/ 178
1 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
ter de la crête iliaque ; saillie de ce même trochanter qui forme une tumeur sphéroïdale, beaucoup plus volumineuse que de cou
nsi, du côté de la fracture, on voit à la région fessière externe une tumeur sphéroïdale très prononcée qui est au niveau de l
de la plus grande convexité du sacrum; du côté sain, il n'y a pas de tumeur fessière externe, le grand trochanter est au-dess
et déformation de la région fessière externe qui est soulevée par une tumeur formée par le grand trochanter, la tête et le col
e ces vertèbres, je prescrivis pour tout traitement deux moxas sur la tumeur , un de chaque côté de la ligne médiane. Au bout d
l'écartement de ses yeux augmenta d'une manière sensible; une petite tumeur souleva la peau entre les deux sourcils, obstrua
es. On ne put jamais apercevoir la moindre trace de battemens dans la tumeur . L'opération ayant été décidée, M. Amussat la p
ermées dans un tissu aréolaire. La surprise qu'excita la vue de cette tumeur d'apparence nouvelle fut partagée par tous les as
plaie était tout-à-fait cicatrisée; la malade se crut guérie; mais la tumeur reprit un grand développement, malgré les moyens
amollissement; l'extrémité de ces lobes, qui était en rapport avec la tumeur , était convertie en bouillie. On fendit verticale
ec la tumeur, était convertie en bouillie. On fendit verticalement la tumeur : le scalpel divisa facilement la partie antérieu
ertaine altération. Le nerf optique gauche semblait se perdre dans la tumeur ; mais une dissection attentive montra qu'il se co
présentaient aucune altération. L'utérus seulement offrait plusieurs tumeurs fibreuses; l'un des ovaires contenait une masse b
un stylet enfoncé par cet orifice sortait par la narine gauche. La tumeur conoide et bosselée qui occupe la région frontale
i une dégénération et une déformation considérables. La surface de la tumeur est aréolaire. Fig. 2. La coupe représentée fig
tement dégénérée. La petite figure 3 montre une tranche mince de la tumeur ; la matière d'apparence suifeuse a été extraite d
es ( ostéo-chondrophytes ). Je réunirai dans la même description la tumeur de l'humérus, représentée planche iv, et la tumeu
ême description la tumeur de l'humérus, représentée planche iv, et la tumeur du bassin, représentée planche v. On sera frappé
coupe, à l'aide de laquelle le quart antérieur de l'humérus et de la tumeur a été enlevé, permet d'apprécier la conformation
a été enlevé, permet d'apprécier la conformation intérieure de cette tumeur et son mode d'implantation sur l'humérus. On se
rémité acromienne de la clavicule étaient compromis. Le poids de la tumeur était en raison de son volume avant la dessiccati
de dessiccation,entrait pour deux tiers dans la composition de cette tumeur , et par conséquent que le tissu osseux ne constit
le tissu osseux ne constituait que le tiers environ de la masse. La tumeur présente une disposition lobuleuse, mamelonnée. t
par des sillons profonds, remplis de tissu fibreux. La surface de la tumeur n'était unie aux parties voisines qu'à l'aide d'u
la figure accroché à l'aide d'une érigne. Du reste, la surface de la tumeur présente l'aspect cartilagineux : elle est entour
masque la saillie des mamelons ou tubercules Lorsqu'on a dépouillé la tumeur de cette gangue,ainsi que cela a été fait en GC ,
eur jour. On dirait l'aspect d'un choufleur. Les coupes faites à la tumeur montrent les particularités de texture qui suiven
sposition mamelonnée existe dans l'épaisseur comme à la surface de la tumeur . 2° Inférieurement, la tumeur n'est que juxtaposé
ns l'épaisseur comme à la surface de la tumeur. 2° Inférieurement, la tumeur n'est que juxtaposée à l'humérus ; mais, en haut
ce et se perd, par ses couches superficielles, dans l'épaisseur de la tumeur . Le cylindre médullaire est parfaitement conservé
de l'humérus en substance spongieuse, il entre dans l'épaisseur delà tumeur des masses calcaires irrégulières, qui ne présent
u'il ne répugne nullement d'admettre que, dans le développement de la tumeur , l'état cartilagineux a précédé l'état osseux. On
t encore supposer que plus tard toute la portion cartilagineuse de la tumeur aurait fini par se pénétrer ou s'infilter de phos
nfilter de phosphate calcaire. La figure 2 montre un fragment de la tumeur desséchée: c'est à l'aide de la scie que ce fragm
par le fait de la dessiccation, toute la portion cartilagineuse delà tumeur a été transformée en lamelles minces et brunes, t
La transformation en tissu fibreux de la portion cartilagineuse de la tumeur prouve manifestement que le cartilage était impar
r Flaubert, chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieu de Rouen. Cette énorme tumeur naissait du corps et de la branche du pubis gauch
orps du pubis et s'étendre jusqu'à sa face postérieure. La portion de tumeur qui est postérieure au pubis est beaucoup moins c
is est beaucoup moins considérable que la portion antérieure. Cette tumeur est divisée en grosses masses ou lobules, séparés
e que ces muscles et ces aponévroses sont complètement étrangers à la tumeur qui émane entièrement du tissu osseux et de son p
mane entièrement du tissu osseux et de son périoste. La coupe de la tumeur montre qu'elle s'implantait sur toute la circonfé
e du pubis, dont le tissu spongieux s'épanouissait au centre de cette tumeur . Cette même coupe, qui a été figurée à la partie
eur. Cette même coupe, qui a été figurée à la partie inférieure de la tumeur , permet de voir que la portion cartilagineuse n'e
la portion cartilagineuse n'est pas limitée à la circonférence de la tumeur , qu'elle occupe en outre son centre où elle forme
du tissu propre de l'os pubis, tout le reste de la portion dure de la tumeur est formé par une matière plâtreuse, phosphatique
minés au milieu d'un cartilage de nouvelle formation. Comme pour la tumeur représentée planche iv, la dessiccation a réduit
une très grande légèreté. La figure 2 représente une tranche de cette tumeur séparée à l'aide de la scie. On voit la coupe de
tiques. Réflexions. A quelle catégorie de lésions appartiennent les tumeurs représentées planches iv et v? Doit-on les consid
du tissu osseux. Il me semble résulter de l'examen approfondi de ces tumeurs qu'elles constituent" purement et simplement des
u cartilagineux entre au moins pour moitié dans la composition de ces tumeurs , et comme il importe, sous le point de vue pratiq
à'ostéo-chondrophytes.ljâ couleur blanc-grisâtre de la surface de la tumeur ,couleur due à la couche cartilagineuse qui la rev
se qui la revêt; la mollesse élastique de celles des parties de cette tumeur dans lesquelles dominait le cartilage, a dû en im
que dans celle des maladies cancéreuses, que nous devrons ranger une tumeur de la cuisse, décrite avec beaucoup de soin par B
gue à celle que j'ai donnée des pièces représentées fig. ^ et b. La tumeur qui occupait la moitié inférieure de la cuisse, a
ncis, élargis et décolorés, formaient une membrane qui enveloppait la tumeur . Celle-ci était formée «par « une masse à-peu-prè
arrachait qu'avec beaucoup de peine. L'enveloppe membra-« neuse de la tumeur étant enlevée avec soin , la substance de la mass
nserver supérieurement sa forme et sa consi-« stance. Au niveau de la tumeur , les lames de la substance compacte s'étaient élo
ayonnant et dans une « direction excentrique vers la périphérie de la tumeur , et se divisaient et se subdivisaient à «f l'infi
l'infini et en se confondant entre elles. La plus grande partie de la tumeur était formée par « la substance cartilaginifbrme
ent certains points vagues de la description , on trouvera dans cette tumeur , sillonnée à sa surface et divisée à l'infini en
o5. on trouvera, dis-je, dans tous les détails descriptifs de cette tumeur , dont la partie centrale présentait le tissu du f
e la disposition en jetées, en aiguilles, de la portion osseuse de la tumeur décrite par Boyer, établit une différence notable
tumeur décrite par Boyer, établit une différence notable entre cette tumeur et celles que j'ai fait représenter pl. 4 et 5; m
disposition stalac-tiforme, ou par jetées delà portion osseuse de la tumeur . Elle en diffère, parce que le tissu du fémur, au
e, parce que le tissu du fémur, au lieu de présenter, au niveau de la tumeur , une disposition aréolaire, résultant de la disso
e par un tissu compacte, éburné, excepté à la limite supérieure de la tumeur , où se voit un tissu aréolaire. Dans cette même p
qui les sépare. « Les « périostéophytes, d'après M. Albers, sont des tumeurs implantées sur le périoste seul, et « qui se déve
considérables, naissant de l'os des îles : structure aréolaire de ces tumeurs . Faits et inductions qui établissent que leur dév
t à une lame fibreuse très mince, formait l'enveloppe immédiate de la tumeur . Ouverte supérieurement, cette tumeur présentai
t l'enveloppe immédiate de la tumeur. Ouverte supérieurement, cette tumeur présentait une poche considérable, à parois fibre
la nature, car il était miscible à l'eau; la partie non divisée de la tumeur avait la même texture que l'exostose de la fosse
ture que l'exostose de la fosse iliaque externe TEC. Cette dernière tumeur a été divisée en deux moitiés égales, l'une antér
l, transversalement dirigé. La figure représente la coupe. Les deux tumeurs sont supportées par un pédicule étroit, fibreux e
rêmement facile de les séparer par une traction peu considérable. Ces tumeurs pouvaient se séparer en lobules distincts unis pa
tôt pyramidale, avaient leur base dirigée du côté de la surface de la tumeur , et leur sommet du côté de l'os des îles, sur leq
r un pédicule extrêmement délié en forme d'aiguille. La coupe de la tumeur iliaque externe TEC a été figurée avec un soin to
tout particulier pour donner une idée exacte de la structure de cette tumeur . Elle présente des vacuoles ou géodes de divers
oints opaques et de plaques ossifiées. En étudiant le pédoncule des tumeurs et les veines du voisinage, j'ai trouvé (fig. 2)
veines saines; d'une autre part, se perdaient dans l'épaisseur de la tumeur , où il était impossible de les suivre. Les vaisse
uite aux veines obturatrices et circonflexes, et se perdaient dans la tumeur de la fosse iliaque interne. Réflexions. Il me
e d'établir un corps de doctrine sur les lésions morbides, i° que les tumeurs ou exostoses des fosses iliaques interne et exter
es n'ont point une autre étiologie. 3° Que la partie compacte de la tumeur est formée par des veines ossifiées et dans leurs
ion peu considérable, il ne restait sur cet os d'autres traces de ces tumeurs que dans de petites végétations stalactiformes.
illes osseuses, on comprendra aisément le développement de semblables tumeurs . Quand une région du système capillaire veineux
^ai d*i.+ Xilhe. de /lézard. ~ (PLANCHE IV, XXXIIIe LIVRAISON.) Tumeurs e'rectiles du crâne. Je fus appelé en consultat
sse de l'aorte. En outre, la malade portait à la tête une douzaine de tumeurs du volume d'une grosse noix, molles, pulsatiles ,
e soufflet tout-à-fait semblable à celui de la crosse de l'aorte. Ces tumeurs étaient insensibles au toucher, molles, excepté à
prit et me parut le type du cas soumis à mon examen. Plusieurs de ces tumeurs étaient effectivement sur le trajet des divisions
t des divisions principales des artères temporales et occipitales. La tumeur de la région frontale droite en particulier sembl
he, immédiatement au-dessus de l'articulation du genou, se voyait une tumeur du volume du poing, qui offrait les mêmes caractè
supérieure du bras droit, et là existait, au niveau du deltoïde, une tumeur qui entourait l'humérus, tumeur très sensible à l
existait, au niveau du deltoïde, une tumeur qui entourait l'humérus, tumeur très sensible à la pression, donnant au bras le m
cture, et offrant au tact et à l'oreille les mêmes sensations que les tumeurs précédentes. Voici les commémoratifs remis par
à la partie interne et inférieure delà cuisse gauche. Là existait une tumeur du volume d'une noix, qui semblait appuyée sur le
t une tumeur du volume d'une noix, qui semblait appuyée sur le fémur, tumeur offrant des battemens isochromes à ceux du pouls,
able lorsque la malade éprouvait une excitation quelconque. Une autre tumeur de même nature, grosse comme une noix, existait s
grosse comme une noix, existait sur la bosse droite du coronal. Cette tumeur , placée sur le trajet de l'artère temporale, avai
que je constatai l'état ci-des3us. Sur la fin de juin, une nouvelle tumeur pulsatile parut à l'épaule gauche, précédée et ac
ait porter à la bouche ni la main droite ni la main gauche. Une autre tumeur pulsatile se développa en même temps sur l'extrém
ort, qui eut lieu le 27 septembre, il ne se manifesta aucune nouvelle tumeur . Les tumeurs déjà existantes ne s'accrurent pas d
lieu le 27 septembre, il ne se manifesta aucune nouvelle tumeur. Les tumeurs déjà existantes ne s'accrurent pas d'une manière
ôté des organes de la respiration. Ouverture du cadavre. Toutes les tumeurs pulsatiles étaient constituées par un tissu caver
inégales pour la capacité, étaient remplies de sang. Plusieurs de ces tumeurs , la tumeur du genou, la tumeur de l'épaule gauche
r la capacité, étaient remplies de sang. Plusieurs de ces tumeurs, la tumeur du genou, la tumeur de l'épaule gauche, sont étra
nt remplies de sang. Plusieurs de ces tumeurs, la tumeur du genou, la tumeur de l'épaule gauche, sont étrangères aux os,dévelo
os,développées dans l'épaisseur et aux dépens des parties molles. La tumeur costale, les tumeurs de l'épaule droite et les tu
l'épaisseur et aux dépens des parties molles. La tumeur costale, les tumeurs de l'épaule droite et les tumeurs crâniennes sont
ties molles. La tumeur costale, les tumeurs de l'épaule droite et les tumeurs crâniennes sont formées aux dépens du tissu osseu
nes sont formées aux dépens du tissu osseux. Voici la description des tumeurs du crâne qui font le sujet de la planche /j. Le
iption des tumeurs du crâne qui font le sujet de la planche /j. Les tumeurs crâniennes occupaient et la voûte et les régions
fig. 1 représente la voûte du crâne , dépouillée du cuir chevelu. Les tumeurs , qui n'avaient contracté aucune adhérence avec le
t bien évidemment aux os, sur lesquels elles semblent implantées. Ces tumeurs sont très molles, flaccides, comme incomplètement
la vie, elles étaient turgescentes , d'une mollesse élastique. Ces tumeurs divisées présentent du sang liquide, contenu dans
ue naissent les fîlamens entrecroisés, qui constituent la trame de la tumeur . Le doigt porté au fond de ces tumeurs sent à nu
qui constituent la trame de la tumeur. Le doigt porté au fond de ces tumeurs sent à nu les os inégaux et comme érodés, La fi
effectue d'ailleurs par le même mécanisme que l'usure des os dans les tumeurs anévrysmales. La fig. 2 présente les perforatio
semblent destinées à réparer en partie les pertes de substance. Les tumeurs des autres parties du corps, soit qu'elles fussen
s au système osseux, présentaient absolument les mêmes caractères. La tumeur de l'humérus droit avait détruit la presque total
sous le rapport anato-mique que sous le rapport clinique , entre les tumeurs décrites dans cette observation et les tumeurs va
t clinique , entre les tumeurs décrites dans cette observation et les tumeurs variqueuses qui ont fait le sujet d'autres figure
t de souffle perceptible à l'oreille. Il y aurait donc deux sortes de tumeurs érectiles, les unes qui seraient formées aux dépe
ans la science. Plusieurs des faits présentés sous la dénomination de tumeurs sanguines artérielles, deJungus hématodes se rapp
ague des descriptions ne permet pas de décider le plus souvent si ces tumeurs sont des tumeurs variqueuses ordinaires ou encéph
ions ne permet pas de décider le plus souvent si ces tumeurs sont des tumeurs variqueuses ordinaires ou encéphaloïdes avec foye
meurs variqueuses ordinaires ou encéphaloïdes avec foyer sanguin. Les tumeurs sanguines décrites par Pott, tumeurs qui se dével
haloïdes avec foyer sanguin. Les tumeurs sanguines décrites par Pott, tumeurs qui se développèrent au-dessous des muscles jumea
postérieure des os de la jambe plus ou moins profondément cariée, ces tumeurs sanguines, dis-je, me paraissent devoir être rapp
sent devoir être rapportées à cette catégorie. 33^Livraison PU. Tumeurs erecliles des os du crâne A. Ckazaldel. Tm. d
ou cinquième vertèbre cervicale. Le cerveau était remplacé par une tumeur mollasse, rougeâtre, pulpeuse, divisée en lobules
comme une séreuse, à travers laquelle faisait hernie une partie de la tumeur . Cette membrane formait en arrière une cloison co
llaire correspondante, eschare gangreneuse considérable, débris d'une tumeur non moins volumineuse que celle de la région paro
celle de la région parotidienne. Quel était le siège de cette seconde tumeur ? était-ce la glande sous-maxillaire ? étaient-ce
ganglions sous-maxillaires ? Je restai dans le doute à cet égard. La tumeur parotidienne avait débuté huit ans auparavant par
ant par un petit bouton, plusieurs fois soumis à la cautérisation. La tumeur maxillaire datait de trois ans. Ces deux tumeurs
la cautérisation. La tumeur maxillaire datait de trois ans. Ces deux tumeurs ulcérées étaient le siège d'hémorrhagies fréquent
éreuse, mais sans augmentation notable de volume. La dissection de la tumeur m'a permis de constater que la dégénération n'ava
parsemées de quelques points noirs : c'est le cancer mélanique. La tumeur sous-maxillaire était formée aux dépens des gangl
happé à la dégénératiou, est resté adhérent à l'œil. La surface de la tumeur est bosselée; une couche de tissu fibreux d'inéga
de voir si les muscles avaient été, pour ainsi dire, englobés dans la tumeur , ou s'ils avaient été refoulés à sa circonférence
s dégénération fait des progrès, elles se présentent sous l'aspect de tumeurs sphéroïdales, lobuleuses, pé-diculées. Les intest
vé tout récemment un petit polype dans le gros intestin : c'était une tumeur lie-de-vin foncée du volume d'une grosse aveline
e d'une grosse aveline naissant par un pédicule long et grêle : cette tumeur divisée présenta du sang infiltré dans le tissu d
manens, et ont entraîné la mort. On conçoit que, dans le principe, la tumeur devait s'engager incidemment, et comme par hasard
ore doit être un des obstacles les plus puissans à la réduction de la tumeur , dont elle tend sans cesse à augmenter le volume,
udrait pas confondre les végétations polypeuses de l'estomac avec les tumeurs graisseuses qu'on rencontre quelquefois sous la m
ordinairement très petites et du volume d'un pois, d'une aveline, ces tumeurs adipeuses peuvent acquérir le volume d'une amande
rnièrement j'ai rencontré dans l'estomac, au voisinage du pylore, une tumeur adipeuse qui avait le volume d'une amande entouré
dipeuse qui avait le volume d'une amande entourée de ssa drupe. Cette tumeur non pédiculée était revêtue par la membrane muque
auser l'oblitération de leurs orifices, et déterminer la formation de tumeurs assez grosses, qu'on peut rencontrer dans l'estom
Les ganglions de l'aine et les ganglions axillaires constituaient des tumeurs monstrueuses. Dans le cas actuel, à quelle alté
este. Dans les derniers jours de la vie seulement, je pus limiter une tumeur oblongue qui représentait assez bien la forme et
uche de l'épigastre , le long des fausses côtes : là on reconnaît une tumeur considérable] qui déborde la base du thorax et se
base du thorax et semble s'enfoncer dans l'hypochondre gauche; cette tumeur est extrêmement sensible à la pression. Ce qui
dans la cavité péritonéale. — Inflammation chronique du péritoine. — Tumeur formée par les membranes de V œuf renversées.
iliaque droite. L'origine de ce cordon avait lieu à la surface de la tumeur par des ramifications nombreuses, à la manière de
ifications nombreuses, à la manière de la face fœtale du placenta. La tumeur était, en effet, constituée par un énorme placent
e par le chorion et l'amnios. Dès-lors , il fut facile de voir que la tumeur était formée par l'œuf renversé, dont la surface
verts d'une fausse membrane. La fin de l'intestin grêle adhérait à la tumeur ellipsoïde de la fosse iliaque interne. Le gran
peut être suivi pendant quelques lignes et se confond ensuite avec la tumeur . Réflexions. Voilà un cas de conception tubaire
ssentit des douleurs très aiguës occasionées par l'étranglement de la tumeur herniaire. « Un médecin fut appelé, et n'ayant
« Le lendemain, le cadavre offrait les particularités suivantes : la tumeur ombilicale gangreneuse était flétrie, et des mati
avoir toute la dureté; on peut même briser l'écorce concrète de la tumeur , et on voit que l'intérieur renferme une substanc
e ou cinq divisions qui gagnent différens points de la surface. Cette tumeur n'offre aucune apparence de débris de fœtus, et n
ou cul-de-sac circulaire entre le sphincter et l'intestin déplacé. La tumeur semble naître directement de l'anus. lia fig.
se de l'intestin. L'orifice O qui occupe la partie inférieure de la tumeur est circulaire. La fig. 3 représente la coupe d
st très élevé; 20 en avant, où il a lieu à la partie inférieure de la tumeur : deux airignes écartent les surfaces péritonéales
du rectum ont cédé par suite du déplacement; 3° que si on incisait la tumeur en avant, même dans le lieu le plus déclive, on p
, entre dans un hôpital en octobre 1823, pour une chute au rectum. La tumeur avait le volume du poing : elle était d'un rouge
les, à mon avis trop considérables. On parvint cependant à réduire la tumeur , et on se proposait de faire, au bout de quelques
r une fois l'invagination commencée , l'accroissement ultérieur de la tumeur peut se faire par le déplacement de la portion in
ps, il se dessinait, à la partie inférieure de l'hypocondre droit une tumeur du volume du poing, qui disparaissait avec bruit
e : abdomen très tuméfié, excessivement douloureux. On ne sent aucune tumeur dans la fosse iliaque gauche ; il n'y a point de
sé par sa face postérieure (i), permet de constater l'existence d'une tumeur dure, eylindroïde, de 7 pouces 6 lignes de long e
par la valvule iléo-cœcale séparée en deux orifices. En incisant la tumeur eylindroïde formée par la portion d'intestin inva
t la partie contenante; le cylindre moyen, qui forme la surface de la tumeur , est formé par le cœcum; le cylindre central est
constitue le cylindre central est extrêmement rétréci au centre de la tumeur ; au-dessus de l'invagination, il est affaissé, et
invaginations de la fin de l'intestin grêle, l'extrémité libre de la tumeur présente deux ouvertures, tandis que dans les aut
figure les deux ouvertures que présente l'extrémité inférieure de la tumeur . MAl ADJES DES INTESTINS 27?I* ùtraidorv, Jrù
la cicatrice ombilicale sur l'un des points de la circonférence de la tumeur . Eh bien! il résulte d'un grand nombre de faits
es cuisses. L'anneau ombilical occupait le point le plus élevé cle la tumeur . On sentait distinctement les matières fécales et
tion que les muscles droits avaient été refoulés de chaque côté de la tumeur , que le sac était constitué par les aponévroses a
u'il n'existait aucun vestige de graisse sous-cutanée au niveau de la tumeur , mais que cette graisse avait été en quelque sort
aisse avait été en quelque sorte refoulée à la circonférence de cette tumeur . Il est probable qu'avant l'étude approfondie d
es « sortes de cas, il m'est arrivé plusieurs fois de toucher dans la tumeur l'estomac, qui n'y est cependant compris que lors
diculée, tandis que l'éventration est toujourssessile; que lorsque la tumeur ombilicale présente une forme conique, c'est à l'
ésente une forme conique, c'est à l'anneau que répondra la base de la tumeur , s'il y a éventration, et le sommet, s'il y a her
ventration conoïde, était une autre femme qui portait à l'ombilic une tumeur conoïde non moins considérable. Cette tumeur tena
portait à l'ombilic une tumeur conoïde non moins considérable. Cette tumeur tenait à l'ombilic par un pédicule étroit. L'anne
L'extrémité libre formait la base arrondie du cône représenté par la tumeur ; elle pendait entre les cuisses et était parcouru
le repos au lit long-temps continué pour obtenir une diminution de la tumeur . Il arrive quelquefois qu'il existe en même tem
cé est apportée mourante à l'Hôtel-Dieu. Elle offrait à l'ombilic une tumeur énorme qui paraissait formée aux dépens de la plu
ordinaire était évidemment contre-indiquée parle volume énorme de la tumeur . En outre, des adhérences pouvaient unir les inte
hamp avec la plus grande facilité sur le cadavre. La dissection de la tumeur montra que les intestins adhéraient entre eux et
'est que la hernie ombilicale ne formait pas le tiers du volume de la tumeur , et que les deux autres tiers étaient constitués
u, puis le sac herniaire, sur un des points de la circonférence de la tumeur , et à débrider l'anneau dans le lieu correspondan
mettre à découvert la masse considérable d'intestins contenue dans la tumeur , et prévenait en outre la fonte graisseuse de l'é
par M. Dupuytren, et les cicatrices CC qu'on remarque à gauche de la tumeur (pl. v) sembleraient assez dénoter que des incisi
oint. Quant aux lignes blanches qui se voient sur divers points de la tumeur , elles ressemblent plutôt à des éraillemens ou à
che v donne une idée très exacte de la hernie, de sa division en deux tumeurs , une droite plus petite, une gauche plus considér
insi on reconnaissait que le gros intestin CO, d'une part, formait la tumeur droite, d'une autre part, occupait la partie supé
tumeur droite, d'une autre part, occupait la partie supérieure de la tumeur gauche. Je me demandai, avant la dissection de
eure de la tumeur gauche. Je me demandai, avant la dissection de la tumeur , s'il existait deux hernies ombilicales ou une se
ultiloculaires et sur la correspondance qui me parut exister entre la tumeur droite et la tumeur gauche. Toutefois les hernies
r la correspondance qui me parut exister entre la tumeur droite et la tumeur gauche. Toutefois les hernies ombilicales ou plut
, dont l'une s étrangle. — Incision longitudinale sur la partie de la tumeur herniaire qui offre une fluctuation gazeuse. — Au
l'Hôtel-Dieu le ig, c'est-à-dire cinq jours après l'étranglement : la tumeur avait le volume et la forme d'un chapeau; elle te
Le doigt introduit dans le sac fait reconnaître que cette portion de tumeur n'est qu'un appendice de la tumeur principale. On
t reconnaître que cette portion de tumeur n'est qu'un appendice de la tumeur principale. On débride l'ouverture annulaire qui
umeur principale. On débride l'ouverture annulaire qui séparait cette tumeur de la tumeur principale, quoique évidemment l'ann
ale. On débride l'ouverture annulaire qui séparait cette tumeur de la tumeur principale, quoique évidemment l'anneau ne fût pa
re du cadavre. — Une incision, circulaire est faite tout autour de la tumeur : la peau enlevée, on trouve deux hernies bien di
estin étaient contournés autour de l'ombilic, de manière à imiter une tumeur circulaire. Le sac offrait des cellulosités dans
falciforme B, qui établissait la ligne de démarcation entre les deux tumeurs : les parties contenues sous plusieurs circonvolu
es appendices graisseux qui forment la partie supérieure de la grande tumeur et la presque totalité de la petite. Aucune adhér
au de la cicatrice profonde que nous avons vue exister à gauche de la tumeur . Cette circonstance établit qu'une incision avait
ration qui aurait consisté dans une incision verticale à gauche de la tumeur , et dans le débridement de l'anneau. Le défaut d'
oivin et A. Dugès , Paris, i833, t. ier, p. 220. XXXVIIe LIVRAISON. tumeur formée par les intestins déplacés. La tumeur ingu
20. XXXVIIe LIVRAISON. tumeur formée par les intestins déplacés. La tumeur inguinale gauche, facilement et complètement rédu
t être déjetée , soit d'un côté, soit de l'autre, permet aisément aux tumeurs scrotales développées à droite de se porter à gau
mpossible d'établir une ligne de démarcation entre le testicule et la tumeur herniaire. A droite, la hernie est formée par l
on dite des Gâteuses, fut reçue salle Saint-Gabriel, n° 10 , pour une tumeur phlegmoneuse, très considérable à l'aine droite.
our une tumeur phlegmoneuse, très considérable à l'aine droite. Cette tumeur hémisphérique, du volume de la moitié d'une orang
tous les cas, il fallait ouvrir. Je fais une ponction au centre de la tumeur , et, à la faveur de l'ouverture , je porte dans l
ai les parens à vouloir bien me suivre chez M. Chazal, qui prit de la tumeur un dessin fort exact. Relativement au traitement,
nt au traitement, j'invitai les parens à se contenter de préserver la tumeur contre toute espèce de violence extérieure et mêm
ent d'autant mieux indiquées, que quelques points de la surface de la tumeur étaient érodés et menaçaient de s'ouvrir. Les par
travail facile, « un enfant mâle qui offrait au milieu du ventre une tumeur grosse comme le poing. La sage-femme, ma-« dame L
ecin en consultation. Celui-ci fît rentrer, à « diverses reprises, la tumeur dans l'intérieur de l'abdomen; mais s'apercevant
cle à la respiration en « maintenant la réduction : il laissa donc la tumeur en statu quo, et conseilla de porter l'enfant à l
et livide, pouls à peine sensible, cris aigus lorsqu'on découvrait la tumeur : celle-ci égalait « le volume du poing: elle éta
cordon lui-même, qui semblait naître et se « détacher du sommet de la tumeur ( M. Cruveilhier, d'ailleurs, fit transporter l'e
eux du public l'image de cette curieuse anomalie). Ajou-« tons que la tumeur était alors réductible, et qu'après la réduction
curiosité scientifique ; je conseillai « néanmoins d'appliquer sur la tumeur une pièce de taffetas gommé, arrosée d'huile d'am
méconium à trois ou quatre reprises ; il cria beaucoup sans « que la tumeur fût exposée à l'air. Elle avait encore grossi, et
. 1 « Les 27 et 28, borborygmes, éructation; la peau qui entoure la tumeur se tend et prend une teinte « rosée. L'enfant man
sement ; lait coupé ; lavemens émolliens. « Le 29, la surface de la tumeur est en partie noire comme le cordon ombilical. La
; mieux-être apparent, car l'enfant ne crie plus quand on expose « la tumeur à l'air : il dort bien. — Même traitement, même n
il dort bien. — Même traitement, même nourriture. « Le 3o, toute la tumeur est noire, la peau qui l'entoure est très tendue
et terne, repose pour ainsi dire sur les os. « Le Ier septembre, la tumeur est dans le même état; mais le dévoiement a cessé
r lorsqu'on lui donne du lait. « Le 3 , même état physiologique. La tumeur se déterge et suppure. Il n'y a que la portion la
est un peu sensible et l'embonpoint semble revenir. lia moitié de la tumeur est encore « noire ; l'autre moitié suppure comme
e plaie ordinaire. Son volume d'ailleurs a diminué. « Du 5 au 9, la tumeur s'est de plus en plus affaissée et réduite. Le 9,
it de pellicules noirâtres et gangrenées. « Le 10, il n'y a plus de tumeur qui dépasse le niveau de l'abdomen; il n'y a qu'u
rellement au huitième mois de la gestation. On voit (fig. 2) que la tumeur , très considérable, a une enveloppe parfaitement
fig. 1, l'insertion du cordon ombilical n'a pas lieu au centre de la tumeur , mais à la partie inférieure et gauche de cette t
u centre de la tumeur, mais à la partie inférieure et gauche de cette tumeur , et quand on l'examine avec attention, on voit le
ur de cette perforation circulaire naît la membrane d'enveloppe de la tumeur , laquelle se continue avec l'enveloppe du cordon
elle se continue avec l'enveloppe du cordon ombilical. Du reste, la tumeur contient un liquide transparent qui change de pla
tin, et une bonne partie du foie, entraient dans la composition de la tumeur ; que la portion de foie déplacée H F était séparé
ait extrêmement courte, parce que la portion de foie contenue dans la tumeur arrivait de suite au point d'insertion du cordon.
ection qui se voyait à la moitié supérieure de la circonférence de la tumeur , aussi bien au péritoine qu'à la peau. Considér
l'observation si bien recueillie par M. Requin : * Le lendemain, la « tumeur avait encore grossi : elle était irréductible par
voquer? Serait-ce par un irritant appliqué à la surface externe de la tumeur ? serait-ce par un irritant injecté entre les deux
un emporte-pièce. i° Le cordon ombilical ne naît pas du centre de la tumeur , mais de la partie inférieure et latérale gauche.
, dans le cas d'exomphale, se trouve le plus souvent comprise dans la tumeur herniaire.» Ne semble-t-il pas qu'il y ait une
abdominaux sont contractés et raides; point de ballonnement, point de tumeur appréciable; la face est pâle, elle exprime l'anx
d'odeur stercorale (2), avaient succédé aux vomissemens bilieux : une tumeur dans la direction précédemment indiquée se dessin
estins présentent une couleur noirâtre ; au milieu d'eux apparaît une tumeur de deux pouces et demi de diamètre et d'un pied d
ivant un arc de cercle à concavité supérieure (pl. 4 et 5). A cette tumeur , qu'on reconnaît pour une invagination, succède u
trécie IG, qui se continue sans ligne de démarcation avec elle. Cette tumeur est précédée par une autre tumeur très considérab
gne de démarcation avec elle. Cette tumeur est précédée par une autre tumeur très considérable ^formée par le duodénum rempli
membranes sont récentes et établissent une adhérence légère entre la tumeur et les circonvolutions voisines. L'estomac peu
t été divisé suivant sa longueur, aussitôt a apparu (pl. iv et v) une tumeur cylindroïde formée par l'intestin invaginé. Cette
iv et v) une tumeur cylindroïde formée par l'intestin invaginé. Cette tumeur recourbée en arc présente à sa partie inférieure
le cylindre extérieur. Le cylindre d'intestin central présente deux tumeurs polypeuses : l'une PM plus considérable occupant
s petite P', occupant la partie inférieure de l'intestin central. Ces tumeurs sont mamelonnées, à pédicule étroit, formé par la
exclusivement à la membrane muqueuse. Les mamelons que présentent ces tumeurs me paraissent formés aux dépens des papilles ou v
yen et par le cylindre central : il occupe la partie inférieure de la tumeur ; 2° un cul-de-sac muqueux est formé par le cylind
r le cylindre périphérique : il occupe la partie la plus élevée de la tumeur . Le cylindre le plus externe forme la poche d'e
la poche d'enveloppe ; les deux cylindres moyen et interne forment la tumeur . (Poy. fig. 4 et 5.) Les surfaces muqueuses cor
. L'espèce d'anneau ou de collier formé aux limites supérieures de la tumeur , par le cylindre externe sur le cylindre moyen, e
même à son extrémité inférieure. Lorsque le malade restait au lit, la tumeur se réduisait de 9 pouces à 6; lorsqu'il se levait
rises des efforts infructueux de réduction. Ce malheureux recevait sa tumeur dans un pot de terre dont la surface lisse l'inco
temps, et dont le frottement était très douloureux. La surface de la tumeur était d'un rouge vif, indolente, recouverte de mu
partie interne et un peu postérieure de ce boudin, existait une autre tumeur du volume du poing, à surface rouge, comme lobule
taient verdâtres, et ne m'ont jamais offert le caractère fécal. Cette tumeur était également formée par l'intestin renversé. D
ne paraissaient pas naître immédiatement de l'anneau, mais bien d'une tumeur assez considérable, tout-à-fait semblable à celle
in qui, refoulée en dehors et renversée sur elle-même, constituait la tumeur lobuleuse à la base de laquelle s'écoulait les ma
recevoir les intestins : c'était ce sac herniaire qui constituait la tumeur que j'ai dit servir de support aux deux bouts d'i
en se renouvelant, renouvelle aussi les accidens, La présence d'une tumeur dans telle ou telle région de l'abdomen coïncidan
à l'ombilic, immédiatement au-dessous de la cicatrice ombilicale, une tumeur fluctuante du volume d'une grosse noix, paraissan
iciper à la phlegmasie des parties subjacentes. Derrière l'ombilic, tumeur dure, qui s'étendait à droite jusque dans l'hypoc
fixa mon attention : c'est qu'en exerçant une pression légère sur la tumeur , j'éprouvai la sensation de crépitation fine et s
juillet : le 12, l'état adynamique était porté au plus haut degré, la tumeur fluctuante ombilicale avait acquis le volume du p
moment, sans augmentation ni diminution. Ouverture du cadavre. — La tumeur fluctuante de l'ombilic était constituée par une
aire qui avait servi de conducteur au pus. Ainsi, relativement à la tumeur ombilicale, nous devons la considérer comme tout-
isseaux jusque dans des espaces celluleux plus considérables. 3° La tumeur ombilicale n'était donc qu'un épiphénomène dans l
ais un examen attentif me démontra que la femme en question avait une tumeur enkystée de l'ovaire, et que ce prétendu choc de
x. M. Andral rapporte, dans son Anatomie pathologique, un seul cas de tumeur adipeuse du volume d'une fève occupant la partie
sée par mon vénérable collègue, feuBoyer : il venait d'extirper cette tumeur , qui formait un bourrelet fort incommode à l'orif
remplies de phlébolithes, dont quelques-unes très volumineuses. La tumeur anale représentée fig. i et i ' n'est donc rien a
es bains. Les incommodités auxquelles donne lieu la présence de ces tumeurs sont telles que la plupart des personnes qui en s
égénération imminente ou consommée de Tune ou de quelques-unes de ces tumeurs : on connaît les conséquences de la section d hém
inutieusement les petites plaies qui résulteront de l'excision de ces tumeurs . Faute d'avoir pris cette précaution, on a vu des
présente pas l'aspect aréolaire d'une manière aussi évidente que les tumeurs cancéreuses ordinaires : cela tient à ce que le s
le rectum sentait derrière la prostate, au bas-fond de la vessie, une tumeur très dure qui pouvait être un calcul vésical, mai
ations cancéreuses, molles, source bien évidente de l'hématurie : une tumeur encéphaloïde très considérable remplissait l'exca
était sain, et à travers la paroi postérieure du vagin, je sentis une tumeur qui semblait naître de la face postérieure de l'u
du rectum. 20 L'exploration par le rectum m'apprit qu'une volumineuse tumeur remplissait l'excavation du bassin, et que cette
e volumineuse tumeur remplissait l'excavation du bassin, et que cette tumeur très dure ne pouvait pas être déplacée. Le doigt,
mentait beaucoup de volume, et je pus circonscrire à l'hypogastre une tumeur molle que je crus être la vessie; mais comme je n
ouvait les plus grandes difficultés à dégager l'autre, attendu que la tumeur remplissait l'excavation du bassin et ne laissait
adie, et plusieurs des membres de la famille étaient persuadés que la tumeur dont nous avons parlé n'était autre chose qu'une
e XXXIUP LIVRAISON. * externe bosselée. La tranche ou coupe de la tumeur présentait des cellules ou aréoles remplies par u
res longitudinales très saine, avait été repoussée à la surface de la tumeur . Autour du rectum, d'ailleurs intact, il exista
t constipation, tantôt diarrhée. On avait senti au-dessous du foie la tumeur formée par le colon ascendant dégénéré, sans avoi
t dégénéré, sans avoir pu préciser ni le siège, ni la nature de cette tumeur . MALADIES DU RECTUM %,ltur^'ori Pl.. 1re
onditions. Je ne crois pas avoir rencontré de tubercules cancéreux ou tumeurs cancéreuses de la rate, même dans le cas où l'inf
d'un travail inflammatoire ou éliminatoire qui s'était établi dans la tumeur . Dans le cas représenté 3e livraison, pl. v, il y
de facilité. La différence la plus remarquable qui existait entre ces tumeurs encéphaloïdes, est relative à leur vascularité: a
consiste bien plus ordinairement dans la multiplication indéfinie des tumeurs et tubercules cancéreux, dans le foie lui-même, q
cules cancéreux, dans le foie lui-même, que dans la production de ces tumeurs et tubercules au sein d'autres organes. Si l'on e
foie cancéreux,on reconnaîtra de la manière la plus manifeste que ces tumeurs ne sont pas contemporaines; il en est qui portent
ées, et il y a erreur évidente dans la doctrine qui établit que toute tumeur cancéreuse passe nécessairement par deux périodes
riode de ramollissement. Sans doute, dans un grand nombre de cas, les tumeurs cancéreuses originairement dures, peuvent en se p
, pour le plus grand nombre, la différence dans la consistance de ces tumeurs , établit, non une différence de périodes, mais un
ment de sou apparition jusqu'à sa terminaison. IV. Le volume de ces tumeurs ou masses carcinomateuses, la rapidité ou la lent
ppement constituent des différences non moins importantes. Il est des tumeurs cancéreuses qui restent toujours à l'état, de tub
surtout dans le cas si fréquent d'épanchemens sanguins au sein de ces tumeurs que leur développement est prodigieux ; c'est alo
rvu d'embonpoint, s'il n'existe pas d'ascite, si quelques-unes de ces tumeurs sont superficielles,si des adhérences se sont éta
ielles,si des adhérences se sont établies entre telle ou telle de ces tumeurs et les parois abdominales, on peut suivre de l'œi
s péritonites par perforation intestinale, s'il y avait rupture d'une tumeur carcinomateu.se superficielle. Je n'en connais pa
ute autre maladie, un foie à la surface convexe duquel proéminait une tumeur hémisphérique, j'incisai cette tumeur, et je trou
e convexe duquel proéminait une tumeur hémisphérique, j'incisai cette tumeur , et je trouvai qu'elle était formée par XXXVlf
llement fibreux; et cependant la pression exercée sur la coupe de ces tumeurs en faisait suinter une grande quantité de suc can
t suinter une grande quantité de suc cancéreux : quelques-unes de ces tumeurs ramollies présentaient l'aspect de l'encéphaloïdc
de la pression la plus légère. La charpente fibreuse de ces dernières tumeurs était beaucoup moins résistante que celle des tum
e ces dernières tumeurs était beaucoup moins résistante que celle des tumeurs dures. L'examen attentif de ces masses et tuber
aques cancéreuses superficielles occupant les deux poumons.'—Quelques tumeurs carcinomateuses dans le foie^ M..., demoiselle,
nonçai que la cause de cet épanchement était dans le développement de tumeurs ou plaques cancéreuses formées, soit aux dépens d
foie. Cancer mammaire terminé par gangrène. —Mort par épuisement.— Tumeurs cancéreuses très multipliées dans les poumons. —
ort. Ouverture du cadavre. — Au côte externe de la glande mammaire, tumeur fluctuante que j'avais cru devoir respecter penda
la coupe par l'effet de la plus légère pression. J'ai vu rarement des tumeurs pénétrées d'une plus grande quantité de suc cancé
eurs pénétrées d'une plus grande quantité de suc cancéreux. Plusieurs tumeurs étaient à l'état naissant, et j'ai constaté de la
que nous avons vu être la conséquence si fréquente de la présence de tumeurs cancéreuses dans le poumon sont, en général, les
on, ne s'était jamais complètement effectuée. Ouverture du cadavre.— Tumeur mammaire adhérente aux muscles intercostaux envah
lement porté sur le foie, dont la surface présentait une multitude de tumeurs légèrement proéminentes, creusées en godets, les
coupe du foie a montré que cet organe était farci d'une multitude de tumeurs , dont les unes, superficielles, soulevaient les m
aux parois veineuses. Le volume, la couleur, la consistance de ces tumeurs hépatiques présentaient de nombreuses variétés. L
formées par un, deux, trois grains glanduleux dégénérés. Les grosses tumeurs étaient traversées par des vaisseaux et par des c
in; ces dernières étaient de consistance pulpeuse, et souvent la même tumeur présentait à-la-fois les deux colorations. Sous
les deux colorations. Sous le rapport de la consistance, plusieurs tumeurs étaient converties en bouillie blanche ou rougeât
t exactement celle d'un abcès. Une ponction pratiquée dans une de ces tumeurs donne issue à un liquide bien lié, ayant la consi
ui ont lieu, la vésicule étant isolée de ces voies : je pense que les tumeurs biliaires sont bien plus souvent des cystites bil
L. Petit à cette dernière maladie appartiennent bien plus souvent aux tumeurs de la vésicule. L'inflammation de la vésicule est
s sans avantage marqué, mais sans syncope. Du Ier au 7 décembre, la tumeur hépatique augmente de volume, au point qu'elle dé
l'ombilic et qu'elle empiète un peu sur l'hypochondre gauche : cette tumeur se reconnaît et se circonscrit en quelque sorte à
vin clair apparaît et suinte toute la journée sous le cataplasme. La tumeur hépatique a sensiblement diminué de volume, elle
i proéminait à l'épigastre et dans le flanc droit sous la forme d'une tumeur sphéroïdale, ne pouvaient laisser aucun doute à c
ais quelle en est la cause? Sont-ce des calculs biliaires? est-ce une tumeur carcinomateuse ou autre, qui comprime les voies b
eu de succès. Dans les derniers temps, une région de la volumineuse tumeur formée par le foie offrant une certaine saillie,
formée par le foie offrant une certaine saillie, on put croire à une tumeur enkystée du foie; cette idée était la seule qui o
e que possible. Il avait été appelé au mois de mai par M. G. pour une tumeur du volume d'un gros pois, qu'il portait au bras d
ait au bras droit, au niveau de l'attache numérale du deltoïde. Cette tumeur , qui paraissait n'exister que depuis un an, était
, sa surface inégale comme une mûre; le malade l'avait prise pour une tumeur érectile : c'était une tumeur mélanique. Depuis c
mûre; le malade l'avait prise pour une tumeur érectile : c'était une tumeur mélanique. Depuis cette époque, plusieurs points
peau de l'abdomen. Or, comme, d'une part, il est sans exemple qu'une tumeur mélanique se soit manifestée dans un point sans q
potasse caustique furent apposés sur le point le plus saillant de la tumeur hépatique ; le lendemain, la ponction fut pratiqu
ent grises. La coupe du foie nous offrit une quantité considérable de tumeurs mélaniques TM, TM, de diverses dimensions, depuis
depuis celle d'un grain de mil jusqu'à celle d'une grosse truffe. Les tumeurs mélaniques s'énucléaient avec la plus grande faci
tenaient le tissu ramolli et comme diffluent interposé aux nombreuses tumeurs mélaniques TM, TM, qui constituent les deux tiers
e lobe gauche LG et sur le lobe droit LD, montrent la disposition des tumeurs par rapport au tissu du foie. On voit qu'elles oc
arron foncé, à la manière du pigment choroïdien. Quelques-unes de ces tumeurs sont grises, d'autres d'un gris mêlé de noir ; pl
les de tissu fibreux qui en formaient la charpente. Comprimées, les tumeurs mélaniques donnaient un suc noir plus ou moins ab
es veines hépatiques étaient saines, même celles qui traversaient les tumeurs . Les poumons présentaient à leur surface des tu
aversaient les tumeurs. Les poumons présentaient à leur surface des tumeurs de même nature, mais moins volumineuses et moins
'élancemens douloureux, et je vis qu'au fond de l'œil il y avait deux tumeurs mélaniques striées de blanc et de noir. L'une de
ait deux tumeurs mélaniques striées de blanc et de noir. L'une de ces tumeurs occupait le point précis où le nerf optique se co
se continue avec la rétine; l'autre était située au côté externe. Ces tumeurs , du volume d'un gros pois, m'ont paru développées
gauche du corps thyroïde. — Sur une femme âgée delà Salpêtrière , la tumeur avait le volume de la tête d'un enfant : elle ne
t l'artère carotide; la trachée était aplatie d'un côté à l'autre. La tumeur était constituée par un kyste contenant une matiè
se, pultacée, couleur chocolat, mêlée d'une matière blanchâtre. Cette tumeur existait depuis un temps indéterminé. Goitre la
ière gélatiniforme. La couche fibreuse qui constituait l'écorce de la tumeur était extrêmement épaisse et formée de lamelles s
portait un goitre latéral droit très considérable, j'ai trouvé que la tumeur était formée par un kyste à parois fibreuses, par
ns le cas suivant, je crus non à un goitre latéral, mais à une de ces tumeurs adipeuses et fibreuses, si fréquentes à la partie
le 17 mai. Cette femme portait à la partie latérale droite du col une tumeur étendue depuis l'extrémité inférieure de la gland
rotide jusqu'au niveau du bord supérieur du cartilage cricoide. Cette tumeur était ovoïde, du volume d'un œuf de poule, dont l
mité aurait regardé en bas: elle était dense, de la consistance d'une tumeur adipeuse, sans fluctuation, sans bosselures, peu
la peau, et paraissait indépendante du corps thyroïde. Je crus à une tumeur adipeuse ou fibreuse. La malade ayant succombé,
adipeuse ou fibreuse. La malade ayant succombé, la dissection de la tumeur nous montra , i° que la tumeur était recouverte p
de ayant succombé, la dissection de la tumeur nous montra , i° que la tumeur était recouverte par la peau , par le bord antéri
les aponévroses cervicales, qui le bridaient fortement; 20 que cette tumeur se continuait par un pédicule avec le corps thyro
lui-môme une transformation de tissu fort remarquable ; 3° que cette tumeur était constituée par un kyste à parois épaisses e
lobe droit et le lobe moyen étaient atrophiés. Toute la surface de la tumeur était parcourue par de petite vaisseaux veineux.
imitive répondait en arrière et en dedans. L'incision verticale de la tumeur a montré qu'elle était constituée en grande parti
, passée à l'état de désorganisation. La partie superficielle de la tumeur , qui présentait çà et là quelques lobules distinc
e la suppuration avait en partie détachée du kyste. Au centre de la tumeur , j'ai pu suivre un gros vaisseau de trois pouces
du suc encéphaloïde. La trachée était très dilatée au dessous de la tumeur , rétrécie au niveau de la tumeur. Une petite esch
était très dilatée au dessous de la tumeur, rétrécie au niveau de la tumeur . Une petite eschare blanche avec ramollissement i
ait qu'un travail d'élimination s'organisait dans ce point, et que la tumeur n'aurait pas tardé à s'ouvrir dans la trachée.
et que la tumeur n'aurait pas tardé à s'ouvrir dans la trachée. La tumeur ayant été détachée avec le pharynx, l'œsophage et
ar le bord postérieur du cartilage thyroïde, poussé en arrière par la tumeur ^ et appuyant fortement contre cette paroi postéri
ges; et voici les particularités que m'a offertes la dissection de la tumeur . Pour tout commémoratif, on avait recueilli que,
homme avait été écrasé contre une borne par un timon de voiture. La tumeur qui occupait l'espace compris entre la troisième
g. 1. Les muscles grand et petit pectoraux manquaient au niveau de la tumeur . La partie du poumon déplacé n'avait subi aucun
entre dans le thorax pendant l'inspiration, d'où l'affaissement de la tumeur , et en soit expulsé pendant l'expiration, et surt
et surtout pendant les efforts, de manière à soulever la peau en une tumeur plus ou moins considérable; mais le sentiment d'o
entre le cartilage xypboïde et le rebord cartilagineux des côtes, une tumeur grosse comme un œuf de poule, et lorsque le malad
permirent pas de méconnaître la présence du pus. La présence d'une tumeur molle dans un espace intercostal, sa disparition
a pneumocèle. Dans un cas fort remarquable observé par M. Mercier, la tumeur non réduite occasionait un sentiment de tiraillem
marqua sur la partie latérale gauche et inférieure de la poitrine une tumeur arrondie du volume d'une petite noix, sans change
e couleur à la peau, résistante et fort douloureuse au toucher. Cette tumeur sort par l'espace qui sépare la huitième côte de
ion, seulement, l'expiration forcée produit de vives douleurs dans la tumeur , laquelle, dans ce cas, est probablement comprimé
en repoussant les viscères abdominaux vers la colonne vertébrale, la tumeur diminue un peu de volume; une fois même, on est p
ba, m'offrit, au niveau de la partie inférieure gauche du thorax, une tumeur très volumineuse qui appela toute mon attention.
