinence d' urine ; albu- mine et sang dans l'urine ; oif intense.
pupille; pol3urie ; incontinence d'urine; albu- mine et sang dans l' urine ; oif intense. - Guérison rapide des symptômes
amélioration au bout de cinq séances, guérison de l'incontinence d' urine après vingt-deux séances. Amélioration très mar
s deux suivantes : « Eliologie de la fièvre typhoïde et rétention d' urine ; » « Diagnostic de la pneumonie franche et luxa
ticulier. Je me bornerai à vous donner le résultat de l'analyse des urines dans le cas qui nous occupe, en le comparant au
ues. Le jour où on a pratiqué l'analyse, on a trouvé : Quantité d' urines : 1 lit., 725 ; densité : 1018. Réaction acide;
fection. Ils ont démontré, par des analyses répétées, portant sur l' urine de deux parkinsonniens appartenant à la cliniqu
parkinsonniens appartenant à la clinique des vieillards, que cette urine , com- parée à celle d'autres vieillards en sant
it exister chez notre malade dont M. de Girard vient d'examiner les urines à ce point de vue : sur un chiffre total de 0 g
tellectuel, modifie l'élimination de l'acide phos- phorique par les urines ; il diminue le chiffre, de l'acide phospho- riq
niquement, très probable; aucune ano- malie du côté de la soif, des urines , de la faim. Pupilles étroites, mais mobiles. G
. [Il,Signes du tabes; notamment ataxie indubitable; sucre dans les urines d'une densité de 1028.- En tous ces cas, il man
té à la même cause, si l'on s'en rapporte à l'exa- men chimique des urines . P. K. XXX. DE la responsabilité morale; par G.
LAIT LIER (de Rouen) lit un travail intitulé : Considérations sur l' urine dans la paralysie générale. Dans le délire dépres
s le délire dépressif, il y a diminution des déchets éliminés par l' urine ; dans le délire anxieux, il y a au contraire e
ns les périodes de suractivité intellectuelle. Sur 5.000 analyses d' urines il n'a point trouvé de diabète chez les paralytiq
myxdémateuse. MM. Voisin et HARANT communiquent un mémoire sur l' urine dans les états léthargiques prolongés, en contr
l, la diminution de la quantité de matières azotées rendues par les urines , DE LA MIGRAINE OPIITHALMIQUE, HYSTÉRIQUE. 31'1
gie de la par Dublisson, Ré- gnier, Régis, Cullerre, Voisin, 270; urine dans la par Laillier, 272 ; conjugale, par Cull
93 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dmet aussi la présence d'une substance toxique. Dans les cultures d' urine , il a pu isoler des microbes et surtout des str
proportionnel qui existe entre la toxicité du germe sanguin et de l' urine chez les éclamptiques. Les expériences de M. Bar
. Emile Blanc lui ont permis d'isoler un microbe pathogène dans les urines ainsi que dans le sang de ces malades. M. h'avr
t d'autre part les expériences que nous avons en- treprises sur les urines et sur le sang de ces malades, nous pa- raissen
sait que les épileptiques, dans leurs accès, éli- minent par leurs urines un excès d'acide phosphorique uni aux terres, i
ace dans une manifestation épileptiforme, l'incontinence nocturne d' urine . C'est Trousseau qui a remis en honneur cette m
es, le pouls était légèrement accéléré. Il montait à 92 et 100. Les urines étaient augmentées de volume 1,800 à 1 Nous avo
t profondément affectée d'apprendre qu'elle avait du sucre dans les urines . Dès lors les accès d'asthme s'accroissent et l
itable découverte ». Ce sont ces recherches basées sur l'examen des urines qui ont permis à l'auteur de diviser l'hystérie
ar une polyurie relative due à la première sécrétion, le total de l' urine des vingt-quatre heures étant généralement au-des
ne part.1, et les attitudes passionnelles de l'autre. L'analyse des urines des vingt-quatre heures peut en outre trancher
mit au lit; la paralysie s'accentua rapidement; le 28, rétention d' urine . Le 3 février, voici ce que M. Dutil a constaté
rotuliens sont abolis à gauche, très faibles à droite. Rétention d' urine complète -.nécessitant l'emploi de la sonde. Ré
