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1 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
e Claude et de Gougerot, du sénilisme de Ciauri et de tant d'autres types cliniques encore, le problème des dystrophies m
slrophies endocrines, qui se rattacheraient selon les auteurs à des types divers, mais qui nous paraissent se' subordonne
s'intéressent aux ques- tions biologiques, soit considérées sur les types normaux, soit étudiées sur les écarts^et les va
artistique, car on n'ignore pas que les artistes ont représenté les types humains, dans leur personnification idéale, dan
qui est plus surprenant encore, jusqu'en leur interprétation. Comme type masculin, l'art a repré- senté en l'Hercule Far
e Naples, en l'athlète de Polyclète, le Doryphore du même Musée, le type appelé le Canon par les anciens, c'est-à-dire l
lé le Canon par les anciens, c'est-à-dire la règle ou le modèle. Le type féminin a été personnifié par Praxitèle en son
es poètes, ces autres interprètes de la nature, ont bien défini les types humains ; qu'il suffise de citer parmi les ancien
ellement scientifique des sécrétions internes. (1) Cf. au sujet des types hermaphrodites antiques dans les représentations
ment par l'aspect géné- ral du corps, dont les lignes rappellent le type féminin. Les membres sont longs, la partie infé
pas de frères. Il n'y a pas de cas d'obésité dans la famille, ni de type morphologique analogue au sujet. Chancre syphil
ite. Taille : 1 m. 70. Poids : 99 kil. Crâne petit, s'approchant du type oxycé- phtalique. Cheveux noirs, secs, sans bri
igne horizontale. Seins développés. Mains de grandes dimensions, de type à la fois charnu et acromé- galique ; les pieds
Dents cariées. La voix est normale. La conformation du corps est du type féminin, le bassin large, les membres arrondis. P
des personnels. C'est un individu de taille moyenne. Tête petite de type dolichocéphale. Le visage entièrement imberbe,
çon de 12 ans. Hauteur : 1 m. 36. Crâne d'aspect normal, cheveux de type normal. La face un peu ridée et pâle. Prognatis
is ce jour n'a fait qu'assurer les relations pathogéniques des deux types morbides dans les cas de ce genre. Peu après notr
hyse. D'après ces auteurs, il s'agissait de simples déformations du type acromégatique. Voici le passage « Même dans les o
im- pulsion psychique est exécutée vivement ; mais elle n'a pas le type du mouvement illimité, parce que dès le début l
vie, cesnmla- des présentaient des mouvements involontairesldont le type étaitsoitcho. réiforme, soit athétosique, soit
rkinsonien. Quelques-uns' de -'ces ma- lades n'offraient pas un;des types classiques.de la nosologie ; par la raideur mus
ns toule une série de cas intermédiaires ; 2° dans un même cas, des types contraires (de flaccidité et-de raideur musculair
partie montrent le caractère conjugué, mais en général n'ont pas le type pur (2).. , Ainsi nous constatons chez nos mala
'fonc. 1 tions statiques anciennes ; elle provoque un changement du type des réflexes, et dans ce domaine aussi il y a r
soit sous l'influence de l'effort musculaire; mais en- opposition au type pyramidal, ces fonctions statiques ne montrent
ance l'immo- bilisation, elles n'ont qu'un caractère passager et le type des réflexes ne montre pas des changements prof
taires, les malades avec lésion des voies pyramidales présentent le type d'élection étudié par Wernicke, c'est-à-dire qu
mule d'innervation que nous avons observé chez nos malades. Dans le type pyramidal il y a une accentuation très forte de
de la secousse en direction inverse. En comparant nos malades au type cérébelleux, nous remarquons des DE LA DYSTONIE
que dans les actes volontaires caractérise les cérébelleux comme le type que nous avons décrit. Pourtant je crois que le
mènerait trop loin de vouloir donner une description détaillée des types observés. Dans certains cas le malade, en quitt
a- tion des fonctions frénatrices attribue aux actes volontaires le type soit du mouvement vif et démesuré, soit du mouv
qu'il importe de bien connaître. Avant de distinguer les différents types cliniques, il est utile de décrire l'attitude d
ncipalement lorsqu'il s'agit de plaies de l'aisselle ou du bras. Le type le plus fréquent est réalisé par la paralysie des
rétoires ettrophi- ques caractéristiques. On doit distinguer deux types cliniques : A. Les paralysies complètes. B. L
es paralysies incomplètes des nerfs médian et cubital réalisent des types cliniques variés : les schémas que nous publions
n donnent un aperçu suffi- samment exact. Nous considérerons cinq types cliniques principaux : PREMIER TYPE. - Le type
act. Nous considérerons cinq types cliniques principaux : PREMIER TYPE . - Le type le plus fréquent consiste en une prédo
considérerons cinq types cliniques principaux : PREMIER TYPE. - Le type le plus fréquent consiste en une prédomi- nance
peu près les cas de section complète décrits plus haut. Deuxième type . Lorsque la paralysie prédomine sur les interosse
e fourchette (pl. XVIII, fig. A et pl. XXI, fig. E). .. Troisième type . Les petits muscles de la main sont toujours les
métacarpiens ; le dos de fourchette est moins accentué. Quatrième type . - Le fléchisseur sublime est très atteint; les f
nnervés par le radial, suivie de restauration complète. Cinquième TYPE . - Les interosseux sont encore très atteints ; le
erritoire du médian (pl. XVIII, fig. B, E et F). En somme, dans ces types si variables, il y a lieu de tenir compte, d'un
forme spéciale de paralysie paratonique de la main certains cas du type connu sous le nom de main d'accoucheur. Bien qu
e, comme à la main la paume. Ces douleurs affectent généralement le type causalgique, sensa- tions ardentes de brûlure,
NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE 151 Fait curieux : tous ces types ,sans en excepter un seul, se trouvent repro- du
imaux dispa- rus, aux enaliosauriens, dont l'ichthyosaure serait le type le plus achevé. Dans ces dernières années Boine
contre dans certaines maladies nerveuses ; telle l'amyo- trophie du type Charcot-Marie où Herringham relève 26 cas en 6 gé
e sujet : « Sous une influence incon- nue, l'embryon évolue vers un type différent du type ethnique, puis : ou bien le m
ne influence incon- nue, l'embryon évolue vers un type différent du type ethnique, puis : ou bien le maximum est atteint
vingt-quatre doigts. C'est cette fois l'accentuation avec retour au type ancestral. Celui-ci à son tour donne naissance
39 ans chez lequel les troubles sexuels pouvaient être seulement de type fonctionnel. Dans notre cas, on voit se produis
Chauvet), avec l'infantilisme sexuel et l'adiposité (eunuchisme de type féminin) (Strauss, Jourdel), l'infantilisme rég
u l'occasion d'observer chez des soldats 12 cas de myélite aiguë du type épidémique de Heine-Medin. Bien que malheureuse
Dans d'autres cas assez fréquents, M. Netter a indiqué un début à type pseudo-méningitique. Parfois, l'invasion est mo
plète en ce cas, surtout aux membres inférieurs : nous trouvons le type paraplégique net dans l'observation III : l'élé
I, nous avons vu sous nos yeux l'évolu- tion progressive prendre le type de la myélite ascendante de Landry, arrivant à
VIII, XI) ; souvent très violentes, avec exacer- bation ; parfois à type spasmodique ; parfois au point de rendre intolé-
turne (obs. V et X), violentes au point d'empêcher tout repos. Le type des douleurs a été signalé comme crampe dans une
cas (obs. XI el XII), la température oscillant entre 37° et 37°5, à type continu rémittent, présentait une allure indé-
rfois une certaine hypertension consécutive. Mais l'intensité et le type des douleurs se rapprochent fort du type polynévr
ve. Mais l'intensité et le type des douleurs se rapprochent fort du type polynévrite, et font penser à l'existence d'une
que : Myélite diffuse dans l'observation I. Myélite ascendante du type Landry dans l'observation JI. Myélite transvers
Landry dans l'observation JI. Myélite transverse. En tous cas, le type poliomyélite pur ne s'est trouvé réalisé chez auc
n considération que les cas de poly- névrite pas trop différente du type ordinaire (où il y a des raisons d'ad- mettre l
u'il faut demander pour admettre le diagnostic d'une polynévrite du type ordinaire. On trouve un certain nombre d'observ
ps que la polynévrite. FRUGONI. - Syphilis de 3 ans. Polynévrite du type ordinaire ; en tout cas, il semble que les symp
ercuriel. JAFFÉ. - Syphilis de 9 mois. Cas d'issue mortelle sous le type de ma- ladie de Landry. Pas d'autopsie. Par con
longtemps. STEiNERT (obs. 1). Syphilis de 6 mois. - Polynévrite du type ordinaire. En même temps éruption syphilitique
nt mercuriel. STEINERT (obs. 2). Syphilis de 6 mois. Polynévrite du type ordinaire et d'intensité médiocre. Pendant le t
mander s'il ne peut, en ces cas d'un tableau clinique différent du type ordinaire, s'agir d'une autre forme de maladie
s net de cette espèce. En tout cas, comme nous n'avons pas ici le type ordinaire de la poly- névrite, il ne faut pas o
ie dont le malade a guéri, mais ensuite est survenue une paralysie du type d'une polynévrite, qui était ascendante et a ca
a- lysie faciale double est apparue, et une altération psychique du type même qui est caractéristique pour la maladie de
ue DE la clavicule. ' ' III. - ATROPHIE musculaire syphilitique A type péronikr, simulant l'amyotrophie CHARCOT-IIÎARI
apportée. 260 - LÉRI III .. Atrophie musculaire' syphilitique A TYPE péronier (simulant , ' , l'amyotrophie Charcot-
ourd'hui amplement démontrée par les innombrables cas d'amyotrophie type Aran-Duchenne d'origine syphilitique qui ont ét
urologie, Bruxelles, 't9(M ; Atrophie musculaire progressive spinale ( type Duchenne- Aran), in Traité de médecine Charcot-
RIl : RE. T. XXVHI. PL. XLV111 atrophie musculaire SYPHYLITIQUE A type PÉRONIER simulant l'amyotrophie charcot-marie
ingomyélie, de polyomé- ningite cervicale, hypertrophie, etc..., le type de l'amyotrophie spinale de l'adulte est l'amyo
it n'est pourtant pas absolu ; à l'amyotrophie spinale de l'adulte, type Aran-Duchenne, portant d'abord et surtout sur les
s, s'oppose l'amyotrophie spinale de l'enfance ou de l'adolescence, type Charcot-Marie; portant d'abord et surtout sur les
nsité de l'amyotrophie, et l'on est conduit à considérer le trauma, type des « causes à tout faire », comme n'ayant eu q
ie. Tooth a bien rapporté, sous le nom d' « atro- phie musculaire à type péronier », des observations probables d'amyo-
r la région cervico-dorsale, détermine l'amyotrophie syphilitique à type Aran-Duchenne. Rien d'étonnant à ce que semblab
sque d'une amyotrophie Charcot- Marie ou plutôt d'une amyotrophie à type péronier de Tooth, comme de déterminer une amyo
t certaines observations publiées sous le nom d'atrophie musculaire type Charcot- Marie mériteraient-elles d'être révisé
nécessaires pour recourir aux observations originales (1). trophie type Charcot-Marie (membres supérieurs et inférieurs)
ine et de nature syphilitique. DEUX CAS DE MYOPATHIE ATROPHIQUE A TYPE SCAPULAIRE (1), PAR E. CARATI (de Bologne).
ONOGRAPHIE DE LA S.1LF7.1'RtI : RE. T. XXVIII. PL. XLIX myopathie A type scapulaire (Cl1 ra Ii.) , DEUx CAS DE MYOPA
sagement conduite a réussi à séparer et à classer distinctement les types divers, et à établir les divisions aujourd'hui
s ectroméliennes genre hémimèle (1). (1) Les nombreuses variétés du type hémimèle sont bien connues, selon-que les mem-
elle-même, elle devenait somnolente et abattue à un haut degré. Ce type s'accorde complètement avec celui que Baur a dé
de la pupille (1) André Odoul, Les syndromes oculo-sympallcignes : types cliniques. Thèse 1910, fil 408, 66 p. (2) Lai
en vue dans leurs descriptions les. grands syndromes d'irritation à type causalbique-et non les syndromes frustes qui nous
rre. 1 LES SYNDROMES FRUSTES D'IRRITATION. DU PLEXUS BRACHIAL 355 type de ceux qu'ont décrit MM. Babinski et Froment. On
(1). On peut d'ailleurs passer dans les cas qui nous occupent de ce type de réaction d'irritation à celui de la dégé- né
lévation des seuils. On pourrait donc conclure une atrophie réflexe type Bahinski-Froment. La participation du plexus br
ives. On pourrait donc conclure aune atrophie avec parésie réflexe, type Ba- binski-Froment. - La participation du ple
apparaît dès qu'on regarde les mains : elle affecte à ce niveau le type Charcot-Marie beaucoup plus accentué à gauche U
n animée vers la fin du geste d'une véritable chorée. C'est donc un type exclusivement cynctique du tremblement. Des con
epsibilité subjective est fort atteinte et des douleurs spontanées du type fulgurant éclatent sur le trajet de tous les tr
seules à retenir. Dans ce groupe, nous pouvons éliminer d'emblée le type Charcot-Marie en raison de l'hyper- trophie con
ie que nous observons ici. , C'estavec la névrite hypertrophique ( type Déjerine et Sollas) que notre cas affecte les p
ont l'histologie pathologi- que était due à Lhermitte, ont isolé un type à début tardif accompagné d'incoordination atax
enève) en a rapporté un en 1906 sous le nom . d'atrophie musculaire type Aran-Duchenne par névrite interstitielle hypert
ttant de juger légitime, au point de vue clinique, l'isolement d'un type nouveau de névrite hyper- trophique survenant c
lique la légèreté ou l'absence des signes révélant t une sclérose à type tabétiforme ou cérébelleux. L'étiologie de cette
ide, douleurs brus- ques, rapides, passagères, affectant parfois le type de douleurs fulgurantes. Ces douleurs ont persi
ticulaire- tertiaire. Enfin elles diffèrent par plusieurs points du type classique de descrip- tion d'ostéo-arthropathie
rosante, cette polyarthropathie syphilitique tertiaire constitue un type clinique offrant une certaine individualité, qui
aneiro). A. F. L., 44 ans, blanc, portugais, marié. Il n'y a pas de type de constitu- tion morphologique analogue à cell
nomalies de constitution morphologique. F. a un frère de 4G ans, de type normal . Il y a près de huit ans le malade comm
tés, est remarquable. Membres inférieurs longs. Mains allongées, de type féminin, avec hyperdis- tensibilité des doigts.
et aux aisselles. ' Examen radiographique : tumeur hypophysaire de type extra-sellaire. Définition. Caractéristique et
rement, et ainsi se créent d'autres modalités cliniques il côté des types de dystrophie génito-glandulaire pure. On compr
ndulaire les formes suivantes : a) Dystrophie génito-glandulaire du type infantilisme; . b) Dystrophie génito-glandulair
dulaire du type infantilisme; . b) Dystrophie génito-glandulaire du type gérodermie (sénilisme) ; c) Dystrophie génito-g
u type gérodermie (sénilisme) ; c) Dystrophie génito-glandulaire du type eunuchoïdisme ; . d) Dystrophie génito-glandula
laire du type eunuchoïdisme ; . d) Dystrophie génito-glandulaire du type adiposo-génital ; e) Types associés de dystroph
; . d) Dystrophie génito-glandulaire du type adiposo-génital ; e) Types associés de dystrophie génito-glandulaire (syndro
RG 393 portant des dystrophies génitales nous a conduit à isoler un type que nous décrirons dans la suite, et que par se
tres ci- dessus cités. On peut donc établir le schéma suivant : Type simple z Sénilisme (gérodermie Dystrophie . I
énito-glandulaire z - x 4-' Eunuchoïdisme Typesassociés(syndromes Type adiposo-génital pluri-glandulaires) hypophysair
pluri-glandulaires) hypophysaire V Dans ces différents schémas types cliniques, que certains caractères cons- tants
landulaire, cei tains éléments existent qui sont communs à tous les types et individua- lisent le groupe, le différencian
s verrons dans la suite en --quel sens elles se procèdent selon les types cliniques différents. 396 SOUZA ET DE CASTRO
icité de formes et de dénominations sous lesquelles on a décrit les types divers de dystrophie génito-glandulaire a de beau
ents sur lesquels s'appuie la caractérisation clinique générale des types différents, nous passerons maintenant à l'étu-
ifférences qui les séparent au point de vue symptomatologique. I. Type simple DE dystrophie GÉNITO-GLANDULAIRE (1). Da
s altérations de croissance et autres qui sont le propre des autres types de cette dystrophie. Ainsi il y a une forme, ce
tères sexuels pri- maires et à l'absence des secondaires. Dans ce type simple de la dystrophie génito-glandulaire (ainsi
sence de pertur- bation de la croissance générale du corps, dans ce type , quand on sait que dans d'autres, où l'affectio
Pour ce qui se relationne avec les modifications somatiques dans ce type , il nous paraît digne de noter que l'appareil c
e du système lymphatique. Dans l'observation XII, exemple formel du type simple de la dystrophiegénito-giandutaire, l'état
tions. Les ovaires examinés étaient petits, allongés et étroits, de type infantile, ou grands mais polycystiqucs et de s
comme de véritables exemples de la dystrophie génito-glandulaire du type simple. - Il est possible encore que l'on fas
pe simple. - Il est possible encore que l'on fasse entrer dans ce type simple certains - cas du dit chétivisme de Baue
vec Bauer pour exclure de telscas du groupe de l'infantilisme. Le type simple de la dystrophie génito-glandulaire ne se
lus. Il nous parait qu'il s'agit en l'espèce d'une forme tardive du type simple de la dystrophie génito-glandulaire, et
d'autres cas différents de ceux qui sont maintenant en cause. II. Type infantile DE la dystrophie GÉ\1T0-GLANDULAIRE (1)
dystrophie GÉ\1T0-GLANDULAIRE (1). Puisque nous employons le terme type infantile, il faut avant tout déclarer que nous
ter et, dans la plupart des cas, débute l'évolution dystrophique des types ci-devant traités. Nous disons type infantile p
e l'évolution dystrophique des types ci-devant traités. Nous disons type infantile pour désigner d'un mot plus bref les
on nous, un lype de dystrophie génito- glandulaire, c'est-à-dire un type où les signes de l'infantilisme sont pri- mitiv
sont pri- mitivement subordinés à une altération testiculaire. Ce type se caractérise cliniquement par le retard physiqu
lisme est avant tout un syn- drome somatique » (Souques). Dans le type que nous étudions, l'action morphogénique est ain
p.3. 400 SOUZA ET DE CASTRO la glande génitale peut avoir dans ce type clinique, ainsi que nous le soutenons également
la glande génitale, on peut admettre avec Souques trois principaux types cliniques : a) infantilisme prépubère; b) infan
tilisme pubère; c) infantilisme postpubère ou tardif. Acceptant les types d'infantilisme thyroïdien et hypophysaire, Souque
ique. ~ ' 1 Pour corroborer l'inclusion de l'infantilisme parmi les types de la dystro- phie génito-glandulaire, nous avo
et suiv. , (2) E. AUBRY, P. Jeandelize et L. Richon, A propos d'un type d'infantile à longs membres avec persistance de
stion d'infantilisme de début précoce. Nous signalons maintenant le type dit infantilisme régres- sif de Gandy, dont la
tefois que lorsqu'elle est seule intéressée, elle ne réalise pas le type clinique de l'infantilisme tardif, mais bien le t
que l'on peut constater. Somme toute, dans la constitution de ce type clinique, la dysorchidie, qu'elle soit primitiv
suffisante pour admettre dans le vaste groupe des infantilismes un type d'origine génitale, que nous appelons type infa
upe des infantilismes un type d'origine génitale, que nous appelons type infantile de la dystrophie génito-glandulaire.
H. French, Bristof, 1914, p. 216-218. 406 SOUZA ET DE CASTRO III. TYPE gérodermique (1) ET TYPE EUNUGIi01DE (2) DE LA
p. 216-218. 406 SOUZA ET DE CASTRO III. TYPE gérodermique (1) ET TYPE EUNUGIi01DE (2) DE LA DYSTROPHIE GÉNI'CO-GLANDU
E GÉNI'CO-GLANDULA1RE. L'étroite analogie qui existe entre ces deux types permet de donner une description globale des de
us le nom de geroderma genilo-dys- trophica, ont signalé en 1897 un type clinique, subordonné, comme - l'indiquait le no
uchisme obtenu par la castration. La caractéristique principale des types de dystrophie génito-glandulaire connus sous le
rticulière que le diagnoslic s'impose à la simple inspection. Ces types sont très rarement observés dans le sexe féminin.
le à la face qui est entièrement glabre. Dans certains cas, dans le type gérodermique, les rides sont très nombreuses, ce
heminé, tout à fait parti- culier (facies gerodermica) (1). Dans le type eunuchoïde les plis sont plus discrets, la peau
parée. Les altérations du système pilifère sont constantes dans les types que nous sommes en train d'étudier. Le visage e
delà d'un simple duvet, leur disposition prend alors comme dans le type féminin une forme limitée par une ligne supérieur
rmés dans la bourse et réduits au volume de haricots. Chez certains types , cependant, spécialement chez ceux de début tar
plus loin, quand nous traiterons de la pathogénie. Sterling admet 4 types en ce qui a trait la condition sexuelle, dans l
PHIE GÉNITO-GLANDULAIRE '409 Un autre élément symplomalologique des types gérodermique et eunu- choïde de la dystrophie g
ammaire, abdominale, aux régions itraques. C'est ainsi que dans ces types et d'autres de dystrophie génito-glandulaire on
d'une façon très rapide. L'adiposité est presque de règle dans ces types de dystrophie génito- glandulaire et on constat
répétons, le plus courant c'est de rencon- trer l'adiposilé dans le type eunuchoïde, où elle est en général plus con- si
eunuchoïde, où elle est en général plus con- sidérable que dans le type gérodermique de la dystrophie génito-glandu- la
hie génito-glandu- laire. La morphologie du squelette fourni taux types gérodermique et eunu- choïde une caractéristiqu
es, et surtout des inférieurs, excède les dimensions habituelles du type de la race, d'où dans le commun des- cas une te
gantesque (gigantisme eunuchoïde). On observe aussi parfois dans ce type le genu valgum bilatéral. Mais si la proportion
tte à l'articula- 410 - SOUZA.ET DB CASTRO Les mains ont ainsi un type long et effilé comme celui de belles mains fémi
lement manifeste. JLe crâne est généralement petit, et souvent du type dolichocéphale. Les auteurs italiens ont l'habi
océphale. Les auteurs italiens ont l'habitude de mentionner dans le type gérodermique la proéminence des os de la face,
hoïde). Les dents sont généralement de faible constitution dans les types géro- dermique et eunuchoïde, ce qui s'explique
ir dès maintenant que c'est là un des caractères qui distinguent le type eunuchoïde de la dystrophie génito-glandulaire
stinguent le type eunuchoïde de la dystrophie génito-glandulaire du type Franlich de la même dystrophie, qui, parce qu'il
s, au moins en relation à tous les cas. Dans nos obser-^ valions du type eunuchoïde, la selle turcique, ainsi qu'il appert
ferons remarquer surtout que dans l'observation III, cas formel de type eunu- choïde, l'examen radiographique a signalé
ie, affirme (1) qu'il y a augmentation de la selle turcique dans le type gérodermique. De là l'auteur lire un argument e
, mais aussi d'altérations hypophysaires. Ainsi dit-il, au sujet du type gérodermique (2) : « Nous trouvons ici des symp
auteurs que nous connaissions ne permettent de faire entrer dans le type géroder- mique les signes acromégaliques que Pe
aphie, la selle turcique se trouve de dimen- sions normales dans le type gérodermiqne (voir fig. VII). Les signes acromé
tant au lype gérodermique. Et pour tout, notre opinion est que ce type gérodermique est purement et primitivement géni
génito-gtandutaire, et que l'hypophyse n'y contribue en rien. Le type gérodermique, comme nous le voyons, est grandemen
ype gérodermique, comme nous le voyons, est grandement similaire au type eunuchoïde, c'est-à-dire aux cas auxquels les aut
é déjà quelle elle est, l'état de la peau précocementsénile dans le type gérodermique. L'état psychique des types que no
u précocementsénile dans le type gérodermique. L'état psychique des types que nous étudions maintenant mérite une analyse
lles et autres. Parmi d'autres exemples généralement admis dans ces types de dystro- phie génito-glandulaire figurent la
ômes traités jusqu'ici, qui donnent la diagnose caractéristique des types gérodermiqueeteunuchoïdedeta dystrophie génito-gl
urtout parotidite. Nous devons maintenant rapporter une modalité du type eunuchoïde, où les phénomènes se déclarent dans
911 et 1912, nos 30 et 31). xxvm - 28 414 SOUZA ET DE CASTRO du type transverse se sont manifestées, comme dans l'acro
ères sexuels secondaires avec la gynécomastie (1). La majorité des ^ types de dystrophie génito-glandulaire tardive se rat
classe aussi les cas décrits sous e nom d'infantilisme régressif du type Gandy, infantilisme réversif de l'adulte, que G
sorchidisme. ' Mais dans d'autres cas, comme on l'a dit à propos du type simplet la dystrophie génito-glandulaire, les p
nes qui la caractérisent s'ins- tallent tardivement sans revêtir le type eunuchoïde et l'adipose caracté- ristique fait
ues-uns de ses signes (adipose eunuchoïde). Hors cela il s'agira du type simple de la dystrophie génito-gandulaire, forme
dystrophie génito-glandulaire revêt très rarement chez la femme le type gérodermique ou l'eunuchoïde, beaucoup plus propr
particulier, est tout à fait exceptionnelle chez la femme. ' Ces types , dans le sexe féminin, se se révèlent par la faib
uchoïdisme masculin du côté de la peau. . Quant à l'évolution des types gérodermique et eunuchoïde, parfois, dans les c
ndividus. La même bénignité d'évolution se retrouve dans les cas du type eunu- choïde tardif d'origine traumatique. Il n
moins court, puis survient l'asthénie et la cachexie finale. - IV. TYPE ER0HL1CH DE la dystrophie génito-glandclairk (1).
Dans des cas déterminés, la dystrophie génito-glandulaire revêt un type quelque peu divers des précédents, qui bien qu'
able (1). » Ce fut cependant avec le travail de Frôhlich (2) que le type en question fut bien connu, et qu'on lui donna
fonctionnel des organes génitaux est en tout semblable à celui des types précédents, et l'on observe le même manque de d
équent. L'exa- men radiographique révèle une tumeur hypophysaire de type extra-sellaire, c'est-à-dire" se développant en
d'une façon générale, d'accord avec ce que nous avons dit quant au type eunuchoïde. Il est bon de remarquer que les veinu
iverses observations du syndrome de Frôhlich, se retrouvent dans le type eunuchoïde repré- senté en notre observation XV
le. Un tel caractère servirait donc pour la distinc- tion d'avec le type eunuchoïde de la dystrophie génito-glandulaire, o
'un ou l'autre domine, les dimensions se rapprochent davan- tage du type eunuchoïde ou du type infantile. Dans les cas gra
les dimensions se rapprochent davan- tage du type eunuchoïde ou du type infantile. Dans les cas graves c'est surtout un
nuchoïde ou du type infantile. Dans les cas graves c'est surtout un type infantile. » (2) (1) Voir G. Mouriquand, Le syn
décidera le diagnostic différentiel du syndrome de Friiiilicli, du type eunuchoïde de la dystro- p hie-géni to-glandula
bservation III, où nous avons trouvé toutes les caractéristiques du type eunuchoïde réunies d'une ma- nière frappante, e
onc, avec autant de raison, classer ce cas aussi bien parmi ceux du type eunuchoïde que parmi ceux du type Frtinlich ; et
r ce cas aussi bien parmi ceux du type eunuchoïde que parmi ceux du type Frtinlich ; et c'est pour cette raison que la d
tous les cas l'opi- nion de la majorité des auteurs, qui oppose au type eunuchoïde, dystro- phie adiposo-génitale prima
s à une telle origine. Or, ce qui a été constaté, c'est que dans le type Frôhlich la graisse se distribue selon le type de
é, c'est que dans le type Frôhlich la graisse se distribue selon le type de l'adiposité eunuchoïde, c'est-à-dire de l'ad
d, des différences^ quant à la durée de l'invasion adipeuse dans le type eunuchoïde et dans le type de Frôhlich ? Il a é
la durée de l'invasion adipeuse dans le type eunuchoïde et dans le type de Frôhlich ? Il a été prouvé que dans les deux
cture méconnue de la clavicule, par LÉRI, 256. - - syphilitique à type péronier, sirnu- lant l'amyotrophie Charcot-Mar
épidé- mies militaires, par ETIENXE, 199. Myopathie atrophique à type scapulaire, par CAHA1'l, 269. Nerfs (Déformat
le - ou mercurielle), par Petren, 226. ' (Atrophie musculaire - à type péro. nier), par Léri, 260. - (Rhumatisme - t
actylie, 144 : ' Carati E.). Deux cas de myopathie atro- phique à type scapulaire, 269. Casrao (Aloysio de). Acromégal
nnue de la cla- vicule, 256. - Atrophie musculaire syphilitique à type péronier, simulant l'amyotrophie Char- cot-Ma
nes (Rimbaud et REVAUT d'Allonnes), XXXIX. Myopathie atrophique à type scapulaire (C.1RATI), XLIX. Névrite hypertrop
2 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
rnir un exemple : il s'agit en effet d'un cas de petit gigantisme à type acromégalo-infantile,qui,par bien des côtés, es
ne asymétrie faciale très accentuée. La voix de Michel n'a pas le type eunuchoïde, pourtant elle a un timbre infantile
géant, les seins ont une conformation parfaitement infantile et du type masculin. L'examen du rachis montre une cyphose
tilisme. Notre géant infantile n'a rien qui le rattache pourtant au type féminin de l'infantilisme. En effet, le bassin
égard, ce cas est encore plus intéressant étant donné la pureté du type infantile qu'il représente. Dans la grande majori
es caractères font défaut et il apparaît au contraire comme le vrai type de l'infantilisme masculin. Son appareil géni
tat des épiphyses chez la fillette âgée de 14 ans qui présentait le type le plus intéressant de l'acromégalie hé- rédita
de l'infan- tilisme. Parmi les géants il y en a qui affectent le type du gigantisme acro- mégalique,- et d'autres qui
type du gigantisme acro- mégalique,- et d'autres qui s'attachent au type infantile, mais n'oublions pas que parmi ces de
attachent au type infantile, mais n'oublions pas que parmi ces deux types principaux, on peut trouver des formes interméd
l. Ses- Pratica, 1908. - Contribution à l'élude de l'infantilhme du type Lorain. Nouv. Icon. de la Salp., n° 4, 1908.
j'ai traité assez largement dans mon mémoire sur l'Infantilisme du type Lorain, paru en 1908 dans le numéro h de la Nou
des Infantiles vrais que les individus présentant les caractères du type clinique décrit par M. Brissaud (infan- tilisme
e. - M. Bauer pense donc comme 1\1. Brissaud, que les infantiles du type Lorain n'ont rien d'infantile, et s'accorde ave
Bauer n'arrive pas jusqu'à étiqueter franchement les infantiles du type Lorain comme de faux infantiles, mais propose, co
mot nouveau chétivisme, qui devrait être appliqué aux infantiles du type Lorain, ne me semble ni utile, ni parfaitement
bliés dans V Iconographie de la Salpl'trière, que les Infantiles du type Lorain ne sont aucunement de faux infantiles, mai
selon laquelle il n'y aurait qu'un seul infantilisme vrai, celui du type Bris- saud, n'est pas, à mon avis, acceptable.
fait, car il ne suggère pas du tout, selon moi, l'image clinique du type morbide en question ; les infantiles du type Lora
i, l'image clinique du type morbide en question ; les infantiles du type Lorain sont en effet des chétifs, mais ils ne l
psychiques de la première adolescence. Souvent les infantiles du type Lorain sont en effet des chétifs, mais ils nous
nsidère comme des infantiles vrais, que les individus présentant le type décrit par cet auteur. Dans les conclusions de
lisme de Lorain n'existait pas; les infantiles les plus typiques du type Lorain peuvent avoir des cartilages épyphysaire
urs de ces dernières années, plusieurs autres cas d'infantilisme du type Lorain le plus classique, et qui étaient, à plu
ants de 10 il 1 I ans tout au plus , ne présentaient pas du tout le type de petits hommes vieillots « vus par le grand bou
e la lor- gnette », mais avaient somatiquement et psycliiquement le type infantile; ENCORE SUR LA QUESTION DES 1NFANTILI
, par les caractères susdits, mérite le nom d'Infantilisme V1'ai du type Lorain, dans lequel soit in vita soit post vtor
ant assujetti pendant deux ans les deux soeurs Servi (infantiles du type Lorain dont l'histoire est publiée dans la Nouvel
onclusions à ce sujet de la façon suivante : z I) Les infantiles du type Lorain ont droit à être compris dans la cas tég
as exprimer correctement le tableau cliniquede; i l'infantilisme du type Lorain. , BIBLIOGRAPHIE BAUER. - Infantilisme
t, 1907. LEVI ETTORE. - Contribution à l'étude de l'infantilisme du type Lorain. Nouvelle' Iconographie de la Salpêtrièr
s deux propositions suivantes : W réserver le nom d'infantilisme au type clinique décrit par Brissaud ; 2° remplacer par
Henry Meige de dégager de la confusion 1 qui régnait alors, le vrai type clinique de l'infantile, l'infantile dysthy- i
'après les définitions mêmes, les sujets qu'on disait infantiles du type Lorain se distinguent des infantiles de Brissaud
phologique qui, avec raison, tendait surtout à mettre en vedette le type clinique si spécial, si frappant qu'est l'infanti
établie sur un terrain très solide. Fût-il un jour démontré que le' type clinique de l'infantilisme de Brissaud peut être
mis l'hypothèse dès 1895 (dystropliie 1 d'origine testiculaire), ce type clinique n'en resterait pas moins distinct | de
iculaire), ce type clinique n'en resterait pas moins distinct | des types cliniques groupés sous le nom d'infantilisme de L
rain. 1 11 en est de l'infantilisme vrai comme de l'acromégalie. Le type mor- phologique de l'acromégalie révélé par M.
E. Levi contre la proposi-. tion de réserver le mot infantilisme au type clinique de Brissaud, repo- sent aussi, me semb
ois sujets, qui sont donc des infantiles vrais, n'ont aucunement le type anthropologique de la première enfance... » - I
, à mon sens, que si les sujets en question « n'ont aucu- nement le type anthropologique de la première enfance » leur pla
de Lorain. (2) E. LEvi, Contribution à l'étude de l'infantilisme du type Lorain. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
es photographies et l'observation, que la soeur aînée représente un type qu'il est impossible actuellement de placer dan
tivisme répond le mieux aux principaux caractères de l'infantile du type Lorain : la débilitera gracilité, la petitesse du
est peut-être la seule raison de la divergence qui nous sépare. Les types clini- ques qu'on a groupés sous le nom d'infan
syndromes dystrophiques qui, de près ou de loin, se rapprochent du type vrai de l'infantilisme dysthy- roïdien décrit p
lisme de Brissaud. Le terme de chétivisme est applicable aux divers types dystro- phiques qui ont été qualifiés infantili
s états dystrophi- ques qui constituent actuellement le chétivisme, type clinique ayant des caractères bien distincts :
dystrophie musculaire progressive, manifestée par tant de formes ou types cliniques. Entre toutes les formes de dystrophie
les achondroplases, dont ils nous transmettent l'image, étaient des types presque communs et que la tradition homérique qui
héologique pour la doctrine qui considère l'achondroplasie comme le type d'une race d'homme dispa- rue. La chose serait
e et incomplète. Quant aux symptômes de l'achondroplasie typique du type de Pierre Marie, ils ont reçu apparem- ment une
é- hrales, tandis qu'ils constataient pendant la vie les douleurs à type radi- culaire. ITL- Les lumeurs vertébrales p
mités supérieures. Atrophie musculaire rigoureusement identique au type Charcol-Marie. Aucune hypertrophie des troncs ner
araissent aussi tout à fait normaux. La respiration se fait avec le type costal supérieur. r. Le mouvement de pronation
culaire énorme des quatre extrémités, avec tous les caractè- res du type spino-neurotique Charcot- Marie. Début de l'atrop
E 1'll 1 mais aussi la muqueuse gingivale. Il s'agit donc d'un rire type parfaitement transversal comme chez les myopath
Troubles bulbo-protubérantiels ( ? ), sialorrhée, rire transversal du type myopalhiq ue. Aucune trace de rigidité ni de
eine ébauchées au gros orteil. Atrophie des jambes en jarretière. Type amyotrophique Charcot- Marie. Intégrité de la s
musculaire n'est pas décrite avec les caractères de l'amyotrophie à type Charcot-Marie ; or il ne faut pas oublier que n
une amyotrophie localisée aux membres et parfaitement identique au type Charcot-Marie. Je dis ceci, non seulement à cau
'ai pas trouvé autre chose dans le chapitre des maladies familiales à type cérébro-spinal, tandis que nous pouvons trouver
de la Salpétnère, 1902. (2) Ballet et Rose, Un cas d'amyolrophie du type Charcot-Marie avec atrophie des nerfs optiques,
névrite interstitielle hypertophiquede Dejerine et l'amyotro- phie type Charcot-Marie. Passons maintenant à l'étude des
un réflexe. homolaléral des adduc- teurs chez des amyolrophiques du type Charcot-Marie qui présentaient pourtant l'aboli
ceux que l'on rencontre dans les diplégies cérébrales infantiles du type familial. Ensuite nous avons décrit leurs sympt
ulière. Chercher de faire de celle maladie familiale un échantillon type d'une nouvelle forme dégénérative du système ne
ait exagéré (à droite diminué). Mais bientôt la paralysie a pris le type flasque avec réflexes patellaires vifs, phénomène
t. A un examen plus attentif on s'aperçoit qu'on a affaire à un autre type de lésion, ce n'est pas la dégénérescence secon
l'observation de l3reqman=Steinhaus). Là aussi la paralysie est du type flasque. Les phénomènes spastiques et réflexes
dmann expliqua qu'il s'agis- sait là de la persistance partielle du type infantile de la couche intéres- sée. Janet, d
e manière d'agir résultant d'une certaine structure des centres, un type particulier d'humanité. L'hystérique n'est pas
de médecins en médecins, avec toujours un diagnostic nouveau, beau type de sinistrose en même temps que d'hystérie. Je
s de callosités; on peut examiner les chaussures, l'usure répond au type de l'impotence observée. La paralysie est const
a fréquence : comme on en parle plus couramment, on sous-entend les types moins communs. Il serait préférable aussi de di
ns : la lon- gueur seule est anomale et l'affection est à priori du type achondro- plasique. Bien que rare, cette malfor
(la bosse, frontale droite est cependant plus dévelop- pée), et de type brachycéphale, mesure : 242 CHEVALLIER mier s
est très développé, particulièrement au tronc. Thorax. Ample, du type carré ; mamelles bien développées, les espaces
ainsi qu'on peut voir sur les ligures, et elle est principalement du type rhizomé- lique, quoique tous les segments soien
ous les segments soient très raccourcis. Les mains sont courtes, du type carré, et le raccourcissement y est donné parti
é particulièrement par les doigts. Ils montrent aussi clairement le type en tri- dent décrit par M. P. Marie. A la main
rieures. Extrémités inférieures. De même le raccourcissement est du type rhizo- mélique, car la cuisse particulièrement
ssifs. La Ve et la VII° paire sont intègres. Le visage est large, à type carré et il n'y a pas de prognathisme. Yeux. -
: Extrémités supérieures. Elles sont énormément raccour- cies et du type rhizomélique ; les mains sont courtes et aplaties
e peut pas tâter la glande thy- roïde. - Thorax. Il est ample, du type carré, aussi long que chez un individu normal.
ts ; le système pileux rare ; les seins sont assez développés et du type féminin. L'appareil circulatoire ne donne rien
d'une façon particulière du côté du bras ; il est par conséquent du type rhizomélique. Les mains sont petites, courtes et
proportion que les supérieures et ce raccourcissement est aussi du type rhizomélique. Les jambes se présentent un peu r
pique de main en trident. Le raccourcissement des extrémités est du type rbizomélique. Tontes ces caractéristiques sont co
de la taille, la macrocéphalie, la micromélie, particulièrement de type rhizomélique, la longueur normale du thorax qui
plus petits aclio ndrop 1 asi (tues décrits. La macro- céphalie, de type brachycéphalique, est exprimée par le chiffre qui
s sujets. Les mesurations [des extrémités donnent une micromélie de type surtout rhizomélique. Les mains sont larges, gros
araison que les supérieures, et ce raccourcissement est toujours du type rhizo- mélique. Dans tous les cas les jambes so
e ce mémoire (Franchini) l'a vérifiée dans un cas d'infantilisme du type Lorain, à la main et au pied droits. Sur la m
urcissement des extrémités inférieures, raccourcissement qui est du type rhizomélique ; il y a une ensellure lombaire très
Il faut songer, disons-nous, à considérer l'achondroplasie comme un type particulier de l'espèce humaine, ou du moins co
ou du moins comme une variation bien caractérisée et héréditaire du type humain. Déjà MM.Poncet et Leriche avaient pensé
la société humaine comme des êtres inférieurs et trop différents du type commun. Certes il est à présent plus que jamais
es enclins à admettre, d'accord avec la théorie de M. Apert, que le type achondroplasique peut être considéré comme une
d. des Enf., n° 6, 1907. GoxrNeT. - Un cas de pseudo-achondroplasie type dysplasie périostale. L'Obstétrique, 1908, n° 4
LTIIAUS. British med. Journal, p. 485, sqq. Buley. Certain clinical type ol brain syphilis. Médical Record, vol. 61, p. 99
ance, deux rachis pottiques, avec gibbosité très accentuée, de deux types diffé- rents. La malade était, cliniquement, gu
teurs prédominaient du côté droit, les sensitifs du côté gauche. Le type de Brown-Séquard était faiblement accentué, puis
Pour le diagnostic de la tumeur parlait aussi, ceteris paribus, le type de l'affection prédominant sur une moitié du co
bles du même côté gauche et non du droit comme c'est le cas dans le type de Brown-Séquard. Mais nous savons que ce phé-
hée sur le côté gauche. Etat actuel. Paraplégie presque complète de type spastique (tonus musculaire exagéré surtout dan
stitue le IIIo segment cervical (fig. 29). On y voit deux foyers du type ,alvéolaire à peine distincts, un dans le cordon l
de la cloison longitudinale postérieure. A côté de ces foyers du type alvéolaire on remarque aussi dans le cordon até
urtout dans le 18 segment dorsal. On y voyait deux grands foyers du type alvéolaire dans la zone périphérique des deux cor
es, abstraction faite d'une zone de passage très courte où les deux types sont confondus, est constituée par le fond de l
e la 372 MARINESCO Fio. 1. Structure de l'écorce correspondant au type 4 de Brodmann. j I, Couche zonale. II, Couche d
à leur rio. ? structure de la pariétale ascendante correspondant au type 1 ae tsroan : ann. I, Couche zonale. - Il, Couc
ition des cellules de Betz et des grandes cellules sous-granulaires types 4 et 5. 5. Disposition des cellules de l3ctz a
us épaisse que la partie postérieure. C'est ainsi que la moyenne du type 4 de Brodmann corres- pondant à la frontale asc
m. 94. Smith donne 4 millimètres pour la frontale as- cendante. Les types t, : 2 et 3 de Brodmann mesurent respectivement
e constamment les différences signalées par Brodmann pour'ses trois types 1, 2 et 3. C'est le type 1 qui a toujours la pl
ces signalées par Brodmann pour'ses trois types 1, 2 et 3. C'est le type 1 qui a toujours la plus grande épaisseur et le
et 3. C'est le type 1 qui a toujours la plus grande épaisseur et le type 3 la moindre. Cependant sur 30 cas de mensurati
le type 3 la moindre. Cependant sur 30 cas de mensuration des trois types de la pariétale ascendante, nous avons trouvé u
types de la pariétale ascendante, nous avons trouvé une fois que le type 3 était plus large que le type 2. Dans un autre c
e, nous avons trouvé une fois que le type 3 était plus large que le type 2. Dans un autre cas le type 2 dépassait en lar
que le type 3 était plus large que le type 2. Dans un autre cas le type 2 dépassait en largeur le type 1. La moyenne des
que le type 2. Dans un autre cas le type 2 dépassait en largeur le type 1. La moyenne des chiffres obtenus par nous se
rrégulière sur toute l'étendue de ceversant Fig. 4. Topographie des types 1, 2, 3, 4 et 5, qui constituent l'ancienne motri
ce pig- mentaire. Dans la partie postérieure du lobule paracentral, type 5 de Brod- mann, on voit également des phénomèn
rinesco). 6. Tiers supérieur des frontale et pariétale ascendantes ( types t, z, ;, q) (malade Eft. A). Les cellules de Be
lobule paracentral du malade Mar. B. Réaction des cellules de Betz du type 4 et disparition des grandes cellules sous-gran
z du type 4 et disparition des grandes cellules sous-granulaires du type 5. 1), - '1)·pes 1, 2, 3 et 5 du cas Cosma S. S
ostérieure du lobule paracentral, là où sa structure le rattache au type 5, les grandes cellules sous-granuleuses sont éga
qui ont l'aspect normal. Les grandes cellules sous-gra- nulaires du type 5 ont presque toutes disparu (fig. 7, Pl. XXXIX).
7, Pl. XXXIX). On voit également des lésions dans ces cellules des types 1, 2 et 3 de la pariétale as- xxiii ? 6 386 M
e la couche granuleuse.La différence est nette quand on compare ces types (1, 2, 3) avec ceux du côté opposé. Dans les tier
inférieur de la frontale et pariétale ascendante, c'est-à-dire des types 1, 2, 3 et 4 on ne voit plus ni des cellules de
unes en voie d'atrophie. Les grandes cellules sous -granulaires des types 1, 2, 3 et 5 ont disparu presque complètement.
ellules de Betz sont en réaction, ainsi que les cellules géantes du type 5. Dans la frontale ascendante et dans le parac
n réaction^ mais la plupart d'entre elles sont atrophiées ; dans le type 5 de ce côté quelques cellules géantes sont en
locs pigmentaires ou bien elles ont complètement disparu. Dans le type 5 du lobule paracentral gauche, on constate égale
s-unes sont atrophiées. Dans le lobule paracentral correspondant au type 5 ainsi que dans la pariétale ascendante, on ne v
orsal. Examen microscopique. Les coupes dont nous disposons sont du type 5 du lobule paracentral. Les cellules géantes sou
a partie postérieure du lobule para- central, ayant la structure du type 5, les grandes cellules sous-granulaires sont c
géantes sont conservées. Les grosses pyramides, sous-granulaires du type 5, des lobules paracentraux ainsi que celles de
e dans les lobules paracentraux. Les grosses pyramides profondes du type 5 sont conser- vées. J'ai remarqué encore l'abs
otrophique les pyramides profondes de la pariétale ascendante et du type 5 du lobule paracentral sont beaucoup moins att
s malformations cutanées,et notamment de montrer à côté des naevi à type névritique,le type myélitique dû vraisemblablemen
anées,et notamment de montrer à côté des naevi à type névritique,le type myélitique dû vraisemblablement à une myélite i
e Hallopeau et Jean- selme, Vidal, blerlclen, Besnier. C'est à ce type qu'appartient, en somme.malgré ses caractères trè
a bran- che antérieure d'un nerf intercostal, appartiennent donc au type naevus- névrite. Mais il faut tenir compte de c
les des intercostaux que nous avons antérieurement rapportées. Le type névritique continue donc à nous paraître le plus
t, et à l'attribuer à une lésion de myélite intra-utérine. C'est le type symétrique que nous avons déjà indiqué, et attrib
ue que nous avons déjà indiqué, et attribué à cette cause. Un autre type , de même nature et de même origine, est notre typ
cause. Un autre type, de même nature et de même origine, est notre type sérié, intéressant plusieurs territoires nerveu
bande horizontale s'écarte, en tout cas, com- plètement de celle du type névritique, très descendante à ce niveau ; et e
as du professeur Brissaud (2). Nous trouvons donc jusqu'ici trois types nets de distribution des noevi : 1° le iîmvzts
rri- toires nerveux. Mais je n'ai pas observé encore de noevus du type métaméro-radicu- laire, c'est-à-dire présentant
e portant sur un neurotome spinal produira des trou- bles cutanés à type segmentaire, c'est-à-dire sur une zone tributaire
se ré. partira sur. le territoire du nerf intéressé, en prendra le type névritique. Il en sera de même si la lésion ini
ropathie nerveuse. Et il en pourrait être de même encore lorsque le type névritique s'établirait, lui aussi, après la conn
la connexion du neurone sen- sitif et de la moelle. , Mais si le type cellulo-névritique a une origine très précoce, s'
dynamique des membres inférieurs, les troubles de la sensibilité à type principale- ment radiculaire, le symptôme de Ro
'existence des troubles .de la sensibilité tactile et dolorifique à type radiculaire et non à type segmentaire ou désassoc
e la sensibilité tactile et dolorifique à type radiculaire et non à type segmentaire ou désassocié, et l'absence de trou
a main droite, les surfaces articulaires se rapprochent beaucoup du type normal ; les ombres capitale et diaphysaire du
gau- che, la jambe gauche était un peu épargnée. Il y avait donc le type de Brown-Séquard légèrement esquissé. Les doule
n- Séquard et finissant par une paralysie spastique complète; 3° le type de l'affection purement transversale sans sympt
tenant au second stade de la maladie c'est-à-dire à la paralysie du type Brown-Séquard, nous devons avouer qu'on attri-
e importance au point de vue du diagnos- tic. D'après la théorie ce type devrait prendre place dans tous les cas d'une t
elativement rare. Beaucoup plus souvent on peut obser- ver un autre type : un affaiblissement de la sensibilité aussi bien
un côté prévalent les troubles sensitifs, de l'autre les moteurs du type Brown-Séquard. Il existe toute une série de cas
de la moelle (troubles sensitifs et moteurs) n'a pas pu réaliser le type de Brown-Sé- quard. La tumeur comprimait toujou
t place ceux provenant de la lésion des tissus, c'est-à-dire que le type de Brown-Séquard a pu prendre la première place
cent et le tableau clinique se rapproche toujours de plus en plus du type de la paraplégie spastique. Les troubles moteur
spastiques, la paralysie spasti- que ou nasique, les anesthésies du type médullaire, l'état des réflexes et des sphincte
alement vers les jambes. Les symptômes médullaires correspondent au type habituel de l'affection de la moelle lombaire.
urs, l'appari- tion précoce des anesthésies qui peuvent réaliser le type de dissociation des sensibilités, l'irritation
urs, un tableau clinique rappelant la myélite aiguë ou subaiguë, le type ascen- dant des symptômes morbides, des rémissi
s tumeurs de la dure-mère), des phénomènes moteurs radiculaires, un type de Brown-Séquard, un dé- veloppement graduel de
ection où l'on distingue des stades précités (un névralgique, un du type Brown-Séquard et un de la lésion transverse). E
role scandée) et sans tremblement intention- nel. Il existe donc un type franchement spinal de la sclérose en plaques. O
en plaques. Outre cela on connaît des cas où cette maladie avait le type Brown-Séquard (Bruns) ou s'accompagnait d'accès
occa- sion d'observer quelquefois des cas de sclérose en plaques du type spinal exclusivement. Assez souvent alors j'hés
lements. Une de ces malades (qui avait de la sclérose en plaques du type médullaire) se plaignait de très fortes douleur
e la peau, des os et des articula- tions, les troubles sensitifs du type segmentaire avec dissociation de la sensibilité
eaucoup moindres du côté opposé.Les foyers de lésion réalisaient le type alvéolaire.. On voyait le gonflement des gaines
orie des myxoe- démateux avant tout, nous connaissons les sujets du type Brissaud qui ont été toujours et, à bon droit,
lus particulièrement ils représentent la majorité des infantiles du type Lorain : enfin nous ne connaissons que de très
deux termes qui loin d'être synonymes, expriment au contraire deux types cliniques n'ayant entre eux rien de commun, dan
du syndrome infantilisme, tels que les sujets du typeBrissaudou du type Lorain, car ces individus, tout en étant par le
pouvoir accepter la définition que M.Meige donne des infantiles du type Lorain; nous reproduisons ses propres paroles :
rie d'infantiles à laquelle Brissaud a donné le nom d'infantiles du type Lorain. Ici les formes plastiques ne sont pas cel
e sont des miniatures humaines, dont la plastique reste conforme au type moyen, ayant des caractères sexuels,réduits sans
utes les raisons pour lesquelles cette définition des infantiles du type Lorain ne nous semble pas exacte ; nous ajoutons
nt de réunir ici les principales don- nées historiques relatives au type de nanisme qui nous intéresse particu- lièremen
résente un cas de microsomie liée à l'infantilisme, car chez lui le type somatique était nettement infantile ; il y avait
sa mère mit au monde trois autres enfants qui présentaient le même type de nanisme que lui : le premier vécut deux ans, l
expression que Meige a, le premier, employée pour les infantiles du type Lorain ; nous avons déjà dit que nous trouvons
mie pure, mais au contraire, impropre à pein- dre les infantiles du type Lorain. ' Von Hansemann nous dit que Dobos ne p
t la conception du nanisme émise par M. Meige, décrit à nouveau les types de nains les plus connus, c'est-à-dire les nains
dans leurs différentes variétés, mais ne s'arrête nullement sur le type - de microsomie essentielle qui nous intéresse
otographies de quelques nains qui pro- bablement correspondent à ce type (la demi-mondaine, le petit mulâtre, et surtout
ant un développement minime avec har- monie complète des formes. Ce type serait réalisé par la.naine chantée par Loret e
1.. Le larynx est petit mais différencié et ne présente pas tout le type infantile (professeur Toti).' La voix est pre
le père. L'ouïe est parfaite. Le larynx est bien conformé, mais de type infantile indifférencié. La voûte palatine est,
itement conformés, allongés et sveltes ; elles ne présentent pas le type carré. Les doigts des mains sont,quoique moins
ntent .tous les deux l'identique déformation du nez qui rappelle le type eu lorgnette, et de même notre sujet a, comme l
mation du crâne rappellé aussi, malgré son incomplète formation, le type que nous avons décrit chez tous nos autres sujets
, connues et classées, des os de la main : nous y reviendrons. Le type de brachymélie métapodiale que nous étudions est
le quatrième (obs. 2), le quatrième et le cinquième (Iümmel). Le type le plus remarquable est la brachymélie l\IÉTAPODI
hymélie métapodiale dans les dystrophies généralisées. Le plus beau type en est l'ACIIONDROPLASIE. Mais ici une dislinctio
s sujets brachymèles mais assez différents des acbondroplasiques du type Parrot. Sans vouloir insister sur ce type pseud
des acbondroplasiques du type Parrot. Sans vouloir insister sur ce type pseudo-achondroplasique, il nous parait utile d
ue, oligochondroplasie congénitale. Il y a chez les individus de ce type , qu'on nomme micromélie, brachymélie ou, oligoc
sie, une telle harmonie de formes, une modification si « finie » du type humain banal, que l'on ne peut se défendre d'invo
pluriglandulaire. Il ne s'agit à vrai dire que'd'une exagération du type bréviligne ou latiforme des anthropologistes (2).
or- mées ; il y avait des exostoses (cas I). (2) F. REGNAULT, Les types humains... Revue scientifique, 28 mai 1910. L'aut
une hérédité vraie, une simple tendance du descendant reproduire le type qui l'a créé. Il est sans doute séduisant d'adm
t de croisement de fibrilles névrogliques : ce sont des cellules du type cellules araignées. Il n'existe, dans la plaque m
érés. En plusieurs points il existe des granulations appartenant au type des épendymites granuleuses de Brunuer caractér
es, parsemées d'assez nombreuses cellules dont le noyau est du même type que ceux de l'épithélium. Il y a, en ces points
ion, convergeant souvent vers les parois d'un vaisseau. C'est là le type des petites plaques à distance du ventricule (P
géné- raux décédés après une maladie de quatre à cinq ans de durée, type classique. Les lésions aortiques sont complètem
entourées de lymphocytes, elles enveloppent des cellules géantes du type deLanghans ; ce sont de petites gommes. Elles r
es in tolo un peu courtes. Notre troisième nain est au contraire un type absolument parfait de microsomie essentielle ;
t fils d'un nain qui, d'après ce qu'on nous dit, présentait le même type de nanisme que son (ils ; dans celle famille do
n voit dans le nanisme myxoedémateux et dans l'infantilisme soit du type Brissaud, soit du type Lorain. Nous ajouteron
myxoedémateux et dans l'infantilisme soit du type Brissaud, soit du type Lorain. Nous ajouterons encore à ce propos qu
opos la première observation dans mon mémoire sur l'infantilisme du type Lorain (Nouvelle Acon. de la Salh., 9cJ08). R
avec plaisir affirmée la conviction de ce auteur sur l'existence du type de nanisme dont nous traitons et que M. Meige a
le degré le plus extrême et le plus parfait de l'infan- tilisme du type Lorain ou de ce que M. Bauer appelle le chétivism
et alors toute discussion est inutile ou, s'ils corres- pondent au type de microsomie dont nous venuns de donner quelques
voyons vraiment pas comment on pourrait les consi- dérer comme des types extrêmes, presque superlatifs de l'infantilisme d
l est aisé de constater que nos sujets n'ont rien de commun avec le type de dystrophie certainement dysthyroïdienne si bie
e est multiple, mais qui se manifeste toujours cliniquement sous le type décrit par Lorain LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HÉR
- nisme. Le cas récent de Klippel et Chabrol est, par exemple, un type classi- que d'infantilisme de Brissaud, chez le
n à Paris). L'anangio- plasiedoune lieu surtout à l'infantilisme du type Lorain età la gracililé des formes. Je ne vous
sidé- rables que les nains véritables, soit qu'ils appartiennent au type achon- droplasique, soit surtout qu'ils apparti
'y a pas de doute,en effet,que notre petit sujet nous représente un type clinique différent de celui qui nous est montré p
qui a été si bien décrit par Brissaud ? Nous ne le croyons pas : du type Brissaud il a le nez peu développé, le visage g
! car notre petit sujet n'a pas les formes délicates et élancées du type Lorain, ni les formes anguleuses, ni les extrémit
drome, nous trouvons cependant plus d'arguments pour l'attribuer au type Brissaud qu'au type Lorain. Mais chez notre suj
cependant plus d'arguments pour l'attribuer au type Brissaud qu'au type Lorain. Mais chez notre sujet la réduction de l
néral est si évident, que s'il était un exemple pur d'infantilisme du type Brissaud,les symptômes de dysthyroïdie devraien
des actes psychiques qui existe toujours chez les dysthyroïdiens du type Brissaud et qui chez notre malade devrait être
1ÉUËDO-FAMILJALE 679 la dysthyroïdie : tous les dysthyroïdiens du type Brissaud présentent, plus ou moins marqué, un r
rd devrait être très prononcé dans notre cas s'il s'agissait t d'un type Brissaud pur. Eh bien, il n'en est rien. En e
du crâne rappelle d'ailleurs, malgré son incom- plète formation, le type que nous avons décrit chez tous nos autres su-
n 2, mars-avril 1909. - Contribution à l'étude de l'infantilisme du type Lorain. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
tation satisfaisante. Peu d'auteurs invoquent encore le retour à un type atavique polydac- tile. L'amour du théromorphis
nce modifiante, profonde et mystérieuse, l'em- bryon évolue vers un type différent du type ethnique auquel il appartient
ofonde et mystérieuse, l'em- bryon évolue vers un type différent du type ethnique auquel il appartient Tantôt il recrée
terrup- tion dans leur développement ; ! il Un cas d'eclrodactylie ( type en «pince de homard o). Huggiero (10) mentionne
3 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ne dans le groupe des muscles extenseurs, la contracture amènera le type de flexion ; si, au contraire, elle prédomine d
dans le groupe des muscles fléchisseurs, la contracture amènera le type d'extension. » Faisons ici un peu de critique.
s. Le coup de froid, facteur im- portant de certaines 'gangrènes du type Raynaud (Bouchez, Domingnez), a peut-être joué
UE A LA SUITE D'UN ZONA. LÉSIONS TROPHIQUES DES OS DE LA MAIN A TYPE DE RHUMATISME CHRONIQUE. PAR FÉLIX ROSE Che
OURTELLEMONT sance et ne frappe qu'un seul membre de la famille. Ce type paraît le plus rare de tous (cas de Rapin-Long,
rent seulement les ressemblances cliniques qui rapprochent certains types d'oedème nerveux. ASILE DES ALIÉNÉS DE LA PROVI
ésultat. A la démence précoce et à la psychose maniaque-dépressive, types morbides fondés principalement sur ces dernière
tant à expédier aussitôt. La 14e et la 16e figures sont celles d'un type fréquent de paranoïde militarisé. Il est facile
, 9, 10. En af- firmant que par la persistance dans l'usage du même type d'ornement, les deux formes ont souvent des car
rtent sur des exemples très purs, scolastiques, de l'un et de l'autre type morbide, où les caractères différentiels sont t
oup plus graves par les avaries des aptitudes mentales. Et comme ce type d'orne- ments est le plus fréquent chez les dém
) reproduisait, provenant toujours de la cathédrale rémoise, un bon type de bec-de-lièvre avec strabisme con- vergent de
crâne d'adulte, d'origine inconnue, mais offrant exactement le même type . Le sixième crâne qu'il m'a été donné d'examine
dans les sutures sagittale et pariéto-temporale (celte dernière du type dentelé plutôt que squameux) et sur les hords des
i bosses sourcilières ni voussure glabellaire, et qui est plutôt du type infantile, puis les dimensions réduites de l'apop
erg, id., 1898, p. 441. 128 . LAIGNEL-LAVASTINE Hoche, mais au 2° type de Nageotte qui a eu le mérite d'affirmer que le
A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE TUBERCULEUSE AIGUË A TYPE DESCENDANT PAR It G. CATOLA Assistant à l'A
troubles.sensitifs. Depuis lors les observations de ces différents types cliniques se sont notablement multipliées et ont
onsidérant que la paralysie et l'amyotrophie revêtaient au début un type rigoureusement périphérique on avait un argumen
T. XXI. Pl. XXIV POLYNÉVRITE A114YOTROPIIIQUE TUBERCULEUSE AIGUË .A TYPE DESCENDANT NOUVIELLIE Iconographie DE la SALPtr
racine cervicale. Passons maintenant au membre inférieur. Ici, le type classique de la contracture est en extension :
écialement dans le délire de persécution il évolution systématique ^ type Dabret Magnan). DESSINS ET MANIFESTATIONS D'ART
se vaso-motrice. BIBLIOGRAPHIE CRoziER, GRIFFITII and NE1'COfE. - Types of OEMen ? 6[ in In/ancy and Childhood, Tran- s
e est pathologique. 2° Histologie. Chez l'enfant la thyroïde est du type glandulaire avec lobulation très nette. Les lob
ues. Parmi les symptômes liés aux perturbations thyroïdiennes, deux types cliniques bien définis émergent immédiatement :
u dans des proportions aujourd'hui bien connues chez les différents types de myxoedémateux. Les troubles psychiques, qu'o
ée le myxoedème infantile constitue l'in- fantilisme oa.xcedémateux type Brissaud. L'infantilisme, dit Meige, est un syn
lisme vrai de Brissaud, et qui ne se trouve pas dans l'infantilisme type Lorrain. Il y a autant de variétés d'infantilis
res sanguines autres que la thyroïde interviennent pour modifier le type . Les lésions ou l'insuffi- sance des autres gla
d'excitation THYROÏDIENNE. Nous venons de voir'que dans les divers types cliniques qui ressortis- sent, les uns certaine
oup l'interprétation. Aussi., après avoir groupé autour de quelques types les faits cliniques, passerai-je en revue les t
es d'agitation et de dépression et par du délire hal- lucinatoire à type onirique très caractérisé. Un exemple typique d
L. Lévi et H. de Rothschild, considérer des cas analogues comme des types du carac- tère dépendant du tempérament hyperth
Bruxelles, 1901, n" 23. Dupré et Pagniez. Infantilisme degél/émUf { type Lorain) compliqué de dysthyroïdie pubérale (typ
ilisme degél/émUf {type Lorain) compliqué de dysthyroïdie pubérale ( type Brissaud). Nouv. Icon. de la Salp., an XV, n" 2,
comme le remarque le même auteur, il ne faudrait pas croire que le type d'hémiplégie flasque soit en quelque sorte pathog
secousses son côté gauche immobile. La malade que Todd prend comme type de sa description est tout à fait t le contrair
la paume de la main.- Les mains numérotées 2 et 4 représentent des types d'une autre affec- tion : il s'agit sans aucun
ntes. Il est curieux de noter que cette main ne représente point un type banal de rhumatisme chroni- que : cette dilatat
métacarpo-phalangiennes permet de rapprocher le dessin d'Holbein du type de rhumatisme sénile décrit t par P. Marie et .
ractéristiques de rhumatisme chronique : c'est un exemple du second type classique de Charcot : on voit en effet l'ankyl
mains représentées par Holbein, deux nous paraissent reproduire des types de mains syringomyéliques, deux nous paraissent
e la nature que par l'intérêt avec lequel l'artiste a rassemblé ces types morbides qu'il avait eu la sagacité de dé- pist
possession qui fait du malade un véritable persécuté persécuteur du type raisonnant. La seconde phase, de symptomatologi
u intéressante à signaler. En effet il est admis que les délires du type raisonnant persistent d'ordinaire sous une forme
a rate sont normaux. Appareil respiratoire. - La respiration est de type costal supérieur. Dyspnée nulle. Toux légère am
rs auteurs ont essayé de grouper en séries homogènes les différents types de celte curieuse malformation. Nous publierons
aires ou obliques. Les lésions cellulaires sont tout à fait du même type qu'à droite (PI. XLIX), mais les cellules pyram
de la pathologie, celui des affections médicales du rachis. 1 Des types nets sont ressortis des recherches de Pierre Mari
Pierre Marie et Leri ont apporté deux cas très nets constituant un type anatomo- pathologique des mieux caractérisés. L
t absolument conforme avec la description de P. Marie et Léri. Ce type anatomo-pathologique si net de la spondylose rhiz
courbures normales au lieu de les accentuer (voir obs. suivante). Ce type esl constitué par la consolidation en masse des
es des apophyses épineuses rapprochent au contraire notre malade du type ankylosant vertébral rhumatismal. Mais l'intérê
N. PIETRO GIWCCO, CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN PAR ETTORE LEVI Assistant à la Clini
fut toujours rauque et CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 299 aphone. La glande thyroïde est très
ement caractéristiques pour la syphilis héréditaire. Le palais est du type ogival. Aucune lésion ni des yeux ni des oreill
ent.), mais d'apparence très faible. Le crâne est quadrangulaire, à type hydrocéphalique et mesure SI centimètres de cir
Obs. II Marguerite S. (20 ans, 6 mois) Obs. I INFANTILISME DU TYPE LORAIN (Ettore Lévi). Moisson et Cie, Editeur
otypie Berthaud, Paris. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 301 Vers la 180 année (été 1906) survint
ormés sont allongés et sveltes. Elle n'a conservé d'aucune façon le type somatique arrondi de la première enfance, mais au
. OHSERV. I. Marg. S. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'iNFANTILTSME DU TYPE LORAIN 303 L'élasticité, l'épaisseur et l'humid
et. Le développement des seins est nul. Les organes génitaux ont le type nette- Il ment infantile. Température axillai
. Température axillaire : 3G'{i. Respiration rythmique, régulière à type costal inférieur : 18 à la minute. Pouls rythmi
, il me semble que oui. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 307' Les riches peuvent avoir des douleu
serve l'hypertrophie du CONTRIBUTION A L'ETUDE DE l'iNFANTILISME DU TYPE LORAIN 309 cornet inférieur gauche qui occupe l
laryngoscopique (prof. Monselles) nous apprend que le larynx a a le type nettement infantile, sans le moindre soupçon de d
s parties du squelette. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 31 1 La ligne externe arrondie des hanch
E Iconographie DE la SALi'Êi'BiÊRt T. XXI. Pl. LU INFANTILISME DU TYPE LORAIN, (Ettore Lévi). Radiographies des extr
totYPie Dertliaud, Pans CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 312 314 ET10RE LE'1 tissu adipeux est
esurations somatiques : CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'iNFANTILISME DU TYPE LORAIN 315 à]6 6 ËTTORÉ LEVI Cependant elle e
e l'arrêt général de la croissance. Le crâne est quadrangulaire à type hydrocéphalique ; le crâne facial est peu dével
le goût sont parfaits. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 317 Les lèvres un peu entr'ouvertes sont
uement. Le bassin est aplati dans le sens antéro-postérieur et a le type infantile ; la courbe arrondie des hanches manq
aux larmes. Il ri ton- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l' INFANTILISME DU TYPE LORAIN 319 jours travaillé rudement et dans ses
Adrienne S. (Obs. Il) (Selle turcique normale). INFANTILISME DU TYPE LORAIN (Ettore Lévi). Radiographies des crâne
oeurs S. (Obs. I et II) CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 321 Les tibias ne sont pas déformés; les
E ICONOGRAPHIE ~DE LA SALPÊTRIERE T. IYI. Pl. LIV INFANTILISME DU TYPE LORAIN z (Ettore Lévi). B. Radiographie de la
e 22 ans. A. Radiographie de la main de Marguerite S. (Infantile du type Lorain), âgée de 20 ans. C. Radiographie de la
précédente. D. Radiographie de la main d'Adrienne S. (Infantile du type Lorain), âgée de 15 ans et 6 mois soeur des deu
LE ICONOGRAPHIE DE la SALPETRIÉRH. T. XXI. Pl. LV INFANTILISME DU TYPE LORAIN (Ettore Lévi). Radiographie de la main
quelques autres, c'est-à-dire la théorie de la distinction de deux types cliniques et (1) Nouv. Icon. de la Salpêtrière,
ser. Patry distingue au cours de la déformation crânienne plusieurs types de lésions oculaires. 1° Tout d'abord la névr
nt 6 ans : quelquefois elle a été constatée à 35 et 40 ans. 2° Un type d'atrophie optique secondaire, diagnostiqué par l
ne destruction di- recte des centres corticaux : de là peut-être le type variable des accidents éplepliformes. En fait
s soutenons depuis longtemps que la dé, mence précoce comprend deux types distincts : 1° La démence précoce post-cozfzcsi
de Pierre peut être considéré comme caractéristique de ce se- cond type clinique, dont l'existence et les particularités
la célosomie, etc. La malformation de notre malade représente le type le plus fréquent. ; l'absence du radius comport
\. PIETRO GROCCO. CONTRIBUTION A L'ETUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN (suite el fin) PAR ETTORE LEVI Ass
énommée, d'après celui qui l'a décrite le premier : Infantilisme du type Lorain. M. Brissaud au contraire considérant qu
ses appartiennent les cas d'in- 422 2 ' ETTORE LEVI fantilisme du type Lorain qui sont liés à une aplasie artérielle (Da
ranini a été le premier à défi- nir par des exemples classiques, le type clinique de l'infantilisme mi- tral, lequel, à
phiantes peuvent déterminer les arrêts de la croissance générale du type Lorain. Nous avons vu que les premiers infantil
oportions du corps. Les CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 423 muscles sont grêles, les os très min
le développement des différentes parties du corps qui est propre au type Lorain; ces individus sont cependant reconnaiss
a syphilis joue un grand rôle dans la ge- nèse de l'infantilisme du type Lorain et des cas très démonstratifs dans 424 '
générale juvé- nile, des symptômes très évidents d'infantilisme du type Lorain. L'infantilisme dystrophique du type Lor
dents d'infantilisme du type Lorain. L'infantilisme dystrophique du type Lorain-Lasegue peut donc être .déterminé par le
lon Meige et Bris- saud, les caractéristiques cliniques opposées du type Lorain etdu type Brissaud- : . CONTRIBUTION A
- saud, les caractéristiques cliniques opposées du type Lorain etdu type Brissaud- : . CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INF
du type Brissaud- : . CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 423 Type Brissaîtd.Face arrondie.joufflu
- : . CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 423 Type Brissaîtd.Face arrondie.joufflue, facies lunaire;
sence de la seconde dentition selon Marfan et Guinon et Hertoghe. Type Lorain. Petite taille, formes délicates et élancé
entes parties du corps bien conservée. Aussi bien les infantiles du type Lorain que ceux du type Brissaud présentent don
ien conservée. Aussi bien les infantiles du type Lorain que ceux du type Brissaud présentent donc des caractères communs
lescence, les seconds nous montrent ceux de la première enfance. Le type Brissaud nous donne le type anthropologique de l'
ontrent ceux de la première enfance. Le type Brissaud nous donne le type anthropologique de l'enfant, pen- dant que le t
ud nous donne le type anthropologique de l'enfant, pen- dant que le type Lorain réalise plutôt l'aspect anthropologique de
tance selon lJrissaud,111l'ige, l/alma,r¡J'and, etc. Entre ces deux types à caractères si nets ont pris place des formes de
s jusqu'à invoquer l'uni lé étiologique dysthyroïdienne de tous les types d'infantilisme et en partie même leur unité mor
aitement thyroïdien a un effet favorable même sur les infantiles du type Lorain. Chez tous les infantiles les épiphyses se
héréditaires. Ainsi chez les tuber- culeux qui souvent montrent le type infantile de Lorain. Garnier, I)e- faucamber[je
anini et, De Sanctis. Ferranini s'op- pose à l'unification des deux types Lorain el Brissaud qui n'est pas jus- tifiée pa
e passage, cependant que les caractères cliniques extrêmes des deux types son si bien différenciables. Ferranini est d'ac
ion primitive et préva- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 427 lente du corps thyroïde, sont en eff
ismes. Un point essentiel pour la différenciation clinique entre le type Lorain et le type Brissaud devrait être, selon
sentiel pour la différenciation clinique entre le type Lorain et le type Brissaud devrait être, selon le point de vue de l
ges épiphysaires. Meige et Allard ont trouvé chez un infantile du type Lorain âgé de 17 ans un développement du squele
normal du même âge, ils auraient au contraire constaté que dans le type Lorain l'ossification des cartilages épiphysaires
428 ' ETTORE LEVI il est néanmoins évident chez des infantiles du type Lorain le plus clas- sique et qui ne montrent n
ymptômes nets de dysthyroïdie, si bien que les auteurs en firent un type mixte d'infantilisme dégénératif de Lorain et dys
robable, on nepeutendireaL)tantd)jcasde/7( ? <o- ghe qui dans un type classique de Lorain a constaté, contrairement aux
la persistance des cartilages épiphysaires chez trois'infantiles du type Lorain. Joffroy/ a récemment publié deux cas CO
cemment publié deux cas CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 429 de paralysie générale juvénile qui a
429 de paralysie générale juvénile qui affectaient en même temps le type clas- sique de l'infantilisme de Lorain et chez
lure lequel de ces tableaux symptomatiques corres- pond le mieux au type d'infantilisme qui nous est offert par nos patien
tés inférieures sont très allongées, le sternum et le bassin ont le type infantile. Les traits du visage sont bien marqu
bout de la lor- gnette, comme on l'a dit ; non, elles réalisent le type le plus pur de l'adolescent dans la période pro
e l'infantilisme de Lorain cepen- dant que toute caractéristique du type Brissaud fait défaut. S'il nous a été facile d'
ce d'infantilisme sexuel. A ce détail près, ce cas réalise aussi un type classique de Lorain et son intérêt principal co
de nous arrêter un peu CONTRIBUTION A L ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 431 f sur ce point pour montrer,par l'év
différentes qui ont déterminé cependant la mani- festation du même type d'infantilisme (de Lorain). Chez lui aussi les
e le petit os sésamoïde CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 433 qui est visible radiographiquement c
sanguinité des parents. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'iNFANTILISME DU TYPE LORAIN 435 Chez notre troisième sujet la déterm
onséquence que l'hypothèse la plus probable est que l'infantilisme ( type Lorain) a été déterminé dans notre cas par des lé
mais c'est un petit fruit. Il n'a pas le volume corres- pondant au type moyen de son espèce, mais il est bien conformé et
toire, mais propose de respecter l'usage et d'appeler infantiles du type Lorain tous les cas de misère physiologique de
fisance ou l'arrêt delà CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN ,437 fonction thyroïdienne a interrompu
is sujets, qui sont donc des [infantiles vrais, n'ont aucunement le type anthropologique de la première enfance qui est le
première enfance qui est le pro- pre des infantiles dyslhyroïdiens type Brissaud ; les mensurations et les photographie
tions et les photographies montrent clairement qu'ils présentent le type anthropologi- que de l'adolescence. 438 ETTOR
eloppement excessif des CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 439 extrémités inférieures comme des car
ussi admet que dans les CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 441 t périodes précoces de la vie une in
poplasie des testicules mais aussi une constitution squelettique de type féminin, et Schuller en commentant ces observat
la théorie unitaire. CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 443 Comme M. de Sanctis je ne puis accep
oposée par lui de toute CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 445 une nouvelle série de dystrophies di
uvons parler sans illo- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 447 gisme avec Ausset d'infantilisme che
t à rattacher toute manifestation intellectuelle de ces sujets à un type unique. De Sanctis par exemple peint de la faço
ation somatique et il s'est occupé indifféremment des infantiles du type Brissaud et de ceux du type Lorain. ' M.Gaspe
occupé indifféremment des infantiles du type Brissaud et de ceux du type Lorain. ' M.Gaspero reconnaît deux groupes de p
s tout de même avec les CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 449 traits les plus importants et les pl
i- nissable de leicht abnormen Kinder, de Weygand, c'est-à-dire des types qui tiennent le milieu entre les enfants normau
de l'importance de leur CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 451 moi vraiment formidable, et enfin un
restées inaltérées. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILlS-.NIF, DU TYPE LORAIN 453 La cécité, qui a pour base une atrop
ès, c'est-à-dire le gi- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 455 gàntisme, l'acromégalie, l'adiposita
sions peuvent aussi donner des altérations diffuses des téguments à type myxoedémateux (Frôhlich, Fuchs, etc.), chute de
ans un cas des faits d'infantilisme par- tiel : la matrice avait le type infantile et la malade n'avait jamais été réglée
poplasie des testicules mais aussi une constitution squelettique de type féminin. M. Babinski a observé des faits d'infa
re cependant absolument CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 457 démonstrative, car la lésion de l'hy
compression on peut voir des attaques convulsives généralisées ou à type jacksonien ; paralysie de un ou de plusieurs ne
n cas que dans l'autre. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 461 M. Marri, qui sur cette forme d'hydr
n de l'hypophyse. En résumé donc les deux soeurs Ser. présentent un type classique d'infantilisme de Lorain : cette form
e, et nous croyons que ce nom ne doit pas être refusé aux sujets du type Lorain qui peuvent être, dans les cas purs comme
equel il n'y aurait qu'un seul infan- tilisme vrai : l'infantilisme type Brissaud. - La meilleure preuve de notre thèse
es Nervensystems, 1903. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 465 APERT. - Examen histologique de thyr
Dermat., 1884, p. 418. Dupré et P.1GNIEZ. Infantilisme dégénératif type Lorain compliqué de dysthyroïdie pubérale Type
ntilisme dégénératif type Lorain compliqué de dysthyroïdie pubérale Type Brissaud. Nouv. Icon. de la Salpêtr., 1902, nd.XV
1905, Bd. XLIII. ' - CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILlS;\1E DU TYPE LORAIN 467 FouR'OEn. La syphilis héréditaire ta
'enfance, 1893, p. 481. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 469 Marie et P. Léri. L'in/antilisme pot
1904, tut 111, p. 270. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 471 NOTE. - Pendant la révision des épre
été rencontrée. Le 7 juillet, l'enfant fait une crise convulsive à type jacksonnien, puis sem- ble se remettre pendant
après Toulouse, en effet, deux ordres de symptômes caractérisent ce type clinique. C'est un affaiblissement simple de l'
essor sexuel s'arrête. , Au contraire son tabes ne ressemble pas au type connu du tabes juvé- nile. En effet, pour Hirtz
A propos d'un cas de polynévrite amyotrophique tuberculeuse aiguë à type descendant (3 pl.), 129. COoLLm et IIAU.IlALT
372. LEVI (Ettore) .Contribution à l'étude de l'in- fantilisme du type Lorain (5 pl.),297,421. Long. Monoplégie crural
ue il la suite 'd'un zona. Lésions trophiques des os de la main à type de rhumatisme chronique (2 pl.), 64. SAINTON.
Pailhas, 162. Amyotrophique (Polynévrite - tubercu- leuse aiguë à type descendant) (3 pl.), par CATOLA, 129. Anévrys
pl.), par Valobra, 481, réponse de Babinski, 506. Infantilisme du type Lorain (5 pl.), par , LEVI, 291, 421. Involut
sensitive et 17-opltique à la suite d'un zona. Lésions trophiques à type de rhu- mutisme chronique (2 pl.), par Rose, 64
issaud et Gy, 254. Polynévrite amyotrophique tuberculeuse aiguë à type descendant (3 pl.), par CATOLA, 129. Pott (ma
abes, par ODDO, 278. Rhumatisme chronique (Lésions trophiques à type de - à la suite d'un zona) (2 pl.), par Rose, 6
PneNCU, 177. Tuberculeuse (Polynévrite amyotrophique - aiguë à type descendant) \3 pl.), par L'ATOLA, 129. Tumeur
rite sensitive el trophique à la suite d'un-, Lésions ti ophiques à type de rhumatisme chronique) (2 pl.), par Rose, 6
4 (1911) La pratique neurologique
sant le chiasma, donne lieu, nous l'avons vu, à des hémianopsies de type tout à fait particulier. Déterminer que l'hémia
ons pédonculo-protubérantielles peuvent encore amener des syndromes type Foville, avec déviation conjuguée des yeux, dont
dont je don- nerai plus tard une description détaillée. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires : paralysi
e du même côté. (Voir Déviations conjuguées (fig. 55 A.) Syndrome type Foville dans la lésion protubérantielle supérieur
acial et des membres du côté opposé (fig. 55 B).. '.> Syndrome type Foville par lésion protubérantielle inférieure :
précédents, doivent cependant être connus. Fig. 55. (A; Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires (les deux
ions pédonculaires (les deux yeux regardent à gauche). (B) Syndrome type Foville dans les lésions protuleraticlles supérie
ociées sont d'ordinaire le fait, [POULARD.] Fig. 55 (C). Syndrome type Foville dans les lésions protubérantielles infé
P. de l'accommodation, p. 9G). Cette ophtalmoplégie intrinsèque, type de paralysie dissociée duM. O. C., est en génér
cette ophtalmoplégie peut être aiguë, subaiguë ou chronique. , Un type de forme aiguë est la poliencéphalite aiguë hémor
ogue, et le système nerveux qui les règle doit être organisé sur un type tout à fait semblable à celui qui régit les mou
buant beaucoup il rétablissement d'un diagnostic précis. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires ou cérébra
des membres et de l'oculogyre du même côté (fig. 53 A). Syndrome type Foville par lésion protubérantielle supérieure :
té opposé. C'est un syndrome de Weber modifié (fig. 55 B). Syndrome type Foville par lésion protubérantielle inférieure :
méninge-encéphalites. Il forme un des caractères de Y hémiplégie du type Avellis. Cette hémiplégie est en effet accompag
'accommodation et n'at- teint nullement la contractilité de l'iris ( type isolé). L'existence d'une paralysie isolée de l
s lésions nerveuses intrinsèques ou extrinsèques du globe oculaire ( type associé). La syphilis donne plus fréquemment qu
rie, des paralysies de l'accommodation. Mais on ne rencontre pas le type isolé. L'iris est en même temps paralysé. Toute
lobe ou bien toucher en même temps d'autres nerfs moteurs du glohe ( type associé). - On ne sait pas exactement sur quels
de la protubérance. Syndrome de Millard Gubler. Syn- drome modifié type Foville (p. 70). Tumeurs des pédoncules. Syndro
70). Tumeurs des pédoncules. Syndrome de Weber. Syndrome modifié type Foville (p. 70). [POULARD.] MALADIES DE L'ORE
médiable, et le vertige prend une intensité considérable : c'est le type du vertige de Ménière. Ces cas traumatiques ont
a scarlatine, de la diphtérie, de la fièvre typhoïde, du zona. Le type le plus évident des surdités nerveuses infectieus
me, aux intoxications par le plomb, le mercure, le tabac, etc. Le type le plus connu est la surdité et l'ivresse (puniqu
'oreille, lésions diverses de la caisse ou de la mastoïde. C'est un type d'épilepsie réflexe. Mais les observations en s
tenseurs de la tête et de parésie des membres inférieures, d'où les types principaux distingués par Gerlier : type, de l'en
res inférieures, d'où les types principaux distingués par Gerlier : type , de l'endormi (ptosis), type du recueillement (
es principaux distingués par Gerlier : type, de l'endormi (ptosis), type du recueillement (paralysie des extenseurs de la
osis), type du recueillement (paralysie des extenseurs de la tête), type de l'aveugle ivre (paralysie des membres inféri
vertiges et les bourdonnements tendent il devenir permanents : le « type paroxystique » passe au « type continu ». Plus
tendent il devenir permanents : le « type paroxystique » passe au « type continu ». Plus rarement le type continu survie
e « type paroxystique » passe au « type continu ». Plus rarement le type continu survient d'emblée, marqué par un état,
uve- ment brusque, surtout d'un brusque changement de position : le type en est le vertige du saut du/il décrit par Régi
s sans qu'on en puisse pressentir la raison. Il en existe plusieurs types . Nous distinguerons, avec Raymond, des accès d'
e point par le degré de leur paralysie motrice. Il existe; un autre type d'anarthrie tout à fait différent du précédent.
plégie faciale ou totale, uni ou hilatérale, paralysies isolées du type glosso-labio-Iaryngé, dysphagie, écoulement de
ubles sensoriels a été pratiquée au cours de l'exa- men détaillé. TYPES D'APHASIE Nous ne signalerons ici que les types
- men détaillé. TYPES D'APHASIE Nous ne signalerons ici que les types communément observés et dont l'existence semble
erses, nous n'entre- rons pas dans le détail d'un certain nombre de types décrits parles diffé- rents ailleurs. Dans la p
a parole ont été constatés chez des aphasiques non hémiplégiques. TYPES D'APHASIE. ' 217 anarthrie répond cliniquement
cinq formes morbides de (roubles dits aphasiques du langage : trois types fondamen- taux, l'aphasie de Wernicke (aphasie
cun progrès. Le langage spontané, sauf en certains cas de lésions ' TYPES D'APHASIE. 219 peu étendues, est donc seul il b
ntanée, la parole I. L'hémianopsie est assez fréquente en ce cas. TYPES D'APHASIE. 221 répétée, la. lecture à haute voi
ateurs) sont le plus souvent indemnes. Les phénomènes apraxiques du type Liepmann n'augmentent pas en général avec la co
acjes des aliénés est indispensable pour préciser le diagnostic des types cliniques en psychiatrie. Il est impossible, dans
e. La démence, chez les paralytiques généraux, imprime au délire un type contradictoire, incohérent. Dans les démences s
pas variables à l'infini; elles se réduisent à un certain nombre de types ; le cerveau délire toujours sur les mêmes thèmes.