ax, une tumeur très volumineuse qui appela toute mon attention. Cette tumeur avait le volume du poing; elle était bosselée, à
it entendre parfois un gargouillement dans la partie antérieure de la tumeur qui était du reste indolente, susceptible d'augme
d'augmentation et de diminution, mais non de réduction complète. La tumeur était divisée en deux parties bien distinctes, l'
tes, l'une sous-cutanée, l'autre sous-musculaire. La dissection de la tumeur m'a montré que, dans sa partie la plus profonde,
u niveau de la portion sous-cutanée. Les bosselures que présentait la tumeur étant déterminées par quelques bandes aponévrotiq
it la tumeur étant déterminées par quelques bandes aponévrotiques, la tumeur était appliquée sans adhérence contre la face ext
huitième de la neuvième côte. Séparée des parties environnantes, la tumeur présentait à l'extérieur tous les caractères des
deux ans, coup violent sur la mamelle droite. Deux mois après, petite tumeur qui apparaît au-dessus du mamelon droit. Accroiss
un médecin qu'elle avait consulté. Dix mois après l'apparition de la tumeur , extirpation par M. Guerbois; guérison apparente
; guérison apparente pendant quelques mois; apparition d'une nouvelle tumeur au bas de la cicatrice. Elle se développe très ra
ent sains à l'exception de la masse encéphalique qui présentait trois tumeurs de nature probablement cancéreuse: une première q
i occupait la circonférence du lobe gauche du cervelet. La première tumeur adhérait intimement à la dure-mère et plongeait e
autour d'elle réduit à une pulpe jaunâtre, si bien qu'en enlevant la tumeur , on enlevait en même temps une couche de tissu cé
Des vaisseaux veineux très développés, rampaient sur la surface de la tumeur et lui adhéraient intimement. Le tissu de la du
issu de la dure-mère était parfaitement sain. La face cérébrale de la tumeur était déprimée en godet à la manière des masses m
imée en godet à la manière des masses marronnées du foie. La deuxième tumeur également adhérente à la dure-mère était égalemen
t également entourée de substance cérébrale en bouillie. La troisième tumeur ou tumeur cérébelleuse était découpée comme les l
t entourée de substance cérébrale en bouillie. La troisième tumeur ou tumeur cérébelleuse était découpée comme les lamelles du
melles du cervelet et évidemment formée aux dépens de cet organe. Ces tumeurs étaient toutes granuleuses à leur surface. Examin
es vaisseaux présente des globules appréciables à l'œil nu. Ces trois tumeurs m'ont paru formées aux dépens de la substance cér
flexions. Il est rare que la cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau. Le foie a été respec
et le cerveau a été envahi. On voit d'ailleurs assez fréquemment des tumeurs cérébrales sans phénomènes appréciables. La fig
? Livraison Pl.f. A Chazal del. Imp .dedcrrurcicT, BcnardetC* Tumeurs erecliles occupant la main et Vavant-bras. (Pla
antérieure du coude, de l'avant-bras et de la main. On voit que les tumeurs sanguines occupent le voisinage du coude, la part
ellement le bord cubital. L'altération se présente sous l'aspect de tumeurs sphéroïdales, TV, TV, bosselées, bleuâtres, de vo
lques-unes seulement, la peau participait à l'altération, et alors la tumeur était bosselée à la manière du fruit du mûrier, d
du mûrier, dont elle représentait la couleur. L'incision d'une des tumeurs TVO situées au voisinage du coude permet de recon
inage du coude permet de reconnaître la structure caverneuse de cette tumeur au centre de laquelle se trouvent disséminées plu
la face dorsale de la main du même sujet. Sur cette face dorsale, les tumeurs sont, en général, plus petites et plus régulièrem
a face palmaire de la même main disséquée, établit i° le siège de ces tumeurs , qui occupaient non-seulement le tissu cellulaire
le périoste contre lequel elles sont appliquées ; 2° la nature de ces tumeurs , sur laquelle il importe de fixer toute notre att
etite synoviale, à l'exception des points où la peau est envahie, ces tumeurs se présentent sous l'aspect de petites agglomérat
t aussi la première fois que je lui vois affecter la forme de petites tumeurs sphéroïdales bien circonscrites. Enfin, je n'av
e. Le membre supérieur de ce côté est rigide, demi fléchi, parsemé de tumeurs variqueuses sous-cutanées et cutanées, étendues d
cun renseignement ni sur l'invasion de l'hémiplégie, ni sur celle des tumeurs variqueuses, ni sur le rapport de date qui exista
ses, ni sur le rapport de date qui existait entre l'hémiplégie et les tumeurs variqueuses ; l'hémiplégie avait-elle ou non préc
supérieur (voyez planche v, xxxe livraison) présente une multitude de tumeurs variqueuses sous la forme de petites masses bleuâ
ne les ai pas vues en érection. La clavicule était la limite de ces tumeurs : il y en avait plusieurs petites au-dessous de ce
dial de l'avant-bras et la face dorsale de l'index et du pouce. Ces tumeurs variqueuses étaient les unes cutanées, je veux di
e pouvait être soupçonnée plutôt que positivement déterminée dans les tumeurs profondément situées. La peau ayant été incisée
, voici les particularités que présente l'examen du membre : i° Les tumeurs couleur bleu foncé étaient développées aux dépens
n quelque sorte disparu pour faire place au tissu spongieux. 20 Les tumeurs sous-cutanées développées dans l'épaisseur du tis
a peau et de l'aponévrose d'enveloppe subjacente. 3° Il y avait des tumeurs variqueuses développées dans l'épaisseur des musc
et en a dissocié les filamens, d'ailleurs restés inaltérables. Les tumeurs cutanées étaient tantôt de petites dilatations va
paraissaient sous la forme de taches bleuâtres : ce n'étaient pas des tumeurs ; c'étaient de simples varices tantôt isolées, tan
vec les veinules de la peau; XXXe LIVRAISON. 1 d'autres fois, des tumeurs bien circonscrites formées par un groupe de dilat
s l'épaisseur de la peau dont elles étaient une dépendance, (i) Les tumeurs sous-cutanées se divisaient en celles qui se diri
demi-transparence permettait d'apprécier le caractère variqueux de la tumeur . Plusieurs adhéraient intimement à la peau : plus
s simples : l'une de ces varices contenait une phlébolithe PHL. Ces tumeurs se sont d'ailleurs présentées sous deux aspects:
résentaient ces deux aspects à-la-fbis: l'étude des divers groupes de tumeurs TEC, TEC, T'E'C, figurés sur la planche 5, montre
toutes ces variétés. Le grand pectoral, le deltoïde présentent des tumeurs variqueuses dans leur épaisseur. Plusieurs tume
e présentent des tumeurs variqueuses dans leur épaisseur. Plusieurs tumeurs variqueuses sont appliquées contre l'aponévrose a
entait à son attache inférieure et dans l'épaisseur de son tendon une tumeur sanguine variqueuse. Autour de l'articulation d
Le long de la partie inférieure du nerf cubital on voit une série de tumeurs variqueuses. A l'avant-bras, tous les muscles d
peut débuter par l'un ou par l'autre ordre de vaisseaux. Enfin, les tumeurs variqueuses développées dans le tissu cellulaire
aisceaux variqueux du même muscle se confondent; plus tard encore les tumeurs érectiles des différens muscles forment un tissu
er cette participation des os à l'état variqueux de l'érosion que les tumeurs sanguines déterminent sur les os qu'elles avoisin
a texture. La présence des phlébolithes dans le tissu aréolaire des tumeurs variqueuses (phlébolithes qui étaient bien plus m
n'y a pas d'artères dans les capillaires, c'est qu'il n'existe pas de tumeurs variqueuses artérielles en opposition avec les tu
'existe pas de tumeurs variqueuses artérielles en opposition avec les tumeurs variqueuses veineuses. Toutes les tumeurs varique
lles en opposition avec les tumeurs variqueuses veineuses. Toutes les tumeurs variqueuses sont veineuses : elles communiquent s
ent avec le système veineux. Si, en effet, on injecte directement une tumeur variqueuse à l'aide d'un tube plongé dans son épa
d'une paralysie. Dans le cas représenté xxmc livraison, toutes les tumeurs variqueuses contenaient des phlébolithes ; la tra
onstituent l'aorte ascendante doivent être notés. Les bosselures ou tumeurs de l'aorte numérotées i,i',i", sembleraient const
tumeurs de l'aorte numérotées i,i',i", sembleraient constituer trois tumeurs distinctes, mais nous verrons bientôt qu'elles ap
istinctes, mais nous verrons bientôt qu'elles appartiennent à la même tumeur anévrysmale dont elles forment trois renflemens.
bosselure sur laquelle est inscrite le n° 2, appartient à une seconde tumeur anévrysmale, le chiffre 3 appartient à une 3e tum
nt à une seconde tumeur anévrysmale, le chiffre 3 appartient à une 3e tumeur anévrysmale située à l'origine de l'artère rénale
'artère a été faite de manière à diviser dans toute leur longueur les tumeurs ou bosselures marquées 1,1'et 1" sur les planches
ître par la surface interne de l'artère, les points correspondans aux tumeurs ou bosselures observées sur la surface externe ;
ng en circulation , qui auront fini par se faire jour au centre de la tumeur . La fig. 4 représente la face antérieure du bul
ure du bulbe rachidien, qui était notablement déprimé au niveau de la tumeur : les pyramides antérieures, sur lesquelles avait
r au vaisseau et les parties ambiantes. A cette doctrine, que toute tumeur anévrysmale est exclusivement formée par la tuniq
ou acérées, je crois qu'on doit substituer celle-ci, en général toute tumeur anévrysmale est primitivement formée par les troi
e des poches secondaires. Il n'y a d'exception peut-être que pour les tumeurs anévrysmales formées du dehors au dedans. Le pr
qui en communiquèrent les résultats à la Société anatomique. [i) La tumeur avait perforé le sternum à gauche entre les extré
s quatrième et cinquième cartilages costaux. Elle présentait donc une tumeur superficielle, qui soulevait le grand pectoral ga
tumeur superficielle, qui soulevait le grand pectoral gauche, et une tumeur profonde située dans le médiastin et dont la prem
ée dans le médiastin et dont la première n'était qu'une appendice. La tumeur superficielle ou plutôt la partie superficielle d
des parois du sac, on retrouve ces trois couches distinctes. Cette tumeur communiquant avec l'aorte par une espèce de colle
r, secrétaire. Année i834, Tage 133. « Faut-il donc envisager cette tumeur anévrysmale comme le résultat de la dilatation «
e méditai toutes mes notes sur ce sujet avec l'idée préconçue que les tumeurs anévrysmales, que j'avais crues jusqu'alors formé
niques interne et moyenne, pourraient bien n'être autre chose que des tumeurs avec dilatation, et je ne tardai pas à arriver à
ormés dudehors au dedans, ainsi que les appelle Corvisart, toutes les tumeurs anévrysmales à collet ou sans collet étaient form
ci d'ailleurs les détails de la dissection d'un certain nombre de ces tumeurs anévrysmales. Les anévrysmes de l'aorte, comme
ysme de l'aorte , qui me paraît résumer la plupart des caractères des tumeurs anévrysmales. Cet anévrysme proéminait à l'extéri
tait profondément excavée; le bord gauche du sternum, qui limitait la tumeur , était usé en biseau, et il ne restait de lui que
d'un cas analogue, que j'ai observé il y a plusieurs années, (i) La tumeur proéminait à droite du sternum, dont elle avait s
érielles. De la partie antérieure de cette coque osseuse naissait une tumeur à parois minces et fibreuses, tapissées par la fi
xpliquer les phénomènes observés; mais ne comprenant pas qu'une seule tumeur anévrysmale pût occuper une aussi grande étendue,
t occuper une aussi grande étendue, je soupçonnai l'existence de deux tumeurs anévrysmales, l'une pour le côté droit, l'autre p
vrysmales, l'une pour le côté droit, l'autre pour le côté gauche : la tumeur pulsatile gauche devait appartenir à Un anévrysme
le gauche devait appartenir à Un anévrysme de l'aorte descendante, la tumeur pulsatile droite devait appartenir à un anévrysme
sse de ses battemens: je maintins donc mon diagnostic,savoir, que les tumeurs pulsatiles étaient essentiellement constituées pa
r des soins que je lui avais donnés. Ouverture du corps. Une énorme tumeur (planches 11 et 111, xlg livraison) remplissait p
r; car il était aplati d'avant en arrière, refoulé qu'il était par la tumeur , qui présentait à son niveau1 une dépression ou e
, présentant, çà et là, quelques points indurés, s'était moulé sur la tumeur et lui adhérait intimement.Les poumons, dans tout
, et les bronches remplies par des concrétions tubuleuses. L'énorme tumeur (planches 11 et m) était, comme il avait été diag
tumeur (planches 11 et m) était, comme il avait été diagnostiqué,une tumeur anévrysmale,mais elle était unique, bilobée, à de
cupait la cavité droite. Ces deux piliers avaient été soulevés par la tumeur , s'étaient en quelque sorte éparpillés sur elle,
ransformés en tissu fibreux. La figure 1, planche 11, représente la tumeur en place, dans ses connexions avec l'aorte, avec
brale et les côtes. La base du poumon droit P adhérait fortement à la tumeur qui était déjà perforée au point P, en sorte que,
, dans ce point, le poumon faisait partie intégrante des parois de la tumeur , qui n'aurait probablement pas tardé à s'ouvrir d
dé à s'ouvrir dans le tissu pulmonaire ou dans une bronche. Sur cette tumeur , on voit la grande veine azygos GVA et les veines
iques GNS P, PNSP du côté droit, qui ont été refoulés au-devant de la tumeur , étaient rubanés, très minces, complètement atrop
névrilème ; le canal thoracique CT, également refoulé au-devant de la tumeur , est intact. lies figures i des planches n et i
ébrale usée sur toute la surface qui correspondait au pédicule de "la tumeur . Cette usure superficielle à droite, est très pro
sion , à la même destruction. La figure i, planche m, représente la tumeur ouverte de chaque côté de la colonne vertébrale p
faisait, pendant la Vie, une circulation active au milieu même de la tumeur , et qu'à chaque systole ventriculaire ce sang dev
ventriculaire ce sang devait éprouver une impulsion qui donnait à la tumeur le mouvement d'expansion brusque et vif qui nous
s de ces organes. 3° llelativement au diagnostic, la présence d'une tumeur pulsatile sur quelqu'un des points de la circonfé
nts de la circonférence du thorax, ne peut guère s'appliquer qu'à une tumeur anévrysmale. L'aphonie de cette tumeur s'explique
eut guère s'appliquer qu'à une tumeur anévrysmale. L'aphonie de cette tumeur s'explique par la présence des caillots qui amort
t de ces réflexions, était aussi facile qu'il l'est dans le cas où la tumeur apparaît au dehors, soit à travers le sternum, so
il occupe toute la circonférence de l'artère ; dans d'autres cas, la tumeur n'appuie que sur un point très circonscrit de la
légie a été le premier phénomène de l'anévrysme; et la présence d'une tumeur pulsatile en arrière sur les côtés de la colonne
s à la partie supérieure et latérale gauche de la région dorsale, une tumeur fluctuante, pulsatile, qui soulevait fortement la
ment quejecherchai à déterminer s'il y avait simple soulèvement de la tumeur ou bien mouvement d'expansion : la distinction ét
tre que l'impulsion pulsatile existait, non-seulement au niveau de la tumeur , mais encore au voisinage. A ces signes, je recon
de la tumeur, mais encore au voisinage. A ces signes, je reconnus une tumeur anévrysmale, et, dans cette tumeur, la cause de l
age. A ces signes, je reconnus une tumeur anévrysmale, et, dans cette tumeur , la cause de la paraplégie. Il était évident que
ocales , et par les vésicatoires. Vers le milieu du mois d'août, la tumeur anévrysmale durcit, et, bien loin de s'accroître,
première, à l'irritation exercée sur la plèvre, par la présence de la tumeur anévrysmale; guérison rapide. Le 28 janvier 18^
e premières vertèbres dorsales, et sur les côtes correspondantes ; la tumeur pulsatile observée à la région dorsale n'en était
qu'elle présentait des débris du tissu artériel, jusqu'au point où la tumeur était remplacée par les côtes et par la colonne v
able, dans la pleurésie. tère carotide primitive. L'adhérence de la tumeur avec le côté externe et postérieur de la carotide
essation des battemens des artères temporale et faciale du côté de la tumeur , ont commis une grave erreur, au moins quant à l'
éritable caractère de l'anévrysme de la carotide primitive, c'est une tumeur pulsatile circonscrite, placée sur le trajet de l
le circonscrite, placée sur le trajet de l'artère carotide primitive, tumeur pulsatile que l'on reconnaît par l'application de
ile que l'on reconnaît par l'application de la tête appuyée contre la tumeur , non moins que par le tact; tumeur pulsatile par
ation de la tête appuyée contre la tumeur, non moins que par le tact; tumeur pulsatile par ampîiation ou expansion, avec ou sa
uelles se trouve le vaisseau. Quant à la difficulté de distinguer une tumeur pulsatile par soulèvement d'une tumeur pulsatile
a difficulté de distinguer une tumeur pulsatile par soulèvement d'une tumeur pulsatile par ampîiation, elle me paraît levée pa
tention, est venu ajouter de nouvelles incertitudes au diagnostic des tumeurs cervicales pulsatiles, au moins quant à la questi
reschet (1). Cet homme portait à la région latérale gauche du cou une tumeur ovoïde du volume d'un œuf d'autruche, obliquement
dien qu'elle soulevait, et qui recouvrait sa base. En dedans de cette tumeur , on en voyait une autre beaucoup plus petite, sph
mmédiatement au dessus de la fourchette du sternum , dépendance de la tumeur principale à laquelle elle adhérait par une espèc
le elle adhérait par une espèce de collet. La main , appliquée sur la tumeur , est fortement soulevée par un mouvement qui para
ôt qu'un mouvement d'ampliation. La tête, appliquée contre cette même tumeur , et dans tous les points par lesquels cette tumeu
contre cette même tumeur, et dans tous les points par lesquels cette tumeur était accessible, est très fortement soulevée par
impulsion qui paraît être une percussion. L'oreille constate dans la tumeur un double battement isochrone au double battement
ttement de cœur. A ces signes, il était impossible de méconnaître une tumeur anévrysmale, et ce diagnostic une fois posé, il m
évrysmale, et ce diagnostic une fois posé, il me parut évident que la tumeur était formée aux dépens de l'artère carotide prim
it séparée par un sillon profond. Il n'était pas moins évident que la tumeur ne tarderait pas à s'ouvrir à l'extérieur; car la
s'ouvrir à l'extérieur; car la peau qui recouvrait le sommet de cette tumeur était amincie, violacée, adhérente, et, en effet,
rouve le malade expirant. Ouverture du cadavre. La dissection de la tumeur cervicale , faite par M. Breschet, montre que cet
tion de la tumeur cervicale , faite par M. Breschet, montre que cette tumeur n'était pas limitée en bas parla clavicule, comme
e la carotide primitive, parfaitement saine, était située derrière la tumeur , ainsi que la veine jugulaire interne; que l'artè
upçonner d'être le siège de l'anévrysme était également saine; que la tumeur naissait de la crosse de l'aorte, au niveau et en
danger, se laisser aller à tenter la ligature, sinon au dessous de la tumeur , entre la tumeur et le cœur, au moins au dessus d
r aller à tenter la ligature, sinon au dessous de la tumeur, entre la tumeur et le cœur, au moins au dessus de la tumeur, entr
us de la tumeur, entre la tumeur et le cœur, au moins au dessus de la tumeur , entre le cœur et les extrémités. On conçoit que
onçoit que la ligature de l'artère carotide primitive au-dessus de la tumeur aurait été une opération au moins inutile, et on
le, et on frémit à l'idée des dangers d'une opération tentée entre la tumeur et le cœur, immédiatement au-dessus de la clavicu
ve ne fit découvrir dans les parties situées autour de l'aorte aucune tumeur à laquelle on pût attribuer ce rétrécissement. Le
ail morbide qui la suit, l'artère, dis-je, se dilate dans ce point en tumeur conoïde ou hémisphérique; le sang se coagule dans
caillots peuvent servir de digue et s'opposer à l'accroissement de la tumeur . J'ai vu des cas dans lesquels le cœur n'était pa
tes masses d'une très grande densité qu'on aurait pu prendre pour des tumeurs fibreuses déposées au sein des fibres charnues, s
u nom de M. Michon. Au sommet du ventricule gauche était appendue une tumeur sphéroïdale du volume d'une noix. Cette tumeur ét
che était appendue une tumeur sphéroïdale du volume d'une noix. Cette tumeur était supportée par un pédicule étroit d'un pouce
icule étroit d'un pouce de long, lequel pédicule était canaliculé. La tumeur contenait des concrétions sanguines décolorées et
es et très denses en même temps que du sang liquide. Les parois de la tumeur étaient formées par un tissu fibreux faisant suit
x dépens du tissu de l'oreillette. On conçoit que la rupture de cette tumeur aurait pu déterminer une mort ou subite ou lente,
es adhérences détruites et le cœur ayant été soulevé, il apparaît une tumeur arrondie du volume d'une noix, résistante, qui na
ur avec les deux tiers inférieurs de ce bord. C'était au niveau de la tumeur et tout autour qu'avaient lieu les adhérences.
gauche, qui était hypertrophié, ayant été ouvert, j'ai trouvé que la tumeur qui naissait immédiatement derrière le bord gauch
s difficilement dans l'orifice et en écartant avec effort les petites tumeurs verruqueuses formées par les concrétions. La fi
a cavité des veines, qu'elle remplissait plus ou moins exactement, de tumeurs cancéreuses naissant par un pédicule ou par plusi
nnu et bien digne de fixer toute l'attention des pathologistes. Les tumeurs cancéreuses des veines se divisent en deux espèce
s : les unes (et ce sont les plus fréquentes) sont un prolongement de tumeurs cancéreuses extérieures au vaisseau dont elles on
ons analogues qui pourraient avoir lieu extérieurement. Les premières tumeurs sont assez fréquentes : ainsi dans les cancers du
re saillie dans sa cavité. Parmi les faits que je pourrais citer de tumeurs cancéreuses pédiculées des veines, je rapporterai
ulcération considérable de l'extrémité pylorique de cet organe. — Une tumeur cancéreuse aréolaire, mobile, tenait à l'épiploon
mince. —La veine cave supérieure était complètement oblitérée par une tumeur carcinomateuse qui naissait de sa surface interne
se qui naissait de sa surface interne et remplissait sa cavité. Cette tumeur se continuait avec une tumeur de même nature qui
interne et remplissait sa cavité. Cette tumeur se continuait avec une tumeur de même nature qui existait en dehors de la veine
d nombre de filamens juxtà-posés. Indépendamment de ces racines, la tumeur de la veine axillaire présentait avec les parois
'une partie dégénérée de ce vaisseau, et il fut facile de voir que la tumeur carcinomateuse développée dans l'intérieur de la
à travers les parois duquel elle s'était propagée dans sa cavité. La tumeur était d'ailleurs lobulée comme toutes les tumeurs
e dans sa cavité. La tumeur était d'ailleurs lobulée comme toutes les tumeurs de même nature. J'ai pu apprécier la manière dont
e. J'ai pu apprécier la manière dont avait lieu la pénétration de ces tumeurs dans l'intérieur du vaisseau; car, dans d'autres
eine criblée de trous, autour des petites végétations formées par ces tumeurs . J'ai vu un cas tout-à-fait semblable pour la v
. J'ai vu un cas tout-à-fait semblable pour la veine jugulaire. Une tumeur ] carcinomateuse s'était développée au voisinage d
ciété anatomique au nom de M. Lisfranc. C'est dans la catégorie des tumeurs cancéreuses pédiculées, nées de la paroi interne
ées, nées de la paroi interne des veines, mais indépendantes de toute tumeur cancéreuse extérieure, que doit être classé le fa
Il portait dans les deux régions parotidiennes jusqu'au larynx deux tumeurs de la grosseur de la tête d'un enfant à terme, ce
nt à terme, celle de gauche plus volumineuse que celle de droite. Ces tumeurs gênaient beaucoup la respiration et l'articulatio
faisait remontera 18 mois seulement l'apparition de ces volumineuses tumeurs : la nutrition générale n'en était pas troublée.
pas assez copieux fait avec beaucoup d'appétit. Ouverture. Les deux tumeurs parotidiennes étaient de nature cancéreuse ; elle
ous le scalpel et n'auraient pas tardé à dégénérer. Les coupes de ces tumeurs ont donné une surface homogène de tissu lardacé d
. La fig. 2 représente l'oreillette droite largement ouverte, et la tumeur TC dégagée de l'orifice aurieulo-ventriculaire et
re et de la veine cave inférieure : on peut apprécier le volume de la tumeur , sa disposition lobuleuse ou mamelonnée, la profo
ent la face postérieure de cette crosse. La Fig. i, pl. 3 montre la tumeur en place divisée perpendiculairement à son plus g
coupe MGCest blanc grisâtre, striée de sang dans quelques points. La tumeur adhère intimement à la veine cave supérieure et à
peine concevoir que la vie ait pu se concilier avec la présence d'une tumeur remplissant l'oreillette droite, l'orifice aurieu
pénétrer dans l'oreillette : i° de la veine cave supérieure entre la tumeur et la paroi postérieure de cette veine, i° de la
tte dans le ventricule, en formant une espèce de nappe mince entre la tumeur et la cavité infundibuliforme que représente la v
uement, il en résulterait des accidens immédiatement mortels; mais la tumeur s'étant développée graduellement, les parties se
s que l'identité de ces deux lésions. Que si on me demande si cette tumeur de l'oreillette doit être considérée comme un cai
leurs un cancer polypiforme du coeur ne doit pas plus étonner que les tumeurs de même forme et de même nature naissant du périt
-dite-. Chutai del lrnp. Zemercier/ Benard et C. - imofld ¦ ¦ Tumeurs fibreuses du rocher. (Planche h, xxvie livraison.
ld ¦ ¦ Tumeurs fibreuses du rocher. (Planche h, xxvie livraison.) Tumeur fibreuse née de la face postérieure du rocher, co
Mon diagnostic avait été celui-ci : compression du cerveau par une tumeur développée, soit aux dépens des méninges, soit da
t dans l'épaisseur du cerveau lui-même; probabilité du siège de cette tumeur à la base du crâne. Voici d'ailleurs les commém
ture du cadavre. — J'avais noté que cette maladie consistait dans une tumeur développée dans le crâne, exerçant sur le cerveau
rieure gauche, par conséquent au-dessous de la tente du cervelet, une tumeur dure, mamelonnée qui comprimait fortement la moit
érébelleux correspondant et le cervelet. (Voy. fig. i, 2, 3.) Cette tumeur adhérait, par un pédicule considérable, à la face
déchiré postérieur et au canal carotidien. La fig. 1 représente la tumeur dans ses rapports avec la masse encéphalique : on
haryngien et accessoire de Willis (8) ont été rejetés au-devant de la tumeur qu'ils contournent. Ces nerfs sont étalés, écarté
ire et ceux de la cinquième (5) sont comprimés entre le cerveau et la tumeur . Les filets de la cinquième paire (5) s'aperçoive
Les filets de la cinquième paire (5) s'aperçoivent au-devant de cette tumeur : ils sont étalés à la manière d'un ruban très la
omplètement atrophiés. Leur tissu est gris. La fig. 2 représente la tumeur renversée, de manière à mettre en évidence la dép
ème paire (5e P.) présentait, dans toute la partie qui répondait à la tumeur , une disposition rubanée fort remarquable par sa
r grise se prolongeait dans le nerf maxillaire inférieur gauche. La tumeur était de nature fibreuse et ne présentait pas le
er représenté fig. 4, a pu facilement en être séparé, en sorte que la tumeur m'a paru naître moins de l'os que de la portion d
sidérablement agrandis, surtout celui du côté droit (côté opposé à la tumeur ), qui a triplé de dimension; le grand trou rond d
verrons que tous se rallient autour de la compression exercée par la tumeur sur la masse encéphalique; mais, pour bien concev
ler une considération que j'ai eu occasion de développer au sujet des tumeurs de la dure-mère, savoir : que les causes comprima
cours à la compression indirecte dont je parlais tout-à-l'heure. La tumeur développée au-dessous de la tente du cervelet sou
séquence la compression, non des points du cerveau correspondans à la tumeur , mais bien du cerveau en masse. Or, il est de f
cerveau et le résultat soit d'une compression directe (exemple : les tumeurs du corps pituitaire), soit d'une compression indi
cerveau. L'amaurose avec perte de l'odorat caractérise en général une tumeur développée dans la fosse pituitaire ou dans les g
engourdissement des muscles de la face du même côté, caractérise les tumeurs nées de la face postérieure du rocher et plus par
rs nées de la face postérieure du rocher et plus particulièrement les tumeurs nées du conduit auditif interne. 11 est assez f
nées du conduit auditif interne. 11 est assez fréquent de voir des tumeurs de diverse nature naître soit de la face postérie
oit de la face postérieure, soit de la face antérieure du rocher. Ces tumeurs sont tantôt fibreuses, tantôt ostéo-fibreuses; d'
ration cancéreuse dans une partie de leur étendue. La description des tumeurs du rocher mériterait de trouver place dans l'hist
s tumeurs du rocher mériterait de trouver place dans l'histoire des tumeurs développées dans le crâne : on devrait les distin
eau, (i) Voici quelques faits qui pourront servir à l'histoire de ces tumeurs . Tumeur fibreuse du poids de deux onces, 5 gros
ici quelques faits qui pourront servir à l'histoire de ces tumeurs. Tumeur fibreuse du poids de deux onces, 5 gros, née de l
térieure du rocher droit. — Amaurose et céphalalgie. — Mort subite. — Tumeur polypiforme de la narine droite formée par les me
e scène a duré de deux à trois minutes. Ouverture du cadavre. — Une tumeur fibreuse hémisphérique, du volume d'un œuf de pou
d'observer au voisinage de toutes les productions organiques. Cette tumeur s'était creusé une cavité, i° aux dépens du cerve
t creusé une cavité, i° aux dépens du cerveau, par la partie de cette tumeur qui naissait de la face supérieure du rocher, 20
upérieure du rocher, 20 aux dépens du cervelet par la partie de cette tumeur qui naissait de la face postérieure du rocher. Le
ssait de la face postérieure du rocher. Le cerveau, tout autour de la tumeur , avait subi un ramollissement blanc-jaunâtre, ave
re. La mort subite arrive très fréquemment à la suite de semblables tumeurs : et si quelquefois elle ne s'explique par aucune
observée au moment de la crise mortelle. Tout malade porteur d'une tumeur crânienne de la base du crâne, ou pour parler un
re, refoulée dans les narines par le cerveau, refoulé lui-même par la tumeur , eût présenté d'une manière consécutive en quelqu
résenté d'une manière consécutive en quelque sorte, les caractères de tumeur fongueuse? Quoiqu'il en soit, la chirurgie devra
la lame criblée comme pouvant donner lieu à des méprises funestes. Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse, naissant de
très volumineuse, naissant de la face supérieure du rocher. — Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même o
e de la (1) J'ai fait mention de cette observation à l'occasion des tumeurs fongueuses de la dure-mère. malade: Bouche dévi
te, c'est-à-dire du côté opposé à la dépression de la commissure, une tumeur osseuse très considérable, naissant de la face su
qui était converti en bouillie dans toute la partie qui entourait la tumeur . Cette partie du cerveau était la paroi inférieur
'étendait jusqu'au ventricule où se voyait beaucoup de sérosité. La tumeur , qui était du poids de plusieurs onces, naissait
i supérieure de la caisse du tympan. Elle était divisée en lobules ou tumeurs secondaires, subdivisés eux-mêmes en mamelons et
et aboutissant tous à un centre commun qui formait le pédicule de la tumeur . Le plus grand diamètre de cette tumeur était dir
qui formait le pédicule de la tumeur. Le plus grand diamètre de cette tumeur était dirigé d'avant en arrière. Sa nature étai
point central qui était plus dense, plus compacte que le reste de la tumeur , partaient en divergeant des fibres osseuses rayo
ation. De la face postérieure du rocher, naissait encore une petite tumeur entièrement osseuse. La face supérieure du rocher
face supérieure du rocher présentait, au voisinage du pédicule de la tumeur , des végétations mamelonnées, petits monticules q
égétations mamelonnées, petits monticules qui semblaient continuer la tumeur osseuse. Les tumeurs qui naissent de la face su
, petits monticules qui semblaient continuer la tumeur osseuse. Les tumeurs qui naissent de la face supérieure du rocher prod
t le cerveau, la protubérance et le bulbe rachidien. La nature de ces tumeurs n'est que d'une importance secondaire sous le rap
du travail morbide purement local qui a présidé à la formation de la tumeur et qui préside aux diverses métamorphoses qu'elle
carcinomateuse delà maladie, mais bien avec le siège, la forme de la tumeur , son volume, et la direction suivant laquelle a a
lle a agi l'effort de compression qu'elle exerçait sur l'encéphale. Tumeur cancéreuse très volumineuse née de la face postér
cette lésion est le résultat, soit de la compression produite par une tumeur de l'origine de la moelle, soit d'une altération
mbarrasse. Mort à la fin de janvier i835. Ouverture du cadavre.—Une tumeur vraiment énorme naissait de la face postérieure d
omposé de fibres osseuses agglutinées s'épa-nouissant de suite en une tumeur sphéroïdale qui présentait deux substances bien d
ce cartilagineuse et osseuse qui constituait le tiers inférieur de la tumeur ; 2° une substance encéphaloïde, très molle, de co
e coque fibreuse, qui forment les deux tiers supérieurs de cette même tumeur . Cette bouillie encéphaloïde placée entre deux la
ux ? -En examinant la face supérieure du rocher, j'ai vu de petites tumeurs osseuses qui naissaient de cet os et soulevaient
naissaient de cet os et soulevaient la dure-mère amincie : une de ces tumeurs , qui avait le volume d'une bille ordinaire, trave
champignon, et semblait, sauf sa nature osseuse, une miniature de la tumeur décrite de la face postérieure du rocher. Enfin
nisme que dans le cas représenté pl. 2, xxvie livr. Je reviens à la tumeur principale: elle remplissait la fosse occipitale
comprendre comment la vie a pu se concilier avec la présence de cette tumeur . Reflexions. — Je le répète, on ne conçoit pas
rences dans le sens suivant lequel s'est exercée la compression de la tumeur . A mesure que nous avancerons dans l'étude des lé
et d'inflammation gangreneuse aux régions trochantérienne et sacrée.— Tumeur cancéreuse sous-arachno'idienne f entourant la po
rs, incisant la dure-mère, j'ai vu la cause de la paraplégie dans une tumeur ovoïde T (fig. 2'), grisâtre , molle, nettement t
'' représente la moelle vue par la face antérieure et dépouillée delà tumeur T, qui a été rejetée sur le côté. On voit que cet
illée delà tumeur T, qui a été rejetée sur le côté. On voit que cette tumeur est tout-à-fait étrangère au tissu propre de la m
-dessus et au-dessous du point comprimé la substance médullaire. La tumeur , examinée en elle-même est granuleuse, d'une coul
cancer encéphaloïde,et je lui trouve la plus grande analogie avec les tumeurs molles, granuleuses et grises, qui naissent si so
d'une compression: la cause de cette compression était donc dans une tumeur molle et granuleuse, probablement de nature encép
haloïde, développée dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Cette tumeur , malgré sa mollesse, exerçait sur la moelle une c
le mouvement, mais non suffisante pour intercepter le sentiment. La tumeur occupait, non la région lombaire, mais la partie
La sensibilité était conservée et le mouvement était détruit; or, la tumeur occupait la région antérieure de la moelle et par
aient d'ailleurs leur volume naturel et au dessous et au dessus de la tumeur . Il n'est pas extrêmement rare de trouver des p
oïdien de la masse encéphalique. J'ai également vu plusieurs fois des tumeurs de même nature naitre de la face interne de la du
eineux très développés qui lui formaient une espèce de gaine. L'autre tumeur , qui occupait la partie supérieure et postérieure
le , était olivaire et d'un tissu tout-à-fait identique à celui de la tumeur inférieure. Les faisceaux postérieurs et médians
ns toute la portion correspondante. Enfin on trouvera un exemple de tumeur identiquement semblable, développée autour de l'e
eue de cheval, dans les figures i , i' et i", pl. i. Dans le cas de tumeurs sous-arachnoïdiennes, avec adhérence du feuillet
céral de l'arachnoïde au feuillet pariétal, on pourrait croire que la tumeur naît de la face interne de la dure-mère par un pr
un certain nombre d'observations , dans lesquelles il est dit que des tumeurs de nature encéphaloïde ou autre étaient contenues
comprimée au niveau de la partie moyenne de la région dorsale par une tumeur olivaire de vingt lignes de longueur, adhérente à
ur, adhérente à la dure-mère par un pédicule étroit et fibreux. Cette tumeur était molle, grisâtre, enveloppée par une membran
ïde. La moelle avait notablement diminué de volume au niveau de cette tumeur . La paraplégie ou paralysie partielle peut reco
une compression exercée directement sur les nerfs rachidiens par des tumeurs développées le long de ces nerfs. M. Monod a prés
au niveau des huitième et neuvième vertèbres dorsales, trois petites tumeurs fibreuses oblongues, situées sur le trajet et dan
érieures. Ces racines étaient atrophiées et comme confondues avec les tumeurs ; les racines postérieures étaient intactes. Ce fa
ures au mouvement et des racines postérieures à la sensibilité. Les tumeurs sous-arachnoïdiennes du cordon rachidien ne sont
ulentes. L'exploration attentive de l'abdomen me fait reconnaître une tumeur mobile , mais non douloureuse, située au niveau d
let et l'isthme de l'encéphale sont parfaitement sains. Abdomen. La tumeur que j'avais reconnue à la région ombilicale était
trée. — Dégénération gris jaunâtre des cordons médians postérieurs. — Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval (fig. i
bosselée, entièrement semblable à celle représentée fig. 2 , 2'et 2"; tumeur située , comme elle , dans le tissu cellulaire so
tuée , comme elle , dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Cette tumeur , que je regarde comme encéphaloïde, est développé
à la portion de moelle ramollie et fluctuante une gaîne complète. La tumeur sous-arachnoïdienne de la queue de cheval TA est
présente une coupe verticale antéro-postérieure de la moelle et de la tumeur . On voit que le tissu de la moelle a complètement
par la malade, d'une part, et cette destruction de la moelle , cette tumeur de la queue de cheval, d'une autre part. Dans que
observe dans les grands ramollisemens de la substance cérébrale, La tumeur de îa queue de cheval donne lieu aux considératio
planche. Il est difficile d'établir l'affinité qui existe entre cette tumeur et l'altération de la moelle. Quant à la conversi
comme tenant à une compression du bulbe et de la protubérance par une tumeur développée dans les fosses occipitales inférieure
fit appliquer successivement quatre moxas sur les côtés de la petite tumeur , employer des frictions de diverses natures, et u
dos atrophiés et réduits à une lame assez mince (fig. 1, KH, RH), une tumeur molle, fluctuante, tout-à-fait indépendante des m
oulevés et qui occupait les deux gouttières vertébrales. La partie de tumeur qui occupait la gouttière gauche était beaucoup p
,vu la résistance des muscles, qui avaient en quelque sorte forcé les tumeurs à se développer dans le sens vertical. Ajoutez à
es gouttières vertébrales ne faisaient point de saillie au niveau des tumeurs , et qu'avant la dissection, la fluctuation était
urs, et qu'avant la dissection, la fluctuation était obscure. Cette tumeur incisée, j'ai vu que nous avions affaire à un kys
à l'aide d'un trait de scie, dirigé sur les pédicules. On voit que la tumeur enkystée pénétrait dans le canal vertébral, que l
t le kyste dans le lieu correspondant. Au point de communication delà tumeur extérieure et de la tumeur intérieure existait
spondant. Au point de communication delà tumeur extérieure et de la tumeur intérieure existait une ouverture extrêmement étr
intermédiaires à la dure-mère et à l'arc des vertèbres, et que cette tumeur , par suite de la force de développement presque i
e des ligamens jaunes qui ont dû céder sous l'action incessante de la tumeur ; qu'une fois sortie du rachis, elle a soulevé, dé
és; que la moelle a dû être soulagée du moment où le trop-plein de la tumeur interne a trouvé une issue dans la tumeur externe
ment où le trop-plein de la tumeur interne a trouvé une issue dans la tumeur externe ; mais que la résistance du kyste, celle
t dû s'opposer plus ou moins efficacement à la communication des deux tumeurs à travers l'isthme étroit pratiqué entre les apop
suit de là que le développement de la portion intra-rachidienne de la tumeur a dû se faire en partie indépendamment de la port
exploratrice ou d'appliquer de la potasse caustique sur cette petite tumeur dépressible, fluctuante, intermédiaire aux apophy
n général le résultat d'une compression exercée sur la moelle par une tumeur développée, soit dans le tissu cellulaire sous-ar
douleur. J'avais annoncé que la cause de la paraplégie était dans une tumeur développée autour de la moelle, et l'autopsie a p
ais invoquer une paraplégie douloureuse, dont la cause était dans une tumeur carcinomateuse, née du corps dune vertèbre. (t)
e la colonne vertébrale, foyer purulent considérable, constituant une tumeur oblongue cylindroide , entourant la colonne verté
es de compression? la carie, mais il n'y avait pas de déviation : une tumeur formée entre la dure-mère et le canal vertébral,
ion : une tumeur formée entre la dure-mère et le canal vertébral, une tumeur formée dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien
e inflammation de la muqueuse du gros intestin. Le foie contenait une tumeur encéphaloïde du volume d'une noix et plusieurs gr
gaîne fibreuse qui entourait la partie supérieure de la moelle, si la tumeur du foie n'était venue nous éclairer à cet égard.
utre perte de substance. La faux du cerveau présentait à droite une tumeur fibreuse de la grosseur d'une aveline. La moell
e des détails descriptifs fort incomplets. La fig. i représente une tumeur de nature cancéreuse comprimant le bulbe rachidie
vent que les accidens propres à donner l'éveil sur la présence de ces tumeurs ne se manifestent qu'au moment du ramollissement.
. Quant aux phénomènes qui résultent de la compression exercée par la tumeur , ils sont extrêmement variables, ce qui tient non
ent variables, ce qui tient non-seulement au volume et au siège de la tumeur , mais encore à la direction suivant laquelle s'ex
sie, une compression extrêmement forte, si on a égard au volume de la tumeur , et dont les autres constataient, au contraire, q
ésion devait consister, soit dans une compression exercée par quelque tumeur , soit dans une altération du tissu propre de la p
enarc/cé C. MALADIES DU CERVEAU. (PLANCHE II, XXVe LIVRAISON.) Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses. EXPLICATION DES F
uberculeuses. EXPLICATION DES FIGURES. La figure i représente une tumeur cancéreuse développée aux dépens du lobe occipita
ièrement aux dépens des circonvolutions inférieures de ce lobe. Cette tumeur qui, par sa face inférieure, adhérait aux membran
difficile de distinguer l'un de l'autre ces deux sièges différens des tumeurs cérébrales, cependant, dans ce cas, il est probab
s, cependant, dans ce cas, il est probable que le développement de la tumeur s'est effectué aux dépens du tissu cérébral lui-m
tige de substance grise, on aurait encore trouvé la pie-mère entre la tumeur et le cerveau, et ici la tumeur plongeait au sein
it encore trouvé la pie-mère entre la tumeur et le cerveau, et ici la tumeur plongeait au sein de la substance blanche. Il me
la substance blanche. Il me paraît donc raisonnable d'admettre que la tumeur s'est formée très superficiellement dans l'épaiss
a été atrophiée ou détruite. La substance blanche qui entourait la tumeur , et cela à une grande distance, avait subi un ram
isseur du lobe postérieur du cerveau, du côté de la face convexe, une tumeur très volumineuse qui atteignait, dans quelques po
ar une couche mince de substance cérébrale. Les tubercules dont cette tumeur est hérissée s'enfonçaient au milieu de la substa
ints où il présentait des traces d'apoplexie capillaire. Quant à la tumeur en elle-même, sa couleur était blanc-grisâtre, sa
contre le jour, présentait l'aspect de la fig. 2'. Je regarde cette tumeur comme appartenant à la classe des lésions tubercu
ant à la classe des lésions tuberculeuses. La fig. 3 représente une tumeur que j'ai retirée du milieu de la substance blanch
u de la substance blanche ramollie d'un cerveau : la section de cette tumeur ne m'a pas éclairé sur sa nature, et je dois dire
ire à cette occasion que rien n'est plus difficile que de classer les tumeurs cérébrables, parce qu'à l'exception des maladies
t pas parfaitement tranchés. Ainsi, rien de plus rare que de voir une tumeur du cerveau présenter tous les caractères des tume
e que de voir une tumeur du cerveau présenter tous les caractères des tumeurs dites encéphaloicles. XXVe LIVRAISON. 1 Refle
ion devait être rapportée à la classe des maladies cancéreuses. Les tumeurs cancéreuses et tuberculeuses du cerveau, comme d'
ubstance cérébrale elle-même. Je mentionnerai un fait dans lequel une tumeur de ce genre naissait du plexus choroïde. Les tu
dans lequel une tumeur de ce genre naissait du plexus choroïde. Les tumeurs cancéreuses ou tuberculeuses du cerveau ( et cela
e maladie, ce n'est qu'à l'autopsie qu'on a reconnu Pexistence de ces tumeurs . Tel était le cas d'un individu dont M. le doct
décembre t833, offrait dans la cavité digitale (droite ou gauche) une tumeur du volume d'un œuf de poule, sans adhérence avec
urue de vaisseaux plus nombreux et plus développés que de coutume; la tumeur adhérait intimement au plexus - choroïde aux dépe
t au plexus - choroïde aux dépens duquel elle était développée. Cette tumeur , qui avait la plus grande analogie avec les tumeu
développée. Cette tumeur, qui avait la plus grande analogie avec les tumeurs cancéreuses formées au sein du tissu cellulaire s
arachnoïdien, était rouge, comme granuleuse. Dans d'autres cas, les tumeurs cérébrales ne révèlent leur présence que par une
émiplégie dans ce cas? ce n'est point à la compression exercée par la tumeur , mais bien à une lésion consécutive de la substan
une lésion de ce genre provoquée et entretenue par la présence d'une tumeur . On conçoit encore que si le foyer apoplectique o
e ou le ramollissement occupent un siège autre que le voisinage de la tumeur , ils peuvent suivre leur marche d'une manière tou
as ordinaires. Une circonstance qui peut aider au diagnostic de ces tumeurs cérébrales, c'est la présence dans d'autres parti
d'hémorrhagie cérébrale ou de ramollissement, indépendamment de toute tumeur cancéreuse dans le cerveau. C'est ce que j'ai eu
manifestent les accidens cérébraux qui résultent de la présence d'une tumeur cérébrale; telle est l'observation suivante : (i)
lobe antérieur de l'hémisphère droit était occupé par une volumineuse tumeur ovoïde qui parut développée dans son épaisseur et
ppée dans son épaisseur et qui s'étendait jusqu'au corps strié. Cette tumeur était formée par une espèce de coque dure contena
épaissi. Les détails manquent sur le caractère bien positif de cette tumeur . Les tubercules dans le cerveau sont, en généra
fance, et s'observent rarement passé vingt-cinq ans ; de même que les tumeurs cancéreuses du cerveau sont (1) Communiquée par
us avez l'anencéphalie avec ses différentes variétés, moins certaines tumeurs fongueuses qui tiennent, dans le cas d'absence de
gles des pariétaux et de l'angle supérieur de l'occipital, existe une tumeur du volume d'une petite noix. Les tégumens du crân
d'une petite noix. Les tégumens du crâne manquent au niveau de cette tumeur , qui est rougeâtre, molle, non fluctuante, et se
ugeâtre, molle, non fluctuante, et se laisse aisément déprimer. Cette tumeur est évidemment une encéphalocèle; car elle est so
ne d'intervalle. La perforation du crâne, par laquelle s'échappait la tumeur , avait la forme et les dimensions du trou occipit
ait la tumeur, avait la forme et les dimensions du trou occipital. La tumeur a pour enveloppes les méninges épaissies ; l'épai
ississement était surtout remarquable à la dure-mère; au centre de la tumeur est la substance cérébrale. Il y avait donc encép
On voit que la peau est entièrement étrangère aux enveloppes de cette tumeur , dont la rupture entraîne presque inévitablement
que la partie inférieure de la moelle serait comprise ou non dans la tumeur . J'ai déjà eu occasion de voir plusieurs exempl
M. Aran (Archives, septembre i84i)- xxxixe livraison. 2 vrait la tumeur offrait tous les caractères d'une peau normale bi
ysipélateuse s'était manifestée depuis quelques jours à la peau de la tumeur et des parties voisines : le moindre contact étai
te que ses parens lui ont dit qu'elle était venue au monde avec cette tumeur , qui n'avait exercé aucune influence sur son accr
ntrée, elle s'était donné, en faisant son lit, un coup violent sur la tumeur , qui se perfora , et d'où jaillit un liquide extr
r, qui se perfora , et d'où jaillit un liquide extrêmement clair ; la tumeur , qui avait, avant cette évacuation, le volume des
on ne pouvant expliquer les symptômes et la mort. La dissection de la tumeur a été faite avec beaucoup de soin, et voici ce qu
parfaitement saine et en place : elle ne faisait point hernie dans la tumeur . Seulement j'ai pu constater qu'un filament nerve
nerveux, appartenant aux racines postérieures, avait pénétré dans la tumeur , où il décrivait une anse. La peau était très adh
crivait une anse. La peau était très adhérente sur un des côtés de la tumeur , et lâchement adhérente de l'autre côté. Le tissu
ravail morbide, d'un ramollissement: il en est de ces abcès comme des tumeurs développées aux dépens des méninges ou du cerveau
élatiniforme, lequel s'opère sous l'influence des forces de la vie. Tumeur carcinomateuse de la dure-mère. Fig. a. Les tum
ces de la vie. Tumeur carcinomateuse de la dure-mère. Fig. a. Les tumeurs carcinomateuses de la dure-mère sont une lésion a
sion, d'autres fois des effets d'irritation. Ils sont nuls lorsque la tumeur est peu considérable ou située de manière à n'exe
ompression sur le cerveau; il y a symptômes de compression lorsque la tumeur a acquis un certain volume: je ferai observer que
observer que cette compression est en raison composée du volume de la tumeur et de son siège; que la question de siège doit to
y a irritation lorsque la portion du cerveau contre laquelle porte la tumeur devient le siège d'un travail fluxionnaire, leque
t alors les effets sont durables. Les fig. 2 et 2' représentent une tumeur carcinomateuse de la dure-mère, naissant de la ré
s même entamée : l'arachnoïde et la pie-mère séparaient d'ailleurs la tumeur de la surface du cerveau. Cette tumeur portait à-
-mère séparaient d'ailleurs la tumeur de la surface du cerveau. Cette tumeur portait à-la-fois et sur le lobe antérieur et sur
manière du blanc-manger, était d'une couleur jaune-serin CJ, CJ. La tumeur était ovoïde;adhérente à la dure-mère par un pédi
petits foyers de sang qui attestent cette nature encéphaloïde. Les tumeurs qui naissent de la face interne de la dure-mère p
hérence, presque entièrement vasculaires. Dans un cas, la trame de la tumeur était exactement semblable à celle du tissu caver
oncret. C'est du côté de la surface interne de la dure-mère que ces tumeurs prennent leur développement, en sorte que le tiss
s faits suivans viendront à l'appui des considérations précédentes. Tumeur cérébriforme de la dure-mère sans symptômes clini
omment et où elle avait été soignée. A l'ouvei ture, je trouvai une tumeur hémisphérique du volume d'une grosse noix, naissa
auche, dans l'intérieur duquel elle semblait prendre naissance. Cette tumeur était sessile, ou mieux naissait par un très larg
rachnoïde pariétale, sans sa grande vascularité. Les racines de cette tumeur pénétraient dans le sinus, qu'elles rétrécissaien
on ne pouvait enlever ses couches superficielles. La coupe de cette tumeur avait l'aspect cérébriforme: les vaisseaux sangui
et était parfaitement sain. Chez un autre sujet, j'ai rencontré une tumeur de la dure-mère, du volume d'une noix, qui était
ans la scissure de Sylvius , dont elle avait écarté les bords : cette tumeur n'avait donné pendant la vie aucun signe de sa pr
chronique du cerveau est l'effet le plus habituel de la présence des tumeurs de la dure-mère et la cause de tous les accidens:
ure-mère et la cause de tous les accidens: cependant, dans un cas, la tumeur de la dure-mère était entourée d'une couche de sa
urce était une déchirure spontanée de quelque circonvolution. Cette tumeur , qui provenait d'un sujet de Bicêtre, me fut prés
vait cette manière de voir; mais dégagée des caillots sanguins, cette tumeur , du poids de 85 grammes, représentait exactement
entait exactement pour la forme, le volume et même la consistance, la tumeur représentée fig. i et 2; c'était à quelques égard
plusieurs granulations présentaient des vaisseaux très dilatés. Cette tumeur adhérait par le quart environ de sa surface à la
emblait envoyer dans son épaisseur desprolongemens divergens. Cette tumeur qui naissait de la surface orbitaire, comme dans
convolutions déchirées, la source de l'hémorrhagie. La présence d'une tumeur de la dure-mère peut donc devenir la source d'une
venir la source d'une hémorrhagie ménin-gienne. Je n'ai jamais vu une tumeur de la dure-mère plus considérable que celle dont
cette observation qui était une vieille femme de la Salpétrière. La tumeur , qui pesait cent quatre-vingts grammes(cinq onces
ement blanc-manger de toute la portion du cerveau correspondante à la tumeur , depuis la convexité jusqu'à la base. A la base,
e, le cerveau n'offrait aucune solution de continuité au niveau de la tumeur ; la substance grise s'enfonçait dans toutes les a
lique était parfaitement sain. Voici la description détaillée de la tumeur de la dure-mère: la tumeur née de la face latéral
in. Voici la description détaillée de la tumeur de la dure-mère: la tumeur née de la face latérale droite de la faux et de
et allait s'enfoncer au-dessous d'elle, dans l'hémisphère gauche. La tumeur semblait accolée à la face interne de la dure-mèr
ce interne de la dure-mère qui était intacte, excepté au centre de la tumeur , où cette membrane éraillée correspondait à la po
is quarts postérieurs de ce sinus, étaient parfaitement libres. Cette tumeur était bosselée , divisée par des sillons irréguli
ur était bosselée , divisée par des sillons irréguliers en de petites tumeurs secondaires ou lobules pédicules, partant toutes
éolaire, traversée par des vaisseaux assez volumineux. La coupe de la tumeur rendait plus manifeste encore cette disposition d
pe de la tumeur rendait plus manifeste encore cette disposition de la tumeur en lobules pédicules , aboutissant tous à un cent
pédicules , aboutissant tous à un centre commun. On voit que cette tumeur diffère essentiellement de celles que j'ai décrit
ment de celles que j'ai décrites par sa densité, qui la rapproche des tumeurs fibreuses et par l'absence complète de suc cancér
examinés à la loupe, m'ont paru formés par des vaisseaux ossifiés. Tumeurs de la face interne de la dure-mère, qui se rappor
rapportent a des sécrétions pseudomembraneuses. Indépendamment des tumeurs végétantes de la surface interne de la dure-mère,
à leur véritable cause: je ne savais comment me rendre compte de ces tumeurs qui semblaient formées aux dépens de toute l'épai
toute l'épaisseur de la membrane; mais j'ai reconnu plus tard que ces tumeurs ordinairement oblongues étaient formées à la face
ant, que je retrouve dans une de mes notes, se rapporte à ce genre de tumeurs de la dure-mère. « Un invalide ivrogne, sujet à
et offre une dépression manifeste et même une cavité qui recevait une tumeur du volume d'une prune mirabelle, naissant de la f
face postérieure du rocher, en dehors du canal auditif interne. Cette tumeur , qui m'a paru carcinomateuse, était supportée par
eux , naissant du rocher à la manière d'une exostose. Au niveau de la tumeur , les lamelles du cervelet sont déprimées et écart
a base de cette production nouvelle, dit M. Faget, se mouvait sur une tumeur adhérente aux tissus profonds et qui n'excédait g
te production datait de dix à douze ans, qu'elle avait débuté par une tumeur douloureuse qui n'avait pas tardé à s'ulcérer et
t à prendre de l'accroissement; qu'une année après l'apparition de la tumeur , la surface ulcérée se recouvrit d'une effloresce
. Persuadé que l'extirpation de la peau qui servait de support à la tumeur pouvait seule prévenir la récidive, M. Faget cern
Il résulterait de cet exposé que la peau qui servait de support à la tumeur , que le tissu cellulaire sous-cutané et l'aponévr
ire. Si j'en juge par l'état de la peau qui supporte et avoisine la tumeur (fig. 4), la dégénérescence cancéreuse ne me para
ties irritées par les ébranlemens qu'occasion aient et le poids de la tumeur et le frottement des vêtemens. Dans tous les exem
ne corne de bélier. Sa base, dit M. Faget, était circonscrite par des tumeurs et par des ulcérations qui lui parurent de nature
la dégénérescence jusqu'aux parois du crâne. La nature cancéreuse des tumeurs et ulcérations qui circonscrivaient la production
onsulté ayant excisé sans douleur la partie la plus excentrique de la tumeur , crut qu'il pouvait l'attaquer par sa base; l'enf
cet ulcère cancéreux. Dans le mois de février 1817, j'emportai une tumeur squirrheuse du volume d'un œuf de poule sur le so
de laquelle se trouvait une production cornée en forme d'ergot. Cette tumeur , qui était située à la joue gauche, avait commenc
enta d'épaisseur. Bientôt l'excroissance cornée fut supportée par une tumeur du volume que je viens d'indiquer. L'examen anato
e tumeur du volume que je viens d'indiquer. L'examen anatomique de la tumeur emportée m'a montré qu'elle était constituée par
sement des encéphaloïdes. La production cornée adhérait fort peu à la tumeur , dont elle était en grande partie séparée par une
les coudes, sur les genoux, et même sur le crâne et sur le front, des tumeurs recourbées, aiguës, qui ressemblaient à des corne
ressemblaient à des cornes de veau. La description qu'il donne de ces tumeurs est curieuse. Elles avaient, dit-il, l'aspect de
région antérieure du tronc présente une multitude de tubercules et de tumeurs dont les uns paraissent développés dans l'épaisse
ans adhérence à la peau qu'ils soulèvent. Le plus grand nombre de ces tumeurs et tubercules offrent une couleur bleuâtre. Quelq
e fluctuation extrêmement prononcée. Du reste, tous ces tubercules et tumeurs sont limités à la région antérieure du tronc; un
partie supérieure de la cuisse droite. Quelle était la nature de ces tumeurs ? J'hésitai un instant, à raison de l'aspect bleuâ
tant, à raison de l'aspect bleuâtre, entre le cancer mélanique et les tumeurs érectiles ; mais si quelques doutes pouvaient exi
ur, d'autres enfin faisant saillie du côté de leur face profonde. Des tumeurs très considérables sont développées dans l'épaiss
s miliaires des flocons graisseux. Sous le rapport de la couleur, ces tumeurs présentent un grand nombre de différences, lesque
es diverses couleurs sont tantôt isolées, tantôt réunies dans la même tumeur . Consistance. Plusieurs tumeurs sont molles, qu
isolées, tantôt réunies dans la même tumeur. Consistance. Plusieurs tumeurs sont molles, quelques-unes fluctuantes, et contie
plusieurs le sang est enkysté ; j'ai trouvé deux kystes dans la même tumeur . D'autres tumeurs sont molles parce qu'elles sont
g est enkysté ; j'ai trouvé deux kystes dans la même tumeur. D'autres tumeurs sont molles parce qu'elles sont remplies de suc c
mplies de suc cancéreux réuni en foyer ou infiltré; la plupart de ces tumeurs sont dures, et, parmi elles, on est tout surpris
orme de suc cancéreux. Indépendamment de cette masse innombrable de tumeurs sous-cutanées, j'ai trouvé sous le péritoine un a
t dans le tissu cellulaire qui entoure cet organe. Un grand nombre de tumeurs mélaniques se rencontraient le long des artères e
ng des artères et veines hypogastriques. Dans l'excavation du bassin, tumeur encéphaloïde énorme, au devant et aux dépens du s
tumeur encéphaloïde énorme, au devant et aux dépens du sacrum. Cette tumeur remplit l'excavation, et cependant tous les organ
au dessous des vaisseaux cruraux. Poitrine. Grand nombre de petites tumeurs mélaniques grises, occupant la surface du poumon.
admettre une subordination entre les diverses lésions observées. Les tumeurs cancéreuses peuvent s'être développées simultaném
un état général de l'économie, en sorte que, lorsqu'on rencontre une tumeur cancéreuse mélanique sur un point quelconque du c
miliaire, on peut être certain ou qu'il existe actuellement d'autres tumeurs semblables dans l'économie ou qu'il s'en développ
loppera incessamment, soit qu'on extirpe, soit qu'on n'extirpe pas la tumeur primitive. Le cancer mélanique est essentiellemen
U,DU TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES MUSCLES 52eLivraison PU. Tumeurs e/ iuèercuies ñåèãååãåøñ. A. Chazal del. Imp.