n'y a plus de dissociation. Le tact est partout aboli. Rétention d' urine . Quelques élancements douloureux dans les flanc
teint d'une diarrhée opiniâtre. Il a quelque difficulté à uriner. L' urine ne contient pas de matières pathologiques. Doul
La colonne vertébrale est normale; elle n'est pas doulou- reuse. L' urine contient un peu d'albumine. Il n'y a rien du côté
nément. - 17. Il. Le malade ne peut se tenir debout. Incontinence d' urine . L'eschare devient plus grande. La fièvre très
issement du champ visuel me paraissent le démontrer. L'analyse de l' urine , qui a été faite plu- SOCIÉTÉS SAVANTES. 241
joue le rôle pré- pondérant. On remarque encore que l'analyse de l' urine a fait découvrir un changement bien connu dans
du foie : ictère chronique, troubles digestifs profonds, selles et urines bilieuses, etc.; enfin un état mental particuli
de la somnolence, de l'allaihlissement généra], de l'incontinence d' urine parfois; le caractère devient violent, la mémoire
èche, fendillée. Râles hu- mides dans les poumons, rien au coeur. L' urine obtenue par le cathétérisme contient un peu d'a
oïdienne. On observe à la suite une diminution dans la toxicité des urines . M. DUBREUILH (de Bordeaux), cite « un cas d'ac
e congénitale flasque sans atrophie, avec incontinence absolue de l' urine et des 376 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. matières f
ment ses recherches n'ont porté que sur un cas. Il a trouvé que les urines non sucrées étaient fortement hypertoxiques, al
s urines non sucrées étaient fortement hypertoxiques, alors que les urines sucrées du même malade étaient hypotoxiques. Ce
salit la nuit, ne salit pas le jour, et tel qui lâche sous lui ses urines , comman- dera encore à son sphincter anal ; enf
94 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
t. On la fait manger à la sonde matin et soir. Elle est inconsciente, urine sous elle. — Pendant la nuit dernière, elle a san
étend que ce changement est dû à l'usage fréquent de l'éther. —¦ W... urine beaucoup après ses attaques durant lesquelles ell
la contracture du sphincter de la vessie déterminant une rétention d' urine ; — une contracture artificielle des muscles du la
glaireuses ; défécation douloureuse. — Ni sucre ni albumine dans les urines . Le tremblement des mains et des jambes est enc
er, elle a de la tendance à se mettre la face contre l'oreiller. Elle urine involontairement et ne revient pas à elle quand o
amment de nourriture, elle serre les dents. Bâillements, borborygmes. Urines involontaires, une garde-robe hier. — P. compté a
qu'aux jambes et à la jambe gauche qu'à la droite. Les selles et les urines sont toujours involontaires. — Nous assistons à u
ernier. Il n'y a de garde-robes qu'après lavement ; les selles et les urines sont involontaires. La contracture et Y état cata
, ordinairement provoquées, sont involontaires. Il en est de même des urines . Le pouls est régulier à 84, 88, 92. La respira
ne ou deux minutes, elle est dans la résolution et, à ce moment, elle urine abondamment sous elle. Il faut une quantité ass
ègles chez les), 7, 25, 198, 206, 223 et passim. I Incontinence d' urine , 25. Insomnie chez les hystériques, 4, 41, 81,
, 84, 85, 4 04, 122, 203, 24 2. Règles, 25, 4 98, passim. Rétention d' urine , 25. S Sabbat, 145, 441, 231, 247. Secousse
95 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
urie. La première crise s'est manifestée à la suite d'une rétention d' urine qui durait depuis quinze jours, et qui était elle
e méthylène; on lui affirma avec conviction qu'il serait guéri si ses urines devenaient bleues, parce que la couleur bleue de
nt bleues, parce que la couleur bleue de la main serait passée dans l' urine . Les urines devinrent bleues, et l'asphyxie local
parce que la couleur bleue de la main serait passée dans l'urine. Les urines devinrent bleues, et l'asphyxie locale, ainsi que