-dire de- 7 ans au début de la puberté. ' Nous avons choisi comme type de notre description un idiot âgé de linéiques
ll, une nouvelle forme de dissociation de la sensibilité, dite du « type des cordons postérieurs » : perte de la sensibi
thésies cérébrales. Le diag- nostic de l'hémianesthésie organique à type cérébral (corticale ou centrale) offre souvent
différentes distributions topographiques. On peut observer soit le type hémiplégique, soit le type paraplégique, soit le
topographiques. On peut observer soit le type hémiplégique, soit le type paraplégique, soit le type radiculairc. suivant
erver soit le type hémiplégique, soit le type paraplégique, soit le type radiculairc. suivant que la substance grise et
sthésie cérébrale, qui est ordinairement totale. Elle revêt soit le type hémiplégique, atteignant un seul côté du corps, m
teignant un seul côté du corps, moins la face, soit plus souvent le type hémi-paraplégique. Comme dans les anesthésies d
trice sans troubles sensitifs. Par contre, les troubles sensitifs à type paraplégique n'existent guère sans troubles mo-
myélie ; mais, dans ce cas, la dissociation des troubles sensitifs à type syringomyélique permettra de faire le diagnosti
tique), qu'on rencontre habituellement dans le tabes, représente un type de troubles sensitifs particulier, le type tabé
le tabes, représente un type de troubles sensitifs particulier, le type tabétique qui. est à opposer au type syringomyéli
bles sensitifs particulier, le type tabétique qui. est à opposer au type syringomyélique (conservation du tact, abolitio
n périphérique des troubles sensitifs est topographiée sui- vant le type radiculaire. Au début de ces affections, le fait
ise de la moelle. L'existence de ces troubles de sensibilité du v< type spinal », au cours des affections strictement l
ions de la sensibilité périphérique dont la distribu- tion revêt le type radiculaire. Causes. Ces lésions peuvent intére
sieurs racines soient prises en même temps et constituent ainsi des types cliniques reconnus aujour- d'hui comme classiqu
t à la fois sensitives et motrices; elles se présentent suivant des types différents : A) Type supérieur (Duchenne, Erb).
t motrices; elles se présentent suivant des types différents : A) Type supérieur (Duchenne, Erb). L'anesthésie occupe le
ps, du deltoïde, du brachial antérieur et du long supinaleur, Il) Type inférieur pllile lhjerine-Klumpke), Les troubles
main et les fléchisseurs de la main. Le fait pathognomonique de ce type de paralysie, qui en rend le diagnostic, facile
PIt : lTiyll : NI : UIt171.. 22 [ROUSSY.] 558 ' SENSIBILITE. C) Type total. Dans ce type, l'anesthésie s'étend à tout
UIt171.. 22 [ROUSSY.] 558 ' SENSIBILITE. C) Type total. Dans ce type , l'anesthésie s'étend à tout le membre supérieu
ale totale et absolue; le syndrome sympathique existe comme dans le type inférieur. D) Type complexe. Type uniradiculair
ue; le syndrome sympathique existe comme dans le type inférieur. D) Type complexe. Type uniradiculaire. Les paralysies com
sympathique existe comme dans le type inférieur. D) Type complexe. Type uniradiculaire. Les paralysies com- plexes sont
temps, peuvent être ramenées d'une façon un peu schématique, à deux types . 1° Type total (lombo-sacré). Dans ce cas, la l
nt être ramenées d'une façon un peu schématique, à deux types. 1° Type total (lombo-sacré). Dans ce cas, la lésion intér
ivant une ligne passant par le bord supé- rieur du sacrum. , . Ce type total est presque toujours l'expression d'une lés
enté par le malade. , ' La même topographie des troubles sensitifs ( type total) peut s'observer dans les lésions de la m
, aussi bien que les troubles moteurs, revêtent une distribution du type net- tement radiculaire, les questions à résoud
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 545 lysie seusitivo-motrice à type radiculaire permet d'affirmer presque sùre- men
ouvent, on observe des troubles sensitifs soit au membre supérieur ( type cervical ou cervico-dorsal), soit au membre infér
nservation de la température, ou plus rarement une dissociation à type syringo- myélique, enfin les diverses mo- dal
ser à la totalité d'un membre ou à une grande partie de ce membre : type mono- plégique, ou bien encore dans les névrite
ou bien encore dans les névrites des membres inférieurs, revêtir le type paraplégique. Les troubles sensitifs revêtent cer
lisées sont rares. Plus souvent partielles, elles revêtent différents types : hémiplégique, monoplégique, segmentaire, en î
hémiplégique, monoplégique, segmentaire, en îlots disséminés. 1° Type hémianesthésique ou monoesthésique. - C'est le ty
disséminés. 1° Type hémianesthésique ou monoesthésique. - C'est le type le plus fréquent. L'anesthésie prend la peau et
., Bicctrc, 1905.) . TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 555 2° Type segmentaire. La disposition segmentaire des troub
ieur, c'est l'anesthésie en chaussette, en bas, en caleçon, etc. 5° Type insulaire. Ici l'anesthésie est disposée en îlots
ardentes que les malades comparent à des brûlures ; les douleurs à type névral- gique enfin, qui sont extrêmement fréqu
gurantes, par exemple, se présentent surtout dans le tabes, ce même type peut se rencontrer dans d'autres affections de la
rencontrer dans d'autres affections de la moelle ou des racines. Un type de douleur ne répond donc pas d'une façon exclu
s. Un type de douleur ne répond donc pas d'une façon exclusive à un type de maladie. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTI
ullaires, on rencontre surtout les vis- ceratgies dans le tabès. Le type le plus fréquent est la crise gastrique (Voir a
les réflexes les plus usuels en clinique, et nous prendrons connue type de notre description la recherche du plus impor
des réflexes peut s'observer encore au cours des intoxications, le type en est l'empoisonnement par la strychnine, elle
régions méningées. L'hyperréflectibilité cutanée généralisée a son type dans l'empoisonne- ment par la strychnine et la
oit se produire la déviation conjuguée de la tête et des yeux et le type respiratoire de Cheyne-Stokes. Des phénomènes d
erf atteint, mais celle fois du même cote que ia lésion. Les deux types d'hémiplégie alterne les plus fréquents et les mi
hémiplégie alterne les plus fréquents et les mieux connus sont : le type Millard-Gubler (hémiplégie des membres d'un côt
gie des membres d'un côté, paralysie faciale de l'autre côté) et le type dit syndrome de Weber (hémiplégie des membres d
paralysie du moteur ocu- laire commun de l'autre côté). Ce dernier type est, bien entendu, l'indice d'une lésion pédonc
entendu, l'indice d'une lésion pédonculaire. tandis que le premier type est, produit par une lésion bulbo-prolubérantio
ous exceptionnels, ont été récem- ment signalés par les auteurs : Type Foville du syndrome de Millard-Gubler (Grasset) :
ie du trijumeau droit et paralysie de l'oculomoteur commun droit. Type Foville du syndrome de Weber (Grasset) : d'un côt
hémiasynergie, latéropulsion, nystagmus. . Hémiplégie alterne du type Avellis : d'un côté hémiplégie, de l'autre para
es demeurent généralement flasques et s'accompagnent d'anesthésie à type radiculaire, de relâchement des sphincters et d
r déterminisme précis. Chez le même individu peuvent se succéder le type flasque et le type spastique. Des conditions, sem
is. Chez le même individu peuvent se succéder le type flasque et le type spastique. Des conditions, semblables en appare
organisent au-dessous. » Mais il n'existe, pour les paraplégies, de type univoque ni par les symptômes, ni par l'évoluti
i par les symptômes, ni par l'évolution. La classification même des types morbides en spasmodiques et llaccides est essen
rition des réflexes au prorata de l'atrophie. Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau niveau des mains; les doigts so
urtout aux mains. Celles-ci présentent égale- ment de l'atrophie du type Aran-Duche11lH', et à la période d'étal, le mal
re de la main, troubles trophiques des doigts. La main présente des types divers : atrophiée, elle correspond au type de
. La main présente des types divers : atrophiée, elle correspond au type de la main de singe ou de cadavre; atteinte de
mptômes mettent en relief la paraplégie de Erb parmi les différents types de inéningo-myélile syphilitique chronique. Cet
ies pour qu'on lui donne un relief suffisant. Répétons enfin que ce type de para- plégie, avec lequel on est généralemen
d'une façon plus générale des myélites transverses chroniques. Les types le plus souvent rencontrés en clinique sont du re
inique sont du reste d'origine syphilitique, et l'on peut, entre le type de Erb et. la myélite transverse proprement dit
, il faut distinguer les formes subaiguës, qui, justement, sont les types à début par accidents méningés. On signale auss
névrite interstitielle hypertrophique de Deje1'ine et Bottas est un type d'atrophie d'origine névritique. Les malades ont
e souvent de rétractions tendineuses. Dans l'atrophie musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l'atrophie des muscles est enco
fait caractéristiques. Les myopathies présentent un grand nombre de types . Tous peuvent, aboutir il l'impotence paraplégi
ent réalisent ce syndrome de façon précoce et intense. 11 s'agit du type pseudo-hype¡'- trophique de Duchenne et du type
tense. 11 s'agit du type pseudo-hype¡'- trophique de Duchenne et du type Leyden-Môbius. Ces affections étant décrites en
comme nous l'avons déjà vu, la paraplégie peut figurer également le type de Brown-Sequard. Parfois même elle demeurera p
é l'attention. D'après Lhermitte et Lejonne on peut distinguer deux types , l'un de paraplégie en flexion prononcée, l'autre
i- culaires du bras. Le syndrome médullaire peut reproduire soit le type de la paralysie radiculaire totale, soit les ty
eproduire soit le type de la paralysie radiculaire totale, soit les types de la paralysie radiculaire supérieure ou infér
laires : 1" la paralysie radiculaire supérieure (paralysie dite du type Du- chennc-I;rh); 2° la paralysie radiculaire i
chennc-I;rh); 2° la paralysie radiculaire inférieure, paralysie du type Ktmnpke ou paralysie avec syndrome sympathique;
RIGINE -RADICULAIRE. nerf radial, du nerf musculo-cutané. « Dans le type supérieur des para- lysies radiculaires, dit De
er- vicale. » .' La paralysie radiadaire inférieure, paralysie du type Illicnzplce, paralysie avec syndrome sympathiqu
pronostic grave, si elle ne s'améliore pas, alors la main prend le type qu'on observe dans les paralysies du. nerf cubi
rend le type qu'on observe dans les paralysies du. nerf cubital, le type de la griffe cubitale. L'éminence hypo- thénar
aire supérieure, soit une paralysie radiculaire inférieure, soit un type complexe. A côté des trois types principaux de
sie radiculaire inférieure, soit un type complexe. A côté des trois types principaux de paralysies radiculaires que je vi
on peut décrire quelques autres variétés. Dans les para- lysies du type complexe, sont atteintes des racines appartenant
nales du plexus seront différenciées avec facilité des paralysies du type e radiculaire. Quelques formes cliniques parm
radi- culaire supérieure, la paralysie radiculaire inférieure, des types com- plexes. Souvent la paralysie, les premiers
dent, on trouve toujours une bande d'hypoesthésie ou d'anesthésie à type radiculaire correspondant à [G. Gt7l.LL.Anr.]
roubles de la sensibilité peuvent persister. C'est toujours sous le type radiculaire (pie se mon- trent les troubles sen
diverses variétés de paralysies radiculaires, mais de même que les types schématiques de paralysie motrice ne se rencontre
sie motrice ne se rencontrent pas toujours en clinique, de même les types schématiques de paralysie sensitive ne se trouv
gtemps après son accident, il peut ne subsister qu'une paralysie du type Duchenne-Erb, par exemple, sans troubles sensitif
ieures. Dans les paralysies radiculaires traumatiques totales ou il type infé- rieur, les troubles oculo-pupillaires exi
yélite. Paralysies radiculaires dans la syphilis. Les paralysies du type radiculaire que l'on peut observer dans la syph
réflexes manquent chez l'hystérique ; il existe une anes- thésic il type spécial superposée a la paralysie musculaire, enf
aire supérieure, soil unejtaralysie radiculaire inférieure, soit un type complexe. Les névrites périphériques infectieus
seudo- bulbaires. On pourrait d'ailleurs schématiser les différents types cliniques des paralysies de la branche motrice
he motrice du trijumeau, de même que l'on schématise les différents types cliniques des paralysies faciales et décrire ai
iplégies associées. Les paralysies laryngées associées offrent deux types différents. Dans le premier, les autres paralysie
rale de Landouzv-Dejerinc. h) myélopathiques et myélo-neurotiques : type Charcol-Marie; type Wl'I'llnig- Houmann ; type
erinc. h) myélopathiques et myélo-neurotiques : type Charcol-Marie; type Wl'I'llnig- Houmann ; type Gombault, Dejerine-S
myélo-neurotiques : type Charcol-Marie; type Wl'I'llnig- Houmann ; type Gombault, Dejerine-Sotlas, Pierre Marie (névrite
. B) Atrophies acquises, atrophies de l'adulte : Myélopathiques : type Duchenne-Aran : sclérose latérale amyotrophique :
S PROGRESSIVES. G 157 7 Dejerine, car l'amyotrophie Aran-Ducllenne, type ordinaire des atrophies progressives acquises e
prédilection pour le sexe masculin est encore très marquée dans le type Leyden-Moebius et dans le type Erb, elle semble l
ulin est encore très marquée dans le type Leyden-Moebius et dans le type Erb, elle semble l'être moins dans la forme Lan
la distribution et l'évolution de l'atrophie dans les diffé- rents types . Symptômes non musculaires. (Signes accessoir
nalé, Clarkc C) a récemment rapporté l'observation d'un myopathique type Erb qui présentait une grosse hypertrophie des
n seulement toute une série de formes intermédiaires aux différents types , mais encore la concomitance de plusieurs types d
ires aux différents types, mais encore la concomitance de plusieurs types de myopathie sur le même malade. C'est ainsi qu
is même de Leyden et de Moebius, il n'y a pas lieu de considérer ce type de myopathie comme différant par aucun caractèr
type de myopathie comme différant par aucun caractère important du type ci-dessus décrit; tel est aussi l'avis de Damas
les ont été constituées un peu artificiel- lement au moyen de cas « types », mais qu'on peut trouver entre elles tous les
RES PROGRESSIVES MYÉLOPATHIQUES DE L'ENFANCE ET DE L'ADOLESCENCE ( Type Charcot-Marie. Type Werdnig-Hoffmann.) é t ? Ii
LOPATHIQUES DE L'ENFANCE ET DE L'ADOLESCENCE (Type Charcot-Marie. Type Werdnig-Hoffmann.) é t ? IiA( : 'l'f.li F : S .
ions fibrillaires. Ces contractions sont presque constantes dans le type Charcot-Marie. elles sont parfois étendues et v
Pourtant Ormerode, Schultze, Donkin ne les ont pas trouvées dans le type Charcot-Marie, et elles ont fait défaut dans la p
athiqur est différente de celle de l'atrophie myopathique : dans le type Charcot-Marie parce qu'elle com- mence par l'ex
ar l'extrémité des membres tout en évoluant très lentement, dans le type Werdnig-lIoll'lHann parce qu'elle évolue rapideme
ophiques de tous les tissus autres que le tissu musculaire. Dans le type Charcot-Marie l'atrophie des os, signalée une f
t dans l'âge du début, le mode d'évolution et la localisation. 1. Type Charcot-Marie (type péronier de Tootli) ('). L'
t, le mode d'évolution et la localisation. 1. Type Charcot-Marie ( type péronier de Tootli) ('). L'amyotrophie Charcot-
ancé s'ils ne sont emportés par quelque maladie intercurrente. 2. Type Werdnig-Hoffmann. - Cette forme d'atrophie est
ouvent pied de Fnedreich), puis 'par les mains et les avant-bras ( type Aran-Duchenne) ; la pro- gression se fait de l'
justifier aujourd'hui la séparation nosologique absolue de ces deux types , ainsi que le veulent Dejerine, P. Marie, Sain-
DE L'ADULTE^ (Atrophies acquises, myélopathiques.) 1 ATROPHIES A TYPE DUCHENNE-ARAN L'atrophie musculaire progressive
s, comme celui d'écrire, de saisir de menus objets. tt1110TROPIIIES TYPE ARAi'I-DUCIIEi'i],;E. lï9O de cueillir une fleu
e une atrophie musculaire pro- gressive. Atrophie des' mains,du type Aran-Duchenne. Atrophie des membres inférieurs.
es cas anciens. Dans le tabès, on peut constater des amyotrophies à type Aran- Duchenne. mais le plus souvent l'atteinte
lysie générale. Dans certaines névrites on peut observer l'atrophie type Aran- Duchenne ; dans la névrite saturnine en p
chez lequel l'atrophie, d'abord localisée aux extrémités suivant le type classique de la névrite saturnine, s'était ensu
le cours de ces affections. Nous ajou- terons seulement que, si le type Aran-Duchenne est de beaucoup la forme la plus
. [A. LÉRI.] 712 - ATROPHIES MUSCULAIRES. gomyélique suivant le type scàpulo-huméral (ceinture scapulaire et bras) o
le type scàpulo-huméral (ceinture scapulaire et bras) ou suivant le type dorso-lombaire (ceinture pelvienne et. membres in
xtrémité (pied bot équin, main de singe), rarement par la racine ( type scapulo-huméral) : elle s'y loca- lise parfois.
ques ; dans ce dernier cas la localisation la plus ordinaire est le type Aran-Duchenne. On a expliqué ces localisations
cissement de la fente palpébrale). Elle affecte presque toujours le type Aran-Duchenne ; exceptionnellement, en raison d
commencer par l'extrémité des membres et affecter plus ou moins le type Duclienne-Aran. La circonférence des membres dimi
ite réparties le long des nerfs. L'atrophie affecte très souvent le type Duchenne-Aran : elle est peut-être due parfois
e la pneumonie, de la coqueluche, etc. La névrite alcoolique est le type des polynévrites mixtes à prédomi- nance sensit
ites sont généralement curables après suppression de l'alcool. Le type ordinaire de la névrite saturnine est la paralysi
s du tabes n'est pas encore résolue. A propos de l'atrophie spinale type Duchcnne-Aran, nous avons noté déjà que l'atrop
Depuis lors, Lannois (3) a publié l'observation d'un amyotrophique type Aran-Duchenne chez lequel le traitement a confi
ET VARIÉTÉS CLINIQUES. 755 2. Variétés analomo- cliniques : . 1. Type Charcot-Marie : 2" enfance; début par extrémité d
uis mem- bres supérieurs : mains, avant-bras; évolution lente. 2. Type Werdnig-Hoffmann : 1" enfance; début par racine d
, Deje- rine, Sottas et Pierre Marie. / Caractères : semblables à type Charcot-Marie, en plus : hypertrophie des troncs
e scandée; exophtalmie. B) Atrophies de l'adulte : Myélopathies : Type Duchenne-Aran = Syndrome : 1. Caractères du syn
femmes pendant les derniers mois de leur. grossesse. Ce sont les types des hypertrophies vraiment physiologiques : elles
ncés, de la sensibilité. L'incoordination ataxique commune, dont le type est l'ataxie des tabétiques, parait due essenti
INCOORDINATIONS. I. INCOORDINATION ATAXIQUE Nous prendrons comme type de notre description l'ataxie des tabéti- ques
ied avec plus ou moins de brusquerie Fig. 5. - Démarche asynergique type (figure de l3alrinski). - Le malade soulève trè
ite de l'atteinte tardive de certains faisceaux 'médul- laires ; le type cérébelleux évolue alors vers le type Friedreich.
faisceaux 'médul- laires ; le type cérébelleux évolue alors vers le type Friedreich. « Il est possible, dit P. Marie, qu
trophie musculaire manifeste des membres inférieurs et supérieurs à type Charcot-Marie, le signe d'Argyll plus ou moins
ue guère, contrairement à ce qu'on a prétendu, d'incoordination. Le type le plus ordinaire de la prétendue incoordina- t
. Variétés cliniques : a) Grande asynergie : démarche asynergiquc type : dissociation des mouve- ments de progression
s protubérantielles peuvent se traduire par une hémiplégie alterne, type Weber ou Millard-Gubler. Il existe égale- ment
mais il peut survenir par lésion directe du bulbe une asynergic de type cérébelleux. Cette asynergie homolatérale est d
tantôt un rythme respiratoire irrégulier, affectant généralement le type de Cheyne- Stokcs; il y a fréquemment myosis au
le homonymes avec hémiplégie croisée des membres (paralysie alterne type Revilliod-Gonkowski), ou bien une hémiplégie cr
oxications alimentaires. Dans ces diffé- rents cas, l'hémiplégie du type bulbaire précédemment individualisé fait défaut
ées, l'hémiplégie SYNDROMES ET MALADIES BULBAIRES. 805 croisée de type bulbaire fait rarement défaut. Le début de l'affe
ôt 17u117o-l7rotuJérantiels. En tout cas, on note une hémiplégie de type spécial, à moins que la mort ne soit soudain dé
matique s'ajoutent le plus habituellement . desaccidents moteurs du type cérébral. Ces diffé- rentes altérations sont or
é d'un grand nombre des signes que l'on rencontre en les différents types : circonstances étiologiques, lésions du muscle e
rsure de la langue, de flexion forcée du pouce, mais encore dans le type qui ressemble à une crise (l'épilepsie Ilravais
ssemble à une crise (l'épilepsie Ilravais-,jaclaonnicnne ou dans le type tétanique, - et de sauver son malade. Car trop
ou tremblements vibra- toires (8 à 12 oscillations par seconde); le type de ce rythme rapide est le tremblement de la ma
iques connues. Tremblement dans la sclérose en plaques. Il est le type du tremblement apparaissant l'occasion des mouv
général très variable, très lent, quelquefois très rapide, c'est un type de tremblement vibra- toire, en général, ce ryt
remblements hystériques. Nous allons passer en revue les principaux types qu'a pu présenter ce tremblement. 1° Tremblemen
ne sont pas toujours semblables, ils se présentent suivant quelques types classiques assez bien différenciés : a) Il ex
Ce tremblement rémittent intentionnel, auquel Dutil donne le nom de type Rendu, imite d'une façon parfaite le trem- blem
rythme moyen peut être localisé aux membres inférieurs, il revêt le type paraplégique, et ce tremblement peut éirc assi-
nile; enfin chez des membres d'une même famille il peut revêtir des types assez différents. D'après Charcot et surtout d'
tres particularités cliniques ont servi à diffé- rencier chacun des types morbides. Nous allons donc nous attacher il déc
très manifeste au cours de laquelle apparaissent des paralysies de type variable : ce sont les paralysies chez les cho-
topographie est variable, elles peuvent se manifester sui- vant le type . monoplégique, hémiplégique ou paraplégique. Le
re quand celle-ci survient dès le début de la maladie. ' Formes. Le type qne nous venons de décrire est la chorée vul- g
)- lement courts qu'il y acoutinuite apparente. Enfin, le dernier type est constitué par les contractions si brilla ire
présentent des mouvements myocloniques. 5° Myoclonies familiales du type Unve1Ticht. Ce sont, le plus souvent, des enfan
ces myoclonies chez les épileptiques, et sa myoclonie familiale du type Unverricht, et, d'autre part, il existe des cas
ous allons cependant donner une rapide description de chacun de ces types cliniques. - 1. Athétose double. L'athétose dou
ent que chez certains hystériques et idiots, ou bien ils forment un type clinique tout à fait spécial (« rythmies » de C
dans le déve- loppement mental. Noguès catégorise les tics en trois types : tics psychiques ou obsessions tIC111el1SCS, p
stème nerveux central dont [A. LJBAT Fig, '13, 14, 15 et 16. Deux types de torticolis mental avec les a gestes antagonist
est une des principales variétés des rythmies de Cruchet, c'est le type de la rythmie essentielle il l'état de veille. En
beaucoup la plus fréquente et la mieux connue; elle nous servira de type ; nous passerons ensuite rapidement en revue les
ques, et c'est un malade atteint de tabes que nous avons pris comme type de description clinique. C'est il Levden (18C5)
par des panaris donne à la main une similitude remarquable avec le type observé dans la maladie de Morvan. soit que l'i
czémateuses, soit encore d'éruptions huileuses à grands éléments de type pemphigoïde. Ces exanthèmes lisses ou vésiculeu
LES TROPHIQUES. 951 En réalité, en présence d'une arthropathie du type neurotrophique, caractérisée par ses dimensions
rticula- tion tibio-tarsienne. Rappelons également qu'il y a deux types d'arthropathies, l'une atrophi- que à la hanc
sidérables, de 4 il 5". La fièvre peut se manifester suivant divers types : la fièvre intermit- tente est caractérisée pa
stème nerveux, la fièvre peut être due à un état inflammatoire : le type de cette fièvre est la fièvre de la méningite.
matorrée physiologique. Les pollutions nocturnes en représentent le type . Sous l'influence d'un rêve erotique l'éjaculatio
s il est peu abondant, mais se répète en général fréquemment. Ci; type se rencontre au cours des méningites, il l'occasi
omit ainsi une zone hystérogène à l'épigastre. Un certain nombre de types cliniques sont faciles à distinguer dans ce group
aires; la malade s'efforce ainsi de se rendre intéressante. Dans le type anorexique, la malade refuse de manger, déclare s
Desnos, Briquet, les vomissements stercoraux, exceptionnels, et le type douloureux du vomissement hystérique. C'est la gr
ses liées à l'athérome cérébral. Ces crises gastriques réalisent le type de l'indigestion. Un individu, un homme, en génér
. dure d'autres l'ois plusieurs heures. Le vomissement n'est pas du type cérébral, mais du type bulbaire (Brissaud) ; lo
lusieurs heures. Le vomissement n'est pas du type cérébral, mais du type bulbaire (Brissaud) ; loin de rejeter simplement,
le de certains signes du tabès, la crise de Leyden est une crise du type tabétique. Et si l'on peut suivre les malades q
ques peu serrées. Dans ces crises bénignes, les mains et les pieds ( type d'extension) peuvent être seuls atteints, et al
récoce, 1W otavicluc. Chez tout malade pré- sentant une diarrhée du type nerveux, il conviendra de rechercher les signes
int. A côté de ce neurasthénique ') 'ni TROUBLES PSYCHIQUES. 1003 type simple, il convient de distinguer un neurasthéniq
eau clinique. Ce neurasthénique dégénéré, phobique, nous fournit un type de transition entre les individus subnormaux et l
rtige avec salivation, et quelquefois même vomissement pituiteux du type oesophagien, caracté- risé par le rejet de gorg
rveux faiblement touché, le névropathe simple, le neurasthénique du type du surmené banal sont parfaitement éducables; la
ièrement développée dans toutes ses dimensions (fig. 3); c'est le « type en long » de la main de l'acromégale, celui qui
ve dans l'acromégalie pré- coce ; mais on peut aussi constater le « type en large » des acromégaliques. 01 ! -observe d'
des fjg. 3. Gigantisme. PeuL-nh'0 ncromégalie Truste ( ? ) « avec type en long-» de la main. : DIFFORMITÉS ACQUISES.
rès différentes. Charcot a ramené ces déformations des mains à deux types principaux. le type de flexion et le type d'ext
cot a ramené ces déformations des mains à deux types principaux. le type de flexion et le type d'extension. Dans le type d
mations des mains à deux types principaux. le type de flexion et le type d'extension. Dans le type de flexion (fig. 6).
ypes principaux. le type de flexion et le type d'extension. Dans le type de flexion (fig. 6). tous les segments de la ma
anges, et la main est plus ou moins fléchie sur l'avant-bras. Dans le type DIFFORMITÉS ACQUISES. : 10'il d'extension,
sur l'avant-bras. Mais il y a de nombreuses variantes dans ces deux types ; c'est ainsi que toutes les articulations peuve
alangines, etc. De plus, Vidal, Besnier, JuhcI-llénoy ont décrit un type rectiligne ou linéaire caractérisé par l'extens
sébacée, hypoesthé- [A. LÉRL] Fig. fi. /1hztllwlisllle chronique. Type de flexion : les pha- langes et les phalangette
rue de cicatrices saillantes, les ongles sont atrophiés; tel est le type de la main de Morvan, main fréquente, mais null
e il un trouble vaso-moteur ou à une synovite hyperliopliique. Le type de la griffe radiale complète se trouve dans les
et la partie interne du dos de la première phalange du médius.. Le type de la griffe cubitale s ? observe dans les lésion
A. Léri). Dans le labes on a signalé maintes fois une amyotrophie à type Aran- Duchenne : il est fort vraisemblable qu'e
de la moelle et dans la paralysie mlantlle. L atrophie .musculaire type Ltiarcot-jiane et la névrite interstIticHehyper
cubital ou leurs racines peuvent produire ramyotropilic de la main type Aran- Duchenne. Les lésions des racines médul
ériode généralement tardive des- myopathies facio-scapulo-huméralc ( type Landouzy-Dejerine) ou scapulo-humérale (type Erb)
acio-scapulo-huméralc (type Landouzy-Dejerine) ou scapulo-humérale ( type Erb). IV. MOUVEMENTS ANORMAUX Quelques variét
dans les névrites toxiques : alcoolique, arsenicale, satur- nine à type inférieur, etc., on observe le plus souvent un pi
ch- nique sera limitée ; il ne s'agit point, en effet, d'établir un type moyen ou dé chercher les proportions d'un canon
halie (synostose pariéto-occipitale) et amoindrie sur les crânes de type infantile. Dans l'hydrocéphalie, la largeur de la
dant qu'aux environs de 2 mètres la taille commence à s'écarter du type morphologique de la variété européenne. Enfin,
diographie des articulations. ' GIGANTISME. 1051 Infantilisme. Le type clinique étudié se rencontre surtout chez l'iio
rieurs, absolument comme dans le groupe précédent. On en trouve des types parfaits chez les cas- trats des harems et auss
ou non, des épiphyses. Quoi qu'il en .oi ? ke·aisté à coup sur deux types cliniques différents, et nous ne chercherons pa
ctibles l'un à l'autre. Il suffit de se rappeler que fréquemment le type infantile s'acromegalise et que fréquemment encor
iés. Les pieds sont camards, les orteils et les ongles conformes au type précédemment décrit au membre supérieur. P. Mar
s frappent surtout par leurs dimensions trans- versaies. Le premier type , type en long, se voit surtout chez t'acromega-
pent surtout par leurs dimensions trans- versaies. Le premier type, type en long, se voit surtout chez t'acromega- tique
serverons donc de préférence chez les géants acromegaics. Le second type , type en large ou cubique, se voit quand l'acro
ons donc de préférence chez les géants acromegaics. Le second type, type en large ou cubique, se voit quand l'acromégali
ne description d'ensemble, convenant approximati- vement à tous ces types . Nous l'ébaucherons tout d'abord, nous confor-
igantisme. Rappelons seu- lement que le géant infantile présente le type de l'adolescent et qu'il convient de rechercher
té s'exerce en semblable cas par voie collaté- rale. Infantilisme type Lorain. Il se rapproche au plus près du schéma
férents cas, répétons-le, l'infantile se rapproche plus ou moins du type Lorain, il s'en écarte au contraire dans la dys
écarte au contraire dans la dystrophie thyroïdienne. Infantilisme type Brissaud. Bris- saud a montré que les idiots my
cent, ils cessent encore plus tôt leur évolution et mon- trent un type foetal, c'est-à-dire difforme et presque repous
die : le tronc est cylindrique, le ventre gros, et, au contraire du type Lorain, les membres sont relativement courts, b
Pit.%TIQUE ¡¡EUR01-, 09 . [F. MOUTIER.1 Fig. 4. Infantilisme du type Lorain. Femme de 50 ans (d'après Il, Meige).
isme-masculisme-ohésité. Il peut y avoir enfin des hermaphrodites à type infantile. Rappelons sans insister sur les cara
ou d'insuffisance thyroïdienne ? On l'ignore encore. Les individus types sont de faible hauteur; leur faciès est anguleux,
reste éminemment variables, bien que souvent le nain ait plutôt un type vieillot, un air précocement sénile. Il serait
onné que ces petits hommes attei- gnent facilement l'âge adulte, un type de nain tout à fait saisissant et facile à reco
ophiques divers. Nous avons signalé au paragraphe de l'infantilisme type Lorain les principales causes des dystrophies.
oeil permet au praticien d'apprécier la virilité, l'accentuation du type , de même que quelques réponses donnent une cert
ropométrie clinique.) La micro- et Y hydrocéphalie .sont encore des types nets de dégénérescence. OEil. Nous nous c'ont
es plus fréquents et des plus importants. Ils sont ordinairement du type régressif, et leur présence donne à l'individu
saillie de l'an- thélix dominant l'hélix; le lobule manque dans le type complet, ce qui donne il l'oreille un aspect tr
ui, dans la conception, la grossesse et l'accouchement, s'écarte du type physiologique ». Il importerait d'ajouter, nous s
seudo-tumorale, comateuse de l'épendymite cérébrale, les principaux types de l'épen- dymite sylvienne et rhomboïdale; nou
ieus (Cushing et Sladen, Fischer). Épendymite pseudo-suppurative, à type clinique d'abcès cérébral. L'invasion est assez
htalmoscopie et par la cytologie du liquide céphalo-rachidien. Ce type clinique qui parait résulter plutôt des épendymit
mbaire. Ces vertèbres, assez fréquemment, se développent suivant le type des vertèbres dorsales voisines et présentent des
développement, symétrique des deux côtés de la vertèbre suivant ce type ne modifie pas la direction normale de la colonne
est intéressante il rapprocher, au point de vue radiographique, des types précédents d'atrophie myélopa- (chique ou myopa
al'tl/1'opathique, Belot ci Chaperon ont trouvé des lésions du même type susceptibles d'amener en certains points une di
ications appréciables à la radiographie et peut-être des lésions du type caractéristique que nous avons décrit. Les exos
s doses sont destructives pour les éléments cel- lulaires déviés du type normal et. inoffensives pour les éléments normaux
aire proscrire les traitements trop intensifs de grosses tumeurs du type sarcome, particulièrement susceptihle de fonte ra
ue cette action s'exerce éleetivement sur les cel- lules déviées du type normal; celles-ci disparaissent dans les cas les
vant la nature et l'intensité des lésions qui la déterminent. Comme type , on peut prendre la DR causée par une lésion grav
ralysie pseudo-hypertrophique, myopathie facio-scapulo- humérale du type Landouzy-Dejerine, myopathie scapulo-humérale du
humérale du type Landouzy-Dejerine, myopathie scapulo-humérale du type Erb, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, e
ine, myopathie scapulo-humérale du type Erb, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, etc. Dans ces diverses myopathie
EURONES MOTEURS CENTRAUX DANS L'ENCÉPHALE ET DANS LA MOELLE Comme type des affections atteignant plus spécialement dans
stimulant le développement de leurs fibres restées saines. Comme type principal de ces affections nous pouvons considér
s cependant d'une façon plus lente. Dans l'atrophie musculaire du type i.hc( ? COt,-1%(XY'2G, le traitement électrique
Dejerine, atrophie scapulo-humérale (l'I'.r'h, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, paraissent dépendre d'une dystro
lement ici du traitement électrique des névralgies en prenant comme types la névralgie sciatique et la névral- gie facial
res inférieurs et du dos. Évolution rapide, 696. , Anarthrie, au. Type d'aphasie, des- cription, 219. Anatomie patho
ure, durée, z In- fluence de la suggestion, 555. - To- pographie. Type hémianesthésique ou monoesthésique, 554. Type s
5. - To- pographie. Type hémianesthésique ou monoesthésique, 554. Type scgmen- taire. Type insulaire, 555. - Traite-
Type hémianesthésique ou monoesthésique, 554. Type scgmen- taire. Type insulaire, 555. - Traite- ment électrique, 1327
ntelligence, 215. de la motilité, 215. de la sensi- bilité, 216. ( Types d' -), 216. - de iYcrniclre, ` 17. Anarthrie, 2
leuse. Décomposition des mouvements. Grande asynergie. Dé- marche type , 769. Petite asynergie, 770. Signe de la flexio
iques, 750. Traitement électrique, 1510. ntéloathiques acquises à type Duchenne-Aran, 685. Caractères. Localisations
musculaires progressives de l'adulte, atrophies myélopathiques de type Duchenne-Aran, 698. - - )'réflexes- d'origine a
-) 682 Syndrome cérébelleux de -) 768. Duchenne-Aran (Atrophies à type ), ), 688, 698. (Maladie de existence), 706.
lie, hémocéphalie, pyocéphalie, 1152, 9153. pseudo- suppurative à type d'abcès cérébral. pseudoméningilique, 1151·. -
age des centres nerveux avant l'autopsie, 1545. Foville (Syndrome type -), phénomènes oculaires, 71, 72, 472. Friedr
toire, 91. infantilisme, 1086. gigantesque, 1087. - ennuchoïdc, - type Lorain, 1088. - type Brissaud, 1089. - Traite
me, 1086. gigantesque, 1087. - ennuchoïdc, - type Lorain, 1088. - type Brissaud, 1089. - Traitement, 1091. Infectieu
male. Lagophtalmie paralytique, 105. Landouzy-Dejerine (Myopathie type ), ), 687. Landry (Syndrome de ). 505. Lang
graphie segmentaire, 550. Topogra- phie insulaire, 551. Atrophie, type Duchenne-Aran, 704. Atrophie mus- culaire, 72
n (Vomissement périodique de ), ), 093. Leyden-Moebius (Myopathie type ), ), 685. Lhermitte. Voy. Neurofibrilles. Né
eutique, 1141. Méningo-myélite syphilitique. Atrophie musculaire, type Aran-Duchennc, 704. Mensuration du tronc et des
682. - primi- live. Traitement électrique, 1510. - sénile, 510. - type Leyden-Moebius, 685. - type scapulo-huméral, va
nt électrique, 1510. - sénile, 510. - type Leyden-Moebius, 685. - type scapulo-huméral, variété juvénile d'Erb, 685. -
E. familiales ou héréditaires, 680. Con- , comilance de plusieurs types de myopa- thie chez le même sujet, z Variétés
urs céré- brales, 121. Névrites. Atrophies secondaires, 719. de type Aran-Duchenne, 706. - Radio- diagnostic des tro
P Pachyméningite cervicale hypertrophi- que, atrophie musculaire type Duchenne- Aran, 702. Cytodiagnostic, 1157. Pa
, 1262. - Traitement électrique, 1550. ' générale. Amyotrophie de type Aran- Duchenne, 706. Tremblement, 859. - Lymp
iologie, 521. radiculaires. Paralysies du plexus bra- chial, 611. Type radiculaire supé- rieur, 612. Type radiculaire
ies du plexus bra- chial, 611. Type radiculaire supé- rieur, 612. Type radiculaire inférieur avec syndrome sympathique
'innervation cutanée, 521. - Para- lysies radiculaires sensitives : type su- périeur, type inférieur, 357. Type total,
, 521. - Para- lysies radiculaires sensitives : type su- périeur, type inférieur, 357. Type total, type complexe. Para
es radiculaires sensitives : type su- périeur, type inférieur, 357. Type total, type complexe. Paralysies radicu- lair
s sensitives : type su- périeur, type inférieur, 357. Type total, type complexe. Paralysies radicu- laires sensitives
secondaires, 718. - lombo-sacré. Paralysies radiculaires, 558. - Type total (lombo-sacré). - Syndrome de la queue de
adiothérapie, 1187. - latérale amyotrophique, atrophie musculaire type Duchenne-Aran, 702. - Traite-- ment électrique,
ibilité à topographie radiculaire, 550, 32. - Atrophie musculaire type Aran-Du- chenne, 705. - Chiromégalie, 1019. M
ensibilité à topographie ra diculaire, 528, 529. - Amyotrophie de type Aran-Duchenne, 705. - Névrites et atrophie musc
panite hystérique, 999. U Unverricht ()Ivoclonies familiales du type -), S60. Urémie. Ponction lombaire thérapeutiqu
5 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
pérons bien pouvoir vous mon-trer, au lit du malade, quelques-uns des types qui auront servi de point d'appui à nos descripti
culier de symptômes qui permet d'en don-ner la description d'après un type commun, au milieu de la variabilité des circonsta
-il pas faire pour établir à l'aide de telles données l'identité d'un type anatomique! Mais les maîtres se sont surpassés et
er-met d'envisager, sous les aspects les plus divers, les princi-paux types d'un seul et môme genre morbide ; mais ce qui est
me, et le plus spécialement chez les ivro-gnes. On peut rapprocher ce type de plusieurs autres affections graves ; ne sait-o
de précision aux idées que nous allons exposer, nous choisi-rons pour type la pneumonie lobaire, cette affection fébrrle au
xploration méthodique fournissent pour chaque espèce de maladie des types constants, avec des variantes qui corres-pondent
atarrhale. 11 est rare, d'ailleurs, dans les affections de ce dernier type , de voir la température s'élever au même degré qu
réaction générale dans cette phlegmasie, que nous avons choisie pour type des affections fébriles de la vieillesse. II.
e. On sait que Monneret avait déjà signalé l'existence d'une fièvre à type rémittent ou intermittent dans les affections du
grand nombre de malades, afin de mieux pouvoir comparer entre eux les types si divers que peut affecter le rhumatisme chroniq
t con-vaincu que les mots de goutte et de rhumatisme répondent à deux types morbides essentiellement distincts, et qui ne doi
s ; d'ailleurs, nous la considérons à quelques points de vue comme un type des affections constitutionnelles, comme une mala
utte irrégulière, par opposition à la goutte régulière, qui répond au type classique de la maladie. Cependant, même ici, nou
incipaux de la goutte aiguë. —Phénomènes consécutifs. — Déviations du type régulier. — Goutte aiguë généralisée. — Goutte mo
. Principies of Physic, etc., t. II, p. 753. Tel est, messieurs, le type le plus ordinaire de l'accès de goutte franche ai
maintenant quelles sont les principales déviations que peut offrir le type régulier que nous venons de décrire. Considéron
rédilection mar-quée, et souvent exclusive,pour les articulations. Ce type est celui que vous rencontrerez le plus souvent d
ation viscérale, aussi soudaine que violente, qui prend rapidement le type adynamique. Ils paraissent exposés,d'ailleurs, au
'au point de vue clinique, la goutte est toujours restée fidèle à son type primitif. Ocype, l'homme aux pieds légers, ressem
hez les sujets affaiblis que chez les hommes vigou-reux; seulement le type de la maladie est modifié par les conditions géné
efforcerons de mettre en lumière le lien commun qui les réunit. Les types du rhumatisme articulaire chronique sont fort nom
secondaires. 2° Rhumatisme articulaire chronique partiel. Dans ce type , les jointures affectées sont en petit nombre ; i
'Reberden. Les nodosités d'Heberden (digitorum nodi) constituent le type le moins grave de cette maladie. C'est surtout
arthropathies ne diffèrent en rien de celles qui constituent les deux types précédents ; et nous aurons l'occa-sion, dans la
s la suite, de légitimer au point de vue clinique la séparation de ce types particuliers. Nous nous contenterons, pour le m
cliniques, et présentent, sous le rapport des altérations locales, un type commun, modifié par quelques différences d'ordre
erlich, Hardy et Sidney Ringer (1). Le mouvement fébrile affecte le type continu, avec des exa-cerbations et des rémission
nt la nuit (2). En somme, cette affection ne procède pas suivant un type régulier, et n'offre pas un cours cyclique ; il n
ang dans le rhumatisme articulaire aigu peut être considérée comme le type du sang inflammatoire, et diffère essentiellement
du rhumatisme articulaire, chronique progressif. Sommaire. — Trois types fondamentaux du rhumatisme articulaire chronique.
e chez les sujets âgés. — Déformation consécutive des membres. — Deux types principaux ; leurs variétés. Marche de la malad
Nous avons insisté déjà sur la nécessité de reconnaître ici" trois types fondamentaux, souslerapport anatomique : ilnous-p
le pronostic et même-le traitement diffèrent dans chacun de ces trois types du rhu-matisme chronique. Nous consacrerons cet
eux constitue, au point de vue médical, le plus intéressant des trois types que nous venons d'indiquer. Souvent confondu avec
cerne les extrémités supérieures, elles peuvent êtres ramenées à deux types principaux, avec les dérivés secondaires. Dans
ypes principaux, avec les dérivés secondaires. Dans l'un et l'autre type , la main est dans une pronalion plus ou moins exa
rapports. Nous allons en donner une description succincte. Premier type . — C'est celui qu'on rencontre le plus sou-vent.
des premières déformations qui signalent le début de la maladie. Ce type peut offrir deux variétés. Dans la première, la p
ractères que nous avons décrits sont conservés ; Fig. 18. — Premier type . Dans la seconde, on voit manquer la flexion de
le dos des doigts de la main Fig. 19. — Première variété du premier type . paraît excavé à partir de la tête saillante de
métacarpiens. Fig. 20. — Seconde variété du premier typ'e. Second type . — Il est caractérisé : 1° Par l'extension de l
tent visiblement vers le bord cubital do la main. Fig. 21. — Second type . Ce type peut offrir, comme le précédent, deux
ement vers le bord cubital do la main. Fig. 21. — Second type. Ce type peut offrir, comme le précédent, deux variétés.
phalangines sur les phalanges. Fig. 23. — Seconde variété du second type . Nous ne nous sommes occupés jusqu'ici que des
s que devient le pouce ? Fig. 22, '. — Première variété du second type . C'est ici, comme ailleurs, l'articulation méta
subluxa-tions qui se sont opérées. Ainsi, à la main, dans le second type , il se produit une saillie considérable des os de
droite, dont les malades continuent à se servir, ne présentent pas un type aussi régulier que les déviations de la main gau-
faction sont assez vives, et l'affection est moins mobile que dans le type opposé. Les symptômes généraux sont ceux du rhu
s à la Société pathologique de Dublin. Les articulations offraient le type le mieux caractérisé de l'arthrocace sénile : les
igner, au contraire, de la goutte; et nous constaterons ainsi que les types , en apparence si divers, que nous avons décrits j
ique. Il faut cependant établir ici une distinction entre les trois types que nous avons décrits. Pour le rhumatisme noue
re de deux ou trois, avec coïncidence d'iritis (Rollet) ; c'est là le type clas-sique de l'arthrite blennorrhagique. Mais
ours, presque sans interruption, comme cela a lieu dans une maladie à type continu, la pneumonie lobaire par exemple, le cas
pitaux, 1866, ai Leçons sur les mala-dies des vieillards. 1867.)1 des types constants et caractéris-tiques pour chacune de ce
plus haut, p. 18. reconnaître que, ainsi que je l'ai fait voir, ces types spcifi-qucs ne subissent pas de modifications not
fébriles dites typiques chez les vieillards. — 1° Maladies fébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent.
ards. — 1° Maladies fébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent. — 3° Maladies fébriles à type intermit
nu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent. — 3° Maladies fébriles à type intermittent. De l'élévation rapide et considér
d. Ces maladies peuvent être rangées en trois groupes, suivant que le type fébrile est continu, rémittent ou inter-mittent.
fébriles dites typiques chez les vieillards. 1° Maladies fébriles à type continu. — Elles sont beau-coup moins nombreuses
i la terminaison doit ou non être favorable. 2° Maladies fébriles à type rémittent. — La pneumonie lobaire ou cafarrhale t
près complètement défaut chez le vieillard. 3° Maladies fébriles à type intermittent. — A la Salpê-trière, la fièvre palu
ique ou non traumatique), l'épilepsie dite essentielle qui offrent le type de ces élévations terminales de la température.
degrés. Ainsi dans le choléra lui-même, jusqu'ici con-sidéré comme le type des maladies algides, le refroidissement est tout
mplète, présentent l'attitude que nous désignerons sous le nom de 1er type . Les jambes sont fléchies à angle presque droit s
té amené à penser que toutes ces variétés peuvent se rapporter à deux types principaux, que nous allons essayer de dépeindre.
r de dépeindre. Extrémités supérieures. — Caractère commun aux deux types : la main est en pronation plus ou moins complète
pronation plus ou moins complète, et quelquefois exagérée. Premier type . C'est ce type qu'on observe le plus fréquem-ment
ou moins complète, et quelquefois exagérée. Premier type. C'est ce type qu'on observe le plus fréquem-ment; voici sa cara
tes des os. Tous ces détails complémentaires peuvent s'appliquer au type suivant. Deuxième type, Caractéristique : a) ex
tails complémentaires peuvent s'appliquer au type suivant. Deuxième type , Caractéristique : a) extension de la pha- lang
de la main. Il va sans dire que, suivant les cas, les ca-ractères du type sont plus ou moins prononcés (voy. Pl. IV, figl.
s ou moins prononcés (voy. Pl. IV, figl. et 2). Variétés du premier type . 1° La plupart des caractères du type sont conser
l. et 2). Variétés du premier type. 1° La plupart des caractères du type sont conservés ; seulement la plialangïne et la p
partir de la tête saillante des métacarpiens. Variétés du deuxième type . 1° Flexion de toutes les articu-lations de la ma
laires la régularité des déviations qui présentent constamment un des types que nous avons décrits ? 4° Lorsqu'on fait l'au
ns, amener les déviations dont nous nous sommes efforcé de tracer les types . Nous avons eu occasion d'examiner, dans la divis
usquement, convulsivement, à l'extension et présentent notre deuxième type ; si leurs mains étendues exécutent le mouvement d
é-nomène se manifeste en sens inverse, et elles offrent notre premier type . Cependant, il n'y a chez ces infirmes aucune lés
s mêmes, ou pouvant tout au moins se rattacher à un certain nombre de types à peu près invariables. D'ailleurs, les douleurs
—? Déformations consécutives. — Description des jointures : deuxième type ou type de flexion. Bâtiment Saint-Charles, 3e,
rmations consécutives. — Description des jointures : deuxième type ou type de flexion. Bâtiment Saint-Charles, 3e, lre ; M
gauche est un peu moins difforme que la droite : c'est là le deuxième type ou type de flexion dans tout son développement. D
st un peu moins difforme que la droite : c'est là le deuxième type ou type de flexion dans tout son développement. Depuis lo
unemainbot palmaire ; la l'orme de la main droite est celle du second type (ou de flexion), la déviation en masse des phalan
les phalan-ges fléchies, à angle obtus sur les métacarpiens (premier type ). Les jointures des pouces sont mobiles, tuméfiée
concerne les mains, être ramenées, comme nous l'avons montré, à deux types à peu près cons-tants. L'affection a présenté u
de la main est extrêmement bizarre, et se rappro-che beaucoup du 1er type que j'ai admis (type d'extension), c'est-à-dire q
mement bizarre, et se rappro-che beaucoup du 1er type que j'ai admis ( type d'extension), c'est-à-dire qu'il y a successiveme
ppréciables. Nous trouvons donc ici l'exacte reproduction de l'un des types de difformités des extrémités supérieures, ob-ser
ire à un rhumatisme chronique, d'autant mieux qu'elle nous offrait un type parfait des défor-mations qui sont propres à cett
léchies; la déformation, en un mot, était exactement celle du premier type figuré par M. Charcot (PL II, fig. 2) dans sa thè
s, tantôt granuleuse et amorphe, tantôt parfaitement cristallisée. Le type principal qu'il a décrit et fait dessiner est cel
e rénale, de telle sorte que l'altération du rein dans ce cas, est un type parfait de la maladie de Bright avec dégénération
aque fois une quinzaine de jours environ et rappelant,, en un mot, le type classique delà goutte articulaire aiguë (1). Dans
arcot a eu l'occasion d'observer quelques faits se rattachant au même type ; et tout récemment, en recherchant ce qui pouvai
ttribue exclusivement au-jourd'hui ; il ne servait pas à spécifier un type morbide particu-lier, et on l'employait généralem
tophacées. En somme, on trouve ici l'exacte reproduction de l'un des types de difformité des extrémités supérieures, observé
quemment dans le rhumatisme articulaire chronique progressif (premier type ou type de flexion. — Voyez Gharcot. Thèse inaugu
dans le rhumatisme articulaire chronique progressif (premier type ou type de flexion. — Voyez Gharcot. Thèse inaugurale, Pa
er que la goutte chronique peut reproduire fort exactement les autres types de déformation des membres qu'on observe dans le
rmations d'ensemble et pouvant être rapportées à un certain nombre de types déterminés qu'on rencontre dans le rhumatisme nou
dal, Plaisance). J'ai proposé de ramener, ainsi qu'il suit, à trois types fonda-mentaux les formes très variées sous lesque
t d'une manière prédominante, dans le rhuma-tisme noueux. Ces trois types se relient entre eux par des transitions insen-si
nnaître. Ces difformités peuvent être, suivant moi, ramenées à deux types principaux : 1° type de flexion, 2° type d'extens
ités peuvent être, suivant moi, ramenées à deux types principaux : 1° type de flexion, 2° type d'extension. Caractère comm
uivant moi, ramenées à deux types principaux : 1° type de flexion, 2° type d'extension. Caractère commun aux deux types. —
1° type de flexion, 2° type d'extension. Caractère commun aux deux types . — La main est en prona-tion plus ou moins complè
prona-tion plus ou moins complète et quelquefois exagérée. Premier type . —- C'est celui qn'on rencontre le plus fréquem-m
est souvent une des premières déformations qui s'accusent. Deuxième type . — Caractéristique ; a) extension de la pha-lange
aison manifeste vers le bord cubital de la main. Variétés dupremier type . — 1° La plupart des caractères du type sont cons
la main. Variétés dupremier type. — 1° La plupart des caractères du type sont conservés ; seulement la phalangine et la ph
partir de la tête saillante des métacarpiens. Variétés du deuxième type . —1° Flexion de toutes les articula-tions de la m
e tumeurs tophacées. On trouve ici l'exacte repro-duction de l'un des types de difformités des extrémités supérieures observé
umatisme articulaire chro-nique généralisé. Les caractères du premier type sont bien accusés dans la figure 2. — La figure 1
gure 2. — La figure 1 donne une bonne idée des déformations du second type . Pig. 3. Altérations de la valvule mitrale dans
lh. PLANCHE IV FiG. 2, 4. — Déformations articulaires du deuxième type . Fig. 1, 3. — Déformations articulaires du premie
s du deuxième type. Fig. 1, 3. — Déformations articulaires du premier type . Fig. 5. — Déformations articulaires du premier t
aires du premier type. Fig. 5. — Déformations articulaires du premier type . Fig. 6. — Main atteinte de nodosités d'Heberden.
ncipaux de la goutte aiguë. — Phénomènes consécutifs. — Déviations du type régulier. — Goutte aiguë généralisée. — Goutte mo
hémie; gangrènes localisées, — Taches ecchymotiques. — Ramol- Trois types fondamentaux du rhumatisme articulaire chronique.
chez les sujets âgés. — Défor-mation consécutive des membres. — Deux types principaux ; leurs va-riétés. Marche de la mala
ébriles dites typiques chez les vieil-lards. — 1° Maladies fébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent.
ards. — 1° Maladies fébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent. — 3° Maladies fébriles à type intermit
nu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent. — 3° Maladies fébriles à type intermittent. De l'élévation rapide et considér
Déformations dans le rhumatisme noueux, 233, 234, 558 ; — différents types , 338, 237 , 238, 557; — ordre d'envahissement, 23
a goutte, 112. F Fébriles (Maladies) chez les vieil-lards, 316; — type continu, 317 ; — Charcot. OEuv. compl. t. vu. M
pl. t. vu. M début, 317 ; — oscillation de la tem-pérature, 317;— à type intermittent. 319. Fièvre 'chez le vieillard, 2
; — con-gestion pulmonaire, asthme, phthisie dans le —, 224 ; — trois types ana-tomiques fondamentaux du —, 231, 556; — trait
232; — symétrie, 234;— différence avec la goutte, 234; — différents types de déformations ; — 235 ; —ordre d'envahissemen
6 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
plusieurs autres déformations du squelette. Mais il y a plus : le type oxycéphalique, en dehors de son cortège de symp
ème pluriglandulaire. Il est curieux de voir à présent comment ce type clinique de l'oxycé- phalie, si étendu en réali
tête pointue, si bien qu'ils ont classifié l'adénoidisme selon deux types de malformations crâniennes : les adénoïdiens à
me selon deux types de malformations crâniennes : les adénoïdiens à type dolichocéphale et les adénoïdiens à-type brachy
s auteurs alle- mands du nom de Thurmschædel ou crâne en tour. Ce type clinique, caractérisé par une lésion des nerfs op
le Traité d'ophtalmologie de Graefe Soemisch, établir nettement le type clinique. En France et en Italie les premiers t
TTI Du côté des nerfs optiques on a observé dans l'oxycéphalie deux types oplitalmoscopiques : la névrite en évolution et
16 BERTOLOTTI Etat actuel. Marie est le seul échantillon féminin du type oxycéphalique que nous avons étudié. Les deux
e nous avons relevées chez les autres,c'est-à-dire : déformation du type rachitique au thorax, scoliose de la colonne ve
s autres sujets dont nous avons relaté l'histoire. Nul doute que le type oxycéphalique soit encore nettement caractérisé c
ervés par moi tendent à démontrer que les altérations crâniennes du type hydrocéphale de l'enfance sont absolument oppos
type hydrocéphale de l'enfance sont absolument opposées à celles du type oxycéphale, bien qu'elles dépendent d'une cause
romégalie ; s'agit-il d'une simple coexistence accidentelle de deux types différents que le hasard réunit dans le même ma
rnues, ses oreilles saillantes. Les mains sont grosses, courtes, du type large de M. Pierre Marie. Pour ce qui est de la
thologie nerveuse, une oeuvre de syn- thèse qui tend à faire de ces types cliniques et des variétés intermédiaires les fo
pécialement l'ataxie héréditaire, Raymond pense que les deux formes types de celte affection, spinale de Friedreich et cé
festations névropathiques et délirantes d'une inversion sexuelle du type passif. Louis-Victor A..., âgé de 25 ans^sans p
Nous sommes donc, c'est de toute évidence, en présence d'un géant du type acromégalique dont la selle lurcique est de dim
les caractéristiques suivantes : 1° C'est un géant acromégatique du type long dès l'enfance. 2° Il a aussi quelques cara
des diverses parties du corps. Tête et face. - Khéroufa n'a pas le type arabe pur ; elle ne ressemble nulle- ment à sa
années,et la majorité des auteurs sont arrivés à s'entendre sur un type clinique défini. C'est un nanisme caractérisé par
ne sont pas là des maladies, dit M. Apert, mais des varia- tions du type humain, analogues à celles qu'utilisent les zoole
pinaux correspondant à ceux décrits par Lugaro et moi-même dans les types cellulaires du chien. Il est à noter que nous pou
spositionetdeiatopograpbiedes corpuscules précipités, au moins cinq types parmi lesquels celui où -les corpuscules de Nis
ionnelle. On se les représente volontiers comme des variations d'un type humain qui n'est point encore fixé, oscillant e
nels, ils n'obéissent plus aux règles ordinaires de la stabilité du type : Ainsi, les variations du coecum et de l'appen
it donc être restée soudée au sacrum. Elles ont tous les caractères types des vertèbres lombaires : un corps large et hau
onne vertébrale. A l'état normal, les deux tendances constituent le type habituel. C 7;D 4` ? ;L = 5 ;S 5;C 5-l. Mais,
mple d'une disposition exceptionnelle; il peut aussi nous servir de type pour sché- matiser cliniquement celte monstruos
hes à venir. C'est pour ce motif que tous les cas qui s'écartent du type normal mé- ritent d'être étudiés avec soin. I
à la Faculté de Médecine de Rio-de-Janeiro. L'étude des différents types de démarches pathologiques garde toujours un gr
fourni tant de travaux intéressants. Mais si pour quelques-uns des types de démarches pathologiques la simple inspection
ien savoir les analyser. On sait d'ailleurs que, quel que soit le type de la marche, il y a des détails que seul l'oei
ève plus on moins facilement. Quoi qu'il en soit, c'est toujours un type de démarche spasmodique (démarche spas- mo-athé
PARIS SÉA1\CE DU 25 JANVIER 1912. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN- DUCHENNE DE NATURE NÉVRITIQUE (second c
s muscles du bras et de l'épaule. atrophie musculaire PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 283 Mesures circonférentielles :
LYLTRILRC. T. XXV. Pl. XXXV111 ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE ( Type Aran-Duchenne) de nature névritique. , (E. Lo
e nature névritique. , (E. Long). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 Les fibres nerveuses sont plu
PLTRIÈRE. T. XXV. l'1. XXXIX X ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE ( Type Aran-Duchenne) de nature névritique. 1 (E. Lo
asson & Cie, Editeurs £ A ATROPHIE MUSCULAUOE POG) ! ESS)V) ! TYPE Alt,N-DUCHENNF, 28 ! : J Le tissu réticulé appa
la SALPLTRILRr. T. XXV. Pl. XL ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE ( Type Aran-Duchenne) de nature névritique. ATROPHIE
ire progressive débutant par les extrémités des membres supérieurs ( type Aran-Duchenne), dont la cause anatomique se tro
s cliniques d'une série d'obser- vations attribuées à l'amyotrophie type Charcot-Marie, ou atrophie mus- 292 LONG cuia
. 675. ATROI'1111 : MUSCULAIKE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 293 type Charcot-Marie, tandis que la seconde lui paraissa
rme d'atrophie musculaire progressive, que l'on dénomme amyolrophie type Charcot-Marie ou encore type péronier de Tooth.
gressive, que l'on dénomme amyolrophie type Charcot-Marie ou encore type péronier de Tooth., ou atrophie musculaire progre
iv, vol. VIII, oct. 1855, p. 537. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 295 espaces dénudés de fibres. La
. et d'anat. path., 1891, p. 921. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297 motrices raréfiées, petites,
rchiv sur Psychiatrie, vol. XXX (1898), p. 105. (2) L'amyotrophie type Charcol-A9aree. Thèse de Paris, 1899, p. 81. (3
bres sans prolifération des noyaux (1) Un cas d'atrophie musculaire type Charcot-Marie, suivi d'autopsie. Revue Neu- rol
rnal de Neurologie, 1906, p. 161. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 299 de Schwann ; hyperplasie du p
ociété de biologie, 18 mars 1893. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 301 mas (1) concernent deux sujet
p. 385. (3) De la névrite interstitielle hypertrophique familiale ( type Pierre Marie). Semaine médicale, 1910, p. 145.
d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gauche, type Aran-Duclenne; extension lente aux muscles de l'a
s anté- (1) Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs ( type A.'ali-Duchenl1e), par névrite interstitielle h
aphie de la Salpêtrière, 1907, n 1. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 303 rieures seules sont lésées et
s musculaires progressives,qui comprendrait à la fois l'amyotrophie type Charcot-Marie et la névrite interstitielle hypert
aires (1), ou familiales ou encore maladies d'évolution, les divers types décrits les premiers gardent la valeur que leur d
que le droit. DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILA TÉRALE ( TYPE h'AClO-SCAPULO HUVIH;RAL Etude clinique, PAR
T. XXV. PI. XLV DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE Type facio-scapulo-huméral. (Mi/lga'{il11) . OU1'L
T. XXV. Pl. XL VI DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE Type facio-scapulo-huméral. - (Mil1gazilli). DYSTR
t de vue de l'évolution et de la sypptomatolorie) complète- ment au type hémilatéral de la variété facio-scapulo-humérale
e sont pas complètement nouveaux dans l'histoire des dystrophies du type facio-sca- pulo-huméral. Gowers (1) raconte un
pulo-huméral. Gowers (1) raconte un cas de dystrophie musculaire, type Landouzy-Dejerine, et dans lequel la face fut pri
que l'on signalait, ap- partenait presque toujours à la variété du type pseudo-hypertrophique. C'est ainsi que, dans un
e doitpas être éliminé des causes déterminantes des ostéopathies du, type pagétique : chez notre malade en particulier, i
bserve tout d'abord chez les tabétiques des amyotrophies diffuses à type plus ou moins progressif, prédominant fréquemment
s un cas particulièrement intéressant de M. Sou- ques, l'atrophie à type Aran-Duchenne était associée à la sclérose combin
n et les rattache à des névrites par compression. Il isole ainsi un type thénar ou médian, un type hypothé- nar ou cubit
vrites par compression. Il isole ainsi un type thénar ou médian, un type hypothé- nar ou cubital et pense qu'il s'agit s
Troisième caté- gorie où il suppose qu'il s'agit de poliomyélite à type spécial. Dans tous ces cas d'ailleurs, il s'ait
s sont sensiblement indemnes. En résumé, névrite interstitielle, du type des névrites vasculaires étu- diées chez le vie
nombre d'observations purement cliniques, la fréquence relative du type auquel elles se rapportent. (A (A suivre.)- )
samment accentuées dans certains cas, pour qu'il ait distingué deux types syringomyéliques : le t5pe sclé- rotique et le
distingué deux types syringomyéliques : le t5pe sclé- rotique et le type glieux. Dans le travail en collaboration avec G
e même que celle de la moelle et du gliome. Elle oscille entre deux types extrêmes. Réduite à sa plus simple expression c
elle en deux fragments antérieur et postérieur. Mais entre ces deux types extrêmes on observe beaucoup de variétés : en r
e grise. Au niveau deDv, Dyi, elle affecte assez irrégulièrement le type circu- laire, elle est exclusivement centrale,
vient à l'appui de la précédente manière de voir : sy- ringomyélles type sclérotique, syri ngomyél ies Lypeglieux. Dans l'
vertiges, des crises de fureur, des accès convulsifs revêtant le même type que l'accès décrit ci-dessus. Chaque attaque co
l'hôpital était l'atrophie de petits muscles de la paume gauche du type Aran-Duchenne avec réaction de dégénérescence (
'éminence thénar, hypothénar et interosseux) et troubles sensitifs ( types dedissocia- Fig. 3. Troubles de la sensibilité
des symptômes tels que l'atrophie des muscles de la main gauche du type Aran-Duchenneetdes troubles de la sensibilité sou
ent nota- table des membres supérieurs et d'atrophie des muscles du type Aran-Du- chenne, les réflexes tendineux et péri
e vertèbre. A droite, on a des néo-ossifications à peu près du même type , mais beaucoup moins développées, qui partent d
astication difficile. Les doigts se déforment sans suivre aucun des types classiques du rhumatis- me progressif. Le médiu
e la cicatrice rempla- çant la corne abrasée. Destruction du même type au niveau du 7e segment cervical.Simple atrophie
tacte sauf l'existence d'une dégénération des cordons postérieurs à type radiculaire avec dégénération des bandelettes d
'emblée sur l'atrophie musculaire qui reproduit assez exactement le type Aran-Duchenne. Elle est bilatérale plus marquée
O&RAPHl1 : . D6 LA SALPJ : 1RIÈRE. T. XXV. Pl. LXI Obs. VI. - Type thénarien pur. Obs. V. Type diffus. Atrophie
1RIÈRE. T. XXV. Pl. LXI Obs. VI. - Type thénarien pur. Obs. V. Type diffus. Atrophie ISOLÉE NON progressive DES PET
dian à la main. En résumé, amyotrophie non progressive avec main de type Aran-Du- chenne, évoluant depuis 18 ans chez un
leurs assez vives dans la main droite. Ces douleurs, passagères et du type lancinant, ont disparu à peu près complètement.
vanique. En résumé, c'est un malade atteint de syphilis nerveuse, à type de tahes supérieur. Atrophie isolée des petit
'être la règle absolue et l'on peut à ce point de vue distinguer un type diffus tlcénuno-hypotlhé- z narien et des types
de vue distinguer un type diffus tlcénuno-hypotlhé- z narien et des types limités thénarien et h ! JJ1otlu ! lIal'ien. Le
narien et des types limités thénarien et h ! JJ1otlu ! lIal'ien. Le type diffus est en réalité de beaucoup le plus fréquen
446 P. MARIE ET FOIX hypothénar l'atteinte des interosseux. A ce type se rattachent nos 3 cas anatomo-cliniques et 4
t nos 3 cas anatomo-cliniques et 4 sur 6 de nos cas cliniques. Le type thénar peut être pur. C'est à lui que se rattache
re pur. C'est à lui que se rattachent nos 2 cas limités. Quant au type hypothénar auquel se surajoute une atrophie des i
ment sur les interosseux. Cependant notre observation VI a trait un type hy- pothénar avec association d'une atrophie th
ns deM. Dejerine montre qu'elles ont trail en réalité un tout autre type d'amyotrophie. Ce sont des malades atteints de lé
métrique, bilatérale et progressive prédominant sur les extrémités, type en effet essentiellement névritique et non pas
nôtres. Il s'agit de lésions progressives revêtant plus ou moins le type de l'atroplliemusculaireAran-Duchenne, bilatérale
me groupe, et l'on trouve également quelques cas se rapportant à ce type , mais l'amyotrophie n'y est signalée qu'en pass
ans les névrites alcooli- ques ou saturnines des formes limitées au type Aran-Duchenne. Somme toute, on en était réduit
, 1908, n° 33, p. 260. Contribution a l'étude des amyo- trophies du type Aran-Duchenne. BEAUDOIN et ]3outGuir,,Nox. - Re
Médicale, 23 décembre 1908. LONG. Atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne de nature névritique, 1907, p. 46
- Sclérose combinée tabétique avec atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne (Sclerose combinée amyotrophique)
représentée par de belles et grandes cellules dont la plu- part du type éosinophile, avec de belles granulations. Les cel
essemblance : je veux parler de la conformation des myopathiques du type pseudo-hypertrophi- que, chez lesquels l'énormi
quente chez beaucoup de femmes et qui s'individualise parfois en un type clinique,voisin de celui que nous présentons au
E l'ARIS SÉANCE DU 7 NOVEMBRE 1912. UN CAS D'ADÉNOLIPOMATOSE . ( TYPE LAUNOIS) . PAR M. TRÉNEL et F ASSO u. Le ma
e soit l'étiologie de l'affection qui nous occupe, elle répond à un type clinique qu'on ne saurait confondre avec : . Le
e rachitique et l'-) (8 pl.), par Bertolotti, 1. Adénolipoln2tose type Launois (1 pl.), par Trénel et FASSOU, 483. A
JoHANSSON et FROEDERSTMM, 105. Aran-Duchenne (Atrophie musculaire type - de nature névritique) (2 pl.), par LONG, 28
fig.), par Marie et Foix, 353 et 427. - musculaire progressive de type Aran-Du- chenne de nature névritique (2 pl.), p
et Parhon, 251. Dystrophie musculaire progressive hémilaté- rale, type facio scapulo-huméral (2 pl.), par P11\GAZZINI,
généralisée avec achromie associée. Lèpre blanche et mélanique à type pie (2 pl.), par ANGLADA, 146. Inversion sexuel
Hyperchromie généralisée avec achromie associée. - et mélanique à type pie) (2 pl.), par ANGLADA, 146. Lipomatose (ilI
généralisée avec achromie associée. Lèpre blanche et mélanique à type pie (2 pl.), 146. BENON (R.) et Fnocsrs (P.). D
ner- veux, 153. 1<'.\S50U et Trénel (i%l.). Adénolipomatose type Launois (1 pl., 1 fig.), 483. FEiL (André) et K
de Paget (4 pl.), 334. Long (E.). Atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne de nature névriti- que. Second ca
Mingazzini (G.).Dystrophie musculaire pro- gressive hémilatérale ( type facio-scapulo- huméral) (2 pl.), 320. 9lowz (
M), XVI à XVII. Hérédo-ataxie cérébelleuse (TisSOT), XII. Lèpre à type pie (A1\GLADA), XXIV et XXV. nléningo-myélite c
7 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
un symptôme : la fièvre. Celte fièvre affecte dans bien des cas un type constant qui peut même servir comme élément iso
eut en grouper d'autres qui ne suivent ni une marche uniforme ni un type déterminé et dont la forme varie dans chaque ca
adies qui sont es- sentiellement fébriles. La suppuration est -le type des complications thermogénésiques et ce- penda
se terminer et qu'il ne s'agissait que de troubles fonctionnels. Le type de la fièvre a été le même que celui de l'année 1
elle décrite par Briquet) ; 2° Forme intermittente, généralement de type tierce ; 3° Forme brève, à type typhoïde, ordin
orme intermittente, généralement de type tierce ; 3° Forme brève, à type typhoïde, ordinairement primitive, marquant le
ermie hystérique manifestée sans causes connues. La fièvre était de type continu et elle dura trois mois environ, oscillan
n s'é- coula et elle fut attaquée alors de fièvre intermittente, du type tierce, qui dépassa en général 41°. Pendant les
stérique n'est point douteuse. Parmi ceux-ci, trois à forme briève, type typhoïde (Briand) ; deux, à type intermittent ;
rmi ceux-ci, trois à forme briève, type typhoïde (Briand) ; deux, à type intermittent ; l'un tierce (Bordoni), l'autre irr
l'un tierce (Bordoni), l'autre irrégulier (Wite) et enfin, deux, à type continu : celui de Debove et celui que je décris.
e, ceux qui tapissent la caisse de résonnance sont raides. C'est le type de la parole d'un individu qui a tout ce qui conc
x premières. Quant à l'abduction, elle répond habituellement à deux types : ou bien les doigts sont unifor- mément écarqu
stent pendant longtemps, lorsque les contractures sont extrêmes. Le type le plus commun c'est la flexion de l'avant-bras s
malade marche sur la pointe du pied, c'est la démarche spasmodique type Ollivier d'Angers, Charcot. Les deux sterno-c
droite el gauche. En vérité on peut affirmer qu'il n'existe pas un type uni- forme de déviation, Nous avons remarqué
les auteurs qui se sont occu- pés de la question.' Il s'agit d'un type morbide qu'on doit faire rentrer dans les dyslali
constante, qu'elle siège quelquefois aux membres supérieurs dans le type spinal, et souvent au niveau de ces derniers dans
s dans le type spinal, et souvent au niveau de ces derniers dans le type cérébro- spinal. 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
cérébro- spinal. 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le type le plus souvent observé aux membres supérieurs c'
hies sont relativement rares. Vous n'ignorez pas non plus que dans le type classique créé par l'immortelle description de
ssique créé par l'immortelle description de Duchenne (de Boulogne), type qui répond certainement à la majorité des cas de
oire clinique du faites quelques groupements de symptômes, quelques types assez bien définis qui, sans nul doute, répondent
ette des membres inférieurs ne sont point altérées. Conformément au type , la hauteur de la jamhe mesurée du sol à l'interl
perçu historique me permettra de mieux préciser la signification du type dont j'ai il vous parler. Cette étude a été ent
nécessairement lettre morte. Et pour les médecins la comparaison du type moyen qu'il repré- sente avec les individualité
fil pour ainsi dire la synthèse. J'ai essayé de réunir dans un même type les avantages des deux sortes de canons, précis
du sol à l'interligne articu- laire du genou mesure, comme chez le type , exactement 2 tètes. En effet cette hauteur éga
, la cuisse, d'après le ARTHROPA'11111 : ,S COXO-I'É11OHALGS. 135 type , doit mesurer 1 tète 1/2 ou 3/4 de jambe. La jamb
rairement à ce qui parait être le cas le plus fréquent. C'est là un type de déviation parvenu pour ainsi dire il son parfa
norme de tout le haut du corps et revêtant d'une façon manifeste le type paralytique ». D'autres auteurs, comme Leyden,
ifférents nerfs périphériques. On note simplement : « Arthropathies types des deux articulations coxo-fémorales et de la
et de divers nerfs des membres inférieurs. Arthropathies tabétiques types des deux articulations coxo-fémorales. Nous rap
- bétiques du rachis, arthropathies et fractures, sont conformés au type gé- néral dont la connaissance est due à M. Cha
rlin). Broca a aussi trépané dans un cas de monoplégie brachiale du type in- fantile spasmodique avec athétose et épilep
S. 209 Certaines attitudes physiologiques réalisent l'un et l'autre type . Le pre- mier type répond à l'attitude hanchée
titudes physiologiques réalisent l'un et l'autre type. Le pre- mier type répond à l'attitude hanchée du soldat au repos. S
que le hanchement s'exagère alors beaucoup; ceci répond au deuxième type . Telles sont les attitudes des hémiplégiques. P
Quelle interprétation pathogénique convient-il d'adopter ? Pour le type croisé, rien de plus simple ; nous n'y insister
e croisé, rien de plus simple ; nous n'y insisterons point. Pour le type homo- logue, comment s'expliquer cette inclinai
ble article du Dictionnaire encyclopédique, M. Marie distingue deux types d'hémiplégie infantile, l'un avec contracture e
n prononcée des membres, l'autre allié- tose vraie. Dans le premier type , « le Ironc, dit-il, est parfois imparfaite- me
s adolescentes : quelques-unes étaient adultes. Elles offraient des types variés de l'affec- tion, tant comme répartition
r facilement et ne persistaient pas dans le décubitus. Tel est le type habituel. Cependant, chez deux sujets frappés d'u
ns plusieurs variétés de myopathies primitives, notam- ment dans le type paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne, dans
t dans le type paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne, dans le type Erb, dans le type Landouzy-Déjerine une altératio
alysie pseudo-hypertrophique de Duchenne, dans le type Erb, dans le type Landouzy-Déjerine une altération des muscles ex-
s les observations que nous avons faites surplu- sieurs malades des types Erb et Landouzy-Déjerine, il nous semble hors d
ppé, présentant par conséquent au plus haut degré les caractères du type . De plus nous avons pu l'étudier à loisir et no
Favus dans l'enfance ; rougeole à 10 ans ; érysipèle de la face (du type migrateur) à 15 ans. En février 1890, il entre
gauclie sensitivo- sensorielle ; il a eu trois attaques revêtant le type classique ; la première il y a 3 ans (un an ava
avons rencontré quelques-uns dont l'aspect s'éloigne notablement du type classique, et nous avons pensé que la descripti
côté des cas décrits par M. le pro- fesseur Charcot sous le nom de type d'extension dont deux exemples remarquables ont
sychiatrie de St-Pétm'sbourg, sept. 1888) (1) a trouvé, dans un cas type de maladie de Thomsen, que la période d'exci- t
assez fréquente. Les maladies des parenls sonl représentées par les types morbides variés que tous les auteurs ont notes
a un érysipèle de la face, qui dure deux mois et envahit le thorax ( type ambulant, à re- chutes) ; un abcès derrière l'o
Interne provisoire des hôpitaux. UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN Charles M... 62 ans, marchand des quatre
ont été minutieusement décrites par UN nouveau cas DE syringomyélie TYPE MORVAN. 287 MM. Monod et Reboul, dans un très i
HIE Chêne & Longuet Troubles TROPHIQUES dans la syringomyélie TYPE MORVAN JOUIS 'j3A7TAILLE & WIC Í j} ! ! Í
A7TAILLE & WIC Í j} ! ! ÍYJ¡¡ UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN. 289 la température dans un point limité
t aucune altération appréciable. Ce malade a été considéré comme un type de maladie de Morvan et décrit comme tel, à une
, ici même, l'an dernier (1). En effet, (1) Un cas de syringomyélie type Morvan, Nouv. Iconogr. 1891, p. 255. NOUVELLE I
HIE CHLNC & Longuet TROUBLES TROPHIQUES dans la syringomyélie TYPE MORVAN ¿;OU¡S }3A'rT.\ILLr : : A «-Or, £ t>u
}3A'rT.\ILLr : : A «-Or, £ t>uRs UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN 291 la maladie du Morvan a vécu comme en
té morbide ; elle n'est plus à l'heure actuelle qu'une forme, qu'un type clinique de la syringomyélie. Les deux autopsie
igts sont fléchis dans la paume de la main, le pouce en deliors. Ce type de flexion est peu marqué il gauche ; de ce côt
asse sensiblement. Si l'on veut se donner la peine de construire un type sur les mesures du canon de Ch. Blanc, on const
) malgré ses proportions de huit têtes doit être rapproché de notre type de sept têtes et demie. La hauteur de huit tê-
s dimensions du ca- valier relativement à sa monture. Il a donné un type de proportions qui rappelle un certain nombre d
enir, empruntés pour la plupart aux anciens canons artistiques ; ce type s'éloigne peu du nôtre. Il en diffère cependant
égaler le fémur depuis sa base jusqu'à son point extrême, duquel on type la proportion de sept télés deux tiers, pendant q
égalité, celle qui répond au torse, elle ne s'applique plus à notre type dont le torse la dépasse. D'ailleurs les exemples
se mesurée suivant le procédé dent. Duhousset. Canon de huit têtes ( type héroïque). Conformément à ce que nous avons fai
t têtes et demie, nous avons cherché, dans la construction de notre type de huit têtes, à nous rapprocher autant que pos
bas, dans le canon de huit têtes. C'est Fig. 39. Canon de 8 têtes ( Type héroïque.) (Vue antérieure et vue postérieure r
s inférieurs. Il se rapproche d'ailleurs beaucoup du nôtre. Notre type de huit tètes offre également de grandes analogie
Procédés pour établir la comparaison entre un sujet quelconque et le type moyen figuré par le canon de sept têtes et demi
-Malades un cas complexe d'hystérie qui simulait à s'y méprendre le type clinique spécial de l'hémiplégie spas- modique
ugurale. Comme lui d'ailleurs, nous n'avons pu nous occuper que des types principaux; mais ces types, étant plus nom- bre
rs, nous n'avons pu nous occuper que des types principaux; mais ces types , étant plus nom- breux dans notre travail, sont
. S'agit-t-il de lésions du foyer ? la maladie offre d'ordinaire un type régulier, unila- téral ou symétrique. S'agit-il
en chez les enfants que chez les adultes à l'un et à l'autre de ces types ; la simulation peut être parfaite dans les deux
891) ; bref, qu'elle réalise chez eux, il l'inverse des adultes, le type des accidents intermittents et fugaces. Tout ce
ssible, c'est- à-dire les cas où la maladie organique, affectant un type dégrade, peut se confondre avec un syndrome hys
oints suivants : 1° Par quels signes notre malade se rapproche du type clinique de l'hé- miplégie spasmodique infantil
ic de syndrome hystérique. Les signes qui plaidaient en faveur du type clinique de l'hémiplégie spas- modique.infantil
viter cette erreur, et par quels signes notre malade s'éloignait du type clinique de l'hémiplégie spasmodique infantile.
us a conduit à faire quelques re- cherches sur la représentation du type de l'hermaphrodite dans l'art an- tique. Et nou
lumière. On connaît la légende grecque où l'art antique a puisé le type de l'her- maphrodite. Fils de Mercure et de Vén
onnues et les plus remarquables, dans l'inten- tion d'en dégager le type morphologique adopté. Le musée des Antiques au
Pl. LIII) ; ce qui m'a permis de l'étudier de près. Or il offre un type morphologique des plus remarquables, qui est une
te de parti pris intermédiaire entre l'homme et la femme et dont le type se trouve réalisé dans la statue du musée de Berl
e trouve réalisé dans la statue du musée de Berlin. En dehors de ce type de l'androgyne spécialement consacré à la pro-
minons maintenant notre malade et nous verrons qu'il se rattache au type de l'hermaphrodite antique, non pas par sa parfai
iés. Leurs fonctions sont réduites à néant. Notre sujet présente le type de la frigidité la plus complète et, par là, di
il- les de la Tourette, 119. Syringomyélie (Un nouveau cas de -), type Morvan, par Souques, 286. Tabès ataxique (Art
8 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
olution cli- nique de la maladie notre observation' se rapproche du type commun , , " 1. (1) Planche V. 1. Squelette d
Sclérose du myocarde. Aorte. Très athéromateuse. Foie. 1560 gr., type de foie muscade. Rate. 310 gr., très indurée.
t avoir précédé les déforma- tions, mais ils n'ont jamais revêtu un type défini, occupantplutùt les deux genoux que la c
st alleint de t'ostéite déformante de Paget, s'éloigne cependant du type commun de cette affection par plusieurs points.
e imagination fantaisiste : il n'est souvent qu'une copie fidèle de types morbides bien définis. Celle tendance se retrou
médecin, en ce sens qu'ils sont des preuves sincères de l'unité des types pathologiques à travers les âges. Mais, malgré
une cer- taine monotonie dans les répliques si fréquentes d'un même type figuré. On répète a satiété le modèle familier,
uvé que la ménade de gauche ne se rap- portait pas exactement à ses types figurés. Ce n'est pas une raison suffisante pour
le système d'IIauser a des avantages pour faciliter les études des types figurés, il expose aussi à bien des er- reurs e
chéologues, la première com- position artistique qui a déterminé le type figuré reproduit depuis lors avec une si grande
ettes de divinités (4). Il n'y a pas lieu d'insister sur les autres types figurés de ménades. Ceux-ci sont très nombreux
LA S A L P Ê'I'lt l È 11 15. portance. Elle est pour ainsi dire le type de toute station. Son mécanisme donne la clé de
térées, car la paralysie atro- phique des membres supérieurs est du type radiculaire. On doit admettre qu'il s'agit là s
sion que : les stations pathologiques paraissent se rapportera deux types , l'un dans lequel la hauteur II est réduite à z
lus ou moins considérablement accru (fig. 42). C'est à ce dernier type que se rattache la station des myopathiques et
ture des atrophies musculaires. L'atrophie musculaire progressive ( type Aran-Duchenne) conserve son indi, idualité clin
oyant trouver dans une localisation par- ticulière de l'atrophie un type clinique différencié. A chacun de ces types, l'
culière de l'atrophie un type clinique différencié. A chacun de ces types , l'auteur qui l'observait pour la première fois a
es, l'auteur qui l'observait pour la première fois a donné son nom ( type infantile Landoiizy-Dejerine, type Ziimmerlin, ty
a première fois a donné son nom (type infantile Landoiizy-Dejerine, type Ziimmerlin, type juvénile d'Erb, type Leyden-Mo
donné son nom (type infantile Landoiizy-Dejerine, type Ziimmerlin, type juvénile d'Erb, type Leyden-Moebius). l'eu à
infantile Landoiizy-Dejerine, type Ziimmerlin, type juvénile d'Erb, type Leyden-Moebius). l'eu à peu, on s'est aperçu qu
ile de Duchenne a déjà été démontrée par Landouzy et Déjerine. Car le type scapiclo-h2cnérccl de ces auteurs n'est évidemm
ent pas autre chose que notre forme juvénile et la similitude de ce type scapulo-huméral avec le type fa- myopathie prim
forme juvénile et la similitude de ce type scapulo-huméral avec le type fa- myopathie primitive généralisée 145 cio ?
une conférence faite en 1890, à la Salpê- trière, un myopathique du type facio-scapulo-huméral avec pseudo-hyper- trophi
es les variétés, un dernier fait contribue à unifier les différents types , c'est le caractère fa- milial qui leur est com
Th. Berlin, 1892. (2) G. Guinon. Deux cas de myopathie progressive ( type Landouzy-Déjerine) pl'imi- tive, avec pseudo-hy
Berger, Raymond, Erb). V^ ' Notre malade se rapprocherait plutôt du type isolé par Leyden, et dé- crit par Moebius (I),
opathies primitives, 1886, GRADENoo, Contrib. al. putogen. de.pseio/ type ? oamMeoare. Mitano, 1883. -* . (3) Hoffmann. A
\ sous le nom de faciès myopalhique (Lam10uz : y-Déjeri'ne) dans le type facio-scapulo-huméral. Mais si l'on n'y remarqu
r ce fait qu'on voit réunis chez un même sujet les trois principaux types de la myopathie primitive, constitue surtout un
de réactions électriques qui n'ont pas encore été observées dans ce type d'amyotrophie (3). ' D'accord avec les idées gé
0 la présence de la réaction de dégénérescence chez un myopalbiquc du type facio- scapulo-huméral. (Obs. rapportée par M.
dans la suite leurs propriétés. 2° Atrophie musculaire progressive ( type Ductienne-Aran). Paralysie essentielle des adul
omyélites antérieures secondai- res a d'autres lésions spinales. Le type de ce groupe est la sclérose laté- mie rt1nyotr
phie musculaire progressive de Leyrlen (3) débutant par les jambes. Type frrcio-scapulo-h2lzzérrrl de Landouzy-Déjerine (4
èce publié jus- qu'à ce jour et qu'il ne réponde pas exactement aux types décrits dans la classification précédente. Il
fecter une disposition qui a fait créer, sui- vant les auteurs, des types différents. (Type facio-scapulo-huméral, type p
ion qui a fait créer, sui- vant les auteurs, des types différents. ( Type facio-scapulo-huméral, type péronier, etc.).
vant les auteurs, des types différents. (Type facio-scapulo-huméral, type péronier, etc.). Des observations récentes te
rvateur le plus consciencieux. D'ailleurs, des cas d'amyotrophie du type Duchenne et de myopathie primitive ont été obse
ttre a la critique mé- dicale, correspond précisément à l'un de ces types d'amyotrophies que l'on range dans les myopathi
i spécial aurai pu tenter quelque artiste désireux de reproduire un type de stupidité ou de bestialité. Les emprunts de
lade qu'on peut considérer comme un modèle de facies myopa- thique ( type Landouzy-Déjerine). On sent que l'auteur a non se
de a été présenté plusieurs fois par l. Charcot dans ses leçons comme type de facies myopathique. La photographie du même
schr., 1885. Gênas ET DOUILLET. - Deux cas de myopathie atrophique, type Lazdouy-Déje- rine, et un cas d'atrophie muscul
rophique, type Lazdouy-Déje- rine, et un cas d'atrophie musculaire, type Aran Duchenne, dans la même fa- mille, Loire mé
culaire progres- sive, Revue de Méd., 1886. Toonx. - The peroneal type of progressive nx2cscrrlcrr atrophy, Graduation T
ons System. Vol. I, pp. 386 et seq., 1886. D. SUCIiLING. - The leg. type progr. Musc. Atrophy. Mid. Med. Soc., déc. 8-86,
ing many members of a family, Brain, 1888. TooTH. - The Perorzeal type of Muscular Atroplzy, Brain, 1888. Sacho B. M.
troplzy, Brain, 1888. Sacho B. M. D. (et T) Te Peroneal form or leg type of lJ1'og¡ ? 1-Iusculw' Attroplzy, Brain, 1889.
Lancet, Aug. 12. 1893. G. GutNON. Deux cas de myopathie primitive ( type Landouzy-Déjerine) avec pseu- do hypertrophie d
1. CRISAFULLL ET LUZZATO, Trois cas de dystrophie musc1tl. progr. a type familial. Gazzetta dégli Ospedali, n- 24, 1893.
hirurg. Bologna, 1893. ToMMASELu. Un cas d'atrophie musc, juvénile ( type d'Brb.) Riforma medica, 1893. 208 NOUVELLE ICON
liomyélite aiguë infantile ancienne accompagnée d'une myopa- thie à type scapulo-hnmeral. Méd. moderne, 23 sept. 1893. F
ow. med. Journ., 1893, p. 110 Caunac De l'analogie des différents types de myopathie essentielle ; contrib. Clin, à l'é
thie essentielle ; contrib. Clin, à l'ét. des formes de transition ( types mixtes). Th. Montpellier, 1893. FLANDRE. - Myop
e nous dirons que le tabes est purement moteur. Voici maintenant un type inverse : vous avez sous les yeux un homme de 6
es du tabès, et je vais, Mes- sieurs, vous montrer au préalable les types (l'3l'thropatltie les plus favorables cette étu
e et douloureuse période des crises fulgurantes pne-ataxiques. Un type d'arthrupathie très analogue à celui-ci, tant par
histoire a été longuement commen- tée par M. Charcot, vous offre un type d'arthropathies multiples liées à la syringomyé
(hypertrophiante) dans le pied gauche. C'est un pied tabétique d'un type spécial. L'ostéo-arthro- pathie semble porter s
nt de vue de la forme de l'arthropathie, nos faits rentrent dans le type classique : usure et atrophie à l'épaule (Obs. 1)
encore né- cessaire, puisque chez celle malade on retrouve les deux types atrophique et hyperlrophique réunis. Du resle,
que les arthrites ou arthropathies des doigts si fréquentes dans ce type morbide. Ces arthrites sans doute rentrent dans
es congénitales des doigts, celle espèce de bidactylie constitue un type curieux dont on retrouve quelques exemples dans
raits fonda- mentaux d'un tableau si changeant et si complexe. Le type créé par Rubens, et qu'il s'est plu à reproduire
me au cas particulier sa physionomie propre ; d'où la variation des types syringomyéliques et les difficultés du diagnostic
as de né- vrite périphérique où la dissociation de la sensibilité à type syringomyéli- que existait. Dans la névrite, l'
nte, nous dirons qu'il s'agit ici d'une forme mixte : syringomyélie type Morvan, décrite par Charcot. Quant à la localis
c localisé plutôt vers les cornes postérieures. Il s'agirait ici du type médian postérieur de la classification anatomo-
nt cervical. Notre cas se distingue par certaines particularités du type commun. Tout d'abord la marche ; l'affection a
bès. ,> J'ai distingué pour les besoins de la démonstration deux types cliniques, l'un moteur, l'autre sensitif qui ne
tre sensitif qui ne sont à vrai dire, qu'exceptionnels en fait. Les types mixtes sont infiniment plus vulgaires. Mais dans
forme hypertrophique ne tend pas nécessairement vers l'atrophie. Le type atrophique a été rencontré notamment dans l'obser
ses, la description qu'en avait tracé le malade répondaient bien au type classique des douleurs fulgurantes du tabes dor
iques secondairement infectées peuvent revêtir un certain nombre de types bien distincts tenant à la nature de l'infection
u mode de réaction des tissus dystrophiés. Notons d'abord parmi ces types , et lout a fait à part, l'arthropathie tro- pho
ES TROPHIQUES AU POINT DE VUE CHIRURGICAL 303 tes, et revêtent deux types bien distincts : l'arthropathie tropho-suppurée
ue, les autres en continuité avec elle, ces dernières revêtant deux types : grandes arthro- pathies du tarse postérieur,
sans mélange dans les nécroses phalangien- nes de la syringomyélie type Morvan ; il en était de même chez un ma- lade à
le ou des nerfs vont, de même que les précédentes, nous montrer des types nombreux et importants. Celles qui ont pour c
qui peuvent se montrer au chirurgien, et combien elles différent du type médical et classique de la maladie de Charcot.
ntervention son évolution commencée. Si celle-ci se fait suivant le type hypertrophique, peut-être ne s'oppose-t- ellepa
à forme hypertrophianle. Mais, si l'arthropathie évolue suivant le type atrophique, la résection ne donne que des résul
'organes sensoriels latéraux et de branches vasculaires répétant le type de la région bran- chiale. - Beard, Allis, Ay
- liales, qui vont chez les deux premiers bientôt évoluer vers deux types pro- lozoïques bien tranchés L'élément il type
t évoluer vers deux types pro- lozoïques bien tranchés L'élément il type amibien, en araignée, avec ses ramosités éparse
latéral. Elle manque dans la papille branchiale. L'autre élément, à type infusoriforme, produira l'appareil épi- thélial
aires, les gaines des prolongements, etc. Les cellules nerveuses, à type amibien, étendent vers d'autres éléments, nerve
appareil neuro-latéral, -des prolon- gements ramifiés de différents types où l'on trouve tous les intermédiaires depuis l
d'un ganglion spinal ? Sa partie inférieure contient des cellules à type moteur, mais moins grandes que celles des cornes
taient le'type de paralysie médullaire que j'ai décrit sous le nom de type jambier, dans le second le type que j'ai décrit
aire que j'ai décrit sous le nom de type jambier, dans le second le type que j'ai décrit sous le nom de typé brachial su
9 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
5 il : i 2 1-'iG. 1, 2 et 3, Spomlyloscs rbi;ouu'luluos : i) Type de de flexion » ; 2) Type « d'extension n ; 3) ty
1, 2 et 3, Spomlyloscs rbi;ouu'luluos : i) Type de de flexion » ; 2) Type « d'extension n ; 3) type d'extension avec, en
i;ouu'luluos : i) Type de de flexion » ; 2) Type « d'extension n ; 3) type d'extension avec, en plus, luxation de 1.1 colo
- traînée par le poids de la tête. Nous avons décrit nous-même deux types de spondylose que nous avons dénommés le type d
écrit nous-même deux types de spondylose que nous avons dénommés le type d'extension et le type de flexion, mais ces deu
pes de spondylose que nous avons dénommés le type d'extension et le type de flexion, mais ces deux types diffèrent surto
s dénommés le type d'extension et le type de flexion, mais ces deux types diffèrent surtout par l'ankylose en flexion ou
ques ; cliniquement d'ailleurs le malade était un des beaux cas du' type d'ex- tension (fig. 3, pl. VII). Ce qui frapp
exité tient à ce que l'in- fantilisme ne répond pas toujours à « un type uniforme et immuable » ; il se présente, au con
vaient à tort mélangés, inaperçus et confondus, et il créa ainsi un type ou variété d'infantilisme, qu'il identifia au m
s, à tous les autres du groupe, qui, pris en bloc, forment un autre type ou variété d'infanti- lisme. Et ainsi, ces in
la dénomination d'infantile, ont été divisés par M. Brissaud en deux types parfaitement distincts par leurs symptômes et p
aitement distincts par leurs symptômes et par leur nature : « 1° Le type anangioplasique comprenant les arrêts de développ
eloppement liés aux anomalies cardiaques ou artérielles ; « 2° Le type myxædémateux, dont les caractères et l'origine ra
'origine rappellent le myxoedème proprement dit (2). » Le premier type contraste singulièrement avec l'autre par son éte
end indéfiniment son heure » (Brissaud). En opposition, le deuxième type est bien plus restreint et défini ; il présente
mptomatiques et pathogéniques, qui existent entre les infantiles du type Lorain et les infantiles du type Brissaud, sont
i existent entre les infantiles du type Lorain et les infantiles du type Brissaud, sont remarquables. Magré cela, M. Her
dmet pas cette division. et ras- semble tous les infantiles dans un type unique : « L'infantilisme, dit-il, est un et la
us allons voir, une dégénérescence spé- ciale, une dégénérescence à type infantile, qu'on ne saurait pas nier sans force
nalyse. Je me propose, dans ce travail, de montrer l'existence d'un type mixte, formé par la fusion de l'infantilisme av
t à 64 ans. Oncle : Intelligent, mais déséquilibré, excentrique, un type d'originalité, il était considéré par tous comm
transition très instructive entre l'infantilisme et le gigantisme à type infantile. Voilà en ce qui concerne le corps. V
VELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XIX. PI. XII INFANTILISME ( TYPE BRISSAUD) ET DEGENÉRESCENCE PSYCHIQUE (Magalhae
Après le traitement thyroïdien. Poids : 123 kilos. INFANTILISME ( TYPE BRISSAUD) ET DEGENERESCENCE PSYCHIQUE (Magalhae
oppement des org.lI1cs neniuuv Absence des caractères INFANTILISME ( TYPE BRISSAUD) ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE (Mngnll}(
quelquefois à réaliser cette va- riété d'infantilisme qu'on appelle type Lorain, c'est, d'après M. Brissaud, par l'inter
is générations de ses ascendants, qu'elle écarta en grand nombre du type normal, en leur donnant un système nerveux impa
alcoolique, une dégénérescence toute spéciale, une dégé- nérescence type infantile, constituée par la fusion des caractère
la dégénérescence mentale avec les caractères de l'infantilisme du type Bris- saud. En d'autres mots, dégénérescence
ent coexister chez le même individu, se pénétrer, se fondre dans un type mixte. C'est ce que je tiens surtout à faire re
membres supérieurs. - Les mains larges, camardes, aux longs doigts ( type en long), les bouts des doigts épais, les ongle
un garçon de 16 ans de développement .normal. En comparant ces deux types vous trou- verez facilement les différences.
longueur de ses extrémités et la petite circonférence du corps « le type eunuchial ». Il n'est nullement rare, que le ta
onction incomplète cause non seulement le myxoe- dème, mais que son type de fonction inverse est lié des plus étroitement
mmodation. La température générale est franchement hyponormale avec type iuverse. Prise à l'aisselle matin et soir penda
: La température s'est notablement élevée. La moyenne est 37° ; le type in- verse persiste, les maxima sont 37°5 le mat
sur les oeuvres de la sculpture grecque où les globes polis sont le type du vrai-style classique, (1) Magnums, Das Auge
re relever directement du rachitisme. Peut-être même y a-t-il là un type tout particulier, non encore individualisé, carac
R H. CLAUDE et P. LEJONNE. Sous les noms divers d'infantilisme du type Lorain (Brissaud), de na- nisme (Gilbert), de d
velop- pement ; elle est peu développée, voilà tout. C'estbien le type d'hypotrophie décrit par Brissaud sous le nom d'i
. Il s'agit bien évidemment dans les deux cas de neuro-fibromatose, type dermato-fibreux, et non de neuro-fibro-sarcomat
ce serait là une ex- plication adéquate à J'aspect singulier de ce type de paralysie radiculaire. CONCLUSIONS I. La p
es zones radiculaires moyennes ; ce n'est donc pas un cas très pur du type connu sous le nom de tabes incipiens ; c'est en
ion de méandres capricieux, bifurcations et ramifications de divers types , épais- sissements en boules arrondies ou ovoïd
RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 231 line faite sur le type classique, disposition que j'ai depuis longtemps
phères sont com- posés de cellules cylindriques et appartiennent au type adéno-carcinome. Le 252 . WEBER li foyer prim
ques dont l'aboutissant sera suivant les cas l'encé- phalomalacie à type lacunaire de P. Marie, la sclérose médullaire pol
avoir beaucoup attiré l'attention des médecins. Confondue avec des types cliniques assez voisins, il«est vrai, au point de
différents quant à leur cause et à leur substratum ana- tomique, ce type de paraplégie nous parait mériter une place à par
cale, on la trouve dans ce fait que les auteurs qui ont constaté ce type clinique l'ont classé d'emblée dans (1) P. LEJO
mnes de toute cachexie et de toute démence. Il existerait donc deux types au point de vue étiolo- gique, l'un dans lequel
. A y regarder d'un peu plus près toutefois, la réalité de ces deux types s'évanouit et si l'on constale chez les uns, un
tes ; il est à remarquer seulement que ces affections myopathiques ( type de Empis, de Bail), s'accompagnent ' 1 J Nouvel
capuchon ; peut-être s'agit-il ici d'une ébauche de régénération du type de Neumann. Autour de la plupart des fibres aya
ion. Deux observations d'arthropathies nerveuses, répondant bien au type de Charcot, sont surtout connues : celle du pro
é au profit des caractères féminins. - Ainsi, ce malade présente un type morbide assez complexe qui nous pa- raît pouvoi
son émotion. Les peintres flamands et hollandais ont affectionné ce type . La même vieille attendrie se retrouve dans plu
aire, malgré d'inévitables réminiscences, s'est efforcé de varier les types , les costumes, et surtout les éclairages. Tan
e 8 mois). Nous décrivions chez ces 3 animaux des dégénérescences à type wal- lérien, dans le territoire cutané correspo
ants que pour la moelle et le cerveau. Outre qu'il existe plusieurs types cellulaires avec de nombreuses formes de transi
ux cas, il avait trouvé quelques fibres en dégénérescence périaxile type Gombault (un segment atrophié entre deux segments
e l'existence d'un certain degré de névrite périphérique, névrite à type wallérien, et portant presqu'exclusivement sur
ngements. La dégénérescence du prolonge- ment périphérique prend le type wallérien et reste localisée aux terminaisons l
ns fragile, dégénère seulement dans sa por- tion terminale selon le type wallérien, tandis que le prolongement central s
bres intactes ont une coloration grisâtre ; les fibreségé- nérées à type wallérien sont très rares, la plupart sont simple
rt sont simplement atrophiées, et cette atrophie se fait suivant le type segmentaire (Shaw, Dejerine et Tho- mas) (3).
sans que nous y voyions apparaî- tre nulle part la dégénérescence à type wallérien ; la cellule ganglionnaire ; spinale
est beau- coup plus aigu; la dégénérescence périphérique y prend le type wallérien et s'éteint en moins d'un an ; la dég
Hauser. D'autre part, les dégénérescences fies nerfs périphériques (à type wallé- rien chez l'animal) différaient au point
tologique des névrites cuta- nées des tabétiques (atrophie simple à type segmentaire). Il n'y a pas non plus d'assimilat
anifestèrent des troubles visuels et des altérations de la parole à type bradylalique et dysarthrique. Lorsque l'auteur
bleau », c'est l'expression même employée par Charcot; il créa neuf types d'amusies, fondées sur les analogies présumables
euf types d'amusies, fondées sur les analogies présumables avec les types d'aphasies décrits par Lichteim dont il suivait
ellente séméiologie du système nerveux,bien qu'ils aient groupé les types d'amusie par leur caractère sensitif ou mo- teu
peut ' ^ pas écrire de musique). Ces auteurs décrivent les divers types d'amusie comme formes spéciales des aphasies co
mpêche partiellement : l'amusie est incomplète. On comprend que ces types se combinent en clinique, et que les varié- tés
exemples on peut facilement induire le caractère clinique des autres types mentionnés dans la nomenclature que nous propos
peut employer pour la critique des faits cli- niques. Les divers types ont pu être observés cliniquement dans presque to
léments constitutifs, mais elle nous montre aussi ses déviations du type normal. Elle peut ainsi nous permettre d'étudier
s doigts, déviation qui est la règle dans l'arthrite déformante. Le type rectiligne d'arthrite déformante (P. Vidal) s'acc
combiné à certaines déformations rhumatismales, notamment à un beau type de pouce en croissant type P. Marie et Léri. Ex
tions rhumatismales, notamment à un beau type de pouce en croissant type P. Marie et Léri. Existe-t-il un rapprochement
Existe-t-il un rapprochement entre cette forme demain sénile et le type spécial indiqué par M. Teissier, d'après P. Mar
e, le gonflement du dos des articulations par du tissu dur. Mais le type de P. Marie et Léri paraît surtout caractérisé
des mains et des pieds était manifeste. On sait qu'il existe deux types de chiromégalie : l'un dans lequel l'aug- menta
e et épaisse sans que la longueur soit beaucoup augmentée; un autre type est celui où le développement se fait en longue
ionnées à la longueur; la main est alors moins difforme. C'est à ce type que répondaient les mains de notre malade. De m
uite de lésions analogues du rachis ; la respiration est gênée et à type presque exclusivement diaphragmatique à cause de
endra à l'appui de l'opinion de MM Brissaud et Henry Meige QUELQUES TYPES DE PLAIES PÉNÉTRANTES DU CRANE PAR LES PROJECTI
e l'Institut.Bien qu'enserré dans d'étroites limites et gêné par le type officiel, qui ne lui permettait pas de donner li-
les, vous rêviez de représen- ter par la sculpture quelques-uns des types morbides que, médecin, vous aviez étudié d'une
il se produit une néoformalion de libres nerveuses suivant les deux types décrits par Cajal et nous-mêmes dans les nerfs
thie pseudo-hypertrophique de Duchenne-Dejerine, et la myopathie du type Leyden-Moebius. Aux travaux de Werdnig et d'Hof
- PAR ". ' ' P. LEJONNE et M. CHARTIER. A côté de l'infantilisme type Lorain, état pathologique caractérisé parla a p
rmes juvéniles et l'arrêt d'évolution du système génital, à côté du type d'hypotrophie simple où les formes sont celles d'
nnés. Les mensurations respectives des divers segments affectent le type normal : le segment proximal est plus long que le
es potelés, tout comme chez l'enfant, on est en présence d'un autre type d'infantilisme. Ici,-les organes génitaux et les
espiratoires. Elle nous semble donc devoir être considérée comme un type de dystrophie d'origine à la fois adénoïdienne (3
ante d'une autre maladie également familiale, l'Atrophie musculaire type Charcot-Marie. Ainsi que nous le montrerons dans
ine des membres. Pieds-bols équins. Atrophie des muscles des mains, type Aran-Duchenne. Contractions fibrillaires dans l
gne de Romberg très accusé. Membres supérieurs Atrophie musculaire, type Aran-Duchenne, égale et symétrique des deux côt
met d'affirmer qu'il y a moins / de fibres dans les premiers. Comme type des lésions nous prendrons le tronc du sciatiqu
isses plus marquée à la périphérie. Atrophie des membres supérieurs type Aran-Duchenne, diminuant également de bas en haut
n varus avec pied creux. Aux membres supérieurs atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Mains simiennes sans griffe cubi
et l'affection désignée en France sous le nom d'atrophie musculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre du type péronier
le nom d'atrophie musculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre du type péronier de l'atrophie musculaire progressive [ T
que la névrite interstitielle hypertrophique et l'atrophie musculaire type Charcot-Marie ne seraient qu'une seule et même
rons cependant que dans aucune observation de l'atrophie musculaire type Charcot-Marie, il n'est fait mention d'incoordina
rite intterstitielle hypertrophique comme une variété de l'atrophie type Charcot-Marie, opinion qui vient encore d'être
'est là une erreur absolue. Jamais à l'autopsie d'un cas d'atrophie type Charcot-Ma- rie, il n'a élé constaté d'hypertro
hypertrophie des nerfs. Quant à l'opinion de Raymond qui regarde le type Charcot-Marie comme une forme fruste de la névr
rnière n'a pas de symptômes pathognomoniquesqui la différencient du type Charcot-Marie et que l'augmentation de volume et
ue. Et tout d'abord quel est le subslratum anatomique de l'atrophie type Charcot-Marie ? Les autopsies en sont rares et
r ces observations que Hoffmann (5) considère l'atrophie musculaire type Charcot-Marie comme une névrite in- terstitiell
thologia nervosa e mentale, 1906, p. 10. (2) Sainton, L'amyotrophie type Charcot-Marie. Th. de Doctorat, 1899. (3) Virch
ui-même, il s'agit dans le cas de Du- breuilh d'atrophie musculaire type Charcot-Marie ou d'un syndrome plus ou moins an
détails. Sainton reconnaît que les lésions de l'atrophie musculaire type Charcot- Marie ne sont pas les mêmes que celles
90. (2) J. DEJEMKE et Armand-Delille, Un cas d'atrophie musculaire, type Charcot-Ma- rie, suivi d'autopsie. Société de n
t pas abso- lument la même dans les deux maladies : dans l'atrophie type Charcot- Marie, l'atrophie n'atteint pas les ra
ne maladie autonome, distincte du tabes et de l'atrophie musculaire type Charcot-Marie, elle doit occuper une place à pa
e en avant, raide et immobile ; aux membres supérieurs, atrophie du type Aran-Duchenne avec participation des triceps brac
myotrophiques. Cette dernière forme a dans toutes les observations le type tonique de Gowers avec prévalence de contractur
nformément à ce principe que nous nous refusons ai admettre comme « type de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que
fait donc dans le sens de sa conductibilité. C'est des cellules du type inférieur que naissent les racines motrices dont
e semble réunir au point de vue de l'origine du premier neurone, le type moteur (centre cortical) et le type sensitif (g
'origine du premier neurone, le type moteur (centre cortical) et le type sensitif (ganglion cérébro-rachidien). Nous n'avo
istologie de la rétine, mais nous ferons re- marquer que les divers types de cellules que l'on y rencontre, se prêtent asse
e des caractères morphologiques qui le rapprochent beaucoup plus du type sen- sitif. Il se rend au corps quadrijumeau an
l'autre. Le lobe extra-cérébral est morphologiquement l'analogue du type pyramidal. La rétine envoie la majorité de ses fi
te une écorce imparfaite, qu'elle est plutôt un centre trophique de type inférieur, puisqu'elle n'entre pas en relation
la voie visuelle, voie sensorielle admise de tous, réunit les deux types : moteur et sensitif. Au point de vue morpholog
hysiologie et quant ses localisations régionales elle se rapproche du type sensitif. Nous revenons sur ce fait que, jusqu'
origine bacillaire (H. CLAUDE et P. LFIONNE), XXIV. Infantilisme ( type Brissaud) et dégénéres- cence psychique (MAGALH
10 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
toujours le même aspect, et à côté de la forme classique, d'autres types sont assez individualisés pour mériter une desc
en particulier APERT et ROUILLAHD, Ostéoarthropathie hypertrophiante ( type Pierre Marie) avec polyurie, in Soc. méd. des h
r Apert qui, sous le nom d'acrocéphalo-syndactylie, a décrit (1) un type tératologique compa- tible avec une survie extr
ses altérations, ils étaient deux ou' trois fois plus grands que le type ordinaire, pauvres en chromatine et souvent déf
tent pas à une résistance augmentée. Les réflexes plantaires ont le type normal. Les réflexes patellaires sont présents, p
sont couvent déformés. Le premier noyau eu haut et à gauche est le type normal. 46 WOERKOM lésions. D'autres cellules
sions considérables, souvent ils sont 5 ou 6 fois plus grands que-le type ordi- naire. Ils ne contiennent que quelques gr
présentait pas.Entre les autres noyaux névrogliques on retrouve le type petit, compact, à formes souvent irrégulières e
lus clairsemées à ces places. Substance blanche sous- corticale. Le type du noyau clair et vésiculeux n'est pas retrouvé
Corps striés (van Gieson). -1 côté des petits noyaux névrogliques du type ordinaire on remarque beaucoup de grands noyaux
plus prononcées. Entre les noyaux névrogliques on trouve à côté du type normal les éléments clairs, fortement déformés,
i, par ses amas chromatiques plus abondants, se différencie bien du type clair. Ecorce du cervelet. Ni dans la couche pl
elet. Ni dans la couche plexiforme, ni dans la couche des grains le type du noyau névroglique sus-décrit n'est retrouvé. L
s ' du cervelet. Fia. 3. Quelques noyaux névrogliques comparés au type ordinaire. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS
tion des amas chromatiques est beaucoup plus régulière que dans le type pathologique décrit. Protubérance et moelle a
s fré- quente. Augmentation très forte des noyaux névrogliques : le type ordinaire, parfois en groupes de 10 et plus. A
llules fusiformes ces noyaux ont des dimensions énormes, dépassant le type ordinaire plusieurs fois. Ce sont encore des vé
r des symptômes d'ordre psychique et somatique. En opposition- au type classique, où l'affection cérébrale se manifeste
s. Nombre d'artistes ont figuré des lèvres qui se rapprochent de ce type morphologique, notamment les primitifs italiens
ERVICE DU D' FAISANS ET DU LABORATOIRE DU D' SOUQUES PARAPLÉGIE « TYPE BABINSKI » CHEZ UN SUJET ATTEINT DE MALADIE DE
n, différents auteurs ont relaté des cas de paraplégie en flexion « type Babinski », et ce nouveau syndrome cli- nique a
ome cli- nique a pris place en face de la paraplégie en extension « type Erb », avec laquelle il peut d'ailleurs se comb
es vacances de 1912, un malade chez lequel se sont succédé les deux types de paraplégie (para, en extension, puis para. en
(J. Coyon el A. 'Barré). Masson & Cie, Éditeurs. paraplégie TYPE BABINSKI 85 1° MOELLE ET racines au niveau DE l
1f 1 XXV«- PI. Y5lt' (,1)11 " " ? 1 5 - Dr. 6 - D, paraplégie TYPE BABIISKI (J. Coyon el A. 'Barré). Masson &
pos- térieurs de la moelle rendent compte des troubles sensitifs à type tabéti- que que présentait la malade ; les lési
et parties molles. Dans le cas qui nous oc- cupe, la dystrophie du type gigantique est inégalement répartie au niveau d
percussion sur son propre état men- ta 1. Cas III. - Paralysie du type trémulanl d'un écrivain. Un autre cas qui démon
représentations que l'Arten a fait, appartiennent toujours au même type féminin. Et, en ell'et, ce groupe n'est pas seule
pour extraire,des innombrables variationsde l'élément féminin, trois types plastiques nettement définis, puisés dans la na
tuer l'expression de vérité, de santé, de noblesse qui distingue le type grec féminin, image de force et de grâce, présa
fécondité. C'est, véritablement, la norme féminine, dont les autres types représentent des variations en sens différents.
her a su, dans sa figure de gauche, retenir les caractéristiques du type féminin de la Renaissance : corps onduleux, long
me et à la séduction des oeuvres de l'Art italien. De nos jours, le type féminin dans l'art est plus difficile à caractéri
o-lombaire et l'inclinaison du bassin en avant. De ce règne date le type féminin prédominant dans les figurations artistiq
astique est vieille de cinq siècles, que de l'image représentant le type féminin moderne et qui appartient déjà au passé
tater ni paralysie, ni atrophie de cause centrale, ni anesthésie de type segmentaire, ni troubles ataxiques d'origine médu
ure. Il est moins fréquent de voir l'anesthésie disposée suivant le type névritique, quoiqu'il s'agisse de lésion des ne
se de lésion des nerfs, et il l'est moins encore de la voir sous le type segmentaire, quoique la maladie intéresse aussi l
n qui puisse caractériser ces deux systèmes. Quoi qu'il en soit, le type de projection nerveuse par effet de la lésion d
sitive des branches nerveuses suivant la direction du pointillé. Le type anesthésique facial supérieur est très fréquent.
eslhésiées. Les figures 7 et 8 sont deux exemplaires courants de ce type . Je crois que cette aneslhésie, dans sa forme f
omme on peut le voir en comparant les figures que j'expose avec des types syringomyéliques, des caractères de distributio
il la fin les deux processus se trouvent toujours réunis. Dans ce type d'anesthésie, il y a une autre forme dislincte, t
d'hypoeslhésie ou de transition constitue la règle générale dans le type anesthésique que je décris, il n'est pas rare de
'aide d'un ou de deux assistants, la marche se carac- térise par le type de steppage, ou bien par le type d'ataxie, ou bie
la marche se carac- térise par le type de steppage, ou bien par le type d'ataxie, ou bien parla combinaison des deux ty
e, ou bien par le type d'ataxie, ou bien parla combinaison des deux types . On trouve chez beaucoup de ces malades l'anest
s besoin de compléments. Le malade labyrinthique est le véritable type où se trouve l'instabilité simple ou sans aucun
ccuper du système périphéri- que ; je crois ce sujet, les meilleurs types cliniques qui offrent le plus fréquemment l'ins
re et le plus courant d'atrophie paralytique ou dégénéralive est le type jambier paralytique dont les figures 22 et 23 con
dont les figures 22 et 23 cons- tituent un exemplaire (différent du type non paralytique dont je parlerai plus bas). Le
ériode tardive de l'évolution du mal. La figure 211 appartient à un type jambier atrophique non paralytique. Dans la rég
des mêmes lésions dans les pieds et les jambes, les réllexes ont le type normal et il en est ainsi. pour le lépreux des
les appelle Babinski et non ceux des cutanéo-réflexes. On trouve le type des cutanéo-réflexes dans quelques cas de parap
te. Mais il arrive encore qu'on trouve aussi ou plus fréquemment le type normal d'excitabilité dans les régions dont les
été appelée glossy skin. La peau des doigts de la figure 3 est un type de dépigmentation. Je me contente ici d'énumére
ins. Les articulations du carpe de la main de la figure 29 sont des types d'inflammation articulaire spécifique, c'est-à-
la main a le volume normal. Celle image, ai-je dit, constitue un type due forme lépreuse. Est-elle un témoignage qui
ériodes de relative mélancolie circulaire, deux enfanta chez qui le type péronéal de la paralysie iLi-opiliqLle se prése
176 SOUQUES publiait sur ce sujet un intéressant mémoire intitulé : type péuonier r d'atrophie musculaire. Trois ans plu
lonne entre deux et trente- neuf ans. L'affection débute, dans le type classique qui est de beaucoup le plus commun, p
ve et que je vais vous présenter. L'un est atteint d'amyotrophie du type Aran-Duchenne par méningo-myélile syphilitique.