U.DU TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES MUSCLES 32e Liv.on Pl.4. Tumeurs et tubercules canecreuce. A. Chazal del. Imp.
celle du tissu propre des nerfs lui-même. La fig. 2 représente une tumeur sphéroïdale du volume d'une petite noix, développ
al antérieur. Le long supinateur aminci était déjeté en dehors par la tumeur , sur laquelle il se moulait. Le nerf semblait int
aquelle il se moulait. Le nerf semblait interrompu au niveau de cette tumeur ; mais la plupart des filets qui le constituaient
pouvaient être suivis, les uns en avant, les autres en arrière de la tumeur , plusieurs se perdaient dans l'enveloppe fibreuse
sieurs se perdaient dans l'enveloppe fibreuse. Aucun ne traversait la tumeur . La fig. 2 montre la tumeur vue par sa face ant
eloppe fibreuse. Aucun ne traversait la tumeur. La fig. 2 montre la tumeur vue par sa face antérieure. La fig. 2' montre la
ontre la tumeur vue par sa face antérieure. La fig. 2' montre la même tumeur vue par sa face postérieure. La fig. 2'' montre
e la même tumeur vue par sa face postérieure. La fig. 2'' montre la tumeur divisée: elle était molle, blanche, sans développ
e notable, et sa nature était encéphaloïde. Le sujet sur lequel cette tumeur a été trouvée venait de l'amphithéâtre de l'école
st à un cancer siégeant dans telle ou telle partie du corps et que la tumeur décrite n'était qu'un des effets consécutifs de l
emarquable. xxxve liviuvsojv. I Les fig. 4 et 4' représentent une tumeur encéphaloïde développée sur la branche collatéral
t indicateur. Les filets nerveux ont été tous rejetés au-devant de la tumeur . La fig. A' représente cette tumeur ouverte: el
té tous rejetés au-devant de la tumeur. La fig. A' représente cette tumeur ouverte: elle contenait un caillot sanguin, comme
le sujet auquel appartenait cette pièce présentait un grand nombre de tumeurs cancéreuses dans diverses parties du corps. Réf
trophie, c'est la compression, ou mieux la distension du nerf par une tumeur développée, soit dans le voisinage du nerf, soit
, et c'est le motif pour lequel j'ai cru devoir faire représenter les tumeurs cancéreuses développées dans l'épaisseur des nerf
nvahir simultanément toutes les branches de ce nerf. Je pensai qu'une tumeur cancéreuse, développée sur le trajet du nerf faci
e être produite par un abcès urineux : une pression exercée sur cette tumeur détermina en effet l'écoulement par l'urètre d'un
ssie ouverte, le trigone vésical TRV, les orifices des uretères, deux tumeurs considérables naissant du col de la vessie et pro
ol de la vessie et proéminant dans la cavité de cet organe. TS est la tumeur supérieure, TI la tumeur inférieure : celle-ci es
nant dans la cavité de cet organe. TS est la tumeur supérieure, TI la tumeur inférieure : celle-ci est beaucoup plus considéra
inférieure : celle-ci est beaucoup plus considérable. Entre ces deux tumeurs est l'orifice vésical de l'urètre OU, qui a l'asp
t d'une fente transversalement dirigée. TD, TG sont deux très petites tumeurs , situées l'une à droite, l'autre à gauche de cet
nversée, et par conséquent la surface interne de la vessie S1V et les tumeurs TS, TI, TD vues de profil. On voit que les tumeur
vessie S1V et les tumeurs TS, TI, TD vues de profil. On voit que les tumeurs TS et TI sont proéminentes dans la vessie et inte
L'introduction du doigt dans le rectum aurait fait diagnostiquer une tumeur qu'on aurait prise pour la prostate engorgée. S'i
ome sous le titre de développement du lobe moyen de la prostate. La tumeur lobuleuse LMP, proéminente dans la vessie, devait
rétention d'urine n'a pas été complète, et je me fonde sur ce que la tumeur , naissant par une large base, ne pouvait par cons
t le fermer hermétiquement. Ce n'est pas toujours sur le volume de la tumeur qu'il faut mesurer l'obstacle à l'émission des ur
mesurer l'obstacle à l'émission des urines ; j'ai vu de très petites tumeurs mobiles occasioner des rétentions d'urine qui néc
nécessitaient l'usage habituel delà sonde, tandis que de volumineuses tumeurs étaient pour ainsi dire inaperçues. La tumeur p
que de volumineuses tumeurs étaient pour ainsi dire inaperçues. La tumeur prostatique, de l'extrémité antérieure de laquell
sie, vue par sa face postérieure ; elle n'offre de remarquable qu'une tumeur K développée sur le trajet des conduits déférens.
qu'une tumeur K développée sur le trajet des conduits déférens. Cette tumeur , qui est d'une dureté fibreuse, n'est autre chose
L'exploration de la région lombaire gauche faisait reconnaître une tumeur considérable, douloureuse, très facilement appréc
de l'évacuation spontanée dune grande quantité d'urine purulente. La tumeur diminuait rapidement,et, au bout de quelques jour
licale, une proéminence remarquable. Cette proéminence était due aune tumeur dure, résistant à la manière d'une balle de caout
aoutchouc pleine. Il n'y avait pas de fluctuation proprement dite. La tumeur commençait au dessous du foie, dont la séparait u
gnostic était facile, il parut évident à M. Perrot que le siège de la tumeur et le principe de tous les accidens étaient dans
de la certitude une ponction capillaire en arrière et en dehors de la tumeur , à trois pouces du bord externe du carré des lomb
vive ; épuisement. Mort le if\ novembre. Ouverture du cadavre. Une tumeur énorme, mais flasque, formée par le rein , occupa
égion ombilicale. Le colon ascendant longeait le côté gauche de cette tumeur . Il adhérait si intimement au rein dilaté, que le
ie, et alors le rein atrophié se trouve rejeté sur un des côtés de la tumeur ; mais le plus souvent la distension porte non-seu
rs néphrétiques extrêmement intenses, pendant la durée desquelles une tumeur très considérable se manifestait à la région lomb
le se manifestait à la région lombaire et à la région du flanc droit, tumeur qui disparaissait subitement avec les douleurs, à
ns un cas analogue. Voici le résumé de cette observation. 62 ans, tumeur oblongue, étendue de fhypochondre droit à la foss
regarde en haut et la convexité en bas; fluctuation obscure. Cette tumeur , qui paraissait formée par l'agglomération de plu
Cette tumeur, qui paraissait formée par l'agglomération de plusieurs tumeurs plus petites, causait des douleurs intermittentes
es: il n'avait pas un instant de sommeil. Corvisart reconnut que la tumeur avait son siège dans le rein droit: il rappelle q
ui arriva deux mois et demi après son entrée à l'hôpital. Autopsie. Tumeur énorme, inégalement bosselée, occupant tout le cô
it la fosse iliaque gauche et remplissait le détroit supérieur. Cette tumeur était formée aux dépens du rein, dont elle avait
nsidérable que celui de l'organe dans l'état sain. L'incision de la tumeur donna issue à sept pintes d'un liquide trouble, e
ontra la présence d'une grande quantité d'albumine. L'intérieur de la tumeur était composé de poches, qui toutes s'ouvraient d
hragmatique observé dans le cas suivant (i). Un malade présentait une tumeur fluctuante extrêmement considérable dans la régio
re chez l'homme : une première fois chez un roulier âgé de 70 ans; la tumeur avait le volume d'une pomme ordinaire; elle était
ticulièrement sur le régime antiphlogistique, après quoi on enleva la tumeur avec l'instrument tranchant. La plaie résultant
céreux : le grand pectoral, qui adhérait à une partie delà base de la tumeur , fut emporté bien au-delà des limites de l'adhére
êtait difficilement la compression, et qui épuisaient le malade. La tumeur lobuleuse et mamelonnée semble résulter de la jux
es étaient pénétrées de suc cancéreux gélatiniforme. La coupe de la tumeur (fig. 2) représente un tissu blanc, demi transpar
é : le grand pectoral, quoique adhérant intimement à une partie de la tumeur , n'était pas encore envahi. On voit (fig. 2) la c
issus dégénérés. Toute irritation un peu considérable exercée sur une tumeur cancéreuse a pour résultat la gangrène : les hémo
hémorrhagies s'expliquent par les foyers de sang dont est creusée la tumeur , et leur intensité s'explique par la liquidité du
de volume. Du reste, la malade est plus incommodée par le poids de la tumeur que par des douleurs proprement dites. Aucune cau
ait une vie extrêmement active. Fig. i. La peau était mobile sur la tumeur qui présentait une forme sphéroïdale, et qui étai
dale, et qui était lobu-leuse et enkystée. J'ai cru d'abord que cette tumeur siégeait dans la glande mammaire; mais j'ai retro
trouvé cette glande saine, atrophiée, reléguée sur un des côtés de la tumeur . Le tissu adipeux paraissait également étranger à
. Le tissu adipeux paraissait également étranger à sa formation. La tumeur est fluctuante, à la manière d'une collection de
e fibreuse fort mince qui la recouvrait, on voyait que le tissu de la tumeur était demi transparent, d'aspect gélatiniforme.
demi transparent, d'aspect gélatiniforme. La fig. i' représente la tumeur divisée. La portion K, qui répondait à la partie
eur divisée. La portion K, qui répondait à la partie fluctuante de la tumeur appartenait à un kyste rempli d'une matière visqu
lamenteux, comme chevelus. Les coupes faites dans les régions de la tumeur autres que celles qui répondent au kyste présente
présentent un aspect lobuleux (voyez fig. i'). La substance de cette tumeur est partout pénétrée d'un liquide filant , visque
ne voie par les cloisons qui les séparent, cependant, en pressant la tumeur , on éprouve, sauf le volume, sauf la densité, la
sont destinées à représenter les aspects divers de la substance de la tumeur . La fig. 3 donne une idée exacte de la demi-trans
illeurs dans toutes les productions accidentelles. Réflexions. — La tumeur lobuleuse dont je viens de donner une description
orme ulcéreuse, atrophique, entre les caractères analomiques de cette tumeur et ceux de l'encéphaloïde , du squirre? Toujour
eur et ceux de l'encéphaloïde , du squirre? Toujours est-il que les tumeurs de cette espèce sont assez fréquentes, qu'elles s
, qu'elles sont enkystées, qu'elles se rapprochent par la densité des tumeurs fibreuses ou corps fibreux de l'utérus; qu'au lie
; qu'elles offrent peu de vascularité dans le principe, lorsque cette tumeur reste stationnaire; mais qu'à une période plus av
lus ou moins grande quantité de suc d'apparence synoviale infiltre la tumeur : que c'est à cette période avancée que la tumeur
noviale infiltre la tumeur : que c'est à cette période avancée que la tumeur peut acquérir en très peu de temps un volume cons
bien plus encore de son poids et de son volume que de sa nature. Ces tumeurs ordinairement uniques sont quelquefois multiples,
glande en même temps qu'elles les différencient de toutes les autres tumeurs mammaires, les kystes exceptés. Du reste, il m'
x dépens de la glande mammaire proprement dite que se développent ces tumeurs : si c'était aux dépens de cette glande, ce devra
e c'est au sein mais non dans la propre substance de la glande que la tumeur s'est produite. L'histoire anatomique et pathol
tumeur s'est produite. L'histoire anatomique et pathologique de ces tumeurs , que nous pourrions appeler corps lobuleux et fib
irculaire faite comme avec un emporte-pièce ; la peau qui revêtait la tumeur était d'ailleurs rouge, extrêmement amincie, demi
ancéreux, mais bien une solution de continuité par distension : cette tumeur , dont la malade ne s'était aperçue que depuis dix
s les plus rapides progrès. Je n'ai pas noté l'âge de la malade. La tumeur était enkystée. C'était par son kyste que la tume
e la malade. La tumeur était enkystée. C'était par son kyste que la tumeur adhérait à la peau dans les points rouges et proé
es lobules. Ce kyste, qui était de nature fibreuse, n'adhérait à la tumeur que dans ces mêmes points; dans le reste de son é
e membrane séreuse laquelle se serait réfléchie sur les lobules de la tumeur . Les kystes des produits acciden- tels se divis
n kystes non adhérens, distinction très importante. Une coupe de la tumeur m'a presenté une disposition lobuleuse non moins
uvé dans chaque lobule une cavité ou géode; en outre, au centre de la tumeur , j'ai trouvé une cavité libre et lisse, fort peu
se ou synoviale ; il suit de là qu'on pouvait étaler cette portion de tumeur en une membrane fibreuse surmontée par un certain
surface du lobule. Tout était régulier dans la disposition de cette tumeur , la tumeur se divisait en lobules , les lobules
obule. Tout était régulier dans la disposition de cette tumeur , la tumeur se divisait en lobules , les lobules se divisaien
qu'on pouvait renverser le lobule sur lui-même. La couleur de cette tumeur était blanchâtre, à la manière d'une glande saliv
par des vaisseaux excessivement déliés. Exprimé, le tissu de cette tumeur donna non du suc cancéreux, mais un liquide synov
plus que par toute autre cause. Je crois être fondé à penser que ces tumeurs extirpées ne sont pas susceptibles de récidive; l
is souvent dans la société: elle portait dans la mamelle gauche trois tumeurs très dures, du volume d'un œuf de pigeon, et dans
es, du volume d'un œuf de pigeon, et dans la mamelle droite une seule tumeur fibreuse du volume d'un gros œuf de dinde. Ces tu
roite une seule tumeur fibreuse du volume d'un gros œuf de dinde. Ces tumeurs étaient bosselées, bien circonscrites; je les car
croyait s'apercevoir depuis peu d'une augmentation de volume dans ces tumeurs , l'époque du changement d'état approchait: on lui
n parti. Mon avis fut qu'il n'y avait aucun péril à attendre; que ces tumeurs n'étaient pas de nature cancéreuse; que dans le c
n parti moyen ; qu'il fallait ou ne rien faire du tout ou enlever les tumeurs . Malheureusement ce conseil ne fut pas suivi : un
icien, d'ailleurs distingué, crut pouvoir obtenir la résolution de la tumeur par des applications répétées de sangsues, par de
xtraordinaire de la malade, sans exercer la moindre influence sur les tumeurs : un érysipèle erratique survint, parcourut toute
en du cadavre. Tous les organes intérieurs étaient sains. Les trois tumeurs delà mamelle gauche, toujours mobiles, parfaiteme
unies à la glande mammaire que par un peu de tissu cellulaire. De ces tumeurs , deux étaient du volume d'un gros ceuf de poule;
irconscription et leur surface lisse dénotaient leur enkystement; ces tumeurs se résolvaient en lobules et les lobules en granu
breuse et lobuleuse. Il y avait une couche épaisse de pus entre cette tumeur et le grand pectoral ; le pus s'enfonçait pour ai
pectoral ; le pus s'enfonçait pour ainsi dire dans l'épaisseur de la tumeur où il formait une espèce de géode pleine de pus.
m'a paru être rien autre choseque le tissu mammaire hypertrophié : la tumeur était divisée en lobules distincts les uns des au
ées de lamelles fibreuses très épaisses. J'ai reconnu au milieu de la tumeur un grand nombre de canaux galacto-phores dont j'e
logique des mamelles. Plusieurs fois, j'ai pu amener à résolution des tumeurs mammaires qu'on avait jugées squirreuses et pour
par de petites masses agglomérées très dures. A la place du mamelon, tumeur cancéreuse rouge, moins dense que les parties voi
rticipé que long-temps après à la dégénération. "' L'apparition des tumeurs axillaires et cutanées aurait daté d'une époque b
la dégénération, si bien qu'il était difficile de distinguer dans la tumeur , ce qui avait appartenu à ce muscle, de ce qui av
ssu. J'ai pu, à l'aide d'une dissection très soignée, séparer dans la tumeur mammaire droite, ce qui appartenait à la peau de
les tissus les plus hétérogènes. Malgré la dureté pierreuse de cette tumeur cancéreuse, j'ai pu faire suinter par mie forte p
s et ne causait aucune douleur. La mamelle était réduite à une petite tumeur bien circonscrite, bien isolée, bien mobile, proé
it. Femme Nouvelle, âgée de 82 ans, portait à la mamelle gauche une tumeur du volume du poing, qui présentait tous les carac
r, de l'inévitable pneumonie sénile. A l'ouverture, je trouvai que la tumeur était formée par une boue rougeâtre ou suc cancér
ns d'autres une boue sanguinolente ; dans la plus grande partie de la tumeur , c'était l'image du cerveau parcouru par des vais
de mammaire était parfaitement saine et déjetée du côté externe de la tumeur . En opposition avec ce cas de cancer aigu, avec
ancer de l'arc du colon tombé en gangrène. J'arrive à l'étude de la tumeur mammaire qui présentait chez ce sujet le type du
liquide. L'atrophie était telle que l'épaisseur la plus grande de la tumeur formée par toutes ces parties dégénérées, n'était
6 lignes environ. On pouvait parfaitement distinguer ce qui, dans la tumeur , appartenait à la peau de ce qui appartenait au t
celui-ci de la glande mammaire. La peau très épaisse au centre de la tumeur et formant à elle seule la moitié de son volume,
é. L'une et l'autre étaient pseudo-membraneuses sans épanchement. Une tumeur dure, qui occupait la fosse iliaque droite à l'en
appliquée après vésication préalable, détruisit complètement les deux tumeurs qui furent remplacées par une bonne cicatrice. La
l'état général de la malade n'était pas sensiblement altéré. Les deux tumeurs s'étaient réunies en une seule et même tumeur apl
ement altéré. Les deux tumeurs s'étaient réunies en une seule et même tumeur aplatie, d'une dureté pierreuse, très douloureuse
aison. i Cancer mammaire du coté gauche ; séparation complète de la tumeur par gangrène spontanée ; guérison temporaire appa
occupait le centre. Cette eschare s'agrandit et s'étendit à toute la tumeur qui tomba complètement en gangrène. Une cicatrice
ous-claviculaires ne sont pas malades. La mamelle droite présente des tumeurs ou gros tubercules très durs, proéminens. Plusieu
s faites à la peau en fait suinter du suc cancéreux. Les plus grosses tumeurs sont formées à-la-fois et par la peau et par la g
nt du creux de l'aisselle, existe un grand nombre de tubercules et de tumeurs cutanés. Les ganglions axillaires sont volumineux
tes dans le fait qu'on vient de lire. Les ganglions axillaires et les tumeurs hépatiques sont encéphaloïdes, tandis que l'altér
crofules, la syphilis, les flueurs blanches, les polypes utérins, les tumeurs fibreuses, aucune circonstance appréciable , en -
. Elle fournit en outre un exemple de coïncidence fort remarquable de tumeur cancéreuse du cerveau et de cancer de l'utérus.
les et vaginales, plexus veineux utérins et vésicaux remplis de pus.— Tumeur encéphaloïde dans le cerveau expliquant les mouve
çus quelque chose d'insolite; c'était une portion de la surface d'une tumeur qui était enfoncée dans l'épaisseur du cerveau et
oelle épinière, étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. La tumeur qui était de nature encéphaloïde me paraît avoir
tte membrane et qu'elle s'était logée dans l'épaisseur du cerveau. La tumeur était molle, mais d'une mollesse bien supérieure
des espèces de kystes formés par les veines dilatées. La plus grosse tumeur hémorrhoïdale H présentait un phlébolithe au cent
xie, mais à une altération du cerveau consécutive à la présence d'une tumeur : je présumai donc qu'à la suite du cancer de l'u
ne tumeur : je présumai donc qu'à la suite du cancer de l'utérus, une tumeur encé-phaloïde s'était développée dans le cerveau,
ne tumeur encé-phaloïde s'était développée dans le cerveau, que cette tumeur , qui ne s'était manifestée par aucun symptôme, ve
les accidens cérébraux tenaient, non point à la présence de la petite tumeur encéphaloïde du cerveau, dont l'existence devait
que se terminent le plus souvent les maladies organiques du cerveau, tumeurs , kystes, abcès enkystés du cerveau : il s'annonce
ies de paralysie peuvent être l'effet pur et simple de la présence de tumeurs dans le crâne sans ramollissement du cerveau : le
lorsque se manifeste la paralysie du sentiment et du mouvement. La tumeur encéphaloïde du cerveau est-elle liée au cancer d
ñåã. 23e Livraison, Pl.6. Ü. Ciia-j.nL del. _z idh de ßcnard. Tumeurs fibreuses. — Polypes. — Cancer. — Gangrène. (Plan
s avons déjà consacré quatre planches à l'histoire des polypes et des tumeurs fibreuses de l'utérus : la planche v de la xie li
La planche îv, xme livraison, a présenté un cas fort remarquable de tumeur fibreuse et de kyste utérin coïncidant avec un re
térin coïncidant avec un renversement du vagin, de telle sorte que la tumeur fibreuse et le kyste ayant été retenus au-dessus
opsie, que, portant la main dans la cavité pelvienne, je reconnus une tumeur qui remplissait le vagin. Le toucher me permit de
térieure. Les deux tiers supérieurs de sa cavité sont remplis par une tumeur ovoïde PP, non pédiculée, se prolongeant dans l'é
le, hypertrophié, d'apparence musculaire comme dans la grossesse. Une tumeur fibreuse TF, développée dans l'épaisseur du fond
formée par la lèvre postérieure : elle est d'ailleurs adhérente à la tumeur dans toute son étendue, et se termine par un bord
de la muqueuse, est celui où la couche mince qui forme la coque de la tumeur du côté de la cavité utérine devient le siège d'u
consister dans une incision verticale sur la partie antérieure de la tumeur ; lenu-cléation incomplète dans une incision circu
r ici l'attention sur l'adhérence des lèvres du museau de tanche à la tumeur . Je ne sais si cette adhérence a jamais été obser
s qui nous occupe, l'adhérence du museau de tanche à la surface de la tumeur a eu pour résultat la rétention d'une assez grand
arens et peuvent être plus facilement suivis dans lé paisseur de la tumeur : on dirait même quelquefois, dans ce cas, qu'ils
d'ailleurs complètement effacé. A travers cet orifice, proéminait une tumeur rouge, molle, fluctuante. Cet utérus avait appart
lle était la nature de la lésion. Malgré la mollesse fluctuante de la tumeur , je pensai que nous avions affaire à un corps fib
ors invité à faire la ponction sur la partie la plus fluctuante de la tumeur ; mais rien ne s'écoula, au grand étonnement des a
s la muqueuse doublée par une couche mince de tissu utérin, était une tumeur qu'il me fut facile de séparer par énucléation :
ait une tumeur qu'il me fut facile de séparer par énucléation : cette tumeur était formée de masses globuleuses de différentes
e pour leur élimination, laquelle serait tout-à-fait impossible si la tumeur se présentait en masse et non point par fragmens
même, plus ou moins déformé, est déjeté de l'un ou l'autre côté de la tumeur . On ne peut alors découvrir ce corps qu'en portan
nsidérablement allongés former une espèce de demi-cintre autour de la tumeur . 3° Si nous étudions les modifications qu'a sub
morphe, à surface irrégulièrement bosselée, auquel était appendue une tumeur osseuse pédiculée. Son aspect lui donnait beaucou
l'utérus. Le reste de l'utérus était remplacé par une multitude de tumeurs fibreuses et osseuses, dont les plus grosses ne d
différence entre la mollesse de la gangue et la dureté pierreuse des tumeurs . Du milieu de ce groupe de tumeurs, qui étaient a
gangue et la dureté pierreuse des tumeurs. Du milieu de ce groupe de tumeurs , qui étaient au nombre de vingt environ, partait
de vingt environ, partait une tige molle et mince qui supportait une tumeur au moins aussi considérable que la masse entière,
te d'un fœtus de six mois et une livre et demie de poids. La grosse tumeur était fibreuse et ossiforme : la couche superfici
olongemens également fibreux qui s'enfonçaient dans l'épaisseur de la tumeur et servaient de moyen d'union aux concrétions oss
grains, à la manière du granit. XXIVe LIVRAISON. a De ces petites tumeurs , les unes étaient fibreuses, Les autres ossiforme
disséminés dans une substance fibreuse très dense. Les plus petites tumeurs contenaient autant et quelquefois même plus de ma
concrétions calcaires. En incisant au milieu de toutes ces petites tumeurs , je tombai comme par hasard dans une cavité rempl
sans extravasation sanguine. La muqueuse était soulevée par plusieurs tumeurs , dont les unes étaient ossiformes et les autres f
ossiformes et les autres fibreuses. Le tissu utérin intermédiaire aux tumeurs était spongieux et vasculaire, tout-à-fait sembla
dire disséquées. Ce tissu se prolongeait dans le pédicule jusqu'à la tumeur principale. Ce pédicule constitué par des fibres
itué par des fibres utérines établit bien manifestement que la grosse tumeur ostéo-fibreuse s'était formée, non sous le périto
sur les cotés, en partie allongées en pédicule, de telle façon que la tumeur semblait sous-péritonéale. Les artères utérines
La figure i représente une section médiane antéro-postérieure dé la tumeur formée par le vagin renversé. En procédant de hau
présente, vue de profil, une coupe verticale antéro-postérieure de la tumeur et du bassin, rendra bien plus sensibles encore l
é par l'utérus et par la paroi postérieure du vagin. 7° Derrière la tumeur formée par le vagin renversé, se voit en PPV, la
n, dans la rainure plus ou moins profonde qui existe en arrière de la tumeur ; car, tandis que le renversement de la paroi anté
ue jamais, à quelque degré que soit parvenu le déplacement; aussi les tumeurs formées par le déplacement de l'utérus ont-elles
-fond de la vessie qu'on rencontre constamment dans l'épaisseur de la tumeur entre la paroi antérieure du vagin et la face ant
sie. Aussi, n'ai-je jamais rencontré le rectum dans l'épaisseur de la tumeur . En outre, pour que le rectum suivit la paroi pos
ttre une très grande, une énorme quantité; c'est dans ces cas que les tumeurs formées par les chutes de l'utérus acquièrent un
le avoir trouvé dans un foie parsemé de masses cancéreuses une de ces tumeurs qui se continuait avec une masse non moins consid
l'infirmerie de la Salpëtrière , salle St.-Paul n.6, le 2 août i835.— Tumeur du volume d'un œuf de dinde, dans le triangle sus
la suite de ses couches, est survenue à la glande mammaire gauche une tumeur qu'on a extirpée : à la même place se voit une ci
a extirpée : à la même place se voit une cicatrice et au-dessous une tumeur profonde avec fluctuation obscure, tumeur que je
cicatrice et au-dessous une tumeur profonde avec fluctuation obscure, tumeur que je soupçonne de nature cancéreuse, mais qui n
re cancéreuse, mais qui n'était autre chose qu'un abcès enkysté. La tumeur sus-clavicnlaire présenta un accroissement rapide
ir ; mais bien qu'il n'y ait qu'une connexion très éloignée entre une tumeur sus-claviculaire et un cancer utérin , l'existenc
l'existence bien constatée de ce dernier et aussi le caractère de la tumeur m'éloignèrent de l'idée d'un abcès et par conséqu
de l'idée d'un abcès et par conséquent de son ouverture; en effet, la tumeur s'éroda mais ne se vida pas. lia malade arriva gr
u marasme le plus complet et s'éteignit. Ouverture du cadavre. — La tumeur sus-claviculaire était de nature cancéreuse et fo
c cancéreux qui en suintait comme dune éponge. L'aspect violacé de la tumeur tenait à un réseau veineux considérable développé
ant cette région sus-claviculaire, je vis qu'à la masse formée par la tumeur déjà décrite, était annexée une multitude de gran
emme enceinte pour la neuvième fois, qui remarqua à l'aine gauche une tumeur dès les premiers temps de sa grossesse. Cette tum
'aine gauche une tumeur dès les premiers temps de sa grossesse. Cette tumeur augmenta graduellement de volume et descendit jus
chisseuse de profession, vit se former, à l'âge de cinquante ans, une tumeur à l'aine droite. La tumeur, d'abord douloureuse,
t se former, à l'âge de cinquante ans, une tumeur à l'aine droite. La tumeur , d'abord douloureuse, devint bientôt insensible:
1), et qui a pour sujet une femme, âgée de quatre-vingt-deux ans, la tumeur existait depuis quarante (1) VoyezTraité des ma
ve de quelques pouces. La base était en haut, le sommet en bas, et la tumeur était plus large dans son milieu qu'à sa base. Sa
ie bourse pendante entre les cuisses. Le doigt, porté au dessus de la tumeur , reconnaissait l'anneau inguinal dans l'état natu
ement au dessous , on sentait l'arcade crurale. A la dissection de la tumeur , on reconnut que les parties qui la formaient éta
qu'elle disait avoir reçue à la jambe gauche, et me montra une petite tumeur sous-cutanée, dont la couleur bleuâtre révélait l
ides AD , A D, qui établissaient les adhérences. On y voit une petite tumeur fibreuse au-dessous de la trompe gauche Réflexi
ancéreux, ni autre; son tissu était grisâtre, demi transparent. Cette tumeur était formée par l'agrégation de grosses papilles
tion de l'utérus lui-même : elle contourne la partie supérieure de la tumeur , se moule en y adhérant sur le sphéroïde qu'elle
aison sans doute, le ligament rond gauche LR était hypertrophié. La tumeur ovarique présentait deux parties bien distinctes
: i° un grand kyste uniloculaire qui formait le tiers supérieur de la tumeur et dont les fragmens KO, KO ont été conservés; 2°
2° un tissu aréolaire qui constituait les deux tiers inférieurs de la tumeur et dont la coupe a été figurée avec beaucoup de v
s le cas précédent, les aréoles constituent la presque totalité de la tumeur : dans le cas suivant, que j'ai eu occasion d'étu
, âgée de 60 ans environ, portait depuis un grand nombre d'années une tumeur abdominale qui acquit par degrés un volume tel qu
rait des masses bosselées extrêmement dures, même avant la ponction , tumeurs faciles à isoler les unes des autres. Cette circo
choisir pour la ponction un point autre que la région occupée par les tumeurs ; plongé dans le lieu d'élection accoutumé, le tro
le lieu d'élection accoutumé, le trois-quart serait tombé sur une des tumeurs : on choisit la ligne blanche. Cette femme fut
forces, de l'appétit et la faculté de marcher. Après la ponction, la tumeur était réduite à des masses dures, mobiles xxve
ntraînée, les liens qui l'unissaient à l'utérus ont été rompus, et la tumeur est tombée de la table sur les dalles, où elle s'
e inflammation. De la surface interne du kyste naissaient plusieurs tumeurs sphéroïdales inégales en volume. La plus petite a
disposition aréolaire ou celluleuse de leur tissu. La coupe de ces tumeurs a montré qu'elles étaient constituées par des cel
lules, trouble et purulent pour les autres, d'où il résultait que ces tumeurs n'avaient pas été étrangères à l'inflammation des
trangères à l'inflammation des parois du kyste, Indépendamment de ces tumeurs sphéroïdales, qui proéminaient de la face interne
lume du placenta. Ce gâteau aréolaire avait la même structure que les tumeurs . L'étude des kystes aréolaires de l'ovaire, fai
grande quantité de pus, il tenait à l'aide du cordon ombilical à une tumeur sphéroïdale, volumineuse, formée par un kyste ova
t les doigts restent couverts d'une matière visqueuse. L'examen des tumeurs ombilicales présente les particularités suivantes
meurs ombilicales présente les particularités suivantes. L'une de ces tumeurs HO est vraiment ombilicale et passe par l'anneau
mmencement d'ascite et chez laquelle je pus néanmoins reconnaître une tumeur hypogastrique. Cette malade mourut le 22 août par
e des progrès de l'ascite, qui ne tarda pas à masquer complètement la tumeur ; la ponction ne fut pas pratiquée. J'assistai
le rectum et l'utérus, une masse cancéreuse considérable: c'était la tumeur que j'avais reconnue pendant la vie. Le tissu de
itement saine, que l'utérus était également parfaitement sain; que la tumeur naissait entre l'utérus et le rectum, qu'elle pre
nération dans toutes les parties de cet épiploon qui répondaient à la tumeur . Au milieu de cette masse, il fut impossible de
l'utérus, de sorte qu'il était facile d'enlever, en raclant, toute la tumeur , sans altérer en rien le tissu de l'utérus, qui n
nullement hypertrophié. Rien n'égalait la mollesse de cette énorme tumeur , qu'il suffisait de comprimer légèrement pour la
section , pratiquée dans divers sens, a montré que le tissu de cette tumeur était blanc et mou à la manière dune crème, ou mi
anguins qui constituaient en volume la moitié ou les deux tiers de la tumeur , les uns étaient d'une date toute récente, les
d'hémorrhagies spontanées, se développe-t-elle souvent au sein de ces tumeurs ; et je suis convaincu que, dans le cas actuel, le
et adhérent. Je ferai remarquer combien, dans l'exploration de ces tumeurs , il importe d'user de prudence, d'éviter toute pr
sion ordinaire, exercée dans le but de reconnaître ou de délimiter la tumeur , aurait pu entraîner des ruptures dont les conséq
chondrophytes), naissant de l'os des îles. Structure aréolaire de ces tumeurs . Maladies des os. Ostéo-chondrophytes..........
... --Cancer aréolaire des os du crâne et de la face .......... -- Tumeurs érectiles des os du crâne. ... *........ Maladi
mammaire. Cancer mammaire du côté gauche. Séparation complète de la tumeur par gangrène spontanée : guérison apparente. Déve
p. s.— Abcès idiopathique du foie. 40e liv., pl. i, p. i. ABDOMEN. Tumeurs mélaniques dans l'abdomen. 19e liv., pl. m, iv, p
s à collet. 28e liv., pl. 1, n, m,p. 6. — Résumé des caractères des tumeurs anévrysmales. 28e liv., pl. 1, 11, ni, p. 7.— Ané
d'un petit foyer ancien dans l'épaisseur du corps strié du même côté. Tumeur fibreuse ramollie de l'utérus. 5e liv., pl. vi, p
cs à collet. 28e liv., pl. 1,11, m, p. 6. — Résumé des caractères des tumeurs anévrys-males, 28e liv., pl. 1,11, ni, p. 7.— Ava
luxation, usure des cartilages articulaires,, hydarthrosc, arthrite, tumeurs blanches, goutte articulaire, corps étrangers art
de l'avant-bras sur la main. 9e liv., pl. ii, m, iv, v, vi, p. 3. — Tumeurs érectiles occupant la main et l'avant-bras. 23e
l'avortement sur le choléra. 14e liv., pl. i, m, iv, v, p. i4. — Les tumeurs fibreuses de l'utérus ne sont pas toujours une ca
1,11, m, iv, p. 46. BULBE RACHIDIEN. Maladies du bulbe rachidien : tumeur cancéreuse comprimant le bulbe rachidien à droite
cancer au foie est inconnu.12eliv. pl. 11, m,p.*,8.—Multiplicité des tumeurs ; leur prédilection pour la surface de l'organe ;
tissu du foie dans cette affection. 12e liv., pl. n et m, p. 4. — Les tumeurs cancéreuses du foie peuvent exister indépendammen
radio-carpienne. Guérison de la plaie. Apparition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélanique
Apparition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poumons, le cœur, l'estomac,
—Cancer mélanique sous-cutané extirpé. Apparition d'une multitude de tumeurs de même nature. Epuisement. Mort. Cancer mélaniqu
, pl. 1, p. 4. —Cancer de l'estomac. Fracture spontanée de l'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os. U
'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os. Une tumeur cancéreuse dans l'épaisseur du sternum. 20e liv.,
laques cancéreuses superficielles occupant les deux poumons. Quelques tumeurs carcinomateuses dans le foie. 23e liv., pl. v, p.
rvation. = Cancer mammaire terminé par gangrène. Mort par épuisement. Tumeurs cancéreuses très multipliées dans les poumons. Fo
'urètre. 23e liv., pl. vi, p. /. — Coïncidence de cancer utérin et de tumeurs encéphaloïdes du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3.
ncéreuse. = Cancer mammaire du côté gauche. Séparation complète de la tumeur par gangrène spontanée.Guérison temporaire appare
pl. 11, p. 4- — Sur les cancers de la rate. 31e liv., pl. rv, p. 2. — Tumeur cancéreuse sous-arachnoïdienne entourant la porti
, p. 3. — Il est rare que la cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau. 32e liv., pl. v, p.
du cerveau. lre liv., Avant - Propos, p. iv. — Maladies du cerveau : tumeurs d'apparence perlée formées par de la matière gras
rculeuses aiguës. 6e liv., pl. 1, n, p. 8, g.— Effets des différentes tumeurs cancéreuses développées dans le cerveau suivant l
ffets produits par des causes en apparence identiques dans les cas de tumeurs cancéreuses du cerveau. 8e liv., pl. 1, n, m, p.
cas de tumeurs cancéreuses du cerveau. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 5. — Tumeur carcinomaleuse de la faux du cerveau chez un calc
eau chez un calculeux récemment opéré. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 8. — Tumeur carcinomaleuse sous arachnoïdienne de la convexit
signes caractéristiques de celte apoplexie. 21e liv., pl. v, p. 6. — Tumeur encéphaloïde du cerveau expliquant des mouvemens
nvulsifs et une hémiplégie. 23e liv., pl. vi, p. 1. — Coïncidence des tumeurs encé-phaloïdes du cerveau et du cancer utérin. 23
e liv., pl. m, p. /0; 33e liv., pl. n; p. 1 ; 36e liv., pl. i,p. /. — Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses du cerveau. 25e liv.
ymptômes épilepliques. 25e liv., pl. n,p. 3. — Age le plus exposé aux tumeurs cancéreuses et aux tumeurs tuberculeuses.Peut-on
liv., pl. n,p. 3. — Age le plus exposé aux tumeurs cancéreuses et aux tumeurs tuberculeuses.Peut-on guérir les tubeiculesdu cer
,p. / 6.— Il est rare que la cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau. 32e liv , pl. v, p.
res. Cicatrice brunâtre de la protubérance. 33e liv., pl. 11, p. S. — Tumeur carcinomateuse de la dure-mère ; fréquence de cet
les vieillards ; symptômes qui en résultent; caractères. Observation. Tumeur céré-briformede la dure-mère sans sympiômes clini
les sur l'apoplexie capillaire disséminée. 33e liv. , pl. 11, p. 7. — Tumeurs de la surface interne de la dure-mère, qui se r
in grêle par le choléra. 38e liv., pl. n, m, iv, p. 4. CHOLESTRINE. Tumeurs d'apparence perlée formées par de la matière gras
pertrophie excentrique du ventricule gauche. 18e liv., pl. 1, p. 2. — Tumeurs mélaniques dans le cœur. 19e liv., pl. m, iv, p.
Idem, sur la situation des reins. 34e liv., pl. i, n, p. i4. COTES. Tumeurs mélaniques dans l'épaisseur des côtes. 19e liv.,
rieur du crâne. 5e liv. , pl. iv v, p. 6; et 8e liv., pl. vi, p. 2. — Tumeurs carcinomateuses des os du crâne. 8e liv., pl. i,
, m, A NAT. PATHOL. - TABLE DES MATIERES. p. 2. — Coïncidence des tumeurs carcinomaleuses dps os du crâne, avec des tumeurs
. — Coïncidence des tumeurs carcinomaleuses dps os du crâne, avec des tumeurs cancéreuses de la dure-mère. 8e liv., pl. i, n, m
de la surface interne de la base du crâne. 20e liv., pl. n, p. . — Tumeurs érecliles du crâne. 33e liv., pl. iv, p. i.—Hydro
DENUM. Végétations encéphaloïdes du duodénum. 4e liv., pl. 1, p. /. — Tumeurs mélaniques dans le duodénum. 19° liv., pl. m, iv,
urs sur les fongus de la duremère. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. '. — Les tumeurs dites fongueuses de la dure-mère appartiennent à
t à la famille des maladies cancéreuses; trois espèces principales de tumeurs cancéreuses. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 2. — Coexi
e tumeurs cancéreuses. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 2. — Coexistence des tumeurs carci-nomateuses du crâne avec des tumeurs cancér
i, p. 2. — Coexistence des tumeurs carci-nomateuses du crâne avec des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère ; les tumeur
du crâne avec des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère ; les tumeurs cancéreuses internes plus fréquentes que les exte
e des symptômes. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 3. — Effets des différentes tumeurs cancéreuses de la dure-mère suivant la place qu'e
uleurs excessives dans les membres et mouvemens épilepti-formes. Deux tumeurs cancéreuses de la dure-mère au niveau de la conne
issement gélatiniforme du cerveau tout autour. = La thérapeutique des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère est tout-à-f
es de la dure-mère est tout-à-fait nulle. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 5.— Tumeur carcinomateuseinternede la dure-mère. Hydropisie
ropisie des ventricules et d u tissu cellulaire sous-arach-noïdien. m Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère comprimant
elles. Affaiblissement de la myotilité. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 9. — Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère née des go
re avec un ramollissement apoplectique. 20e liv., pl. in, iv, p. 4. — Tumeur fibreuse née de la face postérieure du rocher, co
tes excavations accidentelles de cette base. 26e liv., pl. 11, p. /.— Tumeur fibreuse du poids de deux onces, cinq gros, née d
postérieure du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort subite. = Tumeur polypiforme de la narine droite formée par les me
ême à travers la lame criblée de l'ethmoïde. 26e liv., pl. n, p. 5. — Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse naissant de l
née très volumineuse naissant de la face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même o
la myotilité. Mort dans un état d'adynamie. 26e liv., pl. 11, p. 6. — Tumeur cancéreuse très volumineuse née de laface postéri
anente avec rigidité des membres inférieurs. 26e liv., pl. n, p. 7. — Tumeur carcinomateuse de la dure-mère; fréquence de cett
les vieillards, symptômes qui en résultent ; caractères. Observation. Tumeur cérébriforme de la dure-mère sans symptômes clini
-mère sans symptômes cliniques correspondans. 33e liv., pl. m,p. 6. — Tumeurs de la face interne de la dure-mère qui se rapport
u cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv,p. 3. ENCÉPHALOIDES ( tumeurs ). Caractères anatomiques des tumeurs encéphaloïde
., pl. iv,p. 3. ENCÉPHALOIDES (tumeurs). Caractères anatomiques des tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. n et ni, p.
tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. n et ni, p. 3. — Cas de tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. 11 et ni, p.
lliculeuse de l'estomac chez les nouveau-nés. 15e liv., pl. ni, p. 2.— Tumeurs mélaniques dans l'estomac. 19e liv., pl. m, iv,p.
considérables, naissant de l'os des îles; structure aréolaire de ces tumeurs . Faits et inductions qui établissent que leur dév
s de celte altéra-ration. 12e liv., pl. n, m, p. . — Multiplicité des tumeurs ; leur prédilection pour la surface de l'organe ;
u tissu du foie dans celte affection. 12e liv., pl. n, m, p. 4. — Les tumeurs cancéreuses du foie peuvent exister indépendammen
ie ; leurs différens modes de développement. 23e liv., pl. v, p. i. — Tumeurs carcinomateuses dans le foie. 23e liv., pl. v, p.
urs sur les fongusde la dure-mère. 8e liv., pl. 1,11, in, p. t. — Les tumeurs dites fongueuses de la dure-mère appartiennent à
à l'entérite folliculeuse aiguë. 7e liv., pl. 1, n, m, IV, p. 5. — Tumeurs mélaniques dans les ganglions inguinaux, lombaire
ésespérer d'amener la grossesse à bonne fin. 6e liv., pl. vi,'p. 2. — Tumeurs fibreuses de l'utérus coïncidant avec la grossess
oppé dans la cavité péritonéale. Inflammation chronique du péritoine. Tumeur formée par les membranes de l'œuf renversées. 37e
p. 5. — Phénomènes distinctifs entre l'hémiplégie symptomalique d'une tumeur cancéreuse et l'hémiplégie symptomalique d'un foy
leurs excessives dans les membres et mouvemens épilepliformes. — Deux tumeurs cancéreuses de la dure-mère au niveau de la conve
tour. 8e liv., pl. 1,11, m, p. 5. — Hémiplégie subite résultant d'une tumeur carcinomateuse sous-arachnoïdienne de la convexit
es, dont l'une s'élrangle. Incision longitudinale sur la partie de la tumeur herniaire qui offre une fluctuation gazeuse. Autr
l. i, n, in, iv, y,p. 12. HUMERUS. Fracture spontanée de l'humérus, tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os, c
. n, p. 4.—H est rare que la cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau. 32e liv., pl. iv, p.
liv., pl. v, p. 3. — Hernie diaphragmalique. 17e liv., pl. y, p. ». — Tumeurs mélaniques dans les intestins. 19e liv., pl. m, i
ales, dont une s'étrangle. Incision longitudinale sur la partie de la tumeur herniaire qui offre une fluctuation gazeuse. Autr
iv., pl. 1, n, m, p. 2. LOUIS.Il a fait un travail exprofesso sur les tumeurs fongueuses ou cancéreuses de la dure-mère. 8e l
" liv., pl. iv, p. y. — Exemple de main-bot. 2e liv., pl. iv, p. 8. — Tumeurs érectiles occupant la main et l'avant-bras. 23" l
rps fibreux de la mamelle). 26e liv., pl. i,p.i. — Fréquence de ces tumeurs . 26e liv., pl. 1, p. 2.— Histoire anatomique et p
n , p. /. — Cancer mammaire du côté gauche; séparation complète de la tumeur par gangrène spontanée; guérison temporaire appar
radio-carpienne. Guérison de la plaie. Apparition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélanique
Apparition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poumons, le cœur, l'estomac.
des mois et sur celle des choses. 83e liv., pl. n , p. 3. MÉNINGES. Tumeurs cancéreuses des méninges: historique. 8e liv. , p
les sur cette maladie. 16e liv., pl. iv, p. /. — Si l'ouverture de la tumeur peut précéder le travail de l'accouchement.—Siège
et d'inflammation gangreneuse aux régions trochanlérienne et sacrée. Tumeur cancéreuse sous-arachnoïdienne entourant la porti
nfiltrée. Degeneration gris-jaunâtre des cordons médians postérieurs. Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval. 32e li
iv., pl. n, p. i. OLFACTION. Absence de l'olfaction résultant d'une tumeur carcinomaleuse de la dure-mère. 8e liv., pl. 1, n
, pl. 1, p. 4.— Cancer de l'estomac. Fracture spontanée de l'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os. U
'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os. Une tumeur cancéreuse dans l'épaisseur du sternum. 20e liv.,
considérables, naissant de l'os des îles; structure aréolaire de ces tumeurs . Fails et inductions qui établissent que leur dév
. — Le cancer des os est rarement primitif. 32e liv., pl. m, iv,p. 2.— Tumeurs érecliles du crâne. 33e liv., pl. iv,p. /.—Les vi
qui mourut immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. n, p. 4. — Tumeurs mélaniques dans le pancréas. 19e liv., pl. m, iv,
et d'inflammation gangreneuse aux régions trochantérienne et sacrée. Tumeur cancéreuse sous-arachnoïdienne entourant la porti
filtrée. Dé-génération gris jaunâtre des cordons médians postérieurs. Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval. 32e li
4, 42. — Paraplégie par compression de la moelle, occa-sionée par une tumeur anévrysmale agissant à travers les vertèbres usée
erforation spontanée du duodénum. 38e liv., pl. vi,p. 3. PÉRICARDE, Tumeurs mélaniques dans le péricarde. 19e liv., pl. m , i
udo-membranes dans la cavité du péritoine. 17e liv., pl. 111, p. 2. — Tumeurs mélaniques dans le péritoine. 19e liv., pl. m, iv
ibre dans la cavité peritoneale. Inflammation chronique du péritoine. Tumeur formée par les membranes de l'œuf renversées. 37e
Théorie des niasses encéphaloïdes des poumons. 18e liv.,pl. i, p. i.— Tumeurs mélaniques dans lespoumons. 19e liv., pl. ni, iv,
ses superficielles, occupant les deux poumons. 23e liv., pl. v, p. 2.— Tumeurs cancéreuses très multipliées dans les poumons 23e
ns modifiées. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 44. QUEUE DE CHEVAL. Tumeur encéphaloïde de la queue de cheval. 32e liv., p
t effets de la rigidité articulaire. 38e liv., pl. 1, p. 8. ROCHER. Tumeur fibreuse née de la face postérieure du rocher, co
ns les érosions ou petites excavations accidentelles de celte base. = Tumeur fibreuse du poids de deux onces, cinq gros, née d
ce postérieure du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort subite. Tumeur polypiforme de la narine droite formée par les me
i-même à travers la lame criblée de l'ethmoïde. 26e liv., pl. n, ». — Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse naissant à la
nnée très volumineuse naissant à la face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant à la lace postérieure du même os
la myotiliié. Mort dans un étal d'adynamie. 26e liv., pl. n, ». 6. — Tumeur cancéreuse très volumineuse née de la face postér
., pl. 1, p. /. — Sarcocèle aréolaire, encéphaloïde et tuberculeux. = Tumeur fibreuse du testicule simulant un sarcocèle. 5e l
pos, p. iv. SENS. Perte successive de tous les sens, produite par une tumeur fibreuse , née de la face postérieure du rocher,
dérations générales. 16e liv., pl. iv, p. t. — Si l'ouverture de la tumeur peut pré céder le iravail de l'accouchement; si
folliculeuse granuleuse. 7e liv., pl. i, è, ni, iv, p. i6. STERNUM. Tumeur cancéreuse dans l'épaisseur du sternum. 20e liv.,
ule avec matière perlée. Opération. Guérison. 5e liv., pl. i, ». /. — Tumeurs fibreuses du testicule, simulant un sarcocèle. 5e
p. 4. — Deux classes de cancers du testicule, 9e liv., pl. i, p. 6. — Tumeurs mélaniques dans les testicules. 19e liv., pl. ø,
US. Il est le créateur du mot spina-bifida. 16e liv., pl. iv, p. 3. TUMEURS . Tumeurs d'apparence perlée, formées par de la ma
t le créateur du mot spina-bifida. 16e liv., pl. iv, p. 3. TUMEURS. Tumeurs d'apparence perlée, formées par de la matière gra
grasse et de la choleslrine dans le cerveau. 2e liv., pl. vi, p. i. — Tumeurs encéphaloïdes développées dans l'épaisseur du cor
pées dans l'épaisseur du corps des vertèbres. 5e liv., pl. i, p. a. — Tumeur fibreuse du testicule simulant un sai cocèle. 5"
fibreuse du testicule simulant un sai cocèle. 5" liv., pl. i, p. 3. — Tumeur fibreuse ramollie de l'utérus. ôeliv., pl. vi, p.
