ie, il est de règle que la leucine et la tyro-sine se montrent dans l'
urine
en même temps que l'urée y fait défaut ou n'y est
ont pour effet de faire passer la matière colorante de la bile dans l'
urine
, où les ré-actifs la mettent en évidence; tels so
firme du moins — le passage de la matière colorante biliaire dans les
urines
, il n'en est plus de même quand l'hé- (1) Voir
n, p. 258, etc. moglobine dissoute est injectée dans l'intestin : l'
urine
, en pareille circonstance, offre toujours la réac
n, elle se transforme en partie en me substance qu'on retrouve dans l'
urine
et qu'on a dénom-mée urochrome. Cette relation en
sans quelques difficul-tés pratiques, d'obtenir cette réaction avec l'
urine
des icté-rîques Dans l'ictère le plus vulgaire, o
cté-rîques Dans l'ictère le plus vulgaire, on peut obtenir dans les
urines
la réaction de Petlenkofer. M. Hoppe Seyler, en 1
e, dans l'ictère le plus simple, les acides bi-liaires passent dans l'
urine
en même temps que la matière colorante. e) Où s
l'on en juge par l'importance justement accordée aux altérations de l'
urine
dans la pathologie rénale, l'étude cor-respondant
ifiques, 1867, p. 74. II. altérations physiques ou chimiques de l'
urine
traduisent fré-quemment l'état anatomique des rei
e difficultés que le clinicien ne rencontre pas lorsqu'il s'agit de l'
urine
. On peut se pro-curer l'urine presque à volonté,
ne rencontre pas lorsqu'il s'agit de l'urine. On peut se pro-curer l'
urine
presque à volonté, pendant la vie des malades ; l
ù le sang en contient 3 sur 1000; pour que le sucre apparaisse dans l'
urine
, il faut qu'il y en ait dans le sang 4 sur 1000 (
it les importantes ob-servations de Frericbs sur les altérations de l'
urine
dans l'atrophie jaune aiguë du foie, qu'on s'est
Prévost et Dumas (1). « Tous les chimistes savent, disent-ils, que l'
urine
des malades affligés d'hépatite chronique, contie
urcroy et Vauquelin avaient déjà annoncé (1806) que, dans l'ictère, l'
urine
peut contenir une forte pro-portion d'urée. (1)
a écrit, mais sans preuves bien régulières, que l'urée diminue dans l'
urine
des malades atteints d'hépatite chronique [Rose,
ves, parce qu'ils ont opéré sur de simples échantil-lons et non sur l'
urine
des 24 heures. Aujourd'hui, nous possédons à ce
rvation qui a été prise dans le service de M. Bucquoy, l'analyse de l'
urine
a été faite par M. Byasson. Le chiffre de l'urée,
inution des sulfates et des phosphates, et par l'apparition, dans les
urines
concentrées, de la leucine et delà tyrosine en fo
ases of Liver, p. 231. Fig, 17. — Tyrosine. Fig. 18. — Leucine. l'
urine
recueillie durant la vie et se retrouver cependan
ichs, ainsi queje viens de le relever, semble consi-dérer l'état de l'
urine
qui vient d'être indiqué, comme parti-culièrement
é en même temps que la leucine et la tyrosine apparaissaient dans les
urines
. On retrouva après la mort ces mêmes substances,
ions hépatiques dans lesquels l'urée diminue tem-porairement dans les
urines
en même temps que la leucine et la tyrosine y app
'on l'a cherchée, la présence de la leucine et de latyrosine dans les
urines
. Comment interpréter ce fait? En me fondant sur
ucine et la tyrosine, lesquelles passent en dernière analyse dans les
urines
. Cette intéressante observation n'est pas isolé
Goutte consécutive aux lésions du foie. — De l'acide urique dans les
urines
. — Gravelle urique. Du glycogène et de la fonct
s profonde, soit aisément démontrable. La présence fréquente dans les
urines
de sédiments d'acide uri-que cristallisé ou d'ura
d'urates amorphes, ou d'un dépôt d'acide urique cristallin, dans les
urines
, peu de temps après l'émission, ne saurait prouve
ue l'excrétion de cet acide est augmentée d'une ma-nière absolue. Des
urines
chargées de semblables dépôts peu-vent, en réalit
sous du taux normal. L'oligurie fébrile, un haut degré d'aci-dité des
urines
, tel qu'on le rencontre, par exemple, dans cer-ta
arles travaux de Bence Jones et ceux plus récents de Bartels, que des
urines
qui ont conservé leur transparence, même longtemp
. Par conséquent, une analyse méthodique portant sur la otalité des
urines
, rendues dans les vingt-quatre heures, permettr
ujets non goutteux, qui rendaient habituellement, en même temps que l'
urine
, des petits cristaux ou des concré-tions plus ou
veloppe au sein même des voies urinaires, une fermentation acide de l'
urine
analogue à celle que subit ce liquide, dans les c
ipitation de la presque totalité de l'acide uri-que contenue dans les
urines
. Quoi qu'il en soit, on ne saurait nier que la
ait jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire ; les
urines
ne renfermaient pas trace d'albumine. Il faut san
aires, traduites par J. Patron. Paris, 1845, p. 251, 278. —Parkes, On
urine
. London 1860, p. 218. —Ranke, Ausscheidung der Ha
glycose dans la veine jugulaire d'un animal, le sucre passe dans les
urines
. Si, au contraire, le sucre est injecté par la ve
la veine porte, il est arrêté par le foie et n'apparaît pas dans les
urines
. Ces expériences ont été ré-cemment répétées et c
ls le sucre en proportion notable apparaissait régulièrement dans les
urines
pendant la période de digestion des féculents, re
Cette dernière substance, qui existe en très faible proportion dans l'
urine
, concourt cependant pour la plus grande part, à l
a ligature du cholédoque de déterminer l'apparition du sucre dans les
urines
(1). Par suite de la persistance de l'obstacle
Hardy avait, pendant la vie, rencontré ces mêmes substances dans les
urines
. Une observation de M. Hayem, présentée récemme
e qui se compliquent de fièvre hépatique. — Rôle des altérations de l'
urine
et de celles de la bile. Messieurs, Je vais c
ce qui a lieu dans l'accès de fièvre légitime — et la présence dans l'
urine
de la leucine et de la tyrosine. Je ferai remarqu
des voies urinaires capable d'apporter un obstacle à l'émission de l'
urine
: rétrécissement uréthral, hypertrophie de la pro
ultant d'une lésion de la moelle épinière, etc., et chez lesquels les
urines
sont sou-vent altérées. L'accès fébrile, qui, e
uréthral, de l'hypertrophie prostatique, de la paralysie vésicale, l'
urine
n'est évacuée que d'une façon incomplète; elle es
pelle l'angiocholite et dont les produits sont incessamment mêlés à l'
urine
. Celle-ci est toujours alcaline, d'odeur ammoniac
line, d'odeur ammoniacale, fétide et, en somme, cette altération de l'
urine
paraît être dans l'espèce, un élément constant.
cieux. L'introduction delà sonde dans la vessie don-nait issue à de l'
urine
fétide, ammoniacale. comme un des éléments de l
raient en conséquence d'une sorte d'infection locale, au contact de l'
urine
altérée qui stagne dans toute l'étendue des voies
est-il, pour en revenir à la fièvre uréthrale, que l'altération de l'
urine
paraît ici, comme l'altération de la bile dans le
atteints de fièvre uro-septique. En quoi consiste l'altération de l'
urine
, cause des accidents fébriles? On ne le sait pas
On ne le sait pas au juste, mais très certainement, la fétidité de l'
urine
n'est pas, tant s'en faut, toujours accom-pagnée
e que, dans des circonstances qui restent à déterminer, il y a dans l'
urine
altérée formation d'un poison morbide particu-lie
ns directe-ment aux troubles de ces fonctions, c'est l'altération des
urines
qui sont très chargées de matières colorantes et
qui concerne les urates, d'un simple phé-nomène de concentration des
urines
? on l'ignore. Je ne crois pas que le dosage ait é
rois pas que le dosage ait été régulièrement établi par l'analyse des
urines
recueillies pendant 24 heures. Relativement à la
éphrite albumineuse, par la seule constatation de l'albumine dans les
urines
. En effet, toutes les fois qu'il y a ascite, ains
s veines rénales peut avoir pour conséquence de faire passer dans les
urines
une certaine quantité d'albumine qui disparaît lo
fet, quand on lie un uretère, de manière à produire la rétention de l'
urine
dans le rein, il se produit un œdème rénal; le li
ndigo, par exemple, dans les espaces lym-phatiques, très rapidement l'
urine
devient bleue. Or, on ne saurait admettre, quant
ont être utilisées par la suite. Les produits dits spécifiques de l'
urine
, tels que l'urée et l'acide urique, préexistent d
ant Ludwig, le glomérule serait la pièce la plus impor-tante; toute l'
urine
serait là, sécrétée avec les principes es-sentiel
nimal une solution très peu concentrée de sulfate d'indigo sodique, l'
urine
et le rein ne tarderont pas à présenter une color
nabsonderung.iPflïi-ger's An-hiv, 9 Bd. p. 1 1874. éliminée par les
urines
. Or, remarquez qu'il y a la plus grande analogie
à l'égard de l'urée ou de l'acide urique, principes spécifiques de l'
urine
. Cette analogie est le fil conducteur qui a dir
eiden-hain dans ses recherches. Dans la sécrétion du bleu d'indigo, l'
urine
n'est pas seule colorée ; les différentes parties
rai, comme l'assure Ludwig, que la sécrétion des divers éléments de l'
urine
(eau et principes spécifiques), se fit en même te
permettent de supprimer ainsi la sécrétion des parties aqueuses de l'
urine
: l'un d'eux consiste à dimi-nuer la pression art
on observe : il n'arrive pas dans la vessie la plus petite quantité d'
urine
, mais la matière colorante passe cependant dans
s descendantes ou grêles, dans les canaux collecteurs et enfin dans l'
urine
. C'est ce qui fait que, à un moment donné qui sui
animal, toute la matière colorante entraînée par l'eau passant dans l'
urine
. Les autres expériences de M. Heidenhain ne son
tiquer la ligature de l'uretère. Au bout d'un jour, la sécrétion de l'
urine
est complètement suppri-mée ; si alors on injecte
colorante est indé-pendante delà sécrétion de la partie aqueuse de l'
urine
, où tout au moins que la matière colorante n'entr
conséquence, avoir d'autre rôle que de fournir la partie aqueuse de l'
urine
. La sécrétion des principes spécifiques de l'ur
tie aqueuse de l'urine. La sécrétion des principes spécifiques de l'
urine
s'opère-t-elle exactement de la même façon que l'
e parcours à tra-vers les canalicules urinifôres, en même temps que l'
urine
sé-crétée subissait une concentration progressive
rappellent ce qui s'observe à l'état normal chez les oiseaux, dont l'
urine
solide est, vous le savez, composée en grande par
agéré l'importance que peut avoir la présence de ces cylindres dans l'
urine
. — Étude de ces cylindres dans le rein, à l'aide
; — dans les tubes contournés. Étude des cylindres urinaires dans l'
urine
. — Variétés de forme et de volume. — Variétés sui
us ou moins complètement oblitérés par des produits sécrétés avec l'
urine
, ou qui se sont mêlés à ce liquide dans son parco
hent, en général, aujourd'hui à la recherche de ces cylin-dres dans l'
urine
: on suppose que, comme ils proviennent des profo
-même, à l'aide des procé-dés anatomiques ; B. Pendant la \ie, dans l'
urine
. A. L'étude des cylindres dans le rein permet d
nt les seuls qui puissent, suivant toute vraisemblance, passer dans l'
urine
, à cause du petit calibre de l'anse descendante.
onséquent, on ne doit pas s'at-tendre à les rencontrer souvent dans l'
urine
. Cette remarque est fort importante et elle enlèv
impor-terait le plus de constater la présence ne passent guère dans l'
urine
. B. Nous devons actuellement, Messieurs, étudie
s, étudier les cylindres urinaires tels qu'ils se présentent dans les
urines
, pendant la vie ; on en reconnaît facilement plus
; la présence de ces cylindres, constatée pendant long-temps dans les
urines
, aurait, d'après Dickinson, une certaine importan
ins altérées, et provenant des tubes urinifères. Leur présence dans l'
urine
est un fait banal dans certaines maladies aiguës,
s tubes contournés ne peuvent probablement que rarement passer dans l'
urine
. 2° Les cylindres hyalins peuvent se rencontrer
° Les cylindres hyalins peuvent se rencontrer à l'état nor-mal dans l'
urine
: indiqué déjà par M. Robin en 1855, ce fait a ét
ment dans les cas d'ictère intense s'accompagnant d'élimination par l'
urine
des acides biliaires, quelle que fût d'ailleurs l
n des acides biliaires sur le sang ; car Leyden les a observés dans l'
urine
des animaux dans le sang desquels il avait in-jec
persistance ; constatés pendant longtemps et en grand nombre dans les
urines
, ils indiquent en général une lésion rénale confi
squ'on les retrouve pendant un certain temps à chaque examen dans une
urine
abondante et peu albumineuse, ils annoncent sui-v
de Bright peuvent exister sans que l'on trouve de cylindres dans les
urines
; ils sont formés dans le rein, mais sont retenus
observé par M. Àckermann (Centralblatt, 1872, p. 602) : l'examen des
urines
, pendant plusieurs mois, m'avait à aucun moment r
arque, hydropisies dans les parenchymes et les cavités séreuses. — b)
Urines
plutôt ra-res, souvent troubles, colorées, chargé
s plus de lamoi-tié des cas; souvent il est à peine appréciable. — b)
Urines
abondantes, au moins dans la première période ; q
l'albuminurie est peu marquée, et peut faire passagèrement défaut ; l'
urine
contient peu de cylindres. A une époqueavancée ce
te s'il existait, et l'albumine peut se montrer plus abondante dans l'
urine
. — c) Complications assez fréquentes, elles const
e l'évolution, par la rareté de l'œdème, par certains caractères de l'
urine
. Les malades présentent souvent une teinte cachec
ujet goutteux, rendant depuis plusieurs années de l'albumine dans ses
urines
, sans avoir jamais eud'œdèrne, et qui aura succom
n contracté (Néphrite insterstilielle). Sommaire. — Caractères de l'
urine
: — polyurie, expliquée par l'excès de ten-sion.
qu'on pourrait appeler période d'état, non seulement la quantité des
urines
n'est pas diminuée, mais encore elle s'élève habi
ppante avec ce qu'on observe dans la néphrite parenchymateuse, où les
urines
sont toujours plus ou moins rares. Diokinson a ob
uire tout comme dans le gros rein blanc. 2° Un second caractère des
urines
, dans la néphrite inters-titielle primitive, c'es
le est la raison physiologique de la présence de l'albu-mine dans les
urines
dans les cas de néphrite interstitielle, et pourq
-lation de la maladie, et c'est à l'occasion de ces accidents que les
urines
sont examinées pour la première fois. B. — Les
s et s'est hypertrophié ; par suite, l'eau se trouve excrétée par les
urines
en quantité anormale, et entraîne avec elle une q
lquefois déterminer la production de l'urémie ; Bartels a examiné les
urines
chez des sujets atteints de néphrite inters-titie
e l'acide urique peut être déjà consi-dérablement limitée. Ainsi, les
urines
claires et abondantes que rendent, en 24 heures,
s remarqué que certaines substances odorantes ns passent pas dans les
urines
chez les sujets atteints de néphrite interstitiel
sujet goutteux qui prenait des préparations de térébenthine et dont l'
urine
ne présentait nullement l'odeur de violette ; des
actères cliniques: — Mode de début et circonstances étiologiques. —
Urines
rares, très albumineuses; — hydropsies: cahexie;
ne. On Dropsies connected with supprrssed perspiration and coagulable
urine
. London, 1835. ses ; les poumons étaient œdémal
ranulations graisseuses deviennent libres ; les unes passent dans les
urines
; les autres sont résorbées, et c'est en pareille
main il présente une anasarque considérable, une fièvre intense ; les
urines
sont rares et sombres, fortement albumineuses. Le
maladie, les symptômes sont tou-jours à peu près les mômes. 1° Les
urines
sont rares et dans la période aiguë quelque-ois t
s Anglais, la vessie irritable, mais, si l'on mesure la quan-tité des
urines
rendues dans un temps donné, on constate qu'elle
un temps donné, on constate qu'elle est très faible. Celte rareté des
urines
est d'ailleurs expliquée : par l'hydropisie, qui
certains malades perdent dans les 24 heures. 15 à20gr. d'albumine; l'
urine
en contient donc alors 3 0/0, c'est-à-dire une pr
des vésicatoires. 2° Après les caractères fournis par l'examen des
urines
. Xhydropisic est le phénomène le plus saillant ;
lesquels il reste toujours une certaine quantité d'albu-mine dans les
urines
, amendements qui pourtant ne sont que temporaires
s dans le reste de l'échelle zoologiquc. Caractères essentiels de l'
urine
en tant que produit de sécrétion : Proportion de
cle apporté au cours du sang dans la veine rénale. Nous verrons que l'
urine
rare, qui s'écoule en pareil cas, subit d'aille
libre. Par la canule, le sang s'écoule avec une certaine vi-tesse. L'
urine
elle, — et c'est cette fois vraiment de l'urine —
certaine vi-tesse. L'urine elle, — et c'est cette fois vraiment de l'
urine
— s'écoule goutte h goutte et continuellement com
valant à 35 millimètres de mercure vient à être opposée au cours de l'
urine
, on voit la circulation se ralentir très manifest
rein Fig, 38. — Disposition schématique de Vappareil sécréteur de l'
urine
chez la couleuvre (d'après Bowmann). — A, artère
en premier lieu le produit de la sécrétion rénale ou, autrementdit, l'
urine
. Sans entrer dans un exposé de détails que vous a
s'il en est ainsi, Messieurs, pour deux des éléments spécifiques de l'
urine
, urée et acide urique, il n'en est pas de même, c
L'acide hip-putique appartient, vous le savez, plus spécialement à l'
urine
des herbivores. Il n'existe qu'en faible proporti
à l'urine des herbivores. Il n'existe qu'en faible proportion dans l'
urine
de l'homme où son taux, chez l'adulte, ne s'élève
, l'acide benzoïque, par exemple. Quoiqu'il en soit, cet élément de l'
urine
n'offre pas pour nous, quant à présent, d'intérêt
pas dans le sang, même chez les herbivores où il se rencontre dans l'
urine
en si grande abondance. Il ne s'y trouve pas même
le répèle, à ce qui a lieu pour les autres principes spécifiques de l'
urine
, urée et acide urique, le rein doit être considér
'eau, cet élément qui joue un si grand rôle dans la constitution de l'
urine
. Enfin, pour ce qui est des canalicules contour
érer la sélection et la concentration des princi-pes spécifiques de l'
urine
, urée et acide urique ; c'est là sans doute que s
Identité des albumines du sang et des albumines contenues dans les
urines
— Fibrionogène, serine et globuline. — Différen
e est l'albumine de l'albuminurie. — Existence de la globuline dans l'
urine
— Des peptones dans l'albuminurie et de l'albumin
'abumine du sérum, cette substance qui, lors-qu'elle se trouve dans l'
urine
, constitue le phénomène pré-dominant de la séméio
de Ludwig que vous connaissez et qui fait résider la fillra-tion de l'
urine
dans un simple phénomène physique de trans-sudati
i glomérulaire que passent les sels du plasma, qui se trouvent dans l'
urine
ainsi que le glycose. Pour ce qui est des sels,
mamifère une solution un peu con-centrée de sucre dans les veines, l'
urine
devient sucrée. Les résultats de la même expérien
e participation du laby-rinthe. a) La présence de l'albumine dans l'
urine
, en quelque pro-portion que ce soit (j'entends pa
'albumine qui vient du rein et non pas de celle qui se mélange avec l'
urine
dans son trajet à travers les bassinets et la ves
rtion plus ou moins considérable d'albu-mine peut apparaître dans les
urines
. C'est lorsque, dans un but de recherche, on ingè
on d'albumine du sang. Dans ces cas, l'albumine qu'on retrouve dans l'
urine
s'y présente avec les caractères de l'albumine
aractères distinctifs des diverses variétés d'albumine du sang et des
urines
, tant au point de vue physique qu'au point de vue
on sait y distinguer se retrouvent avec les mêmes caractères dans les
urines
, de telle sorte qu'on peut établir comme un fait
e, que les diverses espèces d'albumines du sang peuvent passer dans l'
urine
sans y subir de modifications. C'est seulement ap
ux espèces d'albumine se retrouvent, lorsqu'elles font partie d'une
urine
albuminu-rique. c) Un mot maintenant sur la glo
ans lesquelles on peut reconnaître la présence de l'albumine dans les
urines
; et, à ce propos, faisant allusion à l'albuminur
qu'on distingue dans le sérum du sang et celles qu'on trouve dans les
urines
des albuminu-riques. La conclusion qui est résult
iétés d'albu-mine que l'analyse chimique est parvenue à isoler dans l'
urine
des albuminuriques ordinaires, se retrouvent avec
ent rares, toutes les albumines dont on constate la présence dans les
urines
, et qui nécessairement proviennent du sang, ne so
e la sécrétion des diverses variétés d'albumine qu'on trouve dans les
urines
? D'après les travaux les plus récents, c'est, ai
lement étrangère d'ailleurs à la constitution du sang, passe dans les
urines
quand on l'ingère en assez grande quantité ou qu'
reil cas, l'albumine de l'œuf peut être recon-nue pour telle dans les
urines
, parce qu'elle y conserve les caractères physico-
quantité d'une solution de blanc d'œuf, cette solution passe dans les
urines
, ainsi que cela a lieu chez les mammifères. Mais,
des peptonesqui, elles aussi, suivant M. Nuss-baum, passent dans les
urines
à l'état normal chez la gre-nouille et sont sécré
du blanc d'œuf, mais bien de l'albumine même du sang passant dans les
urines
, c'est-à-dire, qu'en pareil cas, on est en présen
trois quarts d'heure après l'ablation de la ligature. Or, la première
urine
qui passe est rare et albumineuse. D'autre part,
naturellement dans la \res-sie. Tant que la ligature subsiste, cette
urine
ne contient pas d'albumine. Mais, si l'on enlève
re, pendant les quatre ou cinq heures qui suivent cette ablation, les
urines
contiendront, en outre de l'urée, de l'albumine.
e s'élève, du moins relativement, dans le système veineux. Alors, les
urines
sont rares, foncées en couleur, d'un poids spécif
ortion d'albumine. Mais, le fait important dans l'espèce, c'est que l'
urine
des vingt-quatre heures étant recueillie, on trou
s de son développement, et alors que, depuis longtemps cependant, les
urines
sont albumineuses, les cellules de l'épithélium l
g, y compris l'albumine. Mais cette albumine ne passe jamais dans les
urines
. Elle est reprise, chemin faisant, dans son traje
n conséquence, que ce produit doit nécessairement apparaître dans les
urines
. Cela est ingénieux, mais cela est contredit par
savez, d'une inflammation suraiguë.) et l'albumine, qui passe dansles
urines
, y est accompagnée d'élé-ments (leucocytes et hém
uées par les auteurs pour expliquer le passage de l'albumine dans les
urines
albu-minuriques peuvent être ramenées, quelque no
g des animaux une certaine quantité d'eau, et, presque à coup sûr les
urines
de ces animaux devenaient albumineuses. Le fait e
e fait est exact, mais il avait reçu une interprétation vicieuse. Les
urines
albuminuriques de ces animaux sont teintées en ro
après dissolution des globules rouges, passer très aisément dans les
urines
. Lorsque pareille chose a lieu, ce n'est pas de l
it Vogel, ou mieux de l'hémoglobinurie, comme on dit aujourd'hui. Ces
urines
sont colorées de diverses façons, tantôt en rouge
ution, jamais, d'après les expériences de Stokwis et de Westphal, les
urines
ne contiennent ni albumine ni hémoglobine. Il est
e Mialhe pour établir les caractères différentiels de l'albumine de l'
urine
et de l'al-bumine du sang. — Recherches de Becque
mples chimiques propres à démontrer la réalité de cette influ-ence. —
Urines
cardiaques. Messieurs, Ainsi que je l'ai dit
uées par les auteurs pour expliquer le passage de l'albumine dans les
urines
peuvent, quelque nom-breuses qu'elles soient, êtr
ours ici de conditions expérimentales, — l'albumine ne passe dans les
urines
que si la quantité d'eau introduite dans le sang
globine. Cette hémoglobine se mêle au sérum, et de là, passe dans les
urines
. C'est là un exemple de ce qu'on appelle l'hé-mog
il existe un rapport frappant entre les réations de l'albumine de l'
urine
et celles de l'albumine du sérum, chez les album
-ils affirmer l'identité de l'albu-mine du sérum et de l'albumine des
urines
albuminuriques, au moins en ce qui concerne leurs
in-sisté sur les caractères qui permeitent d'assimiler l'albumine des
urines
albuminuriques à la serine normale, et de la dis-
l'aide de ce procédé que M. Stokvis a examiné un très grand nombre d'
urines
albumineuses de diverses provenances et qu'il a r
provenances et qu'il a reconnu que, sans exception, l'albumine de ces
urines
offre identiquement les mêmes caractères que la s
u fonctionnelle, est tout à fait hypothétique, puisque l'albumine des
urines
, en pareille circonstance, ne diffère en rien de
établi ce premier fait; il faut démontrer en outre que l'albumine des
urines
albuminuriques jouit des mêmes propriétés physiol
en albuminurique en lui injectant du blanc d'oeuf clans les veines. L'
urine
de ce chien est injectée à un autre chien qui, à
qui, à son tour, devient albuminurique ; et l'albumine que contient l'
urine
de celui-ci présente toujours les caractères de l
umine du sérum, lorsqu'on l'injecte dans le sang, ne passe pas dans l'
urine
. Stokvis en conclut que, par ses caractères physi
bumine du blanc d'œuf. On comprend maintenant que si l'albumine des
urines
et celle du sang chez les albuminuriques étaient,
i, injectées dans le sang des animaux, elle devraient passer dans les
urines
. Voici les expériences instituées à ce sujet pa
qui avait été préala-blement rendu albuminurique par une injection d'
urine
pro-venant d'un autre chien auquel on avait trans
chez ce chien, l'albumine rendue par le malade ne passe pas dans les
urines
. En second lieu, de l'albumine du sang provenan
es, des albumi-nuries dites anormales, en ce sens que l'albumine de l'
urine
y diffère notablement, au moins par ses caractère
it, par exemple, que, chez les sujets atteints du mal de Brigïit, les
urines
rendues après les repas sont plus riches en album
entreprises à ce sujet par M. Lépine ont démontré que l'albumine de l'
urine
de la digestion, chez les albuminuriques, présent
ésente en effet des caractères spéciaux : 1° Elle diffuse mieux que l'
urine
du jeûne ; 2° soumise, paral-lèlement à cette der
s vite en peptone. Ainsi, non seulement, chez les albuminuriques, l'
urine
de la digestion est plus riche en albumine, mais
eur Semmola, à la tlléorie hématogène. On pourrait citer encore les
urines
albuminuriques des sujets atteints d'une maladie
après Gerhardt, sous le nom albuminurie latente, c'est-à-dire que les
urines
contiennent une albumine qui ne précipite ni par
, s'est transformée en pep-tones, lesquelles passent ensuite dans les
urines
. On pourrait encore citer quelques autres exemp
re que celle-ci, est une condition de pas-sage de l'albumine dans les
urines
. III. En premier lieu, il importe de faire re
rieur du glomérule. En effet, dès que la circulation se rétablit, les
urines
sont rares etalbu-mineuses. Le résultat est peu
nt toute l'expérience. Or, si le rétrécissement est considérable, l'
urine
cesse de couler ; si on le diminue, l'urine appar
ement est considérable, l'urine cesse de couler ; si on le diminue, l'
urine
apparaît, mais rare et albumineuse. Nous verrons
sultat. a) Si la ligature de la veine est complète et permanente, l'
urine
, d'abord supprimée, devient rare et albumineuse a
et reste telle. b) S'il y a simple rétrécissement de la x^eine, les
urines
ne sont pas supprimées; il y a dès l'origine une
rénales ou de la veine cave. On sait qu'en pareille circonstance, les
urines
sont albumi-neuses. Malheureusement, les autres c
ons n'ont pas été jusqu'ici étudiées suffisamment et on ignore si les
urines
sont rares en même temps qu'albumineu-ses. 3° C
s des reins 28 sion s'exagère. Or, l'albuminurie fait défaut el les
urines
sonL abondantes. h) Ce qui s'observe dans la né
ombe rapidement de 137 m. m. de mercure à 22 m,m., et, peu après, les
urines
deviennent rares et albumineuses. On peut admet
diaques avec asysfolie, c'est-à-dire dans le cas où appa-raissent ces
urines
roses et albumineuses qu'on appelle urines cardia
e cas où appa-raissent ces urines roses et albumineuses qu'on appelle
urines
cardiaques et dont je vous parlais dans notre der
rnière réunion. La clinique montre, qu'en pareil cas, la quantité des
urines
et le taux de l'albumine sont en proportion inver
es urines et le taux de l'albumine sont en proportion inverse. Plus l'
urine
est rare, plus l'albumine y est abondante. D'un a
nution de la pres-sion artérielle. Plus la pression diminue, plus les
urines
sont rares et albumineuses, et inversement. Or,
uable que, dans l'abuminurie liée aux troubles de la circulation, les
urines
sont rares en même temps qu'elles sont albumineus
élé-ment suffisant pour déterminer le passage de l'albumine dans les
urines
. Ainsi, dans l'expérience de Gull, où il s'agit d
r + V, condition incompatible avec le passage de l'albu-mine dans les
urines
, l'albuminurie devra faire défaut. Ainsi sont les
ellement très élevée dans le système artériel et, en conséquence, les
urines
sont abondantes. Mais, en outre, elles sont album
et, en même temps, une certaine proportion d'albumine qui se mêle à l'
urine
; 3° Enfin des glomérules complètement atrophié
reprend à plusieurs reprises à des intervalles variés. Les premières
urines
, à la suite de cette expérience, sont rares et al
t des organes, dans le rein en particulier. Sous cette influence, les
urines
deviennent rares et albmineuses. Si, au contraire
tion appropriée la pression se relève, on voit dans le même temps les
urines
redevenir abondantes et ces-ser d'être albumineus
fois à s'abaisser, l'albumine reparaît à nouveau et simultanément les
urines
redeviennent rares. Cette sorte de parallélisme
é, de l'autre côté l'oligurie et l'appa-rition de l'albumine dans les
urines
est un fait de connais-sance vulgaire, relevé dan
ervation de Rosenstein). Au début de l'observation, la totalité des
urines
en 24 heures est représentée par 1000 à 1200 et i
Peu après surviennent les symptômes de l'asystolie. Le 29 décembre, l'
urine
rendue n'est plus que de 800 grammes, et l'albumi
e 23, même chiffre, même propor-tion d'albumine. Le 25, la quantité d'
urine
s'étant élevée à 900 grammes, la proportion d'alb
umine est en proportion moindre. Enfin, le 1er janvier, la quantité d'
urine
ayant atteint le chiffre de 13, 000 grammes, l'al
marquer, Messieurs, que dans les cas d'af-fections cardiaques, où les
urines
présentent les caractères que je viens d'indiquer
même de l'attaque ou au milieu du stade asphyxique, on recueille les
urines
, à l'aide du cathétérisme, celles-ci sont trouvée
réaction, alors que la cyanose cesse, et que le pouls se relève, les
urines
contiennent encore de l'albumine, mais dans une p
ique, car, suivant cette théorie, la pré-sence de l'albumine dans les
urines
relèverait en toutes cir-constance, ou peu s'en f
, disent Becquerel et Vernois, que la présence de l'albumine dans les
urines
ne peut être attri-_ buée au mélange soit du sang
ar on pourrait citer nombre de cas où l'albumine se présente dans les
urines
sans qu'il y ait lésion appréciable des épithé-li
de la néphrite interstitielle chronique primitive, dans laquelle les
urines
contiennent fort peu d'al-bumine et par moment pa
Goutte consécutive aux lésions du foie. — De l'acide urique dans les
urines
. — Gravelle urique. Du glycogène et de la fonct
e qui se compliquent de fièvre hépatique. — Rôle des altérations de l'
urine
et de celles de la bile. 192 DIX-NEU VIÈME LE Ç
agéré l'importance que peut avoir la présence de ces cylindres dans l'
urine
. — Étude de ces cylindres dans le rein, à l'aide
; — dans les tubes contournés. Étude des cylindres urinaires dans l'
urine
. — Variétés de forme et de volume. — Variétés sui
in contracté (Néphrite interstitielle). Sommaire. — Caractères de l'
urine
: — polyurie, expliquée par l'excès de ten-sion.
ractères cliniques : — Mode de début et circonstances étiologiques. —
Urines
rares, très albumineuses ;— hydropisics; cahexie;
s dans le reste do l'échelle zoologique. Caractères essentiels de l'
urine
en tant que produit de sécrétion : Proportion de
Identité dos albumines du sang et des albumines contenues dans les
urines
— Fibrionogène, serine ot globuline. — Différence
est l'albumine de l'albuminurie. — Existence do la globu-line dans l'
urine
. -—? Des peptones dans l'albuminurie et de l'albu
e Mialhc pour établir les caractères différentiels de l'albumine de l'
urine
et de l'al-bumine du sang. — Recherches de Becque
mples chimiques propres à démontrer la réalité de cette influ-ence. —
Urines
cardiaques.......................................
a leuse. 360. — Mécanisme des accidents, 238. Uricémie, 111, 115.
Urine
(Sécrétion de 1' —i,303, 307 — Théorie de Ludwige
l'étouffé, s'accompagnent parfois d'une émission involontaire des
urines
; elles la fatiguent plus que les accès et lui don
es deux côtés; T. V. 1.1 ? Par la sonde, on retire environ 30 gr. d'
urine
qui ne contient pas d'albumine. De 6 heures à 6
en plus diffi- cilement ;- les garde-robes étaient supprimées; les
urines
involontaires. Les membres étaient dans la réso
métrique de Margueritte pour le dosage du fer, par exemple dans les
urines
qui contiennent de si faibles quantités de ce m
5 à 13 ans, crises légères et rares. Pas d'incontinence nocturne d'
urine
. Elle fut réglée facilement en juillet 1870. En
t de l'accès, P. 132; à la fin, P. 92. S.... n'écume pas, mais elle
urine
assez souvent sous elle. Le poids est, en génér
t entravé cette tendance. Observation IV. - Incontinence nocturne d'
urine
. Epi- lepsie consécutive à une émotion vive. ?
axis. Enfin, elle aurait été affectée d'une incontinence nocturne d'
urine
jusqu'au début de l'épi- lepsie. , Celle-ci s
auche (autrefuis la morsure portait sur le bord droit), elle écume,
urine
sous elle. A la suite de l'accès, et pendant to
rait primitivement modifiée. Outre que sa quantité serait accrue, l'
urine
con- tiendrait une proportion considérable de s
ion des vaisseaux hépatiques. Déjà, nous avions souvent examiné les
urines
rendues par les malades, dans le but de savoir
M. P. Regnard, très- versé dans l'étude de la chimie médicale. Les
urines
excrétées dans les 24 heures, recueillies sépar
vingtaine de minutes, des chats gris ( ? ) et des étin- celles. Les
urines
expulsées quinze minutes "et deux heures àprés~
des oreilles et du cou, est très-prononcée chez cette malade. Les
urines
, rendues une demi-heure et trente heures (1) aprè
une 11 lie, les attaques sont souvent suivies d'une réten- tion d :
urine
et cette rétention ne se montre qu'après une prem
eures, D... n'a pas uriné sous elle. - Première miction à 3 heures,
urines
jaunes, un peu troubles.^- Seconde miction à 6
res, urines jaunes, un peu troubles.^- Seconde miction à 6 heures :
urines
plus claires. - Pas de sucre (Liqueur de Barres
ions : T. V. 37°,8. Un quart d'heure plus lard : T. V. 33°,1. - Les
urines
recueillies une heure, sept heures et 24 heures
reuses qui la forcent à faire des grimaces. Chez cette malade les
urines
rendues après l'inhalation de nitrite d'amyle o
vier. Attaque. Nitrite d'amyle. Mêmes phénomènes.- Une heure après,
urine
de couleur jaune orange. 4 heures après, urines
- Une heure après, urine de couleur jaune orange. 4 heures après,
urines
presque incolores : Pas de sucre. 19 février, 2
nutes, d'un délire d'abord religieux, puis érotique. L'examen des
urines
recueillies durant les 24 heures qui ont succédée
avec le réactif de Mulder. Le mélange de ce dernier réactif avec l'
urine
donne une coloration bleue. On chauffe; s'il y
ne ; contracture du col de la vessie donnant lieu à une rétention d'
urine
qui exige l'usage de la sonde. - L... ne peut p
ètement, la malade mange seule, la parole re- vient, la rétention d'
urine
fait place à une incontinence qui guérit elle-m
sidérablement ballonné, et il y a, depuis ce matin, une rétention d'
urine
qui oblige à pratiquer le ca- thétérisme. ' 2
évrier. Attaque d'une intensité modérée. 25 février. La rétention d'
urine
a cessé ce matin et est remplacée par une incon
es du soir et 37° à 10 heures. La voix est rauque; l'incontinence d'
urine
persiste. A 7 heures du soir, attaque convulsiv
ts ré- flexes, une vive anxiété et du larmoiement. La rétention d'
urine
persiste. 126 1 ¡YSTÉHO- ÉPILEPSIE, 28 févrie
sopllagÍsme), du larynx (aphonie), du col de la vessie (rétention d'
urine
), des membres (contractures va- riées, erz(cili
ttaques qui se succédèrent pendant deux jours. Consécutivement, les
urines
reparurent, mais il fallut prati- quer le cathé
re 1868, Etch... fit son service, tout en conservant sa rétention d'
urine
. La sé- crétion urinaire, en tant que quantité,
m. La paralysie du côté gauche persistait, ainsi que la rétention d'
urine
qui nécessitait le cathétérisme trois fois par
nécessitait le cathétérisme trois fois par jour. La quantité des
urines
était normale. Nous avons reconstitué les antéc
s, on n'obtient, par le cathétérisme. qn'une très-faible quantité d'
urine
(à peine 30 grammes en 24 heures). 19 avril.
. Les membres inférieurs sont contractures et dans l'extension. -
Urines
rares. 25 avril. Attaque qui ne modifie en rien
uent et qu'ils sont suivis avec soin. 29 avril. On retire 100 gr. d'
urine
, tandis qu'on n'avait rien extrait durant les q
issements alimentaires. En huit jours, elle n'a rendu que 300 gr. d'
urine
. Elle ne va à la garde-robe qu'après purgation.
. 5 juillet. L'anurie est la même. Il est certain que la malade n'
urine
pas ou urine à peine. Elle vomit chaque fois qu'e
. L'anurie est la même. Il est certain que la malade n'urine pas ou
urine
à peine. Elle vomit chaque fois qu'elle boit ou
mposées d'un liquide jaunâtre et d'aliments. - Le 30 juin, 15 gr. d'
urine
; le 2 et le 4 juillet, 11 gr.; les autres jours.
le 4 juillet, 11 gr.; les autres jours. rien. 6 juillet. 3 gr. d'
urine
. Le ventre n'est pas ballonné. La pres- sion au
.') septembre. Pour la première fois, on relire, en la sondant, des
urines
mélangées de sang. 10 octobre. Chloroformisatio
eur droit a récupéré quelques mouvements. 16 6 octobre. La malade
urine
spontanément. Elle meut tant bien que mal le br
oeur 1 mon coeur ! » - Rien de nouveau, quant à la paralysie et aux
urines
. 20 octobre. La somnolence a persisté. Interpel
r un' grognement. L'ovaire gauche est toujours très-douloureux. -
Urines
involontaires ; pas de vomissements. 21 octobre
On a sondé la malade heure par heure pour con- naitre la quantité d'
urine
, et on a remarqué que, jusqu'à quatre heures du
rt. - Apparition des règles. 25 octobre. On cesse de recueillir les
urines
. Les règles con- tinuent. -Persistance de la tr
'hystériques, -supposées atteintes d'ischurie, - qui buvaient leurs
urines
, etc. in HYSTLlRO-ÉPILEPSIE. 4 novembre. Le m
parole, phénomènes habituels après ses attaques. - In- continence d'
urine
; pourtant, par la cathétérisme, qui n'esi pas
érisme, qui n'esi pas douloureux, on retire une certaine quantité d'
urine
. 8 décembre. Augmentation des douleurs de la ré
depuis minuit; par la sonde, on n'extrait qu'une petite quantité d'
urine
. - Le soir, attaque convulsive qui a débuté par
il,ies, en l7-2, par notre ami M. Gombault. ISCHURIE. 165 - Les
urines
deviennent de moins en moins abondantes. 24 jan
onservation de la sensi- bilité tactile. - Depuis quatre jours, les
urines
sont beaucoup plus abondantes. J mars. Le mem
s doigts, la malade finit par toucher le but. - , Depuis hier, elle
urine
moins. Les douleurs lombaires, ap- parues au co
barras de la parole et la difficulté de la mastication. - Hier, les
urines
ont été supprimées. 18 mars. Nausées puis vom
besoin d'uriner. Par la sonde, on ne retire que quelques gouttes d'
urine
. L'ap- pétit est presque nul : les vomissements
lle ne peut avaler. Par instants, le bras droit se contracture. Les
urines
, aujourd'hui, ont été plus abondantes que de co
racles de Lourdes, 1873.) 168 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. de vomissements;
urines
relativement abondantes. L'épaule droite est do
hénomène particu- lier, on a retiré par la sonde près de 2 litres d'
urine
. - Dès le lendemain, la quantité d'urine retomb
a sonde près de 2 litres d'urine. - Dès le lendemain, la quantité d'
urine
retombe à 110 grammes, puis à 95 grammes et osc
s, on ne retire rien par la sonde ou seulement quel- ques gouttes d'
urine
. - Depuis le 1er août jusqu'au 7 sep- CRISES NÉ
presque nulle, la malade rend, en un jour, une certaine quantité d'
urine
. Ainsi, le 27 novembre, on re- lire 300 gr.; pu
e. Le 12 décembre, 1 litre ? i. Du 12 au 31 décembre, la quantité d'
urine
a constamment été au-des- sous'de .30 gr. (En m
as discontinué. Elles sont plus marquées durant les périodes où les
urines
sont très-diminuées. C'est surtout alors qu'ell
insupportable. Quelques jours avant les évacuations considérables d'
urine
, dont nous avons déjà parlé, les douleurs redou
permanentes, ont reparu hier avec plus d'intensité que jamais. Les
urines
étaient sup- primées depuis vingt-quatre heures
té suivies de l'évacuation, en une heure, de trois litres et demi d'
urine
. Soir. Etch... a encore rendu par la sonde 800
t demi d'urine. Soir. Etch... a encore rendu par la sonde 800 gr. d'
urine
. La crise (attaque avortée) a laissé un grand a
ontanément, sans y parvenir. Par la sonde, elle retire 33 grammes d'
urine
(1). 23 mai. La nuit a été très-calme, quoique
te du rectum.- La miction s'accomplit sans douleur; la quantité des
urines
est normale ou tl'ès-exagé1'ée.- Parfois, doule
elles ont dans toute autre cir- constance (1). c. Une rétention d'
urine
, qui a duré près de dix ans, a constitué le sec
ble avoir eu la malade et surtout la longue durée de la rétention d'
urine
? Nous ne saurions nous prononcer à cet égard.
le-même de nouveaux phénomènes hystériques permanents : rétention d'
urine
, impossibilité de la mastication, dysphagie néc
un seul dosage avait été fait. Il avait démontré la présence dans l'
urine
de 24 heures de 6 grammes d'urée, ce qui n'a ri
la moyenne des vomissements est d'un litre par jour. Deux grammes d'
urine
sont excrétés chaque jour. » En août, les vom
, les vomissements sont encore d'un litre par jour, la moyenne de l'
urine
est de 3 gr. Il survient même uue anurie totale
» En septembre, les vomissements ont pour moyenne un litre 1/2, l'
urine
2 gr. 1/2. ISCHURIE, : 185 » Il y a, on le vo
nt l'a démontré) pour l'excrétion de l'urée. Un jour (10 oct.) où l'
urine
contenait 179 milligrammes d'urée, les vomissem
Pendant un espace de temps (janvier, octobre 1872), la moyenne des
urines
a été de 206 gr., contenant 5 gr. d'urée; la mo
difficile d'obtenir d'un malade qu'il conserve la totalité de ses
urines
. C'est pourtant une condition essentielle au su
rs, et il n'est jamais arrivé qu'on ait trouvé ses draps mouillés d'
urine
. Nous sommes donc certains d'avoir toujours opé
eures, quelquefois en quelques minutes, 2, 3 ou même 4 litres 1/2 d'
urine
, contenant 20, 25, 28 grammes d'urée. L'attaque
ise doulouieuse qui produit la guérison, E... rend 43 gram- mes d'
urine
contenant 1 gr. "986 centigr. d'urée. Quelque t
substances salines sont peu augmentées, tandis que l'excrétion de l'
urine
190 IiYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 1 subit une exagérati
le prépuce et comme la plaie ne se cicatrisait point on analysa les
urines
et on trouva du sucre. Une analyse faite à cette
ite qui mit encore un an à guérir. A la fin de sa cure minérale ses
urines
ne renfermaient plus, dit-il, que 60 grammes de
et ensuite à la Salpêtrière. Etat actuel (juin 1890).- L'examen des
urines
révèle la pré- sence d'une quantité notable de
t, interne en pharmacie du service, -donne les résultats suivants :
urine
de vingt-quatre heures : trois litres, d'aspect
ont pas cessé depuis lors; s'il veut résister au besoin d'uriner, l'
urine
sort toute seule brusquemenl. Parfois il pisse
un ulcère variqueux qu'on ne parvenait pas à guérir. On examina ses
urines
et on y découvrit du sucre. Deux ans après, une a
beaucoup, sans qu'il ait jamais songé à recueillir la totalité des
urines
. Il se levait la nuit cinq à six fois pour piss
et polyurie modérées avec polyphagie etpolydipsiepeu marquées. Les
urines
renferment, d'après un examen fait séance te- n
d'acide urique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L'
urine
est trouble, acide, d'une densité normale, et l
plein tabes confirmé, que la présence du sucre a été notée dans les
urines
(40 grammes par litre) à propos d'un ulcère qui
quentes mais beaucoup moins sévères. Troubles vésicaux, rétention d'
urine
; ne peut uriner qu'à l'aide de la sonde. Déma
rter le pied en avant. Le sucre a été tout le temps constaté dans l'
urine
, examinée une fois par semaine. Cette observati
. Début du diabète. Il s'est aperçu qu'il avait du sucre dans les
urines
en 1888. Mais le début réel du diabète remonte pr
ine d'années. Quoi qu'il en soit, en 1888, un examen méthodique des
urines
fut fait. On trouva 45 grammes de sucre par lit
égime sans médi- action. Deux mois après la polyurie diminuait et l'
urine
ne conte- ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE
sucre n'était plus dosable. La soif avait disparu et la quantité d'
urine
émise était sensiblement normale. Définis cette
En 1889, il eut une bronchopneumonie; on fit examiner et doser ses
urines
et on trouva 3 grammes de sucre par litre. Il se
- En novembre 1889, alors qu'il n'y avait déjà plus de sucre dans l'
urine
, D... fut pris d'engourdissements et de fourmil
urinaires sont une impuissance absolue et une légère incontinence d'
urine
de temps à autre. Comme troubles moteurs, incoo
ucide. Il n'a rien de l'état mental des diabétiques. L'examen des
urines
n'a révélé aucune trace de sucre ni d'albu- min
ssant à souligner. Ne sait-on . ZD pas que le sucre disparaît des
urines
dans le cours d'une affection inflammatoire ? T
ue lorsqu'un diabétique devient fou le sucre disparaît parfois de l'
urine
? Du reste, dans les affections du système nerv
ongtemps. Depuis trois ans on a constaté beau- coup de sucre dans l'
urine
, sans polyurie ni polydipsie, et depuis de long
région abdominale inférieure ainsi que dans la région dorsale. Les
urines
et les selles sont si impérieuses parfois que l
genoux. Anes- thésie de la plante des pieds. Troubles du tact. L'
urine
a une densité de 1,028 et renferme de 10 à 25 gra
ien d'anormal du côté du coeur, du poumon, du tube digestif ou de l'
urine
. On ne trouve ni ovarie, ni zone hystérogène en
ur, les pou- mons sont sains ; pas d'anémie ; pas d'albumine dans l'
urine
. La malade ne peut pas circonscrire le siège de
, on s'est aperçu pour la première fois qu'il laissait échapper ses
urines
dans son lit. Etat actuel. G... est de taille p
deux mois environ, le malade de temps en temps laisse échapper ses
urines
dans son lit; 7° Des accès de céphalées frontal
ré, on constate, à un moment donné, la pré- sence du sucre dans les
urines
. Il s'agit, dans le pre- mier cas, de détermine
qu'ici observés ' i » ; 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention d'
urine
peut survenir accidentellement, dans le diabète
ns les vingt-quatre heures. Le malade de Reumont dont la quantité d'
urine
était normale rendait 6 à 10 grammes de glycose
s le tabes. Ce caractère n'a encore rien d'absolu. La densité des
urines
tabétiques glycosuriques sem- ' Le Gendre. - Tr
est en rapport direct de la quantité de glycose con- tenue dans l'
urine
. Le chiffre de l'azoturie n'a pas plus de valeu
ales. En vérité, les caractères différentiels tirés de l'examen des
urines
n'ont qu'une valeur limitée, surtout si on les
B. Etant donné un tabes authentique, au cours duquel l'examen des
urines
décèle la présence du sucre, dire si cette glyc
194 PATHOLOGIE NERVEUSE. b. Il s'agit d'un tabétique avéré dont les
urines
oontiennent du sucre. Si cette glycosurie s'acc
enoux et des fissures aux talons et aux bords externes des pieds. L'
urine
ne présente rien de particulier. Pas de céphala
é, puisqu'il s'agit de cinq personnes. R. M. C. XXII. NOTES SUR l'
urine
ET la température dans la paralysie générale DE
irer de ses recherches des conclusions générales. ' La quantité d'
urine
émise dans les vingt-quatre heures par les mala
s cette époque éprouvé quelques troubles nerveux, de la rétention d'
urine
, de la dysurie. Mariée à vingt-six ans, grosse au
amétrite anciens à gauche. La suggestion fait cesser la rétention d'
urine
. Appelé sur notre désir pendant une attaque de
rité de la connaissance et de la sensibilité; elle laisse aller ses
urines
et ses matières. Le soir la parole est plus disti
teurs préten- dent avoir trouvé constamment de l'albuminurie dans l'
urine
à la suite des paroxysmes ; d'autres affirment
à la suite d'un grand accès, revenait à elle, on la faisait uriner.
Urine
n° 1. Puis dans les quatre heures consécutives,
ite, on la mettait sur le bassin. On parvenait à recueillir ainsi S
urines
qui étaient examinées séparément. Les cas dans
urines qui étaient examinées séparément. Les cas dans lesquels l'
urine
a été fournie dans ces conditions entrent seuls d
a miction survient au début de l'accès, nous ferons remarquer que l'
urine
rendue alors, est exclusivement proe-paroxystiq
echerche de l'albuminurie a été faite parle procédé clas- sique : l'
urine
est acidulée avec une goutte d'acide acétique;
très faibles. Sans doute il aurait mieux valu neutraliser d'abord l'
urine
puis l'acidifier à l'acide acétique. Nous feron
ous accuser que d'une seule chose ; c'est d'avoir laissé passer des
urines
faiblement albumineuses, la proportion que nous
ons dans cette statistique : a) que les malades chez lesquelles les
urines
ont été recueillies à temps, et en dehors de to
ul accès au maximum un second accès pendant qu'on recueillait les 8
urines
. Nous verrons plus loin les résul- tats obtenus
s plus loin les résul- tats obtenus par l'examen d'une ou plusieurs
urines
recueillies dans d'autres conditions. : Cette
re de tubes d'Es- bac suffisant pour doser l'albumine de toutes nos
urines
, 386 PHYSIOLOGIE pathologique. nous nous somm
S ont présenté une albuminurie intense au moins dans l'une des cinq
urines
: 24 ans, Cib..., 1 accès : . Nuage intense d
nq urines : 24 ans, Cib..., 1 accès : . Nuage intense dans la lre
urine
; Albumine moyenne dans la 2°; Traces dans les
d'intensité moyenne dans 9 cas sur 21 : 24 ans, Gau..., 1 accès, 5
urines
: Nuage moyen dans la 110 urine; Traces dans
21 : 24 ans, Gau..., 1 accès, 5 urines : Nuage moyen dans la 110
urine
; Traces dans les 4 dernières. 45 ans, Barth..
urine; Traces dans les 4 dernières. 45 ans, Barth..., i accès, 5
urines
: Nuage moyen dans la 1" urine; Traces dans l
res. 45 ans, Barth..., i accès, 5 urines : Nuage moyen dans la 1"
urine
; Traces dans les 4 dernières. 37 ans, Bod...,
1" urine; Traces dans les 4 dernières. 37 ans, Bod..., 1 accès, 5
urines
: Albumine moyenne dans la ire urine; Traces
37 ans, Bod..., 1 accès, 5 urines : Albumine moyenne dans la ire
urine
; Traces d'albumine dans la 2" et 3e; Pas d'al
E ET ÉPILEPTIQUE. 3S7 20 ans, Tac..., 1 accès suivi d'excitation, 5
urines
: Albumine moyenne dans la l'° urine; Traces
1 accès suivi d'excitation, 5 urines : Albumine moyenne dans la l'°
urine
; Traces dans la 2°; Pas d'albumine dans les 2
ans, Bern..., 1 accès. A eu un 2° accès pendant qu'on recueillait l'
urine
n° 5 : Albumine moyenne dans la ire urine; Tr
ant qu'on recueillait l'urine n° 5 : Albumine moyenne dans la ire
urine
; Traces dans la 2e et 3°; Pas d'albumine dans
Pas d'albumine dans les 2 dernières. 33 ans, Diet..., 1 accès, 5
urines
: Traces d'albumine dans la 1 ro urine ; Albu
33 ans, Diet..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans la 1 ro
urine
; Albumine moyenne dans la 2°; Pas d'albumine
enne dans la 2°; Pas d'albumine dans les 3 dernières. La première
urine
aurait été recueillie d'après les rensei- gneme
cès. 26 ans, Deman..., 1 accès d'épilepsie : Dans les 3 premières
urines
, nuage moyen d'albumine; Traces dans les 2 dern
lbumine; Traces dans les 2 dernières. 36 ans, Leco..., 1 accès, 5
urines
: Albuminurie moyenne dans les 3 premières urin
co..., 1 accès, 5 urines : Albuminurie moyenne dans les 3 premières
urines
; Traces dans les 2 dernières. 17 ans, Rous...
urines; Traces dans les 2 dernières. 17 ans, Rous..., 1 accès, 5
urines
: Nuage moyen d'albumine dans les 5 urines. C
ans, Rous..., 1 accès, 5 urines : Nuage moyen d'albumine dans les 5
urines
. C. Dans 6 cas, l'albumine était il l'état de t
, l'albumine était il l'état de traces : 49 ans, Vev..., 1 accès, 5
urines
: Traces d'albumine dans les 5 urines. 19 ans
49 ans, Vev..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 5
urines
. 19 ans, Eud..., 1 accès, 5 urines. Un second a
: Traces d'albumine dans les 5 urines. 19 ans, Eud..., 1 accès, 5
urines
. Un second accès pendant qu'on recueillait les
., 1 accès, 5 urines. Un second accès pendant qu'on recueillait les
urines
: 1 Traces d'albumine dans les 2 premières urin
recueillait les urines : 1 Traces d'albumine dans les 2 premières
urines
; Rien dans les 3 dernières. 51 ans, Boul...,
es urines; Rien dans les 3 dernières. 51 ans, Boul..., 1 accès, 5
urines
: Traces d'albumine dans les 3 premières urines
Boul..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 3 premières
urines
; Pas d'albumine dans les 2 dernières. 17 ans,
Pas d'albumine dans les 2 dernières. 17 ans, Vaud..., 1 accès, 5
urines
: Traces d'albumiue dans la Ira urine seulement
17 ans, Vaud..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumiue dans la Ira
urine
seulement. 358 PHYSIOLOGIE pathologique. 23 a
ulement. 358 PHYSIOLOGIE pathologique. 23 ans, Gou..., 1 accès, 5
urines
: : ' - -. ' Traces d'albumine dans la 1"° urin
ou..., 1 accès, 5 urines : : ' - -. ' Traces d'albumine dans la 1"°
urine
seulement. 14 ans, Viol..., 1 accès, 5 urines :
d'albumine dans la 1"° urine seulement. 14 ans, Viol..., 1 accès, 5
urines
: C~ Traces d'albumine dans les 5 urines. Les
4 ans, Viol..., 1 accès, 5 urines : C~ Traces d'albumine dans les 5
urines
. Les malades n'ayant pas présenté d'albumine da
s 5 urines. Les malades n'ayant pas présenté d'albumine dans leur
urine
sont t albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET épilept
urine sont t albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET épileptique. 3M 9
Urines
albumineuses : Cir..., 4 examens; Dur..., 2 exame
euses : Cir..., 4 examens; Dur..., 2 examens; Dict..., 2 examens.
Urines
non albumineuses : Bieuv..., 3 examens; Goii ...
es : Eud..., Lug..., Broch... Il est donc habituel alors, de voir l'
urine
rester seulement à l'état de traces chez les ma
l'urine rester seulement à l'état de traces chez les malades dont l'
urine
à un premier exa- men ne contenait rien d'anorm
bles. Telle malade, Diet..., qui avait, après un premier accès, une
urine
notablement albumineuse, n'a présenté à la suit
inurie post-paroxystique est toujours plus intense dans la première
urine
que dans celles qui suivent : très sou- vent, e
es qui suivent : très sou- vent, elle a complètement disparu dans l'
urine
n° 5 ou dans celles qui précèdent. 11 n'y a eu
n avons eu l'explication pour Diet... (voir plus haut); la première
urine
était mélangée aune notable quantité d'urine pr
lus haut); la première urine était mélangée aune notable quantité d'
urine
proe-paroxystique. Il en a été probablement de
.. Chez ces deuxma- lades, même après plusieurs jours de calme, les
urines
conte- naient des traces d'albumine. Or, nous f
dant tout l'accès, il n'y a pas eu la moindre cyanose de la face. L'
urine
recueillie à la suite de cet accès incomplet ne c
dans un laps de temps relativement court amène l'albumine dans les
urines
; c'est ce que nous étudierons dans l'un des ch
I. Petit-Mal. Nous possédons un nombre très restreint d'examens d'
urines
recueillies à la suite des vertiges. Ces exa- m
le vertige épileptique. ' Aussi lorsqu'on cherche à se procurer des
urines
recueillies à la suite de vertiges, s'expose-t-
suite de vertiges, s'expose-t-on le plus souvent à n'avoir que des
urines
d'accès; ces considérations ont beaucoup plus d'i
n n'assistant que rarement aux paroxysmes. III. - Les examens d'
urines
d'épileptiques présentant une période délirante
un accès vers 8 heures et demie. A Il 1 heures, on recueille une
urine
: traces d'albumine. ' Thé..., quarante-sept an
isoler et de la passer aux cellules. Pas d'attaques constatées. Une
urine
, pas d'albumine. , Gon..., vingt-deux ans : ne
ystique. : . Deux jours de trouble mental consécutif aux accès. Une
urine
recueillie le 2° jour : pas d'albumine. , ' '
lleuse affirme d'autre part qu'elle n'a pas eu d'accès la nuit. 2
urines
: Iraces d'albumine dans les deux urines. Reste e
pas eu d'accès la nuit. 2 urines : Iraces d'albumine dans les deux
urines
. Reste enfin l'examen fait par M. Olivier, inte
tion violente, aui ait eu un jour 4 grammes d'albumine' par litre d'
urine
. "Dans la thèse signalée plus haut, Bazin donne
donnerons d'abord les observations des malades chez lesquelles les
urines
ont été recueillies avec tout le soin nécessair
eures du matin, ne présente pas traces d'albumine. Ail heures, 2°
urine
: albuminurie moyenne. A 2 heures de l'après-mi
res, 2° urine : albuminurie moyenne. A 2 heures de l'après-midi, 3°
urine
: traces d'albumine. Deux autres urines ont été
2 heures de l'après-midi, 3° urine : traces d'albumine. Deux autres
urines
ont été recueillies dans la nuit du 30 au 31. B
en que la malade n'ait pas eu d'accès depuis le 30 à midi, ces deux
urines
contiennent des traces d'albumine. Une dernière
, ces deux urines contiennent des traces d'albumine. Une dernière
urine
, recueillie le 31 vers 9 heures du matin, ne prés
m... a eu, la nuit du 29 au 30, 5 accès. La veilleuse a recueilli l'
urine
après chaque accès. Les 2 premières urines ne ren
a veilleuse a recueilli l'urine après chaque accès. Les 2 premières
urines
ne renferment rien d'anormal. La 38 urine prése
e accès. Les 2 premières urines ne renferment rien d'anormal. La 38
urine
présente des traces d'albumine. Dans la 4e et l
au matin, on recueille d'heure en heure, après un accès de jour, 5
urines
. Peu de temps avant la 3e urine, Lem... a eu un
n heure, après un accès de jour, 5 urines. Peu de temps avant la 3e
urine
, Lem... a eu un second accès de jour. Dans la
urine, Lem... a eu un second accès de jour. Dans la ire et la 2°
urine
, pas d'albumine. A la 3e urine, traces d'albumi
accès de jour. Dans la ire et la 2° urine, pas d'albumine. A la 3e
urine
, traces d'albumine. Dans la 4e et la 5° urine,
s d'albumine. A la 3e urine, traces d'albumine. Dans la 4e et la 5°
urine
, pas d'albumine. 3 septembre. La série s'arrête
La série s'arrête. Le 4, on recueille, vers 9 heures du matin, de l'
urine
de Lem... Pas d'albumine. Le 1er septembre, Lei
r, l'autre dans la nuit : Après la ire attaque, on recueille de l'
urine
: pendant qu'on prend d'heure en heure 5 urines
e, on recueille de l'urine : pendant qu'on prend d'heure en heure 5
urines
, Lei... a 5 accès. 11 n'y a des traces d'albumi
es, Lei... a 5 accès. 11 n'y a des traces d'albumine que dans la 4e
urine
. Les autres ne présentent rien d'anormal. 5 s
i... continuant, on recueille, après une attaque de jour, une seule
urine
qui renferme des traces d'al- bumine. Lei... a
mine. Lei... a eu 2 attaques dans la nuit précédente. L'examen de l'
urine
de Lei..., fait en dehors de ses séries, ne fait
s, a 4 attaques presque coup sur coup à deux heures d'intervalle. 5
urines
sont recueillies : albuminurie intense dans les
premières; albuminurie légère dans les 2 suivantes; rien dans la 5e
urine
. Les urines d'Albruz..., en dehors de ses série
albuminurie légère dans les 2 suivantes; rien dans la 5e urine. Les
urines
d'Albruz..., en dehors de ses séries, ne contie
r coup. Une heure après la dernière de ces attaques, on recueille l'
urine
. Elle présente un nuage léger d'albumine. D'a
Le 18 août, Vill..., vingt et un ans, a 11 accès dans la nuit. 4
urines
sont recueillies, mais le matin seulement : pas d
s : à 7 heures du matin, à 1 heure, à 4 heures de l'après-midi. Une
urine
est recueillie après chaque accès : pas d'album
Le 25 août, Rong..., neuf ans, aurait eu 11 accès dans la nuit. 5
urines
sont recueillies dans la matinée : pas d'albumine
lade. . Quant aux deux autres, nous avons noté expressément que l'
urine
avait été recueillie le matin seulement. Or nous
nsidérable d'accès. Il est donc vraisemblable d'admettre que si les
urines
de Vill... et de Rou..., avaient été recueillie
oubles sécrétoires suffisants pour que l'albumine apparaisse dans l'
urine
. Nous voulons seulement retenir ce fait : à mes
,* albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET épileptique. 367 l'examen des
urines
n'ayant pas été fait. Ce que nous pouvons affir
ès. Nous pre- nons la temp. rectale : 36° 6. - On sonde la malade :
urines
claires, ne contenant pas d'albumine. A midi
es les sépare. La malade est sondée à une heure moins le quart. Les
urines
contiennent un très léger nuage d'albumine. A 4
La connaissance revient 368 PHYSIOLOGIE pathologique. un peu. Les
urines
recueillies à ce moment contiennent une quan- t
tité considérable d'albumine : T R = 39° 8". A 6 heures du soir, 4e
urine
. T, 38° 6. Nuage léger d'albumine. 26 juillet.
léger d'albumine. 26 juillet. La nuit a été bonne. Ce matin, 37° 6.
Urines
assez abondantes : pas traces d'albumine. Nou
9 Le 21 juillet, après 16 accès de nuit, traces d'albumine dans l'
urine
. Le soir, après 8 accès de jour, plus d'albumine.
ease. KRAUSs. - Rhus aroznatica in the lreatment of incontinence of
urine
. Brochure in-8° de 4 pages. New-York, 1892. Jou
104; gé- némle à début très précoce, par Charcot et Dutil, 145; -
urine
et température dans la -, par Tur- ner, 223;
elles sont la conséquence de la pression prolongée et du contact des
urines
altérées, ainsi que des matières fécales auxquell
ite des-quelles l'animal reste constamment souillé par le contact des
urines
, se blesse en se heurtant à tous les contacts, et
le frottement exercé sur un sol rugeux, par le contact permanent des
urines
altérées, le manque de prop.eté; c'est-à dire en
o- 1. Voyez Zeitschrift fur ration. Med. 35 Bd., p. 343. ongé des
urines
, mais elles peuvent se produire encore, bien que
le contact répété et prolongé de substances irri-tantes telles queles
urines
ou les matières fécales. Elles peuvent, de même q
sister aux causes d'excitation et aussi des modifications que subit l'
urine
longtemps retenue dans les parties les plus décli
s de la face en pinçant fortement divers points de la peau. Selles et
urines
involontaires. Peau chaude, couverte de sœur; tem
ois jours ? On ne saurait, non plus, invoquer le contact irritant des
urines
. Dans plusieurs cas, j'ai fait recueillir ce li-q
ent dans le temps même où se produit le décubitus aigu, l'émis-sion d'
urines
sanguinolentes, alcalines et même purulentes, c'e
, au membre inférieur, elle remonte jusqu'au niveau du mamelon. — Les
urines
et les matières fécales sont rendues involontaire
dent, une escharé avait commencé à se former à la région sacrée, et l'
urine
qui s'écou-lait de la vessie était ammoniacale. L
à début brusque, traumatiques ou spontanées. — Altération rapide des
urines
dans ces circonstances ; elle se manifeste souven
olonne vertébrale, avec lésion consécutive de la moelle épinière, les
urines
subissent fréquemment une altération ra-pide. Dup
areil cas, les sondes mises à demeure pour remédier à la ré-tention d'
urine
, se recouvrent rapidement d'incrustations cal-cai
'on doit d'avoir appelé l'attention sur les caractères que présente l'
urine
chez les indi-vidus atteints de paraplégie trauma
que (2). Dès le huitième, le troisième, le deuxième jour, il a vu les
urines
devenir alcalines, répandre une odeur ammoniacale
ans les auteurs un très grand nombre de faits où les altérations de l'
urine
signalées par Brodie se sont produites, en effet,
Brodie. — Medic. chir. Trans., loc. cit. 3. Voir Stanley. 1er cas :
Urines
fortement ammoniacales dès le cinquième jour; — 2
cas : Urines fortement ammoniacales dès le cinquième jour; — 2e cas :
urines
ammoniacales le quatrième jour (Lond. Med. chir.
quatrième jour (Lond. Med. chir. Trans., t. XVIII, p. 1). — Jeffreys,
urines
ammoniacales et sanguinolentes, le septième jour
ques,une modification plus ou moins profonde dans la constitution des
urines
,# liée à des altérations néphro-vésicales souvent
é précédemment, d'hémiparaplégie produite par un coup de couteau, les
urines
se montrèrent alcalines dès le troisième jour ; p
e rapporté par M. Brown-Séquard, d'après le doc-teur Maunder (2), les
urines
furent trouvées alcalines également fort peu de t
ologie, t. VI, p. 152, 1803. et dans l'hématomyélie, l'apparition d'
urines
ammoniacales, sanguinolentes, muco-purulenLes, pe
ptômes paralytiques, est un fait qui s'observe fréquemment. Ainsi les
urines
étaient déjà profondément alté-rées dès le cinqui
annkopf (4). Dans le cas d'hématomyélie publié par M. Duriau (a), l'
urine
était ammoniacale et contenait des caillots sangu
e la vessie, auxquelles doivent' être rattachées ces altérations de l'
urine
(7). Plusieurs des observations qui viennent d'
ns », dit Rayer, « dans les maladies de la moelle épinière, lorsque l'
urine
contenue dans la vessie est alcaline, elle l'est,
tein,2« édil.. p. 287. Berlin, 1870. échapper. Il y est dit que les
urines
, jusque-là restées normales, sont devenues, ainsi
athogénique unique, ou même prédominant, la rétention paralytique des
urines
. Il n'est guère possible non plus d'accorder une
ur à l'opinion (2) qui attribue-rait, en pareil cas, l'altération des
urines
à l'introduction de sondes malpropres et portant
aurait être qu'une circons-tance aléatoire, tandis que l'apparition d'
urines
ammoniacales, sanguinolentes et purulentes, dans
vait déjà noté, que dans la paraplégie traumatique, c'est lorsque les
urines
s'altèrent de bonne heure qu'on voit les eschares
, affections dans lesquelles il y aune grande dépense musculaire, les
urines
pré-sentent, dans leur constitution chimique, que
de vue par M. P. Begnard, dans le laboratoire de la Sorbonne, sur les
urines
de deux malades de M. Gharcot. Chez toutes deux,
ne, sur les urines de deux malades de M. Gharcot. Chez toutes deux, l'
urine
, contenait une proportion à peu près normale d'ur
ne porte que sur quelques symptômes, eu particulier l'incontinence d'
urine
et des matières fécales. — Chez un malade observé
et, comme il est survenu dans les derniers temps de l'incontinence d'
urine
, il prescrit 3pillules deO gr. 03 d'extrait de be
rescrit 3pillules deO gr. 03 d'extrait de belladone. L'incontinence d'
urine
, après avoir présenté des amendements passngers,
Hémiopie et achromatopsie. — Ilyperesthésie ovarienne. - Rétention d'
urine
. — Tympanisme.— Attaques convulsives, trismus. —
otale. — Vomissements urémiques. — Balancement entre la quantité de l'
urine
excrétée et les vomissements. Analyse chimi-que d
rétée et les vomissements. Analyse chimi-que des matières vomies, des
urines
et du sang. — Suspension des acci-dents. Retour
vec la vie. — Influence de l'évacuation d'une quan-tité même minime d'
urine
. — Rapidité de l'apparition des symptômes dans l'
hystérique. —L'innocuité de8 accidents est en rapport avec la dose d'
urine
produite dans l'organisme. — Résis-tance des hyst
, est plus restreinte. Il ne s'agit pas là de la simple rétention d'
urine
dans la ves-sie, fait vulgaire chez les hystériqu
années même, l'intervention de la sonde est nécessaire; mais alors, l'
urine
extraite de la vessie est abondante ou, tout au m
y a là une question à juger. Le fait capital, c/est que la quantité d'
urine
rendue en vingt-quatre heures, à l'aide de la son
endant plusieurs jours, il y a, en définitive, sup-pression absolue d'
urine
. B. Il convient d'ailleurs, dans l'espèce, d'ét
'établir des caté-gories. Voligurie ou même la suppression totale d'
urine
, peut n'être qu'un phénomène passager chez les hy
alades, surtout aux époques catamé-niales, une suppression complète d'
urine
qui ne dépasse pas vingt-quatre ou trente-six heu
laise et d'accélération du pouls , mais bientôt quelques cuillerées d'
urine
sont expulsées et tout ren-tre dans l'ordre (1).
. Durant des jours consécutifs, des semaines, des mois, la quantité d'
urine
rendue en vingt-quatre heures peut être insignifi
il y a, pendant une série de plusieurs jours, suppression com-plète d'
urine
. Lorsque les choses prennent cette tournure, à
n t.he Nervous Diseuses of Women. London, 1840 p. 229. l'odeur de l'
urine
. Toujours est-il que, dans deux ou trois cas, 1
es accidents semblent exciter riniérôtetlacuriositédes médecins, de l'
urine
pure sera expulsée parles vomissements, en quanti
t reconnu l'existence de l'urée. Peu après, survinrent l'écoulement d'
urine
par le nombril, les oreilles, les yeux, les mamel
ie hysté-rique : c'est que, en dehors de l'hystérie, la suppression d'
urine
pour peu qu'elle se prolonge au delà de quelques
de mort. La vie se prolonge un peu, si une quantité même mi-nime d'
urine
peut être rendue, mais le résultat final ne varie
atorzième jour. Le quinzième, le malade évacua un certaine quantité d'
urine
. Les accidents s'aggravèrent néanmoins et la term
rts m Mouvement médical, 1871. 3. J Pajet. — Case of suppression of
urine
very slowy fatal in Transac. of the clinical Soci
Parmi les autres symptômes, je ne dois pas oublier Préten-tion des
urines
et le ballonnement du ventre qui, eux aussi, sont
eux ou trois fois par an environ. Dix ans plus tard, la rétention d'
urine
apparaît. La malade est prise d'une hémiplégie av
1871, p. 103. La Planche XXV de la Revue représente celle malade. d'
urine
extraite par le cathétérisme était minime ; que,
artir de laquelle je fis recueillir jour par jour, séparément, et les
urines
et les vomissements. Il s'arrête en octobre 1871
centilitres, la moyenne quotidienne étant de 1 litre. La quantité des
urines
a varié entre 0 et 5 grammes : moyenne, 2 grammes
a été absolue de deux jours l'un (Pl. IX.) En août, la moyenne des
urines
a été de 3 grammes; celle des vomissements de 1 l
pendant plusieursjours. Mais remarquez que jamais l'ab-sence totale d'
urine
n'a persisté pendant plus de onze jours. Du 1er
la moyenne des vomissements a été de 1 litre 1/2 par jour, celle des
urines
ne s'élevant pas au-dessus de 2 grammes 50 (Pl. X
ne des vomis-sements s'élève, d'une manière générale, quand celle des
urines
Charcot. Œuvres complètes, t. i. . . 19 s'aba
ous le prêta avec la plus grande obligeance. 22 centilitres cubes d'
urine
recueillis le 10 octobre,et repré-sentant la tota
bes d'urine recueillis le 10 octobre,et repré-sentant la totalité des
urines
rendues ce jour-là, donnèrent à l'analyse 0 gr. 1
rêt; il y eut à la suite, pendant plusieurs jours, une incontinence d'
urine
. La contrac-ture disparut adroite : il ne fallait
xactes. Les vomissements, d'ailleurs, se suspendirent bientôt, et les
urines
revinrent progressivement au taux normal. V.
plète des symp-tômes, nous avons vu reparaître d'abord la rétention d'
urine
, c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite
e d'une attaque, nous notons des alternatives de polyurie (2 litres d'
urine
par jour) etd'oligurie. En mars, la sécrétion uri
e fut de 800 grammes pour les vomissements et de 100 grammes pour les
urines
(Pl. VII). Durant celte nouvelle phase d'expé-rim
isait manger. M. G réhanta analysé, à diverses époques du mois, les
urines
et les vomissements de douze jours. Durant ce lap
s de douze jours. Durant ce laps de temps, la moyenne quotidienne des
urines
a été de 206 grammes con-tenant 5 gr. 09 d'urée.
emple, certains symptômes extraordinaires, tels que l'écoulement de l'
urine
par le nez, les yeux, etc., et les vomissements d
térique. En examinant le tracé (Pl. XI), qui représente la quantité d'
urine
rendue chaque jour et celui qui résulte des 112 a
t trois mois, la malade rendait quoti-diennement de 15 à 20 grammes d'
urines
, contenant de 3 à 4 décigrammes d'urée. Certains
reuses, la malade émettait en quelques heures jusqu'à quatre litres d'
urine
, renfermant 27 grammes d'urée.— Pendant cette pér
jusqu'au quatorzième jour. Sans doute chez Etchev..., la quantité d'
urine
expulsée dans les jours intercalaires est très mi
rique des calculeux, lors de l'é-mission des plus petites quantités d'
urine
. Autre particularité : le calculeux est frappé,
rée évacuée dans les vingt-quatre heures par notre malade, soit par l'
urine
, soit par les vomissements, a sans doute frappé v
ccurence, d'ana-lyser comparativement, jour par jour, le sang- et les
urines
, afin d'y déterminer la proportion de l'urée et d
e phlegmasie de la glande rénale ou des uretères ; la composition des
urines
, de même que les autres symptômes, protesteraient
eut se produire, par ce fait même, une suppression momen- tanée des
urines
, ainsi que l'a vu M. Cl. Bernard; que dans l'o-pé
n de la fistule vésico-vaginale, il arrive également par-fois que les
urines
soient supprimées pendant un certain laps de temp
émon-trent, vous le savez, que la proportion de l'urée diminue dans l'
urine
relativementau volume de celle-ci, lorsqu'on étab
elleàO m. 060 millimètres de mercure, on ne trouve plus d'urée dans l'
urine
. M. Robert (de Manchester) (2;a confirmé la réa
truction calculeuse de l'ure-tère, il s'échappa une petite quantité d'
urine
claire, contenant seulement0 gramme, 50 centigram
entigrammes d'urée pour 1,000 gram-mes. Or,chez notre hystérique, les
urines
renferment 15 gram-mes d'urée pour 1,000 grammes,
e normal. 1. Donder's Physiologie. 2. The Palh. of Suppression of
Urine
. In The Lancet, 1868, may 23 et 30. — 870, juin 1
ure que depuis leur apparition, elle ne rend qu'une miuime quantité d'
urine
, que souvent elle reste plusieurs jours sans en r
égime lacté exclusif. — Du 4 au 9 sept., il n'y eut qu'une émission d'
urine
^150 gr. environ). A partir de cette époque M. Ch
aliments ingérés, d'autre part, la quantité des matières vomies et d'
urine
rendue et, après avoir indiqué dans un tableau ce
le 9 et le 16 septembre, c'est-à-dire pendant huit jours pleins, les
urines
sont complètement supprimées durant les six premi
lité des ali-ments ingérés : or, pendant ce temps, il y a eu un peu d'
urine
dans les deux premiers jours (15 gr. et 250 gr.),
pt.), nous voyons la fonction urinaire se rétablir et le chiffre de l'
urine
atteindre le taux normal (1,000 gr., 500 gr., 1,1
'urée par l'esto-mac, M. Ch. Fernet a fait analyser par M. E. Hardy l'
urine
et les matières vo-mies. Du tableau récapitulatif
chiffre s'est élevé de 0 gr. 62 à 1 gr. 08); enfin, que du jour où l'
urine
rendue par la vessie a atteint un chiffre qu'on p
ine par des mouvements de bassin, avec constriction laryngée, pleurs,
urines
abondantes. Chez elle, aussi, la pression ovarien
ues. Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballonnement et la rétention d'
urine
, existent encore aujourd'hui. b) Presque en mêm
ble duventre, ces douleurs de la région ovarienne cette rétention des
urines
, constituent un ensemble de symptômes dont l'impo
16 ans ; — b) elle estatteinte, depuis quatre ans, d'une rétention d'
urine
réclamant ordinairement le cathétérisme ; c) elle
à la date du 21 mai pouvait se résumer ainsi qu'il suit : rétention d'
urine
, avec périodes d'ischurie, depuis neuf ans; — con
n de particulier: il y a eu hier une garde-robe après lavement. lh...
urine
sous elle. Plaque érythémateuse sur la fe.^se dro
mble apparaître presque en même temps. Ni vomissements, ni selles, ni
urines
. Même état de la fesse droite. Respiration sterto
pilepsie ; à aucune époque, il n'y a eu d'évacuations involontaires d'
urine
ou de matières fécales; dans les courts répits qu
19 au 20, 6 accès et dans la journée du 20, 7. Pas d'albu-mine dans l'
urine
; fort sédiment urique. Langue chargée. Températur
Température o7(,,76: selles normales; léger trouble albu-mineux de l'
urine
. Les jours suivants de 8 à 16 accès par jour. É
16, éruption miliaire, conflncnte, en vésicules, au bout des doigts.
Urine
chargée de phosphate, sans albumine. Dans les acc
dant les accès, elle parle souvent et crie. Évacuations fré-quentes d'
urines
et de matières dans le lit. Amélioration, puis ét
fixée sur la tempe gauche , un autre jour, enfin, il y a rétention d'
urine
. Pendant plus d'un mois, la malade a vomi après t
NCHE IX ischurie hystérique. La ligne bleue indique la quantité d'
urine
rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des v
Charcot, oeuvres complètes, Tome I, Pl.IX 1871. Juillet Août
Urine
.2 gr. 50 Vomissements looo gr. A. Delahaye e
LANCHE X ischur1e hystérique La ligne bleue indique la quantité d'
urine
rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des v
complètes. Tome 1, Pl. X. 1872 Septembre Octobre Analyse des
urines
(u) et des vomissements (v) Urine dir 10 Octobre
Septembre Octobre Analyse des urines (u) et des vomissements (v)
Urine
dir 10 Octobre 22 00 Urée Ogr. 1Z9 Vomissements
NCHE XI ischurie hystérique. La ligne bleue indique la quantité d'
urine
rendue en 24 heures, et la ligne rouge celle des
Tome I, Pl. XI. 1872. Mars Avril Mai, 12 jours d'analyste
Urine
moyenne par jour 206cc pour: looo gr , 15 gr. d'u
pour: looo gr , 15 gr. d'urée Vomissements id 362 id 30 id t j . (
Urine
3 gi 095 Uree i Vomissements 2 „ 138 5 . 133
ystérique. Cette planche représente les variations de la quantité d'
urine
et d'urée pen-dant la période d'ischurie hystériq
inage de zéro. Puis tout à coup, en quel-ques heures, 3 ou 4 litres d'
urine
et 25 à 27 gr. d'urée étaient sécrétés. Le len-de
de la sonde et la même nourriture lui a été donnée chaque jour. — Les
urines
ont été également recueillies à l'aide de la sond
té d'uree rendue en 24 heures. La ligne rouge indique la quantité d'
urine
rendue en 24 heures. Charcot, œuvres complètes.
à début brusque, traumatiques ou spontanées. — Altération rapide des
urines
dans ces circonstances : elle se manifeste souven
. — Hémiopieet achromatopsie.— Hyperesthésie ovarienne. - Rétention d'
urine
. — Tympanisme.— Attaques convulsives, trismus. —
otale. — Vomissements urémiques. — Balancement entre la quantité de l'
urine
excrétée et les vomissements. Analyse chimi-que d
rétée et les vomissements. Analyse chimi-que des matières vomies, des
urines
et du sang. — Suspension des acci-dents. Retour
vec la vie. — Influence de l'évacuation d'une quan-tité même minime d'
urine
. — Rapidité de l'apparition des symptômes dans l'
hystérique. —L'innocuité des accidents est en rapport avec la dose d'
urine
produite dans l'organisme. — Résis-tance des hyst
ion ou abolition de la contractilité électrique, 65. — Altération des
urines
, 129. Hémianesthésie hystérique, 285,300, 330.
, 103, 106. — Atrophie musculaire dans 1' —, 105. — Altérations des
urines
dans 1' —, 129. Hémiplégie dans les attaques ap
283. — Fait clinique. 285. — Tracé indicatif des vo-missements et des
urines
, 289. — Analyses chimiques, 290, 292. — Rémission
tri-que, 65. — Lésions des capsules surrénales, 127. —Altérations des
urines
, 129. — Crises gastriques, 261. — partielles :
ité musculaire dans la), 39. Paraplégie traumatique (Altération des
urines
dans la), 128. (V. Hé-miparaplégie. ) Parésie d
ictions expérimentales, 19. Rémission, 166, 240, 259. Rétention d'
urine
chez les hystéri-ques, 277, 353, 356. Rétropues
, le sphincter de la vessie se prend; il survient de la rétention d'
urine
et on fut dès lors obligé de le sonder. ' ' ' 1
le dixième jour de la maladie, le malade a été pris de rétention d'
urine
et il a fallu le sonder pendant un cer- tain te
de jours, des phénomènes contraires sont survenus et maintenant il
urine
involontairement et dit que l'émission de l'uri
et maintenant il urine involontairement et dit que l'émission de l'
urine
se fait par intervalle et par jet sans cependant
ns les muscles et les troncs nerveux, vomissements, diminution de l'
urine
, albuminurie intermittente. Tout guérit, moins
s nous deman- dions alors si la constatation de l'albumine dans les
urines
ne nous permettrait pas d'expliquer certaines d
pportent les conclusions suivantes qui résultent de l'injection des
urines
de treize malades atteints d'épilepsie « idiopa-
ines de treize malades atteints d'épilepsie « idiopa- thique ». Les
urines
sont toxiques de la même façon que celles des s
sur treize, le coefficient urotoxique, calculé sur la totalité de l'
urine
des vingt-quatre heures, était normal. Chez les
l consécutif aux paroxysmes, rendant très difficile la récolte de l'
urine
des vingt-quatre heures, les ont empêché de mul
éré fit trois communi- cations sur les injections intra-veineuses d'
urines
d'épilep- tiques. Dans une première note (26 av
nocturnes sans mictions involontaires. On conservait séparément l'
urine
de la miction du soir. Dans la nuit, le malade
il n'urinait pas au lit. On recueillait alors le matin une deuxième
urine
, la pre- mière était prae-paroxystique, la seco
que, la seconde post-paroxystique. Dans ces conditions, la première
urine
amenait la mort rapidement avec de fortes convu
dont les conditions physiologiques n'ont pu être déterminées, les
urines
pra ? -paroxystiques sont plus toxiques et plus c
-paroxystiques sont plus toxiques et plus con- vulsivantes que les
urines
post-paroxystiques. » « Les coefficients urotox
sécutives . à vingt-quatre heures » et non pas sur la totalité de l'
urine
de vingt-quatre heures. Le malade de M. Féré
d'erreur dans ses propres expériences. « Une partie de la deuxième
urine
, dit-il, est en réalité de l'urine proe-paroxys-
ces. « Une partie de la deuxième urine, dit-il, est en réalité de l'
urine
proe-paroxys- tique, puisqu'elle a été sécrétée
u'elle a été sécrétée avant l'accès. » Aussi, il n'in- jecte plus l'
urine
de la première miction consécutive à l'accès, m
le de la deuxième miction. Dans ces conditions, il cons- tate que l'
urine
prae-paroxystique est treize fois et demie plus
t demie plus toxique et onze fois et demie plus convulsivante que l'
urine
post-paroxystique. Ici, comme dans les expérien
une dernière note enfin, après avoir constaté de nou- veau que les
urines
post-paroxystiques sont peu toxiques, il rappor
Chevalier-Lavaure', qui trouve une diminution dans la toxicité de l'
urine
des maniaques et est tenté d'attribuer à cette
e la journée ils rendent proportionnellement sept à huit litres d'
urine
, bien que la totalité de l'urine de vingt-quatre
tionnellement sept à huit litres d'urine, bien que la totalité de l'
urine
de vingt-quatre heures ne soit pas, en fin de c
airet, de Montpellier, on a étudié successive- ment la toxicité des
urines
des aliénés et des hystériques. 1 Thèse de doct
coefficients urotoxiques sur une donnée constante, la totalité de l'
urine
des vingt-quatre heures; leurs résultats sont p
comparables entre eux. Ces résultats s'appliquent à la toxicité des
urines
des épileptiques et en dehors des accès. Pour l
'ils n'ont pu arriver à recueillir pendant vingt-quatre heures de l'
urine
avant des accès impos- sibles à prévoir, ou apr
ant lesquelles ils rendent proportionnellement sept à huit litres d'
urine
sans que la totalité de l'urination soit en som
les préceptes de M. Bouchard, c'est-à-dire à recueillir toutes les
urines
de vingt-quatre heures et à les injecter très d
yes; nous avons fait comme M. Féré ; nous avons pris les mictions d'
urine
avant et après les accès convulsifs, avons inje
coefficient d'urotoxicité par la quantité totale approximative des
urines
en prenant quand nous le pouvions toutes les ur
proximative des urines en prenant quand nous le pouvions toutes les
urines
de vingt-quatre heures pendant plusieurs jours
ne pas terminer une opération commencée avec une seule miction (les
urines
recueillies ne sont pas en assez grande quantit
rce que dans plu- sieurs de nos expériences la quantité totale de l'
urine
a pu être assez exactement évaluée et la compar
s nous conseillons d'abandonner les cobayes pour les injec- tions d'
urine
: 1° parce que l'injection intra-veineusc chez le
r l'albuminurie des épileptiques 1, de recher- cher la toxicité des
urines
: 1 Jules Voisin et A. Pérou. (Archives de Neur
nfin nous nous sommes demandés quelle est la toxicité nor- male des
urines
des épileptiques. Nous n'avons pu remplir toute
utes ces conditions parce que nous n'avons pu recueillir toutes les
urines
des vingt-quatre heures dans ces cas déterminés
que attaque, nous avions soin, quand nous voulions expérimenter les
urines
de ces malades, de les faire aller à la garde-r
outes les deux heures et de cette manière nous évitions une perte d'
urine
qui serait arrivée brusquement au moment de l'a
ou trois heures. De cette manière encore nous évitions une perte d'
urine
involontaire. Nous avons expérimenté aussi sur
e perte d'urine involontaire. Nous avons expérimenté aussi sur de l'
urine
de malades qui n'étaient pas trop avancé dans l
itions. Les expériences que nous avons faites sur la toxicité des
urines
nous prouvent une fois de plus que nous avons rai
ager la question sous cet aspect, car pendant tous ces jours, leurs
urines
présentent la même toxicité pour se mo- difier
ssitôt que les accès sont finis. Quand, au contraire, la toxicité d'
urine
augmente après un accès isolé, c'est que vrai-
s accès en apparence isolés avec ou sans petit mal. La toxicité des
urines
des vingt-quatre heures, avant la série, pendan
s expériences que nous avons entreprises. Une fois les mictions d'
urine
recueillies, nous les mélan- geons toutes dans
mise dans les vingt-quatres heures et ses qualités phy- siques. L'
urine
une fois recueillie nous l'injections immédiateme
hard ont démontré qu'il n'y avait aucun inconvénient à injecter des
urines
acides. Si on ne pouvait faire l'injection immé
mettre une petite pincée de naphtol dans le bocal renfermant cette
urine
. Ce naphtol est un très bon antisep- tique et s
R LES COBAYES Coefficient d'zirotoxicité calculé sur la moyenne des
urines
de vingt- quatre heures. Le 11 septembre, on
atin, à l'aide de la sonde, avant la période clonique d'un accès, l'
urine
de Sep..., dont voici le relevé des attaques da
che et en cinq minutes, de 2 h. 30 à 2 h. 35, on injecte 23 c. c. d'
urines
. Je dois m'arrêter parce que je n'ai plus d'uri
jecte 23 c. c. d'urines. Je dois m'arrêter parce que je n'ai plus d'
urines
proe-paroxys- tiques. On détache l'animal à 3 h
s l'injection. II). Une heure après l'accès dont on a injecté les
urines
proe-pa- roxystiques. On recueille l'urine de S
s dont on a injecté les urines proe-pa- roxystiques. On recueille l'
urine
de Sep... Cette urine ne renferme pas de traces
s urines proe-pa- roxystiques. On recueille l'urine de Sep... Cette
urine
ne renferme pas de traces d'albumine. Filtrée e
Dénudation à gauche facile : injection en dix minutes de 65 c. c. d'
urines
. Arrêt des mouvements respiratoires à 65 c. c.
es différences de poids des animaux, les diffé- rences de poids des
urines
injectées et enfin le temps relativement assez
assez long qui a amené la mort du premier animal, la toxicité des
urines
de Sep ? proe ou post-paroxystiques est sensiblem
340 - 65 - - pendant l'injection. Malheureusement la totalité de l'
urine
des 24 heures n'a pas été recueillie ce jour. P
QUES. 187 III). Le 25 septembre on recueille à 11 heures du matin l'
urine
de Sep..., on la filtre et elle est alcalinisée
e est alcalinisée avec la solution de bi- carbonate de soude. Cette
urine
ne contient pas d'urohiline ni d'albumine. Co
oite, injection de 50 c. c. en vingt minutes environ. La quantité d'
urine
des vingt-quatre heures a été ce jour-là de 1650
es a été ce jour-là de 1650 grammes. IV). Le 2 octobre on injecte l'
urine
de Sep... sans attaques depuis quatre jours.
e on injecte l'urine de Sep... sans attaques depuis quatre jours.