ce fonctionnelle est com- plète. Le second présente une atrophie du type Aran-Duchenne, d'origine syringomyélique. Chez
emps. En effet, on se trouve alors en présence d'une amyotrophie du type Aran-Duchenne. Il faut éliminer toutes les maladi
henne. Il faut éliminer toutes les maladies qui peuvent produire ce type d'atrophie, c'est-à-dire la sclérose latérale amy
as de tremblement intentionnel. Ce cas s'écarte donc notablement du type de névrite hypertrophique décrit par Dejerine e
trophique décrit par Dejerine et Sottas, il s'écarte encore plus du type décrit par Pierre Marie, mais c'est incontestab
(cas Le Séguillon), que l'auteur lui-même, du reste, choisit comme type de lésion temporale, le foyer de ramollissement i
époque apparaissent de temps à autre des vomis- sements faciles, du type cérébral. Quelques bourdonnements d'oreille à gau
présents, ils ne sont pas exagérés. Les réflexes plantaires ont le type normal. Malgré les contractions sponta- nées du
trême de l'état des muscles. Les mouvements involontaires sont d'un type rappelant à la fois la choréo-athétose et la ma
. d. Ges. N. u. P., Bd. 14. 292 VAN WOERKOM cutanés montrent le type normal. Les mouvements de retrait des membres i
oyaux est en forte augmentation, surtout autour des capillaires. Le type petit et foncé pré- domine, le type progressif
tout autour des capillaires. Le type petit et foncé pré- domine, le type progressif est plus rare ; parfois un peu de pigm
' HOSPICE DE B7Cy/<&' DEUX CAS D'AMYOTROPHIE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE, D'ORIGINE SYPHILITIQUE PAR A
rophie musculaire progressive Aran-Duchenne, qui répondent aux deux types cliniques pré- (1) LmouoE, Les atrophies muscul
t montrée une atrophie musculaire progressive qui a évolué selon le type Aran-Duchenne : membres supérieurs, gauche d'a-
fruste chez l'enfant, mais accompagnée chez lui de déformations de type acromégaloïde (Pl. LIV et LV). Observation I. M
s peu intenses mais contiuues ; aux extré- mités, elles revêtent le type de sensations anormales, en particulier, de cry
cas il y a relatiozenlre la neurofibromatose et les déformations de type acromégalique. Babon- neix (1) a observé chez u
igmentation et tumeurs, d'autre part déformations des extrémités du type acromégaloïde, comme dans les 0 cas déjà cités
e Wolssohn, Feindel, Massé, Perlhes, Piollet, A. de Castro, soit du type chei l'oméga 1 ¡que comme dans notre observation,
ont de pareils cas qui, plus tard, se perdront complètement dans le type de la « véritable épilepsie ». Si leurs singula
symptômes propres à l'hystérie. La neurasthénie, de n'importe quel type , apporte en son cor- tège symptomatolooique des
lui qui a le plus de contact avec la débilité nerveuse. Troubles de type dyspeptique, hyperesthésies des plexus abdominaux
, présente une tendance accentuée pour les mala- dies nerveuses, de type familial, si, par hasard, il vient à contracter l
trices, de l'écorce cérébrale, peuvent occasionner des décharges de type épileplique. Celle objection ne détruit pas la
e (Absence de - des faisceaux pyramidaux dans un cas de paralysie type Babinski), par CoyoN et Barré, 81. Dégénéresc
du système -), par Barra- IUEa, 125. Neurofibromatose (Paraplégie type Babinski chez un sujet atteint de maladie de
connexions corticales, par La SALLE Archambault, 188. Paraplégie type Babinski chez un sujet atteint de maladie de Re
veux périphé- rique, 125. Barré (A.) et COYON (Am.). Paraplégie type Babinski, 81. BAUDOUIN, Souques et Lantuéjoul.
ur les stéréotypies, 103. COYON (Am.) et Barré (A.). Paraplégie " type Babinski » chez un sujet atteint de maladie de
s corticales (La Salle ANCIIwAtawULT), XXXV à XXXVIII, Paraplégie type Babinski (Coyon et Barré), XXII à XXV. Polyda
11 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
(3) M. Chartier et PAUL Descomps, Ostéite syphilitique déformante, type Paget, chez une tabétique. Soc. de Neurol., 6 d
Ii KLIPPEL ET PIERRE-WEIL dorsales. Elle revêt donc complètement le type classique dans la maladie de Paget. Il n'y a pa
igts ; au niveau de l'index droit elle forme deux petits nodules du type Heberden, de chaque côté de l'articulation phal
get. Acad. de Médecine, 3 mars ]9U3. Syphilis héi éuitaire tardive, type Pagel. Types infantile et adolescent, types de
de Médecine, 3 mars ]9U3. Syphilis héi éuitaire tardive, type Pagel. Types infantile et adolescent, types de l'adulte et d
is héi éuitaire tardive, type Pagel. Types infantile et adolescent, types de l'adulte et du vieillard. Leçons des 18 et 20
comme elles le sont dans la spécificité ; elles revêtent parfois le type fulgurant ; elles n'ont pas enfin ce maxi- mum
it-il pas plutôt de rhumatisme chronique que d'ostéite déformante à type pagétique, dans le Big Head ? Ainsi donc, s'il
roubles nerveux peuvent se développer des accidents osseux, dont le type est l' : rrêt de développement que l'on observe p
en lmme de sabre », puisque cette déformation est considérée comme le type des déformaiions osseuses de la syphilis tardiv
ieurement l'évo- lution fut absolument indolente : c'est bien là un type de fracture spon- tanée tabétique. D'ailleurs l
l'effort. L'on note tout de suite que la respiration se fait par le type abdomi- nal tout a fait comme chez l'homme. Dan
e placé dans un des différents tableaux des myopathies. ' Dans le type scapulo-huméral par exemple,on peut voir particip
ns en présence d'une amyotrophie qui est bien loin de ressembler au type Aran-Duclienne de la polyomyélite chronique ou
-moteurs. Nous avons observé, il est vrai, que cette femme avait un type de res- piration abdominale au lieu du type cos
ue cette femme avait un type de res- piration abdominale au lieu du type costal commun chez la femme.Or ce fait était dû
intéres- sants. « La crampe des écrivains, dit-il, la prenant comme type des autres crampes professionnelles, étant de s
capables de transformer en chef-d'oeuvre l'exacte reproduction d'un type morbide. Voyez les fous et les idiots de Velasq
les âges. Dans la plupart d'entre eux on trouve également quelques types de fous représen- tés avec beaucoup d'exactitud
é ' de Médecine de Jassy (Roumanie). Aujourd'hui on connaît trois types de syndrome pédonculaire : le type de Weber, qu
). Aujourd'hui on connaît trois types de syndrome pédonculaire : le type de Weber, qui est le plus commun, caractérisé p
on avec ophtalmoplégie unilatérale du même côté que la lé- sion, le type de Grasset dans lequel on a signalé l'adjonction
u nerf oculo-moteur externe du côté correspondant à la lésion et le type de l3énédiclt caractérisé par une hémiparésie ave
ral courte et leurs manifestations sont discrètes. Elles affectent le type larmoyant, mais le malade se prépare la plupart
t actuel. Comme on voit par les photographies, notre patient est un type classique d'achondroplasique adulte : la tête éno
peine le grand trochanter. Le raccourcissement des membres est du type ryzomélique, mais tous les segments étant très
Les mains sont épaisses, courtes et charnues et elles affectent le type carré si bien décrit par M. P. Marie. Le petit
deux côtés. La main de notre nain ne présente pas spontanément le type en trident dé- crit par M. P. Marie, mais cette
rétréci et en antéversion. La micromélie apparaît à l'inspection du type nettement ryzomélique ; les mensurations montre
ts. « Le bégaiement, ditl3onnet(lC), est un vice de prononciation à type irrégulièrement intermittent, caractérisé essen
qui se ressemblent. On peut cependant décrire un certain nombre de types cliniques : Duchenne, Zuber admettent deux form
spas- 198 MACÉ DE LÉPINAY mes).Avec Benediktnous décrirons trois types cliniques : la forme spas- modique, la forme pa
e profession. Crampes professionnelles des membres inférieurs. Le type de ces dyskinésies est la crampe des danseuses, d
ans ; il figure dans la séméiologie de M. Dejerine comme exemple du type facio-scapulo-huméral, avec participation des m
s s'accompagnant d'abduction extrême ; les deux pieds revê- tent le type équin, légèrement à gauche, très prononcé à droit
s. On peut encore dans le cadre de ce tableau différencier quelques types qui se fondront bientôt dans l'ensemble des phé
qui se fondront bientôt dans l'ensemble des phénomènes : ce sont le type pseudo-hypertrophique de Duchenne, le type d'Er
phénomènes : ce sont le type pseudo-hypertrophique de Duchenne, le type d'Erb, le type de Landouzy- Dejerine, très légère
e sont le type pseudo-hypertrophique de Duchenne, le type d'Erb, le type de Landouzy- Dejerine, très légèrement pour ce de
efois les hyperostoses multiples se sont dégagés en conséquence des types morbides dont les mieux définis jusqu'à présent
rs est la première faite jusqu'à présent sur l'ostéite déformante à type exclusi- vement unilatérale (1). Un autre fai
edème des membres inférieurs qu'il est impossible de rattacher à un type nosographique défini. La peau des régions oedémat
lle et perd de sa régularité. Cependant, il reste fidèle au nouveau type graphique qu'il a adopté ; il écrit droit, plus
observés pendant la vie. Observation I. Epilepsie jacksonnienne, à type brachial, due à un can- cer secondaire siégeant
e supérieur et sa localisation explique l'épilepsie jacksonnienne à type brachial droit. On n'observe aucune autre lésio
cérébral est nettement constitué par un épithélioma cylindrique du type gastro-intestinal ; il est formé par des cellul
if forme des alvéoles dans lesquelles sont groupées des cellules du type épithélioïde, Il existe des amas altérés, difn-
portions voisines, formant un épithélioma nettement différencié, du type cylindrique gastro-intestinal. 4° A l'examen de
ique lobulé et tubulé du cerveau, à cellules claires, appartient au type gastro-intestinal et, en présence des lé- sions
de- vient complète. La paralysie de la moitié droite de la face du type facial infé- rieur s'accentue encore et s'accom
veuses sur ce point. Epithélioma primitif du rein. Il appartient au type tubuleux cylindri- que à cellules claires. C'es
ébrale des vaisseaux très dilatés, d'abondantes hé- morragies et le type épithélioma à cellules claires disposées en tubes
trée, à l'Hôtel-Dieu, en janvier 1905, on constate une paralysie du type facial inférieur, d'origine cérébrale, avec hé-
ralysie des nerfs moteurs oculaires commun et externe, en un mot le type clinique de Weber (hémiplégie alterne supérieure
ensation de suffo- cation ; la respiration rappelle par instants le type de Cheyne-Stokes. La tachycardie est prononcée;
t les inspirations deviennent de plus eu plus difficiles, suivantun type inverse de celui de Cheyne-Stokes. L'examen des
ment sur les nerfs des mem- bres inférieurs. Nous prendrons comme type de description les lésions du nerf sciatique au
urrions faire valoir les mêmes considérations en ce qui concerne le type de névrite parenchymateuse périaxilesegmentaire d
parenchymateuse périaxilesegmentaire décrit par Gom- BAULT. Dans ce type les cellules à myéline dégénèrent déplace en plac
tant d'une nature ex- traordinaire, et constituant une exception au type normal de la poliomyé- lite aiguë (Gowers) (1 )
tement toute la muscu- lature abdominale. La respiration est du pur type abdominal. En conséquence, si l'on provoque, en
lement et, au moins pour les membres inférieurs, paralysie d'un pur type flasque sans réflexes tendineux. Contre ÉTUDES
toute douleur, de fièvre au début de la maladie correspond bien au type ordinaire de l'hémato- myélie spontanée telle q
a passé peu à peu à une paraplégie toujours complète, mais d'un pur type spas- modique avec exagération des réflexes, cl
dorsale. Presque en même temps que le passage de la paraplégie à un type spasmodique nous avons constaté une altération
aplégie à un type spasmodique nous avons constaté une altération du type de l'anesthésie : au lieu de l'analgésie et de
e le changement du ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'anesthésie qui s'est produit à la clinique (
cordons postérieurs. En conséquence, le passage de la paraplégie du type flasque au type spasmodique pourrai t être expliq
urs. En conséquence, le passage de la paraplégie du type flasque au type spasmodique pourrai t être expliqué par une exten
este à traiter de la cause de la paraplégie et du changement de son type . On admet géné- ralement avec Bastian qu'une lé
ire une lésion beaucoup plus complète, mais une paraplégie d'un pur type spasmodique. Il ne nous semble pas que cela soi
omyélite aiguë, il y a, dans la plupart des 'cas, des paralysies du type ordinaire, même s'il faut concéder que ces paraly
o- spinale épidémique, il ne se présente jamais de paralysies de ce type , mais il n'est pas rare, comme on sait, que se
ne se présentent pas dans la même façon qu'une maladie d'un certain type (ce que font en général les cas de poliomyélite
méningitiques de la poliomyélite se pré- sentent en général avec un type spinal, tandis que ce n'est probablement L pas
y avait une scoliose). Ibrahim et Hermann ont publié 4 cas du même type ; il y avait une faiblesse des muscles abdomina
droit était légèrement atteint par la parésie. Un autre cas du même type que les observations de Ibrahim et Hermann a ét
s observations de Ibrahim et Hermann a été publié par V. Baracz. Un type tout à fait différent de paralysie des muscles ab
é un an et demi après le début de la maladie. C'est encore un autre type qui a été décrit par Loewegren ; il y avait une
teuses éjaculations. La voix d'Otto est celle des eunuques dans son type le plus parfait. L'état général est satisfaisan
u Riva-Racci. La respiration est fréquente, un peu superficielle, à type costo-abdominal : 28 à la minute. Le décubitu
omparées aux autres parties du corps de notre patient. Elles ont le type long plutôt que le type large. Le pouls est la ré
ies du corps de notre patient. Elles ont le type long plutôt que le type large. Le pouls est la région la plus épaisse.
s pieds comme si tout mouvement lui coûtait une grande fatigue : le type de la démarche est simplement traînant. Sensibi
sente plusieurs symptômes très intéressants. Nous avons vu que le type de sa mentalité est nettement enfantin et que s
l. Les mêmes faits sont visibles aux pieds, qui présentent aussi le type en long. Le premier métatarsien présente à son
présentant aucun symptôme d'acromégalie et montrant au contraire le type classique du géant infantile, cependant que l'oss
Pourtant, à la lueur de toutes ces notions pathogéniques, certains types cliniques restaient encore inexpliqués, tels ce
. hebtlom., 5 mars 1896, p. 217. Srirtgomyélie avec amyotrophies du type Aran-Duclienne et anesthésie dissociée en bande z
pital Tenon pour des accidents relevant d'une cirrhose alcoolique à type hypertrophique. Elle présente dans la région du f
point de vue cliniquequ'au point de vue anatomo-pathologique, deux types de lésions de la colonne vertébrale caractérisé
vertébrale caractérisées par la spondylose avec déviation en avant - type de Bechterew et spondylose rhizomélique de Mari
ite par lui de la spondylose rhizomélique. II rappelle aussi que le type 494 ' ROUDNEW Strumpett-Marie était connu dep
ans .plusieurs travaux antérieurs (Bechlerew a compté 35 cas de son type ). Nous indiquerons ici seulement quelques trava
itaires. Schaikeviteh pense que le cas décrit par lui appartient au type inter- médiaire entre ces deux variétés. Schl
t en admettant deux maladies au point de vue clinique, croit que le type anatomo-pathologique est le même dans les deux ca
par les études anatomo-pathologiques des cas se rapportant aux deux types de la maladie et lorsqu'on aura découvert des f
s lésions des grandes articulations, c'est-à-dire une spondylose du type Bechterew compliquée de phénomènes de la paralysi
té aussi pour quelque chose. Notre cas ne peut pas être rattaché au type de cyphose hérédo. truumalique de Marie et Asti
e SirCiiiipell-ilai-ie. Cependant elle se dis- tingue de ce dernier type par l'absence de lésions des grandes articula-
thologique, notre cas présente quelques caractères communs aux deux types de spondylose et d'immobilité de la colonne ver
deux types de spondylose et d'immobilité de la colonne vertébrale : type Bechlerew et type Marie. Il pré- sente aussi qu
dylose et d'immobilité de la colonne vertébrale : type Bechlerew et type Marie. Il pré- sente aussi quelques caractères
sans modification. Ainsi, notre observation est celle d'un cas d'un type non encore décrit ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉB
eux. Ils auront toujours eu le grand mérite d'avoir mis en relief les types extrêmes d'une même maladie. Notons en termin
du genou droit. Le dé- but et l'évolution se sont faits suivant un type qu'on peut qualifier d'ar- ticulaire, el la cho
9) ont eu leur début toutes avant 20 ans, cela sans tenir compte du type des lésions osseuses, qui dans les deux maladie
tres formes osseuses qui tiennent une place intermédiaire entre les types décrits et qui ne peuvent être assez individual
pour deux particularités : l'une qui tend à le faire rentrer dans le type classique décrit par Paget, l'autre qui, à mon
y a aucune respiration abdominale, mais la respiration est d'un pur type costal, sa fré- quence est 30. Il y a une cyano
s-midi. Les histoires de ces trois cas nous donnent des exemples de types diffé- rents des paralysies respiratoires. Dans
s des paralysies respiratoires. Dans le cas XXXI, nous avons le pur type d'une paralysie du diaphragme, tandis que la resp
ouve- ments du diaphragme. Depuis que la paraplégie est passée à un type spasmodique, des contractions fortes et involon
embres supérieurs également, ce cas nous fournit un exemple du vrai type d'une paralysie ascendante. Dans le cas XXXII
tte distinction. Peut-être n'a-t-on pas assez étudié les différents types possibles de troubles bulbaires de la respirati
un trouble de fonctions du buble (par exemple, la respi- ration du type de Cheyne-Stokes). Mais la question de savoir s'i
ques de poliomyélite aiguë sont facilement méconnus s'ils sont d'un type différent du type ordinaire. A propos de cette
te aiguë sont facilement méconnus s'ils sont d'un type différent du type ordinaire. A propos de cette question, je me pe
ptômes du début, l'on ne retrouve dans les cas sporadiques tous les types de la maladie qu'on a signalés dans les épidémi
r par la méthode de Wassermann dans plusieurs cas d'infantilisme du type Lorain, l'influence de la syphilis héréditaire. L
s, 1904. LEVI ETTORE. - Contribution à l'étude de l'infantilisme du type Lorain (Un cas avec probable tumeur hypophysair
dépouvu de scrupules et de sens moral. 11 représente à mes yeux le type du criminel dont toute la vie se passera en une
oposé le nom d'atrophie o/i).'o-rM6;'o-ccreMM. ! e pour désigner ce type anatomique. Ses éléments constituants sont les
et parenchymateuses dont l'atrophie olivo-ponlo-cérébelleuse est le type le plus achevé. Si nous nous posons la question
itives du cervelet de l'atrophie olivo-ponto-céréhelleuse, ces deux types de lésions constituant deux catégories distinct
s, ayant en vue que la dystrophie s'est réalisée d'après un certain type qui ne se rencontre pas dans l'hydrocéphalie habi
remier cas sont : l'arrêt du développement des organes génitaux, le type infantile fé- minin, et le développement exagér
de 19 ans, et qui présentait une hypoplasie des organes génitaux du type infantile féminin, ainsi qu'une adipose abondante
enté de plus en plus, de sorte qu'à présent le malade représente le type infantile féminin, se traduisant par l'absence
roux et Delmas ont trouvé à l'autopsie d'un cas d'infantilisme vrai, type thyroïdien, le corps thyroïde diminué de volume
Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire spinale du type Aran Duchenne. En effet, en faveur d'elle sont le
intégrité des muscles faciaux, Contre la dystrophie musculaire du type Wei-diiing-Hoffmann parlent le jeune âge, l'ext
rique. On peut exclure aussi une atrophie musculaire progressive du type Charcot-Marie par l'absence de troubles sensiti
uite après environ seize ans une atrophie musculaire progressive du type spinal. Or une demande se présente spontanément
araître comme une atrophie musculaire généralisée, ordinairement du type Aran Duchenne. Dans notre cas l'atrophie succes
dans notre cas a été chronique,progressive,comme dans l'atrophie du type Aran Duchenne. Il y a encore des cas à marche r
ique comme une entité morbide différente de l'atrophie musculaire à type Aran Duchenne (Oppenheim, Strumpell, etc.) ; d'
as et dans les cas analogues, nous avons une atrophie musculaire du type Aran Duchenne qui représente presque l'issue d'un
d'une poliomyélite. En outre on a observé des atrophies tardives du type spinal aussi en des individus frappés par une p
88. Rémond. - Une observation d'atrophie musculaire myélopathique à type scapulo- huméral. Progrès médical, 12 janvier 1
également observé une ataxie, une fois une ataxie de la marche d'un type cérébelleux et deux fois une ataxie des membres
ickman a décrit comme formes spéciales les cas où la paralysie a un type ascendant ou un type descendant. Cela ne me sembl
formes spéciales les cas où la paralysie a un type ascendant ou un type descendant. Cela ne me semble pas très fondé, p
férieurs. Il serait plus vrai de parler des cas avec paralysie d'un type descendant comme d'une forme spéciale, parce qu
- bablement assez rares ; mais il est bien évident que cet écart du type ordinaire est d'une nature plus occasionnelle,
ômes de la phase de la paralysie sont en réalité tou- jours du même type . La concordance sur tous ces points capitaux de
(C. S.). History of an epidemic of acule nervous diseuse of unusual type , Med. Record, vol. XLVI, p. 673, 1894. 20. CLOW
n système musculaire suffisamment développé. Le crâne appartient au type brachyeépbaiique. Son diamètre antéro-postéricur
courcissement porte un caractère mixte, présentant simultanément le type mésomélique et le type acromélique, tandis que
caractère mixte, présentant simultanément le type mésomélique et le type acromélique, tandis que les os de la cage thoraci
12 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
nt' le territoire radiculaire supérieur du plexus brachial, soit un type antibrachial et un type Aran-Duchenne intéressant
laire supérieur du plexus brachial, soit un type antibrachial et un type Aran-Duchenne intéressant le territoire radicul
me rareté de la poliomyélite chronique, de l'atrophie musculaire du type Aran-Ducllenne, ne permet pas d'espérer qu'elle s
upéré leur fonction les muscles dont la paralysie s'observe dans le type radiculaire supérieur. Une lésion loca- lisée d
pathie atrophique progressive on a décrit t dès le début, à côté du type facio-scapulo-hnméral de Landouzy et Déje- rine
apulo-hnméral de Landouzy et Déje- rine d'autres formes cliniques : type juvénile d'Erb, types de Leyden- Môbius, Zimmer
ouzy et Déje- rine d'autres formes cliniques : type juvénile d'Erb, types de Leyden- Môbius, Zimmerlin, Eichhorst, etc. ;
famille ou chaque nouveau cas isolé. Il faut renoncer à en faire des types différents et reconnaître au contraire comme dé
e. Ces variantes symptomatiques ne méritent plus qu'on en fasse des types spéciaux. Si les caractères géné- raux de la ma
cette myopathie est conforme à la description classique. Elle est du type juvénile, à début par la racine des quatre memb
léger degré de rétraction musculaire, quelle que soit d'ailleurs le type clinique de la myopathie, juvénile ou tardive,
t d'ailleurs le type clinique de la myopathie, juvénile ou tardive, types Leyden, Zimmerlin ou Landouzy- Déjerine et dans
Landouzy, in Rev. de médecine, 1885. OBs. V. - M... Léon, en 1885. Type facio-scapulo humerai. Atrophie pré- dominante
rétraction musculaire. OBs. VI. M... Georges, frère du précédent. Type facio-scapulo-huméral. Certain degré de rétract
e de Grasset, 1891 (Obs. du Dr Bourguet). Jean N..., âgé de 30 ans. Type de myopathie généralisée sans participation de
l. Les mêmes raisons pourraient nous permettre de classer à part le type réalisé par nos deux malades frères, car leurs ré
Je crois que sa publication peut contribuer à compléter l'histoire du type d'amyotrophie décrit en 1886 par MM. Charcot et
phie) : il ne s'agit pas non plus d'une amyotrophie myéiopathique il type Aran-Duchenne (troubles de la sensibilité, dist
nement pas en cause, -il ne reste donc hormis tous ces cas, que le type Charcot-Marie. Cependant je reconnais que dans
les formes ? Il faut voir si notre cas s'accorde exactement avec le type décrit par 58 SOCA MM. Charcot-Marie. Trois g
ord les douleurs fulgurantes. Elles ne sont point inconnues dans le type Charcot-Marie, mais il n'y a, à ma connaissance,
inton qui a fait une thèse très documentée, et très sérieuse sur le type CharcotNlarie, si bien qu'il rejette du cadre d
inférieurs d'une manière définitive. Supposons un cas, réalisant le type Charcot-Marie, d'une façon par- faite, sauf l'e
des membres supérieurs; de quel droit lui refuser l'étiquette de « type Charcot-Marie )) Au reste, au point de vue clin
t des membres supérieurs, n'est point nécessaire pour constituer le type Charcot-Marie, c'est un trait très important qu
s ? Voici à présent, l'importance du cas que je présente : c'est un type Charcot-Marie. Cliniquement le diagnostic est i
t pas ici d'un cas de transition, je crois que ma malade réalise le type Charcot-Marie, avec intégrité défi- nitive des
ent des membres supérieurs, peut ne pas se produire du tout dans le type Charcot-Marie. En tous cas si on voulait accord
mbe, tout aussi considérable, mais relevant de causes étrangères au type Charcot-Marie et dans lesquels le piétinement s
produit trop exactement tout ce que l'on est habitué à voir dans le type Charcot-Marie. On ne peut donc s'arrêter il une p
arti possible pour l'explication du piéti- nement sur place dans le type Charcot-Marie, il faudra évidemment atten- dre
Un autre phénomène remarquable, et inédit jusqu'à présent, dans le type Charcot-Marie, c'est la narcolepsie, que notre ma
nette narcolepsie. A quoi donc rattacher cette narcolepsie dans le type ? Les types Charcot-Marie présentent quelquefoi
epsie. A quoi donc rattacher cette narcolepsie dans le type ? Les types Charcot-Marie présentent quelquefois des altérati
aurait là un nouveau et très singulier symptôme à signaler dans le type Charcot-Marie. DE LA l1YOTOiNIE ATROPHIQUE CO
Colère peuvent être considérés comme les plus anciens spécimens du type démoniaque dans la peinture italienne. A Mila
ouvre largement sa chemise, mettant sa gorge à nu, conformément au type de la Colère de Giotto. A Vérone, église Saint-
eine visible. En somme ces leucocytes ne s'éloignent guère par leur type des mononu- cléaires du sang : ce sont certaine
lésions que l'on décrit en anatomie pathologique sont faites sur un type général, idéal pour ainsi dire, dont chaque exemp
la description des lésions encéphaliques. INFANTILISME DÉGÉNÉRATIF ( TYPE LORAIN) COMPLIQUÉ DE DYSTHYROÏDIE PUBÉRALE (TYP
LISME DÉGÉNÉRATIF (TYPE LORAIN) COMPLIQUÉ DE DYSTHYROÏDIE PUBÉRALE ( TYPE BRISSAUD) PAR ERNEST DUPRÉ ET PHILIPPE PAGNIE
ge, les .éludes cliniques nous ont révélé l'existence de différents types d'infantiles, la réalité des formes de transiti
e nous rapportons est un document de plus, à ajouter à la liste des types mixtes ou complexes d'infantilisme ; elle met en
aphie de 1 A SALPÈTR1R £ . T. XV. PI. XIV INFANTILISME DEGENERATIF ( TYPE LORAIN) COMPLIQUE DE DYSTHYROIDIE PUBÉRALE (TYP
LISME DEGENERATIF (TYPE LORAIN) COMPLIQUE DE DYSTHYROIDIE PUBÉRALE ( TYPE BRISSAUD) (Ernest Drrfrrre et P. Pagaie^) Mas
dire de la mère, aurait légèrement diminué. Pas de modifications du type respiratoire, aucun signe anormal à l'ausculta-
alpêtrière, T. XV, PI. XV RADIOGRAPHIE DES MAINS D'UNE INFANTILE ( Type Lor,tin et type Brissaud combinés). (Ernest Dup
V, PI. XV RADIOGRAPHIE DES MAINS D'UNE INFANTILE (Type Lor,tin et type Brissaud combinés). (Ernest Dupré et P : PI11;l
es incurvations secondaires et multiples au point que chez certains types ils ont presque la forme d'un 8. 2° Ces trois p
opographie était tou- jours radiculaire, et cela aussi bien dans le type scapulo-huméral que dans le type Aran-Duchenne.
ulaire, et cela aussi bien dans le type scapulo-huméral que dans le type Aran-Duchenne. Or, à ma connaissance du moins, pe
personnelle, et un certain nombre de photographies d'atrophiquesa à type radiculaire, à sa- voir : 1 syringomyélie, fig.
physionomie distincte et bien définie (fig. 2 et 3). Fig. 2 et 3. Types des courbes p[4tys'nographiques des deux sujels.
t les deux métatarsiens. Il s'agit évidemment de deux cas d'un même type un peu spécial d'ab- sence du péroné, ce type s
de deux cas d'un même type un peu spécial d'ab- sence du péroné, ce type se distinguant absolument, par des caractères p
par ce malade. Il ne saurait être question chez lui d'Infantilisme ( type Lorrain), il n'a aucun des caractères physiques
ype Lorrain), il n'a aucun des caractères physiques habituels de ce type ; ce serait entrer dans une discussion oiseuse
s eunuques sont en somme esquissés ; il nous paraît appartenir à un type d'eunuchisme assez fruste. Il est vraisemblable d
ations offrent dans leur évolution et leur symptomatologie, avec le type clinique dont cet auteur avait voulu faire une
s les amputations spontanées du médius et de l'index, elle revêt le type observé dans le panaris analgésique de 11101'va
fisamment pour le classer. Le côté légendaire réduit au minimum, le type morbide se présente bien observé. 11 tient une
enchée en avant» que présentent les malades, dans la forme commune ( type de flexion), mais sans que l'examen de la colon
chiaux et les muscles de la face antérieure des avant-bras, pour le type ordinaire, de flexion) ; dans les cas les plus
que ceux de nos malades qui sont devenus cyphotiques, présentent le type ordinaire, en flexion, de la mala- die, leur tê
4 SICARD ET ALQUIER avec ébauche de scoliose, présente nettement le type d'extension,non seu- lement pour le tronc, mais
observe le plus souvent des déviations de la colonne vertébrale, de types divers (cyphoses, scolioses, lordoses simples ou
oindre degré. il disparaît toujours pendant le sommeil. Entre les types extrêmes, tous les degrés peuvent se rencontrer.
xième. 402 DESTARAC - On peut prévoir d'ailleurs le moment où les types cliniques, déjà isolés dans la classe des malad
être sérieusement soutenue. On ne peut donc se refuser à y voir un type de lésions, atteignant un petit nombre de cellu
sclérose latérale amyotroplii- que, dans la névrite traumatique; le type segmentaire que nous avons observé dans l'exame
e l'un de nous a pu l'observer, la dégénération présente souvent le type segmentaire : c'est-à- dire des caractères hist
dégé- nération s'y présente sur les uns et les autres avec le même type histo- logique et qu'ils appartiennent tous deu
huch- ten et Nelis) a montré qu'il existe à l'état normal plusieurs types de cellules qui se différencient par la disposi
ition, la grosseur, le nombre des éléments chromatophiles. Les deux types principaux (cellules claires finement gra- nule
escription de l'auteur ce cas appartient évidemment à l'amyotrophie type Charcot Marie. Au cours des considérations qui ac
travail inaugural (1), rejeté arbitrairement du cadre de l'atrophie type Charcot Marie les cas où l'atteinte des membres
principal de ma thèse étaitde montrer sous sa forme schématique le type primitif, tel que les parrains de la maladie l'
n effet, nombre de cas n'ayant rien à voir avec Patrophiemuscuiaire type Charcot Marieavaient étépubliés sousce nom. C'e
un point qu'il importe d'élucider. » (N.D.L.R.) (2) L'amyotrophie type Charcot Marie, Thèse de Paris, 1899. AMYOTROPHI
it en somme que suivre la description que Tooth a donné du peroneal type . La lecture de ces observations nous amène à no
de ces observations nous amène à nous demander s'il n'existe pas un type péronier d'atrophie mus- culaire héréditaire co
on des cas de Paul Haïnel pouvait faire soupçonner l'existence d'un type limité aux extrémités supérieures. Les cas que
que l'on puisse admettre au moins actuellement l'exis- tence de ce type . » J'ai donc laissé la question en suspens et a
isé à admettre l'existence d'une variété péronière de t'amyotrophie type Charcot Marie. Il manque, il est vrai, la confi
l'arachnoïde par des éléments cellulaires qui répondent les uns au type lymphocyte, les autres au type cellule plasma-
cellulaires qui répondent les uns au type lymphocyte, les autres au type cellule plasma- tique. Cette infiltration s'acc
chterew, et que Déjerine désigne sous le nom de grandes cellules du type II de Golgi. Depuis cette époque, nous avons co
es étoilées que Déjerine désigne sous le nom de grandes cellules du type II de Golgi pour indiquer leurs caractères de cel
ules de relation des couches granuleuse et moléculaire (cellules du type Il de Golgi), la couche moléculaire s'atrophian
s dendrites termina- les ; mais un tel aspect est assez rare, et le type pédominant est caractérisé par des dendrites à
uche ouverte. Les deux côtés de la poitrine se soulèvent également; type costal plutôt qu'abdominal, 18 respirations par
Henry Meige (1), on peul conjecturer que les géants affectent deux types principaux : le type infantile et le type acrom
eul conjecturer que les géants affectent deux types principaux : le type infantile et le type acromégalique. Les premier
les géants affectent deux types principaux : le type infantile et le type acromégalique. Les premiers, dont les soudures
ion du grand Charles vient confirmer la réalité de l'existence d'un type infantile de gigantisme, en revanche elle montre
l'espace, n'est pas irréductible dans le temps, c'est-à-dire que le type infantile tend à évoluer, pendant une période plu
tend à évoluer, pendant une période plus ou moins lon- gue, vers le type acromégalique, pour arriver à se confondre même p
s à formuler les conclusions suivantes : 1° Il existe réellement un type de gigantisme infantile, dans lequel la taille
et la stérilité, si souvent notées chez les géants; 2° Toutefois ce type de gigantisme infantile, très particulier parla c
s (genu valgum) n'est peut-être pas irréductible, dans le temps, au type de gigantisme acromégalique (grand tronc, hyper
r une sorte de classification des nains dans l'art (1), d'après les types cliniques observés de nos jours : nains rachitiqu
originaux sont adroitement dissimulées. , 11 faut ajouter que le type acromégalique, fréquent chez les géants, n'est
gantes- ques et je ne pourrais guère en citer qui répondissent à un type morpho- logique observé sur le vivant. Le géa
ornée de personnages fabuleux de dimensions surhu- maines, tous du type athlétique le plus hypertrophié. Le récent bel
ng Grun, Amman, Aldegrever, etc. TABLE DES MATIÈRES Amyolrophie à type Char eut-Marie [Sur un nouveau cas d') (1 pl.),
ocollogr.), par IXFRol1' et Heitz, 265. Infantilisme dégénératif ( Type Lorain) compliqué de dgsllegroïdze pubérale (
me dégénératif (Type Lorain) compliqué de dgsllegroïdze pubérale ( Type Brissaud) (2 pl. en photocollogr.), par ER"ES1'
DUPRÉ (ERNHST) et Pagniez (PHILIPPE). In- fantilisme dégénératif( Type Lorain) com- pliqué de dysthyroïdie pubérale (t
isme dégénératif(Type Lorain) com- pliqué de dysthyroïdie pubérale ( type Brissaud) (2 pl. en photocollogr.), 124. Féri
3. Pagmez (PHILIPPE) et Dupré (En\çsT). Infantilisme dégénératif ( type Lorain) compliqué de dysthyroïdie pubérale(type
ilisme dégénératif (type Lorain) compliqué de dysthyroïdie pubérale( type Brissaud) (12 pl. en photocollogr.), 134. Pav
. en photocollogr.), 377. SOCA. Sur un nouveau cas d'amytrophie à type Charcot-Marie (i pi.), 53. SouKHAXOKF et Czpnwc
u membre inférieur droit (IIEITZ et Infroit), XXXI. Infantilisme, type I.orain, et dysthyroïdie pubérale, type Brissau
oit), XXXI. Infantilisme, type I.orain, et dysthyroïdie pubérale, type Brissaud (Dupnù et PA- G\tsz), XIV, XV. Lacun
13 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
touchant la pathogénie de cette maladie, je vous présenterai quatre types morbides, qui vous en mon- treront les différen
senter rapidement un dernier malade, qui vous montrera ce qu'est le type d'ex- tension décrit par Charcot, et dont plusi
ose. II Après vous avoir ainsi retracé, à grands traits, avec des types vivants, la symptomatologie et l'évolution de l
e Marchi, soit par celle de Weigert-Pal ou par le carmin . C'est à ce type de moelle que répond celle de l'observation I o
J'ai reproduit (pl. VII) deux moelles répondant à ces deux derniers types , pour les mettre en regard des figures de la pl
s lésions de la colonne de Clarke. Ce cas pourrait donc répondre au type de scléroses combinées systématiques secondaire
nt sclérosé; au niveau du cordon latéral, la sclérose revêt le môme type , s'étend dans tout le territoire, du faisceau c
ons musculaires successives. Le réflexe planti-digital fournit deux types graphiques distincts : 1° Le graphique du premi
ournit deux types graphiques distincts : 1° Le graphique du premier type (tracé nO 1) offre à considérer une ligne d'asc
. ' Tracé nu 1 (1). Etat normal. . pdj : réflexe planti-tibial ( type de flexion pure). pt : réflexe planti-tibial.
PHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES 71 horizontale de départ. Ce premier type graphique de réflexe planti- digital traduit do
toujours uniquement la flexion du gros orteil : on peut désigner ce type sous le nom de réflexe planti-digital en flexion
réflexe planti-digital en flexion pure. 2° Le graphique du,deuxième type (tracé n° 2) présente de même une ligne d'ascen
ins arrondi, mais il. diffère manifestement du graphique du premier type en ceci : la ligne de descente, toujours rapide
sécutif d'extension du gros- or- teil. On peut désigner ce deuxième type sous le nom deréflexe planti-digi- tal en flexi
nti-digi- tal en flexion et extension consécutive. Entre ces deux types distincts de réflexe planti-digital, on trouve 1r
pes distincts de réflexe planti-digital, on trouve 1res souvent des types intermédiaires où l'extension consécutive à la fl
squissée. Tracé no 2. Etat normal. pd : réflexe planti-digital ( type de flexion et extension conséculive). pt : réfl
d toujours, pour une excitation sensiblement identique, un seul des types de réflexe planti-digi tal précédents. Au contrai
-il difficile de déterminer la fré- quence respective de chacun des types de réflexe planti-digital : tout ce qu'on peut
éflexe planti-digital : tout ce qu'on peut dire, c'est que les deux types principaux sont à peu près aussi fréquents l'un
que l'autre, avec cependant une fréquence légèrement plus grande du type en flexion pure. ' Nous n'avons jamais vu, sur
de plus grande. Le RÉFLEXE PLA1VTI-DIGITAL offre à considérer trois types graphiques dis- tincts : -. 1° Un type de réf
offre à considérer trois types graphiques dis- tincts : -. 1° Un type de réflexe en flexion pure, en tous points compar
° Un type de réflexe en flexion pure, en tous points comparables au type de flexion pure observé à l'état normal : il a ét
t de la rotule, exa- gération des réflexes tendineux, etc.) 2° Un type de réflexe planti-digital en flexion et extension
xtension consécu- tive, rappelant par sa forme générale le deuxième type normal. Quel- quefois la flexion du gros orteil
exemple, tracé n° 3). Mais le plus souvent les tracés de ce second type possèdent un caractère spécial, qui les disting
possèdent un caractère spécial, qui les distingue très nettement du type normal correspondant : ici, le rap- port de dur
. (Hémiplégie spasmodique ancienne). pd : réflexe planti-digital ( type de flexion et extension consécutive prédominance
émiplégie cérébrale avec contracture). pd : réflexe planti-digital ( type de flexion et extension consécutive prédominance
mène de l'érection passagère du gros orteil (tracé n° 4). * 3° Un type de réflexe planti-digital en extension pure, sans
rimitif dustyle parunecourbe plus oumoins arrondie. Entre ces trois types distincts, d'une netteté schématique, de réflexe
rose en plaques paraplégie spasmodique) pd : réflexe planti-tibial ( type d'extension pure). pt : réflexe planti-tibial.
ue. (Hémiplégie cérébrale ancienne). pd : réflexe planti-digital ( type de flexion pure). pd' : réflexe planti-digital
lanti-digital (type de flexion pure). pd' : réflexe planti-digital ( type de flexion et extension consécutive, prédomi- n
ique de la voie pyramidale ne correspond pas un seul des différents types précédents à l'exclusion des autres. Plus encor
tations sensiblement identiques, tantôt l'un, tantôt l'autre de ces types de réflexe planti-digital (tracés n° 6 et n° 6 bi
de réflexe planti-digital (tracés n° 6 et n° 6 bis). Ce- pendant le type en flexion et extension successive avec prédomina
xtension successive avec prédominance de l'extension paraît être le type habituel dans les affections spasmodiques, puis
les deux tiers environ des expériences. Vien- nent ensuite les deux types normaux qui comprennent presque tout le dernier
pes normaux qui comprennent presque tout le dernier tiers. Quant au type d'extension pure, nous ne l'avons rencontré que
c un état re- marquablement spasmodique des membres inférieurs : le type d'extension . pure était constant chez lui. L
lexe planti-digital, dans ces cas pathologiques et quel que soit le type qu'il présente, est d'apparaître tou- jours ave
DES RÉFLEXES PLANTAIRES 77 dant et sans modifications notables, les types normaux de flexion pure ou de flexion et extens
et, par ces divers points notre cas se distingue des spondyloses du type Marie et du type Bechterew. Par l'intégrité des
s points notre cas se distingue des spondyloses du type Marie et du type Bechterew. Par l'intégrité des articulations des
restier (1), mais s'en sépare encore par l'absence d'ankylose. Le type respiratoire, l'immobilisation du thorax, sont as
dant on voit qu'elle peut se redresser complètement. Ces différents types de grandes cyphoses forment des groupes qui par
n Archives générales de médecine, juillet 1901) est d'une part leur type clinique, d'autre part leur étiologie. Au poi
ur type clinique, d'autre part leur étiologie. Au point de vue du type clinique ces 3 malades permettent de fixer l'ic
s trois cas'de spondylose sont intéressants tant au point de(mlét4, type clinique qu'au point de vue de l'étiologie. <1
lement une question de milieu où l'on observe. Au point de vue du type clinique, ces trois cas présentent également pl
mon travail un spécimen d'après une pièce du Musée Dupuytren). Le type Bechterew cliniquement voisine immédiatement ces
e développement des arthro- pathies vertébrales et l'ankylose. Le type Marie-Strumpell se différencie beaucoup plus nett
uvements presque pas de cyanose. La dyspnée est constante avec un type particulier : dyspnée expiratoire ; tandis que
ement des ailes du nez. R = 24. Au coeur : l'arythmie a changé de type ; ce ne sont plus des salves, mais une tachycard
s cérébrales. Vomissements incoercibles. La respiration n'a plus le type nettement expiratoire qu'elle avait avant, mais
lière; finalement, quelque temps avant la mort, elle avait changé de type , (1) PETIT, Journ. de clinique inf., 30 juin 18
émission de sang pur rutilant, et une dyspnée purement nerveuse, à type spécial : dyspnée expiratoire, avec effort très
ent traitables par le travail que les formes circulaires ; celles à type expansif plus que celles à type dépressif, à caus
e les formes circulaires ; celles à type expansif plus que celles à type dépressif, à cause de la nature même des mécani
us belle période de l'art byzantin, celle où se sont constitués les types qui se transmirent plus tard pendant de longues
Theveoot, Saint-Dtzier (Haute-Marne). ' - 17" Année N° 3 MAI-JUIN TYPE INFANTILE DU GIGANTISME PAR E. BRISSAUD ET HE
s, bref l'aspect de « grands enfants vieillots ». Il existe donc un type infantile du gigan- tisme. Chez quelques-uns
on voit se réaliser, tantôt le gigantisme, tantôt l'acromégalie. TYPE INFANTILE DU GIGANTISME 167 A l'appui de ces re
ean-Pierre Mazas de Montastruc, qui représentait vraiment le proto- type du géant acromégalique, chez lequel les déformati
mation NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVII. Pl. XX TYPE INFANTILE DU GIGANTISME (E. 'Brissaud el Henry
GANTISME (E. 'Brissaud el Henry Meige). Masson et Cie, Editeurs TYPE INFANTILE DU GIGANTISME 169 corporelle : c'est
anches et à la partie supéro-externe des cuisses, qui rappellent le type morphologique féminin. Signalons encore une p
1895. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVII. Pl. XXI TYPE INFANTILE DU GIGANTISME Radiographie de la main
ERNEST (E. 'Brissaud et Henry DiCeige). Masson et Cie, Editeurs TYPE INFANTILE DU GIGANTISME 171 De l'infantilisme E
parfait. Ce n'est pourtant pas la face bouffie des myxoedémateux du type Bourneville, car la peau n'est pas lisse, ni ca
e ; le système pileux de cette région est en somme disposé selon le type féminin. Les organes génitaux sont rudimentaire
r- sales du carpe). - Et il faut aussi ranger dans celte série le type décrit par Gilbert et Gar- nier sous le nom de
syringomyélie où ils siègent surtout au niveau de la main, sous un type spécial pour lequel Marinesco a créé le nom de ma
t les pertes de mémoire. Telle que, cette observation représente un type assez complet d'une affection qui, malgré des t
te dans chaque ganglion spinal, d'après la plupart des auteurs, des types différents de cellules et la disposition des élém
de la coloration ou de la décoloration : de sorte que les prétendus types ne sont pas aussi faciles à distinguer qu'on po
action ou d'atrophie, on conçoit qu'une cellule malade d'un certain type puisse ressembler à une cellule saine d'un autr
d'un certain type puisse ressembler à une cellule saine d'un autre type . Si la méthode de Nissl a rendu des services ap
acines, les autres en coupes longitudinales. Région sacrée. Comme type de ganglion malade nous prendrons le 3e ganglio
des nerfs crâniens du côté droit. D'ahord une paralysie faciale du type périphérique avec atteinte du facial supérieur.
Des observations semblables de cas intermédiaires entre ces deux types morbides, sont connues. C'est à cette catégorie q
lé- reuse, accompagnée de rétractions ; c'était, cliniquement, à un type tout à fait pur de cette catégorie qu'appartena
- gues aux figures données par les auteurs (Krôsing, Durante) comme type 352 CESTAN ET LEJONNE de régression de la fib
s qui em- Nerf optique d'une atrophie tabélique comlète ( lng...) : type ordinaire, « nodulaire » nerf petit; coloration
a) Nerf optique gauche de Despr... : sclérose combinée avec cécité. Type du nerf « petit « et de la sclérose « nodulaire
ns les gaines. c) Nerf optique droit de Dor... : tabès avec cécité. Type du nerf « gros » et de la sclé- rose « trabécul
épaississe- ment de la gaine piale. PLANCHE LI g, h, i) Divers types de nerfs optiques de tabéliques aveugles (portion
iques de tabéliques aveugles (portion orbitaire). g) Nerf de Aug... Type de la sclérose « nodulaire » : la plupart des nod
de celui des nerfs de tabétiques amauroti- ques. 1, m, o) Divers types de nerfs optiques de tabétiques aveugles dans leu
séparent les faisceaux super- ficiels du nerf. m) Nerf de Uegr .. Type de sclérose sans hypertrophie conjonctive. Les tr
hérique. n) Détail de la coupe n : obj. 8. o) Nerf de Desmar... - Type de sclérose avec hypertrophie énorme des travées
rang, et où la réaction névroglique leur est secondaire représente un type que nous avons classé à part dans le groupe des
t de départ des cavités syrin- gomyéliques. Avons-nous affaire à un type exceptionnel et irréductible de cavités médulla
n somme que les caractères qui, dans notre premier cas réalisent un type tout à fait pur et, sem- ble-t-il, nouveau, de
é- lie. Nous ne devons donc pas les considérer comme l'apanage d'un type excep- tionnel de cavité médullaire, car ils ap
fmann) du canal central l'origine du processus qui évoluera sous le type hydro ou syringomyélie. La clinique même est invo
réserves et rendent l'interprétntion très difficile. (1) C'est à ce type que Dejerine et Thomas ont donné, dans une classi
du choréisme de l'écriture (fig. 2). , Voici maintenant quelques types d'écriture difl'érentes périodes de la maladie
ans et dont l'écriture extrêmement modifiée avec régression vers le type enfantin présente celle particularité intéres-
Muscles postérieurs de la cuisse droite. Très grosses altérations. Type de la pseudo-hypertrophie graisseuse : infiltrati
llée et celui qui est dépourvu d'expression, il existe une foule de types intermé- diaires qui ne peuvent nous intéresser
(2 pl., 4 dessins), par A. Thomas et G. Hausser, 207. Gigantisme ( type infantile du) (2 pl.), par E. BRISSAUD et HENRY
iculaire ou musculaire (2 planches), 85. Brissaud et Henry NEIGE. Type infantile du gigantisme (2 planches), 165. Ca
e d'Echternach (6 planches), 248, 322. MEIGE (Henry) et BRISSAUD. Type infan- tile du gigantisme (1 'planche), 165.
Hauser), XXXI, XXXII. Gilles de la Tourette, XXXVII. Gigantisme, type infantile (E. Bsrsswun et Henry MEIGE), XX, XXI
14 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
u point de vue clinique et anato-mo-pathologique. Relation d'un cas type de maladie de Morvan compliqué d'hystérie. Superp
tration, cette méthode des contrastes, qui permet de mieux saisir les types en les comparant et en les opposant les uns aux a
uvent dans la Gazette hebdomadaire. M. Morvan y fonde tout d'abord le type clinique qui porte son nom et le défend ensuite a
quelques occasions. Pour le moment, occupons-nous seulement des cas types et étudions les principaux symptômes avec quelque
orvan et présentant cliniquement, d'une façon beaucoup plus nette, le type de l'atrophie musculaire de Duchenne-Aran. Il y e
ait pour la première fois observé par M. Hanot, il présentait bien le type de la maladie de Morvan, telle que je vous l'ai d
nts hystériques, lesquels peuvent être ramenés à un certain nombre de types distincts. C'est à ce point de vue que les chos
s conclusions, à savoir qu'il convient d'établir un certain nombre de types de tremblement hystérique distincts les uns des a
nts hystériques possibles. Il résulte de cette étude que les divers types de tremblement hystérique peuvent être rapprochés
es divers types de tremblement hystérique peuvent être rapprochés des types de tremblement déjà connus, auxquels ils ressembl
onfondre dans la pratique. En d'autres termes on peut dire que chaque type de tremblement non hystérique a, dans la catégori
ns rapides (8, 9 et plus par seconde). 3° Tremblement intentionnel ( type Rendu), intermé-' diaire comme nombre de vibratio
uver le tremblement de la sclérose mul-tiloculaire considéré dans son type de parfait développement. En pareil cas, vous le
r avec vous deux malades que je considère comme représentant deux des types que je viens de vous signaler tout à l'heure. Il
calisées. Mais j'espère vous en montrer un jour quelques exemples. Le type à oscillations lentes du tremblement hystérique,
mouvement un tremble- Fig. 14. — Tracé du tremblement du nommé B... Type du tremblement hystérique intentionnel. ment à
ant de ressemblances, exactement conforme à celui qui appartient au type classique de la sclérose multilo-culaire. Mais
choses possibles. Ce premier cas, Messieurs, est un bel exemple du type intentionnel du tremblement hystérique, tel qu'il
Rendu. Le second cas, qui va maintenant nous occuper, est relatif au type vibratoire. Il s'agit d'un nommé Hacq...,âgéde3
il a présenté cet homme, il s'agit là d'un tremblement hystérique du type intentionnel qui peut être justement rapproché du
s le reconnaîtrez aisément, ne s'écarte pas foncièrement cependant du type fondamental. Je désignerai, si vous voulez bien
cohérent et qui mérite bien d'être considéré comme se rapportant à un type clinique,. * J'en viens maintenant à la descr
vis, les variations dont il s'agit puissent être ramenées toujours au type fondamental. Pour ce qui est d'abord de la duré
beaucoup plus rares. Les cas suivants peuvent être cités comme des types du genre. 1° Cas de Mœbius doc. cit.) Il s'agit
u cas de la malade qui vient d'être placée devant nous. Comparé aux types dont nous venons d'exposer les traits principaux,
ralysie oculo-motrice, qui se sont produits ensuite conformément au type , se sont montrés fort accentués pendant une pério
ne ophthalmoplégique se rattachant par ses caractères fondamentaux au type classique. L'observation appartient à la catégori
, arriérées, obtuses, absolument sans instruction, qui réalisent deux types d'accidents d'hystérie locale les mieux caractéri
urs des orteils, a apparu il y a trois mois. Il existe une réaction type de dégénérescence avec diminution de l'excitabili
rente. Ainsi que vous le voyez chez ce malade, qui présente un beau type du faciès d'Hutchinson, ici aussi les sourcils so
ubstance grise de la moelle dans l'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran ou dans la sclérose latérale amyo
comme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l'atrophie musculaire du type Duchenne-Aran, où l'altération porte exclusivemen
er la combinaison qui se fait quelquefois de l'atrophie musculaire du type Du-chenne-Aran (poliomyélite antérieure chronique
a-t-il plus? Les deux cas sont-ib identiques? Est-ce de l'atrophie du type Duchenne-Aran qu'il s'agit dans nos cas ? C'est c
arche lente et progressive, reproduisant à peu près les caractères du type Duchenne-Aran (polyomyélite antérieure chronique,
passer sous silence et qui font qu'il s'éloigne à quelques égards du type Duchenne-Aran. Tout d'abord les muscles ont un
tation électrique sans réaction de dégénérescence, tandis que dans le type Duchenne-Aran la réaction de dégénérescence exist
re particularité, qui n'appartient pas, que je sache, à l'histoire du type Duchenne-Aran, c'est une sorte de rétraction musc
n le rencontrera peut-être dans certains cas d'amyotrophies spinales ( type Duchenne-Aran) et de sclérose latérale amyotrophi
alies, nous rattacherons cliniquement l'amyotrophie de notre sujet au type Duchenne-Aran, et nous conclurons que, dans ce ca
l s'agit, mais bien de poliomyélite antérieure subaiguë, répondant au type clinique de la paralysie spinale antérieure subai
savez quel est, hélas ! le pronostic de l'amyotrophie progressive du type Duchenne-Aran. L'affection marche lentement, mais
myotrophies. Sur un cas de syringomyélie avec panaris analgésiques { Type Morvan) (1). Sommaire. — Syringomyélie et malad
on d'une très grande rareté. Observation d'un cas de syringomyélie, type Morvan. Messieurs, Vous avez sans doute enten
itre d'éléments relativement rares, exceptionnels, dans le tableau du type clinique : syringomyélie. Voilà ce que nous cherc
sur ces préliminaires, j'esquisserai maintenant la symptomatologie du type clinique fondamental de la syringomyélie, telle q
s amyotrophiques. Il s'agit d'atrophie musculaire analogue à celle du type Du-chenne-Aran, avec secousses fibrillaires, sans
des faisceaux latéraux ou postérieurs, ils se rattachent, ceux-là au type paraplégie spasmosdique, ceux-ci au groupe tabéti
enir ici les formes atypiques, anormales, frustes, par dégradation du type , ou par adjonction de symptômes extrinsèques. C
et, d'un autre côté, il est avéré que certains cas reconnus comme des types de panaris de Morvan ont présenté cependant la
yot). Le malade que je vais étudier avec vous représente justement un type du panaris analgésique, bien que chez lui la diss
séquence, d'appliquer à cette forme la dénomination de syringomyélie, type Morvan (2). (1) Joffroy et Achard. —Arch. de mé
la scoliose appartient aussi bien à la syringomyélie classique qu'au type Morvan. _ (1) Il n'existe pas chez ce sujet de
l'état morbide dont souffre notre malade sous le nom de syringomyélie type Morvan. On peut jusqu'à un certain point se fig
hés les uns des autres, ces troubles divers me paraissent réaliser un type nosogra-phique défini, dont le tableau clinique p
n date, elle est, je le répète, beaucoup trop complexe pour servir de type aux paralysies pédonculo-protubérantielles. Dans
és cliniques, mais ce ne sont en général que des variétés de ces deux types fondamentaux. Nous voilà maintenant en mesure d
enseurs. La physionomie des lésions rappelle l'atrophie musculaire du type Duchenne-Aran. Ajoutons que la peau, non plus q
Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l'atrophie musculaire du type Aran-Duchenne des cas où seule la syringomyélie é
nt plus profonds; bref l'aspect général rappelle, à s'y méprendre, le type acromégalique si bien décrit par M. Marie. Tout
'acromegalie proprement dite. L'acromegalie est une maladie dont le type est à peu près invariable ; elle se développe, el
ie, les localisations symp-tomatiques sont sujettes à varier ; que le type idéal de la maladie n'est pas réalisé dans tous l
e on l'a fait pour les cas frustes du tabès, clans le cadre élargi du type clinique fondamental. D'ailleurs si le syndrome d
x jours avant son entrée dans le service, par une crise convulsive du type brachial. En six jours, elle a présenté quatre at
cet épisode, c'est précisément cette céphalée si originale clans son type de parfait développement qu'elle éclaire d'une vi
s. [Revue mensuelle, 1877, p. 902.) n'avait vu et voulu voir que le type complet et classique. Mais on n'avait pas tardé à
— et j'en avais vu plusieurs pour ma part — qui ne répondaient pas au type de Duchenne, à qui il manquait tel ou tel signe v
a maladie a subi un arrêt de développement et n'est jamais arrivée au type parfait. Cette forme anormale est également repré
nfortuné que je vous montrais mardi dernier et qui vous a présenté le type parfait du tremblement de la sclérose en plaques.
is à connaître le tremblement hystérique qui, sous une de ses formes ( type Rendu), simule à s'y méprendre celui de la scléro
au point de vue clinique et anatomo-pathologique. Relation d'un cas type de maladie de Morvan compliqué d'hystérie. Superp
08 XII. Sur un cas lc syringomyélie avec panaris analgésiques. ( Type Morvan). (Leçon). Sommaire. — Syringomyélie"
non d'une très grande rareté. Observation d'un cas de syringomyélie, type Morvan. 243 XIII. Sur »in cas de Paralysie di
15 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
bes médullaires; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq couches, [ mportance de l'examen de la str
ir, suivant la région où l'on observe, des déviations im-portantes du type normal ; mais dans l'étude régionale de la struct
nce blanche. En d'autres ter-mes, la névroglie se rapporterait ici au type du tissu conjonc-tif ordinaire : faisceaux conjon
mode d'agencement susceptible d'être considéré comme représentant le type le plus vulgaire, le plus répandu, c'est celui où
Sommaire. — Description d'une coupe de l'écorce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq coaches des éléments ce
cinq coaches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où existe ce type de stratification. — Département des cellules pyr
raux. A. Cette structure, j'ai dû l'envisager tout d'abord dans son type vulgaire, c'est-à-dire le plus généralement répan
t répandu. On pourrait, avec M. Meynert, le désigner sous le nom de type de stratification en cinq couches des éléments ce
s hémisphères qu'on exa-mine ; mais je dois revenir auparavant sur le type à cinq couches. B. Le mode d'arrangement, ainsi
encore du côté du lobe occipital. Nous verrons dans un instant que ce type se montre très notablement modifié dans les parti
c'est que, dans les régions des hémisphères où règne sans partage le type à cinq couches, il existe, je le répète, tout un
ent de nous arrêter. Les régions à grandes cellules^appar-tiennent au type à cinq couches et elles ne se caractérisent en dé
nheim entend par ce mot — elles se rapprochent considérablement de ce type . Sous le nom d'artères terminales ou finales [E
ux est construit tout entier et rigoureusement sur ce modèle. Le même type se retrouve dans les autres systèmes circulatoire
t. iv, Localisations. 6 s'anastomoser, reproduisant de la sorte le type des artères terminales. Dans le bulbe, la même
Nous prendrons en conséquence les branches de l'artère sylvienne pour type de nos descriptions. Il nous sera aisé, après cel
ui concerne leur trajet profond, se trouve en quelque sorte ramené au type de l'entrecroise-ment complet et l'on comprend qu
eilhier fut, par les recherches de MM. Bourdon et Luys, rap-portée au type clinique. Mais quelques auteurs pensaient en-core
aut dans les formes frustres anormales, si variées, si différentes du type normal. Sa présence constante a permis de rattach
assurance ces formes, dont le nombre semble augmenter chaque jour, au type régulier, seul visé dans la description classique
on-sidérations du même ordre. La maladie n'a été bien connue dans son type classique que lorsqu'elle a été rattachée à la lé
ique que lorsqu'elle a été rattachée à la lé-sion cérébro-spinale. Le type régulier est rare ; les formes anor-males sont fr
entes, au contraire, et nombreuses. Elles n'ont pu être rattachées au type dont elles s'éloignent clinique-ment que parce qu
r trajet dans le bulbe. — Entrecroisement des pyramides. — Différents types de décussation. — Importance de la connaissance d
fférents types de décussation. — Importance de la connaissance de ces types au point de vue de l'interprétation des faits pat
estion, d'après M. Flechsig, peuvent d'ailleurs être ramenées à trois types : 1er type. C'est le plus vulgaire (75 0/0. Il
s M. Flechsig, peuvent d'ailleurs être ramenées à trois types : 1er type . C'est le plus vulgaire (75 0/0. Il consiste dans
'après Plechsig. — a, prédominance du faisceau pyramidal direct. — 6, type de décussation totale. Le faisceau pyramidal dire
u croisé renferme 97 ou 91 0/0 de ces fibres. Mais, il existe dans ce type une variété très inté-ressante que M. Flechsig a
sé, circonstance suffisante pour expliquer la paralysie directe. 2e type . Celui-ci a été observé 11 fois sur 100. C'est la
tale; autrement dit les faisceaux directs manquent complètement. 36 type . Plus fréquent que le précédent puisqu'il se pré-
sente dans la proportion de 40 0/0, il mériterait la désigna-tion de type asymétrique. En pareil cas, il n'existe que trois
me reste à indiquer brièvement quelques modifications que présente le type qui vient d'être décrit, lorsque la lésion, au li
Brissaud. — Le tonus musculaire est une action réflexe permanente. Types et variétés des attitudes des membres contracture
diverses circonstances qui peuvent survenir ultérieurement, offre le type le mieux caractérisé de ces contractures dites pa
emarquable de voir que ces attitudes se rapportent dans la règle à un type fondamental. Dans les membres supérieurs, la flex
1° Considérons d'abord le membre supérieur. C'est, avons-nous dit, le type de flexion qu'on y observe : ainsi M. Bou-chard a
a-tion et que les mains sont tenues fermées. Toutes les variétés du type se ramènent aux suivantes : a) Le coude restant f
dans l'extension. L'avant-bras est plus ou moins étendu. C'est là un type assez rare et qui du reste présente plusieurs var
qu'offrent ces attitudes, peuvent être ramenées à un petit nombre de types toujours les mêmes: type de flexion avec pronatio
peuvent être ramenées à un petit nombre de types toujours les mêmes: type de flexion avec pronation pour le membre supérieu
s les mêmes: type de flexion avec pronation pour le membre supérieur, type d'ex-tension ou d'équinisme avec varus pour le me
s se rapportent d'ailleurs, ainsi que je l'annonçais précédemment, au type décrit à pro-pos de l'hémiplégie de l'adulte. Ain
pos de l'hémiplégie de l'adulte. Ainsi, pour le membre supé-rieur, le type de flexion avec pronation est ici encore la règle
eut-être un peu forcé, comme l'est nécessairement la description d'un type . Ce type présente en outre une variante. Le malad
un peu forcé, comme l'est nécessairement la description d'un type. Ce type présente en outre une variante. Le malade qui, en
tre terre. Cette variété, décrite par Erb, serait plus commune que le type d'Ollivier (d'Angers). Il est très remarquable
omènes concomitants qui se présentent en si grand nombre dans les cas types . Ainsi, en présence d'une paraplégie spasmodique,
rvation, aussi complète que possible, réalise dans tousses détails le type que M. Charcot avait signalé, en 1874, comme étan
deux observations, car chacune d'elles est la reproduction fidèle du type décrit par M. Charcot. (1) Gombault. —Etude sur
de sa leçon. Et voici encore, en abrégé, deux faits bien conformes au type , spécialement en ce qui concerne les accidents sp
les formes anormales, les formes frustes diffèrent singulière-ment du type décrit par Duchenne. Bien plus, on pourrait dire
ême, si Duchenne n'avait eu le mérite de préciser les caractères d'un type , d'un étalon, auquel pussent être comparées les n
l'époque de Duchenne (de Boulogne). 11 fallait d'abord en réaliser le type fondamental ; tel a été l'objet que c'est pro-pos
bes médullaires; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq couches. importance de l'examen de la st
Sommaire. — Description d'une coupe de l'ecorce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq couches des éléments ce
cinq couches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où existe ce type de stratification. — Département des cellules pyr
r trajet dans le bulbe. — Entrecroisement des pyramides. — Différents types de décussation. — Importance de la connaissance d
fférents types de décussation. — Importance de la connaissance de ces types au point de vue de l'interprétation des faits pat
Brissaud. — Le tonus musculaire est une action réflexe permanente. Types et variétés des attitudes des membres contracture
mbres dans le cas de contracture permanente, 324, 329 ; — Variétés et types , 330 et suiv. Avant-coin, 38. Avant-mur, 8, 2
éveloppement des éléments de 1' —, 208. Egorge cérébelleuse, 32 ; — type à trois couches. Ecorce cérébrale, 42; — type à
cérébelleuse, 32 ; — type à trois couches. Ecorce cérébrale, 42; — type à cinq couches, 33. Electrothérapie, 321. Embry
te, 352. Entrecroisement des pyramides, 199 ; — ses variétés et ses types , • 200, 201 ; — double des fibres py-ramidales,
16 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
obsessions dites intellectuelles et, en particulier, les différents types décrits sous le nom général de maladie du doute
sque la neuropathologie existait à peine encore, que la plupart des types cliniques qui nous sont aujourd'hui fami- liers
ue de remplir les fonctions de préhension ou de locomotion, dont le type est alors seulement modifié. Les exemples de su
ent. Au cours de la rééducation, on peut être amené à modifier le type des mouvements normaux, mais ce n'est là qu'un mo
n d'eux au-dessus du segment sous- jacent, s'il ignorait les divers types de la marche afin de tirer le meilleur parti po
t ce qu'il leur faut demander : jamais ils n'aideront à rétablir le type nor- mal de la contraction volontaire et de la
anomalie lesquels se rapprochent de ce que M. P. Richer a appelé type de contraction balistique pour les muscles nor-
ffisantes pour la thérapeutique, combien en réalité sont variés les types de locomotion chez ces malades. Enfin il n'est
de trois ordres, les uns, les plus simples, destinés à rétablir le type normal de la contraction musculaire indi- vidue
s qui trouvent leur application dans la marche et notamment dans le type de marche que l'on propose au malade; les uns c
IE PATHOLOGIQUES. 87 réussissait jamais à changer de cette façon le type d'une race, d'une famille, encore moins d'une e
une R. D. incomplète). A noter la déformation fré- quente du pied, type Joffroy-Condoléon, avec griffe des orteils; et
u'il en soit, ces relations qualitatives permettent de concevoir le type . Une classification psychologique ne peut avoir
ur lui. les vifs, les ardents. les lents et les équilibrés avec des types intermédiaires. Mais ne prend-il pas lui aussi
rnaud, nous reconnaîtrons trois formes cliniques : lafolie imposée, type Lasègue-Falret; la folie simultanée, type Régis
niques : lafolie imposée, type Lasègue-Falret; la folie simultanée, type Régis ; la folie communiquée, type Marandon.
gue-Falret; la folie simultanée, type Régis ; la folie communiquée, type Marandon. ' Sérieux et Capgras. ? M/. méd. -p
se présente de mille manières, de telle sorte que chez le dégénéré type on assiste à une véritable ataxie cérébro-spina
11 J, 1901.) Deux observations de déformation de la main, selon le type décrit par Duchenne, de Boulogne, dans la rétra
s la famille. 184 -li REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C'est le même type de nystagmus avec oscillations rythmiques horiz
es de con- fusion mentale, et continue pendant six ans à revêtir le type com- plet de l'épileptique vulgaire avec délire
he progressive et fatale dans l'immense majorité des cas. Dans le type léger de la névralgie faciale, ce qu'on observe
ésie est un signe à peu près constant dans toutes les névralgies du type léger. Dans quelques cas, mais non toujours, on
grimace provoquée uniquement par la douleur. Enfin, la névralgie type léger se localise le plus souvent sur une branc
uérison. La grande névralgie faciale au contraire, la névralgie à type grave est caractérisée par des douleurs intermitt
ontinues ou périodiques, sans aucun caractère bien tranché. Dans le type grave de la névralgie faciale, les points de Va
ix. Cette hyperesthésie uniforme est un caractère très important du type grave. En outre, on notera bien souvent que cet
. Rappelons du reste que Valleix, sur 14 cas de névralgie faciale à type grave observés par lui, n'a pu constater le tic
pagnent la névralgie faciale appartiennent presque exclusivement au type grave. Rappelons que l'hypersécrétion lacrymale
ur 17 cas de névralgie faciale cepen- dant parmi lesquels 13 cas de type grave que nous avons observés, jamais à aucun m
la névralgie faciale. L'un des caractères delà névralgie faciale à type grave est de revenir à des époques indéterminée
cés de déceler chez nos malades la cause probable de la névralgie à type grave, et sur ce ter- rain nous nous sommes con
t devoir être rapportée au paludisme. Il présentait une névralgie à type grave générali- sée, ce qui cadrait assez mal a
ie faciale palu- dique, qui, on le sait, affecte le plus souvent le type léger, et se localise de préférence à la branch
n'avait aucun effet sur la grande névralgie. Cette asso- ciation du type grave avec le type léger à-étiologie bien défin
sur la grande névralgie. Cette asso- ciation du type grave avec le type léger à-étiologie bien définie nous semble asse
DE la ..névralgie faciale La névralgie faciale, quelle que soit son type , léger ou grave, est justiciable dans certains
d'un traitement spé- cifique, ce qui veut dire que dans tel ou tel type de névralgie 1 Chez un autre malade franchement
que dans les formes peu intenses, passagères ou hyperesthésiques du type léger. Dans la grande névralgie, l'effet, s'il
is peut-être faut-il être assez circonspect en ce qui con- cerne le type de la névralgie qu'on a soumis à ce moyen. Il e
ficacité dans les formes graves, et cela même dans les névralgies à type léger un peu sérieuses. Le courant voltaïque,
lication de ces courants. Sur nos indications, Gaine a construit un type de batterie au sulfate de mercure destinée spéc
endre jusqu'à la fin du premier mois pour la voir survenir. Dans le type grave, il y a même parfois au moment des premiè
blié de suites éloignées, ce qui, pour la névralgie du trijumeau du type grave, est cependant de toute impor- tance. C
est cependant de toute impor- tance. Cette névralgie du trijumeau type grave, peut-elle guérir ? 1 Société de Médecine
la névralgie, et s'il ne s'agissait pas ici et là de névralgies du type léger. Dans bien des observations, en effet, le
pas, pas spécifié, et il est impossible de savoir auquel des deux types appartient l'affection traitée. ' Sans doute le
« formes » de névralgie faciale. On y trouvera que la névralgie du type léger peut affecter une allure légère, sérieuse
- qu'aux formes les plus extraordinairement rebelles. Or, pour le type léger de la névralgie faciale, le traitement élec
s vu réussir d'une façon parfaite dans des cas de névral- gie de ce type qui avaientrésisté à tous les autres traitements.
disparaître d'une façon définitive. Mais il n'en est pas de même du type grave de la névralgie faciale, de la névralgie
de soulagement. Sur ces 17 malades, 7 ont présenté une névralgie du type grave avec tic plus ou moins prononcé. Sur ces
très marquée au contraire chez les 5 autres. Six malades avaient le type grave mais sans tic. Sur ces G cas, dans l'un,
e, et 3 très grosses améliorations. Enfin sur 4 cas de névralgie du type léger, nous noterons un traite- ment incomplet,
ous ne faisons usage du terme de guérison que pour les névralgies à type léger. Pour les névralgies du type grave, nous
ison que pour les névralgies à type léger. Pour les névralgies du type grave, nous n'avons voulu admettre comme possible
ter sur ce point. Bien que dans deux cas de névralgie faciale de ce type nous ayions obtenu une sédation presque absolue
le trajet des vais- seaux, et celle qui suit le neurone. 1. --Le type de l'inflammation du neurone est celle du lubes d
alors, il sera possible d'élaborer une classification naturelle des types , de fixer les con- nexités et les liens qui peu
ogique, jan- vier 4901.) E. B. XXXIX. Sur deux cas de spondylite { type Betchereiv et type P. Marie) ; par les D's DE B
4901.) E. B. XXXIX. Sur deux cas de spondylite {type Betchereiv et type P. Marie) ; par les D's DE BucK et DEBRAY. (Joi
ail est basé sur deux cas de spondylite dont l'un se rapprochait du type Betcherew par la localisation méningée pri- mit
einte de la colonne vertébrale, tandis que l'autre correspondait au type Stumpell-lllarie. De l'étude compara- tive de c
crainte de voir tomber la tête ; par le De SCIIEIIB. Observation type de torticolis mental, aussi intéressant au point
musculaires occupent par leur fréquence une place prépondérante. Le type habituel des myopathies familiales est caractéris
lonnaires dont le Cheadle-Royal Asilum de Manchester fut le premier type érigé en 1862. Sir John Sibbald a parlé ensuite
a direction d'alié- nistes de carrière. Sir John Sibbald cite comme type du genre l'hôpital spécial du De Pontopidan, à
mier à faire connaître en France est actuellement celui qui sert de type aux interventions péri- phériques. On y a recou
ra recours à leur traitement spécifique. 2° Dans les névralgies à type léger, on commencera par s'adresser d'abord aux
ès cer- tainement la guérison complète. 3° Dans les névralgies du type grave, après que l'on aura constaté l'inefficac
ux jours après. A certains moments cependant, la douleur affecte le type nocturne, de sorte que la malade ne prend aucun
-massage pour prendre ses repas. Les douleurs changent souvent de type , affectant tantôt le type nocturne, tantôt diur
repas. Les douleurs changent souvent de type, affectant tantôt le type nocturne, tantôt diurne, se présentant tantôt s
on beaucoup plus marquée. OBs. XIII. M ? M..., névralgie faciale du type grave depuis trois ans. A en plusieurs rémissio
près les dires da la malade il est difficile de se rendre compte du type exact de la névralgie, toutefois il semble bien s
exact de la névralgie, toutefois il semble bien se rappro- cher du type grave. L'accès commence par des éclairs qui pas
eux observations ont trait à des ma- lades atteints de névralgie du type grave. Chez l'un de ces deux malades, le début
s mensurations craniométriques. Conclusions. 1. La catatonie est un type morbide autonome qui appartient au groupe des p
r peut réaliser un élément de sélection tendant à l'élimination des types chez lesquels cet amour parental est le moins d
mptôme de Babinski et de Schacller très accentués. La démarche a un type un peu hémiplégique : la malade se met surle bo
pricieuse, mais propos de laquelle les auteurs dé- crivent quelques types morbides où le tic est un des symptômes BIBLIOG
d'Italie, Georges Deihomme fit le pari de « saigner » le premier « type » qui passerait. Ce fut M. François Rouit qui s
eurasthénie un groupe de symp- tômes bien délimité et d'en faire un type clinique autonome sous le nom de « Névrose d'An
de l'affection, qui lui donne son nom et la différencie des autres types névropathiques, c'est l'angoisse chronique avec
chez le même malade et aient été confondues jusqu'à ce jour dans un type morbide unique. Les causes qui agissent sur l'u
propose de considérer comme autonome, sous lenomdepsychasthénie, un type cli- nique qui, de son propre aveu, est assez v
écoce de cette affection est exceptionnel. Paralysie radiculaire du type Klzi ? ? iplie d'origine traumatique empiétant
T MaxEGGER présentent un malade atteint de paralysie radiculaire du type Iclumpke qui s'écarte du type classique par cer
e atteint de paralysie radiculaire du type Iclumpke qui s'écarte du type classique par certains caractères particuliers.
^-obsessions spéciales. Les phobies diffuses (névrose d'angoisse type ) sont intéressantes au double point de vue clin
ues ou amnésiques, isolées ou répétées. Les auteurs admettent trois types d'impulsions : 1° les impulsions motrices pures
ncéphale et de la moelle, M. Sommer possède une riche collection de types cliniques des diverses affections du système ne
n est intéressante par l'association d'une atro- phie musculaire du type myélopathique à la sclérodermie et vient à l'ap
xtraordinaires. Rappelant les nombreuses variétés déjà cataloguées ( types de Landouzy et Déjerine, d'Erb, de Leyden-Mobiu
- phie musculaire progressive ne méritent plus qu'on en fasse des types spéciaux. Il. Charron. LXXXIII. Une myopathie a
ut de l'affection. R. C. LXXXIV. Sur un nouveau cas d'amyotrophie à type Charcot-Marie ; par Socn (Nouv. Iconogr. de la
de simples coincidences ou de nouveaux symptômes à signaler dans le type Charcot-Marie. R. C. LXXXV. De la myotonie atro
de la Salpêtrière, n° 2,1903). L1XXVII. Infantilisme dégénératif ( type Lorain) compliqué de dys- thyroïdie pubérale (t
sme dégénératif (type Lorain) compliqué de dys- thyroïdie pubérale ( type Brissaud) ; par DUPRÉ et Pagniez (Nouv. Iconogr
n pleine santé d'un ictus auquel succéda une atrophie musculaire du type de Duchenne sans réaction de dégénérescence au
des différences caractéristiques qui permettent de dis- tinguer le type moteur du type sensitif. Le premier est surtout
s caractéristiques qui permettent de dis- tinguer le type moteur du type sensitif. Le premier est surtout accentué dans
isposition spéciale (radiaire) de leurs fibres, rappelant un peu le type moteur mais aussi voisine du type calleux ( ? )
leurs fibres, rappelant un peu le type moteur mais aussi voisine du type calleux ( ? ), 6° A tout trousseau sensitif (ce
moanesthésie simultanément avec le trouble de la coor- dination de. type cérébelleux et avec le trouble de divers nerfs
vomis- sement, hoquet incessant. Ataxie des extrémités droites, de type cérébelleux; tendance à tomber du côté droit. L
tiou en déduction l'auteur a) rive à cette conclusion : « à côté du type clinique de l'alcoolisme chronique (nettement pat
ue de l'alcoolisme chronique (nettement pathologique), il existe un type paraclinique caract risé par le double signe de
liar- cot ? lat-ie. par Sainton, 1). 282. Sur un nouveau cas d' i type Charcot-\Iarie, par Soca. 536. AnEacÉl : l,a.
meil. -. Voir Li- quicle céphalo-rachidien. radi- etilaii-f, (î(i type Kluinpke d'origine traumatique empiétant sur le
17 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
s d'une même famille. C'est une maladie qui tend à créer, à côté du type normal de l'espèce, un type anormal et presque
une maladie qui tend à créer, à côté du type normal de l'espèce, un type anormal et presque une variété dégénérée ». « E
trice. Depuis la première description qui en fut faite, de nombreux types sont t venus s'ajouter au tableau primordial, r
au tableau primordial, réunis ou séparés, suivant les au- teurs, du type primitif, et je vous rappellerai que déjà, en 189
ur ne rien préjuger de la question et pour les appliquer à tous les types que nous aurons à considérer). La première es
ns sa totalité, la 2e phalange n'étant pas flé- chie, comme dans le type classique). Remarquez encore l'hypotonicité trè
n caractère particulier à la démarche de tel ou tel indi- vidu. Les types de démarche, même ne s'écartant pas beaucoup de l
res musculaires, d'hyperos- toses. Nous avons jusqu'ici décrit le type le plus complet et le plus parfait du « pseudo-
malades qu'il écartait de sa description et ceux qu'il prenait pour type : voici en effet ce qu'il écrivait : « Une atti
. Notons encore qu'en dehors de ce cadre se placent les cyphoses du type dé- crit par Brissaud et Grenet, débutant chez
seule'que nous réservons le nom de cyphoses pro- fessionnelles. Le type en est la duplicature champêtre. Elles sont carac
la colonne vertébrale s'incurve, pour que le thorax se déforme. Le type de cette cyphose est celle que nous avons décri
les, et il en reproduit souvent le dessin. Nous citerons quel- ques types : . « Monstre semblable à sa mère dans la parti
humains, cite quelques monstres marins ; j'en rappellerai quelques types : « Monstre marin ayant la tête d'un ours et le
e et l'ana- tomie pathologique de cette affection. A mesure qu'au type d'ataxie hérédo-spinale,décrit par Friedreich,son
suré qu'entre cette manifestation, distincte au premier abord et le type déjà décrit, il n'existe pas de formes de trans
cette leçon, Messieurs, je me propose de vous présenter un malade, type intermédiaire entre la maladie de Friedreich et c
la fréquence a été si grande ces dernières années par rap- port aux types purs ; à tel point que l'on est en droit de se de
rer qu'en clinique, il n'existait pas de démarcation entre les deux types extrêmes de l'ataxie familiale. En effet, sur
ou l'apparition de phénomènes oculaires suivant l'un ou l'autre des types ? Mais Colin n'a-t-il pas noté de l'atrophie opti
même que dans l'observation de Menzel, et, l'on doit admettre que le type cérébelleux verse dans le type Friedreich. Cett
enzel, et, l'on doit admettre que le type cérébelleux verse dans le type Friedreich. Cette expression ne peut même plus
er progressivement. Et d'ailleurs, chez des malades offrant avec le type Friedreich la plus parfaite analogie, ne peut-o
re pressentir que leur examen anatomique différerait notablement du type Nonne-Fraser. Ils présentaient, en effet, des lés
, ce qui pour les dualistes peut séparer encore plus ces malades du type Friedreich, c'est la présence à leur examen d'alt
soignée autrefois dans le service de mon collè- gue Pitres, est un type de maladie de Friedreich très complet, avec sco-
ch, dans le syn- drome de Marie, dans les formes de transition, des types morbides ayant tous comme point commun l'attein
que, incoordination, nystagmus), qui réunit dans un même groupe des types de localisation différente, toutes affections f
aux manifestations héréditaires. Il y aurait alors à décrire : Un type spinal où l'abolition des réflexes, la scoliose e
scoliose et le pied-bot joints au syndrome commun constituerait le type de Friedreich : Un type cérébelleux où l'atroph
oints au syndrome commun constituerait le type de Friedreich : Un type cérébelleux où l'atrophie des nerfs optiques, les
encore au syndrome commun constituerait le syndrome de Marie ; Un type bulbaire où prédominent les vomissements, la dysp
édominent les vomissements, la dyspnée,raryth- mie cardiaque : Un type bulbo-prolubèrantiel peut-être caractérisé par de
olubèrantiel peut-être caractérisé par des troubles auditifs ; Un type généralisé, comme dans le cas de Menzel, autant d
ditifs ; Un type généralisé, comme dans le cas de Menzel, autant de types différents que de familles atteintes, mais tous
cervicales, cérébrobulbaires. Dans la sclérose en plaques, outre le type classique, cérébrospinal, il existe des formes
progressive, l'atrophie myélopathique et l'atrophie myopathique. Le type Werdnig-Hoffmann est venu combler le fossé qui
médullaires C'est ainsi que Pauly et Nonne, Lorrain ont observé des types intermédiaires à l'ataxie familiale et à la par
aujourd'hui. Vous pouvez déjà prévoir, Messieurs, en face de ces types complexes dont le nombre augmentera certainemen
ous sera, du même coup, facile de fixer les rapports respectifs des types de maladies familiales et les relations de ces
tifs des types de maladies familiales et les relations de ces mêmes types avec les formes de transition qui constituent a
de réaction inflammatoire font défaut. Il appartient sans doute au type sarcome et la présence d'amas de pigment et de
une coupe faite au niveau de la tumeur. Poids total : 1410 gr. Type alvéolaire peu riche en tissu conjonctif, très bi
hémisphère droit du cervelet. De consistance tendre, il présente un type alvéolaire pauvre en tissu conjonc- tif ; c'est
bjective. Ce syndrome particulier, remarquable par la fixité de son type clinique, était déterminé, dans les trois cas d
3. 160 GRUNER ET BERTOLOTTI qui peuvent servir à bien établir son type clinique et sa localisation anatomique. Tout
g. - L'examen de la motilité démontre qu'il existe une hémiplégie à type cérébral avec participation du facial inférieur,
ennent à deux comptables,l'un atteint de la crampe professionnelle, type trémulant, l'autre de la crampe profession- nel
ssionnelle, type trémulant, l'autre de la crampe profession- nelle, type spasmodique ; un autre de ces échantillons appart
ent à un employé d'une banque, atteint de la crampe professionnelle type paralytique, et enfin, les deux derniers échant
pas la forme de l'écriture ataxique. Au début des études Fig. 1. - Type trémulant. Fig. 2. Type paralytique. Fig. 3.
e ataxique. Au début des études Fig. 1. - Type trémulant. Fig. 2. Type paralytique. Fig. 3. Type spasmodique. Fig. 4
des Fig. 1. - Type trémulant. Fig. 2. Type paralytique. Fig. 3. Type spasmodique. Fig. 4. Ecriture d'un terrassier.
tes écritures avant et après le traitement. Nous avons choisi trois types , présentant les trois types classiques, afin de m
le traitement. Nous avons choisi trois types, présentant les trois types classiques, afin de montrer à notre lecteur, qu
assis sur un solide fauteuil à dossier droit qui correspond bien au type de la chaière opératoire, que tout bar- bier ch
ujourd'hui, on admet couramment, avec M. Brissaud,qu'il existe deux types cliniques : la scoliose croisée, dans laquelle le
drait surtout aux sciatiques spasmodiques. , Il existe un troisième type clinique, moins connu que les précédents, décri
lade peut de nouveau se tenir debout sans appui ; il offre alors le type de la scoliose sciatique croi- sée. Il peut res
peut rester dans cette position un certain temps ; mais il préfère le type homologue, et pour y revenir il est obligé de r
roit permettent de croire qu'il s'agit d'une sciatique spasmodique ( type Brissaud). Mais dans ces cas la possibilité de
aralytiques généraux dans des mé- moires successifs, distingue deux types lésionnels fondamentaux : l'un constitué par la
y- sées, surtout celles du membre supérieur. On n'y retrouve pas le type habituel des attitudes de flexion des hémiplégi
les cas d'aplasie cla- viculaire qui peuvent être rapprochés de ces types si nets de dysostose cléido-crânienne héréditai
n réalité « des varia-' tions bien caractérisées et héréditaires du type humain, spécifiques et brusques, bien connues d
tion membraneuse. Il peut y avoir des intermédiaires entre les deux types (tel est le cas de MM. Gaillard et F. Lévy) (1)
les deux types (tel est le cas de MM. Gaillard et F. Lévy) (1), les types de dysostose étant multiples comme toutes les m
diamètre bipariétal, sa parenté enfin nous autorisent à faire de ce type une forme fruste de l'affection au même titre que
venue se mettre en contact. ' Chez les individus se rapportant aux types classiques d'Anencéphales et de Pseudencéphales
caractère retenu par les classificateurs pour l'établis- sement des types Dérencéphale et Thlipsencéphale. Lorsque la fissu
à dire, dès maintenant, que notre intention n'est pas d'en faire un type nouveau, bien défini ; tout au contraire, nous vo
des limites bien tranchées et qu'on rencontre entre les différents types des formes inter- médiaires qui conduisent inse
penser à une affection cérébel- leuse, et qu'ensuite elle offrit le type classique de la démarche spasmo- dique. Ce qu
ée, mais elle n'est ni explosive, ni scandée. C'est d'ailleurs ce type qui se rencontre habituellement dans les ma- la
ivers auteurs, on doit distinguer au point de vue nosographique des types nettement définis des maladies familiales, et e
nom d'hérédo- ataxie, en faisant du Friedreich la forme spinale, du type Marie la forme cérébelleuse d'une même affectio
mptomatologie peut être diffuse. Si certains cas répondentbien à un type isolé, par exemple au Friedreich, à l'alexie céré
eut donc être bon,au point de vue purement pratique, de décrire des types cliniques définis,il faut se rappeler que ceux-ci
on peut rencontrer des formes intermé- diaires. Si, en admettant le type de maladie familiale à forme de sclérose en pla
e la maladie, donnait à penser que ces cas se rapprochent plutôt du type Leyden-Mbbius. On trouvera dans l'exposé de leu
e symptôme des douleurs a été constaté et décrit par Leyden dans le type qui porte son nom : Leyden-Môbius : Seidel rapp
s des maux de tête, et pendant un mois il a eu des accès de fièvre, type tierce. C'est de cette époque que date le commenc
s observations personnelles vont, dans un instant, fournir quelques types . Et sans doute aucun parallèle n'est à établir
mmobilisa- tion instinctive, revêtent pour chaque jointure certains types bien déter- minés, celles de l'hystérie, cette
il fut reçu salle llfolland. A'l'examen, on constate un torticolis type , avec tète inclinée fortement sur l'épaule droi
et dans ce cas les paralysies, rares d'ailleurs, doivent affecter le type ra- diculaire ou tronculaire, c'est-à-dire être
e, apparence qu'avait déjà signalée Parrot et qui rappelle certains types pseudo-hypertropliiques. 2° Enfants. Lorsqu'ils
t avec leur âge. Le raccourcissement des membres affecte souvent le type rhizomélique (P. Marie), c'est-à-dire que la cu
orter leur pe- tite taille. Le raccourcissement est en général du type rhizomélique, c'est-à-dire porte au maximum sur
insi à confusion. L'examen histologique est donc, en dehors des cas types , nécessaire actuellement pour asseoir un diagnost
entale du travail de S. Mül- ler sur l'achondroplasie en est un cas type , aussi conclut-il que la cbondro- dystrophie re
us haut est celui de l'achondroplasie et de la dysplasie périostale types , mais il ne se réalise pas toujours exactement :
à insertions musculaires très marquées ; le raccourcissement est du type rhizomélique ; le tronc est normal, ainsi que l
représentent donc pas une race à proprement parler, mais plutôt des types anormaux sélectionnés par hérédité. Le même auteu
tale, dans le ra- chitisme et dans le myxoedème. Il est vrai que le type rhizomélique fait géné- ralement défaut dans ce
er. En pratique, la micromélie, particulièrement si elle affecte le type rhizo- mélique et si elle est généralisée aux m
ure à la normale, mais harmonieuse, et reproduit, en plus petit, le type de l'adulte bien conformé. Poncet et Leriche, s
achondroplasiques sont une tive de variété héréditaire spéciale du type humain,un retour ancestral au Pyg- mée ancien.
nt bien montré les différences essentielles qui séparent ' ces deux types . Le myxoedémateux avec ses lèvres épaisses, sa bo
ventre, ses pseudo-li- pomes, sa torpeur intellectuelle, réalise le type du crétin classique auquel ne ressemble pas l'a
L'examen histologique nous a montré qu'il s'agissait de rachitisme type . 518 PORAK ET DURANTE Le diagnostic clinique
la radiographie pour vérifier l'état des diaphyses. Dans les cas types , l'achondroplasique avec sa grosse tête, ses boss
déterminé par une diminution de l'activité des ostéoblastes, est un type histologique qui répond assez exactement à l'acti
ariété spéciale de l'espèce humaine, une sorte de reviviscence d'un type atavique de celte espèce. Mais la partie qui
n exprimer les plus vifs remer- ciements. ATROPHIE, MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE PAR M.
is dans l'étiologie de l'atrophie musculaire pro- gressive spinale ( type Aran-Duchenne) est une question encore à l'élude.
i pré- sentait une atrophie musculaire ayant tous les caractères du type Aran- Duchenne et chez lequel la syphilis nous
ruxelles, 1903 et Article, Atrophie musculaire progressive spinale ( Type Duchenne-Aran), in Traité de Médecine, 2° éd., t.