mac, ni du cœur, ni de la tête, qu'elle va bien â la selle et qu'elle urine facilement, qu'elle n'a plus de pesanteur ni de t
non. Ce qui semble venir à l'appui de la Incontinence nocturne d' urine guérie par suggestion pendant le sommeil naturel
se: c'est, comme on le sait, la règle pour ce genre d'enté-roclyse. L' urine , sécrétée en grande abondance, provoque la réplét
ntracter son sphincter vesical ; il ne se sent même pas mouillé par l' urine qu'il vient d'émettre. Je ne sache pas qu'on ai
it, tout en dormant, des efforts efficaces pour empêcher l'issue de l' urine ; elle parvient à se retenir toute la nuit et à n
emarquables de la psychothérapie en face de l'incontinence nocturne d' urine . De ce cas et d'un certain nombre d'autres que
la suggestion somnique est le traitement de choix de l'incontinence d' urine , — tout au moins dans les trois cas suivants :
ni changement de coloration de la face, ni émission involontaire de l' urine ou des matières: au réveil, il a conscience d'avo
. — ? Traité pour le traitement par la suggestion de l'incontinence d' urine ? (1886). — « Suggestion criminelle de l'hypnotis
contre la contre-suggestion de sa femme qui me répondait: « Mais s'il urine une fois, sera-t-il guéri pour toujours ? » Il
tique assez prononcée. La constipation est opiniâtre, l'émission de l' urine légèrement embarrassée, l'érection affaiblie. Tou
itement persévérant amena d'heureux résultats : elle sait retenir son urine et ses excréments et peut marcher sur des béquill
ne myélite lombaire d'origine syphilitique. Il ne peut retenir ni son urine , ni ses excréments. Par suite d'un catarrhe de la
son urine, ni ses excréments. Par suite d'un catarrhe de la vessie, l' urine a une odeur très désagréable. Malgré toutes les m
, 30; paralysies diverses, 52; diarrhée chronique, 22; incontinence d' urine , 22; mutisme et paralysie de la langue. 3; surdit
x enfants ? (Les), par Podiapolsky, p. 212. Incontinence nocturne d' urine guérie par suggestion pendant le sommeil naturel
Le), par Valentino, p. 49. Sommeil naturel (Incontinence nocturne d' urine guérie par suggestion pendant le), par Paul Parez
96 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
pidien ; pas de lésion mitrale. Sous l'influence de la digitale les urines qui étaient très peu abondantes tendent à reven
érieure des côtes repo- sant presque sur les épines iliaques. Les urines légèrement albumineuses ne contiennent pas de suc
uelette sont figurées dans les planches II et III. Les analyses des urines et celles des os seront publiées inté- 7ralenea
ser quand elle veut uriner. D'autres fois, elle laisse échapper les urines , et même les matières fécales, s'il y a un peu de
au symplonialique s'est dessiné définitivement : inconti- nence d' urine , impuissance sexuelle, dérol)cmciil des jambes,
ymies dans l'enfance et l'adolescence, de l'incontinence nocturne d' urine jusqu'à 16 ans et une fièvre typhoïde à 18 ans.
ux sons forme de mictions impérieuses et plus tard d'incontinence d' urine . En 1869, l'incoordination motrice fait son app
vers viscères sont normaux ; il n'y a ni albumine ni sucre dans les urines . En dehors des arthropathies des genoux, la mal
usage de la morphine. Il y a 18 mois, apparurent une incontinence d' urine assez fréquente, des pertes séminales et, après
équilles est impossible par suite des arthropathies. Incontinence d' urine de temps il autre; constipation très opiniâ- tr
très bonne. Coeur, pancréas, foie normaux. Rien d'anormal dans les urines . Les membres inférieurs sont déformés; les cuis
menté de volume ; faiblesse des jambes. Ni sucre ni albumine dans l' urine . Etat psychique un peu déprimé ; pleure facilem
e au gâtisme. Il y a eu pour la première fois de l'inconti- nence d' urine . Depuis 4 ou 5 jours céphalée moins violente, san
de 43 ans. 10. Frère né en 1875. A eu de l'incontinence nocturne d' urine disparue depuis la puberté. Il a actuellement 1