3. — Tumeur fibreuse ramollie de l'utérus. ôeliv., pl. vi, p. 2, 3. — Tumeurs carcinomateuses des os du crâne. = Tumeurs cancér
ôeliv., pl. vi, p. 2, 3. — Tumeurs carcinomateuses des os du crâne. = Tumeurs cancéreuses des méninges : historique. 8e liv., p
euses des méninges : historique. 8e liv., pl. 1, 11, m, p. /. — Les tumeurs dites fongueuses de la dure-mère appartiennent à
à la famille des maladies cancéreuses : trois principales espèces de tumeurs cancéreuses. 8e liv., pl. 1, 11, ni, p. 2. — Coïn
tumeurs cancéreuses. 8e liv., pl. 1, 11, ni, p. 2. — Coïncidence des tumeurs carcinomateuses du crâne avec les tumeurs cancére
ni, p. 2. — Coïncidence des tumeurs carcinomateuses du crâne avec les tumeurs cancéreuses de la dure-mère. 8e liv., pl. 1,11, m
de la dure-mère. 8e liv., pl. 1,11, m, p. 3. — Effets différens des tumeurs cancéreuses développées dans la dure-mère et le c
ffets produits par des causes en apparence identiques dans des cas de tumeurs cancéreuses du cerveau. =La thérapeutique des tum
dans des cas de tumeurs cancéreuses du cerveau. =La thérapeutique des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère est tout-à-f
uxdu cerveau, chez un calculeux opéré. 8e liv., pl. 1,11, ni, p. 8. — Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère. Hydropisi
ydropisie des ventricules et du tissu cellulaire sous-arachnoïdien. = Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère comprimant
elles. Affaiblissement de la myotiliié. 8e liv., pl. 1,11, ni, p.p. — Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère, née des g
sence de l'olfaction et de la vision. 8e liv., pl. 1, 11, m, p. //. — Tumeur carcinomateuse sous-arachnoï-dienne de la convexi
épileptiforme. 8e liv., pl. 1, 11, m, p. 12. — En quoi consistent les tumeurs blanches. 9e liv., pl. 11, ni, iv, v, vi, p. /. —
ches. 9e liv., pl. 11, ni, iv, v, vi, p. /. — Expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de l'utérus hors l'état de grossesse. 1
tat de grossesse. 11e liv., pl. v, p. 2. — Caractères anatomiques des tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. 11,111, p. 3
des tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. 11,111, p. 3.—Cas de tumeur encéphaloïde du foie. 12e liv., pl. 11, m, p. g.
. 3.—Cas de tumeur encéphaloïde du foie. 12e liv., pl. 11, m, p. g. — Tumeurs fibreuses avec kyste séreux de l'utérus coïncidan
versement du vagin. 13e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. i5. — Résultat des tumeurs fibreuses de l'utérus; déformations qu'elles font
des efforts d'expulsion. 13e liv., pl. 1, n, m, iv, v, vr, p. / ?. — Tumeurs érectiles occupant la main et l'avant-bras. 23e l
ctiles occupant la main et l'avant-bras. 23e liv., pl. m, iv, p. /. — Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses du cerveau. 25e liv.
mes épileptiques. 25e liv., pl. 11, p. 3. — Ages les plus exposés aux tumeurs tuberculeuses et aux tumeurs cancéreuses. Peut-on
l. 11, p. 3. — Ages les plus exposés aux tumeurs tuberculeuses et aux tumeurs cancéreuses. Peut-on guérir les tubercules du cer
. Peut-on guérir les tubercules du cerveau? 25e liv., pl. it, p. 4. — Tumeurs sous-arachnoïdiennes causes de paraplégie par com
causes de paraplégie par compression. 32e liv., pl. 1, 11, p. 2. — Tumeur encéphaloïde de la queue de cheval. 32e liv., pl.
ncéphaloïde de la queue de cheval. 32e liv., pl. 1, 11, p. /7, / ?. — Tumeurs érectiles du crâne. 33e liv., pl. iv, p. /. — Y a
érectiles du crâne. 33e liv., pl. iv, p. /. — Y a-l-il deux sortes de tumeurs érectiles, les unes formées aux dépens du système
aux dépens du système capillaire artériel. 33e liv., pl. iv, p. 2. — Tumeurs carcinomateuses de la dure-mère. 33e liv., pl. ni
t les plus fréquentes de la fièvre puerpérale. 4e liv., pl. vi, p. 2.— Tumeur fibreuse ramollie de l'utérus. 5e liv., pl. vi, p
p. 2.—Tumeur fibreuse ramollie de l'utérus. 5e liv., pl. vi, p. 3, 4.— Tumeurs fibreuses coïncidant avec la grossesse; leur infl
près l'accouchement. 11e liv., pl. v, p. /. — Expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de l'utérus hors l'état de grossesse. 1
aire entre les polypes fibreux nés du tissu propre de l'organe et les tumeurs fibreuses. 11e liv., pl. vi, p. /. — Déchirure du
us dans les vaisseaux lymphatiques. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 44. — Tumeurs fibreuses avec kyste séreux de l'utérus coïncidan
S MATIÈRES. dans toute sa longueur. 13e liv., pl. 1,11, m, p. 46. — Tumeurs fibreuses de l'utérus ; leurs résultats; déformat
ales et vaginales, plexus veineux utérins et vésicaux remplis de pus. Tumeur encéphaloïde dans le cerveau expliquant les mouve
temps. 23e liv., pl. v, p. /.— Coïncidence des cancers utérins et des tumeurs encéphaloïdes du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3.
ns et des tumeurs encéphaloïdes du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Tumeur fibreuse proéminant dans le vagin à la manière d'
— Considérations sur l'adhérence des lèvres du museau de tanche à la tumeur ; idem, sur le ramollissement des corps fibreux. 2
extirpation du museau de tanche. 39e liv., pl. m, p. 3. V. VAGIN. Tumeurs fibreuses avec kyste séreux de l'utérus, coïncida
es avec un ramollissement apoplectique. 20e liv., pl. in, iv, p. 4. — Tumeurs érectiles occupant la main et l'avant-bras. 23e l
marquable de veine-cave supplémentaire. 27e liv-, pl. îv, p. 6. — Les tumeurs cancéreuses des veines se divisent en deux espèce
ec luxation consécutive, suivie de guérison. 4e liv., pl. iv, p. 3. — Tumeurs encéphaloïdes, développées dans l'épaisseur du co
., pl. 1,11, m, p. 11. VISION. Absence de la vision résultant d'une tumeur olfactive de la dure-mère. 8e liv., pl. 1, n, ni,
liv,v Avant-Propos, p. iij. WENZEL (J. et C). Leurs travaux sur les tumeurs fongueuses ou cancéreuses de la dure-mère. 8e liv
2 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
eignait 1 m. 75 environ. L'aînée des soeurs succomba à 51 ans d'une tumeur abdominale, elle était d'une taille absolument
le malade mourut, on fit l'autopsie qui confirma l'existence d'une tumeur hypophysaire des di- mensions d'une noix et qui
ns le cas de Bracco Giuseppe j'a- vais réussi à fixer le soupçon de tumeur de la glande pituitaire, mais dans notre cas l'
d. L'infantilisme vrai. Nouv. Icon. de la Salp., 1907. Baiiinski. - Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
tlilisme dyslhyroidien. Thèse de Paris, 1907. Bergmanx ET STEU.mus. Tumeur de l'hypophyse et de la région hypophysaire. Jour
ruz 6. CusniNG. Infuntilisme sexuel avec atrophie optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journ. of. nciv. and. nient. ll
. Wiener klin. Rundschau, 1901, nos 41-48. Fucus. - Diaynolic des tumeurs de l'hypophyse. Jahrb. f. Psycli., 1904, vol. XXV
1ES .VEI JE USL`S (D E. FLATAU) A L'IlOPlTAL ISRAÉLITE A VARSOVIE TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRA
ns des pl us importantes au moment actuel est sans doute 'celle des tumeurs du système nerveux central. Après une longue époq
ir, si si minime qu'il soit, nous guide surtout quand il s'agit des tumeurs du cerveau et de la moelle épinière. C'est de c
emier, a attiré l'attention sur cette question. Il diagnostiqua une tumeur de la moelle épinière et décida de l'opérer. L'
es résultats très favorables obtenus dans quel- ques opérations des tumeurs médullaires pour que les neurologistes et les c
i que dans ceux qui le suivent, nous voyons que le nombre de cas de tumeurs ex- tramédullaires opérées et publiés était lia
moi (Voir ci-dessous l'Observation XIII). Ensuite des opérations de tumeurs de la 48 FLATAU moelle épinière furent faites
on com- plète ou une notable amélioration). La classification des tumeurs de la moelle épinière les divise en deux grands
épinière les divise en deux grands groupes. Le premier contient les tumeurs localisées dans les tissus avoisinant la moelle
le) et qui la compriment secondairement; dans le second groupe, les tumeurs de la moelle même (tumeurs intraméciullaires).
condairement; dans le second groupe, les tumeurs de la moelle même ( tumeurs intraméciullaires). Bruns, dans sa mono- graphi
dans sa mono- graphie divise le premier groupe en deux classes : a) tumeurs à point de départ dans la colonne vertébrale ou
point de départ dans la colonne vertébrale ou tissus mous voisins ( tumeurs vertébrales) et b) les tumeurs des méninges (tu
e vertébrale ou tissus mous voisins (tumeurs vertébrales) et b) les tumeurs des méninges (tumeurs intravertébrales). A celt
mous voisins (tumeurs vertébrales) et b) les tumeurs des méninges ( tumeurs intravertébrales). A celte dernière classe, app
intravertébrales). A celte dernière classe, appartiennent : 1° les tumeurs qui ont comme point de départ le périoste de la
la face externe de la dure-mère ou le tissu graisseux environnant ( tumeurs extradurales). Bruns considère tout à fait à pa
nant (tumeurs extradurales). Bruns considère tout à fait à part les tumeurs qui, par un bout entrent dans le canal rachidie
deux bouts communi- quent par les trous de conjugaison. Ce sont des tumeurs en forme de sablier (Sauduhrge-Schrvülsle) ; 2°
ont des tumeurs en forme de sablier (Sauduhrge-Schrvülsle) ; 2° les tumeurs à point de départ de la face in- terne de la du
n de tous les cas en trois parties : dans la première je traite des tumeurs vertébrales ; dans la seconde, des tumeurs que j'
a première je traite des tumeurs vertébrales ; dans la seconde, des tumeurs que j'aurais nommées extravertéGrales, ce sont
nde, des tumeurs que j'aurais nommées extravertéGrales, ce sont des tumeurs qui ont leur point de départ dans les parties e
rous de conjugaisons dans le canal rachidien (il y a des cas où les tumeurs ,sans pencher môme dans ce canal, donnent des sy
ssion médullaire) ; enfin, dans la troi- sième partie il s'agit des tumeurs inlravertébrales. Des 22 cas ci-dessous, 3 ont
publiés avec les Drs Klichen, Sterling Z) et Mlle Zylberbast. ' . Tumeurs de la moelle épinière et DE la COLONNE vertébrale
la moelle épinière et DE la COLONNE vertébrale 49 PREMIÈRE PARTIE TUMEURS VERTÉBRALES Observation I. La malade A. K...,
e du D1' Sawicki ... Au mois de mai 1906 elle a remarqué une petite tumeur au sein gauche qui grossissait peu à peu. Au mo
sur le sternum, on palpe une induration de la peau sous forme d'une tumeur de la grandeur d'une prune. Des petites tumeurs
eau sous forme d'une tumeur de la grandeur d'une prune. Des petites tumeurs rosâtres se trouvent dans le voisinage. Le me
étastases dans les cotes. La surface de la moelle épinière est sans tumeur . De même les organes internes. L'exameu microsc
douleurs dans les membres inférieurs. Pendant ces dernières années TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBHALE
rticale qui passe par le sommet de l'aisselle, se trouve une petite tumeur de volume d'un pois, mobile sous la peau. Elle
est pas douloureuse au palper. Mais cette région, en de- hors de la tumeur et en bas, est douloureuse. Sur la face antérie
gne médiane du cou un peu il gauche de la pomme d'Adam, on voit une tumeur de la grosseur d'une prune, molle et lobulée. 2
prune, molle et lobulée. 26 avril.- On opère. On extirpe une petite tumeur dans le Xe espace inter- costal gauche. 29 ma
de l'aine gauche sont mieux palpables que les droits. Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale au niveau des vertèbres
é. La sensibilié est intacte. Le foie, la rate sont normaux. Pas de tumeurs palpables sous la peau. Mort dans la seconde moit
ables sous la peau. Mort dans la seconde moitié d'oc- tobre 1908. TUMEURS DE LA MOELLE ¡;PINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRAL
NE VERTÉBRALE 53 L'examen microscopique (Dr Dmochovski) delà petite tumeur extirpée le 26 mai nous enseigne que c'est une
aire. Il faut supposer que c'est une mé- tastase hypodermique d'une tumeur primitive de la colonne vertébrale (égale- ment
ont douloureux, (et plus en dehors du mamelon, on trouve une petite tumeur dans le Xe espace intercostal gau- che sur la l
, on voit de nombreuses verrues et des taches^ bru- il ? Iresel une tumeur assez considérable en dehors de la pomme d'Adam.
sculaires fessières et diminution de leurs mouvements. Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale dans la partie inférie
naux impossibles à produire. Dans ce cas il s'agit sans doute d'une tumeur . Mais il nous semble qu'elle n'était pas locali
tait pas localisée uniquement dans la colonne vertébrale. La petite tumeur excisée pendant la vie avait le caractère d'une n
es cachées. Les symptômes principaux dépendaient tout de même de la tumeur de la colonne vertébrale. Il faut prendre en vu
ers les dernières côtes, surtout du côté droit et sur l'abdomen. La tumeur se trouvait comme il faut l'admettre dans l'os mê
op peu pour se prononcer pour une maladie de la moelle épjnière. La tumeur était maligne. Le docteur Dmochovski qui a eu l
eu l'obligeance d'examiner les coupes suppose qu'il s'agissait d'une tumeur primitive de la colonne vertébrale (endothéliom
e Sz., âgée de 43 ans, est entrée à l'hôpital le 5 juillet 1 ! J08, TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
nt. Il y a 6 ans, la malade a subi une opération : on a extirpé une tumeur de l'utérus. Pas d'autres maladies. Elle a 7 en
s paresthésiesdans ledos et le ventre. Il y a 6 ans, ablation d'une tumeur utérine ; 8 mois avant l'entrée à l'hôpital, el
uleurs s'arradient vers les hypocbondres et l'abdomen. Les douleurs TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
pital sans amélioration. Dans ce cas il s'agissait sans doute d'une tumeur des vertèbres. En faveur de ce diagnostic parte
an 1/2 depuis le début de la maladie). Cela nous fait penser que la tumeur n'a pas provoqué de changement organique grave da
ait augmenté de volume peu à peu apparaissait dans cette région une tumeur . Elle croissait audébntassez vite, puis (il y a
(il y a quelques années) est restée stationnaire. Depuis 2 ails la tumeur croit dans la partie supérieure du sternum. Au dé
rps thyroïde est augmenté de volume, dans le lobe droit on sent une tumeur dure. Dans la par- tie supérieure du sternum, t
it on sent une tumeur dure. Dans la par- tie supérieure du sternum, tumeur du volume d'un oeuf, molle. A la percus- siou,
brium du sternum. On ne constate pas une limite bien nette entre la tumeur du corps thyroïde et celle du sternum. La colon
rsales du côté droit, tout près de la colonne même, on constate une tumeur bien dou- loureuse la palpation. Les mouvements
de l'appendice typhoïde et sur la Ire côte droite sont apparues des tumeurs molles bien douloureuses. 34.- On a appliqué le
oureuses. 34.- On a appliqué les rayons de Roentgen : 8 fois sur la tumeur du sternum et9 fois sur la colonne vertébrale (
exes peauciers (plantaire, abdominaux et crémastérien) très vifs. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
l'augmentation de son corps thyroïde ; finalement il s'y forme une tumeur . Depuis deux ans, une autre tumeur sur la régio
de ; finalement il s'y forme une tumeur. Depuis deux ans, une autre tumeur sur la région supérieure du sternum. Douleurs d
vertébrale, douleurs en cein- ture sous les côtes. Etat actuel. - Tumeur dure dans le lobe droit du corps thyroïde. Une
tat actuel. - Tumeur dure dans le lobe droit du corps thyroïde. Une tumeur dans la région supérieure du sternum. Les vertèbr
les réflexes du tendon d'Achille disparaissent des deux côtés ; des tumeurs douloureuses apparaissent sur l'appendice xyphoïd
ai- blie. Les douleurs de la nuque le font gémir. Dans ce cas, la tumeur croissait lentement depuis plusieurs années. To
ait lentement depuis plusieurs années. Tout d'abord on constate une tumeur dans le corps thyroïde. Puis des néoformations
ont expliqués par la compression des racines sacrées exercée par la tumeur . Il est possi- ble que la tumeur placée dans la
des racines sacrées exercée par la tumeur. Il est possi- ble que la tumeur placée dans la le, vertèbre lombaire comprimât du
venir aussi de la com- pression des racines sacrées exercée par une tumeur située dans' l'os sacré même, mais une telle lo
eur située dans' l'os sacré même, mais une telle localisation de la tumeur n'a pas été constatée et le malade n'a pas eu d
typhoïde avec une psychose aiguë. La famille est bien porlante. I tumeurs DE la moelle épinière ET DE la COLONNE vertébrale
es, et à l'examen de ces vertèbres, le D'' Krajëwste y constata une tumeur . L'examen électrique ne montre rien d'anormal d
ue ni au galvanique (à droite, lent et normal). L'opération de la tumeur fut impossible ; le malade gravement atteint quit
llaire droit, faible, le gauche, aboli, le plantaire est normal, la tumeur des In, n., III" et IVe vertèbres lombaires est
se donne plusieurs fois par jour. Nul doute qu'il s'agisse d'une tumeur . Les vertèbres (II, III, IV) lom- baires doulou
vant ne laissaient pas de doutes quant à la cause de la maladie. La tumeur se développait évidemment dans les vertèbres même
ure des deux membres inférieurs font supposer cette situation de la tumeur . L'absence de dou- leurs sur la face postérieur
avec cette localisation. Il y a encore une question à résoudre : la tumeur comprimait-elle les racines en dehors des corps
en effet difficile d'expliquer ces symptômes par l'existence de la tumeur dans les vertèbres sacrées. Ces dernières n'étaie
la palpation ne donnaient pas d'im- pression d'être envahies par la tumeur (qui se terminait au-dessus du sacrum). Enfin c
a deux mois et demi elle a ressenti des douleurs au sacrum. Pendant TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
n a constaté : au niveau de la XIe vertèbre sa- crée à peu près une tumeur dure, élastique, à surface lisse, douloureuse à
ur dure, élastique, à surface lisse, douloureuse à la palpation. La tumeur occupe la face antérieure du sacrum et prend sa n
roite du.sacrum et finit par un enfoncement qui la sépare d'une autre tumeur , 64 flatau ' allongée occupant le bord droit
atau ' allongée occupant le bord droit du sacrum. Ainsi il y a deux tumeurs séparées par une gouttière. La tumeur gauche oc
du sacrum. Ainsi il y a deux tumeurs séparées par une gouttière. La tumeur gauche occupe la moitié gauche et une partie de
droite, la partie droite du sacrum. Vers le haut on peut palper les tumeurs encore au niveau de la 11-1 vertèbre sacrée, puis
sa partie infé- rieure. Le toucher rectal démontre l'existence des tumeurs sur la face antérieure de l'os (vers le haut on
la face antérieure de l'os (vers le haut on peut suivre du doigt la tumeur jusqu'à la 11-1 vertèbre sacrée, mais sans pouv
ur l'examen par le rec- tum, on peut affirmer ici l'existence d'une tumeur de l'os sacré, dans sa moitié gauche principale
éflexe patellaire peut être attribué à l'affection de racines loin- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
uniquemenl dans la moitié gauche, etc. Il est plus probable que la tumeur en s'étendant de plus en plus vers la gauche et
es jambes. Les vertèbres lombaires inférieures sont douloureuses. TUMEURS DE LA MOELLE EPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
men. On ne constate ni tuberculose ni syphilis. Le diagnostic de la tumeur médullaire au niveau des VIlle-IX" segments dor
ements plus amples avec sa jambe gauche. Pendant son séjour â l'60- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
. Cordon latéral droit. - 6. Racine. - 7. Cordon postérieu droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
uement ou horizontalement comme on le voit dans le bulbe. Fio.3 3 TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
quantité normale. Dans les cas ci-dessus décrits,il s'est agi de 7 tumeurs malignes (carci- nomes, sarcomes) de la colonne
malignes (carci- nomes, sarcomes) de la colonne vertébrale et d'une tumeur seulement de nature bénigne (ostéome).Ces quelq
du diagnostic de l'anatomie pathologique et de la thérapeutique des tumeurs vertébrales. La description détaillée de ces
peutique des tumeurs vertébrales. La description détaillée de ces tumeurs se trouve dans la monogra. phie de Schlesinger
ies faites à l'hôpital de Vienne pendant 18 ans, on a eu 151 cas de tumeurs de la moelle épinière ou des méninges et des pa
parois c'est-à-dire de la colonne vertébrale. Quant à la nature des tumeurs vertébrales (au cours de 17 ans, à l'Ins- titut
atomique à Vienne, on autopsiait 97 cas), voici la classification : TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ent eu leur localisation primitive au sein. Assez souvent aussi, la tumeur primitive siège dans les bronches, l'oesophage,
survenant chez une femme d'dge moyen on avancé, qui a eu déjà une tumeur au sein, font penser (1 la possibilité d'une méta
la suite de formes dures du cancer du sein. Le temps, qui sépare la tumeur primitive de sa métastase dans la colonne, est
ation de l'utérus (cancer) jusqu'à l'apparition des symptômes de la tumeur de la colonne vertébrale, il s'est écoulé cinq
n cas publié par Rénon et Tixier où 28 ans se passèrent avantque la tumeur primitive du sein donnât la métastase dans le cer
ur primitive du sein donnât la métastase dans le cerveau. Quant aux tumeurs d'autre nature, nous dirons seulement à propos
à propos du sarcome, qui occupe la deuxième place parmi toutes les tumeurs , qu'il peut naître primitivement dans les vertè
ut naître primitivement dans les vertèbres. Mais le plus souvent la tumeur vertébrale provient des organes voisins (médias
de conjugaison, dans le canal rachidien et la moelle. Les autres tumeurs peuvent être des métastases ou naître dans diffé-
ymptômes de la maladie, on distingue dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébrales des symptômes osseux, radiculaires et
ne peut ne pas présenter de déformations (localisation centrale des tumeurs ). Comme trait le plus caractéristique du carcin
y a des cas où les douleurs disparaissent pendant un certain temps, TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ilatérale surtout doit évoquer le soupçon qu'il s'agit plutôt d'une tumeur vertébrale (Charcot). Minor et d'autres font re
cancéreux, Charcot). Ces cas rares surviennent surtout au cours des tumeurs siégeant dans la région lombaire ou cervicale,
douleurs c'était l'unique symptôme qui indiquât l'exis- tence de la tumeur . Dans d'autres cas il y a des atrophies muscula
de la maladie que lorsque les symptômes cliniques et l'existence de tumeurs dans d'autres régions du corps indiquent la possi
éoformation : « cancer de la colonne vertébrale u. Quant aux aulres tumeurs malignes, leurs traits caractéristiques sont à pe
er l'attention sur ce point encore que le tableau clinique même des tumeurs malignes peut être interrompu par une rémission.
re plus long- temps, quelques années par exemple. Dans les cas de tumeurs d'autre nature il y a également des combinai- s
nomycose des VIIc et Xle vertèbres dorsales). Frich a décrit un cas TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
peu- vent résulter d'une intoxication au cours du développement de tumeurs malignes, la compression peut donc ne pas inter
era exami- née la structure anatomique de la. moelle frappée par la tumeur maligne. Une forme de tumeur bénigne, l'ostéome
natomique de la. moelle frappée par la tumeur maligne. Une forme de tumeur bénigne, l'ostéome de la colonne vertébrale, mé-
Oppenheim et Krause). Le tableau clinique dans d'autres formes de tumeurs (échinocoque, angiome, endothéliome) ne diffère
combinaison avec les symptômes du côté des vertèbres) La nature des tumeurs est décelée seulement sur la table d'autopsie.
ement sur la table d'autopsie. Quant au diagnostic différentiel des tumeurs vertébrales, il est très difficile de les disti
907. Schlesinger donne les indications suivantes pour distinguer la tumeur delà carie. Premièrement la forme de la saillie
peau et le zona parlent en faveur du cancer. La dégénérescence des tumeurs de même que la formation des abcès froids parle
rie. La constatation de la tuberculose dans d'autres organes ou des tumeurs primitives surtout osseuses. Tare héréditaire d
faveur du cancer. Les fractures des os longs parlent en faveur des tumeurs .Examen du sang : une leucocytose parle en faveu
ë peut constituer le premier symptôme morbide. Quelquefois quand la tumeur occupe la par- tie postéro-latérale des corps v
dans quelques cas où l'on hésitait entre la carie vertébrale et la tumeur de la moelle. La réaction de Pirquet était posi
stic différentiel doit être fait avec les névralgies, l'ostéite dé- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
lésions qu'on peut constater dans la moelle épinière au cours d'une tumeur vertébrale peuvent être différentes selon la mani
noter ici deux faits im- portants : a) que malgré l'existence d'une tumeur vertébrale la moelle épi- nière peut être parfa
y a des cas dont le tableau clinique simule entièrement celui d'une tumeur vertébrale maligne avec troubles mé- dullaires
troubles mé- dullaires et où l'autopsie démontre qu'il y avait des tumeurs ailleurs (non dans la colonne vertébrale), et d
rs vertébrales se présente schéma- tiquement comme il suit : ' I. Tumeurs vertébrales malignes sans lésions médullaires ou
l y ait une localisation médullaire des masses néoformées. IL Les tumeurs vertébrales malignes compriment les racines, sa
tiennent les cas d'autres auteurs qui constatèrent à l'autopsie des tumeurs verté- hrales, tandis qu'ils constataient penda
re les changements précités et l'étal des vaisseaux et des cloisons TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE Er DE LA COLONNE VEUTÉBRALE
question des lésions histopatho- logiques de la moelle au cours des tumeurs extravertébrates). Nous mentionnerons ici brièv
ertébrates). Nous mentionnerons ici brièvement que, dans les cas de tumeurs bé- nignes (ostéome) qui pénètrent dans le cana
ions sont analogues à celles qui se produisent sous l'influence des tumeurs intradurales (v. plus loin IIIe partie). - 1
es tumeurs intradurales (v. plus loin IIIe partie). - 1 IV. - Les tumeurs vertébrales pénètrent dans le canal rachidien, tr
tastatiques se produisent au sein de la moelle (Chiari). Lorsque la tumeur est localisée dans le sacrum, peuvent être attaqu
cas étranges et paradoxaux, mais néanmoins très importants ? oùles tumeurs malignes localisées dans diffé- rents organes d
fé- rents organes donnent des symptômes qui simulent entièrement la tumeur vertébrale avec ses phénomènes médullaires. Ain
te question nous mènerait trop loin (v. l'anatomie pathologique des tumeurs extravertébrales dansla IIepar- tie). Nous fero
brales dansla IIepar- tie). Nous ferons seulement remarquer que les tumeurs malignes des or- ganes même très éloignés de la
e caractère cancéreux ou c) fait connaître des lésions cancéreuses ( tumeurs ou inlil- tration cancéreuse des méninges et en
r présents à l'esprit les faits mentionnés quand on diagnostique la tumeur vertébrale, surtout quand on cherche à expli- q
ômes médullaires. Dans notre premier cas on pouvait supposer que la tumeur avait passé des vertèbres dans la moelle ou au
changements ont été capables de donner des symptômes médullaires. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
OLONNE VERTÉBRALE 80 THÉRAPEUTIQUE. Le traitement chirurgical des tumeurs vertébrales n'a pas jusqu'à pré- sent été suivi
s qu'on a obtenus jusqu'à présent dépendent bien de la na- ture des tumeurs . On a opéré quelquefois les cancers vertébraux (S
la moitié gauche du sacrum. La guérison s'en suivit, puis une autre tumeur apparut dans les ne-Va vertè- bres dorsales (el
aux Ve et VIe vertèbres dorsales. On excisa les arcs vertébraux. La tumeur n'adhérait pas à la dure-mère. La moelle était co
de 6 semaines. Putnam et Elliot opérèrent un sarcome du sacrum. La tumeur avait pro- duit une raréfaction de l'os et enva
ès. En dehors du cancer et du sarcome on a opéré différentes autres tumeurs vertébrales. Notamment l'enchondrome des vertèb
s nous n'avons pas pris en considé- ration toutes les opérations de tumeurs vertébrales exécutées jusqu'à main- tenant. Nou
fférents tableaux, se modifiant suivant la nature et le siège de la tumeur . D'après la statistique de Stursberg il parait
tique de Stursberg il parait que jusqu'à l'année 1908 on a opéré 22 tumeurs ayant comme point de départ les vertèbres ou les
elle est encore à discuter. En ce qui concerne la localisation des tumeurs vertébrales il suit des TUMEURS DE LA MOELLE ÉP
ce qui concerne la localisation des tumeurs vertébrales il suit des TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
s neurologistes de Dresde) que les moin- dres chances sont pour les tumeurs de la région inférieure (la queue de cheval).
e traitement spécifique (le mercure et l'iode) dans tous les cas de tumeurs vertébrales même non syphilitiques, excepté le
IES NERVEUSES (Dr E.' li'LA1'AV) A L'HOPITAL ISRAÉLITE A VARSOVIE TUMEURS DE LA MOELLE EPINIERE - ET DE LA COLONNE VERTÉB
VERTÉBRALE - (Suite) · PAR - Edouard FLATAU IIe PARTIE Les tumeurs extravertébrales. Observation IX La malade R.
ans la Medycynaen 1906. Ici il n'y a qu'un résumé. 141 - FLATAU tumeur du volume d'un oeuf de poule passait sur la cage
topsie (Dr Steinhaus) montra dans le quart supérieur du sternum une tumeur plate. Au même niveau, sur la face postérieure du
. Au même niveau, sur la face postérieure du sternum, on voyait une tumeur adhérente au sommet du poumon droit et à la masse
sse néoplasique située derrière le poumon gauche. Du côté gauche la tumeur passait au-dessous du sternum et se réunissait
par la masse néoformée molle, rosée, constituée par une quantité de tumeurs et comprimant le coeur et les gros vaisseaux. L
est'occupé par cette masse de même que le médiastin postérieur, la tumeur englobe l'aorte. La bronche gauche se trouve au
a tumeur englobe l'aorte. La bronche gauche se trouve au sein de la tumeur . Dans la vésicule biliaire, une métastase. Colonn
l rachidien.Après avoir ouvert le canal rachidien on cons- tate une tumeur du côté droit adhérente à la dure-mère dans l'éte
VIe racines dorsales. Dans le cerveau il n'y a pas de lésions. La tumeur médullaire (se trouvait en dehors de la dure-mère
hors de la dure-mère (fig. 4). Les coupes sériées démontrent que la tumeur apparaît pour la première fois au niveau du III
ral de la moitié droite de la moelle. Au-dessous du IIIe segment la tumeur commence à augmenter de volume dans la directio
egment dorsal (le diamètre sagittal 12 mm., frontal - 10,5 mm.). La tumeur englobe à cette hauteur presque toute la moitié
lle, excepté sa partie antérieure. En allant vers le bas'on voit la tumeur diminuer, elle disparaît au-dessus de .l'entrée d
stérieure de la moitié gauche (son épais- seur atteint 1/2 mm.). La tumeur est un sarcome à cellules rondes. Dans la moell
le même on constate des lésions dans une région qui correspond à la tumeur extravertébrale, c'est-à-dire au niveau des IVe e
nerveux est alors aréolaire, troué comme un tamis ; il rappelle par TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
tour). Les changements s'effacent à mesure qu'on' s'éloigne de la tumeur . On ne constate pas d'autres grands foyers de
zone périphérique des cordons antéro-latéraux). Au-dessous de la tumeur jusqu'au XIIe segment dorsal on remarque des ma
s le cordon latéral 2. Dure-mère. droit. 3. Racine antérieure. 5. Tumeur . TUMEURS DE LA MOELLE épinière ET DE LA COLONNE
n latéral 2. Dure-mère. droit. 3. Racine antérieure. 5. Tumeur. TUMEURS DE LA MOELLE épinière ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
Il est évident que déjà à ce moment-là l'épanchement était dû à la tumeur se développant dans le médiastin. Les symptômes
'apparition des symptômes médullaires. ' L'autopsie découvrit une tumeur du médiastin et sa pénétration dans le canal ra
aison dans la région des IULE et Vie racines dorsales droites. La tumeur était extérieure par rapport à la dure-mère. L'ex
blanche et grise, plus évidentes dans la moelle qui correspond à la tumeur . Enfin comme résultat de ces lésions on constat
ogues à celles 118 FLATAU constatées maintes fois dans les cas de tumeurs cérébrales et surtout cé- rébelleuses. Grâce au
sternum est bombé et la voussure se confond insensiblement avec la tumeur qui envahit le corps thyroïde et la partie infé
des articulations du cou-de-pied et des orteils. Les réflexes ten- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ait pas de lésions macroscopiques. On ne cons- tatait nulle part de tumeurs sa surface. Examen microscopique. On a constaté
aspect de larges alvéoles Fig. 6. .Moelle épinière dans un sac de tumeur extra-vertébrale , sans pénétration dans le can
meur extra-vertébrale , sans pénétration dans le canal rachidien. TUMEURS DE LA MOELLE EPINIÈRK ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
'examen de la malade fait trois jours avant sa mort on constate une tumeur de la région supérieure du thorax envahissant l
u'aux Ve-I ? espaces intercostaux. Le sang contient 14.160 leucocy- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
s. L'autopsie de tout le corps ne put être faite. Tl s'agissait d'une tumeur sans aucun doute, de lymphosarcome probablement
nérescences secondaires. Ce cas nous prouve que lorsqu'il va une tumeur dans l'organisme, même tout à fait en dehors de
topsie de tout le corps n'ayant pu être faite, on ne sait pas si la tumeur a pénétré jus- qu'aux corps des vertèbres. La m
ires, par leur localisation,correspondaient en partie au moins à la tumeur (gonflement du cou, immobilité de la tête). La st
aible que le droit. Le roentgenogramme (Dr Barszczewski) montre une tumeur au-dessous de la clavicule droite et dans la ré
vie au mois de décembre 1906. Résumé. Dans ce cas il s'agit d'une tumeur occupant la région des vertèbres dorsales moyen
nétrant dans la partie supérieure de la cavité thoracique droite. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 155 La tumeur (le lymphosarcome ? ) provoquait des douleurs loc
a maladie de la moelle. Il est connu que dans des cas analogues-une tumeur extravertébrale peut ne pas donner de symptô- m
n'est qu'une exacerbation rapide de la maladie, l'apparition de la tumeur au-dessus de la clavicule et la paraplé- gie qu
e au-dessus des muscles et les soulève. Examen, microscopique. La tumeur est un sarcome mixte. Moelle épinière : Les cou
par la méthode de Weigert démontrent les altérations suivantes : TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
atéral droit. 3. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
nt lombaire il n'y a pas de foyer dans le cordon latéral Fig. 10. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
iltration cellulaire des vaisseaux ou de leur voisinage. Quant à la tumeur même, elle adhère à la face externe de la dure-mè
externe de la dure-mère. Cette dernière constitue une limite que la tumeur ne franchit pas. Pourtant dans un endroit on vo
s cellules nerveuses dégénérées dans une région qui correspond à la tumeur . Il y a précisément la chromatolyse péri- phéri
ors survint la paralysie presque instantanée des membres inférieurs TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
us sous-entendons les douleurs qui dépendaient probable- ment de la tumeur . ' ` Il est un fait connu, c'est que les tumeur
bable- ment de la tumeur. ' ` Il est un fait connu, c'est que les tumeurs peuvent rester longtemps sans donner de symptôm
myélite aiguë ou subaiguë. L'autopsie démontra la présence d'une tumeur , qui au début était sans doute localisée unique
ment à un moment de la maladie (quelques semaines avant la mort) la tumeur a augmenté rapidement de volume et a pénétré dans
moelle au niveau des segments correspondant à la localisation de la tumeur dé- montrèrent des lésions notables. Dans les c
t dans les foyers et en dehors d'eux, à une certaine distance de la tumeur , un élargissement des espaces péri- vasculaires
lésions, il est difficile de l'indi- quer d'une façon certaine. La tumeur ne comprimant pas la moelle il est risqué d'évo
est risqué d'évoquer les causes mécaniques. Mais d'un autre côté la tumeur se trouvait sur la face postérieure de la dure-
la question. Il est possible que certaines toxines produites par la tumeur même ont joué un rôle important, comme c'est le c
t, comme c'est le cas par exemple dans la carcinomatose, quoique la tumeur même n'ait aucun rapport immé- diat avec la moe
présent est bien instructif dans ce sens qu'il démontre comment la tumeur extramédullaire peut simuler cliniquement une myé
Il y a neuf mois elle a remarqué, du côté gauche du cou une petite tumeur qui augmentait toujours. Il y a six semaines el
. Etal actuel. - Etat général assez bon. Du côté gauche du cou, une tumeur du volume d'une grosse orange, aplatie. En avan
iane, en bas, de deux travers de doiglau-dessus de la clavicule. La tumeur est assez molle, par TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINI
s de doiglau-dessus de la clavicule. La tumeur est assez molle, par TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE El' DE LA COLONNE VERTÉBRAL
465 places seulement dure, elle est constituée de quelques petites tumeurs réunies ensemble. Sa mobilité est moyenne, la p
tres cubes de liquide jaune séreux. 13 juillet. - Opération de la tumeur . ' 15 août. Il y a quelques semaines, après l'o
umeur. ' 15 août. Il y a quelques semaines, après l'opération de la tumeur située du côté gauche du cou, la malade- commen
entée. Au cou, au-dessous de l'apophyse mastoïde, il y a une petite tumeur à contours mal définis, immobile, dure. Dans le
tronc elle ressent des piqûres jusqu'au 3°espace intercostal droit, TUMEURS DE LA MOELLE EPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
'à gauche. En arrière la moelle épinière n'est pas recouverte de la tumeur dans toute son étendue. La moitié droite préci-
st libre en grande partie. Eu avant la moelle est recouverte par la tumeur seulement sur une étendue de 1 1/2 à 2 centimètre
tumeur seulement sur une étendue de 1 1/2 à 2 centimètres là où la tumeur passe de gauche à droite. Les segments cervicau
eur face antérieure tout fait indemne. Examen microscopique. La tumeur est un sarcome alvéolaire à petites cellules. E
rdons dans la substance blanche sont tout à fait bien constitués. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ans qui neuf mois avant d'entrer à l'hôpital a remarqué une petite tumeur du côté gauche du cou. La tumeur croissait peu
à l'hôpital a remarqué une petite tumeur du côté gauche du cou. La tumeur croissait peu à peu, huit mois après sont apparus
près après le début de la maladie. L'autopsie montra une masse néo- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ués en dehors des vertèbres. L'examen microscopique démontra que la tumeur était un sarcome globo- cellulaire. La moelle c
e la moelle cervicale est clairsemée. La compression exercée par la tumeur en était probablement la cause. En faveur de ce
ions dans les cellules nerveuses sont aussi à notre avis provoquées TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLOGNE VERTÉBRALE
h bien ! nous pouvons admettre que dans le cas présent également la tumeur comprimait les ra- cines antérieures et les ner
flammatoires. Nous passons maintenant à la description générale des tumeurs extra- vertébrales : nous dirons quelques mots
ue. Localisation ET diagnostic Des cas précités il résulte que la tumeur se localise assez souvent ail- leurs que dans l
ômes médullaires que secondairement. Nous avons vu dans nos cas une tumeur dans le médiastin. dans les muscles du cou, du
du tronc ou dans la plèvre. L'autopsie de ces cas démontra que les tumeurs pénétraient la plupart du temps dans le canal r
dure-mère. Cette méninge restait intacte ou était traversée par la tumeur . En tout cas la compression de la moelle 174 FL
r- tébraux sous forme de queues d'écrevisse. , Cette catégorie de tumeurs possède ses traits caractéristiques, bien que j
dans les descriptions elles aient été traitées dans le chapitre des tumeurs delà colonne vertébrale ou des tumeurs intraverté
raitées dans le chapitre des tumeurs delà colonne vertébrale ou des tumeurs intravertébrales. Bruns les réunit aux tumeurs
ne vertébrale ou des tumeurs intravertébrales. Bruns les réunit aux tumeurs intravertébrales et il a tort à notre avis. Ces t
i il faut les nommer extravertébrales (1). Quant à la nature de ces tumeurs , ce sont le plus souvent des sarcomes de différ
), des angiolipollles (Berenbruc). La localisation primitive de ces tumeurs est surtout dans le médiastin, ou dans les musc
ius, Benett, Pfeiffer et d'autres). Quelque- fois on peut noter des tumeurs multiples du corps, par exemple un carci- nome
lonne vertébrale dans ces cas reste intacte. Mais il arrive que les tumeurs extra- vertébrales rongent l'os de la colonne e
u- meurs extra et intravertébrales. Mais comme forme typique de ces tumeurs nous considérerons la tumeur extravertébrale qu
ales. Mais comme forme typique de ces tumeurs nous considérerons la tumeur extravertébrale qui pénètre dans le canal rachi
quelquefois facile, pour les malades préci- sément chez lesquels la tumeur primitive médiastinale ou cervicale est visible
e heurte à de grandes diffi- cultés, par exemple dans les cas où la tumeur primitive n'est pas décelée (1) Oppenheim note
mitive n'est pas décelée (1) Oppenheim note un cas de Fischer où la tumeur médullaire pénétrait dans la cavité abdominale
à travers les vertèbres. Mais ce cas comme celui de Schultze (où la tumeur de la queue de cheval pénétrait dans les muscles
se), ne peuvent être considérés que comme des exceptions. "- if TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
affection, il dépend entièrement de la localisation primitive de la tumeur . Dans le cas d'une tumeur médiastinale les symp
ment de la localisation primitive de la tumeur. Dans le cas d'une tumeur médiastinale les symptômes primitifs corres- po
itifs corres- pondent à ceux qu'on rencontre ordinairement dans les tumeurs de cette région.Les phénomènes nerveux peuvent
e région.Les phénomènes nerveux peuvent être de deux sortes : 1° la tumeur peut comprimer les nerfs et les plexus nerveux
iques et médullaires sont à réunir à ceux qui sont provoqués par la tumeur médiastinale, par exemple : la dyspnée, l'oedèm
la face et à la cage thoracique, la 176 FLATAU constatation de la tumeur au-dessus de la clavicule, la proéminence d'une
ques que le diagnostic ne présente pas de difficultés. A côté des tumeurs médiastinales qui pénètrent dans le canal rachidi
dure-mère (ou même jusqu'à la moelle). Dans le cas de Kollarits, la tumeur poussait des muscles du tronc ; dans celui de L
essous de la plèvre ; dans celui de Kinichi- Naka, de la plèvre (la tumeur primitive était le sarcome du scrotum) ; dans l
décrit plus haut avec la différence, que suivant la localisation la tumeur provoque des phéno- mènes médullaires supérieur
fente palpébrale (la même chose arrive bien entendu dans le cas de tumeur médiastinale avec envahissement de la moelle co
riodes du début et puis disparaissent. Dans ces cas également les tumeurs peuvent persister longtemps et don- ner des déf
es malades atteints d'une affection du bulbe (par exemple le cas de tumeur dans la région du IVe ventricule, la mort rapid
ule, la mort rapide des tabétiques, etc.). , A côté des cas où la tumeur extravertébrale pénètre dans le canal rachi- di
anal rachi- dien et comprime la moelle, il en existe d'autres où la tumeur extraverté- brale donne un tableau de lésion mé
sie ne montre pas de masses néoplasiques daus le canal rachidien. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 177 Dans ces cas la tumeur en augmentant peut arriver jusqu'à la colonne v
de la moelle et amener la paralysie. Dans un de nos cas (obs. X) la tumeur envahissait la moitié supérieure de la cavité tho
e voisinage des ganglions spinaux. Il existe une autre catégorie de tumeurs où apparaît la lésion médullaire sans que la tu
e catégorie de tumeurs où apparaît la lésion médullaire sans que la tumeur extravertébrale pénètre dans le canal rachidien.
pénètre dans le canal rachidien. Ce sont précisément des cas où la tumeur se trouvait à une telle distance de la colonne
olonne qu'on ne pouvait pas supposer un contact quelconque entre la tumeur et cette dernière, et pourtant dans ces cas des p
ique et il pense que certaines substances toxiques produites par la tumeur causaient les troubles médullaires. Les lésio
nheim. 11 y a toute une série de travaux où sont décrits des cas de tumeurs extravertébrales éloignées de la colonne, avecd
ces actuelles il est souvent impossible de distinguer les cas où la tumeur extravertébrale a pénétré effectivement dans le c
néoplasiques). C'est pour- quoi l'opération peut ne pas déceler de tumeur intravertébrale quand même il existe la tumeur
ut ne pas déceler de tumeur intravertébrale quand même il existe la tumeur extravertébrale et des symptômes typiques de l'
e (obs. de Martini). Comme règle générale on peut considérer que la tumeur qui se trouve le plus près de la colonne vertéb
il- tration néoplasique. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans les cas de tumeurs médullaires extravertébrales qui pénètrent dans
ntourant la dure- mère (il s'agit le plus souvent de sarcomes ou de tumeurs rapprochées de ceux-ci par la structure). Les m
e les méninges molles et la moelle. Dans un de nos cas (obs. IX) la tumeur est restée uniquement en dehors de la dure-mère-
e uniquement en dehors de la dure-mère- Dans un autre (obs. XII) la tumeur a rongé dans un endroit seulement la méninge et
ge et s'est disposée sur sa face interne. Dans un autre (ohs. XIII) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET UE LA COLONNE VERTÉBRALE
ait que la moelle est surtout réfractaire à l'en- vahissement de la tumeur tandis qu'elle se laisse très facilement envahir
presque jamais la dure-mère. Bruns au contraire est d'avis que les tumeurs endothéliales et les sarcomes alvéolaires nés d
En me basant sur l'observation personnelle je serais d'avis que les tumeurs citées plus haut, surtout les sarcomes venant d
Neurol. Cent., 1900, p. 116) et de Bruns (Arch. f. Psych., 18U3). TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
cas X (la moelle y était libre de néo- plasme, c'est-à-dire que la tumeur n'a pas eu le temps de pénétrer dans le canal r
e (le reste de la moelle est. normal). Il faut donc supposer que la tumeur se pressait con- , tre la colonne vertébrale mê
s notre obs. X). Par analogie nous pouvons dire que dans les cas de tumeurs extraver- tébrales où les masses néoplasiques e
(troubles dans la circulation lymphatique et san- guine). Là où la tumeur a pénétré dans le canal rachidien même, les deu
emps; dans d'autres cas où le canal rachidien reste intact et où la tumeur arrive seulement jusqu'à la co- tonne vertébral
des lésions par ischémie. Enfin dans les cas cités plus haut où la tumeur est très éloignée de la colonne et où pourtant
veux et le détruisent. Il est compréhensible que dans les cas où la tumeur extravertébrale pénètre dans le canal rachidien
ent provoquer des lésions diffuses non seulement là où se trouve la tumeur , mais à une dis- tance plus ou moins grande.
se trouve la tumeur, mais à une dis- tance plus ou moins grande. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
n ne peut pas parler de l'intervention chirurgicale dans les cas de tumeurs médiasti- nales. Par contre il est indiqué d'op
de tumeurs médiasti- nales. Par contre il est indiqué d'opérer les tumeurs primitives, surtout les sarcomes, localisées au
put marcher six semaines après l'opération. Dans le cas de Sick la tumeur (enchondrome) avait pour point de départ le lie
malades et la guérison eut lieu. Dans le cas décrit par Székres la tumeur (échinocoque) était localisée sur le dos et pén
le. Bien que au cours de l'opération on ait éloigné uni- quement la tumeur primitive du dos, huit semaines après le reste du
cou, de la cage thoracique) une améliora- tion dans le sens que la tumeur diminuait et même disparaissait. Mais elle réci
glossie plus ou moins considérable et très souvent des symptômes de tumeur endocrinienne, ce qui est bien loin de se vérif
tiasis ossea de Virchow, qui se caractérise essentiellement par des tumeurs multiples de la face et du crâne donnant à à l'
ne méningite basilaire gommeuse qui donnait l'idée fort nette d'une tumeur de l'angle céré- bello-pontin. , J'ai eu moi-
enté par les traumatismes de la tête. Ainsi-leur influence dans les tumeurs cérébrales, déjà admise par Oppenheim et Bruns,
ÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dr E. PLATA ri) TUMEURS DE, LA MOELLE ÉPINIÈRE , 1.. J, , ET DE LA CO
. ' {Suite) ; " , 'PAR . Edouard FLATAU TROISIÈME PARTIE LES TUMEURS INTRA VERTÉBRALES · ' Observation XIV. ' Le m
de sa maladie avec le Dr Dunin et nous avons posé le diagnostic de tumeur médullaire. Après consultation avec le Dr Kraje
rtèbre dorsale des deux côtés de l'apophyse épineuse. On trouva une tumeur sur la face interne de cet arc (1,5 cm. de longue
(1,5 cm. de longueur, 1 cm. de lar- geur, 0, 6 cm. d'épaisseur).La tumeur était de coloration grise, rougeàtre, lobée, d'
plus mince au niveau de la VIIe vertèbre qu'au niveau des VIIIe et TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
oscopique. - La coupe de la moelle correspondante au ni- veau de la tumeur (VIIIe-Xle, segments dorsaux) présente de profond
s zones périphériques des cordons antéro-latéraux. Au-dessous de la tumeur ,dans la moelle lombo-sacrée existe une légère dég
es préparations par la méthode de Nissl. Eh ! hien, au niveau de la tumeur , la substance grise a perdu complè- tement ses
à ce niveau (la région postérieure). En descendant (du niveau de la tumeur ), on voit des modifications notab'es de la conf
Résumé. Dans ce cas les douleurs furent le premier symptôme. Elles TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ata un ramollissement de l'arc de la VIII" vertè- bre dorsale et la tumeur sur la face interne de cet arc. La moelle sembla
ninges molles. L'exa- men microscopique démontra qu'au niveau de la tumeur les lésions du tissu nerveux étaient telles qu'
lie). Le tissu médullaire modifié par la compression exercée par la tumeur présentait un bon terrain pour les hémorragies.
pas une seule cellule nerveuse normale ne persista au niveau de la tumeur et à une grande distance au-dessous et au-dessus.
témoignent. Toutes ces lésions sont localisées au niveau même de la tumeur aussi bien qu'au-dessous et au-dessus d'elle.'
e la moelle lombo-sacrée. Au-dessus de la région correspondant à la tumeur , la substance grise reprend sa forme caractéris
i ont frappé la moelle pendant ou après l'opération au niveau de la tumeur . Les méninges molles démontrent dans la région
u de la tumeur. Les méninges molles démontrent dans la région de la tumeur et à une grande distance d'elle une infiltration,
philis rendait ce diagnostic plus probable. La localisation de la tumeur pouvait également être déterminée ave facilité.