IIE DE la SALPCTRIHE. T. XVIII. 1'1. LXIII ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE (Lannois
ITIQUE (Lannois). Masson et C·, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 595 de Méd
méninge ». Il se résume en disant que l'amyotrophie progressive du type Aran-Duchenne, accompa- gnée ou non de symptôme
é donné d'observer récemment. Observation. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique. (Pl. LXII
phie DE la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. Pl. LXI\' ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE d'origine SYPHILITIQUE Radiogra
; Cu, Éditeurs . Phototypie Ucrthaud, Pans ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 597 tissu
gnifiante à la lumière et à l'accommodation* ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 599 Rien d
peut donc se faire comme dans les cas qui ont servi à éta- blir le type classique Aran-Duchenne ; d'ailleurs il n'est pas
ire qu'on ne saurait exagérer : ils démontrent avec évidence que le type clinique de l'atrophie musculaire myélopathique
ations : il n'est pas douteux que ce chiffre ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'OHIGINE SYPHILITIQUE 601 s'accr
et Vurpas, Wichura (1), Zingerle ont noté un rythme respiratoire du type Cheynes-Stockes, des crises convulsives, des mouv
ans l'avenir quelque critique médical très sérieux de découvrir des types pathologiques définis dans les conceptions orig
éaction pupillaire à la lumière est minime. La respiration prend le type de Cheyne-Stokes. Au bout de 2 jours L.... reco
foyer a pour centre un vaisseau et l'on en peut distinguer plusieurs types : a) La paroi et la lumière du vaisseau sont ne
ables. Leur nombre eh certains points est tel que le tissu prend le type « adipeux ». La région vacuolée atteint une profo
, en revanche, on constate une amyotrophie progressive réalisant le type facio-scapulo-huméral de Landouzy-Dejerine ou plu
es dystrophies sont essentiellement conventionnelles. Le nombre des types cliniques est vraiment excessif et il est bien
cas rencontrés en cli- nique qui soient exactement comparables aux types décrits. La nosogra- phie des dystrophies muscu
de muscle. En réalité, le cas du brigadier-prévôt ne relève d'aucun type connu. Et l'absence de tout symptôme morbide no
impose donc nécessairement entre les adhérences qui accompagnent ce type bien défini et les adhérences que l'on rencontre
age et déformations mécaniques aboutissent à la constitu- tion d'un type morphologique bien défini et remarquable par sa c
morphologique bien défini et remarquable par sa constance. Mais ce type , par sa genèse même, reste sans aucun rapport ave
tte prédis- position. Il est donc à croire qu'un certain nombre des types répondant au complexe assez hétéroclite exencép
ditions même de la vie des acéphales (1). Ceux-ci sont vraiment des types tératologiques par leur organisation tout entiè
s lésions destructives, les déformations mécaniques d'où résulte le type morphologique sur la significa- tion duquel les
hasie amnésique (3 pl.), par HALl PRÉ, 36. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chêne d'origine syphilitique (2 pl.),
ale périphéri- que (1 pl.), 424. LA1'NOIS. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique (2 pl.),
Aphasie amnésique (ILaLrrnr : ), V â VII. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chenne d'origine syphilitique (LaNNOIS
18 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
e, où il avait été admis pour des troubles médullaires affectant le type de la sclérose combinée sénile. Les renseigneme
l qui a donné lieu, pendant trois ans, aux attaques convulsi- ves à type épileptiforme. Cette lésion atteignant, en effet,
te moitié. La paralysie, correspondant à l'atrophie, répond bien au type décrit par Babinski (Soc. 7aaéd. hôl)., 1896) : e
ment du tableau clinique des douleurs persistantes au côté droit, à type radiculaire, indiquaient qu'il fallait rechercher
uent de la maladie. Du reste même les troubles de la sensibilité du type des changements dissociés ne sont pas toujours
Aussi, vu l'évolution irrégulière avec troubles de la sensibilité à type de modifications dissociées, a-t-on judi- cieus
Par contre, dans les observations 1 et II les douleurs constantes, à type radiculaire, à force variable et à localisation
bien des rapports', le cas de Martius, dans lequel la névralgie, à type radiculaire, exactement localisée, a été pendan
eur méningée, confirme l'opinion déjà établie,- d'après laquelle le type ascendant dans le développement des symptômes m
I). Le « Père Eternel », ainsi qu'on le nomme à l'Asile, réalise le type achevé du CI beau vieillard ». Petit de taille,
sensuel conservé, et l'examen ophtalmoscopique révèle une papille à type atrophique entièrement décolorée. Du côté gauch
ées. Il en résultait des malformations osseuses et des fractures il type spontané. Les organes sexuels étaient infantiles.
directement ou indirectement un arrêt de la croissance, qui est un type d'infantilisme Il y a donc un infantilisme d'or
p. 140. ETTORE LEVI. - Contribution à l'étude de l'infantilisme de type Lorain. Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtriè
t d'abord la façon par laquelle se réalise chez l'homme nor- mal ce type de marche. Placé devant l'observateur, les pieds
ial. Grasset (1) a cependant démontré qu'on ne peut pas admettre le type décrit par Schüller comme le seul rencontré dan
plégie et, quoi- qu'il l'avoue comme bien plus rare, il a décrit un type renversé. C'est-à- dire : progression normale d
son bord externe Ce n'est pas à l'allongement du membre paralysé ( type Mann de l'hé- miplégie) qu'on doit, d'après Gra
attribuer l'embarras dans la marche vers, le côté malade. Entre le type Schüller et le type Grasset, Cassiapuoti a décrit
s dans la marche vers, le côté malade. Entre le type Schüller et le type Grasset, Cassiapuoti a décrit un type intermédi
Entre le type Schüller et le type Grasset, Cassiapuoti a décrit un type intermédiaire. Cet auteur a publié une très i
démontré graphiquement la réduction que subit dans les différentes types la dimension du pas. Dans des cas il y a, en effe
l'abduction du même membre ; eufin dans un troisième groupe de cas ( type Cacciapuoti) la grandeur du pas latéral est égale
'être signalés. Chez les malades dont la démarche latérale obéit au type Sclnller, nous (t) Grs.sscr, Les centres nerveu
rès habituel et nous l'avons encore observé quand le malade suit le type Grasset. Mais comme dans ce dernier type, la di
vé quand le malade suit le type Grasset. Mais comme dans ce dernier type , la difficulté de la marche est plus grande ver
e se traîne toujours sur le sol. Mais ce qui caractérise le plus ce type hystérique est le manque d'uniformité, de façon
ices indiqués pour dépister l'ataxie au début. Comme il s'agit d'un type de marche absolument inusité dans le cas normal
au membre supérieur droit du côté paralysé. Unverricht a décrit un type myoclonique- épileptique héréditaire spé- cial
e sa malade pro- duisaient des effets locomoteurs, séparer les deux types myocloniques. Raymond défend leur identificatio
ions de Kny (1888) ont même été présentées sous le titre : « Sur un type clinique voisin du paramyoclonus multiplex » Mo
des secousses musculaires ne peut suffire, à lui seul, à établir un type dis- tinct du paramyoclonus multiplex, quand to
sans cause appréciable, et variable de malade à malade suivant les types myocloniques. Dans le cas de Ilomen on a compté
ois minutes sans aucune con- traction. Ces secousses n'ont pas de type fixe, inaltérable. Elles diffèrentpar leur qual
tions difficilement perceptibles (Russel Raynold), ou elles sont du type du paramyoclonus multiplex de Fried- reich (Siz
et des stigmates de dégénérescence. Les auteurs classifient en cinq types différents les cas qu'ils ont étudiés. Dans un
ent par leurs tableaux symptoma- toloiques, représentent ce premier type de myoclonies essentielles. 2° Le para11¿ ! Joc
par- fois très intenses, ne produisent pas de déplacements vifs. Ce type , défini par Friedreich, a des caractères spécia
tubercu- lose, etc. L'âge est le plus variable. Il semble que le type paramyoclonus est plus particulier aux âges ava
e le type paramyoclonus est plus particulier aux âges avancés et le type à grands déplacements aux per- sonnes plus jeun
us beaux exemples. Nous estimons que notre malade représente un des types de bouffon du temps passé. Il est certain qu'à
on des cellules épi thél iales, toute la thyroïde est en général de type parenchymateux : cellules épithéliales formant de
rties qui les composent. Dans les cas typiques la microméiie est du type rli3,zomélique par Ji réduction prévalente de l'h
sion et de rétrécissement du bassin. La main est courte, grosse, du type carré. M. P. Marie a décrit un aspect particulier
xpression, à des adultes vus par le grand bout d'une lorgnette. Ces types correspondraient à celui que Virchowa déjà décr
lasie, ou d'autre, ne pouvaient pas servir à l'individualisation du type cherché, et finit par conclure que les exemples
ister des symptômes qui z permettent de ranger ces sujets parmi des types morbides dont ils repré- sentent un exemple cer
ssous de la crête iliaque la inict,omélie relative n'y était pas du type rhizomélique. Dans une observation de MM. Cbaro
cadre de l'achondroplasie ne se présente pas complet comme dans le type classique. Cependant, bien que les altérations
14, pour la main 10.8 au lieu de 11.30. Donc la micromélie est à type nettement rhizomélique, de sorte que l'index ra
, les distales soient séparées entre elles en reproduisant ainsi le type de main il trident. Les muscles sont bien dével
de la hauteur au lieu du normal 52 et 45. De plus la micromélie est à type nettement rhizomélique. Si l'on ajoute encore q
tant pour le nanisme mitralique. Contre une forme d'infantilisme du type Lorain ou Brissaud déposent le parfait degré d'
les os sésamoïdes adjacents au 1e' métacarpien et métatarsien. Le type légèrement crétineux ne manque pas chez de nombre
as parler d'achondroplasie associée à l'infantilisme (naturellement type Brissaud). Il s'agit ici d'achondroplasie pure
s membres supérieurs, mais il s'aperçoit que cette micromélie est à type rhizomélique. C'est une impression qui est bien c
ure pour la remaquable hypotrophie du 4e métatarsien. Parmi quels types devons-nous ranger Frassi ? ' ! Est-ce qu'il ap
ordose ; de façon qu'on en devrait conclure que, si ce n'est pas un type des plus caractéris- tiques, parce qu'il n'est
ie de la microsomie pure pour la faire peut-être accepter parmi les types que je viens de décrire, de sorte qu'elle repré
, la longueur des jambes s'éloigne bien peu de la mesure de l'homme type . Je suis d'avis que des faits que je viens d'ex
es tuberculeux ou des alcooliques, en ce qu'au lieu de présenter le type de la misère physiologique, ce sont en général de
sang. Les cellules sont pour la plupart éosino- philes. Les autres types cellulaires ne sont pas fréquents. Par-ci par-là
ès-midi et 36° aux premières heures du matin. La respiration est du type abdominal. L'examen de l'appareil respiratoire fu
du 28 mai 1912. - L'enfant repose tranquillement toute la nuit. Le type respiratoire n'est plus exclusivement abdominal m
n véritable ivrogne et ne suit pas la ligne droite. L'ataxie est du type cérébelleux. II réussit, avec difficulté, à dir
st encore moins incertaine que les jours précédents et n'est plus à type cérébelleux : l'enfant maintenant réussit à reste
s de la normale dans les heures de l'après-midi. La respiration est type abdominal, l'examen de l'ap- pareil respiratoir
mbres et réussit à prononcer quelques paroles d'une voix aphone. Le type respiratoire devient costo-abdominal.Aprés une
mmence la maladie ; il peut y avoir aussi desconvulsionsgénéralesdu type épi leptique. D'autrepart, s'il existe dès le p
, de la forme héréditaire de Leyden-Môbius sans hypertrophie, ni le type facio-huméral sans hypertrophie Landouzy- Dejer
ES 229 fixer l'omoplate. Il va sans dire que, chez les muscles d'un type renversé, que je viens d'énumérer, la possibili
et surtout pendant dix ans des crises douloureuses gastri- ques, à type Iryperclrlorydrique, survenant la nuit vers heure
urée, expliquerait-elle, (1) Elude sur les paralysies alcooliques à type de névrites multiples. Thèse de OETTINGEII, Par
aucun des cas, examinés par nous, de dégénérescence systématisée de type descendant ou ascendant. Voilà ce qui est plus
s troubles classiques de l'insuffisance testiculaire : gigantisme à type un peu particulier, absence de caractères sexue
l'on a désigné parfois sous le nom de féminisme. 6e Tels sont les types que peut, suivant son degré, réaliser l'insuffisa
in- terne.vient apporter une note particulière à ce tableau. Les types alors réalisés peuvent varier à l'infini, suivant
la plus fréquente, tandis qu'à l'hypolhyroïdisme correspondrait un type spécial différant de la forme ordinaire par un
e, 1908. 5. Sutherland. Tèvo cases of congénital oedema or a Family type . Proceedings of the Royal Society ol medecine,
38 ans est atteinte de paralysie faciale gauche périphé- rique, du type a frigore. Elle est traitée électriquement pendan
désormais d'établir une différence, d'une part, entre le troisième type du spasme facial primitif qui, « sur un fond de c
il fallait chez un malade atteint de paralysie faciale ancienne, du type périphérique, parvenue à la phase de spasmodici
: . Une femme de 33 ans est atteinte de paralysie faciale gauche du type périphérique. Elle n'estpas traitée électriquem
inion. Il nous parait démontré que, dans les paralysies faciales du type péri- phérique parvenues à la période de spasmo
reil phénomène existe même dans quelques cas d'hémispasme facial du type dit périphérique. Cette relation existe encore
ceux qui apparaissent dans certains cas de paralysies faciales, du type périphérique, parvenues à la phase dite de cont
é souvent déroutante. Ces syndromes endocrines peuvent revêtir deux types principaux. Tantôt il s'agit de syndromes dystr
mois, un malade qui présente un mélange de troubles dystrophiques à type d'infantilisme, et de troubles métaboliques à t
dystrophiques à type d'infantilisme, et de troubles métaboliques à type de diabète insipide. Certaines particu- larités
ellement tenté au premier abord de considérer notre malade comme un type d'infantilisme testiculaire, bien que la descri
enregistrée. L'atrophie pré- sentée par le malade est semblable au type pseudo-hypertroplique de Duchenne. Observatio
dernier on remarque les corps des grosses cellules névrogliques du type marginal. Elles sont unies par le gliaspongium
tie du gliaspongium différenciée (avec des cellules névrogliques du type marginal) grâce il la compression centripète ; à
ipaux : 1° sou caractère autonome et son développement en dehors du type de structure de la région donnée du cerveau; '1°
e crânienne simple familiale ». caractérisée en résumé par : 1° son type familial ; 2° l'atteinte presque exclusive de l
phtalmie des deux côtés. Les mains sont tout à fait acromégaliques ( type large), avec des troubles trophiques aux ongles,
ormations que présentent leurs pieds et qui semblent répondre à des types cliniques bien différents (Pl. LXXII). Chez le
abétique d'autre part et dont nos deux premiers malades offrent des types très complets. UN CAS DE MÉGALODACTYLIE UNILATÉ
Chaque agent infectant provoque habituellement une albuminorachie type , avec laquelle tend à s'identifier chaque cas sim
19 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
pathologique dont elle a presque tous les signes. En effet, dans le type classique de la scoliose dorsale primitive droite
PRIMITIVE. ' MASSON & (ie, Éditeurs. AMÉLIE. DESCRIPTION DU TYPE ET CONSIDÉRATIONS PATHOGÉNIQUES AU SUJET D'UN C
cas d'amèles décrits par les auteurs ne se rapportent pas tous à un type uniforme. On conçoit en effet, d'après la défin
; puis elles s'espacèrent. Elles se présentaient toujours sous deux types différents, c'est-à-dire qu'elles étaient tantôt
tion physi- que parfaite, intelligent et laborieux. C'était un beau type de l'espèce. Marié depuis quatre ans à une femm
appartient en propre à la syringomyélie, et pour carac- tériser ce type , j'adopte le nom qui m'a été suggéré par mon cher
our y donner une description com- plète et lâcher de la dégager des types voisins. Les troubles vaso-moteurs dans la syri
e de l'index, est en extension sur la main ; en d'autres termes, le type de la main est celui de la grille des inter- os
éciale des articulations de l'épaule et du bras, on retrouve ici le type du bras de polichinelle. Les mouvements qui persi
e très caractéristique de la main du malade, ce qui la rapproche du type de la main de prédicateur. Chez lui, comme chez
main il laquelle s'associe d'autre part une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne. C'est une main amyotrophique doubl
nt àgés en moyenne de 65 ans. Au point de vue de la fréquence de ce type de main, je ne saurais produire des chiffres pr
es de la main dans la syringomyélie, comme cela arrive dans la main type Morvan, dans la cbiromégalie et dans la main su
lication qu'on doit efl'acer les différences qui existent entre des types cliniques nettement caractérisés; mais au point
tre part, l'attention sur les lésions de la moelle épinière dans ce type morbide. Nous avons de même constaté des altéra
bles. Les cellules nerveuses de la moelle appartiennent toutes au type multi- polaire. La thionine permet de bien voir
actement les caractères décrits. Dans la moelle existent d'autres types cellulaires ; c'est ainsi que dans les cellules
la membrane nucléaire on n'observe aucune trace de chro- matine. Ce type nucléaire peut se rencontrer aussi dans quelques
e. Dans chaque préparation, on compte 7 à 8 cellules répondant à ce type , B. La cellule nerveuse encore polygonale a per
el chaos a longtemps été le groupe du rhumatisme chronique et quels types disparates on réunit encore aujourd'hui sous ce n
n- dante. Il en résulte qu'on peut s'attendre à observer autant, de types d'a- trophie musculaire progressive qu'il y a d
r autant, de types d'a- trophie musculaire progressive qu'il y a de types dans la composition du plexus brachial. Beevo
déformations du membre supérieur, par l'atrophie musculaire, trois types principaux. Voici du reste com- ment il s'expri
semble disposé à admettre, dans cette affection, des paralysies du type radiculaire, seulement son cas était d'un diagnos
ns ce segment du membre. Ce processus atrophique réalisera ainsi le type Aran-Duchenne. Les atro- phies de ce type, au c
phique réalisera ainsi le type Aran-Duchenne. Les atro- phies de ce type , au cours de la syringomyélie sont trop nombreuse
faits, c'est qu'il existe chez les syringomyéliques une atrophie du type Aran-Duchenne à marche ascendante qui envahit dan
me atteinte de syringomyélie, dont les deux mains représentaient un type de main de prédicateur. MAIN SUCCULENTE ET ATRO
e hypertrophique et il décrit de nouveau cette main. A propos de ce type de main (1) Char- cot s'exprime de la façon sui
) et dans le-travail de Wieting (2) il est noté expressément que ce type de main faisait défaut. D'autre part, M. Brissa
aut. D'autre part, M. Brissaud, un adepte fervent de l'existence du type nosologique créé par Charcot el Joffroy, n'a pas
syringomyélie chez une femme qui, pendant la vie, avait présenté le type de la main de prédicateur. Même dans l'observat
n succulente a une valeur séméiologique analogue à celle des autres types (main type Morvan) chiromégalique, etc.) que l'on
a une valeur séméiologique analogue à celle des autres types (main type Morvan) chiromégalique, etc.) que l'on rencon-
s- tiquer la gliose péri-épendymaire. - IV. Dans la production du type de la main succulente, la lésion des trois neur
de résoudre quelques problèmes de localisation médullaire. VII. Le type le plus fréquent d'atrophie musculaire qu'on renc
d'abord dans sa sgmptomatologie. Nous verrons en quoi il diffère du type banal, de l'hyperkinésie du spinal de Jaccoud,
éritera aussi de nous arrêter et permettra.de faire de notre cas un type de spasme professionnel ou plutôt post-professi
(trapèze) mais regarde de l'autre (sterno- mastoïdien). C'est à ce type qu'apparliennent la plupart des cas publiés par
). Après la crampe des écrivains, on en a décrit une série d'autres types : dans le chapitre que nous avons consacré à ce
vous faire voir que tous les cas d'infantilisme ne répondent pas à un type uniforme et immuable. Les adultes ont bien des
que l'infantilisme et le féminisme parfois associés constituent un type mixte déjà entrevu par Faneau de la Cour, mais en
ouvez vous demander si on ne l'a pas embrouillée en multipliant les types . N'aurais- je pas moi-même contribué à l'embrou
je suppose même tout le contraire. Il me semble qu'en ajoutant aux types d'infantilisme déjà décrits celui de l'infantilis
xoedème se réduit au mini- mum. Je connais, pour ma part, plusieurs types de ce genre, au visage légèrement bouffi, au te
r trop arbitraire, puisque; je vous le répète, la transformation du type de l'idiotie myxoedémateuse en celui del'in-
te taille se rappro- chera toujours davantage, à première vue, du type parfait de l'infantilisme, qui est l'i- dioti
s-uns; après quoi vous ne pourrez mettre en doute l'authenticité du type . Et, une fois ce type re- connu, vous serez en
ne pourrez mettre en doute l'authenticité du type. Et, une fois ce type re- connu, vous serez en mesure de le différenc
du professeur Brouardel (Fig. G et 7) appar- tient également à ce type de l'infantilisme myxoedél}laLeux où Ion remarq
et qu'il avait déjà en 1891 émis l'hypothèse que certains hommes « à type infantile » étaient à tout prendre des m3·xoecl
le travail auquel il fait allusion, M. Thibierge n'ait pas parlé du « type infantile », je ne résisterai pas au plaisir d'
us a pas été donné d'exa- miner médicalement de sujets répondant au type que nous venons d'es- quisser et de rechercher
les se confondent en une seule et j'aperçois très distinctement les types qui ont servi à les établir. Je les vois avec «
autre cause qu'il s'agira de déterminer. Fig. 10. - Infantilisme du type Lorain ; garçon de 11 ans. Fig. 11. Infantili
lisme du type Lorain ; garçon de 11 ans. Fig. 11. Infantilisme du type Lorain. Garçon de 11 ans. 256 E. BRISSAUD L
infantile et les proportions sont celles fjg. 12. - Infantilisme du type Lorain. femme de 30 ans (cas de [1. ]eige). a
femme de 30 ans (cas de [1. ]eige). a Fig. 13. - Infantilisme du type Lorain. Fille de 20 ans. (Anangioplasic.) DE
58 E. BRISSAUD Cet avenir si court, réservé aussi aux infantiles du type Lorain, dépend de circonstances qui entretienne
l'infantilisme anangioplasique, car dans cette association des deux types , le myxoedème est parfaitement reconnaissable et
7e nerf intercostal droit. Ce groupe d'observations montre que les types divers de nævi peuvent se développer en rapport
te hebdomadaire, 1896, p. 217 ; Syrin- gomyélie avec amyotrophie du type Aran-Duchenne, Anesthésie dissociée en bande zos-
n trouve presque à profusion, dans les figurations artistiques, des types de bossus, de nains, de rachitiques, des lépreux,
re de médaillon, un dernier lobe plus volumineux encore. C'est un type de ces goitres géants tels qu'on en trouve encore
prétention artistique. Mais elles sont une reproduction fidèle d'un type fréquent dans les régions monta- gneuses du pay
avant le fichu qu'elles croisent autour de leur cou. C'est bien le type de ces goitres de montagne, tels qu'on en voit
s, les faits que j'ai passés en revue peuvent se ramener à . quatre types : 1° Dans un premier type, la paralysie motrice
en revue peuvent se ramener à . quatre types : 1° Dans un premier type , la paralysie motrice est limitée au membre inf
rtèbres dorsales inférieures, en deçà de la 9°. 2° Dans un second type , la paralysie motrice et les troubles sensitifs r
d aux vertèbres dorsales moyennes et supérieures. 3° Un troisième type comprend les cas où les membres supérieurs et le
ant plus se faire en longueur, se fait alors en épaisseur. I.. Le type complexe qui en résulte mériterait le nom,malheur
'Acromégalo-gigantisme. Quel que soit le nom dont on le désigne, ce type complexe existe réelle- ment. Nous en avons déj
d'une taille élevée, les extrémités se sont développées suivant le type cubique signalé par P. Marie dans les cas d'acrom
névrites ne don- nent pas à elles seules une arthropathie nerveuse type . On range, aussi parfois le syndrome de Charcot
elques mots des caractères essentiels de l'arthro- pathie nerveuse, type commun à ces deux maladies. Il y a fréquemment
maladies. Il y a fréquemment des prodromes sous forme de douleurs à type ful- gurant, se localisant parfois au niveau de
athie consécutive à une névrite sont superposa- hies aux différents types d'arthropathies médullaires exposés plus haut.
e ferons-nous que mettre en relief combien notre malade présente le type parfait de l'hypertrophie congé- nitale des doi
êtrière, 1897, p. 217. « UN JOB MODERNE. » ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE CHEZ UN CHEMINEAU. PAR J. TAR
grand intérêt scientifique bien que l'atrophie musculaire spinale, type Aran-Duchenne, soit devenue assez rare depuis q
a Fig. 1. Atrophie musculaire et déformation en griffe des mains ( Type Aran-Duchenne). 416 J. TARGOWLA avec des inte
r l'histoire de ce malade, il s'agit bien d'une atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Nous voyons, en effet, la maladi
ouvert, cet infirme évoque l'idée d'un de. ces cas d'amyotrophie du type facio-scapulo-huméral dont le facies et l'attit
s et l'attitude sont presque pathognomoniques. Et à la vérité, ce type clinique est assez saisissant pour avoir pu frapp
les plus pro- bants. TABLE DES MATIÈRES Amélie. Description du type et considé- rations pathogéniques au sujet d'un
la TOURETTE (2 pho- totypies), 287, 3'10. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chenne chez un chemineau (un Job mod
et 6 planches), 45, 127. MEUNIER (HENRI). Amélie. Description du type et considérations pathogéniques au sujet d'un c
1 planche), 109. TARGOWLA. Un Job moderne. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne chez un chemineau (2 phot., 1 pla
20 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
le premier, survenant au moment de (1) E. BRISSAUD et Henry MEtos, Type infantile du gigantisme, Nouvelle Iconogra- phi
res en plus qu'il ne le faut pour la régularité du corps d'après le type grec. Et cette disproportion, déjà si important
, nous disons que cet allongement des membres inférieurs réalise un type tout à fait particulier de géant, de taille un
d échassier, haut sur ses pattes quand il est debout (2 m. 100). Ce type , ajoutent ces auteurs, diffère totalement de ce
moins au tronc développé proportionnellement avec le reste du corps, type qu'on retrouve surtout chez les géants acroméga
ales tirées par les aisselles. Pas de bassin large, qui rappelle le type morphologique féminin. Cou. Le cou, pédicule de
ous donne un chiffre inférieur à la moyenne. Le crâne appartient au type mésaticéphale avec un indice céphalique de 77,7
e de signes morphologiques, caractérise l'infantilisme vrai (2), du type Brissaud. Je dois même dire que je ne connais pas
racilité et petitesse du corps, qui caractérisent l'infantilisme du type Lorain. GIGANTISME, INFANTILISME Er ACROMÉGALIE
fs, mais pas en saucisse. En somme, la main de notre géant offre ce type en long, « caractérisé par un développement en
. Le mot d'infantilisme convient (1) E. HmssAliD et Heisry 1lFar.E, Type infantile du gigantisme, Nouvelle Iconographie
variétés d'infantilisme, et tout parti- cul ièrementle gigantisme à type infantile,qui en est une, soit exclusivement t
s puisse relever d'un trouble de la sécrétion hypophysaire dans le. type infantile du gigantisme ? Si l'hypothyroïdie, tot
à fonction hypophysaire est suffisant pour produire, à lui seul, le type infantile du gigantisme ; soit que le corps thy
istique de son origine. Et alors, de deux choses l'une : ou bien le type infantile du gigantisme est toujours d'origine
anicomes, « une dégénérescence toute spéciale, une dégénérescence à type infantile, constituée par la fusion des caractère
s de la dégénérescence mentale avec caractères de l'infantilisme du type Bris- saud (1) ». Tous ces infantiles ne sera
ormuler les principales conclu- sions suivantes : 1° Il existe un type de gigantisme infantile, caractérisé par la coexi
s de l'infantilisme tirai, et assez distinct, dans les cas purs, du type de gigantisme acromégalique. 2° Cependant, ce p
purs, du type de gigantisme acromégalique. 2° Cependant, ce premier type peut s'associer à l'acromégalie; il forme ainsi
ce premier type peut s'associer à l'acromégalie; il forme ainsi un type mixte constitué par la combinaison du gigantisme
analytique des auteurs français s'accommode mal de la notion de ces types nosologiques multiples et comme intriqués les uns
leur naissance et paraissant susceptibles de se développer suivant le type moyen, subissent, à une époque variable de leur
Les nains de la première catégorie sont de véritables diminutifs du type humain moyen (2). Les petits hommes ou les peti
, dont la plastique reste, d'une façon générale,conforme à celle du type moyen. « Leur tête n'est pas trop grosse, leur
de beaucoup la plus nombreuse, comprend une variété très grande de types , affligés de déformations plus ou moins disgrac
de thyroïde. Bien avant que Charcot, que Bourneville aient isolé le type si parti- culier et si monstrueux du nain myxoe
deux hommes ». Mynhere Wybrand Lolkes peut être considéré comme un type parfait 'I 20 LAUNOIS de nain achondroplasiqu
alade près de deux ans. Il séjourna à l'hôpital pen- dant dix mois ( type de la spondylose rhizomélique de P. Marie) (PI. X
complète des côtes pendant la respi- ration ; cette dernière est du type diaphragmatique.Les bras ne peuvent être éle- v
l bloc aux dépens des articulations du bassin. Le cou est libre. Le type de la respiration est abdominal. Il existe un bru
904 après avoir séjourné 2 mois et demi à l'hôpital (Spond, rhizom. Type de P. Marie). Anamnèse - Enfance sans maladies
périeur et médian, est complètement immobile. La respiration est du type costal infé- rieur et abdominal. Atrophie symét
es mouvements de la respiration sont limités, la respiration est d'un type mixte (abdominal et costal). Tout le tronc ains
en arrière, elle est plate et immobile pendant la respiration ; le type de la respiration est abdominal. 14° La régio
i est fréquemment le cas dans les cerveaux à tumeurs, tandis que le type paranoïde y est plutôt rare; enfin, il nous paraî
de variété de ces troubles dans leur expression clinique. La main type Morvan, la main chéiromégalique de Charcot et Bri
'énumérer les caractères de la main cheiroméga- lique ou de la main type Morvan, car avec ces cas une confusion nepour-
OSE nI11Z0111hLIQUF 249 chez un homme de 37 ans ; ce cas diffère du type P. Marie et Strumpell par l'intégrité des artic
et Strumpell par l'intégrité des articulations des extrémités et du type Bekhteresspar l'absence de l'hérédité pathologi
ticulier, rappellent de très près la formed'arthrite ankylosante du type P. Marie que nous avons dé- crit plus haut. Il
tissu conjonc- tif. Ces cellules de parenchyme sont de plusieurs types . Dimitrova a tenté une classification ; mais co
Pappenheimer d'après laquelle unedivisiondes cellules en différents types ne serait pas possible. Premier TYPE : LES CELL
ndes cellules en différents types ne serait pas possible. Premier TYPE : LES CELLULES pinéales. Le premier type de cel
it pas possible. Premier TYPE : LES CELLULES pinéales. Le premier type de cellules, celui qui représente la plus grande
llules pinéales qui ont conservé leur caractère infantile. Deuxième type : LES CELLULES névrogliques. Cionini a constaté
epta et de distribution du tissu conjonc- tif produisent différents types de glandes : 1) Les glandes qui paraissent les
es septa sont très fortement vascularisés. Si nous avons décrit ces types c'est seulement pour aider à s'orienter ceux qu
out on verra souvent que quelques parties de la glande affectent un type tandis que quelques autres parties en présen- t
rohablement elles jouent un rôle dans la description des différents types de glandes faites par Anglade et Ducos. Dans
eine plus grands que la tête d'une épingle. Ils ont toujours été du type que Marburg a décrit comme la conséquence d'un
uence d'un ramollissement central des plaques névrogliques. L'autre type ,qui serait le résultat d'une division de l'épen-
nale infantile de date ancienne, l'un à typemonopiégique, l'autre à type paraplégique, nous avons pris les ganglions rac
membres malades. Ainsi, dans le premier cas de paralysie spinale à type monopiégique, seuls les ganglions de la région
atrophié sont lé- sés. Dans le deuxième cas de paralysie spinale à type paraplégique les ganglions de la région lombo-s
s-ci. Mais, dans notre des- cription, nous nous sommes servis comme type d'une cellule normale, puisque le phénomène d'é
ns rachidiens de lapin, et les considèrent comme appar- tenant à un type cellulaire spécial ; Nelis (1899) retrouve ces ce
rrons dans toutes, à peu près la même forme B, c'est-à-dire le même type au lieu de C, D, E... x. De par ses aspects et se
xemple les sixièmes ganglions cervicaux du cas de paralysie spinale type monoplénique, il est facile de constater que la c
complet. Paralysie de la 7e paire. C'est une paralysie gauche du type périphéri- que portant à la fois sur le facial
leux rap- pelant celui deBabinski-Nageotle, ni troubles sensitifs à type syringomyél i- ques comme on en observe parfois
ure in- contestée et incontestable. Mais, il semble que à côté du type pur, classique; de l'acromégalie, « maladie non
pieds, les mains bien conformées sont énormes. Elles affectent le « type en long » ; les doigts sont de longueur proportio
le bassin parait élargi sans se rappro- cher beaucoup cependant du type féminin. D'ailleurs toutes ces particularités e
é jusqu'à 282 en 1897. La plupart des cas publiés sont conformes au type classique décrit par Marie ; on rencontre cepen
a durée de la crise était d'uue minute; elle était toujours de même type : le malade portait brusquement la main droite
taient les causes capables de déterminer toutes ces dévia- tions du type physiologique. Ils ont, en somme, cherché à voir
ex.intoxications et infections) peuvent produire des déviations du type normal de développement des os, ou des altérati
LEXION PAR G. ÉTIENNE et E. GELMA L'observation suivante est un type de paraplégie avec contracture en flexion tel q
dorsal spasmodique était précisé- ment la contracture en flexion du type Babinski avec abolition des réflexes tendineux,
tant ne se trouvait pas en tous points avec des lésions vascuiaires type de Heubner et portant à la fois sur les artères
les photographies pour se rendre compte que notre naine présente le type classique du nanisme achondroplasique : la' têt
e diagnostic de nanisme achondroplasique s'impose; macrocéphalie ri type brachycéphalique, micromélie à prédominance rhizo
mais réelle, ainsi qu'en témoignent les mensurations ; elle est du type b1'((chycép/wlique, el l'index céphalique 98, 4
nov. 1909, p. 1614. GOx : 7ET. - Un cas de pseudo-acltondroplasie, type dysplasie périoslale. L'Obstétrique, 1908, n 4,
eut en juger par les photographies ci-jointes (PI. LX), B... est un type d'achondroplasique; voici les données anthropomét
ormal s'était accompagné d'une déchéance spéciale et d'un rappel de type infantile. Enfin nous avons retrouvé dans les M
e mot de réversion. Le terme implique la i-éacquisition totale d'un type perdu el ne s'applique en biologie qu'aux indiv
eviennent, à la suite de générations plus ou moins nom. breuses, au type de l'espèce primitive. ' . xxiv V 26 406 CORD
gée, qu'il est facile de clore en adoptant le nom d' « Infantilisme type Gandy ». Gandy lui-mêmeabordait,à propos desons
bère. Aussi bien, avait-on très justement proposé de dénommer un lel type le juvénilisme, pour l'opposer il l'infantilism
cas, il ne s'agit pas de ces castrats ou eunuques difformes, ni du type « féminisme » à seins exagérés. On notera enfin q
mémoi- res des différents auteurs, est inégalement répartie en deux types . Les uns (et ce sont ceux des observations d'Ac
maleuse. Quoi qu il en soit de cette division, de cette dualité des types : infantile pur et infantile teinté de myxoedèm
uve souvent noté que le nez est élargi, la voûte palatine ogivale à type adénoïdien, le thorax voussure (obs. Il) ; que la
à situer ce syndrome clinique, à déterminer sa place au milieu des types analogues ou proches voisins. Ce dont les infan
s, qu'il s'agisse de l'infantilisme myxoedé- mateux de Brissaud, du type Lorain, du chétivisme de Bauer ou du pué- ril i
e interne et exlerne : la preuve en est patente chez les infantiles type Brissaud ; mais la dyslhyroïdie n'a alors devante
isme. Mais dans les deux cas, ces individus ne font que tendre à uu type indiffé- rent, sans faire de régression sur les
soire de féminisme, mais ayant des analogies très profondes avec le type d'infantilisme qui nous étudions. Concluons don
, de la surrénale, de l'hypophyse, qui, tout en modifiant un peu le type clinique, doivent le faire rentrer dans le gi-
é de l'infantilisme tardif myxoedémateux, un infantilisme tardif du type Lorain ressortissant à une origine non thyroïdi
don- nées classiques : Chez l'enfant apparaît la conservation du type infantile, un allonge- ment insolite des membre
e, tantôt une sorte de féminisme, les limites qui séparent ces deux types étant aussi mal tranchées que le syndrome L'INF
de médecine, 1908. CORD19R et PHAticu.LON. Un cas d'infantilisme du type réversif avec syndrome pluri- glandulaire. Lyon
lé que les travaux ayant une relation plus ou moins directe avec le type spécial d'infantilisme qui nous occupe. 448 COR
1911. LEVA (Ettore). - Contribution à l'étude de l'infantilisme du type Lorain. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
à toutes leurs conclusions; elle montre la fréquence relative de ce type si net et si particulier d'insuffisance tllyroïdo
, dans le dessein d'attirer l'attention sur cet état envisagé comme type défini de malfaçon congénitale ; nous discuterons
21 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
au, quand ils apparaissent, un ordre général, une disposition dont le type est commun à tous ces êtres. Cette uniformité d
u plus haut point, de l'attention des philosophes. De même, il y a un type particulier de plissement cérébral dans les Makis
ux-mêmes. Puisqu'ils se développent régulièrement, je rechercherai le type le plus simple de leur arrangement. Puisqu'ils pe
on retrouve dans les circonvolutions du cerveau de tous les hommes un type commun, quand on ne s'attache qu'aux dispositions
, la richesse du développement dissimule la simplicité primordiale du type ; dans les derniers, la réduction .'Íes apparei
té. Les deux termes extrêmes de cette série ne Deuvent donc servir de type à l'anatomiste. Si l'on étudie avec soin l'ense
l'ensemble des conditions essentielles qui font d'un être organisé le type anatomique de son groupe, on voit aisément que, d
simples pour n'être pas admises, qui m'ont conduit à préférer, comme type de ma description, un animal moyen de la série de
Singes. Or M. de Blainville, mon illustre maître, ayant choisi, comme type ostéologique des Primates, le Pithecus sabœus, c'
a conception synthétique des choses. Le Callitriche, envisagé comme type , sera le point de départ de toutes mes descriptio
arties sont, à coup sûr, mieux conservées. Je le choisirai donc comme type principal de ma description. {Yoy. pl. III, fig.
dans les divers individus. Dans le cerveau (fig. 6) qui me sert de type , le pli surcilier 1.1. est triangulaire et présen
Toutefois cette région présente, dans les cerveaux qui me servent de types , de nombreuses incisures. Mais ce qui rend le c
ultipliant les observations qu'on peut arriver à la détermination des types réels en anatomie comparée. Ils sont fort sembl
es, aurait son chef respectif, VOrang, VEnche-Êko, VEnge-Êna : chaque type aurait ainsi son summum de réalisation et s'élève
rès leur organisation cérébrale, appartiennent à deux groupes, à deux types différents. L'un, le Chimpanzé, est un Macaque;
Nous conclurons dans le sens de la proposition suivante : Des deux types , celui-là l'emportera, à nos yeux, sur l'autre qu
types, celui-là l'emportera, à nos yeux, sur l'autre qui aura avec le type humain les plus grandes analogies. § XXIV. de
r aux yeux ces ressemblances; voy. pl. XII, fig. 1. J'ai choisi, pour type de cette comparaison, un cerveau dans lequel les
cette supériorité, dont l'idée naît de la considération abstraite du type , est-elle accusée, dans l'Orang, par une intellig
ng serait supérieure à nos yeux, si nous avions égard seulement à son type , à sa forme abstraite; si, calculant, dans cette
s et peut-être des Gorilles aux Cynocéphales. S'il en était ainsi, le type humain, loin de ne comprendre qu'une seule espèce
tèmes, la suffisance d'une forme inférieure implique l'infériorité du type zoologique. Aussi ne puis-je considérer comme exp
e, la dégradation marche régulièrement aux yeux de l'observateur : le type et l'individu décroissent d'une façon parallèle ;
si ce caractère tiré de la présence d'une queue, qui implique dans le type des Singes américains une infériorité relative, s
t les plis cérébraux de l'Atèle et du Lagotriche. Ces plis offrent un type tranché. Toutefois, la série de mes observations
catégorie naturelle des Mammifères, chaque groupe défini présente un type particulier d'organisation cérébrale. 2** Le ty
éfini présente un type particulier d'organisation cérébrale. 2** Le type n'est point caractérisé par l'absence ou par la p
dessinant sur le cerveau des dernières les sillons et les plis que le type commande on reproduirait le cerveau des premières
Ecureuil n'en ont point. Ainsi des plis cérébraux peuvent enrichir un type inférieur; mais, en rendant plus parfait l'animal
eurs. Quelque réduite que soit, dans les Ouistitis, la réalisation du type , ce type abstrait est cependant supérieur à celui
lque réduite que soit, dans les Ouistitis, la réalisation du type, ce type abstrait est cependant supérieur à celui que l'an
ne le croyons pas. Dans le Callithrix moloch, que nous prenons pour type , le cerveau est surtout large en avant. Le lobe o
ou sériale. En tous cas, le développement du pli supérieur indique un type supérieur. F. Des plis de la face interne. Nous
22 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
pinal, car ces manifestations sont trop variées, néanmoins les deux types dont nous venons d'esquisser la physionomie mér
. cutanées et syphilitiques. DEUX CAS DE MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LAVDOUZY-D>JJIJftINIJ AVEC PSEUDO-HYPERTROPI
ce^ montrait les liens étroits qui relient entre eux les différents types de myopathie, et qui n'en font en somme que des
ions de notre maître (2). On se trouvait alors en présence de trois types distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hy
ue communément aujour- d'hui sous le nom d'atrophie myopathicjue du type Landouzy-Déjérine, ou facio-scapul o-huméral.
(Rev. de e méd., octobre 1885, p. 793). MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LANDOUZY-DLJERINE 9 identité de nature de la pa
un cas de forme facio-scapulo-humérale peut rester longtemps un pur type d'Erb (1). Quoi qu'il en soit, en vertu du prin
égales entre elles, on pouvait rapprocher l'un de l'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudo-hypertrophique et for
Bs. I (communiquée par M. le Dr Brissaud). Myopathie progressive du type facio-scap2clo-Ituzzéral. - Face nettement envahi
doreur sur bois. Fig. 1. - Pseudo-hypertrophie dans la myopathie du type Landouzy-Déjcrine. MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYP
ns la myopathie du type Landouzy-Déjcrine. MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LA\DUUZ1-11P.IERLNE. U Un peu plus tard, au con
istance est fort diminuée. MENSURATIONS. MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LANDOUZY-DÉJER1NE. 13 chemise avec sa main gauc
scence (drch. 7éu. de méd., juillet 1891). MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE L : 1\1)OUG1-LI : JI'sltIiili. 15 laire n'est p
ie de certains muscles, associée avec l'amyotrophie myo- pathiquedu type facio-scapulo humerai deLandouzy-Déjérime, absolu
o humerai deLandouzy-Déjérime, absolument comme cela existe dans le type scapulo-huméral de Erb. Notons qu'il s'a- git b
e. Mais est-ce là une raison suffisante pour rejeter ce cas hors du type facio-scapulo-humé- ral de la myopathie ? Tel n
e professeur Charcot, et dans lequel, le diagnostic de myopathie du type Landouzy-Dé- jerine ne faisant aucun doute, j'a
Noir et Il. Bezançon. Observation de myopathie progressive primitive, type facio-scapulo humerai de Landollzy-Vfjel'¡ne (l
y-Vfjel'¡ne (llev. de méd. 1890, p.. 301). MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LA1YDOUG1-nJGnINE. 17 rural, est à l'hospice de
veloppé dans le muscle triceps, trois gros MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LA\UUUG1'-Ui : Jl : ltl\l;. 19 noyaux do pseudo
e dans la paralysie pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées comme dan
dans notre observation II, penser à une lésion cérébrale affectant le type clinique de l'hémiplégie spasmodique infantile
tion II la contracture avec atrophie musculaire. Mais il existe des types moins complets d'hémiplégie spasmodique, des fo
existé seule pendant 7 ans. L'hystérie a donc copié dans ce cas les types organiques décrits par M. Charcot. Nous pouvons f
s contractures permanentes à forme hémiplégique ou monoplégique. Le type de la contracture tardive des hémiplégiques est t
el qu'ils sont le mieux étudiés. Les contractures sont en effet le type de ces « affections nerveuses locales » si bien
rigine corticale se retrou- vent-ils dans l'hystérie ? Y a-t-il des types de monoplégie hystérique qui puissent simuler,
, dans leur processus et sous toutes leurs formes, les dif- férents types de monoplégie organique par lésion limitée de l'é
Mais M. Charcot lui-même, qui a le plus fait pour la création de ce type clini- que, n'hésite pas à corriger ou plutôt à
er les caractères trop abso- lus qu'il avait d'abord attribués à ce type dans sa première description (2). Il reconnaît
observation d'un syndrome hystérique qui simulait chez un enfant le type de l'aphasie motrice décrit par Broca ; il n'y
l'hystérie. Nous n'insisterons pas davantage sur ces déviations du type classique de l'aphasie hystérique, c'est-à-dire
tre évidemment dans la première catégorie, bien qu'il s'agisse d'un type d'aphasie motrice chez une enfant hystérique. I
organiques ou de lésions purement dynamiques. Car l'hystérie est le type le plus commun de ces affections qui, intéressa
iphériques, c'est de bien étudier et de bien définir les différents types de paralysies centrales. Or, un carac- tère dom
e systématisation, elles n'obéissent à aucune règle constante. Le type de ces dernières maladies, les seules dont nous a
que certaines formes d'hystérie se rap- prochent singulièrement du type habituel de la méningite par la variété et la m
de maintenir, sous le nom de ménillgo-encéphrtlite chro- nique, un type particulier d'affection chronique de l'encéphale
ulier d'affection chronique de l'encéphale bien distinct des autres types par son origine, sa nature et certains de ses car
gine, sa nature et certains de ses caractères cliniques. C'est à ce type que M. Marie croit devoir rattacher la plupart
ervi à démontrer jusqu'ici comment l'hys- térie pouvait simuler les types organiques, et comment cette simulation pouvait
l. A 27 ans, il paie tribut il l'impaludisme et présente des accès du type tierce pendant dix il onze mois. La rate reste
ut être considérée comme réalisant sous la forme la plus commune le type anatomique de la maladie que nous envi- sageons
ajouterons que cette forme anatomique correspond le plus souvent au type clinique de la myélite transverse dorsale, c'est-
emples, choisis dans la littérature parmi ceux qui se rapportent au type de lésion anatomique qui nous occupe, nous ne vou
consulté les estam- pes anciennes et modernes qui ont popularisé le type du Juif-Errant. Et il nous a paru intéressant d
r (6). » » certes il serait intéressant de connaître l'auteur de ce type primitif sur. lequel paraissent calqués tous le
s portraits d'Ahasvérus où l'on retrouve toujours la recherche d'un type uniforme. Le vêlement seul change suivant les pay
euilles, graveur. Elle date de 1816 à 1850. Le personnage a bien le type des juifs allemands ou polonais. Le nez, la barbe
leury. 204 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. conserver son type primitif. Sans doute on peut supposer que beaucou
Légende, et le Juif-Errant des cliniques ne sont qu'un seul et même type : un névro- pathe voyageur, pérégrinant sans ce
. Mais, ainsi que nous le verrons dans la suite, il est de certains types cliniques, aujourd'hui bien connus, qui se repr
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. quer, on est en présence d'un type morbide véritablement très spécial, que la syph
s, et que les cas de ce genre appartenaient bien pour la plupart au type anatomique de la méningo-myélite. DE LA nIÉNI
le épinière ont contribué pour une large part à l'édification de ce type clinique de la myélite transverse. Ce n'est poi
lui sont propres : la mé- thode anatomo-clinique et la méthode des types . Il observe, et avec quel soin, ses élèves seul
s frustes, comme il les appelle, viendront plus tard, - il crée des types et les décrit comme il les conçoit avec pièces an
us de toute contestation. Là encore il procédait par la méthode des types , et. sa description de la grande attaque hystériq
Cette forme de paralysies syphilitiques répond, avons-nous dit, au type clinique de la myélite tralmerse dorsale telle qu
senter des caractères assez spéciaux pour être distinguées comme un type morbide à part, auquel il proposait la dénominati
ÊTRIÈRE. Mais il convient de placer ici une remarque importante. Le type clini- que de paraplégie syphilitique indiqué p
ou à la syphilis médullaire. Sans vouloir envisager ici ces divers types cliniques qui se relient entre eux par des transi
cinq observations de paraplégie syphilitique qui se rappor- tent au type clinique envisagé ici. En voici une du même gen
tômes oculaires légers et d'une paraplégie syphilitique conforme au type vulgaire. On ne saurait préciser la nature de l
- cédents personnels ? CONCLUSIONS I. -N.1'C0111QUE111CN'l', le type qui s'observe le plus communément dans les lési
ras droit de l'avant-bras et de la main qui est déformée suivant le type d'extension cubital. Ces déformations remontent a
ura. Leur caractère rappelle celui de l'attaque d'hystéro-épilepsie type : arc de cercle, grands mouvements, attitudes pas
nous envisageons les faits décrits par M. Ilogyes, nous voyons deux types dans l'évolution des contractures, chez plusieurs
attire d'abord l'attention, c'est le mal de tête qui répond bien au type neurasthénique (céphalée en casque, plaque occipi
nt d'ailleurs se su- perposer. Le malade do l'ohservation IV est un type traumatique. Il offre presque an complet les sy
ilitique, par II. Lamy, 86, 153, 205, 251. Myopathie progressive, type Landouzy-De- jerine (deux cas), par Georges Gui
la lèpre nerveuse, 7, 8. Pseudo-lzypertropTzie dans la myopathie, type Landouzy-Dejerine, 1. Renaudot, 57, 58. Sensi
23 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
affections qui y sont comprises représen- tent un certain nombre de types * tranchés ; la maladie décrite par M. Ray- naud
rvations de ce dernier, le syndrome est complexe et reproduisant le type de l'ostéoarthropathie pneumique, il est sous l
cher des toxituberculides, mais il n'en existe, à notre sens, aucun type morbide qui y soit absolument conforme. En consul
erczsleitses avec asphyxie des extrémités. C'est probablement de ce type que l'acrocyanose se rapproche le plus étroitem
et en vendant la pho- tographie de ses deux profils : mais voilà un type presque aussi complet. Si J'étiologie de cette
edème aigu du phlegmon, du charbon ou de l'érysi- pèle) relèvent du type décrit par Quincke. II. Le groupement des oedèm
oir, dans une série d'études (1), en créant un mot et en isolant un type , attiré de nouveau l'attention sur ces faits. L
nécessaire de préciser davantage et de reconnaître au moins à deux types , sous la dénomination générale de trophoedème,
n01'sDÈME CHRONIQUE, ACQUIS ET PROGRESSIF 31 B. Névropathiques ? du type Quincke (1). , II. OEdéme hystérique (type Char
B. Névropathiques ? du type Quincke (1). , II. OEdéme hystérique ( type Charcot). III. OEdèmes chroniques. A. Au cour
dème chronique éléphantiasique (dû à la filariose). C. Trophoedème ( type Meige), que nous croyons nécessaire de subdi- v
bservations que nous avons compulsées, nous pensons en effet que le type de trophoedème congénital, héréditaire ou familia
onique d'emblée, et restant à peu près immuable une fois créé. Le type de trophoedème acquis, au contraire, prêterait à
ral, serait là pour plaider en faveur de cette différenciation : le type congéni- tal du rétrécissement mitral s'affirma
ant avec l'unité de son cortège de troubles locaux et généraux ; le type acquis, au contraire, se révélant par la divers
a diversité de ses formes et de ses associations morbides. C'est au type de « ll'ophoetlème acqitis que se rapporte l'obse
r l'historique, la symptomatologie et les formes de cet oedème aigu type Quincke : l'excellente thèse de Le Calvé, OEdème
té, de grandes dimensions. Les faits de ce genre appartiennent à un type différent de celui que nous considérons ici. Ma
HROPATHIE DE L'ÉPAULE; ATROPHIE MUSCULAIRE ET THERMO-ANALGÉSIE DU TYPE TRANSVERSAL PAR R E. BRISSAUD Professeur à
agération des réflexes. Le malade se plaint en ou- SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL 75 tre de douleurs vagues dans le b
rissaud ci Bruandet.) : \1 \SSO 1.T CI ? Édilcurs. SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL ' 17 normales tapissent de place en
issaud et 73nIGlldel) Masson & Ci-, Editeurs SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL 79 cartilage normal ; il est plutôt
s vaisseaux est cependant très atteinte et la plupart reproduisent le type de lésions, rapportées à la dégénérescence hyal
détails d'in- térêt secondaire; nous envisageons pour le moment un type moyen. La substance grise a subi à peu près sur
engainant. Elle n'est pas régulière et ne peut être rapportée à aucun type . Les cornes antérieures sont inégales, plus ou
ité suffisantes. L'apparition, au sein des amyotrophies de quelques types cliniques nouveaux : amyotrophie Charcot-Marie
mond). Des cas nouveaux renforcenl, chaque jour l'union de tous les types (1) Brissaud, Leçons cliniques, t. I. (2) RAY
ge, réaction de dégéné- rescence partielle, douleurs, comme dans le type Charcot-Marie-IIoffmann, mais avec adipose et p
l'apanage des myopathies. On l'a ren- contré souvent dans les deux types cliniques que nous citons plus haut. De plus, i
en- dant Oppenheim et Cassirer (7) ont signalé un cas d'atrophie du type pé- riphérique que l'autopsie montra indemne de
dons postérieurs et de ce fait a mis en relief l'origine spinale du type en question. L'altération fonctionnelle, admise
tive sous le titre suivant : Syphilis osseuse héréditaire tardive, type Paget. Types infantile et adolescent, types de
e titre suivant : Syphilis osseuse héréditaire tardive, type Paget. Types infantile et adolescent, types de l'adulte et du
use héréditaire tardive, type Paget. Types infantile et adolescent, types de l'adulte et du vieillard (1). Voici le fait
ur gauche. Bassin. Le bassin est nettement asymétrique. Il prend le type du bassin oblique ovalaire, avec aplatissement
ration névroglique rapidement dégénérative de la moelle. Ces deux types très distincts l'un de l'autre seraient cependant
geons complètement celle opinion, et nous croyons même que les deux types décrits par les auteurs sont réunis par tous le
'extension de la lésion. Au début de leur développe- ment, ces deux types peuvent présenter les mêmes caractères, et leur é
nt été obligeamment communiquées par son fils), qu'il représentait un type de géant pur, bien proportionné et sans trouble
substance corticale on trouve des alvéoles remplies de cellules du type cubique à noyau bien coloré, à protoplasma assez
la préparation où les cellules cummencent à s'éloigner tout à fait du type normal, marquant ainsi le passage vers l'épithéli
forment la masse du tube épithélial appartiennent presque toutes au type éosinophile. Il n'y a pas du tout de cellules cya
aux. B.(PI. XL). En certains points enfin les cellules, toujours du type éosinophile, prennent une forme allongée, étiré
s t éosinophiles sont la forme primordiale d'où dérivent les autres types cellulaires de l'hypophyse (P.-E. LAUNois et P.
nombre varia- ble suivant les points examinés et qui répondent aux types suivants : t a. Cellules à deux noyaux isolés o
x (rares). Les cellules libres dans quelques vaisseaux affectent le type général que nous avons décrit au début comme le
nt gigantesque, chez qui en raison de la castration, on retrouve le type infantile. MM. Launois et Roy (1) avaient rappelé
la maladie de la glande thyroïde. D'après lui il y a des géants du type infan- tile (visage et apparence enfantins, all
le (visage et apparence enfantins, allongement des os), des géants du type aCl'o11légatique(avec ossification des épiphyse
ection, paralysie parcellaire ou parésie, du plexus brachial droit, type supérieur de Duchenne-Erb. Mais d'autres hypothès
la puberté, on ne peut songera la myopathie primitive progressive, type scapulo-huméral, forme juvénile d'Erb ; on sait
essive, type scapulo-huméral, forme juvénile d'Erb ; on sait que ce type , le plus souvent symétrique, reste rarement pur
ujours d'un affaiblis- sement des muscles de la face qui en fait le type facio-scapulo-huméral de Landouzy-Dejérine ; de
hénomènes de paralysie est également la règle dans ce cas ; dans le type Duchenne-Erb, en particulier, les troubles para
ne altération, paralysie parcellaire ou parésie du plexus brachial, type supérieur de Duchenne-Erb. Ce type qui correspo
e ou parésie du plexus brachial, type supérieur de Duchenne-Erb. Ce type qui correspond à la lésion des 5° et 6e cervica
xus brachial, respectant les muscles commu- nément atteints dans le type de Duchenne-Erb, le deltoïde, le brachial antér
asse ou debout au tableau noir nous montrent qu'il ne s'agit pas du type ordinaire de la crampe des écrivains. Selon 1
de notre malade. Les caractè- res de l'infantilisme myxoedémateux, type Bl·issa2ld, sont aujourd'hui bien connus (1). C
la soeur de cette malade était une infantile intermédiaire enlre le type Brissaud et le type Lorrain. « Son facies dit-i
lade était une infantile intermédiaire enlre le type Brissaud et le type Lorrain. « Son facies dit-il, est intéressant.
ès intéressante observation intitulée : Infantilisme dégéné- ratif ( type Lomin) compliqué de dysthyroïdie pubérale (type B
isme dégéné- ratif (type Lomin) compliqué de dysthyroïdie pubérale ( type Brissaud), MM. Ernest Dupré et P. Pagniez signa
d'observations. Si de ces ob- servations se dégagent déjà quelques types qui paraissent bien définis, il reste à côté d'
nous ne pou- vons préciser davantage et ramener le cas actuel à un type déterminé, par le simple examen de la phalange
fois de plus, sans y insister, combien est complexe la question des types tératologiques en général et celle des types dits
mplexe la question des types tératologiques en général et celle des types dits ectroméliques en particulier. L'artère r
, la nature et les rapports réciproques des processus formateurs du type téra- tologique sujet de cette observation, il
n s'est adressé. S'il s'agit d'une arthropathie évoluant suivant le type atrophique, la résection ne donne que des résul
et Jeannel le prouvent. Mais lorsque l'évolution a lieu suivant le type hypertrophique, les ré- sultats sont différents
rgit', peut-on dire, eu même temps que Duchenne de Boulogne créa le type de l'ataxie locomo- trice progressive (1858-59)
anet quelques cas de transition et que l'on connaîtra même d'autres types d'akathisie obsédante. Je crois que j'ai fait s
des cas qui correspondaient tout à fait au délire alcoolique continu, type tel que nous le comprenons. Les cas transitoi
violemment contor- sionné et la main représente très exactement un type de contracture en exten- sion. Au musée de Di
étendue en avant dans un geste d'effroi. On peut voir aussi un beau type de possédé, les yeux convulsés, la langue tirée
hie de l'épaule. Atrophie musculaire et lheî,nio-ai2alg( ? sie du type transversal (3 pl., 2 sché- mas), par BRISSAUD
hropathie de l'épaule. Atrophie mus- culaire et thermo-analgésie du type transversal (3 planches, 2 schémas), 11. BRUA
hropathie de l'épaule. Atrophie mus- culaire et thermo-analgésie du type transversal (3 planches, 2 schémas), 11. BRUA
24 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ment faits dans ces conditions ne sont certes pas à dédaigner. Les types cliniques s'offrent à l'observation représentés p
a physiologie. Mais il n'en est pas de même de sa création des grands types morbides qui s'appellent l'atrophie musculaire pr
nale, décrite depuis longtemps par Cruveilhier, put être rapportée au type clinique. Néanmoins, quelques auteurs continuai
normales, lesquelles ont pu, ainsi, être rattachées avec assurance au type normal, seul cité dans la description classique d
l sera facile à celui qui possède la formule de les ramener toutes au type fondamental. Tout cela intéresse au plus haut p
elle avec des caractères spéciaux qui s'éloignent considérablement du type normal. Yoici également une femme, Messieurs, q
; le peaucier participe à un certain degré à la convulsion. Yoilà le type vulgaire. Considérez maintenant notre jeune mal
entre la localisation de l'atrophie et le siège de l'arthropathie. — Types du rhumatisme articulaire chronique primitif : 1°
., London, 1857. Je rappellerai que j'ai proposé de ramener à trois types fondamentaux les formes très variées sous lesquel
formes cliniques ; mais, à chacune d'elles répond une modification du type anatomo-pathologique. Ces trois formes, en effet,
culaire. — Déformations dans le rhumatisme articulaire chronique : 1° type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'ath
s dans le rhumatisme articulaire chronique : 1° type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose, main de la para
sin de M. P. Richer. que variées qu'elles puissent paraître, à deux types fondamentaux auxquels peuvent être rattachées tou
es formes accessoires. Nous signalerons les traits communs aux deux types : En général, les mains sont dans la pronation et
èse de Paris, 4 853. Voici maintenant les caractères de deux grands types dont j'ai donné la description. — Premier type ou
ctères de deux grands types dont j'ai donné la description. — Premier type ou type d'extension. En considérant d'abord l'ext
e deux grands types dont j'ai donné la description. — Premier type ou type d'extension. En considérant d'abord l'extrémité l
elle, la plu- Fig. 6. — Représentant la main gauche de la nommée D. Type d'extension. Dessin de M. Richer. part des au
, elle, a été affectée au moment de la ménopause (Fig. 6). Deuxième type , type de flexion. — Ici, nous avons une extension
, a été affectée au moment de la ménopause (Fig. 6). Deuxième type, type de flexion. — Ici, nous avons une extension de la
éanmoins, en conséquence de Fig. 6. — Main gauche de la nommée M.., Type d'extension. Dessin de M. P. Richer. l'épaissis
les jointures ont été main- Fig. 7. — Main droite de la nommée X,,, Type de flexion. Dessin de M. Peugniez. tenues dans
rt et en par- Fig. 8. — Main d'athétose rappelant la déformation du type d'extension. Dessin de m. P. Richer. ticulier d
n Fig. 9. — Main de paralysie agitante, rappelant la déformation du type de flexion. Dessin de m. P. Richer. conséquence
ain, on voit se prcùiuirTrïnre déformation qui rappelle notre premier type , le type d'extension (Fig. 8). On peut faire la
oit se prcùiuirTrïnre déformation qui rappelle notre premier type, le type d'extension (Fig. 8). On peut faire la même rem
matisme noueux; dans le cas que je vous présente, vous retrouverez le type d'extension (Fig. 9). Dans cet ordre de faits enc
modiques et sur Fig. 10. —Attitude vicieuse volontaire rappelant le type d'extension du rhumatisme chronique. — Dessin de
t je vais vous Fig .11. — Attitude vicieuse volontaire rappelant le type d'extension du rhumatisme chronique. — Dessin de
sous des aspects très divers, mais qui peuvent être ramenés à quatre types ou variétés. 1° Variété expansive, avec délire
rands épisodes de l'hystérie considérée chez la femme, dans un de ses types classiques : l'hystéro-épilepsie à crise mixtes o
emme, la névrose se manifeste sous la forme fruste, à la manière d'un type effacé; et il est parfaitement établi, d'autre pa
erticale, passant parle point de fixation; c'est donc une hémianopsie type , telle qu'on est habitué à la rencontrer, lorsqu'
egungsbilder dans la nomenclature de M. Kuss-maul. Ces trois grands types n'excluent pas, d'ailleurs, les formes mixtes de
visuels, auditifs, moteurs, les représentants de chacun de ces grands types , notre malade, M. X..., serait, par excellence, u
ésigner cliniquement sous le nom d'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran. La lésion des noyaux gris moteurs,
ves faites dans cette voie tendent à compromettre l'existence même du type nosographique Duchenne-Aran. Il existe en effet r
venir les cas que les recherches modernes détachent tous les jours du type Duchenne-Aran. Sous quelle forme nouvelle vont-il
certain nombre de cas qui peuvent être, vous le voyez, soustraits au type Duchenne-Aran. Mais ce n'est pas tout; je vais en
hie relève, dans ces cas, d'une lésion spinale, comme dans les cas du type Duchenne-Aran, dont ils ne représenteraient, suiv
rose latérale amyotrophique ; 2° l'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, mais celle-ci réduite, bien entend
homme de 22 ans, doit être rattaché encore, comme les précédents, au type hystéro-épilepsie. Obs. V. — Le nommé Ly..., ma
taque d'hysléro-épilepsie, qui, par un côté, s'éloigne notablement du type classique. Dans la première période, en effet, no
e de la femme, alors même que, cessant de considérer exclusivement le type fondamental, on ouvre le chapitre des anomalies.
u membre, représente vraisemblablement, du moins pour les membres, le type des anesthésies de cause corticale quelle que soi
esquelles pourront être à bon droit considérées comme représentant le type des paralysies psychiques. Au préalable, je cro
te, permanente, et chez elle, les attaques répondent de tout point au type classique. Vous voyez qu'ici, bien qu'on n'ait em
arence du malade si 1. Recueillie par M. le Dr Marie. éloignée du type encore aujourd'hui classique des hystériques, que
cture en une paralysie hystérique flasque, répondant véritablement au type le plus parfait. Combien de temps vont persiste
stinguent les paralysies hys-téro-traumatiques, considérées dans leur type de développement parfait. Il est clair que les
st en quelque sorte calqué, jusque, dans les moindres détails sur les types désor- mais classiques que M. Charcot a fait co
nes antérieures de la moelle ou des nerfs moteurs et qui constitue le type delà lésion trophique? — 11 est sans doute indisp
de l'aphasie, mais comme l'a fait remarquer M. Charcot, une aphasie à type caractéristique qui permet, pour ainsi dire, de d
e chez tous les individus, il existe, à cet égard, des aptitudes, des types très divers. Suivant que, dans le langage intérie
elconque des quatre procédés en question. Cette notion des différents types de langage intérieur a été introduite dans la sci
n entre la localisation de l'atrophie et le siège de l'arthropathie.— Types de rhumatisme articulaire chronique primitif : Io
ns dans le rhumatisme articulaire chronique : l°type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose. main de la para
e chronique (Atrophie musculaire consécutive au —), 51 ; — Différents types du —, 53, 61 ; — Déformations du —, type d'extens
ve au —), 51 ; — Différents types du —, 53, 61 ; — Déformations du —, type d'extension, type de flexion, leur pathogénie, 65
ifférents types du —, 53, 61 ; — Déformations du —, type d'extension, type de flexion, leur pathogénie, 65; — son influence
25 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
champ nenropatliologique, nous ne devrons jamais « oublier que les types les plus divers d'.dfeclion" organiques « spina
gradées, quiconque possède laformule pourra toujours les ramener au type fondamental. C'est sans doute pour avoir ignoré
HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES L'hystérie est le type parfait des névroses ; la sclérose en plaques r
le type parfait des névroses ; la sclérose en plaques représente le type des maladies organiques. Ce sont pourtant là les
imuler toutes; mais nous n'aurons ici en vue que la simula- tion du type cérébro-spinal, le plus fréquent de tous. Sans co
is par des tremblements rappelant d'une manière frappante tantôt le type de la paralysie agitante, tantôt celui de la sc
iforme, nous voulons dire une attaque qui a affecté dès le début le type hystérique : absence de morsures de la langue e
e cas, exclusivement sur les cordons antéro-laléraux, comme dans le type premier, classique, de l'unité morbide décrite so
1 en résulte que le microcéphale ne repré- sente plus en réalité un type exclusif, ce n'est plus un être d'une évo- luti
e, se reconnaissent a des déformations crâniennes qui procèdent des types dits relevés ou couchés par les anthropologiste
précis et délicats de la main et des doigts. C'est là un premier type de tremblement hystérique qui, en raison de ses
classés en pathologie nerveuse, les ramener légitimement à quelques types cli- niques assez bien tranchés et susceptibles
tranchés et susceptibles d'une description métho- dique. Parmi ces types de tremblements hystériques que nous allons déc
osies par- fois trompeurs. a. Tremblement rémittent intentionnel ( type Rendu). Par ses caractères, par l'apparence ext
nce extérieure qu'il communique aux sujets qui en sont affectés, ce type de tremblement hystérique imite d'une façon par
tion à l'état de repos. Les hystériques trembleurs qui répondent au type clinique que nous avons en vue sont constamment
t son aspect et ses allures. Il est facile de comprendre en quoi ce type de tremblement hystérique ressemble au tremblem
Somme toute, en dépit des analogies réelles qui existent entre ce type de tremblement hystérique et le tremblement sympt
tremblements hystériques . et des tremblements mercuriels. Si ce type de tremblement hystérique dont nous nous occupons
la description précé- dente du tremblement rémittent-intentionnel ( type Rendu) : OBs. III. - Hystérie provoquée par une
rie provoquée par une émotion violente. - Tremble- ment hystérique ( type Rendu). Le nommé BIumberg..., £ tgé de trente-six
en Algérie, il eut la fièvre typhoïde ; puis la fièvre intermittente ( type tierce). Il a gardé cette fièvre pendant près d
lleurs identique à celui qui existait chez les malades répondant au type ré- mittent-intentionnel généralisé précédemmen
l'impotence motrice absolue, il y a place pour un certain nombre de types intermédiaires. Elle se complique, suivant les
ans l'ombre la notion étiologique. En outre, il n'y a pas entre ces types de démarcation bien nette, de sépara- tion cons
d'abord flasque devenir, brusquement ou peu à peu, rigide. Ces deux types et la transformation de l'un dans l'autre existen
e ces deux variétés peut se présenter indifféremment sous les trois types suivants : ' 1. P. illarie et Souia-Leite, Cont
, 18b5). ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 130 '1° Type de contracture au maximum; , 2° Type spasmodiqu
UES « SIMULATEURS ». 130 '1° Type de contracture au maximum; , 2° Type spasmodique vulgaire; 3° Type flasque, et qu'en
ype de contracture au maximum; , 2° Type spasmodique vulgaire; 3° Type flasque, et qu'entre chacun d'eux on rencontre de
voir souligné les analogies qui existaient entre ces deux cas et le type classique de la paralysie agitante, M. Oppenheim,
ement l'aspect extérieur et les allures des trembleurs répondant au type rémittent- intentionnel précédemment décrit.
r le diamètre antéro-postérieur maxi- mum. Quant aux divisions de types crâniens fournies par l'indice cépha- liquc et
ts 1. Les planches qui accompagnent ce mémoire et. reproduisent des types de difTércntcs déformations crâniennes ont été
re également dans cette catégorie dont il ne constitue pas l'un des types les moins curieux. L'observation de Peyn..., ce
ar les épaules et se propagea symétriquement aux bras comme dans le type scapulo- hmnéral décrit par Vulpian. Début pa
ppelant la marche graduellement ascendante de l'amyotrophie dans le type Aran-Duchenne. Dans le cas de Seelig- müller, l
ner la mort' (cas de Seeli(ymüller). Enfin, Brau... appartient à un type chronique et progressif; il n'est malade que depu
RRILLON, Chirurgien de la Salpêtrière. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ( TYPE MORVAN) Dans ces deux dernières années, des dis
. 2. Charcot, Sur un cas de syringomyélie avec panaris analgésique ( type Morvan) (Gnbetla hebdom., 11 avril 1891). . 2
quence, d'appliquer à cette forme la dénomination de syringomyélie, type Morvan. » Voici les détails de cette observatio
arition presque entière de la contractilité faradique, constitue un type très net de réaction de dégénérescence. Il ne sem
sauf les deux grandes incisives médianes supérieures qui offrent le type parfait des dents dites « en gradins ». Le nez re
état morbide dont souffre notre malade sous le nom de syringomyélie type Morvan 2. A. Souques, Interne (Médaille d'or)
ite ' inférieure) vient parfois compliquer l'atrophie musculaire du type , Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure chroni
iques. 1 G° L'amyotrophie se présente tantôt avec les caractères du type Du- chenne-Aran (poliomyélite antérieure chroni
henne-Aran (poliomyélite antérieure chronique), tantôt avec ceux du type clinique de la paralysie spinale antérieure subai
ant pour les compa- raisons craniométriques. Quant aux différents types de la face, oi,titon-iiaLliisine,. eurygnatllisme
actères de dégénérescence proprement dite amenant les déviations du type anthropologique normal par exagération ou par t
éditaires des parents ; 2° Les anomalies amenant une déviation du type normal qui place l'individu dans un état d'infé
vidu dans un état d'infériorité absolue en amenant une déviation du type anthropologique normal pour le rapprocher de ce
son à la suite d'une émotion. Cette observation intéressante est un type parfait de paraplégie psychique par auto-sugges
rmations thoraciques dues au rachitisme réalisent habituellement un type tout différent de celui que nous avons observé.
rtaine période de la myopathie atrophique progressive de l'enfance ( type Landouzy-Déjerine), on constate, dit M. Raymond,
tituer de toutes pièces les états dégénératifs, les dévia- tions du type normal de l'espèce. J. Ramadier ET P. Sérieux,
gique et la phase somnambulique, nous a présenté, dans certains cas types , plu- sieurs exemples de cette sorte de spécifi
e treatment of epilepsy, Edinb" t8M. UN CAS D'HEMIPLEGIE ALTERNE ( TYPE MILLARD-GUBLEn) COMPLIQUÉE DE STRABISME INTERNE
émiplégie alterne d'origine bulbo-prolubérantielle ressortissant au type Millard-Gubler. Les troubles des yeux et du lan-
e même, et peut-être surtout en pathologie nerveuse, les espèces ou types mor- bides offrent, dans la combinaison de leur
isée électriquement par la réac- tion de dégénérescence. Ce nouveau type , en poussant jusqu'à la der- nière limite la re
us ces faits nouveaux rentrent, au point de vue électrique, dans le type pri- mitivement formulé par MM. Charcot et Babi
née sa localisation, il serait bien difficile de la différencier du type myopalhique de Erb. Il est bon d'ajouter que l'
nales et névritiques. La première sérail, si on peut ainsi dire, du type « myopathiquc p, la seconde du type « myélopath
rail, si on peut ainsi dire, du type « myopathiquc p, la seconde du type « myélopathique », les deux pouvant se présente
Amyotrophie hystérique simulant l'atrophie musculaire progressive ( Type Aran-Duchenne). Ernestine Bé...ard. vingt ans,
e de la lésion, auraient pu faire songer à une atrophie spinale, au type Aran Duchenne, par exemple. Cette amyo- trophie
(inédite). Amyotrophie hystérique simulant l'atrophie mus- culaire ( type Aran Duchenne. M... G...me, vingt-deux ans, broch
s. 11 ne saurait être question ici d'amyotrophie organique spinale, type Aran Duchenne par exemple, les circonstances da
que nous avons suivi depuis deux ans. L'amyotrophie hystérique « à type myélopathique » semble donc comporter un pronos
orter un pronostic plus grave que l'amyotrophie pure et simple du « type myopathiques » décrit par M. Babinski. Et cependa
chose rare dans la névrose; elle s'y présente d'habitude sous deux types : 1° L'un décrit par M. le professeur Titres so
2° L'autre étudié par M. Charcot et décrit par lui sous le nom de type syringomyélique : sensibilité tactile conservée,
thésiques, hommes ou femmes, M. Charcot en a trouvé onze offrant le type anesthésique complet, vulgaire, et six chez lesqu
étaient dissociés. Sur ces six, il en était deux qui répondaient au type de Pitres; les quatre autres offraient la dissoci
. « Sur ces quatre cas, ajoute-t-il, deux fois la disso- ciation du type syringomyélique a été obtenue, le sujet étant hyn
e les rappeler. Sydenham, ? cir-llitchell, Trintignan ont étudié un type d'oedème hystérique. M. Charcot, l'an dernier, a
yringomyélie. P...eyn, quarante-six ans. Cette observation est un type d'hystérie simulatrice. Si, aujourd'hui que le
es si grandes que la confusion est difficile a éviter. Dans les cas types , la syringomyélie est caracté- risée par des sy
l'cedénze n'est pas rare dans l'hystérie. 11 se présente sous deux types : (a) L'cedènze blanc mentionné par Sydenham, D
e avec idiotie), par Diamantberger, 271. Syringomyélie (Un cas de type Morvan, par Souques, 255. Thorax en entonnoir
? 23, 24, 25. Syringomyélie (Champ visuel dans la-), 73, zut, 75; type Morvan, 52, 53, 51, 55.
26 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
teur de la crête sus-mastoïdienne soient tout à fait indépendantes du type anthropologique, comme l'ont affirmé Kôrner et Ga
mme l'avait fait Schùlzke, on peut rapporter ces variations aux trois types reproduits à la planche III : Premier type, fig
es variations aux trois types reproduits à la planche III : Premier type , figure temporaux à sillons très profonds. Deux
Premier type, figure temporaux à sillons très profonds. Deuxième type , — 2-5, — de profondeur moyenne. Troisième type
rofonds. Deuxième type, — 2-5, — de profondeur moyenne. Troisième type , — 3-6, — superficiels. Nous avons trouvé des t
— 3-6, — superficiels. Nous avons trouvé des temporaux du Premier type ....................................... 37,5 °/0
emier type....................................... 37,5 °/0 Deuxième type ...................................... 5o,o Troi
Deuxième type...................................... 5o,o Troisième type ...................................... 12,0 La p
ent les deux mécanismes se combinent pour constituer les apophyses de type mixte. Cette diversité de structure a permis de
dessus de 60 ans)...... 5a,o 26,0 22,0 Pneumatique, scléreuse ou de type mixte, l'apophyse renferme toujours une cavité, n
oite et allongée, simulant un antre biloculaire. Sur les apophyses de type mixte, ce groupe est souvent envahi par le tissu
'antrite est le point de départ, sera partielle dans les apophyses de type mixte, totale si l'apophyse est pneumatique. L'in
. 109 — 24,0 Comme pour le sillon sigmoïde, on peut ramener à trois types les variations de profondeur de la fosse jugulair
s les variations de profondeur de la fosse jugulaire. Dans le premier type , la fosse jugulaire est superficielle; sa limite
le bras inférieur du canal demi-circulaire frontal. Dans le deuxième type , elle est de profondeur moyenne et se développe e
c du vestibule et le canal demi-circulaire frontal. Dans le troisième type , elle est profondément excavée jusqu'au conduit a
avité tympanique des rapports très importants qui varient dans chaque type . Quand elle est superficielle, on trouve un vérit
sieurs manières, qu'on peut ramener, avec Rûdinger et Dumont, à trois types : i° par continuité ; 2° par bifurcation; 3° par
r continuité ; 2° par bifurcation; 3° par fusion. « Dans le premier type , le sinus longitudinal supérieur qui reçoit les v
ué au niveau de leur point de contact. (Dumont.) « Dans le deuxième type , le sinus longitudinal se bifurque pour donner na
aussi large d'un côté que de l'autre. (Dumont.) x Dans le troisième type , le sinus longitudinal se termine par un cul-de-s
age connu sous les noms d'aphémie, d'aphasie motrice corticale vraie ( type Bouil-laucl- Broca). L'écorce du lobule fusifor
psique, paraphasique et hémiparétique, il y a place pour une série de types intermédiaires, relevant de la topographie et de
Les cas de Lannois et de Zaufal peuvent être considérés comme des cas types . L'aphasie optique est presque toujours accompagn
profondeur du sillon sigmoïde. Ces variations sont rapportées à trois types : i° Temporaux à sillons très profonds (fig. i
a profondeur du sillon droit différait de celle du sillon gauche. Les types se combinaient ainsi : Figures l\ et 2 : 11 fois;
e vestibule et le conduit auditif interne. Cet os apparaît comme le type des temporaux pneumatiques ; il offre une structu
tout entier dans le segment supérieur de la coupe. L'apophyse est du type mixte, avec prédominance du tissu pneumatique à p
ure. Le seuil de l'aditus a été légèrement ébréebé. L'apophyse est du type pneumatique à petites cellules, avec corticale ex
qui creuse un peu le segment inférieur de la coupe. L'apophyse est du type pneumatique, avec volumineuses cellules postéro-s
de Fallope au niveau du coude de l'aditus. L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules. Le sillon sigmoïde est
de Fallope au niveau du coude de l'aditus. L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules. Le sillon sigmoïde est
ien tout à fait à son extrémité inférieure.L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules avec corticale assez épa
e. Il s'en éloigne à mesure qu'il descend. L'apophyse mastoïde est du type pneumatique. Au-dessus du sinus latéral, on ape
27 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
it xx 1 2 BRISSAUD fruit. Il n'a pas le volume correspondant au type moyen de son espèce, mais il est bien conformé
posé de réserver un chapitre spécial sous le titre ^infantilisme du type Lorain à tous les cas de misère physiologique d
lques problèmes que soulève encore la question de l'infantilisme du type Lorain, et je m'occuperai immédiatement d'un autr
isant pour créer soit le myxoedème, soit l'infantilisme, et que les types les plus complets de l'un et de l'autre appartien
Elles ont enfin permis de distinguer, parmi elles, deux principaux types auxquels on a justement attaché le nom de ceux
les unes des autres, ou représentent-elles, au contraire, autant de types ir- réductibles ! Enfin, quelle est leur pathog
es côtes fonctionnent normalement, et que la respiration affecte le type costal supérieur. Les articulations coxo-fémora
e de Müncbmeyer. , Bechterew (4) décrit, il y a quelques années, un type spécial d'anky- lose vertébrale, caractérisé pa
hie de la Salpêtrière (1), M. Forestier a tenté d'isoler un nouveau type clinique qui, par quelques points, pourrait être
propagation plus ou moins accentuée vers la dure-mère. ' Entre ce type clinique, dont l'existence d'ailleurs a été conte
agnostic, une première réflexion s'impose..C'est que les différents types d'ostéo-arthrite vertébrale n'ont peut-être pas t
mal. » Admettons donc qu'il s'agit d'une spondylose rhizomélique à type un peu anormal, ou de rhumatisme vertébral chro
lésions de deux sortes l : 4° périviscérites fibreuses, arthrites à type mixte, fibreux et osseux ; et 2° altérations ma
ossible de chercher à créer dans ce chapitre de la neu- rologie des types distincts ayant une symptomatologie et une anatom
t Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS TYPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTR
t Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS TYPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTR
d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gauche, type Aran-Du- chenne ; extension lente aux muscles d
ssive dans laquelle il faisait rentrer en particulier l'amyotrophie type Charcot-Marie dont l'anatomie pathologique étai
ro- phie musculaire progressive neurotique et en France amyotrophie type Charcot-Marie. Marinesco (1) en 1894 publie l
nfance. Revue de Médecine, 1896, p. 881. (3) Sainton, L'amyotrophie type Cliarcot-Marie, Thèse de Paris, 1889, p.86. ATR
ucoup d'autres que montrer une nouvelle forme de passage à côté des types cliniques que l'on croyait autrefois nettement
ion de Marinesco qui se rapporte à un cas authentique d'amyotrophie type 64 LONG Charcot-Marie montre des lésions mult
extrémités il y a des troubles de la sensibilité et des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi- nation motrice avec s
spect cli- nique particulier qui ne paraissait répondre à aucun des types morbi- des connus. Il s'agissait de la présence
même chez chacun d'eux, M. Crouzon fut amené à en dégager plusieurs types cliniques. C'est ainsi qu'il décrit un type par
en dégager plusieurs types cliniques. C'est ainsi qu'il décrit un type parélo-spasmodique caractérisé par une paraplég
e, avec exagération des réflexes rotuliens et signe de Babinski; un type ataxo-spasmodique caractérisé par l'adjonction
signes de labes aux signes de la parésie spasmodique, et, enfin, un type ataxo-cérébello-spasmodique dans lequel l'aspec
rvice l'étude anatomo-palliologique d'un des deux cas de ce dernier type . Bien que cette étude n'ai pas montré la présence
t difficile et tout à fait particulière, ne rentrant dans aucun des types nettement établis ; il s'avance à petit pas mais
note encore des ! amelles à structure histologique normale. Comme type de la description histologique nous prendrons les
deux cas qui ont servi à Deje- rine et Thomas pour constituer leur type d'atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse, cas qui
ru, les restantes sont pour la plupart atrophiées (2). D (id.). - Type de lamelles atrophiées : atrophie de la couche mo
dies nerveuses, à la Salpêtrière ) OSTÉITE SYPHILITIQUE DÉFORMANTE, TYPE PAGET, CHEZ UNE TABÉTIQUE PAR M. CHARTIER e
de la SALPÉrRIÈnE. T. XX. Pl. X OSTÉITE SYPHILITIQUE DEFORMANTE, TYPE PAGET, CHEZ UNE TABÉTIQUE (Charlier et Dcscoms.
ie Berthaud CHARTIER ET DESCOMPS. - OSTÉITE syphilitique déformante type PAGET 85 premiers symptômes de sa maladie sont
X. Pl. XI Radiographies Infroit. OSTÉITE SYPHILITIQUE DEFORMANTE, TYPE PAGET, CHEZ UNE TABETIQUE (Cbarlier et Descomps
ETIQUE (Cbarlier et Descomps.) 1 OSTÉITE SYPHILITIQUE DÉFORMANTE, TYPE PAGET, CHEZ UNE TABÉTIQUE 87 Les mouvements de
e, la présence de cette infection. OSTÉITE SYPHILITIQUE DÉFORMANTE, TYPE PAGET. CHEZ UNE TABÉTIQUE 89 De plus, si nous n
t l'hérédo-syphilis qu'ils ont incriminée ! Les cas de déformations type Paget, considérées comme manifestations d'une s
nte rien d'important. Mais l'oncle maternel du malade présentait un type accompli d'acromégalo-gigantisme. Nous avons vu
d'une façon excessive ; 2° Le père de cette dernière présentait un type accompli d'acromégalo- gigantisme ; 3° Notre
que Paul Carnot, dans son excellent travail sur « Les diffé- rents types pathogéniques de l'obésité », a consacré un parag
r la forme humaine n'a pas suffi pour faire découvrir plus vite des types cliniques aujourd'hui partout reconnus, comme l'a
maine [on fait appel aux projections photographiques des différents types humains, dans leurs diffé- rentes attitudes, ou
es images photographiques. Et de même pour toutes les variations du type humain, suivant l'âge, suivant la taille, suivant
us les citerons, qu'il existe des observations prouvant, que ces deux types cliniques peuvent se retrouver chez diverses pe
ure confirmation et dans les observations qui prouvent que ces deux types cliniques peuvent se retrouver chez diverses pers
-intestinaux graves, avec fièvre élevée, présente des convulsions à type jaksonicn dans le côté gauche et, tout de suite
t à l'oedème trophique de la syringomyélie, la main succulente, son type « à pleine peau », luisant, ne rappelle pas l'asp
nt les yeux, je n'ai aucune hésitation à l'attribuer un trophoedème type . Dans ces deux cas, aussitôt après le traumatis
é, se produira sur le membre lésé sous forme d'une manifestation du type segmentaire et non du type radiculaire, mal- gr
e lésé sous forme d'une manifestation du type segmentaire et non du type radiculaire, mal- gré la lésion névritique init
(1) E. Long, Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs type Aran- Duchenne, par névrite interstitielle hype
sente aux membres en néoplasies nettement circonscrites. Un dernier type d'infiltration plus rare est diffus et généralisé
cas réside dans la combinaison qu'il offre de plusieurs des anciens types de myopathie : c'est-à-dire du type pseudo-hypert
offre de plusieurs des anciens types de myopathie : c'est-à-dire du type pseudo-hypertrophique de Duchenne (mollets), du
'est-à-dire du type pseudo-hypertrophique de Duchenne (mollets), du type Zimmerlin (atrophie du grand pectoral) et du ty
nne (mollets), du type Zimmerlin (atrophie du grand pectoral) et du type juvénile d'Erb. En effet, cet auteur a signalé da
En effet, cet auteur a signalé dans la description première de son type la possibilité d'une pseudo-hypertrophie de certa
ogénie des troubles pupillaires, ne tiennent compte que de ces deux types et raisonnent comme si l'iris était directement i
, que produit la paralysie du moteur ocu- laire commun, et ces deux types peuvent parfaitement s'expliquer. Les filets ir
de Bouchard, 1900. MY0RIASE HYSTÉRIQUE 251 t nous croyons que le type paralytique existe et qu'il est même plus fré-
anmoins établir que la forme paralytique peut seprésenter sous deux types : 1 Paralysie du moteur oculaire commun : les s
s intéressé et l'ésérine a conservé toute sa puissance. C'est là le type que nous avons observé ; nous rapprocherons de
s'en rendre compte aisément. Quoiqu'ils affectent à première vue le type d'une hémianesthésie droite, on voit qu'ils son
us faisons précéder la série des observations d'hémimélie, d'un cas type d'amputation congénitale appartenant à Mouchotte,
ine le volume d'une radiale de femme. Sa distribution représente le type classique, cependant sa bifurcation se fait exa
IAGNOSTIC DANS UN CAS DE DILATATION PARALYTIQUE DE L'OESOPHAGE, TYPE SACCIFORME DE LEICHTEMTERN, , PAR M. BERTOLOT
sans cause anatomique, par sténose spasmodique du cardia, selon le type sacciforme décrit par Leichtemtern (1). Pour l'ex
sie bulbaire apoplectiforme : il existe, d'ailleurs, entre les deux types cliniques, de nombreuses formes intermédiaires.
uivante d'ecchymoses zoniformes spontanées me paraît. constituer un type morbite dont je n'ai pas encore rencontré la desc
- Chez notre malade en effet, de même que l'éruption dans cet autre type clinique, la teinte ecchymotique générale et su
es cas rentrent bien dans la catégorie des phénomènes zoniformes du type névritique, dont l'existence est aussi in- cont
Hémiméles par absence de la tige ou rayon cubital. Dans la variété- type , la partie radiale de la main, 1er métacarpien et
ux observations. Elles répondent, au point de vue topographique, au type classique, car elles prédominent pour le mem- b
mber en arrière. L'intelligence ne présente pas d'écarts marqués du type normal. On doit pourtant signaler une religiosi
bien de l'hypoderme. La forme de QUINCKE, serait le représentant type de ces oedèmes et par un examen attentif, on pe
du tissu conjonctif sous-cutané. Toutes ces formes représentent des types cliniques séparés, quoique liés par des cas de
le (4 pl.), 390. CHARTIER et P. Descomps. Ostéite syphili- tique, type Paget, chez une tabélique (2 pl.). 84. DEGOUY
rurg cal, 459. DESCOMPS et M. CHARTIER. Ostéite syphili- tique, type l'aget, chez une tabétique, 84. ETIENNE. Des tr
55. Long. Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs, type Aran-Duchen- ne, par névrite interstitielle hyp
7, 174. Atrophie musculaire progressive des mem- bres supérieurs, type Aran- Dut henné, par névrite iarerslirielle hyp
pectoral (RAYMOND et Rose), XLI. Ostéite syphilitique déformante type Paget chez une syphilitique (CHARTIER et P. D
28 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
successivement trois grands signes, la céphalée, des vomissements à type cérébral, de la diplopie. Dans le cours des deu
arfois aussi il y a des zones d'hypoesthésie ou même d'anesthésie à type radiculaire. Enfin, mais rarement, on pourrait
reconnaissent l'indépendance complète de la catatonie d'après le type de Kahlbaum [Brosius (10), Frommer (20), Neisse
ion dans les actes et la conduite externe des malades ». D'après le type , le cours et l'issue, Kraepelin rapporte cette
flexes jusqu'au clonus plantaire et un trouble de la parole avec le type de disartrie. Ainsi donc, dans le cas sus-décri
e limitation intellectuelle étaient déjà très accentuées. Malgré le type mélancolique général de la maladie, on pouvait
n du coude et remue légèrement les doigts. Ces mouvements, par leur type , rap- pellent le plus les mouvements choréiform
douter au commencement de la maladie, maintenant corres- pond au type clinique de Kahlbaum. Des formes pures de la dé
intervalles lucides de santé complète. Le premier cas présente un type de catatonie progressive, le second, de cataton
idées de persécution. Le cours consécutif de la maladie admet deux types : un cours progressif et un cours rémittent. As
l est très probable que cette lésion, à son tour, se basant sur son type clinique, peut entrer dans le vaste groupe de d
article sur les altérations de ces cellules : on décrit d'abord les types de cellules que l'on rencontre dans les ganglio
aux auteurs les conclusions suivantes : 1° il existe réellement un type de gigantisme infantile dans lequel la taille é
et la stérilité si souvent notées chez les géants ; 2° toutefois ce type de gigantisme infantile, très particulier par l
s (genu valgum) n'est peut-être pas irréductible, dans le temps, au type de gigantisme acromégalique (grand tronc, hyper
observe le plus souvent des déviations de la colonne vertébrale, de types divers, apparaissant en même temps que la raide
avec signe d'Argyll Roberstson intermittent. Atrophie musculaire type Charcot-Marie. MM. DÊJEMNE et Armand DEr.LLE pr
DEr.LLE présentent les pièces d'un cas d'amyotrophie progressive du type Charcot-Marie; le sujet, une femme de cinquante
interstitielle. Il n'y a donc aucune analogie avec l'amyotrophie du type Déjerine-Sottas. Sensibilité osseuse. , MM. R
t y avoir de commun à l'épilepsie et au cré- tinisme, au crétinisme type , comme à l'épilepsie pure, s'en- tend. Esquir
orsqu'ils décrivaient la symptomatologie, distinguaient des crétins types , des semi-crétins et des crétineux, ne font plu
E : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. l05 Lères des crétins types , des myxoedémateux ou des épilep- tiques types
Lères des crétins types, des myxoedémateux ou des épilep- tiques types : , Le crétinisme, dont une des principales cau
lepsie. Ces caractères si opposés du crétinisme et de l'épilepsie types m'ont amené à chercher ce qu'il advenait de l'épi
allu- cinations, en même temps que des délusions se rattachant au type de la paranoïa commune organisée. Voici les princ
lus intéressants, quand on envi- sage les malades divisés selon les types nosologiques divers : de l'examen de 1437 cas,
xamen de 1437 cas, il résulte que la disposition des Juifs pour les types nosologiques de l'aliénation mentale diffère de c
olie neurasthénique, des phobies, perversions sexuelles, etc. : ces types hérédo-dégénératifs, l'aliéniste ne les connait
t plus souvent de'troubles mentaux que la pre- mière. - Quant aux types morbides ainsi réalisés : in le délire du début
trois quarts de leurs segments externes (image renversée). C'est un type de neuroré- Unité paralytique. LE FOND DE L'O
tante, attei- gnant 200 à 250 par minute, parfois irrégulière et du type Cheyne- Stokes. (Cette tachypnée ne pouvant s'e
Ces considérations sont appuyées par la reproduction de quel- ques types d'écritures empruntés à des hystériques, des neur
s sont normaux ou anormaux. Aiusi, le réflexede Babinski qui est le type des réflexes cutanés anormaux est un réflexe cu
buté à l'Age de 18 ans par un accès d'excitation maniaque, était un type . de démence paranoïde qui est, comme on le sait
les imbéciles se conformaient d'abord àl'un ou l'autre de ces deux types . Il pense d'autre part que t'age auquel la foli
fréquentes ; presque toujours (85 p. 100) elles présentent le même type que l'attaque initiale. Dans un tiers des cas e
les symptômes suivants : la somnolence, le trouble de mémoire du type de la psychose de Korsakoff. L'apparition innatte
e nerveux. Vs. A. Mouratoff pense que l'association de l'amnésie du type Korsakoff avec la dépression psychique n'est pa
ogique. ' Cette dernière est constituée par le rappel atavique d'un type de Pygmées, type qui aurait disparu dans nos ré
ernière est constituée par le rappel atavique d'un type de Pygmées, type qui aurait disparu dans nos régions depuis le m
i- phérique ; m'attachant surtout à vous faire connaître certains types anatomo-cliniques nouveaux ou moins connus, et do
onstitués et dont la plupart sont encore peu connus. - Un premier type que je désire individualiser devant vous est un
eur que l'a le premier décrit : Polynévrite cancéreuse généralisée, type Obertbür. Voici d'ailleurs les faits cliniques
cer bronchique primitif avec métastases innombrables constituant le type le plus parfait de la car- cinose miliaire aigu
sur une certaine longueur la dégénérescence rétro- grade souvent à type périaxile. Concurremment avec ces lésions névri
rreur de diagnostic était dans l'espèce presque fatale. Parmi les types cliniques des localisations du cancer sur le sy
sont complètes. La paralysie est plus sensitive que motrice et les types clas- siques sont l'exception. Les lésions sont
examen à cette clinique pour une paralysie faciale droite totale à type périphérique. Cette paralysie était devenue bru
n installation à Moulins. RECUEIL DE FAITS. Paralysie saturnine à type partiel Aran-Duchenne. PAR ' Pnosrre 111ERIiL
que nous sommes en droit de la considérer comme une moda- lité du type classique Aran-Duchenne. Déjà l'on sait que le
moda- lité du type classique Aran-Duchenne. Déjà l'on sait que le type complet Aran-Duchenne est un des moins communs, .
ntrent dans cette catégorie. Plus rares encore sont les faits où ce type n'est que partiel. En 1834, dans la thèse class
ralysie des petits muscles de la main est souvent partielle dans le type Aran-Duchenne et intéresse plus par- ticulièrem
où un examen sérieux peut seul le déceler. C'est ainsi que dans le type Aran-Duchenne complet, l'aspect de la main est
re dans un certain nombre d'affections nerveuses. Qu'il s'agisse du type total ou partiel, la différentiation avec les a
rmales relèvent le plus souvent d'influences professionnelles. Le type Aran-Duchenne notamment a été vu chez des ciseleu
' cette conception en ligne de compte que les paralysies saturnines type Aran- Duchenne se rencontrent seulement dans ce
ttre de reprendre assez vite son travail, fait à noter, car dans le type Aran-Duchenne les mouvements sont sou- vent lon
bilité font rejeter - l'hypothèse d'atrophie musculaire progressive type Aran-Du- chenne. La sensibilité à la douleur
alcooliques chroniques, et'il a donné à cet ensemble la valeur d'un type morbide auquel il a donné le nom de psychose poly
elques exemples, illustrant par le fait concret et particu- lier le type schématique, que nous étudions, nous nous conte
' Ces états témoignent d'un état d'affaiblissement moteur dont le type est donné par la neurasthénie et autres affec-
uteur divisé ses cas en deux classes, la pre- mière qui comprend le type de cellules des imbéciles, la seconde, qu'il ap
end le type de cellules des imbéciles, la seconde, qu'il appelle le type vrai de réaction axonale, où les altérations so
général; 3° dans le premier groupe, le palais est variable dans son type général; mais en somme il est peu profond, ou d
en avant; 4° dans le second groupe, le palais varie aussi dans son type général, mais il estsurtout caractérisé par une,
ssement du caractère stertoreux de la respiration et respiration du type Cheyne-Stokes ; enfin l'élévation considérable
hondroplasie comme une variété bien caractérisée et héréditaire des types humains (Apert). Ce sont des troubles dystrophi
orme (au Nissl) avec dégénérescence jaune globulaire constituent le type cellulaire dominant. Ce type semble corres- pon
scence jaune globulaire constituent le type cellulaire dominant. Ce type semble corres- pondre à l'épuisement fonctionne
es psychoses aiguës nous pouvons rele- ver les deux premières comme types nettement déterminés. Le premier, délire alcool
comme types nettement déterminés. Le premier, délire alcoolique du type visuel (delirium tre- mens), est caractérisé pa
es cardiaques (tachycardie), etc. Le second, délire alcoo- lique du type auditif (hallucinose auditive), est caractérisé
ur le terrain même d'un délire auditif ? · Si nous admettons que le type visuel est l'expression d'une perturbation inte
l'expression d'une perturbation intellectuelle plus profonde que le type auditif r (hallucinose), il paraît tout facile
si bien dans la paranoïa chronique que dans le délire alcoolique du type auditif, les idées délirantes s'implantent en d
72 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. entre les deux types fondamentaux du délire alcoolique est plutôt qu
ux du délire alcoolique est plutôt quantitative que qualitative. Le type auditif repré- senterait la forme plus légère,
litative. Le type auditif repré- senterait la forme plus légère, le type visuel la forme plus grave. REVUE D'ANATOMIE
ions observées dans cet abaissement de l'al-. calinité dépendent du type , de la marche et de la durée de la ma- ladie. R
hybride, c'est-à-dire celles qui se rattachent à deux ou plusieurs types , sont celles dont le pro- nostic est le plus fa
rprétations. Examinons la question de l'alcoolisme, qui est bien un type d'acquisition personnelle. Sur les 3445 cas étudi
ophie du membre infé- rieur droit, par Glorieux, 67. - musculaire type Charcot-Marie, par Déjerine et A. Delille, 79.
tant dans la faciale périphérique, par Ces- tan, 257. saturnine à type par- tiel Aan-Duchenne, par Meiklen et Guiard
29 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
comparaison de la kathodale. Un autre trait qui s'écarte encore du type normal est l'ab- sence complète de contraction
ovale ou de la fenêtre ronde ; mais que dire si, avec le vertige type , l'examen de visu constate l'absence de tympan
r des bruits violents ou agaçants. L'observation suivante en est un type : « Le vertige n'arrive, dit la malade, que s'i
sentent, par l'allure insolite des symptômes, s'éloigne beaucoup du type classique. Ces faits, qui ne sont peut-être pas
role d'un autre malade du service, atteint de sclérose en plaques à type classique, qu'appuyé aussi sur l'ensemble de l'ap
s consta- tons que la distribution de la lésion s'éloigne un peu du type clas- sique. Si, sur bulbe et les portions supé
anatomique, on semble partir de ce principe qu'il existe un cerveau type . Or rien n.est plus faux, tellement que Broca,
qu'elles puissent paraître, se rattachent toujours logiquement au type fondamental » » , Nous-même avons consacré à la
grande attaque hystérique, qu'au point de vue de la régu- larité du type décrit. L'observation If", la plus intéressante,
Au sujet de la thèse que nous défendons ici, de l'uni- versalité du type récemment décrit par M. Charcot, de l'at- taque
s qu'il a observés lui-même et qu'il rapproche de la description du type qu'il vient d'exposer. Le premier cas est parti
entre les symptômes de ses attaques et ceux qui composent l'attaque type d'hystéro-épilepsie sont faciles à constater. L
surtout composée des phénomènes de la deuxième période de l'attaque type , convulsions étranges, contorsions violentes, a
oses inter-radiculaires. 2° Artères spinales. Elles reproduisent le type des vertèbro- spinales. Elles naissent des artè
ique des vaste interne gauche et vastes externes des deux' côtés ( type Erb-Hitzig). Intégrité de la moelle et du cerveau
assez positives pour servir à leur étude anato- mique. Lorsque les types de ces paralysies seront bien connus, on distin
les observations sans trop y insister, désirant surtout montrer des types simples autour desquels il sera ensuite facile
t exception à cette règle, qui n'est pas absolue ; elle est du même type que celle de M. Des- nos (Société médicale des
rde et Graux ont insisté. L'observation suivante nous offre le même type de paralysie moins complet. Observation V. Pa
et eu particulier dans le vertige avec sensation de translation, du type de celui de Ménière. Des travaux récents renden
usse de la gorge, a la voix très basse et enrouée, cassée. Pharynx, type d'engorgement catarrhal, rouge, plissé, humide;
ela dura quatre à cinq heures : premier accès de vertige de Ménière type . Depuis elle a conservé un embarras dans toute
, avant de donner les détails de nos observations, les différents types d'altération des tubes nerveux que nous avons r
préparations, nous croyons qu'on peut y distinguer cinq phases ou types d'altération. 196 PATHOLOGIE NERVEUSE. ilr Ty
cinq phases ou types d'altération. 196 PATHOLOGIE NERVEUSE. ilr Type . Fragmentation de la myéline en blocs. (Pl. II,
aspect tout différent et sont facilement reconnais- sables. 2e Type . Fragmentation de la myéline en boules. (Pl. II
multipliés. Le cylindre axile n'est nulle part reconnaissable. 3e Type . Fragmentation de la myéline en fines granulati
es fibres ainsi altérées on ne découvre trace du cylindre axe. je Type . Atrophie des tubes avec granulations ambrées d
dinalement et paraît absolument vide. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. 5e Type . Atrophie complète des tubes nerveux ; vacuité
s nerveux ; vacuité des g aînés. (PI. 111, 7. 14, 15, 16, 17.) Ce type correspond à la disparition complète des produi
u dissemblables qui peuvent être donnés comme deux variétés du même type d'alté- ration sans qu'il soit possible de dire
e tubes nerveux dont la myéline est fragmentée en blocs volumineux ( type 1), on verra des fibres partiellement atrophiée
type 1), on verra des fibres partiellement atrophiées, variqueuses ( type 3) et des groupes de gaines vides (type 5); ou
nt atrophiées, variqueuses (type 3) et des groupes de gaines vides ( type 5); ou bien les tubes variqueux (type 3) seront
des groupes de gaines vides (type 5); ou bien les tubes variqueux ( type 3) seront mélangés à des tubes atro- phiés ne c
tubes atro- phiés ne contenant plus que des granulations ambrées ( type 4). On peut même sur une seule fibre, consi- dé
seule fibre, consi- dérée isolément, rencontrer une association de types différents; à des segments fragmentés en blocs
complètement atrophiées, pâles, ondulées avec l'aspect conjonctif ( type 5). Les figures 16 et 17 ont été dessinées sur
uelques tubes renfermant encore des blocs ou des boules de myéline ( types 1 et 2) ; mais ces tubes sont relative- ment ra
ui frappe, en effet, c'est l'extrême prédominance des gaines vides ( type 5), quelquefois de couleur jaune, mais plus géné-
la lésion est moins avancée, la myéline est fragmentée en blocs ( type 1), en boules (type 2), ou bien en granulations a
ns avancée, la myéline est fragmentée en blocs (type 1), en boules ( type 2), ou bien en granulations avec atro- phie par
ns avec atro- phie partielle de la fibre et renflements fusiformes ( type 3). Les racines et les ganglions n'ont pas été
me dominante, en effet, est la fragmentation en blocs ou en boules ( types 1 et 2) dont les caractères sont repro- duits p
4 et 5 empruntées à ce cas; quelques fibres cependant présentent le type 3 ou sont réduites à l'état de gaines vides (ty
ant présentent le type 3 ou sont réduites à l'état de gaines vides ( type 5). Les autres sont des fibres minces, grêles,
les); de loin en loin existent aussi des faisceaux de gaines vides ( type 5) avec apparence conjonctive. On rencontre éga
à l'autre. Sur certains tubes la myéline est fragmentée en blocs ( type 1) ou en boules (type 2), ainsi que le représente
ins tubes la myéline est fragmentée en blocs (type 1) ou en boules ( type 2), ainsi que le représentent les figures 2, 3,
le est divisée en fines gouttelettes avec formation de varicosités ( type 3), ou bien encore la fibre est atrophiée et ne
e est atrophiée et ne contient plus que des granulations ambrées ( type 4). Sur une même fibre isolée dans une grande lon
fibre isolée dans une grande longueur, on peut rencontrer plusieurs types d'altération associés; mais nulle part il n'exi
. Toutes sont lésées; tantôt la myéline y est fragmentée en boules ( type 2) ; tantôt, et c'est le cas le plus fréquent,
quent, elle est segmentée en granulations et forme des varicosités ( type 3) ; ou bien elle a totalement disparu et les t
t les tubes atrophiés présentent l'aspect conjonctif décrit dans le type 5. Onzième nerf intercostal. Ce nerf, difficile
y sont lésées à des degrés différents qui varient depuis le premier type jusqu'au dernier. Ainsi, dans quelques tubes, la
ans quelques tubes, la myéline est segmentée en blocs ou en boules ( types 1 et 3) ; plus commune est sa fragmentation en
agmentation en granulations avec atrophie partielle et varicosités ( type 3). Mais l'altération domi- nante est constitué
ète des tubes ; les uns renferment encore des granulations ambrées ( type 4), comme le montrent les figures 11, 12, 13, 1
c la coloration sépia ou l'aspect conjonctif qui caractérisent le type 5. Sur les parcelles de tissu conjonctif dissoc
a prédominance des phénomènes de la deuxième période rapprochait du type démoniaque, offraient de grandes analogies avec
es différences d'intensité ou d'intégrité plus ou moins grandes, le type de la grande attaque d'hystéro-épilepsie est do
tubes," partiellement atrophiés/ sont déformés par des varicosités ( type 3). Les -figures G,$,.9 et 10. ont été dessinée
.<.) ,ia,, - . que des granulations ambrées parsemées de noyaux ( type le). (PL.'II ? ? "' 'r ? (hj ? j ? )/')() 'irii
des .longueurs, très espacées entre lesquels le tube est atrophié ( type 3 ; la figure J 5 à 'été dessinée 'sur'' une1 d
il, y existe un nombre appréciable detubos' complètement atrophiés ( type 5), .de, coloration jaune ou sépia. { ? 1 ' *<
que ; 60 Enfin la dissemblance complète des descendants d'avec le type somatique des générateurs (développement aittoi2o
che, elle se présente sous deux formes : Io folie ci double forme à type périodique (folie à double forme de Marcé), carac
s des autres par un intervalle lucide ; 2° folie ci double forme ci type continu (folie circulaire de larcé), sans rémis
- gnostic. Le pronostic est toujours grave. 11 n'y a guère que le type périodique qui puisse guérir ; mais il y a quel
e guérir ; mais il y a quelquefois de longs intervalles lucides. Le type circulaire ne guérit jamais; il est rare qu'il
30 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
1 volontairement, au second plan, les anomalies, les déviations du type . Le clinicien, au contraire, vit plus spécialem
jours, s'offrent avec des particularités s'éloignant plus ou moins du type vulgaire ; il ne saurait né-gliger les cas except
n revanche, les anomalies de l'ataxie locomotrice, les dé-viations du type normal présentent à nos investigations un champ v
dans cet hospice. Ils nous permettront de vous faire voir, à côté des types ordinaires, des combinaisons inattendues, peu ou
n de la sclérose aux bandelettes latérales des cordons postérieurs. Type classique de l'ataxie locomotrice progressive. —
cas qui vont nous occuper s'éloignent tous, à des de-grés divers, du type vulgaire, ils s'y rapportent tous cepen-dant par
auteur du renflement cervical de la moelle épinière. III. taux du type le plus commun. Nous serons mieux en mesure, aprè
ystite ulcéreuse apparaissent. Tel est, Messieurs, en raccourci, le type vulgaire de l'ataxie locomotrice progressive. Nou
, mainte- nant, de faire ressortir les anomalies, les déviations du type . V. Attachons-nous, en premier lieu, à l'étud
Chez un malade, M. C, qui a présenté ces douleurs rectales dans leur type de complet développement, elles avaient pré-cédé
caractères anatomiques qui la rattachent plus ou moins intimement au type classique de l'arthrite sèche, Xar-thropathie des
fréquemment, comme phénomène conco- là une affection articulaire à type aigu, apparaissant constam-ment quelques jours se
it, à l'état chronique, le représentant des affections articulaires à type aigu qui éclatent à la suite des lésions spinales
tumeur, vous le savez, d'après la loi de Muller, à son paradigme, son type physiologique. Or, ici la névroglie est le tissu
et qui rappellent, par leur disposition, les globes épider-miques. Le type physiologique est représenté par de petites tumeu
— Atlas, 32e livr., p. 6. baires — ce cas répond, vous le savez, au type le plus com-mun — et que celles-ci aient été enva
res supérieurs une paralysie se rap-prochant, à beaucoup d'égards, du type infantile. A ce propos je me bornerai à signaler
s les cas de myopathies spinales pro-prement dites, du moins dans les types purs, exempts de toute complication. Et, puisque
, en conséquence, dans le groupe des amyotrophies spinales aiguës, un type remarquable et qu'il convient de considérer tout
ment sous le nom de paralysie infantile. C'est là, en effet, l'un des types les plus remarquables du groupe : les caractères
s positifs ou négatifs permet-tait de rapprocher le cas de M. X... du type paralysie infan-tile spinale. Me fondant en derni
chroniques. — Atrophie musculaire progressive spinale protopathique ( Type Duchenne-Aran). Sommaire. — Variétés cliniques
tude de l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique comme type du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Am
rophie musculaire progressive spinale protopathique en particu-lier. ( Type Duchenne-Aran). — Symptômes: atrophie individuell
étude des amyotrophies spinales aiguës, nous avons pris pour objet un type régulier, la paralysie infantile où les lésions s
stématiquement limitées aux cornes antérieures de substance grise. Un type du même genre nous servira de guide dans l'histoi
trophie muscu-laire progressive qui répond à peu près cliniquement au type vulgaire tel qu'il a été décrit par Cruveilhier
eurs ful-gurantes spéciales, incoordination motrice, etc. 3° Divers types de myélite centrale, spontanée ou trauma- i Voi
z de l'entendre, que nous allons étudier dans cette leçon. Lorsque ce type , comparati-vement simple, vous sera connu, il dev
ont servi à édifier cette statistique, s'écartent singulière-ment du type classique. Il s'agit, dans le cas auquel je fais
ns lesquelles l'amyotrophie progressive se serait montrée conforme au type clinique Duchcnne-Aran, sans l'accompagne-ment de
marche rapide de l'affection, me semble se rapporter naturellement au type créé par Duchenne sous le nom de paralysie spinal
y, d'une bonne monographie 2. C'est là, Messieurs, cliniquement, un type assez bien accen-tué ; la symptomatologie en est
, reproduisent, avec assez de fidélité, vous allez le reconnaître, le type de la para-lysie infantile. La paralysie débute
e locomotrice. La clinique, d'après ce qui précède, désigne pour ce type une place dans la série des amyotrophies spinales
t, dans les diverses parties qui les constituent, aucune déviation du type physiologique. Rappelons que les racines spinales
on dont je viens de rappeler très brièvemeut les principaux traits au type classique de la para-lysie pseudo-hypertrophique.
simila-tion. Elles se rattachent, au contraire, très naturellement au type morbide, sur lequel j'ai appelé l'attention dan l
tence de symptômes qui paraissent aujourd'hui pouvoir se rattacher au type tabès dor-sal spasmodique, ces observations, dis-
ère. 3e édit. Paris 1837, t. II, p. 426. jadié, celle qui répond au type classique créé par Duchenne (de Boulogne). — Ce s
adie progresse et s'aggrave, mais ils se caractérisent ici suivant un type tout à fait différent. On ne trouve pas dans le
es malades que je fais passer devant vos yeux. Mais il existe dans le type une variété que je dois vous signaler. Yous pouve
térale du cordon nerveux, la symptomatologie s'accuserait, suivant le type hémiparaplégie spinale avec anes- 1 Loc. cit.,
mptômes spinaux, bulbaires et cérébraux qui la caractérisent dans son type de complet développement, il n'est certes pas dif
ique. Quant au vertige lui-même, il se montre chez G... conforme au type classique : sensation, succédant au sifflement, d
cot a eu l'occasion d'observer quelques faits se rattachant à ce même type clinique: tout récem-ment en recherchant ce qui p
servations nouvelles : on y verra que ces caractères fonda-mentaux du type se trouvent là, en quelque sorte, servilement rep
sur un cas d'atrophie musculaire progressive spinale protopathique ( type Duchenne-Aran ) ; par J.-M. Charcot \ (Voyez
Les préparations ont été faites à l'état frais. Nous prendrons pour type de notre description ce que nous avons ob-servé d
, l'observation que je vais rapporter dans ses détails se rattache au type clinique créé par M. Duchenne(de Boulogne) sous l
t, dans les diverses parties qui les constituent, aucune déviation du type physiolo-gique. Ajoutons enfin que les racines sp
on dont je viens de rappeler très brièvement les principaux traits au type classique de la paralysie pseudo-hyperfrophique.
rattachent, au contraire, très naturelle-ment, si je ne me trompe, au type morbide, sur lequel j'ai appelé l'attention dans
de la sclérose aux bandelettes latérales des cor-dons postérieurs. Type classique de l'ataxie locomotrice progressive. —
chroniques. — atrophie musculaire progressive spinale protopathique. ( type duchenne-aran). Sommaire. — Variétés cliniques
tude de l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique comme type du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Am
rophie musculaire progressive spinale protopathique en particu-lier. ( Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuel
IV. Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive protopathique ( type Duchenne-Aran)........................,..........