nsible au cathéter, la vessie au cathéter et il la distension par l' urine ou une injection. Le sphincter de la ves- sie é
is toutes les heures environ elles émettaient une petite quantité d' urine , par action réflexe involontaire et non sentie,
ructueuse ; en le sondant aussitôt après, on a retiré 220 grammes d' urine qui sont sortis en bavant, malgré la persistance
nviron. Le ca- thétérisme est chaque fois nécessaire. La quantité d' urine et d'urée sécrétée par vingt-quatre heures est
: le malade a sécrété dans cette der- nière période 1700 grammes d' urine avec en tout 31 grammes d'urée; c'est presque l
atre ou cinq fois par jour des mictions vo- lontaires ; le jet de l' urine est relativement vigoureux, intermittent, sans qu
ovoquées par la contraction des muscles abdominaux. Le passage de l' urine u'est pas senti. Les réflexes rotuliens sont touj
97 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
eils respiratoire, circulatoire, digestif et urinaire. L'examen des urines a démontré de la gly- cosurie, avec la densité
nt égales et réactionnent à la lumière. Le malade laisse sous lui l' urine et les matières fécales. Il gémit continuelleme
s, à part une lientérie pas- sagère. Ni toux, ni expectoration. Urines rares, sans sucre ni albumine. A l'examen, mala
pression de la région rénale et surrénale est indolore. L'analyse des urines donne une formule convenable. L'état général fo
ec congestion pulmonaire compliquée de pleurésie, albumine dans les urines gros coeur avec bruit de galop. Il succombe le
ions sont impérieuses et le ma- lade craint de laisser échapper ses urines ; cependant il les sent passer. Les fonctions g
nsibilités. Les sphincters, fortement touchés au début (rétention d' urine ), sont paralysés au bout de 3 semaines; à ce mo
ion relativement tardive des troubles urinaires (l'incontinence des urines n'a été complète que quelques mois avant le dén
succès. Jusqu'à douze ans l'enfant eut de l'incontinence nocturne d' urine . Il avait des frayeurs nocturnes très fréquenle
me : il présente dans la journée un léger vertige, durant lequel il urine dans son pantalon. Le jour suivant, en note une
pied des deux côtés. Les réflexes abdominaux manquent. Rétention d' urine ; constipation. Contractions spontanées doulour
ble et inégale dans les différents groupes musculaires. Rétention d' urine ; incontinence des matières fécales. Les trou
s réflexes tendineux.1' Phénomène de Babinski. Rétention complète d' urine . 25. Douleurs aux jambes et aux bras. Augmentat
nnaissance secondaire. On ne voit pas de troubles vaso-moteurs. , Urine . L'examen n'a révélé ni sucre ni albumine. Exam
che, le point de la même manière, surtout à droite. L'examen de l' urine ne montre que de légers vestiges de sérine. Ent
ison des renseignements fournis et de la présence d'albumine dans l' urine , nous rattachâmes à l'urémie. Devant l'échec des
es jours, à l'occasion de laquelle on trouva de l'albumine dans ses urines . Depuis lors, elle menait une vie normale, se pla
lles, pour retomber ensuite dans une asthénie profonde. Le taux des urines était normal, peut-être une légère pollakiurie.
decin a été appelé qui a constaté la pré- sence d'albumine dans les urines , mais leur quantité n'a pas été mesurée : en to
e, ni galop. Le pouls est rapide : à 140, de tension moyenne. Les urines sont claires, elles renferment un signe moyen d'a
sives, la malade succombe il z heures de l'après-midi. Analyse de l' urine recueillie pendant les 24 premières heures : AC
d'autre part la très faible quantité d'albumine que renferment les urines , on pourrait être tenté de mettre plutôt l'ensemb
au sujet des chiffres paradoxaux révélés par l'analyse chimique des urines et du sang, devaient faire prévoir l'échec d'un
ion ner- veux, pourrait-on dire, mais encore ceux où le chiffre des urines est di- minué, où il existe de la rétention uré
ible, adresse des inju- res il ceux qui vivent en contact avec lui. Urine dans les crachoirs et dans les tasses d'eau.