inière évidemment par suite de la longue compression exercée par la tumeur et d'autres causes inconn ues, estextrême- ment
res et avec quel soin il faut éviter les traumatismes de la moelle. TUMEURS BIC LA MOELLE ÉPINIÈRE ICT DE LA COLONNE VERTÉBRA
on qu'il s'agit de la compression de la moelle probablement par une tumeur . Riais il nous manquait toujours les fortes dou
uait toujours les fortes douleurs qui accompagnent ordinairement la tumeur . En nous guidant sur la loi de Scherrington-I3r
us guidant sur la loi de Scherrington-I3runs nous avons localisé la tumeur au niveau des Ve et VIe segments dorsaux. A l'opé
erling. FiG. 13. - Fibrosarcome myxnmateux de la moelle épinière. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
NIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 321 démontre dans la suite que la tumeur occupait un niveau à 2-3 millimètres au-dessous
re au second plan et manquer totalement. L'autopsie démontra que la tumeur se trouvait à l'endroit où la VIe racine dorsal
on de la dure-mère le long de la face postérieure de la moelle). La tumeur se distingue par sa coloration grisâtre. Elle r
emble à un pois qui est attaché à la dure-mère par sa concavité. La tumeur mesure 1 cent. 35 en longueur, 0 cent. 9 en large
pique démontra qu'il s'agissait d'un fibro- sarcome rnyxomateux. La tumeur était faite dans la moelle un nid et refoulait
insistons sur le point que les pupilles sont régulières et égales, TUMEURS DE LA MOELLE ÉPLNIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
ations. La moelle se montra amincie, atrophiée. On en trouva pas de tumeur à l'endroit opéré. Les méninges furent réunies, d
nsibilité tactile (thermique, douloureuse, musculaire) est abolie ; TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
dessous de l'incision on voit à l'oeil nu à travers la dure-mère une tumeur dans la moitié gauche de la moelle ; elle se la
illimètres au-dessous du bout inférieur de la suture opératoire. La tumeur a une forme ovale à grand axe, parallèle à la m
centimètres, transversal 1 centimè- tre. La face postérieure de la tumeur est en partie adhérente à la face interne de la
rapport existait-il avant l'opération ? ) La face antérieure de la tumeur repose dans un enfoncement de la moelle comme dan
i est jaune-verdâtre sur la face postérieure de la moelle (ou de la tumeur ). Résumé. La malade, âgée de 58 ans, est tombée
s points, nous sommes arrivés à la conclusion qu'ils'agissait d'une tumeur médullaire.En faveur de ce diagnostic parlaient
gressif de la maladie, t'age de la malade. Pour le diagnostic de la tumeur parlait aussi, ceteris paribus, le type de l'af
d'une compression des pyramides plus accentuée du côté opposé à la tumeur . L'étrange res- titution de la sensibilité se l
s de la circulation. Pour déterminer la localisation exacte de la tumeur , nous avons pris en considération en premier li
et Vile segments dorsaux. D'après la loi de Sherrinnton-Bruns, la tumeur devait se trouver locali- TUMEURS DE LA MOELLE
ès la loi de Sherrinnton-Bruns, la tumeur devait se trouver locali- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
le diagnostic n'était pas absolument certain, on n'a pas cherché la tumeur plus longtemps. Après l'opération, les jambes d
symptômes d'une affection inflammatoire. L'autopsie démontra que la tumeur était facile à énucléer. Puisque comme nous l'a
es, c'est-à-dire au niveau de la Ve vertèbre dorsale à peu près, la tumeur se trouvait dans le voisinage immédiat du champ o
nctions ou au moins très con- sidérable. Examen microscopique. La tumeur est un fibrosarcome (psammome). Examen de la mo
Weigert montrent, dans la région du VIIIe segment dorsal (là où la tumeur atteint son plus grand volume) des lésions si pro
e. La moelle n'est plus qu'un étroit ruban adhérant d'un côté à une tumeur ronde (fig. 15). La partie postérieure de ce ru
t plus large que l'antérieure qui recouvre la face antérieure de la tumeur sous forme d'une languette étroite. Les cordons
ation notable. La moitié de la moelle qui adhère immédiatement à la tumeur lia droite) est plus lésée que la gauche. Les vai
nes histologiques d'une stase sanguine. La région postérieure de la tumeur adhère en un point à la dure-mère. Autour de la
rieure de la tumeur adhère en un point à la dure-mère. Autour de la tumeur et de la moelle épinière,il y a une infiltration
la moelle 328 FLATAU tJ épinière. Vers le pôle supérieur de la tumeur , la configuration interne de la moelle présente
l droit. 6. Racine antérieure gauche. 7-8. Racines postérieures. 9. Tumeur . TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
. Racine antérieure gauche. 7-8. Racines postérieures. 9. Tumeur. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ière. 1. Racine antérieure. 2. Cordon latéral gauche raréfié.' - 3. Tumeur . 4. Cor- don latéral droit raréfié. - 5. Racine
érieure. - 6. Foyer de lésions dans le- cordon postérieur droit. 7. Tumeur . FiG. 17. Fibrosarcome psammeux de la moelle ép
Dure-mère. - 5. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. 6. Tumeur . 7. Racine postérieure. xxiii 22 330 FLATAU '
rieure. xxiii 22 330 FLATAU ' Au niveau du pôle inférieur de la tumeur , la moelle devient presque normale. Il persiste
t. Pas de signes de stase. Dans la région du pôle inférieur de la tumeur , la moelle reprend sa configu- ration interne n
de cellules nerveuses ; celles-ci se trouvent aussi au niveau où la tumeur a atteint son maximum d'épaisseur. Les cellules
oupes démontrent des lésions considérables au sein du tissu nerveux TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
amincissement considérable de la moelle épinière à l'endroit où la tumeur la comprimait. La moelle y avait la forme d'un
son état normal presque immédiatement au-dessous et au-dessus de la tumeur . Même au niveau du pôle inférieur et supérieur
s de la tumeur. Même au niveau du pôle inférieur et supérieur de la tumeur , la substance blanche et la grise commençaient
en grande partie d'un processus qui n'avait rien de commun avec la tumeur (méningite purulente post-opératoire, des foyer
ration avait été réussie. Observation XVII. Le cas concerne une tumeur (le malade Bl.) de la moelle épinière à point d
men anatomo-pathologique. Il me manque l'histoire de la maladie. La tumeur correspondait aux VI, et VU. racines cervicales (
la surface lisse avec de petites exubérances. La face externe de la tumeur est presque verticale et l'endroit où cette face
un constate un bord presque tranchant. Sur la face antérieure delà tumeur descend la VII° racine verticale bien amincie. La
° racine verticale bien amincie. La moelle épinière au niveau de la tumeur est comprimée, refoulée à droite et ramollie. Au
rachidien ? ). FiG. 18. - Endolheliome de la moelle épinière. (La tumeur est vue par sa face antérieure, les lignes horizo
microscopique.) FIG. 19. - Endolhélioma de la moelle épinière. 1. Tumeur . - 2. Sillon longitudinal antérieur. - 3. Moitié
e). - 4. Racine antérieure droite, corne. - 5. Racine antérieure. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
E ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 333 Examen microscopique. La tumeur est un endoiliélioiiie. Examen de la moelle épi
elles sont chiffonnées et accompagnent sur une certaine distance la tumeur . Par places elles adhèrent à cette dernière. Su
Par places elles adhèrent à cette dernière. Sur la face externe la tumeur est recouverte par la dure-mère qui lui adhère
raître. En remontant on voit déjà au niveau du pôle supérieur de la tumeur , c'est-à-dire au niveau du VIe segment cervical
ilieu de la corne antérieure droite. Du côté gauche comprimé par la tumeur en avant et de côté, la figure de la corne antéri
cal (au-dessous de la ligne 4 dans la fig. 18), on ne constate pas de tumeur quoique la moelle y montre un certain degré d'a
En descendant, on voit déjà dans la région du pôle inférieur de la tumeur la figure bien distincte dessinée par la substa
s. Le rapport FIG, 20. - Cndolhéliome de la moelle épinière 7= 1. Tumeur . - 2. Racine antérieure. - 3. Cordon latéral gauc
- 3. Cordon latéral gauche dégénéré. - 4. Ra- cine postérieure. 0 TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
EURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 335 entre la tumeur et les méninges reste le même (extérieurement ell
'hématoxyline,le carmin et le Van Gieson démontrent la nature de la tumeur : c'est un endothéliome. Elle adhère intimement à
de la dure-mère. Cette dernière envoie de courtes cloisons dans la tumeur . Les méninges molles tapissent dans une assez gra
olles tapissent dans une assez grande étendue la face interne de la tumeur . Par place seulement elles adhèrent légèrement à
ne de la tumeur. Par place seulement elles adhèrent légèrement à la tumeur . On.a aussi constaté l'augmentation du nombre des
ogique,un cas assez rare d'endothéliome extramédullaire. Quoique la tumeur ait eu pour point de départ la face interne de
ôt que cette dernière cesse d'agir, au-des- sous et au-dessus de la tumeur . Tandis que les coupes faites au niveau du maxi
ns très prononcées, celles , situées au niveau des deux pôles de la tumeur présentent la configuration interne de la moell
daire ascendante et descendante presque exclusivement du côté de la tumeur . Les lésions provoquées par la com- pression po
résis- tance considérable des racines. Malgré les dimensions de la tumeur et le haut degré de la compression, les racines
haut degré de la compression, les racines médullaires du côté de la tumeur sont bien conservées et par place seulemenl mon
e seulemenl montrent une légère décolora- tion.Du côté opposé de la tumeur , il n'y a pas môme de ces faibles lésions. Obse
ouffrir de douleurs assez vives dans la région de l'articulation du TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
a cuisse droite et la moitié droite de l'abdomen). En avant l'anes- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA .COLONNE VERTÉBRAL
de quantité de liquide rachidien s'est écoulé, On n'a pas trouvé de tumeur . La moelle épi- nière est un peu aplatie et ami
n. Mort. Autopsie. Après l'incision de la dure-mère on a aperçu une tumeur fu- siforme longue de 3 cent. 1/2 dans la régio
aux et en partie aussi dans celles de la Ire lombaire (fig. 22). La tumeur ,au premier coup d'oeil, fait corps avec la moel
s que les méninges molles passent immédiatement de la moelle sur la tumeur et que la tumeur n'adhère pas à la dure-mère. L
s molles passent immédiatement de la moelle sur la tumeur et que la tumeur n'adhère pas à la dure-mère. La moelle semble ê
ce niveau un peu dilatée. En haut la ligne de séparation entre la tumeur et la moelle est bien distincte. Quand on écart
en distincte. Quand on écarte avec le doigt le pôle supérieur de la tumeur on voit que TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE
on écarte avec le doigt le pôle supérieur de la tumeur on voit que TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
remarque mieux encore en faisant la coupe à travers le milieu de la tumeur . La moelle épinière se présente sous forme d'un m
sous forme d'un mince ruban, elle était évidement comprimée par la tumeur et déplacée à droite. Fio. 22. Neuro-fibroangio
mensions de la moelle à ce ni- veau sont 0 cent.l : 0. 3 cent. La tumeur se présente sous forme d'une masse grise rosâtre,
rnes rappelle par sa structure les corps caverneux. En soulevant la tumeur , on peut se persuader qu'elle est tout à fait s
lle est tout à fait séparée de la moelle. Vers le haut et le bas la tumeur diminue graduellement de volume et fait place à l
de volume et fait place à la moelle. Quant à la localisation de la tumeur , on constate que son pôle supérieur sous forme
dure-mère. A droite la racine ne contracte pas de relation avec la tumeur . A gauche, elle longe le sommet de la tumeur et
as de relation avec la tumeur. A gauche, elle longe le sommet de la tumeur et creuse la dure-mère. Ce sommet se trouve pre
t du côté droit dans une cannelure qui constitue la limite entre la tumeur et la moelle, mais plus près de la première. La
pes en série de toute la région de la moelle qui correspondait à la tumeur . Il s'y trouvait le IXe jusqu'au XIIe segments
oïde. - 3. Racine antérieure (intacte). 4. Arachnoïde recouvrant la tumeur . 5. Tumeur. z 6. Racine postérieure (légèrement
Racine antérieure (intacte). 4. Arachnoïde recouvrant la tumeur. 5. Tumeur . z 6. Racine postérieure (légèrement dégénérée)
9. Racine antérieure (intacte). 10. Ra- cine postérieure intacte. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ERTÉBRALE 343 Dans la région qui correspond au pôle inférieur de la tumeur (XIIe seg- ment dorsal) les dimensions de cette
difica- tions. Là où l'arachnoïde quitte la moelle pour passer à la tumeur , on voit qu'elle le fait en passant immédiateme
u'elle le fait en passant immédiatement sur la face postérieure de la tumeur . La tumeur y est libre et n'adhère pas à la mén
t en passant immédiatement sur la face postérieure de la tumeur. La tumeur y est libre et n'adhère pas à la méninge molle de
hère pas à la méninge molle de la moelle. Sur la face dorsale de la tumeur se trouve une racine postérieure aplatie, allongé
atie, allongée et en partie dégénérée. Sur la face antérieure de la tumeur également se trou- vent les restes d'une racine
s restes d'une racine presque tout à fait dégénérée, adhérente à la tumeur . D'autres racines présentent également une dégéné
les sont plus, maltraitées qu'à droite). Quant à la structure de la tumeur , la zone périphérique est plus intensive- ment
eineux dilatés, remplis de sang. A côté, on voit dans le sein de la tumeur des grands espaces vides, remplis en partie par u
oisinage des parois vasculaires. En remontant, les dimensions de la tumeur augmentent considérablement, elle devient parei
e ; elle est très aplatie du côté gauche dans le sens obli- que. La tumeur adhère principalement au cordon postérieur et au
là en petits îlots. Le mieux conservé est le cordon antérieur. La tumeur par sa structure rappelle le corps caverneux. On
paces veineux très larges, remplis de sang. Du côté de la moelle la tumeur , dans une grande étendue est adhérente à la mén
ce niveau on voit une racine postérieure dégénérée englobée par la tumeur . Les méninges molles, l'arachnoïde de même que
ïde de même que la pie-mère passent immédiatement sur la surface de tumeur . Elles la limitent ou constituent sa zone périphé
eau des segments correspondant à peu près au X-3 segment dorsal, la tumeur est très grande et garde sa structure caverneuse
li". 24). Il est caractéristique que sur toute la périphérie de la tumeur on voit des fibres nerveuses à myéline qui cons
s'accumulent en faisceaux ronds ou courent en serpent autour de la tumeur . La tumeur en avant est adhérente à la moelle.
nt en faisceaux ronds ou courent en serpent autour de la tumeur. La tumeur en avant est adhérente à la moelle. La moelle y
té gauche (une petite partie du cordon droit postérieur adhère à la tumeur ). Les cordons antérieurs sont presque normaux. Le
gauche antérieure légè- rement touchée. A mesure qu'on monte, la tumeur diminue de volume et la moelle en même temps re
temps reprend sa forme habituelle. On voit le pôle supérieur de la tumeur au FIG. 24. - Neuro fibi-oatigionte cauernoso-v
achnoïde. 2. Racine antérieure (intacte). - 3. Pie-mère recouvrant la tumeur . - 4, 6, 8, 9, H, 13. Traces de fibres radicula
res radiculaires postérieures au sème de la masse néoplasique. - 5. Tumeur . 7. La veineuse dans la tumeur. 10. Racine anté-
u sème de la masse néoplasique. - 5. Tumeur. 7. La veineuse dans la tumeur . 10. Racine anté- rieure (intacte). 12. Racine
rieure (intacte). 12. Racine postérieure (légèrement dégénérée). TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
postérieure (légèrement dégéné- rée).- 3. Arachnoïde recouvrant la tumeur . 4. La veineuse remplie de sang. . Tumeur. 6. D
Arachnoïde recouvrant la tumeur. 4. La veineuse remplie de sang. . Tumeur . 6. Dure-mère. 1. Racine antérieure (légèrement d
aisceau cérébelleux (lig. 26). Dans la direction distale (depuis la tumeur ), on voit une dégénérescence secondaire des voi
par l'hématoxyline avec alun démontrent la structure fibreuse de la tumeur . Au point de vue d'histologie, la tumeur est un n
a structure fibreuse de la tumeur. Au point de vue d'histologie, la tumeur est un neuro- fibrangioma cavernoso-venosum.
a moitié gauche correspond en réalité à la droite et vice-versa). TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
anesthésie au-dessus de la ligne ombilicale, nous pen- sions que la tumeur correspondait a peu près au VU" segment dorsal. O
de la V jusqu'à la Ville vertèbre dorsale, sans trouver pourtant la tumeur . Après l'opération les symptômes spastiques ont
e. Mort trois semaines après l'opéra- tion. L'autopsie montra une tumeur longue de 3 cent. 1/2 au niveau des Xc, Xh et X
c, Xh et XIIe segments dorsaux en partie aussi de la 1 lombaire. La tumeur adhérait à la face postérieure et latérale gauche
re. Les méninges molles passaient immédiatement de la moelle sur la tumeur , de sorte que les deux semblaient uniques. Le pôl
, de sorte que les deux semblaient uniques. Le pôle supérieur de la tumeur correspondait au lieu de sortie de la IXe racine
au lieu de sortie de la IXe racine dorsale hors de la dure-mère. La tumeur se trouvait donc immédiatement au-dessous du bo
bout inférieur de la plaie opératoire. L'examen microscopique de la tumeur démontra qu'il s'agissait d'un cas très rare de
opique de la tumeur démontra qu'il s'agissait d'un cas très rare de tumeur extramédullaire, d'un neurofibrangiome cavemoso-v
neux précisément. , D'après les dessins ci-joints, on voit que la tumeur avait une structure caverneuse. Les cavernes so
neuse. Les cavernes sont remplies de sang dans la partie supérieure TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
LLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 34 ! J et inférieure de la tumeur . Dans les parties moyennes elles sont complè- t
on rencontre quelques globules sanguins. La zone périphérique de la tumeur est constituée par un tissu se colorant intensi-
achnoïde, en quittant la moelle passe sur la face postérieure de la tumeur et la recouvre. Là où la tumeur touche la moell
passe sur la face postérieure de la tumeur et la recouvre. Là où la tumeur touche la moelle; les méninges molles se sont acc
éninges molles se sont accolées in- timement. A la périphérie de la tumeur on voit dispersés ça et là des îlots des fibres
ur on voit dispersés ça et là des îlots des fibres radiculaires. La tumeur s'est développée évidemment à la racine postéri
paissies. Les vaisseaux sont dila- tés. Les racines adhérentes à la tumeur sont dégénérées en partie, les aulres beaucoup
raux (surtout du côté gauche). Au point de vue hislopalhologique la tumeur est une rareté. Observation XIX. Le malade A.
moelle dans sa région cervicale inférieure. Le bout supérieur de la tumeur correspondait à la VIe racine cervicale, l'inféri
inférieur à la In. dorsale (leur lieu de sortie de la dure-mère). TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 351 La tumeur appartient à l'espèce de sarcome à petites cellul
asses dégénérées. 9. Foyer alvéolaire dans le cordon latéral droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
normale. Les racines biens conservées. Quelques- unes du côté de la tumeur ) légèrement dégénérées. Résumé. Il s'agit dans
s son entrée à l'hôpital. L'autopsie a démontré la présence d'une tumeur de la dure-mère. Le sommet de la tumeur corresp
démontré la présence d'une tumeur de la dure-mère. Le sommet de la tumeur correspondait à la VIe racine cervicale, le bout
on spécifique ou néoplasique. L'autopsie démontra l'existence d'une tumeur au dehors de la dure- mère. - Dans ce cas éga
moelle même étaient minimes. Dans les régions correspondantes à la tumeur ,la moelle conservait sa forme et la configurati
rdons postérieurs et non de ces foyers). La moelle au-dessous de la tumeur montrait un fait paradoxal : dans la partie dor
les foyers alvéolaires se trouvaient non seulement au niveau de la tumeur , mais aussi à une assez grande dis- tance de ce
de cet endroit. On les a constatés dans le 1118 segment cervical. A TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
s. Les deux membres sont faibles, mais plus forte- ment lé droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
entait à travers la dure-mère, sur la face postérieure, des petites tumeurs situées à différents niveaux. Après l'incision
a moelle. Sur la face interne de la dure-mère, on voyait de petites tumeurs de 2 à 3 mil- limètres, dispersées çà et là. Le
profonds. Dans la région dorsale moyenne et supérieure, il y a des tumeurs plus grandes (maximum cent, de longueur) ; elle
lus bas). Dans le cerveau on constata les méninges troublées et une tumeur dans la cir- convolution pariétale gauche infér
une tumeur dans la cir- convolution pariétale gauche inférieure. La tumeur était adhérente à la dure- 358 FLATAU mère, d
sseaux sur la base 'du cerveau sont sclérosés. On ne trouve plus de tumeurs ni sur les coupes frontales à travers tout le c
foyers petits et irréguliers. Pas de dégénérescences secondaires. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ment avec lui. On voit aussi comment l'arachnoïde se glisse sous la tumeur , s'enfonce dans sa substance et disparaît. Dans l
achnoïde. Ensem- ble elles forment une masse gommeuse. Cette grande tumeur gommeuse contient des endroits où il y a des ac
stérieurs, pousse une gomme, et dans une racine antérieure on cons- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
ions unilatérales nous étions prêts à penser qu'il s'agissait d'une tumeur . En effet, comme nous pouvions nous en assurer
sie incomplète. Durée de la maladie 2 mois. Examen macroscopique. - Tumeur cérébrale détruisant les noyaux de la base du c
an. ' Examen macroscopique. Foyer hémorragique à l'intérieur d'une tumeur cérébrale qui avait détruit les noyaux de la 'b
ois de sa vie. Durée de la maladie, 6 mois. Examen macroscopique. - Tumeur comprimant le VIIE segment dorsal. Examen micro
flasque. Durée de la maladie, une année. Examen macroscopique. Une tumeur ayant le volume d'un oeuf de 394 MARINESCO pi
AÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dl' E. FLATAU) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRA
Flatau et N. S'Lal IILAST, Contribution au traitement chirurgical des tumeurs médullaires (un cas de tumeur médullaire opérée
bution au traitement chirurgical des tumeurs médullaires (un cas de tumeur médullaire opérée avec un bon résultat), Medycynn
res dorsales et VII', VIe cervicales. On constate la présence d'une tumeur (sarcome à cellules fusiformes) sur la face inter
ire de grandes promenades dans le jardin de l'hôpital. FiG. 31. - Tumeur subdurale (sarcome à cellules fusiformes enlevé
bdurale (sarcome à cellules fusiformes enlevé par une opération). TUMEUR DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
ce de l'urine. Pas de douleurs. On pose comme diagnostic probable : tumeur dans la région cervicale. Le 15 mars, le Dr Cza
s [Il ? VIIe arcs cervicaux et le Ier dorsal. On ne constate pas de tumeur extramé- dullaire. La moelle paraît large. L'ab
les membres inférieurs (le malade se trompe quand on met en mouve- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
plasique se sépare nettement du tissu nerveux ; 2° qu'au sein de la tumeur même il y a une fente étroite qui s'étend jusqu'a
oscopique à travers le segment le plus touché par la présence de la tumeur (ler segment dorsal) démontre la présence du néop
x. Dans les méninges molles il y a aussi accumulation de pigment. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
t 0 une laminectomie explorative qui n'a pas permis de constater de tumeur . Après l'opération les douleurs ont disparu de
ladie assez notables), à la syringomyélie. Plus tard on pensa à une tumeur et on tenta de l'opérer. L'opération n'a pas do
pération n'a pas donné les résultats voulus, on n'a pas constaté de tumeur extramédullaire, mais alors certaines opinions on
amédullaire, mais alors certaines opinions ont penché du côté d'une tumeur intramédullaire (dans la séance de la Société neu
avouer qu'il y avait peu de données pour supposer l'existence d'une tumeur intramédullaire. Ce cas nous montre encore 464
arfaites sont nos méthodes des diagnotics dilféren- tiels entre les tumeurs intra et extramédullaires (v. ci-dessous le diagn
décrit par Hirschberg. Celui décrit par Esser appartient plutôt aux tumeurs extra- médullaires. Un autre point digne d'êt
né, c'est la formation d'une fente sy- ringomyélitique à côté de la tumeur et la continuation de cetle l'ente jus- que dan
etle l'ente jus- que dans les segments situés bien au-dessous de la tumeur (dans les dor- saux inférieurs et lombo-sacrés)
era s'il s'agissait d'une structure uniforme ou polymorphe de cette tumeur (consistance et coloration différentes). Sympto
874, Leyden a émis l'opinion que lorsqu'il s'agit de diagnostic des tumeurs médullaires, on ne peut pas s'arrêter à un symplô
s, dans une grande monographie, dit également que le diagnostic des tumeurs médullaires sera toujours une des ques- tions l
'a pas pour but la description détaillée des tableaux cliniques des tumeurs intra-vertébrales. Nous voulons uniquement attire
épétons que la question principale- ment traitée ici ,est celle des tumeurs extra-médullaires, les observations personnelle
assez d'expérience pour nous per- mettre de nous prononcer sur les tumeurs intra-médullaires. Comme on le sait bien, les t
oncer sur les tumeurs intra-médullaires. Comme on le sait bien, les tumeurs extra-médullaires, dites encore TUMEURS DE LA M
Comme on le sait bien, les tumeurs extra-médullaires, dites encore TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
nes s'explique par la localisation et la croissance graduelle de la tumeur . Les tumeurs méningées sont d'ordinaire assez pet
ue par la localisation et la croissance graduelle de la tumeur. Les tumeurs méningées sont d'ordinaire assez petites. Elles
dolores dont nous parlerons ci-dessus. On peut le dire à propos des tumeurs médullaires proprement dites et de celles de la
i par exemple dans la région du caecum (dans le cas de Quanté où la tumeur extradurale parcourait depuis la Xe vertèbre jusq
Les douleurs dans l'hy- pochondre s'expliquent par le fait que les tumeurs sont localisées plus souvent dans la moelle dor
us souvent dans la moelle dorsale (Schlesinger). Bien entendu les tumeurs localisées ailleurs dans la moelle, donneront d
ractère radiculaire et ne correspondent pas à la localisation de la tumeur , mais sont pour ainsi dire distales, c'est-à-dire
si bien des racines que des segments m édul laires comprimés par la tumeur . Il existe toute une série de cas où les douleu
31 466 FLATAU Nonne, Stursberg), ce qui arrive dans les cas où la tumeur siège en avant ou sur la ligne médiane. Dans
raissent loin du lieu de compression. Dans notre observation Xi, la tumeur siégeaitdans le VIIIe segment cervical et Ier d
ans les jambes. Dans le Vle casd'Oppenheim (Monographie de 1907) la tumeur siégeait dans la moelle dorsale moyenne, les doul
ner également les douleurs irradiaient vers les jambes, bien que la tumeur se trouvât entre les VIe et VU* paires des raci
e et VU* paires des racines dorsales. Dans le cas d'Abraham- son la tumeur correspondait au VII" segment cervical ; les prem
rvation égale- ment,les douleurs frappaient la région de l'occiput ( tumeur dans la moelle cervicale inférieure). Il faut
liquer ce fait par l'irritation des longues voies sensitives par la tumeur et la production des douleurs (Bruns l'explique p
ébut de la maladie. Les symptômes radiculaires apparaissent souvent TUMEURS DE LA MOELLE H.l'INiÎ'sRE ET DE LA COLONNE VERTEB
ause. Gowers en parle dans un de ses écrits Dans le cas de Schmoll ( tumeur de la queue du cheval) les douleurs radiculaire
il faut prendre cela en considération. Dans le cas de Klieneberger ( tumeur de la queue de che- val), les douleurs duraient
ans le VIe cas de Schultze elles ont duré 16 ans avant l'opération ( tumeur de la queue de cheval). Quant aux autres symptô
ie musculaire). Cette dernière est surtout évidente dans les cas de tumeurs de la région cervico-dorsale ou lombo- sacrée.
de la nuque et du cou, qu'on observait quelquefois dans les cas des tumeurs cervicales ou cervico-dorsales (Chavigny, Braub
r de la portion inférieure de la colonne vertébrale dans les cas de tumeurs de la queue de cheval (Rehn-Laquer, Warrin ton) :
ès la théorie ce type devrait prendre place dans tous les cas d'une tumeur médullaire, puisqu'elle comprime d'ordinaire une
ndrome ne se retrouve pas, malgré la localisation unilatérale de la tumeur (par exemple dans le cas de Schultze, Auèrbacir
s lâchons d'expli- quer ce phénomène de la manière suivante : Une tumeur molle croissant rapidement produit des troubles c
et de l'oedème dans toute la coupe transversale de la moelle avant TUMEURS DE LA MOELLE EP1N1ÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
tifs et moteurs) n'a pas pu réaliser le type de Brown-Sé- quard. La tumeur comprimait toujours la moitié gauche de la moelle
Du moment que la compression fut éloignée grâce à l'opération de la tumeur , les sym- tômes dépendant de l'oedème de la moe
Brown-Séquard n'est pas indispensable dans le tableau clinique des tumeurs méningées. Son absence même complète ne peut fa
ent une ligne de démarcation qui correspond au pôle supérieur de la tumeur (en prenant en considération la loi de Scherringl
bien éloigné de la tu- meur, ainsi par exemple sur le pied quand la tumeur se trouve dans la moelle cervico-dorsale (Roux-
s on noie au début de l'affection des taches spinales (Gowers). Les tumeurs inlramédullaires peuvent aussi s'accompagner d'
oindre importance qui dépendent pour- tant de la localisation de la tumeur , il faut compter la douleur de la co- tonne ver
l faut compter la douleur de la co- tonne vertébrale la où siège la tumeur . Il nous semble que ce symptôme doit être pris
it être pris avec précaution. Nous pouvons nous rendre compte assez TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET UE LA COLONNE VERTÉBRALE
Nous avons pu noter ce symptôme dans les cas où il n'y avait pas de tumeurs . (la sclérose en plaque par exemple). Henneberg
rtèbres qui joue un rôle dans le diagnostic. Dans quelques cas de tumeurs intra et extramédullaires on a eu affaire aux s
affaire aux symptômes bulbaires, c'était surtout dans les cas où la tumeur sié- geait dans la moelle cervicale (troubles c
culatoires). Quelquefois pourtant ils apparaissaient aussi là où la tumeur avait une autre localisation (Osana, Stertz), i
temps chro- nique. Schlesinger considère 24 mois de durée pour les tumeurs intra- duremériennes et 14 mois pour celles qui
hors de la dure-mère (mais intravertébrales). Pour cette raison une tumeur intraver- tébrale dont le développement s'échel
pement s'échelonne sur plus de 3 ans doit être considérée comme une tumeur intradurale. D'après la statistique de Schlesin
uraux aussi bien qu'aux gliomes et sarco- mes intramédullaires. Les tumeurs intramédullaires affectent plutôt le tableau d'
e là aussi peuvent exis- ter des exceptions. On a décrit des cas de tumeurs méningées où la durée était courte et l'aggrava
ononcée appartient aur phé- nomènes exceptionnels dans le cours des tumeurs méningées. Quelquefois l'aggravation se produir
ettiger). En décrivant tous les stades dans le tableau clinique des tumeurs méningées, nous avons voulu plutôt démontrer co
ravation. Il faut encore men- tionner un cas d'Oppenheim et Krause ( tumeur de la moelle dorsale) où l'appareil d'extension
un sarcome dans la moitié gauche du sacrum), dans celui de Küttner ( tumeur de la queue de cheval, raréfaclion des lIe et I
la dure-mère considérablement élargie ! ) et celui de Klieneberger ( tumeur de la queue de cheval, raréfaction des 11e et lIi
s le diagnostic en question. Il est très important de constater une tumeur dans une région quelcon- que du corps. Ainsi, p
de Bruns, le diagnostic fut facilité grâce à la constatation d'une tumeur (fihro-sarcôme) siégeant sur le pavillon de l'o
am un lipome de la moelle épinière, en se basant sur le fait qu'une tumeur de cette nature TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE E
le épinière, en se basant sur le fait qu'une tumeur de cette nature TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE
E LA COLONNE VERTEBRALE 473 était située au genou. De même pour les tumeurs du médiastin, des orga- nes internes ou la neur
ou la neuro-fibromatose. Pour le diagnostic différentiel entre les tumeurs méningées et d'autres affections organiques, il
nt pas impossible d'avoir un résultat positif dans des cas d'autres tumeurs isolées. Klieneberger a attiré l'attention sur ce
Klieneberger a attiré l'attention sur ce fait que dans son cas (une tumeur de la queue de cheval) le liquide cé- phalo-rac
rent les douleurs et les paresthésies. Une fois le diagnostic de la tumeur posée, il reste encore à définir son siège. Il
apparaître dans une ré- gion bien éloignée de l'endroit où siège la tumeur . Il fautpar conséquent connaître toute l'histoi
ette connaissance, poser le diagnostic déter- minant le siège de la tumeur . , On se sert généralement des tableaux de Brun
la moelle. Il est bien entendu que la détermination du siège de la tumeur nous renseigne sur son pôle supérieur. De nombr
a moelle 474 FLATAU même ou des méninges naissent au-dessus de la tumeur (Bruns, Oppen- heim, Nonne), elles donnent la l
s donnent la limite de l'anesthésie supérieure à celle créée par la tumeur . A cause de cela on opérait quelquefois de à 3 ve
ctéristiques des différents cas dépendent du niveau où se trouve la tumeur . Lorsqu'elle est située dans la moelle cervicale
own-Séquard avec l'hémiplégie spinale ou para ou tétraplégie. Si la tumeur siège dans la moelle cervicale inférieure et do
ies observations exceptionnelles où, malgré cette localisation des tumeurs , les symptômes oculaires étaient absents (le ca
bsents (le cas de Roux-Paviot ne présen- tait pas ces symptômes, la tumeur occupait pourtant le VI" segment cer- vical jus
pait pourtant le VI" segment cer- vical jusqu'au Il' dorsal). Si la tumeur occupe la moelle cervicale supé- rieure peuvent
. Le nerf phrénique peut rester intact malgré la localisation de la tumeur dans la région correspondante de la moelle (Opp
dans la région correspondante de la moelle (Oppenheim-Krause). La tumeur localisée dans la moelle dorsale donne un tableau
égeait au niveau des VIIIe-IXe racines dorsales antérieures). Si la tumeur siège dans la moelle lombaire les douleurs sont l
ondent au type habituel de l'affection de la moelle lombaire. Les tumeurs de la moelle sacrée provoquent des douleurs dans
inctériens et des troubles trophiques de la peau (mal perforant). TUMEURS DE LA MOELLE I ? f'INIISItE ET DE LA COLONNE VERT
7o e La question qui a une importance pratique est la suivante : la tumeur est-elle localisée dans le cône terminal ou dan
tômes ne suffisent pas. Le symptôme le plus caractéristique pour la tumeur de la queue de cheval, les douleurs, peut manqu
iquer les difficultés qu'on rencontre quand on a a différencier une tumeur méningée d'une tumeur intra-mé- dullaire (c'est
qu'on rencontre quand on a a différencier une tumeur méningée d'une tumeur intra-mé- dullaire (c'est-à-dire dont le point
la différence consiste en l'intensité des lésions produites par la tumeur . Les lésions plus prononcées parleraient en faveu
la tumeur. Les lésions plus prononcées parleraient en faveur d'une tumeur intra-médullaire. En général, Leyden était bien s
rne la possibilité du diagnostic différentiel de ces deux sortes de tumeurs . La même opinion est partagée encore aujourd'hui
Oppenheim, Stertz et d'autres. Bruns croit que, dans les cas où la tumeur intra-médullaire occupe une région de la moelle
peuvent naître de très fortes douleurs qui alors font penser à une tumeur méningée. , Oppenheim désigne comme caractérist
e tumeur méningée. , Oppenheim désigne comme caractéristiques de la tumeur intra-médul- laire les symptômes suivants : une
quelques mois (Lorenz, illoller, Nonne). Stertz a publié un cas de tumeur intra-médullaire qui dura 10 ans; Oppenheim, un
et Warren la maladie évolua pendant 19 ans. Gowers distingue les tumeurs méningées de celles de la moelle par les symptô
sent plus tard et sont au début assez limités. Par contre, dans les tumeurs intra-médullaires les symptô- mes radiculaires
ymptô- mes radiculaires sont moins prononcés (excepté les cas où la tumeur siège dans le voisinage des cornes postérieures
alaisé prit beaucoup de peine à réunir un assez grand matériel con- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
S DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 477 cernant les tumeurs intra et extramédullaires et indique les symptôme
téristiques de chacune de ces deux sortes. Eh bien, en faveur d'une tumeur extraméduitaire parlent : une longue durée (que
des douleurs radi- culaires, vertébrales (surtout dans les cas des tumeurs de la dure-mère), des phénomènes moteurs radicu
type Brown-Séquard et un de la lésion transverse). En faveur de la tumeur intramédullaire doivent parler par contre un ta-
ne suffit par lui-même pour caractériser tel ou tel autre genre de tumeurs . Ce n'est que le développement de la maladie, l
ertz croit qu'un des symptômes les plus importants pour dépister la tumeur intramédullaire est le caractère ascendant ou des
s médullaires, puisqu'il correspond à la croissance graduelle de la tumeur le long de la moelle vers la région supérieure ou
les phénomènes bulbaires apparaissent plus souvent dans les cas de tumeurs intra-médullaires que dans ceux de tumeurs extr
souvent dans les cas de tumeurs intra-médullaires que dans ceux de tumeurs extra-médullaires (les cas de Schlesinger, Nonne,
a dou- leur radiculaire (névralgique), symptôme caractéristique des tumeurs extra-médullaires, peut manquer tout à fait ou
d'autres). D'autre part les douleurs peuvent exister aussi dans les tumeurs intra- médullaires (IIirschberg, Lachmann, Mùll
leau clinique. Dans un cas de Batten les douleurs ont duré 10 mois ( tumeur intraméduliaire). Quant aux autres affections,
le séreuse pour faire le diagnostic différentiel entre elles et les tumeurs des méninges. 1 478 FLATAU La sclérose en p
ne présente pas de grandes difficultés pour être différenciée de la tumeur ; il faut pourtant avouer que quelquefois le dia
s peut affecter une forme tout à fait atypique et de l'autre que la tumeur méningée peut évoluer sans douleurs ou avec des
e la maladie ne progresse pas aussi rapi- dement que dans le cas de tumeur . Dans quelques cas la sclérose à marche chroniq
ommencement il semblait être grave (on pensait par conséquent à une tumeur ), puis peu à peu cette gravité apparaissait bie
à peu cette gravité apparaissait bien moindre. Il est connu que les tumeurs méningées ont une marche oujours progressive, i
he oujours progressive, il part de courtes périodes de rémission. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
plète, comme c'est le cas assez souvent dans les stades avancés des tumeurs méningées. La sensibilité est le plus souvent a
it être souligné : pendant les accès de douleurs, les por- teurs de tumeurs restent au lit de leur propre gré, tandis que nos
radiculaires (Bruns). Boettiger a décrit un cas où le diagnostic de tumeur (les symptô- mes de Brown-Séquard et d'autres c
meur (les symptô- mes de Brown-Séquard et d'autres caractérisant la tumeur ) fut mis à néant par l'opération : au cours de
nheim et Stertz font encore remarquer que le tableau clinique de la tumeur mé- dullaire se complète grâce aux symptômes qu
n seule démontra l'erreur du diagnostic. Dans un cas diagnostiqué « tumeur des méninges», l'opération faisait constater l'
dans un de mes cas, où la maladie pré- sentait les caractères d'une tumeur médullaire (syndrome de Brown- Séquard), le mal
u- sées par la compression de la queue de cheval^ Medycyna, 1908. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
(Pfeifer) et d'arachnite tubercu- leuse (Selberg) qui ont simulé la tumeur médullaire. Il arrive encore qu'il y a plusieur
t simulé la tumeur médullaire. Il arrive encore qu'il y a plusieurs tumeurs dans la même moelle épi- ni8re, et alors le dia
rs le diagnostic est bien difficile. Il a été observé un cas où des tumeurs multiples n'ont présenté des symptômes que du côt
ue du côté delà queue de cheval (E. Cramer). Ce n'est que quand les tumeurs sont assez éloignées l'une de l'autre qu'on peu
'une de l'autre qu'on peut poser un diagnostic précis. Au cours des tumeurs diffuses (sarcomes, gommes) il y a une combinaiso
récède nous voyons combien difficile reste encore le diagnostic des tumeurs méningées/Les neurologistes les plus éminents r
gis- sait du tabes, de la syringomyélie, de la polynévrite ou de la tumeur . Oppenheim mentionne dans la description de son
us pouvons conclure que les symptômes les plus caractéristiques des tumeurs intravertébrales, et tout spécialement des tume
ctéristiques des tumeurs intravertébrales, et tout spécialement des tumeurs extramédullaires sont les douleurs très intenses
pathologique. Nous passons maintenant à l'anatomie pathologique des tumeurs extra- (4), Voir le travail de-GouamoT,-Tubercu
9, ne 15. xxiii c 32 48 FLA.TAU médullaires (spécialement des tumeurs méningées) et nous joignons une table démontran
produites à l'endroit de compression, c'est- à-dire au niveau de la tumeur ; 2° les foyers en dehors de la compression; .3
tance blanche de la grise (et cela de deux côtés ou - du côté de la tumeur seulement). Dans d'autres cas (obs. XVIII) ces
e. Il semble que cette différence dépend moins de la longueur de la tumeur que de son épaisseur. Dans la XVII" observation
nir d'autres causes : de la durée de la maladie, de la nature de la tumeur , du caractère individuel du ma- lade, de la rés
de la moelle). Les lésions étaient surtout prononcées du côté de la tumeur , c'est-à-dire où le tissu reste en contact avec
ormation et la disparition des cellules nerveuses. Par suite de ces TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
sans lésions un peu profondes. Les racines dans le voisinage de la tumeur étaient légèrement modifiées ; du côté opposé, le
ortée sur notre XIV- observa- tion. On y constatait au niveau de la tumeur une masse difforme, mélange de substance blanch
nous démontre, semble-t-il, que le tissu médullaire comprimé par la tumeur conserve une grande capacité de reconstitution.
ion. Il peut arriver que la moitié de la moelle n'adhérant pas à la tumeur soit plus lésée que celle du côté opposé. Qua
s à la tumeur soit plus lésée que celle du côté opposé. Quant aux tumeurs diffuses, tout spécialement la sarcomatose, elles
er que la moelle épinière se dé- barrasse vite de l'influence de la tumeur . La configuration interne de la moelle devient
devient normale déjà au niveau du pôle supérieur et inférieur de la tumeur , Microscopiquement on pouvait constater une plus
riche vascula- risation de la moelle au-dessous et au-dessus de la tumeur . Dans les . 486 . .- . - FLATAU , " , régions
ns les . 486 . .- . - FLATAU , " , régions assez, éloignées de la tumeur , des lésions un peu pronon- cées étaient rares.
phérie vers la profondeur. Ce n'est que dans 1-t,XiV.e observation ( tumeur au niveau de la VHP vertèbre dor- sale) qu'on v
lles n'étaient qu'ébauchées, quelquefois unique- ment du côté de la tumeur dans une direction seulement, ou plus fortes da
ser, en se ba- sant sur les lésions très prononcées au niveau de la tumeur . ' Ce fait indique également que la moelle poss
e re- constitution malgré une compression prolongée produite par la tumeur . En outre, il faut encore mentionner que dans d
- cence secondaire n'était visible qu'à une certaine distance de la tumeur . Dans le XVIIe cas (tumeur dans la région cervi
visible qu'à une certaine distance de la tumeur. Dans le XVIIe cas ( tumeur dans la région cervicale inférieure) on pouvait
l, tandis qu'au niveau du IVe elle était absente. Dans le XIX" cas ( tumeur siégeant au niveau de la moelle cervicale infér
n pouvait constater une dégénérescence descendante dans les cordons TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ement. - 1 Le présent travail nous permet de conclure que, dans les tumeurs mé- ningées spécialement, les causes précitées
ns de la moelle provoquées par la compression de cet organe par les tumeurs [méningées) , résultent de causes mécaniques. L
En effet, même au niveau du maximum de compression exercée par la tumeur , les cellules nerveuses ne disparaissent pas comp
myélie avec anesthésie totale, Syndrome de Brown-Séquard, Un cas de tumeur du cervelet, Polynévrite et poliomyélite, Les a
ÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (D'' E. PLA1'AV) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRA
presque tous les cas où on est intervenu opé- ratoirement pour des tumeurs médullaires. On y voit que des 119 opé- rations
res. On y voit que des 119 opé- rations exécutées 96 concernent les tumeurs intra et extra-durales (qui n'attaquaient pas l
ces 96 cas qui nous intéressent au moment actuel, 21 concernent les tumeurs siégeant dans la région cervicale de la moelle, 5
es). Les résultats les plus favorables suivaient les opérations des tumeurs loca- lisées dans la moelle dorsale. Il est i
e l'intervention chirurgicale. Sick, par exemple, a opéré 21 cas de tumeurs médullaires certaines ou supposées. De ces 21 c
Dans un travail fait avec Mlle Zylbet-last, nous comptons 136 cas de tumeurs mé- dullaires opérées jusqu'à la fin de 1908,
136 cas de tumeurs mé- dullaires opérées jusqu'à la fin de 1908, TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
cales. Dans le cas dé- crit par Putnam-Krauss-Park on a éloigné une tumeur du IIIe segment cervical et le résultat fut heu
euvent dépendre non seulement de la compression de la moelle par la tumeur , mais aussi de l'oedème au-dessus de cette dern
erculeuse) sept arcs dorsaux, chez une autre, où l'on supposait une tumeur , 5 arcs cervicaux. Dans un de nos cas le D` Oder-
ler la puisa- 592 FLA.TAU lion. Son absence parle en faveur d'une tumeur . Ce symptôme n'est pas toutefois absolument sûr
solument sûr. Il peut arriver que la dure-mère (dans des cas où les tumeurs manquent) se tende vers l'orifice, dans la colonn
la pulsation est interrompue. D'un autre côté, dans quelques cas de tumeurs médullaires,on a noté la persistance d'une faible
des cas exceptionnels on réussit à palper ou à voir à l'oeil nu la tumeur à travers la dure-mère. En général il ne faut j
oir incisé la dure-mère, il faut s'assurer du point où se trouve la tumeur . Dans le cas où cette dernière se trouve en face
s des cas exceptionnels le chirurgien est obligé d'éloigner avec la tumeur une ou plusieurs racines). Nous attirons l'atte
ns l'attention sur un point. Nous croyons qu'on peul éloi- gner une tumeur intradurale séparément de la dure-mère (Bruns au
ffit, semble-t-il, pour se débarrasser des récidives, qui sont très TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
OLONNE VERTÉBRALE 593 rares dans la moelle même lorsqu'il s'agit de tumeurs malignes (sarcome) ! Si au contraire on ne trou
de tumeurs malignes (sarcome) ! Si au contraire on ne trouve pas la tumeur dans la région correspondant à l'incision de la
'orifice et se servir d'une sonde pour s'assurer qu'il n'y a pas de tumeur au-dessous et au-dessus de l'ori- fice. Nous av
périmentés peuvent se Iromper quant à la localisation précise de la tumeur (l'oedème occupant quelques segments au-dessus de
e de la tumeur (l'oedème occupant quelques segments au-dessus de la tumeur ) ! Une cause d'erreur consiste encore en ce que
tineuse. Au premier coup d'oeil on peut prendre cette masse pour la tumeur . Nous ne connaissons pas du tout la pathogénèse
ection peut induire en erreur le chirur- gien. Quelquefois aussi la tumeur peut être tout à fait plate et tellement bien a
nimes à déclarer que, dans les cas où la maladie fait penser à une tumeur , il faut faire une laminectomie exploratrice.
temps certains chirurgiens ont tenté courageusement d'o- pérer les tumeurs intramédullaires. fiothman disait, il y a longtem
mie). Dans un cas de 'Varrington et Montsarrat, où le diagnostic de tumeur fut posé, on constata pendant l'opération, à l'
ions après l'opération. Dans le chapitre d'anatomiepathologique des tumeurs méningées, nous avons fait remarquer que la moe
lquefois on n'observe pas d'amélioration malgré la réussite de l'o- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET OE LA COLONNE VERTÉBRALE
ffaire à des symptômes semblables (vomisse- ments, pouls à 420), la tumeur n'a pas été éloignée et la malade mourut, trois
rause par suite d'affections médullaires (dans ce nombre, 10 cas de tumeurs méningées), 8 sont morts tout de suite après l'op
Oppenheim. 596 - FLATAU méningite purulente. Harle croit que les tumeurs intradurales donnent plus de mortalité que les
Cauda equina. Deutsche Zeitschr. f. Nervenkeilk., 30, 1906, p. 1. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
in. Med., 5, 1869, p. 108. B ITTCN. - A lecture on the diagnosis o/ tumeurs of the spinal cord. Lancet, 1907, p. 139. BAUMG
pinière. OEuvres complètes, 2, 1886, p. 83. 598 FLATAU Ctatmcrrv. Tumeurs des méninges médullaires. Lyon mé3., 1900..fahres
méninges de la moelle. llev. de méd., 1906, NI'. 3. ELSWORTII. - Tumeur de la queue de cheval. Edinb. med. Journ., 1908,
phadénomes multiples. Semaine méd., 1897. p. 13. Fermo. Vitiligo et tumeur néorogtique centrale de la moelle. Rev. Neural.,
f the mediastinum involving the right lung. Lancet, 1860, p. 308. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
eutsch. Zeitschr. f. Nervenkrankh., 33, 1907, p. 91. KiASTI.N'. Des tumeurs métaslatiques, 'et ! particulier des métastases c
rch. f. Psychiatrie, 13, 1882, p. 50. LANNOTS et ! )umNn. Un cas de tumeur des méninges rachidiennes. Lyon méd., 1906; Jah
m gesamtem 1(iiochenslieleil. Virchow's Arch.; 141, 1895, p. 128. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
sécutive à l'emploi des rayons de licoentgen dans le traitement des tumeurs malignes. Policlinico, 14, 1907, p. 11-12; Semain
lbl., 1903, p. 749. lfaceoTre et Riche. Centres nerveux inférieurs. Tumeurs intrarachidiennes. Manuel d'histologie patholog
. - Quelques remarques sur la paraplégie spasmodique permanente par tumeur médullaire. liev. neurol..4, 1902, p. 114. ItY3
. f. klin. Chir., 42,1891, p. 812. Réxon et TmH : tt. Sur un cas de tumeur cérébrale sec il une tumeur du sein. Rev. neuro
. 812. Réxon et TmH : tt. Sur un cas de tumeur cérébrale sec il une tumeur du sein. Rev. neurol., 190 ï, p. 482. IIINOFL
ttrage z. path. Anat., 23, 1898, p. 111. Rot.x et Paviot. Un cas de tumeur .de la moelle. Arch. de neurol., 5, 1898, p. 433.