31 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n des orteils. La respiration est irrégulière mais sans affecter de type spécial. Pas de Cheync-Slokes. A l'auscultation
rs fois dans le cours de la nuit. Elles présentaient toutes le môme type nettement jacksonien, débutant, par des grimace
té agitée, celle-ci, même guidée par l'exis- tence de convulsions à type jaclaonicn et à point de départ facial n'eût do
fluence, la famille à maternité alcoolique tend normalement vers un type absolument inverse de celui de la famille syphi
l n'y a plus que des avortements; 6° les faits qui s'écartent de ce type sont probable- ment dus, dans beaucoup de cas,
emarque plusieurs microcéphales et une forte proportion d'idiots du type Mongolien. Le ? dortoirs sont simples, mais propr
associées assure que ce cas rentre parfaitement dans l'un des trois types cliniques qu'il a décrits, la lésion centrale i
e moi idéal que nous concevons. Certes nous ne nous approcherons du type que nous rêvons que par étapes successives et a
l'aspect spasmodique bien connu de la paraplégie syphilitique du type Erb avec l'évolution progressive, l'exagération d
nous voulons surlout mettre en lumière, nos malades diffèrent de ce type par un signe nouveau, le signe d'Argyll-Roberts
ullaire combinée, d'une part une myélite chronique pro- gressive du type Erb, d'autre part des lésions tabétiformes. Cet
plus rares et de moins en moins longues et, maintenant, c'est un type de délirant et d'halluciné chronique. » Le troi
s costoïdes des 1 ? et 2" lombaires. La respiration appartient au type , dit thoracique. L'auscultation- et la percussi
uniquement dans la région cervicale. L'auteur tend à rapprocher le type de Marie du type de Friedreich sous le nom géné
région cervicale. L'auteur tend à rapprocher le type de Marie du type de Friedreich sous le nom général d'ataxie hérédi
ion que la cellule nerveuse est construite d'après un même plan. Le type , cellulaire des invertébrés n'est pas toujours
invertébrés n'est pas toujours semblable dans tous .ses détails au type cellulaire des vertébrés ; mais on peut dire cepe
GIQUES. 135 fibrilles primitives extrêmement fines. Dans un premier type , les fibrilles continuant le prolongement nerve
cellule, et s'en reviennent au prolongement nerveux. Dans un second type , les neurolibrilles forment deux réseaux reliés
Le sel d'argent se dépose à l'intérieur de la cellule et montre les types d'Apâthy f figures). On voit dans le prolongeme
chambres d'isolement (on ne conser- vera qu'une à deux cellules du type ancien), de diminuer le nombre des serviteurs p
mentales familiales ? M. DouTREBENTE ne croit pas à l'existence de types similaires dans une même famille. Il croit que
istence de types similaires dans une même famille. Il croit que les types disparates sont au contraire la règle. M. TAG
UD trouve trop absolue l'opinion qui consiste à nier l'existence du type décrit par M. Trenel. M. Briand ne voit pas pou
s, mais il n'en a jamais observé. Il croit plutôt avec Morel que le type disparate est la règle. M. ARNAUD se demande si
ême affection chez deux ou plusieurs congénérés, à la création d'un type spécial et particulier permettant, en voyant un f
plus on y réfléchit, plus on demeure convaincu de la fréquence des types similaires dans une même génération. M. B. Sé
UD. Ce qui serait intéressant de prouver ce serait l'existence d'un type particulier permettant de faire de la maladie m
particulier permettant de faire de la maladie mentale familiale un type à part. M. Brunet croit qu'il faut d'abord défi
controuvée. L'étude des paralysies alternes fournit chaque jour des types cliniques nouveaux. M. Raymond présente à ses é
lésion. Faut-il, avec Marie et Gowers, rayer l'atrophie musculaire, type Aran. Duchenne, du cadre nosographique; faut-il
s de folie dans sa famille et pouvait être considéré comme un cas type de stupeur mentale. 11 eut plusieurs intervalles
qui ne flottent plus dans le vague mais se localisent, formant des types assez nettement définis pour être désignés du n
e présentent, d'autre part, aucun des stigmates de la neurasthénie, type Beard-Charcot. Toutefois on les rencontre aussi
dition absolue de mettre hors d'usage les chambres isolées d'ancien type . Je crois qu'il n'y a rien qui favorise si fort
e l'usage de chambres isolées (j'ai en vue les cellules de l'ancien type ) qui doit faire naître une série de mesures pos
éphalie. 3° La scaphocéphalie. 4° Les imperfections cérébrales de type « mongol », des tissus osseux, cutané, muqueux
vertex conique et occiput défectueux; signes caractéristiques de ce type . Nous ne reconnais- sons de limite définie, ni
'étroitesse du crâne, et le Dr Minchin a établi que des tètes de ce type ont été observées parmi les natu- rels de la No
La scaphocéphalie ne produit pas nécessairement l'idiotie, car ce type de crâne a été rencontré chez des sujets d'intell
particularités osseuses, nous notons presque invariablement dans ce type une anomalie du petit doigt, qui est anormaleme
festent à une époque importante du développement, nous trouvons les types d'idiotie suivants : I. Eclamptiques ; IL Epi
t de forme arrondie; mais dans l'hypertrophie, elle se rapproche du type carré ; dans l'hydrocéphalie, la distance entre
fait allusion aux caractères principaux en traitant des différents types . D'une façon générale, nous pouvons d'ailleurs
ise de l'écorce (cellules polymorphes). Par conséquent il existe un type particulier du cerveau du micro- céphale qui se
ant de la substance blanche et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce type se distingue du type ordinaire du cerveau micro
lanche et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce type se distingue du type ordinaire du cerveau microcéphalique, parce que
entre la substance grise et la blanche sont conservées. - Après ce type particulier propre à certains cerveaux de micro
ès ce type particulier propre à certains cerveaux de microcéphales, type représentant l'arrêt de développe- ment de la s
corticale diffuse de la substance grise. Mais dans ces deux cas, le type reste le même, et son caractère spécial consiste
port avec la voix et la parole. Dans l'aphasie motrice ordinaire ( type Bouillaud-Broca), la plu- part des voies d'asso
teurs purs de ceux qui sont atteints de l'aphasie motrice vulgaire ( type Bouillaud-Broca), où l'on constate la conservat
utissent. Trois groupes principaux : 1. Aphasie motrice vulgaire ( type Bouillaud-Broca). Lésion plus ou moins complète
semble de la marche se présentent sous deux formes principales : type de flexion et type d'extension. Dans les myopathi
che se présentent sous deux formes principales : type de flexion et type d'extension. Dans les myopathies, c'est le type
type de flexion et type d'extension. Dans les myopathies, c'est le type d'extension qui domine ; dans la paralysie agitan
nsion qui domine ; dans la paralysie agitante c'est au contraire le type de flexion. Séance du 3 août (matin). Présidenc
ués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont con- servé le type normal, ce qui démontre, une fois de plus, que l'
s dans un grand nombre d'autres autopsies d'origine variée, dont le type est fort différent des lésions banales que l'hy
s et impulsives qui en résul- tent peuvent être ramenées à quelques types principaux sur les- quels le médecin légiste es
tes ne répon- daient pas tous, dans sa description magistrale, à un type uni- forme. Parmi eux se trouvaient des déments
sus pathologique différent dans la moelle. 11 divise ainsi en trois types les cas de paralysie générale qui peuvent'se pr
s les cas de paralysie générale qui peuvent'se présenter. Premier type . 7'a&eMe.'réflexes rotuliens manquent ; il
'autopsie on trouve une lésion des cordons postérieurs ; Deuxième type . Paralysie avec sclérose latérale de la moelle
ose latérale de la moelle : les réflexes sont exagérés; Troisième type . Forme cérébrale : les cordons de la moelle son
rrésistible. Tout en tenant compte des variations que peut subir le type clinique (Krafft-Ebing), il importe avant tout
qui l'isolent si nettement du vice. C'est en visant spécialement ce type clinique, qu'on peut définir l'inversion génita
tre de vérifier si l'état du sujet peut être juxta- posé à l'un des types connus de perversion sexuelle ; et, si ce rap-
t pas, en effet, de constater que l'inculpé se juxtapose à l'un des types cliniques connus pour le déclarer irresponsable
s. M. Blin présente les courbes prises avec cet appareil sur divers types pathologiques ou normaux. Le placement des alié
on vésanique préexistante, étaient des psychoses aulo-toxi- ques, à type onirique. En est-il de même en ce qui concerne
ues se manifestant sous la forme de confusion mentale avec délire à type onirique ; que c'est là un argument de plus à l
isé d'une durée de quarante-huit heures. Le second cas constitue un type de confusion mentale psycbo-primitive. Les deux
ntués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont conservé le type nor- mal, ce qui démontre, une fois de plus, qu
dans un grand nombre d'autres autopsies d'origine variées, dont le type est fort différent des lésions banales que l'hy
(phénomènes tendineux, « secousses »). Les seconds (2°) ont pour type .la « secousse du genou ». On peut objecter à la
spastique avec exagération des réflexes tendineux, j'ai trouvé un ' type de flexion évident pour le réflexe plantaire. M
s lésions qui les produisent. a. L'atrophie musculaire progressive ( type Charcot-Marie). Sclérose des cordons postérieur
observation de raideur de la colonne vertébrale avec incurvation de type Bechterew. Raideur avec cyphose des régions cer
e bras fantôme; on provo- quait dans le bras disparu des douleurs à type métamérique ou radiculaire suivant le point du
32 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
chevêtrés dans toutes les directions. Les cellules appartiennent au type fusi- forme. Dans certains faisceaux elles sont
rmes de ces myopathies primitives, chaque auteur donnant son nom au type qu'il observait pour la première fois. C'est ai
qu'il observait pour la première fois. C'est ainsi qu'on a créé le type Landouzy-Déjerine, le type Zimmerlin, le type juv
emière fois. C'est ainsi qu'on a créé le type Landouzy-Déjerine, le type Zimmerlin, le type juvénile d'Erh et le type Le
ainsi qu'on a créé le type Landouzy-Déjerine, le type Zimmerlin, le type juvénile d'Erh et le type Leyden-Moebius. Mais
Landouzy-Déjerine, le type Zimmerlin, le type juvénile d'Erh et le type Leyden-Moebius. Mais on s'est aperçu que la varié
isaient défaut et que ce caractère familial était commun à tous les types . Voici un cas qui , précisément, ne correspond
mptôme peut prendre une importance parti- culière, d'où variété des types et aussi difficulté parfois du diagnos- tic. Ex
ngomyélie, mais d'une syringomyélie à forme mixte, la syringomyélie type Morvan, décrite par Charcot. La lésion doit êtr
et enfin se trouver au niveau du renflement cervical. Ce serait le type médian postérieur de la classification anatomo-
affections chirurgicales de la moelle et des nerfs comprennent des types importants. A la suite du traumatisme des nerfs
morphologique de la criminalité endogène ? Non : il n'existe pas de type criminel. Une autre question se pose maintenant
mi- nelles justiciables du Code pénal. La ruine de l'hypothèse du type anatomique du criminel ne préjuge en rien de la
ue et de l'état de mal hystérique revêtant plus particulièrement le type convulsif; puis de la chorée rythmée et des spa
ouvert le cervelet. Les anomalies des circonvolutions témoignent de types rétrocédant ou de formations atavique»; exemple
ainsi augmentée dans le sens antéro- postérieur. On a établi deux types selon que la ligne de gravité passe très en arr
le tronc est plus ou moins fortement incliné en arrière. C'est à ce type d'inclinaison en arrière que se rattache d'une
el. t L'art, a-t-on dit, peut être considéré comme le créa- teur du type hermaphrodique. » La proposition est trop absolue
teur du type hermaphrodique. » La proposition est trop absolue ; le type idéalisé par les Grecs n'est pas en contradiction
on élève Bertoye (1888), dans laquelle j'ai montré l'existence d'un type de fièvre liée au goitre exophtalmique et d'une
tude histologique. Sur une jeune fille de vingt ans, basedowienne type , mon collègue et ami, le professeur agrégé Jabo
éteur s'atrésie progressivement, le parenchyme prolifère suivant le type de la cirrhose hypertro- phique ; ici, les lymp
ues symptômes de myxoedème, peut succéder à un goitre exophtalmique type ; elles permettent aussi de comprendre l'efficac
jeune fille de treize ans et demi atteinte de rnyxoedème infantile type , très heureusement modifié par le trai- tement
epsie, loin d'être larvée, est, si l'on peut s'exprimer ainsi, un « type d'épi- lepsie psycho-motrice ? M. le Dr Pitre
ées, tranquilles, agitées, gâteuses, où se trouvent réunis tous les types de déchéance de ce e moi » qui fait à la fois not
. - Contribution a l'étude de l'atrophie musculaire progressive. - ( Type lMichenne-Aran.) Un volume in-8° de 176 pages a
èrement présenté des lésions diffuses faites exactement sur le même type . Nous nous occuperons plus particulièrement de
sait prévoir. La plaque de myélite, qui est faite exactement sur le type de la méningo-encéphalite, ressemble également
e conclusion qu'il y a une espèce de lésion diffuse qui répond à un type histologique spécial et qui possède probablemen
neurologique, 1893.) Observation d'un cas d'acromégalie conforme au type de la des- 308 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e. M. BOURNEVILLE (de Paris) fait une communication sur trois cas types d'idiotie myxoedémateuse, c'est-à-dire présentant
caractérisée par des troubles de sensibilité et des amyotrophies du type Aran-Duchenne relève de la prolifération progre
E. Il. Contribution à l'étude de l'atrophie musculaire progressive ( type Duchenne-Aran); par J.-B. Charcot. In-8° de 159
t pas une monographie 344 bibliographie. de l'atrophie musculaire type Duchenne-Aran qu'il a voulu écrire, et de ce fa
B. Charcot nous fait d'abord assister à l'évolu- tion historique du type Duchenne-Aran. On lira avec fruit ce çhapitre q
tc. Sous l'influence de ces divers travaux, l'atro- phie musculaire type Duchenne-Aran règne en maîtresse, elle régente
s'inscrit en faux contre cette conception : l'atro- phie musculaire type Duchenne-Aran ne reverra certainement plus ses
le cadre nosographique, soit que l'atrophie évolue chroniquement ( type Duchenne-Aran vrai), soit qu'elle marche avec plu
ntée par M. J.-B. Charcot aura été fructueuse, car non seulement le type Duchenne-Aran va se trouver ^restauré, mais enc
parition des cellules, c'est que non seulement on l'observe dans le type Duchenne-Aran, mais encore toutes les fois qu'i
lument rien de leur valeur .démonstrative pour la réhabilitation du type Duchenne-Aran; ces lésions sont consécutives à
ement M. J.-B. Charcot a démontré, d'une façon irréfragable, que le type Duchenne-Aran ne devait pas être rayé du cadre
un pieux 346 varia. devoir. La question de l'atrophie musculaire, type Duchenne-Aran, était une de celles que son illu
, que juge en ce moment la cour d'assises de la Seine, n'est pas un type banal. Il a été, de 1877 à 1881, infirmier dans
UARCOT. Contribution à l'étude de l'atrophie musculaire progressive type Duchenne-Aran ? AI"ILENOfF. Alauifestations ocu
ANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE. 373 Scherbitz réalise à nos yeux, le type de l'établissement d'alié- nés moderne : c'est
eu aucune nouvelle attaque. II. Observation d'épilepsie procursive type à propos de laquelle l'auteur, P. Hoisholt, rap
ontribution A la CONNAISSANCE plU COMPLEXUS symptomatique 13ULBIRE. Type Erb Goldflam; par Fr. PINELES. (Iah1'bÜchel' fier
e ceux que l'on rencontre dans la couche des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de la couche nucléaire. Cellules
, exemple les cellules de la substance gélatineuse de Rolando : : Type a. Couche de Rolando. Cellules du ganglion de l
tituante colorée de la cellule est disposée en réseau («pxuç). 1. Type enarkyochrome ; 2. Type ampharkyochrome; 3. T
lule est disposée en réseau («pxuç). 1. Type enarkyochrome ; 2. Type ampharkyochrome; 3. Type des cellules olfactive
au («pxuç). 1. Type enarkyochrome ; 2. Type ampharkyochrome; 3. Type des cellules olfactives. : j3. Sléchochromes. L
de la cel- lule a la forme de raies ayant 'la même direction. 1. Type des cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des
la même direction. 1. Type des cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des grandes cellules de la corne d'Ammon ; 3. T
otrices ; . 2. Type des grandes cellules de la corne d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ; i. Type des cellules
lules de la corne d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ; i. Type des cellules nerveuses spinales. (. Arl¡yostich
e des cellules nerveuses spinales. (. Arl¡yostichoch1'omes. Un seul type , celles de Purkinje. , Gl' ! Joclt1'01nes, La p
e sont pas toutes construites sur le même plan : il y a de nombreux types de cellules nerveuses, bien caractérisés au poi
hullze sur la structure de la cellule nerveuse et de l'existence de types variés d'éléments nerveux. L'ab- sence de conna
x est cause de notre ignorance touchant les fonctions de tel ou tel type de cellules nerveuses. Dans toute la série des
chaque territoire du système nerveux renferme des cellules du même type . Si donc on arrive à connaître SOCIÉTÉS SAVANTE
territoires, on saura par là même quelles sont les fonctions de tel type de cellules. Le rapport qui existe entre la str
éléments des ganglions spinaux. Les cellules nerveuses d'un même type , par exemple les cellules motrices, peuvent se
hromophilie. On rencontre des cellules chromophiles dans les divers types de cellules. Elles se distinguent par leur appa
L'auteur insiste sur la nécessité de fixer d'une façon précise les types nor- maux- des différents éléments nerveux (Aeq
éléments scandinaves et germains, c'est-à-dire les représentants du type blond du nord, qui ont la plus grande tendance
16 SOCIÉTÉS SAVANTES. les Ibères, les Ligures, les représentants du type brun de l'Alle- magne du Sud, sont plus sujets
.). Contribution ci l'élude de l'atrophie musculaire prollressiue. ( Type 1W chenne-Aran.) - Un volume in-8° de 176 pages
comment a-t-on procédé pour Ville-Evrard ? On a imaginé un quartier type de cinquante malades et ayant trouvé qu'il réal
a pas de mesure; il avoue néanmoins qu'au point de vue clinique les types de M. Magnan diffèrent nettement des autres typ
vue clinique les types de M. Magnan diffèrent nettement des autres types d'aliénation et qu'ils méritent d'être conservé
es de la sensibilité, par Brissaud, 68. - musculaire progressive, type Aran- Duchenne, par ,T.-B. Clarcot, 313. - ar
33 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
de llEIHOE.\1\IJT (Neurologisches Cenlmlblat 1892), peut servir de type . Il s'agit d'un cas de paralysie bilatérale du ty
peut servir de type. Il s'agit d'un cas de paralysie bilatérale du type Duchenne Erb, chez une femme sur laquelle on pr
Y Iconographie de la ScalpoLrière (1), M. Paul Richer a rapproché le type Hermaphrodite immortalisé par l'art grec de la
dans les chefs-d'oeuvre de l'art, sans représenter cependant aucun type existant dans la nature ». Sans doute, ajoute-t
dans l'antiquité. Mais personne ne peulpenser sérieu- sement qu'un type aussi rare et aussi anormal ait jamais fourni des
« Il est évident que l'art peut être considéré comme le créateur du type hermaphrodite » (2). , Cette'affirmation est
p absolue. En tous cas, Winckelmann va trop loin en disant que « le type idéalisé par les Grecs est en contradic- tion a
s, et aucun d'eux ne pourrait se targuer d'avoir servi de modèle au type si gracieux et si harmonieux de l'Hermaphrodite
ent sous le ciseau d'un sculpteur de génie. Pareillement, naquit le type androgyne d'un corps humain que la nature mit u
extrémités. La forme en est infan- tile, mais se rapproche aussi du type féminin. - t Observation Il. Un Italien, Angelo
répartie suivant un triangle cur- viligne, bombé, constant dans le type féminin. 1 Les cuisses, chargées de graisse à l
aisse dans les régions .lombaire, fessière et abdominale suivant le type féminin. La face n'a pas cette rondeur pouponne
d'elles n'est l'expression (l'une vérité mor- phologique : c'est le type idéal. DEUX CAS D HERMAPHRODISME ANTIQUE ' 63
. real., t. 2, ser. 4, pl. 60. Clarac, ho46, D. pl. 660). Un second type , qu'on pourrait appeler type naturel, comprend de
. Clarac, ho46, D. pl. 660). Un second type, qu'on pourrait appeler type naturel, comprend des images qui sont la reprod
Ri- cher a fait une excellente critique est un bel exemple de ce type na- turel. Plusieurs figurines en terre cui
ade. Je veux parler de la forme d'amyotrophie connue sous le nom de type Charcot-Marie. A un moment donné, nous pouvons
scles innervés par le crural restent indemnes. Donc, dans les cas types , la paralysie motrice est incomplète aux mem- b
ecourrez, avec plus ou moins de suc- cès, aux analgésiants, dont le type est l'antipyrine, sans vous faire d'illu- sion
entrer. Ajoutons que nous allons nous trouver en présence d'un des types les plus nets de ces « hystéries locales » si b
ard, entrée dans le service du Dr Whyte, le 29 juillet 1834, est un type du genre. Whyte attribua le gonflement douloureux
n de la névrose (1). Le sein hystérique, comme l'arthralgie, est un type de ces hystéries lo- cales si bien décrites par
tes se contractent simultanément, c'est le cas le plus habituel, le type normal ; 2° Un seul des muscles se contracte, l
l-rruplires, qui ont été si accentuées sur notre malade. UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE v IIYI'OGLOSSE gauche ET m
avail de la Clinique médicale de Genève. Prof. LLON REVILLIOn). Les types d'hémiplégie alterne connus et admis jusqu'ici so
s types d'hémiplégie alterne connus et admis jusqu'ici sont : 1° le type 1411llard-Gul)ler intéressant le facial d'un côté
r intéressant le facial d'un côté, les membres de l'au- tre : 2° le type connu depuis Charcot sous le nom de syndrome de W
mps que le bras et la jambe du côté droit. Ce serait donc encore un type d'hémiplégie alterne, type nou- veau, car nous
du côté droit. Ce serait donc encore un type d'hémiplégie alterne, type nou- veau, car nous n'avons pu trouver son pare
dies de l'r.rzcr'phale. Traduit par I\él'a\'al, 18S3. UN NOUVEAU ^ TYPE D HÉMIPLÉGIE ALTERNE 179 être compris dans les
nt difficilement appréciables. Notre cas représente au contraire un type d'hémiplégie alterne dans toute sa pureté. L'as
alpêtrièrr, 1891, p. 3.'iS. Souques, Un cas d'hémiplégie al- terne ( type ))inard-Gn]))cr) compliqué de strabisme hilatéral
d'autres points de l'appareil cérébro-spinal, faisait de ce cas un type parfaitement pur d'hémiplégie alterne. Quant à la
OGn : 1>1 LA SI\l..Pi''TUIi'A¡i : T. VIII PL XXV 11 I UN NOUVEAU TYPE D'HEMIPLÉGIE ALTERNE. (Hypoglosse gauche et mem
ll'¡ ? og"II,¡'i,/lIr ) L BATTAILLE E'I C" FDITFI1R5 UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE 181 côté. La moitié gauche
ar contre être plus mince que le cordou cor- Fig. 1,8. UN NOUVEAU TYPE D'nEIIIPLÉGIE ALTERNE 183 respondant gauche, ma
(1) Ce nerf a été examiné par le Dr Tilger. Fin. 49 UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE 185 ment reconnaître à l'o
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT1UÈRE figuration de démoniaque selon le type classique, il m'a paru que Le Con- vive indigne
able qui contri- bue à élargir le contour de ces régions suivant un type facile à reconnaî- tre. Ici, il n'en est rien e
t de discerner, au point de vue morphologique, un certain nombre de types entre lesquels on peut répartir les modalités si
e imaginaire, comme le Sganarelle ignorant et prétentieux, sont des types éternels de la comédie humaine : ils ont été, s
isies allégoriques ou burlesques, il est fréquent de rencontrer des types pris sur nature qui sont la copie exacte de mal
péré se retrouve dans la plupart des scènes de chirurgie : c'est un type pris sur nature qui ne pouvait échapper à l'obser
la plupart étaient des hystériques en proie, soit à des attaques du type ordinaire, soit à des manifestations choréiformes
l'on voit à côté de la maigreur squelettique la plus réaliste, des types d'obésité pris sur nature et traités avec des d
lle femme paralysée de tout un côté du corps. Ils représentent deux types d'hémiplégiques très bien obser- vés : hémiplég
uence surviendra une hémiplégie droite, une hémiplégie vulgaire, de type cérébral, avec participation par suite du facial
caricaturale, on peut affirmer que P. Bruegel a pris sur le vif les types qu'il a reproduits. On s'en rend compte aisémen
difformités naturelles ? Dans chaque tableau reparaissent les mêmes types de rustres au crâne volumi- neux, au nez, au me
es d'humeur et de verve. Nul, mieux que lui, n'a su personnifier le type du Sganarelle. Fréquemment, Jan Steen s'est com
de vue de l'étude de la syphilis médullaire, car elle représente un type extrême de la série, variée à l'infini, des for
arkinson. Dans la série des représentations figurées des principaux types de pa- thologie nerveuse que l'un de nous a ent
ous les cas de paralysie agitante ; mais elle reste vraie pour le type dit de flexion, qui est de beaucoup le plus fré
malades rend suffisamment compte de la difficulté (1) P. Richer, Un type de paralysie agitante, Nouv. lconogr.de la SalpGt
pas seulement applicables à la malade que nous avons choisie comme type de la maladie de Parkinson. Nous avons eu l'occ
ône terminal, par F. Raymond, 149. Hémiplégie alterne (Un nouveau type ), par ANNA GOUKOVSKY, 178. Hermaphrodisme ant
Fournier. Automatisme ambulatoire,349. GOUKOWSKY (A.).Un nouveau type d'hémi- plégie alterne, 178. Joffroy (A.).Par
utanée d'origine hystérique, XLVI. Hémiplégie alterne (Un nouveau type ), XXVIIl, Hermaphrodisme antique, X, XI, XII
34 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
. C'est que le cas de cette malade s'écarte, en certains points, du type classique sous lequel nous nous représentons vo
a sensibilité ; nous pouvons éliminer, dis-je,Patrophie musculaire du type Aran-Duchenne, la pachyméningite, les types d'a
,Patrophie musculaire du type Aran-Duchenne, la pachyméningite, les types d'atrophie musculaire pro- gressive myopathique
lièrement du genou gauche. Il existerait encore quelques douleurs à type fulgurant. La région cubitale n'est plus douloure
nt par crises et surtout au moment des époques. Quelques douleurs à type fulgurant existeraient dans la ré- gion occipit
hénomènes V... lésa a présen- tés. Elle a eu de plus des douleurs à type fulgurant dans la zone occipitale. Si chez elle
pas douteux, comme l'ont du Garrot, Charroi, et Paul Richer, que le type si fréquemment répété du Pygmée ait éli- inspiré
s peintures pompéiennes (2) sont pour la plupart des répétitions du type connu ; on retrouve chez ces nains légendaires, l
ntés sur les peintures mu- rales de Pompéi rappellent assez bien le type naturel du Féminisme. Le mé- lange des formes q
, ? -, , . Il est inutile de revenu- ici su- ''interprétation de ce type de morpho- logie hybride do""vIa.. nature prése
gtaine. Eux aussi, d'ailleurs, sont loin de présenter l'intérêt des types repro- duits par la statuaire antique. Dans l
rée. Les lésions de leptoméningite sont consti- tuées ici dans leur type le plus parfait et nos différentes coupes nous on
ltration nucléaire; en revan- che l'endartérite s'épanouit dans son type le plus complet : la lumière du vaisseau est to
s, en effet, dans les altérations des méninges et des vaisseaux, le type le plus parfait des lésions syphili- tiques.
moelle, le déve- loppement de la lésion s'est continué sur le même type , atteignant son maximum au niveau de la substan
. Cette association répond, physiologiquement et anatomiquement, au type connu sous le nom de syndrome de l3rozvfa-Serzsar
u courant de la discussion nous dispensera de chercher à établir un type clinique des manifestations que nous venons d'é
r un type clinique des manifestations que nous venons d'étudier. Ce type serait d'ailleurs difficile à décrire vu la mul
sés quatre masca- rons grimaçants qui paraissent se rapporter à des types d'aliénés. La figure de la femme est particuliè
em- brassant pas toute l'épaisseur de la dent qui tend à revêtir le type dit d'Hut- chinson. Incisive latérale gauche tr
e. Les troubles de la locomotion sont très accentués. S.présente le type de la marche dite spasmodique. Il s'avance à l'
ers son observation dans les cas de méningo-myélite syphilitique du type Charcot-Erb (1). Mais nous ne pou= vons, on le
tôle. Pour Friedmann ces 2 cas, nous l'avons dit, se rapprochent du type de paraplégie spasmodique décrit par Erb dans l
qu'il se pose est que cette paraplégie semble toujours revêtir ' le type continu tandis que/ dans ses observations, l'affe
termina des phénomènes se rapprochant 'de la paraplégie spasmodique type d'Erb) il exista également, il pJusieurs' re- p
pathologiques. Pour notre part, nous dirions volontiers qu'entre le type de paralysie spasmodique décrit par Erb et les fa
e que la syphilis héréditaire tardive peut, elle aussi, réaliser le type auquel Erb a attaché son nom et que nous avons po
est encore exclusivement médullaire et l'affection revêt en outre un type ' clinique qu'il n'est pas souvent donné d'obse
lle lombo-sacrée. Dans ces cas de syphilis précoce ou tardive les types cliniques devien- nent beaucoup plus variés que
insister. Il nous semble plus intéressant de schématiser les divers types de défor- mation susceptibles d'être rencontrés
les divers types de défor- mation susceptibles d'être rencontrés : types qui peuvent, bien entendu, s'accumuler ou se co
anomalies corporelles, n'ont pas en général pour but de figurer des types pathologiques définis. Aussi, leurs oeuvres, do
ligne de compte l'extrême variété des formes pathologiques. Les cas types , exactement superposables à ceux que décri- ven
rder les faits observés dans la nature avec leur conception du nain type . Or, ce dernier n'esl qu'un idéal : l'être minusc
contrefaits, à grosses tètes, à jambes cagneuses, construits sur le type des nains que l'on rencontre encore aujourd'hui d
une place à part parmi les nains, mais ne cherchons pas chez eux le type du nain que nous essayons de définir. N'espérons
n a existé, paraît-il, quelques-uns. , On accoutume de citer, comme type de nain accompli, le célèbre Jo- (1) E. Ganwn,
leur travail quelques-uns même de leurs rentes appartiennent à ce type morphologique composite et atténué. Du rachitis
aujourd'hui, la scrofule, on reconnaît un faciès assez spécial. Le type du scrofuleux qu'on a cherché à décrire autrefois
st habillée, j'af- firme qu'elle peut passer pour un des plus beaux types de nanisme et d'obésité combinés. Pour en fin
muscles donnant au nain l'apparence d'un Hercule en miniature. Ce type herculéen est bien visible sur les petites figuri
tortues' z suivant la description qu'en donne W. Burger (1), est le type de ces êtres contrefaits que les Hollandais et
leurs pieds démesurés,sont comme des ébauches d'acromégaliques. Ce type répété à profusion correspond peut-être à une c
achitique fréquent.chez lèsnains. Bien Plus caractéristique 'est le type du second nain, âgé de'22 ans. Chez lui, bien q
ités égyptiennes étaient traditionnellement reproduites suivant .un type de difformité consacré par la religion, les deux
du musée de Bruxelles (n° 714) s'en rap- proche beaucoup. Il , Le type caricatural de Polichinelle, tel qu'il est reprod
es conrulsires, si fréquentes chez Geneviève, appartiennent bien au type classique des attaques de grande hystérie. Elles
pemphigus, dit Gilles de la Tourelle, peut être considéré comme le type de l'élément éruptif de la névrose ». Les obs
e syndrome anatomo-clinique de pathologie ordinaire corres- pond un type congénital : la maladie de Little est le type sys
naire corres- pond un type congénital : la maladie de Little est le type systématique congénital qui correspond au tabes
dée en coup d'ongle à son bord libre, et pour- rait faire penser au type Ilutchinson. La langue est peu mobile, retenue
hauteur de l'axe spinal, les ganglions correspondent exactement au type normal que nous avons décrit. La seule lésion
in, 1888, t. XIV, rase. IV, p. 399) a publié un bien bel exemple du type chiropodal, consécutif à un empoisonnement arseni
ominer aux extrémi- tés, ou même se limiter aux mains et aux pieds ( type chiropodal) . Dans les deux cas elle peut envah
aotezcrs, qui comprennent, indépendamment de l'atrophie musculaire ( type Aran-Duchenne), des éruptions phlycténoïde, des p
'enfant est mort. ' C'est une des moelles que nous avons prise pour type de notre description de la moelle normale, abst
ine ? Il semble qu'elle se perde dans la plus haute antiquité. « Ce type ridicule a traversé toutes les phases de la civ
ossu (dorsennus), et avait les allures d'un croquemitaine. Un autre type lIfanduccùs était figuré avec une bouche' immense
35 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue l'on ne trouve nulle part, au contraire, c'est la description de types cliniques superposables aux variétés anatomique
tés anatomiques. Pour beaucoup d'auteurs même, la création de ces types cliniques serait impossible : chacun des symptôme
ais qui ne sont pas assez importants pour ustifier la création d'un type clinique. ' Knapp (de Kew-York). Arch. of isc.
yramide droite et les sixième et septième paires du même côté. Le type cérébral de la paralysie faciale gauche dans notr
, toutes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au type moteur ont dégénéré, ainsi que les cellules lat
ires dans leurs caractères essen tiels ». M. Marinesco prend pour type la cellule nerveuse de la corne antérieure, qui
ations s'appliquent à la dégénérescence rétro- grade. Tandis que le type des lésions secondaires est unique, celui des l
ou encore elle peut être diffuse partielle ou générale. Ces divers types de chromatolyse, qui ne sont peut-être pas les
es dénominations proposées par celui-ci ne sauraient constituer des types puisqu'entre elles on trouve toules les transi-
t aux yeux. L'auteur fournit en terminant une troisième observation type d'absence des muscles de la poitrine unilatéral
sme et la des- truction du mobilier. Enfin, ce système simplifie le type de l'asile, en rendant superflues toutes les in
Uthoff en a cité des cas. § 12. Evolution. Nous n'établirons pas de types cliniques : ce serait faire l'histoire des tume
ce entre les deux membres inférieurs ; la marche se fait bien, sans type particulier, n'est plus du tout ébrieuse. La st
te pénurie de documents, étant donné que nous voulions apporter des types purs, sans mélange de lésions diverses, et avec
rson- nelle. On nous objectera sans doute que très rares sont les types aussi nettement différenciés que ceux que nous pr
moins très utile, et qu'elle doit nécessairement précéder celle des types plus complexes résultant de l'association de lé
ue, une pseudo-paralysie générale saturnine, etc., etc., faisant du type classique, ou donné comme tel, la soi-disant pa
-paralysie géné- rale ? Pourquoi est-ce celle-là qui doit servir de type plutôt que la pseudo-paralysie générale alcooli
crois que l'on a fait fausse route. Les descriptions classiques du type « paralysie générale » n'impliqueraient-clles p
cherché sérieusement la cause ou les causes de ces déviations du type principal que l'on s'est tracé, les rapports des
s, comme dans ces cas il y avait eu possibilité de rapprochement du type que l'on s'était donné comme classique, on a te
-paralysies générales. La paralysie générale conservée encore comme type et à laquelle la plupart des maîtres de nos jou
re une pseudo-paralysie générale syphili- tique et de laisser comme type classique une forme condui- sant progressivemen
n'est pas très logique de prendre LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 133 pour type des états paralytiformes indûment baptisés de la
ussi discutable et aussi obscure, et pour montrer que ce soi-disant type de paralysie générale pourrait aussi bien, sino
nne la soi-disant paralysie générale proprement dite, décrite comme type . Et nous sommes amené, par suite, à considérer
écrite comme type. Et nous sommes amené, par suite, à considérer ce type comme la résultante d'une association d'intoxic
ez la femme ? Enfin, je le répète, les des- criptions classiques du type paralysie générale ne sont-elles pas la synthès
n'est pas moins vrai que dans la vieillesse se présentent d'autres types mentaux dignes de considération tant au point d
t de vue symptomatologique. L'atrophie cérébrale chronique est le type le plus important à considérer : elle est le pl
issante de la paralysie générale indique une modifica- tion dans le type de l'aliénation mentale, un retour régressif à
ne atténuation de ses opinions premières, ce qui n'em- pêche que le type criminel de Lombroso ne soit la réunion d'attri-
e de signes de dégénérescence par rapport aux gens normaux. Mais le type criminel n'a été constaté par beaucoup d'observ
avec les faux dégénérés. Ce en quoi Bleuler a raison, c'est que le type criminel de Lombroso est, quant aux ano- malies
mbroso est, quant aux ano- malies somatiques, aussi peu délimité du type normal que l'état de maladie est séparé de l'ét
la dépravation morale sans autre anomalie notable. Nous manquons de type intellec- tuel et d'une méthode uniforme d'exam
t plutôt masculine. Son bassin est élargi et se rapproche encore du type féminin, de même que le diamètre bi-acromial n'
oser que les organes génitaux internes se rapprochent chez lui du type féminin et qu'il possède des ovaires à la place d
ividu pouvait avoir des organes génitaux internes se rapprochant du type féminin et posséder même des ovaires en remplac
e achromatique 111, Marinesco croit pouvoir admettre au moins trois types de cel- lules dans les ganglions spinaux : Le
trois types de cel- lules dans les ganglions spinaux : Le premier type comprend surtout de grosses cellules ; la subs-
et englobant des corpuscules chromatiques polygonaux. Le deuxième type est formé de petites cellules avec trabécules ach
issl). Eléments chro- matophiles de petit volume. Dans le troisième type la substance achromatique organisée se présente
s troubles du rythme respiratoire persistèrent. D'abord analogue au type de Cheyne Stokes, le trouble du rythme respirat
ues. A l'appui l'auteur cite des cas répondant clinique- ment à des types des lésions fonctionnelles, hystérie entre autres
ë dorso- lombaire. Cliniquement, cette affection s'est écartée du type du genre décrit par Raymond en 1875, par les po
oteur oculaire commun, du facial et de l'hypoglosse. Etant donné le type très variable des altérations des cellules des
nul- lement signe d'une affection mortelle. On peut établir trois types principaux de paralysies récurren- tielles : 1°
démarche est plutôt titubante. Ces cas correspondent assez bien au type de la maladie familiale : similitude des symptô
des études ». Il proteste contre l'hypothèse de l'exis- tence de « types criminels », d'hommes criminels se distinguant
erses formes de syphilis cérébrale dont l'au- teur décrit les trois types suivants : la méningite syphilitique de la conv
remière atteinte qui avait guéri. F. B. XLV. Paralysie brachiale DU TYPE D'ERB, chez un enfant DE SEPT ANS. (A case of E
z un enfant DE SEPT ANS. (A case of ErL's I)g2-alysies. Upper. AI·m type . In a chilti of seveia years) ; par Wharton SIN
ralysie brachiale radiculaire et une forme d'atrophie musculaire du type juvénile d'Erb, il s'agit d'un enfant de sept a
festations hypnotiques par la dérivation de ces pouvoirs de quelque type inférieur l'avait com- battue par les lois même
ne entité morbide, mais comme un syndrome délirant, comprenant deux types distincts : 1° le délire prophétique vésanique
vropathes, le plus fréquent comme aussi le plus typique. Ce dernier type de délire peut se manifester soit épicléntiquer
ets dont le délire systé- matisé secondaire de possession paraît le type . Aux formes frustes et à l'état faible correspo
t des ganglions de ces êtres vivants, quoiqu'appartenant surtout au type unipolaire, ne laissent pas de présenter des ce
ation (Se/tOeHe; ! ), et si ces éléments sont construits d'après le type régulier, les collatérales de leur pro- longeme
ique, la couche moléculaire du cerveau (cellules de Cajal). Mais le type propre de l'unité nerveuse , c'est le prolongem
ans la plupart des cellules, dans toutes les cellules centrales, ce type simple se complique : la cellule nerveuse pousse
et jeune. Il distingue dans ces cellules dont il énumère plusieurs types , deux éléments : la substance fondamentale, fai
leuses, à contours nets, de 60 à 80 p., différant com- plètement du type général des cellules nerveuses centrales, puisq
oloration, par celle de Nissl, permettra-t-elle de les rattacher au type structural des prolongements nerveux. Sur un au
Von Lenhossék suppose donc que la cause véritable, déterminante, du type des dendrites serait celle-ci. Du fait de l'exu
et les troubles sensitivo- moteurs consécutifs. Il en déduit quatre types . Premier type : .' Paralysie motrice limitée au
sensitivo- moteurs consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier type : .' Paralysie motrice limitée au membre inféri
de la lésion : au dessous de la neuvième vertèbre dorsale. Second type : Paralysie motrice et troubles sensitifs remonta
qui correspond aux vertèbres moyennes et supérieures. -Troisième type : Les membres supérieurs et le thorax participent
ullaire siège au dessus de la sixième vertèbre cervicale. Quatrième type : Les troubles sen- sitivo-moteurs envahissent
la moelle, soit d'une lésion diffuse d'une méningo-myélite, dont le type est la méningo-myélite syphilitique. Nous élimi
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 479 on peut distinguer des types de mélancolie vraie, essentielle, ayant des car
ions corticales. On connaît des épilepsies réflexes par- tielles, à type brachial, d'origine oculaire, auriculaire. Bouche
yez, 235. ascendante aiguë par Ilirtz et Lesné, 237. brachiale du type Erb, par Sin- kler, 318. - lystérique du giand
36 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
les os, le thorax surtout et le bassin pré- sentent à cet égard le type de la maigreur absolue : les clavicules et les cô
pathologiques. Mais dans quelle classe ? Et d'abord, quels sont les types connus et différenciés de sommeil pathologique ?
t les faits connus jusqu'à présent on peut arri- ver, je pense, aux types suivants : I Narcolepsie ; II sommeil hystérique
vers. Je n'ai pas besoin de définir pour le moment les six premiers types ; quant au dernier - sommeils di- vers - j'y co
duc de Sylvius (noyaux des 3e et 4° paires) et la substance du même type de la base du 3e ventricule. Or noire tumeur av
rompu que par les provocations venant de l'extérieur. C'est donc un type de sommeil d'une durée considérable. Le Dr Stal
re . Examen du squelette après macération dans l'eau. Arthropathies types des LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE
endue des lésions osseuses. ' On constate d'abord des arthropathies types des articulations coxo-fémora- les. Le bassin
urs. Examen du squelette après macération dans l'eau. Arthropathies types des articulations coxo-fémorcafes. Coccyx sai
nt été dépouillés des parties molles. On trouve des arthropathies types des articulations coxo-fémorales. Le bassin pré
ule. Examen du squelette après macération dans l'eau. Arthropathies types des arti- culations de la hanche droite et du g
elle ressentit brusquement une forte douleur dans la jambe droite à type fulgurant, s'accompagnant de faiblesse dans tout
eurs d'altérations multiples. - Il existe d'abord des arthropathies types de la hanche droite et du genou gau- che. ' L
part les faces articulaires usées obliquement, on peut dire que le type est nettement hypertrophique. Le gros fait anat
bre radiographique. Toutes nos ostéo-arthropathies ressortissent au type hypertrophique ou au type mixte, à la fois atro
nos ostéo-arthropathies ressortissent au type hypertrophique ou au type mixte, à la fois atrophique et hypertrophique. El
pouvons assister à xm il 166 R. CESTAN l'évolution de plusieurs types de polynévrite. Fordyce, Rodet, Spillmann et Et
par le malade de Midleton, chez lequel la maladie a évolué sous le type du pseudo-tabes avec parésie et troubles de la
e de M. Debove (publié dans la thèse de Retins) peut passer pour un type . Il existe actuellement dans la littérature méd
er, etc.). Mais, dans ce cas, la maladie diffère le plus souvent du type classique, c'est-à-dire de celui qui s'observe
il le croit atteint d'une « hypertrophie ganglionnaire généralisée du type lym- phadénome » avec développement lipomateux
es de son mal : à cette époque, en effet, il fut pris de douleurs à type fulgurant, siégeant dans les pieds et les jambes,
des eaux de Lamalou. Son état n'en fut pas amélioré. Les douleurs à type fulgurant avaient disparu depuis quelque temps :
référence dans le membre inférieur droit. Des douleurs constantes à type ardent se montrent des chevilles aux mollets : el
eux fermés ou il reculons. Le malade ressent encore des douleurs il type fulgurant qui sillonnent les membres et le tron
s ignorés jusque-là, ce qui permit, non seulement de fixer certains types définis de cellules, mais aussi de reconnaître
ro et d'autres auteurs, ont groupé les cellules nerveuses en divers types caractérisés précisément par la quantité plus o
ur substance chromatique rappelant avec une exactitude parfaite des types bien définis de cellules des ganglions cérébro-sp
Si l'on examine un ganglion normal, on y trouve toute une série de types cellulaires, comme les recherches de Lugaro, de V
e de blocs volumineux qu'elles ressemblent d'une façon frappante au type foncé de Lugaro. Selon la définition de Nissl,
avons trouvé à peu près cons- tamment, dans les grosses cellules du type moteur de la formation réticu- lée du bulbe et
ale jusqu'à la phase ultime de la réaction. Nous avons d'abord un type assez peu répandu formant le premier stade de la
ellulaire sans aucun ordre au lieu d'être ordonnés selon les divers types connus. Ils remplissent complètement la cellule
usé. Après une série de transitions insensibles, nous atteignons un type mieux caractérisé. Nous trouvons comme tout à
é dans environ trois cents mensurations les rapports suivants comme types habituels : 4/3, 3/2, 4/2, 5/3, 5/2. On voit
ébelleuse. L'atrophie cérébelleuse est une affection assez rare, le type anatomo- clinique que nous venons de rapporter
ur ne pas envisager ces deux observations comme appartenant au même type anatomo-clinique : dans les deux cas la maladie
ippel et Durante était venue confirmer les résultats précédents, le type édifié par Marie sur ces observations et sur cell
rose en plaques peut affecter plusieurs aspects; il en existe trois types principaux : le type (t) Dejerine et Thomas, El
affecter plusieurs aspects; il en existe trois types principaux : le type (t) Dejerine et Thomas, Elude clinique et anato
ie, 1SU9. ' 1111 366 J. DEJERINE ET A. THOMAS spasmodique, le type cérébelleux, le type spasmo-cérébelleux ; ajouton
366 J. DEJERINE ET A. THOMAS spasmodique, le type cérébelleux, le type spasmo-cérébelleux ; ajoutons à cela que le nys
ué. La lésion pouvait entraîner avec elle l'aphasie. l'épilepsie du type facial, les monoplégies faciales et linguales,
GES GASNE. Le malade dont je rapporte ici l'observation présente un type clinique qui me paraît unique jusqu'à présent d
ons noté la circonférence de ces doigts boudinés et le médius comme type nous donne sept centimètres et demi de tour au
.1LYlaItIl.Afi ' T. XIII. PI. LIX . D A B c INFANTILISME DU TYPE LORAIN (E. Ilerloghe.) LE MYXOEDÈME FRANC ET,
e bénigne chroniqve ou myxoe- dète frusle (1), j'ai montré quelques types d'hypothyroïdie franche chez des enfants. J'ai
. On peut trouver sous le même toit des enfants obèses, des enfants types Lorain et,même des sujets complètement crétinis
nt plats et fétides. Cet enfant présente d'une manière frappante le type crétin et le type grêle entremêlés très intimemen
s. Cet enfant présente d'une manière frappante le type crétin et le type grêle entremêlés très intimement. Le cuir cheve
DE la SALP1.TILILfiL -T. XIII. PI. LX H I K L INFANTILISME TYPE LORAIN ET PELADE GÉNÉRALISÉE SOUMIS AU TRAITEME
ie qui en sera la démonstration évidente, Nous présentons encore un type d'infantilisme Lorain (PI. LX et LXI). Il estbo
La séparation arbitraire établie dès le principe entre les différents types d'atrophie musculaire essentielle, n'a pu subsi
erte de formes de Iransitions. Actuellement ce n'est plus entre les types de Leyden-Moebius et de Duchenne, d'Ërb et de L
myélie et même de l'atrophie mus- culaire progressive myélopathique type Aran-Duchenne. Il est aisé d'écar- ler le diagn
myopalhie primitive progressa, puisque l'ancienne classification en types bien distincts a disparu devant le nombre des f
s prononcées, ni troubles vaso-moteurs très accentués comme dans le type Charcot-Marie. Ni début, ni évolution cliniqne
harcot-Marie. Ni début, ni évolution cliniqne semblables il ceux du type péronier de Tooth, ou des trois cas de Bosc.
r les extrémités des membres et marche vers la racine comme dans le type névritique do De,jerineet Sottas. (1) .T. Fu3He
s compensée par une lordose sus ou sous-jacente. En second lieu, le type d'intervention des courbures normales parait êt
lique toujours alors cette dernière. Décrire par conséquent un seul type clinique de compensation vertébrale des lésions
grandis. Le bassin tend vers la forme en éteignoir. Ce sont là deux types schématiques, pour ainsi dire, que l'observation
nvers les Pédicures. Je ne connais qu'un tableau qui corresponde au type classique. Je l'ai vu au musée de Rennes. Est-i
que, coûte que coûte, il emportera le morceau. C'est d'ailleurs le type ordinaire des barbiers-chirurgiens de village,
carons grotesques de la cathédrale de lieims, j'ai noté plusieurs types qui peuvent avoir été inspi- rés par des diffor
e : ses gros- ses lèvres et son nez épaté rappellent davantage le type nègre. La ligure ü, intéressante par sa langue
e et avec un noyau disposé excentriquement, nous fait douter que ce type de lésion des cellules puisse être envisagé seu
distinguer, à côté de l'ostéoal'thropathie tabétique classique, un type anatomique un peu diffé- rent, non dans sa natu
ophique et la forme hypertrophique : elles réalisent ainsi les deux types anatomo-pathologiques décrits par Charcot dans to
rmes et de di- mensions essentiellement variables. Ce sont ces deux types que nous allons décrire. Le processus atrophiqu
parition des segments osseux atrophiés. Les caractères de ce second type seront par conséquent plus saillants dans les ver
rticulaires de siège variable, mais de même nature : ar- tropathies types des articulations coxo-fémorales, du genou, de l'
d'excitation sensitive existe seule, l'arthropathie réalisée est du type atrophique, mais si, avec cette insuffisance, il
E rares autopsies mises à notre disposition nous ont révélé ce seul type de lésions vertébrales. Mais ce serait encore u
tération possible et qu'il entraine comme conséquence nécessaire le type hypertrophique. Ce dernier peut exister primiti
e nous l'avons vu déjà pour celles de l'expé- rience précédente, le type foncé de Lugaro que Van (Tehuchten (1) et Nelis
OMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 529 Ces cellules représentent nettement le type des cellules foncées de Lugaro. D'autres élémen
est impossible, les caractères tracés ne correspondent à aucun des types connus par impossibilité de tenir un porte- plu
Philad., t. LXXVI, p. 102-106. 1897. PiTREs ? emt)srte gauche .du type capsulaire. Société de méd. et chir. de Bordeau
- mutilation de la cellule. La chromatolyse peut présenter tous les types connus, mais je préfère étudier toutes ces lési
èce du mi- crobe. C'est ainsi que j'ai pu réaliser presque tous les types anatomo-cli- niques de la myélite transverse ju
ujours avec le même mi- crobe, j'ai réalisé de la myélite diffuse à type ascendant, telle que'je l'ai vue dans les cas é
-ce qu'une écriture en miroir ? C'est celle qui pour reproduire les types qu'on envisage doit être regardée par réflexion d
soin 43 observa- tions d'ophtalmoplégies congénitales répondant au type que nous avons en vue. Le sexe masculin est att
que s'éloigne l'époque où elle sortit du chaos, on voit, autour du type primitif aux grandes lignes sim- plifiées, se m
allons trouver dans l'oeuvre bruyante de JANSïEEK (1626- 1679) les types charlatanesques qui se sont perpétués jusqu'à nou
an Victoor, Andries Booth nous en ont déjà fait connaître plusieurs types . Les Dentistes en plein vent sont toujours bien
37 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nomie et'le peu de pensée' qui "lui- reste. Dès 'lors;1 il' végète, type de'fai- 'iiéantise et de -satisfaction que 'rie
s trente-deux ans, la maladie reparut de nouveau, pour re- vètir le type intermittent. Les crises duraient d'abord quelque
n totalit6<en filauliIhis 'êXlrê'mcriieIiL' ¡)i.ihêés'(pl : c11r type ) ; .. "'111')('1 - 92° Pardcs cellules gànglioÜ
à11e'r s'unituaux faisebauxrde' l'côurolin'c.srâybnuarilc'(tléuXiém type ); 1) lJo ! 3°<par : des cyiihdrax6s ? app'ar
de la couronne rayonnante* et les cellules ganglionnaires du second type . Cette disposition se re- trouve chez tous les
"'¡'tf" '11 q. ? i ? '¡, J " t 1"I,f" ! ? l' 'Il ? , C ? '¡I ? IFn, types , fondamentaux^ : 4°, étal cataleptique; ' 2° état
la chancellerie. Le mémoire adressé en triple expédition propose le type adopté par la Société, conformément aux conclu-
ial entre la corne d'Ammon et le système vasculaire. L'hystérie, ce type de perturbation vasculaire, est le 148 SOCIÉTÉS
pant accélère, la mort pâ lamoelle allongée. -L'autopsie décèle un. type d'injection vas- culaire des,veinesl et, des ar
i impriment à ces prétendus arrêts de développe- ment spontanés, un type particulier ; suivant ce type, telles ou telles
rêts de développe- ment spontanés, un type particulier ; suivant ce type , telles ou telles régions sont plus ou moins ré
le qui s'en dégage ? DU DELIRE DANS LA VESANIE. 1 ii / Les divers types de vésauiques que nous avons suc- cessivement a
en matière aussi délicate que la matière morbide, il n'est point de type qu'on puisse dire absolument immuable : tant d'
s fort dissemblables, elles qui pourtant se rapportent chacune à un type bien défini ? Que deviendrait la nosologie, si
a voulu faire en aliénation mentale ? Le 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. type supérieur est donc là, comme un index : il faut
ve pourra distinguer toujours, parmi ses variations secondaires, le type caractéristique que nous avons voulu décrire; n
r- toutdans les deux membresinférieurs. Auxdouleurs fulgurantes à type lancinant, se joignirent bientôt des crises de vo
quelques mois, de douleurs 182 PATHOLOGIE NERVEUSE. fulgurantes à type lancinant; mais il éprouve très souvent des dou
nerveuses atrophiées etprésentant les apparences décrites dans le type 5. A côté de ces fibres très nombreuses, on aperç
à peine, si de loin à loin on rencontre une fibre altérée selon le type : 3. On n'en rencontre pas une seule avec les a
ntre pas une seule avec les apparences de la fragmentation en bloc ( type 1) ou en boules (type 2), on n'en trouve aucune
c les apparences de la fragmentation en bloc (type 1) ou en boules ( type 2), on n'en trouve aucune atteinte d'atrophie a
n'en trouve aucune atteinte d'atrophie avec granulations ambrées ( type 4). Des altérations identiques dans leur nature
ibres saines, à côté de faisceaux de fibres tout à fait atrophiées ( type 5). Les branches palmaires qui donnent naissance
presque uniquement composés par des fibres totalement atrophiées ( type 5). Les fibres ayant conservé leur gaine myéliniq
es. On voit aussi de loin en loin des fibres fragmentées en boules ( type 2), ou variqueuses avec goutte- lettes graisseu
en boules (type 2), ou variqueuses avec goutte- lettes graisseuses ( type 3). Aucune ne renferme de granula- tions ambrée
graisseuses (type 3). Aucune ne renferme de granula- tions ambrées ( type 4). En revanche, à côté des fibres com- plèteme
n trouve de loin en loin quelques faisceaux de fibres atrophiées ( type 5) ou des petits groupes constitués par quatre ou
oupes constitués par quatre ou cinq fibres fragmentées variqueuses ( type 3). Les nerfs collatéraux du deuxième orteil so
roit, la plupart des fibres sont atrophiées avec aspect conjonctif ( type 5). Dans le tibial postérieur, au contraire, la
on y rencontre à peine de loin en loin quelques fibres atrophiées ( type 5), ou fragmentées en boule (type 2), mais les
loin quelques fibres atrophiées (type 5), ou fragmentées en boule ( type 2), mais les fibres malades sont en infime minori
rveuses totalement atrophiées ne présentant plus traces de myéline ( type 5); c'est à peine si, dans chaque préparation,
at de gaines vides et présentent l'aspect de fibres conjonctives ( type 5). La peau de la fesse étant innervée principa
nombre de fibres avec des fragmenta- tions en blocs de la myéline ( type 1). Mais les tubes normaux sont en majorité. Le
gauche. Toutes les fibres de ces nerfs sont fragmentées en boules ( type 2). 3° Branches du î)zzisetilo-rulaî2é et du sa
es ne sont représentées que par des gaines vides colorées en jaune ( type 5), les autres contiennent encore quelques gran
entation de la myéline en fines granulations avec état variqueux ( type 3). 4° Tronc du sciatique poplité externe gauch
que les précédentes. L'altération principale y est figurée par les types 2 et 3 qui paraissent exister en égale proporti
xister en égale proportion et à côté desquels on rencontre aussi le type 1 et quelquefois le type 4. 5° Tronc du sciat
n et à côté desquels on rencontre aussi le type 1 et quelquefois le type 4. 5° Tronc du sciatique gauche. -Dans les nomb
nifeste et présentent leur myéline fragmentée en blocs irréguliers ( type 1). 8° Nerfs du membre inférieur droits Les ner
s il côté de fibres où l'altération dominante est figurée par les types 1, et 3. De même, le tronc du sciatique poplité
les; quelques- unes seulement présentent la fragmentation en blocs ( type 1). Dans les racines postérieures beaucoup de f
aines. Plus de la moitié de leurs fibres sont fragmentées en blocs ( type 2), ou en boules (type 3), ou complètement atro
é de leurs fibres sont fragmentées en blocs (type 2), ou en boules ( type 3), ou complètement atrophiées (type 5). Les
blocs (type 2), ou en boules (type 3), ou complètement atrophiées ( type 5). Les filets cutanés recueillis au voisinage
et là on découvre quelques très rares fibres fragmentées en boules ( type 2). Dans les racines postérieures, presque tout
postérieures, presque toutes les fibres sont fragmentées en boules ( type ). Réflexions. Si l'on veut bien négliger les d
oiters, indiquée par lui dans son ouvrage classique en prenant pour type les grandes cellules pyramidales de cette régio
Nous avons constaté deux principaux procédés qui déterminent deux types de langage. Quelques enfants s'arrêtent à l'étu
- bique semble courante et facile, tandis que la parole du second type paraît embrouillée, confuse. Or, en réalité, au
de mots d'enfants. Si maintenant nous mettons en regard les deux types de développement du langage (syllabique et phon
init par faire élection de quelques sons auxquels il se fixe. Ces types de sons déterminés sont admis par tous les au-
unracilé, très marquée chez Gr... D'ailleurs, cet enfant étant un type parfait 'de, mérycole, on trouve, nettement indiq
'espèce, (la tempéra- ture du matin est supérieure à celle du soir ( type inverse) mais ceci ne se remarque que lorsque l
le; à la période de calme ou d'épuisement une nouvelle hypothermie. Type inverse à la période de complet développement d
rrégularités thermiques irrégu- lières, inconstantes, dépourvues de type .-Les conditions de la vie des psychopathes étan
de l'analogie de ces symp- tômes avec ceux de la paralysie générale type , on ne pourrait pas supposer dans ce cas et sou
est paraly- tique ou on ne l'est pas. Il y a une paralysie générale type autour de laquelle viennent se grouper une foul
, un délire par hallucinations. 11. Le second groupe renferme les types morbides dans lesquels ce sont les conceptions
suivantes : phase rls-spuéidue· caractérisée par un rythme spécial ( type Kussmaul et Kien). - Phase abdominale qui vient
Kussmaul et Kien). - Phase abdominale qui vient présenter les trois types suivants : péritonitiques, gastriques et cholér
38 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
iption des mouvements. - Les mouvements peuvent être ramenés à deux types , suivant qu'ils sont plus ou moins généralisés.
pes, suivant qu'ils sont plus ou moins généralisés. Dans un premier type , le plus fréquent et le plus complet, ils occu-
gauche entre en branle, souvent il reste en repos. Dans le second type , les mouvements sont limités au bras gauche, qu
tionnée, on compte dans une minute six à sept mouvements du premier type et deux à trois du second. Il en est de même avec
ues, ondulées si on peut dire, par conséquent placées à l'opposé du type convulsif; le défaut de coordination est tiré d
en moins accusées. Aussi, à ce point de vue, la malade s'éloigne du type décrit ont amené les paralysies, tant du côté p
t flasque et se révélait seulement pendant la démarche qui avait le type de la démarche décrite par Tood; au contraire le
ade, pendant une longue période de sa maladie, aurait représenté un type parfait de névrose traumatique pour les défense
me de la pupille, exophtalmie énorme, cris, convulsions toniques du type ordinaire répétées. Mort. Autopsie. Congestion
avec l'accroissement de la tumeur, les convul- sions avaient pritle type de l'épilepsie vraie. Enfin, insensiblement, s'
(nitrate d'argent) permet en outre de for- muler ce qui suit sur le type des cellules et la direction de leurs prolongem
t des cellules du noyau externe appartiennent au pre- mier des deux types de Golgi. Les prolongements qu'elles émettent,
influence d'un courant d'air), légère de gravité moyenne, ou grave ( types Erb). Ils se décomposent comme suit : 10 : aucu
dividuelle, arrivent à un véritable délire de négation différant du type de Cotard. Dans ces cas, tantôt l'on a affaire
sculaires, surtout de l'atrophie musculaire progressive neurotique ( type péronéal). Discussion : M. le Dr ROSSOLIMO rapp
hez des hystériques, des modifications stables de la sensibilité, à type syringomyélique. Les auteurs français ont mis e
l'affection désignée sous le nom d'amyotrophie spinale progressive type Duchenne- Ar&n (poliomyélite antérieure chr
ement soit la sclérose latérale amyotrophique, soit la paralysie du type Duchenne-Aran. Cette question du diagnostic dif
e (de Boulogne), a pu les réunir sous une même rubrique. Les deux types que je vous ai présentés dans notre dernière ré
l'un à la sclérose latérale amyotrophique, l'autre à l'atrophie du type Duchenne-Aran, ont pour caractères communs une
urs, tout à fait semblable, vous le comprenez, soit à l'atrophie du type Aran-Duchenne, soit à la sclérose latérale, si
HOLOGIE NERVEUSE SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE DU TYPE LANDOUZY-DÉJERINE, AVEC AUTOPSIE; Par PAUL BLOC
n une myo- pathie primitive, fondèrent réellement l'autonomie de ce type , auquel, du reste, leurs noms sont restés attac
blissement général de l'économie. L'Observation CCLXXVI en est un type très instructif et très suggestif à ce point de'
ans hypéracousie, dans les cas où le vertige est bien évidemment du type dit de Ménière. La malade n° 286 est un cas de
périeure et donner une signification au terme éducation. Lorsque le type physique de l'idée est une fois ébauché, il devie
(Neurolog. Centralbl., 1892.) L'auteur tendrait à admettre comme type l'existence d'une sclé- rose latérale (paralysi
NERVEUSE. paralysie spasmodique peut-elle être considérée comme un type symptomatique concret. C'est à voir. D'après l'
La folie' morale était fré- quente. Quelques-unes appartenaient au type criminel pur. L'hé- rédité n'existait que chez
folie systématique avec hallucinations; l'auteur y fait rentrer le type de Meynert (désordre aigu dans les idées avec h
e par un arrêt de développement. Les cerveaux appartiennent tous au type humain, variant suivant, la période de la vie e
erveux, en n'entrant, bien en- tendu, dans les détails que pour les types principaux. A cet égard, il divise d'abord la m
marche bilatérale, rectiligne, non spasmodique peut affecter trois types . Le type paraplétique (chorée molle, polynévrites
latérale, rectiligne, non spasmodique peut affecter trois types. Le type paraplétique (chorée molle, polynévrites, myéli
type paraplétique (chorée molle, polynévrites, myélite diffuse); le type de flexion ou du stepper (pseudo-tabes, myopath
e); le type de flexion ou du stepper (pseudo-tabes, myopathies); le type ataxique (ataxie locomotrice). - La marche bila
t d'un spasme tonique ou clonique. La variété tonique revêt trois types : paralytique, myotonique (maladie de Thomsen), e
ie de Thomsen), et parkin- sonnien. La variété clonique revêt trois types également : saltatoire, choréique et orthétosiq
e elle s'observe dans la sclérose en plaques. Mais ces différents types peuvent se combiner dans une certaine mesure, e
lle de la paralysie générale est titubante et paralytique, etc. Les types cliniques de la démarche étant ainsi connus, M. B
Et afin de spécifier un peu plus, nous pouvons rapprocher ce cas du type Leydea-illcebiics- à cause de l'hérédité d'abor
érations successives et conserver à peu près la même forme, le même type . Nous trouvons encore là une preuve de la prédi
conçoit fort bien pourquoi il est légitime de considérer les divers types 1 HaUion.J ? oct</Ke primitive avec lésions
me du groupe moyen, suivant la classification de Dutil ou au second type .de Charcot. Mais un caractère tout à fait sing
squelles du reste n'étaient pas fréquentes et ne présentaient aucun type régulier ; ils interrompaient comme une phase l
une série de travaux publiés de 1880 à 1888 que Cotard à décrit un type de mélancolie anxieuse dans lequel, aux symptômes
tes : le délire des négations systématisé, à évolution progressive ( type Cotard), plus REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ON
urs français, en particulier par Delasiauve, dans la création de ce type mental, l'auteur donne une esquisse précise de
ature de la lésion, on est amené à lui attribuer le même siège; les types cliniques varient suivant les familles observée
formes mentales. Tout le monde est d'accord pour admettre une manie type , franche, essentielle, véritable entité morbide
assez conformes, ni assez égaux en durée et en intensité pour qu'un type même descriptif puisse les comprendre tous 3. »
qui va se passer. On a beaucoup discuté pour savoir s'il y avait un type général d'attaque hystérique, il est du moins i
al d'attaque hystérique, il est du moins incontestable qu'il y a un type individuel et que chaque malade conserve le sie
plète. Un grand nombre d'accidents hystériques se rattachent à ce type de l'hémisomnambulisme comme les attaques se ra
ce type de l'hémisomnambulisme comme les attaques se rattachent au type du somnambulisme. Nous avons été forcé de recon
(The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Ce cas s'écarte du type ordinaire en ce que l'habitude de la cocaïne n'
du petit hypno- tisme de Nancy. Il est probable aussi que chez des types différents de personnes, par suite de dispositi
e Verrùcktheit. SCHULLG, d'autre part, sous ce nom désigne un autre type morbide. Enfin, plus tard SANDER a lui-même avo
ptômes qui a causé la variété des dénominations et la pluralité des types pris à tort pour autant de maladies distinctes;
(conscience), de Du- ! chenne, par Pick, 115. Myopathie primitive, type Landouzy Dejerine, par Blocq et Marinesco, 18
39 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en est difficile et mérite de nous arrêter. Quoiqu'il s'agisse d'un type bien différent, je vous demanderai la permissio
ant notre habitude, du simple au composé. Cette malade reproduit le type , aujourd'hui bien connu, d'une affection curieu
, mais avec une fréquence variable et peuvent être ramenées à trois types ou variétés, que la malade présente sans altern
onstitués par des dépla- cements anormaux et involontaires à quatre types . Je les divise d'abord en deux classes : 1° les
uvements anormaux en quatre catégories : z11, tremblement au repos ( type paralysie agi- tante); - 2° tremblement dans le
ie agi- tante); - 2° tremblement dans les mouvements volontaires ( type sclérose en plaques) ; ;- 3° contractions anormal
ose en plaques) ; ;- 3° contractions anormales dans les mouvements ( type ataxie locomotrice) ; - 4° contractions anormal
s (type ataxie locomotrice) ; - 4° contractions anormales au repos ( type chorées). Si on adopte un pareil classement, bi
facilement que le symptôme de notre malade rentre dans le quatrième type : c'est une chorée. Il ne s'agit pas, en effe
VEUSE. marche par exemple ; par conséquent il n'appartient pas au type ataxie. C'est donc un symptôme du type chorée. Su
quent il n'appartient pas au type ataxie. C'est donc un symptôme du type chorée. Sur ce point, pas d'hésitation. Mais,
chorée de Sydenham. Notre malade n'appartient évidemment pas à ce type . Il suffit pour s'en convaincre de rappeler cet
ymptôme est absolument brusque, subite et unique. 11 y a bien trois types différents de mouvements, mais chacun d'eux est
arition de ces formes diverses ne se sont faites rapidement. Chaque type a duré longtemps, restant fidèle à lui-même pen
ls. Les mouvements anormaux de notre malade rentrent bien dans ce type : ils représentent parfaitement des actes coordon
s convulsifs; mais dans d'autres cas, dont notre observation est un type , ces tics légers peuvent être sous la dépendanc
e entière à chercher un air de musique qui les a frappées. . , Un type très fréquent d'obsession pénible consiste dans u
e (délire à évolution progressive régulière ; délire de persécution type Lasègue-Foville) et le délire alcoolique. Exemp
territoire est affecté. G. D. II. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE A TYPE ARAN-DuCHENNE ; par M. le Dr AUDRT. (Lyon méd.,
ple (de Friedreich) ; par SCHULTZE (Neurol. Centralbl., 1886.) Ce type a été décrit par Seeligmuller dans la Deutsche me
vec les autres. I. Mélancolie et folie systématique. A côté des cas types , il existe une folie systématique mélancolique
s des orteils, a apparu il y a trois mois. ' Il existe une réaction type de dégénérescence avec diminution de l'excitabi
pidations alcoolique et hydrargyrique constituent les prince paux types , etc. -, La première maladie dont il faille dis
. Nous venons de comparer le tremblement de notre malade aux deux types de tremblement dans le cadre desquels rentrent
rive à peu près toujours, en effet, à rapporter un tremblement au type de la paralysie agitante ou à celui de la scléros
ci, les deux maladies doivent être mises hors de question. A quel type exceptionnel avons-nous affaire ? Analysons un
le décubitus le fait disparaître. Il faudrait donc, entre les deux types de tremblement auxquels je faisais allusion tou
exagérant en aucune façon par les mouvements constitue un troisième type dont notre cas démontre la réalité clinique.
réalité clinique. Cette variété séméiologique pourrait être appelée type du tremblement sénile ; elle rentre, en effet,
logies cli- niques et distinguer, comme je l'ai fait plus haut : le type de la paralysie agitante, le type'de la scléros
ype de la paralysie agitante, le type'de la sclérose en plaques, le type du -tremblement sénile. Nous aurions'affaire da
oupe musculaire ayant la même innervation, tantôt elles prennent le type hémi- plégique ou monoplégique. La paraplégie e
che et s'observent à tous les âges. Tan- tôt, elles représentent le type classique de l'hémi- plégie par lésion cérébral
paralysies déterminées par l'oxyde de carbone reproduisent tous les types . A côté de l'hémiplégie et même des paralysies
t le passage de l'idée à l'acte se fait d'une façon automatique. Le type de cet état spécial nous est fourni par la péri
NHARDT. (Central, f. Nervenh., 1886.) Voici la symptomatologie du type que l'auteur présente comme nouveau; elle est b
uis, pause complète de plusieurs années. Puis, réapparition du même type , avec augmentation de l'intensité et atteinte,
té de dis- position d'un même système anatomique, en prenant pour type l'unité qui s'éloigne ou semble s'éloigner le p
ts de nos expériences faites sur des malades appartenant aux divers types pathologiques. Nous verrons ainsi s'il y a lieu
des coniitions pathologiques, en tant qu'il s'agit bien entendu du type ci-dessus décrit pour l'oeil normal. La courbe
praticable, - conditions réalisées dans nos tableaux par les grands types de 10 centimètres, qui sont aisément lisibles à
t hystériques, phénomènes d'inconscience et d'au- tomatisme dont le type se trouve dans l'écriture spirite auto- matique
nt la locomotion, et c'est ainsi que l'acte de la marche réalise le type parfait de ce qu'on appelle les actions automat
re par M. Charcot en ce qui concerne le langage et les différents types sensoriels. Or voici quelques faits qui prouvent
ffres. D'ailleurs, cette malade parait devoir surtout appartenir au type visuel : la plupart de ses acquisitions antérie
peut répondre par des spasmes toniques, puis cloniques du véritable type épileptique. Ces convulsions tendent à s'étendr
s artères cérébrales, au moins les corticales, appartiennent non au type terminal, mais au type anaslomotique. Le systèm
u moins les corticales, appartiennent non au type terminal, mais au type anaslomotique. Le système artériel de la pie-mè
oppement DES RÉGIONS FRON- tales DU cerveau, avec recherches SUR LE TYPE DES CIRCONVOLU- TIONS DU LOBE occipital DES mam
ifs, chez 40 hommes et 25 fem- mes atteints de lésions et de divers types d'aliénation mentale, ainsi que l'âge de ces ma
iquer trois ou quatre sphères supplémentaires représentant d'autres types on obtient une gamme très étendue. Afin d'évite
nations qui engendrent des idées délirantes et consécutive- ment un type de folie systématique. P. K. XLIX. De l'atténua
on caractère où la nature le lui fournit et qu'elle s'occupe non de types abstraits, artificiels, mais d'individus malades;
IE psychique; par GERSTACÉER. (Allg. Zeitschr. f. Psych. XLV, 4.) Type de dégénéré (enfant gâté ayant un buveur pour pèr
par KIRN. (Centralbl. f. Nei-venheilk., 1889.) Il n'existe pas de type criminel anthropologique, mais les éta- blissem
feu, environ 1200 malades y étaient enfermés, représentant tous les types des maladies mentales, maniaques, monomaniaques
40 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
zarre, un toqué ; c'est,en tout cas,dans la catégorie faubourienne,un type parisien assez réussi, et qui mérite à tous égard
degré dans la paralysie alcoolique qui peut être considérée comme un type du genre, et qui, du reste, est celle que nous de
ormale, si vous voulez, de la paralysie infantile considérée dans son type vulgaire, j'en ai dit assez, je pense, pour que n
que même, et peut-être surtout en pathologie nerveuse, les espèces ou types morbides, offrent, dans la combinaison de leurs c
ant l'auditoire. — La démarche, remarquez-le bien, ne répond pas au type classique ; la malade ne progresse pas en lançant
et profonde caractéristiques en pareil cas, de façon à reproduire le type univoque des paralysies hystéro-psychiques. Pou
e vertige est le plus intense : tout cela, je le répète appartient au type . Bien qu'elles y soient exceptionnelles, et qu'
ntribue à le caractériser. Ainsi, chez notre homme, qui représente le type à cet égard, ce tremblement donne de huit à neuf
de tremblement mercuriel, puis chez notre homme,qui représente ici le type parfait du tremblement de la maladie de Basedow :
ement il aurait appris à connaître les dégradations que peut subir le type clinique qu'il a découvert,et il se serait placé
ocomotrice et de la sclérose en plaques par exemple, où l'on a vu les types primitivement créés, s'effacer en quelque sorte d
cit ne sont autres que des attaques hystériques: elles répondent à un type particulier dont vous trouverez la descriptions d
s les attaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces. Le type d'attaque dont il est ici question et que nous av
cercle. J'ai vu ce genre d'attaque se produire plus souvent que le type classique dans les cas observés par moi, où les t
s diversités d'origine, malgré ces différences relatives au sujet, le type morbide, à part quelques modifications d'ordre se
urel ne peut pas être considéré encore, à l'heure qu'il est, cmome un type parfaitement étudié et pouvant servir de paradigm
» tabétiques et avoir appris à les considérer non seulement dans leur type vulgaire, classique, mais encore dans les formes
ice de M. Barth, suppléé par M. Raynaud. dant en d'autres termes au type prédominant, et permettant de séparer clinique-me
s crises considérées en elles-mêmes lorsqu'elle se montrent dans leur type de parfait développement, à les faire reconnaître
rendre à dépister ces formes frustes, défigurées et à les ramener aux types d'où elles dérivent.'Les crises gastriques tabéti
e cas la crise gastrique conserve tous les caractères fondamentaux du type ; elle s'écarte de celui-ci seulement par l'in
lieu d'être de trois, quatre, cinq jours comme dans les conditions du type , s'allonge extraordinairement de 1. Maladies du
ssible ; de plus, les crises, chez notre homme, s'éloignent encore du type par la présence fréquente clans les matières rend
puisque, au milieu de tant d'anomalies, les caractères essentiels du type , peuvent être cependant facilement retrouvés ; el
e-là, pas plus qu'ailleurs du reste, des formes absolument pures, des types parfaits. C'était, je crois, en 1877. 11 s'agis
l y a à considérer un certain nombre de groupes répondant à autant de types symptomatiques distincts les uns des autres. a.
groupe, je proposerai d'adopter la dénomination oVabasie choréiforme ( type de flexion). c. Enfin je désignerai sous le nom
tre publié par M. le professeur Grasset, peuvent être cités comme des types du genre. Je ne prétends pas, remarquez-le bien
justement, celui que nous avons sous les yeux peut être cité comme un type du genre. Il est certain, ainsi que cela résulte
ment, ou en d'autres termes n'est suivie, contrairement à la règle du type , ni de la phase « des grands mouvements » ni de c
inguer dans ce groupe, comprend les cas qui répondent cliniquement au type décrit parCruveilhieretsurtout Duchenne, de Boulo
au type décrit parCruveilhieretsurtout Duchenne, de Boulogne et Aran ( type Duchenne-Aran) ; ils sont caractérisés anatomique
, substance blanche et substance grise. J'ai proposé d'appliquer à ce type d'amyotrophie spinalela qualification de protopat
hypertrophique,la sclérosetabétique des faisceaux postérieurs, divers types de myélite centrale spontanée ou traumatique, l'h
bien comme formes cliniques intéressantes à considérer séparément, le type juvénile d'Erb et le type Duchenne-Landouzy-Déjér
s intéressantes à considérer séparément, le type juvénile d'Erb et le type Duchenne-Landouzy-Déjérine. La dénomination d'amy
préservés, de manière à figurer ce qu'on appelle en myopathologie le Type scapulo-humeral, conduirait à la rattacher au gro
conduirait à la rattacher au groupe des myopathies primitives, où ce type est en quelque sorte classique. Mais en examinant
cles de la face ; tandis que, comme on sait, chez les myopathiques du type Lan-douzy-Déjerine une atrophie de certains muscl
muscles des épaules et des bras, et elle s'y montre à un haut degré : type scapulo-huméral. Il est à remarquer que les sus,
ableau symptomatique répond à ce que j'ai proposé d'appeler du nom de type Aran-Duchenne : marche lente de l'amyotrophie pro
ée sur les épaules et les bras, tandis que dans les cas classiques du type Duchenne-Aran, c'est généralement par les muscles
une anomalie d'ordre secondaire ; et d'ailleurs, s'il est vrai que le type scapulo-huméral appartienne à la caractéristique
érieurs pris les premiers. Conformément à ce qui est la règle dans le type Aran-Duchenne, les muscles des éminences thénar e
. Là l'amyotrophie progressive répond, ainsi que nous l'avons dit, au type Duchenne-Aran, et suppose, par conséquent, une lé
n lente et marquée parfois par des temps de répit, qui caractérise le type Duchenne-Aran. Certes il n'en serait pas de même
agit là d'une forme légère — observée chez notre homme, appartient au type que nous venons de décrire. Elle s'y rapporte en
s-je, à considérer un certain nombre de groupes répondant à autant de types sympto-matiques, distincts les uns des autres.
-rouges » comme on dit dans le métier; Arnal et Alcide ïouzé sont les types dont il essaie de se rapprocher. Il n'a jamais pu
os de l'observation de Ro... ^16 leçon) que nous considérons comme un type parfait dans l'espèce. Seulement, chez G...t, con
ncontrer des difficultés sérieuses ; ils n'ignorent pas qu'à côté des types , faciles à déterminer, il y a toujours à compter
côté et de l'autre par celle de l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et de la scélérose latérale amyotro
ntérieurement connue sous le nom d'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran : ils ne valent, en somme, que par
présente avec les apparences de l'amyotrophie spinale progressive du type Duchenne-Aran, débutant suivant la règle par les
n'appartiennent pas cependant, essentiellement, à la constitution du type nosogra-phique. Il y a, sous ce rapport, plusieur
asionné la terminaison fatale. L'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, la sclérose latérale amyotrophique
Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l'atrophie musculaire du type Àran-Duchenne des cas où seule la syringomyélie é
, 108 Fig, 1Q9 Sensibilité à la douleur. Analgésie généralisée. type Aran-Duchenne ; l'absence d'une exagération des r
vés chez notre malade. On voit qu'ils se rapportent de tous points au type syringo-myélie. Les quelques détails complémentai
là soit d'une forme anomale de l'atrophie musculaire progressive, du type Aran-Duchenne, soit, mieux encore, d'une myélite
re absolue. Si, en effet, sur ces 17 cas, il en est 11 qui offrent le type anesthésique vulgaire, il en est 6 où les divers
tact et à la douleur, mais qui ont perdu la sensibilité thermique.^Ce type a été parfaitement décrit par M. le professeur Pi
as, la dissociation répond exactement, comme vous pouvez en juger, au type syringomyélique ; c'est-à-dire que seule la sensi
ondément obnubilées. Sur ces quatre cas, deux fois la dissociation du type syringomyélique a été obtenue, les sujets étant h
nt le champ neuropathologique, nous ne devrons jamais oublier que les types les plus divers d'affections organiques cérébrale
. — Etiolo-gie, 414. — Réactions électriques, 415. — Symptômes, 415. — Type sca-pulo-huméral, 414. Myosis. — Dans la scléro
41 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
tant de grands hommes. J'ai donc eu la pensée d'ajouter à l'étude du type humain celle d'un type inférieur, mais matérielle
J'ai donc eu la pensée d'ajouter à l'étude du type humain celle d'un type inférieur, mais matériellement analogue, celui de
tème nerveux central dans un animal vertébré (1). Nous prendrons pour type un segment de la queue d'un crocodilien quelconqu
ux supérieur. Nous sommes conduits, en conséquence, à considérer le type du système nerveux {les animaux articulés comme m
le type du système nerveux {les animaux articulés comme modelé sur le type de la chaîne du sympathique des animaux vertébrés
nerveux inférieur en suivra la distribution, et sera absorbé dans son type . De là cette modification des pièces sternales qu
u cérébral, nous décrirons en premier lieu cette face en prenant pour type de notre description une préparation dans laquell
paration facile à réaliser que je prie le lecteur de prendre ici pour type , sans se préoccuper des autres parties que nous l
singes) et à l'homme, et, par conséquent, il caractérise fort bien le type d'organisation de ces êtres. Toutefois, il ne peu
que celui d'Afrique. Ainsi dans les réalisations les plus élevées du type des mammifères, on voit singulièrement décroître
Y Homme, dans YOrang, dans le Chimpanzé, dans Y Éléphant (1). Dans le type des primates leur grandeur est un signe d'abaisse
i dire, et s'en tenir à l'étude des groupes naturels considérés comme types d'organisation distincts, sans essayer, entre des
ctuelles, d'un individu, mais l'on néglige les qualités virtuelles du type . On considère tel noir, on le compare à tel blanc
ans les singes, que la nature du sujet nous oblige à prendre ici pour type , un sillon ou plutôt une scissure verticale profo
et les cynocéphales. Si dans les guenons, que nous prenons ici pour type , on détache, par une section habilement ménagée,
igence, on peut expérimentalement proposer le cerveau humain comme le type de la perfection la plus élevée (1). (1) Cette
d'après quel indice, de considérer en toutes choses l'homme comme le type de la perfection. C'est là ce qu'il qualifie de p
de telles ressemblances, qu'en suivant pas à pas les métamorphoses du type , on arrive à le retrouver aisément sous des disse
fois, à côté des modifications, qui changent la forme sans altérer le type , existent des différences réelles dont il faut te
développement des hémisphères du cerveau, quel que soit d'ailleurs le type de son organisation, se correspondent réciproquem
Papion (Cynocéphalus sphynx). J'ai cru utile d'ajouter l'étude de ce type à celle que Reil, Burdach et Arnold ont faite du
t dans son bord supérieur. Dans les singes, quo nous prenons ici pour type , ce système d'irradiations est, comme celui des i
uteur moderne a cru pouvoir l'affirmer, il demeurerait certain que le type de leur arrangement suit une loi spéciale. Ce typ
ait certain que le type de leur arrangement suit une loi spéciale. Ce type est un pour chaque grand genre. Il est le même da
é et dans le Myopi-thèque. N'y a-t-il pas dans cette invariabilité du type dans tous les animaux d'un même genre, un fait du
uire. Un grand développement du lobe olfactif est le caractère d'un type inférieur. L'Éléphant lui-même, malgré le grand d
es. Anal, et Phys. du système nerveux. Paris, 1S42, t. II, page 21. type élevé. Ce cerveau, si remarquable par sa grandeur
sus des formes inférieures. C'est là, si je puis m'exprimer ainsi, un type enrichi. Ce n'est point un type noble. Je n'ins
t là, si je puis m'exprimer ainsi, un type enrichi. Ce n'est point un type noble. Je n'insisterai pas davantage sur ces fa
il peut être considéré sous le point de vue des attributs généraux du type auquel il appartient, abstraction faite des carac
vement les analogies primordiales, s'élever à la conception idéale du Type des vertébrés et chercher, indépendamment des idé
ifférences, car toute espèce est distincte dans l'unité collective du type , et si chacune d'elles relève des lois universell
dans son ensemble. Ces comparaisons, en laissant subsister l'unité du type , feront apparaître, entre l'homme et. les animaux
devrait point les pousser au delà de la circonscription naturelle des types ; — c'est beaucoup rabattre sans doute des préten
la série des singes, en supposant par une abstraction permise, que le type se développe comme un individu, les vermis préexi
e est caché. Dans la petite négresse microcéphale de M. Baillarger le type , réduit à un degré de développement inférieur, av
s que présentent ces animaux en voie de développement. Prenons pour type du développement de l'encéphale d'un mammifère mo
en que fort petit encore, est construit suivant les conditions de son type futur et porte dans toutes ses parties des sillon
roit qu'a l'intelligence de s'élever de degrés en degrés à l'idée des Types en zoologie? Disons-le sans hésiter, sans ces abs
aire. Si je puis considérer la Vénus Hotlenlotc comme représentant le type normal de sa race, je serais porté à supposer que
endre ni du climat, ni des habitudes des peuples. Elles sont liées au type même de la race, dans une union indissoluble. Cho
erlorio Americano, janvier 1827. verez dans chacune de ces races un type spécial que tous les individus reproduisent dans
ère précis, rien n'est plus malaisé au contraire que de déterminer le type normal de la forme des peuples capables de civili
blanche, soit à la mongolique. En conséquence, pour trouver enfin ce type avec plus de certitude, est-il nécessaire de choi
ppocrate (1). Ainsi, de nos jours, la race mongolique offrc-t-elle un type plus facile à définir que la race blanche, et dan
, page G9. C'est cependant de ces races privilégiées surtout que le type intéresse. Nulle étude n'est plus difficile. D'ai
aériennes séparées l'une de l'autre par une l'loison médiane. Le même type se retrouve, dans l'elhmoïde, seulement les deux
t. Ainsi se produisent ces proportions élégantes qui caractérisent le type grec ancien. Chez l'homme blanc le peu de saillie
tifiée par l'examen des réalisations les plus dépourvues de beauté du type blanc. J'ai entre les mains plusieurs crânes pris
nt qu'on circonscrit ses recherches dans les limites rigoureuses d'un type naturel. Comparez les blancs aux blancs, les nègr
ne à la crânioscopie comparée, elles pèchent par la base ; car si les types diffèrent essentiellement, il doit y avoir autant
ent, il doit y avoir autant de crânioscopies différentes qu'il y a de types distincts. Or que penser de la crânioscopie des o
urs caractères, peut-être conviendrait-il de rechercher avant tout le type de la beauté qui leur est propre. Cette étude con
aux bêtes les moins parfaites, dans l'âme desquelles sont gravées des types d'actions nécessaires, qui semblent enfermées dan
us grand nombre de fins et chez lesquels existe un nombre indéfini de types originaux, il faut bien, dit-il, leur accorder qu
riginaux, il faut bien, dit-il, leur accorder quelque pouvoir sur ces types et reconnaître que leur âme a été douée de telle
nt de critérium certain pour juger du plus ou moins de perfection des types dans l'échelle animale. Un corps entièrement mou,
chercherait la loi naturelle des bonnes manières, en choisissant pour types les attitudes et les expressions naturelles qui r
tite eu égard au volume du corps. Ceci explique comment, dans un même type , les plus grands animaux ayant absolument un plus
s choses que l'anatomie actuelle découvre, l'homme appartient au même type que les singes; mais il n'en faudrait pas conclur
du cerveau du chimpanzé ou de l'orang, devrait amener entre les deux types une sorte d'équivalence. Or, il n'en est rien. Le
e, 17 novembre 1855. t'ois il n'y a aucune déviation monstrueuse du type cérébral, en sont la preuve. L'intelligence est f
42 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tre alcoolique,' et le délire" 'alcoolique' étant' précisément tiej type des délires toxi- qu'es ? Mais" Id pliysionimie
janvier189, n f 73 ) si,l : -a ? *' L'observation rapportée est un type de la maladie' de Marie avec photographie démon
en est le sujet est un homme de soixante-huit ans, il s'éloigne du type commun par plusieurs points, les os du visage,
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXV. Deux cas de myopathie progressive du TYPE Landouzy- DLrenrrr$; par M. Guinon. (Nouv. Icon
firment ce que nous disait Charcot en 1885, à propos des différents types de, myopathie, à savoir que les trois types, co
à propos des différents types de, myopathie, à savoir que les trois types , connus sous les noms de : paralysie, pseudo-hype
on sait maintenant que la forme de Erb se confond également avec le type Landouzy- Déjerine. , * " " "" ; ;. ;; '' Mai
dans cet article, démontre directement et parla clinique, que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie (atrophie myopathique à fo
e manifestent chacune iso- lément sur un même muscle. Dans tous ces types divers, il s'agit donc toujours d'un même proce
ablement des anomalies psychiques,, ce qui exclut d'ores et déjà le type du reste impossible à établir d'après la variét
nnaissances pra- tiques, il faisait passer sous les yeux les divers types d'aliénés, causant avec les malades, les amenan
ller pour nous sommes allés. J'essaye de déterminer à quel genre de type verbal ma malade peut appar- tenir. Il est prob
e classe d'amnésies caractérisées parleur mode déformation, dont le type se rencontrerait chez les hystériques. Les cara
ons microscopiques à l'appui. Les préparations de moelle ' sont des types de dégénération secondaire par foyers scléreux di
ie du groupe de celles que l'auteur a proposé d'appeler toxiques, à type de flexion plutôt que pseudo-tabès. D'une part,
née de cette région d'une zone de dissociation de la sensibilité du type syringomyélique, alors qu'auparavant la sensibili
ant donné qu'il fallait le déterminer, ce cas rentre plutôt dans le type tardif de M. Marie. Cette observation se résume
qui cor- respondait le mieux à son goût si vif pour l'isolement de types nouveaux et pour les descriptions dont les lign
par un état durable et permanent, par une déviation indélébile du type physiologique à laquelle on a donné le nom de dég
par un état durable et permanent, par une déviation c indélébile du type physiologique ». Ce serait là ladégénérescence
echerches cliniques; ils sont vrais, ils doivent être conservés. Le type de l'hystérique men- teuse, coquette, etc.. res
équence de l'habitat d'un élément organique vivant dans un nerf. Le type de cette variété de névrite est celle qui s'obs
stèmes les plus divers, qui peuvent se ramener en définitive à cinq types principaux : A. Taxes et impôts. Parmi les me
, le représentant du délire partiel; il a pu en être donné comme le type parfait. Mais scrutez son passé, interrogez son
faiblesse mentale des malformations physiques. Il y a déviation du type , rétro- cession dégénérative, et, en vertu de l
lires systématisés. Ce sont les caractères nettement définis de ces types morbides qui nous donneront les caractères évo-
va s'élever le délire diffère donc essentiel- lement dans ces deux types opposés. La genèse et l'évolution de leurs déli
s, une sorte de scène hallucinatoire suivie, cohérente, complète, à type toujours uniforme. Une apparition surgit aux yeux
e vue des symptômes qu'à celui des lésions. Un cas DE neurasthénie ( TYPE Beard-Charcot) ; trépanation ; guérison. M. L
. Levillain (de Nice) communique une observation de neuras- thénie ( type Beard-Charcot) ayant débuté à l'âge de douze ans
rés par le travail, et qui aboutirent à la formule neurasthé- nique type , caractérisée par les symptômes suivants : céphal
istinguer une neurasthénie traumatique distincte de la neurasthénie type de Beard; il appelle en même temps l'attention
ervations diffèrent, pourtant, par l'absence de troubles visuels du type morbide décrit par M. Marie : il en est de même
lui, aussi fuyant que chez Cher... et Clut... Louis cons- titue un type de microcéphale à part. La tête de Louis ne rappe
un type de microcéphale à part. La tête de Louis ne rappelle pas le type simien des crânes de Cher... et Clut... En dernie
de paralysie générale avec chorée. Dans deux de ces cas, la chorée ( type Sydenham) s'est présentée dans des conditions où
t voir des grains devenir secondairement l'origine d'une cellule du type sensoriel, qui primitivement profonde pousse so
les neuro-épithéliums péri- phériques, édifiés d'ailleurs comme un type fondamentalement identique à l'épendyme. Enfin
de des tumeurs névrogliques de la moelle épinière (syringomyélie tt type spasmodique). Brochure in-8° de 35 pages. Prix
tre part des attaques plus ou moins intenses, mais toujours du même type , et caractérisées par une perle de connaissance,
nlaeillc. . F. IV, 1893.) 1 Il n'y a pas de criminel inné, pas de type criminel. Le criminel est un type de dégénéré.