Urines
de une heure de l'après-midi alcalinisées et filt
perte de sang appréciable. Injections en dix minutes de 75 c. c. d'
urines
. Mort à 75 c. c. avec convulsions toniques répé
s. Pas de réaction. Par une erreur faite par la fille de service, l'
urine
de Sep... n'a pas été recueillie en totalité ce
, absolument perdue, a dû être camisolée. Elle mange cependant. L'
urine
est très acide. On la neutralise, on la filtre. E
he, dénudation facile. Injections en un quart d'heure de 47 c. c. d'
urines
. A 42 c. c., l'animal se raidit en arrière, tout
ien dans l'encéphale à l'oeil nu. Voici dans quelles conditions l'
urine
a été recueillie : - A 10 heures et demie on fa
A 10 heures et demie on fait pisser la malade qui donne 30 c. c. d'
urine
environ, à 5 heures un quart elle n'a pas encore
res cubes qui ont été mé- langés aux précédents. La totalité de l'
urine
des vingt-quatre heures recueillie avec beau- c
on état normal, On a dû la sonder .pour recueillir environ 60 ce. d'
urines
depuis 11 heures du matin. Urine très acide, al
.pour recueillir environ 60 ce. d'urines depuis 11 heures du matin.
Urine
très acide, alcalinisée, filtrée, injectée, à 2 h
ion très claire. On interrompt l'injection parce qu'il n'y a plus d'
urines
. On va sonder le malade pour la deuxième fois (
midi, à l'aide de la sonde, avant la période clonique de l'accès, l'
urine
de Mon... Or, Mor..., le 11 septembre, a eu 2
ICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 189 Le 29, 4 accès de jour, l'
urine
a été recueillie avant le premier accès. Le 3
cès de jour. Du 1er au 10 octobre, pas d'attaques ni de vertiges. L'
urine
prise pour comparer l'état sériel avec l'état n
obre, une attaque de jour. Le 11 2 de nuit. Première injection. L'
urine
recueillie le 29 est claire, elle est alcalinis
sang appréciable. En vingt minutes environ, injection de 90 c. c. d'
urine
; à 30 c. c., miction d'urines troubles; à 52 c.
nutes environ, injection de 90 c. c. d'urine; à 30 c. c., miction d'
urines
troubles; à 52 c. c., agitation; à 75 c. c.; seco
Mor... pèse 61 k. 800. Le cochon d'Inde 490 grammes. La quantité d'
urine
recueillie dans les vingt-quatre heures est de
t-quatre heures est de 1.700 grammes. Mor... n'aurait pas perdu d'
urine
pendant ses quatre accès qui se sont succédé da
dans les vingt-quatre heures. Voici, d'autre part, la totalité des
urines
pendant dix jours, du 3 au 13 octobre inclus, r
énale sans infarctus. Le coeur continue à battre. Pas d'injection d'
urine
dans le tissu cellu- laire autour de la veine.
'injection d'urine dans le tissu cellu- laire autour de la veine. L'
urine
n'était ni albumineuse ni urobi- lique. La tota
ne. L'urine n'était ni albumineuse ni urobi- lique. La totalilé des
urines
recueillies dans les vingt-quatre heures a été
té de 1.600 grammes. - Coefficient urotoxique du 2 octobre, 0.45.
URINES
DE DEM... Relevé des attaques en septembre et o
s de jour. 18 - Trois de nuit. Voici d'autre part la totalité des
urines
du 3 au 13 octobre (pas d'attaques). (Le 8 octo
c. Accélération des mouvements respiratoires à 6 c. c. Mictions d'
urines
claires à 26 c. c. - répétées très abondantes d
vant la période clonique du deuxième accès, à l'aide de la sonde, l'
urine
de Dem... La série a commencé hier soir (se rep
as eu d'autre attaque dans la journée, la série était terminée. L'
urine
injectée, a été recueillie à une heure et demie d
e sans perte de sang. Infection en 10 minutes environ de 34 c. c. d'
urine
filtrée et alca- linisée ; à 30, secousses sans
hes. Pas de miction ni de défécation. Autopsie. - Vessie pleine d'
urines
troubles ; congestion pulmo- naire et rénale. L
e qui semble indiquer que la décharge est rapide. La totalité des
urines
, dans vingt-quatre heures, recueillies avec soi
é de 1900 c. c. Coefficient urotoxique 1,02. UI). 8 octobre 1891. -
Urines
de Dem... sans accès depuis le 2 oc- tobre, rec
Pas de perte de sang. Injection en un quart d'heure, de 90 c. c. d'
urines
; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20
ion en un quart d'heure, de 90 c. c. d'urines ; à 25, tre miction d'
urines
troubles ; à 40, 20 mic- tion d'urines troubles
urines ; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20 mic- tion d'
urines
troubles. Les mictions se répètent jusqu'à la mor
se répètent jusqu'à la mort, claires. On peut recueillir 25 c. c. d'
urines
du cobaye, sur la plan- chette. Elles ne sont p
. A 90, mort. ' 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' La totalité des
urines
recueillies dans les vingt-quatre heures, avec
avec soin, a été de 2 litres 300. Coefficient urotoxique 0,42. -
URINES
DE BART... Le -lek octobre, on recueille à 11 h
ES DE BART... Le -lek octobre, on recueille à 11 heures du matin, l'
urine
de Mme Bart..., pesant 63 lui. 3. Cette malade,
lendemain 15, elle était d'ailleurs revenue à son état normal. L'
urine
est très trouble, en petite quantité, à réaction
its infarctus disséminés. Peu de congestion rénale. Vessie pleine d'
urines
troubles. L'animal n'a pas uriné, n'a pas dé- f
n'a pas dé- féqué pendant la durée de l'injection. La quantité d'
urines
recueillies dans les vingt-quatre heures, s'élè
selles liquides, une à 8 heures du soir, une à 2 heures du matin'.)
Urines
recueil- lies, 700 grammes. Poids de la malade,
0,54. 1 La fille de service de nuit nous a dit qu'il y avait peu d'
urine
dans la selle de 8 heures, mais que dans celle
, sans exagération, pouvoir fixer approxi- mativement la quantité d'
urines
à 1 litre. La journée suivante l'urine fut recu
i- mativement la quantité d'urines à 1 litre. La journée suivante l'
urine
fut recueillie en totalité. Il y en eut 1650 gr
ÉRIENCES SUR LES LAPINS. Coefficient d'urotoxicité calculé avec les
urines
des 21 heures. 2 avril. Broc..., vingt et un an
e manifestation comitiale vers dix heures du soir. On recueille l'
urine
du le, avril, 11 heures du matin, au 2 avril mê
nés, encéphale sain. Coeffi- cient urotonique : 0,443. 4 avril. L'
urine
a été recueillie du 2 avril, 4 heures du soir a
u soir, trois heures par conséquent après la fin de la récolte de l'
urine
, Broch... a eu un grand accès. - 8 avril. Bro
re attaque dans la nuit du 4 au- 5 avril, vers 10 heures du soir. L'
urine
injectée a été recueillie trente-huit heures ap
vril, vers 7 heures du matin, dix-neuf heures après la récolte de l'
urine
, un grand accès. Q = 1.500 c. c. ; . , Lapin de
n grand accès. Q = 1.500 c. c. ; . , Lapin de 1 kil. 550. f " ' L'
urine
injectée a été naphtolée. Sa réaction est netteme
avec épilepsie. Père alcoolique, mère hystérique. Accès en série.
Urines
post-paroxystiques. 4 ? avril. Gauth..., poids
que de jour, deux accès dans la nuit du 30 au 31. (On recueille l'
urine
le 31 mars, à 10 heures du matin, jusqu'au 1er
troubles gastriques. . A 4 heures de l'après-midi, le 1C" avril, l'
urine
est injectée. Elle est à réaction nettement aci
e. Dans l'encéphale, légère congestion. z Coefficient urotoxique.
Urines
post-paroxystiques : 0,578. 2 au21l. - Gault...
0,578. 2 au21l. - Gault... n'a pas eu de nouvel accès depuis hier.
Urines
recueillies du 1cr avril, 4 heures de l'après-m
idi au 2 avril même heure : Q = 850 ce. Lapin de 2,480 grammes. -
Urines
à réaction acide, filtrées avec soin. ' · Ver
etbrusque. Perte immédiate du réflexe cornéen. Mort. Une miction d'
urines
troubles dans les derniers temps de la vie. Dur
avril. - Gault... est toujours sans accès. Q = 1,200 c. c. environ.
Urines
recueillies du 2 au 3 avril. Lapin de 1,920 gra
é dans cette expérience, dont on ne peut rien conclure à injecter l'
urine
de Gault... dans l'inter- valle des accès. (Voi
ne de Gault... dans l'inter- valle des accès. (Voir le relevé.) L'
urine
a été recueillie le 20 (mercredi), 10 heures du m
au 21 (jeudi) même heure. Q = 1,500 c. c. Odeur ammoniacale ; les
urines
par erreur n'ont pas été naphtolées. Elles ne b
coeur. Coefficient urotoxique calculé d'après ces données, 0,670.
Urines
d'accès. - 2 mai. - Le 30 avril, Gault... a quatr
le 1er mai, deux grands accès de jour et un accès incom- plet. L'
urine
a été recueillie du 30 avril, 9 heures du matin,
eu de miction involontaire pendant ses accès. Elle n'a pas perdue d'
urines
la nuit. Q = 775 c. c. Naphtolées. - On les inj
e ait été .mise en défaut, en admettant que Gault... ait perdu de l'
urine
, ce qui d'ailleurs est nié très catégoriquement
nuit. (A remarquer la longue durée de la période de calme avec des
urines
très toxiques.) 11 avril. Deux accès complets
convergente. Grand-père épileptique. - Père et mère éthyliques. 1
Urines
d'accès. 29 mars. Eud..., 51 kil. 500. Le 27 mars
idi du 27, un grand accès le 28 au matin. Elle n'aurait pas perdu d'
urines
pendant ces diverses manifestations. , - Urin
urait pas perdu d'urines pendant ces diverses manifestations. , -
Urines
naphtolées, à réaction nettement acide, contenant
; A 235 c. c., mort sans nouvelles convulsions. Une seule miction d'
urines
, troubles au début de l'ex- périence. ' Autop
ience. ' Autopsie. - Le coeur bat. Congestion rénale intense. Pas d'
urine
dans la vessie. Foie et poumons congestionnés.
s congestionnés. Encéphale normal. Coefficient urotoxique, 0,194.
Urines
post-paroxystiques. 21 mai. Eud... a eu deux accè
rveillante qui ne croyait pas la série terminée, on n'a recueilli l'
urine
que le 20 à partir de 6 heures du soir jusqu'au
Lapin de 2 kil. 100. Injection en 25 minutes environ de 176 c. c. d'
urines
. Myosis 35 seulement. A partir de ce moment les
accentuent rapidement et deviennent superfi- cielles comme dans les
urines
post-paroxystiques; A 120, respi- ration irrégu
ère de magasin avec difficulté. - 200 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
Urines
préparoxystiques. 4 avril. Hug.... Poids, 57 kil.
ent les « secousses qui, chez elle, précèdent la série des accès.
Urines
Q = 2000 c. c. du 3 avril 7 heures matin au 4. Ac
rès la fin de l'injection sans convulsions. 4 mictions abondantes d'
urines
claires pendant l'injection des trois cents premi
nt de liquide dans le péritoine. Coefficient urotoxique, 0,121. '
Urines
pendant l'accès. 5 avril. Hug... a eu, le 4 avril
u matin, à midi, à 4 heures et demie du soir, un grand accès. - L'
urine
a été recueillie du 4 de 2 heures après midi au 5
est énorme. Mort à 220, sans accès convulsif. Plusieurs mictions d'
urines
claires pendant l'injection. Autopsie. Congesti
201 elle criait ses visions. Le 8 avril, on cherche à recueillir l'
urine
, mais la malade est tellement indocile qu'on ne
ile qu'on ne peut recueillir la totalité des vingt-quatre heures.
Urines
pendant le délire. Le 11 avril, l'excitation des
che, cependant la malade mange avec assez d'appétit. On recueille l'
urine
du 11 avril, 2 heures après midi, au 12, même h
ril, 2 heures après midi, au 12, même heure. Totalité : 1.240 c. c.
Urines
non albumineuses, acides, filtrées, non naphtol
l'occasion d'une convulsion. L'animal a eu une miction abondante d'
urines
claires dans les derniers moments de l'injec- t
gestion du cou et de l'encéphale. Coefficient urotoxique : 0,155.
Urines
pendant et à la fin du délire. 19 avril. Hug... n
lire plus depuis hier soir; on a pu l'envoyer à l'atelier ce matin.
Urines
recueillies le 18 à partir de 6 heures du matin,
: 0,173. 202 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. -DE LA TOXICITÉ URINAIRE.
Urines
pendant la période de calme. 28 avril. Hug... peu
e. Elle n'a pas de délire depuis la dernière injection... " . - -
Urines
recueillies du 26 au 27 avril. Naphtolées à réact
ilation qui suit immédiatement la série de Hug... pour recueillir l'
urine
des vingt- quatre heures. Hug... est sans accès
s-midi; le soir du 4 mai, commencement de la période délirante. 1
Urines
recueillies du 3 mai, 4 heures du soir,' au 4 mai
disque optique. Pas de troubles gastriques, le coeur normal, les
urines
aussi. Immédiatement après une inhalation de
re. M. Gilles de la Tourette croit, que pour ces cas l'examen des
urines
pourrait trancher le doute : en effet, la migrain
perdre conscience et de se mordre la langue. Pas d'incontinence d'
urine
la nuit. ' Les crises sont très irrégulières. I
uls est normal, régulier, plutôt un peu fort. Pas de pouls veineux.
Urines
rares 350 à 500 grammes densité moyenne 1018 Co
ur pongitive dans le côté gauche, dyspnée suffocante, insomnie, - l'
urine
diminue, albumine en abondance, céphalée, oedèm
ervations de Korsakow. Hyperexcré- tion anormale d'urobiline dans l'
urine
comme dans les faits de Harley (British med. Jo
rne ou interne luto-intoxication),bactérienne ou autre. Peut-être l'
urine
était-elle ans l'espèce l'émonctoire protecteur
vertiges, ralentissement de la parole, par moments incontinence d'
urine
passagère. Intégrité de la sensibilité, de l'inte
ail de Kussmaul. Dans le premier cas, il regrette que l'examen de l'
urine
n'ait pu être pratiqué, et rappelle, à propos d
ce, des douleurs lancinantes, le signe de Romberg, l'incontinence d'
urine
, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de
ctions ne sont pas décolorées, et n'ont jamais donné de concrétion; l'
urine
est rouge brun. Dans l'intervalle de ces crises,
de la rate, puis, plus tard, l'amaigris-sement et l'évacuation d'une
urine
foncée et souvent sédimenteuse. Mais l'inappéte
ste, n'ont été obser-vés que dans les premiers temps de la maladie. L'
urine
doit ordi-nairement, dans la cirrhose, sa teinte
nt du plasma ; de là leur présence dans le sang. 5° Altération de l'
urine
. Les caractères principaux sont la colo-ration ro
de dire de l'ictère rend parfaitement compte de ces altérations de l'
urine
. 6° Paralysie. Après avoir démontré que la para
de sa mère, trois onces de sang par l'urèthre. Jamais de rétention d'
urine
, ni de symptômes d'irritation du méat urinaire. L
gie. Une surveillance attentive ne permet de constater ni rétention d'
urine
, ni signes de calcul. — Le 24, l'enfant rend troi
'urine, ni signes de calcul. — Le 24, l'enfant rend trois onces d'une
urine
semblable à celle du 17 mai. Elle avait accompli
e avait accompli la miction quelques minutes auparavant et rendu de l'
urine
nor-male. La surveillante remarqua que le premier
ais bien de l'urèthre.— Le premier juin, évacuation de quatre onces d'
urine
sanglante. — Le 15 juin, rougeole. — A partir de
r de sa sortie de l'hôpital, l'enfant n'a plus rendu de sang avec les
urines
(the Lancet, 1870, vol. II, p. 552). — Le Dr Gree
sudoriiîque (Pereira) ; la sueur est fétide (Gilibert). Le cours des
urines
est ordinairement augmenté et quelquefois d'une m
z notable (Bryan, Gilbert). Dans ces cas, le Hachisch communi-que à l'
urine
une forte odeur de chanvre (Ballard, Garrod). — O
petite dose, ces substances sont utiles dans les cas d'incontinence d'
urine
, de constipation; pour diminuer les sécrétions ex
s accidents de l'intoxication urineuse sont dus à la pénétration de l'
urine
dans le sang, soit par une plaie, soit par l'abso
risme, la descrip-tions des opérations nécessitées par la rétention d'
urine
, par les rétrécissements de l'urèthre, par les fî
sés. Viennent ensuite les opérations nécessitées par la rétention d'
urine
; or, quand il est urgent d'évacuer l'urine pour
sitées par la rétention d'urine ; or, quand il est urgent d'évacuer l'
urine
pour éviter un accident grave, tel que la rupture
l'urèthre, en raison soit de la nature de l'obstacle au passage de l'
urine
dans l'urèthre qui est infranchissable, soit de l
xécuter, elle ne pouvait se vider com-plètement, d'où altération de l'
urine
, usage continuel de la sonde. M. Voillemier, en
de rétablir le calibre du canal, de rétablir l'émis-sion facile de l'
urine
, défaire disparaître tous les troubles de la mict
re disparaître tous les troubles de la miction, tels que stagnation d'
urine
dans la vessie et dans l'urèthre, et consécutivem
aborder, l'auteur donne d'excellents préceptes sur l'évacuation de l'
urine
par les sondes, sur les injections vesicales, sur
'uriner violente et douloureuse ; il s'écoula beaucoup de sang avec l'
urine
. Cet accident n'eut pas de suite. —A partir de 18
t de plus en plus fréquentes. La mic-tion est très-douloureuse et les
urines
sont de plus en plus chargées de mucosités purule
pierre. Pendant la guerre, il survient brusquement une rétention d'
urine
qui oblige le docteur Hacherelle à pratiquer le c
rostration, cessent vite, mais la vessie reste indolente. Le malade n'
urine
pas sans se sonder, et, par la sonde, il fait tou
es. — Les envies d'uriner arrivent tous les quarts d'heure ; le jet d'
urine
est accompagné d'une douleur, allant de l'anus au
ui a conseillé, et du bon vin de Bordeaux coupé d'un peu d'eau. — Les
urines
, incolores, ont une odeur de macé-ration, elles l
e la vessie qui dure de une heure à une heure et demie. — Le malade n'
urine
qu'une fois pendant ce temps, il rend alors de 10
ine qu'une fois pendant ce temps, il rend alors de 100 à 60 grammes d'
urine
. Mais bientôt les spasmes se réveillent, les envi
une envie violente et persistante d'uriner avec douleur, quoique de l'
urine
s'écoule par la plaie. — Je passe une sonde en go
ne sonde en gomme coudée de moyen calibre et je retire 300 gram-mes d'
urine
. Je conseille au malade dont l'état général est t
douleurs cessent. Les jours suivants, la miction se fait bien et l'
urine
commence à passer par l'urèthre. — Le 20 octobre,
plaie, dont la cicatrisation se fait régulièrement en entonnoir. Les
urines
reprennent leur couleur normale. — L'enduit noirâ
que toutes les deux ou trois heures. Dès qu'il y a du dépôt dans les
urines
, le malade se fait lui-même une injection d'eau p
mière fois avec une ascite. Les bruits du cœur étaient réguliers, les
urines
normales. On ne sentait aucune tumeur dans l'abdo
oigt d'un aide, permettait d'obtenir à volonté de petites quantités d'
urine
qu'on examinait à l'aide de l'amidon et de l'acid
des, les réactifs commencèrent à déceler la présence de l'iode dans l'
urine
; une minute après l'injection la réaction violett
lle était très-marquée. Quelquefois l'iode disparaît promplement de l'
urine
. Ainsi, dans un essai, la réaction violette était
Cette opération fut suivie de symptômes fébriles et de rétention d'
urine
avec ballonnement du ventre; néanmoins la malade
, est plus restreinte. Il ne s'agit pas là de la simple rétention d'
urine
dans la vessie, fait vulgaire chez les hystérique
nées même, l'in-tervention de la sonde est nécessaire ; mais alors, l'
urine
extraite de la vessie est abondante ou, tout au m
a là une question à juger. Le fait capital, c'est que la quantité d'
urine
rendue en vingt-quatre heures, à l'aide de la son
pendant plusieurs jours, il y a, en définitive, suppression absolue d'
urine
. B. Il convient d'ailleurs, dans l'espèce, d'ét
établir des catégories. h'oligurie, ou même la suppression totale d'
urine
, peut n'être qu'un phénomène passager chez les hy
a-lades, surtout aux époques cataméniales, une suppression complète d'
urine
qui ne dépasse pas vingt-quatre ou trente-six heu
laise et d'accélération du pouls ; mais bientôt quelques cuillerées d'
urine
sont expulsées et tout rentre dans l'ordre. (Laye
. Durant des jours consécutifs, des semaines, des mois, la quantité d'
urine
rendue en vingt-quatre heures peut être insignifi
il y a, pendant une série de plusieurs jours, suppression complète d'
urine
. Lorsque les choses prennent cette tournure, à
ont la matière présente quelquefois, dit-on, l'aspect ou l'odeur de l'
urine
. Tou-jours est-il que, dans deux ou trois cas, l'
cidents semblent exciter l'intérêt et la curiosité des médecins, de l'
urine
pure sera expulsée par les vomissements, en quant
t reconnu l'existence de l'urée. Peu après, survinrent l'écoulement d'
urine
par le nombril, les oreilles, les yeux, les mamel
ie hysté-rique : c'est que, en dehors de l'hystérie, la suppression d'
urine
, pour peu qu'elle se prolonge au delà de quelques
vis de mort. La vie se prolonge un peu, si une quantité même minime d'
urine
peut être rendue, mais le résultat final ne varie
torzième jour. Le quinzième, le malade évacua une certaine quantité d'
urine
. Les accidents s'ag- 1 Med. Transad. published
erts in Mouvement médical, 1871. 4 J. Paget, Case of suppression of
urine
very slotvly fatal. In Transad, of the clinical S
Parmi les autres symptômes, je ne dois pas oublier la rétention des
urines
et le ballonnement du ventre qui, eux aussi, sont
ux ou trois fois par an environ. Cinq ans plus tard, la rétention d'
urine
apparaît. La malade est prise d'une hémiplégie av
malade plu-sieurs fois par jour, s'aperçut que parfois la quantité d'
urine
extraite par le cathétérisme était très-minime ;
rtir de laquelle je fis re-cueillir jour par jour, séparément, et les
urines
et les vomisse-ments. 11 s'arrête en octobre 1871
centilitres, la moyenne quotidienne étant de i litre. La quantité des
urines
a varié entre 0 et 5 grammes : moyenne, 2sr,50 en
'ischurie a été absolue de deux jours l'un. En août, la moyenne des
urines
a été de 3 grammes; celle des vomissements de 1 l
ndant plusieurs jours. Mais remarquez que jamais l'absence totale d'
urines
n'a per-sisté pendant plus de onze jours. Du 1e
la moyenne des vomissements a été de 1 litre 1/2 par jour; celle des
urines
ne s'élevant pas au-dessus de 2sr,50. Un fait m
igne des vomissements s'élève, d'une manière générale quand celle des
urines
s'abaisse, et inver-sement. 11 y a donc eu un bal
ous le prêta avec la plus grande obligeance. 22 centilitres cubes d'
urine
recueillis le 10 octobre, et représen-tant la tot
es d'urine recueillis le 10 octobre, et représen-tant la totalité des
urines
rendues ce jour-là, donnèrent à l'analyse 0gl',l7
rêt; il y eut à la suite, pendant plusieurs jours, une incontinence d'
urine
. La contracture disparut à droite : il ne fallait
xactes. Les vomissements, d'ailleurs, se suspendirent bientôt, et les
urines
re-vinrent progressivement au taux normal. V
mplète des symptômes, nous avons vu reparaître d'abord la rétention d'
urine
; c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite
e d'une attaque, nous notons des alternatives de polyurie (2 litres d'
urine
par jour) et d'oligurie. En mars, la sécrétion ur
yenne quotidienne des matières vomies fut de 500 grammes et celle des
urine
: de 300 grammes. En avril, celte moyenne fut de 8
e fut de 800 grammes pour les vomissements et de 100 grammes pour les
urines
. Durant cette nouvelle phase d'expérimentation,
isait manger. M. Gréhant a analysé, à diverses époques du mois, les
urines
et les vomissements de douze jours. Durant ce lap
s de douze jours. Durant ce laps de temps, la moyenne quotidienne des
urines
a été de 206 grammes, contenant 5sr,09 d'urée. La
emple, certains symptômes extraordinaires, tels que l'écoulement de l'
urine
par le nez, les yeux, etc., et les vomissements d
jusqu'au quatorzième jour. Sans doute, chez Etchevery, la quantité d'
urine
expulsée dans les jours intercalaires est très-mi
etérique des calculeux lors de rémission des plus petites quantités d'
urine
. Autre particularité : Le calculeux est frappé,
rée évacuée dans les vingt-quatre heures par notre malade, soit par l'
urine
, soit par les vomis-sements a sans doute frappé v
currence, d'analyser comparativement, jour par jour, le sang et les
urines
afin d'y déterminer la proportion de l'urée et de
phleg-masie de la glande rénale ou des uretères ; la composition des
urines
, de même que les autres symptômes,protesteraient
ventre est ouvert, il peut se produire une suppression momentanée des
urines
(Cl. Ber-nard) ; que, dans l'opération de la fist
on de la fistule vésico-vaginale, il arrive également parfois que les
urines
soient supprimées pendant un certain laps de temp
lle è O"1,060 millimètres de mercure, on ne trouve plus d'urée dans l'
urine
. 1 Donder's Physiologie. M. Roberts (de Manch
truction calculeuse de l'uretère, il s'é-chappa une petite quantité d'
urine
claire, contenant seulement 0gr,50 centigrammes d
centigrammes d'urée pour 1000 grammes. Or, chez notre hystérique, les
urines
renferment 15 grammes d'urée pour 1000 grammes, c
et le médecin du pays qu'habitait 1 The Pathology of suppression of
urine
. In the Lancet, 1868, may 23 et 30; — 1870, june
pporter nous a fourni l'occasion d'appliquer dans l'ex-ploration de l'
urine
, un procédé de dosage de l'albumine, imaginé par
titude presque mathématique la proportion d'albumine con-tenue dans l'
urine
; 2° par sa sensibilité, puis- qu il fait découv
ramme. 100 — Pour opérer le dosage, on prend 10 centimètres cubes d'
urine
filtrée, et l'on y verse goutte à goutte la lique
décroissance progressive de la proportion d'albumine contenue dans l'
urine
, en même temps que la décroissance de la températ
e son ventre et ses membres inférieurs étaient enflés. On examina son
urine
par la chaleur et un liquide, mais chaque fois l'
On examina son urine par la chaleur et un liquide, mais chaque fois l'
urine
restait claire. Quelque temps après l'accouchemen
0 grammes. Second accès écïamptique aussitôt après la délivrance. L'
urine
, examinée les jours précédents, ne contenait pas
. T. V. 37°,4 ; P. 84. — juin. T. V. 37°,5 ; P. 80. L'albumine de l'
urine
, ayant été dosée par le procédé Tanret, a présent
mbre, par un érythème chronique, résultat du contact irritant et de l'
urine
et de l'ichor cancéreux. Un peu déjetées à droite
me pour vider la vessie ; la douleur pro- duite par le passage de l'
urine
, soit sur l'urèthre enflammé, soit sur les partie
vessie et catarrhe de cet organe. Depuis plusieurs mois, le malade n'
urine
plus qu'avec dif-ficulté et goutte à goutte. Dans
re. — État général assez bon. — Dans la nuit du 24 au 25, rétention d'
urine
, cathétérisme. — Pansement de la plaie avec linge
qui s'y trouve, et qu'on le mélange avec de l'eau sucrée, salée, de l'
urine
ou de l'iod-sérum préférai dément, on aperçoit so
pilepsie; à au-cune époque, il n'y a eu d'évacuations involontaires d'
urines
ou de matières fécales ; dans les courts répits q
19 au 20,6'accès et dans la journée du 20, 7. Pas d'albu-mine dans l'
urine
; fort sédiment urique. Langue chargée. Températur
. Température 57°, 75; selles normales; léger trouble albumineux de l'
urine
. Les jours suivants de 8 à 16 accès par jour. E
le 26, éruption miliaire, confluente en vésicules au bout des doigts.
Urine
chargée de phosphates, sans albumine. Dans les ac
dant les accès, elle parle souvent ou crie. Éva-cuations fréquentes d'
urine
et de matières dans le lit. Amélioration, puis ét
ie absolue. — Amendement de la paralysie. — Incontinence nocturne d'
urine
. — Intelligence conservée. — Spécimens du langa
T. R. 38°, 4. 3 déc. P. 100; T. R. 39°, 8. Incontinence nocturne d'
urine
. — Soir : P. 72; T. R. 37°, 8. V... a été levé po
. — Soir : P. 64 ; T. R. 37°, 4. 5 déc. P. 60; T. R. 37°. Le malade
urine
toujours sous lui. — Soir : P. 68; T. R. 37°, 2.
7°. Constipation depuis deux jours. Lavement purgatif. Incontinence d'
urine
. V... descend de son lit et y remonte sans aide;
male. Le malade se trouve mieux. P. 96; T. R. 37°,7. L'incontinence d'
urine
, qui avait cessé, se montre de nouveau. ^Sjanv.
sement de l'urèthre, qui joue peut-être un rôle dans l'incontinence d'
urine
. V... nous fait comprendre qu'il a eu cinq hémorr
on de peu de durée. On a constaté la présence de l'hyoscyamine dans l'
urine
du malade. 14 août. La céphalalgie a disparu; l
ans qu'elle éprouve de soubresauts. Enfin elle peut mieux retenir ses
urines
et ses jambes, qui étaient enflées tous les soirs
anal de Sténon. Temp. axil. 38°,4. 96 puisât. Pas d'albumine dans l'
urine
, aug-mentation du chlorure de sodium. La malade s
aitement fondées. Le chapitre premier consacre 21 pages à étudier l'
urine
physio-logique et pathologique, l'examen microsco
d'impression : la quantité des matières solides qui pas-sent dans les
urines
en 24 heures est évaluée à 3 grammes et une fract
seulement aux pubis, mais encore sur le corps. Pas d'albumine dans l'
urine
, malgré l'infiltration. Depuis la maladie dont
effet sur la pression intra-va-cu-laire. A mesure que la quantité des
urines
augmente, leur densité diminue. 5° L'action de
cédé la maigreur et la sécheresse de tissus habituelles au sujet. Les
urines
étaient devenues très abondantes, et les digestio
ession qu'il détermine sur le col de •sic, doit gêner l'éjection de l'
urine
, avant de commencer le tai iponnement, il est bo
langes de l'enfant ne sont pas mouillés, attendu cpi'il ne rend pas d'
urine
; puis à ses cris, et surtout à une tumeur transpa
une partie du prépuce, lorsqu'il a trop de longueur; le passage de l'
urine
suffit pour maintenir l'ouverture artificielle. T
e prépuce est très allongé et son ouverture très étroite. En effet, l'
urine
ne sortant que difficilement, il en reste toujour
les bords de son ouverture contractent des adhérences, la rétention d'
urine
devient complète, et l'enfant succomberait si l'o
verture du prépuce est assez large pour permettre une libre issue à l'
urine
, on ne s'aperçoit de la présence du phimosis que
ormée, observant de laisser une petite ouverture pour le passage de l'
urine
. Cette opération est ajuste titre inusitée, d'a
ans qui ont le prépuce très long et dans la cavité du-quel séjourne l'
urine
. Lorsque les calculs ne sont pas très gros et q
point que l'on fasse uriner le malade avant l'opération , parce que l'
urine
s'oppose à ce que la sonde qu'on introduit dans l
sent que la sonde à demeure dans la vessie est inutile, attendu que l'
urine
s'opposera suffisamment à l'oblitération du méat
conservé est d'une certaine longueur les malades peuvent pousser leur
urine
au loin , comme dans l'état ordinaire ; mais lors
forme conique, en buis ou en métal, destinée à diriger le cours de l'
urine
, en s'ap-pliquantpar sa partie la plus large sur
e celle-ci fût enfoncée de i3 à i4 cent, dans le canal excréteur de F
urine
. Il ne faut donc pas attacher à la longueur connu
d'une manière plus ou moins complète et s'opposer à l'écoulement des
urines
; d'autres fois le veru monta-num s'épanouit et fo
t inférieurement par les muscles bulbo-caverneuxou accélérateurs de l'
urine
qui le séparent de la peau; ces muscles, unis par
table étui susceptible de se décoller au loin par l'infiltration de l'
urine
; quand il existe des crevasses du canal, la porti
as ou Xépispadias , dispositions qui, en per-mettant l'expulsion de l'
urine
au dehors, rend le sujet via-ble, et donne tout l
ment à en pratiquer un suivant le trajet normal pour donner issue à l'
urine
. L'un perforation du pénis s'annonce d'elle-même
e vue. Le point où elle s'ar-rête est indiqué par la fluctuation de l'
urine
qui se fait égale- ment sentir dans toute la lo
tuée un peu plus en arrière. Dans la seconde espèce, l'expulsion de l'
urine
a lieu sans difficulté , mais il y a souvent impu
me élastique portée jusque clans la vessie, donna une libre issue à l'
urine
. La fistule touchée à diverses reprises avec le n
d'argent se cicatrisa, et le trajet nouveau servit à l'excrétion de l'
urine
. Il conserva néanmoins pendant long-temps encore
il y a impuissance absolue et bien constatée et que l'ex-crétion de l'
urine
ne s'opère pas en toute facilité. C'est dire posi
bis, laquelle lui constitue une paroi supérieure jusqu'à la vessie. L'
urine
n'est souvent retenue que d'une ma-nière incomplè
iciel s'était maintenu et donnait, sans douleur, un libre passage à l'
urine
. Il est bien entendu que, s'il existait des fongo
à introduire dans la vessie un cathéter ou une sonde , pour évacuer l'
urine
, pour explo-rer la cavité de ce viscère, et pour
lées les yeux de la sonde, et qui sont destinées à donner passage à l'
urine
. On a le soin de les placer à des hauteurs dif-fé
riations et de petits ulcères; d'un autre côtelés fils corrodés par l'
urine
pou-vaient se rompre , le bec de la sonde se déta
à tous les mouvemens. Elles ne sont point sensiblement altérées par l'
urine
; seulement, lorsqu'on les laisse séjourner dix à
nne de l'urètre. La sensation d'un obstacle vaincu, et la sortie de l'
urine
, indiquent suffisamment qu'on est arrivé dans la
brièvement : i " on éprouve la sensation d'un ob stacle vaincu; a° l'
urine
sort parle pavillon de la sonde lorsqu'elle est c
arrive quelquefois, on ne rentre dans la vessie, d'où la sortie de l'
urine
, mais sans beaucoup de mobilité. Lesmou-vemenslib
spécialement pendant le cours de la gastro-entérite, la rétention « d'
urine
et la nécessité de pratiquer le cathétérisme, ne
prostatique, et dans la poche « rétractée que forme le réservoir de l'
urine
. » Dans d'autres cas on a vu des mucosités épai
épaisses, et des concré-tions sanguines s'opposer à l'écoulement de l'
urine
, par suite de leur engagement dans les yeux de l
ue la sonde y est arrivée elle donne issue à une certaine quan-tité d'
urine
, qui s'y accumule pendant l'expulsion de celle de
arrivé dans la vessie on ôte le mandrin et l'on aide à la sortie de l'
urine
au moyen d'une pression douce et soutenue sur la
un fosset de bois on peut le garnir d'un peu de coton pour empêcher l'
urine
de suinter; il suffit au malade delà retirer tout
de delà retirer toutes les deux ou trois heures pour donner issue à l'
urine
qui s'est accumulée dans la vessie. On doit ret
rrait être suivi de l'incrustation de son extrémité par les sels de l'
urine
, et non-seulement amener des difficultés pour la
irurgien et moins douloureuse pour le malade. On pourrait remplacer l'
urine
par une injection d'eau tiède. Cathétérisme ave
s, en spasmodiques et en inflamma-toires (Leçons sur les rétentions d'
urine
). Pour bien comprendre ce qui est relatif à la
sceptibles de mettre un obsta-cle plus ou moins complet au cours de l'
urine
; mais ces affec-tions sont très rares et se renc
rétrécissement faisant l'office d'un col vesical non contractile , l'
urine
sort constamment et involontairement ; son séjour
pliquer contre son ouverture. C'est alors que survient la rétention d'
urine
. S'il n'y a qu'un seul rétrécissement il siège
obstacle qui s'oppose plus ou inoins complètement à l'excrétion de l'
urine
, la première chose à faire est de reconnaître son
eux cas : celui où le rétrécissement ne fait que gêner la sortie de l'
urine
, sans s'opposer complètement à son excrétion ; e
opposer complètement à son excrétion ; et celui où il y a rétention d'
urine
complète causée par un rétrécissement ou toute au
re , jusqu'à ce que le canal ait repris son calibre naturel, et que l'
urine
sorte sans difficulté. On a pour but, dans cette
r une plus grosse. Ordinairement, lorsque la bougie est introduite, l'
urine
sort entre elle et les parois du canal ; si ce li
irer un peu la bougie, surtout si 52 rlle est conique, pour que l'
urine
s'échappe. En pareil cas M. Amussat fait une inje
t les parois du canal, et prétend en retirer des avantages. Lorsque l'
urine
s'est écoulée, il devient souvent facile de pouss
route plus ou moins profonde, dans laquelle il serait dangereux que l'
urine
séjournât, ou lorsque déjà il s'est iormé des cre
long-temps employé, s'applique surtout aux cas où il y a rétention d'
urine
complète, quelle qu'en soit la cause, lorsqu'il e
, quelle qu'en soit la cause, lorsqu'il est indispensable d'évacuer l'
urine
. La dilatation forcée a été proposée en 1835 pa
re offrait de difficultés au cathétérisme et à la libre excrétion des
urines
, plus aussi il avait soin de s'armer d'un cathéte
ns se restreignent dans les cas suivans : t° Quand les rétentions d'
urine
ont lieu par tumeur ou mala-die de la prostate, p
us consi-dérable, et s'opposât plus que les autres à l'excrétion de l'
urine
, on se trouvait dans l'obligation de perdre un te
tre portées, quoique rarement, au point de déterminer une rétention d'
urine
; cette rétention résulte aussi quelquefois de l'a
jours, l'action du caustique est terminée et le malade expulse avec l'
urine
des fausses membranes; mais quelquefois cette exp
it bien agi. Aussitôt que la sensibilité est tombée, et que le malade
urine
sans douleur, ce qui arrive vers le troisième ou
le ; elle procure un prompt agrandissement des voies d'excrétion de l'
urine
; la saignée locale, qui résulte de son emploi, dé
conduisant à travers une canule, n'est point employée. RÉTENTION D'
URINE
. Diverses affections peuvent, intercepter compl
Diverses affections peuvent, intercepter complètement le cours de l'
urine
: les rétréeissemens de l'urètre avec les causes
e. Les méthodes opératoires mises en usage contre la rétention de l'
urine
sont les injections forcées, le cathétérisme forc
i, dans l'espèce de cul-de-sac formé en ce point par la pression de l'
urine
, de ma-nière à faire obstacle un premier jet de c
issement, car, après quelques ten-tatives, en retirant la seringue, l'
urine
coule goutte à goutte. On retire la sonde, et pou
tire la sonde, et pour peu que le malade ait de force pour pousser, l'
urine
ne tarde pas à couler par un petit jet. Si la pre
en pratiquer une seconde et même une troisième. Si, lorsque le jet d'
urine
a paru, il se suspendait de nouveau, il serait à
avec une sonde à dard et réus-sit de la sorte à frayer une route à l'
urine
. Le moyen employé par Chopart consistait à opér
elle est parvenue dans la vessie : alors on retire le stylet, et si l'
urine
s'écoule, la présomption se convertit en certitud
ion se convertit en certitude: l'opération est terminée. Mais comme l'
urine
commence à sortir aussitôt que l'ouverture latéra
quelques millimètres. Dans ces deux cas , s'il n'y a pas rétention d'
urine
complète, on n'insiste pas; on retire la sonde qu
ans la cloison recto-vésicale, ou dans le rectum lui-même. En effet l'
urine
alors ne trouvant pas d'issue pour sortir ou ne t
u 48 heures les parois de ce nouveau canal, habituées au contact de l'
urine
, ne se laissent plus imprégner et infiltrer par c
et pénétrer jusqu'à la vessie. Si malgré tout ce qu'on aurait fait, l'
urine
s'infiltrait, et qu'on vît survenir les accidens
ion des fistules urinaires et le rétrécissement nor-mal du cours de l'
urine
, sont la dilatation, la suture , la cautéri-satio
oujours les fistules urétrales dépen-dent d'un obstacle au cours de l'
urine
, situé au-devant de la cre-vasse. La première i
tre qu'elles dilatent les parois de l'urètre, elles donnent issue à l'
urine
au dehors, et empêchent qu'il n'en passe par la f
peut être rempli par les bougies. A mesure que le cours naturel de l'
urine
se rétablit, le plus souvent les callosités de la
trajets fistuleux et de leurs ouvertures extérieures, aussitôt que l'
urine
a pris son cours par la sonde, et a cessé deles t
dant, malgré l'usage de la sonde, et quoique l'obstacle au cours de l'
urine
soit neutralisé par sa présence, la fistule néanm
ns persiste. On a pensé que cela tenait à ce qu'une petite quantité d'
urine
, poussée parles contractions de la vessie, s'insi
ucoup de cas, de tenir la sonde constamment débouchée, de sorte que l'
urine
, trouvant une issue toujours libre, ne pût pas s'
tenue dé-bouchée, et que la fistule ne laissât passer aucune goutte d'
urine
: tel est le cas d'un jeune homme d'Abbeville , d
ire dans le canal, à chaque fois qu'on veut uriner, afin d'empêcher l'
urine
d'agir sur la cicatrice encore faible , et. de la
de plus de 6 à 7 millimètres les uns des autres, sous peine de voir l'
urine
s'infil-trer entre eux, et s'opposer à la réunion
é sur les succès qu'on y a pour ainsi dire renoncé. Tantôt en effet l'
urine
, venant s'interposer entre les lèvres de la plaie
sorte que les lignes des sutures, étant moins éloignés du trajet de l'
urine
, courrent moins le risque d'en être imprégnées qu
. De quelque manière qu'on s'y prenne, on a toujours à redouter que l'
urine
, liquide si pénétrant, ne s'in-filtre entre les l
bvier à cet inconvénient majeur, a proposé de détourner le cours de l'
urine
pendant tout le temps nécessaire pour que l'adhér
dans la vessie à travers l'ouverture artificielle et donne is-sue aux
urines
. L'auteur a réussi deux fois, par ce procédé, à o
rtait aussi la sonde d'abord introduite dans la vessie pour évacuer l'
urine
. Le succès de cette opération ne fut pas complet
ne, sur l'observation de M. Ricord, concluent que le détournement des
urines
de la voie habituelle par l'intro-duction d'une s
culs urètraux. Les callosités disparaissent ordinairement lorsque l'
urine
cesse de passer par la fistule; cependant il n'en
chant avec facilité dans le canal où ils sont poussés par le jet de l'
urine
. Dans les cas ordinaires, les calculs urétraux
être reconnus. Alors ils se creusent une rigole pour laisser passer l'
urine
, et peuvent faire croire à l'existence d'un rétré
ion assez grande pour donner passage au corps étranger et puis à de l'
urine
. Dans ce cas, si l'ouverture anormale est oblique
ien le calcul ferme complètement l'urètre et interrompt le cours de l'
urine
, ou bien l'urètre n'est pas com-plètement oblitér
s de l'urine, ou bien l'urètre n'est pas com-plètement oblitéré, et l'
urine
peut encore s'échapper. Dans l'un et l'autre cas,
mps qu'on retirait la sonde, on recommandait au malade de pousser son
urine
avec, force pour tâcher de chasser le calcul. É
sage de l'éponge présente de grands avantages, puisqu'elle permet à l'
urine
de s'écouler en même temps que l'urètre est soumi
ait employé toute autre substance qui se fût opposée à la sortie de l'
urine
. Chez l'adulte, on se contenterait délaisser l'ép
rritabilité à cet âge, elle provoque plus de douleurs. La rétention d'
urine
, pen-dant que l'éponge est dans le canal, détermi
le du cylindre d'épongé, afin de favoriser l'écou-lement graduel de l'
urine
. On pourrait craindre de voir une in-continence d
offrait une dilatation considérable d'où résultait une incontinence d'
urine
. Pour remédiera ce grave inconvénient, M. Hobart
très bien; l'urètre reprit son calibre primitif, et l'incontinence d'
urine
cessa (Archives gènèr., 2e série, t. vm). TUMEU
ruent l'orifice vésical de l'urètre, et s'opposent à l'excrétion de l'
urine
. Naguère encore , on ne tentait contre la rétenti
peu-à-peu, l'usage des sondes devenait impossible, et la rétention d'
urine
, complète, exigeait la ponction sus-pubienne qui
pour plusieurs mois, et même pour plusieurs années, de ré-tentions d'
urine
qui avaient résisté à tous les autres moyens, M.
ndrin. Cet instru-ment a sur le précédent l'avantage de permettre à l'
urine
de sor-tir, et de pouvoir être laissé en place ju
en putri-lage, et se détache par morceaux qui sont entraînés avec les
urines
. PONCTION DE LA VESSIE. Lorsqu'on a essayé de
yé de tous les moyens propres à débarrasser le passage naturel de l'
urine
, et qu'on n'a pu réussir, il faut créer pour ce l
ie une canule qu'on y fixe à de-meure pour servir à l'évacuation de l'
urine
. Dionis recommande aussi de préférence de faire l
port avec l'extrémité correspondante de cette rainure, de façon que l'
urine
pénètre dedans, sort à l'extérieur par son autre
prostate et l'insertion de l'urètre. La sortie de quelques gouttes d'
urine
, qui s'échappent par le sillon du trocart, et le
la canule avec la main gauche, retire le poinçon, et laisse écouler l'
urine
. Lorsque la vessie est vidée il bouche la canule,
urrait être salutaire pour l'affection qui a déterminé la rétention d'
urine
. Du reste, en Angleterre, l'incision n'a jamais é
'il était jamais dans la nécessité d'ouvrit-une voie artificielle aux
urines
, il se bornerait à chercher l'urètre, et à lui fa
e percer avec un trocart le rectum et la vessie pour donner issue à l'
urine
, et obtint plusieurs succès. Procédé de Fleuran
che pour l'empêcher de sortir, il retire en même temps le poinçon : l'
urine
sort aussitôt. A mesure qu'elle s'écoule il faut
on ouverture pendant que la vessie revient sur elle-même. Lorsque l'
urine
a cessé de couler, on fixe la canule avec des fil
ant la sortie des ma-tières. On la maintient ainsi jusqu'à ce que les
urines
aient repris leur cours naturel. Alors seulement
e vidant, revenait sur elle-même, elle abandonnait l'instrument, et l'
urine
s'infiltrait dans le tissu cellulaire; ou tout au
'enflammer et y causer une eschare gangreneuse suivie d'épanchemens d'
urine
dans les tissus environnans. Le trocart courbe de
arie suivant l'embonpoint des sujets. La sortie de quelques gouttes d'
urine
, qui viennent par la cannelure du trocart, et la
sortie du li-quide.Cette canule doit rester en place jusqu'à ce que l'
urine
sorte par le canal naturel, ou bien jusqu'à ce qu
t pour ainsi dire devenu muqueux, et imperméable à l'infiltration des
urines
. On peut alors sans crainte retirer la canule pou
P. Franck sur le cadavre d'un individu très gras, mort de rétention d'
urine
, incision qu'A-bernethy a proposé de faire en tou
et pénétra dans ce viscère ; il retira alors le mandrin, et lorsque l'
urine
se fut écoulée, il assujettit l'algalie, et ne la
e la voie artificielle qu'il avait créée, pouvait donner pas-sage aux
urines
sans le secours des sondes. Les modifications q
le péritoine , et qu'elle ne donne pas à craindre l'infiltration de l'
urine
dans les tissus voisins, tant que la canule est d
n a rarement recours à la ponction, le malade at-teint de rétention d'
urine
est frappé à mort ; aucun effort humain ne pourra
temps conve-nable, fait d'abord cesser les accidens delà rétention d'
urine
; et n'eût-elle point d'autre effet, que ce serait
, le canal n'étant plus irrité par le passage fréquemment répété de l'
urine
, se déterge; l'intensité de la cause qui avait do
ment par la dilatation, ou par la cauté-risation , afin de rendre à l'
urine
son cours naturel. N'arrivât-on à ce résultat que
nt il s'agit comme un précieux moyen de secours contre la rétention d'
urine
. Certes, il serait moins désagréable et aussi moi
tes, il serait moins désagréable et aussi moins gênant d'expulser les
urines
par un canal artificiel, situé au-dessus des pubi
ons à leur opinion, et pensons comme eux, qu'alors que la rétention d'
urine
, déter-minée par les rétrécissemens de l'urètre,
hypertrophiée au point de fermer com- 57 plétoment le passage aux
urines
; encore ne serait-ce que pour éviter de l'aire un
ssie, de ne pas exposer aux fistules et de frayer une voie facile aux
urines
. Mais avant d'arriver à cet organe, il faut trave
exécuter, peu douloureuse, sans danger, donnant un passage facile à l'
urine
, parce qu'elle existe dans la partie la plus décl
les plus élevés de la vessie, de ne donner issue qu'à une partie de l'
urine
contenue dans ce viscère et par conséquent d'expo
ourt, la vessie en se vidant se rétracte , abandonne la ca-nule, et l'
urine
se répand dans les tissus; et si le trocart est t
et y cause une inflammation ulcéreuse, suivie d'un trou par lequel l'
urine
tombe dans le ventre ou dans le rectum. Mais peu
s une voiture; envies fréquentes d'uriner, et pendant l'éjection de l'
urine
, suppression brusque qui reparaît aussitôt par un
ôt par une se-cousse imprimée au corps ou un changement de position ;
urines
habituellement jumenteuses, fétides, parfois puru
mme à l'ordinaire dans la vessie, sans donner préalablement issue aux
urines
, par une succession demouvemens méthodiques, pous
me une der-nière manœuvre, sans déplacer la sonde, on donne issue à l'
urine
, et il arrive parfois qu'en se contractant, à mes
on. Eu égard à l'état des organes urinaires, le catarrhe vésical avec
urines
mu-queuses, purulentes et sanguinolentes, n'est p
ois par jour, avait, dans la plupart des cas, les meilleurs effets. L'
urine
, sous l'influence de cette médication, se mainten
MM. Woehler et Magendie sur le passage des substances solubles dans l'
urine
, il est certain que ce liquide se maintient alcal
a persistance du traite-ment; la disparition du catarrhe vesical, les
urines
fétides et pu-rulentes devenant promptement limpi
é extraite, et d'où il résulte (i) qu'il s'agissait d'une rétention d'
urine
causée par une petite pierre placée au col de la
in chirurgica determinatur), ou si elle n'empêche pas la sortie de l'
urine
, on aura recours à des médi-camens pour la faire
duire à un assez petit volume pour qu'elle pût être expulsée avec les
urines
. Sans doute si ce fait est vrai la lithotritie ét
ait à détacher quel-ques parcelles du calcul qu'il expulsait avec les
urines
, et qu'il conservait soigneusement; en moins d'un
sitôt que l'instrument est retiré, le liquide de l'injection mêlé aux
urines
s'écoule et entraîne avec lui la poussière des pe
ère qu'ils pussent être expulsés en totalité avec l'in-jection et les
urines
. Procédé de M. Meyrieux et de ses imitateurs. L
tractant d'une manière presque permanente, expulse à chaque instant l'
urine
qu'elle contient, et ne peut conserver le liquide
iquer sur le corps étranger, le ma-te lade n'éprouve point, lorsque l'
urine
cesse de couler, la dou-ce leur avec sensation sp
époque reculée, que la vessie se débarrasse encore d'une par-tie de l'
urine
, que la phlogose a peu d'intensité, et que d'ail-
mière séance , le retour et la régularité de l'émission naturelle des
urines
, sont autant de circonstances qui font au-gurer
pape contre l'orifice postérieur de l'urètre lorsqu'on veut évacuer l'
urine
, et s'oppose à la sortie de ce liquide. Les eng
l'aide de ce moyen il est quelquefois parvenu à rétablir le cours des
urines
qui se trouvait totalement supprimé. D'après ce q
e méat urinaire qui, suffisamment large en-core pour l'excrétion de l'
urine
, est néanmoins trop étroit pour admettre les inst
e moyen de la prostate hyper-trophiée s'oppose à la libre sortie de l'
urine
. Dans ces cas la lithotritie ne peut être pratiqu
es peuvent avoir des suites fort graves , telles que l'infiltration d'
urine
et la fistule urinaire. H'importe d'autant plus d
il résulte une inflammation nécessairement accompagnée de rétention d'
urine
. On remédie à cette dernière par l'emploi de la s
démontre, à cha-que séance, le ténesme qui accompagne l'éjection de l'
urine
et les matières muqueuses qu'elle contient. Mais
utant mieux cpie cette sensation est accompagnée de la rétention de l'
urine
. M. Ci-viale conseille, en pareil cas, de pratiqu
e moyen, à faire cesser cet état de spasme et à rétablir le cours des
urines
. Il est encore quelques autres accidens qui ne
a taille recto-vésicale. Chez la femme on par-vient au réservoir de l'
urine
par l'hypogastre, le vagin et le ves-tibule. Le
e trigone vésical, et que c'est à tra-vers la paroi du réservoir de l'
urine
lui-même, qu'on le déprime vers le périnée et qu'
io-lentes, desorchites, des fistules urinaires ou des incontinences d'
urine
, la stérilité et, enfin, fréquemment la mort. Imb
sta dans les hôpitaux vingt-quatre, atteints les uns d'incontinence d'
urine
, et les autres de fistules urinaires; les treize
gement la peau et le tissu cellulaire pour éviter l'infiltration de l'
urine
dans ces parties ; de ménager les parties intermé
utres à blesser le rectum, ou le bas-fond de la vessie à mesure que l'
urine
sor-tait. Qu'il abandonnait facilement la cannelu
et dans la vessie, sans abandonner sa rainure. On s'arrête, lorsque l'
urine
sort, et qu'on n'éprouve plus de résistance; c'es
t de l'eau dans la vessie, ou recommandait à son malade de garder ses
urines
, et s'assurait si la vessie était suffisamment pl
a tubérosité de l'ischion gauche, en tournant sa cannelure en haut. L'
urine
qui s'échappait par cette voie l'avertissait qu'i
cette cannelure près de son extrémité. A ce moment de l'opération, l'
urine
qui sortait en plus grande quantité lui annonçant
re manœuvrer avec plus de facilité, en même temps qu'elle fournit aux
urines
un écoulement plus facile. Aucune des inci-sions,
garni d'une toile cirée, recouverte d'alèses destinées à rece-voir l'
urine
, et à l'empêcher de pénétrer dans les matelas; le
flexion, est le meilleur et le plus conve-nable pour l'écoulement des
urines
, et pour changer les alèses ; toutefois rien n'o
ès. Pendant les huit ou dix premiers jours qui suivent l'opération, l'
urine
passe entièrement par la plaie; quel-quefois il e
es lèvres de la plaie; aussitôt que cette tuméfaction est dissipée, l'
urine
recommence à passer par la plaie. Durant cçtte pé
des tégumens. C'est ordinairement du huitième au quinzième jour que l'
urine
commence à sortir par l'urètre ; la quantité qui
e, la plaie extérieure, qui n'est plus entretenue par le passage de l'
urine
, se resserre peu-à-peu et se trouve complètement
utre le dix-neuvièrne. Mais aussi on en cite d'autres chez lesquels l'
urine
n'a commencé à sortir par la verge que le vingtiè
de placer une canule dans la plaie , soit pour diriger le cours de l'
urine
, soit pour prévenir son infiltration dans les tis
et abandonner les choses à la nature. Si l'on redoute le séjour de l'
urine
dans la vessie, on préfère pratiquer le cathé-tér
grande simplicité, l'avantage de per-mettre un écoulement facile aux
urines
et une libre issue aux caillots sanguins contenus
aindre cet accident lors-qu'au bout de cinquante ou soixante jours, l'
urine
passe encore par la plaie. Après cette époque, il
in de pouvoir y remédier par les moyens appropriés. Vincontinence d'
urine
est très rare après l'opération de la taille laté
parties froissées. Cette maladie est incu-rable toutes les fois que l'
urine
s'écoule de la vessie à mesure qu'elle y arrive,
et que cet état persiste plusieurs mois. Lorsque l'incontinence de l'
urine
est incomplète, de telle sorte qu'une partie du l
division de l'urètre et du col de la vessie, et lorsque le cours des
urines
est rétabli, cette fistule guérit par le traiteme
ent ordinaire des autres fistules à l'anus. Si néanmoins le cours des
urines
tardait trop à se rétablir, on doit introduire un
on persiste entre le rectum et la vessie : alors le ma-lade rend de l'
urine
par le rectum, et quelques matières stercorales d
rtion moyenne de l'intestin n'est séparée, en haut, du réservoir de l'
urine
que par du tissu cellulaire lâche, quelques veine
col. Lorsqu'il y est arrivé, ce dont il est averti par la sortie de l'
urine
, il élève le manche du bistouri, abaisse sa point
et plus facile que les autres tailles sous-pubiennes; 3° d'offrir à l'
urine
, après l'extraction des calculs, pendant que le m
zontalement sur le dos, une ouverture qui livre un passage facile aux
urines
et s'oppose à ce qu'elles s'extravasent dans le t
dominale a formé son cul-de-sac, entre le rectum et le réservoir de l'
urine
, elle continue de s'avancer d'abord sur la face p
st par là qu'on doit arriver sur la face antérieure du réservoir de l'
urine
. Manuel opératoire. Personne ne sera tenté d'im
et diriger le bistouri. Aussilèt qu'il avait ouvert le réservoir de l'
urine
, il portail son doigt indi-cateur dans l'incision
les dou-leurs causées par les injections; 2° la facilité que trouve l'
urine
à sortir par la plaie delà vessie, à s'infiltrer
; puis il plaçait son doigt indica-teur gauche dans le réservoir de l'
urine
, qu'il soulevait comme avec un crochet, faisait r
e, à travers la plaie faite au périnée, afin de fournir une issue à l'
urine
par la partie la plus déclive de l'organe et l'em
qu'il n'oblige pas à avoir recours aux injections et qu'il donne à l'
urine
une issue facile, la pratique, néanmoins, à la pl
ussi graves. Ainsi, d'une part, la plaie du périnée n'empêche point l'
urine
de sortir par la plaie de l'hypogastre et de s'in
lésion du péritoine, dans les deux incisions, et l'infiltration de l'
urine
, après l'opération, étant les deux acci-dens esse
d'orge ou de l'eau de guimauve, doit être préférée à la rétention des
urines
par le malade, que les fréquens besoins d'uriner
sion doit s'étendre un peu sur le pubis, afin d'éviter le séjour de l'
urine
dans l'angle inférieur de la plaie, ef son infilt
enne le viscère. Ce doigt, qui ferme et remplit l'incision, empêche l'
urine
de sortir; immédiatement le chirurgien s'en sert
manœuvre du doigt et des instrumens. Dès que la plaie est agrandie, l'
urine
s'écoule en abondance et il faut se hâter d'in-tr
cruciale. Opération en deux temps. Pour éviter l'infiltration de l'
urine
M. Vernière (Bulletin de Férussac, t. xxn, p. 224
e tissu cellulaire serait devenu imperméable par l'inflammation, et l'
urine
ne pourrait plus le traverser. Mais les chirurgie
hypogastrique ; les moyens employés pour s'op-poser à la sortie de l'
urine
par la plaie, et pour obtenir la gué-rison de cet
it croire de tous les moyens proposés pour s'opposer à la sortie de l'
urine
par la plaie de l'hypogastre. Emploi de la mèch
dont l'autre pend entre les jambes; cette bandelette, en s'imbibant d'
urine
, a pour usage de servir de filtre et de conducteu
roire, et sa présence n'est point indispensable. La crainte de voir l'
urine
s'ex-travaser dans le tissu cellulaire, est en gé
et qu'on ne laisse que l'angle inférieur d'ouvert pour le passage des
urines
. Lorsque le pansement est appliqué, on place un
de l'appareil. Outre la mèche effilée pour servir de conducteur à l'
urine
, et pour l'empêcher de s'infiltrer , plusieurs au
seillée dans le but de s'opposer à la sortie et à l'infiltration de l'
urine
, par Solingen, Praîbisch, Douglas, Rossi, Gehler,
lement applicable, pût s'opposer à la sortie et à l'infiltration de l'
urine
, ce qui est pour le moins fort contestable, il ne
à demeure dans la vessie. L'importance qu'on atta-chait à diriger les
urines
au dehors a fait croire qu'une canule laissée à d
s dans un contact assez parfait durant les premiers jours, pour que l'
urine
ne trouve pas moyen de s'échapper entre elles, et
bord serrés clans une plaie, ne tardent pas à s'y trouver au large, l'
urine
, après quelques jours, s'écoule entre la canule e
e est assez condensé pour n'avoir plus à craindre l'infiltration de l'
urine
à travers ses mailles. De toute façon, soit imméd
e sort par l'urètre et l'autre par la plaie, dans le but de retirer l'
urine
par ces deux con-duits à-la-fois, partageant les
e deux ou trois jours par exemple, parce qu'alors l'infiltration de l'
urine
n'est plus à craindre. Si on laissait plus long-t
n bas que le trou élargi de l'instrument conducteur donnant issue à l'
urine
, comme il est arrivé à M. Kirby et à ce qu'il par
antage de cet instrument. Quand on n'a pas fait usage de la canule, l'
urine
sort dans les premiers jours en totalité par la p
renou-veler fréquemment. Peu de jours après, une certaine quantité d'
urine
sort par l'urètre ; elle augmente à mesure que la
on verticale ou assise sera même très avantageuse pour la sortie de l'
urine
. accidens qui peuvent accompagner la taille hyp
n-moins, dans le cas dont il s'agit, c'est la présence constante de l'
urine
qui sort par la plaie, peut tomber dans la cavité
u'on doive moins redouter les lésions du péritoine et l'épanchement d'
urine
dans son intérieur qu'on ne l'a fait jusqu'à prés
arrivé, est de tenir le malade presque assis dans son lit, afin que l'
urine
puisse sortir par l'angle inférieur de la plaie,
t quelquefois l'opération, peuvent résulter ou de l'infiltration de l'
urine
dans le tissu cel-lulaire ambiant, ou bien de l'i
gir avec beaucoup de circonspection , pour éviter l'infiltration de l'
urine
, car cet accident est grave, et lorsqu'il est sur
est d'inciser, lorsque cela est possible, les foyers dans lesquels l'
urine
s'est accumulée, et de panser les plaies qui en r
la taille hypogastrique, la division dupéritoineetles infiltrations d'
urine
, dangers réels et qui parlent en faveur de l'opin
attons subira la loi commune, lorsque quelque fâcheuse infiltration d'
urine
dans le tissu cellulaire du bassin, causée par la
ouvent sans qu'on s'en aperçoive, parce qu'ils sont expulsés avec les
urines
, avant d'avoir acquis une grosseur assez considér
oureux et laisse quelquefois T. VII. après lui une incontinence d'
urine
, il est souvent insuffisant, et l'on est obligé d
de diviser transversalement les parties molles entre le conduit de l'
urine
et les os pubis, de ma-nière que l'incision s'éte
ens et des suites fâcheuses, tels que l'hémorrhagie, l'incontinence d'
urine
, etc.; nous n'insisterons pas plus long-temps, vu
ce, mais se contentent de mettre les conducteurs dans le conduit de l'
urine
, puis après font une petite incision tout au-des
le vagin; dans la seconde, la femme, récemment accouchée, rendait son
urine
par le vagin; plusieurs petites pierres sortirent
femmes; il croit que par son moyen on pouvait éviter l'incontinence d'
urine
, attendu qu'on ne touchait ni à l'urètre ni au sp
l pensait qu'il pouvait, dans tous les cas, prévenir l'incontinence d'
urine
. Le procédé qu'ont adopté les chirurgiens moder
opérée demeure affectée pour If reste de ses jours d'un écou-lement d'
urine
par le vagin. Sur les trois personnes opérées par
lumineux, mais la crainte (pion a de voir survenir une incontinence d'
urine
consécutive, on des infiltrations urineuses, l'a
cidive ou atteints d'infirmités , telles que fistules, incontinence d'
urine
, etc., le nombre des sujets véritablement guéris
er, sa présence est si incommode, que lors même qu'il y a rétention d'
urine
, il vaut mieux la retirer chaque fois pour la réi
étend au méat urinaire, ou le laisse intact : si le méat est fermé, l'
urine
ne peut sortir, et la mort serait certainement oc
ule; si l'on ne s'en aperçoit pas immédiatement après la naissance, l'
urine
s'accumule dans la vessie, et forme bientôt une t
l'hypogastre; l'enfant crie et s'agite. Ces symptômes et l'absence d'
urine
dans les langes conduisent à examiner le méat, et
i la membrane ne présentait qu'un trou insuffisant pour permettre à l'
urine
de s'échapper, il faudrait se borner à l'a-grandi
uelquefois, dit « Royer, la nature fournit une route artificielle à l'
urine
qui coule « par l'ombilic, mais le plus souvent l
ainsi l'on voit des femmes chez lesquelles le contact permanent de l'
urine
avec les parties génitales les irrite, les enflam
pensant que la plaie se fermerait si l'on parvenait à empêcher que l'
urine
ne passât au travers, avait conseillé la po-sitio
conseillé la po-sition demifléchie sur le ventre, afin de forcer les
urines
à s'échap-per par l'urètre ou par la sonde qui y
de Desault. Ce chirurgien se proposait deux choses : i° d'assurer à l'
urine
un écoulement constamment libre par l'u-rètre, 2°
de faire placer la femme sur le côté, afin que la moindre quantité d'
urine
possible se présentât à la plaie. Cette position
pas avec une suffisante efficacité à la conti-nuelle filtration de l'
urine
dans le vagin. D'ailleurs les bords de la fistule
ée sonde-érigne (V. pl. 76, fig. 27), pour procurer un écoulement à l'
urine
. Des crochets recourbés, mus par une vis placée d
se forme des abcès, ou même d'autres fistules, par la filtration de l'
urine
par les petits trous descrochets. C'est probablem
istule, n'étant plus en contact l'une avec l'autre, laissent passer l'
urine
entre elles et ne s'agglutinent pas. Mais, au res
la fistule s'écarteraient de la même manière et laisseraient passer l'
urine
. Procédé de M. Dufresse-Chassaigne. Dans sa thè
quand les choses marchent bien, le lendemain et les jours suivans, l'
urine
cesse peu à-peu de couler par le vagin. Vers le q
rve une diminution dans l'ouverture, et par suite dans l'écoulement d'
urine
qui se fait par elle. Une sonde doit être placée
t en con-tact. On plaça dans la vessie une sonde par laquelle toute l'
urine
s'écoula pendant les deux premiers jours. Mais al
s rapproché de l'urètre ayant déchiré les tissus , quelques gouttes d'
urine
s'échappèrent par le vagin; M. Mala-godi, au lieu
it, et établir une sonde à demeure dans la vessie , afin d'en vider l'
urine
à mesure qu'elle y arrive; lorsqu'il ne survient
uisant il faut prendre garde de ne pas presser le lambeau. Pour que l'
urine
, à laquelle la sonde doit constamment donner pass
, la su-ture enchevillée put être exécutée. A dater du lendemain, l'
urine
sortit par l'urètre, et, pendant près d'un mois,
par l'urètre, et, pendant près d'un mois, il ne vint pas une goutte d'
urine
par le vagin ; les règles survinrent et furent ch
rent et furent chassées au-dehors par l'urètre ; mais un jour que les
urines
avaient de la difficulté à sortir, l'élève voulan
ca-trice qui fut ainsi déchirée. A dater de ce moment, le sang et les
urines
sortirent par le vagin, et l'opération fut manqué
opération : i" que les règles pouvaient passer par l'urètre; i" que l'
urine
peut être expulsée et jaillir de ce nouveau bas-f
expulsée et jaillir de ce nouveau bas-fond de la vessie ; 3° que ces
urines
n'entraient pas dans la matrice pour pas-ser dans
agin, tendait à y former des caillots qui ren-daient l'expulsion de l'
urine
difficile; puisque, lorsque la cica-trice fut déc
orsque la cica-trice fut déchirée, il sortit du vagin du sang et de l'
urine
. Ensuite, quant aux concrétions calcaires, le tem
femme d'uriner sans le secours de la sonde, parce que, dans ce cas, l'
urine
ne passe par la fistule qu'au moment de l'éjectio
ger les grandes lèvres, les cuisses et les fesses contre l'Acreté des
urines
qui les baignent, et à cher-cher à rendre l'écoul
onge qu'on dirige du côté de la fistule, afin que, par itnbibition, l'
urine
s'engage peu-à peu dans la bou teille. La malade
lus grande circonspection pour ne pas pénétrer dans le réservoir de l'
urine
. En général l'hémorrhagie n'est pas à redouter; e
ie antérieure de la tumeur, avec un trocart, et, après la sortie de l'
urine
, de maintenir la sonde dans la vessie, afin de p
leurs deviennent plus aiguës pendant la défécation et l'éjection de l'
urine
, qui sont quel-quefois gênées jusqu'à ne pouvoir
ur le côté, est un des meil-leurs moyens de prévenir la récidive. Les
urines
doivent être rendues aussitôt que le besoin s'en
ortion pendante de l'utérus, dit-il, s'ulcère à cause de l'âcreté des
urines
, et si elle se putréfie, extirpez-la sans rien cr
enir à l'opération césarienne ; que 5 ont conservé une incontinence d'
urine
, et une autre une claudication; enfin, sur 34 cas
07, 208. Cautérisation, 208-212. Scarifications, 212-214.^Rétention d'
urine
. Injections forcées, 214- Cathé-térisme forcé, 21
vessie par une cloison. Un pertuis qui la tra-verse donne passage à l'
urine
. Figure 6. Oblitération de l'urètre par le déve
vessie par l'orifice de son col et forme un obstacle au passage de l'
urine
. Figure 8. Oblitération du col de la vessie par
mais le bout qui surmonte cet orifice donne en même temps passage à l'
urine
; de sorte qu'elle peut être laissée à demeure pen
de la vessie, et produit ainsi un obstacle invincible au passage de l'
urine
. Figure 3. Ligature du lobe pathologique de la
ressions. Sur le tronc, la sensi-bilité est normale. Incontinence d'
urine
de temps en temps ; pour accomplir la miction, Le
ient amaigries, pour ainsi dire à l'état squelettique. Incontinence d'
urine
et des matières fécales. 11 se produisit du décub
ues. Observation I. — Grossesse à terme. — Attaques éclamptiques. —
Urines
albumineuses. — Température. — Mort. — Autopsie :
ns d'une pièce d'un franc. Huit ventouses scari-fiées à la nuque (les
urines
, exlraites par la sonde, contiennent de l'albumin
sse à terme. — Éclampsie. — Tempéra-ture durant et après les accès. —
Urines
albumineuses. — Accouche- 1 Dans le premier vol
re, elle avait depuis deux mois de la bouf-fissure de la face, et ses
urines
étaient devenues plus abon-dantes, au point que,
; sécrétion aqueuse. Miction involontaire. Par la sonde on retire une
urine
épaisse qui, traitée par la chaleur seule, et ave
s en moins abondante. Les iochies ont suivi leur cours régu-lier. Les
urines
ne renferment plus d'albumine. — Soir : P. 128 ;
aginale 38°,8. Par le cathétérisme on retire plus d'un demi-litre d'
urine
, qui renferme une grande quantité d'albu-mine,
41°,2. (Fig. 2. ) Des trois cas qui précèdent et dans lesquels les
urines
, assez abondantes, contenaient une quantité notab
éphrites parenchyma-teuses ou encore dans les cas de suppression de l'
urine
par un obs-tacle mécanique s'opposant à son libre
dème, ni épanchement ; pas de vomissements, mais diarrhée abondante ;
urines
rares (200 gr. en vingt-quatre 1 Revue photogra
le 16 et le 17, jusqu'à dix fois en un jour. Il n'y a presque plus d'
urine
. 18 nov. Affaiblissement notable ; sécheresse d
ités. Diarrhée et vomissements incoercibles. Suppression complète des
urines
. P. 92, régulier, petit. T. 56°,4. — Le soir, inc
Dans mon second cas; le soir du septième jour de la suppression de l'
urine
, alors que la langue était sèche et la soif vive,
e parut même plus frappant, car plus d'une quinzaine avant la mort, l'
urine
, devenue très-rare (9 à 12 onces en vingt-quatre
uction soudaine de Vuretère droit par un calcul (1868).—Suppression d'
urine
; mort en dix jours.— Marche de la température. ¦—
868, vol. I, pages 655 et 682. 3 On the Pathology of suppression of
Urine
with a case. 1870, vol. I, p. 868. Mais, aussit
la miction. Il rendit, après des efforts, deux cuillerées à bouche d'
urine
sanglante. Malgré ces accidents il alla à Manches
res et les envies fréquentes d'u-riner persistèrent. Une demi-pinte d'
urine
sanguinolente fut encore évacuée et ce fut tout c
s, ni douleurs au pénis. Pouls à 72. 4e jour : Deux onces environ d'
urine
un peu sanglante ont été rendues, poids spécifiqu
et. Depuis ce moment jusqu'à la terminaison, M. I... ne rendit plus d'
urine
et, à la mort, la vessie fut trouvée vide. État g
e n'étaient dilatés. Ils contenaient environ deux cuillerées à café d'
urine
sanguinolente. On découvrit un petit calcul d'a
Roberts au début de son travail, à savoir : « Si la suppression de l'
urine
per-siste, la température du corps, à la longue,
ent, dans les antécédents des épileptiques, l'incontinence nocturne d'
urine
est notée. Au coup d'État de décembre 1851, les
la n'est point nécessaire. La sonde est destinée à laisser écou-ler l'
urine
, à empêcher son contact avec la plaie fraîche, et
il suffit donc qu'elle remplisse assez le col de la vessie pour que l'
urine
ne puisse s'échapper entre elle et le canal. Auss
e la région dans la-quelle se pratique l'opération : l'infiltration d'
urine
, les abcès uré-thraux, la néphrite, la cystite ut
minés. La peau est le plus souvent sèche, terreuse, chaude, acre. Les
urines
sont rares, très-chargées, quelquefois albumineus
constaté une descente de 54°,4 5. Sous ce titre — Suppression de l'
urine
, jaunisse. — M. Ilutchin- 1 Voy. Revue photogra
ÎII. — Blennorrhagie. —Rétrécissement de Vurèthre.— Suppression de l'
urine
. — Jaunisse. — Urémie. —Abcès de la pros-tate. —
Douze heures après la dernière exploration, X... rendit 280 grammes d'
urine
foncée, contenant de l'albumine et dans laquelle
nsomnie, etc. 28 février. — Le malade a rendu une petite quantité d'
urine
al-bumineuse, ne renfermant pas les matières colo
nt pas les matières colorantes de la bile. 1er mars. — 75 grammes d'
urine
. Vomissements incoercibles; hoquet. -— On remarqu
les symptômes qui précèdent, sauf la diminution de la sécrétion de l'
urine
, qui redevint libre le 4 mars, persistèrent avec
service de M. Charcot, qui ne rend guère quune quinzaine de grammes d'
urine
par semaine, mais a des vomissements co-pieux, ay
: il ne pèse que 52 grammes. — La vessie, normale, ne contient pas d'
urine
. L'encéphale pèse 1555 gr. À l'ouverture delà d
Coma permanent. —Mort. — Néphrite par enclin mateus e. —Analyse de l'
urine
. — Petit, Jules, 67 ans, jour-nalier, est entré,
— Par le cathôtérisme nous avons obtenu environ un verre à Bordeaux d'
urine
claire. — P. 64; R. 28 ; T. R. 32°,6. 10 heures
stence de l'intoxication urémique nous est fournie par l'analyse de l'
urine
. Voici les résultats obtenus par notre ami Carvil
tats obtenus par notre ami Carville. Ainsi pour 1000 grammes, cette
urine
ne contenait que 15sr,68 d'urée. Or la quantité m
cette urine ne contenait que 15sr,68 d'urée. Or la quantité moyenne d'
urine
rendue en vingt-quatre heures par l'homme sain ét
s, nous au-rions donc seulement 16 grammes d'urée pour 1250 grammes d'
urine
de notre malade. 11 y a loin de ce chiffre — 16 g
Matières minérales........... 8 — 1000 grammes. 1250 grammes d'
urine
de notre malade n'auraient même pas donné 16 gram
malade n'auraient même pas donné 16 grammes d'urée : (a) parce que l'
urine
ayant été analysée un jour après qu'elle avait ét
ubi un certain degré de con-centration ; (b) parce qu'il s'agissait d'
urine
de la nuit, laquelle est plus chargée de matières
es. Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballon-nement et la rétention d'
urine
, existent encore aujourd'hui. b. Presque en mêm
ui. b. Presque en même temps Etch... est affectée d'une rétention d'
urine
persistante qui nécessite habituellement le cathé
e du ventre, ces douleurs de la région ovarienne, cette rétention des
urines
, consti-tuent un ensemble de symptômes dont l'imp
6 ans ; —• 2° elle est atteinte, depuis quatre ans, d'une rétention d'
urine
ré-clamant ordinairement le cathétérisme ; — 3° e
uls dans le sens propre du mot ; c'est-à-dire la cause qui fait que l'
urine
étant chargée d'une quantité de phosphate dou-ble
ance dure, réunie par une très-petite quantité de mucus, don-nant à l'
urine
une couleur blanc de neige ; cette substance tomb
ous la forme d'une sphère du volume d'un pois qu'elles gardent dans l'
urine
, comme j'ai eu très-souvent l'occasion de l'obser
e ne suffisant pas, comme je l'ai montré, à les chasser avec le jet d'
urine
, ils arrivent à former un calcul d'une façon part
êtant dans l'urèthre et y adhérant, ils s'opposent à l'expulsion de l'
urine
, et cette rétention devient souvent assez dangere
cessaire pour maintenir le gravier phospha-tique en suspension dans l'
urine
ou dans une solution inoffensive pour l'organisme
sphatiques étant sortis de la vessie depuis quelque temps, l'eau de l'
urine
s'est éva-porée, ils forment aussitôt de petites
nomènes sont le signe certain que le petit calcul a été poussé avec l'
urine
dans l'urèthre et l'obture. Le médecin appelé a
r, et évacua le calcul sans la moindre difficulté, avec un fort jet d'
urine
. 11 est possible que les secousses de la voiture
l'obstacle ; aussitôt la sonde retirée, le calcul fut expulsé avec l'
urine
. Dans un troisième cas, l'expulsion se fit dans l
a nature des concrétions urinaires, dans le cas de pouvoir examiner l'
urine
, dans laquelle se trouvaient les concrétions part
près le moment où la pierre venait d'être expulsée avec un fort jet d'
urine
dans un vaisseau de verre. L'urine et la con-crét
d'être expulsée avec un fort jet d'urine dans un vaisseau de verre. L'
urine
et la con-crétion méritaient toutes deux d'être s
e l'a prouvé immédiatement la publication des analyses chimiques de l'
urine
et des sédiments, j'ai trouvé la confir-mation pé
n chimi-que que le premier. Dans les deux cas aussi, l'analyse de l'
urine
donna le même ré-sultat. Immédiatement après son
l'urine donna le même ré-sultat. Immédiatement après son expulsion, l'
urine
était trouble et d'un jaune vineux ; au bout de q
es inférieures devenant d'autant plus trou-bles. Dans les deux cas, l'
urine
sentait la levure. Son poids spécifi-que était de
graviers phosphatiques nageaient d'abord dans toutes les couches de l'
urine
et lui donnaient l'aspect de petit-lait ; ils se
t d'urophéine, d'uroxanthine, de chlo-rures et de sulfates que dans l'
urine
normale. Je laissai l'urine déposer et s'évapor
de chlo-rures et de sulfates que dans l'urine normale. Je laissai l'
urine
déposer et s'évaporer en partie au soleil ; il se
diments se réunissaient aussi en concrétions quand on refroidissait l'
urine
rapidement. Ces intéressants résultats chimique
Ces intéressants résultats chimiques de l'examen du calcul et de l'
urine
, dans laquelle le calcul se trouvait pour ainsi d
usivement de phosphates et de graviers phosphatiques. L'examen de l'
urine
permet de constater que la plus petite partie des
ement, et notamment pour les calculs oxaliques, il n'arrive pas que l'
urine
qui les accompagne soit chargée d'oxalates, comme
que je publierai bientôt. Les résultats précédents de l'examen de l'
urine
établissent en outre, d'une manière irréfutable,
se former dans l'organisme, quand il n'y a plus assez d'eau et que l'
urine
n'a plus la température nécessaire pour tenir en
et les phosphates. Le même phénomène s'observe hors du corps dans l'
urine
des malades atteints de diathèse phosphatique. Au
ux, que l'on trouve en si grande abondance parmi les sédiments dans l'
urine
des vessies atteintes de cette maladie, et auquel
n prochain travail, se trouvait aussi en quantité considérable dans l'
urine
dont l'examen vient de nous occuper, et ce nous a
cliniciens, car précisément les malades auxquels appartenaient cette
urine
et ces calculs, évacuaient depuis des années du
Le malade ne prend rien et évacue involontairement ses selles et son
urine
. Ses parents sont d'ailleurs bien portants ; une
ions sur le ventre ; vessie distendue : la sonde en évacue un litre d'
urine
rouge, dont le poids spécifique est 1022, sans al
s de 40°,2. Le 25 mai, l'état est le même. Nouveau cathétérisme : l'
urine
, sans albumine, a un poids spécifique élevé (1026
atité de 6 à 7 centimètres. Pas d'ictère. La miction est normale; les
urines
ne contiennent pas d'albumine. Le malade dit avoi
s dans les orbites (amaigrissement). —Soir : P. 84 ; T. R. 58°,8. Les
urines
, examinées à l'aide de l'acide azotique et de i'a
a- lade, la chaleur du corps, les mouvements de la respiration, les
urines
, les sueurs, les évacuations diverses. N'est-ce p
it., p. 102. La plupart des sécrétions s'amoindrissent, celles de 1
urine
et de la sueur en particulier ; et il n'est guère
tômes fort différents de ceux qui le caractérisent chez l'adulte. Les
urines
, souvent peu abondantes, ne renferment de glycose
ccessoires dans la composition du sang, chez les goutteux. — État des
urines
dans la goutte aiguë, pendant l'accès et dans l'i
e. Comme complément de cette étude, nous devons examiner l'état des
urines
dans la goutte ; il s'agit de savoir si l'acide i
la quantité proportionnelle d'acide contenue clans un échantil-lon d'
urine
, mais de constater la quantité totale d'acide uri
que, et l'on doit se rappeler que la présence d'un acide libre dans l'
urine
, ou le peu d'abondance de la partie aqueuse de ce
aux résultats suivants ; Dans la goutte aiguë, pendant l'accès, les
urines
sont rares et foncées en couleur, mais la quantit
ion de sa proportion dans le sang. Dans l'intervalle des accès, les
urines
n'ont pas été exami-nées ; cependant nous ferons
nce à la diminution s'ac-cuse de plus en plus. Pendant les accès, les
urines
sont pâles et abondantes il ne s'y forme pas de d
s de temps en temps, il se produit des décharges pendant lesquelles l'
urine
renferme une quantité plus considérable de ce pro
ces caractères persistent; sou-vent on observe de l'albuminurie, et l'
urine
contient quel-quefois des cylindres fibrineux.
m-moniaque. C'est donc ce dernier produit qui seul se trouve dans les
urines
. Messieurs, les auteurs de divers traités sur l
le, elle est moins abondante et plus riche en ma-tériaux solides; les
urines
sont rares, mais très-acides et forte-ment coloré
dans la vessie ; il est fréquent en pareil cas de rencon-trer dans l'
urine
des cristaux d'acide urique ; c'est la gravelle m
rême irritabilité ; enfin, une diminution no-table de la quantité des
urines
, qui laissent déposer, par le refroidissement, de
savons déjà qu'il existe ici une altération permanente du sang et des
urines
, qui nous explique, jusqu'à un certain point, pou
ymptômes, de la maladie de Brigth ordinaire. On trouve en général les
urines
claires peu colorées; elles renferment une quanti
t provoquées par de simples piqûres, il s'agissait d'individus dont l'
urine
contenait de temps en temps du sucre, et laissait
ept mois à un goutteux, sans produire cette odeur caractéristique des
urines
qui se mani-feste habituellement en pareil cas. C
t-il, dans un autre endroit, que de rencontrer un peu de sucre dans l'
urine
des goutteux; ils ne s'en aperçoivent que lorsque
. Lorsque cet individu vint nous consulter pour la première fois, ses
urines
contenaient une quantité considérable de sucre. U
onnées sont faciles à apprécier. Il faudra soigneusement examiner les
urines
des goutteux: et lorsqu'on aura reconnu ce genre
ren-contrer dans le sang des goutteux (3), dans la sueur et dans les
urines
, en dehors des périodes où se manifeste la 1. S
loc. cit., p. 531. 2. De l'oxalate de chaux dans les sédiments de l'
urine
, etc. [Mém. de la Soc. de Biologie. Paris, 1859,
osé d'urates amorphes ou d'acide urique à l'état cristallin, dans les
urines
, peu de temps après leur émission, ne saurait pro
ne manière absolue. Une diminution nota-ble de la partie aqueuse de l'
urine
, une acidité prononcée de ce liquide, sont des co
é, nous savons aujourd'hui, grâce aux travaux de Bartels (1), que des
urines
qui ont conservé uue limpidité parfaite, longtemp
des choses, il serait donc indispensable d'ana-lyser la totalité des
urines
rendues pendant les vingt-quatre heures, et même
n. Mé-dian. Bd. I, Heft. I, p. 13. Leipzig-, 1865.) 2, Parkes. — On
urine
, London, 1860, p. 218. — Banke. Ausscheidung der
78. — Maladies des reins, Paris, 1809, t. T, p. 94, 197,198, avec l'
urine
et albuminurie passagère; il peut exister de la g
i paraissent ne point avoir été albuminuriques ; car on a examiné les
urines
, et l'on s'est assuré que la proportion d'acide u
uelle il s'appuie : après avoir examiné, pendant plusieurs jours, les
urines
d'un cer-tain nombre de malades atteints d'affect
e Vacide lithique (acide urique) dans les calculs urinaires et dans l'
urine
; en 1793, Murray Forbes, en raison des rapports q
plénique, Uhle etBanke ont trouvé un excès réel de cet acide dans les
urines
; dans les af-fections du foie, Harley est arrivé
et dans ces expériences que la quantité d'acide urique rendue par les
urines
correspond à celle qui est formée dans l'économie
e. — Aussch,. der Harnsäure. München, 1858, p. 210. 3. Parkes. — On
urine
, p. 50 el 320. 4. Bocker. — Bellrage zur Hellku
le nombre des jointures affectées. — Pouls. — Sécrétions. — Salive. —
Urines
.— Anémie profonde. Parallèle entre le rhumatism
es, quelquefois acides, sont aussi quelquefois alcalins. L'état des
urines
doit tout particulièrement nous occuper, car nous
es, mais à un degré bien inférieur. Todd, O'Ferral, 1. Parkes. — On
Urine
, London, 1860, p. 286. Fuller, en Angleterre; C
s, et n'ont point cette acidité que nous avons signalée. L'état des
urines
diffère de ce que nous avons constaté dans le rhu
extérieure soit la môme; mais lorsque nous procédons à l'analyse des
urines
, chez les goutteux, loin d'avoir un excès d'acide
par les rhumatisants, et qui tiennent à la concentration extrême des
urines
. Dans le rhumatisme chronique, la cystite est a
ces derniers observateurs est fondée sur des analyses attentives de l'
urine
, qui ne parais-sent laisser aucune prise à la cri
s avons parlé. Son action diurétique est très manifeste ; elle rend l'
urine
fortement alcaline et dissout avec énergie l'acid
en chef de cet établissement, a bien voulu se livrer à l'analyse de l'
urine
des sujets que j'avais soumis à la la médication
Dans le premier cas, on a constaté la présence de l'arsenic dans les
urines
, après un court espace de temps. Dans le se-cond,
-néral ils se traduisent soit par de la diarrhée, soit plutôt par des
urines
abondantes ou troubles. Lorsque la terminaison
o-duits de métamorphose des tissus ne se montrent pas en excès dans l'
urine
. » Dans deux cas de tétanos observés chez le chev
tétanos observés chez le cheval, M. Senator dit n'avoir trouvé dans l'
urine
, qu'une proportion faible d'urée (IX Ce que l'o
, et quatre heures après, il retrou-vait les traces d'iodure dans les
urines
. On ne saLirait douter, d'après cela, que les sub
comme dans l'ictère expérimental, on retrouve dans le sang et dans l'
urine
, ces éléments fondamentaux de la bile. Dans les d
it pas de diarrhée. Les évacuations alvines étaient plutôt rares, les
urines
pâles, peu abondantes, renfermaient une proportio
e. A l'époque des exacerbations, quand il y a un peu de fièvre, les
urines
sont quelquefois troubles et sédimenteuses ; en
cessé de manger, mais elle a observé que souvent, à cette époque, ses
urines
étaient troubles et rouges; en même temps, elle a
à la malade, les règles ont cessé de paraître pendant deux mois. Les
urines
, assure-t-elle, n'ont jamais présenté rien de rem
nce ; au-jourd'hui, les douleurs ont presque complètement cessé ; les
urines
sont normales. Etat des jointures. — Articulati
e soit du côté de l'estomac, soit du côté du cœur ou des intestins. L'
urine
est habituellement trèsclaire. Cet homme, outre
rs. Dans son remar-quable travail sur les altérations du sang et de l'
urine
dans la goutte et le rhumatisme (Medic-Chirurgie.
hritiques bien caractérisés ; chez plusieurs d'entre eux le sang et l'
urine
furent soumis à l'examen chimique, et l'on s'assu
de nos connaissances, sur ce sujet. se rencontrait parfois, dans l'
urine
des goutteux, qu'ils fussent ou non hydropiques e
vec une remarquable diminution de l'urée et des principes salins de l'
urine
(1). La néphrite albumineuse a été observée égale
érale et abondante, comme dans la maladie de Bright. La quantité de l'
urine
n'est pas di-minuée, mais elle est, au contraire,
ques de goutte, pour reparaître au prochain accès. Les sédiments de l'
urine
y sont relativement enpetite quantité. De l'épith
ouilles granuleuses (waxy casts) des tubes urinifères, forment dans l'
urine
, un dépôt blanchâtre quelques heures après l'é-mi
aiguë de goutte ou une irritation bronchique, et l'on trouvera dans l'
urine
des urates en grande abondance. Tels sont les c
l'œdème est rare et limité, que l'albumine, quand elle existe dans l'
urine
, est peu abondante, que les reins sont ordinaire-
, comme les décrit Todd, sous le nom de gouty Kydney. Dans ces cas, l'
urine
était albumineuse et contenait des dépouilles (cy
e passage d'une grande quantité d'urates, l'albumine se montre dans l'
urine
, irrégu-lièrement et en faible quantité et coïnci
rod, dans son remarquable travail sur les altérations du sang et de l'
urine
, dans la goutte et le rhumatisme (2), a fait figu
articula-tions. Dans ce cas, en effet, notre malade perdait avec ses
urines
une quantité considérable d'albumine, et l'autops
s chevilles cedéma-tiées. On examina alors, à plusieurs reprises, ses
urines
qui présentèrent les caractères suivants : elles
d'une ascite et de douleur continue dans les régions lombaires. Les
urines
présentèrent les mêmes caractères et la même abon
t avec quelle facilité ils peuvent être dissous et éliminés par les
urines
, et leur présence n'en a pas moins une haute impo
oici sur quoi il se fonde : la quantité d'acide urique rendue par les
urines
dans les vingt-quatre heures fut dosée avec soin,
l'hydrargyrisme, comme dimi-nuant la quantité d'acide urique dans les
urines
, rappelle qu'il n'est point rare de voir la goutt
vulsives dans la tête et dans le bras. Il ne se mord pas la langue, n'
urine
pas sous lui. L'attaque est courte, et à peine es
soit du côté de l'estomac, soit clu côté du cœur ou des in-testins. L'
urine
est habituellement très claire. Cet homme, outr
26). (p. 133). Urates amorphes et acide urique cristallisé dans les
urines
. — Il n'est peut-être pas hors de propos d'insist
d'urates amorphes, ou d'un dépôt d'acide urique cristallin, dans les
urines
, peu de temps après l'émission, ne saurait prouve
que l'excrétion de cet acide est augmentée d'une manière absolue. Des
urines
chargées de semblables dépôts peuvent, en réalité
ssous du taux normal. L'oligurie fébrile, un haut degré d'acidité des
urines
, tel qu'on le rencontre, par exemple, dans certai
ussi parfaitement établi, par les travaux récents de Bartels, que des
urines
qui ont con-servé leur transparence, même longtem
Par conséquent, une analyse méthodique portant sur la totalité des
urines
rendues dans les vingt-quatre heures, permettrait
rates amorphes se forment non plus après l'émission, mais bien dans l'
urine
encore contenue dans un point quelconque des voie
sujets non goutteux qui rendaient ha-bituellement en même temps que l'
urine
de petits cristaux ou des concrétions plus ou moi
eloppe, au sein même des voies urinaires, une fermentation acide de l'
urine
, anatogue à celte que subit ce liquide, dans les
écipitation de la presque totalité de l'acide urique contenu dans les
urines
. Quoi qu'il en soit, on ne saurait nier que la
ait jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire ; les
urines
ne renfermaient pas traces d'albumine. Il faut sa
ires, traduites par J. Patron. Paris, 1845, p. 251, 278. — Parkes, On
Urine
. London. 1868, p. 218. — Ranke, Ausscheidung der
klinische Median, I Bd., 1 Heft., p. 13. Leipzig. 1865. —Beale, De l'
urine
,etc. Paris, 1865, p. 121, 171, 197, 404. (Traité
en urinant, du sable d'acide urique cristallisé ; en même temps, les
urines
renferment une proportion variable d'albumine, et
rare-ment très accusés ; la proportion d'albumine que renferment les
urines
est fréquement peu considérable, etc. Ces caractè
rix). On sait que chez les oiseaux et chez la plupart des reptiles, l'
urine
à l'état normal, ainsi que l'ont démontré John Da
, dans la Leucémie splénique (Parkes, Médical Times, June, 1850. — On
Urine
. London, 1860, p. 331. — Walshe et Ranke, Aussche
, on a plu-sieurs fois constaté, à l'aide de l'analyse méthodique des
urines
, un accroissement remarquable de la proportion de
de urique et goutte. — Voyez aussi Rayer (Rapports des alté-rât, de l'
urine
et du sang ; in Traité des malad. des reins. Pari
ur, sans avertissement préalable, d'une très abon-dante salivation. L'
urine
ne renfermait pas traces d'albumine et il n'exist
oreilles externes, de volumineuses concrétions d'urate de soude. Les
urines
pâles, exemptes de sédiment, renfermaient une cer
dre de Dover. Peu après, il tomba dans une somnolence profonde et les
urines
devinrent très rares. Sous l'influence d'une médi
d'une médication appropriée mais seulement au bout de deux jours, les
urines
se montrèrent abondantes et en même temps, l'état
nution de la proportion de l'urée et de l'acide inique rendus par les
urines
(p. 445). Différence entre lu gout le et le rhm
ades goutteux présenter tout à coup des symptômes diabétiques, et les
urines
se charger de sucre, c'est-à-dire la goutte se ch
vent latente : il est donc important d'exami-ner de temps à autre les
urines
des sujets affectés de goutte ou de gravelle uriq
ccessoires dans la composition du sang, chez les goutteux. — Etat des
urines
dans la goutte aiguë, pendant l'accès et dans l'i
e nom-bre des jointures affectées. — Pouls. — Sécrétions. — Salive. —
Urines
. Anémie profonde. Parallèle entre le rhumatisme
goutte viscérale, 91 ; — dans le rhu-matisme aigu, 202 ; —? dans les
urines
, 534 ; — dans les poumons, 535; — dans le foie, 5
sang, 52; — état du sang dans l'intervalle des accès, 538; — état des
urines
dans la —, 53, 518 ; — albuminurie dans la —, 54,
sur les dévia-tions, 369 ; — fièvre, 375 ; — sueurs, 375 ; — état des
urines
, 375 ; — ordre d'envahissement successif des jo
0; — sécrétions dans le —, 201 ; — sueurs, 201,205; — salive, 201 ; —
urines
, 202, 203 ; — anémie, 203 ; — état du sang, 205 ;
; — dans la sérosité sous-arachnoïdienne, 517 ; — amorphe dans les
urines
, 518 ; •— dans les différents tissus des gout
70, 157, 153 ; — chez les oiseaux, 571. Uréthrite goutteuse, 105.