Faite von intramedulliiren Rùckenmarkstumoren. Arbeiten a. d. Jnst. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE
ul1lorcn, 9SSî. Diss. Berlin. Sïhi.\nAUs. Analomie pathologique des tumeurs de la moelle. Encéphale, 190S, Nr. 11. STunz. -
s différentes dystro- phies) (7 pl.), par LEVI, 522, 660. Moelle ( Tumeurs de la - et de la colonne vertébrale), par FLATA
ayant débuté it la ménopause (2 pl.), par Bauer et Desuoms, 426. Tumeurs de la moelle el de la colonne vertébrale, par F
pathies labétiques de la colonne -) (2 pl.), par Salvadori, 416. ( Tumeurs de la moelle et de la colonne ), par Flatau, p.
les ncevi systématiques et leur pathogénie (3 pl.), 399. I'LATAU. Tumeurs de la moelle épinière et de la colonne vertébra
3 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
le pratique, montrent à M. Bérard aîné, prosecteur de la Faculté, des tumeurs qu'ils venaient de rencontrer sur leur sujet et a
l n'est pas son étonnement , lorsqu'il reconnaît que ces volumineuses tumeurs sont formées aux dépens des ganglions nerveux cer
onne cervicale, sur la partie latérale gauche, il existe une série de tumeurs occupant la place des ganglions cervicaux, commun
tre elles et avec les branches antérieures des paires cervicales. Ces tumeurs sont de haut en bas. i°. Une tumeur olivaire F
res des paires cervicales. Ces tumeurs sont de haut en bas. i°. Une tumeur olivaire F G', un peu oblique de haut en bas et d
rieur, dont le volume est alors sensiblement diminué. Du reste, cette tumeur est d'une dureté cartilagineuse; elle se prolonge
quée sur la figure, en sorte que*je n'ai pas pu le vérifier. 2°. La tumeur fusiforme IG remplace le ganglion cervical supéri
urface est légèrement bosselée, grisâtre; sa consistance, celle d'une tumeur fibreuse dense. On dirait, a la voir en position,
rigent vers l'artère carotide AC, et d'autres qui vont se rendre à la tumeur F G'. i1g livraison. i 3°. De l'extrémité inf
tumeur F G'. i1g livraison. i 3°. De l'extrémité inférieure de la tumeur IG naît un gros cordon qui, après un court trajet
un gros cordon qui, après un court trajet, se renfle pour former une tumeur triangulaire 2G, qui m'a paru représenter le gang
ulaire 2G, qui m'a paru représenter le ganglion cervical moyen. Cette tumeur 2G se continue par un cordon presque aussi volumi
si volumineux que son cordon d'origine pour aller communiquer avec la tumeur 3G, ganglion cervical inférieur en partie masqué
1, qui représente les objets en place, permet encore de douter si les tumeurs que nous venons de décrire sont réellement formée
de telle manière que leur face postérieure est devenue antérieure. La tumeur i'G, ou ganglion cervical supérieur accessoire, e
sa consistance est à peu près celle de la prostate, ou, mieux, d'une tumeur fibreuse; il crie sous le scalpel, et sa force
nt que son tissu est fibreux ; mais il n'a pas l'aspect globuleux des tumeurs fibreuses utérines; il présente plutôt la disposi
s à leur névrilème. Cette texture fibreuse était commune à toutes les tumeurs ; le ganglion cervical supérieur accessoire IG' a
es ganglions nerveux ont présenté absolument la même structure qu'une tumeur fibreuse. Ce qui confirme cette manière de voir,
couvre dans le flanc gauche, à travers une fluctuation élastique, une tumeur très-volumineuse, indolente, dont le malade ne s'
fièvre intermittente qui dura six mois. Alors, palpant de nouveau la tumeur , je reconnus qu'elle faisait corps avec la paroi
fait habituellement la rate hypertrophiée. Je présumai donc que cette tumeur était formée aux dépens du rein, et mes présompti
x gouttes laudanum. — Emplâtre de ciguë sur l'abdomen au niveau de la tumeur . Diète féculente. ) Néanmoins le dévoiement per
IVRAISON. * Ouverture du cadavre. —L'abdomen ouvert, on aperçoit la tumeur ( fig. i ) RC, en partie cachée par le colon desc
fractueuse contenant un liquide séreux ; 20 la presque totalité de la tumeur était formée par un tissu blanchâtre, demi-transp
a partie supérieure. 4° Enfin, pour mieux voir la circonférence de la tumeur , j'ai détaché la membrane fibreuse : j'ai reconnu
'uretère naissait de la partie interne antérieure et supérieure de la tumeur ; donc l'altération avait principalement lieu aux
ime fait bien quelquefois maigrir, si l'on peut s'exprimer ainsi, les tumeurs cancéreuses comme tout l'individu ; il peut bien
e observation publiée par mon ami, le Dr Vallerand de Lafosse (*), la tumeur volumineuse, arrondie, que portait le malade dans
eur volumineuse, arrondie, que portait le malade dans le flanc droit, tumeur que j'eus occasion de constater pendant la vie, p
il était encore possible que le colon ascendant induré simulât cette tumeur . Fondés sur des hématuries antécédentes, nous pen
tumeur. Fondés sur des hématuries antécédentes, nous pensâmes que la tumeur avait son siège dans le rein, mais sans pouvoir e
xtrémité frangée, se terminait en manière de massue. Quelques petites tumeurs fibreuses superficielles soulevaient le péritoine
. On soupçonnait un squirrhe au pylore. A l'ouverture, nous vîmes une tumeur considérable , partant de la face inférieure du f
t s'éten-dant jusqu'à la région lombaire; nous pûmes croire que cette tumeur était une dépendance du foie : c'était le rein tr
une ascite commençante. A travers un flot de liquide on reconnaît une tumeur volumineuse, sensible à la pression, dont on prés
phoïde, est venue se placer sous la peau qu'elle soulève et forme une tumeur d'autant plus volumineuse que le déplacement est
sez fortement et sur les côtes et au-dessous, je ne découvrais aucune tumeur , je ne développais aucune sensibilité.—Potionavec
2e Livraison. Pl. 6. MALADIES DE CERVEAU . MALADIES DU CERVEAU. Tumeurs d'apparence perlée formées par de la madère grass
e corps calleux, qu'on voit la voûte à trois piliers soulevée par une tumeur volurnir^«eo ayant tuui 1'eulai métallique de l'a
re voulut bien me faire prévenir : il me fut facile de voir que cette tumeur se prolongeait jusqu'à la base du crâne. J'enleva
aire et les pédoncules antérieurs et postérieurs sont masqués par une tumeur volumineuse (TP), proéminente, ayant l'aspect de
semblables à de petites perles agglomérées d'inégale grosseur. Cette tumeur était recouverte par l'arachnoïde qui n'y adhérai
ceux de la septième 7 e P, semblent sortir intacts du milieu de cette tumeur , qui ne laisse à découvert que le bord postérieur
t que le bord postérieur de la protubérance. Fig. 2. J'ai divisé la tumeur et renversé de droite et de gauche ses deux moiti
ient été comprimés, déformés, s'étaient pour ainsi dire moulés sur la tumeur , mais n'avaient d'ailleurs éprouvé aucune altérat
ait ces parties comme de coutume, et conséquemment les séparait de la tumeur . Les nerfs moteurs communs et trijumeaux, bien qu
et trijumeaux, bien qu'enveloppés de tous côtés, étaient sains. La tumeur TP s'enfonçait en outre entre les pédoncules céré
courbe manifeste pour arriver jusqu'à eux. La partie antérieure de la tumeur TP repoussait en avant et distendait le ruban opt
de la commissure. Fig. 3. Elle représente la face supérieure de la tumeur perlée TP, qui, après avoir écarté les pédoncules
s moindres. Fig. 4- Elle représente une coupe perpendiculaire de la tumeur TP, TP pour monter son diamètre vertical et ses r
ur blanc-jaunâtre du centre. Réflexions. — Il est évident que cette tumeur a son siège dans le tissu cellulaire séreux sous-
, si fréquente dans le cerveau, il xx'cot pac moins évident que cette tumeur a soulevé d'abord, puis perforé le plancher si mi
dehors, comprimées, atrophiées, et enfin ramollies. Du reste, cette tumeur ne présentait aucune trace d'organisation; c'étai
la perle. Il était curieux de connaître la nature chimique de cette tumeur : des observations antérieures, qui constatent l'
cées sur le cerveau. Il n'est pas rare de trouver dans le cerveau des tumeurs volumineuses, carcinomateuses ou autres, chez des
s c'est un travail inflammatoire, un ramollissement tout autour de la tumeur , qui entraînent tout-à-coup des symptômes prompte
ici fidèlement représenté. Les fig. 6 et n indiquent une coupe de la tumeur vue par sa surface TP, fig. 7, par sa coupe MG, f
e par sa surface TP, fig. 7, par sa coupe MG, fig. 6. Comment cette tumeur volumineuse avait-elle été déposée dans le quatri
trées après la mort. Cette observation est consignée sous le titre de tumeur adipociriforme développée dans le mésocéphale. El
d'avant en arrière, ce qui frappe bientôt tous les regards, c'est une tumeur de forme « irrégulière, et volumineuse comme le t
ne de la moelle est également déjetée de ce côté; en arrière, « cette tumeur se prolonge sur le faisceau postérieur gauche ou
antérieur, un enfoncement moulé sur la « partie la plus externe de la tumeur ; sa substance dans ce point paraît légèrement ram
III, page 19). \\inflexions. — On ne saurait méconnaître dans cette tumeur mamelonnée, dont la surface présente des granulat
e adipoeircuse, on ne saurait, dis-je, méconnaître les caractères des tumeurs perlées, représentées planche vi. C'est encore da
us-arachnoïdien de la grande excavation médiane du cerveau, que cette tumeur s'était développée; mais au lieu de se diriger en
hes optiques ramollies, d'où l'opinion émise par l'observateur que la tumeur naissait de cette protubérance. C'est au siège de
ur que la tumeur naissait de cette protubérance. C'est au siège de la tumeur , à la compression exercée sur la protubérance et
parts par le tissu morbide. J'ai également rencontré, dans un cas de tumeur blanche du genou, une grande quantité de graisse
M. Dupuytren (à propos des renseignemens que je lui demandais sur la tumeur nacrée du cervelet, inscrite sous son nom dans le
levait les tables externe et interne, sous la forme d'une volumineuse tumeur . Dans un troisième cas des trajets urineux ancien
sortes d'excès, vit paraître il y a deux ans, sans cause connue, une tumeur à la partie supérieure du sternum. Avant cette ép
ent. Dans l'espace de deux ans, qui s'écoula entre l'apparition de la tumeur et la mort, Racine vint à plusieurs reprises pass
ccoutumés. Le ii septembre 1828, il entre pour la dernière fois. La tumeur n'est pas augmentée sensiblement de volume; elle
rochaine qu'il appelle de ses désirs. Le sthétoscope, appliqué sur la tumeur , fait reconnaître un battement double isochrone a
; face violacée; mort la nuit du i4 au i5. Ouverture du cadavre. La tumeur , vue antérieurement TA (planche ni, fig. 1,111e l
vité thoracique, nous avons vu (fig. 2) la partie sous-sternale de la tumeur TA, du bas de laquelle naissaient à gauche trois
s-clavière gauche, qui croisait obliquement la,face postérieure de la tumeur , était oblitérée. On voyait une couche brun-marro
, remplaçait peut-être la veine sous-clavière. Indépendamment de la tumeur anévrysmale TA, on voyait naître au-dessous de l'
des artères sous-clavière, vertébrale et carotide gauches, une autre tumeur anévrysmale beaucoup moins volumineuse que la pré
ns volumineuse que la précédente, subdivisée elle-même en deux autres tumeurs , l'une inférieure T'A', l'autre supérieure T"A",
umon gauche, profondément excavé pour recevoir la moitié gauche de la tumeur anévrysmale TA', T"A", lui était tellement uni qu
a présenté une paroi antérieure fortement repoussée en arrière par la tumeur , d'où la difficulté de la respiration ; la membra
résenter le nerf pneumo-gastrique gauche N. 8 et ses rapports avec la tumeur T'A". Il est aplati, aminci, réduit à une lame mi
oncevoir cette interruption à Faide d'une augmentation légère dans la tumeur . A combien d'accidens ne doit pas donner lieu la
ette vaste ampoule naissaient comme autant d'appendices, i° la grande tumeur anévrysmale TA, 20 une petite tumeur anévrysmale
utant d'appendices, i° la grande tumeur anévrysmale TA, 20 une petite tumeur anévrysmale AC qui proéminait en forme de mamelon
i proéminait en forme de mamelon dans rîntérieur du péricarde; 3° une tumeur anévrysmale plus petite encore A'C' qui appuyait
uelle elle avait produit une érosion (planche ni, fig. 2 ). Ces trois tumeurs étaient remplies de concrétions sanguines. Au-d
nguines A'C ", comme mamelonnées, tout-à-fait semblables à celles des tumeurs AC et A'C. La tumeur, en forme de mamelon AC, s
elonnées, tout-à-fait semblables à celles des tumeurs AC et A'C. La tumeur , en forme de mamelon AC, saillante dans le périca
ng-temps. Il est probable qu'elle n'aurait pas,tardé à se faire. La tumeur plus petite, saillante du côté de la trachée, éta
, la poche anévrysmale se serait ouverte dans la trachée. La grande tumeur anévrysmale TA appartient à la même catégorie que
ur anévrysmale TA appartient à la même catégorie que les deux petites tumeurs AC et A'C'; elle n'en diffère que par son énorme
rtères carotide primitive, vertébrale et sous-clavière gauches. Cette tumeur était divisée en deux parties, l'une sous-sternal
num. La ligure i, planche iv, représente une coupe verticale de cette tumeur . On voit qu'elle est entièrement remplie par des
ou de zones au. milieu des concrétions qui tapissent les parois de la tumeur , et les vides qui se trouvent entre ces systèmes
tement dans toute l'étendue de cette dilatation, mais que les petites tumeurs AC, AC étaient formées à travers un érail-lement
es membranes interne et moyenne cessaient évidemment à l'entrée de la tumeur principale TA. Elles étaient remplacées par une p
du travail de destruction qui a lieu incessamment dans les parois des tumeurs anévrysmalcs. Déjà cette poche était en partie dé
l'aorte, entre les origines des vaisseaux indiqués, que naissait une tumeur énorme qui, après avoir usé la moitié supérieure
dilatation préalable par suite d'unp, altération de leurs parois. Le» tumeurs anévrysmales T'A', T"A" (Planche iv, fig. i.), un
droites. L'exploration la plus attentive ne me fait découvrir aucune tumeur dans Fhypochondre droit. La pression sur cette ré
formes différentes, qui ont été fidèlement représentées fig. 1. Deux tumeurs volumineuses fluctuantes existent, l'une à l'extr
elle forme une saillie sphéroïde assez considérable. L'une et l'autre tumeurs présentent supérieurement un appendice très-saill
quatrième, cinquième et sixième paires cervicales du côté gauche une tumeur violacée du volume et de la forme d'une grosse am
e cervicale et le commencement de la moelle dorsale comprimés par une tumeur encéphaloïde qui s'était développée aux dépens de
it résisté) et des extrémités postérieures des premières côtes. Cette tumeur soulevait en avant la partie inférieure des muscl
tie correspondante des muscles spinaux du côté gauche : une semblable tumeur commençait à se manifester au niveau et aux dépen
e de la quatrième côte. La moelle épinière comprimée à la fois par la tumeur encéphaloïde et par la sixième vertèbre déplacée,
que l'on confond bien souvent avec la compression du cerveau par une tumeur encéphaloïde ou autre; car, si les causes de comp
ploré présente, à la région ombilicale, au-dessous de l'ombilic, deux tumeurs arrondies, un peu douloureuses à la pression, mob
i aient pu préparer de loin et provoquer cette maladie. Diagnostic. Tumeurs probablement de nature cancéreuse obstruant le, p
blement de nature cancéreuse obstruant le, pylore. — La situation des tumeurs ne m'en impose pas, vu l'ampleur que peut acquéri
l'ampleur que peut acquérir l'estomac en pareil cas. J'ai trouvé une tumeur formée par le pylore cancéreux dans la région ili
elle étouffe et ses membres se contournent spasmodiquement. Les deux tumeurs sont remontées au-dessus de l'ombilic; on peut ai
'eau à la glace elle-même sont rejetées. Le mouvement d'ascension des tumeurs a continué ; elles répondent au niveau du rebord
sains à l'extérieur. Leur paroi antérieure est soulevée par les deux tumeurs reconnues sur le vivant, lesquelles occupent évid
et le duodénum ive livraison. 1 ( fig. i ). Alors se présentent ces tumeurs à découvert : celles de l'estomac sous la forme d
isposition rameuse et verticillée est beaucoup plus prononcée dans la tumeur duodénale que dans les tumeurs gastriques ; celle
lée est beaucoup plus prononcée dans la tumeur duodénale que dans les tumeurs gastriques ; celles-ci présentent des lamelles ou
xtrêmement multipliés, parallèles, traversent perpendiculairement ces tumeurs de leur base vers leur extrémité, et se prolongen
figure i , qui offre une coupe de l'estomac au niveau de l'une de ces tumeurs , donne une idée très-exacte de cette disposition,
e malade peuvent être rapportés à l'obstacle mécanique apporté par la tumeur au passage des alimens de l'estomac dans le duodé
es alimens de l'estomac dans le duodénum. Semblable à une soupape, la tumeur duodénale devait, dans certaines positions, obtur
urer complètement le pylore. Son volume n'exclut pas l'idée que cette tumeur mobile n'ait pu s'engager par fois dans l'ouvertu
ssage des alimens ; l'hématémèse s'explique aussi par la nature de la tumeur qui était toute vasculaire, molle, susceptible d'
forts de vomissemens. Il n'est même pas impossible que, plus tard, la tumeur pylorique duodénale, espèce de polype encéphaloïd
e aurait pu recouvrer ses forces jusqu'à ce que l'accroissement de la tumeur gastrique eût à son tour produit des symptômes so
-temps encore sans s'en apercevoir ou en s'en apercevant à peine; les tumeurs se seraient accrues, se seraient déchirées, ulcér
xploration la plus attentive de l'abdomen ne me fait découvrir aucune tumeur , aucune région sensible. Je pense qu'il existe un
us satisfaisante l'apparition successive ou simultanée de milliers de tumeurs cancéreuses dans les différens organes. Pour en r
puisque les orifices de l'estomac étaient libres; il n'y avait pas de tumeur au moment où j'ai observé le malade, puisque la g
sur presque toutes les articulations des deux mains. Au coude droit, tumeur bosselée du volume d'une grosse noix, molle en qu
lisse; encroûtement plâtreux des parties fibreuses environnantes. La tumeur du coude droit consistait dans une matière crémeu
ammations chroniques et dégénérations de tissu connues sous le nom de tumeurs blanches. Dans le rhumatisme, il y a souvent usur
tion proprement dite, jamais elle n'est suivie de suppuration (*), de tumeurs blanches; c'est une fluxion à la fois sanguine et
nlevés, le thorax ouvert, j'ai vu, au devant de l'angle rentrant, une tumeur fluctuante du volume d'un œuf de poule, formée pa
large LL, un ligament rond LR, une trompe T et un ovaire O. Plusieurs tumeurs fibreuses TF, TF, développées çàet là dans l'épai
1. (***) Observé par M. Martin, membre de la Société anatomique. La tumeur sphéroïde qui est à gauche de l'utérus est un cor
i et i) du testicule avec matière perlée. — Opération. — Guérison. — Tumeurs encéphaloïdes développées dans Vépaisseur du corp
e, en sorte que le plus léger effort suffisait pour les dissocier. La tumeur inférieure E m'a paru formée par fépididyme; la t
dissocier. La tumeur inférieure E m'a paru formée par fépididyme; la tumeur supérieure T, par le corps du testicule. Du reste
à existaient des épaississemens fibreux qui isolaient des portions de tumeur ; telle est l'espèce d'ile TA qu'on voit au milie
avait pas participé à l'altération, était refoulée à la surface de la tumeur et dans un point circonscrit. Là elle formait une
ciques ; qu'enfin il succomba, et qu'à l'ouverture nous trouvâmes une tumeur encéphaloïde développée aux dépens de la septième
t des extrémités postérieures des deux premières côtes. Une semblable tumeur commençait à se développer au niveau et aux dépen
eindre, ou plutôt pour modifier le travail morbide qui les produit. Tumeur fibreuse du testicule simulant un sarcocèle (fig.
e simulant un sarcocèle (fig. 3). Rien ne ressemble davantage à une tumeur fibreuse de l'utérus, ou, mieux, au tissu de l'ut
parée par une couche épaisse de liquide. A la partie supérieure de la tumeur , il existe une bouillie blanchâtre qui me paraît
as retrouvé le tissu propre du testicule, j'ai la certitude que cette tumeur fibreuse s'était formée aux dépens du tissu cellu
ion. Voilà un cas où l'extirpation a du être sans récidive, car les tumeurs fibreuses dépendent d'un vice local, jamais d'un
ble au tissu érectile, tellement qu'ayant placé ce tissu à côté d'une tumeur érectile , il a été impossible de les distinguer
ubstance propre de « cet organe était refoulée sur un des cotés de la tumeur , et il m'a semblé retrouver la masse « entière du
s ces trames aréolaires encéphaloïdes, comme elles s'ouvrent dans les tumeurs érectiles; que,bien que ces tissus morbides viven
tante comme de la gelée, et ne peut être évacuée par la ponction. 3°. Tumeur divisée en une multitude de loges ou cellules rem
loges constituer la moitié, les deux tiers ou les trois quarts de la tumeur . Ces kystes peuvent être parfaitement distincts m
es ponctions furent pratiquées sur le cadavre sans aucun résultat. La tumeur remplissait toute la capacité de l'abdomen : d'un
dans le petit bassin en se moulant sur l'angle sacro-vertébral. Cette tumeur , représentée demi-grandeur (fig. i, planche m), é
de l'utérus U, qui occupait la partie antérieure et supérieure de la tumeur ; il était déformé à cause des tractions qui avaie
ine T verticalement dirigée, et sillonnant la partie antérieure de la tumeur . On distingue même toutes les franges de la tromp
ligament large déformé; mais point d'ovaire, et, à sa place, l'énorme tumeur . La figure 1 donne une idée exacte de l'aspect
. La figure 1 donne une idée exacte de l'aspect de la surface de la tumeur KO, KO, KO, les bosselures et les vésicules de di
rampent çà et là sur les parois et répondent aux anfractuosités de la tumeur ; la matière gélatineuse MG, MG, qui s'échappe de
rité. La figure 1 représente de grandeur naturelle une partie de la tumeur ouverte : on voit que le kyste est divisé, par de
ait granuleux sur l'intestin grêle et sur la partie postérieure de la tumeur . Le foie, la rate, les reins avaient diminué de v
aucun degré de développement le son gazeux n'existera au-devant de la tumeur . Cette observation appartient à M. Rostan. Joigne
tez que, dans ce dernier cas, la cavité pelvienne est remplie par une tumeur qui est une dépendance de la tumeur abdominale. D
ité pelvienne est remplie par une tumeur qui est une dépendance de la tumeur abdominale. Dois-je rappeler à côté de ces signes
pas ; on peut, dans beaucoup de cas, reconnaitre les bosselures de la tumeur , soit à travers les parois de l'abdomen, soit à t
dur, fréquent. En palpant l'abdomen, je reconnais à l'hypogastre une tumeur molle, circonscrite, que je crus être la vessie,
r et me laissa dans l'incertitude sur le véritable caractère de cette tumeur . Diagnostic. Foyer apoplectique à droite n'inté
t impossible de découvrir. Le principe de la lièvre serait-il dans la tumeur hypogastrique ? Mais elle est indolente et ne peu
tumeur hypogastrique ? Mais elle est indolente et ne peut être qu'une tumeur fibreuse molle de l'utérus, ou une maladie de l'o
able occupait le tissu cellulaire sous-cutané de la cuisse gauche. La tumeur hypogastrique était une tumeur fibreuse utérine é
re sous-cutané de la cuisse gauche. La tumeur hypogastrique était une tumeur fibreuse utérine énorme, remplissant la capacité
ur fibreuse utérine énorme, remplissant la capacité du bassin : cette tumeur était irrégulière, molle, aréolaire, et ses maill
par la communication de ce foyer avec la cavité des ventricules. La tumeur fibreuse de l'utérus a-t-elle joué quelque rôle d
t consécutif aux tubercules ; et cependant on voit tous les jours des tumeurs énormes déprimer le cerveau sans y déterminer la
a partie inférieure de la région lombaire, sur la ligne médiane , une tumeur hémisphérique de quatorze lignes de diamètre, vio
ns convulsifs. (Lait coupé pour aliment. Emplâtre de diachylum sur la tumeur .) Jusqu'au 15 août, rien de remarquable : alors e
août, rien de remarquable : alors exulcération légère au centre de la tumeur ; cercle rouge inflammatoire tout autour de l'exco
de l'excoriation. Le 16, suintement séreux assez abondant. Le 18, la tumeur , largement exulcérée, laisse échapper une grande
tte figure les plis et brides que présentait la surface interne de la tumeur . La moelle épinière et les racines des nerfs sp
des Enfans-Trouvés le ier juin 1828, a présenté une hydrorachis avec tumeur lombaire, un endurcissement du tissu cellulaire s
symptôme du côté de l'axe cérébro-spinal. Ouverture du cadavre. La tumeur lombaire existe au niveau de la douzième vertèbre
ignes. Les tégumens amincis et violacés sont excoriés au centre de la tumeur . La tumeur, incisée, donne une sérosité abondante
tégumens amincis et violacés sont excoriés au centre de la tumeur. La tumeur , incisée, donne une sérosité abondante, trouble e
e, donne une sérosité abondante, trouble et jaunâtre. Au niveau de la tumeur , la moelle épinière est divisée en deux cordons l
ertèbre dorsale, établissait la ligne de démarcation. Au-dessus de la tumeur , les deux cordons étaient réunis ; mais ils étaie
out-à-fait semblable à celle qui s'était écoulée par l'incision de la tumeur lombaire. Les colonnes lombaire et dorsale, vues
a portion de corne qui déborde la pulpe du doigt correspondant. DES TUMEURS CANCÉREUSES DES MÉNINGES. (PLANCHE IrC, IIe ET
IrC, IIe ET IIIe, VIIIe LIVRAISON.) I. Signalées par Louis (*), les tumeurs fongueuses ou cancéreuses de la dure-mère en sont
e-mère. III. Les frères Wenzel, ayant rencontré sur un cadavre cinq tumeurs fongueuses qui naissaient de la face externe de l
péricrâne, du diploé et de la méninge, et rentrent dans la classe des tumeurs blanches. « Il est, dit-il, aussi inexact d'appel
ans le diploé. » Walther se fonde et sur les adhérences intimes de la tumeur avec le pourtour inégal de l'ouverture du crâne,
t sur l'état du péricrâne qui se continue par sa face interne avec la tumeur , de même que la dure-mère par sa face externe. No
e la dure-mère réside exclusivement dans le diploé, et que lorsque la tumeur est adhérente à la dure-mère, cette adhérence est
o-énéral. Louis et les frères Wenzel avaient observé chacun un cas de tumeur fongueuse naissant de la face externe de la dure-
a dure-mère : ils prennent ce cas particulier pour type de toutes les tumeurs fongueuses. Siébold, Walther et Graff, au contrai
connues sous le nom de fongus de la dure-mère. VIII. Je regarde les tumeurs dites fongueuses de la dure-mère comme appartenan
sa dégénération cancéreuse ou fongueuse il n'y a qu'un pas. IX. Les tumeurs cancéreuses de la dure-mère se partagent en deux
t externe ; les autres aux dépens du feuillet interne. Les premières, tumeurs cancéreuses externesP les seules dont Louis ait p
qu'elles usent, corrodent à la manière des anévrysmes; les secondes, tumeurs cancéreuses internes, beaucoup plus fréquentes, s
se dirigent du coté du cerveau qu'elles compriment. Enfin il est des tumeurs cancéreuses qui, nées dans le tissu cellulaire so
hnoïdien pariétal, et alors il est bien difficile de déterminer si la tumeur a pris naissance à la face interne de la dure-mèr
aire sous-arachnoïdien. X. Mais indépendamment des trois espèces de tumeurs cancéreuses que je viens d'indiquer, il en est d'
qui naissent des os du crâne eux-mêmes, et qui simulent tellement les tumeurs fongueuses de la dure-mère que presque tous les o
a dure-mère que presque tous les observateurs s'y sont mépris. Or ces tumeurs careinomateuses du crâne me paraissent formées au
orment à mesure que les os du crâne sont détruits. Il ;en résulte des tumeurs saillantes à la surface interne aussi-bien qu'à l
uses et osseuses tout à la fois, avec ou sans perforation des parois; tumeurs qu'on a presque toujours regardées comme des fong
étations osseuses introduit elle-même de nombreuses variétés dans ces tumeurs . Ainsi, tantôt la dégénération cancéreuse ne form
tantôt la dégénération cancéreuse ne forme qu'une petite partie de la tumeur , tantôt elle en constitue la portion principale.
oit dans les planches de Baillie (dixième fascicule, pl. i) un cas de tumeur de cette espèce : on dirait les aiguilles d'un cr
oration et qu'il existait, en même temps que l'altération des os, une tumeur cancéreuse à la face interne de la dure-mere. X
nterne de la dure-mere. XI. J'ai eu occasion d'observer deux cas de tumeurs osseuses et careinomateuses, nées du plan supérie
es du plan supérieur et du plan postérieur du rocher. Dans un cas, la tumeur soulevait la tente du cervelet qui participait à
ubstance de nature évidemment carcinomateuse. Dans l'autre cas, trois tumeurs sphéroïdes volumineuses, d'apparence osseuse, nai
lan supérieur du rocher, au niveau de la caisse du tympan. Une petite tumeur du volume d'une grosse noisette naissait aussi du
sse noisette naissait aussi du plan postérieur du rocher. Ces petites tumeurs étaient formées par un noyau osseux compacte, duq
ssait les interstices et formait une couche mince à la surface de ces tumeurs . Enfin il n'est pas très-rare de voir les tumeurs
à la surface de ces tumeurs. Enfin il n'est pas très-rare de voir les tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère coexister av
r les tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère coexister avec les tumeurs cancéreuses des os du crâne. La planche i fournit
he i fournit un exemple remarquable de cette complication. XII. Les tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère (*), les seu
s occuper en ce moment, sont incomparablement plus fréquentes que les tumeurs cancéreuses externes. Il n'est aucun point de cet
e turcique, 3° le plan postérieur et le plan supérieur du rocher. Les tumeurs nées au niveau du rocher sont presque toujours os
appartiennent aux os du crâne bien plus encore qu'à la dure-mère. Les tumeurs nées de la portion de la dure-mère qui revêt la s
tort comme une maladie du corps ou de la tige pituitaire. XIII. Les tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère surviennent,
plus grand nombre des sujets : le hasard seul m'a fait découvrir des tumeurs semblables chez des individus qui avaient succomb
cette lésion. Graff, en 1820, disait que jamais on n'avait observé de tumeurs fongueuses à la face interne de la dure-mère. Ebe
la dure-mère et l'arachnoïde : sous l'arachnoïde cérébrale était une tumeur carcinomateuse énorme, que j'ai notée du^volume d
ng, et qui était logée dans une excavation profonde du cerveau. Cette tumeur était molle, grenue, se déchirait avec la plus gr
it avec la plus grande facilité et présentait tous les caractères des tumeurs careinomateuses. Personne ne dira, je pense, que
tères des tumeurs careinomateuses. Personne ne dira, je pense, que la tumeur carcinomateuse datait du moment de l'espèce d'att
uvée par le malade. Comment supposer que la formation d'une semblable tumeur ait été subite? On explique d'ailleurs très-bien
XIV. Mais dans le plus grand nombre des cas, et surtout lorsque la tumeur cancéreuse occupe quelqu'un des points de la base
, permettront toujours de distinguer l'hémiplégie symptomatique d'une tumeur cancéreuse lentement développée, de l'hémiplégie
itable. XV. Au reste, l'histoire bien faite et bien interprétée des tumeurs cancéreuses de la dure-mère et des tumeurs cancér
te et bien interprétée des tumeurs cancéreuses de la dure-mère et des tumeurs cancéreuses développées dans le cerveau pourra je
veux. D'après les observations que j'ai pu recueillir à ce sujet, les tumeurs cancéreuses qui occupent les circonvolutions moye
le plus impunément supportées ; la paralysie n'arrive que lorsque ces tumeurs ou l'altération de la substance cérébrale qu'elle
ions des hémisphères au moment où elles sortent des corps striés. Les tumeurs fongueuses qui compriment les circonvolutions ant
t. XVI. Il est excessivement rare de voir les individus affectés de tumeurs cancéreuses de la dure-mère succomber par le seul
de la dure-mère succomber par le seul fait de l'accroissement de ces tumeurs . Plus tôt ou plus tard, la compression exercée su
e i une apoplexie capillaire (ramollissement rouge) tout autour de la tumeur , un ramollissement blanc pultacé, un ramollisseme
existence. XVII. Un point extrêmement important dans l'histoire des tumeurs cancéreuses du cerveau, c'est la différence des e
dentiques. Ainsi tel individu est hémiplégique sous l'influence d'une tumeur sphéroïde de deux pouces de diamètre, tel autre n
x pouces de diamètre, tel autre ne le sera pas sous l'influence d'une tumeur de quatre pouces, toutes choses égales d'ailleurs
ection suivant laquelle s'exerce la compression du cerveau. Ainsi une tumeur qui agira sur les circonvolutions cérébrales anté
arrière produira sur le cer* veau une compression bien moindre qu'une tumeur du même volume qui agira de haut en bas. Une tume
en moindre qu'une tumeur du même volume qui agira de haut en bas. Une tumeur qui agira transversalement ou obliquement sur un
t de la question est celui-ci. On ne meurt pas par le seul fait d'une tumeur cancéreuse de la dure-mère : et les phénomènes d'
départ d'une manière positive. XVIII. Quant à la thérapeutique des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère, elle est to
nternes de la dure-mère, elle est tout-à-fait nulle, i° parce que ces tumeurs , dans la première période, ne se manifestent le p
ivoques; i° parce que, lors même que nous pourrions diagnostiquer ces tumeurs d'une manière certaine , nous n'avons aucun moyen
nous n'avons aucun moyen direct à leur opposer. Supposez en effet ces tumeurs à l'extérieur, soumises à une médication topique,
en qu'elle fut le seul moyen curatif, est impraticable dans le cas de tumeur cancéreuse interne de la dure-mère; car non-seule
terne de la dure-mère; car non-seulement nous ignorons le siège de la tumeur , mais encore nous pouvons à peine soupçonner son
existence. L'extirpation ne serait donc applicable qu'au seul cas de tumeur cancéreuse externe de la dure-mère. Encore les da
grand nombre de praticiens. Il n'en serait peut-être pas de même des tumeurs cancéreuses des os du crâne, et je pense avec Ebe
ent propres à jeter quelque jour sur l'histoire encore si obscure des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère. Hémiplégi
ouleurs excessives dans les membres et mouvemens épileptiformes. Deux tumeurs cancéreuses de la dure-mère au niveau de la conve
ce d'une cause d'irritation permanente; et je soupçonnai dès-lors une tumeur cancéreuse ou autre développée soit à la face int
l'aide de parties molles, végétations dont la réunion constituait une tumeur spongieuse , mamelonnée , appliquée sur les os du
rge base, offrant en arrière une perforation P, autour de laquelle la tumeur osseuse amincie se laissait déprimer avec la plus
le très-mince. Dès ce moment, je pensai que nous avions affaire à une tumeur fongueuse de la dure-mère; je crus en outre que c
re à une tumeur fongueuse de la dure-mère; je crus en outre que cette tumeur naissait de la surface externe de la membrane , e
culai renient et enlevée avec précaution, nous avons vu (fig. 1) deux tumeurs careinomateuses TC, TC, sphéroïdes, d'un volume i
forme de chaque côté la faux du cerveau FC avec la dure-mère DM. Ces tumeurs n'étaient pas formées aux dépens du cerveau s mai
is elles s'enfonçaient dans son épaisseur. La plus volumineuse de ces tumeurs TC était reçue dans une excavation profonde C cre
e la scissure médiane qui était elle-même déprimée : au niveau de ces tumeurs , les circonvolutions étaient effacées, ou plutôt
effacées, ou plutôt il n'en restait que des vestiges. D'ailleurs ces tumeurs n'adhéraient nullement à la substance cérébrale e
s arachnoïde et pie-mère étaient en quelque sorte confondues avec ces tumeurs ; en sorte que, pour les isoler complètement, il a
naient se jeter dans leur circonférence. On voit ( fig. 1 ) que les tumeurs TC, TC sont bosselées, comme d'ailleurs presque t
es tumeurs TC, TC sont bosselées, comme d'ailleurs presque toutes les tumeurs careinomateuses de la dure - mère, parcourues par
upe verticale antéro-postérieure au niveau de la partie moyenne de la tumeur la plus volumineuse. Sous elle, les circonvolutio
ement qui s'étendait jusqu'au niveau du corps calleux. La coupe de la tumeur TC (fig. 3) nous a présenté un tissu mou, encépha
de la compression exercée sur l'hémisphère gauche par la plus grosse tumeur (1 hémiplégie était à droite ). Les douleurs si v
dans les membres étaient le résultat de l'irritation produite par la tumeur sur le cerveau. Chose bien singulière! le malade
e des nerfs est rapportée au cerveau (*), Du reste, on voit que les tumeurs ont pris naissance de la face interne de la dure-
ong-temps continuée, autour des abcès enkystés du cerveau, autour des tumeurs careinomateuses de cet organe. Je ne l'ai pas enc
Les parois du crâne n'ont donc pas été usées par les battemens de la tumeur repoussée du dedans au dehors ; mais bien par le
ela seul qu'elles naissent de la surface externe de la dure-mère, les tumeurs careinomateuses se développent du dedans au dehor
lle peut donner lieu. Ici existaient tous les signes rationnels d'une tumeur carcinomateuse externe ou fongueuse de la dure-mè
ant avoir affaire à un véritable fongus de la dure-mère, eût cerné la tumeur osseuse par plusieurs couronnes de trépan; suppos
osseuse par plusieurs couronnes de trépan; supposons qu'au lieu d'une tumeur cancéreuse externe qu'il croyait avoir diagnostiq
ancéreuse externe qu'il croyait avoir diagnostiquée, il rencontre une tumeur cancéreuse interne, devrait-il enlever la tumeur
ée, il rencontre une tumeur cancéreuse interne, devrait-il enlever la tumeur avec la dure-mère? Je ne sais jusqu'à quel point
ances, je ne crois pas que le chirurgien eût à hésiter un instant. La tumeur carcinomateuse interne devrait être emportée. Q
teuse interne devrait être emportée. Quant au siège immédiat de ces tumeurs , je le regarde comme étant dans le tissu cellulai
arachnoïde à la dure-mère : je me fonde i° sur l'analogie, toutes les tumeurs de même nature qui se développent sur le cerveau
sous-arachnoïdien; 2° sur l'inspection directe; car aux limites de la tumeur TC, on voyait (fig. 1) l'arachnoïde se détacher p
e détacher pour ainsi dire de la dure-mère pour aller recouvrir cette tumeur . Des plis très-prononcés indiquent cette disposit
cette tumeur. Des plis très-prononcés indiquent cette disposition. Tumeur carcinomateuse interne-née de la faux du cerveau
u nom de M. Dupuytren. 8e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CERVEAU ( Tumeurs Cancéreuses des Méninges) (les sinapismes, des
rémité antérieure, et la renversant en arrière , nous découvrîmes une tumeur fibreuse du volume d'une grosse noix, située sur
du volume d'une grosse noix, située sur la face droite de cette faux, tumeur qui se trouvait logée dans une cavité corresponda
eloppé le calcul que nous avons trouvé. » La figure 1 représente la tumeur d'apparence fibreuse, sphéroïde, TC , née de la f
rale droite de la faux du cerveau FC, près de son bord convexe. Cette tumeur était logée dans l'épaisseur de l'hémisphère droi
avec assez de facilité; c'est pour cette raison que je regarde cette tumeur comme appartenant à la classe des cancers durs ou
tumeur comme appartenant à la classe des cancers durs ou squirres. Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère. Hydropisi
et du tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Fig. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée figure 2 sur une femme destinée à mes
ur représentée figure 2 sur une femme destinée à mes dissections. Une tumeur sphéroïde TC, bosselée, naissait de la dure-mère
t s'enfonçait dans l'extrémité antérieure du lobe moyen LM. Une autre tumeur très-petite TC se voyait en arrière et en dehors
te TC se voyait en arrière et en dehors de la précédente. C'était une tumeur carcinomateuse a l'état naissant. La figure 2' re
e a l'état naissant. La figure 2' représente la coupe verticale de la tumeur principale , qui offre tous les caractères du tis
uvé dans les autres organes aucune cause qui pût expliquer la mort. Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère comprimant
a région frontale. Je diagnostique une compression du cerveau par une tumeur probablement de nature carcinomateuse, soit de la
rnée. Ouverture du cadavre. J'annonçai que nous allions trouver une tumeur soit de la dure-mère, soit du tissu cellulaire so
eur soit de la dure-mère, soit du tissu cellulaire sous-arachnoïdien, tumeur qui occupait probablement le côté droit de la voû
e avec beaucoup de précaution d'arrière en avant, s'est présentée une tumeur très-volumineuse TC (fig. 3) naissant de la face
ace interne de la dure-mère DM, à droite de la faux du cerveau. Cette tumeur était logée dans une excavation creusée aux dépen
mais n'étaient nullement détruites, et il m'a été facile d'enlever la tumeur par énucléation. Cette tumeur est bosselée comme
ites, et il m'a été facile d'enlever la tumeur par énucléation. Cette tumeur est bosselée comme les précédentes , parcourue à
e, en apparence inorganique. Des vaisseaux veineux parcouraient cette tumeur suivant son épaisseur. Les uns se rendaient dans
aux de la dure-mère, les autres dans les vaisseaux superficiels de la tumeur . Réflexions. — Une sorte de torpeur sans diminu
s représenté planche 1. On voit en effet que, dans ce dernier cas, la tumeur agissait verticalement de la voûte vers la base d
traire (planche 11), 8e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DU CERVEAU. ( Tumeurs cancéreuses des Meninges.) des sinapismes, des
rémité antérieure, et la renversant en arrière , nous découvrîmes une tumeur fibreuse du volume d'une grosse noix, située sur
du volume d'une grosse noix, située sur la face droite de cette faux, tumeur qui se trouvait logée dans une cavité corresponda
eloppé le calcul que nous avons trouvé. » La figure 1 représente la tumeur d'apparence fibreuse, sphéroïde, TC, née de la fa
rale droite de la faux du cerveau FC, près de son bord convexe. Cette tumeur était logée dans l'épaisseur de l'hémisphère droi
avec assez de facilité; c'est pour cette raison que je regarde cette tumeur comme appartenant à la classe des cancers durs ou
tumeur comme appartenant à la classe des cancers durs ou squirres. Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère. Hydropisi
et du tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Fig. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée figure 2 sur une femme destinée à mes
ur représentée figure 2 sur une femme destinée à mes dissections. Une tumeur sphéroïde TC, bosselée, naissait de la dure-mère
t s'enfonçait dans l'extrémité antérieure du lobe moyen LM. Une autre tumeur très-petite TC se voyait en arrière et en dehors
te TC se voyait en arrière et en dehors de la précédente. C'était une tumeur carcinomateuse à l'état naissant. La figure 1' re
e à l'état naissant. La figure 1' représente la coupe verticale de la tumeur principale, qui offre tous les caractères du tiss
uvé dans les autres organes aucune cause qui pût expliquer la mort. Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère comprimant
e l'olfaction est sous la dépendance immédiate des nerfs olfactifs. Tumeur carcinomateuse sous-arachnoïdienne de la convexit
rture du cadavre. Le crâne et la dure-mère enlevés, nous trouvons une tumeur carcinomateuse TC (fig. 3) située sous l'arachnoï
circonvolutions antérieures avec les circonvolutions moyennes. Cette tumeur , grosse comme une noix, était recouverte par un t
truite à son niveau. La figure 5 représente la face profonde de cette tumeur qui est bosselée et vasculaire, comme d'ailleurs
te tumeur qui est bosselée et vasculaire, comme d'ailleurs toutes les tumeurs careinomateuses. La figure 4 donne une idée de la
careinomateuses. La figure 4 donne une idée de la coupe de cette même tumeur et de la substance cérébrale environnante. Cette
us les symptômes que dans les observations précédentes. Sans doute la tumeur TC doit être regardée comme la cause de l'hémiplé
la cause de l'hémiplégie; mais alors pourquoi, dans d'autres cas, des tumeurs beaucoup plus volumineuses développées dans le mê
tradictions au moins apparentes ne sont pas exclusivement propres aux tumeurs careinomateuses du cerveau; nous les rencontreron
escription). Le 19, la langue est repoussée hors de la bouche par une tumeur dont le siège paraît être la glande maxillaire. M
tous les jours, qui nous montrent de petits épan-chemens, de petites tumeurs dans le cerveau produisant une hémiplégie complèt
nt, l'un à la partie supérieure, l'autre à la partie inférieure de la tumeur . Une ouverture pratiquée avec le bistouri donne i
rculeux ; mais ces petits abcès paraissent indépendans du corps de la tumeur et le produit de l'irritation exercée sur les env
reuse et les bosselures qui, avant l'inflammation, caractérisaient la tumeur . Enfin, après dix-huit mois de soins assidus, apr
nique albuginée. La figure 3' est une coupe de ce même testicule. Une tumeur cancéreuse, parfaitement circonscrite, enkystée,
ment circonscrite, enkystée, forme les cinq sixièmes supérieurs de la tumeur . Le tissu propre du testicule SS, refoulé en bas
ncore tous ses caractères. Il m'a été extrêmement facile d'enlever la tumeur cancéreuse par énucléation; la substance du testi
d'intégrité. Dans des cas semblables ne pourrait-on pas extirper la tumeur en laissant intact le testicule lui-même P Oui, s
urs praticiens consultés sont d'un avis différent sur la nature de la tumeur . La plupart penchent pour une hydrocèle; ils se f
t penchent pour une hydrocèle; ils se fondaient sur l'indolence de la tumeur , sur sa légèreté, sur sa forme ovoïde, sans bosse
; tout le reste était opaque. J'en conclus qu'il n'y avait dans cette tumeur qu'une très-petite quantité de liquide, et j'affi
aussi manifeste que possible se déclare à la partie antérieure de la tumeur ; cette fluctuation s'étend, s'acumine. Je crus à
sang. J'agrandis l'ouverture; j'exerce une légère compression sur la tumeur : il s'échappe au milieu d'une grande quantité de
ière encéphaloïde. J'agrandis et l'incision de la peau et celle de la tumeur ; mon doigt, introduit dans le fond de la plaie, r
ès-dures, un véritable kyste fibreux qui circonscrivait exactement la tumeur . Je pensai que j'avais affaire à une masse encéph
le et naturelle de ce qui restait du testicule après l'ablation de la tumeur , par son volume qui ne dépassait pas le volume or
tte préparation nous empêchent de la continuer. Quatre mois après, la tumeur augmente sensiblement de volume; elle double dans
partie du jour. Il est évident qu'un travail intérieur a lieu dans la tumeur ; l'extirpation du testicule est urgente : le mala
ment manifeste; d'ailleurs, point de douleurs, point d'élancemens; la tumeur ne paraît incommoder que par son poids. L'expérie
atement après sa section était tout-à-fait imaginaire. Examen de la tumeur . L'épididyme et, à plus forte raison, le canal dé
de jouit de la santé la plus florissante. Ainsi l'extirpation de la tumeur encéphaloïde avait été complète dans la première
lement le testicule avant d'en pratiquer l'amputation? L'examen de la tumeur a démontré que, dans le cas actuel, il n'est pas
e cas actuel, il n'est pas certain qu'il y ait eu rcpullulation de la tumeur , mais que plus probablement l'accroissement consi
érente à elle-même par des liens celluleux très-denses AC. TE est une tumeur formée par l'épididyme. Cette tumeur adhérait int
uleux très-denses AC. TE est une tumeur formée par l'épididyme. Cette tumeur adhérait intimement aux parties voisines. La fi
épididyme a un volume énorme, forme à lui seul les trois quarts de la tumeur testiculaire, et présente à la fois un aspect fon
état qu'à celui des synoviales et des ligamens articulaires dans les tumeurs blanches. Du reste, le canal déférent est parfait
est très-fréquemment suivie de récidive ou plutôt de la formation de tumeurs cancéreuses dans d'autres points de l'économie, i
leuse, et sous le point de vue du mode, en aiguë et en chronique. Les tumeurs blanches me paraissent consister essentiellement
te par une violente torsion en dedans de chacun des « avant-bras; une tumeur blanche de l'articulation pourrait aussi en être
u'elle est habituellement confondue avec la goutte, le rhumatisme, la tumeur blanche, et combattue par des moyens extrêmement
les soutient et successivement toutes les couches qui constituent la tumeur s'usent de dedans en dehors (voy. pl. 4, %. i et
sait à droite de la ligne blanche, un peu au-dessus de l'ombilic, une tumeur dure qui paraissait superficielle, vu la maigreur
a tous les organes sains, excepté l'estomac, qui était le siégé de la tumeur reconnue pendant la vie. (*) Observation et piè
e aussi-bien que dans le sens de l'épaisseur. Aussi la présence d'une tumeur à la région épigastrique et un dépérissement prog
xtrémité pylorique. La veine porte était fortement comprimée par la tumeur . Les autres organes ne présentaient rien de parti
t-être, par une exploration plus attentive, aurais-je pu découvrir la tumeur ; j'ai cependant la certitude d'avoir exploré l'ab
ormation aréolaire gélatiniforme : des masses fibreuses traversent la tumeur et envoient des prolongemens secondaires qui la s
er à toutes les occupations d'une profession pénible. L'absence d'une tumeur épigastrique, les circonstances commémoratives, e
de la région pylorique de l'estomac fait reconnaître une très-petite tumeur circonscrite qu'on regarde comme due au pylore ca
'un cancer mammaire antérieur, la présence à l'épigastre d'une petite tumeur formée sans doute par l'induration pylorique gros
ent la plupart des amputations pour des maladies chroniques, pour des tumeurs blanches, par exemple, ont dû souvent rencontrer
*) Par tubercules, Morgagni n'entend rien autre chose que des petites tumeurs , ainsi que le prouvent les développemens ultérieu
ncheur de leur centre qui est aplati et non creusé en godet comme les tumeurs careinomateuses, la coloration rouge foncée de le
omènes de la chorée. 11e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DE L'UTERUS.( Tumeurs fibreuses.) MALADIES DE L UTÉRUS (XIe LIVRAIS
ERUS.(Tumeurs fibreuses.) MALADIES DE L UTÉRUS (XIe LIVRAISON.) Tumeur fibreuse coïncidant avec la grossesse. EXPLICAT
ollègue M. Désormeaux, dont nous déplorons la perte prématurée. Une tumeur fibreuse très considérable, TF, TF, est développé
ent. Réflexions—Plusieurs questions se rattachent à la présence des tumeurs fibreuses dans l'épaisseur de l'utérus pendant la
rès l'accouchement. i° Dans l'état de grossesse, la présence de ces tumeurs peut donner à l'utérus une forme insolite, variab
e de plusieurs enfans. Il n'est d'ailleurs nullement démontré que ces tumeurs soient une cause d'avortement. Un grand nombre de
ons se renouvelaient tous les jours. i° Pendant F accouchement, ces tumeurs peuvent rendre le travail plus long en diminuant
e mécanique bien difficile à surmonter. 3°Après t accouchement, ces tumeurs peuvent en imposer, au moins quelques instans, po
de l'utérus sur lui-même. Enfin on peut considérer la présence de ces tumeurs utérines comme une cause de métrite, de métro-pér
métrite avec gangrène des couches les plus profondes de l'utérus. Les tumeurs fibreuses étaient très multipliées. Les unes avai
s habituels à la malade n'avait pas pu caractériser. .Te reconnus des tumeurs fibreuses ramollies, altérées; les petites masses
s, altérées; les petites masses arrondies qui constituent ce genre de tumeurs s'étaient réunies entre elles par des filamens fi
tre, et la malade guérit parfaitement. De U expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de V utérus hors V état de grossesse.
ses de V utérus hors V état de grossesse. L'expulsion spontanée des tumeurs fibreuses hors l'état de grossesse n'est pas fort
rible fétidité, a expulsé de petites masses que j'ai reconnu être des tumeurs fibreuses. Cette malade, que minait une fièvre he
'opère sans l'intermédiaire delà suppuration; la couche qui sépare la tumeur delà cavité utérine est usée, déchirée par le fai
usée, déchirée par le fait des contractions utérines, en sorte que la tumeur passe par une sorte d'énucléation spontanée du ky
lieu par hémorrhagie (Voyez xme livr. pl. vi): par exemple lorsque la tumeur étant volumineuse, les premiers efforts de contra
ans ce cas le seul moyen de prévenir une mort imminente. Lorsque la tumeur n'est pas trop volumineuse pour pouvoir être expu
du tissu de cet organe. Ces polypes doivent être bien distingués des tumeurs fibreuses développées sous la muqueuse ou plutôt
ôt sous les couches les plus profondes du tissu de l'utérus lui-même, tumeurs fibreuses qui proéminent dans la cavité utérine,
ion entre les polypes fibreux, nés du tissu propre de l'utérus et les tumeurs fibreuses de cet organe, n'est pas seulement util
soit pas entraînée avec le corps étranger; tandis que, dans le cas de tumeur fibreuse, le passage du corps étranger de la cavi
exclusivement aux dépens de la couche de tissu utérin qui recouvre la tumeur fibreuse et allonge le pédicule. Il suit encore
lque sorte étranger aux altérations qui pourraient avoir lieu dans la tumeur fibreuse, tandis qu'il participe nécessai- xie
e toujours de l'opération le praticien prudent. Toute la partie de la tumeur qui est encore contenue dans les narines présente
l'expression. D'une autre part, j'ai vainement essayé de produire des tumeurs cancéreuses dans le foie des animaux par l'inject
nchée entre le tissu du foie et le tissu de ces xjie LIVRAISON. 1 tumeurs ; la transition est brusque et non successive. C e
coupes du foie, figures 2, Pl. 1 et 3. 11 n'est pas rare de voir ces tumeurs présenter des embranchements , sur - tout le long
par degrés insensibles du tissu normal du foie au tissu morbide. Ces tumeurs présentent d'ailleurs un grand nombre de différen
de la couleur et de la texture, VI. Rarement trouve-t-011 une seule tumeur dans le foie ; dans le petit nombre de cas de tum
-t-011 une seule tumeur dans le foie ; dans le petit nombre de cas de tumeur unique que j'ai rencontrées, il existait en même
i rencontrées, il existait en même temps un certain nombre de petites tumeurs miliaires qui échappent au premier coup d'œil par
ilection pour la surface de l'organe. Sur un foie qui contenait vingt tumeurs de ce genre, j'en ai trouvé seize superficielles.