'y a pas de criminel inné, pas de type criminel. Le criminel est un type de dégénéré. L'anthropologie criminelle est donc
aranoïa; par SCHULE. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., L. 1 et 2.) Le type de ce délire syslématique dont les synonymes sont
si observé des psychoses à l'époque de la puberté, mais pas sous ce type . M. Wildermuth voit avec plaisir ces observatio
RE CHRONIQUE A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUE*. Sommaire. Délire chronique, type achevé de systématisation délirante. Conception
réalité que des événements épisodiques d'une maladie plus profonde. Type achevé de systématisation vésa- nique, le délir
s cliniques homogènes. Il faut connaître à la fois, pour fixer un type morbide, l'évolution de la maladie tout entière e
pas rare de rencontrer des cas qui présentent comme une ébauche du type précédent : un vestige de paralysie oculaire, u
mens anatomiques qu'il nous a été donné de faire se rapportent au type de la méningo-myélite. C'est à cette forme anatom
ndriaque z qui peuventêtrel'uneet l'autre aiguës ou chroniques. Les types aigus auraient pour facteur principal les hallu
la désignation irréductible et logique du caractère indéniable d'un type morbide (systématisation), être appliqué à une fo
rs, n'y regarde pas de si près, car, après avoir décrit le Wahnsinn type , dont l'essence est en réalité chronique, il en a
'agit de l'épithète aiguë, la valeur du terme lui-même ou plutôt du type vésanique que ce terme pré- tend caractériser,
oxygénation et à l'élimination des produits de combustion chez les types parvenant à une phase d'évolution plus avancée,
pel qu'il fait aux spécialistes de ne pas trop restreindre certains types morbides afin d'éviter qu'on ne perde de vue l'
sant les termes par la synonymie convenable. L'étude parachevée des types nosogra- phiques ainsi conçus permet de se repo
le est constituée, on en regarda l'existence comme certaine et d'un type achevé. On se mit à la diagnostiquer. Si, en pr
malade atteint de confusion mentale, on eût essayé de constituer Je type clinique, si on avait tenté, d'après les traits
utres conceptions de ce genre, se demande s'il a bien devant lui un type de paranoïa aiguë ou de paranoïa chronique; n'e
ossible qu'on les suive plus loin et que l'on admette que ces trois types morbides ont pour base com- mune la folie systé
e tout cela c'est de l'alcoolisme et cependant il produit autant de types morbides SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 caractérisés
t chacun recevoir une dénomination particulière. Quant au nouveau type décrit récemment par M. Mendel sous le nom de f
ne, mais ils sont aussi en plein désordre intellectuel; c'est là le type de la confusion mentale aiguë. A côté d'eux, d'au
tout à fait différent. Mais quand on serre de près l'étude des deux types de ce dernier groupe, la manie et la mélancolie
aniaque, mais, réciproquement, chez le vrai maniaque, le mania- que type , on constate souvent un stade de confusion mental
re de Westphal est le premier qui ait constitué d'emblée le nouveau type en quelque sorte de la folie systématique primi
r évolution; on obtiendra ainsi certains exemples probants et des types cliniques d'une exactitude permanente, à la condi
quee et Hallion, 315. Myopathies, deux cas de pro- gressive du type Laudouzy-Déje- riue, par Gulnon, 46; le faciès
43 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lade (les centres nerveux exceptés) : 2° le délire toxique, dont le type est fourni par le délire alcoolique ; 3° les dé-
t des modes assez particuliers pour constituer des variétés dans le type général. Il cite ensuite des exemples illustrant
quement dans l'ensemble symptomati- que suivant; douleurs parfois à type fulgurant, paralysie des sphincters, inégalité
lgésie, se ren- contrent de préférence dans les maladies mentales à type dépressif, et principalement dans les affection
que la dégénérescence de l'espèce était une déviation maladive d'un type primitif et il a écrit qu'à moins de circonstan
les de régénération, les produits des êtres dégénérés offraient des types de dégra- dation progressive, qu'enfin il n'éta
a- dation progressive, qu'enfin il n'était pas nécessaire que ces types atteignissent le dernier degré de la dégradation
É RÉGRESSIVE. 131 supérieur . De cette manière la régénérescence du type s'accomplit d'une manière obscure, mais certain
vertébré le plus inférieur jusqu'à l'expres- sion la plus élevée du type mammifère, on trouve un type de structure céréb
squ'à l'expres- sion la plus élevée du type mammifère, on trouve un type de structure cérébrale varié mais, progressivem
des variétés individuelles de zones corticales embryogéniques, des types inverses de développement myélinique, tout en m
nalogues aux délires exo-toxiques, dont le délire alcoolique est le type ; 2° ces délires ont tous pour formule clinique la
s greffées sur les premières. L'autre passe en revue les différents types histologiques qui commandent un même syndrome a
s types histologiques qui commandent un même syndrome alors que ces types se distinguent néanmoins par leur lésion, leur
teints de paralysie radiculaire obstétricale du plexus brachial, du type de Duchenne-Erb, qu'il a traités avec succès pa
ôté de l'alcool, des auto-intoxications variées peuvent produire le type de la polynévrite, avec désordres mentaux d'amn
fs, la chorée rythmique, les crises, les troubles vésicaux, dont le type est l'incontinence d'urine, les ttoubles trophi
es paralysies et contractures, l'astasie-abasie, et surtout les cas types de chorée rythmée, s'observent proportionnellemen
Nalbandow. Contribution ci la symptomatologie de la syringomyélie ( type Morvan). - Nalbandow présente une jeune femme q
s à celles des auteurs français, l'orateur rattache le malade D, au type Lorain, bien que certains signes le rapproche d
malade D, au type Lorain, bien que certains signes le rapproche du type myxoedémateux, tandis que la malade S... appart
e rencontrent des conceptions délirantes de nature religieuse à des types cliniques mieux définis, dont les délires mysti
évolution chronique. Aux délires mystiques répondant à peu près au type établi par M. Ma- gnan dans son délire chroniqu
ffer sur l'état primitif, ce délire est secondaire. La mélancolie type , religieuse ou non, a en effet, pour base un tr
nissant ces deux groupes opposés, et les différenciant eux-mêmes du type principal auquel ils se rattachent respectiveme
e ces derniers délires mystiques et ceux des délirants systématisés types . Manie. Nous avons vu les idées religieuses, da
aison inverse de l'état dégénératif congénital. Mais entre les deux types extrêmes on rencontre toute une série d'intermé-
iques systématiques. MYSTICISME ET FOLIE 277 L'existence de ces types de transition à antécédents héré- ditaires plus
aison inverse de l'état dégénératif congénital. Mais entre les deux types extrêmes où remonte toute une série d'inter- mé
des auto-intoxica- tions ont une symptomatologie particulière et un type ca2,ac- téristique. Nous allons essayer, sous u
ulsions. Ces attaques peuvent présenter tous les degrés et tous les types , en parti- culier le type hystérique, épileptiq
nt présenter tous les degrés et tous les types, en parti- culier le type hystérique, épileptique, comateux, et survenir
uto-intoxication. Il va nous être facile, maintenant, de dégager le type cli- nique des psychoses d'auto-intoxication. D
tion. 287 / z donné par Chaslin. La confusion mentale est donc le type clinique des psychoses d'auto-intoxication. C
e est donc le type clinique des psychoses d'auto-intoxication. Ce type lui est-il exclusif, c'est-à-dire la confusion me
es et les psy- choses d'intoxications externes ou exogènes, dont le type est l'alcoolisme. · Cette démonstration ne no
erne sont similaires et que, par suite, la confusion mentale est le type de tous les délires toxiques, quels qu'ils soie
s, quels qu'ils soient. Il nous reste maintenant à prouver que ce type a pour caractéristique d'être un état de rêve o
chez certains sujets névrosés ou épuisés par une longue maladie du type de l' « amentia transitoire » de 1. 3. - Krae
Traumzustaude », qui eux sont patho- logiques et se rapprochent du type de l'a2îieiitici, de la con- fusion, n'ayant av
nt admise par tous aujourd'hui et Klippel, entre autres, regarde le type de « rêve prolongé » comme caractéristique du d
Les nerfs des membres inférieurs présentaient une dégénérescence à type wallérien, surtout accusée à la péri- phérie de
fond bleu à cause de l'absence de la membrane nucléaire. Ces deux types d'altérations cellulaires s'étant rencontrés côte
ermis d'établir le diagnostic, c'est la myasthénie dont elle est un type remarquable, myasthénie à la- quelle s'associen
HOI,OGIQU1;. Séance de janvier 1899. Présidence de AI. J. Voisin. Types de criminels russes. M. ORciiANsKi, faisant passe
de Lombroso, on ne peut assigner aucune physionomie spéciale, aucun type au criminel. Son faciès n'a rien de typique ni
nomies fines et délicates ; des figures débonnaires se mêlent à des types rébarbatifs; des-visages aux lignes peu accusées
estiales. L'impression générale qu'on éprouve, c'est la banalité du type et l'absence d'individualité caractéristique.
russes, appartenant à la population rustique, ne présentent aucun type spécial, soit dans leur physionomie, soit dans la
dans la configuration de leur crâne, mais qu'on retrouve en eux le type très accusé des différentes nationalités (russe
astrique les parois abdominales forment trois plis transversaux. Le type de la respiration est abdominal. Les douleurs a
délire plus ou moins imparfaitement systématisé, ordinaire- ment à type de persécution, à type plus rarement mégaloma-
mparfaitement systématisé, ordinaire- ment à type de persécution, à type plus rarement mégaloma- niaque ; cela s'expliqu
I. Myopathie primitive et progressive avec autopsie (Forme tardive; type huméno-scnpiclo-Jiccical) ; par Sabrazès et BaENG
ait sous le même aspect que dans l'atrophie musculaire progressive, type Aran-Duchenue. Mm0 X... se plaignit au début, a
inistrer le trional en temps voulu. Dans la première obser- vation, type du premier groupe, les attaques précédées d'aura
solimo affirme que dans un cas d'atrophie musculaire progressive de type de Landouzy-Uéjerine, le traitement thyroïdien
ique, moins de puissance de volonté, que l'homme, mais peut-être le type féminin que l'expé- rience nous fait constater,
e type féminin que l'expé- rience nous fait constater, est moins un type naturel, qu'un type social, créé par nos préjug
'expé- rience nous fait constater, est moins un type naturel, qu'un type social, créé par nos préjugés et par l'éducatio
is, de mélancolie des dégénérés et représentant en quelque sorte le type pur du délire systématisé primitif d'auto-accu-
à 1'llôtel- Dieu pour une tuberculose pulmonaire aiguë, offrant le type de la grauulie à type clinique d'embarras gastr
une tuberculose pulmonaire aiguë, offrant le type de la grauulie à type clinique d'embarras gastrique fébrile. Le 18 août
des - oscillants à haute tension, par Jendrassik, 313. Criminels. Types de - russes, par Orcllansl : i, 330. Cubital.
44 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
e. Le cas de X... diffère, néanmoins par certains côtés, des divers types cliniques de myopathie décrits jusqu'à ce jour.
ir débuter après la dixième année. Il ne ressemble pas davantage au type Landouzy-Déjerine (Favio- scrtpulo-hmnéral) et
? Si pour les besoins de l'enseignement on a cru devoir décrire des types nettement déterminés, la clinique nous apprend
formes nouvelles qu'il est parfois difficile de rattacher à ces ras types . Certaines en diffèrent même tellement qu'on a cr
ions en deux espèces différentes : 1° l'atrophie d'origine spinale ( type Du- chenne-Aran) ; 2° la myopathie progressive
rentrent exactement dans le cadre ni de l'une ni de l'autre. » Le type de Charcot-Marie est un des mieux étudiés parmi c
une certaine mesure, le cas de notre malade ressemble à ce dernier type et peut en être rapproché. L'atrophie atteint en
X... doit donc nous faire abandonner l'hypothèse d'une myopathie du type Charcot-Marie. Elle est, de plus, une preuve qu
MYOPATHIE PRIMITIVE ET PROGRESSIVE AVEC AUTOPSIE (FORME TARDIVE; TYPE HUMÉRO-SCAPULO-FACIAL) (1) P,vrs 1111. SABRAZ
Jan Steen - et ils sont nombreux, - rappellent a s'y méprendre les types des Sganarelle, des Diafoirus et des Purgon. S'il
ceux-là ne sont pas les plus nombreux. La plupart se rapprochent du type classique transmis par Molière. Leurs accoutrem
il est irrévocable. Je désire simplement pas- ser en revue quelques types d'éruptions, dont la distribution périphérique
embre inférieur, aux 5e segment lombaire et 1er segment sacré. Ce type de sclérodermie exisle-t-il ? - Oui, assurément ;
matiquement perpendiculaires aux grands axes du squelette. C'est le type morbide de (t) l2.wci.nFe CnocKEn, Atlas of the
ant ce temps, il existe des dou- leurs violentes jusqu'à la main, à type lancinant, avec soubresauts. La conso- lidation
epa- raissent (douleurs dans l'épaule, irradiations très pénibles à type lanci- nant dans la main); les considérations p
première observation a trait à un cas de sclérodermie localisée du type Morphée (voirfi. A. Pl. XXVI). Observation I.
de départ pour rappeler ce' que l'on doit entendre par Amyotrophie type Claa·cot-ltaie et pour tracer il grands traits le
ma- lade ; il a été examiné par M. Marie qui porta le diagnostic du type d'atro- phie qu'il a décrit avec Charcot. Si ce
surtout l'hérédité et nous remarquons que cette malade a réalisé un type plus accentué, al- lant jusqu'à la déformation,
de la collection van der IIoop, au Rijk muséum d'Amsterdam, est un type du genre (PI. XLI). C'est une oeuvre délicate, so
infantile. Je traite deux cousins germains dont l'un représente le type infantile décrit par Lorain, le plus net qu'on
e de goitre exophtalmique, m'amène son fils atteint d'infantilisme ( type Lorain), d'une taille supérieure à la normale,
xoedémateux franc (2). Voici le squelette palmaire d'un infantile ( type Lorain), âgé de 24 ans. Je le traite depuis tro
e fût en Fig. 1. - Radiogramme du squelette palmaire d'un infantile type Lorain, âgé de 24 ans (Les flèches indiquent le
implement la peine d'inspecter les amyg- dales chez les infantiles ( type Lorain). J'en connais de monstrueuses. Il y a u
accentuée. La respiration adopte alors, pendant la conversation, un type spécial, très caractéristique. Elle devient suspi
rès éveillés et perspi- caces, certains infantiles, surtout ceux du type Lorain, se rendent parfaite- ment compte de leu
tion cependant, elle continue à prendre son remède, OBs. VIII. Cas type d'hypothyroïdie bénigne chronique : migraine, con
IGOVOGItAYlflt UF LA SAfNFT7tItKF. Tome XII. Pl. XLVII INFANTILE TYPE LORAIN. (OBS. I. X1...) (Hertoghe) A. Avant l
tent à des enfants at- teints d'hypothyroïdie bénigne chronique. Ce type d'infantilisme est connu dans la science sous l
d'infantilisme est connu dans la science sous le nom d'infantilisme type Lorain, ou gringalets. J'ai démontré dans un mé
le fasse grandir. Il appartient à la catégorie des infantiles dits type Lorain, que Brissaud appelle gringalets. Les in
s dits type Lorain, que Brissaud appelle gringalets. Les infantiles type Lorain se distinguent par leurs proportions fines
i démontre la parenté étroite qui existe entre Fig. 26. - Infantile type Lorain (XI). Psoriasis du visage ; avant le tra
ONOGKAlMMb 1)1 LA Sa ! Pf.rKIEKH . Toue XII. Pl. 1L'III INFANTILE TYPE LORAIN. (OBS III. 71 ...) (Hartoghe) C. 20 ma
cé par des éléments conjonctifs et adipeux. Les cas d'amyotrophie type Charcot-Marie avec autopsie publiés jusqu'à (1)
sem- ble pas que l'on soit autorisé à les considérer comme des cas types de la maladie qui nous occupe. Les trois premie
mé l'exposé des lésions que nous venons de faire nous montre que le type d'amyotrophie décrit par Charcot et Marie reconna
die, ont publié sous ce nom des observations qui s'écartent trop du type pri- mitif. Aussi nous semble-t-il utile, avant
iv, 1893, p. 259. (2) Hehhingiiam, Muscular atrophy of the penoneul type affecting many membens of family. Brain, 1S8S,
t comparables à celles qui ont été décrites dans l'atrophie dite du type Âran-Duchenne. A un premier degré (PI. III, fig
eure façon qu'il connaisse de soulager les maux de sa cliente. Ce type de docteur frisé, musqué, tiré il quatre épingles
on I. ' A trophie musculaire progressive , d'origine myélopathique, type Aran-Duchenze; début classique par les petits m
reste, l'évolution, plus rapide qu'à l'ordinaire, resta cependant à type bien chronique, et une durée de 18 mois au lieu d
Paralysie infantile du membre inférieur droit. - Atrophie musculaire, type - Aral2-Dacc12e212e. Pravel... Just..., 25 an
ire progressive, d'origine myélopathique ; début scapulo - hmnéral ( type Vulpian) par les muscles surmenés. Troubles bulba
la SALI'G1HIIi1·. T. XII. PI. LX ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE ( TYPE ARAN-DUCHESNE) - (G. Etienne). On,. V MASSO
tion suivante, nous voyons un cas très pur d'atrophie myélopathique type Aran-Duchenne se compliquer de troubles trophique
articulaire. Progrès médical, 1893, p. 225. amyotrophie double du TYPE scapulo-huméral 387 OBSERVATION. Le 13 juin 1
on polaire en aucun point. En dehors de cetle atrophie musculaire à type scapulo-liuméral le ma- lade ne présente aucune
te à la Salpêtrière au mois de juin 1899 avec une atrophie nette du type scapulo-huméral. C'est une atrophie musculaire s'
ic et de faire la séméiologie des diverses atrophies musculaires du type sca- pulo-huméral. Il ne s'agit pas chez notre
ou toxiques. Il ne s'agit pas d' atrophie musculaire progressive du type .c1l'an-Duchenne qui dé- bute par les petits mus
n mois environ chacun, sans intervalle lucide, soit une psychose de type circulaire; elle eut en outre des attaques épilep
L'hémisphère droit est le siège d'une vaste hémorrhagie cérébrale de type classique qui refoule les parties voisines eu d
malade se rapproche beaucoup de la précédente et appartient au même type . Chez elle aussi l'aphasie amnésique parait êtr
La sclérodermie oedémateuse (sclérétnie de Besnier) constituerait un type intermédiaire. Si cette parenté de la sclérod
laire sont innombrables et l'on a même du renoncer à classifier les types ; mais les variantes du tropboedème ne semblent
s symptomatiques qui sont en contradiction appa- rente avec les cas types décrits par M. Brissaud. Ces symptômes anormaux
à bout. Notre cas diffère un peu de ceux qui ont servi à définir le type de ce curieux syndrome. Chez notre malade, en
ouvements. C'est là le premier caractère qui le différencie des cas types de M. Brissaud. mais vous avons trouvé d'autres
entale, par F.115 ? IISIEIt (3 phot.), 398. Amyolrophie double du type scapulo-hu- mé1'al consécutive il un traumatism
e tabes (.i phot.), 321, 408. GUlLL.\JN (G.). Amyotrophie double du type scapulo-huméral consécutive à un trapu. matis
45 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
u chez tous les animaux, y compris les mammifères, correspondent à un type spécifique; c'est-à-dire qu'ils sont, pour chaque
daires. De Blainville entreprit la tâche d'établir la filiation des types cérébraux chez les vertébrés; mais il ne l'acheva
sut en tirer un parti merveilleux : il reconnut d'abord la fixité du type cérébral dans les différentes espèces de singes,
tra que le cerveau humain n'est, au point de vue morphologique, qu'un type plus ou moins compliqué du cerveau des anthropoïd
u humain n'empêchent jamais de retrouver les caractères essentiels du type fondamental; et ce type fondamental est, à très p
ais de retrouver les caractères essentiels du type fondamental; et ce type fondamental est, à très peu de chose près, le typ
fondamental; et ce type fondamental est, à très peu de chose près, le type simple et fixe des cerveaux d'anthropoïdes. Les d
différences de volume ou de courbure; en un mot s'il n'existe pas un type cérébral humain, en quelque sorte idéal et suscep
vent tout à fait insuffisants. Ils représentent, en effet, non pas le type du cerveau humain moyen, mais le type d'un cervea
résentent, en effet, non pas le type du cerveau humain moyen, mais le type d'un cerveau rudimen-taire, et qui n'a même pas s
nce ; et c'est parce qu'on a toujours rapporté les localisations à un type schématique invariable, qu'on s'est trouvé dans l
éterminées chez le singe par Horsley, Ceevor, Semon, s'accommodent du type schématique, pour la raison bien simple que l'éco
difficulté qu'on éprouve à les ramener plus ou moins habilement à un type schématique convenu, on reconnaîtra qu'il est pré
en vient ainsi à se convaincre que c'est vers le neuvième mois que le type schématique est réalisé avec la plus grande appro
répond assez exactement à la moyenne, et peut être considéré comme un type approximatif de cerveau schématique. Mais nous ne
permettent pas de concevoir, même pendant la période embryonnaire, le type parfait du cerveau schématique humain. L'exemple
actères qu'elles présentent sur les hémisphères qui se rapprochent du type schématique. Mais auparavant il convient de rappe
hropologique, le nom de pôle frontal (PF). § VII Modifications du type schématique des circonvolutions cérébrales. Les
pe schématique des circonvolutions cérébrales. Les modifications du type schématique des circonvolutions sont variables à
hématique des circonvolutions sont variables à l'infini ; et comme le type schématique du manteau cortical n'est qu'une pure
, malgré les innombrables dissemblances des visages et l'absence d'un type humain idéal, certaines conformations des traits
mporal ou grand sillon occipito-temporal de Pansch, Modification du type schématique à la face interne de Vhémisphère. L
tat normal lorsqu'on examinera les figures suivantes, relatives à des types anormaux. Schéma 26. — Face interne d'un hémisp
types anormaux. Schéma 26. — Face interne d'un hémisphère droit du type schématique. (Voy. également la planche II de l'A
phère gauche représenté sur le schéma 27 est presque super-posable au type schématique. On n'observe d'anomalies que dans la
disposition des plis du lobe carré rentre, ou peu s'en faut, dans le type schématique. Enfin on remarquera la continuité
les explications qui nous semblent leur convenir. Modifications du type schématique à la face externe de Vhémisphère. L
réquentes, après avoir reproduit sur les schémas 52 et 55 l'aspect du type schématique de l'hémisphère adulte. Le schéma 52
eau adulte, méritent d'être classées parmi les traits fondamentaux du type schématique. Par exemple, on constatera presque t
ylvius (if), Schéma 52 (A). — Face externe d'un hémisphère gauclie ( type schématique de l'étal adulte) ; indication des an
ransverse (Tt, schéma 35 B). La nomenclature des circonvolutions du type schématique adulte est indiquée sur le schéma 53.
ace externe de l'iiémisphère gauche déjà représenté sur le schéma 52 ( type schématique de l'état adulte). Indication des pli
ur richesse, alors même que leur disposition générale est conforme au type schématique. Il suffit, pour s'en assurer, de com
phasie, on éprouverait un grand embarras cà rapporter cette lésion au type schématique de la circonvolution de Broca. Tel
i se présente sur l'hémisphère du schéma 06. Ici tout est conforme au type schématique, moins la circonvolution de Broca. La
arties de l'écorce, dans les cas où les circonvolutions s'écartent du type schématique. § YIII Suppléances et compensati
ter, et non pas sur les plis. Les anfractuosités — du moins celles du type schématique — ne font jamais défaut; et peu impor
mais nous avons vu combien de variétés de formes peuvent modifier le type schématique de cette circonvolution; corollaireme
chéma 40). Si la disposition de la troisième frontale est conforme au type schématique (A), la lésion intéressera le centre
t celui du langage articulé. Mais si la circonvolution s'écarte de ce type (B), la même lésion (N), tout en intéressant le m
blances, peuvent être considérées l'une et l'autre comme répondant au type schématique. Elles ne sont ni trop simples, ni tr
s. Ils correspondent cependant aussi exactement que possible aux deux types principaux de la face interne de l'hémisphère qu'
us du corps calleux (sC). conscritcs si l'on cherche à rapporter le type cérébral représenté ici au type du cerveau schéma
critcs si l'on cherche à rapporter le type cérébral représenté ici au type du cerveau schématique. Comme toujours, les pri
nvisager la constitution de cette écorce d'une façon plus conforme au type du cerveau schématique. On peut, par exemple, a
e, doit entraîner une conformation du lobe occipital plus conforme au type schématique que dans les cas où le premier pli de
es offrirait de grandes difficultés si l'on voulait les: rapporter au type convenu du cerveau schématique. Il suffit dej com
eau que cette figure représente est celle qui se rapproche le plus du type normal. On remarquera cependant que la région f
là où elle devrait en avoir une primordiale si elle était conforme au type du cerveau schématique. C'est à peine si elle sép
icales, toutes enchaînées et subordonnées les unes aux autres, que le type schématique du cerveau est rarement réalisé ; mai
émo coup, la possibilité de ramener chaque cas particulier à l'un des types schématiques convenus, en tenant compte des coin-
indiquer leur siège sur un dessin schématique représentant le cerveau type . Pour localiser avec une certaine précision une a
rudimentaire du lobe carré. Toutes ces incorrections, par rapport au type schématique, résultent encore de la conformation
. FACE INTERNE d'uN HÉMISPnÈRE GAUCUE Nous avons reproduit ici un type de cerveau très compliqué et cependant très confo
t ici un type de cerveau très compliqué et cependant très conforme au type schématique. Mais il est certain que sa complexit
té des deux scissures soit ordinaire : elle est censée appartenir aux types cérébraux inférieurs. Le lobe carré se trouve don
es hémisphères cérébraux qui, à première vue, s'écartent tellement du type schématique qu'ils peuvent passer pour monstrueux
le d'appliquer aux circonvolutions de ces cerveaux la nomenclature du type schématique. Mais nous répéterons encore que pour
u lobe temporal en trois circonvolutions externes, ne répond pas à un type d'une pureté schématique. Les plis de communicati
ceinture. L'irradiation du stratum zonale de la couche optique est le type de cet encapsulemcnt des masses grises, dont on r
46 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
papillaire bilatérale. 2G avril. La malade a eu des vomissements à type cérébral, qui sont survenus sans efforts, au mo
tations sont des plus variées et ne se rattachent en vérité à aucun type clinique défini. Ce sont des syndromes psychiqu
ent l'intérieur du capillaire. De même lorsqu'on examine les divers types cellulaires rencontrés dans la paroi, aussi bie
éléments plus jeunes et enfin des cellules plasmatiques mûres du type Marschalko. Les éléments de nouvelle formation
la simulation doit être écartée. Il s'agit d'un cas qui ré- pond au type classique de l'attaque de sommeil hystérique. L
ie de ces prophètes. La méthode à employer con- siste à 'étudier le type d.u prophète juif, son lieu de nais- sance, son
ux médecins praticiens il donne des descriptions claires des divers types de vésanies et surtout il enseigne ce qu'ils on
ux. Elle présente une fièvre élevéee, oscillant entre 39° et 40°, a type intermittent hectique. Elle tousse moyennement
es parallèles, entre lesquelles se trouvent de nom- breux noyaux du type conjonctif, soit allongés et recourbés, soit ar
eur en\ isane actuellement et il considère deux groupes : lésions à type interstitiel et lésions à type parenchymateux.L
l considère deux groupes : lésions à type interstitiel et lésions à type parenchymateux.Le 1er groupe com- prend 3 degré
vaisseau ; d'autres fois. elle est remplie de leucocytes. Donc 2 types : 1° glyose périvasculaire; 2° vaginalile subaigu
le a soulevées. L. WAHL, IV. - Observation d'un cas de basophobie à type myoto- nique ; par le D1' Roger ){¡GNOT, (Rec.
; par P.A PREOBRAJENSK[.(0&f);r<.'ittC ysicltiatrü.,\'lll,) Type d'atrophie musculaire progressive chez un homme d
L'un lui semhle appartenir à la variété hébéphrénique et l'autre au type des démences paranoïaques. Ces deux déments sont
itons nos visites du sa- medi où nous montrons un certain nombre de types cliniques, de cerveaux, etc ; quelques leçons d
que par son évolution. Chez notre malade, les mouvements sont du type choréique, semblables aux secousses provoquées
orbide étaient possi- bles : d un côté, la psychose; de l'autre, le type convul- sif. C'est ce dernier qui a prévalu. De
; car si les deux hémisphères cérébraux du dau- phin conservent le type de la disposition macroscopique des hémis- phèr
rs éléments voisins ; à cause de cela, il n'existe, en somme, qu'un type unique d'appareils afférents, lesquels ne peuvent
Observation [Il. Syndrome méningé chez enfant de 9 ans. Délire à type religieux et hallucinatoire très marqué. Evolutio
euse, c'est que les phénomènes délirants ont revêtu l'as- pect d'un type délirant nettement caractérisé, fait excessivemen
fait excessivement rare dans la méningite tuberculeuse de l'enfant. Type de délire hallucinatoire dans le premier cas, d
Observation Il. - Garçon de l5ana. I)évelulrpcment physique nul, type infantile. Assez bien développé au point de vue p
s. Cette observation est intéressante en ce sens qu'elle réalise un type intermédiaire entre l'idiotie myxoedémateuse de
ra- lion..1. S;GI.AS. XXI. - La maladie de Westphall-Strümpell, à type West- phall, c'est-à-dire due à la pseudoscléro
ell, à type West- phall, c'est-à-dire due à la pseudosclérose, et à type Strumpell, due à la sclérose diffuse; par Renat
S. \\ll.-Note sur deux cas familiaux d'ataxie cérébro-spi- nale ( type Friedreich 2) ne présentant aucune particu- lar
; ces crampes localisées aux avant-bras et aux mains réalisaient le type de la « main de l'accoucheur »'. La contracture
tuelle prédomine au niveau des membres in- férieurs et y affecte le type signalé par les auteurs : hyperexlcn- sion des
ciation des gaines rétro- oculaires avec ces symptômes constitue un type clinique que M. L. Dor dit avoir rencontré fréq
évritique. La notion élio- logique de l'alcoolisme, les douleurs du type névritique tendant à se généraliser, la présenc
's de bat'(ln\\'i : -lI1e, ' Celle malade, d'après l'auteur, est un type d'infantile dysthyroï- (tien il symptômes patho
pe d'infantile dysthyroï- (tien il symptômes pathologiques frustes, type bien mis en W i- dence par les travaux du Briss
i résulte de la réunion dans un même service d'enfants de plusieurs types différents (idiots, épileptiques, pervers, etc.),
ques, pervers, etc.), et il demande la séparation de ces différents types . Chacun d'eux serait justiciable démesures et d
Albert WRfL présentent un enfant, ancien myopathique progressif du type Le5·Uen-Jluhius, guéri par les bains hydroélect
n et des excrétions sont des caractères que l'on attribue aux cas types de sommeil hystérique. Leur coexistence, loin d'ê
Tel qu'il est ainsi compris, le syn- drome comprend encore bien des types , depuis la forme classi- que ancienne de Litllu
fections voisines comme as- lu : cl. Dus observations précisent ces types : forme paraplégique, l'orme généralisée, forme
formes du transition, variétés l'lLOI'{'O-H 1 hllo- siques. Si ces types cliniques sont variés, les causes sont, égale-
mence finale après une apparente guérison. Le suivant présente un type de psychose caractéristique, sorte de démence pré
décrire quatre formes bien distinctes de la maladie de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (trois cas) '; 2° type p
ladie de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (trois cas) '; 2° type paralysie labio-glosso- laryngée (cinq cas) ; 3
is cas) '; 2° type paralysie labio-glosso- laryngée (cinq cas) ; 3D type amyotrophique (neuf cas) ; 4° type spasmodique
glosso- laryngée (cinq cas) ; 3D type amyotrophique (neuf cas) ; 4° type spasmodique (un cas). L'intensité de la spasm
lant depuis la simple exagération des réflexes tendineux et osseux ( type amyotrophique) jusqu'à la paraplégie à spasmodi
à spasmodicité intense au point de simuler une myélite transverse ( type spasmodique). Le réflexe de Babinski n'a été tr
le fois. Il n'y a jamais eu de troubles intellectuels même dans les types paralysie labio-glosso-laryngée. Enfin, au po
tous les éléments de la cellule, surcharge pigmen- taire. Dans le type spasmodique la lésion des cordons prédominait ;
ans le type spasmodique la lésion des cordons prédominait ; dans le type amyotrophique c'était la lésion des cellules qui
affections né- vralgiques du plexus lomho-sacré; il en existe deux types clini- ques bien connus : la scoliose croisée d
rement la paralysie des mus- cles masticateurs. L'existence de ce type crée une contre-indication pour l'inter- ventio
éments épithélioïdes déjà décrits par Westphal, présentant tous les types de transition avec les cellules fusiformes de l
ises convulsives intra et eatra-utérines, contractures, attitude et type morphologique cette morphologie, assez constant
e, coïncidant avec l'ap- parition des troubles de la sensibilité, à type syringomyélique. Hyperthermie terminale. Résu
e, 503. Ataxie. Note sur deux cas fami- liaux d' cérébro-spinale ( type Friedreich 2) ne présentant au- cune particul
é- nérescence mentale. Basophobie. Observation d'un cas de - il type myotonique, par Roger Mignon, 142. Bégaiement
Comte, 155. Pseudosclérose. La maladie de Westphall -Strumpell, à type Westphall, c'est-à-dire due ù la , et à type
tphall -Strumpell, à type Westphall, c'est-à-dire due ù la , et à type Strümpell, due à la sclérose diffuse, pur Renat
47 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
nze observations du mémoire de M. Blocq et t les a ramenées à trois types bien distincts ; ceux de la faiblesse, de l'inc
ienne. Cet endroit c'est la zone motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de paralysie partielle. - L'embolie de l'ar- tè
paralysie faciale gauche du plongeur de t'OBSERVA- TIOV XLVII. 2. Type d'hémiplégie. Outre la deuxième, la troisième b
'avons eu à rapporter qu'un seul cas ayant cli- niquement revêtu le type de l'épilepsie jacksonienne de la catégorie d'é
même chaque point déterminé de ces feuillets donne naissance à des types spéciaux. L'histologie physiologique et patholo
es variétés, caractérisées par la possi- bilité de leur retour à un type ancestral primitif; des espèces, caractérisées
tral primitif; des espèces, caractérisées par la permanence de leur type général; des genres, enfin, constituées par les
des cornes postérieures et de la substance de Rolulldo. De là deux types de cellules nerveuses en rapport avec les deux
ec les deux catégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient motrices, celles du second sensitives
émanées des prolongements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles, en nombre infiniment plus grand, d
prolongements nerveux sensilivo-sensoriels des cellules du deuxième type . « Quelle autre signifi- cation pourrions-nous
rilles qui, émanant du prolongement nerveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho- motrices), vont
ongements nerveux l'il, I PHYSIOLOGIE. des cellulules du deuxième type (cellules sensitivo- sensorielles ou psycho-sen
la connaissance de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont motrices, sont grandes,; celles du sec
du premier type qui sont motrices, sont grandes,; celles du second type , qui sont vrai- semblablement de nature sensiti
e quelconque. Dans toutes les régions des centres nerveux, les deux types de cellules qu'il a distingués se trouvent, dit
ccipital, siège reconnu de la vision mentale. La FA appartient au type général de structure de l'éçorce, c'est-à-dire
ppartient au type général de structure de l'éçorce, c'est-à-dire au type à cinq couches (Meynert), En réalité, Golgi ne
selon Golgi. ne correspondent-ils pas aux trois premiers strates du type à cinq couches ? La seule réforme valable, et q
faites quant à l'interprétation de la nature physiologique des deux types différents de cellules nerveuses. Au lieu de di
ieu de dire, comme je l'ai fait jusqu'ici : Les cellules du premier type sont en rap- port direct, non isolé, avec les f
t). » Quant aux autres cellules nerveuses, aux cellules du deuxième type , dont le prolongement nerveux se subdivise en f
tinctes et séparées, d'une manière absolue, que ne le sont les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité;
la proportion relative, dans le mode de répartition locale des deux types d'éléments nerveux admis par Golgi. Or, cet aut
ones de l'écorce, et que les ré- gions où prédomine l'un ou l'autre type morpholo- gique sont précisément en rapport ave
s que soient les ter- minaisons périphériques des nerfs du deuxième type de Golgi, des nerfs sensibles, le point initial
, d'où sort un prolongement nerveux, comme' des cellules du premier type de Golgi : c'est de cette cellule que part le n
que le premier entre là en rapport avec des cellules du deuxième type : la seule différence serait que la cel- lule n
NS DU CERVEAU. 193 remarquer que par toute l'écorce, on retrouve le type à cinq couches, quoique avec quelques variantes
llules distinguées par Golgi, celles du premier et celles du second type , non point groupées, mais irrégulièrement dissé
285. 200 PHYSIOLOGIE. 8 u, Mais ce sont les cellules du deuxième type qui prévalent dans les corps striés, surtout da
audé. Dans les couches optiques, où coexistent éga- lement les deux types cellulaires, ce sont au contraire celles du pre
les deux types cellulaires, ce sont au contraire celles du premier type qui prédominent : elles attei- gnent jusqu'à 60
smiques (de 4 à 8). Le prolongement nerveux des cellules du premier type devient, on le sait, le cylindre-axe d'une fibr
e d'une fibre ner- veuse, tandis que celui des cellules du deuxième type émet des ramifications arborescentes qui vont f
rs ramuscules latéraux, les fibres issues des cellules du premier type se trouvent en rapport médiat avec nombre de ce
e se trouvent en rapport médiat avec nombre de cellules du deuxième type . Quant aux ramifications des prolongements prot
: elles n'ont que des fonctions trophiques. Du fait que les deux types de cellules nerveuses coexistent dans les corps
ces'ganglions. Toutefois la prédominance des cellules du deuxième type dans les corps striés permet de supposer que les
ensibilité (siera senso7'ia). Au contraire, les cellules du premier type l'emportent décidément dans les couches optique
orce diminue; elle est à son minimum dans cette région où existe le type à huit couches de Meynert. Cette diminution est
de l'organe, - Si nous nous reportons à l'oreille pointue bestiale, type dont on constate invariablement l'existence che
lomération de cellules granuleuses. Ces altérations représentent un type plus faible, simplement irritatif, de l'inflamm
à Ander- Ilach; il convient préalablement de faire remarquer que le type morbide en question ressemble à la folie transi
les uns des autres, ces trou- bles divers me paraissent réaliser un type nosogra- phique défini, dont le tableau cliniqu
t des carac- tères secondaires sans toutefois altérer la réalité du type . 1. Tout d'abord en ce qui a trait au volume de
les divisions entre l'hypo- chondrie et la mélancolie. Si les deux types morbides présentent à 1 Voyez l'analyse Archive
manie grave; l'une d'elles est évidemment de la paralysie générale type . Snell avec sa monomanie ou folie systématique
que satisfaisante. 11. On peut la considérer comme une réversion du type , comme une insuffisance de la force de la natur
l'accroissement du cerveau, tandis que la démence secondaire est le type de ce même échec pendant le développement céréb
48 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res ont été étudiés et, à leur propos, une observation répondant au type que nous décrivons. ' 1 Voir Archives de Neur
ère qu'une voix partant de sa poitrine récite avant lui '. C'est un type de théomane à double voix avec langages différe
morragie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 Dans les méningites de types aigus et subaigus, la température crânienne est
es de même ordre mais très légers dans le membre inférieurgauche. Type hémiplégique. Perte de la vue par névrite optique
damné devenu aliéné est d'abord un criminel. A l'inverse de l'autre type d'aliéné, la folie est chez lui l'accident, l'é
deur et les dimensions relatives des pyramides, étudiées dans le type commun à cinq couches ou dans le type à huit couc
s pyramides, étudiées dans le type commun à cinq couches ou dans le type à huit couches de la scissure calcarine, etc. M
es des cornes postérieures et de la substance de Holando. Delà deux types de cellules nerveuses en rapport avec ces deux ca
ec ces deux catégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient motrices, celles du second sensitives
émanées des prolon- gements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles, en nombre infiniment plus grand, d
prolongements nerveux sensitivo-sensoriels des cellules du deuxième type , « Quelle autre signification pourrions-nous at
illes qui, émanant du prolongment nerveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho-motrices), vont se
é essentiellement de prolongements nerveux des cellules du deuxième type (cellules sensitivo-se2so rielles ou psycho-sen
la connaissance de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont motrices, sont grandes ; celles du secon
du premier type qui sont motrices, sont grandes ; celles du second type , qui sont vraisemblablement de nature sensitive o
THOLOGIE NERVEUSE. toutes les régions des cenlres nerveux, les deux types de cellules qu'il a distingués se trouvent, dit
nu d'une fonction des sens spéciaux (vision). La FA appartient au type générai de structure de l'écorce, c'est-à-dire au
ppartient au type générai de structure de l'écorce, c'est-à-dire au type à cinq couches de Meynert. En réalité, Golgi ne
faites quant à l'interprétation de la nature physiologique des deux types différents de cellules ner- veuses. Au lieu de
ieu de dire, comme je l'ai fait jusqu'ici : Les cellules du premier type sont en rapport direct, non isolé, avec les fibre
ement). » Quant aux autres cellules nerveuses, à celles du deuxième type , dont le prolongement nerveux se subdivise en f
tinctes et séparées, d'une manière absolue, que ne le sont les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité;
nsidérée comme absolue.» Dejlt Golgi fonde sur l'existence des deux types distincts de ses cellules nerveuses, mêlées et
s que soient les terminai- sons périphériques des nerfs du deuxième type de Golgi, le point initial de l'excitation sens
té d'où sort un prolongement nerveux, comme des cellules du premier type : c'est de cette cellule périphé- rique que par
c pas que le premier entre en rapport avec des cellules du deuxième type : la seule diffé- rence, c'est que la cellule n
Chaque système nerveux contient un chaînon de cellules de plusieurs types ; la composition organique est donc la même dans
ntiques à ceux des intoxi- cations dont le délire alcoolique est le type . Comme lui, ils consti- tuent, ainsi que le mon
lasse d'images verbales. Ceci a donné lieu à la formation de divers types d'hommes suivant leur langage intérieur-1. Le
on de divers types d'hommes suivant leur langage intérieur-1. Les types analogues à ceux-ci ne peuvent être que trois che
res ont été étudiés et, à leur propos, une observation répondant au type que nous décrivons. 1 Voir Archives de Neurol
ice qui prophétise par sa bouche. En terminant, nous opposerons aux types précédents les formes frustes écloses sur un te
tion et les psychoses de même ordre à systémati- sation progressive type . Leur existence ne saurait être mise en doute,
anti-social, décrit par M. Sollier correspond bien en réalité à un type , ce n'est qu'un type clinique d'un des nombreux
par M. Sollier correspond bien en réalité à un type, ce n'est qu'un type clinique d'un des nombreux intermédiaires qui sép
respond bien à une variété d'imbécile, mais ce n'est pas l'imbécile type : chez l'imbécile de forme moyenne, en effet, l
ête de meilleure heure que celui des sens. C'est ainsi que dans les types inférieurs les progrès intellectuels peuvent cess
ertillon. D'une manière générale, les crânes de criminels sont d'un type extrême, en ce sens qu'on ren- contre la plupar
les cas être absents pour être remplacés par des symptômes d'autres types comme la démence sénile ou la démence alcooliqu
t les régicides ? Contrairement à l'idée de M. Régis, qui a créé un type d'aliéné régicide et voudrait qu'en thèse génér
ls mais par un désordre manifeste de la conduite. R. M. C. XXXII. TYPES DE folie traumatique; par Thomas Pmup C01VAN. (
es peuvent manquer. En somme, il y a plus de raisons en faveur du type congénital que du type acquis. La vague faiblesse
n somme, il y a plus de raisons en faveur du type congénital que du type acquis. La vague faiblesse des mem- bres, à pei
uite ordinaire dans lesquels il existe une déviation appréciable du type moyen de l'honnêteté (par paroles ou par action
En dernier lieu il espère avoir montré dans quelle large mesure le type du crime et l'origine mentale du crime diffèrent
des fibres nerveuses de la zone moléculaire proviennent des quatre types de neurones suivants : 1° cellules poly- gonale
ourtant, quoique Cajal ne le dise pas, que les cellules du deuxième type de Golgi, qui sont sans doute des cellules de s
e n'ont rien qui la distingue des autres cellules nerveuses de même type . Quelle que soit sa fonction, toute cellule nerve
igence). Quant à la com- plexité des connexions et à la variété des types morphologiques, l'écorce du cerveau est même lo
t par leurs rapports avec la névroglie combien ils correspondent au type de l'écorce du cerveau ». THÉORIE DES NEURONES.
comme psychoses épileptiques que celles qui correspondent à un des types cliniques aujourd'hui bien établis et qui sont
sse d'un affection périphérique, vu la distribution des atrophies à type de paralysie alternante. M. KOll : o ! ILOFF. M
ns pas trouvé dans le dossier la description complète, détaillée du type choisi de cellules. En tout cas, nous savons qu'i
ellule proposée dans ce projet n'est que la reproduction du dernier type de cellule, approuvée par la Com- mission à l'A
singulièrement le nombre de ces faits dits équivalents. Les deux types principaux des phénomènes psychiques sont l'autom
e de distinguer, à l'aide des seuls phénomènes cliniques les divers types de lésions. R. DE Musgrave-Clay. LV. UN cas d'a
insidieux et marche progressive et assez rapide. Ce cas s'écarte du type normal par la brusquerie du début, qui rappelle l
es frustes constituées par des convulsions toniques et cloniques du type épileptoïde, la conscience et la mémoire sont t
te l'origine infectieuse des névrites post- puerpérales revêtant le type de polynévrite généralisée ou loca- lisée aux m
u processus tabélique. L'auteur, en comparant ce processus avec les types connus des dégénérations secondaires, en l'étud
assinat leur semblent des actes tout naturels; on peut prendre pour types de cette catégorie Ravachol et Pini. Puis viennen
n de la maladie qui se termine toujours par la démence. C'est là le type du délire systématisé. La systématisation du dé
morale. Les persécutés persécuteurs empruntent à ces deux derniers types morbides. Leur délire est obsédant, sans troubl
49 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ffert, maistson démem- brement n'est) pas complet. Au contraire, ce type .de Duchenne nous reste comme une, entité morbid
u la ranger, dans le cadre des névrites multiples périphériques, ce type de paralysie spinale amyotrophique n'en existe
paralysie générale spi- nale diffuse subaiguë ne représente pas un type à part de myélopathie. On y rencontre en effet
n admet la poliomyélite subaiguë de Duchenne, à la condition que ce type soit revêtu de son caractère de pureté et que c
mptômes indiqués par 'cet auteur (Duchenne), comme caractérisant le type qu'il voulait établir,mais ce sont des cas qui
ption de Du- chenne pour que nous ne donnions pas ce cas comme un type de paralysie générale spinale diffuse subaiguë.
ritable amnésie. Voyez en effet ce qui se produit chez M ? D..., le type le plus curieux de l'amnésie que je puisse anal
auditifs, des visuels ou des moteurs, quelques-uns appartiennent au type indiffé- rent. Je crois qu'il serait peut-être
il serait peut-être nécessaire d'admettre pour les hysté- riques le type alternatif; car elles passent naturellement ou ar
ernatif; car elles passent naturellement ou artificielle- ment d'un type à un autre; elles sont, par exemple, des visuelle
somnambulisme. Naturellement, suivant qu'elles prennent tel ou tel type de pensée, elles possèdent ou elles perdent tel
position de ces entailles en constitue un signe invariable dans le type moyen; - 3° chez presque tous les épileptiques
ne fonction- nent plus. C'est le cas de notre malade qui en est un type . 3° Perte des images des mots écrits. Lecture p
tion de l'activité des champs corticaux visuels. P. K. XI. UN cas TYPE DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE; par E.-A. HOMEN. (Ne
maladie pré- sente une évolution dont on ne saurait méconnaître le type ; c'est 1 Voyez Archives de Neurologie. Revues
fectieuse, mais rhumatismale; tandis que la chorée grave, serait un type de psy- chose infectieuse réellement toxique.
cés ; on leur a servi un code qui ravale les pauvres aliénés à un type spécial du genre homo, et n'est pour l'aliéniste
pas si précis que cela. Qui peut actuellement dire a priori si les types connus dans la science sous le nom de secondair
1G. Une clinique psychiatrique doit présenter à l'auditeur tous les types voire les types curables. En revanche,' il sera
psychiatrique doit présenter à l'auditeur tous les types voire les types curables. En revanche,' il serait excellent de
ille de vingt-trois ans atteinte d'atrophie musculaire progressive, type périphérique (péronéal type) du rapporteur. Les
inte d'atrophie musculaire progressive, type périphérique (péronéal type ) du rapporteur. Les membres inférieurs de la ma
ont que des exemples de cette même atrophie musculaire progressive ( type périphé- rique), mais compliquées. Elles tienne
athies, il serait évident que l'atrophie mus- culaire progressive à type périphérique viendrait en même temps toucher de
nique et anatomique d'un cas observé par lui, qui diffère un peu du type morbide exposé par M. Marie, et à ce propos le
l'influence provocatrice de la syphilis sur certaines névroses, des types cliniques ainsi déter- minés, et des difficulté
arrêtant la reproduction et en éteignant d'une façon pratique ce type dégénéré. L'obstacle sérieux repose dans ceci, qu
nouvelles secousses; à 105, convulsions toniques, très intenses ( type déjà décrit). Quelques secousses cloniques dans l
njection : douze minutes environ. (Cette description peut servir de type pour les convulsions toniques analogues à celle
mporte quelle forme, nous croyons préférable d'énumérer d'abord les types cliniques de l'amblyopie transitoire, à l'aide
ont simplement congestionnés. -Le foie, pesant 1,600 grammes est un type de foie muscade. La rate est volumineuse. Poids
d'intérêt et fit naître une vive discussion. C'était un très beau type de cerveau aphasique et il confirmait de la faç
phénomènes qui apparais- sent sont plutôt ceux qui appartiennent au type appelé épilepsie idiopathique,'et dans lequel t
rois, établi d'une façon certaine, que les convulsions du véritable type touico-clouique de l'épilepsie, peuvent seulement
émoire etc., enfin des états délirants qui sont ramenés à plusieurs types : le type maniaque (délire fébrile), le type al
enfin des états délirants qui sont ramenés à plusieurs types : le type maniaque (délire fébrile), le type alcoolique (al
t ramenés à plusieurs types : le type maniaque (délire fébrile), le type alcoolique (alcool, datura, atropine); le type
(délire fébrile), le type alcoolique (alcool, datura, atropine); le type maniaque expansif (benzine, gaz hilarant); le t
atropine); le type maniaque expansif (benzine, gaz hilarant); le type mélancolique (kawa, licheguana) ; les formes mixt
st pas une entité. Les idées de négation ne sont pas rares, mais le type délirant de Cotard avec ses symptômes complets et
différents ne se- raient-ils pas seulement de simples variations du type décrit par lui. Le délire des négations représe
mélancoliques avec délire de négation systématisé, correspondant au type décrit par Cotard" et qui dès lors doit être co
de négation, mais je n'eu ai pas rencontré un seul qui répondit au type créé par Cotard. Je crois que cet auteur a surt
précocité pos- sible des ;idées de négation chez les anxieux. Si le type qu'il décrit est nié, ce n'est guère que par ce
AI. Joffroy vient de rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOFF&oY. La s
rédis- posante. La vraie paralysie générale est celle qui répond au type anatomique que je viens de décrire. M. PIERRI
la convalescence; le vertige épileptique serait en quelque sorte le type de cet état. Les malades qui se plaignent qu'on
ément microcéphale. Le crâne était symétrique et dévié seulement du type normal par la-petitesse de son volume. La mère
ttaque d'épilepsie. La tête est petite et en forme de pain de sucre type de l'oxy- céphale. La suture sagittale se prése
otre pays, je crois qu'il serait beaucoup plus sage de reléguer ces types infortunés de l'espèce humaine dans des Ecoles
ntinuèrent. Après quelques jours s'y ajoutèrent d'autres attaques à type h3·stéro-épileptiqire. Celles-ci survenaient le m
s d'aphasie motrice. Outre ces attaques elle en présente d'autres à type hystéro- épileptique avec les modalités décrite
ntéressante; on y trouve à une certaine période de son évolution un type clinique parfait d'épilepsie sensilive : engour-
llement leur caractère accessionnel et systématique, en assumant un type pour ainsi dire erratique, en changeant avec un
d. - Aurait-on à faire avec la méningite chronique de l'adulte à type hystéro-épileptique, décrite par le docteur J.
esquisse, entre gensnerveux, névropathes et véritables malades d'un type noso- logique bien défini, nous trouvons que l'
fugaces, très variés et ne constituant pas une affection nerveuse à type défini et persistant, l'amblyopie transitoire s
s, mélancoliques, comme Berthe. Celle-ci se rapproche, en effet, du type qui a été appelé l'hystérie mas- culine, mais q
s- culine, mais qui existe aussi chez la femme. Au fond, ces deux types reviennent à peu près au même. Elles ne sont plus
t, il a toujours voulu mettre de l'ordre dans ce chaos, choisir des types , établir des classes, soumettre à des lois des
it de la volonté de l'individu. Dans cette catégorie de maniaques à type anormal que présen- tent les dégénérés névrosés
es impulsions dangereuses. La folie impulsive est certainement le type le plus remarquable de la folie morale : les dé
trent les premiers signes d'idées - ambitieuses. En somme, un cas type de délire chronique. E. B. , VII. Crime ET resp
ime montre que les cerveaux des criminels chroniques sont déviés du type normal et se rappro- chent de ceux des êtres in
de la réaction démé- néralive complète ou moyenne. Et notamment les types de para- lysies périphériques graves, par exemp
alysie générale spinale diffuse subaiguë de Duchenne, est elle un type distinct, par Leroy, 18. Paralysie BULBAIRE ave
50 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à notre avis, un de ces individus ressemblant, à s'y méprendre, au type décrit sous le nom de persécutés persécuteurs.
apuleuse et apparaître, en quelques points, des pupules d'urticaire type dont aucun dermatologiste n'aurait révoquée en
un peu plus probants : Le courant induit d'un appareil à chariot du type Dubois- Raymond, avec interruptions fréquentes,
notisme, semblent pouvoir être ramenés, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à savoir : 1° l'état cataleptique
tes, pensant qu'il était préfé- rable de s'arrêter tout d'abord aux types réguliers, avant d'étudier les formes mal dessi
pnotisme. Il reconnaît même que le grand hypnotisme, s'il répond au type parfait, représente cependant une forme rare. L
tre maître, nous le répétons, la forme la plus parfaite, la forme type de l'hypnotisme, et c'est elle qui doit servir de
ier suivant telle ou telle circonstance et se convertir en la forme type . La transformation peut être progressive. Voici
mme nous venons de le dire, un caractère qui est commun il la forme type et aux formes frustes que nous avons étudiées j
ître l'existence d'une série d'états^ intermédiaires entre la forme type et la forme la plus effacée. Nous rappelleron
rses formes convulsives ou psychiques, peuvent être rattachées au type de la grande attaque d'hystéro-épilepsie, de même
dans le grand hypnotisme. Les attaques d'hystérie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une ou plusieurs période
e la plus parfaite de l'hypnotisme, celle qu'on doit prendre pour type , et à laquelle on propose de donner le nom de gra
GRAND .ET PETIT HYPNOTISME. 1O5 M. Bernheim refuse de prendre pour type de l'hypnotisme le grand hypnotisme qui est, di
ité de leur sommeil, et ce n'est que parce que nous connaissons des types plus parfaits que nous sommes portés à admettre
r ni de subdiviser l'entité dont nous connaissons non seulement les types mais les variantes selon qu'on se trouve en pré
confusion psychique. P. K. II. DE L1 folie systématique originelle ( type S.1\DRn) j par CL. 1\'r[SSLR. (A ? -eh. f. Psyc
véritable. 12° Non seulement les affections cardiaques modifient le type et les délusions de la folie, mais il existe en
quartiers spéciaux annexés aux maisons centrales, quartiers dont le type existe déjà à Gaillon et qui sont destinés à re
. Les notions anatomiques sont insuffisantes pour caractériser le type criminel, mais la physiologie permet d'établir th
n inférer, comme M. Lombroso tente de le démontrer, qu'il existe un type d'homme criminel dont le critérium anthropologi
ticulières de troubles cérébraux peuvent être considérées comme des types d'amnésie, dans lesquels cette partie de la fac
s rotuliens sont normaux'. Dans l'histoire ci-dessus, nous avons un type remar- quable d'un trouble psychique caractéris
me on a pu le remarquer, cette forme peut se pré- senter sous trois types distincts : 1° le type de paraplégie des membre
cette forme peut se pré- senter sous trois types distincts : 1° le type de paraplégie des membres inférieurs ; 2° le ty
distincts : 1° le type de paraplégie des membres inférieurs ; 2° le type de double paraplégie et 3° le type de paralysie
e des membres inférieurs ; 2° le type de double paraplégie et 3° le type de paralysie partielle. Quel que soit le type
paraplégie et 3° le type de paralysie partielle. Quel que soit le type que cette forme puisse affecter, elle pré- sent
'il écrivait. Or, nous étions là en présence d'une aphasie motrice ( type Bouillaud-Broca). Par contre, chez l'homme de
les ne sont pas très rares. Elles revêtent, cliniquement, tantôt le type d'hémiplégie et tantôt le type de paralysie par
revêtent, cliniquement, tantôt le type d'hémiplégie et tantôt le type de paralysie partielle. A). Type d'hémiplégie.
e type d'hémiplégie et tantôt le type de paralysie partielle. A). Type d'hémiplégie. De ce type nous avons deux observ
tantôt le type de paralysie partielle. A). Type d'hémiplégie. De ce type nous avons deux observations que voici : Obse
utres symptômes quelconques. Etat actuel (5 août 1884). Rien. B). Type de paralysie partielle. De ce type nous avons d
actuel (5 août 1884). Rien. B). Type de paralysie partielle. De ce type nous avons deux observations intéressantes dont
, qu'il est possible de suggérer à un indi- vidu une contracture du type léthargique, présentant les mêmes caractères et
ur se ressemblent plus ou moins, et se trouvent modelés sur un même type , tandis que ces mêmes sujets diffèrent totaleme
oulu nous traduire, le passage suivant : « On ne peut pas nier le type classique de l'hypnotisme avec la succession de
minés, tel qu'il a été décrit magistralement par M. Charcot. c Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par .M. Charcot,
atteinte. Dans une série d'observa- tions, dont l'auteur fournit un type , la sensibilité cutanée varia en étendue, mode,
M. Luys critique aussi le terme de démence simple qui n'est pas un type morbide mais l'aboutissant commun de toutes les
lement chez les Allemands, une forme qui constitue au contraire un type normal dans les races anglo-saxonnes, surtout che
nte. ' M. NEISIER (de Leubus). De la folie systématique originelle [ type Sknder). Ce n'est pas tant l'hérédité ni les co
e l'aphasie sensorielle de Wernicke et des sous- genres de ces deux types tout un groupe de troubles de la parole d'ordre
scussion : 111. Vio;r.I. M. Westphal, quand en 1876 il a établi son type de folie systématique, a fait connaître les évolu
re en relief, c'est : 1° que l'observation relatée est un très beau type de manie transitoire; 2° que nous apprenons pou
e son tableau clinique. La forme mentale peut-elle revêtir d'autres types , et lesquels ? ... C'est ce que nous ne savons
u système nerveux. Nous tâ- chons avant tout de connaître quoi ? le type . Et une fois que nous le possédons à fond, notr
es; 2° Un accident cérébral appartenant à la forme pa- ralytique, type hémiplégique ; 3° Un accident spinal appartenan
.. Pas d'amélioration; les eschares s'agrandissent ; une fièvre à type intermittent quotidien, à exacerbations revenant
(de New-Yorl;). Dislrophles musculaires. Il pense que l'atrophie à type péronéal a peut-être les mêmes lésions que le t
que l'atrophie à type péronéal a peut-être les mêmes lésions que le type Aran-Duclieune. Il propose de classer comme sui
s atrophies musculaires : I. amyotrophies spinales progressives (1° type de la main; 2° type de la jambe dont une forme,
res : I. amyotrophies spinales progressives (1° type de la main; 2° type de la jambe dont une forme, la forme péronéale)
s-mêmes parfaitement définies. M. Ribot admet que le réflexe est le type unique de toute action nerveuse, de toute vie d
rale). L'auteur à leur suite a rencontré un complexus symptomatique type avec troubles psychiques, anesthésie, lenteur d
51 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et imparfaite- ment constituée. Les enfants menteurs répondent à ce type . Pour nous, les incontinents rentrent dans une
ux ; 3° le caractère névralgique des douleurs. C. VII. UN nouveau TYPE d'hémiplégie alterne (HYPOGLOSSE gauche ET MEMB
'Odessa). (Nouv. iconographie de la Salpêtrière, 1895, n°3. ) Les types d'hémiplégie alterne admis jusqu'ici sont : 1° le
n°3. ) Les types d'hémiplégie alterne admis jusqu'ici sont : 1° le type Millard-Gluber intéressant le facial d'un côté,
uber intéressant le facial d'un côté, les membres de l'autre; 2° le type de Weber, caractérisé par la paralysie de la tr
se une observation qui doit, d'après lui, faire admettre un nouveau type d'hémiplégie alterne. Suit la relation détaillé
qué un foyer de ramollissement, suite d'artérite. Il existe donc un type d'hémiplégie croisée caractérisé par la paralysie
tement psychique. C. XI. UN cas DE myopathie primitive progressive ( type facio-scapulo- huméral) avec pseudo-hypertrophi
e daus le groupe des myopathies atrophiques progressives ou dans le type facio-scapulo- huméral de Landouzy-Déjerine; pr
scapulo- huméral de Landouzy-Déjerine; preuve nouvelle que les deux types d'atrophies myopathiques, la myopathie atrophiq
ues distincts, telle une sclérose des cordons postérieurs tabétique type avec de l'endartérite ou de la méningite chroni
? Je rappelle que le malade était un arthritique héréditaire, un type de ce que nos anciens auraient appelé la diathèse
ne sont pas conformes à quelque 126 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. type sauvage primitif possédant un syslème nerveux imp
ot, les déments de toutes variétés ; 4° Enfin l'hystérie forme un type mixte où se rencontrent tantôt des impulsions v
s sont divisés en trois groupes : . 1° Déviations morphologiques du type normal comprenant les déviations des proportion
ulières de différentes parties; 2° Les déviations fonctionnelles du type normal comprenant les innervations anormales ou
morale; par le D'' Gorton. Histoire clinique intéressante d'un cas type de folie morale. A propos de ce cas, l'auteur r
s, un ensemble de symptômes typiques, dont le cornplexus réalise un type morbide caractéris- tique ? On est obligé de ré
anatomie pathologique sert à l'élablissement et à la séparation des types cti- niques. Par sa méthode anatomo-clinique, C
clonies forme deux chapitres intéressants de cet ouvrage. Entre les types cliniques, il existe des types intermédiaires n
téressants de cet ouvrage. Entre les types cliniques, il existe des types intermédiaires nombreux permettant de passer in
entales ne sont, représentées dans les asiles d'aliénés que par des types accentués ou compliqués dontles formes atténuée
accord sur la nature parenchymateuse ou interstitielle du processus type . 1 M. Vallon. -Les cas de paralysie générale à
arce qu'il y a de nombreuses formes de transition entre les divers - types décrits, parce que certaines formes sont encore m
tion. J'ai vu un homme atteint d'hémiplégie avec un trem- blement à type de paralysie agitante. L'action psychique de l'ai
ants alcooliques récidivistes et les délin- quants considérés comme types intermédiaires entre la raison et la folie, pro
sortes de persé- cutés : les persécutés raisonnants ou persécutés ( type Falret) et les SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 persécu
il conserve toujours les mêmes caractères primitifs. Les persécutés type Lasègue arrivent toujours à avoir des hallucina-
ns, surtout de l'ouïe et de la sensibilité générale; les persécutés type Falret, au contraire, n'en ont jamais. Telles son
elles sont les différences radicales qui séparent les persécutés du type Falret des persécutés du type Lasègue; ce sont
icales qui séparent les persécutés du type Falret des persécutés du type Lasègue; ce sont là des types bien connus, je n'y
cutés du type Falret des persécutés du type Lasègue; ce sont là des types bien connus, je n'y insiste pas. Il est un poin
conditionnés par les hallu- cinations du moment. Donc, voilà deux types de persécutés bien différents l'un de l'autre p
ble d'éprouver les différences de degré les plus grandes; à côté du type le plus fré- quent et qui est celui que nous av
gaiement, considéré en lui-même, n'a pas non plus les caractères du type le plus communément observé. La phrase encadrée
divers centres moteurs à la surface de la zone rolandique; dans le type facial, par exemple, la superposition des trois
nte jusqu'à l'extrémité supérieure de cette circonvolution. Dans le type brachial, le rayonne- ment de l'onde envahit d'
..'un certain nombre de carac- tères qui les éloignent beaucoup des types connus et décrits; c'est pour cela que nous avo
ue exact et qui en a compris la nature. Le sein hystérique est un type d'hystérie localisée. Il reconnaît souvent pour
elle lombo-sacrée. Dans les cas de syphilis précoce ou tardive, les types cliniques deviennent variés. La raison en est d
x ont, pour ainsi dire, disparu, mais il existe quelques douleurs à type fulgurant dans la région occipitale. Les princi
as de polioeucéplralomyélite qui s'écarte sous certains rapports du type classique de cette affection. L'auteur fait d'a
pense d'abord qu'il est atteint d'atrophie musculaire progressive, type Araii-Duelientie5 mais le professeur de Renzi d
ut entraînés par le souvenir des savants qui ont étudié et fixé les types de la folie, et qui restent encore aujourd'hui
ion des diverses liqueurs, l'absinthe peut être considérée comme le type . A cette consommation effrénée d'alcool corresp
ont été étudiés et, il leur propos, une obser- vation répondant au type que nous décrivons. 3 Marcé. Traité pratique de
e l'emporter sur celui du centre audi- tif. Or, chez les persécutés types , l'hallucination visuelle est bien plus rare qu
ce qui est dû à ce que la respiration s'effectue uniquement par le type abdominal. Rien de notable aux membres supérieu
leurs dans les membres, surtout dans 'les inférieurs, mais, sans le type fulgurant. Sensation de compression en ceinture v
s'occupent plus spécialement de maladies nerveuses ont vu quelques types de ces chorées inconstantes, iné- gales, interm
gie et pronostic de la paralysie des tambours. Il y en aurait trois types . Le premier, le plus fréquent, consiste en une
eur et du court abducteur, qui sont fréquemment atrophiés. - Second type , bien plus rare. Paralysie du long fléchisseur du
malade ne pouvant fléchir la première phalange du pouce. Troisième type , très rare. Paralysie simultanée des longs fléc
ires. Il donne aussi une nouvelle observation relevant du troisième type . Parésie du long extenseur et du long fléchisse
phalie et faillit mourir; il guérit cependant, mais pour devenir un type parfait de dégénéré impulsif et d'épileptique.
scissures des deux hémisphères s'écartent toutes, plus ou moins, du type normal. Pour l'examen histologique de la moel
sont alités. 490 SOCIÉTÉS SAVANTES. On a proposé récemment divers types de quartier de surveillance que l'on peut class
e quartier de surveillance que l'on peut classer comme suit : 1° Le type Gudden. Deux salles communiquant entre elles, s
s d'isolement. Le quartier de surveillance de Lauenburg répond à ce type . 2° Le type lazaret. Les deux salles sont sépar
Le quartier de surveillance de Lauenburg répond à ce type. 2° Le type lazaret. Les deux salles sont séparées par des ch
e bains, le closet, la chambre de réunion) et un vestibule. 3° Le type Alt-Scherbitz caractérisé par le nombre et la dis
tion spéciale des chambres de réunion. DNno conclut ainsi : 1. Le type Gudden a donné jusqu'ici des ré- sultats satisf
52 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bès et qui, selon Striimpell, demeureraient indemnes dans les cas types de cette maladie. De l'existence des « fibres spé
ones intercalaires (Schali-iveu- 2-oize), correspondant au deuxième type de Golgi, se trouvent-ils encore interposés par
triques agissent d'une façon très favorable, en réalisant autant de types de l'asile d'aliénés moderne; elles montrent ce
trer ses leçons et ses conférences. Il possède aussi la plupart des types des maladies mentales et nerveuses et sa collecti
teints de paralysie générale. Ils n'en présentent pas assurément le type classique, mais ils sont une preuve de plus que
ué- rison ; la rigidité volontaire appartient à ce qu'il appelle le type périphérique, c'est-à-dire le type observé dans
appartient à ce qu'il appelle le type périphérique, c'est-à-dire le type observé dans l'hémiplégie ; on peut s'en assure
nerveux (méduse, etc.); 5° Chez les vertébrés, on constate sur les types ancestraux (acra- niens) une segmentation de l'
es, paranoïaques et hallucinatoires, hystériques et épileptiques, à types cyclique et hebephrénique). Enfin, en dernier l
ustes et de statuettes consacrés à la représentation des principaux types neuropathologiques. Ces oeuvres sculpturales ont
nd fondre en une seule maladie l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et la sclérose laté- rale amyotro
distinc- tion entre une maladie (atrophie musculaire progressive du type Ai-ttit-l)ticlteiine) dont toute la symptomatol
ction. Elle nous montre dans l'atrophie muscu- laire progressive du type Aran-Duchenne une affection exclusi- vement spi
se latérale amyo- trophique de l'atrophie musculaire progressive du type Aran- Duchenne nous est imposée par la clinique
des faits qui établissent que l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne peut évoluer suivant le mode suba
deux auteurs ont conclu que l'atrophie mus- culaire progressive du type Aran-Duchenne est une affection sys- tématique
on Lenhossek de distinguer plusieurs espèces de ces cellules, d'eux types surtout, les cellules claires et les cellules e
insiste sur les nombreuses transitions qui existent entre ces deux types extrêmes. Et c'est là une circonstance qui ne l
paraissent avoir subi le processus chromatolytique appartiennent au type des cellules claires. En dépit de ces résulta
moins de - pigment jaune. ' La déviation la plus ordinaire de ce type cellulaire normal est la - dégénérescence granu
était en état de dégénérescence; mais la majorité appar- tenait au type normal. L'auteur ne prétend pas en déduire que,
s une proportion de 61,7 p. 100, on a pu constater une déviation du type normal dans des cas d'aliéna- .tion mentale don
récédée de paralysie, ayant débuté dans l'épaule et'le bras gauche ( type scapulo-huméral), le cou surtout à gauche, puis
u trouble sensitif également curieuse. Les auteurs y joignent trois types de sclérose en plaques clas- sique (2 h. et 1 f
par l'hygiène et la morale, il est nécessaire d'abord de fixer des types dont doit se rapprocher l'élève et les - 152 RE
ologique qui a si gran- dement contribué à nous faire connaître les types anormaux, fous ou criminels, par exemple, ne pe
nesthésiques, ou hémianesthésie sensitivo-sensoriellè com- plète du type usuel. (Charcot.) ' Voir Gazelle hebdomadaire e
a face. Celle-ci, lorsqu'elle est impliquée, présente d'habitude le type labio-glossal spasmodique (Charcot) du même côt
ou à un segment de ce membre ; et par l'association d'anesthésie de type morpholo- gique (Charcot) qui ne correspond pas
est absent ou difficile à obtenir. Si on peut l'obtenir, il est du type normal « fléchisseur ». Dans l'hémiplégie organ
affections des faisceaux pyramidaux, le réflexe plantaire est du type « extenseur » (symptôme de Dabinski : phénomène d
e. De plus, les auteurs pensent que ces cellules appartiennent à un type moteur spécial différent, par exemple, du type de
s appartiennent à un type moteur spécial différent, par exemple, du type des grandes cellules radiculaires de la corne a
malades dont le délire des négations guérit n'appartiennent pas au type Cotard. Ce sont des hérédi- taires dégénérés pr
forcée de l'avant-bras d'un seul côté. Syringomyélie unilatérale à type sensitif. M. Touche présente un malade chez qui
, et que les cel- lules nerveuses complètement développées, même du type le plus différencié, tel que les cellules pyram
ant une grande variété d'aspects (sphères distinctes ou conjointes, type en barillet, en haltère, en triangle, etc). L
cas publiés jusqu'à présent n'a d'égal que l'infinie variété des types morbides que l'on y fait rentrer. Si pour un cert
morbide, et qu'on doit, en dernier ressort, les considérer comme un type spécial de paralysie spasmodique familiale esse
Un cas d'atrophie segmentaire ou atrophie musculaire pro- gressive type Aran-Duchenne ; par van GEHUCHTEN. (Joui-n. de
, , On sait que l'existence de l'atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne a été contestée dans ces derniers t
i trois observations très intéressantes, caractérisant chacune un type de Béribéri, et que nous regrettons de ne pouvoir
e pouvant se rattacher qu'à une lésion unilatérale de la moelle. Le type pur de cette paralysie est très rare dans la sy
corps, ni aux corps amyloïdes de la prostate. En étu- diant un cas type de sclérose amyotrophique latérale, l'auteur et
combré et abrite jusqu'à 800 malades, il est conçu suivant l'ancien type de l'asile français de 1830, en ailes parallèle
que l'atrophie du corps thyroïde. Cliniquement il s'agissait de cas types d'acromégalie présentant tout le cortège symptoma
lendemain de l'opération la malade eut des crises épileptiformes du type jacksonnien qui per- sistent toujours '. * F. B
rieurs avec hypéresthésie du côté moins parésié, réalisant ainsi le type expérimental de Brown-Séquard produit par l'hém
teurs des membres supérieurs étaient variables, réalisant tantôt le type Déjerine-Klumpke ou Duchemin- Erb. Ils présenta
uellement : La tumeur dont il s'agit présente l'aspect de plusieurs types his- tologiques, (carcinome, sarcome et gliome)
gliome alvéolaire, il y a : 1° l'absence de la cellule épendymaire type , caractérisée par ses longs prolongements filam
entourent les vaisseaux; et 4° par places la transition qui va des types les plus complexes à un tissu diffus ressemblant
inome. Voyons s'il est actuellement possible de distinguer ces deux types de tumeur. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 413
Clay. XXXIX. Une forme dégénérescente-de folie syphilitique, avec types cliniques; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of Men
larités opposées se peuvent combiner, et, en ce cas, surgissent des types d'individualités désé- quilibrées, douées de ta
allucination psychomo- trice est très fréquente chez les médiums du type Allaii-la-dec et qu'elle explique la sincérité
1. Oono et OLMEn (de Marseille) envoient une observation qui est un type aussi pur que possible de leptomyélite diffuse à
garçon de trois ans environ atteint d'un tremblement de la tète du type « négateur » ; tremblement qui se modifie 'par
athique dont les bras, le thorax et la face sont pris, mais dont le type diffère absolument du type Landouxy-Déjerine. C
horax et la face sont pris, mais dont le type diffère absolument du type Landouxy-Déjerine. C'est un homme de vingt-cinq
face. Il existe un ptosis bilatéral très accentué. Contrairement au type L.-D. le malade peut fermer complètement les ye
asticateurs. Pour éviter toute confusion, M. Marie montre un malade type Landouzy- Déjprine dont l'oeii gauche est class
M. Tokarsky ne croit pas que ce cas doit être considéré comme un type autonome, méritant un nom à part. iAI. 5num.v e
sieurs fomes de folie épileptique, que de différencier plusieurs types de paralysie générale. Secrétaires des séances
ulaire progressive, par de Bitch et de Mopr, 145. uni- latérale à type sensitif, par Touche 183. Déviation de la colon
53 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en face de ces manifestations, l'auteur décrit un certain nombre de types un peu arbitraires, il faut l'avouer, ce défaut
suivre l'évolution. C'était facile, eu égard à la fréquence de ces types dans nos asiles et en particulier à Bicêtre où
ique n° 9, p. 178. Un cas de tremblement essentiel con- génital (du type sénile). ' Thomson. Sur l'éliolorlie du spasme
t, en se basant sur la complexité du syndrome, établir une série de types morbides plus ou moins complexes et suivant une
de progression ascendante en raison de leur complexité même : 1er type . Nystagmus essentiel, manifestation isolée. 2e
té même : 1er type. Nystagmus essentiel, manifestation isolée. 2e type . Nystagmus essentiel avec symptômes nerveux var
variables surajoutés : asymétrie faciale, inégalité pupillaire. 3e type . Nystagmus essentiel avec symptômes nerveux spé
spéciaux : exagération des réflexes, trépidation épileptoïde. 4e type . Manifestation familiale de ce même symptôme (t
autre mérite que sa simplicité. On ne saurait en effet regarder ces types comme les représentants d'une lésion centrale p
remblements divers : nystag- mus simple ou tremblement infantile du type de l'observa- tion de MM. Raymond et Cestan. A
se demander si de pareils sujets persisteront indéfiniment dans le type morbide qu'ils ont présenté jusqu'alors et s'il
est probable aussi que l'on pourra trouver dans la même famille des types différents ressortissant les uns à la névrose t
douleurs qui furent bientôt suivies d'une paralysie radiculaii e du type Erb, avec atrophie des muscles de la ceinture sca
uleurs spontanées, et enfin cette paralysie n'aurait pas affecté le type d'Erb; elle aurait vraisemblablement empiété sur
ifs, on observe encore des phénomènes de déficit réalisant alors le type de l'aphasie sensorielle .- surdité verbale, para
istence ou de la non-existence de la folie raisonnante, en tant que type morbide défini a dû aux communi- cations de J.
suite au membre supérieur, au tronc et à la face. Il y a donc là un type nouveau d'atrophie à forme hémiplégique, et une
ie à forme hémiplégique, et une notion nouvelle familiale. - Hemt/ type ? '<)'op/tt'6 congénitale. M. Gilbert Ballet
uto-intoxications microbiennes et autres) ; 3° folie des dégénérés ( types Magnan) ; 4° folie en rapport avec les névroses
urant les diverses régions de la France, c'est la diversité dans le type , dans le costume, dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 245
vrose d'angoisse, dont on a voulu SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1 faire un type morbide distinct de la neurasthénie et auquel on
e un spasme fonctionnel ou torticolis spasmodique intermit- tent du type Brissaud. Si le cou est fixé dans une attitude
'expression mimique d'un trouble psychosensoriel. La mimiqne est le type le plus parfait des réflexes corticaux résultant
atience des opérateurs. - , M. Bouhneville rapporte une observation type de maladie des lies que nous publierons prochai
groupes établis, tandis que les autres s'écartent plus ou moins du type décrit, par un certain nombre de variantes qui
que et descriptive, fondée sur l'étude des observations, des grands types d'aulo-accusateurs, successivement considérés, se
édico légale des auto-accusateurs étudie, parmi tous ces différents types , ceux qui franchissant les limites du délire pl
érogène des auto-accusateurs, une catégorie bien spéciale, riche en types divers et très curieux. Chacun d'eux, dans le r
tc. C'est à l'aide de tous ces éléments que l'expert déterminera le type pathologique de l'auto- accusateur. La réalité
ules étoilées de la couche des grains, cellules de rela- tion ou du type II de Golgi/et est mise en évidence par la dispa-
aissent envahir plus facilement par les éléments cancéreux, de même type que ceux de la tumeur primitive. Ces éléments s
ou arrondis, entourés d'un protoplasma variable en étendue selon le type de la tumeur, mais émettant toujours un chevelu
rvations, les deux nôtres et celles déjà publiées, pour en faire un type à part de sarcomatose, type qui.nous parait êtr
celles déjà publiées, pour en faire un type à part de sarcomatose, type qui.nous parait être suffisamment individualisé a
ctères bien connus sur lesquels il est inutile d'insister. C'est un type clinique très net. A côté des états neurasthéni
neurasthénie constitutionnelle, il y a, pour M. Maurice Ducosté, un type spécial de neurasthénie « qui, aussi bien par s
tation générale du' délire, dans la détermination de ses caractères types ; s'il en fallait une nouvelle preuve, notre ma
ils constituent une seule maladie. » XXIII. Amyotrophie double du type scapulo-huméral consécutive à un traumatisme un
cation du Congrès interna- tional de 1889, en'ajoutant toutefois un type ne rentrant dans aucune autre catégorie : la co
es attaques rudimentaires d'angoisse qui peuvent affecter : 1° Le type respiratoire ; 2° Le type' cardiaque ; 3° Le type
affecter : 1° Le type respiratoire ; 2° Le type' cardiaque ; 3° Le type à sueurs ; 4° Le type à tremblements ; 56 Le ty
respiratoire ; 2° Le type' cardiaque ; 3° Le type à sueurs ; 4° Le type à tremblements ; 56 Le type à boulimie; 6° Le.
cardiaque ; 3° Le type à sueurs ; 4° Le type à tremblements ; 56 Le type à boulimie; 6° Le. type à diarrhée et polyurie
sueurs ; 4° Le type à tremblements ; 56 Le type à boulimie; 6° Le. type à diarrhée et polyurie ; 7° L'attaque vaso-mo-
. type à diarrhée et polyurie ; 7° L'attaque vaso-mo- trice ; 8° Le type parcsthésique ; 9° L'attaque de, frayeurs noctu
ngoissantes, avec tranquillité complète d'esprit dans l'intervalle ( type intermittent ou type rémit- tent), ce dernier p
nquillité complète d'esprit dans l'intervalle (type intermittent ou type rémit- tent), ce dernier plus fréquent ou en de
dans quelles parties du cerveau les plus importants symptômes d'un type morbide ont leur origine. Jusqu'ici, par suite
tion de la face plantaire du pied de l'autre côté. Il existe deux types du réflexe, plantaire contra-latéral : le type
ôté. Il existe deux types du réflexe, plantaire contra-latéral : le type en flexion et le type en extension. Le premier
pes du réflexe, plantaire contra-latéral : le type en flexion et le type en extension. Le premier se produit, en général
ose de plus et de mieux qu'une simple classification des différents types qui la composent. En effet, cette classe compor
ment l'observation d'un malade qui pré- sentait en apparence un cas type ordinaire de faiblesse mentale, et qui est surt
mulation extérieure ou intérieure, on a l'idiotie complète avec ses types divers. Les enfants chez qui le pouvoir d'atten
va au-devant d'une objection : on lui reprochera d'avoir décrit des types bien définis avec altération exclusive d'une se
dan= la manie avec délusions. Aucun des cas observés ne présente le type de la manie déli- rante aiguë décrite comme app
avec les affections cardiaques, et il est remarquable que ces deux types de folie soient aussi les types les plus ordina
et il est remarquable que ces deux types de folie soient aussi les types les plus ordinaires de la folie dite puerpérale.
moins complète des facultés. La démence juvénile ne répond pas à un type unique, inva- riable : elle offre l'image de to
motionnel, sont des cas plutôt légers qui correspondraient ainsi au type hébéphrénique de Ii-aepelin. Les 34 autres sont
Altérations pathologiques. Voir Démence. Amyotrophie double du type sca- pulo-huméral consécutive à un traumatism
54 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
abel (para- lysie flasque avec exagération des réflexes rotuliens), type de ce que l'un de nous a appelé en 1879 la cont
s réflexes se trouve remplacée par une exagération considérable. Ce type de compression médullaire est excessivement fré
presque toujours le mal de Pott à son début. » Sur le fait que ce type de compression est excessivement fréquent, nous
4 David Linn Edsall. Dissociation of sensation of lhe syringomyelic type occlIl'in9 in ! 'oll's diseuse (Journ. of iiei-vo
esthésique avec boiterie intermittente. (Claudication intermittente Type Charcot) ; par Alfred Gonou : v. (The New York
qu'il n'y en a qu'un très petit nombre qui répondent exactement au type décrit parles inventeurs. Osier dit même n'en a
actuel, la claudication intermittente est classiquement conforme au type décrit par Charcot, mais étiologiquement différen
erf crural antérieur, et compliqué de claudication intermittente du type décrit par Charcot. Il regrette que son malade
distinguer, à côté de l'ostéoar- thropathie tabétique classique, un type anatomique à lésions plus fibreuses qu'osseuses
il ne représente donc ni une paralysie pseudo-hypertrophique, ni un type d'amyotrophie Charcot-Marie ou Bosc ou Déjerine
, ni un type d'amyotrophie Charcot-Marie ou Bosc ou Déjerine, ni un type d'amyotrophie neurotique de Iloffmann ou myélop
s formes. La généralisation avec prédo- minance hémilatérale est le type le plus habituel. Elle n'a aucune préférence ma
nd Neurologist, octobre 1899, p. 586-610.) La migraine présente des types cliniques extrêmement divers, sans doute à caus
ait rendu facile de voir clair dans l'homogénéité clinique des deux types neurotiques. Il ne peut être douteux que cette
nait pas d'exemple dans sa pratique. Simon. XXXIX. La variation du type de l'ataxie générale paralytique; par C.-H. HUG
(The alienist and neurologiste, juillet 1899, p. 383 à 389.) 1 Le type actuel de diphtérie, tel que nous observons actue
iphtérie, tel que nous observons actuellement cette maladie, est un type dérivé de celui de Bretonneau et de la diphtéri
ation de la famille de deux myopa- 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. thiques, type juvénile chez lesquels l'affection débuta par les
penserait M. Babinski. Les auteurs classent ce phénomène en quatre types : 1° type normal ; 2° type cérébelleux; 3° type
M. Babinski. Les auteurs classent ce phénomène en quatre types : 1° type normal ; 2° type cérébelleux; 3° type hémiplégi
auteurs classent ce phénomène en quatre types : 1° type normal ; 2° type cérébelleux; 3° type hémiplégique; 4° type de K
hénomène en quatre types : 1° type normal ; 2° type cérébelleux; 3° type hémiplégique; 4° type de Kernig. Les types 1, 2 e
es : 1° type normal ; 2° type cérébelleux; 3° type hémiplégique; 4° type de Kernig. Les types 1, 2 et 3 peuvent coexiste
; 2° type cérébelleux; 3° type hémiplégique; 4° type de Kernig. Les types 1, 2 et 3 peuvent coexister chez le même sujet.
isse de ces grandes cellules étoilées, appelées grandes cellules du type II de Golgi par M. Dejerine, ou de tout autres ce
issent être suppléées par des territoires voisins. Il y a autant de types de mémoire qu'il y a d'individus qui retiennent
enti l'obsession de la rougeur. Analysons maintenant quelques cas types , c'est-à-dire analysons mon état physique et mo
causes et des cir- constances extérieures qui l'accompagnent. 111 type . Brusque, rapide, intensif. Bien à dire sur « a
inutes. En général, le trouble psy- chique n'est pas prolongé. 2e type . - Lent, insidieux, intensif. z Le plus terribl
le voyez, il y a un bouleversement total de l'Etre. Entre ces deux types d'accès et l'état normal s'échelonnent tous les
ion des garderies et de la constitution des cliniques de traitement type Giessen, avec organisation parallèle de colonie
pe Giessen, avec organisation parallèle de colonies pour chronique, type Ghel et Altscherbitz fermes. ' A. Marie. VII.
pes de désordres mentaux : fonctionnels, à guérison fréquente; et types de dégénérescence organique, sans espoir d'ailleu
e et des fonctions cérébrales. L'atrophie musculaire progressive du type Oran. Duchenne et la sclérose latérale amyotrop
en témoi- gnent. Son étude scientifique a fait reconnaitre divers types d'images en rapport avec les divers sens ; et l
lques tubes nerveux, altérés d'ailleurs, n'appartenant plus à aucun type et ne permettant plus le passage de l'influx ne
par 11111. IoIwIUOrF et ROSSOUMO. V. VO ! \OlJIEFF. Du soi-disant type occipital du crâne des aliénés dégénérés. - P
Toute perception est essen- tiellement variable, car elle dépend du type sensoriel (auditif- visuel, etc.) que réalise u
cumenté sur la détermination des actions immorales, dans lequel les types criminels et les facteurs du délit sont soigneu
apidité et de facilité, etc. C'est sourtout dans la Folie du doute, type des obsessions dites intellectuelles, que nous
paroles humbles font croire à la sincérité du repen- tir. C'est le type du dissimulateur et de l'hypocrite. Il pousse ses
mais avant tout d'une inter- vention médicale. ' II. A... est le type du menteur, dénaturant la vérité non dans un bu
et semble, ayant perdu son élasticité, trop large pour revêtir ces types sous-jacents. 11\L. IIUET et GUILL.WV présenten
exagérés. Paralysie bila- térale de la sixième paire. Anesthésie du type de Brown-Séquard. Vomissements fréquents. Papil
gommeuse qui occupe à peu près la moitié de la section médullaire ( type unilatéral de Crown-Séquard). Au-dessous de cet
passagers et transi- 342 sociétés savantes. toires. D'après leur type clinique, ces ictus sont tout à fait de nature
ésenter indépen- damment des crises convulsives 3, revêtant soit le type 1 Cf. Une desquamation analogue dans un cas de
stérique soit aussi suivi 364 CLINIQUE NERVEUSE. continu, soit le type intermittent, ou bien, comme chez notre malade,
e apparente; c'est surtout la constitution chez chacun d'eux d'un type clinique rigoureusement identique : mêmes idées
cinq ans, à la suite de deux attaques successives, une paralysie du type Millard-Gubler. L'hémiplégie faciale droite est r
ns, atteint d'une paralysie traumatique du plexus brachial droit du type Duchenne-Erb. En dépit d'une paralysie complète
malade titubait comme un homme ivre. Puis, quand la paraplégie, du type hémiplégique, se dessina, en s'associant à l'at
l., XIX, 1900.) Deux observations sont relatées. La première est un type de goitre exophthalmique, avec hémorrhagies sou
se. « L'achondroplasie et la dysostose cléido-cranienne sont deux types opposés d'un même groupe morbide, les dysostoses
ostoses congé- nitales héréditaires ». R. C. LXXXVI. Myoclonie du type Bergeron; par R. BERNARD. (z\'ozw. leozzogr. de
éliminaires posés, on conçoit que, dans la neurasthénie, qui est le type de la faiblesse irritable, il faut éviter le vent
ar l'auteur à la Société de Neurologie et paraissant représenter un type accompli de la forme facio-scapulo- humérale de
solu. Le terme pré- disposition n'implique pas la constitution d'un type à part. Le criminel juvénile, en un mot, n'est
au cours de cet état des injections mercurielles. Ce malade est un type de para- lysie toxique par névrite périaxile et
riques, j'ai eu l'occasion de rencontrer dans certaines cellules un type de lésion qui mérite d'être rapporté. Eu effet, c
ement, la mort d'un confrère qui, au coeur de Paris, était resté le type parfait d'un praticien d'autrefois, le De Maire
nous avons remarqué que certaines hallucinations, présentant t le type clinique complet des hallucinations dites psycho-
ar F. Pe- terson, 222. Mort d'un -. Voir fracture. Du soit-disant type occi- pital du citiiie des - degénélés, par V
Dupré et Pagnes, 242. AT1XIE générale paralytique. Va- nation du type de l ? par Hu- plies, 59. Le syndicat des ataxi
55 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e le lecteur à la méditation de la signification des variétés et du type admis par de Krafl't-Ebing, à la lumière de cet
clusion de l'activité cérébrale. La folie systématique chronique type (typische chronische Wahnsinnsform) a, d'après
chtlaeit) y représente un groupe de la folie systématique chronique type (typischer Wahnsinn) qui n'est pas, comme la fo
colique et maniaque, mais encore un groupe que l'on prétend être un type , et auquel on attribue le mélange d'idées de gr
originaire. PINELES. Présentation d'un cas de paraly- sie bulbaire ( type E ! '&-GoM/ ! a)7 ! ). MAYER. Présentation de
re- mens, surtout dans sa forme prolongée, doit être tenu pour le type de ce délire. » A côté de cette folie systématiqu
y a incohérence, mais déjà l'on y peut parfois reconnaître les deux types de délire (délire des grandeurs et délire des per
rbski divise les maladies aiguës dont nous venons d'ac- centuer les types en amenda acuta et paranoïa aczcla. L'amentia a
A. M. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' 'Il î VIII. De la pluralité DES TYPES DE criminels; par le D** van DE- venter. (Bull.
te : au point de vue psychologique il y a lieu de préférer au terme type criminel une dénomination qui exprime la cause
c'est-à-dire du milieu où se trouve le prédisposé. Il existe quatre types de criminels pouvant être classés comme suit :
iste quatre types de criminels pouvant être classés comme suit : 1° type bilieux instable ; 2° typephlegmatique stable ; 3
e suit : 1° type bilieux instable ; 2° typephlegmatique stable ; 3° type sanguin, léger; 4° type mélancolique, triste. C
instable ; 2° typephlegmatique stable ; 3° type sanguin, léger; 4° type mélancolique, triste. Ces types de crimi- nalit
stable ; 3° type sanguin, léger; 4° type mélancolique, triste. Ces types de crimi- nalité limitent d'un côté les divers
minel d'occasion. Il existe une véritable incerti- tude au sujet du type auquel le criminel appartient à l'attention se
nt soumis à une enquête ayant pour but de déterminer les différents types auxquels ils appartiennent. G. D. IX. LES inc
Médical Journal, 24 février 1894) ; en particu- lier les symptômes types signalés par lui se sont trouvés particu- lière
aintenant l'unité clinique de l'hystérie, on peut bien admettre des types cliniques divers. « Il est impossible de nier q
vers. « Il est impossible de nier que l'hystérie traumatique est un type tout à fait à part, notamment par sa ténacité e
nifestations. De même les hystéries toxiques et infectieuses ont un type spécial. Et ici, pour expliquer ces types variés,
ues et infectieuses ont un type spécial. Et ici, pour expliquer ces types variés, se pré- sente, ce me semble une théorie
ains signes caractéristiques, comme Erb a cherché déjà à établir un type de paralysie spinale syphilitique. Il rapporte
déprimés aussi bien au physique qu'au moral. On peut admettre deux types de polyurique hystérique, d'après Archives, t.
peut être en quantité normale ou exagérée dans l'urine; de là deux types secondaires : le type azoturique et le type non
normale ou exagérée dans l'urine; de là deux types secondaires : le type azoturique et le type non azoturique ou hydrémi
ns l'urine; de là deux types secondaires : le type azoturique et le type non azoturique ou hydrémiqne. Trois ordres de
itais beaucoup de ses entretiens familiers, où la présen- tation de types de malades soigneusement choisis, complétait la
a responsabilité est évidemment nulle, il existe les fous moraux, type hybride formant une population intermédiaire flot
ïa innée. Cette paranoïa, par la teneur de son délire, ressemble au type commun de la paranoïa chro- nique, son seul car
a chorée congé- nitale généralisée et de l'atliétose double, quatre types qui se tiennent cliniquement de près, et quison
res par de nombreuses formes de transition et par des cas mixtes, types auxquels on pourrait donner le nom commun de dipl
l, l'auteur passe en revue et donne des observations des différents types d'idées fixes. Dans la seconde, il se demande q
upeur, accom- pagnée ou non d'hallucinations et d'agitation, est le type de la folie infectieuse d'après les travaux les
aralysie; par BELKOWSKY. (Centralbl. Nervenheilk. N. F. V., 189.) Type de démence d'emblée et de démence progressive, n'
important, mais secondaire et ne suffit pas à produire la folie du type puerpéral franc. Le trai- tement seconde entièr
prédominance de l'un de ces trois symptômes qui fait l'un des trois types spéciaux. Bien mieux, suivant lui, il existe des
existe des formes initiales, mitigées et exagérées de chacun de ces types qui montrent, au moins momentanément, la prédom
277 la confusion mentale (Verwirrtheit. amentia) des deux autres types , puisque celle-ci peut s'introduire à l'état épis
n mélancolique ,, (Cramer et Magnan, s'entendent à rejeter ces deux types dans [,une,autre classe de,,psychoses fonctionn
lupart du temps que les formes chroniques. Or l'évolution chronique type est un des signes caractéristiques du délire ch
le le delirium tremens, dont les diverses allures peuvent servir de type de Wahnsinn hallucinatoire primitif à cause de
ences naturelles, a en- gendré, çette échelle si satisfaisante des, types . Tout imparfaite qu'elle. soit/elle n'effacerai
arriva à une conclusion dans laquelle il est fait la part des trois types de pa- ranoïa, des formes de transition (inclas
n jusqu'au 19 mai, époque à laquelle elle eut deux attaques du même type que les antérieures. Elle commença alors à prendr
es condamnés admis à 1'llô- pital d'Etat deMatteawan, présentent un type assez particulier. D'une manière générale;'ce '
nt un type assez particulier. D'une manière générale;'ce ' sont des types simples de>folie; le trouble mental le plus
xtrémités. Il y a des cas dans lesquels, la maladie ayant revêtu le type circulaire, la stupeur à remplacé la manie dont
: . SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 7 atrophie des muscles du bras droit ( type Duchenne-Aran) et moindre de la jambe diminutio
ux centres; 3° la rétrogression suit une marche variable suivant le type des cellules nerveuses. Mais on peut dire, en gén
une collection de planches fixant la structure différente de chaque type de cellules nerveuses. M. Sommer. Quelques résu
impossibilité de déterminer avec certitude, la courbe diurne; 8° le type thermique inverse se montre à l'occasion dans t
la prédominance de tel ou tel autre symptôme, on peut séparer des types qui se rapprochent de telle ou telle affection ;
descendants qui seront normaux et pourront même se rappro- cher du type parfait de l'espèce3. Mais combien rares sont les
1 d'atrophie 460 revue d'électrothérapie. musculaire progressive ( type Aran-Duchennel, 2 cas de paralysie périphérique
z l'autre : toutes les deux étaient, au point de vue somatique, des types de myxoedème. Chez l'une d'elles, l'administrat
compte les estropiés, paralysés, épilepti- ques, anormaux et idiots types , on ai rive à une proportion de 10 p. 100 relev
e reliés ensemble par des corridors complètement couverts. C'est le type qui a été réalisé à Wurzbourg. On trouve deux c
estion non hypnotique par \Vingate, 115. Criminels, pluralité des types , par Deventer, 117. Cubital, analgésie du -,
56 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mme. 21 qu'on trouverait parmi eux des gens à rappro- cher de ces types si bien étudiés par M. Charcot, qui a montré, c
la preuve donnée que la cause des cas de paralysies extensibles, de types très variés, est l'inflammation de la dégéné- r
eut être à d'autres poisons métalliques. Les symptômes dans les cas types sont ceux qui suivaient naturelle- ment une irr
si- dérable que le sien de délirants chroniques conformes à notre type . Si la discussion s'engage dans cette voie, il fa
aliéné nous était, dès cette époque, présenté par Calmeil comme un type de mégalomaniaque. M. Briand insiste pour que l
énés du département de Ria--(in. Cette maison est construite sur le type des pavillons sé- parés. On aadopté ici le syst
ses. Cette condition étant remplie, il est nécessaire d'élaborer un type normal d'une maison d'aliénés pour tous les zem
type normal d'une maison d'aliénés pour tous les zemstwa auquel ce type serait imposé parle gouvernement im- périal. C'
mposé parle gouvernement im- périal. C'est dans l'élaboration de ce type normal que doit con- sister une des tâches les
fin l'oncle maternel de cette jeune fille est un neuras- thénique à type spinal, fortement entaché d'hypochondrie et. at
ment à propos de Vall... (Obs. II) et enfin les accès présentent le type vulgaire, mais sont suivis d'une course soudain
travaux de M. Charcot, offre aussi une étude fort intéressante des types moins complets de la maladie, des cas frustes e
t aussi bien des effets que des causes. La sclérose latérale est un type de myélite parenchymateuse et systématisée. Son
ppe à la fois les deux membres du même côté, elle affecte-'alors le type hé- miplégique et s'accompagne toujours de cont
accentue son arc à concavité droite, et finalement passe au second type d'attaque, les bras en croix. Si alors on comprim
passer par la compression du facial ou du vertex en crise du second type avec les bras en croix et l'abolition de la par
croix et l'abolition de la parole. On la ramène en crise du premier type par la compression du poignet. 22. L'ayant endo
quelques hésitations, elle n'obéit pas et tombe en crise du second type , que l'on transforme en crise de sommeil par la
d on lui ordonne d'ouvrir l'ceil : elle a alors une crise du second type comme chaque fois qu'on lui donne un ordre qu'e
tion patholo- gique : sommeil, coma et léthargie. Dans le premier type , c'est l'aspect du sommeil naturel avec résolutio
b, de l'état cataleptiforme. L'attaque de notre malade, qui est un type très fixe toujours le même, ne rentre dans aucu
mme celle de Pitres. D'où la nécessité de ne pas faire d'avance des types trop abso- lus, des schemas qui généralisent tr
dehors de ces attaques, que nous appellerons « attaques du premier type », F... en présente d'autres un peu différentes
ractures sont les mêmes; l'attitude est différente : dans le second type , les bras sont en croix et le corps tout entier
ligence. Tandis qu'elle entend et parle dans l'at- taque du premier type , elle n'entend ni ne parle dans l'attaque du se
attaques de contractures se rattachant à la première. C'est à ce type qu'appartient F... Quoi qu'il en soit, l'import
e rappeler que les attaques spontanées de F... se ramènent à deux types . Dans les deux, il y a sommeil, contractures gé
orps. A côté de ces caractères communs, dans l'attaque du premier type , l'ouïe et la parole sont conservées, tandis que
e et la parole sont conservées, tandis que dans l'attaque du second type , l'ouïe et la parole sont abolies. Au fond, ces
du second type, l'ouïe et la parole sont abolies. Au fond, ces deux types d'attaque peuvent être considérés comme deux de
peuvent être considérés comme deux degrés. En dehors de ces deux types d'attaques, qui sont 344 CLINIQUE NERVEUSE. d
mmeil pro- voqué, en disant qu'il reproduit absolument le premier type de sommeil spontané que nous avons décrit. Elle
ar la pression des zones hypnogènes, nous arrivons toujours au même type . Et cela est vrai depuis le début, depuis les t
E HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 349 la faire passer du premier au second type de l'attaque spontanée, du premier au second de
par la compression du facial : elle est passée du premier au second type , du premier au se- cond degré. Les différence
de F... Mais deux choses la différencient ab- solument de tous les types de Bernheim. D'abord elle a un état de la motil
er les derniers, en disant que tout l'hypnotisme est dans ses trois types ; Bernheim semble nier les premiers en disant qu
qu'il ne faut opposer les deux autres entre elles. Notre cas est le type d'un troisième groupe, très naturel, très préci
le résultat de nos recherches dans l'ordre des formes de maladies ( types pathologiques), en ayant soin de choisir les ca
d'hui porte le nom d'atrophie mus- culaire progressive, soit-disant type Aran-Duchenne. Tous ces malades ne peuvent dema
t, de classer (peut-être provisoirement), sous une forme clinique type , le plus grand nombre des cas de la maladie, ce
'une paralysie des muscles de l'épaule et du bras cor- respondants ( type Duchenne-Erb.). Les réactions électriques ont t
Ricoux). Le diagnostic pour être complet doit nous apprendre à quel type de mouvement nous avons affaire et nous rensei-
maladie, et il a constaté que chez tous les malades ré- pondant au type de déformation caractérisée par la flexion, l'a
erveux et, réagissant sur les muscles correspondants, produisait un type spécial de déformation. G. D. II. NOTE sur LES
d Surgery. New-York, 1886.) Etude comparative chez les principaux types des mammifères des éminences en forme de colonn
s (dauphin). Les vraies pyramides manquent absolument chez ces deux types . Les vraies pyramides sont de deux catégories :
tres affections. Aussi M. Lafosse s'est-il cru en droit de créer un type clinique, qu'il appelle la céphalée neurasthéniqu
t de serrement plutôt qu'une douleur au sens propre du mot. Dans le type complet, la céphalalgie est localisée à une zon
57 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tais si frappé delà différence fondamentale existant entre ces deux types de ma- lades, que toute cette étude n'est qu'un
ue des centres nerveux de ces deux L'IDIOTIE ET l'imbécillité. 37 types de malades. Toits les idiots en effet présentent
.c'est-à-dire chez ceux qui répondent à la description classique du type , pour lesquels aucun clinicien n'hésiterait ent
re dans le cadre des psychopathies dégénératives, où^elle forme, un type àpart. (.6<<i .m ' n ,J.\<s« t9..^i .-
olie à deux : 'Ti.ip ,9 i° La folie imposée, celle qui répond' au type Lasègue-Falret ; ici un seul aliéné, sujet acti
onne les meilleurs résultats. )"] ? >'» -t ,2La/'oHe simultanée, type Régis : ,deux prédisposés, placés dans les méme
séparation, du délire chez le second malade ; du reste, ces deux types sont rapprochés par, des formes intermédiaires.