Urines
dans la goutte, 53, 75; — dans le rhumatisme ai
1 ac- cumulation d,a,n-s'-i'e san-ide.tou. iles- principes de, 1 ?
urine
indis- tinctement, njestpas seulement la-conséq
-eur'de la race ; les *pupilles sont contractées; pas de fièvre. Il
urine
dans son pantalon. r ,,... ïl ^, , g , , . U,.e
nt une irritation inflammatoireide l'orifice préputial causée par l'
urine
; mais encore^ un^oedènie blanc très marqué des
r- '1f7 '^ h-'f n,ao^ C.` «i n ? t), j - 10 décembre. si Le malade
urine
de temps en, temps spontane- ^1 ? .....^ ? ? I
ent, mais sans .vider sa vessie môme à moitié. Le reste du temps il
urine
par regorgement. Sûbâgitatitin ; délire bizarre,'
.. '< ! t1 ? H( ? ) ,. .matin"il,aluriné environ 200,Çrammèsdune
urine
rouge, sedi- menteuse, mais la vessie n'en arri
;Jie comprend pas pourquoi' on'lui met le ther- '"momètré,1 etc ! 1
Urine
rouge, épaisse,' odeur ammoniacale, sans albu-
"^°24 décembre]' 'T.' m. 37°,5 ? Langue meilleure, ! nuit calme,
urine
un peu avec ne rands efforts. t : ...,at ? f<b
re de la, vessie avec l'appareil Dieulafoy. On'i,etii'540 grammes d'
urine
;"à ce* moment le malade se 'débat tellement qu'i
se de 0,75 ? "" " - ? tr9,28,décembre., ,T.,m.37°,2.`luitcalme; il
urine
, mais la vessie' -t est toujours distendue. Sul
la . ponctionna vessie a repris'' un peu, de son1 élasticité' et il
urine
mieux c r'1 ">>'<' m"' -il ut· 'i.K'-
m'avait 'donné 'pour mes verrues. » -">Pas d'albu-P mine dans' l'
urine
? 8Do3 J6 sf no np .on3us au`6 altiuo asl lul 3
r(nre Tf ? ffn ? r ? rr<r nr ofrt. a (r ? ( nb 3 jvnvier. - Les
urines
sont épaisses, ammoniacales, mantes;" cystite.'
Sx3 ? 3 tzoqzcb9Tq t)b 4yâzzvzet r Uriiies plus c'lairës. Le malade
urine
au ht la1 nuit ! 1* Mange mieux ? iJ3S9Tgoiq tm
T : es : 3 ? cT.3m : i36°,B.uMieux,ztoutLàifait°calme;v retient son
urine
, nedélirepas. A'.trs.bien.ma.nge.j gab ;xu8VT9n
tion, sont sus- ,, pendus à cause, du -retour, de la fièvre,,et des
urines
purulentes. ft -i<jL* ; ? âj ? t L m.rJ4,.C·
occupe un" peuîairménàge'"1ét aide rihfirmiéFqûi''est malade. Lés"
urines
ne'11 sonsplds purulêntes'J'ni1 filahtés ? 0Dep
z,> lui les outils d'un autre, qu'on le dit de tous c6tés,f él ?
Urines
, a^Bl^at^'.^^ T,-n,v ia.H ? n.lAws9b ` 10 ma
sible ? 'CépeiTdant'l'albumine ' a constamment* fait'défaut dans l'
urine
examinée à £ de'nombreuses,'reprises; maistëeT si
mplications urémiquesCes dernières proviennent, d'une' rétentions d'
urine
prolongée,, due ,non,pastantlau'rétrécissement,
ps . doute ! {le)'principal, rôle ? Mais c une fois la, rétention^d'
urine
constituée, ! c'estàl'empoisonnement urineux qu
doucette note sont les. analyses chimiques des, os malades et de l'
urine
du sujet. La, seconde note est de M. H. Meunier
<//0- SOCIÉTÉS savantes. 6o iitil. L'auteur a constaté dans l'
urine
des aliénés prenant du sulfonal de l'hématoporp
rtain délicate teests for </ ! 6 détection of sérum albumin in the
urine
, especially the trichlor-acelic acid lest. Broc
e, rate normaux. Sang : hémoglobine 100. Plasmodies non pigmentées,
urine
normale. Traitement. Injection hypodermique de
. Rate normale. Sang : plasmodies sans pig- ment, hémoglobine 0,70,
urines
et règles normales. Après la première injection
mastication et la déglutition s'opèrent lentement, l'incontinence d'
urine
et des matières fécales apparaît, sans para- ly
ette matière étaient moins hérissées de difficultés. L'examen' de l'
urine
de M-11 B..., fait par M. Lailler, le distingué p
ce des douleurs caractéris- tiques et la présence du sucre dans les
urines
permit de porter le diagnotic de tabès avec dia
uand on en connaît les résidus. Nous pouvons donc, par l'examen des
urines
, acquérir des idées très vraisemblables sur la co
es, acquérir des idées très vraisemblables sur la composi- tion des
urines
qui baignent les éléments anatomiqucs d'un sujet
n montre combien les délires actifs modifient la constitution des
urines
, tandis que la démence les rend pauvres en élémen
ndance à la simulation. Telle affectée d'anurie, boit plus tard ses
urines
afin de les vomir et d'ajouter à l'intérêt du s
rtout si l'on dirige contre sa cause un traitement approprié. DES
URINES
A la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie générale ,
IPPEL et Sérieux (de Paris). Il résulte de nos recher- ches que les
urines
des paralytiques généraux sont essentiellement
aralysie générale. Il existe alors une polyurie incontestable ; les
urines
ont une faible densité et sont de coloration cl
it de 360,8; son pouls battait 84 fois par minute et le taux de ses
urines
oscillait entre 800 et 1,000 grammes. Le lendem
ns le sommeil hypnotique provoqué par les moyens ordi- ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE 365 naires 1. Nous n
eurs expériences. CHIMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE; Par les D" KLIPPE
ut tout d'abord étudier les excré- tions de l'individu et surtout l'
urine
. C'est ce qui nous a engagé à entreprendre, d'a
e notre excellent maître M. le professeur Joffroy, ce travail sur l'
urine
des paralytiques généraux, qui a pour but la dé
mportant que le début de la paralysie générale est plus obscur. L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE, D'APRÈS LES AUTEURS
la prétention de faire ici un historique complet des travaux sur l'
urine
des paralytiques généraux, et nous espérons que
dans son déclin. A. Addison 2 conclut, au contraire, d'analyses d'
urine
de paralytiques généraux, que dans l'excitation
, 1850. r A. Addison. Medico-chir. Review, avril 1805. ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 367 Î De son côté,
e de l'acide sulfurique est normale, que le poids spéci- fique de l'
urine
varie à peine, et que le volume de vingt-quatre
t avec le poids du corps. Rabow 2 considère lui aussi la quantité d'
urine
comme aug- mentée ainsi que celle de l'urée, ma
, cité par M. A. Voisin dans son Traité de la Paralysie générale, l'
urine
a les caractères de celle des fébricitants. A
er, dans les phases d'excitation que de dépression, la densité de l'
urine
est toujours plus ou moins élevée au-dessus de
crises épileptiformes. A la troisième période, ajoute M. Voisin, l'
urine
est souvent fétide et trouble et contient quelq
GIQUE. - Les résultats de ces analyses des matériaux normaux de l'
urine
n'ont donc rien donné de bien net, rien établi sû
s agités). Et nous trouvons un peu plus tard vingt- deux analyses d'
urines
de paralytiques généraux publiées par Marre dan
que dans les cas de diagnostic douteux l'absence de peptone dans l'
urine
permettrait d'écarter l'hypothèse de paralysie
t que la peptonurie ne saurait être invoquée ' Rabenau. Analyse des
urines
des aliénés paralytiques. (Archiv. fur. Psych.
893. 1 Lailler. Ann. médéc.-psycla., XIX, p. 17, 1894. ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 369 comme un symptô
valeur chez les aliénés. Enfin, parmi les substances anormales de l'
urine
des paralytiques, M. Régis' a signalé la glycos
qui suit et qui ne représente qu'une minime partie de l'étude de l'
urine
dans la paralysie générale. Il nous semble en e
ieux documents les points suivants : 1° la composition moyenne de l'
urine
dans chacune des trois périodes de la pa- ralys
c la forme clinique de la paralysie générale ; 3° la variation de l'
urine
chez un même individu dans une même période de
erons seulement du premier point, et encore ne considérerons-nous l'
urine
de paraly- tique général que durant la seconde
t et il est bien difficile de recueillir inté- gralement toute leur
urine
. Nous espérons, du reste, pouvoir dans peu de t
les résultats que nous allons exposer : Constitu- tion moyenne de L'
urine
dans la seconde période de la paralysie général
iode de la paralysie générale. Pour y arriver nous avons pris les
urines
d'un certain nombre de paralytiques quelconques
rs basé les données qui vont suivre sur les dosages effectués sur l'
urine
des vingt-quatre heures. Avec des aliénés tels
tiques généraux, il est très difficile de recueillir exactement les
urines
d'une journée entière, néanmoins nous croyons a
es cas, heureusement fort rares, croyons-nous, y a-t-il eu un peu d'
urine
perdue ; mais nous le répétons ces faits consti
ts constituent l'exception, car nous avons impitoyablement rejeté l'
urine
chaque fois qu'il nous sem- blait y avoir un do
isqu'il ne peut y avoir eu comme cause perburbatrice qu'une perte d'
urine
qui, nous aimons à le répéter, a été tout à la
rès rare et certainement très petite. i Constitution moyenne DE L'
URINE
dans la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie général
. Caractères GÉNERAUX. - 1° Quantité. En consultant les tableaux I (
Urines
des hommes) et II (Urines des femmes), on voit
° Quantité. En consultant les tableaux I (Urines des hommes) et II (
Urines
des femmes), on voit que vingt hommes sur trent
que six femmes sur treize, soit environ la moitié ontune quantité d'
urine
supérieure à la moyenne (1,200 cent. cubes pour
,100 pour les femmes, d'après Yvon et Berlioz : Manuel d'Analyse d'
Urines
. Paris, 1894) et dans un nombre assez notable e
' Urines. Paris, 1894) et dans un nombre assez notable e ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 371 de cas cette po
male. Et encore, ici surtout, faudrait-il pouvoir tenir compte de l'
urine
qui a pu être perdue. Il y a donc, comme Rabon
onc, comme Rabon l'avait annoncé, une augmentation de la quantité d'
urine
. En un mot, s'il est vrai qu'il y ait parfois m
égère polyurie pouvant devenir parfois très notable. Couleur. Les
urines
des paralytiques généraux sont géné- ralement c
eu diminuées ou normales, et il en est de même des chromogènes de l'
urine
, comme on peut s'en assurer par l'action de l'a
iquer ce fait dans un autre travail. Aspect. Il est bien rare que l'
urine
soit transparente; elle est presque toujours au
cus en quantité toujours très appréciable, souvent très notable ; l'
urine
des paralytiques généraux présente donc une vér
quente de l'albumine, comme nous le verrons par la suite, que cette
urine
mousse toujours bien facilement, et que la mousse
odeur, elle est en général normale, mais plus forte que celle d'une
urine
ordinaire ; quelquefois on peut noter qu'elle e
dans un sixième dès cas, et alcaline dans le dernier sixième. Les
urines
neutres ou alcalines se rencontrent donc aisément
e et cela sans troubles de la miction et sans rétention prolongée d'
urine
à l'intérieur de la vessie. (Nous n'avons pas e
xaminé ces cas.) Densité. M. Lailler nous indiquait la densité de l'
urine
des paralytiques comme plus forte que la densit
t que faire se peut, à l'abri de toute cause d'erreur. ÉTUDE DE l'
urine
dans la paralysie générale. 373 HOMMES 374 CH
(tableau I et II) en montrent partout l'excré- FEMMES ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 375 TABLEAU III. Ra
ement augmentés. Tableau IV. Excrétion des phosphates. ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 377 celle de l'urée
l'urée ou des phosphates l'action due aux fluctuations du volume d'
urine
émis dans les vingt-quatre heures. Tableau V. É
ourtant la légère polyurie des paralytiques, la faible densité de l'
urine
et les lésions rénales constatées par M. A. Voi
a été négatif. Comme nous n'avons pas examiné une seconde fois les
urines
où nous n'avions point trouvé de peptones, il n
sur dix. Comparativement nous avons fait la même recherche sur des
urines
normales et les résultats positifs ont été seul
peut-on dire qu'on la rencontre un peu plus fréquemment que dans l'
urine
normale. Résumé ET conclusions. En résumé, nous
e point de critérium permettant de dire immédiate- ment : Voici une
urine
de paralytique ou permettant de faire un diagno
fureux et qui vire au violet en présence de l'acétone. ÉTUDE DE L'
URINE
DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 379 De plus, nous a
RINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 379 De plus, nous avons vu que les
urines
des paralytiques étaient essentiellement variab
a polyurie dans la seconde période de la paralysie géné- rale ; les
urines
ont une faible densité et sont de coloration cl
restrictions sur la peptonurie ainsi que sur tout ce qui touche les
urines
de la paralysie générale en dehors de la second
suturée, était complètement guérie. Rentré chez lui, il mesure ses
urines
(15 litres en vingt- quatre heures) et en fait
ersisté sans modifica- tion, malgré divers traitements. Le taux des
urines
de vingt- quatre heures s'élevait à une vingtai
qu'il lui est arrivé deux ou trois fois, faute d'eau, de boire son
urine
. Il n'est jamais plus heureux que lorsqu'il peu
étouffements avec tremblement, d'une véritable attaque de nerfs. Il
urine
souvent un litre par miction. Voici quelques dé
iction. Voici quelques détails sur la quantité et la qualité de ses
urines
. Toute supercherie a été évitée ; nous avons pl
e ; nous avons plusieurs fois fait uriner le malade devant nous ; l'
urine
encore dans ces conditions était physiquement e
é, on ne peut avoir aucune espèce de doute.. L'analyse chimique des
urines
a été faite, pendant quinze jours consécutifs,
onsécutifs, par M. Yvon, que nous remercions de son obligeance. Les
urines
émises, les boissons absorbées dans les vingt-qua
un mois D... est resté en observation. Durant ce temps, le taux des
urines
de vingt-quatre heures a oscillé do 1G à 19 litre
,500. La quantité d'eau ingérée a été un peu inférieure au taux des
urines
, mais en tenant compte du vin, du café et de l'ea
nnera des renseignements suffisants sur la composition chimique des
urines
des vingt-quatre heures. L'urine est pâle à reu
s sur la composition chimique des urines des vingt-quatre heures. L'
urine
est pâle à reuetverdàtre, à peine acide et de d
t. Du 13 au 16 juin, il a été hypnotisé chaque jour et le taux de l'
urine
a baissé quotidiennement d'un litre. Le 22 juin,
ment d'un litre. Le 22 juin, après sept séances de suggestion, il n'
urine
plus que 7 litres. Du 22 au 30 juin quatre séan
illet et à 3 litres et demi le 3. Enfin, le 4 juillet, le taux de l'
urine
atteignait 3 litres 200. Chaque suggestion a am
2 septembre, le malade n'a reçu aucune sugges- tion hypnotique; ses
urines
ont été régulièrement mesurées et leur taux quo
tre heures une quantité constante (10 à 45 centimètres cubes) d'une
urine
acide, trouble, dont la densité varie entre 1,0
ainsi, chez cinq lapins, une polyurie durable, caractérisée par une
urine
pâle, d'une densité moyenne de 1,006, dont le tau
homme de vingt-cinq ans, ne présentant aucun stigmate d'hys- térie,
urine
de 20 à 28 litres par jour. La thérapeutique habi
persuadant de l'efficacité merveilleuse du médicament. Le taux de l'
urine
tombe à 3 litres. Donc, les observations ancienne
de ses polyuriques les excès d'alcool et l'incontinence nocturne d'
urine
, mais il ne les a pas interprétés. « Dans les a
s presque toujours dans leur enfance de l'inconti- nence nocturne d'
urine
, qui se prolonge souvent assez tard, mais n'est
érie. » Nous pensons, au contraire, que l'incontinence nocturne d'
urine
et les excès éthyliques sont pour beaucoup et ont
ictions fréquentes et impé- rieuses diurnes, croit en réalité qu'il
urine
plus que normale- ment. L'enchaînement logique
ues dans la production de la polyurie hystérique. Qui boit beaucoup
urine
plus et plus souvent qu'un sujet sobre. Il est
et soignée à l'hôpital du Midi. Envies très fréquentes d'uriner et
urines
san- guinolentes. Instillation de nitrate d'arg
hypersécrétoire (excès alcooliques aigus, inconti- nence nocturne d'
urine
, etc.). L'idée inhibe probablement les centres
la femme, par Idanow, 134; à forme tabétl- que, par Joffroy. 321;
urines
dans la-, par Klippel et Serveaux, 327, 327,
te; ici c'est la mamelle qui se prend, là l'appareil sécréteur de l'
urine
; chez tel malade l'agent infectieux des oreill
Le le, et le 2 juin, le pouls, petit, bat 90 fois à la minute, l'
urine
est albumineuse et les selles contiennent un peu
ment disparu. Le malade, qu'il avait encore fallu sonder la veille,
urine
seul. La température s'abaisse, 38°,5 le matin,
n). A dater de ce moment, la déchéance s'accuse : les selles et les
urines
sont involontaires, les contractures s'accentue
a bouche, convulsions toniques prédominant à droite, émission des
urines
. L'aberration du sens génital ne s'est pas amen
st Pettérs et Kaulich qui, frappés de l'odeur spéciale de certaines
urines
diabétiques, eurent les premiers la pensée d'y
oniaque, puis successivement toutes les substances contenues dans l'
urine
. les matières extractives, les sels de potasse,
nues dans l'urine. les matières extractives, les sels de potasse, l'
urine
en nature, les ptomaïnes, sans arriver à aucun
ndamental pour nous, la présence ou l'absence de l'acétone dans les
urines
ou dans l'air respiré. Dans l'un, à aucun momen
eur acétonique de l'haleine ni la réaction caractéris- tique dans l'
urine
. Dans l'autre, au contraire,.l'urine traitée pa
inutile d'énumérer tous ceux qui en ont constaté l'existence dans l'
urine
. Berti l'a extraite, par distillation, du coeur
même, étant donné le peu d'acétone obtenue par distillation de l'
urine
, que ce n'est qu'une voie accessoire.- L'acétone,
un temps plus ou moins long, l'odeur et la réaction spéciales de l'
urine
, et cela, à diverses reprises, sans autres acci
d'une intoxication continue; l'acétone est en vain éliminée par les
urines
et par les poumons; elle continue à se former d
formique de l'haleine; L'absence de la réaction acétonémique dans l'
urine
. Le type est ainsi constitué. Un diabétique avé
tère négatif qui a pour corollaire l'absence de la réaction de l'
urine
par le perchlorure de fer ou les autres réactifs
ces deux signes se constatent. Il faut ajouter que la quantité d'
urine
rendue est plutôt augmentée que diminuée chez c
s symptômes que nous venons de décrire, la vessie était remplie d'
urine
, et cette urine contenait 50 grammes de sucre par
e nous venons de décrire, la vessie était remplie d'urine, et cette
urine
contenait 50 grammes de sucre par litre. Mais n
mour. Cette jeune fille rendait en moyenne de deux à trois litres d'
urine
par jour, contenant 40 à 50 grammes de sucre pa
coup, et sans raison appréciable, on vit augmenter la quan- tité d'
urine
rendue; la peau et les muqueuses pâlirent, en m
perdait de 4SO à 600 grammes de sucre par jour, avec six litres d'
urine
, fut prise tout à coup, à la suite d'un voyage de
re ordres principaux de phénomènes : 1° La réaction spéciale de l'
urine
et l'odeur de l'haleine ; 2° Des troubles gastr
ncomplets; mais l'odeur aigrelette de l'haleine ou la réaction de l'
urine
doivent de toute nécessité exister pour justifi
atation de l'haleine acétonique autorise à affirmer le diabète. L'
urine
peut donner la même sensation odorante; mais il
s usité est la réaction que fournit le perchlorure de fer. Dans une
urine
, additionnée au préa- lable de quelques gouttes
ubis. Il suffit donc d'ajouter quelques gouttes de ce réactif à une
urine
où l'on soupçonne la présence de l'acétone pour
e. On comprend que, suivant la quantité d'acétone con- tenue dans l'
urine
, la réaction sera plus ou moins nette, et la te
ate de soude (10 centigrammes pour 15 grammes d'eau). On ajoute à l'
urine
une certaine proportion de la solution ammoniac
es constater à différentes fois la réaction de l'acétone dans les
urines
. 2° Acétonémie chronique. Les faits de ce genre
e du malade au point d'incommoder les personnes qui s'y trouvent. L'
urine
, pendant tout ce temps, donne, en général, d'un
nés, l'odeur aigrelette de l'haleine et la réaction acétonique de l'
urine
, en même temps que se mani- festent sous une fo
némie, avec odeur spéciale de l'haleine et réaction acétonique de l'
urine
. Ces accès passagers coïncidaient toujours avec
elle rendait 100 grammes de sucre par jour et environ deux litres d'
urine
. La glycosurie diminua sous l'influence des alc
glycosurie diminua sous l'influence des alcalins. Mais, en 1878, l'
urine
ne renfermant plus que des traces de sucre, cette
faire disparaître complète- ment et trop brusquement le sucre de l'
urine
des diabétiques. La suppression rapide de la gl
porte sur l'agi- tation, et cet affaissement est si marqué que B...
urine
souvent sous lui. Toutefois, l'alimentation se
d'insuffisance mi- trale. Pulsations de la veine jugulaire externe.
Urine
normale, quoique d'une densité très élevée. S
pendant lesquels elle aurait perdu partiellement connaissance; elle
urine
inconsciemment dans son lit, elle se mord la la
e temps qu'une tuméfaction médiocre des paupières; on examine ses
urines
qui ne contiennent ni albumine, ni sucre. Depuis
ois. Trois semaines plus tard se manifestent de l'incontinence de l'
urine
et des matières, puis une cystite opi- niâtre e
nt, grincement de dents; faibles cris, évacuation involontaire de l'
urine
. Le neuvième jour, les convulsions s'étendent d
h annonçait qu'il avait souvent trouvé la diacéturie (réaction de l'
urine
au perchlorure de fer, et présence de l'acétone
ns que l'examen révélât autre chose que de l'acide diacétiquedans l'
urine
. Ces états se dis- siperaient en général prompt
après une selle copieuse. De là la néces- sité de rechercher dans l'
urine
des aliénés l'acétone et le corps donnant la ré
rure de fer, celle de Lieben qui donne de l'iodoforme (addition à l'
urine
d'io- diure de potassium ioduré et de lessive d
e). Il a, à plusieurs reprises, interrogé ces réactions tant dans l'
urine
que dans son produit de distillation chez plus
ades n'ayant quelque temps auparavant que peu ingéré; chez elles, l'
urine
donnait simultanément très nettement la réactio
ments atteignit ici jusqu'à quatre jours; ;la réaction Légal dans l'
urine
se montra trois fois le premier jour, une fois le
jours d'inanition. En revanche, le produit de la distillation de l'
urine
(obtenu avec l'urine pure ou avec l'urine addit
revanche, le produit de la distillation de l'urine (obtenu avec l'
urine
pure ou avec l'urine additionnée d'acide sulfuriq
t de la distillation de l'urine (obtenu avec l'urine pure ou avec l'
urine
additionnée d'acide sulfurique) pré- senta nett
inence. Les mêmes réactions dans le produit de la distillation de l'
urine
se rencontrèrent aussi chez deux malades ; l'une
upart des repas une heure après l'ingestion au plus tard, et dont l'
urine
, distillée, fournit, à une époque où tous les r
tée en deux cas à l'approche des malades; dans l'un de ces faits, l'
urine
réagissait au perchlorure de fer, et présentait a
utre, elle ne fournit que la réaction Légal. Dans le premier cas, l'
urine
exhalait aussi l'odeur douceâtre de la pomme; d
fférence entre l'odeur de l'acétone'et l'odeur de l'haleine ou de l'
urine
des sitiophobes. Nos observations ne nous ont p
établir avec certitude si les réactions de l'acétone fournies par l'
urine
, qui se montrent dès le début de l'abstinence (
l'abstinence. Dans un autre cas, le produit de la distillation de l'
urine
montra nettement les réactions Lieben et Légal qu
32. SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 fixées. Elle ne retint qu'une fois ses
urines
pendant deux jours et demi, à la suite d'halluc
t de conceptions délirantes; puis elle émit 830 centimètres cubes d'
urine
d'une densité de 40311. : absence de sucre et d
lus lard. Chez d'autres individus ayant retenu volontairement leurs
urines
, rétention qui n'avait jamais été poussée aussi l
. Wi< ? 6u;'jy, 1882). Hoppe-Seyler trouva cette réaction dans l'
urine
d'un malade intoxiqué par l'acide sulfurique, à
de rien prendre ; en même temps, le produit de distillation de son
urine
présentait la réaction l,iel)en (Zeilschi-. f. kl
n, l'acétone se forme dans l'organisme, car toujours alors, sinon l'
urine
, du moins le produit de la distillation de l'ur
s alors, sinon l'urine, du moins le produit de la distillation de l'
urine
fournit les réactions de l'acé- tone, au bout d
ation au perchlorure de fer s'accompagne delà réaction Légal dans l'
urine
; d'autre part, l'une peut persister des jours dur
que la réaction Légal, plus tard le produit de la distillation de l'
urine
seul donnait les réactions Lésât et Lieben. I
ne du muscle se transforme en acétone, mais on en constatait dans l'
urine
de la sitiophobes. Maintenant la substance dont
tion. Il est, en revanche, douteux que l'acétone existe déjà dans l'
urine
de t'inanitié. En cette espèce, M. Loelir n'ajama
ique se montre aussi bien que la réaction Légal quand on ajoute a l'
urine
normale de l'acétone. Les corps qui donnent ces
e de l'acétone. Les corps qui donnent ces diverses réactions dans l'
urine
doivent donc être les éléments générateurs de l
réaction au perchlorure de fer, si forte qu'elle fût souvent dans l'
urine
, ne s'est jamais montrée dans le produit de disti
ontrée dans le produit de distillation, bien qu'on n'eût ajouté à l'
urine
à distiller aucun acide. Et cependant on contin
lt;'0-ëpt<ep4'M«j/)'tMtei< . crises, vertiges, incontinence d'
urine
dès l'enfance, asymétrie RAMOLLISSEMENT DES COR
langue, sans aura, mais fréquemment avec émis- sion involontaire d'
urine
. Quelques minutes après, elle a de la peine à r
nt une semaine, avec subdélirium etmanie religieuse. Incontinence d'
urine
, conscience des vertiges, pas de trouble de sen
ur, les bruits sont éclatants, pas de souffle. Après une crise, l'
urine
est acide, d'un aspect louche avec léger nuage
acés par les rhonchus bullaires de la respiration. Incon- tinence d'
urine
. Sudation excessive. Pâleur et cyanose de la face
conjuguée des yeux, tantôt à gauche, tantôt à droite. L'examen des
urines
est impossible. La malade meurt dans l'as- phyx
men du coeur n'offre rien d'anormal. Ni sucre ni albumine dans les
urines
recueillies avant et après les crises. Le 13 du m
es. Les bruits du coeur parais- sent normaux.-Rien aux poumons. Les
urines
sont normales. Le 24 du même mois, faux besoins
LISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 415 5 L'état général est bon. Les
urines
sont normales. Le 2 janvier 1883, perte de conn
ysurie qui, dans ces derniers temps, se convertit en incontinence d'
urine
. Depuis le mois de novembre 1884, alternatives
lissement des con- tractions cardiaques, des éjections spontanées d'
urine
, de la sali- vation, du larmoiement. Septfois l
étaient si douloureux, que cette malade rendait involontairement les
urines
et les matières fécales. Il était impossible de
n. 8, division dite des gâteuses). Elle rendait involontairement les
urines
et les matières fécales. Voici les symptômes qu
elles-ci sur le bassin. Depuis un mois, écoulement involontaire des
urines
. Du reste, intelligence parfaite; exercice réguli
ont sentir de temps en temps: il y a une constipation invincible; les
urines
s'écoulent difficilement, mais sans douleur. «
n'y a point de dépression dans la fosse iliaque droite. Dévoiement :
urines
rares. ( 20 sangsues, fomentations, bains.) Le
toujours la partie supérieure « de la vessie lorsqu'elle est pleine d'
urine
. Si, dans la dilatation de toute la ligne blanche
ouffrance. Pouls petit, peu fréquent : chaleur naturelle; sécrétion d'
urines
abondante; aucun phénomène morbide du côté de la
loureux, surtout par la pression : insomnie, délire, point de selles,
urines
rares et troubles (lavemens, embrocations, catapl
t de la verge; en un mot, tous les symptômes d'un calcul vésical. Les
urines
devinrent successivement catharrales, purulentes,
anieuses, d'une horrible fétidité ; il y avait souvent hématurie. Les
urines
présentaient de petites masses demi concrètes qu'
bre de boulettes stercorales; et de même que j'ai vu des rétentions d'
urine
subsister plusieurs années sans accidens, de même
malade que dans les momens de crise, je pus croire à une rétention d'
urine
, et j'engageai M. Sobaud son chirurgien à s'assur
de celle qui résulte d'un coup d'épée, avec épanchement de bile ou d'
urine
dans la cavité péritonéale. MALADIES DIT FOIE
r décembre, et voici ce que j'observai : teinte légèrement ictérique,
urines
également ictériques; angoisse extrême du malade;
égère, est beaucoup plus prononcée, et la matière colorante verte des
urines
a augmenté dans la même proportion. Toute la jour
urent toujours régulières, avec leur coloration naturelle. Jamais les
urines
ne furent ictériques; elles conservèrent, au cont
leurs, ne fut pas de longue durée. Le Ier septembre, incontinence d'
urine
; les urines coulent, durant une heure, goutte à g
ut pas de longue durée. Le Ier septembre, incontinence d'urine; les
urines
coulent, durant une heure, goutte à goutte. Penda
irritation ; sa volonté ne peut rien pour empêcher l'écoulement de l'
urine
.—Le 28 septembre, rétention d'urine; incontinence
n pour empêcher l'écoulement de l'urine.—Le 28 septembre, rétention d'
urine
; incontinence par regorgement;besoin de la sonde;
rtion du caillot.—Le 26, persistance des mêmes douleurs ; rétention d'
urine
, qui oblige de sonder le malade. Cet incident dir
Je soupçonne une péricardite. Du reste, persistance de la rétention d'
urine
, nécessité du cathétérisme. — Traitement: vingt
che du thorax/Purgatifs répétés, boissons diurétiques. La rétention d'
urine
persiste et nécessite le cathétérisme. 19 juill
e des membres inférieurs, et même des membres supérieurs. Rétention d'
urine
, cathétérisme. Le 20 et les jours suivans, augm
arfaite du mouvement et du sentiment dans les membres supérieurs: les
urines
et les selles sont rendues volontairement; intégr
ion des gâteuses, ce qui suppose qu'elle rendait involontairement les
urines
et les matières fécales. Je n'ai pas noté si cett
la malade contraste avec son état de paralysie presque générale. Les
urines
sont volontaires, mais péniblement expulsées. Le
r avaient roulé douloureusement dans tout son corps. L'émission des
urines
est impossible. Cathétérisme. L'élève chargé de c
eur de la perception est la même aux doigts qu'aux pieds. Rétention d'
urine
depuis quelques jours; cathétérisme; sortie des m
lieu de janvier : fièvre habituelle avec frisson le soir. Rétention d'
urine
; urines purulentes. L'exploration attentive de l'
janvier : fièvre habituelle avec frisson le soir. Rétention d'urine;
urines
purulentes. L'exploration attentive de l'abdomen
espérance , l'état de la malade s'améliore: point de fièvre, appétit,
urines
toujours purulentes , que j'attribue à un catarrh
cellulaire sous-péritonéal. Il est difficile de comprendre comment l'
urine
a pu être sécrétée par des reins aussi profondéme
t sur les reins. La paratvsie de vessie, surtout s'il y a rétention d'
urine
, peut devenir la cause d'une cystite, d'une infla
dominée par les accidens du coté des voies urinaires. La rétention d'
urine
a précédé l'appareil fébrile, qui était évidemmen
épendance de l'inflammation de l'appareil sécréteur et excréteur de l'
urine
.La terminaison delà néphrite par une perforation
se qu'elle ne présentait rien de particulier. Je n'ai pas noté si les
urines
et les matières fécales étaient rendues involonta
e les infirmières. Sa face est hébétée: elle crie quand on la touche.
Urines
et selles involontaires. Je n'ai pas noté l'état
avaient contracté la mauvaise habitude de rendre involontairement les
urines
et les matières fécales. Ces paralysies apparente
e les muscles se raidissent et tendent au raccourcissement. Du reste,
urines
et évacuations alvines involontaires. Lorsque c
s le principe, la peau conservait toute sa sensibilité. En même temps
urines
et matières fécales involontaires. Les tressaille
n était brusque, sans intermédiaire. Point de secousses convulsives :
urines
et matières fécales toujours involontaires , état
se de Saint-Guy. Tous les sens sont dans un état complet d'intégrité.
Urines
et selles retenues et rendues volontairement. M
est d'ailleurs parfaite et demeure telle jusqu'au dernier moment. Les
urines
et les selles sont volontaires. Je considérai c
très bien que la peau de la face et de la partie supérieure du col :
urines
et selles involontaires. Dévoiement depuis le moi
s cesse de nouveaux progrès. Les secousses convulsives cessèrent, les
urines
et les selles furent rendues involontairement, et
eschares, sous la double influence de la pression et de l'action des
urines
. Chose remarquable! les régions qui sont le siège
légie, qu'elles s'accompagnent souvent de l'émission involontaire des
urines
et des matières fécales. Quelques réflexions sur
une contraction volontaire très forte des muscles abdominaux, que les
urines
sont expulsées. L'autopsie va nous prouver que ce
rongent; elle a crié toute la nuit. Même difficulté pour expulser les
urines
, si bien que la malade garde le bassin toute la n
de la paralysie. L'abdomen est sensible à la pression. Rétention d'
urine
. Voici les commémoratifs qui me sont donnés par s
dévoiement avec épreintes ayant l'odeur dysentérique ; la rétention d'
urine
qui existait dans le principe ; et avait tiécessi
e besoin d'uriner; mais il ne peut le satisfaire volontairement : les
urines
sont expulsées involontairement, à intervalles pl
uliers, si bien qu'il est quelquefois assez heureux pour recevoir les
urines
dans l'urinoir: l'expulsion des urines se fait do
ssez heureux pour recevoir les urines dans l'urinoir: l'expulsion des
urines
se fait donc par la contraction de la vessie, san
t affecté d'une maladie des voies urinaires, il avait une rétention d'
urine
dont la cause était bien évidemment dans la .pros
'Etiolés l'avait débarrassé par la lithotritie d'un petit calcul. Les
urines
(1) Physiologie du Systeme nerveux,, par J. Mul
ondait lui-même trois fois le jour, et, à notre grand étonnement, les
urines
d'abord catarrhales à un point tel qu'il y avait
oint tel qu'il y avait le tiers de mucus purulent et les deux tiers d'
urine
devinrent bientôt limpides; et cette limpidité s'
puis quatre mois dans la division dite des gâteuses (elle rendait ses
urines
involontairement); la myotilité était affaiblie;
s complète et sans rigidité du membre inférieur. Sensibilité intacte.
Urines
et selles involontaires. Intelligence affaiblie.
; mais la malade pouvait marcher à l'aide d'une béquille, retenir ses
urines
: elle avait toute sa tête; la vue était affaiblie
gauche. Depuis cette époque, altération des facultés intellectuelles;
urines
involontaires, paralysie presque complète du mouv
nce, et qui,par suite de cet affaiblissement, ne retiennent pas leurs
urines
et leurs matières fécales. Ces foyers sanguins
plutôt qu'intelligence; pouls naturel pour la fréquence ; rétention d'
urine
, qui oblige d'avoir recours au cathétérisme. Le
es ailleurs (voyez xvne livraison) sur le traitement des rétentions d'
urine
par hypertrophie de la prostate, traitement qui c
s de la vessie que le moins d'espace possible. Lorsque la rétention d'
urine
tient à l'hypertrophie du lobe médian, il suffit
hie de la prostate est évidemment le seul obstacle à l'excrétion de l'
urine
. -„ vio MALADIES DE LA PROSTATE Chacal. Zit
éminens dans la vessie et dans le canal de l'urètre. — Incontinence d'
urine
suivie de rétention.— Calcul mural. — Hypertrophi
hirurgie de l'hospice de Bicêtre pour y être traité d'une rétention d'
urine
. Cette rétention avait succédé à une incontinence
inze jours. Au bout de ce temps on la retira ; car on s'aperçut que l'
urine
s'écoulait entre la sonde et le canal, lors même
it ce malade, et à chaque fois on évacuait une très petite quantité d'
urine
purulente excessivement fétide. La sonde d'argent
. Ouverture du cadavre. — La vessie contenait une petite quantité d'
urine
purulente et un calcul mural gros comme une forte
à la capacité de ce réservoir, me paraît établir que l'incontinence d'
urine
dont ce malade était depuis long-temps affecté, n
ait depuis long-temps affecté, n'était autre chose qu'une rétention d'
urine
avec regorgement. Je ferai remarquer l'hypertroph
vessie était restée pendant long-temps immobile, laissant échapper l'
urine
à mesure qu'elle la recevait et dans la même prop
state, les sillons qui séparent ces lobules expliquent la rétention d'
urine
et l'incontinence lorsque, par suite de cette rét
n calcul urinaire. Un malade entre à l'hôpital pour une rétention d'
urine
: ce liquide suinte goutte à goutte. Le malade fa
iquide suinte goutte à goutte. Le malade fait remonter la rétention d'
urine
à plusieurs années, et la rapporte à une chute su
mpossible de découvrir, à l'aide d'un stylet, le pertuis par lequel l'
urine
suintait goutte à goutte du vivant du malade. A c
é en un cordon fibreux extrêmement dense. Par suite de la rétention d'
urine
, les deux uretères, surtout celui du côté droit,
écissement de la partie membraneuse du canal de l'urètre; rétention d'
urine
; calcul qui s'est creusé une poche aux dépens de
buleuse LMP, proéminente dans la vessie, devait rendre l'émission des
urines
bien difficile, et l'épaisseur des parois de la v
l a éprouvé autre chose qu'une grande difficulté dans l'émission de l'
urine
et, s'il y a eu rétention d'urine proprement dite
nde difficulté dans l'émission de l'urine et, s'il y a eu rétention d'
urine
proprement dite. Je serais porté à croire que la
d'urine proprement dite. Je serais porté à croire que la rétention d'
urine
n'a pas été complète, et je me fonde sur ce que l
le volume de la tumeur qu'il faut mesurer l'obstacle à l'émission des
urines
; j'ai vu de très petites tumeurs mobiles occasio
; j'ai vu de très petites tumeurs mobiles occasioner des rétentions d'
urine
qui nécessitaient l'usage habituel delà sonde, ta
s efforts de contraction vigoureux, nécessaires pour l'expulsion de l'
urine
, la portion des parois de la vessie qui répond à
La théorie dit encore que ces calculs peuvent être expulsés avec les
urines
; mais cela n'a point été constaté. Il serait d'a
s urinaires. Us constituent la cause la plus commune des rétentions d'
urine
et par suite du plus grand nombre des lésions don
caverneux. — Abcès gangreneux. — Pneumonie. Mort, (i) Rétention d'
urine
, cathétérisme forcé, abcès gangreneux dans les bo
s les follicules muqueux de l'urètre : c'est une cause de rétention d'
urine
qui vient s'ajouter au rétrécissement. Quant à la
vembre 1829, les voies urinaires d'un individu affecté de rétention d'
urine
depuis vingt ans, et qui parvenait à uriner assez
alculs urétraux et prostatiques étaient le résultat de la rétention d'
urine
, laquelle avait déterminé la dilatation du canal
e d'irritation, à cause de l'obstacle qu'il apporte â l'émission de l'
urine
. La figure 2, planche 1, fournit un exemple d'h
nécessairement une liberté pleine et entière dans la circulation de l'
urine
. La couleur jaunâtre du tissu du rein , sa dispos
altération, qui peut servir de type pour les lésions du même genre.
Urines
purulentes. ¦— Tuméfaction considérable et doulou
rages d'aiguille, pour lesquels elle était très habile. Etat local.
Urines
toujours troubles et purulentes. Le pus forme la
présente tous les caractères du pus phlegmoneux. D'une autre part, l'
urine
qui surnage, parfaitement limpide et citronée, of
age, parfaitement limpide et citronée, offre tous les caractères de l'
urine
normale. La malade se plaint constamment du rei
par la saignée. Depuis cette époque, elle dit avoir expulsé avec les
urines
plus de deux cents graviers, dont souvent six à-l
iloculaire rempli de pus. Ce pus est phlegmoneux sans aucun mélange d'
urine
. Quelques calculs nagent au milieu du pus. Les ce
ssinet; que ce calcul, faisant bouchon, a dû produire une rétention d'
urine
dans le rein, et, par suite, la distension, l'atr
t quelquefois spontanément à la suite d'une évacuation de pus par les
urines
;mais d'autres fois elles étaient rebelles, et c'é
ubitement à la suite de l'évacuation spontanée dune grande quantité d'
urine
purulente. La tumeur diminuait rapidement,et, au
assé de ces matières,qui le remplissaient entièrement, sans mélange d'
urines
et de matières purulentes, le rein ( voyez fig. i
is. Dans le sens transversal, elle atteignait la ligne blanche. Les
urines
étaient rares, peu abondantes, rendues sans doule
malade : elles se terminaient par l'émission d'une grande quantité d'
urine
sédimenteuse. Dans l'intervalle des crises, il y
arfaite. Le seul symptôme de maladie était la fétidité habituelle des
urines
. D'après ce qui précède, le diagnostic était faci
rein, du calice et du bassinet, produits par un obstacle au cours des
urines
existant dans l'uretère; toute crainte de dégénér
s le 9 octobre jusqu'au 8 novembre, c'est-à-dire pendant un mois. Les
urines
sont albumineuses, muqueuses, souvent avec gravie
infects, ayant l'odeur des matières fécales ; les éructations et les
urines
ont la même odeur que les selles, et tout l'appar
des matières rendues par le vomissement et de celles rendues par les
urines
et par les selles, fait soupçonner une communicat
t de chaux, io° la plupart des sels qu'on « rencontre dans les autres
urines
. » » Conclusions de l'analyse. « Les particular
« Les particularités remarquables qui résultent de l'examen de cette
urine
sont: i° la présence d'une « matière glutineuse a
à la date du 11 novembre : «La malade a rendu une énorme « quantité d'
urine
purulente : elle trouva dans son lit une quantité
e. XXXVIe LIVRAISON. 2 miriutiori. Vomissemens toujours infects ;
urines
d'abord purulentes , puis sanguinolentes. Les uri
ujours infects ; urines d'abord purulentes , puis sanguinolentes. Les
urines
sanglantes sont expulsées avec douleur vive ; épu
i rappellent exactement celles rendues par le vomissement et avec les
urines
, s'échappent par la solution de continuité. Une l
mois; invasion d'accidens d'un nouveau genre; vomissemens stercoraux;
urines
stercorales; soupçon de communication du rein dro
elles embrassent tous les dérangemens qui ont lieu dans le cours des
urines
, les rétentions, les incontinences, les fistules,
anique qu'ils apportent par leur présence à la libre circulation de l'
urine
; i° à l'irrita-.tion qu'ils provoquent directemen
anes plus ou moins éloignés. Pour qu'il y ait obstacle au cours des
urines
par suite de la présence d'un calcul rénal, il fa
ccupe le bassinet et fasse bouchon ou soupape: aussi les rétentions d'
urine
dans le rein reconnaissent-elles presque toujours
érent. Ce sable , mêlé de mucus , était ordinairement expulsé après l'
urine
, et remplissait le canal; de l'urèthre, qui ne s'
enus dans les calices et le bassinet s'opposent à la circulation de l'
urine
, qui peut, dans le plus grand nombre des cas, sui
on atrophique suppose une liberté pleine et entière dans le cours des
urines
. (Voyez fig. i, pl. ni, xxxvie livraison.) Dans
Que, dans d'autres cas, ils gênent plus ou moins la circulation de l'
urine
et deviennent une cause de rétention plus ou moin
-nous ici un instant de l'effet le plus remarquable de la rétention d'
urine
dans le rein, je veux parler de sa distension ou
ulement sur les calices, mais encore sur le tissu du rein lui-même. L'
urine
retenue comprime d'abord les mamelons des cônes d
e. Pour peu qu'il existe encore vestige du tissu du rein, il y a de l'
urine
sécrétée; mais, lorsque le rein tout entier est t
liquide contenu dans la poche rénale ne renferme aucun principe de l'
urine
: c'est de la sérosité pure, et la dénomination d
e du rein lui est alors bien plus applicable que celle de rétention d'
urine
. Toutefois, il est rare que la transformation du
dans le second cas. Lorsqu'il y a interception complète du cours de l'
urine
par oblitération de l'uretère, on ne comprend pas
, incomplète d'abord, puis complète de la sécrétion. La rétention d'
urine
dans le rein peut être intermittente. On conçoit
s douleurs, à la suite de l'émission spontanée dune grande quantité d'
urine
purulente. Dans un certain nombre de cas, l'obs
purulente. Dans un certain nombre de cas, l'obstacle au cours de l'
urine
ayant cessé d'exister, le rein, transformé, fourn
on contingent de sécrétion morbide chaque jour à la vessie; alors les
urines
seront un mélange de liquide normal, sécrété par
peut considérer comme le type des accidens causés par la rétention d'
urine
dans le rein, ce grand praticien se refusa à la p
'hémiplégie faciale. Intégrité de la sensibilité et de la perception.
Urines
et selles involontaires depuis la veille. Le 23
s sont le siège de contractions qui sont extrêmement rapprochées. Les
urines
et les selles continuent à être involontaires. li
tre à la Salpêtrière comme cancéreuse incurable. Douleurs très vives;
urines
involontaires. Tout-à-coup, frisson, sentiment de
angue; écoulement très fétide qui ressemble aux matières fécales. Les
urines
sont rendues péniblement et souvent avec des doul
ns la chute de l'utérus, a quelquefois pour résultat l'incontinence d'
urine
; plusieurs des malades couchées dans la division
entraîne non moins souvent une grande difficulté dans l'émission des
urines
. De là le développement ou l'allongement de la ve
altéré dans le cancer utérin, expliquent la difficulté du passage des
urines
à travers les uretères dont la partie inférieure
a pas les conséquences funestes que la théorie semblerait indiquer. L'
urine
dilate l'uretère (voyez fig. i)\ en même temps qu
int d'acquérir une capacité très considérable. Le rein comprimé par l'
urine
accumulée dans les calices dilatés s'atrophie gra
right; et cette atrophie peut être portée au point que la sécrétion d'
urine
soit nulle ou si peu abondante que l'absorption p
e de son volume: et rapprochant ce fait de la rétention complète de l'
urine
dans les uretères, je me suis demandé si la théor
entaires l'économie se débarrasserait des matériaux qui constituent l'
urine
, si les deux uretères étaient en même temps oblit
déchirée, ce qu'il fut facile de reconnaître par l'issue d'un flot d'
urine
. Cette opération fut surtout douloureuse dans l
sion dans l'abdomen. Jamais de diarrhée ; jamais de vomissemens : les
urines
sont peu abondantes. Je diagnostique une périto
éminens dans la vessie et dans le canal de l'urètre.—Incontinence d'
urine
, suivie de rétention.— Calcul urinaire. Hypertrop
nnaissance au moment de l'attaque; stupeur; émission involontaire des
urines
. Mort le cinquième jour. = Apoplexie de la couche
nnaissance au moment de l'attaque; stupeur; émission involontaire des
urines
. Mon le cinquième jour. Apoplexie de la couche op
iv., pl. 1, n, m, iv, v, p. u. — Des vomissemens. De la suppression d'
urine
. Des crampes. De l'angoisse épigaslrique. Du faci
cultés apportées par l'hypertrophie de la prostate à l'évacuation des
urines
, au diagnostic de la pierre vésicale et au cathél
imperforation. lrc liv., pl. vi, p. 3. INCONTINENCE. Incontinence d'
urine
résultant du déplacement de la vessie, s'observe
, pl. 1, n, ni, iv, y, p. 14. — Des vomissemens ; de la suppression d'
urine
; des crampes ; de l'angoisse épigastrique; du fa
iv., pl. 11, p. 2. — Observation : Dysurie, puis rétention complète d'
urine
. Difficulté du calhétérisme. Ecoulement d'une gra
sonde. Orifice vésical artificiel donnant très librement passage aux
urines
. 17e liv., pl. 11, p. 4- — Prostate hypertrophiée
roéminens dans la vessie et dans le canal de l'urètre. Incontinence d'
urine
suivie de rétention. Calcul mural. Hypertrophie d
ant de la présence d'un calcul rénal dans le bassincl. Observation.
Urines
purulentes. Tuméfaction considérable et douloureu
est mise en jeu. 40e liv., pl. 11, m, p. 4. RETENTION. Rétention d'
urine
causée par une hypertrophie de la prostate. 17e l
la prostate. 17e liv., pl. 11, p. 4, 4. — Traitement des rétentions d'
urine
résultant de l'hypertrophie de la prostate par la
rostate (cathétérisme forcé). 22e liv., pl. n, p. 2. — Incontinence d'
urine
suivie de rétention. 26e liv., pl. v, p. 4. — Rét
, pl. i, n, p. 3.—Double canal de l'urètre. 39e liv., pl.i,n, p. 4.
URINE
. Rapport entre la sécrétion urinaire et la goutte
crétion urinaire et la goutte. 4e liv., pl. m, p. 5.—La suppression d'
urine
est un phénomène constant du choléra. 14e liv., p
stant du choléra. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. /2. — Rétentions d'
urine
causées par une hypertrophie de la prostate. 17e
prostate (caihétérUme forcé). 22e liv., pl. n, p. 2. — Incontinence d'
urine
suivie de rétention. 26eliv., pl. v, p. /. — Inco
vie de rétention. 26eliv., pl. v, p. /. — Incontinence et rétention d'
urine
, suite du déplacement de la vessie inévitable dan
chute de l'utérus. 26e liv., pl. iv, p. 3. — Rétention complète de l'
urine
dans les uretères. 27e liv., pl. n, p. 4. UROMÈ
Observation LVIII. - M. 117..., trente-deux ans Inconti- nence d'
urine
nocturne et diurne jusqu'à quatorze ans; mi- gr
ge de dix-sept ans; premiers phénomènes de l'ataxie (incontinence d'
urine
) à trente ans. LA FAMILLE KËYROPATUIQUE. 37 N
jours, à la suite d'une syncope, il y a eu un peu d'incontinence d'
urine
. c) Sensibilité. - La malade se plaint d'éprouv
uvée dans les derniers temps de retenir les matières fécales et les
urines
. Vers le 20 janvier 1883, la malade est prise d
de température. On ne note ni morsures linguales, ni incontinence d'
urine
, et l'on reste étonné du calme absolu qui se ma
e devient flasque. La sensibilité ne présente rien d'anor- mal. Les
urines
ne renferment pas d'albumine. Du 4 au 14 octobr
ions se font bien ; l'appétit est conservé. Le coeur parait sain. L'
urine
ne contient ni sucre ni albumine. Ces symptômes
plètement. Vers la fin d'octobre, troubles du côté de la miction, l'
urine
s'écoulant goutte à goutte. Le 6 novembre, affa
ous toutes ses formes jusqu'à un pouce de l'ombilic, incontinence d'
urine
et des matières, es- chare au sacrum. Paralysie
es douleurs dans les gros orteils et rend souvent du sable dans les
urines
. Elle avait eu quelques absences dans sa jeunes
ent ; ataxie et incoordination motrice très marquée; incontinence d'
urine
par moments ; - toux laryngée; - suppression de
signes objectifs classiques de la papille étranglée. L'analyse des
urines
est négative; la température normale. 17 mai. -
ion sont caractérisés par des modi- fications dans la quantité de l'
urine
excrétée, dans les propor- tions des éléments n
l'état phy- siologique. a. La diminution absolue de la quantité d'
urine
(Voligurie, l'auuoie) s'observe dans un certain
hanges nutritifs, il existe souvent une diminution de la quantité d'
urine
et un abaissement de l'urée et des chlo- rures
s chlo- rures ? )Jsquirol avait noté que, chez les mélancoliques, l'
urine
est rare mais colorée, dense, riche en urée et
en urée et en urates. Il s'agit là d'une simple concentration de l'
urine
, due à ce que ces sujets, pour éviter le mouvem
observé, deux cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la quantité d'
urine
n'a pas dépassé 300 et 700 grammes pendant quel
n cas de mal de l'ott, avec compression médullaire, dans lequel les
urines
étaient tombées à 300 grammes et augmentèrent p
nuait. Enfin, M. Leduc a observé un' cas de tétanos dans lequel les
urines
n'ont guère dépassé300et800 grammes parjour, et
uverte de sueurs profusesa. 3. b) L'augmentation de la quantité des
urines
se rencontre beaucoup plus fréquemment, dans de
attaques d'hystérie et principalement dans la petite hystérie : les
urines
sont alors in- colores et caractérisées par la
II. l-i 226 REVUE CRITIQUE. solides uniformément. Quelquefois ces
urines
, au lieu d'être pâles, sont plus ou moins color
t-elle en général; et il n'est pas rare que les malades rendent une
urine
d'une densité supérieure à la normale. A côté d
remarquer que, dans un certain nombre d'affec- tions, la quantité d'
urine
augmente par ce seul fait de la fré- quence de
expériences faites sur nous-mêmes qu'à l'état normal la quantité d'
urine
excrétée croit à mesure que la miction volon- t
us ou moins permanentes. On rencontre encore ces modifications de l'
urine
dans certains faits de lésions trau- matiques d
par irritation du bulbe. On voit aussi l'albumine apparaitre dans l'
urine
dans quelques myélites aiguës, à début apoplect
l que soit leur siège ; et ces modifications de la composition de l'
urine
peuvent subir des oscillations en rapport avec de
is MM. Bouchereau et Magnan 2 ont examiné à l'asile Sainte-Anne les
urines
de 6,000 aliénés, présentant les diverses forme
nence, la première de beaucoup la plus fréquente. a) La rétention d'
urine
d'origine nerveuse peut être détermi- née soit
ent, par le fait même de la distension exagérée, laisse écouler l'
urine
goutte à goutte, et qu'il se produise une inconti
é sa miction volontaire, on évacue encore une cer- taine quantité d'
urine
. Quelquefois la paralysie de la vessie se tradu
raduit par une grande difficulté à expulser les dernières gouttes d'
urine
, sans qu'il y ait rétention véritable ; ou bien l
alade s'en aperçoive, ou bien, quand il évacue artificiellement son
urine
, c'est l'heure et non la sen- sation qui le gui
ondes malpropres, il est des cas de myélite aiguë dans lesquels les
urines
s'altèrent, deviennent alcalines, purulentes, s
n. , DES TROUBLES URINAIRES. 231 pousser violemment, mais quand l'
urine
parvient à s'écouler; c'est en jet d'une grande
e" comme une sorte d'hystérie locale. On a signalé la rétention d'
urine
pendant les crises du téta- nos; mais, peut-êtr
peut-être s'agit-il d'une diminution considérable de la quantité d'
urine
en rapport avec les sueurs. Quelle que soit sa
sa cause, et quel que soit son mode de pro- duction,la rétention d'
urine
.lorsqu'elle est durable, détermine, au bout d'u
tteints de maladies du système nerveux qui souffrent de rétention d'
urine
. b) Il est une variété d'incontinence, l'incont
a vessie, les sphincters cèdent mécaniquement et laissent écouler l'
urine
goutte à goutte. Elle est la conséquence de la
ons siégeant dans la même région. La miction se fait à mesure que l'
urine
arrive dans la vessie, et à quelque moment que
vessie vide. Cet état est rare; plus souvent une petite quantité d'
urine
s'accumule dans la vessie, puis elle est expuls
AIRES. 233 nible. Tantôt il y a une sensation vague de besoin, et l'
urine
s'écoule sans que le malade ait même songé à ré
urnée, mais pres- que toutes les nuits, ils laissent échapper leurs
urines
. En de- hors des faits où ce symptôme trahit de
névralgies brachiales s'accompagnaient d'émissions involontaires d'
urine
. Inversement certains individus en apparence sain
e, dans les myélites par compression, etc.; le malade ne sent pas l'
urine
s'écouler, et peut ne pas sentir la sonde qu'on
un besoin impérieux d'uriner, et ils rendent une grande quantité d'
urine
claire. Dans les'àutres cas, le malade, qui n'a
valles très' courts, rend une quantité plus ou moins considérable d'
urine
presque incolore; un de nos malades nous a affi
il en est de môme en ce qui concerne les organes d'expulsion de l'
urine
; aussi étudierons-nous d'abord ces altérations.
ment; et d'ailleurs, le ma- lade déclare qu'il ne sent pas passer l'
urine
. L'anesthésie de la vessieetcelle de l'urèthre
malades conservent le be- soin d'uriner, et ne sentent pas couler l'
urine
. Nuus explique- rions volontiers ces faits en d
uand ils n'ont pas commencé, ou de ra- juster leur vêtement quand l'
urine
s'écoule encore. 2° L'hyperesthésie ou plutôt l
te spontanée, tantôt ne se manifestant qu'au moment du passage de l'
urine
. L'endolorissement de la région membraneuse peu
re une malade qui, à la suite de chaque crise vésicale, rendait des
urines
sanguinolentes et qui restaient teintes pendant
tre un temps plus' ou' moins long à obtenir les premières gouttes d'
urine
, quelquefois ils'sont obligés d'y renoncer mome
rminée, le cathétérisme peut encore fournir une certaine quantité d'
urine
. '3° L'incontinence se manifeste de manières tr
istendue, il s'écoule malgré la volonté du sujet quelques gouttes d'
urine
qui ne sont, en somme, que des atténuations del
orts prolongés, renonce à la mic- tion, mais au bout d'un instant l'
urine
s'écoule malgré lui dans ses vêtements. D'autre
avoir fini, mais à peine s'est-il ra- justé, que quelques'gouttes d'
urine
oubliées s'écoulent de nou- veau. Il importe
s : L'expulsion involon- taire et parfois inconsciente d'un filet d'
urine
, l'incoordination vésicale, l'anesthésie vésica
ncier les sons que par transmission au contact des os du crâne ; il
urine
de 10,000 à 14,000 cent. cubes : ni albumine, n
ies respiratoires, odeur de chloroforme répandue par l'haleine et l'
urine
des malades, troubles gastriques ou intestinaux
ne sort plus. L'odeur caractéristique de l'haleine, la réaction des
urines
qui deviennent rouges par l'addition de perchlo
sur l'acétonémie. Depuis que Petters, en 1857, eut démontré dans l'
urine
d'un malade plongé dans le coma diabétique la p
oformique. Frerichs ne nie pas qu'on puisse extraire l'acétone de l'
urine
des diabétiques. Mais, dans ses recherches réit
un trouble notable et n'a pas mieux réussi à extraire l'acétone des
urines
. « Nous ne pouvons donc pas accepter, dit-il, q
est dégénérée ou détruite. Dans les deux autres groupes de faits, l'
urine
et l'haleine offrant une réaction caractéristiq
des manifestations névropalhidues; les uns avaient eu des pertes d'
urine
nocturnes, d'autres étaient franchement épileptiq
de constamment le lit. Pas d'escarres fessièrp, mais incontinence d'
urines
et de matières fécales. Ni sucre, ni albumine d
nence d'urines et de matières fécales. Ni sucre, ni albumine dans l'
urine
. Yers le 15 janvier, on remarque que la paralys
exe patellaire, en raison de la raideur de l'articulation. Dans les
urines
, albumine; pas de sucre. Mort le 29 janvier, au
suivies d'une hématurie qui dura pendant un mois, au bout duquel les
urines
étaient redevenues naturelles. C'est à dater de c
ein gauche devait donc être complètement étranger à la sécrétion de l'
urine
. La figure 4 représente une tranche mince du ti
pissés par du sable rougeâtre, preuve manifeste que la sécrétion de l'
urine
avait continué dans le rein. Cette dernière circo
Ces calculs ne fermaient pas hermétiquement le canal, en sorte que l'
urine
et le pus pouvaient arriver librement jusque dans
en n'avait été employé jusqu'à son entrée à l'hôpital. On dit que les
urines
avaient été naturelles tout le temps de son séjou
s symptômes tirés des organes urinaires eux-mêmes, la suppression des
urines
, les urines troubles, sanguinolentes, complétera
irés des organes urinaires eux-mêmes, la suppression des urines , les
urines
troubles, sanguinolentes, compléteraient le diagn
uccomba dans l'état d'adynamie le plus complet, après avoir rendu des
urines
purulentes. On soupçonnait un squirrhe au pylore.
eur présence ils n'apportassent aucun obstacle mécanique au cours des
urines
. D'ailleurs il y a une affinité non contestable e
ison ou un accroissement excessif de l'inflammation parle passage des
urines
. Le ramollissement progressif du tissu propre du
il articulait un mot pour un autre. Par fois il laissait échapper ses
urines
et ses matières fécales. L'appétit fut constammen
en petite quantité. Le 2 novembre, assoupissement tel que la malade
urine
involontairement. Si on l'excite, elle répond par
Cette infusion tient le ventre libre en même temps qu'elle pousse aux
urines
. Cependant les extrémités inférieures deviennen
onc, de la vessie et du rectum ; l'abdomen était tendu, météorisé ; l'
urine
ne pouvait être expulsée qu'à l'aide du cathétéri
connaît aucune saillie. La chaleur est égale partout; l'excrétion des
urines
est involontaire, celle des fèces l'est également
hâte, parce que le malade ne pouvait pas remuer les jambes. Déjà les
urines
et les matières fécales s'étaient échappées invol
paralysie des parois abdominales s'oppose à l'émission volontaire des
urines
et des matières fécales. Peut-on méconnaître une
a base des tophus goutteux; or l'acide urique ne se trouve que dans l'
urine
, dans l'urine se trouve encore la soude : le phos
hus goutteux; or l'acide urique ne se trouve que dans l'urine, dans l'
urine
se trouve encore la soude : le phosphate de chaux
oude : le phosphate de chaux, dont on ne rencontre qu'un atome dans l'
urine
ordinaire, s'y voit quelquefois en quantité consi
pathologique; nous ne devons plus être étonnés quand nous voyons une
urine
rouge, chargée d'une quantité énorme d'acide uriq
it pots de tisane par jour et quelquefois un pot d'un seul trait. Les
urines
étaient très-abondantes, mais involontaires, ce q
naissance au moment de l'attaque ; stupeur; émission involontaire des
urines
. Mort le cinquième jour. — Apoplexie de la couche
sont adressées. La face exprime la stupeur. Emission involontaire des
urines
. Du reste, le pouls est naturel pour la fréquence
ême état de stupeur, d'immobilité; toujours émission involontaire des
urines
. Aucune évacuation alvine malgré le lavement purg
érir des individus à hémiplégie complète; l'émission involontaire des
urines
, la stupeur, l'immobilité sont encore des signes
ins il répond très-bien aux questions qu'on lui adresse. Immobilité*,
urines
involontaires. Si on lui dit de sortir la langue,
endre quelques médicamens.— Les jours suivans, perte de connaissance;
urines
involontaires; strabisme; pupilles inégalement di
naissance; elle nous entend et fait effort pour répondre. Rétention d'
urines
. Le soir, respiration très-préci-pitée, bruyante,
u-devant de ses yeux comme pour voir la place de la meurtrissure. Les
urines
sont involontaires. ( Vésicatoire à la nuque.)
nkystées. Dans la transformation enkystée, le rein, distendu par de l'
urine
, du pus, ou des mucosités, perd bientôt ses carac
soit un liquide qui conserve encore quelques-unes des propriétés de l'
urine
, soit un mucus limpide ou purulent. Dans la pro
ue qui est sèche {tosta) et crevassée. Le pouls est peu fréquent. Les
urines
sont rendues involontairement. Constipation. Le m
efforts du malade; respiration très-fréquente; pouls très-fréquent ;
urines
involontaires ; surdité; hypo-gastre tendu et mét
pression moindre; pouls toujours très-fréquent, dévoiement; selles et
urines
involontaires. Les jours suivans, un peu d'amélio
a fallu contenir le malade dans son lit pour l'empêcher de se lever ;
urines
involontaires. Délire plus fort que la veille et
un peu sale, mais humide. A peine fréquence dans le pouls. Selles et
urines
involontaires. Diagnostic. Entérite folliculeus
ent dans les lèvres ; soubresauts dans les tendons; abdomen ballonné;
urines
involontaires ; langue sèche et noire; soif ; pou
'abdomen météorisé, mais indolent; le pouls faible, peu fréquent; les
urines
involontaires. Le 21, à la suite d'une sueur extr
r; ils ne contenaient point de calculs. — La vessie 3 distendue par l'
urine
, remontait au-dessus du pubis et n'offrait aucune
trée : supination permanente; immobilité avec ou sans assoupissement;
urines
involontaires; constipation. La malade ne demande
r; ils ne contenaient point de calculs. — La vessie j distendue par l'
urine
, remontait au-dessus du pubis et n'offrait aucune
trée : supination permanente; immobilité avec ou sans assoupissement;
urines
involontaires; constipation. La malade ne demande
quent et grêle; la respiration fréquente; la déglutition facile ; les
urines
ont été rendues involontairement dès le premier m
la maladie du testicule persiste après le rétablissement du cours des
urines
, nous aurons recours immédiatement au traitement
aujon portait une sonde à demeure dans la vessie pour une rétention d'
urine
produite par le gonflement de la prostate. Des do
l'enfantement; écoulement infect de matières purulentes ; rétention d'
urine
qui oblige d'avoir recours à la sonde. Le seizièm
dénum par une sorte de regorgement assez analogue au regorgement de l'
urine
lorsque la vessie est distendue outre mesure. Il
dus, à peu près comme la vessie urinaire après une longue rétention d'
urine
. Dernièrement, j'ai vu une vésicule du fiel aussi
petitesse du pouls, l'affaiblissement de la voix, la suppression de l'
urine
, la tendance au refroidissement : voilà les sympt
urs ne m'a jamais paru dénoter un grand danger. XL La suppression d'
urine
est un phénomène constant dans le choléra. Elle e
étions se suppléent mutuellement. Le rétablissement de la sécrétion d'
urine
est un signe non équivoque d'amélioration. Chez p
uivoque d'amélioration. Chez plusieurs de mes malades, la rétention d'
urine
a succédé à sa suppression. Presque toujours des
de quelques heures et assez souvent d'un jour ou deux l'émission des
urines
. XII. Les crampes sont peut-être le symptôme le
e malade a pris trois quarts de bouteille de vin chaud sucré. Point d'
urine
depuis hier. Prescription : Réchauffer avec vap
oide; le pouls est moins misérable : deux selles cholériques; point d'
urine
; continuelles envies de vomir. Prescription : M
aucoup d'efforts : le hoquet en est la conséquence. Il n'y a pas eu d'
urine
depuis le 15. Continuation de l'eau de Seltz po
ssée; pouls fréquent et peu développé. Deux selles en diarrhée verte,
urines
abondantes. Prescription. Huit sangsues sur l'é
a cavité buccale et la langue, en particulier, sont très froides. Les
urines
sont supprimées; les selles nulles ou abondantes,
es fréquentes; faciès cholérique; yeux profondément excavés ; point d'
urine
; point de selles; point de vomissements; langue
oncée de la face; envies d'uriner ; la sonde n'amène pas une goutte d'
urine
. Commémoratifs. Depuis deux jours , dévoiement
stre ; oppression; soif intense; langue rouge et sèche; suppression d'
urine
. Prescription : Trente sangsues à l'épigastre.
s a de l'ampleur et prend de la résistance; il est peu fréquent ; les
urines
qui avaient été supprimées jusqu'à ce moment ont
e ; expectation ; la malade ne va à la selle que par lavements ; elle
urine
depuis hier. Le 25 , l'assoupissement est moind
gèrement jaunâtres; vomissements de matières jaunâtres; suppression d'
urines
; étouffements; sentiment d'un feu brûlant, d'une
ute la longueur du sternum ; soif vive ; pouls fréquent; émission des
urines
, qui a commencé le 14. Vingt sangsues sur l'épi
ration. Le pouls est fréquent, petit, quelquefois grêle. Emission des
urines
, application de douze sangsues avec ventouses, qu
chez les sujets morts dans la période asphyxique. Elle contient de l'
urine
chez les individus morts pendant la période de ré
reneuse du tissu cellulaire pelvien, suite elle-même d'infiltration d'
urine
, il n'y avait qu'un seul abcès dans le foie et ce
e possède des observations de panaris, de phlegmons, infiltration des
urines
, qui ont été suivis d'abcès au foie mortels. On
onnaître et articuler quelques sons à voix basse. Les selles et les
urines
sont involontaires. Deux vésicatoires à la partie
ure du vagin. Cette déviation peut avoir pour résultat la rétention d'
urine
. Le développement très considérable de la vessie
s cas que j'ai observés, prouve avec quelle difficulté l'émission des
urines
a lieu. La déviation du canal de l'urètre rend qu
de matières fécales par regorgement, de même que des incontinences d'
urine
. Le sphincter long-temps distendu finit par n'opp
pelé, en 1816, auprès d'une pauvre femme qui avait une incontinence d'
urine
. Elle portait entre les cuisses une tumeur sphéro
ière sous le nom de gâteuses, parce qu'elles rendent sous elles leurs
urines
et leurs matières fécales, réduites à une vie vég
sains contenant peu de matières. Vessie contractée, renfermant peu d'
urine
. Crâne. Le volume du crâne est normal. La fonta
bre recueillies par Morgagni (3), avaient établi que les rétentions d'
urine
reconnaissent quelquefois pour cause l'engorgemen
i intercepta d'abord incomplètement, puis complètement , le cours des
urines
. La difficulté que cette disposition apporte à
rines. La difficulté que cette disposition apporte à l'émission des
urines
favorise singulièrement la formation de la pierre
e. Sur le cadavre d'un homme qui avait éprouvé plusieurs rétentions d'
urine
, et qui avait souvent été sondé sans qu'on eut ja
vé à Padoue, sur le cadavre d'un homme de 49 ans, mort de rétention d'
urine
, deux tubercules placés de chaque côté de l'orifi
llards. Sa gravité tient à Fobstacle qu'elle apporte à l'émission des
urines
, et nullement à la lésion organique elle-même. La
ouvelle cause d'hypertrophie qui ne tarde pas à amener la rétention d'
urine
. La présence long-temps continuée d'une grosse
inente, peut rétablir, pour un temps plus ou moins long, le cours des
urines
, et je crois avoir vu dans ma pratique plusieurs
en quelque sorte, ou du moins de rétablir temporairement le cours des
urines
. Attendons pour la juger que cette méthode ait ét
de ait été mise à exécution. Dans le cas où l'obstacle au cours des
urines
ne pourrait être ni écarté ni détruit, si cet obs
aladies des voies urinaires (i). Dysurie, puis rétention complète d'
urine
. Difficulté du cathétérisme. Ecoulement d'une gra
sonde. Oi^ifice vésical artificiel donnant très librement passage aux
urines
^ M. D. éprouvait depuis longues années un senti
des besoins fréquents d'uriner et une difficulté dans l'émission des
urines
qu'il rapportait à des hémorrhoides, et pour lesq
'avait jamais réclamé de conseils. Survint une rétention complète d'
urine
. Je fus appelé: la rétention d'urine datait de 18
Survint une rétention complète d'urine. Je fus appelé: la rétention d'
urine
datait de 18 heures; le malade s'épuisait en effo
, j'exerçai un léger effort de pression : un obstacle fut surmonté, l'
urine
coula librement. Pour éviter de nouveaux tâtonnem
q ansà une hématurie plus ou moins abondante, fut pris de rétention d'
urine
. L'introduction de la sonde qui pourtant eut lieu
ble; les caillots obstruaient la sonde et s'opposaient à l'issue de l'
urine
. J'introduisis la sonde la plus volumineuse que j
curer ; mêmes accidents : je supprimai la sonde; nouvelle rétention d'
urine
, efforts d'expulsion extrêmement douloureux et pr
ang, les injections d'eau tiède ne pouvant rien pour l'évacuation des
urines
, les efforts d'expulsion restèrent aussi violents
t s'appliquer contre le col de la vessie et produisait la rétention d'
urine
. Je reviens à notre malade. M. Dupuytren appelé
des voies urinaires) appelé auprès d'Astruc , affecté de rétention d'
urine
, ne put jamais parvenir à introduire la sonde j l
e qu'il exécuta avec beaucoup de bonheur : ayant retiré le dard, et l'
urine
s'étant écoulée, il introduisit l'algalie par la
e à la première. Astruc vécut encore 10 ans, sujet à des rétentions d'
urine
auxquelles Lafaye seul pouvait remédier. A l'ouve
ue j'avais tentée plusieurs fois était toujours suivie de rétention d'
urine
. Cependant le sang cessa bientôt de couler; la
spontanément et même beaucoup plus librement qu'avant la rétention d'
urine
. Six mois se passèrent dans l'état le plus sati
on douloureuse de la vessie et douleur à l'extrémité de la verge. Les
urines
devinrent catarrhales. Le malade présenta tous le
ices, tellement que la défécation accompagnait souvent l'émission des
urines
. Urines catarrhales. Les derniers jours de la vie
llement que la défécation accompagnait souvent l'émission des urines.
Urines
catarrhales. Les derniers jours de la vie on sent
son développement, cette végétation ayant intercepté le passage de l'
urine
, la rétention d'urine a été complète. La difficul
tte végétation ayant intercepté le passage de l'urine, la rétention d'
urine
a été complète. La difficulté du cathétérisme est
re, lisse, qui a probablement servi ultérieurement à l'évacuation des
urines
; car l'orifice naturel de la vessie était couvert
t orifice vésical artificiel, le malade était guéri de la rétention d'
urine
. Un caillot resté dans la vessie est devenu le no
nal de l'urètre, écoulement tout-à-fait indépendant de l'émission des
urines
qui étaient parfaitement limpides; que cet accide
s'était plus reproduit, mais qu'à dater de ce moment, l'émission des
urines
avait été moins libre qu'auparavant; que de très
vis un verre ou deux d'eau de Bonnes tous les matins. Cependant les
urines
devinrent plus sanguinolentes et furent renduesav
ou leur , le lendemain 3 juin , à la suite d'une émission pénible d'
urines
teintes de sang: rétention complète d'urine. J'
d'une émission pénible d'urines teintes de sang: rétention complète d'
urine
. J'arrive à 9 heures du soir, la rétention data
que d'augmenter les efforts d'expulsion en augmentant la quantité des
urines
. Je sonde, et j'arrive, après quelques difficul
n modérée mais progressive fut exercée ; l'obstacle fut surmonté et l'
urine
coula immédiatement. La sonde d'argent a été lais
Diarrhée abondante Selles involontaires. Emission libre et facile des
urines
. Peau sèche et chaude ; pouls petit, régulier , 1
ès légère de la respiration ; un peu de râle muqueux des deux côtés ;
urines
briquetées, bourbeuses, rares. Les jours suivan
urables, pour un cancer des petites lèvres qui rendait l'émission des
urines
extrêmement douloureuse. Le doigt ne put pas être
trière dite des gâteuses y malades qui rendent involontairement leurs
urines
et leurs matières fécales. Leur intelligence affa
l'époque où cette malade avait été dans l'impossibilité de garder ses
urines
. Ramollissement amaranthe et hortensia du cerve
béquille; mais elle est dans l'état d'hébétude le plus complet : les
urines
et les matières fécales sont rendues involontaire
sont fermés; la face pâle; la respiration est facile; le pouls lent,
urines
involontaires. (4o sangsues aux apophyses mastoïd
a vessie est distendue, et le cathétérisme donne environ un litre d'
urine
limpide, un peu foncée, fortement acide. La col
ous de l'ombilic. Mouvements réflexes, comme la veille. Rétention d'
urine
persistante ; urines claires et acides ; pas d'
uvements réflexes, comme la veille. Rétention d'urine persistante ;
urines
claires et acides ; pas d'évacuations alvines.
on retire cependant encore, avec la sonde, une certaine quantité d'
urine
qui est neutre ou légèrement acide. 4e jour. Le
s mouvements passifs provoquent de vives douleurs. L'incontinence d'
urine
continue; mais il en reste toujours un peu dans
aux membres inférieurs, mais un peu obtuse. Inertie de la vessie. L'
urine
fraîche est neutre, mais elle prend vite la réa
ments continuent à s'accentuer dans le membre inférieur gauche. L'
urine
fraîche est neutre ; un peu de diarrhée. Eau albu
le bassin sous les cuisses, mais il n'a pas la sensation du froid.
Urine
neutre, les dernières portions un peu troubles.
re, les dernières portions un peu troubles. 12e jour. La quantité d'
urine
rendue dans les vingt-quatre heures est de deux
uatre heures est de deux litres et demi. 13e jour. Trois litres d'
urine
. 1 fi- jour. Les mouvements volontaires s'accen
e d'une manière normale. La vessie contient une petite quantité d'
urine
très purulente et neutre.La totalité'des urines
ne petite quantité d'urine très purulente et neutre.La totalité'des
urines
rendues dans les vingt-quatre heures a dépassé
cathétérisme de la veille au soir n'a donné que quelques gouttes d'
urine
purulente. Quantité des vingt-quatre heures, tr
rois litres. Un peu de diarrhée. 170 jour. - La diarrhée a cessé.