t vingt tumeurs de ce genre, j'en ai trouvé seize superficielles. Les tumeurs superficielles sont en général proéminentes, tell
de cette maladie. Ce signe est pathognomonique. Du reste, lorsque la tumeur superficielle est volumineuse , elle perd en part
exempt de cette altération : j'ai vu ce lobe tantôt farci de petites tumeurs cancéreuses, tantôt transforme en une tumeur canc
tantôt farci de petites tumeurs cancéreuses, tantôt transforme en une tumeur cancéreuse unique, qu'on aurait pu prendre pour u
rme en une tumeur cancéreuse unique, qu'on aurait pu prendre pour une tumeur encéphaloïde ordinaire proéminente. VIII. Sous
e présente beaucoup de variétés, depuis la forme miliaire jusqu'à ces tumeurs qui égalent un œuf de dinde, le poing, les deux p
ings réunis, la tête d'un fœtus à terme. En général, le nombre de ces tumeurs est en raison inverse de leur volume. Les différe
verses de développement, ne semblent-elles pas établir que toutes les tumeurs que l'on rencontre dans un foie malade, ne sont p
d'observation, qu'on assiste, pour ainsi dire, à la production de ces tumeurs , et qu'on peut étudier la succession de leurs div
e foie : je ne me rappelle pas de les avoir vues réunies dans la même tumeur . X. La variété dure se présente sous l'aspect d
dun tissu fibreux ou même cartilagineux. Quelquefois au centre de ces tumeurs se voient de petites cavités ou géodes remplies d
reuses plus ou moins irrégulières (fig. 2 , Pl. 1 ). Si on soumet ces tumeurs à une forte pression (et je me sers pour cela d'u
ation précédente, j'ai coutume de couper une tranche très mince de la tumeur et de la soumettre à la macération, soit dans l'e
sseaux sanguins, très développés, parcourent çà et là le centre de la tumeur ; d'autres fois, il semble qu'il n'y a point de va
encéphaloïde de Bayle et Laennec. Dans une première sous-variété, la tumeur n'est parcourue que par un petit nombre de vaisse
ennent la source soit de petits épanchements de sang qui donnent à la tumeur un aspect truite, soit de grands foyers sanguins
. Cette grande vascularité coïncide avec une diffluence telle, que la tumeur ressemble à une bouillie rougeâtre. L'action cont
âtre. L'action continue d'un jet d'eau dirigée sur une coupe de cette tumeur , la dépouille par dégrés de la pulpe qui la pénèt
4° Par ieur marche et leur développement lent, en général , dans les tumeurs dures, rapide dans les tumeurs molles. Nonobstant
eloppement lent, en général , dans les tumeurs dures, rapide dans les tumeurs molles. Nonobstant ces différences, il serait pro
n bouillie, la gangrène. Souvent le sang qui s'épanche au sein de ces tumeurs , subissant diverses transformations, peut en modi
, méritent de fixer toute notre attention. Le plus ordinairement, les tumeurs cancéreuses semblent déposées au milieu d'un tiss
on de volume qu'a subie l'organe parait représentée par le volume des tumeurs . Souvent, au contraire, le foie hypertrophié a ac
un poids de quinze à vingt livres, qui se compose, et de la somme des tumeurs , et de l'augmentation intrinsèque du foie lui-mêm
augmentation intrinsèque du foie lui-même, lequel, indépendamment des tumeurs , a doublé, triplé de volume. Dans d'autres cas, l
e ; on rencontre souvent la portion de foie intermédiaire à plusieurs tumeurs , atrophiée, décolorée, et même convertie en tissu
ie générale peut être portée au point que le foie, avec de nombreuses tumeurs , ne dépasse pas le volume naturel, et même soit a
assez exactement à une éponge pénétrée de sérosité trouble. XV. Les tumeurs careinomateuses du foie sont quelquefois placées
se l'irritation du péritoine, suite nécessaire de l'accroissement des tumeurs superficielles. XVI. L'irritation que détermine
ent des tumeurs superficielles. XVI. L'irritation que détermine ces tumeurs superficielles sur le péritoine s'élève (Quelquef
oie, tantôt elle est bornée à la partie du péritoine qui recouvre les tumeurs . 11 en résulte des adhérences accidentelles, soit
n exemple fort remarquable de cette dernière terminaison. XVII. Les tumeurs cancéreuses du foie peuvent exister indépendammen
que le foie; et ce cancer de la vésicule est tantôt bien distinct des tumeurs cancéreuses voisines; tantôt il est le résultat d
cancéreuses voisines; tantôt il est le résultat de l'extension d'une tumeur cancéreuse qui a envahi la vésicule par continuit
ières leçons, un cancer cutané siégeant au dos de la main droite; une tumeur encéphaloïde très volumineuse occupait le creux d
sselle du même côté; en même temps se voyaient dans le foie plusieurs tumeurs de même nature, dont une du volume d'un œuf de po
e même nature, dont une du volume d'un œuf de poule. Supposons que la tumeur axiilaire n'eût pas existé et qu'on eût emporté l
rant, d'une part, la facilité avec laquelle s'opère l'énucléation des tumeurs cancéreuses, d'une autre part, l'intégrité du tis
éreuses, d'une autre part, l'intégrité du tissu du foie autour de ces tumeurs , on serait porté à croire qu'elles sont formées p
as son siège dans le tissu du foie lui-même; i° à l'état naissant, la tumeur cancéreuse du foie représente exactement, par sa
t de son apparition jusqu'à son développement complet; 4° bien que la tumeur cancéreuse paraisse, au premier abord, complèteme
biliaires et des granulations du foie au sein de quelques-unes de ces tumeurs . XIX. Au lieu donc de distinguer les maladies c
à faire valoir à l'appui de cette opinion. XX. Si l'on compare les tumeurs cancéreuses disséminées du foie, avec les abcès é
sentent ces deux ordres d'altérations: les abcès multiples, comme les tumeurs cancéreuses, envahissent un grand nombre de point
nde étendue. Eh bien, il n'est pas rare de rencontrer, dans le cas de tumeurs cancéreuses du foie, une ou plusieurs veines hépa
on importante : dans une première variété, on trouve une OU plusieurs tumeurs circonscrites, adhérentes aux parois veineuses pa
un pédicule plus ou moins étroit et quelquefois multiple. J'ai vu des tumeurs de ce genre, qui avaient dilaté la veine en ampou
sidérables. XXI. Si on examine avec attention la coupe d'une grosse tumeur cancéreuse du foie, et qu'on exprime les sucs qui
ervicale antérieure : l'injection, poussée par les artères, colora la tumeur cancéreuse; l'injection, poussée dans les veines,
veinule. Je ne nie pas l'existence de vaisseaux particuliers dans les tumeurs cancéreuses formées par la dégénération cancéreus
précèdent la mort de quelques jours. A l'ouverture, nous trouvons une tumeur cancéreuse énorme qui occupait toute l'épaisseur
le tiers droit du grand lobe était seul respecté. Sept à huit petites tumeurs cancéreuses étaient disséminées dans l'épaisseur
igri, et présentait lefaciès abdominal : l'épigastre soulevé' par une tumeur dure qui se prolongeait dans l'hypochondre droit,
varie'te' dure ou squirrheuse dans toute sa simplicité' : aucune des tumeurs n'a subi la moindre altération. Le malade a succo
a texture e'minemment vasculaire de cette forme de cancer. Toutes ces tumeurs e'taient comme macule'es de sang; plusieurs offra
in distingué qu'il consulta : ( Le toucher ne fait reconnaître aucune tumeur » distincte dans l'abdomen. Le stéthoscope fait r
Foie bosselé. Les bosselures., larges et blanches appartiennent à des tumeurs encéphaloïdes, dont plusieurs sont converties en
itié aux deux tiers du volume du foie. La substance intermédiaire aux tumeurs , est parfaitement saine. La vésicule du fiel cont
ent rationel : et les secours chirurgicaux, tels que l'incision de la tumeur , l'extraction des calculs par un procédé tout sem
l pas au foie l'inflammation de la vésicule, lorsqu'il disait que les tumeurs biliaires étaient la suite d'inflammations du tis
concrétions biliaires dont étaient creusées la plupart de ces pentes tumeurs . Plusieurs de ces tubercules solitaires T, ou agg
ue soit la cause de l'obstacle au cours des matières, que ce soit une tumeur extérieure qui comprime le pylore, une hypertroph
e externe d'un cancer du pylore P qui se présente sous l'aspect d'une tumeur dure, bosselée, parcourue par des vaisseaux. Les
rophie de la membrane musculeuse. La section pratiquée au centre delà tumeur a donné une épaisseur quatre à cinq fois plus con
travers les parois abdominales amaigries; je reconnus le pylore à une tumeur circonscrite située au dessous de l'hypochondre d
minales que par l'épiploon gastro-hépatique. Le pylore présente une tumeur qui a un pouce et demi de longueur et qui a envah
conférence de l'estomac. Le cinquième supérieur a été respecté. Cette tumeur est limitée inférieurement par le pylore; supérie
anneau pylorique, mais encore l'antre du pylore. Au niveau de cette tumeur , l'estomac est très étroit, si bien qu'il faut un
granuleuse. Des veines rampaient sous le péritoine. Une coupe de la tumeur permet de voir : i° son aspect lardacé; 20 sa con
stance qui est ferme mais qui s'accompagne d'une grande fragilité. La tumeur s'écrase sous la pression sans fournir de suc can
it seule été respectée; 4° la surface de l'excavation ulcéreuse de la tumeur était grisâtre, sans aucun indice de travail morb
aucun indice de travail morbide; on eût dit d'une coupe récente de la tumeur . La portion d'estomac qui avoisinait le pylore pr
La malade ayant succombé, M. Dupuytren procéda à la dissection de la tumeur . A peine eût-il incisé la peau dans une certaine
rpris de ce phénomène , il dissèque avec soin la peau qui recouvre la tumeur et le tissu cellulaire sous-cutané, parcouru par
délicates. On a poursuivi les vaisseaux lymphatiques au-dessus de la tumeur , jusque dans le bassin; ils étaient remplis de pu
nt aucune trace. Comme la peau qui recouvrait la partie interne de la tumeur avait été le siège d'un érysipèle phlegmoneux, no
l'inflammation des vaisseaux lymphatiques. MALADIES DE L'UTÉRUS» Tumeurs fibreuses avec kyste séreux de l'utérus coïncidan
quable avec hypertrophie de Vutérus, pl. IV, XIIIe livr. Lorsqu'une tumeur fibreuse se développe dans l'utérus d'une femme p
st complet. L'utérus figuré pl. IV, qui présente la coïncidence d'une tumeur fibreuse très - considérable, avec un renversemen
aires, hyperthrophiées comme dans la grossesse, contenaient plusieurs tumeurs fibreuses d'inégal volume, qui se séparaient par
'inégal volume, qui se séparaient par une véritable énucléation. La tumeur fibreuse principale TF, qui occupe le fond de l'u
er. Un kyste se'reux considérable, RS, KS prolongeait en haut cette tumeur dont il quadruplait le volume. Ce kyste semblait
quadruplait le volume. Ce kyste semblait formé dans l'épaisseur de la tumeur fibreuse, dont la substance ou trame était à nu d
u'on le voit se tranformer en une membrane fibreuse qui enveloppe les tumeurs fibreuses comme dans un kyste. i° Une tumeur fi
use qui enveloppe les tumeurs fibreuses comme dans un kyste. i° Une tumeur fibreuse s'accompagnant constamment de l'hyperthr
réduction de l'utérus. 3° La coexistence d'un kyste séreux et d'une tumeur fibreuse de l'utérus, l'un et l'autre occupant la
arquable. Il trouve son explication dans d'autres observations où les tumeurs fibreuses étaient infiltrées d'une quantité plus
Livraison. Pl. 5. 13e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DE L'UTÉRUS ( Tumeurs Fibreuses) essentiellement des utérus bifides;
caduque, que j'ai eu lieu d'observer dans la cavité de la matrice. Tumeurs fibreuses, pl. VI, XIIIe livr. La fig. I représ
gale celui d'une femme arrivée au troisième mois de la grossesse. Une tumeur fibreuse considérable , TF, remplit sa cavité; ce
esse. Une tumeur fibreuse considérable , TF, remplit sa cavité; cette tumeur est recouverte par une membrane extrêmement mince
e membrane, divisée verticalement, a permis Fénucléation facile de la tumeur à laquelle elle n'adhérait que par un tissu cellu
aquelle elle n'adhérait que par un tissu cellulaire lâche. D'autres tumeurs fibreuses, moins volumineuses, sont situées, l'un
térus du même volume chargé du produit de la conception. De petites tumeurs polypeuses pédiculées, P,P,P, naissaient du col u
ive qui supprima les règles sans retour. Un an après, on reconnut une tumeur qui faisait saillie au-dessus du pubis. A cette m
douleurs hypogastriques et lombaires très vives. Depuis ce moment, la tumeur a continué de s'accroître; l'hémorrhagie et les d
nd la paroi postérieure et la plus grande partie de l'épaisseur de la tumeur . L'utérus, par l'épaisseur de ses parois, par l
ne femme à terme. La cavité utérine était exactement remplie par la tumeur qui est développée dans l'épaisseur de la paroi a
une couche assez épaisse de cette paroi antérieure. La coupe de la tumeur fibreuse, TF, présente un aspect particulier. On
x veineux très considérables, V, V, V, remplis de sang concret. Cette tumeur était ramollie ; les petites masses dont l'agglom
tait ramollie ; les petites masses dont l'agglomération constitue les tumeurs fibreuses, étaient disjointes , et la sérosité re
tes , et la sérosité remplissait leurs intervalles. La mollesse de la tumeur rendait son énucléation difficile ; cependant, on
t la ligne de démarcation qui séparait le tissu utérin du tissu de la tumeur . La source de l'hémorrhagie est évidemment dans
s utérins ouverts, VO, VO, qui occupent la partie inférieure de cette tumeur . L Toute tumeur fibreuse qui se développe dans
VO, VO, qui occupent la partie inférieure de cette tumeur. L Toute tumeur fibreuse qui se développe dans l'épaisseur de l'u
hie et le ramollissement de cet organe pendant la grossesse. IL Les tumeurs fibreuses qui se développent dans l'épaisseur de
e déformation et de retrouver la continuité du tissu de l'utérus. Les tumeurs fibreuses qui se développent sous le péritoine ou
tachent peu à peu de l'utérus, et deviennent pédiculées. De même, les tumeurs fibreuses qui se développent sous la membrane int
ntre les divers individus. Il n'est pas rare de rencontrer des cas de tumeurs fibreuses très-volumineuses, entièrement exemptes
s de semblables douleurs, tandis que, par opposition, de très-petites tumeurs sont la source des plus grandes incommodités. Il
urs sont la source des plus grandes incommodités. Il m'a paru que les tumeurs situées sous le péritoine, sont celles qui resten
t celles qui restent le plus ordinairement inaperçues, tandis que les tumeurs développées sous la muqueuse, et par conséquent q
'inflammation, l'usure de cette coque et l'expulsion définitive de la tumeur . Il existe un assez grand nombre d'exemples de ce
vent avoir pour résultat le déchirement de la couche qui recouvre les tumeurs ; et si de gros vaisseaux se trouvent compris dan
e, très ténue, à travers la transparence de laquelle s'apercevait une tumeur de couleur rouge. La lame aponévrotique enlevée
r de couleur rouge. La lame aponévrotique enlevée, nous avons vu la tumeur herniaire qui était très petite. Le nerf et les v
ne ayant été divisé, j'ai vu que la partie la plus considérable de la tumeur était située entre le muscle et l'aponévrose du t
qué sur la figure, marque le point de réunion des deux portions de la tumeur * Le sac, S, S, ayant été incisé, il s'est échap
e que la lame postérieure de la gaine du muscle pectine, maintient la tumeur fortement appli- XVe LIVRAISON. 1 quée contre
SON. 1 quée contre le muscle obturateur externe, en sorte que cette tumeur doit tendre à prendre son accroissement par en ba
t tendre à prendre son accroissement par en bas. La situation de la tumeur au-dessous du muscle pectine, ses rapports avec l
it généralement, mais qui occupent le côté externe et antérieur de la tumeur , fournissent les règles de conduite les plus impo
le muscle obturateur externe, et on s'assurerait si une portion de la tumeur n'est pas logée entre le muscle et la membrane so
t nullement à la grande majorité des cas ; par exemple, à ceux où une tumeur blanche ayant nécessité l'amputation du membre, l
it depuis longues années une chute du rectum ; l'intestin formait une tumeur grosse comme le poing, rouge foncée, indolente. D
e poing, rouge foncée, indolente. D'après le rapport du malade, cette tumeur sortait au premier effort de défécation, mais ren
. IV.) EXPLICATION DES FIGURES. Les fig* 1, 2 et 3 représentent des tumeurs lombaires TL, TL, TL, observées sur trois enfants
le siège , la forme et les nuances de coloration de la surface de ces tumeurs . La tumeur lombaire (fig. 1 ) est sphéroïdale,
forme et les nuances de coloration de la surface de ces tumeurs. La tumeur lombaire (fig. 1 ) est sphéroïdale, non ouverte,
e. Elle occupe le niveau des deux dernières vertèbres lombaires. La tumeur lombaire (fig. 2) a la forme d'un cœur de carte à
conférence, ulcérée en U , et perforée à sa partie inférieure P. La tumeur lombaire (fig. 3 ) occupe la région sacrée ; elle
sur elle-même. Recouverte par une peau fine à sa circonférence, cette tumeur est ulcérée à son centre dans une assez grande ét
fîg. 5 ' représente les détails qui résultent de la dissection de la tumeur ( fig. 5 ). Cette tumeur T L est renversée à gauc
détails qui résultent de la dissection de la tumeur ( fig. 5 ). Cette tumeur T L est renversée à gauche. La moelle M , M s'enf
auche. La moelle M , M s'enfonce dans l'épaisseur des parois de cette tumeur où elle se perd. De cette même tumeur partent les
l'épaisseur des parois de cette tumeur où elle se perd. De cette même tumeur partent les racines nerveuses R N qui vont consti
envoyé de province à M. Cayol qui voulut bien me l'adresser. Cette tumeur TL a la forme d'un ovale oblong, dont la petite e
ombaire jusqu'au coccyx : la fin de la moelle vient se perdre dans la tumeur comme dans le cas représenté fig. 3' : de cette t
perdre dans la tumeur comme dans le cas représenté fig. 3' : de cette tumeur naissent les filets d'origine des derniers nerfs
ants observés à la Maternité, deux présentaient une perforation de la tumeur au moment de la naissance; chez les trois autres
tion de la tumeur au moment de la naissance; chez les trois autres la tumeur était intacte: j'ai tout lieu de croire que, chez
e qui s'écoulait par l'ouverture était parfaitement limpide. Les deux tumeurs qui se sont rom- xvie livraison. 1 pues étaie
ées intactes (fig. 1). On conçoit en effet qu'un bien petit nombre de tumeurs , pour peu qu'elles soient volumineuses et proémin
dans le travail de l'accouchement. Joignez à cela que les parois des tumeurs volumineuses sont bien moins résistantes que cell
meurs volumineuses sont bien moins résistantes que celles des petites tumeurs ; que souvent même elles sont demi-transparentes,
rentes, tant est grande la ténuité de ces parois. L'ouverture de la tumeur peut-elle précéder le travail de l'accouchement ?
parois de la poche, ténuité qui est en raison directe du volume de la tumeur ; d'une autre part, les érosions et les ulcération
que importante à faire à ce sujet, c'est que la surface ulcérée de la tumeur , présente souvent des traces non équivoques de ci
s le cas représenté fig. 3. Dans les sept cas que j'ai observés, la tumeur occupait l'espace compris entre la première vertè
avoir bien réfléchi aux particularités que présente la dissection des tumeurs lombaires, je suis resté convaincu qu'on ne saura
uis resté convaincu qu'on ne saurait expliquer et la formation de ces tumeurs , et sur-tout la disposition de la moelle et des n
l vertébral n'est pas tout pour l'explication du spina bifida, que la tumeur lombaire est quelquefois peu considérable, à tel
dre compte ni de cette cloison médiane qui divisait incomplètement la tumeur en deux moitiés latérales , ni de ces filets nerv
atérales , ni de ces filets nerveux qui, partant des enveloppes de la tumeur , allaient gagner les trous de conjugaison, en se
ec ses enveloppes, allait se perdre dans l'épaisseur des parois de la tumeur , et que de cette portion de moelle quelquefois sa
res fois atrophiée ou ramollie , et devenue partie constituante de la tumeur , naissaient les nerfs, que j'ai trouvés quelquef
nerfs sacrés ou la queue de cheval qui allaient se confondre avec la tumeur , mais bien la moelle elle-même. La plupart de c
pina bifida , qui raconte que les nerfs dispersés dans la paroi de la tumeur , avaient changé de direction; par Burgius (Mise,
an 6, obs. 58.) qui compare avec beaucoup de justesse, l'aspect delà tumeur ouverte à celui des ventricules du cœur, en raiso
ersent. Le déplacement de la moelle et son adhérence aux parois de la tumeur , ont été indiqués d'une manière plus ou moins exp
à ce que des adhérences insolites unissant la moelle aux parois de la tumeur , et celle-ci s étant accrue, la moelle aura dû la
acré; or, ne suit-il pas de la présence du corps de la moelle dans la tumeur , lors même que cette tumeur occupe la région sac
a présence du corps de la moelle dans la tumeur , lors même que cette tumeur occupe la région sacro-coccygienne, i° que cette
ême que cette tumeur occupe la région sacro-coccygienne, i° que cette tumeur s'est formée dans les premiers temps de la concep
, des adhérences se sont établies. L'adhérence de la moelle avec la tumeur , l'altération qu'a subie son extrémité inférieure
e clinique de tous 1 es enfans que j'ai observés se réduit à ceci. La tumeur lombaire était fluctuante et demi-transparente :
uence de la respiration, des cris de l'enfant sur la distension de la tumeur était facile à constater, et même en examinant la
ension de la tumeur était facile à constater, et même en examinant la tumeur sous un certain jour j'ai reconnu qu'elle était a
mouvements légers isochrones à ceux du pouls. Tout le temps que la tumeur n'est pas ouverte, l'enfant présente en général t
l'enfant présente en général tous les attributs de la santé : mais la tumeur une fois ouverte, au bout de quelques heures, d'u
e alongée en poche, laquelle est remplie de sérosité ou de pus. Cette tumeur , dont on s'explique très bien la formation, si l'
de de la moelle au moment où elle se réfléchit sur le cervelet; cette tumeur , dis-je, refoule en avant le bulbe raehidien, et
liquide, et qui, d'une autre part, en permettant aux enveloppes de la tumeur de revenir sur elles-mêmes, augmentera leur résis
rtèbres dont le développement avait été empêché par la présence de la tumeur , tendront à se développer, à se rapprocher et à r
par elle-même, qu'il ne le devient qu'à la suite de la rupture de la tumeur et de la pénétration de l'air dans la cavité sére
j'ai observé à la Salpêtrièré sur une femme âgée de 75 ans. Fig. 1. Tumeur vue de face formée par le vagin renversé VR. Cett
. Fig. 1. Tumeur vue de face formée par le vagin renversé VR. Cette tumeur , qui est cylindrique, présente à son extrémité in
e tanche. Cette fente est déprimée à sa partie moyenne par une petite tumeur qui n'est autre chose qu'un follicule très dévelo
museau de tanche se voit une escarre superficielle : la surface de la tumeur était sèche, d'une couleur blanc rosé, recouverte
ment disposé par plaques irrégulières. L'extrémité supérieure de la tumeur se continue sans rainure circulaire avec la face
si complet que possible. A la partie supérieure et antérieure de la tumeur , méat urinaire MU, infundibuliforme, disposition
est dirigé en bas ; son extrémité a soulevé la paroi antérieure de la tumeur , en sorte qu'on aurait pu penser que la vessie to
r que la vessie tout entière était contenue dans l'épaisseur de cette tumeur . Au-dessous du méat urinaire, tubercules dispos
t forment un cul-de-sac très profond qui se trouve faire partie de la tumeur . L'orificevésicalOV n'occupe pas, comme de cout
s intestins n'entrent pas plus souvent dans la formation de pareilles tumeurs . Fig. 3. La fig. 3 représente l'utérus réduit e
in MTT, qui, comme on le conçoit, occupait la partie inférieure de la tumeur , est dû à son ramollissement et à une grande quan
-dessus du bassin, soit par une adhérence insurmontable, soit par une tumeur fibreuse trop volumineuse pour permettre son abai
roduits dans le méat urinaire se diriger en bas dans l'épaisseur delà tumeur , et se prolonger plus ou moins dans cette épaisse
ui avait une incontinence d'urine. Elle portait entre les cuisses une tumeur sphéroïdale , du volume de la tête d'un adulte ;
u volume de la tête d'un adulte ; je procédai à la réduction de cette tumeur , mais n'ayant pu y parvenir, je maintins la malad
t pendant quelque temps, et ayant renouvelé mes tentatives, je vis la tumeur diminuer peu à peu par la rentrée graduelle de l'
es vives se déclarèrent pour ne cesser qu'après la réapparition de la tumeur . Cette femme n'avait pas été mariée : elle m'assu
es escarres plus ou moins profondes à la partie la plus déclive de la tumeur ; or, cette partie la plus déclive, est formée par
s intestins, si les intestins étaient contenus dans l'épaisseur de la tumeur . On conçoit encore qu'une péritonite partielle ou
dans la vessie par une incision pratiquée à la paroi antérieure de la tumeur , sur une sonde cannelée introduite par le canal d
me celle de Rousset, à l'aide de la ligature portée sur la base de la tumeur : elle eut un plein succès. La malade succomba à
la méthode aveugle de la ligature, laquelle, portée sur la base de la tumeur , comprendra presque nécessairement la vessie, con
'appendice xyphoïde où elles se perdaient en devenant profondes. La tumeur formée par cette réunion de veines dilatées repré
ver aucune douleur. Lorsqu'on faisait tousser le malade, on voyait la tumeur de l'ombilic (cirsomphale ou varicomphale ) éprou
) éprouver une dilatation notable. Le stéthoscope appliqué sur cette tumeur faisait entendre un bruissement léger. Voici le
s renseignements qui ont été recueillis sur le développement de cette tumeur : en 1813, Bressoles fut fait prisonnier par des H
une mauvaise seringue. Alarégion ombilicale existaient deux grosses tumeurs d'apparence variqueuse, juxta-posées, extrêmement
VV, et qui soulevaient la peau très mince qui revêt cette région. Ces tumeurs étaient situées immédiatement au-dessous de la ci
immédiatement au-dessous de la cicatrice ombilicale O. Chacune de ces tumeurs était constituée par une veine prodigieusement di
e; telles sont les veines utérines dans la grossesse , dans le cas de tumeurs considérables, fibreuses, encéphaloïdes et autres
. VI, 16e livr. , il y avait dilatation et non varice des veines. Les tumeurs ombilicales elles-mêmes, si volumineuses , de for
te dans mon service à la Sal-pêtrière, qui portait dans l'abdomen une tumeur très volumineuse, bosselée, dont le siège me paru
tives oblitérées par suite de la compression exercée sur elles par la tumeur . Cette tumeur était formée aux dépens de l'ovaire
es par suite de la compression exercée sur elles par la tumeur. Cette tumeur était formée aux dépens de l'ovaire et constituée
A. Séverin, lorsqu'il parle (de Absc. recoud., cap. IX , § i 3) d'une tumeur variqueuse située à l'hypogastre et accompagnée d
l'hypogastre et accompagnée de varices considérables à la cuisse. La tumeur abdominale était formée, dit-il, par des veines v
80 ) qui rapporte ce fait, dit qu'il a observé un cas de ce genre. La tumeur occupait l'hypogastre, était formée par les veine
. Le développement général peut être uniforme ou inégal, avec ou sans tumeur proéminente dans l'intérieur de la vessie. Un b
eu indépendamment de cet engorgement. Le plus souvent pédiculées, ces tumeurs peuvent se continuer avec le tissu prostatique pa
un cas dans lequel il avait acquis le volume d'un œuf de poule. Cette tumeur proéminant dans l'intérieur de la vessie , faisai
avail, moitié par hémorrhagie. A l'ouverture, je trouvai deux petites tumeurs careinomateuses dont une pédiculéeavoisinaitle co
euses dont une pédiculéeavoisinaitle col de la vessie : c'était cette tumeur molle, encéphaloïde, extrêmement vasculaire que l
a surface et qui était la source de l'hémorrhagie; c'était cette même tumeur qui, à chaque contraction de la vessie, venait s'
e soin sans trouver aucun corps étranger, aucun indice appréciable de tumeur . Force était de laisser la (i) Cette idée avait
la vessie, lui ayant fait juger que cet obstacle consistait dans une tumeur située dans cette région, il se décida à perforer
dans une tumeur située dans cette région, il se décida à perforer la tumeur à l'aide d'une sonde à dard ; ce qu'il exécuta av
qu'il avait faite dans l'épaisseur de la partie latérale gauche de la tumeur . sonde à demeure malgré l'écoulement de sang au
tarrhales. Les derniers jours de la vie on sentait à l'hypogastre une tumeur très dure qui paraissait formée par la vessie. Le
la paroi antérieure, au niveau de l'orifice de la vessie, se voit Une tumeur L M, qui proémine dans l'intérieur de la vessie.
r L M, qui proémine dans l'intérieur de la vessie. Au-dessus de cette tumeur , est une ouverture OV, c'est l'orifice vésical du
u'à l'orifice vésical inclusivement, le bas-fond de la vessie B F, la tumeur prostatique LM P, les orifices des uretères OU, O
gion prostatique, 2° au-dessous de la bride transversale B M et de la tumeur prostatique LMP. La fig. 4 représente une coupe
de pédicule également d'apparence musculeuse,qui s'enfonçait dans la tumeur LMP. Au-dessous de la bride BM est l'orifice de l
é du cathétérisme est suffisamment expliquée par la présence de cette tumeur , au-devant de laquelle la portion prostatique for
sac. L'hémorrhagie est évidemment due à la déchirure de la base de la tumeur par le bec de la sonde. Cette déchirure s'étant c
el de la vessie était couvert par la partie la plus volumineuse de la tumeur . La bride mince qui existe dans le trajet de la
le douzième jour de l'invasion d'un érysipèle phlegmoneux. Vingt-neuf tumeurs sanguines furent trouvées dans l'épaisseur des mu
rable de la face comme dans une très forte contusion. Il existait une tumeur sanguine considérable au niveau du grand pectoral
u niveau du deltoïde; d'autres existaient aux membres inférieurs. Ces tumeurs , qui ne permettaient pas le plus léger mouvement
lles au centre et très dures à la circonférence, comme dans le cas de tumeur sanguine considérable du cuir chevelu. Je communi
st-à-dire en deçà de la naissance du tronc bra-chio-céphaîique, trois tumeurs anévrysmales, nos 1, 2, 3. La tumeur n° 1, qui es
ronc bra-chio-céphaîique, trois tumeurs anévrysmales, nos 1, 2, 3. La tumeur n° 1, qui est ouverte, présente dans son intérieu
'il est commun de rencontrer dans les poches anévrysmales. Cette même tumeur proémine dans l'intérieur de l'artère pulmonaire
rès cette disposition, on conçoit la possibilité de l'ouverture de la tumeur anévrysmale dans la cavité de l'artère pulmonaire
t les sinus de l'aorte correspondans. Sur cette 2efigure, des trois tumeurs anévrysmales, deux sont ouvertes: ce sont les nos
es, deux sont ouvertes: ce sont les nos 2, 3,len°i ne l'est pas. La tumeur n° 1 communique par deux orifices inégaux avec la
ar deux stylets. Un de ces stylets va de l'un à l'autre orifice. La tumeur n° 2 est ouverte et vide : l'une des moitiés de l
auche, l'autre moitié occupe la lèvre droite de l'incision faite à la tumeur . La tumeur n° 3, largement ouverte, communique
e moitié occupe la lèvre droite de l'incision faite à la tumeur. La tumeur n° 3, largement ouverte, communique avec la cavit
ant de stylets : elles sont d'inégales dimensions. La cavité de cette tumeur présente une couche stratifiée peu épaisse et coh
étacées; mais encore les parois artérielles sont devenues le siège de tumeurs anévrysmales qui présentent des caractères partic
rysmales qui présentent des caractères particuliers. Généralement les tumeurs anévrysmales circonscrites qui s'observent sur un
rge ouverture. Tel n'est pas le mécanisme de la formation des trois tumeurs anévrysmales que présente le cas actuel. Ces tume
mation des trois tumeurs anévrysmales que présente le cas actuel. Ces tumeurs ne communiquent pas avec la cavité de l'aorte dil
arge ouverture, mais par un ou plusieurs pertuis irréguliers : Ici la tumeur ou petite poche préexiste à l'abord du sang dans
xiste à l'abord du sang dans sa cavité : les points correspondans aux tumeurs n'ont pas cédé à l'action du sang, de manière à ê
personnes crurent au choléra; je crus à un étranglement: l'absence de tumeur herniaire me fit diagnostiquer un étranglement in
i antérieure du thorax et de l'abdomen ayant été enlevée, apparut une tumeur considérable HD (fig. 1) occupant le thorax dont
transposition de ce viscère. Il était facile de reconnaître dans la tumeur HD une hernie diaphragmatique. A travers la trans
la remarque judicieuse de Béclard, rapporté aux éventrations ; car la tumeur à base large et terminée en cône mousse qui conte
médiastin; bientôt le péritoine la suit, entraîné qu'il est par cette tumeur . Un sac herniaire se forme et ce n'est que plus t
tée par la maladie avait été refoulée vers la partie supérieure de la tumeur : ici la totalité des lobules qui entrent dans la
ébral. La veine cave longeait, sans y adhérer, le côté droit de cette tumeur . Réflexions. Que de causes se réunissaient ici
nquer rarement, et qui , coïncidant avec une douleur rénale, avec une tumeur appréciable par la région lombaire bien mieux enc
l'injection poussée par les veines n'a pénétré dans aucun point de la tumeur : il nf a pas eu une seule veine injectée, tandis
la tumeur: il nf a pas eu une seule veine injectée, tandis que cette tumeur a été pénétrée de toutes parts par l'injection ar
arence mamelonnée d'un calcul mural, représentant trait pour trait la tumeur , pl. II, fig. 3. Cette tumeur empiétait un peu à
mural, représentant trait pour trait la tumeur, pl. II, fig. 3. Cette tumeur empiétait un peu à gauche, de telle manière qu'el
plus souvent deux ou trois. Ces masses constituent ordinairement des tumeurs sphéroïdales, du volume d'une noix, d'un œuf de p
amelonnée. On voit quelquefois la matière tuberculeuse constituer une tumeur irrégulière plus étendue en largeur et en longueu
propage à la substance cérébrale, ou lorsque par son accroissement la tumeur agit à la manière d'un corps étranger. Il n'est p
isseuse. Ce fragment présente 1° une plaque osseuse PO, 2° une petite tumeur pédiculée TC criblée le trous, et de laquelle nai
TC criblée le trous, et de laquelle naissent des poils. Cette petite tumeur examinée avec le plus grand soin m'a présenté tou
tous les caractères du tissu cutané. Dans l'épaisseur de cette petite tumeur était un noyau osseux amorphe; mais nulle part je
omac, et sur laquelle on n'a pu se procurer aucun renseignement. La tumeur qui occupait le fond de l'excavation pelvienne av
érus et comprimait tous les organes contenus dans l'excavation. Cette tumeur était un kyste rempli par une matière grasse de l
fait étrangère au reste des parois, 1° elle est convexe et forme deux tumeurs TC, TC , séparées l'une de l'autre par un sillon
e l'aspect du tissu cutané décrit fîg. 4, pl. III. En outre celle des tumeurs TC, qui est plus à droite, est bifurquéeà son ext
et qui est pointue. La fig. 3 représente, disséquée ,1a partie delà tumeur d'où naissait la mèche de cheveux, le kyste étant
faitement distinct. Dans un cas, le tissu cutané formait une sorte de tumeur pédiculée. Dans le cas représenté planche IV, l
il a été transformé en tissu fibreux par suite du développement de la tumeur ? La présence constante d'une matière grasse à
s l'autre de ces cavités , ou bien se faire jour à l'extérieur, si la tumeur s'est dirigée du côté des parois abdominales. Alo
rande quantité de pus; il tenait, à l'aide du cordon ombilical, à une tumeur sphéroïdale, volumineuse, formée par un kyste ova
ites plusieurs fois à des intervalles plus ou moins considérables. La tumeur a diminué progressivement de volume : de molle qu
u lieu cette rupture ? Evidemment l'utérus n'était pas le siège de la tumeur , car la malade était réglée. Dans le cas adress
u de l'utérus la transformation fibreuse, je répondrai par les cas de tumeurs fibreuses pétrifiées qui existent depuis longues
randeur naturelle) représente une coupe de la partie supérieure de la tumeur . On voit 1° la couleur ardoisée de la substance d
contenait, les espèces de compartiments en lesquels était divisée la tumeur . Tous ces kystes avaient une structure fibreuse.
(i/2 grandeur) représente la masse formée par le foie, la rate et la tumeur , vus par la face postérieure. L'estomac E avait é
t organe. L'œsophage passait par une espèce de détroit que formait la tumeur autour de la partie sous-diaphragmatique de ce ca
ure TM, occupant la face dorsale du 1er espace interosseux. Fig. 4. Tumeur mélanique T' M', occupant la peau delà région cal
occupant la peau delà région calcanéenne de la plante du pied. (Cette tumeur appartient à un autre sujet). Fig. 4'. Coupe de
ette tumeur appartient à un autre sujet). Fig. 4'. Coupe de la même tumeur qui était limitée à la péau. Pl. IV .Fig. 1. Le
cules sur l'auricule droite et un au niveau de l'auricule gauche. Une tumeur sanguine T S, qui occupe le niveau de la base du
cœur, vu par sa face postérieure et largement ouvert, présente 1° des tumeurs mélaniques superficielles tm, tm, au niveau de l'
superficielles tm, tm, au niveau de l'oreillette gauche ; 2° quelques tumeurs mélaniques tm, tm, tm, proéminentes à la surface
rieure d'une côte qui a subi la dégénération cancéreuse mélanique. La tumeur est traversée par des lamelles fibreuses qui la d
adio-carpienne. Guérison de la plaie. Appa* rition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélanique
pa* rition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poumons, le cœur, l'estomac,
ommis négociant, entra à l'Hôpital Beaujon, le 28 mars 1829, pour les tumeurs de la paume et du dos de la main représentées fîg
L'état générai était excellent. Les commémoratifs apprirent que la tumeur avait paru 7 à 8 ans auparavant et sans cause con
s vives. Plusieurs praticiens conseillèrent alors l'extirpation de la tumeur : le malade s'y étant refusé , on le soumit à un
mit à un traitement antisyphilitique , en même temps qu'on fit sur la tumeur une application de pâte arsenicale. Sous l'influe
application de pâte arsenicale. Sous l'influence de ce traitement, la tumeur disparut j une cicatrice, en apparence de bonne
de M. Blandin. XIXe LIVRAISON, 1 nature , s'établit. Survint une tumeur do même caractère sur la lace dorsale de la main
e la main dans le premier espace interosseux. La cicatrice de la lere tumeur s'ouvrit; des douleurs lancinantes très vives se
ion postérieure du tronc était couverte d'une innombrable quantité de tumeurs mélaniques, dont quelques-unes avaient le volume
ont le plus grand nombre avait celui d'une noisette ou d'un pois. Ces tumeurs paraissaient formées aux dépens de la peau. Plusi
bercules anciens mélaniques de la peau , on trouva un grand nombre de tumeurs de la même nature dans plusieurs organes importan
iculièrement les lobes inférieurs , présentaient un certain nombre de tumeurs mélaniques dont le plus grand nombre occupait la
rface de l'organe, et dont quelques-uns occupaient son épaisseur. Les tumeurs superficielles étaient aplaties et comme pédiculé
quelques-uns se voyaient dans l'épaisseur de cet organe. Plusieurs tumeurs mélaniques occupaient le tissu cellulaire du médi
le. La muqueuse gastrique était soulevée par un assez grand nombre de tumeurs mélaniques, du volume d'une aveline. Elles étaien
nait un du volume d'une noisette. Le corps caverneux renfermait une tumeur mélanique du volume d'un œuf de pigeon, occupant
té des organes thora-ciques et abdominaux. Ouverture du cadavre. La tumeur des petites lèvres était squirrheuse et criait so
tères du cancer mélanique (Voy pl. IV fig. 5). Un certain nombre de tumeurs , dont plusieurs pédiculées, soulevaient la portio
rtion du péritoine qui revêt les parois abdominales. Plusieurs de ces tumeurs adhéraient au gros intestin. Le foie et la rate
ent au gros intestin. Le foie et la rate étaient sains. Huit à neuf tumeurs mélaniques existaient dans l'épaisseur àupancréas
s mélaniques existaient dans l'épaisseur àupancréas. Dans Vestomac, tumeur sphéroïdale, du volume d'un œuf de poule, pédicul
muqueuse pouvait être facilement disséquée sur la circonférence de la tumeur , mais au centre la tumeur et la muqueuse étaient
lement disséquée sur la circonférence de la tumeur, mais au centre la tumeur et la muqueuse étaient confondues. Cette tumeur d
ur, mais au centre la tumeur et la muqueuse étaient confondues. Cette tumeur divisée présente le même aspect que celle des p
eux, et marbrée de noir. On trouve dans l'estomac deux autres petites tumeurs aplaties , formées aux dépens de la muqueuse. Enl
aire, répondant à une érosion, A l'entrée du duodénum, deux petites tumeurs sphéroïdales squirrheuses, dont une noire. Le r
Le repli inférieur de la valvule iléo-cœcale avait été envahi par une tumeur de même nature, du volume d'une noix / son tissu
ait à l'altération au centre. Thorax. "Lepoumon présentait quelques tumeurs mélaniques peu considérables ; les ganglions bron
ie moyenne de sa longueur. Les vertèbres étaient saines. Crâne. Une tumeur encéphaloïde ordinaire pénétrée de sang occupait
veau, mais ne paraissait pas formée aux dépens de sa substance. Cette tumeur qui était pénétrée de suc cancéreux ne présentait
. Cancer mélanique sous-cutané extirpé. Apparition d'une multitude de tumeurs de même nature. Epuisement. Mort. Cancer mélaniqu
45 ans environ, entra à l'Hôpital Beaujon portant un grand nombre de tumeurs noires superficielles, d'un volume variable, depu
variable, depuis celui du pouce jusqu'à celui d'une noisette. De ces tumeurs , les unes formées aux dépens de la peau , présen
ieur , sans changement de couleur à la peau; la surface de toutes ces tumeurs était inégale et bosselée. Ces tumeurs étaient
au; la surface de toutes ces tumeurs était inégale et bosselée. Ces tumeurs étaient survenues à la suite de l'extirpation d'u
ée. Ces tumeurs étaient survenues à la suite de l'extirpation d'une tumeur de même nature faite 18 mois auparavant au niveau
rent à paraître. Le malade accusait des douleurs lancinantes dans ces tumeurs : des douleurs de même nature étaient également a
rès douloureux à la pression qui permef de reconnaître la présence de tumeurs dans cette cavité. Le malade succomba dans un épu
ès plusieurs mois de douleurs très vives. Ouverture du cadavre. Les tumeurs sous-cutanécs, parfaitement circonscrites, offrai
ère et bosselée leur donnait l'aspect de truffes. Thorax. Plusieurs tumeurs cancéreuses mélaniques s'étaient développées sous
arts les côtes considérablement amincies et fragiles au niveau de ces tumeurs . Les ganglions bronchiques étaient volumineux e
ent cancéreux. La surface des poumons présentait Un grand nombre de tumeurs mélaniques. Aucune n'occupait son épaisseur. Plus
paisseur. Plusieurs naissaient du péricarde. Abdomen. Quatre à cinq tumeurs mélaniques, du volume d'un œuf de pigeon, occupai
tration des membres inférieurs. Les intestins présentaient quelques tumeurs mélaniques à leur surface extérieure. Un grand no
face extérieure. Un grand nombre occupaient leur surface interne. Ces tumeurs s'étant développées entre la tunique musculeuse e
n kyste, de cette dernière membrane qui, tiraillée par le poids de la tumeur s'était alongée en pédicule. Plusieurs de ces tum
r le poids de la tumeur s'était alongée en pédicule. Plusieurs de ces tumeurs étaient assez volumineuses pour intercepter en pa
e, doit être bien distingué de celui dans lequel le foie est farci de tumeurs marronnées noirâtres interposées à sa substance.
omonique de l'hydrocèle, la transparence, la forme particulière de la tumeur qui plongeait dans l'anneau, joints à des symptôm
ait simple coexistence, soit qu'il y ait développement successif des tumeurs C'est sous la forme tuberculeuse que le cancer mé
te fortement renversée en arrière, présente dans ce dernier sens deux tumeurs ou bosses superposées 1rc T, 2e T. Il y a absence
2 représente le même fœtus, vu de profil et du côté gauche. Les deux tumeurs lre T, 2e T, sont plus apparentes et plus distinc
'autre dans ce dernier sens que dans le premier. La peau qui revêt la tumeur supérieure est parsemée de quelques poils. On y v
. Les téguments M C, MC, MC, ont été disséqués et renversés. Les deux tumeurs lre TO, 2e TO, ouvertes, permettent d'apprécier l
eau de la lre : séparées à l'aide d'une bride fibreuse verticales ces tumeurs communiquent largement avec la cavité du crâne :
iégeant au tiers supérieur de la face interne du tibia, je trouvai la tumeur formée parla matière encéphaloïde infiltrée dans
Le cancer par masses disséminées des os se présente sous l'aspect de tumeurs dont les formes variées et peu régulières sont dé
émités des os longs, elles n'affectent pas de forme déterminée. Les tumeurs cancéreuses des os présententtantôtle caractère d
ctère de l'encéphaloïde, tantôtle caractère du tissu squirrheux : les tumeurs squirrheuses des os qui sont beaucoup plus fréque
tumeurs squirrheuses des os qui sont beaucoup plus fréquentes que les tumeurs encéphaloïdes, ont identiquement les mêmes caract
tumeurs encéphaloïdes, ont identiquement les mêmes caractères que les tumeurs marronnées également squirrheuses du foie, avec l
cident très fréquemment; on prendrait ces cancers squirrheux pour des tumeurs fibreuses, tant est grande leur résistance , mais
seul caractère différentiel entre le cancer squirrheux des os et les tumeurs fibreuses qui se développent si fréquemment dans
ontanée des os est le premier et l'unique symptôme de la présence des tumeurs cancéreuses dans leur épaisseur : dans quelques c
e paralysie aux extrémités inférieures. A l'ouverture, je trouvai des tumeurs encéphaloïdes développées aux dépens de la 7e ver
isté), et des extrémités postérieures des deux premières côtes. Cette tumeur soulevait en avant la partie inférieure des muscl
rtie correspondante des muscles spinaux du côté gauche; une semblable tumeur commençait à se manifester aux dépens de la 5e ve
uche cancéreuse, vit se former à la partie supérieure du sternum, une tumeur qui augmenta progressivement de volume, au point
de la clavicule droite. Dans les derniers temps, la surface de cette tumeur devint mamelonnée et s'ulcéra dans quelques point
cette tumeur devint mamelonnée et s'ulcéra dans quelques points. Des tumeurs marronnées se développèrent dans le foie et puren
qu'au niveau de la fracture, le fémur avait été usé, corrodé par une tumeur très volumineuse qui l'avait réduit à sa couche l
que le moindre mouvement ait pu déterminer une fracture. L'une de ces tumeurs TC était contenue dans l'épaisseur du grand troch
(fig. 2) contenaient aussi dans leur épaisseur un grand nombre de ces tumeurs qui s'étaient creusé des cavités aux dépens du ti
s'étaient creusé des cavités aux dépens du tissu spongieux. Les deux tumeurs TC, T'C présentent absolument les mêmes caractère
ux tumeurs TC, T'C présentent absolument les mêmes caractères que les tumeurs contenues dans l'épaisseur du fémur. Des tumeurs
s caractères que les tumeurs contenues dans l'épaisseur du fémur. Des tumeurs tout-à-fait semblables remplissaient les cavités
rrodé. On avait, pendant la vie, reconnu sur la région frontale une tumeur du volume d'une petite noix; tumeur indolente, sa
econnu sur la région frontale une tumeur du volume d'une petite noix; tumeur indolente, sans adhérence avec la peau, et sur la
point appelé l'attention. La voûte du crâne enlevée, on vit que cette tumeur consistait dans un tampon d'apparence fibreuse T'
plissait une perte de substance circulaire des os du crâne, que cette tumeur soulevait en dehors le périoste, et en dedans la
é des os, et ne put être reconnu qu'à la coupe des os du crâne. Ces tumeurs avaient partout le même caractère : elles étaient
Le foie, qui avait triplé de volume, était farci d'une multitude de tumeurs de consistance et de volumes différens ; aucune d
ude de tumeurs de consistance et de volumes différens ; aucune de ces tumeurs n'avait subi de ramollissement complet. Le tissu
ie intermédiaire était dans l'état le plus parfait d'intégrité. Des tumeurs de même nature, mais plus petites, s'observaient
pénétrée de sucs cancéreux : coloration jaune-orangé au centre de la tumeur ; quelques taches noires çà et là; épaississement
oste et la dure-mère servaient de barrière aux progrès du mal. Aucune tumeur ne dépassait le niveau des parois du crâne. Le dé
r ne dépassait le niveau des parois du crâne. Le développement de ces tumeurs paraissait surtout se faire du centre à la circon
perdit la faculté de le mouvoir. A la même époque, parurent plusieurs tumeurs , deux sur les parties latérales et supérieures du
che. Paupières abaissées et soustraites à l'empire de la volonté: les tumeurs n'étaient pas douloureuses, à l'exception de cell
à l'exception de celle du bras. Le foie volumineux était le siège de tumeurs qui se dessinaient à travers les parois de l'abdo
tura le bras droit. Dépérissement, mort. Ouverture du cadavre.—Deux tumeurs arrondies, excédant le volume d'une grosse noix,
ganisation, mais d'apparence diffé-« rente, suivant qu'on examine les tumeurs à l'extérieur ou à l'intérieur, les composait ent
t de la fibrine ou du sang liquéfié. Les coupes ce pratiquées dans la tumeur offraient l'image assez exacte de l'intérieur d'u
et là quelques molécules osseuses ayant appartenu au diploé. » Une tumeur fibreuse développée dans la fosse orbitaire droit
dante du cœur qui était ramollie dans l'épaisseur de deux lignes. Une tumeur fibreuse , moins considérable, s'était développée
considérable, s'était développée dans la fosse orbitaire gauche. La tumeur de la clavicule était formée par un tissu analogu
ogue à celui des os du crâne. Le centre de l'os n'existait plus. La tumeur du bras droit avait cinq pouces et demi de longue
rcelles osseuses rares. Les cellules que présentait l'épaisseur de la tumeur avaient beaucoup de capacité. Cette tumeur se con
ésentait l'épaisseur de la tumeur avaient beaucoup de capacité. Cette tumeur se continuait en haut et en bas avec la membrane
sans vaisseaux apparens, et criant sous le scalpel : plusieurs de ces tumeurs comprimaient le col de la vésicule biliaire diste
uellement transcrite, de peur de l'affaiblir ou de l'altérer, que les tumeurs du crâne différaient à quelques égards de celles
observateur. Cancer de l'estomac. Fracture spontanée de l'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os. U
'humérus. Tumeurs cancéreuses dans le canal médullaire de cet os. Une tumeur caiicéreuse (*) dans l'épaisseur du sternum (fig.
'épaisseur provenait évidemment de la pression exercée sur eux par la tumeur . La masse la plus volumineuse répondait bien évid
ostérieure à la mort de la malade. La moelle, dans l'intervalle des tumeurs et au-dessous, était jaunâtre et comme infiltrée
on de la première avec la deuxième partie du sternum, on a trouvé une tumeur cancéreuse circonscrite de même nature T'C. La
cérébrale, je présumai que l'amaurose était symptomatique de quelque tumeur fongueuse de la dure-mère, et que la mort, comme
ait eu lieu subitement par l'effet d'un changement survenu dans cette tumeur jusqu'alors inaperçue. A l'ouverture, je trouvai
trique déterminait une douleur assez vive, mais on n'y sentait aucune tumeur (lait pour toute nourriture : cataplasmes). Quelq
xploration des diverses régions de l'abdomen ne fait découvrir aucune tumeur , aucune lésion appréciables; face pâle, bouffie.
le la malade ne se prête qu'avec répugnance, ne fait découvrir aucune tumeur dans l'abdomen, qui est tantôt affaissé et tantôt
.dïes du testicule. Sarcocèle; cancer alvéolaire avec matière perlée; tumeur fibreuse ; sarcocèle tuberculeux. Observations
en couches en général et sur le typhus puerpéral en particulier. — Tumeurs fibreuses avec kyste séreux de l'utérus.........
. — Tumeurs fibreuses avec kyste séreux de l'utérus......... - —— Tumeurs fibreuses coïncidant avec la grossesse.........
4 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
des follicules muqueux, des fissures à l'entrée du vagin, de petites tumeurs érectiles du méat urinaire, des be-soins fréquent
sie; ce dernier organe se remplissant d'urine forme dans le vagin une tumeur bien circonscrite et très-tendue. D'autres fois,
le vaginale est facde quand la tu-meur est volumineuse. On voit cette tumeur entre les grandes lèvres; elle augmente quand l'u
épas-ser le col de la vessie. Le traitement consiste à maintenir la tumeur réduite, ou à l'empêcher de se produire. La réduc
plusieurs reprises et à plusieurs jours d'intervalle, il trace sur la tumeur deux lignes transversales à l'aide du cylindre de
s ; pen-dant qu'un aide la maintient ainsi, placez à la base de cette tumeur artificielle une suture en faufil ou à points pas
par cette constriction, ou bien appliquer l'écraseur linéaire sur la tumeur ainsi pédiculisée. Pour avoir une idée exacte d
orrhée persistante. Si l'on écarte les grandes lèvres on aperçoit une tumeur que l'on peut com-primer, mais qui n'est pas fluc
, et le doigt, introduit dans le rectum, pénètre facilement dans la tumeur et rencontre un au-tre doigt qui explore le vagin
qui explore le vagin ; un lavement, en vidant le rec-tum, affaisse la tumeur , et le vagin cessant d'être distendu, des plis se
lorsqu'une paroi seulement a cédé. Dans le premier cas on voit une tumeur faire saillie sur tous les points de la vulve, et
de ou le doigt ne font pas reconnaître la vessie ou le rectum dans la tumeur , et l'évacuation de ces deux cavités ne soulage p
r, et l'évacuation de ces deux cavités ne soulage pas la malade. La tumeur formée par le prolapsus du vagin peut être très-c
ente son volume, comme l'hydrocéphale, l'ascite, l'hy-droracliis, des tumeurs diverses, peut produire le même acci-dent. Il en
-rissent d'elles-mêmes. S'il existe sur le col ou dans le vagin des tumeurs qui s'op-posent à l'accouchement, on peut les enl
coupante dont la longueur diminue à mesure que le fil pénètre dans la tumeur ; il en résulte que l'intensité du courant augmen
e l'avan-tage de changer constamment la partie du fil qui agit sur la tumeur , ce qui en prévient la rupture. M. de Seré a aj
re beau-coup de la première et a été utilisée pour la destruction des tumeurs dans la méthode dite électrolytique. Dans ces d
sonde révèle une contre-indication aussi formelle dans l'existence de tumeurs fibreuses d'une grossesse, de cancer et d'atrophi
ats présentés par Valleix; frissons, douleurs abdominales, syn-copes, tumeurs inflammatoires dans la fosse iliaque, hémor-rhagi
de l'utérus, différences dues à des versions, à des flexions ou à des tumeurs intra-utérines. Pour sonder sans spéculum, on i
est exposé à com-mettre de graves erreurs en les confondant avec les tumeurs solides utérines ou péri-utérines, la grossesse e
térin est plus ou moins oblitéré, ou que, étant dévié du centre de la tumeur , il n'est pas accessible à la vue, ce qui a toujo
ertrophique, quelque soin qu'on mette à cher-cher, vers la base de la tumeur , un bourrelet qui l'embrasse plus oii moins étroi
s de polype, rinstrument porté avec attention autour de la base de la tumeur rencontrera l'anneau formé par le col, et son ext
t l'utérus s'est laissé disten-dre peu à peu et a fini par former une tumeur saillante à l'hypogastre. Cette tumeur s'élève gr
à peu et a fini par former une tumeur saillante à l'hypogastre. Cette tumeur s'élève graduellement dans la cavité abdominale e
par le rectum. Quelquefois le sang en distendant la trompe forme une tumeur considérable ; c'est pour l'utérus un déversoir q
me l'hypogastre avec un bandage ; au bout de quelques jours, quand la tumeur s'est complètement vidée, on introduit dans le co
et. Si elles produisent la rétention des règles et la formation de la tumeur hypogastrique avec tous les accidents qui l'accom
tions, l'hypertrophie des replis qui finissent par se souder; par des tumeurs ou des flexions de l'utérus; par la gangrène du c
qu'il finit par disparaître et que le doigt ne rencontre plus qu'une tumeur sphérique, formée par la dilatation de la cavité
e résultat de l'o-pération : le développement très-considérable de la tumeur qui permet moins le retrait de l'utérus et favori
se la produc-tion de la métropéritonite ; l'existence de deux petites tumeurs latérales formées par la distension des trompes.
que l'opérateur peut constater : la tête coiffée par le col forme une tumeur globuleuse sans orifice et sans dépression ; ou b
e dont on appuie le bec avec force sur le point le plus déclive de la tumeur ou sur le siège précis de l'occlusion si on a pu
n produite par un polype, la déformation du canal occasionnée par une tumeur fibreuse développée dans les parois antérieure, p
d'intervalle; on peut ainsi mettre plusieurs jours à circonscrire une tumeur , et cette manière de faire peut seule, dans certa
sion ; dans l'amputation du testicule, de la verge, l'extirpation des tumeurs sous-cuta-nées, et des tumeurs érectiles en parti
ticule, de la verge, l'extirpation des tumeurs sous-cuta-nées, et des tumeurs érectiles en particulier. Instruments, voyez pl
lles que celles qu'on pratique sur les polypes, les hémorrhoïdes, les tumeurs de la langue. La section faite par l'écraseur est
sale; on porte ainsi très-aisément la chaîne autour du pédicule de la tumeur , et alors on fait rentrer le porte-chaîne dans le
résente une résistance très-grande à l'écraseur, à ce point que si la tumeur qu'on veut enlever en est complètement enveloppée
quement les artères avant de les cou-per. Pour les veines et pour les tumeurs érecliles, le méca-nisme n'est pas identique, mai
s autres et de la chaîne en totalité sur les bords de la gaîne. Si la tumeur n'a pas de pédicule na-turel, il faut commencer p
e par un serre-nœud, si ces tissus ne cèdent pas facilement. Quand la tumeur est ainsi pédiculisée, on applique la chaîne de l
on divise le fil aussitôt que l'écraseur a pu être bien placé. Si la tumeur à pédiculiser était entièrement enve-loppée par l
émaillère, on applique d'emblée l'instrument sur le pédicule. Si la tumeur qu'on opère a un pédicule artificiel ou naturel d
aîne sur chacune d'elles par le procédé qui vient d'être indiqué ; la tumeur est ainsi entièrement com-prise dans les anses de
quelques cas rares, on a commencé par apphquer sur le pédicule de la tumeur une ligature simple qu'on y a laissée pendant plu
de structure, de volume, de direction des parties constituantes d'une tumeur ou d'un organe, produise des inégalités dans le m
groupes, i" L'écraseur n'a besoin d'aucun auxiliaire, comme dans les tumeurs naturelle-ment isolées ou recouvertes exclusiveme
Comme pour l'écrasement linéaire, 11 faut avant tout pédi-culiser la tumeur ; voici deux procédés qu'on peut ajoutera ceux qu
it suivant le besoin et qu'il introduisait doucement au des* sous des tumeurs , après avoir disséqué celles-ci dans leur par-tie
re à anses excentriques imaginée par Blandin, a pour but de cerner la tumeur par des anses dont les chefs pendent à l'extérieu
dant que les anses elles-mêmes se trouvent placées au centre de cette tumeur où elles se regardent par leur convexité. Elle s'
ur le côté et montée sur un manche fixe. On introduit à la base de la tumeur l'aiguille armée d'un forte ligature, on la fait
econd fil; on retire alors doucement l'aiguille jusqu'au centre de la tumeur , puis, lui faisant décrire une nouvelle courbe, o
e un troisième qu'on conduit de la même manière jusqu'au centre de la tumeur pour le faire sortir à trois centimètres au delà,
ment au constricteur. Chacune des anses coupe ainsi une portion de la tumeur en agissant de dedans en dehors. Il est bien ente
et conduire sur eux la pince de Museux qu'on ouvre en arrivant sur la tumeur et qu'on im-plante aussi haut que possible sur un
avec le plus beau succès à l'amputation du col, même dans des cas de tumeurs très-vasculaires. (Soc. chirurg., juin r858.) Le
our que l'écraseur puisse être appliqué avec sécurité, il faut que la tumeur soit ou pédiculée, ou du moins facile à circonscr
le vagin et l'hypogastre qui est due aux tiraillements exercés sur la tumeur pendant l'opé-ration. Il importe beaucoup aussi d
doit la démonstration de ce fait, que dans la plupart des cas où une tumeur de lo à \i centimètres sort de la vulve, et prése
restée dans la cavité du bassin presque avec son volume normal. Cette tumeur est formée par l'allongement hypertrophique de la
vagino-rectal et souvent une portion du rectum; il en résulte que la tumeur n'est pas simple, mais constituée par le vagin re
es limites qui séparent le col du vagin, il faut tâcher de réduire la tumeur , La portion sous-vaginale du col est habituelleme
amment un prolongement dans l'épaisseur de la portion supérieure delà tumeur sous-vulvaire ; ordinairement c'est la base de la
er quand on n'est pas prévenu; on le fait disparaître en réduisant la tumeur ; pour découvrir le méat urinaire on est obligé de
re et demi tout au plus. Dans les cas où l'extrémité inférieure de la tumeur est formée par la paroi postérieure du vagin des-
jamais entraînés dans la cavité vagino-péritonéale. Le volume de la tumeur varie suivant une foule de circons-tances ; M. Hu
anes et des adhérences entre les différentes parties qui composent la tumeur , et entre cette tumeur et les organes pelviens.