1'TISON Smith ; 1 s ' ' par ED. MANN.de New-York. ",u ? C'est' un type de dégénérée criminelle onaniste hallucinée et
* '» vunnn -.» Il 4cln.s ? 1 'La''marche, )'évo)ution''deees divers types cliniques sont étudiées'" avec le plus grand so
il serait superflu** d'analyser en' détail représentent le meilleur type des recherches ? r> destinées à éclaircir le
la méningite. S'occupant, dans la dernière partie de l'article, des types d'ivrogne; il conclut à la classification suiva
séance du 16 juillet 1892. Sur un cas de inyglja- z progressive du type Landouzy, avec autopsie. (Arcfi. de neurologie,
ces dissemblances, de ramener les végétations mésoneuriales à deux types nettement définis et reconnaissant, ehacun une
- t . ) 'i.i * , ; . JI; , M(' . , ' J> . ! Le premier de ces types est essentiellement constitué par des formation
s aberrantes assez nombreuses mais ! ressortissant toutes ? au même type . vem°mtlloc` : zst,tl 3;. xmà3 3suQ eb·a, 'là U
un nodule isolé ou de conglomérats noduleux, les foyers, du premier type sont toujours reliés au périnèvre d'une part, a
entice. Telles sont les formes que l'on peut rapporter au premier type , lequel-ainsi qu'on l'a vu - comprend'de' variété
Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z Au second type , qui reconnaît une origine différente, corres-
b- servent'à peu près exclusivement' dans'( les' foyers du'second type ,' forment des motifs plus que suffisants pour élo
l'un ou l'autre tvpeou bien l'une ou l'autre des .variétés du' même type (Pi. i, 9; 3,,Pi : II, 9.,12; Z5,t6,·` ? ï). y
, il importe de distinguer l'un de 100 ANATOMIE. l'autre les deux types morphologiques que j'ai précédemment établis, c
reconnaissent en réalité une origine différente. Le premier de ces types , le type franchement noduleux, dérive bien cert
sent en réalité une origine différente. Le premier de ces types, le type franchement noduleux, dérive bien certainement
use. Tantôt encore les foyers noduleux composés se différencient du type normal par l'hétérogénéité de leurs nodules et
mot les traits caractéristiques d'une production morbide. Le second type {type lamello-lacunaire) procède non plus de mé
s traits caractéristiques d'une production morbide. Le second type { type lamello-lacunaire) procède non plus de mésonèvr
equel je propose de désigner ces curieuses altérations. Le second type est construit sur un modèle plus simple. Ici le
de l'autre. ' · Fig. 3. 1/500. Grand foyer composite appartenant au type méso- neuritique et occupant la région moyenne
corticales..... , si - .1 -,\ v. , , ? -a '. 1 - Fig. 21. 1/400. Type du foyer péri)zeue,iliqte. , Il n'existeplus qu
t pendant les suites de. , couches (63 p. 100). C'est d'ailleurs le type de la folie aiguë des jeunes REVUE DE PATHOLOGI
s psychoses post-influenziques ? Il est assez bon, surtout pour les types neurasthéniques, (mélancolie hypochondrie); un
ématique périodique; par KAuscH. (Archiv. f. Psychiat., XXIV, 3.) Type clinique assez rare, dont voici un nouvel exemple
ont tout à fait ou presque tout à fait lucides, ce qui distingue ce type de la manie périodique et de la mélancolie péri
: - Observations 1 et II. Sclérose antéro-latérale amyotrophique, type Charcot. Observation III. Sclérose antéro-latér
II. Mars 1894.. ? 85 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ; Par V. BOURDIN Intern
on n'aurait pu lui donner un autre uom - avoue sans la moindre UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. Il 61 difficulté, à con
ysique. (Préface de Krafft- Ebing, dans l'ouvrage du D' Moll.) UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 165 tendre. Elle s'est
Legrain. Du délire chez les dégénérés. Th. de Paris, 1886-1887. UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 167 tions antérieures a
est devenu fou. (On voit ainsi, mieux que par toute description UN TYPE . D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 169 quelle-associatio
cas actuel a été cité par M. le D' Legrain à ce même Congres. UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 171 moindre fait qui se
déments et les idiots, Paris, 1893. m ' v J'^'hÛt- ! "if..ii. UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 'l î.3 que c'est là le
'intensité de sa prédisposition héréditaire, '174 CLINIQUE MENTALE. TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. auront vite abouti ; no
ections du système nerveux ; - 2° Dans les névroses organiques du type dégénératif il y a une toxine d'origine -intrin
lle dorsale a pour symptômes ^l'atrophie, muscu- laire progressive ( type ^Azan-DucJiejine),-^ la ^.paralysie partielle de
li2"es l'oiques,'dont -l'a] coolism peut être considéré comme £ le, type ? 1 que fj'liallucination de la vue est absolum
ives, vomissements persistants^ventre souple.' Respiration normale ( type infantile); pas de tuberculose pulmonaire^ pas
gbgi biioq a OBSERVATION L v,Jean-I3aptiste L ? IseptiaiZSret demi. Type .très net de microcéphale, tête trèspetite ;dév
sisontles .mêmes que dans la, folié., de l'accouchement, mais pies, types n'ont .pas la même fréquence : les, cas de mani
econds, les inoffensifs, envisagés également dans leur ensemble,,du type de,l·homule,criminel. -, ,. , Si, -pris individ
utre part, -pris. dans leur ensemble,, c'est-à- dire étudiés sur le type commun moyen' tiré des descriptions par- ticuli
é plus spécialement' cette vâriabi- lité sont les suivants : . 1° Type moins pur et moins stliénique de la manie, qui de
trices d'articulation' et qui parlent' mentale- ment' leur 'pensée ( type "moteur).' ? laisi. l'état 2 mentalq de'la mala
is cela n'est pas fatal,, et. l'on peut même dire que, dans les cas types , c'est à ce point précis que s'arrête(la deuxiè
macérées et les préparations de Nissl, dont on peut se procurer,des types parfaits et délicieux chez les fabricants de micr
' par B ' ay 1 ' et Bâillârger, conservent toute leur;, valeur; ces types ,, parfaitement définis ? peuvent se montrer isolé
r le secteur de la ville, actionné par des machines alternatives du type Ferranti-Palin. Le courant est , transformé de
aux d'origine traumatique avec ou sans anomalies et qui son tf des' types caractéristiques de paralysie .générale;, l'aut
- , , . ' F, ig. 3. 1/500. l Grand -foyert composite appartenant au type méso- neuritique et occupant la région moyenne
rticates. ? .. - r 4r , .T. ? ;- t4 : ,tlCt'r ab ? ,Fig.i2l. 1/400. Type du foyer jOM' : 7 : eM ? Me. -111. n'existe plus
apport avec la, con- duite, par Zuccarelli, 4f6. ° ' Dégénéré, un type d'héréditniie , .. par", V. Bourdîn, 161 . * '
les- , worth, 296; syphilitique, par s Nolan, 296; variations des types dans la -, par Bullen, 299; ré- . flectivitéd
58 (1934) Oeuvre scientifique
e à consulter et mettre sur la voie du diagnostic. Les douleurs à type radiculaire sont parfois le premier indice d'un
nstatation, au niveau où siègent les dou- leurs, d'une anesthésie à type radiculaire, et du signe des orteils a permis d
halique bilatérale, corticale ou sous- corticale. Il y a d'autres types plus rares que nous allons indiquer. c) La surr
s indiquer. c) La surréflectivité limitée à un membre inférieur. Ce type , parfois lié à une affection corticale, dépend
ure, l'autre membre. Il y a toute une série de transitions entre ce type et la surréflectivité bilatérale des membres pe
surréflectivité est circonscrite dans un des membres supérieurs. Ce type s'observe plus rarement que le précédent; il n'es
bre inférieur. e) La surréflectivité atteint les quatre membres. Ce type se subdivise en deux sous-variétés. Dans la pre
ccuper les deux membres inférieurs et un membre supérieur. C'est un type rare que nous ne faisons que signaler. - En g
on à peu près complète de la force musculaire. Examinons d'abord le type morbide décrit par Erb sous le nom de paralysie
pastique et dénommé par Charcot tabès dorsal spasmo- dique. Dans ce type , cliniquement bien défini, il existe un contraste
ient avant l'apparition de la paralysie. Voici un certain nombre de types que l'on observe : -. a) Les réflexes tendineux
contrastant avec l'état du réflexe achilléen qui est resté aboli. Le type inverse consistant en une exagération du réflex
ou de pressions exercées sur les parties profondes. Si dans les cas types l'exagération des réflexes de défense saute aux y
mme par exemple dans l'hémiplégie vulgaire, dans la para- plégie du type Erb, tandis que la surréflectivité tendineuse est
hose du foie (Revue neurologique, n° 4, rgiz, p. 229). Dans les cas types de cette affection les réflexes tendineux ne so
on et J. Rolland. Paraplégie spasmodique avec contraction en flexion ( type cutanéo- réflexe de Babinski) dans un mal de Po
l'étude. Aussi, pour cette double raison, les prendrons-nous comme type de notre description. Voici, par exemple, un
fléchir de nouveau à la suite d'une nouvelle excitation. Tel est le type général des réflexes de défense du membre infér
de beaucoup le plus fréquent, mais il y a des cas où il affecte le type d'extension : la cuisse s'étend alors sur le ba
1- à lui-même après en avoir fléchi les divers segments. Ces deux types « en flexion » et « en extension » peuvent s'asso
ne déterminera qu'avec peine une simple flexion du pied. Entre ces types extrêmes se placent tous les intermédiaires. En
Considérons maintenant la paraplégie spasmodique en flexion. Dans ce type , contrairement à ce qui a lieu dans le précéden
lement : Nicaud, T'lèse de Paris, juillet rgr4. Paraplégie en flexion type Babinski. RÉFLEXES DE DÉFENSE 123 sant le sys
ne déterminera qu'avec peine une simple flexion du pied. Entre ces types extrêmes se placent tous les intermédiaires. En
en mars 1899 Q, basé en particulier sur une observation qui est un type de paraplégie en flexion, avec mouvements spasm
flexe et celui de cutanéo-réflexe à l'autre. » A côté des formes types , il y a des formes qu'on pourrait appeler inter-
en regard les caractères symptomatiques tracés par moi de ces deux types de paraplégie et les données physio-pathologiques
maintient son équilibre... itDIAD aGas ! NÉS ! E (1) ... Comme type de mouvements successifs, on peut prendre l'acte
se prêtait favorable- ment à l'étude des phénomènes dans leur forme type . Le malade, dont la force musculaire est normal
se chez le malade qui SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 197 nous a servi de type , nous rapportions un deuxième cas. Voici un extra
la patte anté-' 0 rieure droite, ce trouble serait caractéristique ( type Goltz) ; au contraire, dans la patte gauche don
t des sujets normaux à un malade atteint de catalepsie cérébelleuse type , que chez celui-ci le SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 3
e la lésion occupe la partie supranéculaire du facial, réalisant un type de para- lysie faciale tout spécial ? Cette idé
xcitabilité faradique latente et nous pouvons prendre comme exemple type l'un d'eux, atteint depuis plusieurs mois d'une n
développé aux dépens de l'épithélium de la glande pitui- taire, du type malpighien, en pleine évolution hyperplasique s'e
à la fois à des vertiges, de la titubation, à de l'hémianesthésie à type syringomyélique à droite, et au syndrome oculo-
en faire ressortir les qualités, je la mettrai en parallèle avec le type clinique décrit par Erb sous la dénomination de
lle peut être liée à des processus anatomiques variés, constitue un type clinique qu'il est permis d'opposer, à certains é
moins prononcé. V HÉYIISII%DRO111L' SYMPATHIQUE ET MÉDULLAIRE A TYPE IRRITA TIF, A ÉVOLUTION INTERMITTENTE ET RYTHMÉ
êt à essayer de fixer, en réunissant de nombreuses observations, le type ou les types cliniques que peut revêtir le rétr
de fixer, en réunissant de nombreuses observations, le type ou les types cliniques que peut revêtir le rétrécissement du
MOELLE presque également les différents modes. Cette anesthésie, à type nettement radiculaire, peut être, à l'heure act
sensibilité qu'il présente nous parait digne d'être rappro- chée du type sur lequel nous avons attiré l'attention. Voici
lontaires. Dans un autre cas où l'on avait affaire à une paraplégie type extension-flexion, liée à une (') Voir : Revue
741. « Tumeur do la moelle lombosacrée et forma- tions glieuses du type syringomyélique », par J. Jumentié. Travail du La
n pourrait appeler cette variété clinique : paraplégie spasmodique, type « extension-flexion » ('). Mais ces deux formes
ique, 1922, n" 8. 426 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE gère ( type extension-flexion) avec anesthésie nous semble pr
Il présente actuellement l'aspect caractéristique de la myopathie à type facio- scapulo-huméral : il a le « masque myopa
ue 11'euroloigue, décembre pno, p. 602), dans un cas de myopathie à type facio-scapulo-huméral le phénomène que l'un de no
te de secondaires. L'atrophie musculaire dans l'hystérie (') est le type du genre : elle n'apparrait jamais primitivement
econdaires. L'atrophie mus- culaire, dans l'hystérie ('), serait le type du genre; elle n'apparaît jamais primitivement
ion de la psychothérapie dans cette affection ? Choisissez un sujet type chez qui la maladie remonte à l'enfance, s'est ma
vée. Au second appartiennent les états affectifs organisés dont les types principaux sont les sentiments d'espérance et de
e classique avec ses diverses phases, considérée autrefois comme le type de la mani- festation hystérique, ou qui n'en a
des années nos services nous ont montré chaque jour les plus beaux types de l'hystérie telle qu'on la décrivait à la Salpê
îlots irréguliers : assez souvent elles imitent les anesthésies du type périphérique que l'on observe si fréquem- ment
nature hystérique. Des anesthé- sies reproduisant plus ou moins le type segmentaire peuvent aussi être observées dans l
us (Froment). Si l'on considé- rait les anesthésies répondant à ces types comme étant toujours de nature hystérique, on c
Paralysies hystériques. Les paralysies hystériques répondent aux types les plus variés : hémiplégies, paraplégies, monop
ortance même de chacun des éléments constituants. Il en résulte des types cliniques divers qui, malgré leurs dissemblance
ptions anciennes. L'observation attentive d'un malade présentant un type de paralysie (') H. Meige, Mm° Ath. Bénisty et
se. On les retrouvait de même chez plusieurs malades présentant ces types de contractures, si particuliers, qui avaient u
ossible de dégager au milieu des diversités symptomatiques quelques types cliniques qui s'imposent à l'attention : la par
qui présentaient une hémi-anesthésie classique, ou une anesthésie du type segmentaire, n'ont jamais pu endurer, sans le s
t, ainsi que le montrent les schémas annexés à nos observations, un type nettement radiculaire. Nous avons éliminé, bien
ure, présentent, nous l'avons vu, une très grande analogie avec les types de contracture observés dans les accès de tétanie
spect de paralysies ou de contractures, plus ou moins complètes, de types variés. Ils s'accompagnent des signes objectifs s
ue de Charcot et Erb, pourrait être appelée paraplégie spasmodique, type extension-flexion. Elle paraît comporter un prono
plète accompagnée des divers caractères de la paraplégie spasmodique, type extension-flexion. A cause du grand écart entre
troubles a été si lente. Quant au 4e cas de paraplégie spasmodique, type extension-flexion, lequel n'a pas été encore pu
ologie, 5 mai 192 1). 267. Hémisyndrome sympathique et médullaire à type irritatif, à évolution intermit- tente et rythm
aires involontaires 332 V. Hémisyndrome sympathique et médullaire à type irritatif, à évolution intermit- tente et rythm
59 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
es malades m'ont souvent semblé présenter d'une manière exagérée un type de respiration particulier, le type costo-supér
ter d'une manière exagérée un type de respiration particulier, le type costo-supérieur; les côtes inférieures et le diap
ncontrer un psychasthé- nique qui soit, si l'on peut ainsi dire, un type pur de cette affection et qui ne présente pas d
détaillée, la para- lysie cérébrale est une paralysie en masse. Le type de la pre- mière est la paralysie faciale dans
tinctifs entre la paralysie hysté- rique et la paralysie corticale, type le plus parfait de la para- lysie cérébrale org
es, tout en présentant diverses disposi- tions, se rapprochent d'un type qu'il décrit de la façon suivante : 1° La canal
rchives de Neurologie. Revues analy- tiques, n° 66.) En résumé le type clinique de la maladie se compose ainsi qu'il s
DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE 'ÉPINIÈRE (SYRINGOMYÉLIE A TYPE SPASMODIQUE) Par le D' RAYMOND, Professeur ag
à qui incomberait ce devoir, ne se sont point encore représenté un type satisfaisant de cette législation au point de v
iques. Il a paru plus philosophique de s'arrêter tout d'abord aux types réguliers, classiques en quelque sorte, avant d
es épisodes aigus des diathèses ces psychoses revêtiraient aussi le type du délire aigu toxique; ces accès semblent corr
ômes qui ne diffèrent qu'en intensité. La maladie revêt toujours le type clinique décrit sous Je nom de con- fusion ment
à savoir que les délires toxiques, quels qu'ils soient affectent un type uniforme, cliniquement parlant, type caractérisé
els qu'ils soient affectent un type uniforme, cliniquement parlant, type caractérisé par un mélange, par proportions iné
tre les différents modes d'organisation. On les peut ramener à deux types qu'on pourrait appeler type Falret ou de Paris,
ganisation. On les peut ramener à deux types qu'on pourrait appeler type Falret ou de Paris, et type David Richard, très
ner à deux types qu'on pourrait appeler type Falret ou de Paris, et type David Richard, très développé en Allemagne et en
David Richard, très développé en Allemagne et en Suisse; le premier type est une Société indépendante, tandis que le deu
érences se font sous forme de sermons de charité dans la Société du type que défend M. Char- pentier ; il ne voit pas po
âgée de vingt-cinq ans, internée à la Salpêtrière. Elle présente le type de l'arilhmomanie à forme continue. Dans le dia
trouble; 3 neuroblaste plus développé; 4 cellule nerveuse adulte du type multipolaire, avec vn gros noyau nucléole et des
orme de poulpe avec un prolongement c)lindraxile; 6, 6' cellules du type pyramidal ; 7 cellule fusiforme ; 8 cellule araig
«il s'agit d'un tissu néoplasique qui reproduit très exactement le type de la névroglie, en un mot d'un gliome. B. Le t
beaucoup sont vacuolisées. Les unes, plus rares, sont faites sur le type médullaire et atteignent les dimensions de 20-à 3
au des cylindres d'axe qui par- courent la tumeur. Ces cellules à type médullaire siègent plutôt dans le prolonge- men
e, qui ont la forme d'un triangle allongé et qui sont faites sur le type cortical; ce sont à vrai dire des cellules pyrami
draxile. Le protoplasma de ces cellules, comme celui^des cellules à type médullaire, est finement, grenu et ne diffère e
n'ont pas tous le même aspect ; ceux des cellules ganglionnaires à type médullaire ont pour la plupart les caractères d
ux; ils sont peu avides de couleur. Les cellules ganglion- naires à type cortical au contraire ont plus volontiers des noy
résumé, les éléments, que nous venons de décrire sont faits sur des types qui reproduisent assez exactement lesncellules ne
issu est constitué exclusivement par des cellules ganglionnaires du type pyramidal, des filaments nerveux et des neuroblas
qu'on se rapproche du centre, on voit les éléments évoluer vers lés types adultes, 'qui bientôt constituent le tissu pres
u'on le verra plus loin. J'ai déjà décrit l'aspect des points où le type névroglique prédo- mine ; je dois ajouter que m
néo- plasique(Tg.47). Dans les endroits où le tissu est fait sur le type nerveux pur, on n'aperçoit que des cellules gan
née ; neuroblastes plus ou moins avancés dans leur évolution sur le type ganglionnaire. Inclusion- it la paraffine; picr
tité de petites fissures microscopiques qui sont faites sur le même type et qui sont toutes munies d'une couche, simple
proliférer pour don- ner naissance'à.des néoplasmes. faits, sur le type de la tumeur qui nous occupe. Il y a là quelque
e série de conceptions morbides (Meynert, Wernicke). Voici les deux types principaux de délire systématique chronique.
ulés dans l'économie pendant l'évolution de la néphrite antérieure ( type Bouchard, Korsakow). P. K. XXIX. Contribution A
TLER, (Allg. ZC2tSCÎ6, f. Psychicit., , XLVIII,, 6.) . , : '1' '~ Type de pseudo-réminiscences de Kroepelin. -P. K.s f
R. M.-C. XXXIII. La bouche chez les enfants arriérés (imbéciles) DU type MON- GOLIEN ; par ROBERT JoNES. (The Journal of
individus : aux microcéphales et aux enfants imbéciles ou idiots du type mongolien; cette dernière caté- gorie est même;
osition, ce qui revient à dire qu'elle est peu commune,* puisque le type mongolien ne représente que 5 à 6 p. 100 du chi
ie, tantôt ceux des deux névroses combinées. La céphalée suivant le type classique, en casque. Les douleurs lombaires et
sont depuis longtemps connues. En 1872, M. Pierret' a publié un cas type d'atrophie cérébelleuse, accompagné d'un examen
t, avec une articula- tion indistincte. Ce n'était pas cependant un type net de parole scandée; ce n'était pas non plus
enfin, nous rencontrons, signalé pour la première fois,' un nouveau type pathologique bien plus intéressant et que le ma
ère emporté. Un oncle paternel est mort vésanique. La mère était un type de déséquilibration mentale. Migraineuse, inéga
organique vers cette ma- ladie, la tendance héréditaire de certains types d'organisation cérébrale. » On ne saurait d'ail
'intensité. L'hypnotisme a déter- miné chez un sujet constamment le type de lassitude de Foerster et Wilbrand, avec un r
aient un rétrécissement concentrique du champ visuel, décelaient le type des champs visuels déplacés de Foerster. Mais il
e avec les subdivisions de cette dernière en délire de persécution, type Lasègue, la folie processive, folie reli- gieus
colique, opposées à celles des persécutés vrais '. Entre ces deux types de délirants se place un groupe de ma- lades, c
e de un mois à quatre mois. Observation III. Myopathie primitive ( Type Erb). Hystérie. Je ne devrais pas parler ici de
e,,de,ce, c8té. ! rLemêmecsymptcîme,se représenta chez une femme du type delmorvaii-et chez un, homme indemne de tout tr
variable. Chez beaucoup de personnes, qui paraissent constituer le type sain, il y a réfection complète après un sommei
ienne (Autriche). Par diplégies cérébrales, l'auteur désigne quatre types patholo- giques parmi lesquels est la maladie d
types patholo- giques parmi lesquels est la maladie de Litlle; ces types sont : lu la rigidité généralisée (maladie de L
classes des enfants en Suisse, 173; la bouche chez les enfants du type mongolien, par R. Jones, 327; parallèle du tr
merling; 402.' ' ' ' Bouche, la chez ! les' enfants ar- riérés du type mongolien, par R. Jones, 327. ' , ' 0 Bourse
60 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
faveur d'une lésion destructive de nature nécrobiotique : c'est le type à début brusque et à marche chronique. Trois mo
firmation de ce que nous avan- cions plus haut. Notre malade est un type d'héréditaire. Stigmates physiques et stigmates
l'haleine; L'absence de la réaction acétonémique dans l'urine. Le type est ainsi constitué. Un diabétique avéré, après u
s à dater du début des symptômes d'intoxication. Cette forme est le type de l'acé- tonémie à sa plus haute puissance. Ce
tion relative à un homme de cinquante-huit ans. Ataxie- locomotrice type . Le 14 octobre 1881, élongation bila- térale mo
la moelle allongée est atteinte (dès lors, mort rapide). En somme, type Landry. Caractères anatomiques. Altérations myé
érieurs ou, plus souvent, par les inférieurs, et peut revêtir trois types : le type facio-scapulo-huméral, scapulo-huméra
plus souvent, par les inférieurs, et peut revêtir trois types : le type facio-scapulo-huméral, scapulo-huméral, fémoro-
l'évolution, les antécédents héréditaires empêcheront de songer au type scapulo-huméral myélopathique. La sclérose laté
rteur, il suffisait de s'entendre pour adopter un certain nombre de types morbides, comprenant les maladies mentales qu'o
ent être compris dans les statistiques et ensuite quels étaient les types de maladies mentales assez uni- versellement re
historique, principes, méthodes générales, questions d'ensemble, de types , de races, de milieux, de classifications, etc.
ndications de M. le Dr Dufour, médecin en chef. Ils constituent des types parfaits de constructions hospitalières. M. l
p. 608. DU TARES COMBINÉ. 157 groupes on a caractérisé les grands types cliniques, comme l'ataxie locomotrice progressi
t tâcher de les grouper entre eux et de constituer ainsi quelques types cliniques nouveaux. Ce travail ne peut qu'être
s nous séparer de l'Ecole française, pour admettre l'existence d'un type clinique bien défini, distinct des autres myéli
ne peut pas confondre avec la masse des lésions diffuses; c'est ce type clinique que nous proposons d'appeler tabès com
à une myélite de deux systèmes, mais une myélite MIXTE, troisième type de myélite, que l'on n'a pas encore assez étudi
lieu à une étude approfondie. » On voit qu'il a très peu observé ce type ataxo-spasmodique, quand il dit, à propos de la
agération des réflexes. Il y a aussi des cas où le mélange des deux types est intime et où le dia- gnostic devient douteu
a non- systématisation des lésions à la non-existence clinique du type morbide, et ils dissocient et éparpillent sous
un mot plus spécial de l'hérédité. C'est un élément auquel dans les types de Friedreich, on altache une importance majeur
mprimer une bandelette optique et produire ainsi l'hémia- aopsie du type périphérique (voy. le cas de Hirschberg, n° 5).
E L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 227 sente un cas type dans lequel trois périodes principales sont nette
be suivante (4) provient d'une jeune fille hystérique, elle sert de type pour tous les sujets de même nature. Ici nous n
folies : 1° les folies organiques dont la paralysie générale est le type ; 2° les folies vésaniques; 3° les folies hérédita
collègue a. cherché à démontrer le rapport existant entre certains types de folies héréditaires et certaines lésions org
ES SAVANTES. palatine ; slerno-cléido-masloïdiens fortement tendus. Type de respiration coslo-abdominale. Peau très chau
. M. Loehr n'a pas trouvé l'acétonurie dans les faits cités comme types par de Jaksch. Comme il a examiné les psychopathe
nt au processus qui fait le sujet de cette communication, il est le type des processus chroniques, car, dès la période foe
vements automatiques dans les états d'hébétude. Si l'on prend comme type , le sopor tel qu'on l'observe dans les étals d'
entre le sopor et le coma accompagné de résolution musculaire ? Le type du coma, c'est le coma qui, au point de vue sym
liques. A côté du delirium tremens ordinaire, il existe deux autres types principaux de délire des buveurs. Tous deux son
ire des lésions est très évidente sur un grand nombre de fibres, le type du processus s'éloigne cependant par quelques t
t d'une parésie du diaphragme. La respiration s'effectue suivant le type costal supérieur. Le diaphragme se meut à peine
es où l'alté- 350 PATHOLOGIE NERVEUSE. ration a évolué suivant le type segmentaire, on voit au milieu de segments de d
ntaire des altérations, mais celles- ci ne s'éloignaient en rien du type dégénératif dont elle gardaient les caractères.
à donc un premier élément établi pour la cons- titution clinique du type « tabes combiné » ; c'est l'élément « tabes ord
donc dire, déjà de par la clinique, que ces cas appartiennent à un type spécial, qui n'est ni le tabes ataxique ni le t
tabes spasmodique, mais qui tient de l'un et de l'autre : c'est ce type à part que nous proposons d'appeler « tabes com
plus variées de la névrose, en res- tant cependant toujours dans le type classique. La mobilité des accidents nerveux s'
amier 1885). Considérés isolément, ces cas qui ne s'écartent pas du type classique de la mélancolie, ne présenteraient p
pour raisonner, mais pour s'assurer si on raisonne correctement. Le type uni- versel du raisonnement est tel : certains
rvir plus ou moins exclusivement pour penser; d'où l'exis- tence de types sensoriels, comme l'a établi M. Charcot. Le typ
'exis- tence de types sensoriels, comme l'a établi M. Charcot. Le type visuel est le plus fréquent après le type indiffé
l'a établi M. Charcot. Le type visuel est le plus fréquent après le type indifférent. Une belle observation relatée dans
atée dans la thèse de M. Bernard montre bien en quoi consistent ces types sensoriels. Mais en quel point du cerveau local
de la chronicité et de l'hérédité dans la détermination de certains types de folie (Ann. méd. 2)sych.), etc. La plupart d
61 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
objectif de fournir aux asiles d'aliénés existant à cette époque un type de règlement intérieur. Mais, en réalité, ce rè
exagérés. Démence précoce. M. G. Ballet présente deux malades de type différent à l'ap- - sociétés savantes. 53 pui
eur abolie aux doigts et diminuée sur le bras et la main suivant le type radi- culaire. Disparition du sens des attitude
p. É, Cailliard il Narhonne, CROUZON(0.). Epilepsie jacksonienne du type facio-brachial. In-8" de 4 pages,lmp, Thevenot,
ustent dans le proto- plasma.En pénétrant dans ce dernier, les deux types de branchio- les se ramifient ; le premier type
dernier, les deux types de branchio- les se ramifient ; le premier type , à parois, fournit des tuyaux spiroïdes ou droi
ine des seuls nerfs crâniens, et chez l'autre, généralisés selon le type complet de la paralysie agitante avec double cl
a crimina- lité que l'école italienne voudrait pathognomoniquesdu type de criminel-né, mais, par un examen complet, à
ad a constamment trouvé la céphalée avec hyperesthésie cranienne du type réfléchi : au niveau de la zone nasale et front
ment influencés par le traitement moral. Ce sont les nosophobes; de types très variés (gastro-intestinal, cardiaque, tube
titution a eu pour conséquence une confusion regrettable entre deux types différents de malades : le noso- phobe d'une pa
sont assez peu communes dans la folie chronique de la persécution ( type LASkG(irt-FALRET) : le ma- lade, loin de se cro
(névrites ascendan- tes dis to-centrale.s, membre supérieur). Le type de névrite ascendante sera d'autant plus sévère ;
erfs étales ganglions spinaux (\epveu, z) (1), permet, dans les cas types , d'assister au développe- ment progressif d'un
s, les abaisseurs,etc. ? L'éducation sociale ne crée-t-elle pas des types artificiels de respiration, comme la respiratio
'arrière est le siège de la mémoire qui con- ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE. 213 serve les imagesdu passé. L'
e beaucoup plus dé- veloppée que la nôtre. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique. M. LANN
A côté de Gheel, la colonie récente de Lrerneux établie sur le même type est en pleine prospérité. Toutefois la nécessit
scence et les psychoses de la convalescence. 2° Symptomatologie. Le type clinique des psychoses dans toutes les infectio
t. 2° Psychoses de la convalescence. Kroepelin recon- naît quatre types dans les psychoses post-infectieuses en général
- che Verwirtheit) ; 4° la démence aiguë ou stupidité. Ces divers types s'observent dans la convalescence de la grippe
st une vraie et non une pseudo-paralysie générale, est donc bien le type de ces paralysies générales régres- sines ou te
délire de la période d'état de la pneumonie peut affecter aussi le type de délire hallucinatoire aigu, très semblable a
dentiques à celles du nouveau-né normal. Il avait la respiration du type Cheyne-Stokes. Chez l'enfant nor- mal, il en es
profonde, tantôt légère ; ce n'est que lente- ment que s'établit le type respiratoire qui prédomine plus tard » (3). J'a
de transition entre des affections considérées jusqu'ici comme des types pathologiques distincts. Dans le groupe des ata
Dans le groupe des ataxies familiales, P. Marie a décrit, à côté du type classi- que de Friedreich, un type spécialau po
es, P. Marie a décrit, à côté du type classi- que de Friedreich, un type spécialau point de vue clinique et ca- ractéris
t la fréquence a été si grande ces dernières années par rapport aux types purs qu'on est en droit de se demander si ceux-ci
deux maladies et dans les formes de transition qui les relient, des types morbides ayant tous comme point commun l'attein
statique, incoordination, nystagmus),qui réunit dans un groupe des types 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de localisa
aux manifestations hérédi- taires. Il y aurait alors à décrire : un type spinal (type de Frie- dreich), un type cérébell
tions hérédi- taires. Il y aurait alors à décrire : un type spinal ( type de Frie- dreich), un type cérébelleux (syndrome
aurait alors à décrire : un type spinal (type de Frie- dreich), un type cérébelleux (syndrome de Marie), un type bul- b
(type de Frie- dreich), un type cérébelleux (syndrome de Marie), un type bul- baire, un type bulbo-protubéranliel, un ty
h), un type cérébelleux (syndrome de Marie), un type bul- baire, un type bulbo-protubéranliel, un type généralisé, mais
ome de Marie), un type bul- baire, un type bulbo-protubéranliel, un type généralisé, mais tous rattachés par le syndrome
s. C'est ainsi que, pour les atrophies musculaires progressives, le type Werdnig- Iloillnann est venu combler le fossé q
ême temps destructive. Est-ce donc là, se demandent les auteurs, un type exception- nel et irréductible de cavités médul
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lésions médullaires réalisant des types classiques de myélites systématisées. A l'appui
énomme ce groupe de l'ails : l'orme larvée initiale de laplit;ir (1 type tabétique, ou type ipasmodique. De l'analyse de-
l'ails : l'orme larvée initiale de laplit;ir (1 type tabétique, ou type ipasmodique. De l'analyse de- fait-, il semble
n. 17 jam ier 1 ! IU.) Homme de 35 ans, présentant une myopathie il type scapulo- huméral,plus marquée adroite. Pasll'al
ligaments du bras, sans aucune électif té et sans réalisation d'un type bien défini. La sensibilité objective n'est pas
té déconcl'I'lanle, , LusM6)to;'msm;sf ! 'aieiit des diminutifs des types précédents. Ils marchent il la lésion, et devie
longue haleine leur a permis de distinguer les uns des autres trois types nette- ment caractérisés : Les géants infanti
écial. Le diabète vient quelquefois hâter leur lin. Mais ces deux types ne sont pas séparés par des limites irréduc- ti
âne. MM. Lau- nois rt Boy ont même vu un de leurs géants infantiles type s'aan- nér/aliser er2 trois ans, pendanlque l'e
été de Biologie (séance du 15 avril) de l'examen du sang, dans deux types ex- trêmes d'acromégalie. Le cas observé par M.
ial avec l'imbécillité ou quelques autres symptômes, mais bien d'un type dégénérait' nettement délimité, .l'en ai, en Al
ité de médecine de Crouardel et Gilbert, t. IX, p. 5S ; -Idiotie du type mongolien, Compte. rendu de l31cétre, 190 p. 13
e mongolien, Compte. rendu de l31cétre, 190 p. 137-147 ; Idiotie du type mongolien, Compte-rendu de l31cétre, I ! JO2, p
; - 1')otii-ne ille eL,I. liojer, 7 ? fc'tHt<<; congénitale, type mongolien, IGicfezta, p. "$-3j ;t ! our- nev il
trachéo-bronchiques et qui présenta des troubles de la démarche du type cérébelleux, des vo- missements malulinaux, de
é 14 ans ; mais le malade,' dément SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 précoce type , est mort, cachectique avec des signes de tubercu
omsrl1. - numérique. Voir Anomalies congénitales. z musculaire du type Aran-Du- chenne d'origine syphilitique, par.L
62 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne parole empâtée. Son passé était excellent. Emile Mer... a été le type du pyromane rusé et dissimulateur; jamais il n'
iles, c'est encore la transmission héréditaire qui nous présente le type le plus achevé des dégradations physiques, et i
aliénés intermittents, que M. Magnan con- sidère comme réalisant un type intermédiaire, ils sont tel- lement rapprochés
phique, on est obligé de reconnaître, en ce qui les concerne, le type à cinq couches par toute l'écorce. Sans doute sa
ses combinées n'existent pas. A côté de cas purs repré- sentant les types indiqués par la théorie, il existe une foule de
e syndromes devenus classiques de l'aphasie, un certain nombre de types cliniques plus simples et non moins faciles à.
ts eux-mêmes, de l'ob- servation clinique, chercher des formes, des types bien distincts d'aphasie ; quand ces faits auro
images orales aura pour conséquence DE LA SURDITÉ VERBALE 183 un type de surdité verbale auquel je donnerai le nom de
nces qui devraient autoriser à considérer le paramyoclonus comme un type spé- cial dans le groupe des secousses musculai
inégale, car beaucoup parmi elles s'écartent en bien des points du type créé par Friedreich. Aussi, M. Raymond, qui, da
publiées jusqu'à présent en France, aucune n'est aussi conforme au type de la maladie de Friedreich que la suivante :
chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les cas chroniques tendent à
ücktheil) hystérique, pouvant LA PARANOÏA. 227 affecter plusieurs types ; a, un type se rapprochantde la tolie systémati
térique, pouvant LA PARANOÏA. 227 affecter plusieurs types; a, un type se rapprochantde la tolie systématique originai
iginaire héréditaire ( originaria laeeditaria Verrücktlaeil); b, un type qui est de la folie systématique hypochondriaqu
systématique hypochondriaque ( lerpochondiascher Wahnsinn); c, un type caractérisé par des caprices bizarres; d, un type
Wahnsinn); c, un type caractérisé par des caprices bizarres; d, un type carac- térisé par un délire vague des persécuti
écutions sans grande systématisation et dont la teneur varie; e, un type décrit sous le nom d'état de folie systématique
les graphomanes à idées de grandeurs ca- chées. 0 8° Certains cas types de folie lucide ou raisonnante. 90 Les excentri
r. Le délire des persé- cutions, si bien décrit par Lasègue, est un type nosographique devenu rapidement classique que n
stifiée de délire chronique. Le délire des persécutions, restera un type nosologique et une véritable entité morbide dans
es ? 2 La monomanie ambitieuse ou mégalomanie est, elle aussi, un type nosologique; on a tort de vouloir lui substituer
vec les caractères qui lui sont propres. J'ai observé un mégalomane type qui est resté tel pendant plus de vingt ans san
ous indique, mais je ne puis admettre cette tendance à rejeter deux types nettement distincts qui persistent pendant long
il n'y a pas lieu de s'étonner que M. Charpentier ait rencontré des types constitutionnels asso- ciés à l'aliénation qui
ussi peu de mots que pos- sible. Ce sont des établissements dont le type le plus ancien et le plus célèbre est la coloni
ionne d'une manière satisfaisante. Tel est, messieurs, le pre- mier type de ces colonies, dans lesquelles on nous a dit so
ue et ailleurs, que se trouve l'avenir du service des aliénés. Le type de Gheel a été considérablement modifié et, on pe
esoin, les malades de la colonie. L'Ecosse nous a offert un autre type des plus remarquables par ses résultats, qui no
euvre bonne et des plus utiles en don- nant l'exemple, en créant un type , comme il l'a fait pour les jeunes aveugles et
pportées dans plu- sieurs d'entre eux, aucun ne réalisera jamais le type aujourd'hui obligatoire de l'asile d'aliénés te
maison de santé psychiatrique avec hos- pice ». C'est une maison à type colonial avec des travaux lar- gement organisés
t déjà depuis longtemps de nombreux accès épileptiques quotidiens à type procursif. Observation I. Epilepsie PROCURSIV
que j'ai eu l'occasion d'observer m'ont conduit à admettre un autre type de surdité des mots, à laquelle je donnerai le
sensitif). Il sera toujours bon, pour établir le diagnostic de ce type de surdité verbale, de s'assurer de la conservati
donc ? ... » Ce sont là en effet des surdités verbales, mais d'un type qui diffère de tous ceux que nous avons passés
n résumé il résulte de cette étude, que nous pou- vons admettre six types de surdité verbale, suflisam- ment distincts ta
c la surdité corticale partielle. , 2" La surdité verbale centrale { type Giraudeau) ca- ractérisée par la perte de la pe
oyen commode de fixer facilement dans la mémoire les dif- férents types cliniques de la surdité des mots, je vais, en t
e me peut sup- pléer le centre mp, il y a surdité verbale centrale ( type Giraudeau) ; quand le centre mé ne peut supplée
si on le lâche, il tombe tout d'une pièce comme une barre de fer. Type de la démarche spasmodique la plus accentuée. M
t Tonnini le délire sen- soriel ( kvahiisiîiîz de Ira(ft-Ebinn)vrai type de délire asysté- matique,' peut passer à la Pa
parler, il raisonne à faux, c'est un paradoxal (folie raisonnante, type indifférent). En somme, la Paranoia est une for
de vue peut-on diviser la Paranoia en : 396 REVUE CR1T1QUF. (même type de délire) et variable, et pour le mode 'de i suc
re de Lasègue sur le même sujet. Ce délire, nous l'avons vu, est un type de Para- noia dans le cadre de laquelle le font
plus généralement, et dont la Paranoia originaire de Sander est le type 2. Mais il est encore, dans la classification d
la forme de Paranoia dite rudimentaire décrite par Arndt et dont le type est représenté par les idées fixes. Le terrain,
rsécuté depuis vingt ans, « présenté dans plusieurs cliniques comme type de persécuté » qui n'a ja- mais eu aucune idée
elles ». Or, il se trouve que pcndantque Fr. était présenté comme « type de persécuté sans idées ambitieuses », M. Régis
63 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
int de vue cellulaire, on trouve dans les cellules pyramidales deux types pathologiques très tranchés et qui dans leur disp
osition se montrent net- tement séparés l'un de l'autre. Le premier type est celui que Nissl attribue aux cellules altér
par Nissl comme un caractère de l'état pathologique. Le deuxième type de cellules est celui qui, pour le même auteur, c
bre inférieur gauche est remarquable surtout par l'aspect du genou, type de genu recurvatum ; vu de profil (P. III), il af
. 56 GASNE ET COURTELLEMONT M. Campenon contient certainement des types indiscutables de genu re- curvatum, puisque cin
ète dans laquelle il a pu se conserver jusqu'à nos jours. Les mêmes types immuablement fixés se copiaient d'âge en âge, e
ns devenus aveugles depuis très longtemps. Nous trouvons souvent ce type dans l'art italien. Un des plus beaux est l'ave
diale. Dans le compartiment reproduit PI. VI, G, nous trouvons deux types de LES DÉMONIAQUES ET LES MALADES DANS L'ART BY
du Mont-Athos, vont faire passer sous nos yeux à peu près tous les types des malades connus à cette époque. a) Porte de
lysie radiale de Monreale, tout le reste est bien conventionnel. Le type du lépreux, le type de l'hydropi- que sont fixé
reale, tout le reste est bien conventionnel. Le type du lépreux, le type de l'hydropi- que sont fixés, et nous les trouv
ds nus. Son costume est à remarquer (Pl. VIII, B). Ce sont là les types classiques des infirmes et des éclopés qui vienne
t une oblitération partielle ou complète de leur cavité. Ces divers types de lé sions (figures 17 et 20) se retrouvent da
sition de la main par rapport à l'avant-bras. Ce cas répond bien au type des, déformations accompagnant l'absence du radiu
up moins entre elles et elles se rapprochent, pour la plupart, d'un type beaucoup plus régulier. A la main, le plus généra
verses variétés dont nous avons parlé précédemment. Dans la variété type la partie radiale de la main, premier métacarpi
ains sont très connus, . il est mieux d'étudier ici quelques autres types des affections nerveuses professionnelles. OB
e tient l'un d'entre eux à la main. Un point un peu spécial, est le type romain très accentué de ces personnages, type qui
n peu spécial, est le type romain très accentué de ces personnages, type qui tendrait à faire croire qu'ils ont été copi
périodes successives de l'art byzan- tin. Nous avons vu naître les types conventionnels des maladies, dans les scènes de
de l'Ecorce, des nerfs optiques, 'et la représentation de certains types de lésions cellulaires corticales, sur la planche
le néoplasme sur le centre cortical de la VIle paire, en raison du type cérébral de la paralysie faciale ; et sur le tr
ar un globe. Ces formations en tourbillon ne se font pas suivant un type , régulier et les cellules ne sont pas agencées,
r leur homogénéité. La structure des globes peut se ramener à trois types successifs, faciles il constater et répartis d'
flement cellulaire accompagné de chro- matolyse revêtant surtout le type périphérique. D'après Marinesco (3) il s'agit a
e oeuvre de jeunesse plusieurs caractères profondément flamands, le type des hommes, avec des débordements de chairs, de
exemples par les uns d'achon- droplasie, par les autres de simples types infantiles. Nous avons donc pris les dimensions
la longueur du tronc; ces deux facteurs se réunissent pour créer un type de nanisme tout à fait caractéristique. Pour
XXV F F' G H H' 1 J t ? K L zu N 0 O' p TYPES D'ACHONDROPLASIQUES EXPLICATION DE LA PLANCHE X
normal, et qu'en somme le dieu Phtah peut très bien représenter un type infantile normal. Cepen- dant, il est hors de d
environ 1 m. 34 et on ne saurait par suite les considérer comme des types de na- nisme vrai. Au surplus des exemples semb
n'y a donc aucun doute que nous nous trouvions là en présence d'un type de malformation osseuse bien caractérisé, et noso
des varia- tions insignifiantes, m'engage à la considérer comme un type spécial, j'ai presque envie de dire une variété
ou tout au moins une variation bien caractérisée et héréditaire du type humain. On peut la mettre en parallèle avec la
euse. L'achondroplasie et la dy- sostose cléido-crdnienne sont deux types opposés d'un même groupe morbide les dysostose
, Die kleine Zehe. Arch. f. Anat. und Entwickel, 1890. MYOCLONIE DU TYPE BERGERON CHEZ UN DÉGÉNÉRÉ HYSTÉRIQUE PAR M.
cet endroit, il entendit quelque chose remuer dans ces MYOCLONIE DU TYPE BERGERON 317 7 broussailles. Affolé il courut s
ment de l'ap- pareil enregistreur était plus rapide. MYOCLONIE DU TYPE BERGERON 321 Dès que le malade cesse d'écrire l
ïf sans doute de conclure' que ce médicament Fig. 2. MYOCLONIE DU TYPE BERGERON 325 excellent dans l'espèce a une acti
Ko 3, mai-juin. 4 372 HENRY MEIGE trouve encore chez les nains du type herculéen (les pygmées antiques, cer- tains nai
grosse tête, est accoudé sur une vasque. Ibid. (N° 818) Un nain du type herculéen, peut-être un achondroplasique, figure
einte par Mantegna sur les murs de la caméra dei sposi, est un vrai type de myxoedémateuse. A Vérone, dans l'Eglise Sanc
rtant un de ceux dont ¡'observation a servi pour établir le nouveau type clinique comme les cas de Fraser et Nonne. Il est
ieur gau- che et se généralisant rapidement pour revêtir bientôt le type épileploïde avec miction à la fin de la crise.
e du pouls, une respiration remarquablement ralentie et revêtant le type de Cheyne- Stokes (Voy. l. L, fig. A et A').
lle. Le malade n'est plus un personnage quelconque, reproduisant un type de la vie journalière : c'est le symbole de la
d'autre part, le fait que nous venons de rapporter n'est qu'un des types dans lesquels on la rencontre, comme en témoign
'examen de la moelle n'ait rien révélé et que l'affection revête le type familial. SUR UNE FORME D'IIYPEIITROP111E DES M
chés. L'idée que l'hypertrophie des membres, dont on a décrit des types divers, pouvait relever dans un certain nombre
maigreur extrême et rappelle les mem- bres grêles des infantiles du type Lorain. Le thorax est élancé, maigre. Les bras
oïdienne. Enfin, la troisième observation est, à la lettre, l'image type du myxoe- dème fruste, dont j'ai donné plusieur
à le guérir, ravive atrocement sa douleur. En B encore, les mêmes types , mêmes costumes. Ici, comme là, les deux scytes
ouin et J. Sabrazès (2 pl. en pho- tocollogr.), 305. Myoclonie du type Ber,qeron chez un dé- généré hystérique, par Il
rodactylie (2 pl. en photocollogr.), 305. Bernard R. Myoclonie du type Bergeron chez un dégénéré hystérique, 315. Bi
64 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s mentales. Sans doute toutes les littératures nous fournissent des types d'observation de ce genre ; mais il ne faut pas
demment parfois assez fins pour s'immortaliser par la vérité des types qu'ils décrivent, mais ne procédant pas de la mé-
, qui vous récite une poésie de Uhland comme étant de lui. Certains types mor- bides ressemblent aux psychoses circonscri
ns indi- qué pour éviter la contagion, le délire religieux étant le type du délire communiqué le plus fréquent. Ce sera
a convalescence de la fièvre typhoïde, peut se présenter sous trois types cliniques, trois syndromes, traduisant l'action
Syndrome manifestant la polynévrite. III. Paralysie généralisée de type mixte traduisant la lésion com- binée des deux
é et une irrégularité qui rendent très difficile la description des types 'cliniques et cette difficulté se trouve encore
dans une certaine mesure, aux descriptions, à l'établisse- ment des types cliniques de la syphilis médullaire, » L'auteur
t la personnalité s'altère, le Moi se transforme. A l'appui un beau type . Observation XIV (personnelle). Idée fixe insta
e la zone de Gennaiu et il d'autres zones ; 3° cellules du deuxième type de GOLGI, à cylindraxe court, s'arborisant dans c
e cérébrale, de l'aire de la « rétine corticale », qu'il existe des types cellulaires définis, à fonction également disti
onction également distincte et déterminée. CAJAL décrit encore deux types cellulaires nouveaux qu'il a découverts dans di
verts dans différentes régions de l'écorce. Les cellules du premier type se rencontrent peut-être dans toutes les zones
zones distinctes d'un territoire cortical. Les cellules du second type sont des éléments dont le volume est presque au
son de santé pour s'y faire traiter. Il représentait à ce moment le type accom- pli de la cachexie morphinique. M. Comar
au point de vue de la responsabilité. Les alcoolisée offrent deux types morbides bien déterminés : l'intoxication alcoo
celle de simples particularités individuelles, ou d'ano- malies du type anatomique de l'oreille, mais sans rapport mani
e les sujets pourraient être classés en deux groupes réactionnels : type respiratoire, type circulatoire. 2" Dans les
ient être classés en deux groupes réactionnels : type respiratoire, type circulatoire. 2" Dans les phénomènes de volonté
lus simple aux faits les plus complexes, ils recherchent d'abord un type pathologique pur, comme la nature en présente q
un' cas de. Broadbent (les cas I, II, III, V de Broadbent sont des types de ce genre ; de même nos cas 1 et II). Après q
rtir de ce moment la maladie évolue comme une apoplexie progressive type jusqu'au coma terminal. Enfin, les symptômes re
dolichocéphale. En second lieu, si une ville située dans un pays à type brachycéphale, présente plus de dolichocéphales,
peu, et surtout en observant, que le paysan conservera longtemps le type primitif de sa race; mais, devenu citadin, il l
étrangers toujours plus nombreux dans les villes. Inversement si le type autochtone était dolichocé- phale les habitants
n caractère normal : le plus souvent, au contraire, elle affecte le type des aberralions génitales. Suivent quelques obser
tile. Bloch (Isidore). Contribution à t'élude de la syringomyéloe à type scapulo-huméral. - Boissou (Pierre). Etude crit
les vrais troubles psychiques post-opératoires répondent à un même type clinique : la confusion mentale. Sur ce fond de
si documenté présenté au Congrès d'Angers, « il n'exibte point un type spécial de psychose que l'on pourrait étiqueter f
nnelle et déterminante de la maladie, et celle-ci ayant revêtu le type habituel des folies toxiques, les troubles psychi
. On tend à admettre avec M. Régis, que la confusion mentale est le type habituel des folies toxiques ; et notre cas en
haut, de-MM. Joffroy et Rayneau, d'après laquelle « il n'y a pas un type spécial de psychose, que l'on pourrait étiquete
s) de modifications dans l'habi- tus général du corps telles que le type sexuel s'en trouve altéré d'une façon notable.
ent, de sorte qu'ils ne s'éloignent pas ou bien se rappro- chent du type femelle. Les chapons n'acquièrent ni le plumage
nasale purement imaginaire. M. Lermoyez en a observé un troisième type , qu'il n'a trouvé décrit nulle part, dans lequel
vasculaires, présentaient des altérations rappelant tout il fait le type des lésions décrites par M. Marinesco sous le n
horées ; par La Riva. (Académie de médecine de Jladrid.) Deux cas types d'hémichorée essentielle chez des enfants de qu
(7\'eu/'olog, Celltmnlatt, XVII, 1898.) Edmond Rose, le créateur du type morbide n'a pas eu connais- sance de la premièr
son travail, bien que l'observation très complète présentée comme type de délire menstruel ne soit pas tout à fait démon
bout de deux mois, le malade commence à marcher; sa démarche a le type nettement péronier, plus balancement dans le bass
l\10URAVIEFF a observé plusieurs cas de lésions médullaires du même type à évolution chronique. M. LoUNTz relate deux ob
raction, leurs modifications de structure intime qui l'éloignent du type généralement admis comme indice de l'état sain,
l'éloignent du type généralement admis comme indice de l'état sain, type qui n'est lui-même qu'une moyenne. Ainsi que l'
, V. Gehuchten, Marinesco, ont cru devoir les répartir en plusieurs types en se basant uniquement, non sur l'agencement e
e autre altération du système nerveux, ce qui explique la pureté du type clinique : myélite ascendante aiguë à forme exc
e extension précoce aux noyaux bulbaires. Notre cas serait un des types les plus purs de cette forme médullo-bulbaire.
transitions insensibles, toutes les transitions possibles entre les types et « on en vient à se demander où sont dans la
s des vaisseaux et du tissu conjonctif. Si l'on doit distinguer des types pathologiques extrêmes différenciés par leur al
t se reporter et notre observation nous semble repré- senter un des types les plus purs de ce que nous appelle- rions : m
ssl ; par h. Sciiaffer (Neurolog. Cenl1' £ llbl., XVII, 1898.) Le type normal de ces organes a été exposé par Lenhossek
trois cas suivants, le tremblement est d'origine hyst'é- rique ; à type de sclérose en plaques dans la deuxième observa-
mineure et à côté de la chorée chronique progressive héréditaire un type nou- veau de chorée qu'il appelait du nom de ch
u'il appelait du nom de chorée variable des dégé- nérés. Ce nouveau type était caractérisé par la multiplicité, la varié
, incomp- table, est filiforme, la respiration, ronflante, prend le type Cheyne- Stokes. Mort vers dix heures. L'autop
jamais pu créer expérimentalement une paralysie par compression, du type qu'on observe chez l'homme. M. JOFFROY fait r
iente du monde extérieur, puisque dans ses diverses réalisations de types , elle évolue aisément dans cette salle sans heu
65 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
suite d'une frayeur, de contractions musculaires répondant à trois types distincts : 1° Des oscillations rythmiques siég
ncy) présente une pièce provenant d'un malade atteint d'amyotrophie type Aran-Duchenne. On y voit à la fois de l'arthrop
présente trois malades du service de M. Marie. Deux amyotrophiques type Charcot-Marie conservent les fonctions de leurs
LEVY présente un malade de M. Babinsky, atteint d'amyo- troylaie du type (tndou : y ? 6t' ! Ke. SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 1
juste valeur et distingué de celui d'aliénation mentale, et chaque type morbide est étudié en lui- même d'abord puis da
cu- fièrement dépressives (manie de suspicion) ; c'est une folie de type hystérique avec tendance à la stupeur ; c'est p
initial émotif ». Régis', 1 Toulouse. Amnésie rclro-anlérograde il type continu et progressif f par choc moral. (Archiv
t de la moelle allongée ne fonctionnent que suivant le mode ou le « type » réflexe. La moelleépinièresurtoutappartient a
tive et l'affection pourrait être définie : névrose vaso- motrice à type névralgique avec hypotonicité du système vaso-
s ceux de leurs caractères que l'on a pu établir, se rapprochent du type du suicide alcoolique, confir- mant ainsi les p
lui ont permis en outre d'établir, à l'état de variété spéciale, le type du suicide alcoolique et de le différencier des
elle est ces deux choses; au point de vue clinique, elle diffère du type habituel de l'une et l'autre de ces deux affect
isso- ciation sensitive était unilatérale. La paralysie revêtait le type hémiplégique, et le symptôme de dissociation se
; la sensibilité n'est altérée qu'aux dernières phalanges selon le type syringo-myélique (dernier mé- tamère périphériq
ion). Puis survient le symptôme capital, l'hémi- plégie motrice, du type cérébral, précédée ou non d'un ictus apo- plect
isque les oblitérations vasculaires font défaut. Ils décrivent deux types histologiques principaux. Dans l'encé- plialite
t deux types histologiques principaux. Dans l'encé- plialite aiguë, type dégènératif, dénomination que MM. F. Itay- mond
ce qui amène l'élargissement des mailles de son réticulum; bref, ce type rappelle, trait pour trait, les altérations de
aiguë de Ley den, encore appelée myélite à corps granuleux. L'autre type , encéphalite aiguë hype1'plastique, décrite il
nucléaire. . 156 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les relations entre ces deux types d'encéphalite aiguë ne sont pas faciles à déter
auxquelles on a coupé le cylindraxe, c'est-à-dire elles offrent le type des lésions secon- daires qui consistent, ainsi
x formes à prédominance sensitive et de longue durée. En outre, les types lésionnels sont plus nombreux que ceux rencontr
mieux et peut dis- tinguer une grosse lettre d'une échelle d'acuité type Snellen, cor- respondant à une acuité de 1/10.
ionnellement, se montre dans des cas qui, ne sont pas conformes aux types reconnus' d'affections pyra- midales (méningite
écision la transformation et les évolutions de la pathologie. Ces types que nous voyons aujourd'hui sont-ils ceux qui exi
onctionnelles qui en résultent. La fièvre est constante et offre le type rémittent. Elle a le caractère des fièvres toxi-i
ur qu'elle atteigne son apogée. Les sujets présentent l'as- pect du type maniaque avec phénomènes de dépression par inter-
arti- culièrement sa gravité. 1 Séméiologie. - Le délire offre le type maniaque ; ses caractères saillants sont la con
s, après un rapport de M. Rayneau, qui n'admet pas l'existence d'un type spécial que l'on puisse étiqueter de psychose p
Régis, en se basant sur des obser- vations personnelles, décrit un type clinique qui est le suivant : un fond de confus
our M. Duffou, la paralysie générale sans délire constitue la forme type de la maladie. Quant à la démence elle existe tou
rations de dégénérescence d'origine toxé- mique. Dans le cerveau le type de la lésion spécifique est la gomme : c'est un
écorce ? Cet effet est toujours fonctionnel,et se rattache à trois types : 1° affaiblissement de l'excitabilité senso- r
ions motrices à des groupes musculaires asynergiques). Le premier type (affaiblissement de l'excitation corticale physio
réflexes méritent la même créance que les anesthésies. Le troisième type est caractérisé par la confusion : entre la vol
traux : d'autre part, par les lois de l'antagonisme musculaire. Le type si constant des contractures dépend de raisons hi
re, à laquelle je donne le nom de contracture myotéttmiqllc, est le type de la contracture. Ces deux types ne sont pas l
contracture myotéttmiqllc, est le type de la contracture. Ces deux types ne sont pas les seuls et en par- ticulier leur
s obsédés. On retrouve ces troubles moteurs dans la folie du doute, type des obsessions dites intellectuelles, aussi bien
tués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont conservé le type normal, ce qui démontre une fois de plus, que l'o
s dans un grand nombre d'autres autopsies d'origine variée, dont le type est fort différent des lésions banales que l'hy
es. Bientôt, son état prend un aspect fran- chement mélancolique, à type hypocondriaque, et il fait plusieurs tentatives
s, l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils distinguent enfin trois types : l'un paralytique, l'autre spasmodique, le tro
ds athéromateux des délires transitoires revêtant de préférence les types : confusion mentale ou mélancolie anxieuse, ave
à écrire avec son sang s'il résiste. Ses écrits offrent de beaux types de stéréotypie. Depuis des années, en effet, il
élire ». Tel est le cas d'un malade du service, qui réalise bien le type du gémisseur tel que l'a décrit Morel. 1 De San
. Alzheimer a été sous ce rapport plus heureux : il a pu, à côté de types pathologiquement uni- formes de cellules nerveu
et peut, soit produire des tissus à développement impar- fait et de type mixte, soit aboutir à un simple exsudât hémorrha-
une tumeur composée de tissu analogue à la névroglie ordinaire; ce type ne paraît pas être le plus commun. Payne signal
lus commun. Payne signale la possibilité d'une combinaison des deux types . La tumeur observée par l'auteur parait apparte
types. La tumeur observée par l'auteur parait appartenir au second type et être par conséquent assez rare. Elle siégeai
s Médical Journal, 21 juillet 1900.) Si, dans un cas d'hystérie, du type actif ou convulsif, on admi- nistre une culture
arachnoïdien), en permettant de réaliser à volonté presque tous les types anatomo-cliniques de la myélite selon des local
66 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st aujour- d'hui presque complètement établie. L'aphémie surtout ( type Bouillaud-Dax-Broca), alalie (de Lordat), premi
ir leurs rapports, reconnaître leur filiation et les rapporter à un type primitif défini, et à une même cause supé- rieu
en somme amené à décrire une forme de catatonie hystérique (sixième type de l'hyslerische TValansinu); efd'un'autre côté,-
t en ce moment identiquement atteint. Peut-être enfin, à côté de ce type quasi pur, y a-t-il un type spas- modico-tabéti
atteint. Peut-être enfin, à côté de ce type quasi pur, y a-t-il un type spas- modico-tabétique (lésions tabétiques et l
é les mêmes symptômes, ressemblant à ceux d'une sclérose multiple type , chez les membres de deux générations de cette fa
érale survenue sur un terrain alcoolique ; aussi en résulte-t-il un type clinique spé- cial modifié. On constate alors u
de délire chronique à évolution progressive et en pré- sente un cas type . Martel BRIAND. XII CONGRÈS DES NEUROLOGUES ET
aires), l'orateur décrit en détail un cas de dystro- phie juvénile ( type de Erb) à genre scapuio-huméral. Maladie exis-
rd supérieur de la selle turcique et de la gouttière optique. Ces types et d'autres du même acabit prouvent que l'accrois
xistence de quelques variétés de maladie de Parkinson s'écartant du type classique; c'est à la description de ces formes
est très caractéris- tique : sa disposition se rapproche tantôt du type cé- rébral, du spinal, tantôt du périphérique e
istingue presque toujours par des particularités non appropriées au type , auquel il lui convient le plus d'être rangée.
e caractéristique de l'atrophie musculaire spi- nale protopathique ( type soi-disant Aran-Duchenne- Charcot). Chez un mal
e aussi l'atrophie musculaire progressive, mais idiopathique de mon type fondamental (type scapulo- 1 Dans le dernier te
musculaire progressive, mais idiopathique de mon type fondamental ( type scapulo- 1 Dans le dernier temps, je pus observ
core trois cas de gliomatose médullaire avec atrophie musculaire du type Aron-Duchenne liée a l'anesthésie termique avec
douze dents, les quatre incisives sont atrophiées et présentent le type conique. Arti- culation défectueuse; les six de
idaux varie propor- tionnellement. La décussation est complète, cas type , ou par- tielle, cas moins fréquent. Ces variét
uppression complète de la région motrice, ancienne (la plaque jaune type ), afin qu'on ne coure pas le risque de « confondr
ve ? Elle donne naissance, si la marche de la maladie est aiguë, au type paralysie spinale atrophique de l'enfance (po-
groupe. Amyotrophies d'origine nzyélopathique représentées par les types : .' 1° Atrophie musculaire progressive spinale
ypes : .' 1° Atrophie musculaire progressive spinale protopathique ( type Du- chenne-Aran). 2° Paralysie spinale atroph
nales deutéropathiques (scléroses latérales amyo- trophiques). 5° Type scapulo-huméral de Vulpian. 2* groupe. - Amyotr
Forme infantile de l'atrophie musculaire progressive de Duchenne ou type facial de MM. Landouzy et Dejérine. 2° Forme ju
e facial de MM. Landouzy et Dejérine. 2° Forme juvénile d'Erb. 3° Type paralysie pseudo-hypertrophique avec ou sans hype
omateuse de M. Lancereaux. 4° Forme héréditaire de Leyden-Mobins ou type des membres infé- rieurs. 268 REVUE CRITIQU
REVUE CRITIQUE liomyélite antérieure aiguë de l'enfance)1, ou au type para- lysie spinale aiguë de l'adulte (poliomyé
r l'âge seul du sujet; si la marche de la maladie est chronique, le type atrophie musculaire progressive spinale protopa
ue, le type atrophie musculaire progressive spinale protopathique' ( type Duchenne-Aran, poliomyélite antérieure chroniqu
ordre suivant lequel nous les énumérons par les lésions des tabès' ( type : ataxie locomo- trice progressive (Duchenne),
ntées par les fi- gures 2, 3, 4, 5 et 6 de ce schéma. I. Aphémie ( type Bouillaud-Broca). - II. Agraphie. III. Cécité ver
ment dépourvues de prolongements, ou à peu près; les cellules de ce type se ren- contrent principalement au niveau des c
'absence à peu près complète do prolongements. Les cellules de ce type se rencontrent seulement dans les groupes des c
olément, soit pris dans leur ensemble, c'est qu'ils représentent le type de ceux dont l'anthropologie criminelle a signa
pourtant, au point de vue qui nous occupe, de les réduire à trois types principaux : les actifs, les passifs, les indiffé
, sauf pour le médecin, de toutes ses facul- tés. Son délire est un type de systématisation; il est bien lié, bien dédui
t, en général, au bout d'un temps plus ou moins long, des accès à type commun; la marche est alors celle de l'épilepsi
es ou accès, diffèrent de la chorée et des différentes affections à type saltatoire par la perte de connaissance, ou une
de côté les accès procursifs et que l'on n'envisage que les accès à type commun qui les accompagnent ou leur succèdent, l'
attribué le remplacement des mouvements procursifs par des accès type d'épilepsie. Aussi croyons-nous utile de dire q
ions de cet ouvrage, que tout neurologiste devra lire en entier. Le type cérébral primitif des primates est un type à de
devra lire en entier. Le type cérébral primitif des primates est un type à deux et non à trois étages frontaux, et la ci
les micro- céphales, celle circonvolution est ou bien absente (ler type ) ou bien rudimentaire comme chez les anthropoïd
bsente (ler type) ou bien rudimentaire comme chez les anthropoïdes ( type simien ou 2° t\po),ou presque normale (3° type)
ez les anthropoïdes (type simien ou 2° t\po),ou presque normale (3° type ). Chez les idiots, les im- béciles, les sourds-
sentées par les figures 2, 3, 4, 5 et 6 de ce schéma. I. Aphémie ( type Bouillaud-Broca). II. Agraphie. III. Cécité ver-
67 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'évolution de cette lésion ou l'aspect du cylindre d'axe on a des types un peu particuliers. Voici la description que nou
isphère, s'il y a altération du rein, hyper- pyrexie et respiration type Cheyne-Stokes, le malade est perdu. Si aucun de
v f. Psychiat., XXVI, 3.) L'auteur essaie de constituer un. nouveau type indépendant de la polynévrite, de l'atrophie mu
été de médecine mentale de Belgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouveau type de paralysie associée des mouvements horizon/au
es mouve- ments rythmiques que l'on observe chez certains idiots du type le plus inférieur. Chez les sauvages d'autre pa
ensemble de symptômes constituerait une entité morbide, une maladie type dont la marche est le plus souvent chronique. T
E PATHOLOGIE NERVEUSE, XXXVH. LA tétanie, avec observation d'un cas TYPE ; par George J. PRESTON. (The New-York Médical J
es auteurs. L'observation que rapporte M. Pres- ton est conforme au type anciennement établi, et l'auteur souhai- terait
es et anatomo-patho- logiques, par lesquelles ses cas s'écartent du type classique Charcot- Joffroy. REVUE DE PATHOLOG
bilatéralité de la paralysie faciale ou diplégie. En voici un beau type . D'abord une légère paralysie faciale à droite tr
hez un tabétique REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 287 appartenant au type sensitif pur de Brissaud : douleurs lancinantes,
DIETTItICH. (Ceutralblalt f. Nereenheilk, XVII, N. F. V., 1894.) Type d'instincts pervers précoces dès l'âge de dix-hui
l'un de l'autre, qui peuvent exister ou manquer dans les différents types . Comme il a reconnu que ces éléments indépendan
établis- asiles d'aliénés. 307 sèment projeté devra reproduire le type jusqu'ici suivi ou en différer radicalement, pa
geri, en s'appuyant sur de belles photographies représentant divers types d'aliénés. L'imbécile, l'idiot, le crétin, le dém
agités et immobile chez les mé- lancoliques. Le maintien des divers types d'aliénés est aussi diffé- rent : le maniaque e
on des centres nerveux. La maladie affecte alors le plus souvent le type de la paralysie spinale aiguë ou de l'atrophie
ais l'auteur estime que, dans les cas qui ne se rattachent pas à ce type tabétique, les symp- tômes qui prédominent au c
quante ans; et en cela, chacune des formes parait se modeler sur le type d'affection purement médullaire auquel elle cor
rer, en signa- lant les faits les plus saillants, qu'il existe deux types ou deux variélés de paralysie générale, l'une q
lement de la personnalité. Etudions successivement ces dif- férents types . Chez les délirants persécutés systématiques à
énomination de paralysie générale comme désignant suffisam- ment un type clinique bien accusé ; mais en comparant cette
ment homogènes, et si, cliniquement elles peuvent fournir plusieurs types ditférents, c'est une grave erreur de considére
lusieurs types ditférents, c'est une grave erreur de considérer ces types comme des esp1 £ i ? Ù ? 111nctes.» ? t ! R 1\1"
que l'on attribue d'habitude aux influences trophiques, et dont le type est l'ulcère simple de l'esto- mac. L'autre var
gomyélie. Conviendrait-il d'admettre deux groupes de cas : celui du type actuel et un autre dans lequel - la paralysie g
si certains de ses membres ont dégénéré, on peut, dire que la race type s'est élevée à un degré plus élevé tant au poin
lle l'es- pèce, en cas de dégénérescence, tend à la restauration du type . En résumé, la race n'a pas dégénéré, mais elle
cours même de la sciatique. De la scoliose alternante il y a trois types : le lype Remak, le type Phulpin, le type Higie
e. De la scoliose alternante il y a trois types : le lype Remak, le type Phulpin, le type Higier. Les types Phulpin et H
alternante il y a trois types : le lype Remak, le type Phulpin, le type Higier. Les types Phulpin et Higier ont les carac
a trois types : le lype Remak, le type Phulpin, le type Higier. Les types Phulpin et Higier ont les carac- tères communs
douleurs; elle est graduelle et subsiste une fois effectuée dans le type Phulpin, elle est subite et passagère dans le t
ffectuée dans le type Phulpin, elle est subite et passagère dans le type Higier. ' P. IiERA\·.1L. LXX. Contribution A la
out d'abord que les schémas et figures donnés comme représentant le type normal des circonvolutions cérébrales sont d'un
iminel d'occasion et du criminel-né, selon les sexes, les âges, les types , etc. (Rapp. : D'' Lounnoso, prof. à Turin.)
uants. (Rapp. : Dr Th. RoUssEL, sénateur, à Paris.) 9. Sur quelques types de criminels au point de vue de leur traite- me
iste des neurones polyneuriques où celui-ci est multiple ; c'est le type décrit par Cajal. i Si le prolongement nerveux
écrit par Cajal. i Si le prolongement nerveux est très long on a le type Dei- ters du neurone ou le premier type de Golg
rveux est très long on a le type Dei- ters du neurone ou le premier type de Golgi, ou si l'on veut le type de Deiters-Go
- ters du neurone ou le premier type de Golgi, ou si l'on veut le type de Deiters-Golgi. Si le prolongement est court on
pe de Deiters-Golgi. Si le prolongement est court on a, le deuxième type de Golgi, Enfin il y a, mais rarement, des neu-
gie du neurone considéré isolément. S'il est permis de prendre pour type d'une description anatomique un neurone et de l
ous les neurones, à cylindraxes courts comme les cellules du second type de Golgi ou à longs prolongements, formant des
néré seul ; 3° les deux neurones sont dégénérés simultanément. Un type morbide clinique correspond très particulièrement
très particulièrement à chacune de ces éventualités. Chacun de ces types a été décrit en clinique comme évoluant isoléme
usive d'ailleurs, de M. Marie, qui ferait de cette variété la forme type du tabes des paralytiques généraux, puisque sur
rer dans la vieillesse toutes les formes mentales : il n'y a pas de type constant. La démence de la vieillesse ne diffèr
es paralytiques, spastiques, trémulantes ; puis vient la dystasie à type cérébelleux, ensuite ces troubles de la marche
ladie de Morvan. L'observation que relate ici M. Grasset est un cas type de maladie de Morvan avec un tableau symptomati
ve Sacaze (Archives de Neurologie, 1893, nos 73 et 74.) Deux grands types de paralysie infantile. M. Grasset s'attache à
une analyse de la thèse du D' Cannac sur l'analogie des différents types de myopathie essentielle; enfin un cas de méningi
68 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
loyé a été le périmètre de Landolt. Pour obtenir le champ visuel- type , nous avons déter- miné le champ de cinquante s
lir les limites du champ visuel moyeu normal. C'est en comparant au type ainsi obtenu les champs des malades examinés, q
continue, maniaques intermittents et mélancoliques intermittents à type irrégulier, etc.). les accès aigus d'cx- OBS.3T
, même état, commence à travailler. 2° Etat maniaque intermittent à type irrégulier. OBs. 109. M. P...., Charles, 32 ans
hute, le malade est calme, etc. 3° Etat mélancolique intermittent à type irrégulier. Or3s. 80. Mme L... Marie, femme B.,
pris, dit l'auteur, pour établir le détermi- nisme des fugues, cinq types bien définis : les délirants, les hallucinés, l
hallucinés, les déments, les impulsifs et les captivés. ». Les cinq types de cette classification inattendue sont en effet
rité des malades et qu'on peut les rattacher individuellement à des types cliniques connus. Charcot qui avait remarqué qu
états par où elle passe, et l'on peut y distinguer trois ou quatre types différents. 9° La commission insiste particuliè
s manifestations délirantes à base d'hallucina- tion affectaient le type de la persécution, mais mal systématisée. Ces t
de ces accidents. L. WAHL. XVI. Quelques remarques sur deux cas de type épileptiforme ayant présenté quelques caractère
sairement trois choses : 1° une variation structurale s'écartant du type normal de l'architecture cérébrale et consti, t
lamille est riche en intellecluels névropathes. Le malade est un type de circulaire : il a des périodes de dé- pressi
à être envisagée comme un syndrome dont l'origine est variable. Le type de celle aller- 138 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
D'un autre côlé on a détaché depuis quelques années de l'alleclioii type une amyotropllie mm : cu1ail û progressive d'or
e de 3S ans qui depuis huit mois, présentait des crises nerveuses à type hystérique, puis la vue se perdit progressiveme
iets et des mélancoliques qui cherchent leur voie. Les déli- rants ( type Magnan) deviennent persécutés et mégalomanes et l
(type Magnan) deviennent persécutés et mégalomanes et les déprimés ( type Cotard) passent par l'hypocondrie pour aboutir
e la confusion mentale. Le paralytique gé- néral seul est un dément type . je, 1 )UPR I ne peut se résoudre à considérer,
de la littérature russe, le malade imaginaire de Molière, certains types de ftalzac, Flaubert, Zola, II. Jlalol, P. llou
légis : « On peut trouver des demi- fous à peu près dans chacun des types établis par les psychiatres», dit,)I. Gi assel.
où laVie ira semant ses créations successives. En effet, après le type radié, la Nature se ravise et change le plan de s
ge le plan de ses créations » (p. 52) ! Encore une fois, en quoi le type aban- donné était-il inférieur à l'antre, puisq
anisations nerveuses, entre le système ner- veux disséminé... et le type nerveux continu multiple ou double, un type ner
veux disséminé... et le type nerveux continu multiple ou double, un type nerveux continu simple » (p. 53). La phrase sui
nature ne fait pas de sauts, 'elle a dû à un moment donné créer ce type » » (p. 53). Et l'auteur trouve, en effet, chez
J'ai moi-même émis l'idée que ces asiles soient construits, sur un type spé- cial,hors de la métropole, dans quelqu'une
ades tranquilles y habitent dans un pavillon angulaire rappelant le type de 1'okrowslc, préconisé par Korsa- l;of1 et ad
PATHOLOGIQUES. l'écorce cérébrale, signala pour la première fois un type cellulaire bien caractérisé, se présentant au n
malaisé il est indispensable que ces tableaux soient dressés sur un type uniforme; voici, à ce sujet, les prescriptions qu
variabilité et leur insuffisance. Voici une paralysie, hystérique type , d'un bras par exemple, avec anesthésie superfi
es détails et se sera rendu chez les fournisseurs pour choisir le type , répondant le mieux aux besoins de ses malades
e trouver un cas particulier qui soit conforme à un seul de leurs types ; en sorte que, à l'heure actuelle, il semble, qu
ctères spéciaux dans l'association avec le tabes dorsalis ; 10° les types de mala- des chez lesquels surviennent des rémi
C. H. Fenhell. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) Ce type , assez commun en Angleterre, se rencontre surtout
enfants. La littérature du sujet est maigre, et les descriptions du type peu uniformes, peut-être parce que l'on s'entend
ce que l'on s'entend assez mal sur le degré de déviation des autres types d'imbécillité qui constitue le type mongolien.
degré de déviation des autres types d'imbécillité qui constitue le type mongolien. L'auteur a examiné 21 échantillons bie
olien. L'auteur a examiné 21 échantillons bien carac- térisés de ce type , et il donne de l'imbécillité mongolienne la défi
stantes, mais pareil- les à celles que l'on observe chez les autres types d'imbéciles. Le type mongolien parait spécialem
les à celles que l'on observe chez les autres types d'imbéciles. Le type mongolien parait spécialement prédisposé au rachi
dernières lombaires et delà première sacrée des troubles moteurs à type radiculaire. Ils ont L noté la lymphocytose du
ibilité ; ils posent la question d'une forme atypique d'atrophie du type Charcol-Marie. MM. CLAUDE et F. Rose présentent
s fornicatus. Pour la topographie en profondeur, l'autour adopta un type moyen, facilement applicable à toute les variat
tations fonctionnelles, d'ordre général le plus souvent, dont le type est l'anorexie primitive, mais qui s'accom- pag
906 n° 1.) Observation très détaillée d'un cas d'infantilisme vrai, type Brissaud,associé à la dégénérescence mentale, c
n être la consé- quence ; 4° le fait d'avoir pu observer quatre cas types de mélan- colie sans indoxyl urinaire semble dé
myosite chronique diffuse, peu connue parce que confondue avec des types cliniques voisins (rhumatisme chronique, scléro
té rencontrés dans d'autres inflammations), de cellules diverses du type em- bryonnaire. Klippel pose le problème de l'o
et SCHMIERGELD : Poliomyélite antérieure aiguë de l'ado- lescence à type d'hémiplégie spinale croisée. M. H. LAMY : Mo-
rale ; l'intéressant personnage qu'est le D' Pascal, le dernier des types dessinés par Zola, avec d'autant plus de soin qu'
s thermales utiles peuvent d'après M. Belugou être ramenées à trois types princi- paux : Néris, Balaruc et La,lllalou ; c
e sociologique : des constatations qu'il a faites, l'auteur tire un type dévot; le dévot esl un être ma- ladif, prédispo
Voir Otite. Epileptiforme. Quelques re- marques sur deux cas de type ayant présenté quelques caractères inusités ;
69 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
apporterons l'histoire de ce malade qui peut être considérée comme un type de ce genre. Cet homme c est sujet à des accès
es. (Ribot.) La malade que M. Charcot a présentée à son cours comme type de cette catégorie est non moins intéressante; el
nombre extrêmement varié de formes — dont nous avons décrit quelques types — mais qui toutes représentent une phase transfor
lady Macbeth, dans la scène magistrale de Shakespeare, représente le type le plus connu. Il est facile de se rendre compt
les cas de cet ordre sous la rubrique de Somnambulisme hystérique du type Mesnet, toute question de nosographie, d'ailleurs
lisme décrit par cet auteur ne se rapporte pas toujours exactement au type dont nous nous occupons ici. Mais cela s'explique
par M. Charcot ne constitue pour ainsi dire qu'une sorte d'étalon, de type modèle auquel on vient rapporter et comparer tout
ce travail, la période délirante comme un élément caractéristique du type de l'attaque hystérique (1). Mais revenons à no
dision s donc que nos malades Schey... et Poign... représentaient des types complets, excellents pour la démonstration, dans
te, permanente, et chez elle les attaques répondent de tous points au type classique. Vous voyez qu'ici, bien qu'on n'ait em
sont relativement rares. Elles sont régulièrement conformes au grand type . Mais son état psychique est surtout particulie
élirants, dont on se gare quelquefois comme de fous furieux, tous les types de transition se rencontrent, constituant les for
substitution de la personnalité. Ce trouble est plus superficiel ; le type le plus caractérisé se rencontre dans le somnambu
ître complètement. Nous retombons à ce moment dans les cas du premier type . Mais, revenons maintenant au somnambulisme hys
dies du système nerveux, t. III, p. 357. répondent de tout point au type classique. Vous voyez qu'ici, bien qu'on n'ait em
cabinet du médecin, lorsqu'elle est prise d'une attaque présentant le type classique à trois périodes. Quand elle reprend se
es somnambuliques chez les somnambules hystériques proprement dits du type Mesnet. (G. G.). tent pas cet étonnant laisser-
naire. Comme troubles de la sensibilité, il se plaint de douleurs à type fulgurant que nous avons signalées et d'engourdis
l, 1887, t. VI, p. 118 et 139. Deux cas de Myopathie progressive du type Landouzy-Dejerine, avec pseudo-hypertrophie de ce
vice, montrait les liens étroits qui relient entre eux les différents types de myopathie, et qui n'en font en somme que des f
ions de notre maître (3). On se trouvait alors en présence de trois types distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hype
connue communément aujourd'hui sous le nom d'atrophie myopathique du type Landouzy-Dejerine, ou facio-scapulo-huméral. Or
, un cas de forme facio-scapulo-humérale peut rester longtemps un pur type d'Erb (1). Quoi qu'il en soit, en vertu du prin
nt égales entre elles, on pouvait rapprocher l'un de l'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudodiypertrophique et for
. I. (Communiquée par M. le D1' Brissaud.) Myopathie progressive du type facio-scapulo-huméral. — Face nettement envahie,
ophie de certains muscles, associée avec l'amyotrophie myopathique du type facio-scapulo-huméral de LandouzyDejerine, absolu
ulo-huméral de LandouzyDejerine, absolument comme cela existe dans le type scapulo-huméral de Erb. Notons qu'il s'agit bien
ire. Mais est-ce là une raison suffisante pour rejeter ce cas hors du type facio-scapulo-huméral de la myopathie ? Tel n'éta
aître, M. le Pr Charcot, et dans lequel le diagnostic de myopathie du type Lanclouzy-Dejerine ne faisant aucun doute, j'ai p
oir et P. Bezançon. — Observation de myopathie progressive primitive, type facio-scapulo-huméral de Lan-douzy-Dejerine {Rev.
me clans la paralysie pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées comme dan
Le Noir et Bezançon.— Observation de myopathie progressive primitive ( type facio-scapulo-humèral de Landouzy-Deje-rine). (Re
..... 3 Maladie de Friedreich........... 1 Atrophie musculaire du type Duchenne-Aran ... 6 Paralysie spinale infantile
ré à travers la glotte. La toux hystérique, d'ailleurs, représente un type fondamental dans ce premier groupe. Les autres br
diverses, s'éloignant quelquefois beaucoup, en apparence du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (singultus). Ces
lquefois beaucoup, en apparence du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (singultus). Ces formes sont désignées com
se produit au moment de l'expiration et appartient par conséquent au type « toux». Il est inspiratoire, au contraire, et, p
rges Guinon)......349 XXXIV. Deux cas de myopathie progressive du type Landouzy-Dejerine avec pseudo-hypertrophie de cer
ysie périphérique du — , 350. Myopathie progressive primitive : — type Landouzy-Dejerine avec pseudo-hypertrophie, 367 ;
6, 144, 146; — provoqué et spontané^!; Suggestions dans le—, 95; — du type Mesnet, 130; — avec effacement de l'élément convu
70 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
'une manière aussi rapide. Par quelle voie et par quelle déviation du type physiologique s'opère cette perversion des actes
ileptiques, choléra, etc., la contraction musculaire se rapporte à un type spécial : la convulsion tonique. En pareil cas, u
ient les mouvements convulsifs, ne subit pas de déviation sensible du type normal. Dans la paralysie agitante en particulier
ture remonte à 37°, 5, mais les convulsions prennent immédiatement le type clonique et la température descend graduellement,
és. A ce moment, les convulsions commencent, mais elles présentent le type clonique et la température continue à descendre g
s d'ordre secondaire et qui correspondent à de simples varia-Lions du type commun. A. Après ce long exposé des faits, il s
genre, parce qu'elles montrent Y arthrite des hémiplégiques dans son type de complet développement et dégagée de toutes les
ue malade. Cet ordre, dans tous les cas, est conforme à l'un des deux types établis par l'observation. Voici dans quel ordr
eu, du vert et enfin du violet. La disparition des couleurs dans ce type se fait dans l'ordre suivant : violet, vert, bleu
M. Charcot, pour ses recherches sur la métalloscopie; ce sont les cas types dans lesquels il existe une hémianesthésie complè
e si la malade est hystérique ou ne l'est pas. Je vous montre ici des types accomplis dont vous pouvez nettement saisir les d
éristiques. Il a paru plus philosophique des'arrêter tout d'abord aux types réguliers, classiques en quelque sorte, avant d'e
ypnotisme, semblent pouvoir être ramenés, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à savoir: 1° l'état cataleptique; 2
ons individuelles que pour la plupart il est possible de rattacher au type décrit dont elles ne sont que des atténuations pl
ons du corps. Dans les cas réguliers, ceux qu'on peut appeler les cas types , le phénomène existe à un égal degré sur tous les
pas toujours ainsi ; à côté des cas que l'on pourrait appeler les cas types et réguliers dans lesquels tous les symptômes off
aturelles en général, et qui veut que l'on s'attache tout d'abord aux types les plus complets en faisant abstraction des modi
oute la symptomatologie de l'hypnotisme, doivent être ramenés à trois types fondamentaux qui sont: l'état cataleptique, l'éta
fille de dix-sept ans, grêle, élancée, et présentant un exemple de ce type allongé qu'ontaffeclionné particulièrement quelqu
oduisant l'électricité de haute tension, mais en faible quantité : le type de ce groupe est la machine électrique ; 2° App
ignaler. Pour plus de simplicité, nous comparerons seulement les deux types extrêmes : la pile d'un côté, la machine électriq
ts, IL R. Vigouroux s'est arrêté aune disposition qui réunit les deux types Holtz et Carré; c'est une machine de ce genre qui
mixtes, pensant qu'il était préférable de s'arrêter tout d'abord aux types réguliers, avant d'étudier les formes mal dessiné
hypnotisme. Il reconnaît même que le grand hypnotisme, s'il répond au type parfait, représente cependant une forme rare. L'i
r notre maître, nous le répétons, la forme la plus parfaite, la forme type de l'hypnotisme, et c'est elle qui doit servir de
ifier suivant telle ou telle circonstance et se convertir en la forme type . La transformation peut être progressive. Voici
comme nous venons de le dire, un caractère qui est commun à la forme type Charcot. OEuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 33 e
nnaître l'existence d'une série d'états Intermédiaires entre la forme type et la forme la plus effacée. Nous rappellerons
diverses formes convulsives ou psychiques peuvent être rattachées au type de la grande attaque d'hystéro-épilepsie, de même
dans le grand hypnotisme. — Les attaques d'hystérie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une ou plusieurs périodes
forme la plus parfaite de l'hypnotisme, celle qu'on doit prendre pour type , et à laquelle on propose de donner le nom de gra
r tout ce qu'on affirme à Paris, M. Bernheim refuse de prendre pour type de l'hypnotisme le grand hypnotisme qui est, dit-
lité de leur sommeil, et ce n'est que, parce que nous connaissons des types plus parfaits, que nous sommes portés à admettre
ctes, qu'il est possible de suggérer à un individu une contracture du type léthargique, présentant les mêmes caractères et s
teur se ressemblent plus ou moins, et se trouvent modelés sur un même type , tandis que ces mêmes sujets diffèrent totalement
voulu nous traduire, le passage suivant : « On ne peut pas nier le type classique de l'hypnotisme avec la succession des
erminés, tel qu'il a été décrit magistralement par M. Charcot. « Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par M. Charcot, e
71 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
restant à peu près immo- 56 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. bile, type essentiellement héréditaire ou familial; acquise,
altérations du crâne. Le crâne ostéomalacique ne répond pas à un type anatomique unique. Ses altérations peuvent être
pe anatomique unique. Ses altérations peuvent être ramenées à trois types princi- cipaux : 1° Dans le premier type, le cr
ent être ramenées à trois types princi- cipaux : 1° Dans le premier type , le crâne conserve son aspect, mais présente un
ont très petits, les sinus sphénoïdaux effacés. 2° Dans le deuxième type décrit par Hermann Proesch les sutures du crâne s
ans certains endroits pas plus épaisse qu'une feuille de papier. Ce type serait superposable au cas publié par les auteu
it superposable au cas publié par les auteurs. 3° Dans le troisième type le crâne présente une série de bosselures et de
ent la forme atrophique. Mais le sens propagateur des altérations à type Wallérien indique simplement une unité fonction
our chaque espèce animale, mais affecte pour une espèce donnée un type presque toujours le même. Au point de vue expér
l'esprit l'idée d'atrophie musculaire myélopathique, d'atrophie du type Aran-Duchenne. Je place à dessein, sous vos yeu
ns les cas qui nous occupent le diagnostic d'atrophie musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abord, l'atrophie muscu
gens à la symptomatologie de l'atrophie musculaire progres- sive type . Laissez-moi, Messieurs, vous rappeler à ce propo
qu'ils ont observé des cas qui n'étaient plus l'atrophie musculaire type . Je vous ferai remarquer d'ailleurs : 1° qu'à c
és à l'atrophie musculaire, ce n'est plus en présence de la maladie type de Duchenne, que vous 120 CLINIQUE NERVEUSE.
et dans ces dernières années et combien variés sont aujourd'hui les types cliniques décrits par les auteurs. Il en est un
cher la maladie de Morvan à la syringomyélie, on a même décrit un type de syringomyélie à forme de maladie de Mor- van
phlegmons par exemple, mais la névrite lépreuse reste néanmoins le type le plus parfait de la névrite bactérienne, les
e, mais comme phénomène stable ? Ne faut-il pas l'examiner comme un type II de la psychose de Korsakoff ? W.-A. u'IOURAT
emblerait, d'après cette définition, qu'on dût en décrire autant de types qu'il y a de psychoses pouvant les précéder. Th
s. La manie et la mélancolie perdant ainsi toute valeur en tant que types nosologiques, on voudra bien reconnaître qu'il
Lhermitte, mais sur un ensemble de faits comprenant les principaux types de démences classiques, y compris les anciennes
ès modérée, portant de préférence sur les éléments mononu- cléés du type moyen. Nous avons examiné, d'autre part, le liq
les disparaître; c'est la 230 SOCIÉTÉS SAVANTES. démence précoce, type More) ; les autres ont trait aux déments catato
ouhaitent le schéma clair et précis qui viendra éclairer les divers types de troubles périphéri- ques à distribution segm
nt explorée et que les théories sont souvent trop exclusives. Trois types de localisation médullaire sont bien établis :
s. Trois types de localisation médullaire sont bien établis : 1° le type à distribution segmentaire (Brissaud, Van Gehuc
itées par des lignes perpendiculaires à l'axe des mem- bres ; 2° le type à distribution radiculaire (Déjerine) où les trou
ones limitées par des lignes parallèles à l'axe des membres ; 3° le type à distribution individuelle musculaire (Sano).
moelle, et a trois groupes de centres dont la lésion produit trois types de troubles périphériques. Le noyau, ou origine
ourrait, sur rapport spécial du médecin, envoyer à Gaillon quelques types particulièrement dangereux. Mais le petit asile
u tabes, rares et d'allures variées, mais qu'on pnut ramener à deux types schématiques : 1° Dans le premier type, les pou
s qu'on pnut ramener à deux types schématiques : 1° Dans le premier type , les poussées d'accidents tabétiques sont nette
utif à tels ou tels états hystériques, ou émotifs; invariabilité du type ; renforcés par les émotions morales, affaiblis
t iden- tique à celle des réseaux de Golgi. Ces réseaux en certains types de petites cellules font le tour de la périphér
onvulsions, leur individualisation muscu- laire, les rapprochent du type de Kemmler, mais elles n'étaient pas rhythmique
sur la même échelle. Rema q2ces. - Je suis d'avis que ce cas est un type distinct d'in- fantilisme dû à la sécrétion pan
s postérieures de la moelle dans la paralysie générale affectent un type spécial s'éloignant plus ou moins du tabes vul-
e de l'état émotionnel; l'auteur les considère comme appartenant au type hébéphrénique de Kraepelin. Les 34 autres étaie
classifications éta- blira-t-il entre les anormaux éducables ? Quel type d'établissement leur destinera-t-on Comment rec
ts, dont la forme, la coloration et les dimensions se rapportent au type décrit par MM. Lannois et Paviot dans leur étud
sinage de la couche dp Purkinje. 11 leur a semblé que les formes du type tabes moteur présentaient les lésions les plus co
ion- niste, car au premier aspect il était un spécimen parfait du type simien. Sa face arrêtée dans sa croissance était
en décrivant son aspect on énonçait qu'il était au premier abord du type simien, mais son intelligence était infiniment
férencier par les seules lésions histologiques du cerveau, certains types anato- miques différents rattachables à telle o
émence, M. Bridier a cherché, dans ce nouveau travail à décrire des types anatomiques différents de lésions cérébelleuses
euvent avoir des formes variées, mais eu général se rapportent à un type caractérisé, par une légère ob- nubilation inte
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. MM. Pic et Bonnamour mettent en évidence un type clinique rarement observé et qui est constitué
éfini ce qu'ils entendaient comme démence et dont ils donnent comme type la démence para- lytique, admettent qu'à la fin
e démence paralytique est bien accepté par tout le monde comme le type le plus complet, le plus noir des démences. Quant
72 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re Falret, leçons dans lesquelles cet auteur mentionne à côté des types intermittents de la manie « un autre élat d'in-
re part, la nature congénitale et héréditaire de ces diffé- rents types morbides permet de les ramener il un grand grou
e dépression; on dit alors qu'il s'agit d'une manie intermittente à type irré- gulier (Arnaud). Inversement, chez d'au
en temps par un accès d'excitation (mélancolie intermit-. tenle à type irrégulier des auteurs français). Par conséquen
Rogues de Fursac, montre que la plupart des accès pré- sentant le type maniaque ou le type dépressif sont, en réalité,
montre que la plupart des accès pré- sentant le type maniaque ou le type dépressif sont, en réalité, des accès à double
dépres- sion. L'accès de folie circulaire devient ainsi le proto- type dont dérivent tous les autres (1). » 1 Afranio
ndues manies et mélancolies périodiques, dit cet au- teur, sont des types d'accès maniaques -dépressifs com- muns, à préd
les. 11 ne paraît pas possible, ac- tuellement, de classer tous ces types el d'établit' une relation cer- taine entre tel
aslinp ont tenté, à plusieurs reprises, de fixer les relations d'un type anafonio-palhologique cortical (chromato- lyse
raplégie, il existe des paraplégies vraies d'emblée, qui forment un type clinique parfaitement dis- tinct. Les paraplé
n sait que nombre d'auteurs mettent en doute l'autonomie des divers types d'atrophie musculaire progressive et se rallient
ue elle se présen- tait avec tous les caractères d'une myopathie du type Leyden- Mohius, tandis qu'au point 'de vue anat
- Mohius, tandis qu'au point 'de vue anatomique elle réalisait un type mixte à lésions à la fois spinales, nerveuses et
m'a été donné d'observer et qui tous deux se présentaient comme des types de paralysie générale traumatique, une enquête
portance pronos- tique de cette formule leucocytaire. Tandis que le type péri- phérique du syndrome de Landry, souvent c
pho-polynucléaire rachi- dienne permet, au contraire, d'affirmer le type central myéli- tique avec une évolution brutale
les des li- mites bien tranchées, on rencontre entre les différents types des formes intermédiaires qui conduisent insens
symptomatologie peut être diffuse. Si certains cas répondent à des types isolés, on en trouve d'autres qui font supposer
sances fonctionnelles multiples. Aussi, au lieu de multiplier les types dans la description des maladies familiales, il v
associations des muscles at- teints, celles-ci n'obéissant à aucun type fonctionnel déter- miné. Tous ces signes, bie
rvation très intéressante. L, W AH ? XXII. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique; par Lanno
, parfois ilsontun myxoedème fruste, des tics. On ren- contre trois types cliniques. Dans le premier le nystagmus estle seu
même lit, quand tou- tefois par hasard on rencontre au contraire le type isolé par Ball,on n'a pas besoin d'aller aux re
of cerebro-spinal mening., or cerebro-spinal fever of the épidémie type . \Ied-News, N. Y., 1904, v. 84, p. 1065-1073 et
es lésions portaient sur la couche des cellules polymorphes dans le type paranoide.il y aurait lieu, par conséquent, de jo
es malformations congénitales : celle de l'atavisme ou du retour au type encestral, qu'il abandonne ; celle qu'il admet,
oiiie. CLI : \IQUE MENTALE Imbécillité prononcée congénitale ( Type mongolien) TrtAITI : \I7 : T TH1 R011111 : N
de Bronardel et Gilbert, t. IX, pape 5S (1001-190 ? ).- Idiotie du type mongolien (Compte-rendu de Bi ? lre de 1901, p.
olien (Compte-rendu de Bi ? lre de 1901, p. 1 : 37-117 ; Idiotie da type mongolien ( Compte rendu de 1902, 1. : 3-l ; Bo
2, 1. : 3-l ; Bourneville et J. 130)'1'1', Imbécillité congénitale. Type mongolien. (Ibidem., p. 2 ! -33) 13ourneville.Cor
ostic de ce mutisme volontaire des hystériques est fa- cile avec le type Charcot (aphémie hystérique) où le malade ex- p
rime sa pensée de toutes les autres façons ; plus difficile avec le type d'aphasie hystérique complète de réception et de
et de transmis- sion. Les différences entre l'aphasie hystérique type Charcot et type complet) elle mulisme des hysté
sion. Les différences entre l'aphasie hystérique type Charcot et type complet) elle mulisme des hystériques peuvent s
ure nosolo¡6qne : a) d'appeler « aphémie hystérique » de Charcot le type décrit par Charcot sous le nom de mutisme hysté
OLOGIE NERVEUSE. phasie hystérique » ; 6) th distinguer de as, deux types ce qu'on pourrait appeler le mutisme volontaire
oteur ou trophique, la migraine, l'acromégalie, les ostéopathies du type de l'ostéite déformante de Pajet peuvent figure
ts médullaires au cours d'un rhumatisme chronique en particulier du type dyscrasique ou goutteux. Les laits publiés semb
pas liés aux formes les plus graves du rhumatisme chronique. Deux types anatomo-cliniques se dégagent : pacliyméninâite e
quelques lignes. Ces préliminaires conduisent à l'exposé des divers types de dé- mence. Pour l'auteur, les démences préco
musculaire progressive, par Valobra, p. 156. - mus- culaire du type Aran-Duchesne d'origine syphilitique, par Lan-
403. Images. Voir Paroles. Imbécillité prononcée congéni- tale ( type mongolien), par Bourneville et Royer, p. 425. ç
73 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e inconnue par son exagération même. Et en effet, ce n'était pas le type Lasègue, puisqu'on ne retrouvait pas la période
, Pitres, etc., vinrent bientôt confirmer cette manière de voir. Un type clinique particulier était dès lors cons- titué
ielle ana- logue de tous points aux hémianesthésies hystériques. Ce type était peu après reproduit expérimentalement par
, °i décembre 1898.) SENS MUSCULAIRE. 35 anesthésie capsulaire du type classique Turk-Charcot et pensent que l'hémiane
hésie organique complète et le temps n'est peut-être pas loin où ce type morbide lorsqu'il existe sera attribué a des ph
. En examinant ses observations il croit pouvoir établir dans les types cliniques les divisions suivantes : 1° Anesthés
es maladies du système nerveux, et surtout de l'ataxie locomotrice, type des maladies systématiques de dégénérescence. L
dical journal, 2 sept. 1899.) L'observation, qui ne s'écarte pas du type ordinaire, est surtout intéressante en raison d
84 SOCIÉTÉS SAVANTES. cervicale, et autour du collet du bulbe. Ce type excessif - véri- table pachyméningite cervicale
mes de la méningo-myelite tuberculeuse, et l'existence d'un nouveau type de myélite tuberculeuse primitive (type parench
l'existence d'un nouveau type de myélite tuberculeuse primitive ( type parenchymateux subaigu) qui doit être rapproché d
primitive (type parenchymateux subaigu) qui doit être rapproché du type aigu étudié en 1886, par le professeur Raymond.