Urine
des vingt-quatre heures, trois litres. 18° jo
confusément la piqûre de l'épingle à la face externe des jambes. L'
urine
est purulente et alcaline; la quan- tité des vi
ue, injection vésicale d'acide borique au centième. 26e jour. Les
urines
des vingt-quatre heures ne repré- sentent plus
atre heures ne repré- sentent plus que deux litres. 299 jour. - L'
urine
examinée à la sortie de la sonde est légèrement
é thermique est encore obtuse aux membres inférieurs. 39° jour. -
Urines
beaucoup moins troubles. Exploration électrique
l accuse des fourmillements dans les mains. llaperdu l'appétit. Les
urines
sont acides, fortement colorées. 72° jour. Sens
ture du soir, 39°,la. 104° jour. - Même état. Dépôt purulent dans l'
urine
. Ce liquide, examiné immédiatement à sa sortie
nus. Après sept semaines de traitement, on trouva du sucre dans l'
urine
. DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. 49 Observation X
cation avaient disparu. Dans ce cas, la présence de sucre dans les
urines
fut aussi constatée après plusieurs semaines de t
ent. La polyurie a été observée, et, quand elle se pro- longeait, l'
urine
renfermait moins de matières constitutives (uré
l des excrétions azotées. Chaque jour, il déterminait la quantité d'
urine
, sa densité, sa réaction, l'élimination d'urée,
s résultats généraux suivants : 10 Au début du jeûne, la quanlité d'
urine
diminue, mais sa densité s'élève, pour décroîtr
fectueuse malgré l'ingestion d'un notable appoint d'albumine. - L'
urine
des 110 iôtiter-inp ni albumine ni sucre. On n'
deuxième et troisième jours qui suivent la terminaison du jeûne, l'
urine
n'en contient plus. Pour rechercher )'ace- toil
de la nutrition dans la diminution des déchets organiques dans l'
urine
, comme MM. Charcot et Bouchard, mais encore dans
eucorrhée, comparable par son mode de sécrétion et ses qualités à l'
urine
, aux larmes, à la salive anormalement sécrétées
ensuite aux muscles du bras entier et de l'omoplate. En examinant l'
urine
, on n'observa pas de pré- cipitation calcaire c
té propre de bonne heure et n'a jamais eu depuis d'inconti- nence d'
urine
, jamais de chorée. Etait sujet à des colères très
urne sur lui- même et tombe; mais il ne perd jamais connaissance, n'
urine
160 CLINIQUE NERVEUSE. jamais ; màisinui arri
, accélération du pouls et soif vive ; par l'analyse chimique des
urines
, on y trouva du sucre. Ces accidents disparurent
face d'un rouge vermillon intense, couverte de sueur, brûlante; il
urine
involontairement et abondamment sous lui; ' Les
si cet acide est lié à la nutrition de ce tissu ? Par l'examen des
urines
. . L'homme rend chaque jour par les urines une
tissu ? Par l'examen des urines. . L'homme rend chaque jour par les
urines
une certaine quantité d'acide phosphorique. Une
ais ne fait pas disparaître l'acide phos- phorique contenu dans les
urines
et portent ainsi à penser qu'une certaine quant
ssible qu'en étudiant l'élimination de l'acide phosphoripue par les
urines
on puisse arriver à savoir si cette substance j
s excrétions, dans les lèces, par exemple; mais ce sont surtout les
urines
qui renferment cette substance. Les recherches
b, 1. -1-1$et sp.) b) L'acide pliosphorique qu'on retrouve dans les
urines
y existe soit sous tormedeseis.'soitHntt tiès l
tiès laible quantité à l'état Lbte. Longtemps la présence dans les
urines
de l'acide pliosphorique non 0-,)(lé a pu èlre
ctifs permettant de doser la quantité de cet acide contenu dans les
urines
. Parmi ces réactifs, le plus employé, on pourra
exact. Partant donc de cette idée qu'on peut, par l'examen des
urines
, arriver à savoir si l'acide phosphorique se lie
veux par l'étude de i'élimination de l'acide phosphorique par les
urines
sont encore peu nombreuses. Elles se résument à n
augmentation dans le chiffre d'acide pliospho- rique rendu par les
urines
, ils en concluent que le système nerveux emploi
e du travail. L'acide phosphorique qu'ils trouvent en plus dans les
urines
est regardé par eux comme de l'acide phospho- r
er- veux diminue le chiffre de l'acide phosphorique rendu par les
urines
. ' Sans insister sur le désaccord qui existe en
- mentation dans le chiffre de l'acide phosphorique rendu par les
urines
pour être en droit de conclure que cet acide en e
phosphorique total, mais cet acide suivant qu'il se trouve dans les
urines
sous la forme de phosphates solubles ou insolub
ou insolubles. L'acide phosphorique oxyde' qu'on retrouve dans les
urines
y existe en effet sous deux formes : sous la fo
terres éliminé par les DE I.A NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2 le7
urines
n'est pas augmenté'. Par conséquent, pour avoir u
travail intellectuel diminue le chiffre de l'azote éliminé par les
urines
; 1 Voir pour les rapports qui existent, relativ
port constant entre l'acide phosphorique et l'azote éliminé par les
urines
. Ce rapport qui serait d'après lui : : 17 : 100
ent, la prostration devient ex- cessive ; délire; incontinence de l'
urine
et des matières; accidents du décubitus ; oedèm
un peu d'emphysème pulmonaire, nous ne trouvons rien; rien dans les
urines
, il n'y a pas à penser non plus à de l'alcoolis
e titre est suivie à courte échéance d'altération am- moniacale des
urines
et d'escarres graves de décubi- tus. Ajoutons q
ttachons une grande importance est la persistance de l'acidité de l'
urine
, jusqu'au trente-deuxième jour. La contractilit
de la moelle amène rapidement la décomposition ammonia- cale des
urines
, et la formation d'escarres. Nous devons nous a
taille élancée, est atteint depuis son enfance d'une incontinence d'
urines
nocturne intermittente.Il n'existe dans sa fami
gnostic sur des bases rationnelles. La persistance de l'acidité des
urines
jusqu'au cinquante-sixième jour, chez notre mal
de l'alié- nation mentale, la quantité de phosphates rendus par les
urines
est diminuée; Mendel résume, en effet, de la ma
66, cité par Beale. 2 Sutherland, cité par Beale. 3 Beale. De l'
Urine
, etc., trad. de l'anglais par Olivier et Bergeron
ttribuer à l'étude de l'élimination de l'acide phosphorique par les
urines
pour savoir si l'aliénation mentale modifie ou
avec les résultats qu'ils ont obte- nus. Ceux qui trouvent dans les
urines
une augmentation de l'acide phosphorique pensen
autions à prendre. Ainsi ilestindis- pensable de recueillir toute l'
urine
rendue en vingt-quatre heures par les malades o
était trop intense, il nous a été impossible de recueillir toute l'
urine
rendue dans les vingt-quatre heures, et que l'é
travail les résultats que nous a donnés jour par jour l'examen des
urines
. Nous nous contenterons ici d'indiquer les résu
ie modifie diversement, suivant LES PÉRIODES, l'élimination par LES
urines
DE l'acide PHOSPHORIQUE ET DE l'azote ; 2° La
tableau qui suit les résultats que nous a fournis l'exa- men de ses
urines
au mois de mai 1880 et aux mois de mars et avri
Gib... restant le même, nous avons examiné à plusieurs reprises les
urines
de ce malade : au mois de septembre 1880, penda
lectiques, une augmentation de l'acide phosphorique éliminé par les
urines
et que Külin 1, au contraire, n'aurait pas cons
e mal épileptique sur l'élimination de l'acide phosphorique par les
urines
. A. Attaques d'épilepsie. Sous l'influence des
le chiffre de l'acide phosphorique uni aux terres éli- miné par les
urines
, nous sommes, par la force des choses, amené à
: 1° Les attaques 'd'épilepsie modifient l'élimina- tioîz, par les
urines
, de l'azote et de l'acide phosphorique ; elles
ptique, l'élimination de l'azote et de l'acide phosphorique par les
urines
n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l'état d
r. Peu de temps après, elle souffrait d'une incontinence complète d'
urine
, accompagnée d'une constipation opiniâtre. A la m
ois suivant, la malade n'avait plus conscience de ses évacuations d'
urine
et de matière fécale. La malade est entrée dans
oubles vésico-rectaux consistaient en une incontinence incessante d'
urine
, sans regorgement, dontlamaladen'avaitpas conscie
culaire s'accompagnaient de troubles vésico-rectaux (incontinence d'
urine
et constipation opiniâtre), d'une anestliésie t
envies d'uriner tout à fait impérieuses et cependant la quantité d'
urine
rendue est peu considérable. Il n'existe pas de
régulières. Appareil urinaire. Pas de sucre ni d'albumine dans les
urines
. Appareil ganglionnaire. On constate dans la ré
uche. ,' . 1 v . Le lavement a amené une débâcle ; l'incontinence d'
urine
ne s'est pas modifiée. ' (Piqûre de morphine
ré après 4 mois. A son entrée, il présentait de l'incontinence de l'
urine
et des matières fécales que le traitement améli
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE vient de l'incontinence de l'
urine
et des matières fécales. Abolition du sens géni
u bout de quelque temps, survint une paraplégie avec incontinence d'
urine
et troubles de la sensibilité, au moins du côté g
colonne vertébrale. Sphincters normaux. Ni sucre ni albumine dans l'
urine
. Les bosses fron- tales sont très prononcées de
ans, deuxième attaque de paralysie spasmodique avec incontinence- d'
urine
; guérison en un an. ' A 10 ans, troisième atta
paralysie spasmodique des membres inférieurs avec inconti- nence d'
urine
qui dure six mois et guérit sous l'influence du t
l arrive parfois à la malade de laisser échapper involontairement ses
urines
. Habituellement, elle demande le bassin, mais i
as de douleurs dans la colonue vertébrale. Incontinence absolue des
urines
et des matières fécales. Parait intelligent, ne
oux. Même état des sphincters, mais il a conscience du passage de l'
urine
et des matières fécales. Quitte l'hôpital très
ment. Hémoptysies, toux, diarrhée ; réapparition de l'albumine dans l'
urine
; oedème des malléoles, puis anasarque. Emaciat
n ; les liquides n'étaient pas rejetés par le nez. Vers lé 10 août,
urine
à deux reprises dans son lit sans s'en apercevoir
pas. Dès le jour de son attaque, elle présenta de l'incontinence d'
urine
qui s'amé- liora depuis mais sans jamais dispar
e des membres inférieurs. Pas de signe de Romberg. Incontinence d'
urine
permanente et constipation opiniâtre. Les membr
rieurs sous forme de para- - plégie spasmodique avec incontinence d'
urine
et constipation opiniâtre. La malade ayant prés
nvolon- taires. De même, elle n'a pas conscience de l'émission de l'
urine
, bien que par- LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MO
ient impérieux. Ils exigent une satisfaction immédiate, sans cela l'
urine
s'écoulerait malgré la volonté. En dehors de ce
ossibilité de contrôler, sans le secours delà vue, l'émis- sion des
urines
et des matières fécales. Lorsqu'elle est assise
e a la sensation du passage des ma- tières fécales ; de même pour l'
urine
; les besoins restent néanmoins un peu impérieux
thoracique. Troubles vésicaux. Il y a de l'incontinence nocturne d'
urine
et un certain degré de paresse vésicale. La mic
mbes remontant presque au milieu du mollet. Pas d'albumine dans les
urines
, aucun trouble général. Suppression du borax. L
elle fut prise de vomissements et ce qu'elle vomit parut être de l'
urine
avec encore des pierres, « gros- ses comme des
qu'elle connut alors, était de ne pouvoir très souvent retenir ses
urines
pendant la nuit. Agée de seize ans, elle quitta
ent inconnu,' ayant jusque-là toujours eu de la peine à retenir ses
urines
, au point de les laisser aller dans le lit, comme
a été précédée de vomissements que l'on caractérise vomissements d'
urine
, lesquels venaient sans effort et étaient suivis
on 30 ans a commencé à rendre' beaucoup de petites pierres avec ses
urines
et l'urèthre s'étant, dit-on, ensuite trouvée em-
ouvée em- barrassée par des pierres, on aperçut du gravier dans les
urines
que la malade vomissait par intervalle, à chaqu
qui lui faisaient jeter de grands cris.. ' . . Les vomissements d'
urine
étaient aussi précédés de plaintes et de cris, qu
upissement accompagné d'agitations, de rêves pen- dant lesquels les
urines
prenaient leurs Cours naturel, surtout si ce rêve
e bruit, ou à effrayer la malade de quelque manière que ce fut, les
urines
venaient très promptement. Après ces cris, qui
uantité de pierres ramassées depuis longtemps dans le réservoir des
urines
, on s'attend bien que la sortie d'une petite pi
d'une grosseur médiocre ; ellle en a rendu aussi beaucoup avec les
urines
par haut et par bas. Environ 15 jours après, c'
udre il se la laisser tirer, et préférant vomir jour- nellement des
urines
et des pierres, l'extraction fut différée jusqu'a
tirées et qui était la douzième. Vers le 20 mai, les vomissements d'
urines
et de pierres reparurent avec des crampes si fo
aient ensemble. Vers le mois de septembre 1 riz, les vomissements d'
urines
et de pierres, les crampes qui y succédaient, o
e, absolument de la même nature, un peu plus grosse, sortiravec les
urines
dans l'efforl^d'un vomissement. On regarde cett
si elle eût été prise d'un grand frisson. Elle exhalait une odeur d'
urine
âcre, échauffée et très fétide ; elle me serra
es siennes, qui me parurent suantes, et me lais- sèrent une odeur d'
urine
semblable à celle qui m'avait frappé au premier
soulagée par cette opération, elle rendit environ un grand verre d'
urine
; mais je fus surpris de ce qu'elle était très cl
s la vessie, où j'ai eu peine il loucher la pierre, à la quantité d'
urine
que la malade rendit sur le champ, j'ai jugé qu
jeta cette pierre et qu'on la tira du bassin; il y avait très peu d'
urine
; mais le 16, étant allé le matin voir Geneviève,
ut ce que je jugerais à propos. Le 17 au matin, je ne pus juger des
urines
de la malade, ses règles ayant paru. Sur les
me déclara avoir de grandes douleurs au talon, elle me dit que ses
urines
ne coulaient plus que goutte il goutte, et que c'
ns des agitations et dans des convulsions presque continuelles, les
urines
ont été totalement supprimées ; j'ai proposé il l
ouffrait la malade étaient excessives en ap- parence, cependant les
urines
avaient repris un peu leur cours ; elle en rendit
cette observation, Morand fait connaître les analyses qu'il fit des
urines
de la malade avec MM, Charles et Diez. « Il ne s'
si s'expliquent les filaments de toile trouvés en suspension dans l'
urine
à la suite des évacuations. \ A cette analyse
Après les vomissements sanguins, Geneviève eut des « vomissements d'
urine
, survenant sans effort, et suivis d'un flux menst
diminution peut d'ailleurs aller jusqu'à la suppression complète des
urines
qui constitue anurie hystérique. Des observat
ait. Une jeune religieuse de Padoue, à la suite d'une suppression d'
urine
, rendit par le vomissement plusieurs litres d'u
rendit par le vomissement plusieurs litres d'un liquide analogue à l'
urine
par son odeur et sa couleur (Marcellus Donatus,
t sur les analyses chimiques comparatives des vomissements et de. l'
urine
, admet : , « Que si l'ischurie est, le plus sou
ent les matières vomies pouvaient être assimilées dans ce cas à des
urines
supplémentaires, mais que dans les unes et les
vive quand elle s'attaque à la vessie, mais encore, elle supprime l'
urine
et simule tous les symptômes d'un calcul vésical.
es reins fonctionnent normalement, mais à cause de l'hypospadias, l'
urine
n'est pas émise sous forme de jet. La rate et l
G mois, des troubles vésicaux marqués par une légère incontinence d'
urine
. Il présente actuellement le signe de Westphal,
ncé pour l'exis- tence d'une myélite, en raison de l'incontinence d'
urines
et des matières fécales, qui, chez cette fillet
Rendu, qu'une névrite périphérique donne lieu à de l'incontinence d'
urine
et des matières fécales. A priori tout ce que p
aire de degré et de durée. C'est précisément quand l'incontinence d'
urine
et des matières fécales est mal dessinée et de co
resque pas d'appétit. Détail d'une grande importance en l'espèce, l'
urine
dégageait une^ odeur d'ail. La ma- lade perdait
bassin. On a constaté de t'hyperesthésie aux jambes. L'analyse des
urines
a décelé la présence de l'arsenic. A la suite d
the analyses of' twenty-five cases in wich arsenic was found in the
urine
. The Boston médical and surgical Journal, 7 mar
on d'un empoisonnement arsenical. En dernier ressort, l'analyse des
urines
sera toujours là pour fournir la démonstration
6. N° 7. ARCHIVES DE NEUROLOGIE THÉRAPEUTIQUE. L'INCONTINENCE D'
URINE
ET SON TRAITEMENT PAR LA SUGGESTION ; Par le
, et accessoirement à la clinique de l'Incontinence essentielle d'
urine
. En l'espace de quatre années, nous avons traité
lequel ou s'entende à l'heure actuelle, c'est que l'incontinence d'
urine
dite essentielle, c'est-à-dire qui n'est sympto
relative de ces tares héréditaires 1 L. Guinon. De l'incontinence d'
urine
des enfants. Thèse de Paris, 1889. 1 J. Janet
la miction. Thèse de Paris, 1890. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 3 et à ce point de vue les obse
e de J. Janet, précédemment citée. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 5 zième année. Or il est très r
Ecartons d'abord ces dernières. L'une suppose la présence dans l'
urine
d'un excès de sels suffisant pourirriterla vessie
aussitôt que ce réservoir est distendu par une certaine quantité d'
urine
, les muscles lisses se contractent et en provoq
1 Bérillon . Le traitement psychique de l'incontinence nocturne d'
urine
. Revue de l'hypnotisme, 1894. TRAITEMENT DE L'I
'urine. Revue de l'hypnotisme, 1894. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 7 tiques, le sommeil lourd et p
rze ans d'incontinence diurne dont il n'a conscience qu'en voyant l'
urine
couler sous ses pieds. Même chose se passe vrai
ie hystérique. Thèse de Paris, 1893. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 9 l'idée fixée sur sa triste in
mictions fréquentes et impérieuses diurnes, croit en réalité qu'il
urine
plus que normalement. L'enchaîne- ment logique
ggestive, 1 vol. in-12. Paris, 1893. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. ils en admettant qu'elle représ
atistiques des auteurs précédents, que l'incontinence essentielle d'
urine
est, dans la grande majorité des cas, justiciab
ppé, pâle, très émotif, portant au cou des ganglions volumineux. Il
urine
au lit depuis la première en- fance ; n'a jamai
dent depuis la date précédente. -' TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 13 Il s'agit d'un enfant chétif
he, ayant été atteint lui-même jusqu'à vingt ans d'inconti- nence d'
urine
contre laquelle il a essayé tous les traitements
s son lit. Rien que guéri, il a tou- TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 15 jours eu une grande difficul
INE PAR SUGGESTION. 15 jours eu une grande difficulté à retenir ses
urines
et quand le besoin se fait sentir, il doit le s
s automatiques; suggestion de ne plus pisser au lit, de retenir son
urine
, de sentir le besoin et de se réveiller. Il revie
la suite de fièvres intermittentes. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 17 Observation VII. F. M..., se
rtante. Enfant chétive, d'un tempérament lymphatique marqué. Elle
urine
au lit depuis quelques mois seulement et d'une fa
temps, et ne me four- nit aucun renseignement tuile. La jeune fille
urine
au lit depuis la naissance, mais ce n'est qu'à
t plusieurs fois par semaine. Ça lui TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 19 arrive plusieurs fois de sui
outes les nuits depuis quatre ans. ' TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 21 Avant elle était absolument
dent. Il n'a plus besoin de se lever la nuit et garde très bien ses
urines
jusqu'au matin. 31. - Deux nuits mouillées à hu
d'une façon irrégulière. A partir de TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 23 l'apparition des règles elle
ner avec pollakiurie passagère. 28. Un peu fatiguée, céphalalgie,
urines
chargées, dépo- sant abondamment. Fatigues phys
ance qui ne se sont pas reproduites. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 25 Depuis deux ans il pisse au
est pris d'incontinence surtout diurne. Il ne s'en aperçoit qu'à l'
urine
qui coule par terre et mouille son pantalon. Il
légère avec catalepsie suggestive. Suggestion : « Il retiendra ses
urines
sans difficulté et éprouvera toutes les deux he
ent que deux fois cette semaine. \ TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 27 1er mars. Il ne se mouille p
genre, entre autres chez deux femmes qui perdaient constamment leur
urine
nuit et jour à la suite de fausses couches. Il
lit depuis trois ans seulement. C'est venu sans cause connue. Elle
urine
une 28 THÉRAPEUTIQUE. première fois presque a
ut affirmé qu'elle allait très bien. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 29 Malgré l'attestation des par
ieurs enfants que je connais tous et qui sont normaux. Cet enfant
urine
au lit depuis dix-huit mois seulement. Tout d'a
s parents se lassent et cessent de me l'amener. Mars 1896. L'enfant
urine
toujours au lit. A la suite d'un traitement ord
propose de me l'amener de nouveau. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
URINE
PAR SUGGESTION. 31 C'est sans doute dans les ac
es entrés dans le cours de ce mémoire. L'incontinence essentielle d'
urine
des enfants et des adoles- cents est un stigmat
a sensa- tion voluptueuse est abolie. Enfin il y a incontinence des
urines
et des matières fécales. Bien noter que les zon
nt à Roberto, convulsions dans l'enfance, incontinence noc- turne d'
urine
assez longtemps. D'un caractère expansif, très La
tionnent bien, sauf le système nerveux; on ne constate pas dans les
urines
l'inversion des proportions des phosphates. Crâ
sant (J.). Recherclies expérimentales sur le degré de toxicité de l'
urine
des aliénés. Brochure in-8' de lu pages. - Gand,
e et d'un timbre rauque tout spécial. Pouls et température normaux.
Urine
de quantité normal, non albumineuse. - Transpir
lu. Pas de morsure de la langue, quoi qu'il en dise. Pas de perte d'
urine
. ' Sensibilité tactile, seulement conservée en
ersistance d'une teinte verdâtre de la peau et coloration noire des
urines
. Dès ce moment les troubles psychiques et morau
? 30. Fait-on (et dans quelle mesure) les examens du sang et de l'
urine
? Dire aussi comment on procède pour les examens,
ons sécréloires, salivation, sueur, du système gastro-intestinal.
Urine
: Couleur, consistance, odeur, réaction, densit
stinal. Urine : Couleur, consistance, odeur, réaction, densité.
Urine
anormale : urée, phosphates, chlorures, oxalates,
s d'indications spéciales. 86 asiles d'aliénés. 30. L'examen de l'
urine
, à l'admission, est à peu près général. Celui d
e flasque de la jambp gauche survenue brusquement, puis rétention d'
urine
. La paralysie se dissipe en partie et progressi
re, de la vessie, de la vulve à gauche et du rectum. Incontinence d'
urine
. En somme l'ensemble des trou- bles sensitifs p
chez la malade de la première observation. Rétention complète des
urines
et des matières fécales. OEdème marqué des membre
ATROPHIQUE PROGRESSIVE chez UN HYSTÉRIQUE atteint d'incontinence d'
urine
; par M. GASNE, interne des hôpitaux. (Nouvelle
s. Troubles de la sensibilité nettement hystériques, incontinence d'
urine
également rapportée à l'hysté- rie. L'auteur pe
de même pour les soubresauts musculaires. Il reste l'incontinence d'
urine
, à la vérité très rare dans l'hystérie, elle se
tion : l'inconti- nence est surtout nocturne. -Cette incontinence d'
urine
d'origine hystérique est à noter. CanrUSET. X
normale. Les réflexes rotuliens complètement abolis. Incontinence d'
urine
, constipation. Sens spéciaux intacts, mais inég
a tête et du cou seuls avaient échappé à l'atrophie. Incontinence d'
urine
'et constipation, anesthésie totale superficiel
rd libre des gencives saignant, ramolli et bleuâtre. Plomb dans les
urines
. On dénote aussi la présence du plomb à la peau
à gau- che. Le malade ne peut pas parler, mais il semble entendre,
urines
involontaires. La situation reste telle pendant
des mêmes membres, la malade ne les sent pas. T = 38°. Rétention d'
urine
. Intelligence intacte. L'auteur diag- nostique
ci la marche de l'affection, à partir de ce début. La réten- tion d'
urine
dura seulement cinq jours, elle fut remplacée par
a pointe. Foie et rate REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 normaux.
Urines
normales. Réflexes patellaires exagérés, les autr
et cornéen, de perte de la conscience et d'émission involontaire d'
urine
. L'amnésie fut complète, jusqu'au lendemain, po
pupillaires, abolition de la conscience; émission invo- lontaire d'
urine
, hyperthermie 38°,2). Il faut noter cependant que
rale ou au col de la vessie, puisque le malade ne sent pas quand il
urine
, ni quand il a fini d'uriner. Il Archives, 2e s
INIQUE NERVEUSE. faut qu'il voie, ou qu'il entende pour savoir s'il
urine
. Pas d'im- puissance génésique. Le réflexe scro
t. Depuis dix-huit mois de temps en temps incontinence nocturne des
urines
. Le jour des envies fréquentes et des fausses e
e présentent aucune anomalie. Constipation. Légère incontinence des
urines
le jour et surtout la nuit. Le malade mouille s
Depuis quelque temps la malade n'a plus d'incontinence nocturne des
urines
, il n'a plus non plus mouillé sa chemise le jou
s : affaiblisse- ment de la puissance génésique et incontinence des
urines
. Signe de Romberg dès le début. En 1885, douleu
st forcé d'uriner souvent. La nuit il a parfois de l'incontinence d'
urine
. Aux organes internes rien de pathologique. C
viguant pas. Le trouble urinaire reparaît, mais un peu différent. L'
urine
est chassée de la vessie, mais le jet s'arrête
e très bien. Pas de calcul dans la \ essie. Analyse minutieuse de l'
urine
qui ne donne aucun résultat intéressant. Il s'a
ie entre en même temps en contraction, les muscles expulseurs (de l'
urine
), aussi bien que le sphincter. Il faut, en plus
om de consti- pation nautique. C. L. DE l'incontinence nocturne d'
urine
; par M. le Dr GOGNETTI DE MARTIIS. (Extrail de
e qui ne permet à l'organe de ne tolérer qu'une quantité donnée d'
urine
; 2° elle est due à une hyperexcitabilité des musc
olon- taires sont possibles sans amener le réveil. L'incontinence d'
urine
ne peut donc se manifester que pendant ce trois
marin de l'Etat, est atteint, depuis son enfance, d'incontinence d'
urine
; il a suivi de nombreux traitements mais sans r
ns résultat. Aucune lésion vésicale ou urétrale, pas de calcul, les
urines
sont normales. Entré à l'hôpital, la première n
l, les urines sont normales. Entré à l'hôpital, la première nuit il
urine
au lit. Le lendemain soir, couché, on lui appliqu
les vrais nerfs rénaux, les nerfs qui président à la sécrétion de l'
urine
. C'est pourtant ce que faisait, ou du moins ce
les animaux nou- veau-nés, par de Dechterew, 320. Incontinence d'
urine
. Traitement par la suggestion, par A. Cullere,
rygmes, etc. Rien d'anormal dans les poumons, ni dans le coeur. L'
urine
ne contient ni albumine, ni sucre. La miction est
i assise et se laisse aller comme une masse inerte; haleine fétide,
urines
rares, constipation ; pas de' coloration violac
sur la lèvre supérieure, la conjonctive palpébrale inférieure... L'
urine
ne contient ni albu- mine, ni sucre; abondance
jours, durant lesquels il fallut sonder le malade, la rétention des
urines
fut suivie, au contraire, d'une incontinence co
es urines fut suivie, au contraire, d'une incontinence complète : l'
urine
coulait goutte à goutte et mouillait constam- m
les dou- leurs et la paraplégie disparaissent, sauf une rétention d'
urines
et de selles de quarante-huit heures environ.
c'est-à-dire douleurs lombaires, para- plégie complète, rétention d'
urines
et de selles durant deux jours, et de même duré
SCAPHANDRES. 1S7 Le malade a de temps en temps de l'incontinence d'
urines
, tou- jours la nuit ; quelquefois il pressent l
Nous avons oublié de noter qu'il y avait encore de la rétention des
urines
et des selles ayant nécessité l'emploi de la so
quemment et avec plus de force. -A la même époque, la rétention des
urines
a fait place à une incontinence, qui survenait
paralysie de trois membres cités, le malade avait de la rétention d'
urine
et une constipation opiniâtre. Le 11 octobre, l
la sonde au malade ; purgatif à l'huile de ricin. La rétention d'
urines
, qui pendant six jours a nécessité l'emploi delà
mbes. Paraplégie des membres inférieurs, accompagnée de rétention d'
urines
et de selles. Evolution des symptômes spasmodiq
e cet accident, ajoutons qu'il y avait en outre de la réten- tion d'
urines
et de selles, qui a nécessité l'emploi de la sond
sibles à la piqûre. Le malade enfin avait en outre des rétentions d'
urine
et de selles. Le 3 novembre, vingt-quatre heure
vaguement la piqûre. Ce jour-là le malade a eu de l'incontinence d'
urines
et de selles. Pendant vingt jours, il a été for
rd connaissance, sans aucun symptôme prodromique et à l'instant ses
urines
et ses selles lui échappent involontairement. I
malade sans qu'il en ressentit la moindre sensation. Unerétention d'
urines
et de selles a nécessité le sondage et les purg
e ces symp- tdmes à 9 heures. A minuit, paraplégie avec rétention d'
urines
et de selles ; le malade reste paralysé pendant
ès bien à l'électricité. Pas de troubles vaso-moteurs. L'examen des
urines
a montré une grande quantité de pus et de mucus.
tilité et de la sensibilité des membres inférieurs avec rétention d'
urines
et de selles. Pas de symptômes cérébraux gastri
sibilité des membres inférieurs, qui est accompagnée de rétention d'
urines
persistant pendant un mois. On était naturellem
ure s'était aussi paralysée peil- dttnt une demi-heure; rétention d'
urines
; douleurs aux lombes. État actuel le 15 févrie
immobiles. Les bourdonnements d'oreilles continuent. La rétention d'
urine
gêne beaucoup le malade, car il est en voyage,
l a rencontré beaucoup de difficulté pour introduire la sonde ; les
urines
étaient rendues en quantité considérable. La co
sie des membres inférieurs, ayant débuté par le gauche, rétention d'
urines
, difficulté de défécation. Disparition de la pa
tre membres étaient parétiques, il avait en outre une ré- tention d'
urines
, qui a nécessité l'emploi de la sonde. Les ma-
SE. inférieurs restent dans le même état. Le malade rend seul ses
urines
bien que difficilement. Rectum à l'état normal.
é d'uriner persiste; il est obligé de se forcer pour faire sortir l'
urine
. Vers la fin de ce mois, il a pu soulever ses mem
uentes. La difficulté d'uriner n'était pas constante, quelquefois l'
urine
sortait sans que le malade fût obligé de faire le
raplégie complète des membres inférieurs ; anesthésie ; rétention d'
urines
et de selles. Le 48 juizz, marche ci l'aide d'u
m- plètement abolie. A ce moment, le malade ne pouvait rendre ses
urines
. Rétention des matières fécales. Pas de paralysie
rs, mais il lui était impossible de se tenir debout. Il a rendu ses
urines
seul, mais avec grande difficulté. Il était obl
grande difficulté. Il était obligé de se forcer pour faire sortir l'
urine
; un intervalle de quelques minutes s'écoulait en
rémiéo; la capsule s'enlève facilement. La vessie contient un peu d'
urine
. La moelle épinière frappe par la mollesse de s
paraldéhyde. Ventre tendu non douloureux. Foie augmenté de volume.
Urine
claire; ni sucre ni albumine. Vie sexuelle deme
ches. D'abord, il ne faut croire à l'existence de l'acétone dans l'
urine
que quand le produit de la distillation de cell
ant au pourpre quand on acidulé par l'acide acétique, enfin quand l'
urine
distillée dissout l'oxyde de mercure dans une sol
W'I. 20 306 SÉNAT. provenant de l'albumine, sa diminution dans l'
urine
indique que l'albumine des tissus va manquer. S
nt été présentés par nos malades sont les suivants : La rétention d'
urines
, qui est presque constante; en effet, elle a ma
malade que nous avons observé avec M. le Dr Xanthos, la rétention d'
urines
avait occa- sionné une distension considérable
de rares ex- ceptions près, marche de concert avec la rétention d'
urines
, et comme elle, une fois dissipée, fait place r
t encore de temps en temps un peu de difficulté pour faire sortir l'
urine
et, le 10 août, il était guéri. A côté de ces
ise à la région lombaire. Pour être complet, n'oublions pas que les
urines
du malade, le 15 juillet 1886, c'est-à-dire env
eu moins prononcée au membre gauche, anesthésie, légère rétention d'
urines
. Le 4 novembre, il DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI D
s membres inférieurs et du supérieur droit. Anesthésie, rétention d'
urines
. A 11 heures du soir, disparition de la paralysie
isparition de la paralysie, de ~~ l'anesthésie et de la rétention d'
urines
. Auréveil, 3 mai, 7 heures du matin, retour de
égie des membres inférieurs, de l'anes- thésie et de la rétention d'
urines
et de selles. 18 ? ntti, marche avec un seul ap
s, qui en même temps étaient tout à fait anesthésiques. Rétention d'
urines
. - An bout de 24 heures, paraplégie, anesthésie
urines. - An bout de 24 heures, paraplégie, anesthésie, rétention d'
urines
ont disparu subitement. Le malade reprend ses i
t à fait intègre. Rien à la face ; anesthésie complète, rétention d'
urines
. A 10 heures, une amélioration surprenante a co
aussi bien de la motilité que de la sensibilité ; il rend bien ses
urines
et ne se plaint de rien. Il dort bien, croyant
a constaté qu'il était repris de sa paraplégie et de sa rétention d'
urines
et de selles. L'ancsthésie aussi était complète
1otililé et de la sensibilité des quatre membres. Soif. Rétention d'
urines
et de selles. Décubitus aigu, accompagné de déc
'urines et de selles. Décubitus aigu, accompagné de décomposition d'
urines
et de fièvre, guéri. Le 15 février, retour de l
pas de gaz, pas de douleurs gas- triques. Impossible de rendre ses
urines
et ses selles. Pas de troubles respiratoires, p
25 janvier, cette plaque rouge s'ulcère, il avait de la fièvre. Ses
urines
rendues par la sonde exhalaient une forte odeur.
s'améliore. Le 6 février, l'escarre était complètement guérie, les
urines
n'avaient presque plus d'odeur, il a commencé à
eur, il a commencé à mouvoir ses membres supérieurs. La rétention d'
urines
et de selles persiste ; on continue l'emploi de
depuis l'accident, il a, pour la première fois, rendu tout seul ses
urines
et ses selles. Pas d'amélioration aux membres i
s aux articulations des coudes. Paraplégie, anesthésie, rétention d'
urines
et de selles, pouls petit, fréquent et irréguli
ment. L'anesthésie était complète dans tous ses modes : rétention d'
urines
et de selles, petitesse, fréquence et irrégularit
oteurs, il n'y a pas de symptômes céphaliques. Il n'y a fréquence d'
urines
, et, de temps en temps, le malade rend involont
'urines, et, de temps en temps, le malade rend involontairement ses
urines
. Les fonctions du rectum et des or- ganes génit
ée d'une demi-heure de durée. - Paraplégie, anesthésie, rétention d'
urines
et de selles suivie d'incon- tirzence. Le 10 ju
sthé- sie non moins complète et d'une rétention, très pi ononcée, d'
urines
et de selles qui a duré dix jour=. 1.% sonde n'
ention, la vessie, grâce à l'accumula- tion d'une quantité énorme d'
urines
, a formé une tumeur considé- rable dans le bas-
ssie sont arrivés après bien des efforts à la vider. La rétention d'
urines
a été suivie d'incontinence. La constipation ét
ue le malade ne pouvait se tenir debout; anesthésie, incontinence d'
urines
et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQU
orter dans son pantalon un tube en caoutchouc, afin de recevoir les
urines
qui s'écoulent goutte à goutte. Parfois, il ren
x membres inférieurs et du supérieur droit, anesthésie, rétention d'
urines
pendant deux jours. Dans la journée du 23 mars,
eux membres inférieurs et du supérieur droit, suivie de rétention d'
urines
. Archives, t. XVI. 25 386 CLINIQUE NEIIVEUSE.
sensibilité; ils ont consisté dans tous les cas, en une rétention d'
urines
. Par suite de cette rétention, qui a duré dixyj
r pour D L.1 GLIO>L1TOSU ? II : DULI,.\IRG. 393 faire sortir l'
urine
(OBs. XVI) et tantôt à l'incontinence (OBs. XVI
s troubles vési- caux, n'oublions pas de noter la décomposition d'
urines
qui a eu lieu chez le malade de l'OBS. XVI. e).
cas, la rétention de selles marche de pair avec la réten- tion d'
urines
, c'est le trouble initial du rectum; une fois d
moitié gauche de la face. Bientôt après, elle perd connaissance. Elle
urine
parfois sous elle, écume peu, se mord la langue,
s du côté droit. Les pupilles ont repris leurs dimensions normales. L'
urine
, recueillie aussitôt après l'accès, ne contient n
ont porté exclusivement sur le côté droit de la face et du corps. Les
urines
et les selles ont été involontaires. A la suite d
ois jours avant les accès et lui en annonceraient l'approche. —Elle n'
urine
pas sous elle dans ses crises. Etat actuel (186
inutes plus lard, la malade étant revenue à elle : T. V. 37°,3. Les
urines
, recueillies un certain nombre de fois après les
gauche. P... se promène dans la salle. Bientôt on s'aperçoit qu'elle
urine
tout debout dans la ruelle d'un lit. On le lui re
mes permanents de l'hystérie.— Caractères des attaques. — Rétention d'
urine
et surdité consécutives. —¦ Incontinence d'urine.
aques. — Rétention d'urine et surdité consécutives. —¦ Incontinence d'
urine
. — Mélallothérapie. —Marche des attaques.— Influe
es deux côtés, mais plus forte à gauche.— Démangeaison. — Rétention d'
urine
remontant à 5 ou 6 jours. — Constipation depuis l
a disparu. — Les règles ont commencé ce matin. — On retire un litre d'
urine
par le cathétérisme. 4 juin. — V... ne mange pa
térisme. 4 juin. — V... ne mange pas ; la surdité et la rétention d'
urine
persistent. — Soir : T. R. 38°,2. 5 juin. — Mat
e plusieurs fois de suite, avec violence. — Constipation; rétention d'
urine
. — Les attaques ont fini à 4 heures du soir. A 6
issait elle rêvait qu'elle tombait dans des précipices. — Rétention d'
urine
; cathétérisme facile. — Pas de surdité. — T. V.
ues ont fini ce matin à 10 heures ; on en a compté 185. — Rétention d'
urine
. — T. R. 38°. Soir.— V... a été tranquille ; il
. ATTAQUE; PÉRIODE ËPILEPTOÏDE STERTOH dite et la rétention d'
urine
persistent ; il en est de même des contractures p
.) Soir (8 heures). — Elle a eu déjà 63 attaques'. T. R. 37°,9. Les
urines
, extraites par la sonde, sont claires et ne conti
ôpital mauvaise. — La nuit a encore été un peu agitée. La rétention d'
urine
persiste. L'introduction de la sonde se fait as
ur et a crié. 1 31 octobre. — V... a conser vé une incontinence d'
urine
depuis le 10 septembre. Elle a été prise d'attaqu
trébucher la malade et la fait quelquefois tomber. 1?incontinence d'
urine
continue : Injection sous-cutanée de 20 gouttes d
nouvelles attaques. Il n'y a, cette fois, ni surdité, ni rétention d'
urine
, mais l'incontinence est la même (1). (l) V...
, que ses jambes tressautent et qu'elle s'endort. Elle perd moins ses
urines
; dans le jour, l'incontinence a bien diminué ; q
aperçoit des flammes et crie : « Au feu! » Mai. — L'incontinence d'
urine
, qui s'était amendée sous sans grand résultat c
café ; pas de vomissements ; une selle après lavement. Incontinence d'
urine
. Clou hystérique. — Il siège au niveau de l'ang
e fatiguée. 2 novembre. — Pas de nouvelles convulsions. Rétention d'
urine
depuis deux jouis; hier V... a refusé de se laiss
du col de la vessie et de Vurèthre). On retire environ deux litres d'
urine
. V... a mal dormi, souffrait du ventre ; il en es
etourne et s'accroche le plus dans l'autre. 7 nov. — La rétention d'
urine
a persisté jusqu'au 5 et il a fallu sonder V.
il a fallu sonder V... tous les jours. Depuis lors, incontinence d'
urine
. — La paraplégie persiste ; elle est plus forte à
férieur gauche. 13 nov. — Paraplégie hystérique avec incontinence d'
urine
. — Application, de l'aimant : 1° à la face intern
la vessie et de Yurèthre, donnant lieu, à son tour, à une rétention d'
urine
. Le dernier état de mal a laissé une paraplégie i
er état de mal a laissé une paraplégie incomplète avec incontinence d'
urine
. Divers moyens suspendent ou arrêtent les attaq
liésie générale. — Contracture des membi es inférieurs. — Rétention d'
urine
. — Contracture des mâchoires et de la langue. — I
nservée à gauche ; même état de l'œil droit. — Il y a une rétention d'
urine
qui nécessite le cathétérisme, lequel s'opère, d'
t à des injections de morphine. Anesthésie générale ; — rétention d'
urine
; — perte de la notion de position des deux jambe
a malade à 5 heures (10 juillet) et on a retiré une grande quantité d'
urine
. — La sécrétion vaginale est très-abondante, et t
aient par des rires ou des pleurs et par une copieuse éva~ citation d'
urine
. Les adtaques de délire, dont nous avons signal
. Dans l'observation actuelle, nous avons eu une simple rétention d'
urine
, sans aucune trace de contracture. GhezV... (Obse
vait habituellement mie paralysie de la vessie (d'où Y incontinence d'
urine
) et sous l'influence des séries convulsives, il s
19; — Température, 132; — Disparition, 20S, 207. I Incontinence d'
urine
, 103, 113. Incurvation du tronc, 145. Injecti
47, 55, 73, 89. — Sur les attaques, 107, 132, 137, 166. Rétention d'
urine
, 98, 138. Rire hystérique, 111, 138. S Seco
ement, 50, 133, 136, 141. Trépidation, 70, 76, 79,81, 113, etc. u
Urines
, 78, 101, etc. Urticaire, 141. V Valérate à'a
abolis. Le malade ne présente aucun trouble de la sensibilité, il
urine
normalement, dort bien et n'a jamais eu de cris
MARIE 57 Les autres organes et fonctions sont en parfait état : ses
urines
sont nor- males, son coeur, son poumon, son foi
de dégénérescence. Les, organes internes sont normaux La densité d'
urine
: 1012, la quantité des 24 heures : 2000-2300 ;
pétit étai L nul. Le malade ne suait pas la nuit, mais il avait les
urines
purulentes, et son eschare au siège suppurait a
sonde à demeure ; il prétendait sentir le contact de la sonde. Ses
urines
contenaient encore une légère quantité de pus.
scles para- lysés ; . 2° Une paralysie vésico-rectale ; le malade
urine
par regorgement et il ne peut retenir ses matiè
tin, à sa- voir : des alternatives de rétention et d'incontinence d'
urine
(urination par regorgement; ischurie paradoxale
ra recours aux lavages antiseptiques de la vessie, pour peu que les
urines
charrient du pus ou du sang. L'incontinence des u
peu que les urines charrient du pus ou du sang. L'incontinence des
urines
et des matières fécales réclame des soins pénib
ce nocive de la com- pression, d'une part, du contact irritant de l'
urine
et des matières fécales, de l'autre. HOSPICE
établies. Le corps thyroïde est inappréciable à la palpation. Les
urines
examinées ne contiennent ni sucre, ni albumine, e
és. Cet état d'anémie concorde assez bien avec la pré- sence dans l'
urine
d'uro-bématine en quantité assez considérable.
d'uro-bématine en quantité assez considérable. L'examen complet des
urines
, fait le 11 janvier, donne 13 grammes d'urée, 1
atoire de la clinique de la Salpêtrière. De tout temps l'examen des
urines
a appelé l'attention des médecins soucieux de s
frappée de l'importance que les médecins accordaient à l'examen des
urines
qu'il est souvent tombé dans l'erreur que nous ve
de très curieux spé- cimens. Mais n'oublions pas que l'examen des
urines
compte au nombre des procédés d'investigation l
s en vers latins et que l'un d'eux tout en- tier était consacré aux
urines
, Liber de urinis. Dès cette époque, la coutume
rines, Liber de urinis. Dès cette époque, la coutume d'examiner les
urines
était fort répandue dans la pratique médicale.
le mal. Ainsi, sans perdre de temps, Renart demande à examiner les
urines
et il affirme qu'il y découvrira les causes du
en 184.7 (1), un très curieux traité sur les signes fournis par les
urines
, qui futplus tard reproduit dans le Fascicullls
ispice de l'ouvrage de B.11lontagnana sur les si gnes fournis par les
urines
. LES UROLOGUES 189 sens des rayons, vingt et
Le titre de la planche est très significatif : Du moyen déjuger les
urines
d'après leur couleur. Les médecins du XVe siècl
en toute hâte, arrive près d'elle, lui tâte le pouls et demande ses
urines
: « Quand elle eust ceste urine, fist tant qu'e
, lui tâte le pouls et demande ses urines : « Quand elle eust ceste
urine
, fist tant qu'elle eust ung urinai et dedans la
e remède. « Vecy nostre gueux qui arrive devers le médecin à tout l'
urine
de sa femme. Et quand il y eust fait la révéren
sa femme estait deshaitiée et merveilleusement malade : et vecy son
urine
que vous aporte afin que mieulx vous informes d
édecin prent l'urinai etconlremont leliève, et tourne et retourne l'
urine
et puis va dire : Vostre femme est fort aggravée
e et en dangier de mort, s'elle n'est prestement secourue, vécy son
urine
qui le monstre. » 190 PAUL IIICIIEN Quant au
parler ici. Nous verrons comment cette scène chez le charlatan des
urines
a été souvent représentée par les artistes. Une
mps chanoine de Saint-Quentin. Il élève de la main gauche le vase à
urines
,, l'urinal, symbole de la profession, pendant q
lie comme en France, quelle part importante revenait à l'examen des
urines
dans les soins donnés aux malades et combien cett
au nombre desquels se trouve un remarquable cha- pitre consacré aux
urines
. Dans ce chapitre, il ne se contente pas de don-
s ce chapitre, il ne se contente pas de don- ner les caractères des
urines
dans l'état de santé et dans les diverses ma- l
s linéaments de la science si complexe aujourd'hui de l'analyse des
urines
, en étudiant les résultats des expériences auxq
ventre et la poitrine, J'aurais un beau teston (1) pour juger d'une
urine
. Les beaux testons devaient pleuvoir dans l'esc
oits charla- tans habiles à exploiter l'impression que l'examen des
urines
a toujours produite sur le vulgaire. Comment d'
e du liquide couleur d'ordes produits rares, tels que l'es- sence d'
urine
(sel ammoniac, extrait des urines), alors que la
uits rares, tels que l'es- sence d'urine (sel ammoniac, extrait des
urines
), alors que la philosophie hermétique appelait
urines), alors que la philosophie hermétique appelait le vinaigre,
urine
du vin, et le mercure philosophai, urine des je
ique appelait le vinaigre, urine du vin, et le mercure philosophai,
urine
des jeunes colériques, enfin alors que la pharmac
er- tus . Mme de Sévigné faisait un fréquent usage de l'essence d'
urine
. Elle écri- vait à sa fille le 13 juin 1685 : «
13 juin 1685 : « Pour mes vapeurs je pris huit gouttes d'essence d'
urine
, et contre mon ordinaire elle m'empêcha de dormir
e de l'Académie des sciences, Nicolas Lémery,écrivait en 1759 : « L'
urine
de l'homme,-nouvellement rendue, purge et est bon
uelque peu voisine de la cabale, consistait à tirer de l'examen des
urines
les pronotics les plus invraisembla- bles. Aujo
jourd'hui même l'espèce n'en a pas disparu. « Il (le jugeur par les
urines
) se vante, dit A. Chéreau, de connaître a l'asp
es) se vante, dit A. Chéreau, de connaître a l'aspect d'une fiole d'
urine
, si on le consulte pour un homme ou une femme,
me députe sa camériste chez un urosco- pe avec une bouteille de son
urine
; la pauvre fille perd en route la pré- cieuse
ur, mais répare ingénieusement ce malheur en la remplaçant par de l'
urine
de vache. 0 prodige ! L'Esculape s'écrie aussitôt
ont-ils pas là ? Leur science, qui découvre tant de choses dans les
urines
, ne peut-elle y trouver la preuve de l'innocence
he vers l'éminent empirique une servante avec une fiole remplie des
urines
de la belle dont le sort dépend de l'arrêt qu'i
de reconnaître à la présence d'un certain corps, la kyestéïne, les
urines
de la grossesse, mais c'est à une période déjà
SCIIALI\EN (1643-1706) au musée de La Haye, intitulé le Médecin aux
urines
ou la Consultation indiscrète, reproduit une co
ancien n'a pas été favorable à la vertu de la pauvrette. La fiole d'
urine
gît brisée il terre. La jeune fille toute confuse
re 1900, il commença à être sujet à des émissions invo- lontaires d'
urines
. Le 1er octobre, il prit une purgation. A parti
fécales. Appareil urinaire. Le malade présente de l'incontinence d'
urine
par émissions involontaires. Les urines ne co
ésente de l'incontinence d'urine par émissions involontaires. Les
urines
ne contiennent ni sucre, ni albumine. Evolution
ogressivement. Il est sujet ri des bâillements répétés. Il perd ses
urines
et ses matières. 10 novembre. Le malade est tom
18 Décembre. - Nouvelle crise qui dure quelques minutes. Le malade
urine
sans cesse dans son lit, il se forme une escarr
es, Rosalina, avait eu une fièvre élevée, l'examen de la quantité d'
urines
émises, la respiration, le pouls, la température
de l'oeil normal. Diplopie passagère à distance. In- continence des
urines
. Morte de cachexie le 27 novembre 1899. ' Exame
eurs. R"é(]exes fibrillaires et plantaires abolis. Incontinence des
urines
et des matières. Cécité totale. Disparition des
ielle et profonde aux membres inférieurs. Incontinence complète des
urines
et des matières fécales. Signe d'Argyll-Robertson
é à 40 ans. Il y a 4. ans, troubles des sphincters : incontinence d'
urine
; à la même époque apparition des douleurs fulg
es où l'on trouve la représentation soit d'un médecin qui examine l'
urine
, soit d'une application de ventouses. Ces pratiqu
e pendue à la ceinture-qui inspecte un vase de verre à demi plein d'
urine
qu'il lient de la main droite. En face de lui,une
ble réclamer l'attention du médecin trop absorbé dans l'examen de l'
urine
, vers le malade qu'il indique avec la main droi
traire, F... se plaignait maintenant de ne plus pouvoir retenir ses
urines
, quand elle était debout et quand elle essayait
sayait de marcher; elle avait parfaitement conscience du passage de l'
urine
à travers l'urèthre. En décembre (1900), les
t la malade, qui se croyait en voie de guérison, retenait mieux ses
urines
. Mais voici qu'en février 1901 les douleurs fir
les réflexes achilléens étaient nor- maux. La malade perdait ses
urines
, même quand elle était couchée; ces évacua- tio
les demi-heures environ. La malade avait conscience du passage de l'
urine
, du contact d'une sonde avec la muqueuse vésico
t restés stationnaires ; voire que la malade perd moins souvent ses
urines
. De plus, cette incontinence se complique de ré
s. involontaires, on retire de sa vessie jusqu'à 4 et 500 grammes d'
urine
. AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 477 11 est
admission définitive dans le service. Entre temps l'incontinence d'
urine
avait fait son apparition, incontinence qui, d'ab
éri- phériques : Le symptôme, troisième en date, l'incontinence d'
urine
, a également revêtu des caractères qui parlent
e d'une origine spinale, nucléaire : tout d'abord, l'incontinence d'
urine
était essentiellement transitoire, elle se mani
l'hypothèse d'une lésion nucléaire, responsable de l'incontinence d'
urine
. La distribution de l'anesthésie superficielle
gré de l'analgésie au pied gauche. L'incontinence et la rétention d'
urine
ont disparu. IL.. a parfaitement conscience du
, il est obligé de pousser. Il n'a pas la sensation du passage de l'
urine
à travers le canal. Le jet formé par l'urine n'
sation du passage de l'urine à travers le canal. Le jet formé par l'
urine
n'a aucune force ; le malade est obligé d'é- ca
d'uriner. Dans la journée, il put le faire, non sans difficulté ; l'
urine
s'écoulait en buvant, et pour ne pas mouil- ler
e de la charité publique. Il n'y a rien aux viscères, rien dans les
urines
. Pas de troubles trophiques. La voûte est légèr
s qu'il dit avoir pesé jadis jusqu'à 106 kilogrammes. L'analyse des
urines
a été pratiquée par M. Savinel, interne -en pharm
s considérable que celui d'un homme normal. Pas de soif exagérée.
Urine
normale, D : 1012. Ni sucre, ni albumine. Les o
a polydypsie (12 litres d'eau environ) et de polyurie : 13 litres d'
urine
claire, de densité 1027, donnant la réaction du s
94. --Pneumonie de la base gauche, pendant laquelle la quan- tité d'
urine
tomba à 3 ou 4 litres et la teneur en sucre à 1 o
et la teneur en sucre à 1 ou 2 pour 0/0. Mars 189S. 9 à 16 litres d'
urine
par jour ; teneur en sucre : 6 ou 6,5 pour 0/0.
er de bacilles de Koch dans l'expectoration. Le sucre a disparu des
urines
, dont la quantité oscille entre 2 à 3 litres 1/
très nerveuse. A l'Age de dix ans, il aurait eu une anasarque avec
urines
rouges à la suite d'un refroidissement. A vingt
été présentée par l'absence des zones hystérogènes. L'analyse des
urines
, laquelle, selon l'enseignement de Gilles de la
r le fait même de sa courte durée. Pour ce qui est de l'analyse des
urines
laquelle, selon Gilles de la Tourette, nous don
lm... Poids : 50 kil., 5, âgée de dix-huit ans. Période de calme.
Urines
intercalaires. - Pour ses accès voir le relevé.
9 mai a eu lieu vingt-quatre heures après la fin de la récolte de l'
urine
. Depuis plusieurs années, Vilm..., autrefois in
avons voulu rechercher quelle pouvait être la toxicité actuelle des
urines
de cette malade. Totalité des vingt-quatre heur
Totalité des vingt-quatre heures : 2 lit. 500. Lapin de 2 lui. 350.
Urines
acides filtrées. Rien à noter au début. Pas de
arrêt de quelques minutes dans l'injection à 180 c. c., parce que l'
urine
filtrée manque; deuxième arrêt à 260 pour la '
PATHOGÉNIQUES ET THERAPEUTIQUES. Nous venons de voir que l'état des
urines
est différent avant, pendant et après les accès
tatant cet état. Cet état saburral accompagnant l'hypotoxicité des
urines
s'accuse de plus en plus pendant une série et s'a
us la même dépen- dance. Cette corrélation entre l'hypotoxicité des
urines
et ces troubles gastriques est donc très import
permis souvent de prédire un accès. De même cette hypotoxicité d'
urine
nous a permis de prédire un nouvel accès convulsi
i qu'un malade sujet au délire doit être surveillé aussitôt que ses
urines
ne présentent plus la toxicité normale. A quo
ts. En effet, avant l'accès et pendant la période paroxystique, les
urines
sont hypotoxiques, ce qui indique que l'éliminati
, le sérum du sang est plus toxique pendant les attaques et que les
urines
* Février 1892. Société de Biologie. 70 PHYSI
ptiques mais nous pouvons avec les données que nous avons sur leurs
urines
, données tout à fait identiques à celles que M.
n théorique. Nous avons, avant et pendant l'accès, hypotoxicité des
urines
, c'est-à-dire intoxication du sang, et après l'
st-à-dire intoxication du sang, et après l'accès, hypertoxicité des
urines
, c'est-à-dire élimination des toxines du sang.
u, en comparant les expériences de Chambrelent, qui ont rapport aux
urines
et au sang des éclamptiques, c'est-à-dire à ces
1891.) . Les auteurs n'ont fait porter leurs recherches que sur les
urines
d'un seul aliéné, atteint de délire mélancoliqu
la glande thyroïde.' G.D. XII. DE la présence DE l'acétone dans l'
urine
DES aliénés; par les D™ J. DE Roeck et A. SLOSS
nt, de Belgique, 1891.) De leurs recherches qui ont porté sur les
urines
de 31 aliénés et d'une quinzaine de sujets norm
ent les conclu- sions suivantes : lorsqu'on veut constater dans les
urines
la pré- sence de l'acétone, il faut les récolte
ces azotées. La constatation d'une petite quantité d'acétone dans l'
urine
des aliénés n'a donc aucune signification patho
e signification pathologique. La quantité d'acétone contenue dans l'
urine
n'est pas en rapport avec l'état psychique du mal
rtaines affec- tions mentales que l'on trouve de l'acétone dans les
urines
; l'exis- tence d'acétone en quantité plus ou m
Sailler avait constaté maintes fois la présence de l'acétone dans l'
urine
d'hommes sains de corps et d'esprit, et que, d'au
ains de corps et d'esprit, et que, d'autre part, sa présence dans l'
urine
des aliénés n'avait aucun point d'attache avec
gré leur affir- mation de l'existence constante de l'acétone dans l'
urine
des alié- 96 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nés
n, c'est que la constatation d'une petite quantité d'acétone dans l'
urine
des aliénés n'a aucune signification patholo- g
ication patholo- gique et que la quantité d'acétone contenue dans l'
urine
, n'est pas en rapport avec l'état psychique du
nte une augmen- tation considérable du taux des phosphates dans les
urines
. Le malade, interrogé sur son sommeil, répond i
cette hypothèse par des expériences entreprises sur la toxicité des
urines
des aliénés. Les résultats obtenus par ces aute
s obtenus par ces auteurs au cours d'expériences antérieures avec l'
urine
normale, ont servi de terme de compa- raison po
male, ont servi de terme de compa- raison pour juger de l'effet des
urines
pathologiques. Au point de vue du degré de toxi
u degré de toxicité, ces dernières expériences avaient montré que l'
urine
normale, en injections intra-veineuses, tue le
au point de Vue des qualités toxiques, c'est-à-dire de l'action des
urines
nor- males sur les différentes fonctions de l'é
on de la pie-mère ; troubles trophiques cutanés. Les injections d'
urine
pathologique ont été faites avec l'urine de mal
cutanés. Les injections d'urine pathologique ont été faites avec l'
urine
de malades atteints de manie, de stupeur, de ly
men- tale, autres que la démence sénile, le degré de toxicité de l'
urine
a été augmenté, dans des proportions différente
manie sans agitation a une toxicité presque semblable à celle de l'
urine
normale, tandis que la stupeur simple et la folie
qu'un élément secondaire au point de vue du degré de toxicité de l'
urine
, l'élément premier dépendant de l'intensité de
lités toxiques, D'une manière générale, les qualités toxi- ques des
urines
des aliénés sont les mêmes que celles de l'urine
és toxi- ques des urines des aliénés sont les mêmes que celles de l'
urine
normale pour ce qui concerne toutes les fonctio
uve dans tous les cas des symptômes semblables à ceux que produit l'
urine
nor- male, mais, à côté de ces symptômes, en ex
ie des persécutions). la symptomatologie est semblable à celle de l'
urine
normale : l'affaissement et la résolution sont se
que, lypémanie) on constate des symptômes qui n'existent pas avec l'
urine
normale : les urines de maniaques avec agitatio
onstate des symptômes qui n'existent pas avec l'urine normale : les
urines
de maniaques avec agitation considérable donnen
itive et à un état de convulsi- bilité qu'on ne retrouve pas avec l'
urine
normale. Cet état est poussé si loin que, dans
oduire des convulsions généralisées. Les chiens, injectés avec de l'
urine
des malades atteints de stu- peur lypémaniaque,
te che; l'individu atteint de cette forme d'aliénation mentale. L'
urine
des lypémaniaques donne naissance non seulement à
ance à la folie : puerpéralité, puberté, maladies infectieuses; les
urines
, à part peut-être quelques éléments secondaires
ne peut même presque pas lever ses jambes dans son lit; rétention d'
urine
continue (calhétérisation journalière), des déc
due et appuyée sur de nombreux tableaux rap- portant des analyses d'
urine
dans des cas de folies liées à l'arthri- tisme,
xions rhumatismales seraient les princi- paux facteurs; l'étude des
urines
et des antécédents héréditaires BIBLIOGRAPHIE.
rde, elle ne peut lire ni coudre. Elle est régulièrement menstruée,
urines
normale ? Le vertige vient au moindre mouvement
1892.) Il s'agit d'une idiote urinant 6,000 centimètres cubes d'une
urine
ayant pour densité 1002 à 1004; cent deux à cen
1004; cent deux à cent vingt mictions qui l'empêchent de dormir. L'
urine
est ammoniacale et précipite une abondance de p
es de trois minutes. Sous l'influence de ce traitement, la malade n'
urine
plus que 580 centimètres cubes d'une urine acid
traitement, la malade n'urine plus que 580 centimètres cubes d'une
urine
acide pesant 1028 (sels acides (urates) avec ox
tion doit être mise en train par une douce pression sur le, ventre;
urines
normales; conserva- tion de la tonicité des vai
produite par le dé- faut d'élimination des éléments chimiques de l'
urine
a provoqué des troubles dans les centres coordi
ance de la plupart des malades des convulsions, de l'incontinence d'
urine
, des perver- sions d'ordre moral, etc. Dans tro
igestives, gâtisme irrégulier. Quelquefois albumine et sucre dans l'
urine
. Etiologie. La femme y est particulièrement pré
la coloration du tégument soit la même des deux côtés. L'examen des
urines
n'a révélé ni sucre, ni albumine; leur ana- lys
par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 469 des idés de persécution. Son
urine
contenait de l'albumine et une grande quatité d
de dé- pression alternant avec des périodes de gaieté exhubérante.
Urine
pâle, acide, avec traces d'albumine et importan
rtie de l'asile, les cy- lindres épithéliaux avaient disparu de son
urine
et son état phy- sique et mental était excellen
ation considérable et tendance au suicide. Traces d'albumine dans l'
urine
. Amélioration rapide. 5° Maniaque avec hypoch
lbumine et les cristaux n'existaient plus. L'auteur a analysé les
urines
des malades de son service et il a trouvé de l'
re de mélancoliques agités sans albumine et sans cylindres dans les
urines
. Les maladies rénales sont donc beaucoup plus c
ante peut donner de l'albumine et [des cylindres épithéliaux dans l'
urine
avec de l'oedème dans quelques cas. 3° Cette af
de Gudden, 111. Tumeur cérébrale, par Erb, 275 ; Rorie, 463.
Urines
, chez les épileptiques, par Voisin et Péron, ga
z; chez les aliénés, par de Boecke et Slasse, 92 ; acétone dans l'
urine
des i aliénés, par de Boecke et Slasse, . 93.
s les organes des sens sont intacts. Il n'y a pas d'albumine dans les
urines
. A partir de ce jour, la faradisation est prati
, les régions rénales sont doulou-reuses, au moins à la pression, les
urines
rares ou supprimées, les symptômes putrides rapid
es plus caractéristiques de l'affection typhoïde choléri-que : 1° Des
urines
rares, toujours chargées d'albumine, laissant dép
tremblements des mem-bres ; rétention ou écoulement involontaire des
urines
. La langue est recouverte d'un enduit d'une color
. — L'appari-tion des phénomènes critiques, tels que sueurs profuses,
urines
abondantes, selles diarrhéiques survenues brusque
abituellement molles, abon-dantes, et d'une coloration jaune clair. L'
urine
rare présente une réaction fortement acide et con
début, nausées, vomissements, diarrhée plus ou moins abon-dante ; les
urines
sont rares, quelquefois supprimées, parfois sangu
algie la plus violente. D'ailleurs, il existe une soif ardente et les
urines
sont rares, d'une colo-ration rouge foncée et séd
, commencent à prendre une coloration jaune plus ou moins foncée; les
urines
, enfin, présentent une teinte brune qu'elles doiv
ses parties du corps, principalement au cou et sur la poitrine. — Les
urines
deviennent très rares, elles sont rendues goutte
-tifs, l'existence du principe coloré de la bile dans le sang, dans l'
urine
et dans la sérosité des vésicaloires (La Roche).
table. — Les reins sont gorgés de sang, tantôt la vessie est pleine d'
urine
, tantôt au contraire elle est parfaitement vide.
s péléchies, une teinte très foncée des téguments, la suppression des
urines
, le ralentissement très marqué du pouls, l'algidi
es. Celui-ci préconise la saignée celui-là voudrait que l'on but de l'
urine
d'enfant, etc. Les Notes ou Mémoires émanant de
ce de tubercules pulmonaires; il y a même plusieurs ex-cavations. Les
urines
, très claires, peu abondantes, traitées par l'aci
s'amoindrit chaque jour ; la diarrhée persiste quoi qu'on fasse ; les
urines
sont toujours albumineuses, l'algidité continue,
développés. En effet, on les a vu gêner ou empê-cher l'émission de l'
urine
et des matières fécales, et devenir chez la femme
ntenu, alors les hydatides qu'ils conte-naient ont été rejetés avec l'
urine
ou les matières fécales, et ce travail morbide, a
comprimant l'urèthre, occasionnait de temps à autre la rétention de l'
urine
dans la vessie et nécessitait l'emploi du cathéte
, en la refoulant par hasard avec le doigt, déter-mina l'émission des
urines
. Il instruisit le mari de cette ma-nœuvre, et le
inq ans. Mais, pendant les trois années qui suivirent, l'émission des
urines
et des matières fécales devint difficile, et le m
e rectum étaient aplatis; la vessie médiatement comprimée et pleine d'
urine
. Dans l'épiploon gastro-splénique existait aussi
s d'autres parties du corps ; 3° Les kystes gênent l'excrétion de l'
urine
et des matières fécales et peuvent être un obstac
, il expira subitement. A l'autopsie, la vessie, très distendue par l'
urine
, dépassait le pubis de 8 pouces anglais ; après l
s anglais ; après l'avoir vidée, et elle contenait environ 6 pintes d'
urine
, on découvrait une volumineuse tumeur, située ent
n du foie, de l'épiploon ou de quelque autre viscère. L'émission de l'
urine
resta toujours naturelle, ainsi que la défécation
oup d'œil on crût avoir affaire à la vessie elle-même distendue par l'
urine
; une incision ayant été pratiquée dans la tumeur,
uite considérée comme le résultat de la distension de la vessie par l'
urine
qu'on cherche à éva-cuer par une ponction. Obs.
; cette fois, on la considère comme due à la vessie distendue par l'
urine
; cependant, en introduisant une sonde par l'urèth
èce d'élasticité quand on cessait de le presser. Comme la rétention d'
urine
persistait, on crut de-voir ponctionner la vessie
ar la canule un liquide limpide, incolore, et presque en même temps l'
urine
coula par la verge avec facilité et a plein canal
ortait par la canule finit bientôt par être interrompu. « Dès que l'
urine
, qui était fortement colorée en brun, eût com-men
aura appuyé sur le col de la vessie et aura occasionné la rétention d'
urine
. A l'époque où la ponction fut faite, le kyste ne
t le malade est encore une fois soulagé. La difficulté à rendre les
urines
avait cessé elle-même, lorsque le 8 avril, une en
e 8 avril, une envie soudaine et pressante d'uriner se manifeste. Une
urine
trouble, blanchâtre, laissant déposer un précipit
dans la région du kyste, laquelle s'était de nouveau manifestée. Les
urines
redeviennent normales, les hydatides cessent de r
ission des hydatides par le rectum, l'ischurie suivie de l'émission d'
urines
purulentes et de gaz, sont venus simplement confi
apis, était accolée uu cœcum. Cet homme était sujet à la ré-tention d'
urine
; lors de son entrée dans le service de M. Vel-pe
ux, on les voit déterminer la constipation, Tischurie, la rétention d'
urine
. La menstruation ne peut pas manquer d'être gênée
mplètement exempts de lésion. Aucun phénomène du côté du cerveau. Les
urines
ne sont pas albumineuses ; elles sont fortement c
L'ascite n'a ni augmenté ni diminué ; il n'y a pas d'albumine dans l'
urine
. Le malade n'ayant pas de diarrhée et de l'appé
séquence, son bord supérieur se fut rapproché de la clavi-cule. Les
urines
n'ont jamais présenté d'altérations, ni en partic
que nous le dirons plus tard, on a pu s'en assurer par l'analyse de l'
urine
. 2. Sur un cas d'atrophie des cordons postérieu
diarrhée ; violentes douleurs dans la région hypogastrique, dysurie,
urines
purulentes. Cette affection intercurrente s'apais
M. S. Cloez a bien voulu se charger. Or, ayant soumis à l'analyse les
urines
rendues par nos malades, M. Cloez y a constaté la
En effet, divers observateurs ont retrouvé des traces d'argent dans l'
urine
, chez les sujets longtemps soumis à ce genre de t
loëz est parvenu à recueillir un globule d'argent, en réu-nissant les
urines
de plusieurs de nos malades de la Salpê-trière. C
s, on retrouvait l'argent (en petite quantité, il est vrai), dans les
urines
; preuve évidente que le métal avait été ab-sorbé.
lement au bout de deux ou trois jours dans les cas très intenses, les
urines
rendues deviennent parfaitement transparentes ; e
Chose remarquable, la réaction alcaline et aussi l'effervescence de l'
urine
persistent quelque-fois deux ou trois jours après
2 à 4 jours seulement, après l'apparition de la réaction alcaline des
urines
, que les divers symptômes (état fébrile, douleurs
eré bleu des gencives, 414 ; — argyrée, 415 ; — présence des — dans l'
urine
,419; — effets thérapeutiques des pré-parations
phénomènes pro-duits par le traitement, 394 ; — analyse clinique des
urines
dans le traitement de 1' —, 395. Atrophie muscu
reur, une des attaques s'étant accompagnée de perte involontaire de l'
urine
et des matières fécales. Mais si on avait pu alor
uisinier... G... (il s'adresse à un malade de la salle), c'était de l'
urine
à B... (autre malade)... Je lui demande du rhum..
comotrice progressive et d'autre part sur la présence du sucre dans l'
urine
de certains tabétiques. Dans le premier cas, les
éprise a été commise et plus d'une fois la découverte du sucre dans l'
urine
est venue réformer le diagnostic. Mais il ne fa
c. Mais il ne faudrait pas croire que la présence du sucre dans les
urines
puisse toujours lever la difficulté et décider qu
au quatrième ventricule. Althaus2 l'avait relatée en ces termes : « L'
urine
au début de la deuxième période du labes peut avo
sucre était accompagnée d'un excès d'urée et le poids spécifique de l'
urine
variait entre 1,030 et 1,037. Le sucre montait qu
e ses 125 labéliques) le cas d'un malade atteint de tabès vrai dont l'
urine
avait renfermé du sucre d'une manière temporaire.
nburg ne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de tabès. Un de nous, dans l'
urine
de 50 tabétiques, n'a jamais constaté la présence
ocomotrice progressive et n'a trouvé que trois fois du sucre dans les
urines
. Et encore n'est-il nullement démontré qu'il se s
ière... Mais s'ensuit-il d'une part que la présence du sucre dans les
urines
d'un tabétique signifie toujours glycosurie sympt
vec le diabète à un autre point de vue. La présence du sucre dans les
urines
d'un tabétique avéré ne signifie point toujours g
t encore assez obèse. Depuis quatre à cinq ans, elle boit beaucoup,
urine
de même et est obligée de se lever plusieurs fois
peu près perdu du même côté. Les réflexes rotuliens sont absents. Les
urines
sont examinées très régulièrement ; le sucre y a
outte paternels n'est pas douteuse ; le sucre a été constaté dans les
urines
à diverses reprises. Quant à la goutte, elle est
s dans les membres inférieurs et de (roubles vésicaux (incontinence d'
urine
). Au moment où nous l'avons examiné, outre les sy
ceinture et une incoordination motrice typique. Pas de sucre dans les
urines
. On peut résumer les antécédents héréditaires d
rnières années, MM. Livon et Alezais2, au cours de recherches sur les
urines
tabé-tiques, étaient frappés de la tendance à l'h
chard. Loc. cil., p. 182. (2) Livon et Alezais.— Recherches sur les
urines
tabéliques. (Marseille médical, 1888, p. 193 et 2
le prépuce et comme la plaie ne se cicatrisait point, on analysa les
urines
et on trouva du sucre. Une analyse faite à cette
thite qui mit encore un an à guérir. A la fin de sa cure minérale ses
urines
, ne renfermaient plus, dit-il, que 60 grammes de
t ensuite à la Salpêtrière. Etat actuel (juin 1890). — L'examen des
urines
révèle la pré sence d'une quantité notable de s
llet, interne en pharmacie de service, donne les résultats suivants :
urine
de vingt-quatre heures : trois litres d'aspect lo
'ont pas cessé depuis lors ; s'il veut résister au besoin d'uriner, l'
urine
sort toute seule brusquement. Parfois il pisse in
e un ulcère variqueux qu'on ne parvenait pas à guérir. On examina ses
urines
et on y découvrit du sucre. Deux ans après, une a
et beaucoup, sans qu'il ait jamais songé à recueillir la totalité des
urines
. 11 se levait la nuit cinq à six fois pour pisser
et polyurie modérées avec polyphagie et polydipsie peu marquées. Les
urines
renferment, d'après un examen fait séance tenante
21 d'acide urique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L'
urine
est trouble, acide, d'une densité normale, et lai
n plein tabès confirmé, que la présence du sucre a été notée dans les
urines
(40 grammes par litre) à propos d'un ulcère qui n
uentes, mais beaucoup moins sévères. Troubles vésicaux, rétention d'
urine
; ne peut uriner qu'à l'aide de la sonde. Démar
porter le pied en avant. Le sucre a été tout le temps constaté dans l'
urine
, examinée une fois par semaine. — Cette observa
. Début du diabète. — Il s'est aperçu qu'il avait du sucre dans les
urines
en 1888. Mais le début réel du diabète remonte pr
ine d'années. Quoi qu'il en soit, en 1888, un examen méthodique des
urines
fut fait. On trouva 45 grammes de sucre par litre
au régime sans médication. Deux mois après la polyurie diminuait et l'
urine
ne conte nait plus que 5 grammes de glycose par
de sucre n'était plus dosable. La soif avait disparu et la quantité d'
urine
émise était sensiblement normale. Depuis cette ép
En 1889, il eut une bronchopneumonie ; on fit examiner et doser ses
urines
eton trouva 3 grammes de sucre par litre. Il se r
. — En novembre 1889, alors qu'il n'y avait déjà plus de sucre dans l'
urine
, D... fut pris d'engourdissements et de fourmille
o-urinaires sont une impuissance absolue et une légère incontinence d'
urine
de temps à autre. Comme troubles moteurs, incoo
lucide. Il n'a rien de l'état mental des diabétiques. L'examen des
urines
n'a révélé aucune trace de sucre ni d'albumine à
on intéressant à souligner. Ne sait-on pas que le sucre disparaît des
urines
dans le cours d'une affection inflammatoire ? Tro
que lorsqu'un diabétique devient fou, le sucre disparaît parfois de l'
urine
? Du reste, dans les affections du système nerveux
er longtemps. Depuis trois ans on a constaté beaucoup de sucre dans l'
urine
, sans polyurie ni polydepsie, et depuis de longue
la région abdominale inférieure ainsi que dans la région dorsale. Les
urines
et les selles sont si impérieuses parfois que le
aux genoux. Anes-thésie de la plante des pieds. Troubles du tact. L'
urine
a une densité de 1,028 et renferme de 10 à 25 gra
avéré, on constate, à un moment donné, la présence du sucre dans les
urines
. Il s'agit, dans le premier cas, de déterminer si
1) Charcot. — Loc. cit. 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention d'
urine
peut survenir accidentellement, dans le diabète,
dans les vingt-quatre heures. Le malade de Roumont dont la quantité d'
urine
était normale, rendait 6 à 10 grammes de glycose
ans le tabès. Ce caractère n'a encore rien d'absolu. La densité des
urines
tabétiques glycosuriques semble moins élevée que
nsité est en rapport direct de la quantité de glycose contenue dans l'
urine
. Le chiffre de l'azoturie n'a pas plus de valeur
érales. En vérité, les caractères différentiels tirés de l'examen des
urines
n'ont qu'une valeur limitée, surtout si on les
B. — Etant donné un tabès authentique, au cours duquel l'examen des
urines
décèle la présence du sucre, dire si cette glycos
ocié au diabète sucré. b. — 11 s'agit d'un tabétique avéré dont les
urines
contiennent du sucre. Si cette glycosurie s'accom
acte. Jamais on n'a constaté ni délire ni pertes de connaissance. L'
urine
est normale comme quantité et comme qualité. Pas
gauche et la base du poumon droit. Le malade ne peut plus retenir ses
urines
ni ses matières fécales. Il répond néanmoins, mai
ine {Rev. de méd., 1890, p. 307). a eu de l'incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfanc
habitude, comme la morsure de la langue, du sang sur l'oreiller, de l'
urine
dans les draps, le lit bouleversé, etc., etc..
très nerveuse, atteinte de fureur utérine. Incontinence nocturne d'
urine
pendant l'enfance. De 18 à 20 ans, à huit ou dix
elles. 6 Spasmes fonctionnels, du cou, etc...... 5 Incontinence d'
urine
essentielle........ 1 Polyurie essentielle.....
battait sans jamais ni se mordre la langue, ni avoir d'incontinence d'
urine
. Ces crises disparurent après qu'elle se fut mari
ganes viscéraux n'a permis de découvrir aucune lésion ; rien dans les
urines
. Les réflexes sont normaux. En entendant cette
attaques convulsives ou comateuses, parfois accompagnées de perte des
urines
(ce qui n'est pas absolument contraire à l'idée d
nt avec une constipation opiniâ- tre et de l'inconti- nence des
urines
. La rigidité spas- modique, la nais- sance
e présente une réaction partielle de dégénérescence ; la quantité d'
urine
atteint 300 à 400 centimètres cubes par vingt-q
nt une inclination a s'améliorer. Le sucre disparut totalement de l'
urine
après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur,
hésie au niveau de la moité inférieure du thorax, incontinence de l'
urine
et des masses fécales, impotence complète. Le m
: il y a de la pollakiurie, surtout nocturne, non douloureuse. Les
urines
ne renferment pas d'albumine mais elles sont pa
matin, on note souvent de l'oedème de la face et des paupières. Les
urines
renferment des traces d'albumine (elles en ont
a grossesse, qui le matin seulement du jour où elle mourait vit ses
urines
devenir albumineuses et la fièvre s'élever de 37
idence, d'autant plus que le sucre ayant un instant reparu dans les
urines
quelque temps après, cette réapparition fut ell
mais il résulte surtout de l'alimentation carnée. Son dosage dans l'
urine
n'indique que la quantité qui en est excrétée ;
sence d'un enfant qui a des frayeurs nocturnes, de l'incontinence d'
urine
, ou tout autre phénomène épisodique de même genre
engagent à vous dire quelques mots des rapports de l'incontinence d'
urine
infantile avec l'hystérie. J'ai déjà insisté ai
que présente l'état mental, des enfants atteints d'incontinence d'
urine
avec celui des hystériques. Aujourd'hui je vais p
ues. Aujourd'hui je vais plus loin et je crois que l'incontinence d'
urine
est une manifestation apparte- nant en propre à
que je vais essayer de démontrer. L'étiologie de l'incontinence d'
urine
ne diffère pas de celle de l'hystérie. Elle se
auchemars agi- lés, ayant pour conséquence indirecte une émission d'
urine
. Ce dernier mécanisme est très net chez nombre
itable. Je crois donc être en droit d'affirmer que l'incontinence d'
urine
n'est, dans un très grand nombre de cas, qu'une
ifestement hystérique, qui était atteinte d'incontinence nocturne d'
urine
et chez laquelle cet accident a complètement disp
blépharospasme, le strabisme hystérique, l'incontinence nocturne d'
urine
; 2° les habitudes auto- matiques, l'onanisme ir
l'in- sornmie, l'agilation et le délire nocturnes, l'incontinence d'
urine
et de matières fécale=. Dans tous les cas, lo
maigrissement, pâleur, anémie) précisés par l'examen du sang et des
urines
; 3° dans ces trois cas la suggestion à l'état
tenace cède après un second lavement qui amène une selle abondante,
urines
en quantité assez notable puisqu'elles ont impré-
ent pâle et présente le souffle carotidien. Pas d'albumine dans les
urines
. Quelques jours après, le 6 mars, on me fait entr
lavement purgatif assez énergique qui n'a- vait rien produit. Pas d'
urine
depuis quinze heures. L'insensibilité est absol
contracture dorsale, figure grimaçante, écume à la bouche. Jamais d'
urine
et de vomissements depuis la perte de la connais-
malade venait de reprendre connaissance. Elle se met à uriner, une
urine
claire, limpide assez abondante, urine nerveuse
e. Elle se met à uriner, une urine claire, limpide assez abondante,
urine
nerveuse. Ceci m'étonne un peu, car une demi-he
la vessie, sondé la malade et n'avais retiré que quelques gouttes d'
urine
. Je revois la malade le soir, elle est bien, so
ux ans et demi. 10 à 12 litres par jour de boisson. 8 à 10 litres d'
urine
. Aucune trace de sucre. Parésie hys- térique à
uit jours environ), que rien ne pouvait étancher, et ces mictions d'
urine
si fréquentes. J'ai pensé aussitôt au diabète, ma
si fréquentes. J'ai pensé aussitôt au diabète, mais l'analyse de l'
urine
faite, séance tenante, à la liqueur de Fehling ne
araissaient tout d'abord taxés d'exa- gération, tant le chiffre des
urines
et du liquide absorbé était hors de proportion,
iller, on le surprit, dis-je, urinant dans son verre pour boire son
urine
. C'était du liquide, cela lui suffisait tant le
eux. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 315 Quelle était la quantité d'
urine
rendue par jour ? Il est difficile de le savoir
les parents l'évaluent à 8 ou f0 litres, en se basant sur ce qu'il
urine
la nuit. C'est un robinet continuel, disent-ils
tinuel, disent-ils; en effet, à une de mes visites, je demande de l'
urine
dans le but de la faire analyser, « Il vient d'ur
'était la vérité, car je puis recueillir sur-le-champ 400 grammes d'
urine
. Donc polyurie et polydipsie très prononcées ch
de deux ans et demi. Mais quelle sorte de polyurie ? L'examen des
urines
fait par Bertault, chef du laboratoire agricole d
rtant est assez incomplète. 6 décembre 1893. Enfant de trois ans.
Urine
d'nne limpi- dité parfaite, sans dépôt, presque
aux (sucre, bile, albumine). Examen microscopique. Rien. Résumé :
Urine
sans éléments anormaux, mais avec un excès d'ea
us fournira des données plus complètes sur les autres éléments de l'
urine
: chlorures, phosphates, etc. Outre ces symptôm
hosphates, etc. Outre ces symptômes fondamentaux : soif insatiable,
urine
abon- dante sans sucre, et sans augmentation de
rrhée, rien à la poitrine. L'enfant boit moins pen- dant sa fièvre,
urine
moins abondante. Je n'ai pas fait faire l'ana-
vre, urine moins abondante. Je n'ai pas fait faire l'ana- lyse de l'
urine
à ce moment; mais elle était, comme toujours, trè
Enfant de six ans et demi. 10 à 12 litres en vingt-quatre heures.
Urine
absolument sans couleur, limpide, sans dépôt. D
t acide. 318 CLINIQUE NERVEUSE cependant que ne l'est la soif, il
urine
un peu plus qu'il ne boit. « Je n'ai plus soif,
soif est poussée à un tel degré qu'il boira des eaux grasses, de l'
urine
même, s'il ne peut autrement satisfaire sa soif
auto-intoxication dans l'épilepsie en recherchant l'urée non dans l'
urine
et les matières fécales, comme la plupart des a
iminution après la crise. L'augmentation de l'urée trouvée dans l'
urine
après une crise peut être mise sur le compte d'
ance, ni de sensation vertigineuse. Pas d'émis- sion involontaire d'
urine
ou de matières fécales. État général bon. L'exa
c communique une observation de chorée chronique héréditaire où les
urines
se sont montrées hypotoxiques dans toutes les e
anche le prognathisme et la cyphose ont paru amoindris. Du côté des
urines
, les auteurs ont constaté une augmentation croi
cette malade, avant chaque opération, présentait de la rétention d'
urine
, qui disparut après chaque intervention. Sur la
ulement sur les préparations au liquide de Millier). L'analyse de l'
urine
démontra une augmentation de créatinine et de s
Depuis quinze jours, la mère remarque que l'enfant boit beaucoup et
urine
beaucoup ; ce n'était pas certes une soif aussi
lion précédente; cepen- dant, le bébé buvait litres environ. Pour l'
urine
, la mère ne peut donner même un chiffre approxi
, du reste, aisément l'impossibilité qu'il y a à recueillir toute l'
urine
de la journée chez un enfant de cet âge, d'auta
l urinait presque autant qu'il buvait, voilà un , il*t certain. Son
urine
est claire, lim- pide, ne donne pas d'odeur .mm
IQUE NERVEUSE. Malheureusement, je n'ai pas l'analyse complète de l'
urine
(c'est pour cela que mon observation sera brève
« Son affection ne s'est pas reproduite, mais je crois bien que son
urine
s'est changée en sueurs, car nous sommes obligé
des crises de sueurs vraiment extraordinaires, pendant lesquelles l'
urine
diminuait d'une façon notable. Pour en reveni
être obligé aujourd'hui de me con- * Cette incontinence nocturne d'
urine
est un accident fréquent chez les enfants hysté
souvent sans effet. On ne constate pas toujours l'albumine dans l'
urine
. Les abcès et collections purulentes méritent u
sans ulcérations, un peu congestionnée. La vessie contient un peu d'
urine
, la muqueuse non ulcérée est aussi congestionné
e transformé en hématoporphyrine qui est résorbée et excrétée par l'
urine
. Il faut donc qu'il y ait intoxica- tion chroni
directement comme toxique on trouve de l'hémato- porpliyrine dans l'
urine
et des troubles gastro-intestinaux. L'obser- va
nguine et de l'acidité urinaire suivent une marche paral- lèle. Les
urines
examinées à la fin des périodes maxima de l'alc
dité élevé; le fait a déjà été constaté par les cliniciens pour les
urines
post-paroxyslidues. En présence des résultats q
Degré minimum entre deux attaques à 11 heures de matin = IV. Les
urines
restent abondantes et très faiblement acides. L
cence du sang mesurée il 5 heures du soir (heure du mini- mum) = V.
Urines
acides et abondantes. Les 12, 13, 16, 17, injec
ion mélancolique. Du 1er au 7 juillet 1890, l'examen du sang et des
urines
donne les résultats suivants : 170 C.WC,UL nr
eures après l'injection (10 b. s.), seiie de 9 attaques. Ale.= 111.
Urines
et sueurs abondantes. Les 21, 22, injections de
. Menstruation régulière. Etat général bon. L'examen du sang et des
urines
, pratiqué du 1 ? au 7 juillet, donne les résult
roduisent isolées à raison de 4 à 6 par mois. Examen du sang et des
urines
du ,1 cr au 7 juillet : -. l'alcalescence DU sa
ement. Facile à diriger. Etat physique bon. Examen du sang et des
urines
du 1 ? au 7 juillet : 480 CLINIQUE NERVEUSE.
malade est facile à diri- ger et s'occupe. Examen du sang et des
urines
d1l1e.' au 7 juillet : l'alcalescence DU sang C
tat physique assez bon. Fonctions régulières, Examen du sang et des
urines
du 1 ? au 7 juillet : TABLEAU III ( 1. lll2qr
Le pouls est rapide, 120 à 130 par minute; pas de palpitations. Les
urines
, claires et limpides, abondantes (2 litres et dem
MÉLANCOLIE ET GOITRE EXOPHTALMIQUE. 495 rieurs. Pas d'exopthalmie.
Urines
: ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure.
1897. Librairie 0. Dom. Carsnoa de la Carrière et Montât (L.). L'
urine
normale de l'enfant. t, Brochure in-8° de 16 pa
avements quoti- diens. Une seule fois on l'a sondé pour rétention d'
urine
, cela six semaines environ après l'accidenl. In
atrices. Il y eut, pendant un an et demi environ, de la rétention d'
urine
qui exigea le cathétérisme ; le passage de la son
Avec la paraplégie coexista immédiatement une rétention complète d'
urine
et des matières fécales contre laquelle on lutt
nes d'incontinence ayant consisté dans l'émission involontaire de l'
urine
, en rêvant, pendant la nuit. , Vers cette époqu
jusqu'à l'époque actuelle. Les troubles recto-vésicaux, rétention d'
urine
et de matières, puis incontinence d'urine, sont
cto-vésicaux, rétention d'urine et de matières, puis incontinence d'
urine
, sont nuls aujourd'hui. La contracture, qui avait
peut être la conséquence de la rétention plus ou moins complète des
urines
. L'incontinence des matières fécales s'ob- DES
r- maux. Le réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie de la peau.
Urine
nor- male il tous les points de vue. « L'exam
tendance à tomber. Le coeur et les poumons o n été trouvés sains, l'
urine
non albumineuse. La parole n'était pas lente, m
s réflexes cutanés et ten- dineux. Il n'existe pas de troubles de l'
urine
ou de la miction. L'examen minutieux de la visi
normaux. L'examen des organes internes ne donne rien d'anormal ; l'
urine
présente une composition et une abondance ordin
qui puissent être constatées sur le foie, la rate et les pou- mons.
Urine
contenant une très faible quantité d'albumine, av
ne constate pas d'artério-sclérose. Une surveillance attentive des
urines
permit de fixer la quantité rendue dans les vin
ril, elle se sauve vers la chaise percée et boit par deux fois de l'
urine
«pour mourir », dit-elle; elle dit aussi qu'ell
o.ut à. coup pour se sauver dans la cour. L'idée d'aller boire de l'
urine
. revient assez souvent; elle n'en peut donner d
imprime à ses bras. croyant se faire mourir, boire dans les seaux à
urine
. Elle cherche dans les armoires' le vinaigre de
jours sans connaissance. Dans un certain nombre d'accès il perd ses
urines
. Quelquefois ces paroxysmes convulsifs débutent p
it petit, mais soif excessive. Pouls rapide. Température normale. L'
urine
ne contient ni albumine ni sucre. Intelligence
main fermée, pas de mouvement, ni écume, ni morsure de la langue; l'
urine
s'écoule au dehors pendant l'accès. Après quelque
ts de direction portant sur le pénis et l'urètre, l'évacuation de l'
urine
et du sperme se fail bien, le malade a des éjacul
étail a son intérêt : on sait de quelle importance est l'examen des
urines
dans les affections qui produisent t'hydropisie
La digestion est bonne. On ne note ni constipation ni diarrhée'.
Urines
normales, ni sucre ni albumine. ; , La peau est
d'uriner; s'il peut la satisfaire, l'accès est con- juré : le jet d'
urine
est alors très fort. Depuis celte époque, le ma
ève, sort vivement dans la cour et ne prévient son attaque que s'il
urine
; En 1888, nous trouvons 38 accès et 8 vertiges
te; l'anesthésie est remplacée par de l'hyperesthésie : rétention d'
urine
. En mars, tuméfaction malléolaire gauche, sensa
sion de la formule des phosphates. En ce qui regarde le volume de l'
urine
des vingt-quatre heures, celui-ci' est le plus
s la température est restée normale pendant la durée des accès; les
urines
ont été recueillies à l'aide de la sonde. Négli
convulsive ordinaire. Elle se juge par l'abaissement du taux de [l'
urine
, du résidu fixe, de l'urée et des phosphates av
, 19 ans, poids 48 kilo- grammes, excrète 1,150 centimètres cubes d'
urine
; 49 gr. 50 de résidu fixe pour 1,000 centimètre
e jour de l'attaque de sommeil elle excrète 550 centimètres cubes d'
urine
; 34 gr. 10 de résidu fixe; 8 gr. 25 d'urée; 1 gr.
e sommeil dure 4 jours et s'étend du 29 juin au 3 juillet 1888. Les
urines
ne peuvent être recueillies, car, ainsi qu'il a
60 le jour du début de l'attaque de sommeil, les analyses donnent :
urine
750 centimètres cubes ; résidu fixe 20 gr. 60;
74, alors que la veille, malgré les vomissements, elles donnaient :
urine
870 centimètres cubes; résidu fixe 29 gr. 62; u
iminue rapidement en même temps que l'on constate par l'analyse des
urines
une constante diminution qualitative et quanti-
régulièrement, 2 ou 3 jours avant le réveil, on voit le volume de l'
urine
, le poids de l'urée se relever progressivement
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPêTRIèRE. corps, la diminution de l'
urine
et l'abaissement du taux de l'urée, l'attaque d
ndant cette période, elle a excrété en moyenne, par jour, 655 gr. d'
urine
; 39 gr. de résidu fixe; 19 gr. d'urée; lgr.GO d'a
eprises, on note, comme précédemment, un abaissement du volume de l'
urine
, du taux I.'IG. 79. - Biz. 17 ans. Etat de mal
et des phosphates. En effet, à l'état normal, excrète 1,100 c. c. d'
urine
, 44gr.50 de résidu fixe pour 1,000, 18 r.10 d'u
. Pendant son som- meil, elle excrète en moyenne par jour 800 gr. d'
urine
, 30 gr. de résidu fixe, 10 gr. d'urée, 1 gr.10
te en effet, dès le début de l'état de mal, la chute du volume de l'
urine
et de l'urée (et aussi du résidu fixe et des ph
états de mal, en se fondant sur le tracé fourni par le volume de l'
urine
et le taux de l'urée, prévoir la durée de l'éta
s chi- miques. On y observe, en effet, l'abaissement du volume de l'
urine
, du taux du résidu fixe, de l'urée et des phosp
l l'objection qu'on pourrait tirer de la présence possible dans les
urines
des produits excrémentiels azotés inférieurs, s
conclusions sont exactes. L'urée on le sait, est accompagnée dans l'
urine
à l'état normal par d'autres produits également
ement faibles que pour les déceler il faut opérer sur des volumes d'
urine
considérables. Pour tous nos dosages d'urée, no
rtains cas, on peut retrouver ce syndrome presque en entier..., les
urines
sont surchargées de matières extractives, parfo
vembre. T. (R ? ) 11T.89 ? 1; S. 38°,2. Pouls, 160. Respir. ( ? )
Urine
, 2 lit. 150. Urée, 16 gr. 80 par vingt-quatre h
0 par vingt-quatre heures. - · 7 grammes par litre. 2 novembre. -
Urine
, '1,200 c. ,c., épaisse. Urée, 5 gr. 25 par lit
orique, 0 gr. 420 par litre. T(R. ? )M.38°; S. 38°. 4 décembre. -
Urine
, 2 litres; claire. Urée, 2 gr. 50 par litre.
NOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. A l'inverse de ce qui existe dans les
urines
fébriles, le spectroscope ne donne pour l'urobi
toutefois présenter aucune trace de desquama- tion. - Examen des
urines
. 8 BERTOLOTTI ticularités intéressantes et qu
t sans connaissance, ronfle, sa figure est cyanosée. Incontinence d'
urine
. Le mem- bre inférieur droit est en état de par
ant, il se tenait tout il fait droit. Il n'eut jamais de troubles d'
urines
; toujours constipé Jamais sérieusement malade.
sacrum principalement). A la fin d'avril, début d'incontinence de l'
urine
. Constipation habituelle. Depuis le mois de mai,
Depuis une semaine, la malade souffre d'une rétention complète de l'
urine
. Depuis 3 semaines il y a constipation (la mala
s retenir, la même chose pendant le toucher rectal). Rétention de l'
urine
. Les sphincters externe et interne de l'anus sont
e des matières fécales. Depuis une semaine, rétention complète de l'
urine
. Depuis 3 semaines, affaiblissement du membre in-
che. Rétention et incontinence des matières fécales, rétention de l'
urine
. Réflexe du sphincter anal aboli. Se basant s
. Depuis quelques semaines, troubles urinaires minimes (rétention d'
urine
de faible degré). Du côté du rectum pas de trou
s crémastériens sont abolis. Vessie et rectum : incontinence de l'
urine
et des matières fécales à un faible degré, esca
es inférieurs, des vertèbres, dou- leurs en ceinture, rétention des
urines
, paralysie, affaiblissement ou abolition des ré
s altérations du côté des sphinc- ters, n'ayant jamais perdu ni ses
urines
ni ses matières (1). Etat actuel de Marguerite.
muscles sphinctériens paraît assez bien conservée ; à l'examen des
urines
, on n'a pu relever rien de pathologique. Les fo
est assez bien conservée. Rien de patho- logique dans l'analyse des
urines
. Les fonctions organiques chez Elisabeth sont t
isté pendant un an ; on notait 25 à 30 grammes de sucre par litre d'
urine
. 136 MARCHAND L'affection actuelle a débuté i
telligence était intacte. Pendant toute la durée des accidents, les
urines
ne contenaient ni sucre, ni albumine. Dix jours
es troubles de la mémoire des mots et des troubles de l'écriture. L'
urine
examinée régulièrement tous les quinze jours ne c
ut plus avaler les aliments. Le poids du corps est de 65 kilos. Les
urines
contiennent du sucre. Les jours suivants, on ue
les murs. 21. M. A. est plus calme ; l'anxiété est moins vive. Les
urines
ne con- tiennent plus de sucre. Le traitement i
tement ioduré est repris et est continué jusqu'au 20 juin. 5. Les
urines
contiennent 22 grammes de sucre par litre. Total
poids du corps est de 66 kilos. 4 juillet. - Même état mental. Les
urines
ne contiennent plus de sucre. Le traitement iod
. A. s'alimente mieux. Suspension du traitement ioduré. 9 août. Les
urines
ne contiennent pas de sucre. Le poids du corps es
ont les mêmes que ceux observés à l'entrée du malade à l'asile. Les
urines
ne contiennent pas de sucre. Le poids du corps es
Pendant toute la durée de ces accidents, absence de sucre dans les
urines
. Dans la suite, disparition des troubles paralyti
extension du gros orteil, phénomène de Babinski ? ). Rétention de l'
urine
et des matières fécales. A la palpation on cons
T. = 38°5. L'examen du sang démontre 14,160 leucocytes. Rétention d'
urine
. Dans l'urine pas de sucre, pas d'albumine. L
xamen du sang démontre 14,160 leucocytes. Rétention d'urine. Dans l'
urine
pas de sucre, pas d'albumine. La malade est mor
Plantaire très faible (du côté droit Babinski ? ). Ré- tention de l'
urine
et des matières fécales. La sensibilité est aboli
oir les jambes. Eu même temps il s'est produit une réten- tion de l'
urine
(cathétérisme). Le jour suivant, incontinence de
tion de l'urine (cathétérisme). Le jour suivant, incontinence de l'
urine
. Jusqu'aujourd'hui l'urine s'élimine par goutte
sme). Le jour suivant, incontinence de l'urine. Jusqu'aujourd'hui l'
urine
s'élimine par gouttes. Le malade n'a pas eu d'aut
pied et au genou. 17 juin. On a remarqué aujourd'hui du sang dans l'
urine
(lavages de la vessie). 19 juin. - Le réflexe
t de douleurs dans la région lom- baire. Affaiblissement général. L'
urine
est un peu plus claire. Incontinence d'urine. L
iblissement général. L'urine est un peu plus claire. Incontinence d'
urine
. Le malade parle à voix basse, enrouée. Pendant l
veau des dernières côtes gauches. Quelques jours après, rétention d'
urine
qui fait place à une difficulté d'uriner, à un
e. 6 septembre. - Fortes douleurs du dos et de la tète. Rétention d'
urine
. Fièvre. Rien aux poumons. 8 septembre. - Mou
eils. 17 septembre. - Douleurs du cou et de la tête. Rétention de l'
urine
et des matières fécales. Fièvre. 2'l. Les mou
elle sent les piqûres sur les jambes et les pieds.Incontinence de l'
urine
et des matières fécales. La malade est morte
Réflexes tendineux des membres inférieurs plus vifs. Rétention de l'
urine
el des matières fécales. Enfin il survient une
astication, douleurs des mains, démarche incertaine, incontinence d'
urine
, ophtalmoplégie externe, excitabilité électrique
bêtasse et mauvaise tête ; il n'y a pas plus de trente mois qu'il n'
urine
plus au lit. Normal jusqu'à trois ans, il devint
érieurs; actuellement, dit la mère, il marche, apprend à lire, mais
urine
au lit. Les deux derniers enfants, dont l'un a tr
toutes les espèces de sensibilité. Examens particuliers. Examen des
urines
et du sang : rien de remar- quable. Examen op
elle tend un peu à la démarche du canard. Examens particuliers des
urines
et du sang. -Rien de remarquable. Examen radiog
diverses espèces de sensibilité. Examens particuliers. Examens des
urines
et du sang, rien de particu- lier. Examen oph
st très voilé. Foie, rate : rien à mentionner. Reins : examen des
urines
, rien qui soit digne d'être mis en un relief part
énitales : cicatrices de date récente du sillon glando-prépu- tial.
Urines
ne contenant ni albumine, ni sucre. Poids 59 kil.
quelques semaines, affaiblissement des jambes. Enfin, depuis peu, l'
urine
s'élimine plus souvent que normalement et quelq
plaint de contractions involontaires des jambes pendant la nuit. Il
urine
plus souvent et par gouttes. Constipation. 27
sensi- bilité thermique y est abolie ou troublée. Constipation. Il
urine
avec difficulté. Les douleurs dans la région lo
Krajevski nous avons décidé l'opération. 2 décembre. Rétention de l'
urine
(cathétérisme). 3. Opération (Dr Krajevski) : A
un ou deux travers de doigt au-dessus de l'ombilic. Rétention de l'
urine
et des matières fécales. Douleurs dans les vert
Dès les premiers moments de la maladie, on trouve de la rétention d'
urine
. Dans l'anamnèse personnelle et celle des antéc
e s'apperçoit pour la première fois qu'elle retient avec difficulté l'
urine
; bientôt après est apparue la difficulté d'uri
des pau- mons et du coeur ne décèle rien de pathologique. La malade
urine
avec diffi- culté, la constipation est persista
malade urine avec diffi- culté, la constipation est persistante. L'
urine
est normale. Thérapie : mas- sagè, bains salins
membres inférieurs. La paralysie et les réflexes comme au début. L'
urine
s'élimine par petites quan- tités, la constipat
nski bilatéral. Les abdo- minaux sont abolis. Légère retention de l'
urine
; constipation. Douleurs en ceinture dans le ba
ent encore l'abduction de tous les orteils. Rétention complète de l'
urine
et des ma- tières fécales. ' 20 juin. - Pouls
La température élevée. Le pouls est bon. La para- plégie flasque. L'
urine
ne s'élimine pas. Constipation. il juin. Pouls
é hier le pansement. La plaie élimine un peu de sérosité. Fièvre. L'
urine
ne s'élimine qu'à l'aide de la snnde. OEdème des
juin. - Etat fiévreux. Pouls petit. OEdème des membres. Rétention d'
urine
. 25 juin. Etat fiévreux. Pouls petit, accéléré.
a duré quelques heures. 5 août. Hier il y avait l'incontinence de l'
urine
avec anesthésie de l'urèthre. 16. L'incontine
de l'urine avec anesthésie de l'urèthre. 16. L'incontinence de l'
urine
a cessé. Etat identique. 22. -La fonction de l'
mbres inférieurs et de la partie inférieure de l'abdomen. La malade
urine
difficilement. Constipation. 9 décembre. De f
Aujourd'hui, engourdissement et crampes des jambes. Constipation. L'
urine
vient diffi- cilement. - 4. Cette nuit fortes
est conservé, le gauche et tous les autres abdominaux abolis. Elle
urine
difficilement. Constipation. Les troubles sensiti
2. T. 37°. Phénomènes spastiques considérables. L'incontinence de l'
urine
et des matières fécales. Pouls 108. La plaie est
, pas de granulations. 45. - T. 37°4. Pouls, 112. Incontinence de l'
urine
et des matières fécales. De très fortes contrac
ments après chaque repas. Incontinence des matières fécales et de l'
urine
avec anesthésie. La paraplégie est devenue fias
s sont surtout fortes la nuit. Incontinence, ensuite rétention de l'
urine
. La paraplégie est complète. La tonicité musculai
aud. Fonction urinaire normale. Constipation. 15. Incontinence de l'
urine
(la nuit). Les douleurs sont les mêmes. La sens
t dans les jambes. 24. Douleurs brûlantes aux mains. Rétention de l'
urine
et des matières fécales, 26. Pas de douleurs.
ie complète des jambes et des régions du coude. Incon- tinence de l'
urine
. Paralysie complète des jambes avec abolition des
patellaires et anesthésie jusqu'à la IVe côte. Escarre. Rétention d'
urine
et de matières fécales. Le malade est mort trois
che droite. Pendant un certain temps la malade éliminait beaucoup d'
urine
(normale). Le diagnostic fut posé de syphilis c
gie spasmodique avec trou- bles de la sensibilité et incontinence d'
urine
. Il peut marcher étant soutenu. Durée de la mal
s également, il y a, après la miction, sortie de quelques gouttes d'
urine
dont elle ne sent pas le passage Mui 28 418 8
sible à doser du reste.Depuis quelques an- nées, une incontinence d'
urine
est apparue, qui s'est accusée considérable- me
uvements du membre supérieur droit un peu affaiblis. Rétention de l'
urine
. Incontinence des matières fécales. Sensibilité
ominaux manquent. Phénomène de Babitislii bilatéral. Rétention de l'
urine
et des matières fécales. La sensibilité est notab
tions spontanées des jambes. Rétention, parfois incon- tinence de l'
urine
. Pas de douleurs. On pose comme diagnostic prob
compte du besoin de défécation. Le 15 août 1909, incontinence de l'
urine
. Impossibilité d'avaler la nourri- ture solide
ntanées des jambes. Phénomène de Babinski bilatéral. Rétension de l'
urine
et des matières fécales. Cet état s'aggrava de
roubles des sphincters (besoin d'uriner son vent, incontinence de l'
urine
, ischurie paradoxale, incontinence des matières
sont intactes. Examen électrique. - Rien d'anormal. Examen des
urines
. Quantité : 450 grammes (urines de la nuit et du
rique. - Rien d'anormal. Examen des urines. Quantité : 450 grammes (
urines
de la nuit et du matin). - Couleur : jaune cl
taite et prompte. Examen électrique. Rien d'anormal. Examen des
urines
. - Quantité ! 350 gr. Couleur jaune paille. Aspec
donne un résultat absolument négatif pour la syphilis. Examen des
urines
. - Quantité : 400 grammes. Couleur : jaune paille
également, le premier jour après l'opé- ration, une amélioration (l'
urine
s'évacuait normalement, sensibilité tac- tile e
, caractérisés par des mictions impérieuses et parfois la perte des
urines
. L'autopsie et les coupes macroscopiques ont mo
vie végétative sont parfaites chez nos deux nains. Les examens des
urines
et du sang nous ont permis de mettre en relief
fication digne de mention de la formule cylologique. L'examen des
urines
nous a donné chez les deux une abondance re- de
deux aînés, à 15 et 12 ans, ont encore parfois de l'incontinence d'
urine
. Enfin une soeur, plus jeune, n'avait que deux de
n'est pas douteux, passent la nuit dans leurs déjections, ou dans l'
urine
; mais n'en est-il pas de même avec les matelas
e, cependant, que nos malades sont moins mouillées, une partie de l'
urine
filtrant dans la paille. après avoir traversé l
déséquilibration mentale, à son âge avancé, à la présence dans son
urine
, d'une faible quantité de sucre et de traces d'al
NTALE. 49 surlout chez les myopes courbés sur les vases de sulfure;
urine
pâle, peu dense, d'odeur douceâtre. Rien dans l
droits, Le pouls était faible, mal- aisé à trouver, dépressible ; l'
urine
était normale. La pigmentation cutanée présenta
s doses faibles sont mal tolérées;. il est même sage d'examiner l'
urine
au moins une fois pendant le cours du traitement.
de 11. Marie, : \1. Ballet ajoute que malgré la ré- duction par les
urines
de la liqueur de Fehhng dans le chloralisme aig
'acide urique. Le rapport de la totalité de l'azote contenue dans l'
urine
à la quantité d'azote de l'urée (coefficient de
plus ou moins marquée. Le rapport de la totalité de l'azote de l'
urine
à la quantité d'acide phosphorique est augmenté
l n'eut jamais, alors qu'il était enfant, d'incontinence nocturne d'
urine
: il n'en a jamais eu plus tard. A dix-sept a
ins d'uriner devenant plus impérieux et plus fréquents, le jet de l'
urine
devenant de plus en plus filiforme, le malade c
s amènent quelques sensations douloureuses, un peu de sang dans les
urines
, mais rendent au jet son calibre normal. Dans u
constate une large traînée érythémateuse due à l'écoulement de l'
urine
. Rien de particulier à signaler à la face. Pas
re assez vivement son pantalon ou sauter assez vite de son lit et l'
urine
part en jet dans ses culottes ou dans les draps
trois fois de suite à quelques minutes d'intervalle, la quantité d'
urine
rejetée est alors évidemment de moins en moins
conditions que nous avons fait recueillir au malade la totalité des
urines
émises en vingt-quatre heures. La quantité ains
illes de la Tourette. Dans l'enfance, pas d'incontinence nocturne d'
urine
, plus tard, aucune lésion suffisante des organe
Elle est mo- deste tout d'abord en quantité, et le volume total des
urines
émises en vingt-quatre heures n'excède pas quat
queuse enflammée devient hyperexcitable ; au moindre con- tact de l'
urine
, la douleur apparaît et avec elle, la nécessité
êmes causes produisant les mêmes effets, chaque nouvelle quantité d'
urine
sécrétée viendra de nouveau mettre en jeu l'arc
. Il se sépare du second par l'intégrité des voies d'excrétion de l'
urine
et l'absence de lésions vésicales douloureuses.
seulement quelques détails. Le 18 décembre, la quantité totale des
urines
émises en vingt- quatre heures est de 3 400 cen
t est institué : le malade, frappé par la coloration étrange de ses
urines
, voit leur taux diminuer progressivement à partir
supposition suggestive, le malade voit en réalité le volume de ses
urines
monter de 2 litres à 3100, puis à 5, 6, 8 litre
étaient nécessaires pour la calmer. En même temps, la densité de l'
urine
diminuait, le taux des chlorures s'élevait, l'u
te et fraîche et n'a jamais témoigné de la moindre dénutrition. Les
urines
recueillies à plusieurs reprises, avant toute e
e repère. Revenue à l'état normal, elle ignore la sug- gestion. Les
urines
sont recueillies au sur et à mesure de leur exc
ssons persister la suggestion sans la renou- veler. Les quantités d'
urine
sont successivement de 2 750, 2 250, 500 centim
habituée qu'elle est à des chiffres plus modestes. Un échantillon d'
urine
a été prélevé le dernier jour sur le volume tot
exécuté. La malade qui avait pissé plus de 5 litres la veille, n'
urine
plus que 8DO centimètres cubes, durant les vingt-
goisse est à son paroxysme, les efforts deviennent impuissants et l'
urine
coule le long de ses jambes. Elle s'arrête alor
même dans le bocal qui lui servait à recueillir la totalité de ses
urines
. Nous avons cherché à savoir si ces phénomènes
mine, des cellules épithéliales et des leucocytes que con- tenait l'
urine
: ces éléments anormaux sont imputables à des c
agités de secousses cloniques. Le malade se mord la langue, mais n'
urine
jamais sous lui. Le lendemain, le malade se rév
SKY (20 mai). A. M. XXIX. Compte rendu préliminaire de l'examen des
urines
chez les aliénés, avec le compte rendu de 202 c
dus était en général au-dessous de la normale. L'urée, comme dans l'
urine
normale, variait avec la densité, mais son taux
sations assez peu caractéristiques. Dans ces cas l'inconti- nence d'
urine
a une grande valeur séméiologique, et ce symptôme
ment d'un signe probant de l'épilepsie. Dans ces cas, l'examen de l'
urine
révéla dans le liquide la présence de spermatoz
venait à surgir, il serait nécessaire d'examiner quotidiennement l'
urine
à l'aide du microscope et de rechercher avec so
'agissait là que d'un diabète hydrurique : les huit ou dix litres d'
urine
émis quoti- diennement par le malade ne renferm
s convulsions localisées ; 8 des accidents non convulsifs. Pour l'
urine
: sur 42 lapins : 3 ont eu de la grande épilepsie
bilation de la conscience, symp- tômes vaso-moteurs, incontinence d'
urine
et parfois encore quel- ques contractions toniq
crises du début étaient courtes, sans cri initial, sans émission d'
urine
; mais avec chute, morsure de la langue, perte
rte de connais- sance, morsure delà langue, émission involontaire d'
urine
et quel- quefois de matières fécales, écume san
uls un peu tendu. Em- physème pulmonaire. Appareil digestif normal.
Urines
: élimination moyenne, ni sucre, ni albumine.
III, 1899.) LUI. Sur l'élimination des éthers sulfuriques dans les
urines
des épileptiques et des sitiophobes; par Galant
ge de l'absorption du mercure, selon la quantité de ce métal dans l'
urine
, et plus il y a de mercure dans l'urine, plus i
quantité de ce métal dans l'urine, et plus il y a de mercure dans l'
urine
, plus il est absorbé par l'organisme et par là,
- naison et si dans le fait, la quantité du mercure ioduré dans l'
urine
peut servir de mesure de la saturation de l'organ
'eux, en outre, des préparations iodurées. Après avoir analysé leur
urine
, nous trouverons chez l'in- dividu, qui n'a pas
préparations iodurées, une quantité de mercure bien moindre dans l'
urine
, que chez l'autre. N'avons-nous pas le droit, d
sparaissent et le mercure se dégage de nouveau de l'organisme par l'
urine
, par la sueur, par la salive et par toutes les
tant qu'on peut en juger, par la quantité du mercure, dégagé par l'
urine
, chez le même indi- vidu. Mais il n'y a rien à
ue les bains activent le dégagement du mercure de l'organisme par l'
urine
et par la sueur et, par suite, se dégageant moi
et, faisons à l'autre des injections sous-cutanées. L'analyse de l'
urine
du second donnera une quantité beaucoup plus gr
out après les repas. Le mercure commence d'abord à se dégager par l'
urine
en quan- tité plus grande, que pendant les fric
ion de l'organe sexuel, une cer- taine lenteur de l'évacuation de l'
urine
, exigeant certains MALADIES NERVEUSES A L'HÔPIT
ction, le malade sent une certaine excitation : il lui semble qu'il
urine
, qu'il marche mieux, mais une fois l'action exc
des douleurs lancinantes, la démarche devenait un peu plus sûre, l'
urine
se dégageait avec moins d'effort, etc. A mesure
ions vésicales et intestinales (incontinence fécale, et rétention d'
urine
) ; (3) paraplégie douloureuse ; (4) douleur loc
amène des convulsions (face grimaçante, langue mordue, émission d'
urine
) ne produirait-elle pas l'amnésie par le même pro
à un médicament d'une puissance considérable; avant une heure, les
urines
seront devenues bleues et elle sera guérie. Je
u de méthylène; quarante minutes après l'ingestion de la pilule les
urines
deviennent bleues, en effet ; à partir de ce mo-
été relevé aucun cas analogue chez les ascendants. R. C. XLIII. L'
urine
dans l'épilepsie ; par A. M. BLEILE. (The New Yor
Médical Journal, 8 mai 1897.) Ce travail porte sur l'examen de l'
urine
de douze malades pen- dant trente jours : on a
n sens ni dans un autre, ni le poids spécifique ni la quantité de l'
urine
émise. L'excrétion des phosphates urinaires est
fait vient à l'appui de la théorie de l'auto-intoxication, que les
urines
des épileptiques, possèdent une toxicité supérieu
conservée. Ten- dance au sommeil. Les réponses lentes et brèves. L'
urine
foncée, émission fréquentepar de très petites q
n prononce le diagnostic de l'urémie. A l'examen microscopique de l'
urine
on trouve des cellules épithéliales, des globul
ttente et à des intervalles très irréguliers, de l'incontinence des
urines
et des matières. La constatation de la parésie
au suicide. M. BIiRILLON. - Un jeune homme atteint d'incontinence d'
urine
venait d'être reçu à l'Ecole navale. Très affec
on dans certaines formes il ? par Voisin, 54. Aliénés. Examen des
urines
chez les -, par Klein, 23H. La nouvelle loi s
e, par Luntz, 445. - d'ori- gille périphérique, par Ellsall. 521.
Urine
dans Il , par Bleile, 522. Surmenage oculau et
s -, par Ducosté, 237. Les - 272. Elimination des éthers dans les
urines
des -, par Ga- laute et Savini, 312. Manière de
S 1TI0PIIOBr.S sur l'élimination des éthers sulfuriques dans les
urines
(les épileptiques et des -, par Galante et Sa
(lues) ; légère exostose du tibia droit. Les organes internes et l'
urine
ne présentent rien de pathologique. Réflexes te
ses et des hémoptysies, des troubles urinaires passagers, rétention d'
urine
nécessitant des sondages répétés. Localement, o
.. a présenté jusqu'à l'âge de 10 ans une incontinence noc- turne d'
urine
. B..., à l'âge de 19 ans, après une chute sur le
la description que sa mère nous donne, parfois même avec émission d'
urine
. Lui-même ne se rappelle de rien, sauf cependan
e. Outre ces accès, il présente des accès atypiques avec émission d'
urine
parfois. Etat actuel. Anesthésie de la cornée,
s maladies comme la migraine, l'émission involontaire et nocturne d'
urine
, etc., etc, dans des cas où il arrive que les é
Aucun trouble de motililé électrique. Ni albumine ni sucre dans l'
urine
. Aucun antécédent pathologique. - - Le malade a
ayant eu aucune infection antérieure, sans sucre ni albumine dans l'
urine
, fils de parents actuellement encore très bien
s ne nous ont per- mis aucune analyse chimique des humeurs, sang ou
urine
, ni même aucune radiographie. Toutefois les ano
Le symptôme culminant que l'on apprécie est la polyurie. Le malade
urine
avec fréquence, à peu près chaque trois quarts
t le jour comme pendant la nuit; très souvent, s'il est endormi, il
urine
dans le lit. Il a une soif énorme, buvant avec
ec fréquence deux ou trois verres chaque fois. Voici l'analyse de l'
urine
: Nouvelle Iconographie de la Salpetrièrk T. XX
; au bout de ce temps il se trouve dansée même état : la quantité d'
urine
a tendance à augmenter (8-9 litres en 24 heures
yse produisit une rapide et progressive diminution de la quantité d'
urine
, avec augmentation de la densité, l'urine deven
minution de la quantité d'urine, avec augmentation de la densité, l'
urine
devenant, en 15 jours environ, complète- ment n
he, sans pres- sion. Très rares lymphocytes. Pas de polynucléaires.
Urines
: 750. 5. Peut légèrement serrer avec la main.
ec la main. Peut tourner la tête. T. vers 37°, Langue blanche. 6.
Urine
: 1.250 ; pas d'albumine. 7. Très légers mouvem
t à 9 heures. T. : 37°3. Céphalée violente. 19 heures. T. : 37°2.
Urines
: 5,50. Pas de glycosurie. Pas d'acide (3 oxybu-
conservé. L'élévation des bras se fait normalemeut. Pollakyurie;
urines
troubles avec dépôt floconneux. Le malade accus
c dépôt floconneux. Le malade accuse une très grande fatigue. 26.
Urines
rares, troubles. Constipation. Le malade soulèv
ulaire ; pas de contractions fasciculaires. Respiration facile.
Urines
rares, 500 centimètres cubes. Dysurie. Relâchemen
l. Etat saburral des voies digestives. Haleine forte. Rétention d'
urine
, le globe vésical atteint presque l'ombilic. Cath
droit; trépidation du pied presque indéfinie à gauche. Le malade
urine
spontanément. La force musculaire paraît intact
pied droit moindre. Réflexe rotulien se rapproche de la normale.
Urines
avec flocons muqueux, couleur acajou clair. 20.
de la céphalée, a un vomissement alimentaire, dort mal, rétention d'
urine
, tempé- rature. 31. Au matin, disparition des
iolente. Le malade, en adynamie profonde, est coulé dans son lit.
Urines
1.600 centimètres cubes, louche d'albumine non ré
égal, assez bien frappé. Epistaxis. Constipation. 6. Epistaxis.
Urine
: 2.200 grammes, teinte.rouge, hémophéiques. Un
Liquide normal et sans pression. 7. La céphalée parait diminuée.
Urines
: 1.500 centimètres cubes. Pigments biliaires. Un
argée. Fétidité de l'haleine. N'a pas été à la selle depuis le 5.
Urine
: 1.200 grammes, foncée, de teinte presque normal
ps (Il est examiné à droite seulement). Pas de signe de Kernig. 10.
Urine
: 1.200 grammes, Plus d'albumine. MYÉLITES AIGU
énéral. Pas de signe.de Kernig. 11, - Amélioration très sensible.
Urines
de coloration normale : 1.500 grammes. Persistanc
ite quantité de pigment biliaire. Pas de signe de Kernig. , 12.
Urines
: 2.750 grammes environ. 14. - Léger épistaxis.
ère exagération des réflexes des genoux. Sensibilités normales. 13.
Urines
couleur normale. Sueurs. 20. Douleur dans les t
Du côté de la motilité viscérale, nous avons observé la rétention d'
urine
dans l'observation III. Au 4° jour, jour de l'ent
pas agrandi. On ne peut découvrir la rate par la palpation. Dans l'
urine
, pas d'albumine, pas de substance réductive. 29
cutanées aux plantes des pieds ont augmenté. Pas d'albumine dans l'
urine
. L'examen du rectum a donné un résultat uégatif.
'ont donné aucun résultat pathologique. 24. - Pas d'albumine dans l'
urine
. 27. - On trouve, en faisant l'examen par le re
de somnolence. Pouls 120. Trace d'albumine. Pas de cylindres dans l'
urine
. 14. Pas de symptômes pathologiques du côté des
is il se plaint de douleurs fortes. 16. - En faisant l'analyse de l'
urine
pour un jour, nous trouvons une quantité de mer
hilitique sur les plantes des pieds est maintenant diminuée. Dans l'
urine
, trace d'albumine et quelques cylindres hyalins.
URIELLE 229 24 : . Réflexes rotuliens et achilléens faibles. Dans l'
urine
, 1,5 0/00 d'albumine, quelques cylindres hyalin
00 d'albumine, quelques cylindres hyalins. - 26. - Depuis hier, l'
urine
et les excréments salissent ie lit. Il a passé le
é d'albumine souvent grande, tandis que les éléments organisés de l'
urine
ne sont que peu développés ; il est surtout rem
éterminer, et comme on a aussi établi la présence de mercure dans l'
urine
, on ne peut mettre en doute qu'il s'agisse d'un
lles. La présence d'une e quantité considérable de mercure dans les
urines
est plus tard constatée parles auteurs. Il y av
stomatite intense, une quantité consi- dérable d'albumine dans les
urines
et d'ailleurs le tableau clinique d'une poly- n
xamens complémentaires. Réaction de Wasserman, négative. Examen des
urines
, rien de remarquable. Examen du sang, rien de r
qui aimaient la propreté lâchent sous eux leurs excréments et leur
urine
(p. 339). 1 (1) F.-B. de Sauvages, Nosologie mé
faciale à gauche. Déviation de la bouche perceptible. Rétention des
urines
. On lui mit de la glace à la tête et des sangsu
-Rocci et avec une large manchette) 165 millimètres mercure. Dans l'
urine
on trouve des traces d'albumine avec des fragment
s symptômes d'hyper- trophie du coeur ainsi que d'albumine dans les
urines
, l'état de la malade a été interprété comme uré
pendant elle est toujours apathique et som- nolente. Incontinence d'
urine
pendant la nuit. - 23 novembre soir. La tempéra
, la pression un peu élevée du sang, ainsi que la présence dans les
urines
d'albumine avec un certain nombre de cylindres
ure de la maladie l'indiquaient aussi. L'étude plus approfondie des
urines
fut rendue impossible durant la plus grande par
a température : 36°8. Le pouls : 64, irrégulier. In- continence des
urines
. Le patient a une ridigité générale des muscles
symptômes urinaires bien nets : ni poliakyurie, ni polyu- rie ; les
urines
examinées au point de vue chimique (qualitatif et
ssité un sondage régulier deux fois par jour. Depuis trois mois, il
urine
seul. Il faut ajouter que ces troubles étaient an
ient. Il avait en même temps des maux de tête, et il aurait vomi et
urine
du sang pendant les trois ou quatre premiers jo
emble-t-il, ni plaies ni ecchymoses. Il aurait eu de la rétention d'
urine
pendant 30 heures ; mais on ne l'aurait pas son
le sexe mâle et le sexe femelle. Vous n'avez qu'à me montrer votre
urine
; j'aurai tôt fait de voir ce qui s'est passé dans
l était sim¬plement survenu delà gêne pour uriner, et l'émission de l'
urine
s'effectuait par plusieurs jets, comme au travers
; il y avait des hémorrhagies sous l'influence des mêmes causes, et l'
urine
sortait par plusieurs fissures à la fois. Des ten
a miction malgré cet énorme champignon qui embrasse toute la verge. L'
urine
s'é¬coule par un grand nombre de points à la fois
étaient durs, comme fibreux, et laissaient échapper continuellement l'
urine
. La malade, préparée pendant plusieurs jours par
trouva complètement oblitérée et que, depuis, pas une seule goutte d'
urine
n'a passé parle vagin. Une sonde spéciale et très
fetas gommé fut placée entre les jambes de la malade, pour recevoir l'
urine
qui s'écoulait goutte à goutte par la sonde. Le q
e plaignit d'une sensation de déchirure dans l'urèthre et évacua de l'
urine
en abondance. Le troisième prisonnier était toujo
50 grammes. plus régulière ; les convulsions diminuent. L'animal
urine
. — 10M5-55: les convulsions persistent. Le cochon
longées. Bientôt il cherche à se relever sur les pattes de devant. Il
urine
deux fois à un court intervalle. Pas de selles, n
e. Sensibilité conservée depuis le début; les poils tremblent encore.
Urine
de nouveau. — Midi et demi à 1 heure : selle soli
ère; parésie du train postérieur. — 10h25: convulsions généralisées ;
urines
abon¬dantes, blanchâtres ;jetage ; l'animal se ti
e tient couché sur les quatre pattes; oreilles fraîches. — 10h25-50 :
urines
peu abondantes, selle dure. Tremblement général,
on d'atropine. — 6M5 : Faiblesse et tremblement du train postérieur ;
urine
à deux reprises. — 6h20-40 : les symptômes augmen
symptômes augmentent. —6H0-7 heures: mieux ; démarche chancelante.
Urine
laiteuse assez abondante. — Neuf heures : remis t
blit progressivement; la démarche devient plus assurée. Ni selles, ni
urines
. — Midi : par¬faitement rétabli. 20 avril. Inje
solution de fève de Calabar (16 milligr.) à 9h45. — 9h50-55 : selles,
urines
; tremblement léger; parésie très-nette du train
...... Alcool.......... 0*',60 20 grammes. 10 — côté. Selles,
urines
. —10b5: mieux. Se promène plus facilement. — On
ombe et les convulsions deviennent plus énergiques. — Ni selles, ni
urines
, ni salivation, etc. — 10M5 : amendement des acci
on de 60 gouttes de la solution de fève.—5hl 2 : convulsions; selles,
urines
.—5M5 : convulsions générales; l'animal tombe sur
uche ; efforts de déglutition ; bruit laryngien. — 5h40 : salivation;
urine
en petite quantité; convulsions presque nulles. R
grosses, résistantes; reins médiocrement hypérémiés; vessie, un peu d'
urine
, muqueuse normale. — Cette expérience confirme pa
ussitôt de 40 gouttes de solution d'atropine. —10l,15 : selles, bave,
urine
(il convient sans doute d'attribuer ces phéno¬mèn
h5 : convulsions ; décubitus abdominal ; selles solides. — 6h 10-20 :
urine
un peu, convulsions généralisées, rapides plutôt
: toujours couché sur le ventre, la tête portant sur le sol ; selles,
urines
. — 6h45 -.même état grave, toutefois les convulsi
jection de 70 gouttes de la même solution de fève de Calabar. —5h25 :
urine
; inquiétude; tremblement; fai¬blesse du train pos
s pattes du côté gauche et s'incline fortement à droite. Aggravation.
Urine
. — Minuit : il est tombé dans une sorte d'immobil
urinaires : reins très-peu congestionnés ; vessie distendue par de l'
urine
blanchâtre qui, traitée par la chaleur, s'est pri
t. Le corps de l'utérus est incliné un peu en arrière. L'examen des
urines
ne fait découvrir la présence d'aucun élément ano
lante et son pouls bat 100 pulsations. — Les réactifs décèlent dans l'
urine
une petite quantité d'albumine. Les jours suiva
s en urinant, et une sonde introduite dans la vessie fait sortir de l'
urine
purulente. Quatre jours après, le 8 mai, elle meu
rsistent; de plus, Mén. .a des selles diarrhèiques involontaires et
urine
sous elle, ce qui ne lui arrive pas ordinairement
travers du doigt le rebord inférieur des fausses côtes. L'examen des
urines
, d'abord négatif, ne permit de constater des trac
roite. la malade n'ayant jamais eu de coliques néphrétiques, et ses
urines
ne renfermant au début que quelques traces d'albu
re d'épaisseur. Dans ce fait, comme dans le précédent, l'examen des
urines
avait été complètement négatif, car au moment où
purulent. Cette absence de renseignements résultant de l'examen des
urines
, dans les cas de calculs rénaux, peut paraître ex
de l'uretère du côté malade, et que celui du côté sain seul conduit l'
urine
dans la vessie ? Ce qui, pour nous, rend cette hy
coliques néphrétiques et les renseigne¬ments fournis par l'examen des
urines
: nous venons de voir que ces symptômes peuvent ma
roubles du même genre dans l'émission et même dans la sécrétion des
urines
, etc. L'ischurie hystérique est l'un des plus i
ires 9,4 p. 100; formes éosinophyles 0,5 p. 100. On constate dans l'
urine
une certaine augmentation d'urée (41, 8 gr.) et
ces et les saillies de ces os sont aug- mentées. Légère rétention d'
urine
, affaiblissement de l'énergie sexuelle et const
, pustules malignes, 1841 ; Mémoire sur divers cas de réten- tion d'
urine
, 1841; - Mémoire sur divers cas de fractures, 181
-18 de 79 pages. - Bahia, 1892 - Imprenza popular. CHlAïs (F.). -
Urines
et nutrition. Variations quantitatives des élém
e diagnostic de' folié paralytique, ai moins d'examens répétés de l'
urine
. J. SÉGLAS. ,¡;>fHj¡A .8 vst, ¡ ,U ? l1dO Ji
ande h'ystrie. ¡Il a constaté d'autre part les modifica- tions de l'
urine
décrites par MM. Gilles de la Tournette et Cathel
était' mauvais,'la température' élevée, l'albumine abondante'dans l'
urine
.' Quand la malade n'était pas plongée dans lé c
stic. Foie et rate moins engorgés. Fonctions digestives normales.
Urines
normales. Examen du sang : hémoglobine 0,65. Plas
t surtout par le rein, SOCIÉTÉS savantes. 241 aussi est-ce dans l'
urine
et ses produits extractifs que les expéri- ment
expérience par rapport à la quantité injectée. Mais la toxicité des
urines
est en raison inverse de celle du sérum et des au
, les auteurs posent les conclusions suivantes : La toxicité de l'
urine
serait notablement diminuée dans les états mani
, augmentée, au contraire, dans les états mélancoliques. De plus, l'
urine
des maniaques et celle des mélancoliques aurait
psie, il y aurait assez souvent dans la folie toxicité inverse de l'
urine
et du sang; dans la manie, notamment, le sang e
ie, notamment, le sang est parfois d'autant plus hypertoxique que l'
urine
est plus hypotoxique. 2° Ces résultats qui, t
faites en commun sur la toxicité et la composition chimique de l'
urine
des aliénés. La question des relations des vésani
s vésanies étaient supposées s'accompa- gner. Parmi ces liquides, l'
urine
qui est la voie d'élimination la plus important
recherches de la vitesse avec laquelle sont faites les injections d'
urine
, de la température de l'urine injectée, de la q
laquelle sont faites les injections d'urine, de la température de l'
urine
injectée, de la quantité d'urine rendue en 24 heu
ns d'urine, de la température de l'urine injectée, de la quantité d'
urine
rendue en 24 heures par le malade qui est le su
5 d'eau ordi- naire, avec 9 ce. d'une solution se rapprochant d'une
urine
artifi- cielle. Voilà donc des liquides qu'on é
exceptée) et qui se sont mon- trés notablement plus toxiques qu'une
urine
normale et même que la plupart des urines patho
ement plus toxiques qu'une urine normale et même que la plupart des
urines
pathologiques. Quoi qu'il en soit, MM. Ballet e
Roubinovitch ont poursuivi leurs expériences sur le lapin avec des
urines
de mélancoliques, de ma- niaques, de malades af
ire dé- généra tif. . En prenant comme chiffre de la toxicité des
urines
normales ceux indiqués par M.Bouchard (45 cc. p
ceux indiqués par M.Bouchard (45 cc. parkilogramme en moyenne), les
urines
des mélancoliques se sont constamment montrées pl
ore certaines anomalies embarrassantes : Chez l'une des malades les
urines
ont continué à se montrer toxiques après la gué
. Ballet etRoubinovitch relèvent d'ailleurs que l'hypertoxicité des
urines
a coïncidé dans presque tous les cas avec un ét
ennent à l'appui de cette interprétation. Chez trois maniaques, les
urines
ont semblé moins toxiques qu'à l'état normal; m
ale, l'autre consécu- tive à des fatigues physiques et morales, les
urines
ont été nette- ment (légèrement dans un cas) pl
e de fonder sur elle seule des distinctions nosologiques, l'une des
urines
les plus toxiques (9 ce. par kilog.) que l'aute
é, autre que l'hystérie. M. Ballet pense que l'analyse chimique des
urines
n'a pas moins d'intérêt que l'étude de leur tox
ur at- tention sur les ptomaïnes. Les analyses ont porté sur cinq
urines
d'individus bien portants et sur dix urines d'a
yses ont porté sur cinq urines d'individus bien portants et sur dix
urines
d'aliénés. Chez les gens bien portants on n'a t
t de relever que, dans ces deux cas, l'expérimentation faite avec l'
urine
en nature avait décelé une notable hypertoxicit
z l'un des malades (dégénérée avec délire mélan- colique), dont les
urines
étaient également hypertoxiques, l'ana- lyse dé
ux produits alcaloïdiques qu'elle renferme accidentellement que l'
urine
emprunte sa toxicité. - SOCIÉTÉS SAVANTES. 248
scérales. M. Jules Voisin lit une communication sur la toxicité des
urines
chez les épileptiques aliénés. Dans les cas de
aisons. Tous les auteurs devraient expérimenter sur la totalité des
urines
de vingt-quatre heures, adopter une pression co
abord la difficulté de fixer exacte- ment le degré de toxicité de l'
urine
normale; la dose nécessaire pour tuer un kilogr
un nycthémère est très variable. Il faut tenir compte du vo- lume d'
urine
en vingt-quatre heures et du poids du sujet. L'ho
mme on le fait souvent, se borner à fixer le degré de toxicité de l'
urine
pour un kilo.. d'animal sous- peine d'erreur, m
vantes. 247 cause du gâtisme qui empêche de fixer le volume total d'
urine
en vingt-quatre heures. D'autre part, l'urine d
xer le volume total d'urine en vingt-quatre heures. D'autre part, l'
urine
d'un même individu subit d'un jour à l'autre de
ience. M. Séglas pense qu'il est utile d'élever la température de l'
urine
au même degré que la température centrale, pour
a journée du 5 et avait eu six sangsues le 6. Dans l'autre cas, les
urines
examinées les 22 juin, 7, 8, 15 juillet ont don
as fut trouvée égale à la moyenne normale. L'analyse chimique des
urines
n'a donné rien de particulier pour le premier c
arquer que chez ces deux malades, atteints d'une façon identique, l'
urine
est plutôt hypertoxique dans un cas et constamm
nalyse chimique reste négative, dans le second cas l'analyse de ces
urines
hypotoxiques montre des variations de quan- tit
le de Lafond par MM.Michaud, Mabille et Collin, sur la toxicité des
urines
des aliénés. Chez les ar- SOCIÉTÉS SAVANTES. 24
nte et hypotoxicité uri- naire, d'où nécessité de faire l'essai des
urines
et l'étude de leur- toxicité sur les animaux.
d'expériences faites par MM. Ballet, Bordas et lui ont porté sur l'
urine
simple non réduite. (M. Colin objectait à MM. B
olin objectait à MM. Ballet et Roubinowitch l'emploi expérimental d'
urines
réduites par la chaleur. Communication du matin
et boire, sans quoi elle n'y penserait pas ; elle laisse aller ses
urines
et ses matières sous elle. Lorsqu'on l'interroge,
ient un vomissement de lait caillé, qui se produit sans'effort. Les
urines
sont peu abondantes et ne contiennent ni albumi
osphates. 11 en conclut à la nécessité d'examiner la nutrition et l'
urine
des malades affectés de maladie de Basedow. M.
ien aux poumons. Rien au coeur. Pas de sucre ni d'albumine dans les
urines
. 26 février 1886. OEdème des pieds el des mallé
cou- lage de l'air. 15 juin 1889. Le malade a de la cystite avec
urines
purulentes et ammoniacales. Lavages de la vessi
este constam- ment assis sur une chaise roulante. L'écoulement de l'
urine
est constant. Pas d'incontinence des matières f
er, c'est le surmenage. , R. M.-C. LIV. RECHERCHES sur LE sang et l'
urine
DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (The Journal
pas, l'anomalie n'a rien de caractéristique. B. En ce qui touche l'
urine
: 1° au point de vue de la quantité, le maximum
e dura deux ans. Quelques années plus tard, c'était une rétention d'
urine
, avec douleurs vésicales, troubles qui persistè
laloine, édit., 1893. En examinant par le procédé de Gautrelet l'
urine
des neurasthé- niques, l'auteur a constaté qu'e
ion ou présence anormale des produits d'oxydation incomplète. Cette
urine
présentant les mêmes caractères que dans l'arth
Ajoutez à cela l'emploi des alcalins pour combattre l'acidité de l'
urine
et vous aurez la moitié du trai- tement. La sec
familiale des -, par A. Bothe, '269; recherche sur le sang et l'
urine
des =, par Smyth; 393; sur. le poids du cerveau
les colonies d ? par Th. Ewart," 80 ; ' aliénés ;' toxi- cité des
urines
' chez les , par 518 r TABLE DES 'MATIÈRES. J
as de maladie des par Roubihowitch, 504 ! 1 ! \/I'MI Toxicité des
urines
chez les'épilcp- IIl'tiqu,es aliénés, par J."jo
morte aliénée, et une soeur, qui a eu de l'incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfa
d'une minute euviron. Ni morsure de la lan- gue, ni incontinence d'
urine
. Conscience parfaite. Le diagnostic d'hystérie
ne laissent rien à désirer et les sphincters ne sont pas troublés.
Urines
normales. Revue deux mois plus tard, cette peti
réflexes tendineux. La parésie de la vessie et l'incontinence de l'
urine
cèdent en général à une série de séances si ell
s de chaleurs et sueurs fréquentes. Parfois incontinence nocturne d'
urine
. Troubles trophiques. Les dents, excellentes ju
és (plantaire, crémastérien, épigastrique) diminués. Incontinence d'
urine
fréquente. Pas d'albuminurie ; pas d'ar- thropa
PAT111QUES 83 signe d'Argyll Robertson persiste. A l'incontinence d'
urine
s'ajoute par- fois celle des matières fécales.
le malade a dû cesser tout tra- vail. En même temps, incontinence d'
urine
et constipation. Etat du malade à son. entrée.
pulmonaire aux deux bases. Il existe des traces d'alhumine dans les
urines
. In- continence des urines et des matières féca
Il existe des traces d'alhumine dans les urines. In- continence des
urines
et des matières fécales. Fièvre légère : 38°5.
état. 2G octobre. Eschares fessières et sacrées au début. Le malade
urine
par DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 91 reg
e urine par DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 91 regorgement : l'
urine
est évacuée par la sonde. Quelques minutes après,
s poumons, ni du coeur; mais respiration Ï1'l'é- gulière, profonde.
Urines
normales. En examinant la vulve, on est frappé
stant au 2° et au 3e jour de la maladie ; 3° Enfin, une rétention d'
urine
presque absolue, avec un certain degré d'a- nur
un hypospadias pénien et de l'hypoalgésie testiculaire sans atrophie;
urines
et miction normales. Main droite. (PI. 1VII).
u irritable. Depuis quelque temps cauchemars (précipice affreux).
Urines
: ni albumine, ni sucre. Nous joignons à cette ob
remarquer en particulier l'intégrité de l'appareil ex- créteur de l'
urine
si fréquemment infecté chez les malades de ce gen
flasque d'abord, puis contracture au bout de 3 mois. - Rétention d'
urine
. scltare sacrée, infection septique. Mort un an
t-à-dire un an après le chancre), le malade est pris do rétention d'
urine
; depuis 7 à 8 jours déjà, il souffrait d'une con
appelle un médecin qui retire de la vessie par la sonde 2 litres d'
urine
. Le jour suivant, il Veut se lever ; mais à pei
vi, état stationnaire de la paraplégie, persistance de la rétention d'
urine
: il était obligé de se sonder. Le malade préte
des mouvements convulsifs du pied. Persistance de la réten- tion d'
urine
; pas de constipation. Malgré les pansements an
La vessie est prise; la malade est incapable de retenir longtemps ses
urines
. Ultérieurement, pendant son séjour à l'hôpital
malade doit faire de violents efforts pour rendre quelques gouttes d'
urine
; il existe aussi do l'incontinence. Constipati
n'avait encore que des céphalées, il se produisit de la rétention d'
urine
: on a dû le sonder une fois. Pendant le mois d
bres inférieurs sont apparues, et il a commencé il perd ! ' £ ' les
urines
. agit NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
rs. La paralysie du sphincter vésical persiste ; l'in- continence d'
urine
est absolue. La constipation est toujours très ac
urs très forts malgré la flaccidité des mus- cles. L'incontinence d'
urine
persiste ; la constipation résiste aux purgatifs.
continuent se produire d'une façon intermittente. L'incontinence d'
urine
est aussi abso- lue qu'au début ; mais il n'exi
nte, et qui se traduit par de l'inconti- nence ou de la rétention d'
urine
selon les cas, s'accompagne dans la règle d'imp
surtout le droit. En même temps, le malade a commencé à perdre ses
urines
dans son pantalon. Il n'a jamais eu d'incontinenc
blirent d'une façon évidente ; puis se produisit une incontinence d'
urine
(mictions fré- quentes absolument inconscientes
ntinence d'urine (mictions fré- quentes absolument inconscientes; l'
urine
coulait en jet). Février 1893. Le malade est da
vant : paraplégie incomplète plus marquée il droite, incontinence d'
urine
. La tête est complètement dégagée, la mémoire b
timent de lourdeur dans le membre inférieur droit. L'incontinence d'
urine
persiste. Aux membres supérieurs, la motilité
de pisser, il laisse échapper involontaire- ment quelques gouttes d'
urine
dans son pantalon. Le malade n'a pas eu de rap-
rieurs. Anesthésie absolue du mem- bre inférieur droit. Rétention d'
urine
. Traitement spécifique inefficace. Eschare sacr
s 36 heures. Le cathétérisme immédiatement pratiqué amène 1 litre d'
urine
char- gée en couleur, trouble, fortement ammoni
embres inférieurs ; l'impotence motrice est absolue. La rétention d'
urine
nécessite le cathétérisme qui est pratiqué 2 fois
servation qui pré- cède, notre malade est atteint d'une rétention d'
urine
complète, 2 jours avant que la paraplégie se pr
le qui contient tantôt un cordial, tantôt du lait, tantôt même de l'
urine
qu'il veut faire examiner. Dès son entrée dans
qu'on les a décrites. Pendant cette période l'appétit reste normal.
Urines
normales. Insomnies sans cauchemars. Le carac
a frapper. 7-11-12-19. La malade est agitée et dort mal. 25. Elle
urine
sous elle. Le reste du mois elle garde le lit.
. Pendant tout le mois d'octobre elle reste couchée. Le zip. Elle
urine
sous elle. A partir du Il,' février 1891, la ma
olu. MARCIIE ULTÉRIEURE DE LA MALADIE 1-2 février 1891. La malade
urine
sous elle. 4-7 Elle chantonne pendant l'espace
he. 2-3 mars. Herpès labialis ? la lèvre inférieure. 20 La malade
urine
sous elle. OS'l'LO-.111'f111t01'.1TI11E AIGUË C
-31 OEdème des pieds ; les tissus cutanés sont pâles. La quantité d'
urine
émise dans l'espace de 24 heures est de 1800 cent
u côté sain est fiasque; les réflexes rotuliens sont plus actifs. L'
urine
ne présente ni sucre ni albumine. Le sommeil et l
érable. 23-24. Herpès à la lèvre supérieure. 28-29. - - La malade
urine
sous elle. 1er septembre. Les phénomènes de ten
érotique. A l'appro- che d'un homme, elle se roule sur le plancher,
urine
et expulse des matiè- res fécales. A partir du
elle danse en exé- cutant des mouvements rythmiques. 29-31. Elle
urine
sous elle. 1-14 janvier 1892. Elle déchire et r
décubitus dans la position où la femme pouvait le mieux conserver son
urine
, les injections émollientes, le cathétérisme, le
et des injections vaginales, en lui donnant de l'eau de Vichy si les
urines
sont acides, et en l'entourant de toutes les préc
n urinoir de femme, dont le col est rempli par une éponge, afin que l'
urine
ne puisse être renversée dans le lit. Il import
vessie ; des expériences nombreuses lui ont dé-montré, dit-il, que l'
urine
n'exerce d'action nuisible ni sur une plaie, ni s
mpliquer la fistule. Quand elle est ancienne et laisse passer toute l'
urine
, l'urèthre se rétrécit dans toute sa longueur, ma
ro-tomie, permettent d'ouvrir une voie suffisante à l'écoulement de l'
urine
; ce traitement préliminaire doit être fait assez
urcissement extrême de l'urèthre n'est pas une cause d'incontinence d'
urine
, après l'opération de la fistule; dans plusieurs
ue la fistule recto-vaginale peut être conservée pour le passage de l'
urine
et des règles quand on se décide à oblitérer la v
t des uréthrites qui peuvent avoir pour conséquence l'incon-tinence d'
urine
. Plusieurs fois on a vu la sonde chassée par les
un cas de fistule recto et vésico-vaginale, les matières fécales et l'
urine
étaient conservées et expulsées volontairement pa
aire de la vessie et du vagin une seule cavité qui reçoit à la fois l'
urine
et le sang des menstrues dont l'urèthre devient l
raire une ouverture entre l'utérus et la vessie, de telle sorte que l'
urine
ne passe plus par le vagin, et c|ue le sang des m
cules inodulaires et livrant passage tout à la fois aux règles et à l'
urine
; ce n'est qu'en introduisant une sonde dans cett
cavité au-dessus de l'insertion du vagin, réceptacle du sang et de l'
urine
. Avec quelques autres variétés dans les dispositi
Dans cette fistule il n'y a qu'une légère altération de l'uté-rus, l'
urine
ne pénètre pas sa cavité ; mais d y a une grave l
artie correspondante de la vessie; ce dernier organe se remplissant d'
urine
forme dans le vagin une tumeur bien circonscrite
vessie ne parvenant pas à vaincre la résistance du col, re-foulent l'
urine
vers le fond de la vessie qui se dilate, et dé-pl
le sorte qu'on a une vessie à deux loges, dont l'inférieure retient l'
urine
même quand la supérieure se vide. Cette dispositi
limité ou généralisé de la vessie avec décom-position permanente de l'
urine
. Le diagnostic de la cystocèle vaginale est fac
On voit cette tumeur entre les grandes lèvres; elle augmente quand l'
urine
reste dans la vessie; elle s'affaisse, au contrai
à annihiler ces contractions et à préserver la plaie du contact de l'
urine
et des lochies qui la souillent continuellement.
ueux, sans forme bien déterminée ; c'est un vrai cloaque qui reçoit l'
urine
, le sang des menstrues, les liquides leucorrhéiqu
érisme sans changer la position de l'opérée, et sans laisser tomber d'
urine
dans le vagin. Après cinquante-quatre heures envi
rait pas et ne pourrait vaincre l'obstacle qu'oppose à la sortie de l'
urine
la flexion anormale qu'a subie le canal de l'urèt
n bandage en T double. Comme ce pansement gênerait l'éva-cuation de l'
urine
, par la compression cpi'il exerce sur le col, on
à la gangrène; l'urètre peut être aplati, ce qui rend l'émission de l'
urine
très-difficile ; la vessie est souvent déplacée,
paroi abdomi-nale. 8° Complications après l'opération. L'examen des
urines
et l'examen du pouls ont une très-grande importan
ortance dans l'ap-préciation des suites de la gastrotomie. Tant que l'
urine
reste claire et abondante, il n'y a rien à craind
as-fond avec le kyste, au début ; mais quand elle est distendue par l'
urine
, elle peut s'interposer entre lui et la paroi abd
thre est comprimé et il y a rétention, ou au contraire incontinence d'
urine
; quand cette rétention est très-prolongée, elle
il est vrai. Engourdissement, refroidissement, soif, diminution de l'
urine
, exanthèmes à la peau, au voile du palais, pustul
filiforme, face violette^ insensibilité de la peau, suppression de l'
urine
; tels sont les symptômes qui, joints aux précéde
deux septénaires, l'albumine s'élimine par la peau et l'iode par les
urines
. [F. Rose.) Pour se mettre complètement à l'abr
faut re-cberclier avec soin si la quantité d'albumine que contient l'
urine
est la même aux différents moments de la journée,
t surtout s'il existe des tabidi ou des cylin-dres fibrineux dans les
urines
, et dans ce cas s'abstenir, parce que les reins s
d'adhérences générales, ne s'en aperçut que le lendemain en voyant l'
urine
sortir à la partie inférieure de l'incision qu'on
enlevé la tumeur. Le sixième jour, il enlève le clamp ; le septième l'
urine
passe par la plaie abdomi-nale, et coule ainsi ju
avant; mais en arrière de cette paroi il y a un cloaque qui reçoit l'
urine
et le sang des règles. Suppléments à la Médecin
. Dynamomètre vésical, pour déterminer la force d'impul-sion du jet d'
urine
. Quand le robinet B de la sonde S est ouvert, le
du jet d'urine. Quand le robinet B de la sonde S est ouvert, le jet d'
urine
frappe sur un piston à ressort placé dans la port
u col de la vessie. On voit une gouttière creusée par le passage de l'
urine
. Figure iv. Fistule uréthro-pénienne. Procédé p
, d'a-près M. Guyon. La poche est vue dans l'état de distension par l'
urine
. Le jet d'urine sort par le méat; il n'a de force
yon. La poche est vue dans l'état de distension par l'urine. Le jet d'
urine
sort par le méat; il n'a de force que lorsque la
notre attention sur l'état de sa vessie. Elle a de l'incontinence d'
urine
, et elle nous a fort bien signalé qu'elle n'épr
le n'éprouve pas le besoin' d'uriner, qu'elle perd jour et nuit son
urine
, tantôt par gouttes, tantôt par plus grandes quan
par plus grandes quantités, mais sans jamais sentir le passage de l'
urine
. En somme, l'ensemble des troubles de la sensib
he, cle l'2crètlcre, de la vessie et du rectum, avec incontinence d'
urine
; anesthésie coïncidant avec de l'hy- peresthési
gna presque dès les premiers jours de constipation, de rétention d'
urine
^ avec incontinence par regorgement. La malade r
roussais, fut reçue d'abord en chirurgie, à cause de sa rétention d'
urine
, puis passa rapidement en mé- decine dans le se
ue parM. Barth et l'un de mes internes actuels M. Lévi. Rétention d'
urine
avec incontinence par regorgement. Sur la régio
. " Les .phénomènes vésicaux, qui ont été d'abord de la rétention d'
urine
, se traduisent ensuite par de l'incontinence, a
-interne. L'étal général était satisfaisant, l'appétit diminué, les
urines
ne contenaient ni sucre ni albumine. J Dans les
té des accidents de pseudo-péritonite, accom- pagnés de rétention d'
urine
. Elle est restée alitée pendant 10 mois ; dans
endant près d'une année, il a souffert d'une rétention incomplète d'
urine
, sans incontinence. Au mois de septembre 1894, il
habituellement des alternatives d'incontinence et de ré- tention d'
urine
, qu'on désigne sous le nom d'iscla2criecc°adoxale
alysie atteint, dans une certaine mesure, le sphincter vésical, les
urines
s'écoulent au dehors par regorgement, sans que le
motrice des jambes, avec de l'engour- dissement, de la rétention d'
urine
. La paralysie motrice et l'engourdisse- ment se
contre, le ma- lade est resté affligé d'une incontinence complète d'
urine
et des matières fécales. Il n'avait plus consci
trique. En outre, le malade est dans l'impossibilité de retenir ses
urines
et ses matières fécales, et-il n'a plus conscienc
a région des lombes en arrière. Les malades ont de l'incontinence d'
urine
et des matières fécales, et ils n'ont plus cons
). Il s'agit d'un malade chez le- quel les accidents incontinence d'
urine
et de matière fécale- s'étaient développés la s
cancer de la vessie, parce que, indépendamment des altérations de l'
urine
, indépendamment de l'incontinence et de la réte
ône terminal). c) Des alternatives d'incontinence et de rétention d'
urine
, d'inconti- nence des matières fécales et de co
as-ventre, la presse et la suffoque, enfin ce sont des rétentions d'
urine
qui la tourmentent » (1). Le 9 août 1 î31, elle
gri, pâle, les paupières oedématiées, sans sucre ni albumine dans l'
urine
. Il portait en écharpe, enveloppés dans un épai
e début, cet homme avait été pris de constipation et de rétention d'
urine
. Or c'est là un phénomène capital sur lequel je n
l n'en est plus ainsi. Au bout-ci'un mois environ, la rélen- tion d'
urine
fait place à l'incontinence qui persiste depuis l
ffet, ne perçoit ni le hesoin d'uriner ni le passage incessant de l'
urine
; il ne sent pas davan- tage le passage des mati
UÉMAT0MYÉL1E DU CONE TERMINAL 153 opiniâtre, par une incontinence d'
urine
incessante et par des troubles gé- nitaux signi
trice avec engourdissement des membres inférieurs, avec rétention d'
urine
. La paralysie motrice et l'en- gourdissement se
emps. Mais le malade reste affligé d'une incontinence complète de l'
urine
et des matières, de la perte de l'érection et e
èmes cir- culatoire, respiratoire, génito-urinaire. L'examen de l'
urine
indique l'absence d'albumine, mais -une forte réa
a bien le ton brun rougeâtre qu'il n'est pas rare d'observer dans l'
urine
des chloroti- ques ; mais on peut douter que, p
, de paralysie des membres avec inconti- nence des matières et de l'
urine
. Tous ces phénomènes s'amendèrent pro- gressive
ère crise dura une heure et se termina par une abondante émission d'
urine
. Il est bon d'ajouter que, au moment de ses crise
ue, au moment de ses crises, la malade a toujours envie d'uriner et
urine
beaucoup (deux litres au moins). Une deuxième c
ui, intitulé le Médecin, et représentant un empirique examinant des
urines
. Le vieux Teniers a peint également des gueux e
du musée cle Bruxelles, qui représente un em- pirique examinant des
urines
, est une peinture remarquable, où l'on re- trou
courant un peu plus fort à gauche qu'à droite. L'incontinence des
urines
et des matières fécales est absolue. La sensibi
congestives ; sa muqueuse est couverte de petites exulcérations ; l'
urine
qu'elle contient est louche et fétide. Les vein
paralysie était complète. En même temps survenait une réten- tion d'
urine
qui, après quelques fluctualions, s'est installée
inué. Le sphincter anal, est complètement paralysé ; la rétention d'
urine
per- siste et l'on est obligé de pratiquer le c
laint de ressentir quelques fourmille- ments dans les avant-bras. L'
urine
est devenue fétide. L'appétit, qui était assez
es, présente une muqueuse congestionnée et légèrement exulcérée ; l'
urine
qu'elle contient est louche et un peu fétide. E
Troubles de la sensibilité nettement hystériques, in- continence d'
urine
également rapportée à l'hystérie. , Sat... Pier
u mois de novembre 4895 jamais il n'y eut la moindre incontinence d'
urine
, le malade dit au contraire qu'il urinait un peu
bligé de pousser pour uriner et que souvent il ne pouvait émettre d'
urine
malgré un besoin pressant. Or à la date du 10 nov
roubles vésicaux caractérisés en ce moment par l'inconti- nence des
urines
. On sait combien peu fréquente est l'incontinence
racture qui peuvent également donner naissance à l'incon- tinence d'
urine
, nous pensons qu'il s'agit ici d'une paralysie du
tout nocturne tandis que dans la journée le malade peut retenir ses
urines
, la coexistence d'autres phénomènes net- tement
Myopathie progressive chez un hystéri- que atteint d'incontinence d'
urine
, par GASrrE, : 3.ïr. Myélite transverse aiguë
Myopathie progressive chez un hys- térique atteint d'incontinence d'
urine
,354. Gilles DE la TOURETTE. Le sein hystéri-
aine. Elle remarqua en même temps une diminution dans sa quantité d'
urine
. Comme traitement général on lui appliqua des a
lquefois une anurie complète de plusieurs jours. Actuellement, elle
urine
par jour 200 à 300 grammes. La mémoire et l'i
i plus de crises. Demain je serai tout à fait guérie. La quantité d'
urine
augmente. Je suis plus gaie. » Cependant elle l
effort. Tous les jours il a été dressé un tableau de la quantité d'
urine
et des crises qui est continué par la malade de
Les premiers résultats furent : l'augmentation dans la quantité d'
urine
. L'urine était avant le début du traitement en tr
miers résultats furent : l'augmentation dans la quantité d'urine. L'
urine
était avant le début du traitement en très petite
le plus haut obtenu, le 15 mai est de 3,700 grammes. La quantité d'
urine
subit des variations. Augmentant sous l'in- flu
ouvenirs chez la malade. Elle sort le 18 mars, le 19 et le 20, elle
urine
800 grammes pour uriner 1800 grammes le 21. -
ur uriner 1800 grammes le 21. - Elle sort le 14 et le 15 avril, ses
urines
dont la quantité s'élevait à 3000 grammes le 13
500 grammes, 1,200 grammes, a des cauchemars. Bientôt la quantité d'
urine
baisse. 1 Chez une malade du service, guérie pa
plètement diaphragmatique, secousses du grand pectoral, rétention d'
urine
, urticaire par pression, absence de sudation, r
otilité et pour la sensibilité, réflexes très exagérés. Rétention d'
urine
et des fèces. Céphalalgies violentes, vomisseme
ses. Battements normaux dans toutes les artères superfi- cielles.
Urines
. Pas de sucre, ni d'albumine. 11 s'agit évidemm
), sous l'influence de l'hypnose, les variations de la quantité d'
urine
sous des causes psychiques, nous montre ici la na
autre valeur. Nous avons considéré l'augmentation de la quantité d'
urine
comme une pierre de touche et avions persuadé à
ion de la pathogénie de la maladie de Reynaud. Quelques examens d'
urine
ont été pratiqués par l'interne en pharmacie du
ériformes : envies de pleurer involontaires, fréquentes émissions d'
urines
, qui sont extrêmement claires, ont une réaction
e contiennent ni sucre, ni albumine. Ce sont, dit-il, de véritables
urines
nerveuses. En outre dans nombre d'observation
es, t. XXIX. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'abondance de l'
urine
et l'intensité des accidents : le petit polyu-
e l'urine et l'intensité des accidents : le petit polyu- rique, qui
urine
5 à 6 litres en moyenne; le grand polyurique, q
De plus, l'urée peut être en quantité normale ou exagérée dans l'
urine
; de là deux types secondaires : le type azoturiqu
aines formes de la paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité dé l'
urine
; mais il ne croit pas à l'efficacité de la saigné
sions que M. Legrain. Comme M. Briand il a toujours trouvé leurs
urines
hypotoxiques pendant l'état de mal et hypertoxiqu
vic cyst, of probably of poslazzal origin, leading tho rétention of
urine
. Brochure in-8" de 3 pages, avec une ligure. Lo
oir pas dormi ni jour ni nuit depuis le début de son affection. L'
urine
est au-dessous de la normale : 800 grammes. Vu
a pensée de sa soeur, nous lui prescrivions d'uriner davantage. L'
urine
de 900 grammes au début monte à 1,800, le 10 août
let ; la langue était pen- dante et tuméfiée, le pantalon mouillé d'
urine
. Après l'avoir décro- ché en le soulevant, puis
t de Chiî,uig., 1877, p. 573. 264 . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DES
URINES
. L'étude delà sécrétion urinaire chez les épile
ert' signale la présence de l'al- bumine en grande abondance dans l'
urine
après les attaques, mais il ajoute que cette al
communs. Depuis les travaux du professeur Bouchard', l'examen des
urines
présente, en outre, un nouveau point important. N
tateurs s'occupèrent de déterminer le coefficient uro- toxique de l'
urine
dans toutes sortes d'affections. Pour ce qui co
résultats. i - , 1 .. 1 ,De plus il'faut,agir avec la. totalité des
urines
émises dans les vingt-quatre heures physiologiq
sque toujours-ils s'accompagnent de mictions involontaires et cette
urine
n'est point recueillie dans la totalité des'vin
ntal consécutif aux accès ou agitation maniaque, le prélèvement des
urines
est à peu près impossible. La sonde à demeure e
du corps. Nous en avons vu supporter des doses très considérables d'
urine
et se mettre à uriner goutte à goutte d'une faç
t donc pouvoir tenir compte de toutes ces conditions. D'ailleurs, l'
urine
est un milieu dont la com- ''position, très com
eants. Toutefois, si la recherche' du coefficient uro- toxique de l'
urine
est épineuse, si les résultats ne' sont-pas ' r
avons fait à plusieurs reprises doser les principaux éléments de l'
urine
émise en vingt-quatre heures en dehors des accè
s de ses analyses : 1.1UL., vingt-deux ans; épilepsie. Analyse de l'
urine
des vingt- quatre heures après les accès. Vol
t morts présentant, les, mêmes accidents, que dans les injections d'
urine
, c'est-à-' dire, des accidents, convulsifs et a
convulsifs et avec des doses proportionnelles i aux ,qûantités4[ d'
urines
employées ,pour,, obtenir,, le., mêmet résultat
tat, .. Y,r ' f,l 1( "1 t t- pli., » , ^Nous concluerons donc que l'
urine
, est hypotoxique avant.et pendant les accès. et
certaines habitudes vicieuses, la masturbation ou l'incontinence d'
urine
. ' , Quant à la formation du caractère, il faut
pour ainsi dire pas, température 37°,9 ; la vessie n'évacue plus l'
urine
d'ailleurs indemne d'albumine ou de sucre. Mort
prescrit du trional. Démangeaisons quasi-douloureuses à la peau. L'
urine
ne présente pas la coloration de l'liématoporpb
poussées de sueur sur le côté droit; rétention et incontinence d'
urine
. 3° Myxoedème au début. Femme de trente-quatre an
forçant d'uriner tous les cinq minutes et qu'en dehors des accès l'
urine
s'échappe goutte à goutte malgré lui. C'est ce
es contractions du sphincter vésical externe ; par cet expédient, l'
urine
qui demeure dans l'urèthre après l'évacuation d
s en plus mauvais, bien que le malade ait conservé sa lucidité. Les
urines
ne présentent ni sucre, ni albumine. Mort dans la
ure des objets les plus vulgaires. Ainsi, il but plusieurs fois son
urine
, croyant boire de l'eau, et croquait des morcea
ont revenues et les orteils nécrosés sont à peu près éliminés; elle
urine
au lit et dort douze heures par jour pendant qu
urinoirs seront disposés de façon à empêcher toute stagnation de l'
urine
. Enfin relativement a ce service des vidanges u
modifiant un peu la méthode expérimentale. Nous avons recueilli les
urines
des vingt-quatre heures physiolo- giques (état
caout- chouc rouge rendue aseptique, qui conduisait directement l'
urine
dans un récipient. Toutes les injections que nous
clusions que dans nos expériences avec M. Péron; c'est-à-dire que l'
urine
qui précède l'accès ou la série est hypotoxique
toute la durée des accidents convulsifs ou mentaux. Au contraire, l'
urine
qui est émise après la fin de ces accidents dev
ves, t. XXIX. 29 450 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. raître avant que l'
urine
soit devenue hypertoxique, mais nous répondrons
excrétion au dehors, et que d'autre part la nécessité d'agir avec l'
urine
des vingt-quatre heures ne permet pas de voir à
es vingt-quatre heures ne permet pas de voir à quel moment précis l'
urine
rendue commence à être hyper- toxique. Nous 1 a
xicité urinaire. est fort épineuse. Il est très difficile d'avoir l'
urine
des vingt- quatre heures, surtout chez les épil
ux (indigestion, embarras gastrique, cons- tipation) ou rétention d'
urine
; 3° la pathogénie des accidents con- vulsil's o
ômes rappelant ceux que produisent les injections intra-veineuses d'
urines
convulsi- vantes. 4° Cette urotoximie trouver
nels morts de vieillesse.- Grand'père maternel, mort de rétention d'
urine
à 91 ans; - grand'mère maternelle, morte paraly
nt, et fait pour vomir de vains ef- forts. Il a de l'incontinence d'
urine
et des matières fécales. - La maigreur est extr
ois en deux mois. - Chaque fois, la crise était suivie d'émission d'
urine
. Les bras se contractaient en dedans, la tête e
fant retomba dans le coma. Pas d'écume aux lèvres, pas d'émission d'
urine
. Traitement : Lavement purgatif; enveloppement
pas de déviation de la bouche ; écume, quelquefois incontinenco d'
urine
. En temps normal, l'enfant 'semblait aussi inte
cent. de long. La vessie est distendue par une grande quantité d'
urine
. - Cause probable de la mort : asphyxie par oedèm
riclité, l'épilepsie chez le père de l'enfant ; -l'in- continence d'
urine
jusqu'à 16 ans chez sa mère ; - des excès de bo
isses ; rien aux mains, ni aux paupières : on ne peut savoir si les
urines
furent albu- mineuscs à ce moment. L'accouche
ature de 38°, le malade ne prend qu'un demi-lobe. Rien dans les
urines
. Pouls : 120. 9 juin. - Tremblement généralis
esse et sueurs. Deb... marche dillici- lement. Sueurs dans la nuit.
Urine
de 24 h. : 750 grammes. Il juin. - Pas de gland
. TROIS cas D'IDIOTIE myxoedémateuse. 173 au niveau'de l'estomac.
Urine
: 650 gr. Le visage est beaucoup moins gonflé,
'ig. 20. - 174 THÉRAPEUTIQUE. tiondes tumeurs graisseuses du cou.
Urine
: 400 gr. Potion de Tood et caféine. z15 juin
veilleuse. Ce matin il ne se rappelle point de ce qui s'est passé.
Urine
: 500 gr. L'appétit est toujours médiocre et le
ui s'était abaissé jusqu'à 24 k., 100 est remonté à 25 le, 050. Les
urines
se maintiennent aux environs de 500 gr. Jamais
er examinait ses poches. Le pouls est descendu à 60. 6 juillet. -
Urine
: 500 gr. Pouls : 60. 7 juillet. - La températu
s : 60. 7 juillet. - La température s'élève de nouveau à 37°, li.
Urine
: 1 litre. Pouls : 70. 8 juillet. - Pouls : 70
Urine : 1 litre. Pouls : 70. 8 juillet. - Pouls : 70 ; T.R. 37", 2.
Urine
: 525 gr. 9 juillet. - La peau du malade reste
4. - Soir : 38°. 11 juillet. - Pouls petit : 130 ; ;1'.lut. 370,4.
Urine
hier 750 gr., aujourd'hui 500 gr. 12 juillet.
hée a disparu, la faiblesse des jambes est moindre. Pouls : 120 gr.
Urine
: 500 gr. 13 juillet. - Depuis hier soir, coliq
, courba- ture générale. Le malade est affaissé, n'a pas d'appétit.
Urine
: 500 gr. Pas de glande. La desquamation de la
squamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120.
Urine
: 500 gr. 14 juillet. - ? lobe. Pouls : 120. Ur
ue. Pouls : 120. Urine : 500 gr. 14 juillet. - ? lobe. Pouls : 120.
Urine
: 260 gr. ( ? ). 15 juillet. - l'as de glande.
. Urine : 260 gr. ( ? ). 15 juillet. - l'as de glande. Pouls : 120.
Urine
: 500 gr. La peau est moite. 16 juillet. - Va
: 500 gr. La peau est moite. 16 juillet. - Va lobe. Pouls : 120.
Urine
: 500 gr. Quelques coliques. 17 juillet. - Pa
gr. Quelques coliques. 17 juillet. - Pas de glande. Pouls : 120.
Urine
: 500 gr. Coliques, sueurs. 18 juillet. - Dep
ourrelet hémorrhoidaire. Pouls : 100; Sueurs; faiblesse générale.
Urine
: 560 gr. - Potion : bismuth, bétol, laudanum. -
a parole est moins lente, le malade est moins engourdi. Pouls : 90.
Urine
: 500 gr. 28 juillet. - Bien que la médication
e qui l'a décidé à faire venir le médecin. Fièvre ; P. à 1 ! 0. - L'
urine
est rare et son expulsion s'accompagne d'une ém
ure de camphre chez un malade, âgé de 7 ans, atteint de rétention d'
urine
consécutive à une hyper- trophie de la prostate
un excel- lent adjuvant du traitement classique de la rétention d'
urine
. C'est ainsi que nous avons été amené, ainsi qu
idés, refroidissement des extrémités, incontinence invo- lontaire d'
urine
, etc., ce médicament produira dans la plupart d
ésultats vraiment utiles./page> page n="55"> Incontinence d'
urine
et suggestion pendant le sommeil naturel- Par M
naturel- Par M. le D' Paul V/ ;-.:;/.. L'incontinence nocturne d'
urine
n'est certes pas rare chez les enfants ; d'ordina
instituteur de l'Aisne m'écrit un jour au sujet de son jeune fils qui
urine
au lit chaque nuit. Tout naturellement je recomma
ement en chemin de fer avec ses voisins, se déshabille tout-à-coup et
urine
sur eux, on le saisit; il sort de cet état second
ne est atteinte de mal comitial et non pas d'hystérie. L'individu qui
urine
sur ses voisins au milieu d'une conversation rais
la colère, elle ne se mordait pas la langue, elle ne perdait pas ses
urines
. C'étaient des crises d'hystérie. Elles ont dispa
ce qui s'était passé. Jamais on ne s'est aperçu qu'elle eût perdu ses
urines
. Une attaque nocturne d'hystérie n'est possible,
ileptique, sauf un, celui qui est relatif à la porte involontaire des
urines
. L'âge avancé n'ost pas une objection à notre dia
e jours environ, elle présente un accès con-vulsifavec incontinence d'
urine
, morsure de la langue, amnésie et grande lassitud
ions de bouse de vache fraîche, et les ulcères en les lavant avec des
urines
. Ce remède se trouve également indiqué dans Pline
es jambes et les abcès, sur lesquels on met des linges trempés dans l'
urine
. On soigne delà même façon les engorgements du se
es, mais, dans ce cas, les applications doivent être faites avec de l'
urine
d'homme. » Et le D* Bidault conclut que, même q
e de 30 ans, laisse échapper inconsciemment cinq ou six petits jets d'
urine
, lors du spasme vénérien et au moment même où ce
l'abdomen agissent directement sur une vessie distendue et forcent l'
urine
à s'échapper sous forme de jets synchrones à ces
depuis cinq ans. Malgré des doses élevées de sucre contenues dans les
urines
, le patient continue à s'occuper très activement
ent en pareil cas, j'avais eu soin de demander une analyse complète d'
urine
. Celle-ci a été faite le 20 novembre. Quand le le
alade, on n'avait pas osé espérer qu'elle consentirait à recueillir l'
urine
des 24 heures; l'examen a été fait à son insu, su
èmes. Tout ce que je puis dire, c'est que l'émission du sucre par les
urines
n'a pas été soupçonnée; la malade, en effet, n'a
de polyphagie et de polyurie, densité normale ou presque normale de l'
urine
, présence dans celle-ci d'une substance réduisant
de polyphagie.de polydipsie et de polyurie; en outre, la densité de l'
urine
est à peu près normale; et puis,l'amélioration es
eul que le régime a fait diminuer la quantité de sucre émise dans les
urines
? Justement, ce jour-là, 27 novembre, ma malade
ement, ce jour-là, 27 novembre, ma malade doit m'apporter un flacon d'
urine
. Je fais aussitôt un essai avec la liqueur de Feh
se bien que je n'ai pus négligé de faire faire une nouvelle analyse d'
urine
. Voici ce qu'elle donne à la date du 6 décembre :
gr. 85 par litre. On se rappelle que, le 20 novembre, la quantité d'
urine
des 24 heures n'a pu être dosée. Or, depuis que j
heures, une grande tasse d'infu6ion chaude de tilleul. La quantité d'
urine
émise par jour est donc plus abondante, partant l
e, partant le sucre est plus dilué. Ainsi, à la date du 6 décembre, l'
urine
des vingt-|uatre heures s'élève à 1.820 centimètr
ée (fasc. I, p. 136). Je fais promettre qu'on m'enverra une analyse d'
urine
à la fin de cette première étape, me réservant de
bonnes. » Comme les règles ne lardent pas à apparaître, l'examen de l'
urine
se trouve retardé de quelques jours ; it est fait
; it est fait le 22 décembre; voici la note que l'on m'adresse : a L'
urine
ne contient pas de sucre et ne produit pas de dév
u traitement alter- tifs sont employés en vue de découvrir dans les
urines
une élimination quelconque d'antîpyrine : résulta
nes une élimination quelconque d'antîpyrine : résultat nu). De même l'
urine
no présente pas d'acide carbonique pouvant proven
nng : après l'ingestion *·© chloral, on trouve p&rfo'b dans l'
urine
do l'acide uro chloraiiquc fiuuiaut.ilaiu certain
nombreuses. On peut dire qu'il y a polyurie, lorsque le volume des
urines
dépasse deux litres par jour ; mais I'hyperdiurès
re, cinq, huit, dix, vingt et même vingt-cinq litres par 24 heures. L'
urine
alors est pâle, décolorée, sans saveur, d'une den
e le cas d'un malade qui, émettant chaque jour quarante-cinq litres d'
urine
, pouvait boire, également chaque jour, un litre d
la suite d'un grand chagrin, émettait chaque jour environ 18 litres d'
urine
, a été traité jadis à Lille dans le service de M.
ui a donné de l'ergot de seigle et, au bout de vingt-quatre heures, l'
urine
est tombée de 18 à 3 litres. En dépit des proprié
du bicarbonate de soude coloré. Grâce â cette suggestion indirecte, l'
urine
tombe le lendemain à 3 litres. Un procédé de su
our pendant trois jours et de le convaincre qu'il guérira lorsque ses
urines
seront devenues vertes : la première et la second
sous forme de pilule, un médicament d'une énergie considérable ; ses
urines
deviendront bleues et à ce moment précis, la guér
ène. Au bout d'un quart d'heure, la malade émet une potito quantité d'
urine
, mais le liquide a encore sa coloration normale;
encore de changement de coloration. Au bout d'une heure environ, les
urines
sont bleues et le spasme du diaphragme disparaît,
. M. Lemesle. — Pour hâter le passage du bleu de méthylène dans les
urines
, ne serait-il pas préférable d'introduire cette s
foi en moi. M. Bébillox. — Un jeune homme atteint d'incontinence d'
urine
venait d'être reçu à l'Ecole navale. Trèsaffecté
s délirantes de persécution, par Paul Farez, p. 296. Incontinence d'
urine
et suggestion pendant le sommeil naturel, par Pau
et l'art. 64 du code pénal, p. 311. Sommeil naturel (Incontinence d'
urine
et suggestion pendant le), par Paul Farez, p. 53.
dans les membres et la ceinture et la malade fut prise de rétention d'
urine
qui nécessita le cathétérisme. EXAMEN. - La m
; au niveau de la région sacrée elle est macérée par le contact des
urines
et il existe de profondes es- carres ; il n'y a
e tout le membre. Il existe des troubles des sphincters : la malade
urine
par regorgement et ses urines sont troubles et
es troubles des sphincters : la malade urine par regorgement et ses
urines
sont troubles et purulentes ; elle a de la rétent
fait de ses escarres sa- crées et de ses émissions involontaires d'
urine
. Au bout d'un mois environ l'infection urinaire
ire et digestif ont un fonctionne- ment parfait. Il n'y a, dans les
urines
, ni albumine, ni sucre. Le malade n'a pas maigr
puis six semaines, constipation tenace : depuis 4 jours rétention d'
urine
passagère à peine accentuée. Avant la maladie a
r suite de la douleur, cesse de travailler. Depuis quelques mois il
urine
avec arrêts et après un certain effort; ses force
de l'abdomen fai- bles, ceux du crémaster normaux. Constipation ; l'
urine
(absence de corps pa- thologiques) est rendue a
des orteils ; parésie des mouvements du genou ; faible rétention d'
urine
. Ainsi donc un homme de 56 ans, ressent subitem
, au niveau des vertèbres lombaires ; constipation ; incontinence d'
urine
à un faible degré ; douleurs dans la région car
artie inférieure de la cage thoracique et le ventre; incontinence d'
urine
partielle, constipation prolongée. Accrois- sem
mois, mouvements involontaires ; depuis un mois, l'émis- sion de l'
urine
se fait avec difficulté ; depuis une semaine, fai
uis plusieurs jours douleurs dans l'aine, rétention com- plète de l'
urine
. La malade, quoique anémique, était jusque-là ass
et à la douleur. Dans la suite apparaît la rétention complète de l'
urine
, et )'oedème des deux extrémités jusqu'à la moi
ble du moindre mouvement des jambes. Après un mois d'incontinence d'
urine
partielle, arrive la faiblesse complète de la ves
scarre ex- térieure dans la région sacrée ; rétention complète de l'
urine
et des fèces ; absence du sens musculaire dans
musculaire dans les orteils, les pieds et les genoux ; rétention d'
urine
; constipation. 31. - Paralysie flasque ; manqu
o-sa- crée ; pas de douleurs ; constipation, parfois incontinence d'
urine
. Etat présent. Organes intérieurs, nerfs crânie
mouvements et de la position des orteils ; faible incontinence de l'
urine
et des fèces. Tel est dans les termes généraux
garde aux soins de propreté les plus élémentaires, crache sur elle,
urine
dans le lit, etc. L'attention est facilement at
un peu d'otite scléreuse bilatérale. Ni albumine ni sucre dans les
urines
. - Examen radio graphique (PI. XXXIV et XXXV).
r les aliments solides. Le malade n'a jamais présenté de pertes des
urines
, ni de matières, il ne s'est jamais plaint de d
, quand les phénomènes d'éclampsie, la fièvre, et l'albumine dans l'
urine
, étaient disparus depuis plusieurs jours, et la
e a eu encore trois accès d'éclampsie, d'une intensité moyenne. L'
urine
contenait plus de deux grammes d'albumine par lit
t de son état comateux, elle se plaint de voir trouble. Rétention d'
urine
: 600 grammes en 24 heures, go. 50 d'albu- mine
12. Température 37°2 le matin, 37°4 le soir, pouls 82. Rétention d'
urine
, 720 grammes en 24 heures. Albumine : 1 gramme pa
9° le soir. On lui a fait une irrigation intra-utérine. Rétention d'
urine
, 1000 grammes en 24 heures. Albumine 1 gramme par
ours suivants, et le 20 avril elle arrive à 37°. De même quantité d'
urine
a augmenté régulièrement jusqu'à la normale et
t l'albumine n'existait plus le 16 avril. A cause de la rétention d'
urine
, on a dû la sonder tous les jours jusqu'au 18 a
pétit est bien conservé, et il n'existe aucun trouble digestif. Les
urines
ne contiennent pas d'albumine. La température ne
akiurie, mais pas d'albuminurie. L'analyse des résidus minéraux des
urines
a marqué une aug- mentation des sels phosphatiq
et les poumons sont sains, qu'il n'y a ni sucre ni albumine dans l'
urine
, qu'il n'y a ni cylindres ni caillots de sang bla
cylindres ni caillots de sang blancs ou rouges et que la quantité d'
urine
, mesurée par 24 heures, est normale, ainsi que
. Une fois par semaine ? Oui, jusqu'au bout. Avait-on examiné vos
urines
? Non. L'accouchement s'est-il bien passé ? A h
l'oedème malléolaire, .mais actuellement pas d'al- bumine dans ses
urines
. Depuis 1897 elle n'a plus été rééduquée et n'a
s sphincters. Rien au coeur ni aux poumons. Hien d'anormal dans les
urines
. L'état mental, sauf les modifications du carac
ce dure quelques minutes pen- dant lesquelles il y a incontinence d'
urines
, morsure de la langue et présence d'écume à la
de constipation. Les mictions sont fréquentes, surtout la nuit ;
urines
foncées avec dépôt fibrineux et même purulent,
tat fébrile à grandes oscillations se maintient. L'incon- tinence d'
urine
est permanente et due à une rétention vésicale, l
e d'urine est permanente et due à une rétention vésicale, la malade
urine
par regorgement. La céphalée, vive au début, a ét
ir. Elle a lieu dans la nuit du 21 au 22 avril 1913. , Analyses d'
urines
. 4UU' ' RAUZIER ET BAUMEL - des méninges) sur
ant de rattacher cette comitialité à une in- suffisance rénale. Les
urines
sont purulentes, contiennent quelques traces d'
uvons aucune trace de rétention urémique. Le tableau des analyses d'
urine
montre que l'élimination d'urée par cette voie
e et cette polyurie ont persisté depuis lors ; jamais l'analyse des
urines
n'y a révélé de sucre ni d'albumine. Vers l'âge
r de quatre mois. Pendant toute la durée de ce séjour la quantité d'
urine
a oscillé entre 6 et 10 litres par 24 heures. L
quantité d'urine a oscillé entre 6 et 10 litres par 24 heures. Les
urines
étaient jaune pâle, limpides, sans dépôt, de faib
as de chlorures et d'urée. Voici une de ces analyses : Quantité d'
urine
, 10 litres. \ NaCI, par 24 heures, 12,87. Uré
La restriction des boissons diminuait naturellement le chiffre des
urines
, mais cette res- triction était péniblement sup
riction était péniblement supportée par le sujet. Il y avait dans l'
urine
des traces légères d'albumine, mais pas de sucre.
ivi d'autopsie et où la polyurie était mon- tée jusqu'à 19 litres d'
urine
dans les 24 heures, trouva une tumeur ayant com
5 litres, la pituitaise dès la pre- mière injection fit tomber les
urines
de 5 il : 3 2 litres 1/2. En continuant les inj
areil non plus qu'il l'examen microscopique des fèces. L'examen des
urines
a montré une couleur jaune claire, aspect limpide
normalement ; la tension artérielle est de 16 à 17 au Potain. Les
urines
ne contiennent aucun élément pathologique. Les
ignaler l'impuissance sexuelle existant depuis quelques années. Les
urines
sont bonnes, pas de sucre. Rien au coeur, si ce
- Comme troubles sphinctériens, le malade présente incontinence des
urines
et constipation. 1 A la ponction lombaire, on
. Les troubles vésicaux nécessitaient un cathété- risme journalier.