omanomètre de Pachon, de 14 cm. et 8 cm. 5 de Hg. * L'analyse des urines , que la malade dit être celles de 24 heures, fait
98 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
nombre 149 étaient atteints de gâtisme ; 37 d'mconh'nence nocturne d' urine ; 11 de cécité complète ; 8 de cécité incomplète ;
ie. Imbécillité, prononcée. Imbécillité, Cécité, Incontinence d' urine . C A U S E S DE LA SORTIE. Rendu à sa famille
3 en-fants 201 sont atteints de gâtisme; 48 d'incontinence nocturne d' urine ; 10 de cécité complète ; 8 de cécité incomplète;
els. Idiotie légère, paralysie infantile, onanisme, inconti-nence d' urine . —Robe... (M.arccl), 7 ans. — A son entrée (27 ja
pour l'étude; en plus elle avait encore de l'incontinence nocturne d' urine . Sous l'influence du traitement, une véritable
t les heures de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne d' urine . L'enfant, soumise au traitement dès le début,
rtout bien plus tranquille en classe. Elle n'a plus d'in-continence d' urine . — La gymnastique va bien, elle s'efforce même de
Sur ce nombre 75 sont gâteuses; 10 ont de l'in-continence nocturne d' urine ; 5 sont atteintes de surdi-mutité; 5 de cécité; 4
s ou imbéciles, 50 sont gâteuses; 12 ont de l'incontinence nocturne d' urine ; 5 attein-tes de surdi-mudité; 7 de cécité; 4 pré
s, relevablcs des classes spéciales, mais qui ont de l'incontinence d' urine ? Pour les y conserver il faudrait une installa-t
éflexe rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de clonus du pied. — Urines normales. L'appétit est très diminué. Il existe u
grince pas des dents. Poids à l'en-trée : 20 kilos. Taille 1 m. 08 c. Urines : ni albumine, ni sucre. 1900. Décembre. — A so
laissant, ouvert le ro-binet du gaz...; a des troubles de la parole, urine et défèque sous elle..., actes inconscients: elle
99 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion du iéflexe lumineux. La tempéra- ture est abaissée (36°4). Les urines sont de coloration normale et contiennent un pe
du premier bruit. Les artères sont nettement athéromaleuses. Les urines recueil- lies par cathétérisme (car le malade a
a crise d'épilepsie vraie. Mais il n'y a ni émission involontaire d' urine , ni cri, ni morsurc de la langue, ni écume il l
ntéressant est la relation qui existait entre l'inconti- nence de l' urine et des matières fécales et les attaques, les habi
est devenu tout à fait tran- quille. Fait il noter, la quantité des urines , inférieure à la normale avant les injections,
séances, j'ai rapporté le cas d'un enfant atteint d'incontinence d' urine et guéri, lui aussi, par suggestion pendant le
convul- sives ayant duré cinq heures, avec émission involontaire d' urine et de matières fécales. Au dire de la mère, l'e
itial, pas de morsure de la langue et pas d'émission involontaire d' urine , du moins dans les crises isolées. La perte de
1893, surviennent une légère constipation et une légère rétention d' urine , et en 1898, une parésie des jambes qui rend la
ité objective est normale ; il est atteint d'une légère rétention d' urine . Enfin les deux yeux sont en myosis et présente
e époque, convulsions. De dix à douze ans incon- tinence nocturne d' urine . - Rougeole à quatre ans. - Scarlatine à quatre
et de dix à douze ans, elle a présenté de l'incontinence nocturne d' urine . Elle aurait eu des convulsions après sa premiè
s expériences et de son traitement (élimination de la silice parles urines , amélioration des crétins). I. C. XIII. Un no
leurs lom- baires. Quinze jours après apparaissent l'incontinence d' urine et des matières fécales, de la fièvre puis des
lité (réflexes tendineux normaux). Au bout de six mois, rétention d' urine qui cède à un seul cathlétérisme. Enfin, dans l
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIV. Polynévrite avec incontinence d' urine et des matières fécales, tachycardie, hoquet, e
ont intactes. Puis survient pendant quatre jours une incontinence d' urine et des matières fécales. Au bout de trois semai
ersista également jusqu'à la lin du séjour du malade à l'hôpital. L' urine ne présenta jamais ni sucre ni albumine ; l'épr
maintient depuis huit mois. M. Levis Jones, traite l'incontinence d' urine nocturne et diurne par l'électricité. Dans les
0. (Archives d'électricité médicale.) 0 LEDUC (S.). - Réaction de l' urine dans les névropalhies. Effets psy- chiques de l