c pour base de notre élude les seules observations qui répondent au type connu depuis la descrip- tion de Huntington en
nécessaire de ne pas trop s'en éloigner si l'on veut s'en tenir au type primitif et ne pas se perdre dans le dédale des
tington dans l'observation suivante qui offre à plusieurs égards un type remarquable et très net de chorée dégéné- rativ
éique dégénérative progressive ». Notre malade, qui représentait un type très pur de chorée de Huntington, offrait ce tr
n inter- pariétal. Remarquons encore que le lobe frontal offre le type des quatre circonvolutions que Benedikt trouvai
nucléole, sous forme de petites mottes, qui se révèlent basophiles types , et jouissent tout à fait des mêmes affinités t
a surface du nucléole qu'il y ait de petites particules de nucléine type , riche en phosphore. La structure de la substan
it par les altérations artérielles et doit être appelé : phénomènes types de l'artériosclérose encéphalique. Le second gr
r la lésion du système nerveux central ; il constitue les accidents types de la ma- "ladie locale. Le traitement antisc
de décrire en pathologie mentale comme en pathologie nerveuse des types morbides intéressants. Jusqu'ici il n'existe guèr
en une série de petits tronçons qui s'émieltent progressivement. Ce type a été décrit sous les noms les plus divers, not
, ni soubresauts dans le lit. Le malade n'a jamais eu de douleurs à type fulgurant ou lancinant. Il n'existe pas non plu
e, et arrêt partiel du développement intellectuel; 1.0 l'idiotie du type mongolien ; 3° la lipomatose généralisée (qui e
sage n'est pas celle du cré- tinisme ; pas de prognathisme. 2° Le type mongolien de l'idiotie a peut-être plus que tout
2° Le type mongolien de l'idiotie a peut-être plus que tout autre type , été rangé parmi les faits de crétinisme. Les idi
autre type, été rangé parmi les faits de crétinisme. Les idiots du type mongolien présentent en effet un grand nombre d
outre fort souvent du strabisme et leurs yeux sont manifestement du type mongo- lien. La tête est petite, souvent du typ
t manifestement du type mongo- lien. La tête est petite, souvent du type brachycéphalique, les fon- tanelles restent lon
iscutée. L'auteur rapporte ici une observation résumée d'idiotie du type mongolien accompagnée de macroglossie. 3° La
appliquées à tout état dans lequel se manifestent des déviations du type normal de la fonction psychique. Si les mots soul
es ou nulles chez les aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 29 Le type de dégénérescence pulmonaire que l'on observe che
, très accusé chez les dégénérés primitifs, moins mar- qué dans les types instables. Le genre de vie des aliénés dans les
truction des éléments cérébraux, surtout des éléments corticaux. Le type classique de la démence paralytique représente
on de se souvenir qu'il est d'autres formes morbides, ayant avec le type fondamental une si étroite ressem- blance que l
revêt la forme syringomyélique et au début il y a eu des douleurs à type et localisation pachyméningitique cervicale. Ne
savoir, faiblesse et trouble de tous les modes de la sensibilité à type périphérique, sensibilité des trones nerveux et d
latéraux ; peut-être, ce sont des éléments nerveux appar- tenant au type des cellules à prolongement cylindre-axe court
PATHOLOGIQUES. 311 1 conformation cranienne. Si l'on admet qu'à des types craniens, essentiellement différents, comme l'e
des faits qu'il a pu observer, l'auteur arrive à con- clure que le type de syringomyélie bulbaire qu'il étudie peut être
s'adresse à leur excessive im- pressionnabilité. 11° Entre ces deux types de suggestibilités patho- logiques, il y a' des
ssez vraie d'un homme qui souffre du tabès dorsalis ataclica. De ce type se distingue clairement les malades atteints de
ésion des voies conductrices nous aurions une anesthésie d'un autre type et autrement disposée. Si la lésion de la capsu
3 malades porteurs de celte déformation et un malade myopathique du type Landouzy- Déjerine dont le thorax affecte une f
. RYBA- koff, Alcoolisme et aliénation mentale ; 3" W. A. Mouratow, Types de dégénérescence dans le roman de Dostoïewski
quoique sans autopsie, sont encore fort intéressantes. Des deux cas types , l'un est une cécité psychique avec légère agnosc
e ; forme tuberculeuse ; la méningite séreuse. Si les deux premiers types de méningite sont bien connus, le troisième l'e
alie aiguë acquise. Quelquefois marche rapide suivie de gué- rison ( type bénin) ; quelquefois marche rapide et fatale (typ
e de gué- rison (type bénin) ; quelquefois marche rapide et fatale ( type malin) ; quelquefois marche chronique (hydrocép
74 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omme l'a fait M. Mendelshon, inscrire cette secousse. Il y a quatre types bien distincts : 1° courbe spasmodique (temps p
ues; par G. ILIdTSCIiIiIN. (Neurolog. Ce7ll7'albl., XVI, 1797.) . Type de paralysie de l'oculomoteur commun gauche d'ori
n succulente a une valeur seméiologique analogue à celle des autres types (main type Morvan, chiromégalique, etc.) que l'
a une valeur seméiologique analogue à celle des autres types (main type Morvan, chiromégalique, etc.) que l'on rencontr
diagnostiquer la gliose péri-épendymaire; 4° Dans la production du type de la main succulente, la lésion des trois neur
de résoudre quelques problèmes de localisation médullaire; 7° Le type le plus fréquent d'atrophie musculaire qu'on ren-
n- contre dans la syringomyélie, tout au moins au début; c'est le type Aran-Duchenne; 8° Pour un segment donné du memb
e D1' Picqué, de Paris. - Observation de paranoïaque p1'OceS- sive, type du délire raisonnant de dépossession de Régis par
ne surdité absolue. Le 8 décembre, paralysie du nerf facial droit à type périphé- rique (participation des branches supé
ns obtenu soit une courbe oscillant entre des maxima et des minima ( type continu polycyclique), ou plus souvent présenta
ycyclique), ou plus souvent présentant des inter- mittences vraies ( type discontinu polycyclique) comme le montrent les
ie et à la philosophie pénale, sujet permettant de différencier des types aussi nels, aussi accusés que le sont eu pathol
sit; le congrès de Paris en 1889, rejeta résolument et fit bien, le type du criminel-né tel que l'avait conçu Lombroso ; m
e médecin qui sait com- ment se détermine un aliéné appartenantà un type nettement dé- fini, aura dans une observation s
ujours et partout le même aspect. Il est impos- sible de dégager un type à part nettement reconnaissable dontles caractè
nt chirurgien est obligé de reconnaître la difficulté de dégager un type bien défini que l'on puisse étiqueter délire po
qui joue le principal rôle. Conclusions. - 10 Il n'existe point de type spécial de psychose que l'on pourrait étiqueter
uire des troubles psychi- ques ? Tel est le problème. Il cite comme type de psychose post- opératoire des mélancolies «
). - PRÉSIDENCE de M. Motet. Observation de paranoïaque processive. Type du délire raisonnant de dépossession de Régis;
n peut se présenter sous la forme de simples bouffées délirantes, à type de délire systématisé aigu hallucinatoire. Dans
élire. Au point de vue anatomique, elle réalise merveilleusement le type si longtemps cherché de la sclérose pri- mitive
ment rapide; d'autres, au contraire, comme Krafft-Ebing, en font un type morbide spécial. Il faut avouer que, quand on l
s avons insisté. Le malade que nous avons observé présentait un cas type , un cas d'étude, de la variété que nous tenons
écuteurs, variété de la folie raisonnante. En dehors de cette forme type , il a rencontré quelquefois, à l'origine ou dans
bles lésions. Ni d'aucune autre manière on ne pourrait expliquer ce type fa- milial et d'hérédité homologue qu'affecte q
de la Scalllé- trière, n° 2, 1898.) La juxtaposition de ces deux types d'infantilisme, qui se distin- guent par un hab
clusions suivantes : cette paralysie est myélopathique et répond au type de la paralysie spasmodique articulaire ; c'est c
MSON. (British médical Journal, août 1897.) C'est une observation type d'hysteria major, conforme à la des- cription c
gols, ainsi dénommés en raison de leur facies qui se rappro- che du type mongol. Il ne faut pas les confondre avec les cré
qu'elles passent par des stades de transi- tion avant d'arriver au type parfait de cellules en araignée de la névroglie
usqu'à la région dorsale la plus supérieure, sont le siège des deux types de lésions, dont le premier apparait des plus n
ines postérieures à ces mêmes hauteurs sont aussi le siège des deux types de lésions, mais plus particuliè- rement du pre
ypes de lésions, mais plus particuliè- rement du premier, le second type y étant un peu moins accentué que dans les raci
oivent être lues et vues sans raccourci. L'auteur laisse de côté le type ordinaire de la marche et de la course qu'il a
on); dé- cubitus sacré, rétention d'urine et de matières; fièvre il type irrégulier, 37,5-38,1; le pouls est à 120-125;
que les troubles psychiques en question soient un cas de folie du type confusion mentale primitive. Nous avons bien de
ressembler à une cellule géante. L'arrangement de ces cellules est type pavi- poussées d'encéphalite aiguë. 447 men
Iuntington. C'est aussi l'unique cas qu'on a essayé de rattacher au type d'encéphalite de Friedmann, que nous ayons trou
nt de longues discussions pour savoir si leurs cas appartiennent au type Wernicke ou Strümpell de l'encéphalite, et cela
rent fortement; c'est surtout ici que nous rencontrons les cellules type épithélioïde, et nous tenons à nous expliquer s
e série de processus physiologiques, se produisant tous sur le même type . Toute attention est le résultat d'un réflexe,
à la mélancolie. pour revenir ensuite à de l'excitation maniaque à type convulsif. Al"° Y..., au contiaire, n'a pas de
DES CELLULES DU système -sympathique ; par le Dr G. MARINESCO. Le type principal de cellule nerveuse qui domine dans les
sa partie moyenne, est donc un noyau complexe, contenant plusieurs types cellulaires. Après la section chez le chien du
u de méthyle (1894 et 1893), de la cellule des cornes antérieures à type somatostichochrome, chez le lapin inanitié tota
qu'il lui a pain préférable d'étudier les modifi- cations d'un même type de cellules dans des formes variées d'af- fecli
75 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s doivent être disjoints les uns des autres et classés suivant cinq types . Le premier type comprend des scléroses diffuse
ints les uns des autres et classés suivant cinq types. Le premier type comprend des scléroses diffuses; le second, des
nt trop dissemblables et n'ont pas toutes la même valeur. Le second type se sépare abso- lument des autres; il appartien
e et nullement au tabes combiné. Entre le troisième et le quatrième types , au contraire, il n'y a pas de diffé- rence fon
? La lésion diffuse succède-t-elle à la lésion systéma- tisée (3° type de Ballet et Minor), ou, au contraire, la lésio
re, la lésion systématisée succède-t-elle à la lésion diffuse (4e type des mêmes auteurs) ? La propagation se fait- el
'en rendre compte il n'y a qu'à se rappeler ce qui se passe pour ce type clinique si admirablement DU TABES COMBINÉ. 33
s ne de- vons insister ici que sur ce qui appartient en propre au type clinique que nous étudions. Ainsi les indicatio
i figurent dans nos tableaux me paraissent établir l'existence d'un type clinique, distinct des autres ma- ladies de la
s d'esprit, cinq tom- bèrent malades. L'évolution, identique, comme type , chez tous, parut plus atténuée et moins longue
ltation dans les idées « fausses se rencontre également dans divers types de folie et ne « peut par conséquent servir de
, octobre 1883.) Le cas rapporté par M. Greene ne s'écarte guère du type des actes homicides dus à la folie impulsive. I
; 3° psychoses pério- diques 2 familles ; 4° folie systématique ou types à peu près purs de vésanie organisée : 5 famill
ux, tempé- rature axillaire de 37°2 à 37°3, fréquence (6 p. 100) du type cri- minel. Tous sont paresseux , impulsifs, pr
'est bien à M. Charcot que revient l'honneur de la découverte de ce type cli- nique ; il ne manque ici que la rigidité d
la glande thyroïde. Ces deux cas sont, sans aucun doute, deux cas types d'idiotie crétinoïde, ou mieux d'idiotie compli-
Observation III. - Idiotie avec arrêt de développement du corps et type crêtineux de lu face d'origine congénitale ( ? ).
s dans le prochain numéro, est au contraire un cas de myxoe- dème type , où aucun symptôme ne fait défaut. (A suivre.)
antérieures de la moelle ou des nerfs moteurs, et qui constitue le type de la lésion trophique ? Il est sans doute in
au clinique de la maladie, quoique notre cas s'éloigne peut-être du type régulier de la paralysie ascendante aiguë. Voic
t les éléments conjonctifs. A côté de cela, il existerait un second type de tabès dans lequel l'altération primitive con
bès héréditaire de Friedreich, il est impossible d'établir d'autres types cliniques à moins d'utiliser à cet effet les sy
cette affection de la sclérose en plaques dont elle diffère par le type régulier de sa symptomatologie, de son évolutio
sentés par l'auteur en com- mun avec M. Thomsen. L'auteur y voit un type morbide spé- cial caractérisé par un état de dé
temps, s'améliore ensuite rapidement ainsi que dans la catatonie- type de Kahlbaum, et parait guérie (po observation) ou
scussion : On s'inquiète surtout de savoir si la catatonie forme un type morbide autonome. Non, disent MM. F¡"l\OENKEL e
- London, 1886. J. et A. Churchill. HG WARD H. Toot.- Thepei-oizeal type of progressive nuzsculnr at>'Oph ? Brochure
ne assez grosse noisette. Pas d'onanisme. Crâne. - 11 appartient au type brachycéphale ; voici les princi- pales dimensi
ble que, s'il avait eu l'occasion de voir auparavant quelques cas types de myxoedème, il n'aurait pas hésité. Nous ajou-
assez grande, maigre, intelligente; physionomie régulière, rien du type crétineux. Elle est née à Vannes; a été réglée à
nes du service encore à Bicêtre qui l'ont connu, ce malade était un type absolu- ment semblable au Pacha. Les différen
e, une paralysie temporaire de la sensibilité et de la moibilité du type hystérique ou fonctionnel survient après des op
'augmente les chapitres, ce qui me permet une étude plus facile des types . La plupart des aliénés héréditaires n'ont pas
rhéophoriques, mesurées au moyen du système décimal, ainsi que d'un type de pile ayant peu d'effet chimique. M. Stein a
ent l'exacte connaissance des tableaux morbides qui constituent des types ; le clinicien qui veut affirmer son diagnostic
titue un travail nouveau, tout entier consacré à la description des types cliniques, de leurs variétés, des complexus sém
76 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le dans les exemples d'atrophie du cerveau. L'examen, dans tous ces types , du corps calleux, des parois des ventricules l
abolis d'un côté chez un malade) ; et des signes communs à ces deux types cliniques (nystagmus, déviation vertébrale, abs
ATHOLOGIE NERVEUSE. -il dont il est question dans la description du type facio-scapulo- huméral. De plus, les lèvres ne
ements spontanés, involontaires, arythmiques, qui offrent tantôt le type choréiforme, tantôt l'aspect athétosique. Ces mou
des membres. La réaction de dégénérescence présente dans ces cas un type particulier que les auteurs comparent à la réac
8 ! ) Un bouffon de Charles-Quint, peint par Antonio Moro, est un type remarquable d'hémiplégique, dont la main droite e
effets, chez lui, du traitement thyroïdien. Le malade qui était un type , aussi caractéristique que pos- sible, de myxoe
action du bleu polychrome d'Unna. D'ailleurs, des lésions du même type se retrouvent sur les élé- ments cellulaires au
ait paraître. 124 RECUEIL DE FAITS. tons, était un des plus beaux types d'idiotie myxoedéma- teuse que nous avons obser
tique, s'est développée une me- ningo-encéphalite à forme spéciale ( type Klippel). Chez ce malade, sur le fond démentiel
prouve encore, c'est que l'on a beau varier l'origine du sérum, le type de la réac- tion individuelle ne varie pas ; il
on d'ordre purement névropathique, n'ayant rien de com- mun avec le type que rencontrent ordinairement les orthopé- dist
assées de la manière sui- vante : 1° Age. Kraepelin a montré que le type mélancolique se rencontre ordinairement chez de
sont devenues aliénées pendant qu'elles subissaient leur peine. Le type de folie le plus fréquemment observé est la man
ement dans la période puerpérale sont dus à des troubles mentaux de type mélan- colique. Par leurs caractères généraux i
mon présentent un malade atteint de para- lysie saturnine double du type supérieur à disposition radiculaire cervicale (
oir réuni chez la même malade de nombreuses vaiié- tées de sarcome, types fibroplastique, -Iobo-cellulaire, psammoma- teu
emblable dans les deux altec- tions. Tune est a. caractère bénin du type fibrome, l'autre est à caractère malin du type
. caractère bénin du type fibrome, l'autre est à caractère malin du type sarcome, mais les deux sont une neoplasie primi
istinguer une affection spinale d'une affection céré- brale dans le type de Little. Par analogie et à l'appui de celte opi
out cas à établir la maladie de LUtte qui pour M. Brissaud reste un type conslantcéré- bral, dans lequel il faut faire u
PRÉ établit une différence entre cette interprétation déli- rante à type externe des persécutés et à celle à type de posse
terprétation déli- rante à type externe des persécutés et à celle à type de possession zoopathique interne de son malade
te sa fécondité. On avait multiplié, comme à plaisir, les formes ou types d'atrophie musculaire progressive. Le meilleur
ogressive. Le meilleur moyen de familiariser ses auditeurs avec ces types multiples était de leur en faire la description
ématurée. » On avait eu la prétention d'ériger un certain nombre de types d'atrophie musculaire progressive en véritables
rentiels une valeur qui leur fait défaut. Elle a démontré que ces types d'atrophie musculaire, érigés en espèces morbid
fondaient les uns dans les autres, reliés qu'ils sont, par tous les types imaginables de transition; en un mot, au point
qui e,t T'atrophie musculaire progressive, celle- ci comportant des types nombreux. Bref, en se maintenant le plus possib
des temps, on la morcelle en fragments nombreux qui constituent les types dont il est question à l'instant. Puis Erb entr
n dési- gna encore sous le nom d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenue; une forme myopathique, maladie e
naissons au- jourd'hui une forme d'atrophie musculaire progressive ( type We)'</M.'y-/7oyM&n ? ! ), dont les carac
viction. Pourtant une critique doit être ici présentée, à propos du type l.andonzy-Déje- rine. Cette critique a trait à
e DI11. Landouzy et Déje- rine ont eu tort de prétendre que dans le type qu'ils ont décrit l'atrophie commençait par les
contraire; ils se sont, au contraire, efforcés de montrer que leur type était facio-scapulo-humérul. Les trois leçons q
rentes affectations psychiques, et a amené ainsi la constitution de types morbides, tel celui de la démence précoce. dans
ologie écarté, sommes- nous actuellement en présence d'un véritable type morbide, et sur quelles bases peut-on l'établir
pe, nous proposons de ranger les cas qui paraissent se rapporter au type décrit par M. Klippel sous le nom .de paralysie
donc être cherchées, surtout si la psychose qu'on observe revêt le type habituel au cours des maladies du ne : . Ce typ
n observe revêt le type habituel au cours des maladies du ne : . Ce type est caractérisé par : 1° Une légère obnubilatio
érébrales de l'enfance ou de la puberté. Or D... est bien un de ces types de malades. Nous connaissons son hérédité morbi
ette revue thérapeutique. Mais est-il nécessaire de décrire ici des types que chacun a facilement devant les yeux. Le man
supérieurs ont perdu tout pouvoir régulateur ; nous en trouvons le type le plus complet chez l'épileptique ; les déchus
Le diagnostic de la démence. M. M.4ss\UT (Charleroi). A défaut de types cliniques à évolu- tion déterminée, il serait t
t Sa grammes, celle du côté droit en pesait 182. Lésions osseuses à type hypertrophique des tètes humérale et radiale, p
incomplète de la maladie de Heckling- hausen avec l'infantilisme du type Brissaud. Neurofibromatose et myxoedème sont de
qu'ils soient seuls ou entourés de personnes étrangères. Ces deux types de soliloques à voix haute el à voix basse peuv
77 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
es croquis, les notations sans nombre, scènes de la vie courante, des types et des paysages japonais exécutés au cours de ces
que latechniqueque j'aiemployée, pour séparer les uns des autres les types supérieurs de débilité mentale, a été inspirée pa
'iconographie grecque antique de fort nombreuses reproductions de ces types qui aujourd'hui se trouvent dans les asiles d'ali
l'art Meige, Souligoux et moi-même en avions étudié quelques nouveaux types . Mais tout se bornait à une quinzaine de sujets e
iver aux fouilles de Smyrne pour faire comprendre la multiplicité des types réunis jusqu'alors sous cette épithète de grotes-
e antique représentant un adénoïdien (Collection Fouquet). silènes, types obscènes, caricatures, etc., n'étaient probableme
la vie réelle : acteurs comiques dans leurs poses les plus amusantes, types barbares, paysans, marchands, sol-dats. etc. Pl
pes barbares, paysans, marchands, sol-dats. etc. Plusieurs sont des types à physionomie accentuée. Que de fois j'ai entendu
Présentons d'abord aux lecteurs quelques kliols profonds. Voici un type dont le professeur Fournier ferait probablement u
râne en toit n'abrite aucune pensée. La figure 10 présente un autre type plus maigre et sec. Le nez est aussi écrasé a la
iote de M. Gaudin : les terres-cuites 13 et 14 nous représentent deux types semblables : lèvres et nez gonflés, cou œdèmatié
ont su tirer ces Fig. 21. 22 ; 23. — Terres cuites représentant des types do microcéphales (Collection Gaudin). artistes
sentant des types do microcéphales (Collection Gaudin). artistes du type microcéphale. En en exagérant outre mesure les ca
t la réalité. Fig. 24, 25, 26, 27. — Terres cuites représentant des types de dégénéres et de déments (Collection Gaudin).
saillantes qui les font ressembler à un crâne d'homme préhistorique, type de Néandertha ou mieux d'anthropopithèque. Le
les aliénés. Fig. 28, 29, 30, 31. — Terres cultes représentant des types de dégénérés et de déments (Collection Gaudin).
les du crâne, action de la coiffe le plus souvent. On observe de tels types dans nos asiles. Tous les sujets à crâne défo
l'on opposera aux précédentes. La figure representée au n° 33 est un type de scapkocéphalie, déformation consécutive à ta s
sante. Ces deux figures 33 et 34 ne sont pas des idiots, mais des types à intelligence normale pris dans la vie réelle.
réelle. Signalons encore, dans la collection Fouquet cette fois, un type accompli d'idiot (35). Fig.35. — Terre cuite re
aladies, nous ne nions pas pour cela qu'ils en aient aussi retiré des types grotesques. Cela prouve simplement que l'art an
ses ordinaires. La plupart sont groupées en écoles autonomes, soit du type externat, soit du type semi-internat, soit enfin
art sont groupées en écoles autonomes, soit du type externat, soit du type semi-internat, soit enfin du type internat. Le
mes, soit du type externat, soit du type semi-internat, soit enfin du type internat. Le nombre d'élèves est en moyenne de
nostic, car ils sont dessinés à grands traits, avec une face selon le type conventionnel de l'époque, front fuyant qui prolo
y a là toute une éducation de la volonté, qui a contribué à créer le type moderne de l'Américain, homme d'action, aux décis
à son existence. Il persécute par peur d'être trahi. Il réalise le type complet du persécuteur persécuté. Il n'y a pas de
ques qui représentent en somme une régression de la mentalité vers le type infantile » caractérisé surtout par un manque de
de ces sensations erronées, qui sont généralement curables. Dans le type grave, le terrain nerveux est plus défini et plus
s (neurasthénie accidentelle et héréditaire, mélancolie anxieuse). Ce type grave, comme le type bénin, peutse compliquer de
entelle et héréditaire, mélancolie anxieuse). Ce type grave, comme le type bénin, peutse compliquer de tics (raclement guttu
ême méthode l'étude des grandes légendes divines qui relèvent du même type . Boudha, Confucius, Lao Tsu, Christna, Jésus ont
ots microcéphales, p. 146. Terres cuites anciennes représentant des types de microcéphales, p. 147. Terres cuites ancienn
de microcéphales, p. 147. Terres cuites anciennes représentant des types de dégénérés et de déments, p. 147. Terres cuit
rés et de déments, p. 147. Terres cuites anciennes représentant des types de dégénérés et de déments, p. 148. Terre cuite
78 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
externe. De cette dichotomie en arcades, on retrouve plu- sieurs types : tantôt l'artériole se bifurque, à quelque dis
utes les régions, au cou, aux membres, etc. Nous pren- drons pour types le saphène interne et le musculo- cutané à la j
etant dans les veines collatérales. 22 ANATOMIE. II. Prenons pour type , ici encore, le pneumo- gastrique et le grand s
ier de veines névro-musculaires, et dont la figure 12 représente le type général. Sans insister longuement, cet appareil
loin, s'unissent à d'autres ramuscules de même origine et de même type , pour former, tout le long du plexus, une longue
usqu'au début de l'affection mentale (Magnan). Les persécutés de ce type ne sont pas rares. Je citerai comme exemple le
reries; cependant il est toujours de bonne humeur. Ce malade est un type de persécuté halluciné (il a même quelquefois d
re. 1 Comme troubles de la sensibilité, il se plaint des douleurs à type fulgurant que nous avons signalées et d'engourd
é à travers la glotte. La toux hystérique d'ailleurs, représente un type fonda- mental dans ce premier groupe. Les autre
rses, s'éloignant quelque- fois beaucoup, en apparence du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (sin.qultus). C
fois beaucoup, en apparence du moins, du type toux (tussis) ou du type hoquet (sin.qultus). Ces formes sont désignées
e produit au moment de l'expiration et appartient par conséquent au type « toux ». Il est inspiratoire, au contraire et,
eux) et des zones radiculaires postérieures/ Il est probable que le type se compose d'une affection systématique de la m
ique lui-même ne paraît pas démonstratif. Que de fois, alors que le type clinique semblait être myopathique, ne trouve-t
d'atrophie musculaire, un jeune homme de vingt et un ans affecté du type Charcot-Marie (Revue de médecine, 1886), tandis q
illis et commentés par un médecin érudit. Quant aux persécutés du type Falret, qui n'ont pas d'hallucinations, ce sont
i eux des homicides, mais moins souvent que parmi les persécutés du type Lasègue. Ces sujets sont naturellement envieux,
u'on désigne vulgairement sous le nom d'entreprises de chantage. Un type remar- quable de ce genre d'aliénés est fourni
reux degrés, et en réalité, de l'homme peu intelligent à l'imbécile type , il existe une grada- tion insensible. Le médec
la folie .alcoolique, qui est si,fréquente et qui peut ! servir, de type aux psychoses par empoi- sonnement chronique..
lui était venu quatre ans après un incendie. Cette malade est un type de mélancolie avec conscience. Son caractère l'
pour résumer cette longue observation qui à nos yeux représente un type de mélancolie, Mél. Paq. semble avoir dès l'enf
car les distinctions établies entre la syringomyélie et ce dernier type sont bien subtiles; ce sont en tout cas deux affe
ique illimités, car cette commission détermine, à sa discrétion, le type des soins médicaux, le nombre des assistants, l
ccès de délire alcoolique. - Cette femme, vous le voyez, était un type de déséqui- libration cérébro-spinale; chez ell
s de philosophie parlent tous les ans à leurs élèves des différents types de mémoire, des visuels, des audi- tifs, des mo
ieurs, une jeune fille de vingt ans, Isabelle, qui nous présente le type de l'hystérie la plus banale : père alcoolique,
s les débauches imaginables et pour le peuple, elles sont encore le type de la passion érotique; nous croyons être plus
ux complexes qui pourront sans trop de difficulté se ratta- cher au type précédent. Mais il y a une troisième catégorie
elle du bras et de l'avant-bras), qui ne présente du reste point le type Duchenne-Aran ; atrophie des muscles du tronc (pe
les sont atteints ou ont été affectés de : SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 type très net du symptôme de de Groefe; quand le malad
lié in extenso. M. KIEFER communique une observation d'hébéphrénie ( type Kahl- baum-Hecker). Jeune homme jusque làbien p
pouvoir s'orienter et se mouvoir. L'orateur a également observé le type du déplacement du rétrécissement du champ visue
par l'adjonction de nombreuses figures représentant les différents types en vue. Du reste un grand nombre de figures ill
n déduire un processus morbide, de synthétiser et de créer ainsi un type pathologique. C'est ce que vous avez réussi à f
k, 1892. Journal of nel'vous and mental disease. · L¡;FORT (A.). Le type criminel d'après les savants et les artistes. V
ew- York, 275 , distraction dans les - , 431. Astasie-abasie, à type choréique, par Weill, 88 ; dans la mala- die
79 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dique infantile, d'hémiplégie spasmodique infantile ne sont que des types clini- ques qui réalisent d'une certaine façon
une paralysie labio.losso- laryngée et d'une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne asso- ciées à un élémentspasmodiq
abio-glosso- laryngée, l'atrophie musculaire progressive spinale du type Aran- Duchenne et la sclérose latérale amyotrop
soulèvent un des problèmes les plus intéressants de nosologie. Au type Aran-Duchenne représentée par l'atrophie flasque,
teurs qni devant le démembrement successif de l'atrophie musculaire type Aran-Duchenne au profit de la sclérose latérale
eur Raymond répond nettement par l'affirmation de l'existence de ce type démontrée indubitable- ment et par M. Jean Char
Leyden ne voulait pas la reconnaître comme distincte de l'atrophie type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lésion
génération réalise au point de vue de son intensité décroissante le type inverse de ce qu'on observe dans les cas de lés
l touché et presque exclusivement dans son corps cellulaire dans le type Aran-Duchenne, la maladie de Charcot 60 REVUE D
iques. Premier cas, hémi- plégie et aphasie, accès épileptiformes à type cortical : convul- sions cloniques incessantes
t qui réalise l'association d'une paralysie radiculaire complète du type Erb, et d'une para- lysie radiculaire inférieur
perosto<e. L'atrophie musculaire de la syringomyélie revêt trois types : 1° type Aran-Duchenne, type ascendant; 2° typ
L'atrophie musculaire de la syringomyélie revêt trois types : 1° type Aran-Duchenne, type ascendant; 2° type scapulo-hn
aire de la syringomyélie revêt trois types : 1° type Aran-Duchenne, type ascendant; 2° type scapulo-hnméral ou descendan
yélie revêt trois types : 1° type Aran-Duchenne, type ascendant; 2° type scapulo-hnméral ou descendant; 3° type diffus.
Duchenne, type ascendant; 2° type scapulo-hnméral ou descendant; 3° type diffus. Le premier est le plus fréquent ; génér
seur Cesare Lombroso (de Turin) : « Chaque dégénération a-t-elle un type ? D Dr Morel (de Gand) : Thème réservé. Profess
-glosso- laryngée, la paralysie pseudohypertrophique... Comme ces types sont restés vrais ! Et ils ne sont tous alors que
cas bien comparable d'atro- phie musculaire encore, mais plus pure, type Aran-Duchenne, non liée aux faisceaux pyramidau
confirmer la probabilité de l'existence d'une folie diabétique à type distinct, caractérisée' par de la mélancolie ovec
évident que l'affection mentale était un cas bien caractérisé du type nommé par les auteurs forme hypocondriaque de la
d de rectifier la description du cerveau dit normal et d'établir le type schématique des circonvolutions et scissures de l
importante, comme on l'observe dans la catatonie, et dans certains types de folie et de mélancolie avec stupeur, peuvent
te la première arrivée. Principaux symptômes morbides et principaux types de maladies ; mesures à prendre. Exemples concr
qu'à titre provisoire. L'évolution du tabes se fait suivant deux types : tabes bénin, tabes grave. Nous serions portés
cela, dès le début de la maladie. Il y a là une sorte de mélange du type Erb avec celui de Klumpke. Après une étude minu
ire le devis de son village; I. Colin nous en a cilé un créé sur ce type en Amérique, mais il ne nous a pas dit quel cap
gence moyenne, l'idiot, le cré- tin, etc., sont des dégénérés, d'un type différent il est vrai, mais ce sont des dégénér
ude des délires mélancoliques systématisés à évolution progressive ( type Letard), en un mot un chapitre à ajouter à l'ét
avons donc affaire ici à une lésion assez rare du plexus brachial, type Ducheune-Erb ; dans ce cas la lésion devait être
s suivantes : la sclérose disséminée peut quelquefois s'éloigner du type commun en dépendance de la localisation; elle p
e. Je pourrais rappeler encore ici ce cas de myopathie primitive ( type Erb) chez une jeune hystérique, relaté dans l'lls
r sens, homogènes dans le second '. Dans le cervelet, où les divers types d'éléments nerveux offrent la plus grande diver
s nerveuses centripètes et centrifuges. Le nombre et la variété des types cellulaires, la grandeur des éléments nerveux,
a encore contribué à individualiser, en lui donnant la valeur d'un type de dégénération, l'altération secon- daire de l
séparation des lésions dégénératives de la cellule nerveuse en deux types , le secondaire et le primitif, est, d'une maniè
e). Dans une série de cas où la syringo- myélie se présenta sous le type élevé par Kahler, Schultze et Schle- singer, qu
é de tahes et enfin d'une observation concernant la syringomyélie à type Morvan. Contribution ci l'étude des dégénéresce
Llissernetit physique progressif. A partir de 1895, les attaques du type hystérique ont complètement disparu. Les séries
des deux symptômes précédents, on ne doit pas oublier que les cas types réunissant tous les symptômes d'une maladie, sans
par A. \VIEnEn. (v1'etcrolog. Centralbl., XV, 1896 Il s'agissait du type facio-scapulo-lmméral, ayant débuté brusque- me
oubles de la sensibiité Diaan, : myopathie progressive primitive du type Landouzy et Dejerine. Pas de névrite antécédent
'ailleurs certaines analogies, mais pouvant leur être opposés comme types de mélancolie vraie, essentielle, avec des caract
ce membre, mais elle se généralise com- munément en conservant son type primordial.' On l'observe plus fréquemment dans
80 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
table inversion du sens sexuel. En effet, contrairement aux malades types de cette catégorie, avant son entrée à Bicêtre
la malade. Il manquerai t le syndrome ectrololie pour constituer le type décrit par M. Gilles de la Tourelle et qui n'es
les malades trouveront à l'établissement, qui devra représenter le, type d'un asile de traitement, toutes les ressources
es et des mouvements conscients. Il analyse, en outre, un troisième type de mouve- ments, type mixte et compliqué dont l
onscients. Il analyse, en outre, un troisième type de mouve- ments, type mixte et compliqué dont le processus est, en somm
comprend l'importance que présentent les mouve- ments da ce dernier type dans l'examen des actes de l'homme en général e
OGRAPHIE. sous forme d'appendice les opinions émises sur les divers types par les plus éminents maîtres de l'école italie
ermet d'opérer la ventilation à volonté. Celles de l'étage .sont du type dit « à balcons » savoir : une partie supérieure
bâtiment. Il a été établi, pour ce service sur nos indications, un type de lit en tôle et fer, avec sommier, donl toute
ie et, très souvent, l'épilepsie dès quatre ou cinq ans. C'est à ce type que peuvent se rattacher le plus grand nombre d
LOI DES SCAPHANDRES. 213 3 forme aphasique, et plus spécialement le type d'apha- sie complexe. Il est de toute évidence
ysiologiquement et anatomiquement différentes l'une, appartenant au type 1 Horsley.- The Lanccl, H ! 86, I . Horsley.-
UE. des glandes acineuses et produisant la mucine, et l'autre, du type des glandes lymphatiques ayant une destination hé
réclament au moins la surveillance con- tinue ainsi organisée : le type a été réalisé par lui à Brème. P. K. VI. Into
les symptômes observés ne rentrent pas exactement dans le cadre du type que l'on est habitué à voir, ils ont une physio
à Paris du 10 au 17 août 1889. A la question posée : existe-t-il un TYPE de l'homme criminel ? 111. 11lANOUVRlER répond
impossible de faire une moyenne de ces caractères et d'établir un type de l'homme criminel. Tel n'est pas l'avis de AI
prostitution chez la femme, qui constituerait la délictuosité de ce type . Mli. BENEDIHT (de Vienne), LACASSAGNE (de Lyon
t est facile à constater suivant cer- taines régions où des races à type connu dominent. A un autre point de vue, les gr
us savons que dans la vie embryonnaire, les tissus graisseux ont le type de tissus mu- queux. Mais il y a des cas où che
) La première forme que signale l'auteur n'est autre chose que le type pur et complet de la respiration de Cheyne-Stokes
seconde forme n'est qu'une subdivision de la première ; elle a pour types les cas où la respiration de Cheyne-Stokes est
rme et à un degré très atténués, et que plusieurs des caractères du type complet font entièrement défaut. Le troisième t
caractères du type complet font entièrement défaut. Le troisième type présente au point de vue clinique la forme géné
ives de dyspnée, qui sont essentiellement les mêmes que celles du type Cheyne-Stokes, et les différentes phases de chacu
a respiration de Cheyne-Stokes; mais récemment, dans un cas où ce type respiratoire avait été constaté, Tizzoni a trouvé
érébrales, ce n'est pas à une névrite que l'on a affaire ; c'est au type le plus beau de papille étranglée. Dans la méni
ce (Westphal, Buss, Marie et Guinon; 3° une d3'strophie infantile à type mi-partie juvénile, mi-partie pseudohypertrophi
ez avancée mais très nette (forme juvénile), ainsi qu'un aphasique ( type Broca). M. Wiedersiieim (de Fribourg) présente
rit quelque chose de - semblable à une écorce, forment peut-être un type (protoptère) in- termédiaire à ce que nous veno
des poissons osseux, et celui des .amphibies, on ne connaît pas de types constituant des transitions SOCIÉTÉS SAVANTES.
n traumatisme, était atteint d'hémiplégie droiteet d'une aphasie du type Broca; il lui était devenu impossible de chanter,
lexie. La seconde fut suivie de troubles très marqués de la parole ( type Broca) avec troubles accusés de l'écriture. La
sitants. Discussion : MM. WESTPH.1L et MESCHEDE. En prenant comme type les observa- tions d'Oppenheim, et en étudiant
; par Jehn, 464. Crime politique, par Contrigue,292. Criminel ( type de l'homme), par nouvrier, Lombroso, 291 ; aug-
81 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
1) Mme Anna Goukowsky (Clinique du professeur llevilliod). Un nouveau type d'hé- miplégie alterne (hypoglosse gauche et me
gie, si ces attaques revêtaient le masque de l'épilepsie partielle, type crural. C'est ce que l'on observe « 99 fois sur 1
ndre cette étude, je devrais régulièrement commencer par décrire le type ordinaire de la marche et de la course. Je ne le
e toutes les variétés de la marche ou de la course se rattachent au type de la marche ordinaire sur terrain horizontal,
orizontal, et que l'on pourrait les classer, en prenant la marche type comme schéma, suivant qu'elles en exagèrent, en
le vent, dans la marche en tirant ou en poussant, modifie aussi le type . Enfin, les passions qui agitent l'âme du marcheu
ontenterai d'en citer un ou deux exemples pour montrer com- bien le type normal de la marche peut en être altéré. Prenon
le type normal de la marche peut en être altéré. Prenons d'abord un type de démarche guerrière, une démar- che d'entho
squ'à les confondre les cas frustes de celte affection à cer- tains types d'infantiles fut établie par M. Brissaud (2). On
Dans un travail ultérieur, M. Brissaud a nettement séparé les deux types qui se distinguent entre eux non seulement par un
ALLARD Le premier de ces infantiles appartient incontestablement au type myxoedémateux. A première vue, il a toutes les
ombre de particularités morphologiques qui le font dévier un peu du type ordinaire. ` D'abord, il a maigri, et même, nou
lles; les ongles notamment sont très élargis et incurvés suivant le type hippocratique. Malgré ces anomalies, notre peti
PL. XIV. JEUNE HOMME INFANTILE INFANTILE DE CROISSANCE NORMALE DU TYPE LORAIN MYXOEDÉMATEUX 19 ans. Taille : I ? S 17
ile de ceux que 1\1. Brissaud a proposé d'appeler les Infantiles du type Lorain. « DébiliLé, gracilité etpetitesse du co
similitude. Par contre, les différences sont incontestables avec le type morpholo- gique de l'infantilisme myxoedémateux
sion thyroïdienne fait généralement défaut dans l'in- fantilisme du type Lorain. Celui-ci relève de conditions étiologiq
que soit la cause efficiente, il s'agit bien ici d'un Infantile du type Lorain, être « débile, grêle et petit » arrêté da
Radiographies l ? 411a;-d Pbolcroll. 'Bo/balld ABC c INFANTILE DU TYPE LORAIN âge de 17 ans. ENFANT NORMAL âgé de
es parties molles. Au contraire, la main de l'autre infantile, du type Lorain, âgé de 17 ans, présente un développemen
hronique et la myosite ossifiante progressive, il insistait sur les types de transition que l'on oit- serve entre cette d
, etc.). L'os- 128 A. ET J. NISSIM sification se fait d'après les types fibreux, enchondral et périostique (Cahen, Salm
tes fois le désir de pouvoir conserver la représentation fidèle des types morbides vivants qui passent sous leurs yeux. B
eux de Bicêtre. Par un détail seulement, le petit malade diffère du type ordinaire de l'infantilisme myxoedémateux, c'es
e. En 18G7,ni)ton Fagge sépara nettement la morphée, dont il fit un type distinct, de la sclérodermie, et à la même époque
nctions végétatives s'exécutent assez bien. La respiration perd son type ordinaire. Si les espaces intercostaux in- féri
. D'habitude la rigidité du thorax fait que la respiration prend le type abdominal et on trouve alors une expansion thorac
lle il eut, pendant une année, des fièvres intermittentes graves, à type tierco, qui i l'ont beaucoup affaibli. Marié
ar une irrita- tion immédiate des terminaisons nerveuses d'un autre type , qui sont aussi capables, comme plusieurs autre
phale, a été également signalée dans l'hérédo-syphilis. Est-ce au type exagéré de celle forme, dit scaphocéphalie, que d
uteux de lésions syphilitiques et affectant à un très haut degré ce type scaphocéphale. Je donnerai ici mais avec les plus
certains états pathologiques tels que l'idiotie ou l'épilepsie des types d'af- fections monstrueuses, plutôt que des dés
n montre 77 respirations à la mi- nute, courtes, superficielles, de type nettement costal. L'excursion du diaphrag- me e
se. La respiration est abdominale, 20 respirations à la minute ; le type costal n'est pas complètement détruit. La respi
a nutrition des ossi- fiés et il n'y a constaté aucune déviation du type normal. 11 a soumis son ma- lade à un régime al
l'aphi'l"e. I;el-oc pa)'prH)ci[)cqnittaissedcct')t61cs anomalies du type ainsi ()[c.pu) ! t'h)n( ! rcpIns('tai ! '0)im))
ages qu'il dessinait forment une collection extrèmemenl curieuse de types anciens ou modernes, dans les plus divers accou
n 1881. . 50'( - - jardin, ou quelque détail de meurs. ou quelque type local : homme, femme, enfants, esquissés eu que
au liez il demi figé par le froid : il fait parlie d'une série de types nationaux dessinés par Char- ('11l IUI', de son
nforme et chaussé de babouches dépareillées, n'est pas seulement un type oriental, authentique el reconnaissable, c'esl
seulement un type oriental, authentique el reconnaissable, c'esl un type morbide aussi (PL I ? lll. Assis sur sa chaise
ées de 1843, semblent avoir élé inspirées par la rencontre de ces types d'étudiants immortalisés par les cari- caturist
82 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
tituées les cellules avec fibres en T de Ranvier, qui représentent le type normal de la cellule ganglionnaire des vertébré
n dans la moelle épinière par v. Lenhossek, qui distingue plusieurs types . a. Les cellules araignées géantes, situées dan
- Les cellules araignées de la corne antérieure. Elles répondent au type normal; leur prolongement primordial suit très ex
de la moelle, un petit nombre se rattache, d'après v. Lenhossek, au type cellulaire de la substance grise. La plupart pr
névroti- ques de l'écorce cérv- belleuse. FiG. 93. - Différents types de cellules de la névroglie. (D'après v. Gehuchte
EUX. Cellule de Golgi. Cellule de Deiters. Son cy11nùl'c-axc. type II de cet auteur, et sont généralement désignées
auteur, et sont généralement désignées sous le nom de cel- lules du type II de Golgi, de cellules de Golgi, de cellules à
108, Il,[). Le cylindre-axe de la cellule de Deiters ou cellule du type 1 de Golgi, est plus ou moins long. Il donne na
ellules des ganglions rachidiens et comme certaines cellules du type de Cajal. Les cellules étoilées et mul- tipol
nale du cylindre-axe et comme le court cylindre-axe des cellules du type II de Golgi, se terminent tous par des extrémit
centres ou d'un nerf périphérique. Le cylindre-axe des cellules du type II de Golgi est très probablement dépourvu de m
lapin un mode de terminaison des nerfs un peu spécial, distinct du type nor- mal, et qui peut-être rapproché des termi-
BLOCQ et MARINESCO. Sur un cas de myopathie primitive progressive du type Larzdouzy- Dejerine avec autopsie, Arch. de Neu
Les scissures et les sillons ne présentent pas chez l'homme un type régulier. Plis de passage et plis anastomotiq
issures et les sillons ne présentent pas en général chez l'homme un type régulier et simple, toujours le môme, tel qu'on l
des deux circonvolutions adjacentes. Ils sont loin de présenter un type uniforme; tantôt longs, tantôt courts, tantôt d'u
condaires, et ainsi se trouva constitué, dans le lobe occipital, le type longtemps classique des huit couches de Meynert (
rites par Iütlliker en 18 : p ? . La troisième colonne reproduit le type à cinq couches de Meynert (1867) et la quatrième
e. Les cellules fusiformes et es ce u es triangulaires répondent au type cellulaire que nous avons décrit plus haut (voy
; c-1 M z C3> C' CD Fig. 332. - Cellules fusiformes du type de Cajal. Coupe longitudinale de la couche molécu
minaisons libres des dendrites. Fig. 333. Cellules triangulaires du type de Cajal. Coupe longitudinale de la couche molécu
llules triangulaires (fig. 333, 334) ne sont qu'une modification du type précédent, qu'elles dépassent en grosseur et en
oplasmi- qucs.A,épines collatérales. Fig. 338. Cellule pyramidale type moyen de l'écorce cérébrale de l'homme adulte.
t le cylindre-axe se dirige vers [la sub- stance blanche cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
a substance blanche. Fil;. a : r0. -Cellule à cylindre-axe court ( type II de Golgi) de la 4" couche de l'écorce t du l
es du cylindre-axe. 678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du type U de Golgi. Cellules à cylindre- axe ascend
et du cylindre-axe de quelques cellules à cylindre-axe ascendant du type de Martinotti; 4° Les collatérales des libres d
sa partie profonde; y, les arborisations terminales des cellules du type Il de Golgi. La partie moyenne de ce feutrage pré
istinguait huit couches dans l'écorce du lobe occipital, et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il opposa au type à
occipital, et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il opposa au type à cinq couches stratifiées du reste de la cortica
t aujourd'hui, à la pré- sence de nombreuses fibres à myéline. Le type cortical à 8 couches stratifiées se distingue don
line. Le type cortical à 8 couches stratifiées se distingue donc du type à 5 couches de Meynert, par la présence de 3 co
). La couche granuleuse moyenne 5" couche) dédouble la 3° couche du type commun en deux couches intermédiaires, pauvres en
nne ; la couche granuleuse interne, enfin, répond à la 4° couche du type commun. ' Hamon y Cajal, étudiant l'écorce occi
ale : on y trouve en effet des cellules de Cajal, des cellules du type II de Golgi, les panaches ter- minaux des cellu
est très dense et on y ren- contre de nombreu- ses cellules du type do Cajal. - rie. do. aciiema représentant les
morphes. CU4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nant presque toutes au type des « cellules dites de Cajal, ». Ce sont des c
gnation incomplète (Cajal). Pour Cajal, ces cellules constituent un type spécial, se rapprochant à certains égards des g
bres nerveuses ramifiées, se rencontrent quelques cellules dites du type II de Golgi. Ce sont des cellules étoilées, don
ngentielles est moins dense et ou y rencontre des cella- les du type II de Golgi. Couche des col- lules fusiform
coup plus accentuées, et il existe des modifications importantes du type normal. Ces modifications, ces formes atypiques,
uches, se traduisant par une morphologie spéciale, s'éloi- gnant du type normal, tel est le cas pour la corne d'Ammon, la
s nerfs de Lancisi, à la manière des cylindres-axes des cellules du type II de Golgi. La couche moléculaire, formée par
t comme celle- de l'écorce typique un certain nombre de cellules du type de Cajal, présente en outre un nom- bre considé
de Cajal, présente en outre un nom- bre considérable de cellules du type II de Golgi (Cajal). La 2° couche ou couche des
ral. ' . dales, le nombre et la variété de forme de ses cellules du type II de Golgi, sa richesse en fibres tangentielle
Leurs ilendritcs. au stratum radiatum, ce sont : les cellules du type II de Golgi et les cellules- - à cylindre-axe d
i et les cellules- - à cylindre-axe descendant. - Les cellules du type II de Golgi sont des cellules étoilées ou triangu
fig. 360, A), soit comme le cylindre-axe horizontal des cellules du type II de Golgi delà zone supérieure (fig. 354, b).
d), décrites par Sala et par Schâffer, représentent des cellules du type II de Golgi. Elles occupent toute l'épaisseur d
s et sont dépourvues d'épines. Le cylindre-axe de ces cellules du type II de Golgi présente des particu- larités intér
cunosum (fig. 359). 3. Les arborisations des cellules étoilées du type II de Golgi propres au stratum radiatum (fig. 3
(fig. 355, a, b, d), ces dernières sont une variété de cellules du type II de Golgi. 3° Le feutrage du stratum oriens,
a substance blanche et les arborisations terminales des cellules du type de Cajal et du type II de Golgi, dans la couche m
et les arborisations terminales des cellules du type de Cajal et du type II de Golgi, dans la couche moléculaire de la c
ngulaires ou grains égarés du stratum granulosum et les cellules du type Il de Golgi. Les cellules ou grains égarés sont
les du stratum granulosum (voy. plus loin, p. 726). Les cellules du type II de Golgi, bien décrites par Sala, sont super
tes : x Ramifications terminales des cylindres-axes des cellules du type Il de Golgi, cellules autochtones de la couche
E. 725 . 3 Ramifications cylindre-axiles terminales des cellules du type II de Golgi, dont les corps résident dans la co
des cellules à cylindre-axe descendant et des cellules étoilées du type II de Golgi. : Les cellules à cylindre-axe ascend
couche moléculaire. 732 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du type II de Golgi. Cellules u6vro=·li- ques de la
cellules polymorphes de la circonvolutiongodronnée. Les cellules du type II de Golgi 1Hg. 368, h) occupent toute l'épaisse
res, des îlots cellulaires formés par les grains et les cellules du type II de Golgi. Les fibres représentent soit les c
viennent s'arboriser librement autour des grains et des cellules du type II de Golgi. Les îlots cellulaires sont presque
s (fig. 371). Parmi ces grains on trouve quelques rares cellules du type II de Golgi (fig. 371, M). Ce sont des cellules
bre appartiennent vraisemblable- ment aux cellules pluripolaires du type de Cajal. 2° La couche des cellules pyramidales
es par Martinotti et Cajal dans l'écorce typique et des cellules du type II de 1 Golgi. 4° La substance blanche, simpl
83 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
grise (1 ). La paralysie infantile spinale est, quant à présent, le type le plus parfait des affections qui forment cette
re aiguë des membres paralysés, la cystite, la néphrite, etc. B. Le type du deuxième groupe se rencontre dans l'ataxie lo-
alternatives, de manière à rappeler, jusqu'à s'y mé-prendre, certains types de déformations observés dans le rhu-matisme chro
te, comme le stroma des glandes lymphatiques, par exemple, suivant le type du tissu conjonctif simple réticulé (Kôlliker) ;
i précède, la névro-glie mérite incontestablement d'être rattachée au type du tissu conjonctif réticulé, dont nous rappelion
'affec-tion dont il s'agit, du moins lorsqu'elle se présente dans son type de complet développement. Si l'on recherche que
plus souvent dans la pratique. Eh bien, même considérée dans ce seul type , l'affection peut prendre des masques très variés
lier de la parole que vous pouvez étudier chez notre malade, dans son type de complet développement. La parole est lente,
urs, avec l'étude descriptive du cas que je vous ai présenté comme un type de sclérose multilocu-laire des centres nerveux,
i. 16 j'ai pris soin d'élaguer parce qu'ils n'appartiennent pas au type régulier de la maladie. Il importe de vous taire
jourd'hui un phé-nomène permanent et que vous pouvez étudier dans son type le plus parlait. C'est là, Messieurs, un symptôme
quelque intensité, —peuvent être ramenées, si je ne me trompe, à deux types fondamentaux, à savoir : 1° les attaques apoplect
les attaques eonvulsiees oxxépilepti formes. Les caractères des deux types peuvent d'ailleurs s'entremêler et se confondre d
eurs s'entremêler et se confondre dans un même accès. Seul le premier type a été rencontre, quant à présent, dans la scléros
au contraire, mais, en somme, la forme cérébro-spinale représente le type normal, celui que nous rencontrons le plus souven
ique qui sont trop complexes pour pren-dre placeici, jechoisirai pour type Y oblitération calculeuse des uretères survenan t
tétaniformes, tantôt épileptiformes, d'autres fois se rapprochant du type vul-gaire de l'hystérie. Ainsi, ce matin, vous po
xprimer ainsi, mais bien de l'hystérie convulsive considérée dans son type unanimement re onnu comme le plus grave, je veux
ttaques vulgaires, rentrant du premier coup, sans discussion, dans le type classique. Ce n'est pas, d'ailleurs, seu-lement p
ieu d'établir un tel rappro-chement. L'apparition de convulsions du type tonique est-elle donc un fait nouveau, insolite d
premier lieu, que, d'après la des-cription que nous avons donnée, le type épilepsie n'est jamais représenté dans les attaqu
e que le phé-nomène surlequel je veuxinsister se montre alors dansson type de complet développement. En pareil cas, Messie
traste. Chez Alten..., les mouvements involontaires se rap-portent au type classique et consistent, par conséquent, en des g
ces mouvements, à chaque temps du rythme,se repro-duisent d'après un type constant, uniforme. 1. Sée (G.). — Mémoires cle
uejevousai présentée, composent un accès hystéro-épileptique dans son type de com-plet développement, se succèdenl avec une
déve-loppent suivant une règle, une loi. Il décrit d'après nature un type représentant Xattaque complète, sorte d'étalon au
t persister beaucoup plus longtemps. L'attaque régulière, l'attaque type , ainsi composée de ces quatre périodes, offre une
celle de M. Briquet ; « Ces convulsions qui ont, lorsqu'elles sont types , une physio-nomie si spéciale que les personnes é
de l'excellence de la méthode, qui consiste à con-sidérer les grands types avant d'en venir à l'étude des formes frustes et
s auteurs classiques, mais il ne les ont pas rattachées en général au type fondamental. Cependant Briquet s'exprime ainsi :
84 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
s dans des directions intermédiaires à celles qui ont été prises pour types . (1) Voyez les fig. 307 et 318 du Traité d'hist
t les différences qui rapprochent ou éloignent la glande hépatique du type commun aux autres appareils glandulaires. Je ne c
des autres mammifères, s'éloigne beaucoup, anatomiquement parlant, du type des autres appareils glandulaires ; mais, vous al
re et, à part cela, nous retrouvons tous les caractères essentiels du type vulgaire des appareils glandulaires. Il est fac
r du protoplasma cellulaire, de telle sorte que ce grand caractère du type commun des glandes en tubes se retrouve, comme vo
ent sa fonction dans les conditions de la fièvre, mais sans dévier du type normal, et ainsi se produit une augmentation du c
hépatique, en particulier, se montre très rarement chez eux dans son type de parfait développement, mais une observation at
s arrêter un instant. C'est dans les cholélithes que s'offre dans son type le plus parfait la disposition dite rctyonnée ou
liaires sont susceptibles d'être ramenées, quant à leur structure, au type fondamental dont nous venons de tracer la descrip
dus avec les accès de fièvre, revenant à courte échéance, sui-vant un type plus ou moins régulier, de manière à simuler la f
retours des accès sont, en général, assez régu-liers pour simuler les types quotidien, tierce ou quarte de la fièvre légitime
n à l'affection hépatique, dite cirrhose, qui est considérée comme un type du genre. 6° Un caractère clinique de ces infla
Laennec — un certain nombre d'espèces qui diffèrent, assurent-ils, du type vulgaire autant par les caractères ana-tomiques q
38J, a reproduit un cas exceptionnel, s'éloignant considérablement du type vulgaire. 11 vous est possible, pour-tant, sur ce
s tractus relativement épais. Quoi qu'il en soit, en se rapportant au type ou aux premières phases de l'altération, on est a
unes des autres. Tels sont les caractères les plus accentués dans ce type dont la cirrhose hypertrophique va nous donner le
, nous n'avons pas épuisé la série. îl existe au moins un troisième type de cirrhose que je me borne, actuellement, à sign
cellule hépatique une véritable enceinte conjonctive. Ce troisième type , bien distinct, comme vous le voyez, du précédent
on nouvelle s'écartent par leur arrangement, et par leur structure du type physio-logique. On peut dire qu'il se fait une so
es grands troncs veineux conservant seuls, du moins dans la règle, le type régulier. Quoi qu'il en soit, pendant longtemps
agnose et une prognose spéciales. Je vous ai indiqué brièvement les types fondamentaux, au nombre de trois, qui devront fai
vront faire l'objet d'une description particulière. Les deux premiers types qui, pour les partisans de l'unicité, représenten
, rein goutteux (néphrite interstitielle) d'autre part ; le troisième type est représenté par la forme amyloïde. I. La d
t chronique primitive. L'une des figures du R. Bright vous offre un type parfait de l'altération que l'on désigne sous le
vous venez de le voir, de grouper toutes ces variétés autour de deux types fonda-ment aux, qui seuls doivent être considérés
85 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e temps que des ano- malies réversives que l'on peut rapprocher des types voisins, des malformations non seulement dans l
e pas être absolument de même ordre. Aussi décrirons-nous plusieurs types de lésions combinées. On ne devra pas oublier q
ons combinées. On ne devra pas oublier que la classification de ces types est affaire d'appréciation ou plutôt d'interpré
ons elle nous semble correspondre à la réalité ana- tomique. Il ? type .- Il comprend les scléroses diffuses. Celles- c
nous reviendrons, légitiment la place que nous lui assignons. 2e type . - Dans une seconde catégorie de cas on a affai
s exactement limitée au faisceau cérébelleux de chaque côté. 3° type . - Ici il s'agit de la combinaison d'une scléro
sion diffuse. Le cas de M. Prévost est un exemple de ce troisième type D'une part, nous relevons dans l'observation de
belles figures reproduites à la fin du travail de West- phal. 4e type . - Contrairement au type précédent consti- tué
es à la fin du travail de West- phal. 4e type. - Contrairement au type précédent consti- tué par la succession d'une s
grand nombre des tubes nerveux, sinon tous, étaient détruits. 5e type . - Il nous reste à parler d'un dernier type. Ce
étaient détruits. 5e type. - Il nous reste à parler d'un dernier type . Celui-ci, dont nous allons avoir à discuter la
fait pres- sentir, il s'en trouve une seule qui corresponde à ce type , c'est celle de MM. Kahler et Pick'. Dans ce ca
malade et sur celle d'une moelle atteinte de sclérose systématique type , par exemple de dégénérescence secondaire. On j
cu de l'origine péri-radiculaire des lésions du tabes, dans les cas types de maladie de Duchenne. Au reste nous ne pouvon
de certains symptômes, ne nous permet pas de les décrire sous un type uniforme, et nous ne pouvons que rapporter in ext
lente (phase de stertor). Cet ensemble de phénomènes constitue un type de la période épileptoide de la grande attaque.
'y a trace de sclérose : c'est, en somme, un cas d'idiotie complète type par arrêt de déve- loppement. Nous citerons e
animaux, dont il a examiné le cerveau, l'auteur a retrouvé les deux types à cinq et à six couches; chez tous, la struc- t
le des couches s'est montrée la même. Les dilfé- rences dans chaque type résident dans les caractères variés des élément
t des groupes, et se disposent en couches. L'aire motrice relève du type à cinq couches et se caractérise, en outre, par l
nstituent, chez le même animal, la troisième couche de l'écorce. Le type à six couches résulte de l'interposition d'un pla
ue invariablement celle d'une pyramide allongée. Chez le porc, le type à cinq couches se retrouve au niveau du grand l
crucial, à son origine, constitue la délimita- tion entre les deux types à cinq et à six couches. Chez le chat, les cel-
concomittante. Dans les deux cas, on se trouvait en pré- sence d'un type clinique nouveau. L'avenir a donné raison à ceux
dont je viens de résumer l'histoire peuvent être regardés comme des types de mélancoli- ques anxieux, le premier évoluant
le ascendantes du côté gauche. C'est là, comme le dit M. Knecht, un type d'hémiplégie corticale; il confirme la localisa
éléments, tout en variant la nature et la préparation des mets. Le type suivant de régime alimentaire est à méditer. A
essus parencfnmateux ? Un ne put arrivera le déterminer. Dans vingt types d'affections cérébrales non paralytiques, l'exa
86 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
iverses oscillations paralytiques du pied. Il, ... réalise ainsi le type le plus complet de marche dans l'hémiplégie hys
s une certaine mesure mettre obstacle à la marche et en modifier le type Nous avons dit que le membre inférieur gauche (
ore au tra- vail précité. Ce que l'on peut affirmer, c'est que le type de marche décrit par Todd est caractéristique d
ck, Interne de la Clinique des maladies du système nerveux. 'un TYPE DE paralysie AGITANTE .La malade que représente
st célèbre dans l'histoire de la paralysie agitante. C'était un cas type , éminemment favorable pour la démonstration; el
A. LONDE Paralysie AGITANTE DELAHAYE Q LECNOSNIFR, ÉDITEURS UN TYPE DE PARALYSIE AGITANTE. 41 pieds relevés sur les
'ataxie combinée avec celle de la sclérose en plaques, réalisant le type de la démarche titubante au début. » Cette de
langue vient compléter la ressemblance, mais alors, comme dans ces types antiques, elle pend large et droite, nullement
nous avons dit à propos des pieds ou des genoux qui z ont servi de type à noire description peut s'appliquer aussi aux :
la pointe libre de l'appendice xyphoïde est de 25 centimètres. Le type de la respiration est surtout diaphragmatique et
ntéressant de les relever. Le pied bot diffère chez notre malade du type qu'a si bien décrit M.le professeur Charcot. Il
e; la face dirigée en haut vers le ciel d'où vient la lumière. Ce type d'amaurotique est fréquent. Nous en connaissons à
tre lequel des deux promeneurs est privé du sens de la vue. Et ce type si expressif de l'aveugle qui garde dans ses trai
roite, la face impassible, un bâton à la main (pl. XXIV). Le même type a été reproduit avec plus d'habileté et non moins
n pourrait appeler le côté plastique de la maladie de Parkinson. Le type vulgaire est si connu qu'il suffit de le rappeler
un aspect si caractéristique. C'est là ce qu'on pourrait appeler le type de flexion (fig. 81). - Biais il est des mala
la paralysie agitante a été désignée par M. Charcot sous le nom de type d'extension (fig. 82). On voit, en effet, d'apr
la paralysie agitante dans la station debout et pendant la marche. Type de flexion. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I. PL, X
la paralysie agitante dans la station debout et pendant la marche. Type d'extension. '1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE. LA SA
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le facies présente à la fois le type du scrofuleux, du leucocythémique et de l'idiot
itante (habitude extérieure et facies dans la), par Richer, 213; un type de -, par Richer, 42. Paralytique (le de Raph
87 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t personnelles, et à l'aide de ces documents il décrit un véritable type mor- bide, qu'il propose de désigner sous le no
oin l'observation ; et il y ajoutait l'histoire d'un petit garçon à type d'astasie-abasie, sa première observation de ce g
aralytique droite. En marchant elle traîne le pied droit (mouvement type de l'hémiplégie hystérique). Depuis les attaques
a tête mesurait 75 centimètres. Il mourut d'accidents du décubitus. Type du cerveau hydrocéphale à l'excès. - 118 REVUE
vec lésion centrale; par K. ScnAFFER. (Ncurol. Cenlralbl., 1889.) Type de paralysie semblable à celui qu'a décrit DrescI
notamment dans la poltocencéphalite infantile, et dans l'épilepsie type . Doses : 2, 4, 5, 8 grammes par jour dans l'eau
r a suivi une méthode extraordinairement rigou- reuse. Il a pris un type d'homme, d'Européen établi d'après lesder- nièr
u- matisme chronique et surtout au diabète. L'auteur décrit trois types de diabète : le diabète par lésions nerveuses (di
a nature que par son mécanisme. En dehors de ces faits conformes au type le plus répandu, il en est d'autres où l'affect
ion à un territoire nerveux nettement circonscrit. Si, en effet, le type paraplégique est le plus répandu parmi tous ceux
ur une maladie de Landry. Il n'est donc pas surprenant qu'entre ces types extrêmes de paralysies partielles et de paralys
de paralysies partielles et de paralysies généralisées, figure un type intermédiaire de paralysies limitées à un plexus
des mouvements, que la qualité des troubles, ramène les cas à trois types distincts, troubles occasionnés par la faibless
VII. Dans les différentes zones de l'écorce céré- brale, les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité s
pariétal inférieur se traduit par une ophthalmopiégie to- tale d'un type obscur (sorte de paralysie pseudo-nucléaire). P
opti- ques, avec planches. Délail de cinq autopsies choisies comme types .- II. Résultats de l'examen oplatlwlmoscopique.
raissent par atrophie dégénératrice primitive. On en constate trois types : 10 Une atrophie généralisée uniforme des fibres
nsciencieuse de la forme de l'oreille. M. Binder dis- tingue quatre types de pavillons normaux et vingt-deux espèces de d
tion atavique ; la dégénérescence est une déviation pathologique du type normal. M. Meyer ajoute qu'en 1871, dans les ar
logiques. donnée, ayant, à la surface, une épaisseur déterminée, le type des circonvolutions est d'autant plus compliqué
te, elle est, je le répète, beaucoup trop complexe pour servir de type aux paralysies pédonculo-protubérantielles. Dan
nt en général 332 CLINIQUE NERVEUSE. que des variétés de ces deux types fondamentaux. Nous voilà maintenant en mesure d
faite à Berlin, le professeur Mendel propose une classification des types cliniques de la mélancolie fondée sur les consi
à propos de ces rapports : Pourquoi dans le délire de persécution type Lasègue, il y a tou- jours des hallucinations d
Ceci posé, comment s'expliquer que dans le délire des persécutions type Lasègue, il y ait des hallucinations de l'ouie et
la folie communiquée et la folie simultanée; importance de ces deux types . Conclusions : La folie communiquée se produit
Un autre malade de la clinique du professeur Pick présente ce même type de curso-rotation, symptôme d'un processus diffus
rcons- tance permettra probablement plus tard d'instituer plusieurs types de la confusion aiguë. La confusion aiguë n'est
e du cerveau. M. Greidenberg (Simpheropol) a lu un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la marche des certaines form
de la folie aigué (manie, folie primaire), présente quelquefois un type récurrent, c'est-à-dire, consiste en plusieurs
nts cas des formes aiguës de la folie, l'auteur en a observé sept à type récurrent (2 1/3 p. 100). L'intensité des accès
88 (1913) Exposé des travaux scientifiques
, j'ai fait connaître quelques caractères dis- tinctifs de ces deux types cliniques. Dans la paraplégie spastique spi- na
onsidérons maintenant la paraplégie spasmodique en flexion. Dans ce type , contrairement à ce qui a lieu dans le précédent,
lle peut être liée à des processus anatomiques variés, constitue un type clinique qu'il est permis d'opposer à la paraplég
araplégie spasmodique en flexion, qui pourraient bien appartenir au type clinique que vient de signaler M. Babinski. «
) rappelle un fait anatomo-clinique qu'il a observé, rentrant dans le type que j'ai décrit. L'auteur attire l'attention su
ique spinale en flexion » une observation qui, disent-ils, « est un type de paraplégie avec contracture en flexion tel q
inti- tulé : « Paraplégie spasmodique avec contracture en flexion ( type cutanéo-réflexe de Babinski) dans un mal de Pot
s (Société de Neurologie, 5 déc. 1912) sous le titre « Paraplégie « type Babinski » au cours de la maladie de Reckling-
ude est « qu'il existerait des cas assez nombreux d'arthropathies à type tabé- tique en l'absence de tout signe de tabes
, en 18gg, l'asynergie cérébelleuse chez le malade qui m'a servi de type , j'en rapportai un deuxième cas. Voici un extra
t des sujets normaux à un malade atteint de catalepsie cérébelleuse type , que chez celui-ci le tracé est rectiligne, que
èse, Paris, 18g2). Il s'agit, d'après Onanoff, d'un épithelioma, du type mal- pighien, développé aux dépens de l'épithel
'autres faits bien différents, et rien ne signale l'existence de ce type morbide dans le titre donné par Pechkrantz à son
onstatations disparates... « Nos trois observations représentent un type différent des divers stades de la maladie ; dan
vée. Au second appartiennent les états affectifs organisés dont les types principaux sont les sentiments d'espérance et de
des années nos services nous ont montré chaque jour les plus beaux types de l'hystérie telle qu'on la décrivait à la Sat
89 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ibres nerveuses sans les détruire. La différence con- siste dans le type histologique de l'infiltration : fibroma- teux,
Sud. L'auteur donne l'observation de deux nou- velles familles : 3 types . On ne pourrait la confondre qu'avec de la dipl
l'avanl-lma. On noie de plus des crises extrêmement douloureuses à type névralgique dans tout le bras ut une nodosité d
ion probablement d'origine tuberculeuse. J Poliomyélite subaiguë ci type scapulo-hurraéral. 3131. GAUCKLER et 120USSY. -
ité, depuis les plus anciennes : on peut les rapportera deux grands types : celles qui l'expliquent par des troubles d'or
mplexes et fort délicates comme en exige la profession médicale. Le type ther- mique inverse s'observe assez souvent dan
la maladie. M. Jaroschkwsky publie une observation qui constitue le type lopins simple de la Clltllto/11e ; on y trouve
de l'arcade alvéolaire, que l'on rencontre ordinai- rompent est le type hyperbolique et parabolique ; exceptionnelle- m
e type hyperbolique et parabolique ; exceptionnelle- ment, 10 %, le type elliptique ; jamais une véritable forme en up-
e du palais dans la configuration de la voûte, comme règle c'est le type normal ; comme exception le type plat 8 % et le
e la voûte, comme règle c'est le type normal ; comme exception le type plat 8 % et le type ogival 3 % . Des recherches
règle c'est le type normal ; comme exception le type plat 8 % et le type ogival 3 % . Des recherches qui ont été faites
é de lluchard ; 2° par des attaques cérébro-bulbaires répondant aux types syncopaux apoplectiformes et épileptiformes ; 3
ux tout autant au niveau des jugulaires qu'a celui des capillaires ( type Grocco). On peut observer un bruit de galop; d'
re sont cependant absolument inattaquables. Ils réalisent plusieurs types cli- niques : dans certains cas il y a accéléra
pas toujours facile. Souvent (Briand) la lièvre hystérique prend le type intermittent tierce, d'autres fois le type cont
èvre hystérique prend le type intermittent tierce, d'autres fois le type continu de la fièvre typhoïde. Fabre, de Marsei
- mittente, pseudo-typhique et fébricule hystérique. 11 existe un type de fièvre hystérique avec pseudo-affection viscér
devenir de véritables anormaux : - 4° Enfants atypiques (dév iés du type moyen) : a) Enfants név·o- . pathes et neurasth
le délire est uniforme, cyclique ; dans la confusion on observe un type plus dégénératif, moins systématisé, qui débute
ébute parla désorienlalion dans le temps et dans l'espace ; un seul type , celui de GeOl'gcl, semble être constamment pri
ienne manie puerpérale) ; les formes chroniques prendront plutôt le type de la dépression mélancolique, de la confusion
é parles auteurs, la déviation de la tète et des yeux revêt bien le type de celle déviation par inhibition sen- sorielle
tlam : Etudes sur les troubles de la sensibi- lité ci la douleur de type radiculaire cite; les tabétiques et les épilep-
fs sont rares dans cette affection. Cli- nilluement, on rencontre 3 types (Etienne) : 1° la parai) sie as- cendante de La
iale pure et à la maladie familiale à forme de sclérose en plaques, types isolés artificiellement entre lesquels on peut
et (I : ST\N, d'après 18 cas, en reconnaissent qua- trc formes, le type Cltarcot est le plus rare. L'n 1 pe plus fré- (
lage d'Aberdeen, établissement qui fut son oewre et représente le type le plus nouveau du genre. Sir John avait particip
Gigantisme et goitre exophtal- mique, par Gilbert Ballet, 159. Type infantile du -,par Bris- saud et Meige, 303.
Wallenberg, 54. Plexus. Voir Paralysies. Poliomyélite subaiguë à type scapulo-huméral, par Gauck- ler et Roussy, 71
e cérébrale à forme psy- cho-paralytique. par Cornu, 303. ' . Type infantile. Voir Gigall- tlS112e, . z Urémie.
90 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
toire en son entier, et l'on se trouve aujourd'hui en présence d'un type clinique parfaitement défini, à symptômes préci
ntractilité électrique, tous signes qui man- queraient dans les cas types d'hystéro-traumatisme. - Cependant M. Babinski
tres, était beaucoup plus difficile à distinguer. J'ai pris comme type de description le cas où le cro- chet de l'hipp
Les attaques d'hystérie que présente cette malade, se rattachent au type classique de la grande attaque hystérique, avec p
plus attentif nous a démontré que nous étions en présence d'un cas type d'astasie-abasie. Les membres inférieurs de cet
i précèdent, nous paraissent devoir être considérées comme deux cas types d'astasie-abasie. Elles répondent en effet, l'u
èses suivantes : 1° la pathogénie de l'épilepsie, quel que soit son type , consiste dans un état anormal d'irritation ou
YÉLITE PROGRESSIVE; par SEEUSMUELLER. (Neurol. Centralbl., 1889.) Type clinique de poliomyélite chronique avec polioencé
eweniceilk., 1889.) Cas isolé DE DYSTROPHIE musculaire progressive ( type facio-scapulo-liumé ? ,al), par SPERLING. (Neur
. Centralbl., 1889.) Deux cas DE DYSTROPHIE musculaire PROGRESSIVE ( type facio-scapulo-h2cmdlal), par BIFLSCIIOWSKY. (Neu-
senbach) pour arriver au long et substantiel travail de Loewenfeld. Types cliniques divers de l'épi- lepsie partielle (do
lut qu'il s'agissait d'une simple épilepsie partielle plutôt que du type de Jackson; il insiste sur l'absence de convuls
ez l'homme. Le premier groupe dont il est question ici embrasse des types analogiques qui se rapprochent de l'encéphalite
les plus choquantes et les plus impulsives. Il n'existe donc pas de type criminel, pas plus que de criminel congénial. Q
es cri- minels allemands, voilà tout. - M. Iticnrt.n. Il y a quatre types de criminels : 1° contre la morale ; 2° contre
en seraient d'après l'auteur moins des causes que des effets. Les types cliniques sont : 1° La neurasthénie féminine par
s génitaux et urinaires. La neurasthénie cérébro-spinale forme deux types : la cérébas- thénie et la myélasthénie. Selon
urs. La physionomie des lésions rappelle l'atrophie musculaire du type Duchesne-Aran. Ajoutons que la peau, non plus q
met de la considérer comme une circonvolution complète, conforme au type des autres circonvolutions. Conclusions. Les
y a quelques années pour commerce illicite avec des hommes, est le type de cette catégorie de criminels. Hier, le' Arch
nt des autres. Il en est deux sortes prin- cipales : des persécutés types devenant persécuteurs, et des aliénés persécute
t en restreindre l'application aux aliénés persécuteurs classiques ( type Falret) sans hallucination. Il faudrait encore,
pétés que cette obsession le poursuivait depuis longtemps. C'est un type de persécuteur tel qu'on n'hésite plus à le rec
ntensité de ses hallucinations, notre malade n'a jamais présenté le type de la vésanique hallucinée. Les phénomènes sens
M. SPERLING. - Cas insolite de dystrophie musculaire progressive ( type facio-scapulo-huméral. Voyez le Neurolog. Central
idées de grandeur - manie avec' confusion dans les idées. Tous ces types portèrent l'empreinte de l'épuisement de l'acti
a lypé- manie et la démence, sont données par lui comme les trois types fondamentaux de la folie (I, p. 306); mais encore
e ni au maniaque, ni à l' hypochondriaque, ni à aucun de nos autres types morbides. ' 1890, YII, n°' 2 et 3 (sept. et nov
us n'avons rien à mentionner spécialement; elles rentraient dans le type classique. Lorsque les attaques se succédaient
91 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
Nous trouvons pourtant trois relations, qui ne coïncident pas avec le type ci-dessus des phénomènes. M. Matuszewski écrit :
e. Les malades que nous avons observés appartenaient aux différents types cliniques de la folie ; sans entrer dans l'étude
qui, transférée dans mon service, y a encore vécu 12 ans, sans que le type décrit par notre maître ait été le moindrement al
e ? En aucune façon. On peut discuter sans doute sur l'homogénéité du type , entrevoir le moment où une pathogénie plus éclai
a valeur d'une expression clinique; il n'en est pas moins vrai que ce type a une personnalité nosographique indiscutable; Si
nom de délire de dégénérescence, tous ceux qui ne répondent pas à un type régulier et bien classé. Il sera intéressant de
fft-Ebing. Nous admettrions qu'il s'agit plutôt de l'objectivation du type , et, par conséquent, de types d'une nature enfa
il s'agit plutôt de l'objectivation du type, et, par conséquent, de types d'une nature enfantine constitués simplement d'ap
s forces nerveuses dans tous les états passifs dont le sommeil est le type . Et cette dissociation se retrouve avec évidenc
es plus simples d'entre elles aux plus élevées, les rapproche de leur type physiologique : le sommeil, état dans lequel on p
ues secondes. » Quant aux points lumineux, M. Reichman en a vu deux types (N° 19). « Une fois, tout près, au-dessus de la t
pronostic et un diagnostic exacts. Il était dans ses consultations le type de la probité professionnelle, il est toujours re
l'attention volontaire. — Les modali-tités de la suggestibilité. — Le type normal. — Le type moteur, le type visuel et le ty
aire. — Les modali-tités de la suggestibilité. — Le type normal. — Le type moteur, le type visuel et le type auditif. 5° P
li-tités de la suggestibilité. — Le type normal. — Le type moteur, le type visuel et le type auditif. 5° Phénomènes psychi
gestibilité. — Le type normal. — Le type moteur, le type visuel et le type auditif. 5° Phénomènes psychiques de l'hypnotis
sera comprise à priori par celles des personnes qui appartiennent au type décrit par Charcot sous le nom de « moteur ». Le
ctuer pour prononcer les mots et il pense sur ces souvenirs. C'est ce type que j'ai nommé ver-bo-moteur (1), c'est-à-dire qu
omme lisait, entendait ou parlait les mots de ses pensées ; de là les types du visuel, de l'auditif, du moteur, magistralemen
décrits par Ballet(1). Je crois avoir démontré(2) qu'il n'y a pas de types nets, et que, en majorité, les hommes se rapporte
as de types nets, et que, en majorité, les hommes se rapportent à des types mixtes comme celui de l'auditivo-moteur par exemp
age de très bonne psychologie de M. Ajam(3). Mais purs ou mixtes, les types diffèrent les uns des autres, non seulement pour
ésordonnées, passionnelles, se rapportent toujours plus ou moins au type en arc de cercle avec propulsion du ventre en ava
en 1886, je suis revenu avec plus de précision sur la description du type en 1889 et 1891, et dans un grand nombre de trava
s passer sous silence les termes transitoires et ne m'attacher qu'aux types marquants.) Un liseur s'entraîne, se prépare et p
92 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
sion, avec incohérence des actes. La maladie évoluait donc selon le type continu avec formes alternes. Nouvelle lacune d
mittences, les réniittences même sont rares ; le délire se stéréo- type et dure ainsi identique avec lui-même. On compr
inférieures; par E. REU.4A. (JVett ! '0/. Cettlt'al6l., 1882.) Le type établi jadis par Remali (Arc/t. f. Psychiatlie, V
parlent pas ainsi, il est fort probable que l'acteur qui a créé ce type avait pris pour modèle un individu atteint de par
rme de con- clusions, l'étude de ces formes, il les ramène à quatre types dif- férents : l- la forme latente qui s'observ
coma mortel; 2" la forme délirante qui présente deux variétés : le type aigu, dont la terminaison mortelle est rapide e
de et rarement retardée jus- qu'au quinzième ou vingtième jours, le type chronique durant une ou plusieurs années; 3° la
thermométrique. Dans les deux cas, on se trouvait en présence d'un type clinique nouveau. L'avenir a donné raison à ceu
irant suivrait ses périodes de systématisation lente sans dévier du type normal ; avec elle, if toujours'"s6n délire ave
assage verticaux (de Gromier), qui déforment, pour ainsi parler, le type . En se reportant à la scissure de Sylvius et à
mplexus symptomatique revêt plusieurs modalités ; ce sont : ti), le type de Magnus Huss, qui existe dans 80 à 85 pu100 des
alysie générale"alcb6lique a1 une' évolution torpide; tandis que le type pur^se'fait' remarquer' par une e'xcitabiiité ini
s'agit de l'exis- tence, chez les membres d'une même famille, d'un type de circon- volutions, qui, dans quelques cas, e
ons irrésistibles (faiblesse nerveuse, neurasthénie). ! Souvent ces types ne se différencient pas de ce qu'ils' sont à uni
précèdent démontrent surabondam- ment, croyons-nous , la réalité du type nouveau d'attaques hystériques sur lequel nous
ler l'attention. Une dernière remarque. La reconnaissance de ce type n'aurait qu'un intérêt secondaire et purement n
et le pli courbe sont très distincts; à cet égard c'est un cerveau type . Les circonvolutions du lobe occipital sont ass
ment distinctes l'une de l'autre ces deux parties. C'est affaire de types . Mais il ajoute que le gyrus uncinatus est l'arc
uée du membre inférieur du même côté. C'est une imbécile, mais d'un type élevé; elle lit passablement, écrit très bien d
ypnotisés, les symptômes objectifs varient suivant la période et le type ; nulle description théorique n'est capable de s
et Ricber, et, après eux, MM. Tamburini et Seppeli ont admis trois types fondamentaux : type cataleptique, type léthargi
eux, MM. Tamburini et Seppeli ont admis trois types fondamentaux : type cataleptique, type léthargique et type somnambu
et Seppeli ont admis trois types fondamentaux : type cataleptique, type léthargique et type somnambulique ; il rappelle e
s trois types fondamentaux : type cataleptique, type léthargique et type somnambulique ; il rappelle ensuite les caractè
caractères aujourd'hui bien connus qui distinguent chacun de ces types . Les symptômes objectifs ont, en matière d'hypn
93 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en précise le cachet, les rapports et la subordination. On a vu des types , on les a peints, sans rechercher mentalement l
equel on se l'est figurée ne renferme pas, tant s'en faut, tous les types qu'elle comprend. Nous en avions eu d'abord l'i
uivant les causes, les degrés et les compli- cations. Dans son vrai type , assimilable aux accès con- vulsifs, elle surgi
nd, pour nous, les stupidités profondes, moyennes et légères. Les types ont cela de remarquable qu'ils répondent à des
naires, en Europe et en France. Ce fait, sans contredit, est un des types les plus accu- sés du délire partiel systématis
ivé sur cinquante-trois femmes épileptiques appartenant toutes au type classique. DE LA PUPILLE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES.
ie psychique) isolés et de la combinaison de la névrose avec un des types cliniques connus (mélancolie, folie systématiqu
phasie ET SUR la chronicité ET l'hérédité dans la détermination des types DE folie ; par M. le D BILLOD. (Bulletin de la
érature atteint de 38° à 'i.0°; la rate est augmentée de volume. Le type tierce est le plus fréquent; mais, parfois, l'i
ue dans 29 p. 100. La sympto- matologie comporte deux catégories de types . Les premiers, en majorité, ne dépassent pas l'
GIE MENTALE. forme de la mélancolie active : ressemblant à certains types de fièvre intermittente larvée ou au début d'un
ion, en un mot la dystrophie cholérique sont responsables des trois types : agi- tation maniaque aiguë mélancolie avec id
es débilités mentales, où chaque individu, tout en appartenant à un type classique, n'en a pas moins son caractère propr
re- mière semaine d'octobre que se produit l'alternance régulière à type tierce des phases d'agitation; elle se continue
our dans l'inter- valle des crises fit disparaître la régularité du type dans sa période et dans sa durée. La séance est
ar lui comme simulateurs. La constitution complète et définitive du type pathologique peut seule servir le médecin; or i
es et son évolution. Le délire des persécutions peut nous servir de type . C'est surtout en faisant ressortir les différe
soient entrées enrapport avec l'ensemble fonctionnel du cerveau. Le type de l'affection à perte de connaissance est 1't,
? M. Moïcr estime qu'il conviendrait tout d'abord d'examiner les types d'aliénés auxquels sont destinés ces asiles. Exis
conséquent d'une lésion ayant atteint un cerveau déjà parvenu à son type normal complet. L'asymétrie faciale doit être r
ors que, selon sa conviction, la mélancolie stupide repré; sente un type morbide fixe et bien délimité. Pour M. IIoLr.wu
isent; si les nuances varient, la parenté est intime entre les deux types nosogra- phiques. La distinction fondamentale r
ssements, an- ,-oisse précor(liile, etc. ; les ma- lades sont des types de mélancolie anxieuse. D'autres tombent dans
94 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
cris, indocile, d'une attention impossible il fixer, il offrait le type de l'idiot profond. L'enfant est âgé actuelleme
paroles humbles font croire à la sincérité du repen- tir. C'est le type du dissimulateur et de l'hypocrite. 11 pousse ses
l, mais avant tout d'une inter- vention médicale. II. A... est le type du menteur, dénaturant la vérité non dans un bu
nstatons que, si la force du système musculaire est amoindrie, le type normal de la marche sera défiguré, l'hémiplégique
chapitre précédent, nous sommes donc amenés à consta- ter que le type de nos angles cervico-diaphysaires mala- des se
e type de nos angles cervico-diaphysaires mala- des se rapproche du type rencontré chez l'enfant. L'incli- naison primit
'est le seul point sur lequel il a fait de réels progrès : c'est un type d'idiotie complète. 1892. 9 novembre. - Les p
ation avec Belin). Compte-rendu de 1899, p. 194. VIL Idiotie du type mongolien ; i' PAR BOURNEVILLE. v SOMMAIRE. -
nvulsions. Description de la malade en février 1901 : caractères du type . mongolien. Tuberculose pulmonaire, mort. AU
le moyenne de son âge. C'est à peu près la règle chez les idiots du type mongolien, ainsi qu'en fait foi le tableau suiv
s, 1901, p. 445/ VIII. Etude histologique de deux cas d'idiotie type « Mongolien »; Par PHILIPPE et OnERTIIUR. L'u
à la substance grise et aux méninges. Partout, elles sont du même type . Toutefois, elles sont notablement plus accusées
cissure calcarine et circonvo- lutions occipitales internes). Les types lésionnels sont très analogues dans les deux ca
traînées de cellules embryonnaires, si habituelles dans certains types de méningo-encéphalites de l'enfance. Du côté d
substance blanche. Substance blanche. Celle-ci présente partout un type IDIOTIE .mongolienne. 151 uniforme. Le centre
deux cas la moindre lésion permettant de les rattacher aux autres types de méningo-cncéphalites de l'enfance, pas plus
CROU- ZON ................................... 90 VII. Idiotie du type Mongolien, par Boun- NEVILLE...................
........... 136 VIII. Etude histologique de deux cas d'idiotie du type « Mongolien » ; par Philippe et Oberthur 148
95 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
culier, que dans les maladies du système nerveux, on a pu établir des types rigoureusement définis qui correspondent à des af
reusement définis qui correspondent à des affections déterminées. Ces types restent gravés dans la mémoire du médecin et nous
sis destinés à renfermer les préparations sensibles, quel que soit le type adopté, on doit veiller à ce Fig. 7. Châssis
ceci dans le temps le plus réduit possible. Nous adopterons, alors le type dit aplanétique, composé de deux combinaisons de
érer avec une rapidité suffisante, il faudra avoir recours à un autre type , l'objectif double (forme Petzval). C'est l'objec
lonté. C'est alors un obturateur instantané et à pose. Un excellent type d'obturateur à pose est celui de Guerry, universe
e plaçons entre les deux lentilles de notre objectif apla-nétique; le type que nous adoptons est celui de la série C, n° 2 o
ls ne peuvent donc pas être employés dans toutes les hypothèses. Le type rectilinéaire, au point de vue de la surface couv
ces objectifs peuvent remplacer avantageusement à grande ouverture le type Petzval, parce f qu'ils donnent une image plu
qui donnera le mieux sur chlorure d'argent. Ce cliché lui servira de type d'intensité moyenne, il saura alors que pour le p
par hasard à côté d'eux des malades de cette catégorie. Du reste, ces types restent gravés dans la mémoire et pour le médecin
se en pratique par Galton et Balut, et de créer par superposition des types composites dans lesquels, toutes les particularit
dans l'appareil de projection. Malheureusement la conservation de ces types est très délicate; aussi avons-nous pensé qu'il s
96 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
nfigurations si multipliées qu'on ne saurait guère les rattacher à un type commun. Tout à l'heure, je vous parlais de l'in
ho. forme et les dimensions des acini se rapportent au contraire à un type presque constant: ce sont de petites pyramides do
et revêtus, dans toute leur étendue, d'un épithélium se rapportant au type cylindrique. Composé, dans les bronches de calibr
ue large, se rapportant, par conséquent, d'une manière très nette, au type cylindrique et présentant un noyau sphéroïde bien
commun à ces endotheliums, dont l'épithélium pulmonaire reproduit le type morphologique,est, vous le savez, de se dévelop
thélium de revêtement est remplacé par un epithélium se rapportant au type cylindrique, et analogue, par conséquent, à celui
res élastiques, etc.; 2° Substitution d'un revêlement épithélial de type cylindri-que, au revêtement de cellules plates, e
par un epithélium cubique rappelant morphologiquement l'épilhôlium de type cylindrique des conduits collecteurs. Cette modif
sée d'un revêtement épithélial cubique, c'est-à-dire se rapportant au type cylindrique qui règne dans toute l'étendue des gr
structure, en apparence si compliquée, si anormale dans l'es-pèce, au type de construction des autres appareils glandu-laire
pissés d'un revêtement épithélial * Foster et Balfour, p. loo. du type cylindrique. Bientôt, ils poussent dans la masse
s, mais qu'on peut cependant toujours ramener à un cer-tain nombre de types fondamentaux. Étudions-les d'abord dans les cas o
t grise, de même la broncho-pneumonie chronique se développe comme le type aigu correspondant à la suite d'un catarrhe bronc
ho-pneu-monie sub aiguë, qui dès l'origine tend à la chronicité. Le type clinique broncho-pneumonie aiguë n'a pas, on le s
sées d'une zone externe de petites cellules arrondies, appartenant au type embryonnaire, c'est-à-dire présentant un noyau vo
der Ileilk., 1877), — se rapportent, pour l'aspect macrosco-pique, au type de la pneumonie lobulaire généralisée ou pneumoni
s appelé la phtisie pneumonique aiguë; l'autre exemple se rapporte au type phtisie galopante; l'évolution totale de la malad
eux faits qui viennent d'être considérés particulièrement, à titre de types bien tranchés, se sont trouvés exactement reprodu
ichs l'occasion de ses recherches, la fièvre était le plus souvent de type quotidien ou tierce, rarement quarte ; l'apyrexie
imparfaite, et la maladie avait une tendance mani-feste à prendre le type rémittent ou même continu. Les acci-dents cérébra
la terminaison fatale ; mais quelquefois aussi on les voit revêtir le type intermittent, quotidien ou tierce. Ils peuvent en
s'accroissent d'une manière progres-sive, s'ils tendent à revêtir le type rémittent ou décidément continu, la fièvre aussi
, toutes ces formes graves de l'intoxication palustre, même dans leur type de développement le plus parfait, amènent quelque
des désordres qui repa-raissent et s'effacent tour à tour, suivant un type parfois très régulier? Mais ces réserves étant fa
Pendant le séjour en Afrique il contracte une fièvre intermittente de type tierce, qui se produit à plusieurs re-prises, mai
e, les alté-rations de ce grand vaisseau ont plus d'une fois servi de type à la description générale, et qu'il devient alors
l'artère pulmonaire, le bruit de souffle est plus rude et présente le type continu, avec redoublement d'inten-sité pendant l
97 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
déviées- et nous offrent à côté les unes des autres les différents types d'attitudes vicieuses, le premier principalemen
qu'il existe parmi les hystériques trembleurs un certain nombres de types cliniques assez bien tranchés. Nous essayerons
exophthalmie ni goitre, et le tremblement hysté- rique répondant au type vibratoire. Chez notre malade de l'Obs. I, le t
là, plusieurs cas qui, selon toute vraisemblance, ressortissent au type de tremblement hystérique que nous décrivons.
se propose d'inscrire les oscillations une petite lampe électrique ( type Edison) de 3 ou 4 volts. Cette lampe doit être au
elles. L'hystérique (femme) représente pour ces derniers auteurs un type extraordinairement complexe, d'une nature toute
trière pour une contracture en voie de résolution, elle offrait le type le plus accompli du délire du toucher. Il lui é
et M. Charcot, en présentant à ses auditeurs cette malade comme un type remarquable de la simu- 62 NOUVELLE ICONOGRAPHI
s très bien avoir vu autrefois, dans un service de médecine, un cas type d'ataxie trépidante, détermination hysté- rique
, beaucoup plus avares d'actes que de paroles. Mais il côté de ce type il en existe un autre incomparablement plus fré
Un exemple emprunté encore il M. Charcot - et il n'est pas un des types que nous ayions décrit qui- ne repose sur des obs
nsacrés a la symptoma- tologie des polynévrites, l'auteur décrit un type de polynévrite à forme de paralysie générale sp
eintes, on constate sur les pièces fraîches des lésions de sclérose type . Sur les coupes (après durcissement) on voit :
eints, mais la répartition de la paralysie n'était conforme à aucun type . Le deltoïde, le biceps, le brachial antérieur,
ertaine augmentation de volume des mains, et c'est sans conteste du type acromégalique qu'elle se rapproche le plus près.
com- binaison de l'ophthalmoplégie avec une atrophie musculaire du type Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure chroniqu
omme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l'atrophie muscu- laire du type Duchenne-Aran, l'altération porte exclusivement s
ans le même état. L'attitude vicieuse des mains s'exagère. C'est le type de la griffe dans la paralysie des interosseux.
Nous avons choisi pour l'Ico- nographie de la Salpêtrière quelques types de chacun des grands groupes des maladies de l'
98 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
uel (mars 1887). - Les deux mains vues par leur face dorsale ont le type de la main de singe,' vues par leur face palmaire
l. L'examen électrique fait constater la réaction de dégénérescence type pour le premier interosseux seulement. Les ré
é- ressantes. Nous allons les examiner successivement. 1° jd quel type appartient l'affection vésanique qu'elle présente
La figure 29 nous montre sa respiration à l'état normal : c'est un type de respiration de mélan- colique, dont on appré
roupe symptomatique paraissait nettement constitué en une maladie à types fixes avec une marche prévue et fatale conduisa
érimenté la reconnaît dès l'abord, la diagnos- tique à distance. Le type vulgaire est si connu qu'il nous suffira de le
ses cliniques du mardi '. Il proposa de la désigner sous le nom de type d'extension. M. P. Richer a publié ici même 3 plu
inclinaison en avant de la tête et du tronc, ce sujet appartient au type vulgaire, il s'en éloigne singulièrement par l'at
dont nous allons rapporter l'observation appartient, elle aussi, au type d'extension. Elle a été présentée par M. Charcot
T. II. PL XXVIII ATTITUDE ANORMALE DANS LA PARALYSIE AGITANTE ( type d'extension) LfiCNOSNIHN 6T BABÉ. ÉDITEURS NO
PNOTOTYPIE BERTHAUD ATTITUDE ANORMALE DANS LA PARALYSIE AGITANTE ( TYPE D'EXTENSION) LECROSNIER ET BABÉ, ÉDITEURS SUR
e de la langue, puis envahir la partie gauche, et enfin réaliser le type du spasme, glosso-facio-peaucier, et l'anesthésie
stérie. L'observation VII est intéressante en ce qu'elle réalise le type du spasme facio-peaucier sans participation de
rveuses. III Aux précédentes observations qui toutes réalisent le type , soit du blépharospasme, soit du spasme lingual
lement insensible. Ons. X. Lav..., 19 ans, myopathique héréditaire ( type Duchenne, de Boulogne), hystéro-épileptique dro
192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA 8ALPÈT IUËRK. grandes déviations du type normal. Outre son excessive longueur et le manque
l'hypertrophie de l'organe, et ont cédé. Mais cette déviation du type normal des os maxillaires ne pouvait être l'oeu
ue Duchenne confondit toujours l'atrophie musculaire progressive du type qui porte son nom avec la syrin- gomyélie. ,
es des variations de courte durée en général, qui, sans affecter le type présenté par le malade, peuvent néanmoins le mo-
Lon- gueur du 3e métacarpien 37 mill. Les phalanges offrent le même type de déformation. Les unguéales sont relativement
99 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s'agit. On s'en tient à la diffé- renciation clinique rigoureuse du type morbide et à son étude approfondie. M. Charcot
bre de onze. C'est encore peu pour oser aborder la description d'un type morbide, mais on se convaincra aisément que la
écé- dentes des malades présenter concurremment avec des accès de type procursif divers des accidents procursifs dont
'apparition des phénomènes léthargiques. Cette sorte d'inversion du type tient surtout à ce que le sommeil, lorsqu'il n'
à ce qui distingue cette amyotrophie de l'amyotrophie cellulaire du type Charcot.)Tel est le complexe neuropathique surv
uses variétés dans l'espèce sans que, pour cela, l'individualité du type en soit compromise. La marche de cette affectio
erminer une éphidrose faciale. Celle-ci répond en clinique à deux types : 1° syndrome, éphidrose, myosis, troubles vaso
arge- ment tracé, nous donnerons surtout la description d'un cas- type , quitte à revenir ultérieurement sur diverses var
qu'à 3; quelquefois, elle offre aussi des irrégularités et prend le type de Cheyne-Stokes (Achard, OBS. XI); quelquefois
le, elle se confond, nous l'avons dit, avec l'attaque de sommeil- type , celle que nous avons eue surtout en vue dans not
'. Avec quelques modifications peu importantes d'architecture, le type des hôpitaux actuels est construit sur un plan ad
la miction, tenesme rectal, crises gastriques. Douleurs fulgurantes types . Persistance de l'incoordination motrice. Pas d
eux qui caractérisent l'ataxie locomotrice progressive : douleurs à type fulgurant, incoordination motrice des membres i
es cas rangés sous cette étiquette ne sont «- que des variations de types déjà connus et décrits. Examinons donc la premi
ditaire fatale en confirment l'autonomie nosologique. Il existe des types d'ivro- gnerie intermédiaires à ces deux formes
des plaques de lèpre anesthésique; le chloasma, ce dernier étant un type d'augmenta- Lion du pigment cutané. Dans le vit
111'"e D", (aplatissement frontal et dotycocéphalie) n'est pas un type rare en France et les anthropologistes pensent de
, au point de vue des symptômes et de l'évolution de la maladie, le type le plus parfait du délire chronique tel qu'il n
ez mes ma- lades, je n'ai fait qu'exposer un résumé et non créer un type syn- thétique. Si, d'un autre côté, les stigm
s en dehors de l'hérédité. Enfin je ferai remarquer que l'idiot, ce type des dégé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 461 nérés, qui a
nouvelle qu'il appelle délire de persécution. Pour bien établir le type , il s'en est tenu à la période d'état, négligea
on début jus- qu'à sa période d'état.Comme je ne veux qu'établir un type et détermmer les caractères qui doivent entrer
cture de deux observations que Morel con- sidère comme des exemples types et qui s'appliquent manifeste- ment à des dégén
voulu faire en séparant du groupe général des persécutés un certain type à marche lente et progressive et c'est pour le
tiloculaire. Six observations dont trois avec autopsie. En voici un type magnifique. Boucher de vingt-quatre ans, très v
résenté un exemple de ce genre à la Société de médecine intere. Ces types hémilatéraux restant hémilatéraux pendant de no
100 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion de la page 143 de la thèse de Chabry, celle dont le titre est : TYPE 34 : DEUX quarts d'individus droit; et il verra
antôt par le bras, tantôt par la face. Siège sous-cortical. Dans le type jacksonien pur, les convul- aions commencent ré
ins fragile,dégénère seulement dans sa portion ter- minale selon le type Wallérien ; le prolongement central subit un pr
rfs périphériques et les racines postérieures l'a- trophie simple à type segmentaire du tabes n'a rien de commun avec la
e qui est une dégénérescence wallé- rienne (les fibres dégénérées à type wallérien sont rares dans le ta- bès). F. Tisse
es au niveau de la fosse cérébrale moyenne. G. Deny XVI. Quelques types de plaies pénétrantes du crâne par les projecti
t pronation. Atrophie musculaire progressive à gauche, à 28 ans, du type de Vulpian ; extension du bras vers la main.
rébrale en liant les artères cérébrales. Chez le chien pris comme type , l'application d'un courant alternatif de 70 à
qui représentent, en somme, une régression de la mentalité vers le type infantile, ca- ractérisé surtout par un défaut
nt aux troubles vaso-moteurs dans l'hystérie, j'en ci- terai un cas type . M. Babinski ne m'adressera pas ici le re- proc
ouche est précédée de considérations sur la nomenclature et sur les types nouveaux introduits ces derniers temps : cellul
s). Chez les neurasthéniques vrais, chez ces malades nombreux et de type clinique très net, qui présentent, à la suite d
e spontanément après une période de vives douleurs névralgiques. Ce type morbide se rapproche beaucoup du zona et peut ê
fondeur. Les accidents nerveux présentés par ce malade réalisent le type clinique de beaucoup le plus fréquemment observ
porté par M. Leclerc est celui d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne, à forme scapulo-)zumérale. M.
consacré sa vieà la science, à son pays,à l'humanité ; il a été le type accompli du grand savant et de l'homme de bien
t lieu d'organiser sous le nom d'écoles de perfec- tionnement, deux types d'établissements, savoir : 1° Des classes spéci
erfectionnement avec internat et demi pensionnat, tel est le second type de perfectionnement qu'on se propose d'organise
urs singes. Configuration de leurs cellules qui ne réalisent pas le type mo- teur. Intégrité de ces noyaux dans des ca
ers doigts. SOCIÉTÉS SAVANTES. 303 Diplégie cérébrale infantile à type pseudo-bulbaire. M. P. ARMAND DCLILLE et Mlle G
LILLE et Mlle GIRY présentent deux enfants de quatre ans offrant ce type ; à noter lecontraste de leur facies et de leur
et des sympathies qui signalent les uns aux autres les dégénérés de types divers (Morel, Magnan, Blanche). Cette notion s
lires, en tant que collectifs, offrent une infinie variété ; si les types simples existent, et doivent servir de repères,
istence de douleurs vives spontanées affectant la topographie et le type sensitif des douleurs d'origine radiculaire ; l
mineux mais ne présente pas de saillies anormales. Respira- tion de type abdominal ; quelques râles de bonchite à l'aus-
les cas se rapportant aux asiles, les auteurs ont trouvé le bacille type Shiga à Quatre-Mares et le bacille type Fleiner à
teurs ont trouvé le bacille type Shiga à Quatre-Mares et le bacille type Fleiner à Maréville, ils auraient donc eu affai
n- theaume et \liSnot, p. 458. Dll'LlèGIE cérébrale intanLile à type pseudo-bulbaire, par A. Delille cl Mlle Giry, p
isme el son rôle so- cial, par Waynbaum, p. 387. Plaies. Quelques types de pé- nétrantes du. crâne par les pro- jecti
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