Urines
purulentes. Le malade a fréquemment des frissons
es des membres inférieurs persistent. In- continence et rétention d'
urine
, constipation opiniâtre. 3 juin. - L'état génér
ifestations de la dégénérescence, telle que l'incontinence nocturne d'
urine
, les tendances impulsives, les terreurs nocturnes
conseillé. OBSERVATION V ONYCHOPHAGIE. - INCONTINENCE NOCTURNE D'
URINE
. - .GUERISON RAPIDE PAR la suggestion hypnotiqu
au lil toutes les nuits jusqu'à l'âge de 10 sus : actuellement elle n
urine
que tons les 15 jours environ. A l'école, elle tr
suffi pour faire disparaître définitivement 1 incontinence nocturne d'
urine
et guérir l'onyrhophagie. Observation V| onycho
on âgé de l'i ans. est atteint d'onanisme, d'incontinence nio turne d'
urine
, d'ouycliophagie : le plus jeune, garçon de 1 ans
té rapidement guérie chez Ira six enfants. L'iiiconlinence nocturne d'
urine
el l'onanisme de l'ainé el du plus jeune ont dema
onyrhophagic. Observation IX onychophagie.-incontinence nocture d'
urine
. —-onanisme.-— troubles du caractère. — guériso
sa patronne : Lise H... non seulement se ronge les ongle", mais elle
urine
an lit trois ou quatre foi" par mois II lui arriv
sl facile de constater que lonvrhophagir et I incontinence nocturne d
urine
ont disparu empiétement sons l'influence de la su
dans le ventre et lui suggérai que désormais elle émettrait selles et
urines
sans gène — à preuve que. à peine rentrée chez el
eurasthéniques, d'enfants vicieux, ainsi que des cas d'incontinence d'
urine
, d'agoraphobie, de crampe des écrivains, de contr
se dissiperaient pas aussi promptemeut. L'hvpolliesc d'infiltration d'
urine
ne lui semble pas admissible pour le premier cas.
euse, yeux excavés. pouls 120 pulsations par minute, température 38°,
urine
rare, pas d'albumine, l'ingestion, même la vue
r suite de couches, à l'ombre du clocher des Eygalades. Rétention d'
urine
. — Pourquoi dît-on. dans la préface de Pantagruel
n fait certain, c est que sous l'influence de la crise épîleptique. l'
urine
devient particulièrement toxique. Est-ce le malad
bourrés de notes sur sa vue, son appétit, son pouls, ses sueurs, ses
urines
, sa mémoire, ses souffrances, ses ascendants, il
les phobiques. LE TRAITEMENT PSYCHIQUE DE L'INCONTINENCE NOCTURNE D'
URINE
(1) Par le Docteur Bérillon. Le but de cette
oins de préconiser un nouveau traitement de l'incontinence nocturne d'
urine
que d'apporter quelque lumière sur les causes d'u
l'étiologie reste encore à élucider. Pour expliquer l'incontinence d'
urine
si fréquente chez les enfants, les théories les p
les faits se passent beaucoup plus simplement. Dans l'état normal l'
urine
est maintenue dans la vessie par le concours des
lie, la tonicité des fibres musculaires lisses suffit pour contenir l'
urine
. Au contraire, dès que la quantité d'urine, dépas
ses suffit pour contenir l'urine. Au contraire, dès que la quantité d'
urine
, dépassant une certaine mesure, commence à disten
on des muscles volontaires devient alors indispensable pour retenir l'
urine
dans la vessie. Dès la plus tendre enfance, les
isses suffisent pour maintenir dans la vessie une certaine quantité d'
urine
et pour assurer l'intermittence de la miction. Né
fants sont primitivement atteints d'incontinence diurne et nocturne d'
urine
. Par l'éducation, on obtient généralement, vers
ant la nuit. Il arrive cependant assez souvent que l'incontinence d'
urine
persiste pendant la nuit au-delà de la troisième
D'Gaudez a fait, en 1891, du traitement de l'incontinence nocturne d'
urine
par l'antipyrine, le sujet de sa thèse inaugurale
'être mentionnés. Convaincu que la cause de l'incontinence nocturne d'
urine
réside dans ce fait que le sphincter vésical n'es
e sphincter vésical n'est pas assez, fort pour retenir derrière lui l'
urine
qui se collecte dans la vessie pendant les premiè
Dans cette position, la ves-sie peut contenir une certaine quantité d'
urine
avant que celle-ci n'atteigne l'orifice uréthral.
n quinze jours, la suppression complète de l'incontinence nocturni' d'
urine
; mais, outre que ce procédé n'est applicable qu'a
en 1891, M. le D' Liébeault. de Nancy, affirmait que l'incontinence d'
urine
était justiciable d*un traitement purement psychi
es, il présentait une statistique portant sur 77 cas d'incontinence d'
urine
traités par la suggestion hypnotique, et il indiq
bservation courante des plus intéressants, c'est que lorsque l'enfant
urine
au lit toutes les nuits, on peut presque sûrement
n hypnotique. Il n'en est pas toujours ainsi lorsque l'incontinence d'
urine
n'a lieu que de temps en temps. II est probable q
n'a lieu que de temps en temps. II est probable que l'incontinence d'
urine
intermittente est liée à des causes bien différen
année entière, de dix-neuf ans et demi à vingt ans et demi, elle n'a
urine
au lit qu'une dizaine do fois au plus. L'in-
dressé par M. le D' Landry, de Courtenay. L'incontinence nocturne d'
urine
a débuté seulement il y a trois ans. Depuis ce mo
rne d'urine a débuté seulement il y a trois ans. Depuis ce moment, il
urine
toute les nuits dans son lit. Le malade est entré
suggérer de l'insomnie avec la préoccupation constinle de retenir son
urine
, préoccupation devant avoir pour effet de le teni
endunt trouve ici une nouvelle application. L'incontinence nocturne d'
urine
n'est ni un symptôme, ni, à plus forte raison, un
ournies par l'état général du sujet atteint d'incontinence nocturne d'
urine
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séanc
s, ni de l'alcool, et il n'a pas eu la syphilis. Pas d'incontinence d'
urine
, ni de matières fécales. Aucune paralysie. 11 mar
15. Idiotie (l'), par Jules Voisin, 128. Incontinence nocturne d'
urine
traitée par suggestion, 14, 15. Incontinence d'
nce nocturne d'urine traitée par suggestion, 14, 15. Incontinence d'
urine
(le traitement psychique de l'), 359. Index bib
ombre 122 étaient atteints de gâtisme; 41 d'incontinence nocturne d'
urine
seulement; 14 de cécité complète ; 7 de cécité
mbre 110 sont atteints de gâtisme; 32 d'incontinence noc- turne d'
urine
seulement, 15 de cécité complète; 6 de cécité i
peut préciser. Marche à 2 ans. Est encore gâteuse la nuit pour les
urines
. La parole est limitée à quelques mots. On arri
i dans la paume, perte com- plète de connaissance, pas d'émission d'
urine
, pas de mor- sure de la langue. Stertor consécu
a plutôt une tem- pérature un peu basse (Voir le tableau). Dans ses
urines
ni sucre, ni albumine. Il pèse 53 kilog., mesur
sourds ; le pouls radial est petit, très difficile à sentir. Les
urines
ont été examinées à plusieurs reprises ; leur d
esse et sueurs. Deb... marche diffici- lement. Sueurs dans la nuit.
Urines
de vingt-quatre heures : 750 grammes. 11 juin
Pouls : 120. Haleine fétide, dou- leur au niveau de l'esto- mac.
Urine
: 650 gram- mes. Le visage est beau- coup moi
eurs, affaiblisse- ment, persistance des douleurs s stomacales.
Urine
: 500 grammes. 13 juin. Dans la nuit, vomisse
leurs abdominales, dimi- nution des tumeurs graisseuses du cou.
Urine
: 40 0grammes. Potion de Todd et caféine. 15 ju
veilleuse. Ce matin, il ne se rappelle point ce qui s'est passé. -
Urine
: 500 grammes. L'appétit est toujours médiocre
er examinait ses poches. Le pouls est des- cendu à 60. 6 juillet.
Urine
: 500 grammes. Pouls : 60. 7 juillet. - La temp
uls : 60. 7 juillet. - La température s'élève de nouveau à 37°,G.
Urine
: 1 litre. Pouls 70. 8 juillet. - Pouls : 70; T
Urine : 1 litre. Pouls 70. 8 juillet. - Pouls : 70; T il. 37°,2,
Urine
: 525 grammes. Fig. 11. - Deb... en septembre 1
37% - Soir : 3°. 11 juillet. Pouls petit : 130; T. R. 37%
Urine
hier : 750, aujourd'hui 500 grammes. 12 jui
disparu, la fai- blesse des jam- besest moindre Pouls : 120.
Urine
: 500 gr. 13 juillet. Depuis hier soir, col
cour- bature générale. Le malade est affaissé, n'a pas d'appétit.
Urine
: 500 grammes. Pas de glande. La desquamation de
squamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. 14 juillet. Demi-lobe. Pouls :
s : 120. Urine : 500 grammes. 14 juillet. Demi-lobe. Pouls : 120.
Urine
: 2GO grammes ( ? ). 15 juillet. Pas de glande.
Urine : 2GO grammes ( ? ). 15 juillet. Pas de glande. Pouls : 120.
Urine
: 500 gram- mes. La peau est moite. .. Fiy. 1
Traitement thyroïdien. 103 16 juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. Quelques coliques. 17 juillet.
ammes. Quelques coliques. 17 juillet. Pas de glande. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. Coliques, sueurs. 18 juillet.
bourrelet hémor- roïdaire. Pouls : 100. Sueurs, faiblesse générale.
Urine
: 560 grammes. Potion : bismuth, bétol, laudanu
a parole est moins lente, le malade est moins engourdi. Pouls : 90.
Urine
: 500 grammes. 28 juillet. - Bien que la médica
oraire des paupières, surajouté il leur bouffissure habituelle. Les
urines
ne renferment ni sucre, ni albumine (Fig. 3. 4
maines qui n'ontjamais reparu depuis. Pas d'incontinence nocturne d'
urine
. 4° Notre malade.-A la conception, les parents
se relevait presque aussitôt; ni bave, ni écume, ni incontinence d'
urine
. - Les grimaces continuaient quand même. On s'e
nchâtre (phimosis). Pénil, glabre. Taches jaunâtres sur la chemise.
Urine
: ni albumine ; ni sucre. Membres supérieurs :
urs fois pour aller aux cabinets, malgré sa hâte pour y aller, elle
urine
tout le long du dortoir, il lui est même arrivé
u soir jusqu'à 4 heures du matin, s'accompagnent d'incontinence d'
urine
et des matières fécales et se terminent par un
n- tre les barres de son lit, à s'égratigner avec son manchon, il
urine
et défèque au lit malgré toutes les précautions q
ne partie de la journée. T. R. 35° et 36°. 26 février. Examen des
urines
. (M. Wille, interne en pharmacie.) Albumine : n
deux ans et demi ; - parole à deux ans ; - incontinence nocturne d'
urine
jusqu'ci qua- torze ans. Instabilité mentale. C
quinze mois à deux ans) ; propre seulement à quatorze ans pour les
urines
. Jamais de convul- sions. Envoyé à l'école à se
ileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Evacuation involontaire d'
urine
. Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant s
osé : retard dans la marche et la parole, incontinence noc- turne d'
urine
, débilité mentale, irritabilité, actes de violenc
Scha... est devenu gâteux. Auparavant il gâtait seulement pour les
urines
. 20 avril. - Scha... a encore tenté de se sauve
elet de vin, il le prit et le lui jeta à la figure. Nuit et jour il
urine
sous lui. - L'onanisme persiste. Depuis le 1 ?
ipation. Pas de taches rosées. Rien à l'auscultation. Rien dans les
urines
. Potions vinai- grées, sulfate de quinine, naph
ce ; jalousie. Coqueluche (septembre); présence du sucre dans les
urines
. ' Geor-eo.... Marie, âgée de 7 ans, est entrée
ulière ; il n'y a aucun trouble de la digestion ; les selles et les
urines
sont volontaires. Elle s'habille et se déshabil
: T.R. 3 ? 8.-Soir : T. Il. 38,), 8. 11 septembre - On examine les
urines
. Elles donnent avec la liqueur de Fellling un p
vec la liqueur de Fellling un précipité rouge absolument net. Les
urines
sont d'une teinte claire et ne paraissent pas en
septembre Diarrhée assez forte depuis hier. La quantité totale des
urines
n'a pu être conservée. Le sucre est toujours en
utres symptômes ni dans l'état général. 13 septembre. La quantité d'
urine
ne dépasse pas 300 gr, 1 18 Coqueluche ; glycos
a de nouveau de la diarrhée, aussi n'a-t-on pas conservé toute l'
urine
. Matin : T.R. 37,8. Soir : T.R. z,4. 15 septemb
complication et sans qu'on ait jamais retrouvé de sucre dans les
urines
analysées à plusieurs reprises. I. Voilà donc u
che dans lequel on a trouvé quatre jours de suite du sucre dans les
urines
. Ce sucre n'a pas été dosé, parce qu'à cette ép
avons obtenu aucune réduction en analysant avec le même réactif les
urines
de différents enfants qui présentaient au même
ueluche. D'après Gibb (Lance/, janvier 1858) on trou- verait dans l'
urine
de presque tous les coquelucheux du sucre en qu
, faible d'ordinaire, mais parfois assez forte. Dans quelques cas l'
urine
aurait une densité notable et offrirait les aut
t émacié, triste et abattu. Les poumons sont sains. La quantité des
urines
ren- dues en 24 heures est de 1600 à 1700 gr. L
antité des urines ren- dues en 24 heures est de 1600 à 1700 gr. Les
urines
, au repos forment un dépôt rouge où l'examen mi
bocal. Par la chaleur et l'acide acétique, on reconnait dans cette
urine
la présence d'une notable quantité d'albumine.
se plaint de la tête et d'une douleur vive dans le bas-ventre. Les
urines
, peu abondantes, sont trou- bles. Pas d'albumin
oloration que les cavernes du rein. . La vessie est remplie d'une
urine
purulente, trouble. Réflexions. f3'i Réflexio
de la sychnurie, et l'existence du sang et de l'albumine dans les
urines
qui étaient assez abondantes. Après avoir été s
émaciation très prononcé. Nulle part il n'y avait d'oedème et les
urines
, peu abondantes et troubles, ne contenaient plu
leu et ceux obtenus par la recherche si délicate de la toxicité des
urines
. Dans quelques cas, nous avons trouvé à la fois
s méthodes de détermination de la toxicité du sérum sanguin et de l'
urine
[Revue de médecine 1900). i Charrin, Société de
igation clinique appliqués aux aliénés. Sans parler de l'examen des
urines
systématiquement pratiqué, nous avons recherché
op, le myosis, la cryesthésie, etc. Nous avons recherché dans les
urines
la diminution de l'excrétion de l'urée, la preuve
aux procédés d'expérimentation les plus cliniques : l'examen des
urines
, leur analyse aussi rigoureuse que possible, avan
nné d'utiles confirmations. Mais d'autre part, l'examen complet des
urines
nous a montré souvent que l'auto-intoxication r
ence, pendant que l'albuminurie augmen- tait et que la quantité des
urines
excrétées diminuait, nous avons constaté souven
ruit de galop à rythme d'anapeste (bruit systolique surajouté). Les
urines
pâles, abondantes, ne contiennent ni sucre, ni al
elle et mange avec assez d'appétit. '1 il, CLINIQUE NERVEUSE. Ses
urines
recueillies le 2 juin ont donné à l'analyse les r
oie parait à la percussion diminué de volume. L'examen clinique des
urines
révèle une quantité notable d'albumine. Au poin
meil. Le régime lacté absolu est institué. - L'examen complet des
urines
pratiqué quelques jours après son entrée a révé
acé par un régime mixte, dont le lait, toutefois, fait la base. Les
urines
sont plus abondantes et plus claires. L'albumine
délirantes, qu'il a presque totalement oubliées. Un nouvel examen d'
urine
a donné dans les grandes lignes les résultats s
ines qui n'ontjamais reparu " depuis. Pas d'incontinence nocturne d'
urine
. 4° Notre malade.-Ala corzception, les parents
poraire des paupières, surajouté à leur bouffissure habituelle. Les
urines
ne renferment ni sucre, ni albumine (flg. 12, 1
D... n'avait pas de sommeil, délirait la nuit et constata dans ses
urines
la piétence d'une certaine quantité d'albumine, D
la présence d'un bruit de galop à dédoublement au le' temps et les
urines
pâles, abondantes, con- tiennent une certaine q
quée par la glycosurie alimentaire sera confirmée par une analyse d
urine
pratiquée ulté- rieurement. Même état ju-qu'au
par des alternatives de dépression et de gaîté avec excitation. Les
urines
ont été examinées chaque semaine, et l'albuminuri
que éet état psychique a coïncidé avec une poussée rénale, car les
urines
devenues plus rares contenaient par litre 1 gra
nt par litre 1 gramme d'albumine. Le 7 juillet l'examen complet des
urines
a donné les résultats suivants : . 140 CLINIQ
ale, le foie est douloureux, les jambes légèrement oedématiées; les
urines
extrêmement rares ne contien- nent pas d'albumi
iande grillée, les légumes, etc. Après deux jours de ce régime, les
urines
diminuèrent, M... ressentit des maux de tête et
égion mésocardiaqueest beaucoup plus obscure. L'examen clinique des
urines
qui sont peu abondantes et forte- ment colorées
inconscient, s'affaiblissant de plus en plus. L'examen clinique des
urines
, pratiqué dans les premiers jours d'octobre, au
de l'albumine aux diffé- rentes heures de la journée a montré que l'
urine
du soir contient plus d'albumine que celle de m
ndrie avec anxiété coïncidaient avec la diminution de la quantité d'
urine
et l'augmentation de l'albumine. L'eu- phorie s
intellectuel et euphorie, syphilis ancienne. L'examen clinique des
urines
fut négatif au moment de l'admission et l'état d'
ion du médicament n'existe pas, puisque l'élimination se fait par l'
urine
avec une grande rapidité. Par de nombreux dosag
lendemain delà cessation du médicament on ne trouvait plus dans les
urines
qu'environ un gramme; au bout de 48 heures il n
rose. Pouls petit, non tendu, fortement intermittent. Rien au sang.
Urine
quelque peu albumineuse : 0,23 pour 1000; pas d
dégénérative des extrémités inférieures, d'une incontinence de l'
urine
et des matières, de troubles trophiques et vasomo
de l'autre oeil, tous deux guéries par suggestion. Incontinence d'
urine
guérie par la suggestion pendant le sommeil nat
l'athérome artériel, de l'albuminurie : C..., a de l'incontinence d'
urine
, mais n'est pas gâteux, L'état de démence, d'mc
rante et 2° une lenteur très grande de l'élimination. L'analyse des
urines
de vingt- quatre heures a donné dans une périod
ote que le faciès est pâle que les jambes sont cedématiées, que les
urines
contiennent de l'albumine et qu'il existe au co
vec l'augmentation de l'albuminurie. En juillet 1902, l'analyse des
urines
dénote qu'il n'existe presque plus d'albumine,
e inguinale droite de petit volume est parfaitement réductible. Les
urines
ne contiennent ni sucre ni albumine et leur exa
pation. Depuis plusieurs jours. S..., n'est pas allé à la selle, il
urine
souvent et peu à la fois. Le régime lacté;- l
u et une lenteur très grande de l'élimination. L'examen complet des
urines
donne a cette époque les résultats suivants :
ique que l'élimination est très retardée et très lente, puisque les
urines
sont encore colorées à la soixante- douzième he
sont encore colorées à la soixante- douzième heure. L'analyse des
urines
du 5 décembre donne : RECUEIL DE FAITS. Un ca
maladie, ce que peut démon- trer soit l'examen bactériologique des
urines
, soit la toxicité du sang et les troubles de l'
rps et de ses vêtements. 1898. Il devient propre dans le jour; mais
urine
fréquemment la nuit dans son lit. Il distingue
ppait notre malade se dissiper. 1899. Il ne gâte plus le jour, mais
urine
souvent au lit. I ! s'ha- bille seul, mais ne s
t un accroisse- ment de l'acide phosphorique et de l'azote dans les
urines
, accrois- sement proportionnellement plus grand
rrhée fétide, sanglante et incoercible, pouls très petit et rapide,
urines
rares et foncées contenant des pigments bi- lia
rstrand, 13 décembre 1900. Neurasthénie, Alcoolisme; Incontinence d'
urine
, Onycho- phagie, Kleptomanie; Alcoolisme ; Névr
ade souffre ordinairement de constipation, la langue est chargée, l'
urine
a la réaction presque neutrale et est un peu trou
PLÈTE DE CÉCITÉ. 401 De temps en temps on faisait des analyses de l'
urine
, qui démon- trèrent que le mercure était effect
ieurs et reste ainsi pendant plusieurs jours avec de la rétention d'
urine
et une constipa- tion des plus opiniâtres. Dè
outes les excitations, sans re- flexes, -avec de l'incontinence des
urines
et des matières fécales. Ces phénomènes ont déb
notique. Voir Ilcoo- lisi,ie. - Voir Hystérie. Von incontinence d'
urine
. Voit- Impuissance génitale. - 1'u,r Troubles
ar le nez. Les fonctions digestives s'accomplissent bien. La malade
urine
bien, demande le bassin tous les jours ou tous
, les sons, sont parfaitement perçus. Il n'y a pas d'incontinence d'
urine
ni des matières, quoique, en réalité, la malade
intention. Du côté droit, il y eut suppuration. L'incon- tinence d'
urine
nécessita un changement perpétuel du pansement.
après-midi, nuit), chez des individus dont nous avons examiné les
urines
pendant l'état de repos. L'élimination de 1 Voy
l'azote. La physiologie nous apprend que l'azote éliminé par les
urines
est intimement lié à l'alimentation, d'une part,
quantité relativement considérable d'azote trouvé en moins dans les
urines
; cela devient impossible lorsqu'on réfléchit que
de la nutrition ; et comme le chiffre de l'azote contenu dans les
urines
peut « servir à mesurer l'énergie avec laquelle s
générale : les phos- phates terreux qu'on retrouve en plus dans les
urines
à la suite du travail intellectuel ne provienne
'acide phosphorique uni aux terres, qu'on retrouve en plus dans les
urines
sous l'influence du travail intellectuel, est d
acide phosphorique uni aux terres, qu'on retrouve en excès dans les
urines
à lasuite du travailintellectuel, est de l'acide
'acide phosphorique uni aux terres qu'on retrouve en excès dans les
urines
lorsque le cer- veau fonctionne étant un produi
emment une partie des phosphates alcalins trouvés en moins dans les
urines
, sous l'in- fluence du travail intellectuel, so
NTELLECTUEL MODIFIE l'élimination DE L'A- CIDE PHOSPHORIQUE par LES
URINES
; IL DIMINUE LE CHIFFRE DE l'acide PHOSPHORIQUE
érieures (jambe gauche principalement), enfin de l'in- continence d'
urine
et une soudaine et complète paralysie de la jam
droite, paralysie complète de la vessie (écoulement inconscient d'
urine
goutte à goutte), gâtisme, extrême dépression psy
peau, miction au lit); elle s'élimine par les poumons et non par l'
urine
(procédé en décelant un dixième pour cent dans
boulimie diabétique, mais l'ana- 116 SOCIÉTÉS SAVANTES. lyse des
urines
sera faite demain et j'en donnerai le résultat à
e, sur les 1 M. Magnan nous communique le résultat de l'analyse des
urines
de sa malade qui ne contiennent pas de sucre. M
estif et ses annexes ne présentent absolu- ment rien d'anormal. Les
urines
ont été analysées par 'M. 'le Dr Denigés, chef
nique. Voici les résultats de cette analyse : Quantité totale des
urines
recueillies du 25 au 26 mars 1883 : 1000 c. c.
llies du 25 au 26 mars 1883 : 1000 c. c. - la Examen du dépôt : L'
urine
, laissée au repos pendant huit heures, présente
aves. En plus, paralysie des membres inférieurs avec incontinence d'
urine
et de matières fécales. Intelligence in- tacte.
BSTIIÉoOE faciale, dysesthésie linguale, sialormiée, Toux, cuises d'
urine
; par le Dr Archibald WATSON. (Fr. méd. 4884,1.)
En second lieu, dans les derniers stades de l'abstinence absolue, l'
urine
contient de l'albumine issue des reins. Cette a
u s'expliquer plus simplement sort besoin fié manger. L'analyse dès
urines
faite à deux reprises par l'in- ternt én pharma
rent sentir. Il s'y joignit une constipation tenace, rétention de l'
urine
et huit mois après le commencement de la maladi
orsale, et de douleurs continues dans les jambes. L'émission de l'
urine
est plus fréquente et plus douloureuse quoique
mission de l'urine est plus fréquente et plus douloureuse quoique l'
urine
ait les qualités normales; constipation. Dès le
omanie. - Allégation fausse d'une incontinence nocturne et diurne d'
urine
avec morsures de la langue et inconscience ae c
tait depuis son en- fance ; il avait, disait-il, une incontinence d'
urine
nocturne DES INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTI
hute inconsciente des objets avait coïncidé avec une incontinence d'
urine
tout aussi inconsciente. Enfin, en 1871, il aur
int, jusqu'à l'âge de seize ou dix-sept ans, d'une incontinence d'
urine
, depuis une vingtaine d'années il était guéri de
en '< 877 ; transfert à Bicétre en 1881. Incontinence nocturne d'
urine
. Traitement ; école, uymnas- tique : améliorati
eptembre -1884, parce qu'il est atteint d'incontinence noc- turne d'
urine
. Les notes prises sur lui pendant son premier séj
igeon. Il avoue se masturber encore quelquefois. L'incontinence d'
urine
a diminué, mais n'a pas complètement disparu. O
se croit amputé des parties génitales et, dans cette conviction, il
urine
dans son lit ou dans ses vêtements. Les traitem
deux jours : pas de vomissements. - Né- vralgie occipitale. 14. -
Urines
abondantes (chiendent). 2 f écrier. Mêmes impul
e médication appropriée, à faire baisser le sucre éliminé par les
urines
. Elles résistent le plus souvent à toute autre mé
ans (Cas. XLIX). Cette femme, qui rendait chaque jour deux litres d'
urine
contenant 50 grammes de-sucre par litre, fut pr
n- cidé avec une augmentation du chiffre de sucre éliminé par les
urines
. Elles se dissipèrent avec l'abaissement de la gl
LXIX) assez fortement diabétique, rendant 4700 centimètres cubes d'
urine
avec 40 grammes de sucre par litre. Tout en rel
Olivier; car, bien que nous ayons souvent recherché le sucre dans l'
urine
des sujets frappés d'hémorragie cérébrale, nous
hénomènes cérébraux qui coexistent avec la présence du sucre dans l'
urine
nous paraissent plutôt un effet qu'une cause du
uroncles, et l'on avait même constaté la présence du sucre dans ses
urines
antérieurement à l'éclosion des troubles nerveu
Père : peintre en bâtiment, mort à trente-huit ans, de rétention d'
urine
. C'était un homme assez sobre, intelligent et b
ciser, fièvre typhoïde. Il n'a jamais eu ni incontinence nocturne d'
urine
, ni attaque de nerfs, ni accès d'épilepsie, ni
énérale est absolument satisfaisante. Le malade, cependant, boit et
urine
beaucoup. Son urine est ambrée, légèrement trou
nt satisfaisante. Le malade, cependant, boit et urine beaucoup. Son
urine
est ambrée, légèrement trouble et saquantité va
cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice et sensitive, rétention d'
urines
et de selles; à une étape plus ou moins ultérie
un peu, le malade avait une grande difficulté à les soulever. Les
urines
et les matières fécales étaient rendues sans que
rois mois de soin à Aden, G... fut rapatrié, il ne perdait plus ses
urines
et pouvait alors se tenir un peu sur ses jambes
quand il était très fatigué, il lui arrivait la nuit de perdre ses
urines
. En 1870, il fut rappelé à bord du Montcalin, m
ibles, elles ployaient sous lui, ne perdait qu'accidentellement ses
urines
, la nuit, quand il était très fatigué, mais resse
rantes, crises gastriques, aboli- tioit de réflexes, incontinence d'
urine
accidentelle, constipation habituelle, érection
abolie. N'oublions pas d'ajouter qu'il a rendu involontairement ses
urines
et ses selles. Le 18 mars au matin, le malade c
ement couslalable par les procédés élémentaires. L'incontinence d'
urines
ne survient qu'accidentellement, sur- tout aprè
et l'invasion de la paraplégie. Paraplégie, anesthésie, rétention d'
urines
, fièvre légère. Vers la fin de juin, douleurs u
fulgurantes. Chute des ongles. Pollution par crises. Incontinence d'
urines
pai-oxystique, spasmodique. Traitement suivi de
ce, qui se fait d'une manière paroxystique; tout d'un coup un jet d'
urine
lui échappe involontairement. Il n'y a rien d
nt consisté, chez ceux des Observations XX et XXI en incontinence d'
urines
, tandis que chez celui de l'O13SER\'A1'ION XXII
oque servait à prolonger le supplice du malade; 2° l'incontinence d'
urines
. L'incontinence d'urines des malades des Observ
supplice du malade; 2° l'incontinence d'urines. L'incontinence d'
urines
des malades des Observations XX et XXI paraît d
e, ayant lieu d'une manière pa- roxystique; tout d'un coup un jet d'
urine
lui échappe involontairement. c). Symptômes r
n de la sensibilité du même membre. Un certain degré de rétention d'
urines
. Le 13 août, possibilité de marcher à 1'tii(le d'
. Le malade à ce moment aurait eu un certain degré de rétention d'
urines
; il était forcé de pousser pour faire rendre l'ur
e rétention d'urines; il était forcé de pousser pour faire rendre l'
urine
. Rien du côté du rectum. 11 a été forcé de gard
marcher un peu à l'aide d'une béquille. A ce moment, la rétention d'
urines
a été remplacée par une fréquence d'uriner dix
st obligé d'uriner dès le besoin perçu.$. S'il veut y résister, ses
urines
alors lui échappent involontaire- ment. Les fon
troubles cardiaques et vésicaux, anomalies de la salivation et de l'
urine
, recherche de l'ovarie, signes de dégénérescenc
s furent des constipations et, de temps à autre, des rétentions d'
urine
; à l'âge de quarante et un ans, se produisirent d
d'anes- 190 PATHOLOGIE NERVEUSE. thésie. Sens musculaire aboli. L'
urine
et les excréments s'échap- pent souvent involon
attaques. Catarrhe très violent de la vessie avec réten- tion de l'
urine
; grâce à ce dernier phénomène, le docteur qui la
ncore maintenant; de temps à autre, elle commença à remarquer que l'
urine
s'échappait involontairement pendant la marche.
té était complètement abolie. Il y avait en outre de la rétention d'
urines
et de selles, ayant nécessité l'emploi de la so
sans appui, traînant toutefois les jambes. Il a pu rendre seul ses
urines
. Enfin, le soir, le malade était complètement e
ité générale et sensorielle et du sens musculaire. Rien du côté des
urines
. Les fonctions du coeur et des autres organes p
ant il arrive de temps en temps que J... est atteint de rétention d'
urine
. La nutrition des muscles est parfaitement norm
absolue et tendance, peu fréquente il est vrai, à la ré- tention d'
urine
; 5) dans le pseudo-tabes, il n'a pas de étude d
. Il n'y a pas de convulsions. Il n'a rendu involontairement ni ses
urines
, ni ses matières fécales.Hn'yapasdepriapisme.
s liés fortes au bas-ventre et à la région lombaire. La rétention d'
urines
concomitante a rendu nécessaire trois fois l'ap
avant son aecident. A ce moment, il a rendu involontairement ses
urines
et ses selles. Les mois suivants, le malade n'ava
s inférieurs avec anesthésie et un certain degré de réten- tion d'
urines
qui, elle aussi, peut survenir à titre de forme
plète dans deux heures. A ce moment, le malade a eu une rétention d'
urine
qui a néces- sité le sondage. La constipation e
s pas. La sensibilité aurait été diminuée. Il n'a pas pu rendre ses
urines
ni ses selles. A 5 heures du soir, il revient à
trace de paralysie. La sensibilité est normale, il a pu rendre ses
urines
tout seul. Enfin rien, et le lendemain matin il
e genre Eschares sacrées à formation rapide. Troubles uriuaires : l'
urine
est albumineuse, ammonia- cale et parfois sangu
ar des pressions fortes à l'hypogastre, de provoquer la sortie de l'
urine
; de là et du séjour prolongé de l'urine dans l
e provoquer la sortie de l'urine ; de là et du séjour prolongé de l'
urine
dans la vessie, survint l'inflammation de celle-c
niste. Pas d'antécédents hérédi- taires. Nervosisme. Incontinence d'
urine
pendant l'enfance. Jamais de mala- dies graves.
tache est peu abondante. La barbe manque à peu près complètement. L'
urine
est claire, de réaction acide : densité 10,10, pa
t symétrique des téguments des membres infé- rieurs. L'examen des
urines
a donné les résultats suivants : TROPIIOEDÈIE C
aux Urologues empiriques, où ceux-ci sont traités de « médecins aux
urines
», « zcroscopuva », et accessoirement de « miséra
le ventre et la poitrine, J'aurais un beau teston pour juger d'une
urine
, Et me prenant le nez, loucher dans un bassin
médecin)... Monsieur Gorgibus, n'y aurait-il pas moyen d'avoir de l'
urine
de l'égrotante ? ... Voilà de l'urine qui marque
ait-il pas moyen d'avoir de l'urine de l'égrotante ? ... Voilà de l'
urine
qui marque grande grande inflammation dans les
are : FALSTAFF. Eh bien, maraud, colosse, que dit le docteur de mon
urine
? LE Page. Il a dit, Monsieur, que l'urine étai
ue dit le docteur de mon urine ? LE Page. Il a dit, Monsieur, que l'
urine
était, par elle-même une bonne et saine urine,
dit, Monsieur, que l'urine était, par elle-même une bonne et saine
urine
, mais que quant à la personne dont elle sortait,
e- (1) Janus, 15 avril J902. 64 HENRY MEIGE bas. On portera son
urine
demain au médecin. Prends garde que l'urinai so
l'intérieur d'eau et de cendres. Maximilien le médecin regarde les
urines
et sait bien y voir si les gens sont malades. E
enant quelques nouvelles oeuvres d'art inspirées par la science des
urines
. J'ai signalé très brièvement dans ma précédent
i en quel dangier se mettent les malades, lesquels envolent de leur
urine
aux apoticaires pour monstrer aux médecins. Les a
ccidentz qui ne sont point, aussi qui ne se cognoissenl point par l'
urine
, car plusieurs maladies adviennent au corps des-
'urine, car plusieurs maladies adviennent au corps des- quelles les
urines
ne atestifient rien, et font cela affin que le mé
e les pharmaciens se sont occu- pés de l'examen et de l'analyse des
urines
(La 3° édition do Y Officine de Dorvault, publi
Dorvault, publiée en 1850, contient, p. 76o, un long chapitre sur l'
urine
qui ne se trouve pas dans les deux éditions pré
s précédentes) ». Je crois, en effet, que l'examen scientifique des
urines
pratiqué par les pharmaciens ne remonte pas à u
il n'est pas besoin de faire de grands frais. Seul, le médecin aux
urines
apporte une note pompeuse dans cet intérieur rus-
le geste même de ce personnage, exclut l'hypothèse d'un examen des
urines
. Cependanl l'Alchimie et l'Urologie allaient so
ficile, a jugé prudent de s'adresser aux lumières de la science des
urines
. On a donc apporté l'urinai, dont le réci pien
e et d'un diagnostic de grossesse : divination par l'inspection des
urines
permettant de certifier l'existence d'un germe
ation entre les cavités vésicales et autres,... De là àcroire que l'
urine
de la femme peut contenir des traces visibles d
est venue consulter un médecin ; elle a apporté une petite fiole d'
urine
. Le médecin la regarde, fronce le sourcil, fait l
e el par bé- mol », et prétendaient reconnaître à la couleur de ses
urines
, si une jeune et jolie fille avait jeté son bon
du foie, de la rate, du coeur, des gros vaisseaux, des reins et des
urines
, de l'appareil génital. ' On ne constate aux po
e boule d'eau chaude. , « Les réflexes rotuliens sont exagérés.
Urines
et selles involontaires. A son entrée, la malad
le compare à ce qu'il était autrefois. La soif est toujours vive ; il
urine
de 5 à 6 litres par jour ; son urine renferme d
La soif est toujours vive ; il urine de 5 à 6 litres par jour ; son
urine
renferme de 40 à 50 grammes de glycose par litre
accroissement exagéré du corps, souvent la présence du sucre dans l'
urine
et les signes généraux des tumeurs cérébrales,
de saturnisme, pas de diabète. Pas d'onychophagie ni d'incontinence d'
urine
dans son jeune âge. Enfant unique, très nerveux
en présente pas les symptômes ; enfin l'ab- sence de sucre dans les
urines
élimine, indépendamment de la différence de tab
. Dans son enfance, il était atteint d'incontinence essen- tielle d'
urine
. C'est un homme de stature moyenne et d'une const
elques mictions involontaires ; le malade n'a pas la sensation de l'
urine
passant dans le canal. Pas d'anesthésie du gl
ns le canal. Pas d'anesthésie du gland, du périnée, du scrotum.
Urines
claires, sans sucre, ni albumine. Organes des s
r le foyer de l'aorte, arythmie. La malade est un peu dyspnéi- que.
Urines
albumineuses légèrement. La ponction de la plèvre
es tendineux très affaiblis. Les résultats fournis par l'examen des
urines
(1) el du sang (2), l'ab- (1) L'analyse de l'ur
ar l'examen des urines (1) el du sang (2), l'ab- (1) L'analyse de l'
urine
a donné les résultats suivants : volume d'urine e
(1) L'analyse de l'urine a donné les résultats suivants : volume d'
urine
excrété en 24 heures : 1100 centimètres cubes ;
ppré- ciables. ' - Nous signalerons le résultat de nos analyses d'
urine
dans trois cas de trophoedème : . LE PSEUDO-O
bles trophiques comme la xérodermie (Jiudiceandrea). L'examen des
urines
a montré que l'excrétion en quantité est peut-êtr
légèrement diminuée et que, par ailleurs, les autres éléments de l'
urine
s'y trouvent en quantité normale. Le syndrome
tout différents de ce qu'ils sont chez les hystériques ; et si les
urines
étaient peu abondantes, leur quantité s'élevait
ée, mais elle n'en a pas assez, car son ventre est ballonné; elle n'
urine
pas assez; on lui donne trop à manger. » Il exi
ement violente. Les accès se jugeaient par une polyurie excessive d'
urine
très diluée, très peu dense, sans sucre ni albu
chimiques du diabète sucré. En effet, la composition chimique de l'
urine
, du sang, voire de tous les organes, peut s'éca
ssible d'y voir la cause de la modalité patholo- gique du muscle. L'
urine
du malade contenait du sucre en perma- nence, a
ée, reste chargée d'une quantité donnée et élimine l'excédent par l'
urine
, soit à un moment donné, la quantité correspond
duits par les aliments, plus de 93 gr. de chlorure de sodium, par l'
urine
. Il perdit donc plus de 26 gr. de chlorure de s
de sodium on a considérablement augmenté l'élimination du Br. par l'
urine
. Chez deux malades, pendant les premiers jours
mment un ou deux jours avant l'accès, invariablement, la quantité d'
urine
dimi- nuait en môme temps que sa densité montai
ine des nerfs cruraux, obturateurs et cutanés externes. Rétention d'
urine
. L'affection fait des progrès rapides : vers le
r, cyanose des membres inférieurs. De temps à autre, incontinence d'
urine
, plus souvent rétention absolue. Urines trouble
emps à autre, incontinence d'urine, plus souvent rétention absolue.
Urines
troubles, ammoniacales; pas d'albumine. Consti-
il n'y a que la face dont la sensibilité reste intacte. Rétention d'
urine
permanente. Escarres très vastes, ulcère profon
ndes oscillations de la température (35-38°). Diarrhées - profuses,
urines
purulentes : Le 27 novembre, paralysie du voile
état des voies digestives de la malade, de la qualité toxique des
urines
, et s'entendre sur la valeur du mot série, différ
spontanément ou à l'aide de la sonde au moment de l'injection, les
urines
ont été recueillies de demi-heure en demi-heure
a première journée, et enfin de deux en deux heures. L'examen des
urines
a été fait à chaud et à froid, soit par simple
ion avec ou sans le secours du chloroforme,soit dans certains cas d'
urines
très pigmentées, en précipitant les pigments pa
ccès. Ainsi chez Vaud..., après une injection faite le 20 juin, les
urines
contenaient encore du bleu à la 95° heure bien qu
à 0 à la 32° heure pour redevenir bleu foncé à la 1° heure. - Les
urines
n'ont pas été prises entre la 1° et la 42° heure.
eau. En même temps, on constate chez quelques- uns de l'iode dans l'
urine
. , Mais à côté de ces cas particuliers, il est
d'une auréole rouge. - Désordres génito-urinaires. Les rétentions d'
urine
sont si fré- quentes chez ce malade qu'il est f
Ces rétentions ont lieu seulement le matin. A chaque évacuation l'
urine
est précédée de quelques gouttes de pus et le jet
l y a contractions vésicales et rectales. L'urètre est perméable. L'
urine
est troublée, à peine acide, char- gée de pus e
de soude, salol et acides minéraux, a fait disparaître le pus de l'
urine
en lui resti- tuant en partie sa limpidité, quo
rotuliens ; immobilité des pupilles à la lumière ; inconti- nence d'
urine
; constipation. L'affection date de cinq-six ans
lysie brusque de la jambe gauche en même temps qu'une rétention d'
urine
. Le 8 avril on constate l'absence des réflexes ro
respiration et de l'expectoration); dé- cubitus sacré, rétention d'
urine
et de matières; fièvre il type irrégulier, 37,5
hénomènes céré- braux, en même temps que l'urobiline décelée dans l'
urine
indique le fonctionnement imparfait du foie. Da
ouvement fébrile assez marqué ; les HÉPATISME ET PSYCHOSES. 359
urines
, rares, sont d'un brun rouge très foncé et laisse
e, T. M. 38° 4; T. S. 39° 8. Régime lacté ; traitement approprié. L'
urine
ne contient ni albumine, ni sucre. 24. - T. m.
est dans une demi-somno- lence continuelle. 25. T. m. 37° 4. Les
urines
sont redevenues claires. Le soir, la fièvre rep
ppropriée. Du 5 au 13 décembre, la fièvre cesse de se montrer ; les
urines
sont claires et abondantes, sans albumine ni su
que nous semble pouvoir être incriminée dans le cas précédent : les
urines
hémaphéiques du début, la fièvre avec ses allur
iser davantage faute d'avoir pu nous livrer à l'examen chimique des
urines
et d'avoir pu suivre le malade jusqu'au bout. E
isse pas volontiers examiner. Coeur sain. En raison du gâtisme, les
urines
ne peuvent être examinées. , 8. - Hébétude, o
langue, se disait un chat, un chien. La nuit a été calme et propre.
Urines
pâles, floconneuses; une goutte d'acide leur rend
urtout à gauche. Le foie parait considérablement diminué de volume.
Urines
brunes, chargées de pigment biliaire. Vomisse-
En avril 1875, ictère généralisé intense ; décoloration des selles,
urines
d'un vert foncé. Le foie est tuméfié, la matité e
ont évolué sans fièvre ; 10 fois on a trouvé de l'albumine dans les
urines
. Le sommeil cri- tique est survenu du deuxième
ements non pédérastiques; dégoût du corps de la femme. L'odeur de l'
urine
étrangère, même en décomposition ou chaude, don
dans sa bouche, excite chez lui l'orgasme vénérien ; il prend de l'
urine
d'homme ou faute de mieux, de l'urine de femme (m
asme vénérien ; il prend de l'urine d'homme ou faute de mieux, de l'
urine
de femme (maso- chisme larvé). L'excitation sex
ût dans le wagon soulevé. Le même phénomène a lieu en présence de l'
urine
féminine, des linges sales de femmes, mais le c
LI. La signification pathogénique DES substances toxiques dans l'
urine
DES aliénés; par PELLEGRINI. (Riv. sp. di fren.,
liénés; par PELLEGRINI. (Riv. sp. di fren., fasc. I, 1897.) , Les
urines
des aliénés renferment en général un excès d'endo
LOGIE PATHOLOGIQUES. 495 urotoxique est d'autant plus élevé que les
urines
contiennent une plus grande quantité de cette s
l ! . 31. Typhoïde. Fièvre chez les alié- nés, par Hyvert, 103.
Urine
. Substances toxiques de l' - des aliénés, par l
nt une période de 7 ou 8 mois. Ch... a eu aussi de l'incontinence d'
urine
, dans le jeune âge. Il est père d'une petite fi
fs et des lavements. Il urinait sans difficulté à cette époque, ses
urines
étaient normales. Voici, d'autre part, l'état
ensibilité élec- tro-musculaire est un peu augmentée. Analyse des
urines
. - Rien de spécial ; on note quelques granules d'
'hypertrophie de la rate. 54 ' sabrazès ET BRENGUES Le volume des
urines
est d'environ 700 ce. par 24 heures. La difficult
émue. Elle accourut, visita les victi- mes, tâta le pouls, lorgna l'
urine
, drogua, purgea, saigna, puis, finale- ment,...
e verre. L'urinai comme son nom l'indique, servait à recueillir les
urines
du malade, dont le médecin exami- nait la limpi
urinaire ni de tendance à la rétention. Mictions non douloureuses.
Urine
émise pendant 24 heures avec un régime composé
s et qui sont loin d'être toujours inof- lessives. INCONTINENCE D'
URINE
D'ORIGINE HYSTÉRIQUE PAR R P. RAVAUT Intern
qui au cours de son séjour à l'hôpital fut atteint d'incontinence d'
urine
de même nature que son tremblement ; bien que l
rine de même nature que son tremblement ; bien que l'incontinence d'
urine
d'origine hystérique soit un fait rare, mais bi
nuit sans qu'il s'en aperçût et mal- gré lui : cette incontinence d'
urine
succédant à cette série de manifesta- tions hys
e anesthésie desmu- queuses vésicale et uréthrate. INCONTINENCE D'
URINE
D'OtUGINE UYSTÉRIQUE 169 Tel était le fait, res
t, restait à l'expliquer : la physiologie nous montre que lorsque l'
urine
a trop distendu la paroi vésicale, celle-ci réagi
op distendu la paroi vésicale, celle-ci réagit, se con- tracte et l'
urine
expulsée arrive au contact de la muqueuse prostat
lexe qui se tra- duit par la contraction du sphincter uréthral et l'
urine
ne pouvant aller plus loin rentre dans la vessi
araître, la contraction du sphincter uréthral ne se l'ait plus et l'
urine
s'écoule au sur et à mesure de son arrivée dans
re de son arrivée dans la vessie, donnant lieu à une incontinence d'
urine
analogue à celle qui accompagne les paralysies du
s parties normales. Appareils respiratoire et circulatoire normaux.
Urines
très albumineuses, 3 grammes environ par 24 heu
plus accentuées. A ce niveau la peau est fine et transparente. Les
urines
renferment toujours une grande quan- tité d'alb
des cuisses, augmentent de vo- lume. Au lit, elles diminuent et les
urines
deviennent plus abondantes. Nous ne nous étendr
il ne serait pas mauvais que son médecin fit un examen sommaire des
urines
. Peut-être sommes-nous ici en présence d'un de
ants atteints d'incontinence nocturne xu £ 20 294 E. HERTOGUE d'
urine
. Très souvent les testicules sont appliqués encor
articulaire aigu, et pendant longtemps a eu de l'albumine dans ses
urines
. Durant sa seconde grossesse, elle a vu les veine
me généralisé. A partir de ce moment, il y a eu de l'incontinence d'
urine
la nuit; toutes les nuits, sans exception aucune,
m. G12, ce qui dépasse la normale. (Fig. 28.) Il est incontinent d'
urines
la nuit. Les pieds sont extrê- NOUV. ICO-.IOC;R
ade. Il a réduit pres- que complètement l'incontinence nocturne des
urines
. Les pieds sont bien moins fétides. La taille s
ent facilement. Les parties génitales sont très peu développées. Il
urine
au lit toutes les nuits. La mère (44 ans) souff
kg. 100 à 42 kg. 100. A l'heure actuelle, l'incontinence nocturne d'
urines
a complètement disparu. HOSPICE DE BICÊ'TRE.
pousser pour pouvoir uriner, et elle ne sent pas le pas- sage de l'
urine
pendant l'émission, à aucun moment elle n'a eu d'
it quelquefois atten- dre et pousser pour provoquer l'émission de l'
urine
, il n'y a pas d'insensibilité du canal. Les c
ri- ner et l'anesthésie du canal persiste ; rien d'anormal dans les
urines
, les rè- yles sont toujours régulières. Pl. I
sont normales, il n'y a pas d'anesthésie du sphincter. L'examen des
urines
ne révèle rien de spécial. L'examen des yeux mo
vélation en vérité ! Ne voilà-t-il pas qu'au fond de la bouteille à
urines
, il se produit une sorte de remous où bientôt app
oût, odorat, ouïe normaux. Pas de phénomènes psychiques anormaux.
Urine
facilement, pas d'incontinence vésicale ou anale.
tendance à la constipa- tion. Appareil urinaire. Rien de spécial,
urines
claires, abondantes. 15 mars. - La déglutition
momanomètre du Professeur Po- tain, chiffre tout à fait normal. Les
urines
ne contiennent ni sucre, ni albumine. Leur quan
la diplopie. Au début également elle aurait eu de l'incontinence d'
urine
et des matières avec de l'anesthésie des sphinc
is son entrée à la Salpêtrière, il s'est déclaré de la rétention de l'
urine
qui a nécessité des sondages et qui persiste en
nt disparu, il n'y a plus d'insensibilité du canal : l'analyse de l'
urine
ne révèle rien de spécial. Les règles ne vienne
reuses peinturée suggérées par les Médecins empiriques, docteurs ès
urines
, dont toute la science diagnostique était enclo
elle menacée de devenir hydro- pique ? Vite, que l'on recueille ses
urines
et qu'on les porte chez l'empi- rique à l'oeil
, clignant de l'oeil, inspecte d'un air entendu le petit ballon aux
urines
qu'il vient d'extraire de son panier. Ce qu'il
ns sont en excellent état (il n'y a pas trace d'al- bumine dans les
urines
) ; d'ailleurs l'affection est franchement unilaté
s renseignements né- gatifs : coeur normal, pas d'albumine dans les
urines
, aucun désordre des organes abdominaux. A 14
enant sans lésion viscérale apprécia- ble et sans modifications des
urines
. Chez certains malades, l'apparition de l'oedèm
issement mitral, mais n'avait jamais eu de crises asystoliques. Les
urines
ne contenaient pas d'albumine. Ce n'était donc
risme, quelquefois vomissements, suppres- sion presque complète des
urines
, quelquefois albuminurie, obnubilation sensorie
sont pas trop fréquentes, mais elles se font un peu at- tendre. Les
urines
normales comme quantité ne contiennent ni sucre,
que; appareil circulatoire ma- lade (vaisseaux, coeur) ; examen des
urines
. Tumeur. Céphalée, hébétude; néoplasie ailleurs
ide dphalocr : 1chirlien ana- logue au trouble de la sécrétion de l'
urine
, caractérisé aussi par un excès de sécrétion al
les diabétiques au coma (vertige acétoné- mique ? ) : l'examen des
urines
donnera de précieuses indications dia- gnostiqu
urer de l'état de la vessie et de l'évacuer au besoin. L'examen des
urines
permettra la reconnaissance éventuelle d'albumine
sance est souvent fugitive : au réveil, il y a émission abondante d'
urines
nerveuses et le tremblement est fréquent. On n'ac
danum par exemple), par la constatation d'oedènws, par l'examen des
urines
, du pouls, de la respiration. Il est important
Stokes),. suspirieuse et profonde dans le second (Kussmaul-King). L'
urine
retirée de la vessie montre du sucre chez celui
e foie est gros; la vessie ne renferme ! que quelques grammes d'une
urine
extrêmement albuinineuse; les excréta présenten
tère cérébrale' postérieure. Les malades perdent inconsciemment les
urines
et les matières fécales. Le plus souvent cet état
tard, on constate le plus souvent de la constipation, et le malade
urine
goutte à goutte par regorgement. Ce phénomène e
éralement frappant lorsque l'on regarde marcher le paraplégique : l'
urine
s'échappe et roule sur les membres déplacés avec
t l'existence de mictions impérieuses. Jamais le malade ne perd ses
urines
goutte à goutte ou n'urine dans son pantalon sa
périeuses. Jamais le malade ne perd ses urines goutte à goutte ou n'
urine
dans son pantalon sans s'en rendre compte; mais
es ou d'une minute au plus, il ne peut se retenir plus longtemps et
urine
dans ses vêtements. Ce symptôme est, dans sa ne
noncés. Il y a quelquefois au début du priapisme, de la rétention d'
urine
avec miction vraie. Le malade garde le lit. Les
rdinairement d'assez vives douleurs. Les sphincters sont paralysés,
urine
et matières souillent le malade. Des escarres s
halée souvent, d'autres fois par de la tympauite, de la rétention d'
urine
, de la constipation ou des troubles menstruels. A
des réflexes, et par- fois de l'incontinence ou de la rétention des
urines
. Les malades finissent par être tout à fait imp
diagnostic. Il yole le plus souvent constipation et incontinence d'
urine
. On note, comme caractères distinctifs propres
ptiformes mais jamais de morsure de la langue ni d'incon- tinence d'
urine
. L'étal syncopa) suffit à faire cesser le spasme
es signes manifestes de tabès (douleurs fulgurantes, incontinence d'
urine
, lymphocytose, etc.), qui avaient précédé et ac
nvulsion. On observe tantôt la rétention, tantôt l'incontinence des
urines
et des matières; les convulsions peuvent en eff
t à l'Interrogatoire, à la recherche de la lièvre, à l'exa- men des
urines
. Les convulsions symptomatiques de lésions céré
ne) que chez l'adulte, seront facilement reconnues par l'examen des
urines
et les commémoratifs. Les convulsions épileptiq
érencient du mal comitial, outre la présence de l'albumine dans les
urines
: l'accès éclamptique est pré- cédé de quelques
iale. En dehors de l'éclampsie, la recherche de l'albumine dans les
urines
peut encore être une source de renseignements p
besoin il sonde le malade pour se procurer la quantité nécessaire d'
urine
. Ce sera le seul moyen de déceler Y urémie conv
, on peut observer des évacua- tions involontaires de matières et d'
urines
. Le pouls est fréquent, la pression artérielle
ulature respiratoire participe il la convulsion. L'éva- cuation des
urines
et des mat ières fécales s'observe comme précédem
ubliera pas de constater lui-même si la langue a été mordue, si les
urines
ont été rejetées et si le malade s'est blessé;
ertoreuse : le praticien recherchera s'il n'y a pas eu évacuation d'
urine
ou morsure de la langue pendant la nuit, s'il n'y
e, elle apparaît sans motif apparent, s'accompagne d'incontinence d'
urine
, de morsure de la langue, est suivie d'une long
ces caractères, morsure' de la langue, évacuation invo- lontaire d'
urine
, peuvent se rencontrer accidentellement dans le p
tats trouvés par les auteurs sont tout à l'ait contradictoires. Les
urines
sont modifiées, il y a diminution de leur quant
ntité et modification dans l'élimination des éléments anormaux de l'
urine
sans que nous puissions nous arrêter ici sur ce p
t à ne négliger aucun moyen d'exploration. Certains trou- bles de l'
urine
, tels que l'waltlric, la phosphalurie sont des ca
une certaine douleur sur le trajet de l'uretère. Pendant la crise l'
urine
diminue de quantité, quelquefois une polyurie a
sont quelquefois l'occasion de douleurs atroces ; la séparation des
urines
, et surtout le cathétérisme des uretères ne ser
tuel, la dyspepsie, etc.; loca- leruent i mcontinence nocturne de l'
urine
, l'abus du coït, la masturba- tion, la sperinal
ble, lente à venir, entrecoupée; le jet est diminué, au point que l'
urine
sort goutte' à goutte, ce qui en imposé pour un
raction prématurée du sphincter amène une rétention incomplète de l'
urine
. En général bénignes et d'assez courte durée, l
t reste plutôt affaibli et la pression vésicale s'abaisse. Enfin, l'
urine
ne renferme ni micro-organismes ni éléments ano
ractères fondamentaux : fréquence, douleur mictionnelle, pus dans l'
urine
; les deux premiers prêtent à confusion, le dern
étro-prostatite, une pyélite déversant du pus qui se mélange dans l'
urine
et provoquant des crises vésicales. Un calcul vés
le; les divers viscères abdominaux; faire des analyses répétées des
urines
, chimiques, histologiques et bactériolo- giques
urantes qu'elle précède. Enfin, à chaque miction. le pas- sage de l'
urine
provoque une sensation de brùlure plus ou moins v
il y a rétention : celle-ci est complète lorsque la totalité de. l'
urine
est retenue, et incomplète lorsque, après l'émiss
t incomplète lorsque, après l'émission d'une certaine quantité de l'
urine
, une autre partie, grande ou petite, ne peut être
fois, après des efforts de miction infructueuse, quelques gouttes d'
urine
s'écoulent involontairement : phénomènes initiaux
ercevoir l'acte IlIictiol1lH'l, soit de mictions incon- scientes, l'
urine
, s'écoulant parce que la vessie et le col, anesth
muscles abdominaux produisent t'evacuation d'une petite quantité d'
urine
; aussi est-il indispensable de s'assurer, par l
ents contenant la sonde et l'huile, etc. ou destinés à recueillir l'
urine
, de découvrir le malade, d'entourer les cuisses
neux qui cède facilement : la traversée prostatique étant l'aile, l'
urine
s'écoule. Il faut en régler le débit de manière
n bouchera avec le doigt le pavillon de la sonde, pour ne laisser l'
urine
s'écouler que par un filet mince, presque goutt
ne faut jamais vider une vessie distendue en une rois. Si me ! ne l'
urine
] tarait déjà infectée on introduira dans la ve
erismc aussi souvent qu'il sera nécessaire, et en , INCONTINENCES D'
URINE
. 955 cas de.difficulté d'introduction on laisse
on vers les voies supérieures de l'infection est la stagnation de l'
urine
dans le bas-fond. INCONTINENCES D'URINE Quand
on est la stagnation de l'urine dans le bas-fond. INCONTINENCES D'
URINE
Quand l'urine s'échappe de la vessie, soit d'nn
nation de l'urine dans le bas-fond. INCONTINENCES D'URINE Quand l'
urine
s'échappe de la vessie, soit d'nnc'll1anière cont
opposer, il y a incontinence. En réalité, l'issue involontaire de l'
urine
résulte de quatre phénomènes distincts, quoique
poser; b, miction inconsciente : la vessie se contracteet expulse l'
urine
, le malade ne s'aperçoit de la miction que parce
e ne s'aperçoit de la miction que parce qu'il se sent mouillé par l'
urine
évacuée ; c, incontinence vraie ; les contraction
nce vraie ; les contractions de l'appareil sphinctérien manquent, l'
urine
s'écoule constamment; d, incon- tinence par reg
accès, les vertiges, les absences; le malade, perdant connaissance,
urine
sans le vouloir ou ne résiste que quelques inst
es mictions involontaires ou à une incontinence vraie, l'issue de l'
urine
se fait différemment. Dans les deux cas, le mal
ne se fait différemment. Dans les deux cas, le malade est mouillé d'
urine
, mais dans' le premier, on peut assister à l'ém
ts, mais seulement lorsque la vessie retient une notable quantité d'
urine
. Or, dans certaines maladies du système nerveux
ment s'établit très vite, nous l'avons vu, et une faible quantité d'
urine
produit le regor- gement qui n'a lieu qu'avec u
avons expliquées ailleurs (voir rétention).. En cas de retenue de l'
urine
, le pronostic est relativement favorable, car des
faire cesser ou tout au moins de diminuer l'issue involontaire des
urines
. Ces dernières sont ordinairement limpides au d
habitude, est impropre, car les petits malades ne perdent pas leur
urine
inconsciemment : le nom de miction involontaire
e (rare), tuberculose, etc.), ou n'est autre qu'une altération de l'
urine
(acidité excessive, albuminurie, glycosurie). 2
né, la tète dans une position déclive pour éviter que la masse de l'
urine
ne pèse sur le col. Récemment Cathelin a appliq
de symptômes propres : ni douleurs, ni troubles mictionnels, mais l'
urine
louche et trouble en masse dégage une odeur fad
i avec ses caractères habituels, fréquence, douleurs, purulence des
urines
: mais ceux-ci sont influencés par l'état du mu
ides, de. l'amaigrissement ; comme symptômes locaux, on observe des
urines
troubles en niasse, ne s'éclaircissant pas par
pétition dépendra de la marche de la maladie et de l'abondance de l'
urine
retenue. Une faible quantité, de 40 à 50 grammes
les crises de névralgies rénale ou vésicale, soit que la « crise d'
urine
» se maintienne en dehors de toute douleur. La
moins prononcée. On « signalé jusqu'à 15, : W, même : 2;) litres d'
urine
rendue en 24 heures, [E. DESNOS.] 964 TROUBLE
e, tout au moins l'excitabilité vésicale est créée. La quantité d'
urine
rendue impose le diagnostic, mais on ne doit con-
tanos, dans des cas de compression médullaire on a vu la quantité d'
urine
tomber à 200 ou 300 gr. et revenir à la normale
ents, sueurs profuses, sialorrée, diarrée, etc., puis tout à coup l'
urine
reparait, mais en faible quantité. L'oligurie
es, sans donner lieu à des troubles notables de la santé. On voit l'
urine
tomber à 00, 50, même 20 grammes dans les vingt
un Lui inqualifiable, ou les conclusions hasardées d'une analyse d'
urine
, appa- raît et s'installe dans l'esprit d'un su
ue, le malade examinant à tout instant comment se comporte le jet d'
urine
. Ailleurs, et plus souvent, c'est à la suite d'un
n prématurée du sphincter détermine un certain degré de rétention d'
urine
incomplète, très peu marquée d'abord et intermi
n peut retrouver au microscope quelques spermatozoïdes mélangés à l'
urine
, chez des individus continents depuis longtemps o
fait est exceptionnel. Quant à la description du sperme mélangé à l'
urine
, quelquefois reproduites depuis Lallemand et Tr
e héréditaire ou per- sonnelle, beaucoup ont eu de l'incontinence d'
urine
nocturne infantile. D'autres sujets sont condui
D'ailleurs la constatation de la présence de spermatozoïdes dans l'
urine
ne suffit pas pour établir le diagnostic, car c
même que quelques- uns de ses éléments sont parfois entraînés par l'
urine
chez des sujets continents depuis longtemps,' c
douleur ou une gêne périnéale est accusée. Le mélange du sperme à l'
urine
peut faire croire à une spermatorrée qui n'est
e. dit-elle, ceci la ferait vomir, cela ne serait point supporté. L'
urine
tombe à 500 ou 000 grammes, l'urée à quelques g
oercibles simulent souvent l'intoxication urémique, et 1 examen des
urines
ne donne pas toujours la clef du diagnostic. Il
rance est absolue. Il y a une constipation opiniâtre et le taux des
urines
est très diminué. Peu de symptômes abdominaux d
tionnent mal, il y a quelque- fois de l'albumine, du sucre dans les
urines
... On peut relever enfin des troubles persistan
nt la pomme de rei- . nette. Il y a fréquemment de l'acétone dans l'
urine
, mais pas de- sucre. Enfin, des hémiplégies, de
matières fécales. Il importe, en effet. d'éliminer l'incontinence d'
urine
essentielle. Le syndrome étudié se présente che
cours de son évolution. Au début, il y a géné- ralement rétention d'
urine
et constipation. Parl'ois même la rétention uri
ssie est vide; dans celle-là, elle est pleine; dans les deux cas, l'
urine
coule sans cesse et goutte il goutte. Il est as
répétées qu'elles dé- terminent, et fréquemment quelques gouttes d'
urine
s'échappent et souil- lent le linge du malade.
'hygiène et de pro- preté. Il importe de faciliter l'écoulement des
urines
par des matelas spéciaux, et de veiller il ce q
roy), certaines chorées, athétose double. Epilepsie, incontinence d'
urine
. Tremblement héréditaire. Stigmates mentaux. Le
l'enfance ; on a signalé également quelques signes d'incontinence d'
urine
par hérédo- syphilis. Nous ne nous arrêterons p
cre baisser proportionnellement après un régime, à la fois dans les
urines
et dans le liquide céphalo-rachidien. L'urée
iologique a donné également de bons résultats dans l'incontinence d'
urine
infantile (Cathelin). Enfin cette méthode a pu
e la facilité avec laquelle les poisons (acide chlorhydrique dilué,
urine
stérilisée), les pigments (carmin), les microbe
yée aussi contre les troubles vésicaux. rétention ou incontinence d'
urine
. Le plus souvent on pourra s'en tenir à des app
1551. - au collodion, -1552. - la paraffine, 1355. Incontinence d'
urine
. Étiologie, 955. symptômes. Diagnostic. Traitem
- thologiques, 1285. - Respiration, troubles, 940. Rétentions d'
urine
, étiologie, 950. - Rétention aiguë. - chronique
temps. L'interne en pharmacie du service, M. Goiogot a analysé ses
urines
, qui ne contiennent aucun élément anormal. Pour
. Syphilis en l<885 à 18 ans. Début par une crise de rétention d'
urine
à 23 ans. Puis faiblesse et incoordination des me
tion VI de la thèse de Sureau : douleurs des jambes, incontinence d'
urine
, myosis, abolition des réflexes rotuliens, signe
les bruits du coeur sont rapides ; le premier bruit est sourd. Les
urines
sont normales. Il n'y a pas de fièvre. A l'exam
ÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE E 109 Poumons et coeur sains.
Urines
: ni sucre ni albumine. Evolution de l'affectio
giques, un peu rares (60 à la minute). Pas de bruits anormaux. Les
urines
sont très chargées avec dépôt abondant d'urates,
e semble normale. Pas de troubles sen- soriels. Incontinence de l'
urine
et des fèces. A noter la déformation des doigts
vraies régurgitations. En même temps on constate de la rétention d'
urine
: on sonde régulièrement la malade. La malade e
ilocarpine) la malade est restée 7 jours sans selle. La rétention d'
urine
continue ; les urines sont très claires. Les
de est restée 7 jours sans selle. La rétention d'urine continue ; les
urines
sont très claires. Les 6 et 7 mai. - Depuis q
'elles ayant un timbre sourd. Depuis quelques temps, incontinence d'
urine
. Pas de troubles subjectifs, ni objectifs de la
Coeur : ryhtme pendulaire très net. Pouls petit, très irrégulier.
Urines
foncées, dépôt abondant d'urates et de phosphates
iens, le malade se trouve en parfaite santé. Cependant l'examen des
urines
nous réservait une surprise ; la liqueur de Fehli
atre ans, on s'est aperçu pour la première fois incidemment que son
urine
contenait du sucre ; cependant il n'a jamais eu
jamais eu ni polyurie, ni polyphagie, ni polydipsie. Actuellement il
urine
de 1.500 à 2.000 grammes par jour ; la quantité
y rentrer ; en l'absence de traitement pan- créatique, l'analyse d'
urine
donnn les chiffres suivants : le 15 mai, 5 gr. 20
. Ragot, in- terne en pharmacie, pratiqua une analyse complète de l'
urine
dont voici les résultats : Volume des 24 heures
5 ; la perte de poids par dégagement de C02 après fermentation de l'
urine
par la levure de bière à 24.83. Après fermentat
ion, la réaction au Fehling avait disparu ; après ébulli- tion de l'
urine
additionnée de 1 pour 100 d'acide sulfurique, et
quent les matières réductrices et polarisantes contenues dans cette
urine
sont bien" du glycose et uniquement du glycose, à
ques et mentaux du myxoedeme, ainsi que la quantité de sucre dans l'
urine
, plus accentués encore, dents usées, cheveux rare
du coeur ne montrait rien d'anormal à l'auscultation ; l'examen des
urines
révélait une petite quantité d'albumine. Le 20
p- porter cet oedème des jambes. Il n'y a pas d'albumine dans les
urines
. La malade a été soumise pendant trente-cinq jo
ignes d'insuffisance mitrale, un souffle systoiique aortique et ses
urines
renfermaient de l'albumine. Allen (Charles Lewi
ation phéniquée : délire, vomissements, soif intense, langue sèche,
urines
noires. Un érythème recouvrait toute la jambe e
obules blancs : 5 : 000. Le nombre des hématies est un peu diminué.
Urines
. Nous mettons en parallèle les moyennes de nos an
é. Urines. Nous mettons en parallèle les moyennes de nos analyses d'
urine
pratiquées d'abord vers le 1er avril avant l'ép
nt nerveux, pas de convulsions dans l'enfance, pas d'incontinence d'
urine
, pas de vertiges ni d'accès d'épilepsie. A l'éc
aboli. Inégalitépupillaire. Signe d'Argyll-Robertson. Incontinence d'
urine
. Le 2 septembre 1903, la malade est atteinte d'
ouloureux dans le rectum, en 1895 apparaissent l'incon- tinence des
urines
et des matières fécales, puis la frigidité sexuel
s sensibilités pro- fondes et de la notion de position. Rétention d'
urine
. Signe d'Argyll Robertson. Tuberculose pulmonai
rd des sensations. Abolition des réflexes tendineux. Incontinence d'
urine
. Inégalité pupillaire. Signe d'Argyll-Robertson
hésie plantaire et quelques erreurs de localisation. Incontinence d'
urine
. Examen anatomique. -Deux ganglions lombaires o
bres, avec abolition des réflexes cutanés et tendineux, rétention d'
urine
et des ma- tières, priapisme, et douleur sponta
E 273 Les appareils circulatoire et génito-urinaire sont normaux. L'
urine
ne contient pas de sucre, ni d'albumine, ni ne
et dans la journée (n'avait jamais de céphalalgies aupa- ravant).
Urine
bien. Ne présente rien d'anormal le long de la
- lien gauche a toujours disparu. Sensibilité à la chaleur normale.
Urine
norma- lement. Les membres supérieurs ne prés
de grands efforts pour uriner et de s'y reprendre à plusieurs fois.
Urine
3/4 de litre; pas d'albu- mine. Appétit conse
disparu. Appétit bon. A uriné presque facilement 1 litre 3/4. Cette
urine
contient 1 gr. 30 d'albu- mine par litre. T.
le au soir ; il a été agité et a déliré toute la nuit. Un litre d'
urine
contenant de l'albumine en abondance. T. : mati
nférieurs. Il a été agité la nuit, a crié. Il a uriné 1 litre ; l'
urine
contient beaucoup moins d'albumine ; 0.25 centi-
bres. A pris la veille au soir chloral et morphine et a bien dormi.
Urine
un litre, ne contenant plus que 0,10 centigramm
bien, lit facilement, mais au début se fatiguait vite en lisant.
Urines
normales. Appétit normal. Pas de gène de la parol
plus fortement que le droit ; en même temps rétention incomplète d'
urine
qui ne nécessita pas le sondage et albuminurie qu
ur complète avec négativisme. Il s'ali- mente très difficilement et
urine
au lit. 24. Déprimé, inerte, hébété, reste cons
fois. 3 décembre. Même état de stupeur, il est mal tenu, malpropre,
urine
sur le parquet, est tout à fait incohérent. 3
axie locomotrice progressive : douleurs en ceinture, incontinence d'
urine
, absence persistante du phénomène du genou; amb
peur, on vit cesser sous l'influence des injections une rétention d'
urine
parpara- lysie vésicale. On n'a noté aucun chan
ifférents. - . On observe enfin une modification complémentaire des
urines
, correspondant à la période ascensionnelle fina
: 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. Bouchard : injections intra-veineuses d'
urine
en nature chez le lapin. L'urine a été réduite
ard : injections intra-veineuses d'urine en nature chez le lapin. L'
urine
a été réduite au tiers par évaporation pour se dé
vec une seringue mais avec une pipette de Dazère, l'écoulement de l'
urine
étant assuré par une * pression mercurielle.
ne * pression mercurielle. Dans ces conditions, on a trouvé que l'
urine
de provenance vésa- nique est beaucoup moins to
l'urine de provenance vésa- nique est beaucoup moins toxique que l'
urine
normale. (La pre-, mière a été fournie par un h
oxicité a été vérifiée par des injections comparatives : : 30 ce. d'
urine
de fou réduite au tiers, ne font rien ou donnent
, ne font rien ou donnent quelques convulsions passagères, 30 ce. d'
urine
normale tuent, et elles tuent un animal qui a r
nt un animal qui a résisté quelques jours avant à une injection d'
urine
pathologique. La diminution de la' toxicité uri
inaire chez notre vésanique est d'autant plus remarquable que cette
urine
était plus dense, 1020 au lieu de 1010, plus ri
nique était plus pesant que le sujet normal pour la même quantité d'
urine
en vingt-quatre heures (2 litres) que les lapin
s) que les lapins les plus lourds, les plus résistants recevaient l'
urine
normale. Cette diminution de la toxicité ne peu
rapeutique. Il ne serait pas choquant de donner en lavement de l'
urine
normale ou ses principes actifs à un vésanique. 1
e et glycosurie. Archives, t. XXII. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. l'
urine
de certains tabétiques. Dans le premier cas, le
se a été commise et plus d'une fois la découverte du sucre dans l'
urine
est venue réformer le diagnostic. ' Bouchard. D
Mais il ne faudrait pas croire que la présence du sucre dans les
urines
puisse toujours lever la difficulté et décider
quatrième ventricule. Althaus2 l'avait relatée en ces termes : « L'
urine
au début de la deuxième période du tabes peut a
élait accompagnée d'un excès d'urée et le poids spéci- fique de l'
urine
variait entre 1,030 et 1,037. Le sucre montait
ses 125 tabétiques) le cas d'un malade atteint de tabes vrai dont l'
urine
avait ren- fermé du sucre d'une manière tempora
rgne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de tabes. Un de nous, dans l'
urine
de 50 tabétiques, n'a jamais constaté la pré- s
omotrice progressive et n'a trouvé que trois fois du sucre dans les
urines
. Et encore n'est-il nulle- ment démontré qu'il
TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRE. 309 que la présence du sucre dans les
urines
d'un tabétique signifie toujours glycosurie sym
c le diabète à un autre point de vue. La présence du sucre dans les
urines
d'un tabétique avéré ne signifie point toujours
encore assez obèse. Depuis quatre à cinq ans, elle boit beaucoup,
urine
de même et est obligée de se lever plusieurs fo
u près perdu du même côté. Les réflexes rotuliens sont absents. Les
urines
ont été examinées très régulièrement; le sucre
te pater- nels n'est pas douteuse; le sucre a été constaté dans les
urines
à diverses reprises. Quant à la goutte, elle es
dans les membres inférieurs et de troubles vésicaux (incontinence d'
urine
). Au moment où nous l'avons examiné, outre les
inture et une incoordination motrice typique. Pas de sucre dans les
urines
. On peut résumer les antécédents héréditaires d
ères années, MM. Livon et Alezais 2, au cours de recherches sur les
urines
tabé- tiques, étaient frappés de la tendance à
hard. - Loc. cit., p. 182. * Livon et Alezain. - Recherches sur les
urines
tabcliques. (Maiseille médical, 1888, p. 193 et
à deux ans et demi; - parole à deux ans ; - incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à (lita- torze ans. Instabilité mentale.
e quinze mois à deux ans); propre seulement à quatorze ans pour les
urines
. Jamais de convul- sions. Envoyé à l'école à se
ileptoïde, secousses tétaniformes. Repos. Evacuation involontaire d'
urine
. Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant s
osé : retard dans la marche et la parole, incontinence noc- turne d'
urine
, débilité mentale, irritabilité, actes de violenc
les variations de la température, du pouls, de la composition de l'
urine
, la dose administrée, le temps nécessaire à l'a
loué au lit. Chez un autre atteint d'amaurose et d'inconti- nence d'
urine
, cette dernière infirmité disparut, son état géné
ombait dans le marasme. Chez un dément alcoolique, l'incontinence d'
urine
cessa. En somme, douze faits d'amélioration des
- Symptomato- lagie des -, par Rossolimo, Roth, Kersakof, 138.
Urines
, toxicité des - des aliénés, par `Veill et Dubo
res supérieurs ni à la face. Pas de tremble- ment. La rétention d'
urine
, qui s'est montrée il y a deux jours, est rempl
dèmes. Rien du côté des voies digestives. On n'a pu recueillir de l'
urine
. Traitement. On prescrit 3 grammes de Il à l'in
10 novembre. -Jusqu'ici il avait été impossible] de recueillir des
urines
, la malade souillant son lit. Depuis hier elle a
s hier elle a de la réten- tion. On a été obligé de la sonder : les
urines
sont très rouges, con- tenant une notable quant
ntourée d'une zone d'érythème. Pas de sucre, ni d'albumine dans les
urines
. i Réflexion. Cette malade est doublement intér
n'est pas non plus syphilitique. Pas de sucre ni albumine dans les
urines
. L'eschare. Un des troubles trophiques de la pa
jours. Il n'y avait antérieu- rement ni albumine ni sucre dans les
urines
. Quantité d'urine : 1 litre 1/2. La malade ne
t antérieu- rement ni albumine ni sucre dans les urines. Quantité d'
urine
: 1 litre 1/2. La malade ne prenait aucun méd
pénis une sensation comparable à celle qui pré- cède le débit de l'
urine
. Mais cette sensation peut à son tour dispa- ra
ltation coïncide régulièrement avec une excrétion considérable de l'
urine
dans les vingt-quatre heures, atteignant 6,000
ession se traduit par une diminution considérable de l'émis- sion d'
urine
, qui ne dépasse plus 300 cent. cubes dans les vin
bes dans les vingt- quatre heures; alors la densité monte à 1031. L'
urine
n'est jamais pathologique. Pendant ces deux pha
e il se forme, dans la nutrition, plus d'azote, qui apparaît dans l'
urine
à l'état d'acide urique et d'éléments xanthique
ent abolie. Tendance à la constipation et réten- tion médiocre de l'
urine
; ensuite on remarqua une certaine fai- blesse
Genève, 1897. Ch. Eggimann et Cee. CULI.ERnE. -De l'incontinence d'
urine
dans ses rapports avec l'hystérie infantile. Br
e. Aucun stigmate d'hystérie. Pas d'albu- mine ni de sucre dans les
urines
. On institue le traitement spéci- fique. 4 dé
t violente, accompagnée de vomissements répétés et d'incontinence d'
urine
. 9 jiiin. - L'état est resté stationnaire; ce m
s réflexes et trépidation épileploide du côté droit. Incontinence d'
urine
. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 109
a eu une crise couvulsive, avec écume à la bouche et incontinence d'
urine
. Ces convulsions ne prédominaient pas d'un côté
retentissement de la voix et de la toux. Un peu d'albumine dans les
urines
. 3 février 1896. Vomissements répétés, intoléra
be gauche, enfin au bras gauche; comme aux levers, pas d'émission d'
urine
. La perte de connaissance a duré un quart d'heu
es, mais sans que les choses aillent jusqu'à la pédérastie. C'est l'
urine
, son odeur, son goût, son contact qui exerce su
act qui exerce sur lui une action excitante : volontiers il garde l'
urine
d'un garçon dans la bouche ou bien plonge ses m
bien encore mouille avec elle ses organes génitaux et son linge. L'
urine
qui a subi un commencement de putréfaction, sur-
on mouchoir qu'il étale pour la nuit près de son lit. A côté de l'
urine
il existe encore un tout autie moyen qui lui pr
Mais il estime que les données de l'expérimentation (toxicité de l'
urine
, du sang) ne sont pas encore édifiantes et que de
e ; en même temps, parésie de la jambe gauche, rétention complète d'
urine
qui dura deux à trois jours, et constipation op
nesthésie se trouve une bande étroite d'hypéresthésie ; rétention d'
urine
; constipation; la moitié supérieure du corps es
s pour les prix de 1898 et de 1899. CULLERRE. De l'incontinence d'
urine
dans ses rapports avec l'hystérie infantile. Br
es, froides. Pouls normal. Rien au coeur. Pas d'al- bumine dans les
urines
. Hémiauesthésie cutanée droite. Retard de la tr
pieds sont oedématiés. 11 n'y a pas d'albumine ni de sucre dans les
urines
. Les ongles des doigts sont bruns; ils présente
sécrétée plus abondamment. (Magnan et Sérieux.) On a noté, dans les
urines
, une augmentation des phosphates et des sulfate
ncidant avec une élimination exagérée des produits azotés par les
urines
(Durante). Nous avons noté déjà deux cas d'amaigr
60 kilo- grammes. La peau est anesthésiéo sur tout le corps. Les
urines
ne con- tiennent ni albumine ni sucre ; nous n'
a confirmation par la décou- verte faite par Féré de toxines dans l'
urine
convulsive. Après l'âge de vingt-cinq ans, et'
ctions digestives. Réduction notable des éléments constitutifs de l'
urine
. A noter qu'avant le début de l'insomnie la mal
digestifs, les manifestations épileptiques, et l'hypotoxicité de l'
urine
, rapprochée de la dispa- rition de l'état gastr
scatol. Trouvés purs dans les fèces, ces corps se retrouvent dans l'
urine
sous forme de sulfates. L'examen des matières
léger rétrécissement du champ visuel, d'une pollakiurie diurne avec
urines
normales, et est très préoccupée par son nodule
nde élévation de la tempé- rature. Dans plusieurs cas, l'examen des
urines
a montré de l'albu- mine et un excès de phospha
t pour le blanc ainsi que pour le rouge et le vert. L'analyse des
urines
dénote un défaut d'élimination, sans inver- sio
iveau des os atteints, l'affaiblissement intellectuel, la perte des
urines
et des matières et le nystagmus binoculaire); l
n'y a pas de paralysie du diaphragme. Il y a de l'incontinence de l'
urine
seule- ment la nuit : le besoin d'urmer n'est p
.contraire, lorsque la mousse aura absorbé une grande quantité d'
urine
, celle-ci, sous la pression du corps, finira par
coussins de paille sont souvent souillés de matières fécales et d'
urine
, ce qui, en fin de compte, ne laisse pas d'être f
de 3/5 : il suffit pour cela de conserver la mousse mouillée par l'
urine
à l'air libre et ne détruire que celle qui a été
ramasse une quantité suffisante de mousse simplement mouillée par l'
urine
, on la lave dans des paniers d'osier ordinaires
éflexe rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de clonus du pied.
Urines
normales. L'appétit est très diminué. Il existe
'origine nerveuse, car il n'existait ni sucre, ni albumine dans ies
urines
et on ne constata aucune lésion des organes tho
rd on fut obligé de la sonder; mais bientôt elle perdit matières et
urines
sans être avertie en rien du passage de l'urine
perdit matières et urines sans être avertie en rien du passage de l'
urine
et des fèces. La malade resta 3 semaines dans
rs sont toujours insuffisants et le passage des ma- tières et de. l'
urine
n'est pas senti. Au niveau de la région lombair
e limitée aux dernières racines sacrées et de l'in- continence de l'
urine
et des matières. Ces troubles sphinc- tériens n
'elle rencontre. Les grandes crises sont accompagnées de chute avec
urines
in- volontaires et convulsions très violente* ;
réagissaient normalement. Pas de troubles senbitifs. L'analyse des
urines
ne donnait rien de particulier . Le 15 août 190
graisse 11111'1 lia 11'1111'11 abondante, parait être excellente.
Urines
. La recherche de la créalinine signalée dans les
excellente. Urines. La recherche de la créalinine signalée dans les
urines
detnyotoniques (l3PrhIPI'I'I\, I\.al'pink ? 1\'
tion abondante. Le malade a présenté des traces de sucre dans les
urines
à l'entrée. Dans la dernière période qui précéda
stertor. Pas de morsure de la langue, pas d'émission involontaire d'
urine
ou de matières fécales. Après l'attaque, diminu
ts intervalles et incomplètes : absence d'émission involontaire d'
urine
et de matières fécales, de morsure de la langue.
et le pouce un peu replié vers la paume de la main. L'analyse des
urines
, l'aile aussitôt après la crise, ne décèle pas
itôt après la crise, ne décèle pas la moindre trace d'albumine. Les
urines
sont claires et abon- dantes. A la suite de cel
is sans cyanose du visage, et d'une courte période co- mateuse. Les
urines
ne contiennent pas trace d'albumine. Traite- me
on relève un symptôme inexistant dans les précédentes : émission d'
urine
et de fèces. Les mouvements choréiques persiste
ute. pour constituer le syndrome éclamptique. A aucun moment, les
urines
n'ont contenu ces quantités abondantes d'al- bu
ance. Elle n'a pas du convulsions des membres, pas d'incontinence d'
urine
, seulement des sueurs 2Hi REVUE DE PATHOLOGIE
IL11tI1701S, il.l crises par jour, troubles psychiques, rétention d'
urine
, anorexie hystérique. Fièvre typhoïde contracté
té avec perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d'
urine
, accompagnée souvent de ga fisme complet. La ph
ait bien la gymnastique. Elle a encore de l'incontinence nocturne d'
urine
, mais ne gâte plus. L'enfant est donc, sous tous
oncé. Inertie et mutité pres- que complète. Incontinence nocturne d'
urine
. Elle était triste, ne se donnait aucun exercic
i est con- tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L'enfant n'
urine
plus au lit. La physionomie est moins triste, l
t de vue du caractère, des travaux manuels et de l'in- continence d'
urine
. XLI. GORFÉGtJ ? (Désirée), née le 25 novembre
s, vols, vagabondage), renvoyée de l'école. Emission inconsciente d'
urine
. D'après ce diagnostic, il était permis de dout
nte d'épilep- sie. imbécillité légère, avec incontinence nocturne d'
urine
. Le caractère était assez doux, sérieux, souven
eptiques ont complè- tement disparu; plie n'a plus d'incontinence d'
urine
depuis six mois. Le caractère présente encore
te d'imbécillité, incapacité de se diriger, incontinence nocturne d'
urine
. - Cette enfant était nulle en instruction, con
oin tout particulier de sa personne. Elle n'a plus d'incontinence d'
urine
. - Amélioration notable au point de vue classiq
illité, perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d'
urine
. - Son caractère était bruyant, turbulent au po
l'in- fluence du traitement médico-pédagogique, l'incontinence d'
urine
a disparu, de même que l'onanisme. Le caractère s
s vives ; hypoalgésie des membres inférieurs; lente évacuation de l'
urine
; diminution de la virilité ; ophtalmoplégie in
res nerveux. Il s'est con- vaincu que pendant l'accès de migraine l'
urine
contient toujours un excès de paraxanthine ; or
Les mêmes recherches faites sur des épileptiques ont montré que les
urines
de quelques-uns d'entre eux contiennent un excè
e l'intestin, quantité considérable d'urates et d'oxalates dans les
urines
; absence de toute anomalie sexuelle (l'examen a
ux alcalines d'Essentouki n° 4. En ce laps de temps elle maigrit, l'
urine
devint presque normale. La malade reprit de la
emps on cons- 440 CLINIQUE MENTALE. tate de l'albumine dans les
urines
. Elle succomba le '30 janvier dès les premières
les heures de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne d'
urine
. L'enfant, soumise au traitement dès le début,
beaucoup plus tranquille en classe. Elle n'a plus d'incontinence d'
urine
. La gymnastique va bien, elle s'efforce même de
l'étude; en plus, elle avait encore de l'incontinence nocturne d'
urine
. Sous l'influence du traitement, une véritable
895, 5 ans. Idiotie profonde, paralysie, onanisme, incontinence d'
urine
. A son entrée (27 janvier 1901), à l'âge de 5 ans
. Pas de convulsions ni de cauchemars, ni d'incontinence nocturne d'
urine
dans son enfance; il n'était pas non plus peure
II. Tout aussi importantes sont les altération * des sécrétions. L'
urine
contient, dans les cas accentués, de l'albumine e
tracturée, sou- vent aussi paralysée, et il ya dysurie, rétention d'
urine
. -Les réflexes cutanés sont augmentés, et les r
inction du réflexe tendineux; exagération des ré- ilexes cutanés; -
urines
troubles, sédimenteuses, albumine appré- ciable
en secret aucune dose de morphine, ainsi quel'a révélé l'examen des
urines
, qui a été fait depuis le mars, dans le laborat
d'un psychiatre. M. DRRENBC11G lit un mémoire sur les examens de l'
urine
chez les aliénés. Après avoir rappelé l'influen
organes, il se pro- pose de déterminer les anomalies chimiques de l'
urine
dans leurs rapports avec les formes des psychos
eur a analysé avec le , plus grand soin la plus grande quantité des
urines
des aliénés à des moments du jour identiques; c
roupes chimiques que cette humeur renferme. Ce sont notamment les
urines
de la nuit de dix aliénées en proie à des entités
es rapides, des douleurs, de l'état trouble carac- téristique d'une
urine
fréquemment sanglante : L'ordre du jour étant é
ispo- sition de certains aliénés qui s'efforcent de retenir leurs
urines
et leurs excréments. Mais il ne signale pas le
rique qui, at- teinte pendant ses accès d'aphasie et de rétention d'
urine
, voyait disparaître l'aphasie quand on plaçait
n plaçait une plaque de zinc au-devant du larynx, et la rétention d'
urine
quand on en pla- çait une à l'hypogastre. De pl
n des plaques de zinc avait une influence sur l'excrétion même de l'
urine
. Quand les plaques étaient retirées, l'urine de
l'excrétion même de l'urine. Quand les plaques étaient retirées, l'
urine
devenait plus abon- dante en quantité et plus p
vue relatif; quand les plaques étaient appliquées la quantité de l'
urine
diminuait et se main- tenait au-dessous de la m
moyenne des individus sains, mais sa composition se rapprochait des
urines
normales. L'auteur constaté aussi que, pendant
tion des plaques, et attribue ces différences dans l'excrétion de l'
urine
à des variations dans la circulation san- guine
re double complet, hémiplégie droite, hoquet incessant, rétention d'
urine
, glycosurie. Après trente-six heures de coma, c
res. Vl° J... résiste à tout, retient ses matières fécales et ses
urines
, il faut lutter pour l'habiller, pour la déshabil
ec le diabète. Ce qui montre bien que la présence du sucre dans les
urines
n'est pas la condition indispensable à la produ
e paralysie limitée, rechercher s'il n'existe pas de sucre dans les
urines
. Ces paralysies peuvent être bornées à un membr
té droit de la face (coïncidant avec la disparition du sucre dans l'
urine
; difficulté de l'articulation des mots. Paralys
sensation spéciale, et doit appeler notre attention sur l'état des
urines
. Nous avons souvent entendu notre maître, le pr
dont la cause échappe et d'analyser fréquemment en pareil cas les
urines
. C'est dans l'ouvrage célèbre de Rollo 1 que l'
res, il oppose deux de ses propres observations dont les analyses d'
urine
ont été four- nies par Bouchardat et Mialhe, un
roisième cas de Noyés et un 'quatrième de Haltenhof. Les analyses d'
urine
ont été faites si exactement et si souvent, qu'
vain tenté de dresser un tableau de ces différences. L'examen de l'
urine
peut seul trancher le diagnostic. Des hémorrhag
s ou quatre fois pour boire. Dans l'espace de six mois environ, les
urines
, examinées à trois reprises, contenaient 31, `2
en outre, dès le premier jour, selles involontaires, etrétention d'
urine
qui nécessita le cathétérisme. Trois semaines a
ction des malades externes, souffrant d'une incontinence nocturne d'
urine
pour laquelle le galvanisme, le bromure de pota
re, tensions musculaires dans les quatre extrémités. Incontinence d'
urine
et des matières ; accidents du décubitus. Mort
t pris 2 gr. d'éosinate sans autre accident que la fluorescence des
urines
. Les essais thérapeutiques que nous avons entre
ien aux pieds. Appétit conservé, selles fortement colorées enroule;
urines
, en quantité normale, présentant une coloration
bles des fonctions digestives. selles fortement colorées en rouge.
Urines
peu abondantes, fluorescentes, sans sucre ni al
loration anormale a disparu au visage, mais le gonflement persiste.
Urines
(quantité : 1 litre et quart) ont presque entiè
perdu leur couleur fluores- ccnte. P. ù 90. 29 avril. Même état.
Urines
(1 1. 1ju) revenues à leur couleur normale. Con
Appétit conservé, pas de diarrhée, selles très colorées en rouge. -
Urines
, (quantité : 1.500 grammes) pré- sentant une co
lement symétrique de la face; il a disparu aux mains. Pouls à 88.
Urines
(quantité 1 litre et quart) fluorescentes, ayant
u'a« voisinage du bord alvéo- laire des dernières grosses molaires.
Urines
en quantité nor- male, conservant leur colorati
ons- tipation ni de diarrhée, selles /brtement colorées en rouge.
Urines
(1 litre 1/2) vertes à la lumière réfléchie, rose
ertiges vers 3 ans. Premier accès à 7 ans et demi. - Incontinence d'
urine
. EOSIXATE DE SODIUM. 27 Br... (Pierre), 20 an
traitement en 1898.] Voici, il titre de document, quatre analyses d'
urine
pratiquées par l'interne en pharmacie du servic
pratiquées par l'interne en pharmacie du service, M. Au- briot. '
Urine
du 25 au 26 avril 1898. I. Itoma..., 17 ans. En
eures. l3uoitaLVILL1 : , Bicêtre, 1899. 50. Eosinate de sodium.
Urine
limpide très colorée et très fluorescente.- Elle
donne par agitation une mousse rouge. Analyse des U1UNES. ' 51
Urine
très trouble, colorée et fluorescente. II. De
sements ni de diarhée, mais tousse fréquemment, sans expectoration.
Urines
normales. - Pas de dyspnée. Pas de signes nets
gue saburrale, rouge sur les bords qui sont fendillés et desséchés.
Urines
rares et foncées. Pas d'albumine. - A 10 heures
créas est entouré de ganglions tuberculeux. La vessie est remplie d'
urine
; aucune lésion. - Les organes génitaux sont ex
ette époque, c'Onvulsions. - De 10 à 12 ans incontinence nocturne d'
urine
. - Rougeole à 4 ans. - Scarlatine à 4 ans 1/2.