e de celle-ci. P. Keraval. XXXII. De l'évacuation involontaire de l' urine pendant le rire ; par'W. Bechterew. (06os)'('H
femme de vingt ans tarée au point de vue mental et héréditaire, qui urine toujours en abondance quand elle rit, où qu'ell
is semblable évacuation ; il n'existe pas d'incontinence nocturne d' urine . M. Bechterew croit que c'est l'émotion en rapp
la raison dans l'intimité trop grande des centres d'évacuation de l' urine et des mouvements de l'expression qui occupent
bénigne. Dans une autre observation, il y a eu rétention homogène d' urine pendant la convalescence. Le délire a été fréqu
téro-épileptiques, du mutisme, de l'ano- rexie, de l'incontinence d' urine , etc. Recherche du subconscient pendant le somm
et Le-i\lolt, t, 132. Tumeur du lobe occipital, par Weber, 227. Urine . Evacuation involontaire de l' - pendant le rir
100 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
malade entra à Lariboisière; il avait de la pollakiurie (2 litres d' urine par jour avec 4 grammes d'albumine) ; il sort d
as d'oedème des jambes (2 grammes d'albumine par litre ; quantité d' urine émise : 1500 grammes par jour). Le le, février
eil et de l'appétit, -amaigrissement, toujours de l'albumine dans l' urine . En mai, les membres inférieurs se placent en a
oucher dans celui du voisin. Pas d'incontinence ni de rétention des urines et des matières fécales. Le tremblement alcooli
ntes. Le foie est douloureux et semble légèrement hypertrophié. Les urines ne contiennent ni albumine ni sucre. En présenc
et la marche est plus difficile. Les mains sont maladroites et P... urine dans son lit à côté de l'urinal. ' Le 30 janv
ndemain nous constatons une paraplégie complète avec incontinence d' urine et des matières. Anesthésie des membres inférie
rois semaines ; au début de son séjour, elle eut une rétention de l' urine (sondage) ; à la fin, l'incontinence d'urine av
eut une rétention de l'urine (sondage) ; à la fin, l'incontinence d' urine avec douleurs fulgurantes. Le 15 décembre, elle
paralysies des bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d' urine . Pas de troubles oculaires ni de tremblement. L
elle, sauf dans l'observation I où il y avait de l'incontinence - d' urine , mais il n'y a pas lieu de croire que d'insignifi
atiées. Cet oedème est stationnaire. Les viscères sont sains. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine. La sensibi
acide urique et il étayait son hypothèse sur ce fait clinique que l' urine des épileptiques contient moins d'acide urique qu
à un régime absolument constant, des séries d'épileptiques dont les urines furent analysées quotidiennement. Le régime étant
es quotidiennement. Le régime étant cons- tant, l'analyse seule des urines nous importe. Si dans les minutieuses observati
s, nettement épileptisant dans 1 à : j p. 100 des cas. L'examen des urines n'a montré à la suite des accès aucune variatio
rganes de la poitrine et de l'abdomen ne révèle rien d'anormal. Les urines ne contiennent ni albumine, ni sucre. La sensib
re de 'l,5 1. D'autre part, il a été possible de retrouver dans les urines de malades atteintes de fièvre hystérique les m
. HÉMIMÉLIE CHEZ UN ALIÉNÉ. 365 et Cathelineau, caractérisent les urines émises pendant l'accès convulsif (c'est-à-dire
eints de tuméfaction rapidement passagère. Dès lors. incontinence d' urine et des matières : un an plus tard, disparition
la grâce et un soutien de leur vertu. Sainte Elisabeth avalait son urine , disant qu'il ne fallait rien laisser perdre d'
langue, perte subite de la connaissance et chute, incon- tinence d' urine , amnésie complète. On dut renoncer à l'uti- lis
sance, de chute, de morsure de la langue, de peite involontaire des urines . En revenant à elle, la malade éprouve une gran
taque d'épilepsie, avec morsure de la langue, chute, incontinence d' urine . D'autres attaques sem- blables ont suivi, à de
Elles s'accom- pagnent de morsure de la langue et d'incontinence d' urine . Au moment de reprendre connaissance, la malade
ite de la connaissance, chute, morsure de la langue, incontinence d' urine . C'est là, chose admise par tous les auteurs co
faible; il y a difficulté d'uri- ner sans la moindre incontinence d' urine . Il n'existe ni propulsion, ni latéropulsion, n
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