, et de 10 à 12 ans, elle a présenté de l'incontinence nocturne d'
urine
. Elle aurait eu des convulsions après sa première
s limitées Ù la face ; elle a présenté de l'incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à 12 ans, et à partir de là, dans sa 1 :
cloniques sans morsures de la langue, mais avec des émis- sions d'
urine
. Ces crises se répétent environ tous les trois
es; ils se décortiquent facilement. Les bassinets contiennent une
urine
louche et puriforme. - Capsules surrénales, pancr
. Il écume un peu, se mord légèrement la langue quelquefois. Il n'
urine
jamais sous lui. l'as de folie consécutive, pas d
" janvier, cependant, il a eu un accès par mois, excepté en mai. Il
urine
rarement sous lui, pas d'évacuation spernta- ti
s, variables (1888-1900), accompagnés de cris, d'incon- tinence d'
urine
, compliqués de traumatismes et d'hé- morrhagies
nsorielle ; du mutisme hys- térique transitoire ; de la rétention d'
urine
transitoire. La monoplégie disparaît à la suite
cès de colère. - 11 a eu aussi, pendant six jours de la rétention d'
urine
qui a néces- sité le cathétérisme. ? Etat act
ntait tous les caractères du mutisme hystérique, sur la rétention d'
urine
qu'il a eue 1 Progrès Médical, 1885, nos 34, 37
t âgée de soixante et un ans, qu'il n'y avait pas d'albumine dans l'
urine
, qu'il existait une diathèse rhumatismale, M. L
le, surtout dans le domaine uro-génital (aménorrhée, incontinence d'
urine
, constipation opiniâtre), active la circula- ti
l y a quelques mois. Observation V.. Père : incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à dix- huit ans ; - Alcoolisme, colère, t
ent il fait bien les coutures et sait se servir du fer. 20 déc. L'
urine
contient 25 gr. 63 d'urée par litre. 1 22. Gr..
conjonctives. Traitement : deux verres d'eau de Sedlitz. 29. - L'
urine
examinée de nouveau contient 16 gr. 65 d'urée p
on langage. 24. - Poids : 37 I : il. fort; taille : 1 m. 27 fort. L'
urine
est claire, ne contient ni sucre, ni albumine.
ante-six ans; pas nerveuse. Un frère de la mère a du sable dans les
urines
. Frère et sceur bien portants ainsi que leurs e
e le malade pouvait à peine tenir une soucoupe de la main droite. L'
urine
s'échappait'avec peine et en même temps le mala
-20; la température à 36. Le malade est constipé et l'émission de l'
urine
est difficile. Le malade ne peut remuer la jamb
désordres trophiques de la peau, pas de décubitus. La quantité de l'
urine
pendant vingt-sept heures était 500 c. c. de ré
c. de réaction acide; poids spécifique 1,017. Les premiers jours, l'
urine
contenait de l'albumine en petite quantité. En
à 36, le pouls a 140; il est à peine sensible. La sécrétion de l'
urine
et de la selle est involontaire, la mort survie
six mois atteinte d'une conslipation opiniâtre et d'une rétention d'
urine
nécessitant l'emploi de la sonde. En présence
nage et les travaux des champs. Mais détail à noter, la rétention d'
urine
dont je n'avais pas eu le temps de m'occuper, con
ysie spasmodique de la jambe gauche, une incontinence complète de l'
urine
et des matières, des douleurs en ceinture, de l
e raide attribuée à des douleurs dans les genoux ; incon- tinence d'
urine
, céphalalgie; plus tard, maintien permanent de
patellaires et des réflexes cutanés, parésie vésicale (rétention d'
urine
) et douleurs très prononcées tout le long du ra
on le peut voir d'après les tableaux qui montrent la surexcrétion d'
urine
. d'urée, d'acide sulfurique et phosphorique, et
- veaux symptômes. Il est atteint de paraplégie et de rétention d'
urine
; les envies d'uriner sont douloureuses; il urine
et de rétention d'urine; les envies d'uriner sont douloureuses; il
urine
très peu et avec beaucoup d'efforts. La sensibi
symptômes de sténocardie, tantôt des paralysies, des rétentions d'
urine
, des vomissements rebelles, etc.; 2° l'inconsta
s et la paralysie a disparu sans laisser de traces ; la rétention d'
urine
paraît et disparaît sans avoir de cause; il en
st con- tracturé en dehors, à l'état d'extension. L'évacuation de l'
urine
se fait au moyen d'un cathéter. Il a une prédis
malgré que la maladie ait duré trois mois et malgré la rétention d'
urine
qui ne pouvait être causée que par de profondes
sains; pas d'autre déviation que des envies fréquentes d'uriner. Il
urine
jusqu'à 4.000 centimètres cubes, bien qu'il s'a
ubes, bien qu'il s'abstienne de boire; la pesanteur spécifique de l'
urine
est de 1.014; on n'y trouve ni 278 CLINIQUE NER
a paralysie des membres inférieurs est compliquée d'une rétention d'
urine
, de constipation et de douleurs dans le dos. Ce
ourses et ont à peine le volume d'une noisette. Pas d'onanisme. L'
urine
, examinée à plusieurs reprises et avec soin par M
difficulté où l'on se trouve de recueillir isolément la quantité d'
urine
rendue dans les vingt-quatre heures, n'a pas pe
culatoire, biliaire et rénal; rien au coeur,pas d'albumine dans les
urines
. Le cri est guttural, enroué, d'ailleurs rare.
e, sa mobilité, son siège, par les caractères tirés de l'examen des
urines
, etc., et enfin par l'absence de signes importa
eurs abdominales avec météorismc, vomissements bilieux, rétention d'
urine
, si bien que le médecin appelé prescrivit des a
eurs déjà décrites, sondé à plusieurs reprises pour de la rétention d'
urine
et présentant de temps-en temps des attaques co
nt (environ 400 grammes chaque fois ; cela n'a pu être contrôlé). L'
urine
est claire, de couleur ordinaire, ne contient n
s. IX. - La miction est absolument normale. Jamais d'incontinence d'
urine
, ni diurne, ni nocturne; jamais de rétention, n
pas la moindre altération dans les fonc- tions de l'excrétion de l'
urine
. Les fonctions de sécrétion sont tout aussi nor-
. Les fonctions de sécrétion sont tout aussi nor- males. Un litre d'
urine
par jour ou peu près. Urines claires, transparent
sont tout aussi nor- males. Un litre d'urine par jour ou peu près.
Urines
claires, transparentes, légèrement acides, sans
tend que, depuis quelque temps, il est affecté d'une incontinence d'
urine
, dont il trouve les traces sur sa chemise et sur
is il pouvait marcher sans troubles apparents. Outre sa rétention d'
urine
, on cons- tata une anesthésie du périnée- Au bo
j Nous constatons une paralysie vésicale, ayant amené une rétention d'
urine
: quelques gouttes d'urine s'échappaient parfoi
ie vésicale, ayant amené une rétention d'urine : quelques gouttes d'
urine
s'échappaient parfois par regorgement. On soumit
les de térébenthine, et bientôt tout dépôt de muco-pus disparut des
urines
. Mais la paralysie et la rétention persistèrent
, elle était redevenue normale, même pour l'urèthre. La rétention d'
urine
disparut définitivement, et le malade put marcher
ême année, il rentra dans le service de médecine. On constate qu'il
urine
bien, mais qu'il reste constipé comme auparavant,
e la sensibilité au niveau des membres inférieurs. Incontinence d'
urine
. - Signalons une incoordination très marquée au
s enfin des vomissements pendant le premier jour, de la rétention d'
urine
ayant duré une semaine, une constipation opiniâtr
: état permanent de semi-érection, constatation de sperme dans les
urines
. Fait assez singulier, comme on pratiquait de t
e vive douleur. Il y eut pendant quelques jours de la réten- tion d'
urine
, qui nécessita le cathétérisme, et, pendant un mo
, il demander à ses voisines de lui donner la leur; la quantité des
urines
était abondante, mais aucune mensu- ration de c
mensu- ration de cette quantité n'a été conservée sur l'examen de l'
urine
; il n'y avait pas de glycosurie. Au bout d'un
u'elle se montre encore quelquefois à intervalles assez éloignés. L'
urine
examinée par les procédés ordinaires (il n'a pas
es petites, comme par exemple celles des doigts et des orteils. Les
urines
ont été analysées fraîches et conservées, et Ha
ajoute Sauce- rotte, ne pourrait-on pas conclure que la terre de l'
urine
se portait aux os, chez ce malade ? Dans le c
oyens excitants pour régulariser un peu les fonctions intestinales.
Urines
toujours abondantes, parfois même un peu difficil
epuis de nom- breuses années. On n'a pas remarqué que la quantité d'
urine
fùt anormale. Depuis plusieurs années perte de
Le malade tousse et crache un peu, sécrétion catarrhale modérée. L'
urine
ne présente rien de particulier; pas d'albumine
il y a même une sensation de faim. Pendant deux ou trois jours les
urines
sont rougeâtres et épaisses. Il reste un peu de
a main, on y note d'ailleurs un abaissement de tempé- rature. L'
urine
examinée à plusieurs reprises, n'a présenté ni
Mais nulle part la pression du doigt ne détermine de godet, et l'
urine
ne renferme pas d'albumine (d=10 t 5). Le coeur
de particulier, à part un claquement énergique du second bruit. L'
urine
est normale (d 10 10). La malade qui possédait
la constipation; ses règles ont été supprimées pendant six mois. L'
urine
(d- 1015 à 1022) ne présente ni albumine, ni gl
e des bronches et une constipation habituelle. Le pouls est à 80. L'
urine
ne renferme pas d'albu- mine (d = 1005). Réglée
rons encore une constipation habituelle, un excès d'urates dans les
urines
, un pouls lent et faible, enfin l'abaissement d
miplégie faciale. Hhchare sacro-fessière gauche ; ni incontinence d'
urine
, ni illeoil- tiucnce des matières fécales. 84
à la base, qui se propage dans les vaisseaux du cou. La quantité d'
urine
rendue dans les vingt- quatre heures est normal
ité d'urine rendue dans les vingt- quatre heures est normale. Cette
urine
(d= 1013- 1030), même fraîche, présente une lég
nte au microscope aucun caractère bien par- ticulier. Cet état de l'
urine
est dû probablement à un peu de catarrhe vésica
heures parait diminuée. L'analyse n'a mêlé que 1 \ grammes dans les
urines
rendues du 25 au 26 février. Il n'existe d'aill
hanges organiques : toutes les fois qu'on a procédé à l'analyse des
urines
, on a trouvé une diminution dans la quantité d'
Les organes internes restent d'ailleurs parfaitement sains et les
urines
ne contiennent pas d'albumine. Quant aux troubl
ion ici. A une époque de son séjour, il s'était ingénié à boire son
urine
pour guérir ses accès d'épilepsie et à se faire
prise de vomissements dont l'aspect rappelle absolument celui de l'
urine
; tous les matins on la sonde et dans la journé
ller la jeune malade, et on ne tarde pas à la surprendre buvant ses
urines
en cachette tous les matins '. Ces faits de sim
dents semblent exciter l'intérêt et la curiosité des médecins, de l'
urine
pure sera expulsée par les vomissements, en qua
iction est fréquente, difficile, douloureuse, et peu abon- dante. L'
urine
offre la réaction acide ; elle ne renferme ni a
aires présentent à peu près les mêmes caractères que la veille; l'
urine
des vingt-quatre heures est alcaline ; sa quantit
nsibilité aux températures qui est toujours absolue. La rétention d'
urine
est complète, et le cathétérisme est devenu néc
complète, et le cathétérisme est devenu nécessaire , 250 grammes d'
urine
seulement sont rendus dans les vingt-quatre heu
malade atteint d'insuffisance mitrale. Le t mars, la rétention d'
urine
disparaît ; mais la miction reste embarrassée.
'urine disparaît ; mais la miction reste embarrassée. La quantité d'
urine
des vingt-quatre heures est de 700 grammes ; el
70 puis.), inégal, irrégulier, intermit- tent. Comme la rétention d'
urine
, la constipation cède tout à coup spontanément,
L'hyperes- thésie disparait à peu près complètement. La quantité d'
urine
est normale (1,500 gr.). Le pouls est toujours
plus, et le malade peut presque soulever sa jambe. Le 21 mars, les
urines
sont troubles, muco-purulentes. Le 23 zzzazs, s
uvements. L'hydarthrose s'est résorbée. La miction est facile : les
urines
sont normales comme quantité et comme qualité.
au début, puisqu'avant d'atteindre le faux normal, la quantité des
urines
a été successivement de 300, 250, puis 700 gram
ment de 300, 250, puis 700 grammes. Le premier jour seule- ment l'
urine
avait conservé la réaction acide, dès le deuxiè
té. » 11 est rede- venu propre depuis deux mois ; parfois encore il
urine
au lit, la nuit. La mère ne signale pas d'onani
apte à passer en I1'0 classe. Imbécillité, surdité, incontinence d'
urine
. ?— Mugn..., est entré au service le 9 octobre 18
nombre 131 étaient atteints de gâtisme ; 32 d'incontinence nocturne d'
urine
; 9 de cécité complète ; 6 de cécité incomplète ;
8 en-fants 124 sont atteints de gâtisme; 30 d'incontinence nocturne d'
urine
; 7 de cécité complète ; 6 de Bourneville, Bicê
es ou imbéciles, 38 sont gâteuses ; 20 ont AeYincontinence nocturne d'
urine
; 5 sont attein-tes de surdi-mudité; 6 de cécité;
Sur ce nombre 50 sont gâteuses; 12 ont do l'in-continence nocturne d'
urine
; 5 sont atteintes de surdi-mutité; 7 do cécité; 4
ion, constipation, etc ), respiration, circu-lation, etc. —Urination,
urines
, ses caractères. —Albumine, sucre, gravelle, inco
usculaire (dynamomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e) Tableau des
urines
. — /) Tableau de la vaccination. — g) Tableau de
lité avec perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d'
urine
, accompagnée souvent de gâ-* 'isme complet. La ph
fait bien la gymnastique. Elle a encore de l'incontinence nocturne d'
urine
, mais ne gâte plus. L'enfant est donc, sous tous
rononcé. Inertie et mutité pres-que complète. Incontinence nocturne d'
urine
. Elle était triste, ne se donnait aucun exercice,
qui est con-tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L'enfant n'
urine
plus au lit. La physionomie est moins triste, les
oint de vue du caractère, des travaux manuels et de l'in-continence d'
urine
. XLI. Gorrégu... (Désirée), née le 25 novembre
ges, vols, vagabondage), renvoyée de l'école. Emission inconsciente d'
urine
. D'après ce diagnostic, il était permis de douter
teinte d'ép/lep-sie, imbécillité légère, avec incontinence nocturne d'
urine
. Le caractère était assez doux, sérieux, souvent
pileftiques ont complè-tement disparu; elle n'a plus d'incontinence d'
urine
depuis six mois. T.e caractère présente encore
inte à'imbécillité, incapacité de se diriger, incontinence nocturne d'
urine
. —r Cette enfant était nulle en instruction, conn
soin tout particulier de sa personne. Elle n'a plus d'incontinence d'
urine
. — Amélioration notable au point de vue classique
cillité, -perversions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d'
urine
. — Son caractère était bruyant, turbulent au poss
Sous l'in-fluence du traitement médico-fédagogique, l'incontinence d'
urine
a disparu, de même que l'onanisme. Le caractère s
ut beaucoup plus tranquille en classe. Elle n'a plus d'incontinence d'
urine
. La gymnastique va bien, elle s'efforce même de s
pour l'étude; en plus, elle avait encore de l'incontinence nocturne d'
urine
. Sous l'influence du traitement, une véritable
e 1895, S ans. Idiotie -profonde, paralysie, onanisme, incontinence d'
urine
. A son entrée (27 janvier 1901), à l'âge de 5 ans
tions nor- males. Le système pileux est ni exubérant ni pauvre. Les
urines
ne contiennent ni sucre ni albumine. RÉSUMÉ.
examen complet des échanges organiques. Toutefois par l'analyse des
urines
nous avons constaté une tolérance anormale aux
line au millième et l'ingestion de 200 grammes de glucose, dans les
urines
des 24 heures il n'y avait aucune trace de sucr
statés nulle part. La peau et les muqueuses sont subictériques. L'
urine
ne contient ni albumine ni sucre. La percussion
Les deux dernièrpsannées il toussait beaucoup. Ictère depuis 6 mois,
urine
d'une couleur brune, matières grisâtres. L'appé
qui le soulagent beaucoup. Foie agrandi, très dur. Rate très dure.
Urine
d'une couleur foncée, contient un peu d'uro- bi
u d'uro- biliàe, . Depuis mars 1912, pleurite à gauche. En juin l'
urine
contient beaucoup d'u- robiline, pas d'albumine
ères, se sont ulcérées ; en ces zones la peau est souvent imbibée d'
urine
et une escarre sacrée se constitue bientôt qui ga
llations se déclare ; la température atteint 39° à 40° le soir; les
urines
sont troubles, on est obligé de sonder le malade
fort peu influencée par le régime. Les trois analyses complètes des
urines
que nous reproduisons et dont nous tenons à rem
pécial dans noire observation, c'est la concentration en sucre de l'
urine
; nous avons en effet constaté au litre les chi
e que, sous l'influence du régime, le taux du sucre baisse dans les
urines
. Il y a comme un balancement entre le coefficie
tre le coefficient azoturique du sérum et le taux du sucre dans les
urines
. Chez notre malade qui est resté constamment un
ques. Thèse de Lyon, 1913-1914. 240 CLUZET ET LÉVY azoturique des
urines
qui s'est montrée sensiblement normale, encore qu
êché de faire. Rapprochée cepen- dant de la cryoscopie parfaite des
urines
, elle montre qu'il n'y avait pas de viciation p
ssant que le taux du coefficient azolurique du sérum sanguin et des
urines
permet d'écarter, dans le cas particulier, l'hy
nfin, de signaler que la purine recherchée à deux reprises dans les
urines
, s'est montrée une première fois â un laux sens
and il fait des efforts de défécation ou autres, quelques gouttes d'
urine
sortent du méat. Un toucher rectal permet de co
es- carres de la région sacrée. La vessie, qui contenait un peu d'
urine
trouble, présentait une hypertro- phie accusée
e lever, se lève, va sur la chaise et fait une abondante quantité d'
urine
. Examen Mallet. Pas d'albumine, ni sucre, ni pi
nc., puis les bras et la face, très variable d'un jour à l'autre. L'
urine
toujours purulente contenait un peu de sucre qui
La menstruation se fait normalement. La malade pèse 59 kilos. Elle
urine
dans son lit. - L'urine ne contient ni albumi
ormalement. La malade pèse 59 kilos. Elle urine dans son lit. - L'
urine
ne contient ni albumine ni sucre, mais elle est a
toires. 328 nOUHINOVITCH Et' REGNAULT DE LA SOUDIÈRE L'examen des
urines
n'a montré ni sucre ni albumine. La malade accu
uels. Pas de trouble digestif, respiratoire, ni circulatoire. Les
urines
ne présentent ni sucre, ni albumine. Les sens s
nte (Moore, Alexander) et que, de plus, on n'a jamais trouvé dans l'
urine
des épileptiques une augmentation constante dan
lepsie essentielle (morsure de la langue, évacuation involontaire d'
urine
, perte complète de connaissance, les convulsion
zote par rap- port à l'alimentation (examen des défécations et de l'
urine
), quand d'ail- leurs la proportion entre l'azot
et de la chaux dans les défécations et celle de la magnésie dans l'
urine
diminuent également. De plus, suivant Fassin,
,par exemple, pensait que dans les cas de tétanie, on trouve dans l'
urine
une augmen- tation d'ammoniaque et d'acide carb
aux et de la magnésie ; en outre, l'élimina- tion de l'azote dans l'
urine
serait fortement augmentée. Il range la tétanie
en des reins, des poumons et de la peau, d'une masse de toxines : l'
urine
qui s'écoule pendant ou immédiatement après l'att
même chose du sang et-de la sueur (Ardin- Deiltel entre autres). L'
urine
aussi bien que la sueur excrétées dans les péri
vo- quant pas de spasmes. On observe exactement le contraire pour l'
urine
et la sueur excrétées immédiatement avant, pend
tendre quelques minutes. Il ne tient pas compte de notre demande et
urine
dans la salle. Il s'attendrit très facilement d
ec soin, parait très satisfaisante La santé générale est bonne. Les
urines
sont normales. En raison de la trop. grande int
ventouses scarifiées, cathétérisme qui donne issue à 600 grammes d'
urine
. 25. - liypéresthésie des téguments du tronc; l
600 grammes d'urine. 25. - liypéresthésie des téguments du tronc; l'
urine
contient de l'albumine. La sensibilité reparaît
it jusqu'à la partie moyenne de la jambe ; plus d'albumine dans les
urines
. Traitement. Eau de Sedlitz, lavements purgatif
ventouses scarifiées, bromure. 27.-Nuit : on extrait 700 grammes d'
urine
par le cathétérisme; Archives, t. XIX. 4 50 .
l; saillies considérables de l'in- testin au creux épigastrique ; l'
urine
contient des phosphates. T. 38°,8, selles invol
,2. Bro- mure, pilules au tannin. 1er septembre.- 1,150 grammes d'
urines
en quinze heures par le cathétérisme. T. 37°,8,
uit; plaie de position au niveau du sacrum. T. 38°. l,f00 grammes d'
urine
dans les vingt-quatre heures par le cathétérism
T. 38°,7. Sulfate de quinine, 0, 60 ; séance de faradisation. Le 8.
Urine
seul, mais involontairement. La plaie du sacrum s
Le 9. Douleurs en ceinture; l'eschare s'élimine ; incontinence d'
urine
, qui, à l'analyse, est très alcaline et présente
. L'anes- thésie des deux membres inférieurs est encore complète. L'
urine
extraite par la sonde est légèrement colorée de
3 août. L'état de la sensibilité et de lamotilité reste le même; l'
urine
est trouble, alcaline, de mauvaise odeur, légèrem
ureux. Les mouvements sont brusques. Sommeil agité, remue beaucoup.
Urine
parfois au lit (7 à 8 fois depuis le 1er jan- v
cristaux de phosphate triple^ les- quels ne furent retrouvés dans l'
urine
à aucun autre moment. Il se pouvait que le sang
t sourds; le pouls radial est petit, très difficile à sentir. Les
urines
ont été examinées à plusieurs reprises; leur dens
é à l'hyp- none sur le fonctionnement du rein, il a fait examiner l'
urine
de tous les malades soumis à ce traitement ; pa
mme de trente et un ans. Soudain en juillet 1864, augmentation de l'
urine
, vertiges, céphalalgies, névralgies du trijumea
: exa- gération des réflexes tendineux; émission de 3 à 5 litres d'
urine
(sans augmentation des matières fixes); soif in
u moins transitoire ou au contraire habituelle, du sucre dans les
urines
. Ces cas-là existent d'une façon parfaite- ment
re lui-même qui se trouve souvent en quantités considérables dans l'
urine
chez les malades atteints de ces complications,
ertains diabétiques le sucre peut momentanément faire défaut dans l'
urine
ou encore y être représenté par un taux peu éle
onsidé- rable ('10 litres constatés à l'hôpital avec les bocaux).
Urine
très peu colorée, non trouble. D. 1040. Ne contie
quelquefois s'il ne se présente pas assez vite à la garde-robe, il
urine
dans son pantalon ; quelquefois il pisse encore
Les courbes ci-jointes montrent les variations du sucre par litre d'
urine
et par jour pendant les premiers jours du séjour
Ces quantités de sucre peuvent être considérées 1 Les analyses d'
urine
complètes et pratiquées avec grand soin ont été
ant d'un trouble de la nu- trition et marqué par la présence dans l'
urine
, ainsi que je vous le faisais remarquer tout à
cre peut apparaître à une époque en général assez tardive, dans les
urines
des malades. M. Oppenheim et d'autres auteurs o
'à 12 litres par jour. Aujourd'hui la la moyenne de la quantité des
urines
en vingt-quatre heures oscille entre 6 et 7 lit
. La dernière analyse donne 49 grammes de sucre par 1,000 grammes d'
urine
avec une excrétion urinaire de 7 litres, c'est-
l. 111. · 1 1 1 1 Fig. 2 Courbe des variations du sucre par litre d'
urine
. Fiv. 4. Courbe des variations du sucre par lit
r litre d'urine. Fiv. 4. Courbe des variations du sucre par litre d'
urine
après traitement. Archives DE Neurologie. T. XI
s après traitement. Fig. 6. Courbe des quantités d'urée par litre d'
urine
après traitement. li 1 CATSARA8 - Tableau V
nchants pervers, l'onanisme, les terreurs nocturnes, l'incontinence d'
urine
qu'on observe si fréquemment chez les prédisposés
rouve un trajet ristuleux. entouré de bords épais, à travers leqael l'
urine
s'échappe goutte à goutte. Le voisinage de la f
urs nocturnes, somnambulisme, kleptomanie, onanisme, incontinence d'
urine
, tics, bégaiement, paresse invétérée, malpropreté
de l'urèthre une sonde destinée à remédier à une rétention complète d'
urine
remontant à dix-huit mois. Il se plaint de fourmi
tements, le malade fut atteint inopinément d'une rétention complète d'
urine
, coïncidant avec de violents maux de reins, qui d
a marche dans du colon; abolition des réflexes rotuliens; rétention d'
urine
complète; élancements sous la plante des pieds et
diminué. C'est alors que nous eûmes l'idée de traiter sa rétention d'
urine
par le même procédé, de lui faire la suggestion d
, contre l'incoordination de la marche et enfin contre la rétention d'
urine
. La persistance de l'abolition des réflexes nous
excréta urinaires. Ils basent leur raisonnement sur ce fait que les
urines
d'une malade, la nommée R..., pendant son état no
it dans la note (page 4) commniquée au Congrès de Rouen, à propos des
urines
de l'état de veille : « Nous ne les avons analysé
analysées que lorsque nous étions absolument certains de posséder des
urines
de vingt-quatre heures. » Ce qui a pu tromper l
nous n'avons pu nous procurer, comme pendant le sommeil hypnotique, l'
urine
de trois jours consécutifs, mais nous avons eu à
jours consécutifs, mais nous avons eu à trois reprises différentes l'
urine
totale de vingt-quatre heures, de sorte que nos a
: le volume, l'urée, le résidu sec el l'acide phosphorique total des
urines
émises à l'état de veille présentaient une diminu
Congrès de Rouen (pages 6 et 1) donné les résultats de l'analyse des
urines
de deux autres malades : Tune hystérique et l'aut
pas fait pour ces deux dernières malades plusieurs analyses de leurs
urines
et, par suite, nous n'avons pu établir de moyenne
rs urines et, par suite, nous n'avons pu établir de moyenne, mais les
urines
analysées étaient celles émises après trois et qu
rie représentée par une évacuation quotidienne de six à huit litres d'
urine
; il y a aussi de l'azoturie, mais celle-ci doit ê
lle tiendrait plutôt celle-ci sous sa dépendance, car la quantité des
urines
émises dans les vingt-quatre heures a été plusieu
ique, de vingt ans. qui, depuis douze ans, souffrait d'incontinence d'
urine
, d'insomnie, de tremblement des lèvres, de mal de
Dan» lt première séance, on lui dit de bien dormir et de retenir son
urine
, ce qu'elle fil comme on le lui avait suggéré. Dè
., âgé de onze ans, traité à la clinique pour une incon- linca ce d'
urine
, qu'il csl arrivé depuis très longtemps et qu'il
n bon élève, est amené à la clinique pour une incontinence nocturne d'
urine
. M. Zakrevrskv, procureur général de Moscou, m'ay
atteint d'une lâcheuse infirmité. Il souffrait d'une incontinence d'
urine
. Celle maladie, que n'ignoraient pas ses supérieu
, on ne connaît guère d'autre traitement de l'incontinence nocturne d'
urine
que de soumettre le soldat qui est atteint de cet
nde polyurîe névropathique ; il rendait, en effet de 22 à 25 litres d'
urine
lorsqu'il n'était soumis à aucune intervention th
l'influença de l'extrait de -valeriane (6 gr. par jour), le taux des
urines
s'était abaissé a 14 litres. Le malade quitta alo
e époque. H... urinait de nouveau 25 litres par jour; la densité do l'
urine
mesurée immédiatement après la miction était sens
ement après la miction était sensiblement la même que la densité de l'
urine
mixte des vingt quatre heures, ce qui excluait to
ation. J'avais trouvé, de mon coté, autrefois que l'urée dosée dans l'
urine
directement recueillie et dan» le bocal s'élevait
. En outre, j'ai vu le malade émettre, d'un seul coup, 2 litres 1/2 d'
urine
, ce qui, non plus, ne se simule pas. Avec cela,
phénacétine. Ce médicament fut pris pendant deux jours en solution; l'
urine
diminua un peu, elle descendit à 21 litres. Au
s 2 gr.. puis 2 gr. 50. Le résultat fut remarquable : le 9 février, l'
urine
était à 9 litres; à S litres le 11. Après quelque
n opérée par lui. Du coup, la charme fut rompu et. tout aussitôt, les
urines
reprirent une marché ascendante. Le 29 février, e
lle dure longtemps, peut amener un affaiblissement du sens génital. L'
urine
a sur l'urèthre malade une action irritante qui p
s reviennent, mais moins Iréquentes [toujours pas d'albumine dans les
urines
). Elles sont supprimées de nouveau par la suggest
nutri- tion très avancée. Incontinence des matières fécales et de l'
urine
. Après un séjour à l'hospice sans amélioration
désire personne. Il est incontinent des ma- tières fécales et de l'
urine
; fiés sale; dort bien. 31 juillet. - Le malade
nt delà propreté, absent. Incontinence des matières fécales et de l'
urine
. Observation XII.Le nommé Jean Huzum, âgé de tr
as de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence d'
urine
. Aime beaucoup rester au lit, on ne constate pa
de remarque réside dans ce fait que la présence d'albumine dans les
urines
a été constatée jusqu'à la mort, dans tous les
iabétique, question qui sera généralement tranchée par l'examen des
urines
; enfin l'attaque BIBLIOGRAPHIE. 81 hystériq
ystérie qui en dernier ressort pourra être tranché par l'examen des
urines
. L'accès d'épilepsie en effet élève pendant vin
ant vingt-quatre heures le taux de tous les élé- ments solides de l'
urine
, l'attaque d'hystérie au contraire ainsi que M.
sse des muscles vésicaux; on retire par la sonde un litre et demi d'
urine
. Etat psychique. Le malade est très déprimé. La
ancolie. Les conclusions sont les suivantes : 1° La quantité de l'
urine
sécrétée et des matériaux solides qu'elle conti
oussée : la peau de la main est en moiteur. Supprsesion des règles.
Urine
normale, etc. Le diagnostic de tumeur située au
1854, Seyfert signale la présence de l'albumine en abondance dans l'
urine
de quelques épilep- tiques, après l'attaque. Ba
et Pérot18 en France, ont fait des recherches sur l'albumine des
urines
des épileptiques. D'après MM. Voisin et Péron,
8 à 102), 1893. ° Mairet et Bosc. Recherches sur la toxicité de l'
urine
des épilep- tiques. Soc. de biol., 1895, et Arc
ch. de physiologie, 1896, n- 2. - Re- cherches sur la toxicité de l'
urine
normale el palhol., 1891. ' Mairet et Vires. Un
Doleris 3 et Blanc 3 ont pu isoler des microbes dans des cultures d'
urine
. Eux aussi concluent à l'intoxication. PourHe
roubles gastriques ; il y a de la constipation et de la rétention d'
urine
. Le diagnostic du délire aigu est à faire avec
es crises, les troubles vésicaux, dont le type est l'incontinence d'
urine
, les ttoubles trophiques, les désordres psychiq
ue à une' auto-intoxication, la présence d'éléments anormaux dans l'
urine
constitue une sorte de confirmation. Il y a plu
iacétique et p oxybutirique, de tyrosine, de sulfo-conjugués dans l'
urine
. L'auto-intoxication hépatique se manifeste par
auto-intoxication rénale, enfin, par la diminution de la quantité d'
urine
, la présence de cylindres et de tubes, l'albumi
précipités mais réguliers, pas de souifle. Rien d'anormal dans les
urines
, les pupilles sont égales et réagissent convena
s au bout de ce temps on obtient par la sonde une grande quantité d'
urine
normale ; le cinquième jour le rectum fonctionn
n opération de la craniotomie. Il recommande l'examen préalable des
urines
pour éviter d'opérer des malades en puissance d
ne fugace. Les auteurs pensent que la présence de l'albumine dans l'
urine
de certains malades est liée à l'intensité de l
nésie et de faux souvenirs. En outre on nota une légère rétention d'
urine
et de la constipation. Etat présent. 2 IX. 1898
nerveux sont souvent douloureux à la palpation. Légère rétention d'
urine
et constipation. Les réflexes rotuliens sont ex
mémoire, amnésie, douleurs aux membres inférieurs et incontinence d'
urine
. Au mois de novembre 1892, on constate des symp
e chez les hysté- riques ou chez certains dégénérés ; la quantité d'
urine
émise dépasse rarement 2 litres, mais se mainti
ous retrouvons : * polyurie légère, augmentation de la densité de l'
urine
, élimination considérable d'urée et surtout pho
'une vivo frayeur, criant et laissant sur son passage une traînée d'
urine
, il court se blottir vers le coin le plus obscur
gauche; cette malade devient gâteuse, elle ne peut conserver ni ses
urines
ni ses matières. Le 14, les mouvements athétosiqu
d'atrophie, pas de troubles trophiques ; intégrité des sphincters,
urines
nor- males. La paralysie suit une marche rapide
iens ; elle est moins prononcée à ganche. Incontinence complète des
urines
et des matières ; urines normales. Pas d'élévat
noncée à ganche. Incontinence complète des urines et des matières ;
urines
normales. Pas d'élévation de température. Au bo
du côté de l'intelligence, soit du côté des organes des sens. Elle
urine
par regorgement. Absence de sucre» et d'albumine,
ur et poumons sains, écoulement blennorrhagique vaginal abon- dant,
urines
rares, chargées de pus, diarrhée fétide. Au bout
plus tard, l'es- carre srcrée n'a aucune tendance à se cicatriser;
urines
purulentes, diarrhée profuse, gonflement du gen
teur poursuit par les recherches modernes sur l'état gastrique, l'
urine
, le sang des épileptiques avant, pendant et après
érections douloureuses (Bourneville), ainsi que dans la rétention d'
urine
par hypertro- phie prostatique. De même, dans l
ieurs fois pendant la nuit pour uriner. Ni albumine ni sucre dans les
urines
. Jamais d'oedème des malléoles ni des paupières
ous ses modes il gauche. Le lendemain de l'attaque apoplectiforme l'
urine
était légèrement albumi- neuse. Ce symptôme fut
ransitoire ; en peu de jours l'albumine disparut com- plètement des
urines
. On constata dès lors la marche suivante de la
cons- tata une incontinence plus ou moins complète des fèces et des
urines
, qui s'aggrava progressivement. Les urines anal
omplète des fèces et des urines, qui s'aggrava progressivement. Les
urines
analysées il plusieurs reprises ne ren- fermère
çon assez marquée (Planche IV). L'examen des poumons, du coeur, des
urines
ne révèle aucune particularité pathologique.
de la rate et l'accélération des battements du coeur. L'analyse des
urines
et du sang a été l'objet de recherches peu nombre
ondante et co- pieuse (pas de tuberculose, pas de modifications des
urines
). OBS. II (PI. VII, B). Communiquée par M. ALBE
veur, a des digestions mauvaises, mais pas de lésion viscérale. Les
urines
sont acides et contiennent des traces d'albu- m
urs changent de volume de temps à autre. L'examen du sang et de l'
urine
ne révèle rien de particulier. Le début de la m
ent à la Salpêtrière l'a arrêtée. La respiration est normale. Les
urines
normales. Le poids, qui était, on se le rappell
aussi de la pollakiurie dont l'existence n'est pas établie. Dans l'
urine
, dontl'émission se fait avec peu de vigueur, on
ade se salit. ' Pas d'atrophie. Les autres appareils normaux. Les
urines
examinées à plusieurs reprises absolument norma
que l'on est obligé de la réveiller. Depuis 6 mois incontinence d'
urine
. Depuis un an raideur, faiblesse, dou- leurs da
x existent encore : la malade perd quelquefois quel- ques gouttes d'
urine
: d'autrefois, elle est obligée de faire de longs
meil, précédés de rêves érotiques, suivis d'émission involontaire d'
urine
et laissant après elles un état de prostration co
ncters ont une certaine tendance parétique. Les dernières gouttes d'
urine
sont perdues dans la chemise ; les lavements ne p
s bourses sont grosses, le vi- sage lui-même est bouffi. Enfin, les
urines
contiennent 4 gr. 50 d'albumine par litre. Le
illose. Mais le thorax était sain, il n'y avait pas de pus dans les
urines
, l'article ne s'était pas fistulisé depuis quat
e alcoolique, sans hallucinations, sans troubles de la mémoire. Les
urines
ne renfermaient pas d'albumine et le foie n'éta
lées. On ne peut constater un reliquat de la pleurésie double ; les
urines
renferment un peu d'albumine qui a cédé rapidem
up plus marquée du bras droit. Le malade présente de la rétention d'
urine
pen- dant deux jours. Le 15 octobre, les mouvem
. Les réflexes rotuliens n'étaient ni exa- gérés ni diminués. Les
urines
contenaient de l'albumine, la température et le p
la température normale. Il n'y a pas d'émissions involontaires des
urines
ou des féces. Les alentours de la plaie sont
les objets usuels et leur emploi. Ainsi if lui arriva de boire son
urine
en prétendant que c'était de l'eau et pendant plu
des autres appareils n'a révélé rien d'anormal. La composition des
urines
est normale. En résumé nous nous trouvons en pr
(1). Les fonctions digestives s'exécutent bien. Miction normale ;
urine
physiologique. Le malade n'a ni céphalal- gie,
tique. Rien au coeur, les artères sont un peu athéromateuses. Les
urines
n'ont jamais été troubles ni lactescentes. L'exam
usqu'aux pieds. De plus elle ne sentait pas le besoin d'uriner; les
urines
s'écoulaient à l'extérieur sans qu'elle en eût
montrent encore des troubles passagers de la miction, réten- tion d'
urine
, et des troubles de la vue, diplopie transitoire.
re trace d'arthropathies quelconques. La miction est normale, les
urines
non modifiées dans leur composition. La constip
issaient des troubles des sphincters, incontinence puis rétention d'
urine
, crises doulou- reuses rectales avec constipati
pas baissé. Depuis trois mois, elle se plaint d'une incontinence d'
urine
continuelle : les urines coûtent goutte à goutt
s mois, elle se plaint d'une incontinence d'urine continuelle : les
urines
coûtent goutte à goutte ; il n'y a pas d'incont
pique le Dr Nattier n'a constaté aucune anomalie. Sphincters. Les
urines
partent quelquefois malgré lui, ou bien quand il
il sent le besoin il doit attendre plusieurs secondes avant que les
urines
ne viennent. Le malade a été examiné de nouveau
scères ne révèle rien de pathologique. La voix a un timbre grave.
Urines
du 14 avril : 6200 centimètres cubes en 24 heures
rendre un peu d'opium (10 centigrammes d'extrait). En même temps, l'
urine
tombe à 2 litres 500 et 2 litres le 20 avril, et
disparait presque entièrement (4 grammes). C'est seulement dans les
urines
émises quelques heures après le déjeuner et le
n de 10 grammes de glycose sous la peau fit monter la quantité de l'
urine
à 5 litres et celle du sucre à 165 grammes. - L
ail, mais il se fatigue vite et est incapable d'un long effort. Les
urines
sont relativement peu abondantes : 1500 centimètr
la suite des repas. Le sucre ne dépassait pas 3 grammes par jour. L'
urine
était en moyenne de 1000 à 1100 centimètres cub
pulaire. J'ai. insisté souvent sur la fréquence de l'incontinence d'
urine
chez les xiii '27 414 nrERTOGUE infantiles.
uellement à l'huile de foie de morue sauf depuis l'hiver dernier.
Urine
souvent au lit. En juillet 1899, fluxion de poi
bes pourrait être considérée comme trouble trophique. L'examen des
urines
effectué par M. le D' Moitessier donne : '/¡20
(digestif, circulatoire ou pulmonaire). Rien de spécial du côté des
urines
ou de l'appareil rénal. Cette petite malade,
u coeur. Pas de lésions vasculaires. Ni sucre, ni al- bumine dans l'
urine
. s Le corps thyroïde paraît normal ; on sent ne
s et, bien qu'elle n'en soit pas 636 LANNOIS .sûre, croit que les
urines
avaient de l'albumine. Celle-ci a d'ailleurs dis-
ATOSE 641 Sphincters. - Parfois, au moment d'une émotion, selles et
urines
incons- cientes. - Durant un an l'état du mal
dre d'astragale, le foie de lézard, les cendres de vers de terre, l'
urine
, les crottes de chat sauvage, les excréments aggl
il de Potain, est de 14 à droite et de 13 à gauche. L'analyse des
urines
de 24 heures a fourni les chiffres suivants (la m
n. La voix est un peu rauque. Il y a toujours de l'incontinence des
urines
, sous forme de mictions invo- lontaires. Il ne
er d'autre part à l'examen viscéral. Ni sucre, ni albumine dans les
urines
. 25 octobre 1904. On est frappé aujourd'hui en
de tachycardie. La tension artérielle est normale. Un examen des
urines
donne les chiffres suivants. NOUVELLE Iconograp
ibuer l'ostéomalacie et dans notre cas la scoliose. L'analyse des
urines
que nous possédons bien qu'incomplète (car nous
inctériens est parfaitement normale, on n'a rien trouvé du côté des
urines
. Tous les viscères ont été examinés et retrouvé
de son membre inférieur gauche. Elle présentait de l'incontinence d'
urine
dans la première semaine de sa maladie. On étai
ment de ses autres appareils est assez bon. Rien d'anormal dans les
urines
. L'hémiplégie est entrée assez rapidement en dé
thésie pharyngée ; pas d'anesthésie cornéenne ; Digère normalement.
Urines
normales ; , Bon sommeil. Réactions électriques
myélocites et les hématies sont d'aspect normal. I . L'examen des
urines
donne un seul caractère anormal : l'abondance de
onvulsive généralisée, avec cri, morsure de la langue, évacuation d'
urine
et des ma- tières fécales, et sommeil stertoreu
Pas de troubles fonctionnels du territoire urinaire. L'analyse des
urines
, faite par M. le Dr Florence, chef du laboratoi
x du malade n'a pas changé de tonalité. Le larynx est normal. Les
urines
émises dans les 24 heures atteignent dès 1200 à 1
4 heures atteignent dès 1200 à 1500 ce. a peu près. L'analyse des
urines
a donné : Acidité normale. Couleur jaune claire
ilité la syphilis héréditaire chez le malade. L'examen chimique des
urines
nous a révélé des altérations profondes portant
ls terreux de chaux et de magnésie qui ne sont pas éliminés par les
urines
, peuvent être retenus dans l'organisme et accum
respiratoire et digestif paraissent ne présenter aucun trouble. Les
urines
ne contiennent ni sucre, ni albumine. La palpatio
oedème des jambes est très prononcé. Ni sucre, ni albumine dans les
urines
. On ne constate aucune lésion cardiaque. 5 ju
; la peau présente par places de petites écailles brunâtres. Les
urines
ne contiennent ni sucre, ni albumine. Dans la s
39 centi- mètres (La planche XXXVI reproduit une photographie). Les
urines
ne con- tiennent ni sucre, ni albumine. 20 Ma
ellent chaque jour. Il existe une incontinence presque complète des
urines
et des matières fécales. Le strabisme divergent
raniens et du plexus cervical. Présence d'albumine et de pus dans l'
urine
retirée par la sonde. Temp. : 37° s., 37° m.
ïde semble assez notablement atrophié à la palpation. L'analyse des
urines
, pratiquée à deux reprises à trois jours d'interv
ses : la pression vasale est assez élevée, 140-145 mm. de Hg. Les
urines
très légèrement albumineuses nous apprennent que
anifestés quelques troubles importants : d'abord une incontinence d'
urine
accompagnée de ténesme ; presque à la même date i
troubles de la miction persistent : il ne perçoit pas l'émission de l'
urine
à travers le canal uréthral ; il est même oblig
n spontané d'uriner même quand il y a dans la vessie une quantité d'
urine
suffisante. Quant à son état général il n'a pas
trophie musculaire par inactivité et sur les examens du sang et des
urines
; ils n'ont pas donné de résultats'très intéressa
est normal ; le pouls régulier bat à 75 pulsations à la minute, les
urines
ne contiennent ni sucre ni albumine. ULCÉRATI
palpation de grandes scyba- les. Il y a 0,02 0/0 d'albumine dans l'
urine
. La tête ne peut point du tout être fléchie en
qui disparu en peu de temps, et Wickman raconte qu'une rétention d'
urine
a 'apparu dans l'épidémie suédoise en 1905, in ni
») jours. Mon expérience m'a fait observer moi-même une rétention d'
urine
dans 5 cas et, pour deux autres cas, j'ai appri
insi, chez le géant Charles décrit par ces auteurs, la quan- tité d'
urine
en 24 heures atteint 2.500 centimètres cubes, la
les phosphates 4 gr. 31. Ils en viennent donc à la conclusion que l'
urine
est anormale quant à la quantité et à l'élimina
et d'urée. Chez le géant Simon Botis décrit par Buday et Jancso, l'
urine
, d'abord normale, augmenta ensuite et contint du
rd normale, augmenta ensuite et contint du sucre. Dans l'examen des
urines
du'géant acromégalique décrit par Achard et Laper
à la diète de viande et au lait, le sujet ne présenta plus dans son
urine
qu'une quantité insignifiante de sucre (4 gr. e
ignifiante de sucre (4 gr. en 24 heures). Dans un second examen des
urines
fait au retour du malade dans la clinique, sur
te, de graisses, d'anidride phosphorique et d'oxyde de calcium. Les
urines
étaient recueillies toutes les 24 heures et les m
dosage que pour les aliments (Voir les tableaux spéciaux). Dans les
urines
, outre la quantité, la densité et la réaction, on
tats obtenus, on trouve que (voir le tableau n° 1) la quantité de l'
urine
dans les 24 heures fut normale, variant entre 1.6
normale. Quant aux différents groupes sulfuriques éliminés par les
urines
, il faut remarquer que le soufre total se maint
à la réparation, comme le prouve la quantité de chaux normale de l'
urine
et la bonne absorption de la chaux par l'intest
lipémie ; ce fait n'é- tant pas lié à la présence de sucré dans les
urines
, on ne peut pas parler de lipémie diabétique.
ade a souffert depuis sa première enfance d'incontinence nocturne d'
urine
. A 7 ans il eut la rougeole. Il a terminé l'éco
AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 6\ : I guait et tombait. L'incontinence d'
urine
qui jusqu'alors n'était que nocturne survient é
nys- tagmiformes verticaux. - Le malade souffre d'incontinence d'
urine
diurne et nocturne. Il présente une 630 MARINES
pratiqué la ponction lombaire (3 sep- tembre), de l'incontinence d'
urine
et des matières fécales. A droite il se produit
marcher ni se tenir debout depuis quelques semaines. Incontinence d'
urine
et des matières. ter mars 1906. Le malade conti
ace sont dépourvues de poils, mais il en a au pubis. Incontinence d'
urine
et des matières. DEUX CAS D·HYDROCÉPHaLIE AVEC
est impossible de les apprécier. La malade pèse 52 kil. 800. L'
urine
ne contient ni du sucre, ni de l'albumine. Gâtism
prolongée : pas de râles. Les autres organes sont normaux. Dans les
urines
, ni sucre ni albumine. Conditions générales : f
ure ; le cerveau s'organise et le passage des matières fécales, des
urines
à travers les conduits qui leur sont destinés,
ce moment, le nouveau-né est conscient du moment où il mange, où il
urine
, mais non seulement ne sait pas pourquoi, mais
. En même temps que la paraplégie sont survenus de l'incontinence d'
urine
et des accidents gastriques. L'incontinence dis
e avec incontinence 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. d'
urine
et constipation non opiniâtre. La malade souffre
a durant toute la nuit. - Le 20, température élevée. Incontinence d'
urine
. - Le 21, la paralysie se dissipe et le malade
douloureux, et il a des vomis- sements bilieux et de la rétention d'
urine
. On croit à une péritonite et on applique de la
n d'un cathéter n'est pas perçue jusque dans la vessie. Rétention d'
urine
et constipation depuis l'accident. Puis une cys
à la limite iniérieure de laderniere paire dorsale. Incontinente d'
urine
. L'urine reste saleel purulente. Tempéra ure ir
ite iniérieure de laderniere paire dorsale. Incontinente d'urine. L'
urine
reste saleel purulente. Tempéra ure irrégulière
réflexes sont toujours absents. La vessie retient partiellement les
urines
, qui sont moins sales et moins purulentes. No
les paralysies médullaires d'ordre trauma- tique. L'incontinence d'
urine
est beaucoup plus fréquente dans la catégorie d
1° Des signes de présomption : atrophie musculaire, incontinence d'
urine
, élévation de la température, fourmillements doul
qu'il était à Orégon, il se souvient qu'il ne pouvait garder ni son
urine
ni ses matières. La jambe gauche n'a jamais été a
Depuis un an, périodes d'anesthésie vési- cale avec incontinence d'
urine
. Paraplégie flasque sans troubles trophiques. R
menstruation est normale; un peu de leucorrhée depuis deux ans. Les
urines
ne renferment ni albumine ni sucre; deux examens
00 gr.), l'aspect, la couleur, la densité (1.019) et la réaction de l'
urine
sont normaux. Elle ne renferme aucun élément an
entre très gonflé; pas de selle depuis plusieurs jours; rétention d'
urine
, vessie disten- due ; foie dc grandeur normale
x. . On fit sortir au moyen du cathéter environ 1,000 cent. cubes d'
urine
trans- parente, très concentrée, sans albumine
us l'avons sondé séance tenaille, et retiré de sa vessie un litre d'
urine
d'aspect normal. La sensibilité uréthrale était
a paralysie des membres inférieurs est compliquée d'une rétention d'
urine
, de constipation et de douleurs dans le dos ».
(Communiquée par notre collègue et ami M. Thiro- loix). Rétention d'
urine
. Flénaiparaplogir. Hystérie. - Maria Des..., tren
urs, on fut obligé de la sonder, retirant chaque fois 500 grammes d'
urine
. La sonde est bien sentie pendant son passage il
longue pleurésie, sur- viennent de la tympanite, de la rétention d'
urine
et une contracture du membre inférieur. Les car
35). Pa- raplégie datant de dix-1kuf ans, compliquée de rétention d'
urine
et de contracture tardive. Guérison. Ces. XLI
ût se retenir et au bout de ce temps, la fonction s'est rétablie. L'
urine
ne renfermait tv. 21 ,314 NOUVELLE ICONOGRAPH
e et ami M. Poulalion). Para- plégie hystérique avec incontinence d'
urine
. -Adeline J..., vingt et un ans, mécanicienne,
quatre pattes ». Jusqu'à l'âge de six ans, incontinence nocturne d'
urine
. A sept ans, à la suite d'une émotion (elle avait
raplégie compliquée de constipa- tion opiniâtre et d'incontinence d'
urine
continuelle. Le 26 mars 1890, déses- pérée de s
yélopathiques ne sentent pas le besoin d'uriner, ni le passage de l'
urine
ou de la sonde à travers l'urèthre. Les hystériqu
etc. ; qu'enfin les troubles vésicaux (réten- tion, incontinence d'
urine
, par exemple), les troubles oculaires (am- blyo
rtaine difficulté dans la miction, sans rétention ni incontinence d'
urine
. Étal actuel (février 1890). 1° Troubles de la
mpotence mo- trice dont elle souffre. Ni sucre ni albumine dans les
urines
dont le taux est normal. Rien à noter dans les
vec une nou- velle crise. Le 4 avril, attaque suivie de rétention d'
urine
. Depuis ce mo- men t cette rétention a persisté
sente encore des troubles vésicaux caractérisés par une rétention d'
urine
qui date de plusieurs mois et qui nécessite deux
ant dans le dos, les membres, autour de la cein- ture ; rétention d'
urine
, paresse pupillaire, amblyopie et achroma- tops
n entrée. Pas de lésions cardiaques. Pas de troubles viscéraux. Les
urines
ne renferment ni sucre ni albumine. ÉTUDE DES
ésicaux. Ici encore la différenciation est malaisée. La rétention d'
urine
est très fréquente dans l'hystérie (l'incontinenc
ouvent arrêté par un spasme du col vésical. De plus, la rétention d'
urine
dans la névrose a une marche très irrégulière,
ceux du début (absence d'aura, morsure de la langue, incontinence d'
urine
, stertor et courbature). Vers le milieu de l'an
lle ne perd pas connaissance, elle ne se mord pas la langue, elle n'
urine
pas sous elle. Le lendemain elle est fatiguée,
diurnes. Il est arrivé plusieurs fois qu'il a laissé échapper et les
urines
et les matières fécales dans les accès de nuit.
est petit et bat 84 pulsations à la minute. L'analyse chimique des
urines
a été pratiquée par le Dr Souza Garcez ; elle a
n de l'ostéomalacie. L'élimination du phosphore et du calcium par l'
urine
n'était pas modifiée. Malheureusement on n'a pa
éjà existante dans ce cas. IIaushalter etGuerin (58) trouvent que l'
urine
des myxoedéma- teux est plus riche en calcium.
t de ces constatations, et sur la base des résultats donnés par des
urines
dans un cas d'infantilisme avant et pendant le tr
s modifications dans l'éli- mination de l'acide phosphorique dans l'
urine
des femelles châtrées. Il faut dire pourtant qu
Lutje (95), Neumann et Vas, en dosant l'acide phos- phorique dans l'
urine
et les fèces des femelles châtrées ont obtenu éga
ca- tion des os. Le même auteur avait trouvé l'acide nitreux dans l'
urine
de ostéomalaciques. Seligman, iIertz et Lolil
e trouve, d'après ces au- teurs, dans le sang, la moelle osseuse, l'
urine
, etc. Dans le cas de notre crétine avec tétanie
x ihyroparathyroïdectomisés éliminenl plus d'ammo- niaque-par leurs
urines
que les animaux normaux et, que Isac Ott (163)
région lombaire : pendant deux semaines il eut de l'incontinence d'
urine
et de l'anesthésie locale; il 31 ans, blennorrhag
de signe d'Argyll.Robertson). Le malade a parfois de la rétention d'
urine
, pour laquelle on est obligé de le sonder. Sur
res. ? Coeur. - Le second bruit, il la base, est dur et parcheminé.
Urine
. - Un peu d'albumine, pas de sucre. Poumons. -
les différents appareils ; on ne note rien de particulier dans les
urines
. Le poids du corps est de 80 kilogrammes ; la t
e lève cette fiole et paraît l'examiner à la façon des Médecins aux
Urines
(2). Nous retrouvons ces trois rondelles ou pilul
e, ne participe pas aux phénomènes jacksonniens. Le malade perd ses
urines
. La température est à 38° et le pouls à 96. Il n'
e. Les réflexes rotuliens paraissent égaux des deux côtés. Dans les
urines
, grande quantité d'albumine. Le malade est touj
s très dures, la pres- sion artérielle exagérée (21 au Potain), les
urines
claires et albumineuse ? . Pas de bruit de galo
ou un sentiment. Rien à noter au point de vue somati- que. Dans les
urines
dépôt phosphatiqne abondant et pigment biliaire.
is ne répond plus. Il sort sans forme de politesse. - On a noté qu'il
urine
de temps en temps au lit. 25 janvier,- Mutism
attend qu'on lui enfourne les aliments. 20 mars. Analyse complète d'
urine
. 222 CHASLIN ET SÉGLAS 25 mars. Sa femme, ven
volume du sinus frontal (Pl, XLVIII). Organes génilo-urinaires. Les
urines
ont été analysées à l'entrée du malade à l'hôpi
t normaux. Le pouls est de 80 ; pas d'albumine ni de sucre dans les
urines
. On constate l'absence du testicule gauche. Le
névropathique dans la famille. ANTÉCÉDENTS ph;soNNELS. Rétention d'
urine
dans l'enfance de nature indéterminée. Affectio
érieurs. De plus, depuis ce temps-ia, il a re- marqué aussi que son
urine
sort avec beaucoup de difficulté, qu'il doit fair
mberg, des érections insuffisantes et des retards dans l'émission d'
urine
. Bien que l'absence du- réflexe patellaire ne fut
nt bien ; les sommets ne sont pas suspects. Pas d'albumine dans les
urines
. La menstruation est devenue irrégulière, mais
'élimination, l'enfant eut une hématurie qui- dura deux jours ; les
urines
, acajou foncé, contenaient des hématies, dont il
s. Pas d'adénopathie. Depuis l'hématurie que nous avons signalée, l'
urine
a toujours été normale. Pas de trouble de la mo
2. Augmentation du volume des pieds et des mains. ' Polyurie avec
urines
normales. Champ visuel normal. Anémie profonde.
s. Cyphoscoliose, augmentation de volume des pieds. Polyurie avec
urines
normales. Anémie. Le traitement a consisté en c
nue, impérieuse, de polyurie, de polydypsie, de céphalée très vive.
Urines
normales. Six mois après, oedème de la face, ch
est de 159 ; on note une légère cy- phoscoliose cervico-dorsale.
Urines
normales ; pas de traitement. Observation XI (G
ecs et peu abondants. Légère bouffissure de la face. Céphalalgie.
Urines
abondantes. Nombre des globules rouges (4.357.0
bé en deux, avec une spondylose rhizomélique très nette. Galop avec
urines
normales. Tuberculose du sommet gauche. Echec c
nales n'a rien fait sourdre et n'a pas provoqué de filaments dans l'
urine
; la prostate n'a pas été perceptible au toucher
n obligeant du Dr Genet, chef de clinique oph- talmologique). 1 -
Urines
sans sucre ni albumine; élimination régulière du
Légère diminution de l'acuité visuelle : ni polydypsie, ni polyurie,
urines
normales. Observation XX (Cordier, inédite).
empé- rature est à 37 ? le foie et la rate ne sont pas perçus ; les
urines
sans sucre ni alumine. Le sang (examiné seuleme
es des fonctions gastro-intestinales et l'appétit est conservé. Les
urines
de quantité normale ne renferment ni sucre, ni al
temps de la diplopie, et puis depuis trois mois de l'incontinence d'
urine
. Avec tous ces phénomènes de tabès, la marche é
s eu de douleurs lancinantes. La miclion se fait avec difficulté, l'
urine
sort goutte par goutte et avec beaucoup d'effort
blesse et sueurs. Deb... marche difficilement. Sueurs dans la nuit.
Urines
de vingt-quatre heures : 750 grammes. Il juin.
lande. Pouls : 120. Haleine fétide, douleur au niveau de l'estomac.
Urine
: 050 grammes. Le visage est beau- coup moins g
s sueurs, affai- blissement, persistance des douleurs stomacales.
Urine
: : i00 grammes. 13 juin. Dans la nuit, vomis
ouleurs abdominales, diminution des tumeurs grais- seuses du cou.
Urine
: 400 grammes. Potion de Tood et caféine. 1
i s'était abaissé jusqu'à 24 kg. 100, est remonté à 25 kg. 050. Les
urines
se main- tiennent aux environs~de 500 grammes.
mier examinait ses poches. Le pouls est descendu à 60. 6 juillet.
Urine
: 500 grammes. Pouls : G0. ' 7 juillet. - La te
uls : G0. ' 7 juillet. - La température s'élève de nouveau à 37°,6.
Urine
: 1 litre. Pouls : 70... 8 juillet. Pouls : 7
rine : 1 litre. Pouls : 70... 8 juillet. Pouls : 70; T. R. 37°,2.
Urine
: 525 grammes. Firl. 3. Firl. 4. TROIS CAS
. R. 37°,4. Soir : 38°. 11 juillet. Pouls petit : 130; T. R. 37°,4.
Urine
hier : 750, aujourd'hui 500 grammes. Fig. 5.
arrhée a disparu, la faiblesse des jambes est moindre. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. 13 juillet. Depuis hier soir, co
e, courbature générale. Le malade est atl'aissé, n'a pas d'appétit.
Urine
: 500 gram- mes. Pas de'glande. La desquamation
squamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. , 14 juillet. - Demi-lobe. Pouls
: 120. Urine : 500 grammes. , 14 juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120.
Urine
: 260 grammes ( ? ). 15 juillet. -Pas de glande
Urine : 260 grammes ( ? ). 15 juillet. -Pas de glande. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. La peau est moite. 1G juillet.
grammes. La peau est moite. 1G juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. Quel- ques coliques. Fifl. li.
'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 11 17 juillet. Pas de glande. Pouls : 120.
Urine
: 500 grammes. Coliques, sueurs. 18 juillet.
bourrelet hémorroï- daire. Pouls : 100. Sueurs, faiblesse générale.
Urine
: 560 grammes. Potion : bismuth, bétol, laudanu
a parole est moins lente, le malade est moins engourdi- Pouls : 90.
Urine
: 500 grammes. ' 28 juillet. - Bien que la médi
vait au lit changer de positions. Mais en greffe pas 'de dysphagie,
urine
normale, circulation, respiration normales, gué
l'accompagnent et l'éclairent. R. M. C. XIV. LES sulfates dans l'
urine
DES paralytiques généraux, étudiés SURTOUT AU P
-moteurs sont manifestes. Les pupilles sont quelquefois inégales. L'
urine
est normale. Ce cas présente [de grandes analog
pour un temps, et reviennent ensuite aussi intenses. La rétention d'
urine
n'est pas rare, il y a parfois de l'albuminurie
à peu près 120-130 dans une minute). Le malade tousse assez fort. L'
urine
est concentrée ; sa quantité est très diminuée
ue, on trouva dans sa pituite les bacilles de Koch. La quantité d'
urine
n'augmentait pas et restait très diminuée. Le p
i se réfléchit, entre autre, sur la qualité et sur la quantité de l'
urine
. THÉRAPEUTIQUE. PHARMACOLOGIE DU CORPS THYROÏ
EUTIQUE. riences faites sur la toxicité des tissus, du sang et de l'
urine
, par Gley, Lamori, Masoîn, Ragowitz prouvent qu
t paroxystiques dans les extrémités inférieures, - d'incontinence d'
urine
ou de paresse dans l'évacua- tion de la vessie,
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 LIX. Diabète insipide avec rétention d'
urine
SP.15110D1QUE simul- TANÉE chez UNE jeune fille
0, 4,500, 8,000, 7,000, 6,000, 5,000. 3,000 centimètres cubes d'une
urine
faiblement acide, jaune clair, limpide, ayant des
la malade par les plaintes d'une voisine atteinte d'une rétention d'
urine
; en tout cas, elle eut pour cause physique le s
s avaient absolument l'aspect de meurtrissures. La température, l'
urine
étaient normales, ce qui permet déjà d'exclure un
nne. P. KERAVAL. LUI. Contribution A L'ÉTUDE DES altérations DE l'
urine
dans LES MALADIES MENTALES, ET, EN PARTICULIER,
Les convulsions sont suivies de parésies musculaires. Deux fois l'
urine
contenait de l'albumine, jamais de sucre. Les sym
u nez, de la langue et des clavicules. Pas de troubles oculaires.
Urine
normale. La malade est soumise depuis plusieurs m
un état humoral déterminé. Les recherches expérimen- tales avecles
urines
trouvent aussi pla,e dans ce chapitre. L'intitulé
Tabès ou - sucré, par Grube, 58. - insipide avec réten- - tion d'
urine
chez une hystérique, par Linke, 283. Drainage
par Pasquarel, 482. Paralytiques généraux. Sulfates dans dans l'
urine
des -, par Turner, 138. Paralysie infantile.
par Goebel,478. Uramsme et pédérastie, par Stefa- nowsl ? 293.
Urine
. Altération de l'- dans les maladies mentales e
nt : l°Les envies fréquentes d'uriner avec émission douloureuse des
urines
; 2° Le satgriasis sur lequel insistait Trousse
er en convulsion aux moindres attouchements ou encore quand le malade
urine
ou va à la selle. Je n'insiste pas sur ces trou
xemple, on observe, en général, de la dif-ficulté dans l'émission des
urines
. Cette difficulté semble due à ce que les muscles
aisément cette contraction permanente, et l'émission involontaire des
urines
, qui se produit quelquefois, en pareil cas, s'opè
ver que les sphincters soient paralysés d'une manière continue et les
urines
s'écoulent alors involontairement. Il est possi
bsistent plus , le sphincter est paralysé d'une façon constante, et l'
urine
s'écoule alors inces-samment goutte à goutte, l'a
usculaires qui, peu à peu, présentèrent une atrophie remarquable. Les
urines
en même temps deviennent purulentes. Les accident
mission, il se trouva tout à coup dans l'impos-sibilité de rendre ses
urines
volontairement et quinze jours plus tard les geno
nt une période de 36 heures. Il importe de relever que la rétention d'
urine
fut, comme on le voit, tout à fait transitoire. E
'œil, appartiennent également à cette période. Enfin l'incontinence d'
urine
, la dysurie, les crises gastriques, sou-vent témo
troubles fonctionnels du rectum et de la vessie. Très communément les
urines
deviennent fé-tides et purulentes en conséquence
es symptômes dits céphaliques. Les seuls troubles dans l'émission des
urines
qui se produisent, s'observent chez les femmes, e
ale, nécessitant de temps à autre l'emploi du cathéter ; qu'enfin les
urines
sont habituellement fétides, troubles, et laissen
dé à une cystite développée sous l'influence d'une simple rétention d'
urine
1 occasionnée par un refroidissement. En généra
urinaire, sou- 1 Leyden, Centralblatt, 1865, 1er cas. — Rétention d'
urine
de plus de qua-rante-huit heures de durée survenu
la para-lysie survint quatre semaines seulement après une rétention d'
urine
déterminée par l'impression du froid, montre que
con-science, convulsions généralisées, d'emblée, écume à la bou-che,
urines
involontaires, etc. L'invasion, je le répète, par
que des ré-sultats négatifs. La fonction urinaire est normale. Les
urines
ne présentent au-cune altération dans leur consti
des bras. Il est certain que le malade ne se mord pas la langue et n'
urine
pas sous lui. L'accès est de très courte durée et
ns la face et dans les membres ; pas de cri initial, pas d'émission d'
urines
. Le malade ne s'est jamais mordu la langue; il n'
le sache, du moins, morsure de la langue *, émission involon-taire d'
urine
, comme cela se voit fréquemment dans l'épilepsie.
, de paraplégie complète avec perte de la sensi-bilité et rétention d'
urine
; six jours après le début, les urines ex-traites
e la sensi-bilité et rétention d'urine; six jours après le début, les
urines
ex-traites à l'aide de la sonde renfermaient du s
e escarre sur la fesse gauche. —8e jour, troubles de la respiration ;
urines
fétides. La contractilité électrique est conservé
00; R. 20. — 7 oct. P. 120. 10 oct. P. 130. Extrémités froides. Les
urines
sont troubles, ne contiennent ni sucre ni albumin
nes sont troubles, ne contiennent ni sucre ni albumine. — Rétention d'
urine
. 13 oct. P. 124. - 14 oct. P. 120. 23 oct. — L'
i-ble, mais non accéléré ; la température du corps est normale. — Les
urines
, examinées à plusieurs reprises, ne renferment ni
oelle.) Turgk (Développement des faisceaux de), 237. U Urèthre,
Urines
, Utérus. (V. Para-plégies, Rétrécissements, Trou-
embres inférieurs. Un mois plus tard, apparais- sait la rétention d'
urine
, puis, rapidement, une paraplégie complète, flasq
urs reparaissent, bientôt accompagnées d'une rétention complète des
urines
, rétention et incontinence des matières, et d'u
onstipation absolue, s'établit brusquement une rétention complète d'
urines
. Mort le lendemain. ' A l'autopsie (V. pl. II,
de la localisation indiquée par l'examen clinique. La rétention des
urines
permettait, tout au moins de localiser la lésio
ysie flasque et anesthésie des membres inférieurs, avec rétention d'
urine
. Abcès par congestion double aux aines, provena
s reproduisons le schéma; de l'incontinence et légère rétention des
urines
, une constipation opi- niâtre. La partie inféri
s remontant moins haut que la thermo-anesthésie. Incontinence des
urines
et des matières. Aucun trouble céphalique sen-
tre Rarement ils vont jusqu'à l'in- continence proprement dite, des
urines
et des matières. » Il convient d'attirer plus s
ue des membres inférieurs avec incontinence et légère rétention des
urines
, hypoesthésie remontant jusqu'au-dessous des sein
(axillaire et rectale), et des manifestations myxoedéma- teuses, l'
urine
était analysée tous les jours, et le malade fut p
uls augmenta immédiatement le chiffre des pulsations. La quantité d'
urine
, qui était de 1.650 centimètres cubes avant le
e me semble pas devoir indiquer les oscillations que le volume de l'
urine
subissait par jour, ni le résultat de l'analyse c
ou particulièrement les îlots de Langerhans .le sucre paraît dans l'
urine
, mais la glande thyroïde s'agrandit en même tem
temps : après l'ablation de cette glande, le sucre disparaît dans l'
urine
selon les expériences de Lorand dans le laborat
eucocy- tes, 4.500 ; les globules rouges et blancs sont diminués.
Urines
. L'examen des urines pratiqué à plusieurs reprise
; les globules rouges et blancs sont diminués. Urines. L'examen des
urines
pratiqué à plusieurs reprises n'a jamais per- m
rs reprises n'a jamais per- mis de déceler ni sucre, ni albumine. L'
urine
est jaune trouble, la quantité moyenne est de 8
00 et au 15 avril, après la suppression du traitement, 39 kil. 100.
Urines
. - Les urines ne sont modifiées ni en quantité ni
ril, après la suppression du traitement, 39 kil. 100. Urines. - Les
urines
ne sont modifiées ni en quantité ni en qualité.
aliments et avons chaque jour déterminé la teneur en chlorure de son
urine
par 24 heures. Nous trouvons 14 grammes au lieu
rquée : la moindre piqûre provoque une hémorrhagie prolongée. Les
urines
sont normales comme caractères et comme éléments,
ention des chlorures puisqu'une très minime quantité passait dans l'
urine
, mais les oedèmes n'ont subi de ce fait aucune
on entend un léger souffle mésosystolique au-dessus de la pointe.
Urines
: rien d'anormal ; pas d'albumine. C. - Mouveme
coolisme, pas de syphilis* Pas de convulsions ni d'in- continence d'
urine
, pas de crises d'épilepsie dans l'enfance. Pas de
ien au coeur, rien aux poumons. Pas de sucre ni d'albumine dans les
urines
. 164 RUDLER R... est atteint de neuro-fibroma
le ; la proportion des globules blancs et des hématies était 1/900. L'
urine
avait une densité un peu plus élevée que la nor
i- res, pas de syndrome méningitique. Ni sucre ni albumine dans les
urines
, abolition des réflexes tendineux. 8. Trouble
arche presque impossible, spastique. Réflexes patellaires exagérés.
Urine
, rien de particulier. Tuberculose pulmo- naire
- male. Pouls accéléré, environ 100 par minute. Température : 38°5.
Urine
, rien de particulier. Le malade est dans un é
olique à l'auscultation de la base du coeur. A son entrée le malade
urine
par regorgement, la vessie est énorme, disten-
est énorme, disten- due ; on le sonde pendant trois jours puis les
urines
reprennent leur cours. Pendant son séjour à l'h
ré- tend diagnostiquer les maladies de l'àme d'après la couleur des
urines
? C'est un praticien de la même espèce que l'Ar
Pas de vomissements. Il ne perd pas ses matières. Incontinence d'
urine
. Il est obligé d'avoir un urinai en permanence.
0. L'état subcomateux persiste. La température s'est élevée à 40°3.
Urine
purulente. Eschare étendue au niveau de la fesse
sens musculaire est conservé. Il pleure facilement. Incontinence d'
urine
et parfois des matières. Impuissance génitale.
on du gros orteil de deux côtés. Facilité à pleurer. Incontinence d'
urine
et parfois des matières. Lymphocytose non douteus
d'oedème pulmonaire aux bases, le coeur est à peu près normal, les
urines
renferment 4 grammes d'albumine. D'après le pas
emploi de tubes de plomb toujours malpropres, où la souillure par l'
urine
et la décomposition ammoniacale caractéristique
pendant lesquels, la paraplégie va en progressant. Incontinence des
urines
. , Puis, il entre dans le service de M. le prof
affai- blisaient.Quelques jours plus tard, brusque incontinence des
urines
et des ma- tières ; le lendemain, paralysie com
a région lombaire droite devient douloureuse, en même temps que les
urines
sont de plus en plus rouges et rares. Au 5e jou
n plus rouges et rares. Au 5e jour de l'entrée, rétention brusque d'
urines
. Mort le lendemain. Autopsie. Symphyse pleurale
la droite se prend à son tour. 8 jours après, rétention brusque des
urines
, nécessitant le cathétérisme ; au bout de 15 jour
éphalalgie presque continuelle; anorexie, constipation opiniâtre. Les
urines
, chargées, à l'époque des crises gastriques, sont
s crises gastriques, les vomissements de pituite et la coloration des
urines
. 2° La névrose a pris le nom de petite hystérie
ouls et la température restèrent normaux Elle eut de l'incontinence d'
urine
et resta trois semaines sans avoir de gardes robe
. Sa sœur, plus jeune qu'elle, est atteinte d'incontinence nocturne d'
urine
. Un jour. Mlle D... apprit inopinément la mort
q crises pendant lesquelles elle perd complètement connaissance. Elle
urine
sous elle pendant l'attaque ; après il lui arrive
. la suggestion a amené la cessation de l'inconti- : nence nocturne d'
urine
. Nous avons noté aussi l'amélioration de la mémoi
actère, des tics nerveux, des incontinences nocturnes et diurnes de l'
urine
et des matières fécales, des terreurs nocturnes,
on avec un succès complet sont les suivantes: incontinence nocturne d'
urine
(22 cas), incontinence nocturne et diurne des mat
cas). !.e nombre des malades traités pour l'incontinence nocturne d'
urine
a été de 32. Bien que l'incontinence nocturne che
cncc de la suggestion dans le traitement de l'incontinence nocturne d'
urine
chez les enfants. Parmi les faits les plus conc
n de huit ans. atteints tous deux d'incontinence nocturne et diurne d'
urine
, et une petite fille de dix ans, atteinte d'in co
Chez une petite fille de 12 ans. atteinte d'incontinence diume de l'
urine
et des matières fécales qui la faisaient renvoyer
la guérison d'un assez grand nombre de cas d'inco-tinence nocturne d'
urine
. Dans tous ces cas, la guérison définitive a été
résistance volontaire du malade. Recherches sur la composition de l'
urine
dans la léthargie hypnotique. MM. Acg. Voisin e
ie hypnotique. MM. Acg. Voisin et Haraut (de Paris) ont analysé les
urines
de plusieurs malades mises en léthargie, et ils o
des sifflantes, constipation opinâtre. sueurs abondantes et fétides,
urine
limpide mais* fétide aussi et déposant après deux
es œdématiées; visage jaunâtre et boursouflé: pas d'albumine dans les
urines
. Douleurs gastralgiques contre lesquelles je tent
ISME EXPÉRIMENTAI THÉRAPETIQUE RECHERCHES SUR LA COMPOSITION DE L'
URINE
DANS LA LÉTHARGIE HYPNOTIQUE DURANT DE 8 A 20 JOU
e période de grand hypnotisme, on note : la diminution de volume de l'
urine
, l'abaissement du taux de tous les excréta urinai
ypnotique prolongé pendant plusieurs jours de suite. Les analyses d'
urine
ont été faites dans le laboratoire de pharmacie d
el la malade prend les aliments ordinaires et fait ses besoins. Les
urines
de la malade ont été analysées à trois époques di
qui comprenaient chacune trois jours, nous avons fait recueillir les
urines
de vingt-quatre heures : de onze heures du matin
i-joints. Pendant l'état de veille, nous n'avons pu nous procurer les
urines
trois jours durant, la malade étant souvent très
malade étant souvent très surexcitée et ne voulant pas donner de ses
urines
. Nous ne les avons analysées que lorsque celle-ci
tait plus calme et que nous étions absolument certain de posséder les
urines
des vingt-quatre heures. L'alimentation, qui n'
s; viande, 50 grammes; potage, 30 centilitres; pain, 200 grammes. L'
urine
de la malade, aussi bien pendant le sommeil qu'à
dre des soins de toilette an lavabo qui est dans une autre salle. L'
urine
a été recueillie comme dans le précédent cas, pen
de manie qui durait depuis trois jours. Aussi, les caractères de l'
urine
sont-ils un peu différents des deux précédents po
e normaux dans ces conditions. Dans cet état dit normal, jamais tes
urines
ne purent être recueillies en totalité, la malade
te cause d'erreur, car il est totalement indépendant de la quantité d'
urine
recueillie ou émise; c'est un rapport entre deux
u fixe, de l'urée et des phosphates, qui varie suivant le volume de l'
urine
excrétée dans les vingt-quatre heures. Reste le
blaient augmentés par rapport à l'état sain. Nous répondrons que, les
urines
n'ayant pu être recueillies en totalité pendant c
ons de), par Bernheim, 321, 371. Troubles mentaux tabagiques, 86.
Urine
dans la léthargie hypnotique (composition de l')
ité, perversions ins-tinctives. Imbécillité, incontinence noc-turne d'
urine
. Imbécillité, épilepsie. Imbécillilé, maladie d
ombre 50 sont gâteuses complètes; 32 ont de l'incontinence nocturne d'
urine
; 147 sont tout à fait propres; 5 sont atteintes d
ée en 1902, atteinte de crises nerveuses avec incontinence nocturne d'
urine
, instable. Aucun accident nerveux depuis 1903, a
intellectuelle, avec perversions des instincts et émission nocturne d'
urine
très fréquente. A été en traite-ment pondant G an
er une amé-lioration notable sous tous les rapports, l'incontinence d'
urine
avait pour ainsi dire disparu. — Elle a été repri
e débarbouiller, elle avait quelque-fois de l'incontinence nocturne d'
urine
.— Vu sa dissipation, son espièglerie et son manqu
t se débarbouiller, fait elle-même son lit; l'incontinence nocturne d'
urine
a pour ainsi dire disparu. Mais le caractère de c
procède aujourd'hui à sa toilette et a toujours un air propret. Elle
urine
encore quelquefois au lit, mais ne gâte jamais po
enfant en bas âge; elle avait en outre de l'incontinence noc-turne d'
urine
. En réalité, l'enfant était gravement atteinte
la face devient livide, et la malade reste absolument inerte; elle n'
urine
pas sous elle, au cours de ses accès, De 7 heur
ras ne sont pas convulsés, on n'a pas remarqué qu'il perde plutôt ses
urines
à ce moment-là; ces crises qui durent un quart d'
. 0. — Tabour...à 13 ans, en l90i. pouls sont normaux. L'examon des
urines
est négatif. (Fig. 10, Fig. 11, Fig. 1903. 7 ja
bles génito-urinaires, l'incoordination motrice; l'in- continence d'
urine
par contre a paru peu influencée. Ce pourcentag
nutes, et qui étaient assez souvent suivies d'un lourd sommeil. L'
urine
s'écoulait presque toujours pendant l'accès et la
isés par de faux besoins d'uriner, sans incontinence ni rétention d'
urine
. A l'examen oculaire on constate une ophtalmoplég
très accentués, caracté- risés par de la dysurie, de la rétention d'
urine
, mais aussi, d'après le malade, de l'incontinen
tention d'urine, mais aussi, d'après le malade, de l'incontinence d'
urine
. D'autres crises viscérales se sont produites :
eloppée dans le sens vertical. Le cathétérisme difficile ramène une
urine
trouble et sanguinolente. L'examen histologique y
il la 46°. Les difficultés du cathétérisme qui ramène toujours une
urine
sanglante et purulente s'accentuent de telle fa
crises gastriques tabétiques. Léger diabète insipide. 3,900 grammes d'
urine
en 24 heures. Troubles oculaires d'origine syph
ohis, Godlée). Assez souvent on a relevé des modifications dans les
urines
. Dans la période aiguë, Munchmeyer a trouvé une
guë, Munchmeyer a trouvé une diminution notable des phosphates, les
urines
au lieu de 3 grammes n'en contenaient que 1 gr.
iminution de tous les éléments qui entrent dans la composition de l'
urine
sauf pour l'urée et le chlorure 160 A. WEILL ET
. Rosentlial explique cette diminution des éléments extractifs de l'
urine
, t en tenant compte de la différence nutritive
eille de les doser à la fois dans les aliments, les matières et les
urines
. Si l'on trouve, par exemple, qu'il y a beaucoup
r exemple, qu'il y a beaucoup moins de chaux dans les selles et les
urines
que dans les ingestats, on peut en con- clure q
la magnésie, l'acide phosphorique, etc., etc., se montrent dans les
urines
el les excréments dans les mêmes proportions qu
onjecturer qu'il rétro- cède si ces mêmes sels se trouvent dans les
urines
et dans les selles en plus grande quantité que
al. La puissance génitale est conservée. Voici une des analyses d'
urine
: chlorure de sodium, 8 gr. 70 ; phosphates, 2
ilité objective. Les sphinc- ters fonctionnaient régulièrement. Les
urines
avaient, une composition normale. 218 F. RAYM
douleurs, mictions fréquentes, impé- rieuses, de quelques gouttes d'
urine
le plus souvent. Depuis deux mois, il s'est mis
naire bilatérale, avec prédominance à droite. Le foie est atrophié. L'
urine
ren- ferme de l'urobiline. Il existe de l'ascit
bes et les parties génitales. L'abdomen est ballonné, douloureux. L'
urine
renferme du sang, de l'albumine ; quelques cyli
Pas de rhuma- tisme chez le malade, pas de dépôt calcaire dans les
urines
, pas de sécrétion acide de la peau. Les ossific
le calcanéum droit, à l'insertion da tendon d'Adulte. Rien dans les
urines
. Toutes les fonctions s'exécutent bien. Le XI res
e de la jambe gauche était tombée tandis que l'oedème continuait.
Urines
: diminution notable de l'acide phosphorique ; au
- ficultés dans les mouvements des membres. Rien d'anormal dans les
urines
. Le 14 avril 1887 (Soc. allemande de chirurgie)
nce d'une phalange. Organes internes normaux ; digestion bonne. L'
urine
ne contient aucun principe anormal ; il y a une
x nasal, bouche normale, organes abdominaux et thoraciques normaux.
Urine
normale. Tête penchée en avant et un peu à droi
dégénérés. T = 37° ; pouls = 90,.normal. Respiration affaiblie.
Urines
. - Ni sucre, ni albumine. Moyenne de 4 examens
ffaiblie. Urines. - Ni sucre, ni albumine. Moyenne de 4 examens d'
urine
relativement au phosphate de chaux 5 gram- mes
, symétrique- ment ; un peu de scoliose. Traces d'albumine dans les
urines
; la mastication est normale. Ons. XXXIII. -
é interne du tibia droit. Les gros orteils sont en hallux valgus.
Urines
acides, densité 1025, rien d'anormal. 391 t A.
l'abatte- ment ; on n'a jamais remarqué d'émission involontaire des
urines
. La malade est peu intelligente ; elle répond a
nt dé- veloppés. ' Rien au coeur. Ni sucre ni albumine dans les
urines
. Cette observation nous a paru intéressante il
rmal (râles, frottements ou sibilances). Coeur normal, pouls 120,
urines
normales, température 38., Tous ces symptômes é
organes internes fonctionnent bien. Ni sucre, ni albumine dans les
urines
. Anomalies congénitales. Absence de lobule de l
scles de la mimique, de l'avant-bras et de la cuisse. Analyse des
urines
en 1892 : Diminution des sels calcaires. Un mor
tronc est raide. ' Les autres organes sont normaux ; rien dans les
urines
. Le %0juin. Résection partielle du grand pector
e de l'eau. Pendant ces quinze jours, il a analysé les fèces et les
urines
au point de vue des CaO, Pln'03, MgOCl, etc., c
moitié latérale gauche de la moelle. Je veux parler d'une rétention d'
urine
qui aurait duré plusieurs jours et aurait nécessi
diminue rapidement en même temps que l'on constate par l'analyse des
urines
une constante diminution qualitative et- quantita
des plus intenses. Il n'a pu quitter un instant le lit où il rend les
urines
involontairement. Impossible d'émettre le moindre
cas. En effet souvent il y a pendant l'accès, morsure de la langue et
urines
involontaires, faits vraiment exceptionnels dans
s ou quatre ans peut-être, je suis forcée de pousser pour uriner et l'
urine
ne sort que par saccades. J'ai aussi depuis ce te
férieurs. De temps en temps, il s'était produit un peu de rétention d'
urine
. Les douleurs en cein- 1. Il n est pas question
s'amender progressivement, en même temps du reste que la rétention d'
urine
et que les douleurs thoraciques. En juillet 1870,
dire maintenant si vous avez gagné quelque chose pour l'émission des
urines
? Le malade : Oh ! de ce côté là, l'amélioratio
iner j'étais obligé de m'y reprendre à cinq ou six fois, maintenant j'
urine
en une seule fois. C'est comme dans le temps, alo
ui, comme on l'a dit, je puis faire de longues courses sans canne ; j'
urine
beaucoup mieux, presque aussi bien qu'avant ma ma
qu'il y a un an. Besoins fréquents d'uriner et parfois incontinence d'
urine
. Sensation de coton dans les pieds et les jambes;
t dans les membres inférieurs a cessé. Il n'y a plus d'incontinence d'
urine
. Les érections sont plus fortes et plus durables.
que je viens seul. M. Gharcot : Parlez-nous de vos douleurs, de vos
urines
, Le malade : Je n'ai plus la sensation de coton
efois encore une espèce de chatouillement qui paraît les remplacer. J'
urine
presque comme autrefois. Quatrième malade. - Ex
x-huit mois seulement. Elles sont peu intenses. Légère incontinence d'
urine
, un peu d'anes-thésie plantaire. Érections très f
raitement une proportion plus ou moins considérable de sucre dans les
urines
. En dehors du tabès, la suspension a été appliq
accès qui siègent dans les membres supérieurs. Pas de sucre dans les
urines
. Il a eu, à plusieurs reprises, des crises doulou
s subi d'augmentation. Dans notre cas, en particulier, six analyses d'
urine
faites avec soin par MM. Cathelineau et G. de la
M. Cathelineau et G. de la Tourette ont donné les résultats suivants:
urines
claires, sans dépôt. Le résidu fixe, l'urée, les
de l'urée clans les matières vomies et l'on a noté que la quantité d'
urine
rendue en vingt-quatre heures restait généralemen
diminue rapidement, en même temps que l'on constate par l'analyse des
urines
une constante diminution qualitative et quantitat
rement, deux ou trois jours avant le réveil, on voit le volume de l'
urine
, le poids de l'urée, le chiffre des phos-phastes
faite le 3 ayant montré que ce relèvement prémonitoire du volume de l'
urine
et du taux de l'urée ne s'était pas encore pronon
qui concerne la perte de poids du corps, la diminution du volume de l'
urine
et l'abaissement du taux de l'urée, l'attaque de
e que la malade est obligée parfois de faire effort pour expulser les
urines
. A la vérité, sur le membre inférieur droit, non
ans la nécessité de faire effort, de pousser quand on veut rendre les
urines
. Celles-ci s'écoulent quelquefois involontairemen
s. Il était donc intéressant de savoir ce que donnerait l'analyse des
urines
; or, on est arrivé à reconnaître que les accès é
étaient suivis d'un accroissement de la quantité de l'urée. Un homme
urine
, par exemple, 25 grammes d'urée; après une attaqu
st jamais tombé de son lit; qu'enfin,il ne se mord pas la langue et n'
urine
pas sous lui comme il le fait dans ses crises de
ar quelques points ; habituellement, il ne se mord pas la langue et n'
urine
pas, et si l'on intervient violemment par des cri
térie est si bien une simple appa- i rence que si l'on étudie les
urines
des hystéro-épileptiques, au lieu d'y trouver un
rée a diminué. On n'a pas encore eu l'occasion de faire l'analyse des
urines
de notre homme lors de ses attaques hystéro-épile
), 67. — Nutrition, 273, 274. — Poids du corps, 273. — Réveil, 276. —
Urines
, 273. — Vibration des paupières, 273, 274. Atta
s, 234, 236, 239. — et hystérie, 240. — et tabès, 243.— Examens des
urines
, 238. — Exophthalmie, 233, 234, 236, 239, 241. —
, 423. — Etat de mal, 113, 239. — Etat mental, 321. —Composition de l'
urine
après l'attaque, 421. — et Amnésie trau-matique,
93. Troltsch, 225. Troostwyck, 449. Trousseau, 313, 321. u
Urines
(Examen des). — dans l'attaque de sommeil hystéri
alade, qui n'avait pas uriné depuis son accident. Celle rétention d'
urine
a persisté pendant 15 jours. En outre, le malad
ssé dans la suite : Au bout de quinze jours environ, la rétention d'
urine
a fait place à l'incontinence ; le malade s'est
ne a fait place à l'incontinence ; le malade s'est mis à perdre ses
urines
, sans en avoir cons- cience. Actuellement, il c
-incontinence; il est dans l'impossibilité de retenir longtemps ses
urines
; toutefois il ne pisse plus au lit. Au bout d
d'araignées, etc., etc., sans oublier la momie oumumie, la salive, l'
urine
, le sang, la graisse de l'homme, et jusqu'à ses
aire l'ont aussi tenté, témoin son Médecin, empirique examinant des
urines
, au musée des Offices, sujet si souvent reprodu
l affirmait ne pas s'être mordu la langue et ne pas avoir perdu ses
urines
. Les quatre jours suivants, M... travailla comm
... se mordit t plusieurs fois la langue, mais il ne perdit pas ses
urines
. Un médecin con- seilla le bromure de potassium
amais été malade. Ses bruits cardiaques étaient irréprochables, ses
urines
étaient normales. 11 était de grande taille, vi
u de dilatation veineuse. Rien au coeur, pas d'albuminurie dans l'
urine
. Ni les extrémités infé- rieures ni la face ne
rés. Il ne présente pas de troubles de miction ni d'albumine dans l'
urine
, ni de bruits anormaux au coeur. La sensibilité
s qui feraient penser a une affection anale ; pas d'albumine dans l'
urine
; le sphincter vésical fonc- tionne normalement.
les qui feraient penser une affection rénale; pas d'albumine dans l'
urine
. L'examen électrique des muscles des membres su
nt les malades que j'ai étudiés ne présentent pas d'albumine dans l'
urine
, mais ils sont indemnes de tout autre signe d'i
traces d'oerJ.l1le au pourtour des malléoles. La malade perd ses
urines
et ses matières depuis son entrée à l'hôpital. El
s pleurs faciles, un nystagmus binoculaire et enfin de la perte des
urines
et des matières. Sauf ce dernier symptôme, à su
time a eu les deux jambes paralysées, ainsi que de la réten- tion d'
urine
. Le lendemain, on a constaté de l'hyperesthésie c
légère parésie motrice à droite, le tout accompagné de rétention d'
urine
et d'évacuations involontaires de matières féca
membres supérieurs. Pendant trois jours, il a eu de la rétention d'
urine
et des matières fécales. Au bout de 15 jours, l
ieur du côté droit et anesthésie du côté gauche avec incontinence d'
urine
et constipation opi- niâtre. Au bout de 48 heur
sibilité dans le membre du côté opposé, ainsi que de la rétention d'
urine
. Lorsque le sujet fut examiné par Charcot, huit a
amendés. Je note qu'au dé- hut le malade avait eu delà rétention d'
urine
. D. Enfin dans un quatrième el dernier groupe,
xagérée dans le côté gauche de la face, sans compter la rétention d'
urine
. Ainsi que je vous le disais à l'instant, une a
partie supérieure du cou. En outre le malade a eu de la rétention d'
urine
.. Je note que le 27e jour après l'attentat, la
ouva dans la nécessité de le sonder, car il avait de la rétention d'
urine
depuis la veille. Le soir, la pa- ralysie du se
toute l'étendue du membre inférieur droit, ainsi qu'une rétention d'
urine
et de matières fécales qui a persisté pen- dant
ites avec une fréquence variable aussi bien la nuit que le jour. Il
urine
souvent et se mord quelquefois la langue. Il do
es. Il ne se souvient de rien, ne se mord que rarement la langue, n'
urine
presque jamais; 2'' des vertiges et des éblouisse
âles secs. Sclérose des artères. Pas de sucre, ni d'albumine dans l'
urine
. Faiblesse générale assez considérable ; le mal
accès commence. Il est classique ; elle se mord la langue, perd les
urines
, s'en- dort après l'accès. Nous remarquerons se
le froid. La sensibilité paraît un peu di- minuée. Il transpire et
urine
beaucoup. Très peu d'appétit. M. Matignon fait
es sphincters sont intacts. Pas de constipation ni d'incontinence d'
urine
. Bon appétit. Aucun trouble de la déglutition.
atastrophe : ils y avaient souffert de la soif au point de boire leur
urine
, ils y avaient souffert extrêmement de la faim, n
seules clignotent continuellement en tremblements fibrillaires. Elle
urine
au lit. Les selles ne surviennent qu'à la suite d
rapeutique. Étude psychologique sur le traitement de l'incontinence d'
urine
essentielle. Dr Jules Voisin : Sitiophobie trai
peutique. Etude psychologique sur le traitement de l'incontinence d'
urine
essentielle. Dr Binet-Sanglé : Lois des secousses
ison rapide des tics, de Tonycho-phagic, de l'incontinence nocturne d'
urine
et des défauts de caractère. Quelques nouveau
voir le corps du délit. Quelques jours plus tard, on lui apporta de l'
urine
renfermant plusieurs pierres qui avaient été rend
ité morbide. Dr Hahn: Le traitement psychologique de l'incontinence d'
urine
. D1* Paul Farbz : Un sommeil de trente ans. Dis
rapeutique. Etude psychologique sur le traitement de l'incontinence d'
urine
. Discussion : Dr Bérillon, Dr Félix Regnault.
dissoudrait ses pigments, lesquels pigments se retrouveraient dans l'
urine
. Il fut donc administré à Mme L... un mélange de
éosinate de soude. Le soir même de l'absorption de ce médicament, les
urines
étaient fortement colorées en vert : donc les pig
thérapeutique, en particulier dans le traitement de l'incontinence d'
urine
prise comme cas type, par M. le Docteur C. Hahn
ais nulle part peut-être avec plus de force que dans l'incontinence d'
urine
. Celle-ci, en effet, nous offre entre tous un bel
On a employé un nombre considérable de remèdes dans l'incontinence d'
urine
; chacun d'entre eus s'est montré très efficac
des moyens médicamenteux qui ont été employés contre l'incontinence d'
urine
; la liste vous en paraîtra peut-être un peu long
uve le matin le prépuce légèrement distendu par une petite quantité d'
urine
; si l'enfant se réveille dans la nuit avec le be
l en 1891, M. le Dr Liébeault de Nancy affirmait que l'incontinence d'
urine
était justiciable d'un traitement purement psychi
886 il présentait une statistique portant sur 77 cas d'incontinence d'
urine
traitée par la suggestion hypnotique et il indiqu
n. On a tout d'abord utilisé dans le traitement de l'incontinence d'
urine
de l'enfance, la suggestion proprement dite ; act
s en thérapeutique clinique et particulièrement dans l'incontinence d'
urine
, (jui constitue à cet égard un cas type. Réce
nfluence exercée par les végétations adénoïdes « sur Pin-continence d'
urine
, ou mieux la miction involontaire d'urine ». II e
ïdes « sur Pin-continence d'urine, ou mieux la miction involontaire d'
urine
». II est... des cas chez les adénoïdiens inconti
à effet entre les végétations adénoïdes et l'incontinence nocturne d'
urine
ne saurait être mise en doute, » L'auteur rappo
is environ l'âge de quatre ans, l'enfant est atteint d'incontinence d'
urine
. A peine couché, nous dit-elle, il s'endord profo
e d'urine. A peine couché, nous dit-elle, il s'endord profondément et
urine
dans son lit deux heures environ après s'être end
opération est pratiquée la plupart du temps sans qu'il s'éveille. Il
urine
d'ailleurs plusieurs autres fois dans la nuit. La
noter la coexistence de la respiration buccale avec l'incontinence d'
urine
essentielle, attribue cette dernière à la surchar
à la suite de géne respiratoire. II est de fait que l'incontinence d'
urine
essentielle s'observe également « dans de nombreu
épondérant dans le traitement des principales formes d'incontinence d'
urine
. Nous ne sommes malheureusement pas encore fixés,
roubles digestifs. Rien au cœur ni aux poumons. Pas de sucre dans les
urines
. Pas d'alcoolisme. Pas de maladies antérieures.
des lésions exactement limitées au domaine du sciatique ? Du reste, l'
urine
du malade ne contient pas de sucre. La blennorr
lombaire ou du plexus sacré. En général, il existe de la rétention d'
urine
, une paralysie atrophique, avec réaction de dégén
us ou moins transitoire ou au contraire habituelle, du sucre dans les
urines
. Ces cas-là existent d'une façon parfaitement aut
ucre lui-même qui se trouve souvent en quantités considérables dans l'
urine
chez les malades atteints de ces complications, o
certains diabétiques le sucre peut momentanément faire défaut dans l'
urine
ou encore y être représenté par un taux peu élevé
dérable (10 litres constatés à l'hôpital en recueillant chaque jour l'
urine
dans des bocaux). Urine très peu colorée, non t
és à l'hôpital en recueillant chaque jour l'urine dans des bocaux).
Urine
très peu colorée, non trouble. D. 4040. Ne contie
t; quelquefois s'il ne se présente pas assez vite à la garde-robe, il
urine
dans son pantalon ; quelquefois il pisse encore q
s (V. Planche I, fig. 1) montrent les variations du sucre par litre d'
urine
et par jour pendant les premiers jours du séjour
ralysie alcoolique et qui consistent en sensations 1 Les analyses d'
urine
complètes et pratiquées avec grand soin ont été e
elevant d'un trouble de la nutrition et marqué par la présence dans l'
urine
, ainsi que je vous le faisais remarquer tout à l'
sucre peut apparaître à une époque en général assez tardive, dans les
urines
des malades. M. Oppenheim et d'autres auteurs ont
jusqu'à 12 litres par jour. Aujourd'hui la moyenne de la quantité des
urines
en vingt-quatre heures oscille entre 6 et 7 lit
ué. La dernière analyse donne 49 grammes de sucre par 1,000 grammes d'
urine
avec une excrétion urinaire de 7 litres, c'est-à-
ciles,niais elle a peu d'appétit. Les divers viscères sont sains; les
urines
ne renferment ni sucre ni albumine. De temps en t
antécédents personnels : jusqu'à treize ans, il a de l'incontinence d'
urine
, de sept à treize ans plusieurs attaques probable
s ces crises la malade se mord la langue et perd involontairement ses
urines
. Il est un principe en clinique neuropathologiq
n'ont pas encore été observés. Ce critérium est tiré de l'analyse des
urines
. On sait en effet que MM. Gilles de la Tourette
prises dans le service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des
urines
de la période des vingt-quatre heures comprenant
hystériques et les accès de bâillements épi-leptiques, l'analyse des
urines
trancherait vite la question, étant donné, ainsi
347. Tumeur dorsale du carpe dans la syringomyélie, 357, 360. u
Urines
: modifications apportées dans la composition des
T. I. Pl. II. Fig. 2. — Courbe des variations du sucre par litre d'
urine
. (V. n° XIII, p. 257 à 284. Fig. 4. — Couibo de
p. 257 à 284. Fig. 4. — Couibo des variations du sucre- par litre d
urine
après traitement. (V. n° XIII, p. 2S7 à £84.) C
lement à uriner. S'il me faut uriner chez le médecin pour obtenir l'
urine
, je tends la musculature, je m'ef- force d'urin
membres de tous les modes de la sensibilité ; de la rétention de l'
urine
et des matières ; des convulsions toniques cont
grande majorité des cas, l'acide urique été trouvé en excès dans l'
urine
ainsi que l'acidité générale. Cène sont pas les v
teint de paraplégie flas- que survenue brusquement avec rétention d'
urine
diagnostiquè- rent un mal de Pott après ponctio
d'un grand secours pourla guérison de l'incontinence essentielle d'
urine
. Dans une dernière partie, l'auteur expose la r
sans être malade examine chaque jour atten- tivement sa langue, ses
urines
ou ses garde-robes, a certaine- ment une préocc
sie quelques mois après, suivi encore de guérison. Chaque fois, les
urines
contiennent de l'albumine, alors qu'elles n'en
utanées, éditer l' Ie bromismc (1), pour combattre l'incontinence d'
urine
(dou- che locale et générale), l'onanisme, léga
analogies présentées : morsure de la langue, convulsions, perte des
urines
, amnésie rétro-antérograde, etc. C'est l'inter-
ie quelques mois après suivi encore de guérison. Chaque fois, les
urines
contiennent de l'albumine, alors qu'elles n'en co
riser. Ce sont : la céphalée prémonitoire, les mo- difications de l'
urine
et du taux urinaire, l'état saburral, la consti
des 25 dernières années, dans les propriétés physico-chimiques des
urines
, l'élimination des sels minéraux, des substance
les sur l'application de la diazo-réaction cl'Erlich à l'étude des
urines
dans l'épilepsie. Sur lesonze sujets dont les u
l'étude des urines dans l'épilepsie. Sur lesonze sujets dont les
urines
furent recueillies quotidien- nement pendant un
z deux autres, ce phénomène fit toujours défaut. Enfin l'examen des
urines
des quatre derniers malades ne fournit que des
8G. La température est entre 3G"Set ? Foie ef raie anormaux. Les
urines
sont foncées ; elles ne contiennent ni sucre, ni
ur et grains de beauté sur la ligure. Foie un peu gros, sensible.
Urines
peu foncées. Pas de sucre. ni albumine. Indieanur
l monte ils. Les extrémités sont froides et lé;èrementcyanpséc;s,
Urines
foncées ; 111'Qbili]1ul'ie nette. Sérum sanguin r
colie. Urticaire il y a trois ans, pendant S jours, très fortement.
Urines
claires : pas d'urobiline. Ni sucre, ni albumin
s dans le sérum. 11 nous est arrivé de ne rien découvrir dans les
urines
, tandis que le sang nous apportait quelques élé
soumis au traitement et au régime lacté avant l'examen chimique des
urines
. CHOLÉMIE ET MÉLANCOLIE. 301 Observation \ ?
entre 36 ? ) et 37°2, sans perturbations ni irrégularités. - Les
urines
sont foncées. Pas d'acides biliaires : pas d'indi
ans, épistaxis. Gingivorragie très fa- cilement. Foie un peu gros.
Urines
claires : pas de sucre ni alllll- mine. Urobili
'anxiété et il l'agitai ion. Poumons, coeur, l'oie, rate normaux.
Urines
un peu foncé ? urobilinurie nette. Pas (l'indican
ndican, ni susre ni albumine..s,;rUIH : l;lllelin très léger. Les
urines
des mélancoliques ont été examinées sou- vent.
que de grossesse sur la ligure. Grains de beauté sur la poitrine.
Urines
claires (la malade absorbe par la sonde msophagie
re s'éclaircit,la tristesse disparaît, il mange et dorL bien. Les
urines
, analysées le premier jour de son entrée, sont d'
é. Le sérum est foncé ; le Gmelin est très net. Le 9 janvier, les
urines
renferment des traces de sucre et très peu d'ur
onde fois le 15 janvier. Le Gmelin était il peine perceptible.. Les
urines
ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQ
pérature entre, 36 ? et 37. ? C) anose légère des extrémités. Les
urines
, foncées les premiers temps, contenaient de l'uro
la coqueluche, l'éclampsie, l'urémie, la surdité, l'incontinence d'
urine
, etc , etc. , M. ]e P" Yas ( ? Ht CHT¡';N (de L
hallucinatoires sans systématisation et avec systématisation des l'
urines
paranoïdes, les élats angoissants relevant le plu
rs, sans accompagnement de douleurs.. ' Leli janvier, rétention d'
urine
et constipation opiniâtre qui cessent quelques
'examen ophtalmos- copique a été fait par le Professeur Gazepy. Les
urines
étaient normales et ne contenaient ni albumine,
ccident, les auteurs ne signalent aucun autre inconvénient. , Les
urines
, qui ont été examinées pendant toute la durée du
r. Jamais de douleurs, de dysurie, de rétention ni d'incontinence d'
urine
. Etat actuel. - Douleurs. Elles sont absolument
ropathique, sauf chez sa mère qui a eu de l'incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à 13 ans. Le père est irascible, mais sans
nt à gauche. En général il ne se mord pas la langue, n'écume pas, n'
urine
pas dans ses vêtements. Il perd connaissance, mai
hystériques et les accès de bâillements épileptiques, l'analyse des
urines
trancherait vite la question, étant donné, ains
oches ; il mangeait de la terre, des feuilles mortes, il buvait son
urine
, défé- quait dans ses mains et disait qu'il vou
ont pas encore été observés. Ce critérium est tiré de l'analyse des
urines
. On sait en effet que MM. Gilles de la Tourette
ises dans le service de M. le professeur Charcot, que l'analyse des
urines
de la période des vingt-quatre heures comprenan
il circulatoire est intact de même que l'appareil respiratoire. Les
urines
sont normales. Les règles sont supprimées depui
aires normaux. Pas de polyuric; point d'albumine ni de sucre dans l'
urine
. La peptonurie n'a pas été recherchée. Les règl
vent de n'être déplacés ni par enfoncement ni par protrusion. Les
urines
sont très chargées, ne donnent ni sucre ni albumi
diarrhée, la malade laisse aller sous elle. Pas d'incontinence d'
urine
. Pas d'eschares. Bras gauche beaucoup plus faib
ng, ne sent presque pas et quelquefois' pas du tout le passage de l'
urine
; il lui arrive parfois d'uriner sans s'en apercev
te aucune lésion appréciable. Les divers viscères sont normaux. Les
urines
ne : renferment ni albumine ni sucre. L'état gé
garde continuellement l'attitude de la planche XLII. L'examen des
urines
ne révèle rien d'anormal; elles sont claires, s
ila1'ia sangninis. Nous avons également cherché la filaire dans les
urines
, dans la sérosité de l'oedème, et toujours avec
ces diverses affections. L'examen du sang, de la sérosité et des
urines
ne nous a rien appris sur la ftlaria sanguinis.
erdue; ptosis modéré, parésie légère du nerf facial de chaque côlé.
Urine
normale. Pas de troubles de la sensibilité. Org
inférieurs. - Quelques douleurs dans les articulations. - Le malade
urine
assez souvent; il est toujours un peu altéré. L
, ni rhumatisme, ni refroidissement ayant pu causer la paralysie.
Urine
= 4 litres par jour. Densité = 1,038 à -f- 15°; p
satisfaite qu'avec 1 : 2 ou 15 litres de liquide par jour; que les
urines
étaient en relation 1. Gayet, Gaz. hebdom., 187
plir quatre à cinq vases de nuit dans les vingt- quatre heures. Ces
urines
examinées immédiatement ne m'ont pas présenté t
vres, de la langue, surtout à la pointe, l'émis- sion fréquente des
urines
, la faiblesse du bras droit principalement dans
t très agitées, tantôt assez calmes. C... cherche moins à se lover,
urine
parfois dans son lit. peut-être à dessein. Elle
x aux fenêtres, elle les a déchirés. Elle mange malproprement. Elle
urine
et défèque dans sa cham- bre, se barbouille les
res enfants, ce qu'elle ne faisait pas auparavant. - L'examen des
urines
, pratiqué à différentes, reprises, n'a jamais déc
ilogrammes. La figure parait un peu bouffie. Il n'y a rien dans ses
urines
et nulle part d'oedème. L'examen des poumons es
as de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence d'
urine
. Aime beaucoup rester au lit, on ne constate pa
vomissements, pas de sensibilité spéciale de l'abdomen, examen des
urines
impossible. - Soir : T. R. 39,5. 4 septembre. M
ts, pas de diarrhée, selles régulières. Pas d'épistaxis. Examen des
urines
impos- sible. Jusqu'au 14 septembre la tempér
congestion pulmonaire en haut et a droite. Pouls plein' et rapide.'
Urines
albumincu'ses. ' Dans l'apl'ès-lilidi ? épi : .
staxis, toux légère, sans signes sté- thoscopiques nets. Examen des
urines
impossible. - Soir : 'l'.li. 10 ? >. 12 se
demi, pendant trois mois, le malade a présenté de l'incontinence d'
urine
et parfois même des selles. C'est vers l'âge de
j- Éruption complète. [-[- Accidents pulmonaires. Scarlatine. 127
Urines
très chargées en urates. - Matin : 39°. Soir :
gées en urates. - Matin : 39°. Soir : T. R. 40°,8. 27 novembre. -
Urines
très rares, très chargées d'urates; pas d'album
rdu connaissance, mais n'offre ni raideur des membres ni émission d'
urines
. - (lette première crise a duré cinq minutes au
moment de l'éruption n'a'pas dépassé 39°, 3. Du 10 au 18 avril, les
urines
ont pré- senté une notable quantité d'albumine.
om- 172 Instabilité mentale. plètement à 18 mois : incontinence d'
urine
trihebdoma- daire jusqu'à 4 ans. Intelligence a
sevrage, à 13 mois. Exception faite de l'incon- tinence nocturne d'
urine
qui se seraitproduitejusqu'à 4 ans, Edouard n'a
inférieure. I : yt)ièt2e de la vulve occasionné par le contact de l'
urine
, l'enfant élant gâteuse ; pas d'onanisme. Les
, la présence d'une écume sanguinolente aux lèvres, l'émission de l'
urine
, l'abattement consécutif sont des symptômes qui
Je vous disais, à propos de la crise épileptique, que l'émission d'
urine
pendant l'accès ne pouvait être considérée comm
i d'une manière générale à tous les cas où l'on note une émission d'
urine
qui, en apparence, s'effectue d'une manière inv
égard ; je reconnais fort bien, naturellement, que l'incontinence d'
urine
est un phénomène pathologique de haute valeur a
de l'intéressé ou même la constatation de vêtements souillés par l'
urine
ne peut être tenue pour rigoureusement probante,
ire ; si, par exemple, après avoir observé le sujet à nu, on a vu l'
urine
sortir sans jet, goutte à goutte, en quelque sort
a suggestion, ni à la simulation, qu'il s'agit d'une incontinence d'
urine
légitime. J'espère vous avoir convaincus de l'i
rum, aux cuisses, aux jambes et aux pieds. Il y a de l'incontinence d'
urine
et des matières fécales. Au commencement de m
t, à la piqûre et au froid semble normale. Il y a de l'incontinence d'
urine
et des matières fécales ; il existe des eschare
pas de troubles de la sensibilité aux membres supérieurs. La malade
urine
parfois avec difficulté, mais il n'est pas nécess
t pas nécessaire de la sonder et elle ne laisse jamais échapper son
urine
. Pas de troubles rectaux. Trem- blement de la t
ormales. Le malade ne souffre pas, n'a pas de douleurs de tête, son
urine
ne contient ni sucre ni albumine. Le diagnostic
réflexes tendineux, des douleurs lancinantes ou de l'incontinence d'
urine
, on est en droit de dire que le tabès est const
ement, quelques jours après l'entrée à l'hôpital, de la rétention d'
urine
pendant 24 heures. Les fonctions génitales sont
du 20 février, on doit le soutenir. " Dès le début de février, il
urine
difficilement et avec lenteur et perd parfois ses
dans les membres et la ceinture et la malade fut prise de rétention d'
urine
qui nécessita le cathétérisme. Examen. La mar
t les épaules. Il existe enfin des troubles de miction, la malade n'
urine
qu'avec effort et on doit avoir recours fréquem
; au niveau de la région sacrée elle est macérée par le contact des
urines
et il existe de profondes escarres; il n'y a pas
e tout le membre. Il existe des troubles des sphincters : la malade
urine
par regorgement et ses urines sont troubles et
des troubles des sphincters : la malade urine par regorgement et ses
urines
sont troubles et purulentes; elle a de la réten
du fait de ses escarres sacrées et de ses émissions involontaires d'
urine
. Au bout d'un mois environ l'infection urinaire
s de D 7 on ne trouve qu'un peu d'hypoesthésie légère. Incontinence d'
urine
et des matières. Une radiographie ne montre p
thésie a presque complètement rétrocédé et enfin l'inconti- nence d'
urine
et des matières fécales a disparu, ce qu'elle con
ux et cutanés sont abolis. De plus, il se produit de la rétention d'
urine
nécessitant le cathétérisme. Ce n'est qu'au bou
ques involontaires des membres inférieurs. Elle laisse échapper ses
urines
sans s'en apercevoir. A partir de ce moment jus
embres inférieurs et sur une partie du ventre. La malade perd ses
urines
et ses matières. Ajoutons qu'on ne constate auc
jours suivants ; bientôt la malade commence à sentir le passage des
urines
pendant la miction. (') J. Babinski et J. Jarko
manière progressive. Depuis son départ elle n'aurait plus perdu ses
urines
, la sensibilité serait, petit à petit, redevenu
ans le territoire auparavant anesthésique. Sauf une rétention des
urines
qui a duré plusieurs jours et quelques troubles p
ie, les hématuries, l'albuminurie, l'incontinence et la rétention d'
urine
pourraient être aussi des manifestations de cette
cité, de l'aphonie, du mutisme, des vomissements, de la rétention d'
urine
, de l'émission en apparence involontaire de l'uri
la rétention d'urine, de l'émission en apparence involontaire de l'
urine
. Tout cela est incontestable, car on observe de
ysies, d'anesthésies, d'hyperesthésies, d'aphonie, d'incontinence d'
urine
puissent être causées par l'hystérie ? Assuréme
és à l'hystérie. On observe parfois dans l'hystérie, une émission d'
urine
qui semble in- dépendante de la volition, mais
'une apparence et l'inconti- nence vraie, légitime, dans laquelle l'
urine
sort sans jet, goutte à goutte, en quelque sort
ation autrefois, me parait être simplement une émission abondante d'
urine
consé- cutive d'une polydipsie. Je considère co
a langue, présence d'une écume sanguinolente aux lèvres, émission d'
urine
, abatte- ment consécutif, tout en étant des élé
cutané s'étendant jusqu'à la sixième racine dorsale. Incontinence d'
urine
et de matières fécales. Légère excoria- tion à
sion des troubles : 10 heures après l'inter- vention la rétention d'
urine
avait cédé et les mouvements spasmodiques avaient
de D hypoesthésie légère sans erreur d'appréciation. Incontinence d'
urine
et des matières fécales. Pas trace d'excoriatio
te. L'enfant laisse de temps en temps échapper involontairement son
urine
et ses matières fécales. En raison de la poss
de Neurologie, 7 janvier igo4). 107. Traitement de l'incontinence d'
urine
par la ponction lombaire (en collaboration avec
atre fois par jour ; souvent ils ne sont pas gardés. Il y a aussi des
urines
involontaires en petite quantité. Cet état de vie
depuis près de trois ans de spasmes nerveux du canal de l'urèthre. L'
urine
s'écoulait en un mince filet ou môme goutte à gou
lgré tous ses efforts, il n'arrivait pas ù rejeter une seule goutte d'
urine
pendant trois heures consécutives, et, alors, il
kmct nous cite un remède populaire en Turquie contre l'incontinence d'
urine
chez les enfants. Il suffit de faire manger au pa
gure de sainte Thérèse de Jésus. Deux cas d'incontinence nocturne d'
urine
guéris en une seule séance de suggestion pendant
n allant crescendo, je répétai plusieurs fois les suggestions :« Tu n'
urines
plus au lit, tu n'urines plus jamais au lit, tu p
pétai plusieurs fois les suggestions :« Tu n'urines plus au lit, tu n'
urines
plus jamais au lit, tu prends l'habitude d'uriner
comme ils disaient, existait toujours sous le petit lit en fer qu'une
urine
abondante avait traversé. Comme elle me fuyait
peut-être deviendra-t-il la méthode de choix contre l'incontinence d'
urine
. M. Pau de Saint-Martin. — J'ai aussi traité un
ine. M. Pau de Saint-Martin. — J'ai aussi traité une incontinence d'
urine
par suggestion pendant le sommeil naturel, en me
logie et de psychologie. Note sur le traitement de l'incontinence d'
urine
par la suggestion (1), parle Docteur A. Culleiu
nais une première statistique tle 24 cas d'incontinence essentielle d'
urine
traités par la suggestion et m'ayant fourni 20 gu
s international do l'Hypnotisme. (2) A. CuLLBnnE : l'Incontinence d'
urine
et son traitement far U suggestion (Archives de N
est le traitement de choix à appliquer à l'incontinence essentielle d'
urine
. Et si l'incontinence d'urine cède à la suggest
liquer à l'incontinence essentielle d'urine. Et si l'incontinence d'
urine
cède à la suggestion c'est que l'élément psychiqu
qu'il existe une affinité étroite entre l'incontinence essentielle d'
urine
et l'hystérie. La mentalité des jeunes incontinen
tinente diurne, par l'appréhension qu'elle a de ne pouvoir garder ses
urines
pendant la classe. Deux ou trois séances de sugge
t se marier dans six mois, mais qu'elle est atteinte d'incontinence d'
urine
, ce qu'ignore naturellement son fiancé, et me dem
ébarrasser de celte infirmité. (1) A. Cullerre: De l'incontinence d'
urine
dans ses rapports avec Phystérie infantile (Congr
ressionnant. La sage-femme n'avait pas eu l'occasion d'analyser les
urines
n'ayant pas vu la jeune femme pendant son dernier
prendrez tout à l'heure ; elle les diluera et les chassera dans votre
urine
qu'elles coloreront en bleu. Vous serez guérie tr
abolition des réflexes, symptôme d'Arghyll-Robertson, incontinence d'
urine
, etc. Grâce à une rééducation soignée, il est par
ménorrhée fonctionnelle, ténesme. vesical, incontinence nocturne de l'
urine
, diabète insipide, diarrhée émotionnelle habituel
e. Communications déjà inscrites D'.Iules Voisin : Incontinence d'
urine
et hystérie. Dr Bérillon : Présentation d'un ap
tisme (Deux cas d'}, par Raymond, p. 284. Incontinence nocturne d'
urine
guérie en une soule séance de suggestion, pendant
naturel (Deux cas d') par tiourdon (de Méru), p. 87. Incontinence d'
urine
par la suggestion (Note sur le traitement de l'),
. — Hyperesthésie ovarienne. — Description des attaques : périodes. —
Urines
. — Température. — Traitement et marche des attaqu
ient 10 à 15 minutes. [Père, nerveux, mort à 83 ans d'une rétention d'
urine
. — Mère, âgée de 80 ans, bien portante.] Mère,
'HYSTÉRIE : 3e PHASE Bientôt la malade se réveille et pleure. Les
urines
recueillies après les attaques, loin d'être clair
ait débuté sa maladie convul-sive. (il L'incontinence nocturne de l'
urine
est due quelquefois à des accès. Nous relevons ce
aralysie de la sensibilité du côté gauche du corps et une rétention d'
urine
qui, pendant 15 jours, nécessita le cathétérisme.
constaté une contracture du membre inférieur droit et une rétention d'
urine
. 18 juillet.— La contracture et la rétention pe
ussi, le col de la vessie a été contracture : de là, des retentions d'
urine
qui obligeaient de recourir à la sonde (p. 53, 83
ar terre sans perdre connaissance. (Pas de morsure de la langue, ni d'
urines
involontaires). Le tremblement durerait quelquefo
t mal et que les enfants qui, comme elle, avaient de l'incontinence d'
urine
, couchaient au grenier, pêle-mêle, sur de la pail
e et demie et, aussitôt, la malade évacue une assez grande quantité d'
urine
très-claire. 1873 (1). M... est sujette à des a
c entre 1'— et l'épdepsie, 40. I Illuminées, 70. Incontinence d'
urine
, 4, 64, 111. Incube, 104, 106. Injections hypod
Relations des — avec les attaques, 10 39, 88, 142, 152. Rétention d'
urine
, 83,89. S Sangsues, 117. Scrofule et hystér
33, 35, 38, 01, 77, 91, 117, 143, 135. u Urbain Grandier, 100.
Urines
(Caractères des) chez les hystériques, 9. .Urti
Idiotie avec cachexie pachydermique. beaucoup et enfin rendait une
urine
claire. La crise était précédée d'une aura ovar
de la parole et de la marche, ainsi que l'incontinence nocturne d'
urine
, nous ne saurions nous prononcer. III. C'est il
semble un peu diminuée. Exa- minées il de nombreuses reprises, les
urines
n'ont jamais présenté d'ai6u ? rtine. La mictio
de même pour les changements produits sur la dentition, ltroix, les
urines
, qui, nous le répétons, contrairement il certai
e qui ressort des détails de mes observations. XIII. Examen des
urines
de trois malades atteintes d'idiotie myxoedémat
cie du service. Nous avons essayé de recueillir pour analyse, les
urines
de nos malades myxoedémateuses. Nous n'avons ré
1° Wath... a été mise en traitement du 4 janvier au 1er mai 1890.
Urine
du 26-27 décembre 1895. (Avant le traitement).
1. i. Éléments normaux. 188 Idiotie MYYOEDÊMATEUSE. Analyse DES
urines
. 189 . Observations ET conclusions. Urine tou
MATEUSE. Analyse DES urines. 189 . Observations ET conclusions.
Urine
toujours très dense, a gagné considérablenent en
° Gangl... a été mise en traitement du 4 janvier au ter mai 1896.
Urine
du 27-28 décembre 1895. (Avant le traitement).
6. Éléments normaux. 190 IDIOTIE -myxoedémateuse. . Analyse des
urines
. 191 3° 1-roe... a été mise en traitement du 18
ent du 18 janvier au 31 mai, puis du 1er au 31 juillet 1896, etc.
Urine
du 2-3 novembre 1895. (1re analyse, avant tout tr
016. Éléments normaux. 192 . IDIOTIE myxoedémateuse. Examen des
urines
. 193 Urine du 5-6 novembre 1895 (4° analyse, av
s normaux. 192 . IDIOTIE myxoedémateuse. Examen des urines. 193
Urine
du 5-6 novembre 1895 (4° analyse, avant tout trai
lations de phosphate de chaux. Observations et conclusions. Cette
urine
est toujours remarquable par son acidité à pein
n de quelques auteurs qui pensent que l'albumine se trouve dans les
urines
de la plupart des myxoedé- iiiateux. ŸIV. D
taires. Il ne gâte jamais dans le jour, mais, toutes les nuits, il
urine
au lit. '. N.. est assez long à s'endormir, pui
atoires n'offrent aucun trouble, sauf une incontinence nocturne d'
urine
. Les facultés intellectuelles, ainsi que cela
prononcée ; le 21 les bourses commencent à se gonfler; cependant les
urines
ne sont point albumineuses. L'état local de la po
ux concrétions phosphatiques qui se for-ment dans la vessie lorsque l'
urine
reste ammoniacale, et que j'ai vu se déposer à la
— Délire. — Paralysie de la paupière supérieure droite. — Rétention d'
urine
. — Coma. — Mort. Autopsie. ?— Granulations gris
endre du sang en allant à la garde-robe, plusieurs fois par jour. Les
urines
, rares et d'une teinte foncée, ne donnent aucun p
d'anesthésie. Le malade n'a pas uriné, et la ves-sie est distendue. L'
urine
extraite à l'aide de la sonde et traitée par l'ac
dents recouvertes d'un enduit fuligineux. Constipation. Ré-tention d'
urine
. Coma profond. Même état de la paupière et de l'œ
ions ; le malade va à la selle deux fois par jour, sans diarrhée ; il
urine
avec facilité et son urine est claire, exempte d'
lle deux fois par jour, sans diarrhée ; il urine avec facilité et son
urine
est claire, exempte d'albumine et de la matière c
ervations de Frerichs et de Griesinger, on rencontre souvent dans les
urines
, outre une quantité d'albumine plus ou moins cons
-reille circonstance, rendre compte du passage de l'albumine dans les
urines
. Quoi qu'il en soit, un semblable vice anatomi-qu
ll1, MM. Rayer2 et Bouillaud3 ont rencontré des cas d'hydropisie avec
urine
coagulable, développée à la suite de fièvres inte
ourrait être invoquée pour expli-quer le passage de l'albumine dans l'
urine
. Cette obstruction, en effet, alors même qu'elle
forme. — Œdème. — Hypertrophie de la rate. — Signes de péricardite. —
Urines
albu-mineuses. — Dyspnée progressive : Mort. — Au
temps que la région des reins n'est pas douloureuse ; l'émission de l'
urine
est rare, non doulou-reuse. L'urine elle-même éta
pas douloureuse ; l'émission de l'urine est rare, non doulou-reuse. L'
urine
elle-même étant chauffée, puis traitée par l'acid
t redoublé, quelquefois intermittent; extrémités froides. L'état de l'
urine
n'est pas modifié. Même état les jours suivants
ns errati-ques; pas de chaleur cutanée ; même état des selles et de l'
urine
. — Rien de nouveau à noter dans les poumons. — Mê
108; peau très chaude, langue très sèche, état typhoïde, coma vigil,
urines
et selles involontaires. Le mem-bre supérieur dro
e du cœur et au premier temps ; ce bruit de souffle est assez fort. L'
urine
est très albumineuse (elle est traitée par l'acid
sayé cinq ou six fois pen-dant la nuit sans y réussir. On le sonde, l'
urine
ne contient pas d'albumine. Le 8. Le malade a d
s. Il y a eu encore celte nuit des vomissements légèrement bilieux. L'
urine
examinée de nouveau ne contient pas d'albumine, p
ite oppose à la percussion. On sonde le malade qui n'a pas uriné, l'
urine
s'écoule sans qu'il y ait la moindre impulsion do
détermine pas. Pas cle douleurs, pas de gonflement des jointures. L'
urine
retirée en grande abondance par le calhétérisme n
que; il y a au bout de quelques instants, à la partie supérieure de l'
urine
, un léger trouble dû à la mise en liberté d'une c
s sous-cutanées sont toujours très développées. Pas d'albumine dans l'
urine
retirée par le cathétérisme (pas de contractions
'affections rénales2, ont supposé que la rétention des matériaux de l'
urine
, et en particulier de l'urée, aura bien pu agir s
ille, demande le bassin, fait une selle liquide et rend douze onces d'
urine
. A peine avait-il fait tout cela et échangé quelq
Todd.). On a signalé, dans d'autres cas, une suppression complète des
urines
et des douleurs gra-vatives à la région lombaire.
le. Les fonctions delà vessie et du rectum ne sont point troublées; l'
urine
n'est pas albumineuse. L'appélit est assez pronon
sale et de la constipation avec une légère teinte subictérique, les
urines
ne contiennent ni sucre, ni albumine. Les réf
halluciné de l'ouïe, il a la raie vaso-motrice et pendant l'examen
urine
sous lui. Le 7 mars est mis au traitement spéci
pable de remuer des montagnes et ajoute que par le poison juif, ses
urines
puent et son sang est bouilli. Délire génital e
mpêchait son sang de couler c'était exactement ce qui empêchait ses
urines
de couler quand elle était devant le monde, qu'on
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vos règles viendront absolument comme vos
urines
viennent quand vous êtes dans la solitude et à
plein, un peu serré, le deuxième bruit retentissant à l'aorte. Les
urines
peu abondantes - 750 grammes par vingt-quatre h
inférieurs avec abolition des réflexes tendi- neux, incontinence d'
urine
et des matières etc. A l'autopsie ontrouva la c
is, avariéentre 10 et20 litres. En même temps a paru la polyure ; l'
urine
était claire et la quantité évacuée est allée j
gie ; de sorte que le malade a maigri d'une façon consi- dérable. L'
urine
contient lit) grammes de sucre par litre. Les r
n 1901. Présidence de M. Voisin. Deux cas d'incontinence nocturne d'
urine
guéris en une seule séance . de suggestion pend
tre même deviendra-t-il la méthode de choix contre l'incontinence d'
urine
. SOCIETES SAVANTES. c 161 M. PAU de SdINT-MAR
161 M. PAU de SdINT-MARTI1V. J'ai aussi traité une incontinence d'
urine
par suggestion pendant le sommeil naturel, en me
ion. Les fonctions rénales s'exécutent parfaite- ment. L'examen des
urines
fait à plusieurs reprises n'indiquent ni sucre
urs après la dernière crise, indique pour 1.430 centimètres cubes d'
urine
(dans les 24 heures) : densité à + 15 = 10 18,
p d'aliénés, le bleu de méthylène est éliminé non seulement par les
urines
, mais encore par les fèces. L'auteur a observé
si d'une cystite par hyper- trophie de la prostate avec rétention d'
urine
: à diverses reprises il y avait eu des colluti
pnée et surtout une accélération extrême du pouls (120 à 160). "Les
urines
sont rarës;°soùvent albumineuses; on peut constat
la la présence de microorganismes en quantité consi- dérable dans l'
urine
des malades. Leur forme était celle de petits b
ignalé 11. Carrier, de troubles circulatoires et respiratoires. Les
urines
sont très dimi- nuées, leur taux peut descendre
dépasse 40. Parfois l'albumine se montre en petite quantité dans l'
urine
souvent rare. La constipation est opiniâtre. L'
t de deux ou trois jours. Il n'y a eu aucun symp- tôme général, les
urines
ne contenaient ni sucre ni albumine. Le plus so
s aucune de nos obser- vations, il n'a été signalé d'incontinence d'
urine
. Chez aucun malade, on n'a constaté d'incontine
et un état vacuolaire des fibres musculaires. L'examen du sang, des
urines
et des matières fécales a été fait au moment et
lent, en effet, les particularités suivantes : 1° faible quantité d'
urines
émises (100 c. c. et au-dessous) ; 2° réac- tio
on rénale ne tarda pas à s'améliorer progressivement ; le taux de l'
urine
se releva, et la composition en redevint de plus
tension artérielle : dans la période aiguë la quantité moyenne d'
urine
émise était de 29 onces et demi et l'urée de 200
de 200 grains (12 grammes). Dans la période subaiguë la quantité d'
urine
attei- gnait 41 onces et demi et la dose d'urée
à 180 millimètres ; 3° tem- pérature tendant à devenir fébrile ; 4°
urine
rare, urée insuffisante, traces d'albumine; 5°
on artérielle 120 à 130 millimètres; 3° température non fébrile; 4°
urine
plus abondante, augmentation considérable de l'ex
granuleuse ne pesant chacun que 80 grammes. Vessie rétractée, sans
urine
. ' Pas de lésions cérébrales macroscopiques sau
ie, sans doute, parce que la malade laissant aller sous elle, les
urines
n'ont put être ni surveillées, ni recueillies ; m
Fonctions ner- veuses dans 1 ? par Barbera, 126. Incontinence d'
urine
guérie par sug- gestion, par Bourdon, 160. In
actère, les tics nerveux, les incontinences nocturnes et diurnes de l'
urine
et des matières fécales, des terreurs nocturnes,
. C'est ce qui arrive dans le traitement de l'incontinence nocturne d'
urine
, de la chorée, des tics, etc. Pour que cette manœ
fonctionnels tels que les vomissements incoercibles, l'incontinence d'
urine
et des matières fécales survenant dans les mêmes
stériques, hoquet hystérique, blépharospasme, incontinence nocturne d'
urine
; 3° Les troubles psychiques tels que l'onanisme
ieu à une simple pesanteur ; il dit aussi que les premières gouttes d'
urine
sont rendues avec une certaine brûlure. Je ne p
s péniblement appuyé sur deux bâtons et se plaignait d'incontinence d'
urine
. Il faisait remonter ses accidents à un an au moi
des faits suivants : En même temps qu'il avait de l'incontinence d'
urine
(il urinait goutte à goutte dans un urinai), ce m
la température est normale, sauf une poussée à 38° le 12 au soir; les
urines
étaient chargées à son entrée. Il accuse surtou
5, le malade accuse, de plus, une sensation de brûlure en urinant; il
urine
souvent, dit-il, et peu à la fois. Les urines son
e brûlure en urinant; il urine souvent, dit-il, et peu à la fois. Les
urines
sont d'ailleurs claires et normales. Cette sensat
sus-épineuse gauche. — La digestion est normale, sans diarrhée. — Les
urines
ne sont pas albu-mineuses. Le malade accuse sur
de bonne heure pour se rendre sur l'eau. Il tombe du lit, mais n'
urine
pas; l'accès est court, pas de stertor, pas de cé
;— ses sœurs sont vicieuses aussi et ont de l'incontinence nocturne d'
urine
;—j'en ai guéri une par la suggestion hypnotique e
ème observation Onanisme et onychophagie. — Incontinence nocturne d'
urine
. — Guérison rapide par la suggestion. Léon L. e
nuellement et depuis longtemps ; il se ronge les ongles de même. — Il
urine
au lit depuis sa naissance, — il est assez docile
on péché. « Ou bien, il doit boire, jusqu'à ce qu'il en meure, de l'
urine
de vache, de l'eau, du lait, du beurre clarifié,
des besoins naturels (II — 45-52) : « Que le Brahmane ne dépose son
urine
et ses excréments, ni sur le chemin, ni sur des c
silence, enveloppé de son vêtement et la tête couverte. « Celui qui
urine
en face du feu, du soleil, de la lune, d'un réser
mille fortement névropathique, était atlcintd'incontinence nocturne d'
urine
depuis sa tendre enfance; cette incontinence n'ét
ation d'anastomose avec les centres qui président à la rétention de l'
urine
, et qui normalement fonctionnent d'une manière au
ité, en outre, un cas d'épilepsie et un eus d'incontinence nocturne d'
urine
. Le traitement a échoué chez un seul alcoolique
que leur intensité. Quant au malade atteint d'incontinence nocturne d'
urine
, la suggestion a donné des résultats immédiats, m
ni à la tête, ni aux autres régions. Pas de troubles de la miction; l'
urine
est normale. L'animal est observé et promené tous
s peuvent résister à leurs impulsions. L'incontinence essentielle d'
urine
, l'onanisme, la kleptomanie, l'ony-chophagie, la
illon, 1. Inanition chez le mouton (l'), 124. Incontinence nocturne d'
urine
, guérison rapide par la suggestion, 140. Inculp
sable; ce qui domine c'est la congestion rénale, c'est-à-dire que j'
urine
bien pendant quinze ou vingt jours; puis à prop
t jours; puis à propos de rien, sans cause apparente, la quantité d'
urine
décroît et passe de 1,200 ou 1,580 grammes, qua
ins à qui j'ai demandé la cause de cette variation de la quantité d'
urine
et qui très souvent ont différé sur d'autres po
vançais en âge, plus celte facilité à rougir augmenta. D'abord je 1
Urines
normales. Pas de sucre ni d'albumine. Coeur norma
P. KERAVAL. IX. DE l'élimination DE l'acide phosphorique par LES
urines
dans la phase dépressive D'UNE folie cyclique;
es périodes maniaque et dépressive durent chacune treize jours. Les
urines
furent analysées tous les matins à partir du dé
c'est-à-dire pendant treize jours. Chaque matin on analysait donc l'
urine
émise pendant la journée et la nuit précédentes :
ervation, le malade avait tous les jours le même régime. Toutes les
urines
étaient recueillies, l'auteur est convaincu qu'
ériode de dépression, la proportion d'acide urique diminue. Comme l'
urine
analysée est celle de la veille et de la nuit pré
ions fétides, maigreur extrême, paleur de la peau et des muqueuses;
urines
claires sans albumine, selles noires et sèches,
s l'intervalle des crises, mais s'exagère de nouveau après chacune.
Urines
rares, sueurs profuses, peau froide et moile, a
ire 2, 3, 4, 5 fois moindre que celle de l'homme sain. Tandis que l'
urine
de l'homme sain tue un kilogramme de lapin à de
timètres cubes, il faut 150, 200 et jusqu'à 450 centimètres cubes d'
urine
épileptique. En outre cette dernière urine est
450 centimètres cubes d'urine épileptique. En outre cette dernière
urine
est beaucoup plus convulsivante que l'urine nor
outre cette dernière urine est beaucoup plus convulsivante que l'
urine
normale. Ces deux caractères, qui sont constant
S propriétés coagulantes et SUR LES PROPRIÉTÉS TOXIQUES DE QUELQUES
URINES
PHYSIOLOGIQUES ET pathologiques; par Antoine GU
ine de sacrilège. Dans le mucus des narines; dans la salive, dans l'
urine
, les matières fécales, encore des bulles, et pa
, de la parole et de la marche, ainsi que l'incontinence nocturne d'
urine
, nous ne saurions nous prononcer. III. C'est
re 1896.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° Les
urines
riches en indican contiennent très peu ou pas d
(236 236 REVUE DE pathologie mentale. grammes). La quantité de l'
urine
elle-même ne s'élevait au-dessus de la normale
ntrée à l'asile le 20 décembre apathie, mutisme, ictère accentué. L'
urine
renferme de l'albumine et des pigments biliaires.
es viscères, coeur, poumons, foie, a donné un résultat négatif. Les
urines
sont normales ; la vue, l'ouïe sont normales. L
ugmentation de l'oedème et trois semaines plus tard la quantité des
urines
monta de 2 000 centi- mètres cubes jusqu'à S 70
icité des produits d'élimination. 11 a démontré que la toxicité des
urines
est en partie d'origine alimentaire. Après l'
aux fesses et au sacrum, sur les points en contact habituel avec l'
urine
et les matières fécales. Un autre s'est fait au
organes abdominaux; aucun stigmate de syphilis. -Sphincters sains.
Urine
normale sans sucre ni albumine. A l'examen op
; peu à peu, paralysie des extrémités infé- rieures et rétention d'
urine
. En même temps, les apophyses épi- neuses étaie
t d'anormal à l'examen ; le foie et la rate étaient volumineux. Les
urines
ne contenaient pas d'al- bumine. La température
affection, et encore au début de la période de demyxoedémisation, l'
urine
est faiblement toxique. (Revue neurologique, ao
er cite une observation faite par le Dr Iiüni qui, en examinant les
urines
des candidats pendant l'examen et huit jours, a
West, 59. Sur l'ana- tomie pathologique des -, par Jores, 250.
Urines
. Propiiétés coagulantes et - toniques de quelqu
pouls est dicrote à 125, la diarrhée profuse contient du sang, les
urines
recueillies difficilement, sont fortement album
sang persiste dans les selles diarrhéiques ; on le décèle dans les
urines
. Toujours même état pulmonaire. Sept bains, pot
mmes de sérum artificiel, huit bains par vingt-quatre heu- res. Les
urines
, examinées par M. Gigon, interne en pharmacie,
au; il est alité, isolé, soumis aux bains froids, régime lacté. Les
urines
peu abondantes sont légèrement albumineuses. No
de ce temps elle est prise de malaises, de troubles gastriques et l'
urine
prend une teinte violet foncé. Les vomissements c
du réflexe rotulien. Troubles du sphincter vésical, incontinence d'
urines
. L'examen électrique donne une diminution de la
ngénitale des centres trophiques médul- laires. La Cryoscopie des
Urines
de la Polyurie nerveuse; par Souques 'et BALT11
Souques 'et BALT11AZARD (de Paris). Le point de congélation de l'
urine
des malades atteints de polyurie nerveuse peut
00,50; par suite, étant donné que dans les canalicules urinaires l'
urine
ne peut que se concentrer par résorption d'eau,
se concentrer par résorption d'eau, le point de congélation de l'
urine
ne pourrait jamais être inférieur à 00,56. Or nou
té brusquement en novembre 1855 par une paraplégie avec rétention d'
urine
et anesthésie totale et complète de la région s
xpression de la physionomie devient inerte et un peu bestiale, elle
urine
souvent involontaire- ment au lit. Bref la déme
e très nette. Le coeur fonctionne bien. Les poumons sont sains. Les
urines
n'ont pas été examinées. Observation II. Goulve
née. Le coeur est sain, les poumons fonctionnent régulièrement. Les
urines
ne renferment ni sucre, ni albumine. Il n'y a p
ppétit est bon, les digestions bonnes, les selles sont faciles. Les
urines
ne contiennent ni sucre ni albumine. En résumé,
s la présence d'un corps analogue aux ptomaïnes retrouvé dans les
urines
de ces malades et dans la leucocytose qui serai
de delirium tremens, 1 de rhumatisme, 2 d'incon- tinence nocturne d'
urine
, 1 de stupeur, 1 de douleur par maladie chroniq
ir pendant le taxis réducteur. Les sécrétions étaient normales, l'
urine
seulement un peu rare, le bébé était le troisiè
plupart des malades étant de vieux pensionnaires de l'asile, dont l'
urine
avait été examinée a diverses reprises, il a ét
é par la jambe droite, et envahi - ensuite la gauche. Réten- tion d'
urine
: Sur les deux jambes, mais surtout sur la droite
ère. Réflexe du genou absent à droite, diminué à gauche. Pus dans l'
urine
. Mort. Autopsie : à l'coil nu les vaisseaux de
tenir compte aussi des effets produits par les mbdilications de l'
urine
, qui n'est presque jamais normale. L'auteur relat
au bout d'un quart d'heure en poussant des soupirs ; pas de pleurs,
urines
assez abondantes. Elle dit que quand elle peut
Les réflexes sont couservés, le cré-r mastérien étant diminué. Les
urines
sont normales. L'intelligence i est conservée,
gauche, presque nul à droite. Il y a aujourd'hui incontinence des
urines
mais les selles sont encore volontaires. Dans l
ué. La parésie delà jambe gauche n'augmente pas. L'incontinence des
urines
per- siste. Le soir vers quatre heures le mal
a main en pronation forcée. . Pendant l'examen, l'enfant perd ses
urines
et nous pouvons recueillir quelques grammes pou
int. Il y eut aussi une diminution importante dans la quantité de l'
urine
. R. DE IUGft\'E-CLY. 326 6 REVUE DE PATHOLOGI
avaient été abolis dès -le début, il y avait de l'incontinence d'
urine
. Trois jours après, l'auteur voit le malade, et o
es s'accomplissent bien. L'appétit et le sommeil sont excellents. L'
urine
ne présente rien de particu- lier. Au point d
et accès d tnstérie. Puis les accès changent de nature : la malade
urine
sous elle et se mord la langue ; ils sont suivi
se mordit pas la langue, n'écuma point, n'eut pas d'albumine dans l'
urine
. Il semble y avoir eu des auras représentées par
ou do l'aorte, aucune tumeur appréciable du cou ni du thorax. Les
urines
sont normales. 58 CLINIQUE NERVEUSE. L'état g
sie est presque complètement vide; la miction est involontaire, les
urines
très peu abondantes; de temps en temps on vide
tuméfié est sensible au toucher. Pas d'albumine ni de sucre dans l'
urine
dont la quantité et le poids spécifique sont pa
bres jusque-là para- lysés reprennent leur motilité; intégrité de l'
urine
. Diagnostic : polynévrite rhumatismale compliqu
normal, les vais- seaux athéromateux. Pas de traces de syphilis. L'
urine
n'a pas subi d'altérations pathologiques. Mot
r, un peu d'écume. Parfois, il se mord les lèvres et la langue ; il
urine
sous lui toutes les fois qu'il a de forts accès
antécédents héréditaires. - Incon- tinence nocturne intermittente d'
urine
. - 1s'pilepsie, attribuée à des coups qu'il aur
quatre ans. - Convulsions à treize mois. - Incontinence nocturne d'
urine
jusqu'il seize ans. - Onanisme dès l'enfance. -
il a des secousses, de l'écume; il ne se mord pas la langue, mais
urine
quelquefois sous lui; enfin il se rendort. Obse
la palpation permettaientdereconnaitreque la vessie était vide d'
urine
; de plus, c'est à peine si tous les huit ou dix
streindre à sonder les malades régulière- ment pour ne pas perdre d'
urine
, à recueillir les selles et à faire des analyse
xtrême obligeance de nous transmettre les résultats de l'examen des
urines
qu'il pratiqua à plusieurs reprises, mais on ju
isser transporter le malade à l'hôpi- tal. J'aurais voulu étudier l'
urine
au point de vue de sa quantité et de sa composi
artir de ce moment il a uriné, par suggestion. J'ai fait analyser l'
urine
à deux reprises et vous envoie la copie du rapp
p. 139. Archives, t. XV. 18 8 '274 4 REVUE CRITIQUE. ANALYSE D'
URINE
DE CHAUFFAT Première analyse (lor avril, septiè
CHAUFFAT Première analyse (lor avril, septième jour de sommeil).
Urine
trouble, très colorée, très acide; légère odeur.
uin 1887 nous avons eu l'occasion de faire pratiquer l'analyse de l'
urine
d'une malade du service de M. Charcot en proie
prolonged sleep. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 575 j' mes d'
urine
, ce qui est peu si l'on songe que la malade n'ava
pation spéciale de la face. Une paraplégie flasque avec rétention d'
urine
peut également se montrer et persister plus ou
ertébrale. Comme à cette époque il rendait une quantité excessive d'
urines
(jusqu'à quatre litres par vingt-quatre heures)
s), on pensa qu'il avait une affection rénale(quoiquel'analyse de l'
urine
ne révélât rien d'anormal dans la composition d
ssement des organes génitaux, des troubles vésicaux (incontinence d'
urine
) et de la diplopie qui ne s'est mon- trée qu'en
ls fort, plein, 120. Sueurs ' abondantes, évacuation involontaire d'
urine
; il n'est pas allé à la selle depuis le 5 ; il
Il y a deux espèces de gâteux. Les uns perdent simplement sous eux
urine
et matières fécales. Les autres jouent en outre
ail cérébral peut parfois déterminer l'apparition du sucre dans les
urines
? M. Briand. - Pendant mon internat dans le ser
ième ventricule sur la production du sucre, j'ai faitl'analyse de l'
urine
d'un grand nombre de paralytiques généraux et je
du poison. La diarrhée, les vomissements, les sueurs profuses, les
urines
abondantes, la salivation, etc., sont des sympt
milation des aliments azotés et de la désagréga- tion des tissus. L'
urine
émise après l'accès contient en masse de ces pr
enre. L'urobiline et l'hématoporphyrine peuvent se trouver dans l'
urine
à l'état normal mais c'est seulement dans les éta
stication et aux mouve- ments des globes oculaires. L'analyse des
urines
a montré chez les deux malades une augmentation
éralisés par une perle de la connaissance, de l'incon- tinence de l'
urine
et des matières fécales, j'ai noté pendant une
plète ; elle s'est maintenue depuis treize mois. ' Incontinence d'
urine
et suggestion pendant le sommeil naturel. M. Pa
tion d'un jeune garçon de cinq ans et demi atteint d'incontinence d'
urine
et guéri par la suggestion pendant le sommeil n
30 ans, laisse échapper inconsciemment cinq ou six petits jets d'
urine
, lors des coïts accompagnés de spasme vénérien et
'abdomen agissent directement sur une vessie distendue et forcent l'
urine
il s'échapper sous forme de jets synchrones à c
Les artères radiales et fémorales ne sem- blent pas sclérosées. Les
urines
ne renferment pas d'albumine. La plaie opératoi
tte sonde pénètre alors dans un canal et donne bientôt issue à de l'
urine
; ce canal est donc l'urèthre, et l'orifice est le
ent : rougeole, variole, rhumatisme inflammatoire, inconti- nence d'
urine
dans l'enfance, épistaxis dans l'adolescence, exi
tions locales au moins inutiles. R. CHAI\ON, XXVI. Incontinence d'
urine
d'origine hystérique ; par P. Rivant. (Vouv. Ic
mment simulée par l'augmentation du pouvoir réducteur normal de l'
urine
, dû probablement à l'augmentation des substances
complète. Douleurs violentes au sacrum et aux jambes : Rétention d'
urine
. Amélioration notable à partir de la troisième
tes en ce point. Troubles de relâchement des sphincters ; le malade
urine
sous lui. On retire à peine de la vessie quelqu
e urine sous lui. On retire à peine de la vessie quelques gouttes d'
urine
pour la recherche de l'albumine qui est négativ
s cavités tubulaires des détritus granuleux fortement colorés par l'
urine
, ou de véritables cylindres épithéliaux ; catar
bat régulièrement. Bien au foie.- Pas d'albumine ni sucre dans les
urine
? . Le lendemain et les jours suivants les hall
s de l'ombilic. Le coeur est un peu gros. Bien dans les pou- mons ;
urines
normales. Pas de lièvre. Le lendemain de son ar
physique ne nous révèle rien de particulier dans les ' organes. Les
urines
ne contiennent rien d'anormal. Les mains et les
t. Bien aux poumons. Foie-un peu petit. 'Traces d'albumine dans les
urines
; elles ont disparu quelques jours après. Le 2
me non REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 421 podagres, des altérations de l'
urine
et que leurs muscles révèlent une hypertrophie
x. Ilien aux organes internes. Apyrexie. Rien au pouls. Rate saine.
Urines
normales. Appétit et sommeil bons. Aucune intox
AL. LXV. Sur une forme psychopathique particulière de rétention d'
urine
; par W. de Bechterew. (1\'ezcroloc. Ceiztrulbl.,
uatre jours plus tard, vomissements, insomnie, dysurie, rétention d'
urine
. On diagnostique : hystérie. Elle entre le 2ï m
arue à la partie inférieure du bras droit. Vessie très pleine d'une
urine
alcaline (2 litres) non albumi- neuse. Taches r
. 503 note bientôt-0°,G-'r0°,8. Il se-produit de l'herpès labial. L'
urine
devient trouble. P=1 ? G; ;Il. 26. On\entend de
des obsessions impul- sives, par Le Groignec, 2l\. Incontinence d'
urine
et suggestion pendant le sommeil naturel, par
som- ,,ici[ d'un choréique, par Bour- riillon, 512. Béteniton d'
urine
. Une foime psy- chopatluque de la -, par de l
re) A propos de quelques récentes publications sur l'incontinence d'
urine
. par M. le D' Paul Fàrez. I Il ne se passe
ou plusieurs thèses de Doctorat sur l'Incontinence dite essentielle d'
urine
. Quand les auteurs arrivent au chapitre « Tra
n jour d'écrire : « On a proposé de traiter l'incontinence nocturne d'
urine
par l'hypnotisme. Hais M. Doulrebente a rapporté
ès remarquable qui est ce qu'on a écrit de mieux sur l'Incontinence d'
urine
. Ces auteurs m'ont fait le grand honneur, dont je
végétations adénoïdes guérit inévitablement l'incontinence nocturne d'
urine
; de là à conclure que les végétations adénoïdes
se, agitée, dort mal, 60 réveille souvent... et, pas une fois, elle n'
urine
au lit. Dès qu'elle est convalescente, elle retro
re a sa famille parce que, chaque nuit, sa literie est souillée par l'
urine
qu'il a émise involontairement. Je le vois deux s
il). Ces deux nuits là et la suivante, aucune émission involontaire d'
urine
. Le lendemain, on l'opère de végétations adénoïde
e son travail. Ici le problème n'est pas de restreindre la quantité d'
urine
émise, mais de discipliner la vessie et de l'habi
discipliner la vessie et de l'habituer à conserver pendant la nuit l'
urine
, excrétée en quantité normale. VI Autre chose
, elle réveille l'incontinent et l'oblige à se mettre sur le vase ; l'
urine
que celui-ci reçoit n'ira toujours pas transperce
rd de s'entraîner à contracter son sphincter vesical et a retenir son
urine
jusqu'au lever. Toutefois, il est des sujets ch
cale commençait par ces mots : « La thérapeutique de l'incontinence d'
urine
chez les enfants n'a, jusqu'ici, enregistré qu'un
tion hypnotique triomphe de cette incontinence dite essentielle d'
urine
, dont les médecins étrangers a la psychothérapie,
un des troubles qui accompagnent l'anurie ou la rétention : quand les
urines
réapparurent elles étaient normales, même comme q
s, avril, mal et Juin 1898 : brochure Malolne. 46 p. — Incontinence d'
urine
et suggestion pendant le sommeil naturel, Indépen
june, 1901 et Revue de l'hypn., août 1901. — Incontinence nocturne d'
urine
, guérie par suggestion pendant le sommeil naturel
des troubles gastriques. 2° Dr Pychlau (de Pskoff). Incontinence d'
urine
traitée par la psychothérapie. 3° Dr Bérillon :
et d'origine cérébrale, dans les cas dont il s'agit. Incontinence d'
urine
, datant de dix ans, guérie par la suggestion hypn
t F ., âgé de 28 ans. vint me consulter à propos d'une incontinence d'
urine
, qu'il croyait résulter du traitement brutal d'un
ute société. Son linge et ses vêtements répandaient une forte odeur d'
urine
et a chaque instant il était angoissé par la peur
r était la présence de trois ou quatre grammes d'albumine par litre d'
urine
, avec bouffissure caractéristique de la face, enf
éva-lot. p. 317. Imbécillité, par Sommer, p. 126. Incontinence, d'
urine
datant de dix ans, par Pyohlau, p. 249. Inconti
nce, d'urine datant de dix ans, par Pyohlau, p. 249. Incontinence d'
urine
(A propos de quelques récentes publications sur l
dans les pores non seulement de l'eau, mais du sang, du sérum, do l'
urine
, de la bile et des autres liquides du corps humai
du cordon. - Parole et marche vers dix-huit mois. - Incontinence d'
urine
jusqu'à quatre ans. - Défécation involontaire j
RECUEIL DE FAITS. hémorrhagie abondante du cordon, l'incontinence d'
urine
jus- qu'à quatre ans et celle des matières féca
icultés considérables pour uriner pendant le jour; inconti- nence d'
urine
pendant la nuit. Douleurs fulgurantes très vives
engourdissement des membres a cessé, il n'y a plus d'incontinence d'
urine
, et les érections sont plus fortes et plus dura
e Romberg ont cessé d'exister. Un malade atteint d'in- continence d'
urine
a vu cesser cette dernière après 3 séances. Un
llaire, l'absence du réflexe patellaire, et un peu d'incontinence d'
urine
, qui disparaît progressivement. M. le D'' Simps
estphal a pu- blié l'observation. On trouvait une incontinence de l'
urine
et des matières absolues, et une cuillerée du p
vient complète. La sensibilité n'aurait pas été abolie. Rétention d'
urines
suivie, après vingt-quatre heures d'incontinenc
n sommeil agité, le pouls lent et faible, constipations constantes,
urine
contenant une quantité exagérée d'urates et enf
, température constamment sous-normale, diminution de la quantité d'
urine
, oedème isolé de la peau et du tissu sous-cutan
sence de réflexibilité des tendons, réllexibilité cutanée exagérée,
urine
normale. La bouche constamment t remplie de sal
sultats favorables ont été constatés dans l'incontinence nocturne d'
urine
, des matières fécales, dans les tics nerveux, les
hez les criminels, sont peut-être d'origine toxique. Des analyses d'
urine
ont montré la présence, chez des dégénérés ou d
epos après une vie active. D'après des recherches por- tant sur les
urines
de ces individus, il semble qu'il y ait chez eux
sychiques (folie systématique hallucinatoire aiguë) ; à ce moment l'
urine
ne contenait pas du tout de sucre; la glycosurie
Dans quelques cas, nous trouvons une augmentation d'urate dans l'
urine
. Le développement de la maladie est accompagné
u côté du coeur, rien, outre accélération du battement (120-140); l'
urine
sans albuminat, mais contenant une quantité con
rois fois d'une façon très nette, c'est l'apparition du sang dans l'
urine
sans aucun traumatisme préalable. Enfin, la der
cyanose qui n'est ni gênante ni inquiétante; coloration foncéede l'
urine
. Toutefois l'auteur n'a pas trouvé d'élimination
ie ordinaire, mais fréquemment par la présence de propeptone dans l'
urine
. Si l'on soumet cette humeur à l'action de l'acid
l'eau bouillante. Si l'on a à sa disposition de grandes quantités d'
urine
, on obtient par l'acide acétique, le chlorure d
vagin, sperma- torrhée, catarrhe vésical. La plupart du temps, les
urines
présentent un poids spécifique élevé, mais il n
ée sans qu'il y ait d'albuminurie : et, d'autre part, ou trouve des
urines
à faible densité qui contiennent de l'albumine.
ysie presque complète des membres inférieurs, de l'incontinence des
urines
et des matières fécales. Bientôt, se manifesten
- quents. La dysphagie est considérable. Il y a aussi rétention d'
urine
nécessitant trois fois le cathétérisme. Le mala
procédé de préparation. Peu de temps après, Kunckel le retira de l'
urine
, ', mais il ne put être extrait en grande quant
ormes fréquents, avec écume à la bouche, aboiements, incontinence d'
urine
: les accès durent d'un quart d'heure à une heu
s inférieures, - pupilles irrégu- lières ; urates amorphes dans les
urines
. Guérison rapide des symptômes mentaux ; guéris
les régulières, congestion de la pupille; pol3urie ; incontinence d'
urine
; albu- mine et sang dans l'urine ; oif intense.
pupille; pol3urie ; incontinence d'urine; albu- mine et sang dans l'
urine
; oif intense. - Guérison rapide des symptômes
amélioration au bout de cinq séances, guérison de l'incontinence d'
urine
après vingt-deux séances. Amélioration très mar
s deux suivantes : « Eliologie de la fièvre typhoïde et rétention d'
urine
; » « Diagnostic de la pneumonie franche et luxa
ticulier. Je me bornerai à vous donner le résultat de l'analyse des
urines
dans le cas qui nous occupe, en le comparant au
ues. Le jour où on a pratiqué l'analyse, on a trouvé : Quantité d'
urines
: 1 lit., 725 ; densité : 1018. Réaction acide;
fection. Ils ont démontré, par des analyses répétées, portant sur l'
urine
de deux parkinsonniens appartenant à la cliniqu
parkinsonniens appartenant à la clinique des vieillards, que cette
urine
, com- parée à celle d'autres vieillards en sant
it exister chez notre malade dont M. de Girard vient d'examiner les
urines
à ce point de vue : sur un chiffre total de 0 g
tellectuel, modifie l'élimination de l'acide phos- phorique par les
urines
; il diminue le chiffre, de l'acide phospho- riq
niquement, très probable; aucune ano- malie du côté de la soif, des
urines
, de la faim. Pupilles étroites, mais mobiles. G
. [Il,Signes du tabes; notamment ataxie indubitable; sucre dans les
urines
d'une densité de 1028.- En tous ces cas, il man
té à la même cause, si l'on s'en rapporte à l'exa- men chimique des
urines
. P. K. XXX. DE la responsabilité morale; par G.
LAIT LIER (de Rouen) lit un travail intitulé : Considérations sur l'
urine
dans la paralysie générale. Dans le délire dépres
s le délire dépressif, il y a diminution des déchets éliminés par l'
urine
; dans le délire anxieux, il y a au contraire e
ns les périodes de suractivité intellectuelle. Sur 5.000 analyses d'
urines
il n'a point trouvé de diabète chez les paralytiq
myxdémateuse. MM. Voisin et HARANT communiquent un mémoire sur l'
urine
dans les états léthargiques prolongés, en contr
l, la diminution de la quantité de matières azotées rendues par les
urines
, DE LA MIGRAINE OPIITHALMIQUE, HYSTÉRIQUE. 31'1
gie de la par Dublisson, Ré- gnier, Régis, Cullerre, Voisin, 270;
urine
dans la par Laillier, 272 ; conjugale, par Cull
dmet aussi la présence d'une substance toxique. Dans les cultures d'
urine
, il a pu isoler des microbes et surtout des str
proportionnel qui existe entre la toxicité du germe sanguin et de l'
urine
chez les éclamptiques. Les expériences de M. Bar
. Emile Blanc lui ont permis d'isoler un microbe pathogène dans les
urines
ainsi que dans le sang de ces malades. M. h'avr
t d'autre part les expériences que nous avons en- treprises sur les
urines
et sur le sang de ces malades, nous pa- raissen
sait que les épileptiques, dans leurs accès, éli- minent par leurs
urines
un excès d'acide phosphorique uni aux terres, i
ace dans une manifestation épileptiforme, l'incontinence nocturne d'
urine
. C'est Trousseau qui a remis en honneur cette m
es, le pouls était légèrement accéléré. Il montait à 92 et 100. Les
urines
étaient augmentées de volume 1,800 à 1 Nous avo
t profondément affectée d'apprendre qu'elle avait du sucre dans les
urines
. Dès lors les accès d'asthme s'accroissent et l
itable découverte ». Ce sont ces recherches basées sur l'examen des
urines
qui ont permis à l'auteur de diviser l'hystérie
ar une polyurie relative due à la première sécrétion, le total de l'
urine
des vingt-quatre heures étant généralement au-des
ne part.1, et les attitudes passionnelles de l'autre. L'analyse des
urines
des vingt-quatre heures peut en outre trancher
mit au lit; la paralysie s'accentua rapidement; le 28, rétention d'
urine
. Le 3 février, voici ce que M. Dutil a constaté
rotuliens sont abolis à gauche, très faibles à droite. Rétention d'
urine
complète -.nécessitant l'emploi de la sonde. Ré
n'y a plus de dissociation. Le tact est partout aboli. Rétention d'
urine
. Quelques élancements douloureux dans les flanc
teint d'une diarrhée opiniâtre. Il a quelque difficulté à uriner. L'
urine
ne contient pas de matières pathologiques. Doul
La colonne vertébrale est normale; elle n'est pas doulou- reuse. L'
urine
contient un peu d'albumine. Il n'y a rien du côté
nément. - 17. Il. Le malade ne peut se tenir debout. Incontinence d'
urine
. L'eschare devient plus grande. La fièvre très
issement du champ visuel me paraissent le démontrer. L'analyse de l'
urine
, qui a été faite plu- SOCIÉTÉS SAVANTES. 241
joue le rôle pré- pondérant. On remarque encore que l'analyse de l'
urine
a fait découvrir un changement bien connu dans
du foie : ictère chronique, troubles digestifs profonds, selles et
urines
bilieuses, etc.; enfin un état mental particuli
de la somnolence, de l'allaihlissement généra], de l'incontinence d'
urine
parfois; le caractère devient violent, la mémoire
èche, fendillée. Râles hu- mides dans les poumons, rien au coeur. L'
urine
obtenue par le cathétérisme contient un peu d'a
oïdienne. On observe à la suite une diminution dans la toxicité des
urines
. M. DUBREUILH (de Bordeaux), cite « un cas d'ac
e congénitale flasque sans atrophie, avec incontinence absolue de l'
urine
et des 376 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. matières f
ment ses recherches n'ont porté que sur un cas. Il a trouvé que les
urines
non sucrées étaient fortement hypertoxiques, al
s urines non sucrées étaient fortement hypertoxiques, alors que les
urines
sucrées du même malade étaient hypotoxiques. Ce
salit la nuit, ne salit pas le jour, et tel qui lâche sous lui ses
urines
, comman- dera encore à son sphincter anal ; enf
t. On la fait manger à la sonde matin et soir. Elle est inconsciente,
urine
sous elle. — Pendant la nuit dernière, elle a san
étend que ce changement est dû à l'usage fréquent de l'éther. —¦ W...
urine
beaucoup après ses attaques durant lesquelles ell
la contracture du sphincter de la vessie déterminant une rétention d'
urine
; — une contracture artificielle des muscles du la
glaireuses ; défécation douloureuse. — Ni sucre ni albumine dans les
urines
. Le tremblement des mains et des jambes est enc
er, elle a de la tendance à se mettre la face contre l'oreiller. Elle
urine
involontairement et ne revient pas à elle quand o
amment de nourriture, elle serre les dents. Bâillements, borborygmes.
Urines
involontaires, une garde-robe hier. — P. compté a
qu'aux jambes et à la jambe gauche qu'à la droite. Les selles et les
urines
sont toujours involontaires. — Nous assistons à u
ernier. Il n'y a de garde-robes qu'après lavement ; les selles et les
urines
sont involontaires. La contracture et Y état cata
, ordinairement provoquées, sont involontaires. Il en est de même des
urines
. Le pouls est régulier à 84, 88, 92. La respira
ne ou deux minutes, elle est dans la résolution et, à ce moment, elle
urine
abondamment sous elle. Il faut une quantité ass
ègles chez les), 7, 25, 198, 206, 223 et passim. I Incontinence d'
urine
, 25. Insomnie chez les hystériques, 4, 41, 81,
, 84, 85, 4 04, 122, 203, 24 2. Règles, 25, 4 98, passim. Rétention d'
urine
, 25. S Sabbat, 145, 441, 231, 247. Secousse
urie. La première crise s'est manifestée à la suite d'une rétention d'
urine
qui durait depuis quinze jours, et qui était elle
e méthylène; on lui affirma avec conviction qu'il serait guéri si ses
urines
devenaient bleues, parce que la couleur bleue de
nt bleues, parce que la couleur bleue de la main serait passée dans l'
urine
. Les urines devinrent bleues, et l'asphyxie local
parce que la couleur bleue de la main serait passée dans l'urine. Les
urines
devinrent bleues, et l'asphyxie locale, ainsi que
mac, ni du cœur, ni de la tête, qu'elle va bien â la selle et qu'elle
urine
facilement, qu'elle n'a plus de pesanteur ni de t
non. Ce qui semble venir à l'appui de la Incontinence nocturne d'
urine
guérie par suggestion pendant le sommeil naturel
se: c'est, comme on le sait, la règle pour ce genre d'enté-roclyse. L'
urine
, sécrétée en grande abondance, provoque la réplét
ntracter son sphincter vesical ; il ne se sent même pas mouillé par l'
urine
qu'il vient d'émettre. Je ne sache pas qu'on ai
it, tout en dormant, des efforts efficaces pour empêcher l'issue de l'
urine
; elle parvient à se retenir toute la nuit et à n
emarquables de la psychothérapie en face de l'incontinence nocturne d'
urine
. De ce cas et d'un certain nombre d'autres que
la suggestion somnique est le traitement de choix de l'incontinence d'
urine
, — tout au moins dans les trois cas suivants :
ni changement de coloration de la face, ni émission involontaire de l'
urine
ou des matières: au réveil, il a conscience d'avo
. — ? Traité pour le traitement par la suggestion de l'incontinence d'
urine
? (1886). — « Suggestion criminelle de l'hypnotis
contre la contre-suggestion de sa femme qui me répondait: « Mais s'il
urine
une fois, sera-t-il guéri pour toujours ? » Il
tique assez prononcée. La constipation est opiniâtre, l'émission de l'
urine
légèrement embarrassée, l'érection affaiblie. Tou
itement persévérant amena d'heureux résultats : elle sait retenir son
urine
et ses excréments et peut marcher sur des béquill
ne myélite lombaire d'origine syphilitique. Il ne peut retenir ni son
urine
, ni ses excréments. Par suite d'un catarrhe de la
son urine, ni ses excréments. Par suite d'un catarrhe de la vessie, l'
urine
a une odeur très désagréable. Malgré toutes les m
, 30; paralysies diverses, 52; diarrhée chronique, 22; incontinence d'
urine
, 22; mutisme et paralysie de la langue. 3; surdit
x enfants ? (Les), par Podiapolsky, p. 212. Incontinence nocturne d'
urine
guérie par suggestion pendant le sommeil naturel
Le), par Valentino, p. 49. Sommeil naturel (Incontinence nocturne d'
urine
guérie par suggestion pendant le), par Paul Parez
pidien ; pas de lésion mitrale. Sous l'influence de la digitale les
urines
qui étaient très peu abondantes tendent à reven
érieure des côtes repo- sant presque sur les épines iliaques. Les
urines
légèrement albumineuses ne contiennent pas de suc
uelette sont figurées dans les planches II et III. Les analyses des
urines
et celles des os seront publiées inté- 7ralenea
ser quand elle veut uriner. D'autres fois, elle laisse échapper les
urines
, et même les matières fécales, s'il y a un peu de
au symplonialique s'est dessiné définitivement : inconti- nence d'
urine
, impuissance sexuelle, dérol)cmciil des jambes,
ymies dans l'enfance et l'adolescence, de l'incontinence nocturne d'
urine
jusqu'à 16 ans et une fièvre typhoïde à 18 ans.
ux sons forme de mictions impérieuses et plus tard d'incontinence d'
urine
. En 1869, l'incoordination motrice fait son app
vers viscères sont normaux ; il n'y a ni albumine ni sucre dans les
urines
. En dehors des arthropathies des genoux, la mal
usage de la morphine. Il y a 18 mois, apparurent une incontinence d'
urine
assez fréquente, des pertes séminales et, après
équilles est impossible par suite des arthropathies. Incontinence d'
urine
de temps il autre; constipation très opiniâ- tr
très bonne. Coeur, pancréas, foie normaux. Rien d'anormal dans les
urines
. Les membres inférieurs sont déformés; les cuis
menté de volume ; faiblesse des jambes. Ni sucre ni albumine dans l'
urine
. Etat psychique un peu déprimé ; pleure facilem
e au gâtisme. Il y a eu pour la première fois de l'inconti- nence d'
urine
. Depuis 4 ou 5 jours céphalée moins violente, san
de 43 ans. 10. Frère né en 1875. A eu de l'incontinence nocturne d'
urine
disparue depuis la puberté. Il a actuellement 1
nsible au cathéter, la vessie au cathéter et il la distension par l'
urine
ou une injection. Le sphincter de la ves- sie é
is toutes les heures environ elles émettaient une petite quantité d'
urine
, par action réflexe involontaire et non sentie,
ructueuse ; en le sondant aussitôt après, on a retiré 220 grammes d'
urine
qui sont sortis en bavant, malgré la persistance
nviron. Le ca- thétérisme est chaque fois nécessaire. La quantité d'
urine
et d'urée sécrétée par vingt-quatre heures est
: le malade a sécrété dans cette der- nière période 1700 grammes d'
urine
avec en tout 31 grammes d'urée; c'est presque l
atre ou cinq fois par jour des mictions vo- lontaires ; le jet de l'
urine
est relativement vigoureux, intermittent, sans qu
ovoquées par la contraction des muscles abdominaux. Le passage de l'
urine
u'est pas senti. Les réflexes rotuliens sont touj
eils respiratoire, circulatoire, digestif et urinaire. L'examen des
urines
a démontré de la gly- cosurie, avec la densité
nt égales et réactionnent à la lumière. Le malade laisse sous lui l'
urine
et les matières fécales. Il gémit continuelleme
s, à part une lientérie pas- sagère. Ni toux, ni expectoration.
Urines
rares, sans sucre ni albumine. A l'examen, mala
pression de la région rénale et surrénale est indolore. L'analyse des
urines
donne une formule convenable. L'état général fo
ec congestion pulmonaire compliquée de pleurésie, albumine dans les
urines
gros coeur avec bruit de galop. Il succombe le
ions sont impérieuses et le ma- lade craint de laisser échapper ses
urines
; cependant il les sent passer. Les fonctions g
nsibilités. Les sphincters, fortement touchés au début (rétention d'
urine
), sont paralysés au bout de 3 semaines; à ce mo
ion relativement tardive des troubles urinaires (l'incontinence des
urines
n'a été complète que quelques mois avant le dén
succès. Jusqu'à douze ans l'enfant eut de l'incontinence nocturne d'
urine
. Il avait des frayeurs nocturnes très fréquenle
me : il présente dans la journée un léger vertige, durant lequel il
urine
dans son pantalon. Le jour suivant, en note une
pied des deux côtés. Les réflexes abdominaux manquent. Rétention d'
urine
; constipation. Contractions spontanées doulour
ble et inégale dans les différents groupes musculaires. Rétention d'
urine
; incontinence des matières fécales. Les trou
s réflexes tendineux.1' Phénomène de Babinski. Rétention complète d'
urine
. 25. Douleurs aux jambes et aux bras. Augmentat
nnaissance secondaire. On ne voit pas de troubles vaso-moteurs. ,
Urine
. L'examen n'a révélé ni sucre ni albumine. Exam
che, le point de la même manière, surtout à droite. L'examen de l'
urine
ne montre que de légers vestiges de sérine. Ent
ison des renseignements fournis et de la présence d'albumine dans l'
urine
, nous rattachâmes à l'urémie. Devant l'échec des
es jours, à l'occasion de laquelle on trouva de l'albumine dans ses
urines
. Depuis lors, elle menait une vie normale, se pla
lles, pour retomber ensuite dans une asthénie profonde. Le taux des
urines
était normal, peut-être une légère pollakiurie.
decin a été appelé qui a constaté la pré- sence d'albumine dans les
urines
, mais leur quantité n'a pas été mesurée : en to
e, ni galop. Le pouls est rapide : à 140, de tension moyenne. Les
urines
sont claires, elles renferment un signe moyen d'a
sives, la malade succombe il z heures de l'après-midi. Analyse de l'
urine
recueillie pendant les 24 premières heures : AC
d'autre part la très faible quantité d'albumine que renferment les
urines
, on pourrait être tenté de mettre plutôt l'ensemb
au sujet des chiffres paradoxaux révélés par l'analyse chimique des
urines
et du sang, devaient faire prévoir l'échec d'un
ion ner- veux, pourrait-on dire, mais encore ceux où le chiffre des
urines
est di- minué, où il existe de la rétention uré
ible, adresse des inju- res il ceux qui vivent en contact avec lui.
Urine
dans les crachoirs et dans les tasses d'eau.
omanomètre de Pachon, de 14 cm. et 8 cm. 5 de Hg. * L'analyse des
urines
, que la malade dit être celles de 24 heures, fait
nombre 149 étaient atteints de gâtisme ; 37 d'mconh'nence nocturne d'
urine
; 11 de cécité complète ; 8 de cécité incomplète ;
ie. Imbécillité, prononcée. Imbécillité, Cécité, Incontinence d'
urine
. C A U S E S DE LA SORTIE. Rendu à sa famille
3 en-fants 201 sont atteints de gâtisme; 48 d'incontinence nocturne d'
urine
; 10 de cécité complète ; 8 de cécité incomplète;
els. Idiotie légère, paralysie infantile, onanisme, inconti-nence d'
urine
. —Robe... (M.arccl), 7 ans. — A son entrée (27 ja
pour l'étude; en plus elle avait encore de l'incontinence nocturne d'
urine
. Sous l'influence du traitement, une véritable
t les heures de classe. Elle avait aussi de l'incontinence nocturne d'
urine
. L'enfant, soumise au traitement dès le début,
rtout bien plus tranquille en classe. Elle n'a plus d'in-continence d'
urine
. — La gymnastique va bien, elle s'efforce même de
Sur ce nombre 75 sont gâteuses; 10 ont de l'in-continence nocturne d'
urine
; 5 sont atteintes de surdi-mutité; 5 de cécité; 4
s ou imbéciles, 50 sont gâteuses; 12 ont de l'incontinence nocturne d'
urine
; 5 attein-tes de surdi-mudité; 7 de cécité; 4 pré
s, relevablcs des classes spéciales, mais qui ont de l'incontinence d'
urine
? Pour les y conserver il faudrait une installa-t
éflexe rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de clonus du pied. —
Urines
normales. L'appétit est très diminué. Il existe u
grince pas des dents. Poids à l'en-trée : 20 kilos. Taille 1 m. 08 c.
Urines
: ni albumine, ni sucre. 1900. Décembre. — A so
laissant, ouvert le ro-binet du gaz...; a des troubles de la parole,
urine
et défèque sous elle..., actes inconscients: elle
tion du iéflexe lumineux. La tempéra- ture est abaissée (36°4). Les
urines
sont de coloration normale et contiennent un pe
du premier bruit. Les artères sont nettement athéromaleuses. Les
urines
recueil- lies par cathétérisme (car le malade a
a crise d'épilepsie vraie. Mais il n'y a ni émission involontaire d'
urine
, ni cri, ni morsurc de la langue, ni écume il l
ntéressant est la relation qui existait entre l'inconti- nence de l'
urine
et des matières fécales et les attaques, les habi
est devenu tout à fait tran- quille. Fait il noter, la quantité des
urines
, inférieure à la normale avant les injections,
séances, j'ai rapporté le cas d'un enfant atteint d'incontinence d'
urine
et guéri, lui aussi, par suggestion pendant le
convul- sives ayant duré cinq heures, avec émission involontaire d'
urine
et de matières fécales. Au dire de la mère, l'e
itial, pas de morsure de la langue et pas d'émission involontaire d'
urine
, du moins dans les crises isolées. La perte de
1893, surviennent une légère constipation et une légère rétention d'
urine
, et en 1898, une parésie des jambes qui rend la
ité objective est normale ; il est atteint d'une légère rétention d'
urine
. Enfin les deux yeux sont en myosis et présente
e époque, convulsions. De dix à douze ans incon- tinence nocturne d'
urine
. - Rougeole à quatre ans. - Scarlatine à quatre
et de dix à douze ans, elle a présenté de l'incontinence nocturne d'
urine
. Elle aurait eu des convulsions après sa premiè
s expériences et de son traitement (élimination de la silice parles
urines
, amélioration des crétins). I. C. XIII. Un no
leurs lom- baires. Quinze jours après apparaissent l'incontinence d'
urine
et des matières fécales, de la fièvre puis des
lité (réflexes tendineux normaux). Au bout de six mois, rétention d'
urine
qui cède à un seul cathlétérisme. Enfin, dans l
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIV. Polynévrite avec incontinence d'
urine
et des matières fécales, tachycardie, hoquet, e
ont intactes. Puis survient pendant quatre jours une incontinence d'
urine
et des matières fécales. Au bout de trois semai
ersista également jusqu'à la lin du séjour du malade à l'hôpital. L'
urine
ne présenta jamais ni sucre ni albumine ; l'épr
maintient depuis huit mois. M. Levis Jones, traite l'incontinence d'
urine
nocturne et diurne par l'électricité. Dans les
0. (Archives d'électricité médicale.) 0 LEDUC (S.). - Réaction de l'
urine
dans les névropalhies. Effets psy- chiques de l
e de celle-ci. P. Keraval. XXXII. De l'évacuation involontaire de l'
urine
pendant le rire ; par'W. Bechterew. (06os)'('H
femme de vingt ans tarée au point de vue mental et héréditaire, qui
urine
toujours en abondance quand elle rit, où qu'ell
is semblable évacuation ; il n'existe pas d'incontinence nocturne d'
urine
. M. Bechterew croit que c'est l'émotion en rapp
la raison dans l'intimité trop grande des centres d'évacuation de l'
urine
et des mouvements de l'expression qui occupent
bénigne. Dans une autre observation, il y a eu rétention homogène d'
urine
pendant la convalescence. Le délire a été fréqu
téro-épileptiques, du mutisme, de l'ano- rexie, de l'incontinence d'
urine
, etc. Recherche du subconscient pendant le somm
et Le-i\lolt, t, 132. Tumeur du lobe occipital, par Weber, 227.
Urine
. Evacuation involontaire de l' - pendant le rir
malade entra à Lariboisière; il avait de la pollakiurie (2 litres d'
urine
par jour avec 4 grammes d'albumine) ; il sort d
as d'oedème des jambes (2 grammes d'albumine par litre ; quantité d'
urine
émise : 1500 grammes par jour). Le le, février
eil et de l'appétit, -amaigrissement, toujours de l'albumine dans l'
urine
. En mai, les membres inférieurs se placent en a
oucher dans celui du voisin. Pas d'incontinence ni de rétention des
urines
et des matières fécales. Le tremblement alcooli
ntes. Le foie est douloureux et semble légèrement hypertrophié. Les
urines
ne contiennent ni albumine ni sucre. En présenc
et la marche est plus difficile. Les mains sont maladroites et P...
urine
dans son lit à côté de l'urinal. ' Le 30 janv
ndemain nous constatons une paraplégie complète avec incontinence d'
urine
et des matières. Anesthésie des membres inférie
rois semaines ; au début de son séjour, elle eut une rétention de l'
urine
(sondage) ; à la fin, l'incontinence d'urine av
eut une rétention de l'urine (sondage) ; à la fin, l'incontinence d'
urine
avec douleurs fulgurantes. Le 15 décembre, elle
paralysies des bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d'
urine
. Pas de troubles oculaires ni de tremblement. L
elle, sauf dans l'observation I où il y avait de l'incontinence - d'
urine
, mais il n'y a pas lieu de croire que d'insignifi
atiées. Cet oedème est stationnaire. Les viscères sont sains. Les
urines
ne contiennent ni sucre ni albumine. La sensibi
acide urique et il étayait son hypothèse sur ce fait clinique que l'
urine
des épileptiques contient moins d'acide urique qu
à un régime absolument constant, des séries d'épileptiques dont les
urines
furent analysées quotidiennement. Le régime étant
es quotidiennement. Le régime étant cons- tant, l'analyse seule des
urines
nous importe. Si dans les minutieuses observati
s, nettement épileptisant dans 1 à : j p. 100 des cas. L'examen des
urines
n'a montré à la suite des accès aucune variatio
rganes de la poitrine et de l'abdomen ne révèle rien d'anormal. Les
urines
ne contiennent ni albumine, ni sucre. La sensib
re de 'l,5 1. D'autre part, il a été possible de retrouver dans les
urines
de malades atteintes de fièvre hystérique les m
. HÉMIMÉLIE CHEZ UN ALIÉNÉ. 365 et Cathelineau, caractérisent les
urines
émises pendant l'accès convulsif (c'est-à-dire
eints de tuméfaction rapidement passagère. Dès lors. incontinence d'
urine
et des matières : un an plus tard, disparition
la grâce et un soutien de leur vertu. Sainte Elisabeth avalait son
urine
, disant qu'il ne fallait rien laisser perdre d'
langue, perte subite de la connaissance et chute, incon- tinence d'
urine
, amnésie complète. On dut renoncer à l'uti- lis
sance, de chute, de morsure de la langue, de peite involontaire des
urines
. En revenant à elle, la malade éprouve une gran
taque d'épilepsie, avec morsure de la langue, chute, incontinence d'
urine
. D'autres attaques sem- blables ont suivi, à de
Elles s'accom- pagnent de morsure de la langue et d'incontinence d'
urine
. Au moment de reprendre connaissance, la malade
ite de la connaissance, chute, morsure de la langue, incontinence d'
urine
. C'est là, chose admise par tous les auteurs co
faible; il y a difficulté d'uri- ner sans la moindre incontinence d'
urine
. Il n'existe ni propulsion, ni latéropulsion, n
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