entre les différentes parties qui composent la tumeur, et entre cette tumeur et les organes pelviens. Les graves inconvénien
t douloureux d'ininer, la malade est obligée de porter la main sur la tumeur pour la relever; sans [cela la vessie soustraite
, démangeaisons, excoriations, ulcérations même de l'abdomen et de la tumeur . D'un autre côté, le déplacement du rectum entraî
mplémentaires achèvent d'éclairer le diagnostic ; la palpa-tion de la tumeur formée par l'hypertrophie fait constater dans tou
temps qui consiste à replacer l'organe dans le bassin est facile, la tumeur semble reprendre d'elle-même sa place; la femme e
u vagin était seule renversée, et que dans les efforts de la femme la tumeur ne dépassait la vulve que de 4 à 5 cen-timètres.
remier temps : section des parois postérieures du vagin et du coi. La tumeur ayant été saisie par des pinces de Museux implan-
e qui tient les pinces de Museux porte doucement et gra-duellement la tumeur en haut et en avant. Les incisions sont d'abord d
inférieure du cul de sac vésical qui forme la partie antérieure de la tumeur . L'aide qu'on charge de cette sonde doit la faire
. Enfin le cautère électrique a été porté directement sur le corps de tumeurs très saignantes, quand on redoutait la perte de s
it occasionnée. Broiement. Il se pratique sur le pédicule ou sur la tumeur même. M. Simpson emploie une espèce de forceps tr
en anse horizontale qu'on glisse sur la pince jusqu'à la base de la tumeur . Un aide tient la pince, quelques mouvements suff
ranchir le col utérin ; le spéculum ne permettait pas de découvrir la tumeur . ]Ne voulant pas inciser le col dans la crainte d
iculièrement les parties résistantes de sa capsule, jusqu'à ce que la tumeur puisse êire allongée lors-qu'on tire sur sa point
l les introduit par leur extrémité supérieure jusqu'au pédicule de la tumeur , en se guidant sur l'index de la main gauche plac
nstruments qui agissent plutôt à la cir-conférence qu'au centre de la tumeur , nous rappellerons la pince à crémaillère du même
de tenir l'instrument serré ; on peut ainsi saisir très-fortement la tumeur sans l'écraser, parce qu'elle déborde par les ann
les parties de toutes piqiires. Quand ces mors ont été placés sur la tumeur , un mouvement de vis fait sail-lir les pointes et
uvement de vis fait sail-lir les pointes et les fait pénétrer dans la tumeur de manière à la saisir très-solidement. Les deux
par trois crochets à chaque branche; ces crochets peuvent sai-sir la tumeur à des hauteurs différentes à droite et à gauche,
établissent une classifica-tion fondée sur la structure intime de ces tumeurs , et, comme les recherches modernes montrent qu'el
aires, polypes muqueux, polypes fibreux ; outre ces types, il y a des tumeurs composées dans lesquelles on trouve deux ou trois
nous rappellerons que ce n'est pas en passant à travers le col que la tumeur se pédiculise; même pour les polypes fibreux, le
ngement du pédicule varie avec la nature, le poids, la mollesse de la tumeur ; ainsi, dans les polypes fibreux, le pédicule e
Uiculaires, le pédicule s'allonge et s'amincit au point de donnera la tumeur la forme d'un battant de cloche qui pend hors de
r la mu-queuse utérine allongée, car le tissu fibreux du centre de la tumeur est peu vasculaire. On n'oubliera pas que, même a
ee, on compte neuf morts, et deux fois cette mort arriva avant que la tumeur fut détachée. Le même chirurgien, ayant extirpé t
involontairement en pratiquant la torsion ; on l'a aussi appliqué aux tumeurs intra-utérines, lorsqu'on a jugé conve-nable d'ag
urs intra-utérines, lorsqu'on a jugé conve-nable d'agir plutôt sur la tumeur elle-même que sur son pé-dicule. Enfin on s'en es
ont l'insertion laissait des incertitudes; on a pu ainsi morceler des tumeurs très-dures et très-volumineuses et en délivrer la
ie des polypes très-vasculaires, soit qu'on agisse directement sur la tumeur efle-même, soit qu'on en coupe le pédicule par le
ité, et, pour éviter la confusion, nous établirons trois di-visions : tumeurs fibreuses interstitielles; sous-péritonéales; tum
is di-visions : tumeurs fibreuses interstitielles; sous-péritonéales; tumeurs fibreuses compliquant la grossesse ou l'accouche-
t. A ne considérer que le siège anatomique, on devrait distinguer les tumeurs sous-muqueuses des tumeurs intersti-tielles ; mai
iège anatomique, on devrait distinguer les tumeurs sous-muqueuses des tumeurs intersti-tielles ; mais, outre que l'histoire pat
ce toutefois que les procédés les plus simples conviennent plutôt aux tumeurs sous-mu-queuses et sont d'une exécution plus facd
aux tumeurs sous-mu-queuses et sont d'une exécution plus facde. 1° tumeurs fibreuses interstitielles. Avant d'indiquer les
ortante au sujet d'une grave complica-tion que présentent souvent ces tumeurs , l'hémorrhagie abon-dante. Cet accident peut être
us, et faisant une large incision sur la portion la plus en vue de la tumeur ; ou bien encore en incisant large-ment le museau
re en incisant large-ment le museau de tanche, même sans toucher à la tumeur . L'efficacité de ce moyen hémostatique a été reco
action de ces incisions n'est pas encore parfaitement expliqué. Les tumeurs fibreuses sous-muqueuses ou interstitielles peuve
uvent être situées dans le col ou dans le corps de l'utérus. Pour les tumeurs du col, on peut pratiquer l'incision ou l'ex-cisi
on ou l'ex-cision du col. Uincision est faite près de la base de la tumeur , elle est pro-portionnée à son volume; à travers
deux par-ties égales, dont on ferait successivement l'énucléation. Tumeurs fibreuses interstitielles du corps de ïutérus. L'
ecours qu'elles peu-vent prêter au diagnostic et à la destruction des tumeurs fi-breuses de l'utérus. L'énucléation de ces tu
estruction des tumeurs fi-breuses de l'utérus. L'énucléation de ces tumeurs a été pratiquée avec quelques différences dans le
ns, on détruit avec le bout du doigt les connexions celluleuses de la tumeur avec l'utérus et, quand on est par-venu à en isol
re, à cause des dangers auxquels il expose, cherchait à imprimer à la tumeur un mouvement de rotation sur son axe transversal.
ne fois qu'on a ainsi dédoublé et énucléé cette moitié droite de la tumeur , il devient facile de l'extraire. Quant à la moit
cléer et de l'extraire facdement en renversant l'utérus. Dès que la tumeur a été extraite, le chirurgien explore de nouveau
Procédé de Simpson : caustique. Au heu d'attaquer l'enve-loppe de la tumeur avec l'ongle ou le bistouri, M. Simpson en déterm
totalité. Procédé de Baker Brown : excavation et suppuration de la tumeur , opération en deux temps, i®" temps. C'est l'inci
les progrès et même pour amener la diminution et la disparition de la tumeur dans quelques cas. Le i^ temps consiste à enlever
ur dans quelques cas. Le i^ temps consiste à enlever un morceau de la tumeur , à y creuser des excavations centrales, comme qua
l'incision préliminaire, et de ne pas provoquer la destruction de la tumeur par la suppuration, but qu'on se propose dans ce
les peu-vent absorber les produits de suppuration qui découlent de la tumeur . La manière d'agir adoptée par M. Baker Brown est
quence, aussi curieuse qu'importante, a surtout été observée pour les tumeurs de petit volume et d'origine récente; l'incision
e et d'origine récente; l'incision du col ou celle de l'enveloppe des tumeurs en a souvent arrêté le développement. Sur quatorz
Londres en janvier 1864, deux fois seulement d avait fallu excaver la tumeur . A l'appui de sa manière de voir, M. Baker Brow
sétés sur le fond de l'utérus ; procédé Jarjavaj. La situation de ces tumeurs expose à des dangers qui leur sont particuliers;
est extrêmement mince, et l'inflammation produite dans le corps de la tumeur peut se propager à la sé-reuse avec la plus grand
ité ; souvent encore le fond de l'utérus s'est trouvé entraîné par la tumeur et a été amputé en même temps qu'elle, parce qu'i
e; d'autres fois, sans que le bis-touri ait dépassé les limites de la tumeur , les tractions qu'on exerce sur elle font céder l
ère à droite et à gauche, je pus facilement constater la limite de la tumeur et du tissu utérin. Une couche de tissu cellulair
u bistouri ou des ciseaux. Les tractions nécessaires pour détacher la tumeur ne sont pas toujours très-efficaces, malgré l'éne
qu'elle oblige à laisser l'opération ina-chevée. Plus le volume de la tumeur est considérable, plus l'énucléation devient diff
nts du côté de la vessie ou du rectum; on comprend que le siège de la tumeur sur la paroi antérieure ou sur la paroi postérieu
ant compte des résultats que nous ve-nons de faire connaître pour les tumeurs du corps de l'utérus. en se rappelant d'autre p
cette époque, en opérant ce que Chassaignac appelle la déhiscence des tumeurs fibreuses utérines; en son-geant enfin aux incert
, soit sur la partie postérieure de la ma-trice; si dans le cas où la tumeur est postérieure, le toucher rectal démontre que l
e cas où la tumeur est postérieure, le toucher rectal démontre que la tumeur est unique, qu'elle n'est pas composée de bosselu
que la sévérité du jugement qui vient d'être exprimé s'ap-plique aux tumeurs interstitielles et non aux tumeurs sous-muqueuses
ent d'être exprimé s'ap-plique aux tumeurs interstitielles et non aux tumeurs sous-muqueuses ; ces dernières sont beaucoup plus
tats remarquables qui doivent encou-rager à suivre leur exemple. 2° TUMEURS FIBREUSES SOUS-PÉRITONÉALES. Comme celles qui f
é du ramollissement est la transfor-titation surcomateuse qui rend la tumeur plus molle, rouge comme du tissu musculaire, ou b
n trouve des liquides infiUrés soit partiellement, soit dans toute la tumeur qui donne alors la sensation de la fluctuation. S
e comme impossible , nous rappellerons que, transfor-mées ou non, les tumeurs fibreuses présentent parfois des masses cancéreus
reux plonge dans l'excavation ; il est allongé, au contraire quand la tumeur dépasse le détroit supérieur et y prend un point
l est très-important d'établir, avant d'opérer, ses relations avec la tumeur ; on y parvient en étudiant les mouvements commun
la tumeur ; on y parvient en étudiant les mouvements communiqués à la tumeur par l'im-pulsion donnée au col, et réciproquement
sement constaté. Le rectum et la vessie sont souvent comprimés par la tumeur , ce qui peut donner lieu à des inflammations inte
testins sont dépla-cés d'une manière variable suivant le volume de la tumeur ; on a vil ce volume tel, que la cage thoracique
qu'elles ont à subir est trop forte, elles peuvent se gangrener ; la tumeur vient alors faire saillie à travers l'ouverture q
nte, que rien n'en empêche la reproduction, et que, si l'on enlève la tumeur , le liquide se reproduit avec une rapidité extrêm
ences peuvent présenter les dispositions les plus variées; on a vu la tumeur adhérer par tous les points aux organes voisins q
glisser librement les parois abdominales et surtout l'ombilic sur la tumeur , et si cette tumeur se laisse facilement déplacer
es parois abdominales et surtout l'ombilic sur la tumeur, et si cette tumeur se laisse facilement déplacer, on peut conclure q
ces parois peut faire tomber dans l'erreur opposée. Ainsi encore, une tumeur enclavée dans le petit bassin et ren-due par là b
tte main s'enfonce profondément dans l'abdomen, on peut penser que la tumeur appartient plutôt à l'ovaire qu'à l'utérus, ou qu
es sur le col qui était sain, il excisa le corps de l'utérus avec une tumeur de 3 kilogrammes; cette première opérée mourut. L
érée mourut. L'année suivante, M. (^lay enleva sur la même malade des tumeurs fibreuses et l'utérus avec les deux ovaires dégén
gne médiane. La longueur de cette incision varie avec le volume de la tumeur ; elle doit avoir environ le tiers de la circonfé
umeur ; elle doit avoir environ le tiers de la circonférence de cette tumeur , c'est-à-dire son diamètre; c'est là une différen
avec l'ovariotomie ; dans cette dernière, en effet, la ponction de la tumeur permet de la vider et de la faire passer par une
droits de l'abdomen pour un kyste adhérent. temps. Réduction de la tumeur . Nous avons vu que les corps fibreux pouvaient se
dans leur épaisseur ; si l'on en rencontre on les ponctionnera. Si la tumeur est entièrement solide et très-volu-mineuse on po
nt les portions qui s'v prêteront, ou en la morcelant. Mais comme ces tumeurs volumineuses sont souvent vasculaires, il faudra,
enir en garde contre les hémorrhagies produites par la division de la tumeur et avoir tout disposé pour l'arrêter immédiatemen
tout disposé pour l'arrêter immédiatement. 3* temps. Ablation de la tumeur . Ce temps s'exécute de plusieurs manières; la cir
hoix du procédé, c'est l'existence ou le manque d'un pédi-cule. Si la tumeur est pédiculée, on commence par lier ce pé-dicule
tion jusqu'au col ; puis, dès qu'on peut passer le doigt autour de la tumeur , porter sur le col une ligature faite de trois fi
du ligament large situé au-dessous de la ligature. On voit alors une tumeur œdémateuse qui donne lieu à des douleurs dans les
a laissé l'opération inachevée, c'est-à-dire qu'on n'a pas enlevé les tumeurs fibreuses péri-utérines, quatorze fois; cinq mala
nre ont succombé. Dans un second groupe de vingt cas, dans lequel les tumeurs fi-breuses péri-utérines ont été enlevées par la
roupe, formé des cas compliqués, dans lesquels il y a eu ablation des tumeurs avec amputation partielle ou extirpation complète
les partisans zélés de l'o-pération, qu'elle est indiquée, quand les tumeurs fibreuses péri-utérines sont gênantes par leur si
comme unique ressource dans les cas où le rapide déve-loppement de la tumeur et les accidents auxquels elle donne lieu menacen
ire, considérer comme des contre-indications formelles l'existence de tumeurs cancéreu-ses, de la phthisie, etc., le volume tro
cancéreu-ses, de la phthisie, etc., le volume trop considérable de la tumeur , 4^ à 5o centimètres de diamètre par exemple, l'e
par exemple, l'exis-tence d'adhérences très-nombreuses, surtout si la tumeur s'est développée dans un ligament large; une asci
chirurgien, car les accidents cessent souvent alors d'eux-mêmes. 3° tumeurs fibreuses compliquaiyt la grossesse ou l'accouc
nsidéré seulement dans ses rapports avec la médecine opératoire. 1" Tumeurs fibreuses pendant la grossesse. Si le siège et le
meurs fibreuses pendant la grossesse. Si le siège et le volume de ces tumeurs font penser que l'on ne peut espé-rer la terminai
e sur ce point qui est digne des mé-ditations des chirurgiens. » 2° Tumeurs fibreuses pendant t accouchement. L'obstacle qu'e
bles. M. Legouais, à l'autopsie d'une malade opérée ainsi, trouva une tumeur fibreuse de la grosseur d'une tête de fœtus, impl
a moindre saillie à la face interne de l'utérus. C'est aussi pour ces tumeurs fibreuses de la paroi postérieure que Kilian a fa
tion césarienne sans succès. Dans un autre cas, on l'a faite pour une tumeur me-surant i6 centimètres verticalement, lo transv
ure du rectum. Dans plusieurs autres opéra-tions, on dit aussi que la tumeur était développée dans la paroi postérieure de l'u
étroit supérieur et ne pas empêcher la sortie du fœtus. Lorsque les tumeurs fibreuses sont développées dans la ca-vité du col
vention chirurgicale est assez rare dans les cas de cette espèce. Les tumeurs interstitielles du col, au contraire, ont très-so
ccouchement. C'est ainsi que M. Danyau, se trouvant en présence d'une tumeur qui remplissait la con-cavité du sacrum, en ne la
2 à 3 centimètres entre elles et le pubis, et reconnaissant que cette tumeur était dé-veloppée dans la lèvre postérieure, put
es cas semblables^ on a voulu faire la version, sans avoir extrait la tumeur , la mère et l'enfant s'en sont très-mal trouvés.
trait la tumeur, la mère et l'enfant s'en sont très-mal trouvés. 3° Tumeurs fibreuses après r accouchement. Elles peuvent alo
mais au bout de plusieurs jours ou même de plusieurs semaines. Si la tumeur fibreuse est pédiculée, il peut se faire qu'elle
cal Review, vol. XIV, 1834. Amussat. Mémoire sur Panât, patholog. des tumeurs fibreuses de l'utérus, 1842. Maisonneuve. Bulle
fibreux. Thèse de concours. Paris, 1830. Hutchinson. Traitement des tumeurs fibreuses par l'énucléation, dans half yearly Abs
g. vol. XXVIII, p. 264. Grimsdale. Indications de l'énucléation des tumeurs fibreuses, dans Braitwhait, vol. XXXV, p. 320, et
8. Kœberlé. Documents pour servir à l'histoire de l'extirpation des tumeurs fibreuses péri-utérines. Strasbourg, 1865. Kœbe
breuses péri-utérines. Strasbourg, 1865. Kœberlé. Extirpation d'une tumeur fibreuse de 4,500 grammes, avec am-putation de la
de chirurg. p. 740. Paris, 1866. Catternault. Gastrotomie dans les tumeurs fibreuses. Thèses de Stras-bourg, 1866. Depaul.
de la société de chirurgie de Paris. Juin et août 1868, Guyon. Des Tumeurs fibreuses de Vutérus. Thèse pour l'agrégation. Pa
la chirurgie utérine, p. 129 et suiv. Paris, 1866. Chadzynski. Des Tumeurs fibreuses de Vutérus, comme cause de dyslocie. Th
de Vutérus, comme cause de dyslocie. Thèse de Paris, 1853. Pillou. Tumeurs fibreuses compliquant la grossesse et Vaccoucheme
a grossesse et Vaccouchement. Ga-zette des hôpitaux, 1854. Huguier. Tumeurs fibreuses peh iennes chez la femme. Union médical
rs fibreuses peh iennes chez la femme. Union médicale 1860. Tanner. Tumeurs fibreuses de Vutérus. Transact. of the obstétrica
ndon, 1862. Simpson. Obstétrical works, tom. I. Putegnat. Sur les Tumeurs infra-pelviennes, nécessitant Vopération césa-rie
sa-rienne. Journal de méd. et de chir. de Bruxelles, 1863. Gueniot. Tumeurs fibreuses pendant la gt'ossesse et Vaccouchement.
de donner une base solide aux indications que présentent les diverses tumeurs de l'ovaire ; de différents points de l'Europe ar
permettent les limites de ce volume. Le traitement chirurgical des tumeurs de l'ovaire, ne saurait être compris de qui n'a p
entes à l'esprit les variétés de structure et de dispositions que ces tumeurs peuvent offrir. Le professeur Cruveilhier les div
ères bien distincts; ou bien encore l'association d'un kyste avec des tumeurs so-lides de nature diverse, telles que les fibrom
des tumeurs so-lides de nature diverse, telles que les fibromes, les tumeurs hétéradéniques, le cancer colloïde. Les kystes ar
u kyste : tantôt on le trouve à la base, tantôt d est englobé dans la tumeur . Un point qu'il est impor-tant de noter, c'est l'
; la trompe très-allongée est quelquefois appliquée en écharpe sur la tumeur , et se trouve retenue dans cette position par des
peut présumer que le pédicule est court lorsqu'on ne peut soulever la tumeur dans l'abdomen ni lui imprimer le moindre mouveme
lui-même est fixe, lorsque le doigt placé dans le vagin reconnaît des tumeurs globuleuses dans l'excavation du bassin et fait c
rs globuleuses dans l'excavation du bassin et fait cons-tater que ces tumeurs transmettent les mouvements qu'on imprime au kyst
mêmes signes. On est plus fondé à croire le pédicule long lorsque la tumeur est habituellement assez élevée pour que le touch
s sponta-nées, mais encore à la suite des ponctions pratiquées sur la tumeur . Avant de choisir le mode de traitement il faut,
u'il n'y a guère que la ponction qui puisse éclairer le diagnostic. Tumeurs . —11 n'est pas très-rare de rencontrer avec le ky
n'est pas très-rare de rencontrer avec le kyste de l'ovaire d'autres tumeurs développées, soit dans l'ovaire, soit dans Putéru
reconnaître ; mais plus tard, c'est presque toujours impos-sible. Les tumeurs de Eovaire sont souvent des cancers; l'en-céphalo
les kystes aréolaires qui peuvent eux-mêmes être considérés comme des tumeurs malignes. On voit, par ce rapide exposé, combie
'ombilic du pubis, soit sur les côtés au point le plus saillant de la tumeur ; la ponction sur la ligne blanche a l'avantage de
nction est rarement applicable, parce que la portion inférieure de la tumeur descend rarement assez bas dans le bassin pour êt
ain gauche dans le vagin et cherche la partie la plus saillante de la tumeur ; puis il glisse sur ce doigt la canule d'un troc
ocart d'environ 27 centimètres de long, la pousse fortement contre la tumeur , introduit le poinçon et pénètre d'environ 5 cent
iluer. Quelquefois cette opération n'est suivie d'aucune réaction, la tumeur s'affaisse graduellement et au bout de quelques j
te. Lors-qu'on est assez heureux pour obtenir ce résultat, on voit la tumeur , encore assez grosse après la ponction, diminuer
filant, huileux. Les premiers, lorsqu'ils ne sont pas com-pliqués de tumeurs dans leurs parois ou à leur base, guéris-sent sou
longtemps pour en obtenir le retrait; après la guérison, il reste une tumeur moins volumi-neuse dans le bassin ; on a plus de
houc, que l'on insufle quand la ponction est faite ; les parois de la tumeur se trouvent ainsi interposées en-tre cette ampoul
vec une force graduellement croissante, ce qui permet : i°de vider la tumeur lentement, de telle sorte que la femme n'éprouve
peine si son aspiration est sensi-ble; elle sert à vider lentement la tumeur . L'ampoule n" 2 a •1 millimètres i \i d'épaisseur
vis, déprimer la paroi abdominale du côté opposé à celui ou siège la tumeur et aider ainsi l'ac-tion des aspirateurs. Quand
Morand et Delaporte proposèrent formel-lement l'ovariotomie pour les tumeurs ovariennes de cause idiopathique ; ils ne parvinr
n peut dans la majorité des cas distinguer un kyste de l'ovaire d'une tumeur fibro-cystique, comme M. Kœberlé vient d'en donne
t pas rare de voir prendre une grossesse, la tympanite, l'ascite, des tumeurs solides, pour des kystes, et de voir commencer de
que les parois soient épaissies, soit qu'il y ait à sa base d'autres tumeurs liquides et solides. Les kystes multiloculaires
ent même peu après leur début, ce qui détermine des adhérences. Les tumeurs libres, d'un volume moyen, celles qui ne pré-sent
hances, dit-il encore, s'accroissent avec la durée de la ma-ladie; la tumeur , ses parois, son pédicule vont toujours gros-siss
ouffrance ait épuisé les forces de la malade ou que la pression d'une tumeur pesante ait déterminé des lésions dans les organe
ompter le cancer ; il n'est pas toujours facile de reconnaître si une tumeur de l'ovaire est primitivement cancé-reuse, ou si
habitude extérieure de la malade, la rapidité du déve-loppement de la tumeur , la gravité des symptômes, l'existence simultanée
utérus, on a lieu de craindre soit l'im-possibilité de pédiculiser la tumeur , soit une prompte récidive et par conséquent l'in
nt que MM. Atlee et Clay ont fait avec succès la gastrotomie pour des tumeurs fd3reuses; plus hardi encore, M. Kœberlé a enlevé
sonde utérine, soit par le toucher vaginal ou rec-tal ; si surtout la tumeur est volumineuse et ancienne, même sans qu'il y ai
rès-lâches lorsque les parois de l'abdomen glissent facilement sur la tumeur et lorsque le kyste est uni-loculaire et s'est dé
ir que des présomptions; les adhérences peuvent exister même quand la tumeur paraît mobile dans tous les sens. Quand d y a des
dé peut se rétracter ; elles font distinguer nettement les kystes des tumeurs fibreuses, et si Ton avait toujours pris la préca
euvent s'opposer à l'extrac-tion, que ce soient des bosselures ou des tumeurs surajoutées au kyste principal ; on tâche de préc
l'avoir étreint dans un clanq) ou un serre-nœud, il faut détacher la tumeur par une section faite à 5 ou 6 millimètres au-des
n dans ces graves circonstances. Quand la vessie est adhérente à la tumeur , elle peut être ouverte involontairement; cet acc
au mésentère, il avait serré le pédi-cule dans un clamp, et enlevé la tumeur . Le sixième jour, il enlève le clamp ; le septièm
ress, sept. 1862) ayant enlevé un kyste géla-tineux, trouva une autre tumeur fluctuante qu'il crut déve-loppée dans l'autre ov
s 1867); pendant l'extraction d'un premier kyste apparut une deuxième tumeur , mais qu'on ne put voir que juste assez pour la p
rtie d'une grande quantité de hquide sanguin diminua la tension de la tumeur et l'on reconnut à l'orifice de la trompe que l'o
ps, qu'il y a eu des vomis-sements à la suite de l'anesthésie, que la tumeur est plus volu-mineuse, que les adhérences existen
au-delà de deux heures, la mort est presque inévitable. Le poids des tumeurs ne paraît pas sensiblement influer sur la termina
mais au-delà de 20 kilogr. la mortalité est très-forte. Le volume des tumeurs et l'étendue de l'incision abdominale étant sou-v
; ensuite vient l'épiploon, quand on a été obligé de le séparer de la tumeur . M. Baker-Brown a vu une hémorrhagie fatale venir
n complète; 27 fois l'extirpation partielle; 20 fois l'extirpation de tumeurs extra-ovariques ; les adhérences ont été telles q
a 61 guérisons temporaires et 26 morts immédiates. Sur les 20 cas de tumeurs extra-ova-riques, 7 guérisons et i3 morts; et enf
iotomies, 3 excisions de kystes implantés sur l'utérus, i ablation de tumeur utérine et 2 extir-pations de l'utérus avec ses a
x qui avait donné la sensation de la fluctuation ; une autre fois une tumeur solide du rein gauche ; dans le troisième cas, un
péritoine avec un corps fi-breux de l'utérus ; dans le quatrième, une tumeur composée de petits kystes et de parties solides s
rties solides sans connexion avec les ovaires; dans le cinquième, une tumeur fibro-cystique adhé-rente de toutes parts; dans l
cystique adhé-rente de toutes parts; dans le sixième, une ascite avec tumeur cystique développée dans le mésentère au niveau d
d. Ges. d. jErzte zu Wien, d835,n° 1. Id. Torsion et étranglement des tumeurs ovariques. Wochen-blatt der Zeitschrift der Gesel
de fécraseur, de manière à pouvoir le placer commodé-ment autour des tumeurs qui occupent des caviies profondes. Ce porte-clia
semble ou séparément, on fait saillir les dents qui pénètrent dans la tumeur et la saisissent soli-dement. Chaque branche isol
séparer du corps de l'instrument; on les place une à une autour de la tumeur ; puis on les unit au serre-nœud en les faisant pa
extrémité inférieure, et à tourner la vis terminale pour étreindre la tumeur . Figure xviii. Appareil de Niessen modifié par
a deux canules libres dans lesquelles on introduit les fils Quand la tumeur est liée, on place chaque canule dans des anneaux
isse voir le corps libreux. Figure v. Composition et rapports de la tumeur dans l'allongement hy-pertrophique de la portion
n sus-vaginale du col. V bas-fond de la vessie faisant hernie dans la tumeur ; une ligne ponctuée montre sa limite en avant. X
ïdes flétries. X clitoris. Y méat urinaire. Figure vu. Aspect de la tumeur formée par le prolapsus dans l'allonge-ment hyper
sortant de l'abdomen. E lige d'acier qui traverse le pédicule de la tumeur . HH Constricteur qui étreint ce pédicule au-dev
ndre l'amputation de la partie sus-vaginale de futérus dans un cas de tumeur fibreuse. AA partie sus-vaginale du col, étrein
partie de l'avant-bras sont enfoncés dans l'abdomen pour soulever la tumeur , pendant que la main gauche la tire avec précauti
our objet de rétrécir le vagin latéralement, de manière à empêcher la tumeur de tomber d'en haut. La seconde partie a pour obj
siste à enlever une zone de la muqueuse du vagin o, tout autour de la tumeur , dans une largeur de 3 à 4 centimètres et à repou
r la valvule DD. (Baillie.) Figure ii. Obstruction du côlon par une tumeur villeuse tournée vers l'extrémité anale de cet in
, on trouva la par-tie médiane et gauche de l'abdomen occupée par une tumeur volumi-neuse, dont la paroi mince laissait aperce
ssait apercevoir l'intestin grêle distendu et d'un rouge foncé. Cette tumeur était une hernie de l'intestin grêle dans l'épais
une ligature qui a été appliquée préalablement, pour ¦pédiculiser la tumeur . l'igure m. Traitement de la chute du rectum pa
PKIiATOHIK, PLAi\CIIK 'LV OPÉRATIONS SUR LE LARYNX LARYNGOSCOPIE, TUMEURS DU LARYNX, CAUTÉRISATION, LIGATURES, ARRACHEMEN
roite. Figure xiii. a. Épitliélioma polypiforme du larynx, b. Autre tumeur épitliéliale. Moura. Figure xiv. Végétations no
lotomes. Figure xxii. Pince de MM. Robert et Colin, pour saisir les tumeurs du larynx. L'une des branches est fixe et reste s
ir les tumeurs du larynx. L'une des branches est fixe et reste sur la tumeur dès qu'on l'a touchée. La pince est très-mince, l
5 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
e pré-sentait sur toute la peau, depuis un grand nombre d'années, des tumeurs qui avaient depuis le volume d'une large tête d'é
e petite pomme. La plupart avaient environ la grosseur d'un pois. Ces tumeurs , très-multipliées sur le tronc, étaient assez abo
, les plus larges pédiculées. L'examen post mortem fit voir que ces tumeurs formaient des masses sphériques qui naissaient de
mblant à de la graisse. A l'examen microscopique, on constata que ces tumeurs étaient composées de tissu fibreux, plus ou moins
layer) contenait plus de pigment qu'à l'état ordinaire. Par-tout, ces tumeurs étaient séparées des parties adjacentes par le ti
ner au tissu le caractère sarcomateux. Quelques-unes des plus petites tumeurs étaient composées en grande partie de tissu de gr
ra-nulation (granulation tissue) développé dans le tissu fibreux. Les tumeurs étaient peu fournies de vaisseaux Ceux-ci, dans l
rs étaient peu fournies de vaisseaux Ceux-ci, dans les plus grosses tumeurs , étaient larges, à parois peu épaisses, et avaien
pendulum, par Malassez. — H..., 49 ans, présente un certain nombre de tumeurs siégeant principalement sur le dos. Quatre d'entr
est lisse, mais offre des sail-lies, comme s'il s'agissait de petites tumeurs sessiles développées sur la tumeur principale,d'o
comme s'il s'agissait de petites tumeurs sessiles développées sur la tumeur principale,d'où l'aspect d'une framboise (moins l
g que large, mesure 3 à 4 centimètres de diamètre. Des trois autres tumeurs principales, l'une siège un peu au-des^ sous de l
le milieu de la ré-gion lombaire. De plus, on note un grand nombre de tumeurs du volume d'une tête d'épingle, les unes sessiles
ient légèrement saillantes et qui lui ont paru n'être que des petites tumeurs au début. Le malade dit avoir cer-taines de ces t
e des petites tumeurs au début. Le malade dit avoir cer-taines de ces tumeurs depuis son enfance ; toutefois, dans ces der-nièr
enfance ; toutefois, dans ces der-nières années, il a observé que les tumeurs anciennes grossissaient et qu'il en poussait de n
, Hardy et Lailler, a été molluscum pen-dulum. Quelques-unes de ces tumeurs ont été excisées. Une coupe prati-quée de la péri
tissu cellulaire lâche — avec des pelotons graisseux dans la grosse tumeur . Au mi-croscope, on constate que la couche épidei
bien évidents. « Il résulte donc de cet examen micro-scopique que ces tumeurs , que la clinique nous apprend être des molluscum
peut dire, vu leur ressemblance avec le derme, vu aussi l'examen des tumeurs au début, qu'elles résultent de l'hypertrophie hy
e communication en disant « qu'on décrit sous le nom de molluscum des tumeurs dont l'appa-rence extérieure pouvait bien avoir q
zin); II. Af-fections sarcomateuses (cas de Hardy qui paraît être une tumeur à cytoblastions d'après Verneuil ;— cas de Guibou
ctions fibromateuses (molluscum pendulum ; M. éléphantiasi-que) ; IV. Tumeurs lymphatiques (molluscum fongoïde ou mycosis fongo
V. Tumeurs lymphatiques (molluscum fongoïde ou mycosis fongoïde) ; V. Tumeurs encore indéterminées (M. d'Amboyne ou des îles Mo
assez. Il s'agit, dans ce cas, d'un homme âgé de 75 ans qui avait une tumeur de la région lom-baire depuis vingt-cinq ans. Ell
Deux mois avant son entrée à l'hôpital, à la suite d'une chute, celle tumeur , qui avait alors le volume d'un petit œuf de poul
subissait encore un travail de dégénérescences sar-comateuses; que la tumeur est un fibro-sarcome. » (lbid., 1871, page 89.)
lait pas re-monter à plus de deux ou trois jours. Elle présentait une tumeur volumineuse siégeant à la partie postérieure du c
du crâne et occupant en haut la région moyenne de l'occipital. Cette tumeur , qui nais-sait au-dessous de l'angle supérieur de
bord supérieur de l'os coxal. Un fil mené du point de sortie de la tumeur en haut jusqu'à son point d'arrivée en bas donne
bord supérieur de la tête, est de 10 centimètres 1/2. En avant de la tumeur , du sommet de l'occipital à l'épine nasale, la di
ouve des cheveux sur la peau qui recou-vre le segment antérieur de la tumeur ; toute la partie postérieure et inférieure en es
sance par mon collègue et ami, Cornillon, sur la partie moyenne de la tumeur , en arrière, permit de constater l'épanchement d'
endues encore et envahissent la moitié de cette partie latérale de la tumeur . La section des méninges est.ensuite achevée et
peu diffluente. La scissure inter-hémisphérique s'étend sur toute la tumeur . Elle se trouve, en haut, sur la ligne médiane ;
gauche. Cependant la substance de l'hémisphère gauche existe dans la tumeur en quantité plus considérable que celle de l'hémi
elle épinière qui se dirigent d'avant en arrière et pénètrent dans la tumeur . Après avoir été en rapport avec la face inférieu
oblique de haut en bas et d'arrière Fig. 2. a, orifice osseux de la tumeur , — b, tumeur. On voit nettement, ici, l'incurvati
ut en bas et d'arrière Fig. 2. a, orifice osseux de la tumeur, — b, tumeur . On voit nettement, ici, l'incurvation du rachis
able mémoire sur les her-nies du cerveau1 distingue trois variétés de tumeurs congeniales : Io La Méningocèle ou hernie des mén
éphalocèle : dans une première période, antérieure à la naissance, la tumeur ne contiendrait que de la sérosité ; dans une sec
a sérosité ; dans une seconde période, postérieure à la naissance, la tumeur contien-drait de la sérosité et des parties encép
es hernies une cause mécanique. Ilrepousse l'opinion qui rattache ces tumeurs à un arrêt, ou mieux, à une anomalie primitive du
er de réfuter la plupart des idées émises par Spring, ce lume de la tumeur avec celui du corps, et en outre elle donne une i
COTE GAUCHE par ch. h. petit, interne des hôpitaux de paris Cette tumeur a été recueillie à l'autopsie d'un vieillard de 7
uatre jours après son entrée, à une broncho-pneumonie gauche. Cette tumeur donnait lieu à une notable déformation de la part
ouvait réduit à de simples conjectures sur le point d'insertion de la tumeur et sur l'étendue de ses con-nexions avec la cage
an-chée », et c'est à cette époque qu'il fait remonter le début de sa tumeur . L'interrogatoire n'a révélé aucun antécédent syp
élé aucun antécédent syphilitique ; la santé a toujours été bonne. La tumeur se développa très-lente-ment ; quand le malade at
tives d'ablation, à cause, toujours au dire du malade, du siège de la tumeur à gauche, mais plus vraisembla-blement en raison
nt en raison de l'incertitude qu'on devait garder sur l'étendue de la tumeur du côté de la cavité thoracique, ou sur les dimen
u sur les dimensions et le siège précis de sa base d'implantation. La tumeur était indo-lente à la pression et n'avait jamais
tions caractéristiques et les signes stéthoscopiques. En somme, cette tumeur n'a été pour lui qu'une difformité, qui ne l'a ja
né ni fait souffrir. Dégagée des parties molles qui l'entourent, la tumeur se pré-sente sous la forme d'une masse jaunâtre,
ns verticales un peu moindres. Les anfractuosités de la surface de la tumeur sont comblées par une graisse jaunâtre très-molle
ibres de ce muscle parais-sent s'implanter sur le pédicule même de la tumeur . Un tissu blan-châtre assez résistant, quoique pe
chondro-costale et dans les points corres-pondants du pédicule de la tumeur , est de 2 centimètres et demi. Sa face postérieur
s que sa coupe, rien où l'on puisse voir des traces de fracture. La tumeur est extrêmement dure à scier ; sa coupe est marbr
a paroi ossiforme se perd presque sans transition dans le tissu de la tumeur . Celle- 1 L'image photographique est dans la pr
ôté où il est en rapport avec elle. — L'exa-men histologique de cette tumeur , pratiqué par M. Renault, dans le laboratoire de
du cœur étaient réguliers, les urines normales. On ne sentait aucune tumeur dans l'abdomen. L'état général était bon. La dist
vait un volume à peu près normal, et qu'il n'y avait pas apparence de tumeur abdo-minale. Ce ne fut que beaucoup plus tard que
ès-dure à ce qu'assure le malade. A l'origine, l'accroissement de ces tumeurs fut relativement lent; elles n'étaient le siège d
environ deux ans après l'appa-rition des premiers symptômes, les deux tumeurs que nous venons de signaler conservant toujours l
creux poplité. A partir de ce moment, il n'y eut plus qu'une seule tumeur , laquelle augmenta rapidement de volume, si bien
es, mais n'ob-tenant aucun soulagement, et d'ailleurs le volume de la tumeur allant sans cesse en augmentant, il se décida enf
rs inférieur de la cuisse droite et du genou du même côté, existe une tumeur volumineuse dont voici les principaux caractères
avec le tiers supérieur du fémur, mais la transition entre l'os et la tumeur se fait d'une manière un peu moins brusque qu'en
larges mailles, que l'on aperçoit par transparence à la surface de la tumeur . —¦ La ma-tité est absolue sur tous les points ;
ensation d'une masse fibreuse. La main, appli-quée sur un point de la tumeur , perçoit, lorsqu'on percute sur un point diamétra
est impossible, ce qui tient bien certainement au poids énorme de la tumeur , qui occupe l'ex-trémité du levier que le malade
mence par incliner le bassin du côté du membre qui est le siège de la tumeur ; en môme temps, prenant un fort point d'appui
très-fatigante. Quinze jours après son entrée, on constatait que la tumeur avait augmenté de volume; en effet, la distance d
la peau de la partie pos-térieure et externe sur laquelle reposait la tumeur était devenue tellement mince, que l'on pouvait c
imer au malade, l'os s'était brisé juste à la limite supérieure de la tumeur ; cette section était oblique, et laissait voir u
son. Les autres organes n'offrent rien de particulier. Examen de la tumeur . — On fait une incision longitudinale sur la part
une incision longitudinale sur la partie antérieure et médiane de la tumeur . On dissèque alors la peau et le tissu cellulaire
ssous de l'état normal, s'étale au-dessus de la surface externe de la tumeur sur laquelle il prend de nombreux points d'insert
rent les mêmes caractères; c'est-à-dire qu'ils s'insèrent tous sur la tumeur absolument comme s'il s'agis-sait du fémur. Ces t
oins dans l'épaisseur des parois. En laissant tomber par mégarde la tumeur sur la table d'am-phithéâtre, on provoque la rupt
t plus loin notre examen, nous avons pratiqué une coupe médiane de la tumeur , ou plutôt de la paroi antérieure de cette énorme
les parties blanches non altérées. Si maintenant nous retournons la tumeur de façon à pouvoir l'examiner par sa face postéri
Quant à leurs insertions, elles sefont sur la surface extérieure delà tumeur qui représente les condyles du fémur. Les rapport
. Le paquet vasculo-nerveux repose donc sur la face postérieure de la tumeur et se trouve protégé contre toute espèce de compr
nue l'articulation du genou au milieu de tous les tissus morbides. La tumeur , qui représente exac-tement le fémur avec ses con
ore et vont s'attacher par leur extrémité supé-rieure à la base de la tumeur . La synoviale a disparu. Enfin, disons en termina
ompris la jambe, était de 17 kilogrammes. Examen histologique de la tumeur , par M. Coyne , sous la direc-tion de M. Vulpian.
sous la direc-tion de M. Vulpian. — Il n'est fait aucun examen de la tumeur à l'état frais et par raclage. Les parties qu'on
e picrique. On examine en premier lieu l'extrémité supérieure de la tumeur qui, sous forme d'un bouchon arrondi, faisait sai
es par le carmin et l'acide acétique font voir que cette partie de la tumeur est presque uniquement formée de gros éléments
f d'où partiraient de nombreux pro-longements. Dans le centre de la tumeur , l'apparence est un peu modifiée. D'abord on retr
nts, qui, àla coupe, paraissent plus durs que les autres points de la tumeur et formés par un tissu un peu différent. On retro
ar des éléments fusiformes, mais plus petits que clans le reste de la tumeur . Les capsules de cartilage qui entourent ces nodu
fait hernie dans l'épaisseur du tissu cartilagi-neux. En résumé, la tumeur est formée : Io par des éléments fibro-plastiques
éveloppement. Aussi croyons-nous être en droit de la ranger parmi les tumeurs chondro-sarcomaieuses. Réflexions. — Quelques p
observation doivent être mis particulièrement en lumière : Io Cette tumeur s'est développée lentement, sans douleur ; elle a
bre. Aussi, au point de vue clinique, devons-nous la ranger parmi les tumeurs relativement bénignes, fait en-tièrement d'accord
lagineux entrait pour une certaine proportion dans la composition des tumeurs . 2° Avant l'opération, j'ai fait remarquer aux
esprit trop préoc-cupé de ce tableau clinique, englober avec d'autres tumeurs , et sous le nom d'orchite chronique, par exemple,
nte un très-grand intérêt. Mais ici, à vrai dire, le diagnostic de la tumeur était singulièrement éclairé par les symptômes
uite. En le découvrant pour examiner l'adomen, on constata une double tumeur tesliculaire. Les deux glandes, de grosseur presq
eur presque égale, étaient aussi volumineuses qu'un œuf de dnide. Ces tumeurs étaient lourdes, dures, résistantes, sans mamelon
à ce niveau et, je le répète, la tunique glissait facile-ment sur la tumeur . —Le cordon paraissait sain, les ganglions voisin
t pra-tiqué pour reconnaître l'état de la prostate. Rapprochant des tumeurs du testicule les symptômes encépha-liques, M. Fér
plets, et nous n'avons rien appris sur le mode de développement de la tumeur du testicule. L'antopsie nous a permis de const
ouverte, qui ont été complètement envahis par la tuberculisation; la tumeur a le volume d'un gros œuf de poule. » Sur le viva
la rate et ses maladies spéciales ; nous terminerons par l'étude des tumeurs signalées dans cet organe chez les animaux. I.
TE CHEZ UNE FEMME ENCEINTE accouchement naturel. — ablation de la tumeur six semaines après la délivrance. — gangrène, éry
ge ecchymose apparut aux parties génitales, et quinze jours après une tumeur grosse comme une noisette se développait dans l'é
e qu'elle fit se lie étroitement à l'appa-rition de sa grosseur. La tumeur s'accrut lentement ; au mois de mars 1871, elle é
sesse: la dernière époque des règles date du 19 mai 1871. Dès lors la tumeur s'accrut rapidement, et le médecin du pays qu'hab
VRE la malade, pensant que l'accouchement pouvait être gêné par une tumeur aussi volumineuse, l'envoya à la Maternité, où el
bre 1871, salle Sainte-Marguerite, îv 2 (service de M. Tarnier). La tumeur était alors aussi grosse au moins qu'une tête de
pendait entre les cuisses. (Voy. planche XVI.) La consistance de la tumeur était molle ; M. Tarnier crut même reconnaître de
artagea l'opinion de M. Tar-nier; M. Depaul pensa au contraire que la tumeur était entièrement solide. Cette grosseur était
; l'état général de la femme était bon. Sous l'influence du repos, la tumeur qui gênait la marche par son poids diminua notabl
t se passa aussi naturellement que possible. Après la dé-livrance, la tumeur diminua d'une manière sensible, puis resta statio
on fit des ponctions exploratrices sur le point le plus déclive de la tumeur ; il sortit quelques gouttes de sang, mais pas de
ut anesthésiée par le chloroforme : une incision pra- tiquée sur la tumeur , parallèlement à la vulve, conduisit sur un tissu
ammes de sang s'écoulèrent par les lèvres de la plaie. Le poids de la tumeur était de 470 grammes ; son tissu était uniforméme
ucoup de soin par M. Muron, interne des hôpitaux ; il croit que cette tumeur est un corps fibreux. Sur des préparations qu'il
ièrement cicatrisée. La grande lèvre droite, où siégeait cette énorme tumeur , n'a pas encore repris son volume normal ; on sen
ps de cet organe y ait presque part. En effet, on voit que les quatre tumeurs dont il vient d'êlre question avaient de commun e
ix pouces de profondeur, et même pu parvenir à toucher le fond... Ces tumeurs diffèrent de la descente complète de la matrice s
ce que, quoique l'os tincae soit réellement à la partie déclive de la tumeur , si on introduit une sonde par son ouverture, ell
genre, par suite d'une erreur de diagnostic. On fit la ligature de la tumeur , qui avait été prise pour un polype utérin, et la
et sous-vaginales du col de Vutérus; chute du vagin; ulcération de la tumeur ; résection du col ci Vaide de Vécraseur ; guéris
aurons l'occasion de revenir plus loin, à savoir : l'ulcération de la tumeur , l'absence d'hémorrhagie malgré la vascularité év
uente pour deux raisons : grâce à l'obstacle mécanique apporté par la tumeur , grâce à l'état cachectique qui, dans certains ca
ne. Cependant, si elle peut arriver jusqu'au terme normal, lorsque la tumeur est limitée à une lèvre du col ou à sa portion va
u cancer sur Y accouchement diffère suivant la va-riété à laquelle la tumeur appartient. En effet: a, les productions patholog
lasses, fongueuses; b, l'induration peut être squirrheuse. a. Si la tumeur est mollasse et fongueuse, la dilatation peut êtr
uites de l'accouchement. Non-seulement on ne devra pas confondre la tumeur cancéreuse avec une présentation de la tête, une
Dans certains cas exceptionnels, on devra tenter Y extirpation de la tumeur ; la crânio-tomie etYembryotomie ont été mises en
ceux-ci ne sont qu'une manifestation de l'infection puru-lente. IV. Tumeurs . — On ne trouve pas à l'égard des tumeurs de la r
infection puru-lente. IV. Tumeurs. — On ne trouve pas à l'égard des tumeurs de la rate de nombreux renseignements ; cependant
l'évolution du tubercule présente deux types classiques ; ou bien les tumeurs évoluent dans leurs différentes phases comme chez
thisie proprement dite; ou bien les tuber-cules arrivent à former des tumeurs arrondies, dures, ayant le vo-lume d'une noix, et
te, dans l'un et dans l'autre cas, est souvent le siège de pa-reilles tumeurs . Celles de la pommelière sont principalement fo
(Recueil de médecine vétérinaire, août 1869). Une autre variété de tumeur , dérivant de la mélanose, s'observe également dan
a propagation de la mélanose à la rate est extrêmement fréquente. Les tumeurs secondaires que l'on trouve dans cet organe sont
et en altérer complète-ment la forme. On a vu des rates infectées de tumeurs mélaniques, dont le poids était de 15 à 20 kilogr
muscles infectés de la même néoplasie. Dans les points envahis par la tumeur , la substance de la rate a com-plètement disparu.
iels, un bruit de souffle continu avec renforcement, et plus tard une tumeur pulsatile à lapartie supérieure et interne de l'o
umeur pulsatile à lapartie supérieure et interne de l'orbite. Cette tumeur est formée par la dilatation de la veine ophthal-
ique de l'affection. Le développement des symptômes est graduel. La tumeur vei-neuse pulsatile n'apparaît qu'au bout d'un ce
EVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE OBSTÉTRICALE TUMEUR IY10LLUSCOIDE CONGÉNITALE DE LA RÉGION FESSIÈRE
ative à l'influence de la grossesse sur le développement de certaines tumeurs et à l'oppor-tunité de l'intervention chirurgical
un fait considérable, à savoir que la grossesse imprime à toutes les tumeurs un mouvement hyper-trophique qui fait place, auss
rès l'accouchement, à un mou-vement en sens inverse, en sorte que ces tumeurs tendent à revenir à leur volume antérieur. 11 en
dent à revenir à leur volume antérieur. 11 en est ainsi de toutes les tumeurs fi-breuses, mais ce que l'on sait de l'hypertroph
pement. Dans cer-tains cas, le mouvement rétrograde que subissent les tumeurs aus-sitôt après l'accouchement est tellement pron
volume beaucoup plus grand que chez les primipares, de même certaines tumeurs , loin de s'atrophier, ne reviennent pas 1 La di
ement, C'est dans cette dernière catégorie qu'il faudrait ranger la tumeur congénitale dont nous allons présenter l'histoire
rnis par elle nous portent à penser que la tendance atro-phique de la tumeur après chaque accouchement n'a jamais été aussi ac
le rétablissement graduel des fonctions sensoriales. Observation. — Tumeur congénitale de la fesse. — Eclampsie.— Diminution
ion. — Tumeur congénitale de la fesse. — Eclampsie.— Diminution de la tumeur après Vaccouchement. (Observation re-cueillie par
a pas l'attention, grâce à la faculté qu'elle possédait de dérober sa tumeur en s'asseyant dessus. Elle put même rester ainsi
ée à cause de ses varices sans que l'on soupçonnât l'exis-tence de sa tumeur . Ce ne fut que le 25 mai que nous fut révélée cel
nous avons recueillis. La malade assure être venue au monde avec sa tumeur ; celle-ci aurait augmenté de volume avec les pro
r son développement. Préalablement à toute grossesse, le volume de la tumeur était moitié moindre que celui qu'elle offre actu
eur était moitié moindre que celui qu'elle offre actuelle-ment. Cette tumeur était très-molle, mobile, indolente, ne gênait la
temps, elle devint enceinte. Vers le sixième mois de la grossesse, la tumeur acquit un volume presque double de celui qu'il of
nt eut lieu. Elle resta souf- REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX TUMEUR CONGÉNITALE DE LA FESSE AVANT L'ACCOUCHE MENT
e fois l'urine restait claire. Quelque temps après l'accouchement, la tumeur avait repris son volume normal. Guérie, la mala
e depuis un mois qu'aurait recom-mencé le développement anormal de la tumeur . Dans les derniers quinze jours surtout, le dével
quinze jours surtout, le développement aurait été considérable. Cette tumeur , née de la partie inférieure de la grande lèvre g
nne à la malade. Lorsque celle-ci est placée sur le côté gauche, la tumeur apparaît sous la forme d'un énorme rein qui s'ins
-couvert le sillon interfessier qui est bordé, mais non envahi par la tumeur . Dans l'attitude sur le côté droit, le sillon int
droit, le sillon interfessier dis-paraît, recouvert qu'il est par la tumeur , aussi bien qu'une partie de la fesse du côté opp
opposé. (Voy. Planche XIX.) Si la femme se couche sur le ventre, la tumeur se détache en saillie sur la fesse gauche. On dir
osée à la première. Dans le décubitus dorsal, la malade repose sur sa tumeur , qu'elle comprime comme un coussin, et sans qu'il
n, et sans qu'il en résulte pour elle de sensation douloureuse. Cette tumeur , ainsi aplatie, se montre par sa portion antérieu
arrondie sur les bords. Enfin, lorsqu'on place la femme debout, la tumeur pend, comme un sac charnu sur la partie postérieu
érieure de la cuisse gauche. La peau qui recouvre le pédicule de la tumeur est molle, flasque, terne, plissée et sans adhé
u niveau de la circonférence, et dans la partie la plus convexe de la tumeur , l'enveloppe cutanée est lisse, de couleur rosée
a compriment. Plus on se rapproche du pédicule, plus la surface de la tumeur est irrégulière et comme lobulée. Ces lobules ont
lobulée. Ces lobules ont peu de résistance, quoique l'ensemble de la tumeur forme une masse assez dure. Nulle part on ne sent
aire, aucun bruit morbide. Voici quelles étaient les dimensions de la tumeur à cette époque : Grand diamètre...... Petit d
rence du pédicule, 38 centimètres. 19 — 55 — Le poids total de la tumeur était de 3,700 grammes. Sur diverses parties du
e doigt, mais n'offrant pas d'inégalités au toucher. Plusieurs de ces tumeurs se voient nettement sur les Planches XIX et XX. L
5 h. 15 m. 2- —...... 6 h. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX TUMEUR CONGÉNITALE DE LA FESSE après l'accouchement
soir........ T. V. 38°,2; P. 96 10 heures —....... T. V. 38°. La tumeur a conservé son volume, elle est un peu moins viol
vient; la malade parle; elle se plaint d'un grand mal à la tête. — La tumeur est plus molle, moins œdématiée, moins vo-lumineu
tin, T. V. 37°,6; P. 80. — 4 heures du soir, T. V. 37°,9; P. 92. — La tumeur continue à diminuer de volume; sa flaccidité augm
11 —..... 5*r,0 — 17 —..... 2«r,0 — 21 juin. — Le volume de la tumeur a diminué de moitié. Elle est molle, flasque, rid
La peau qui la recouvre est terne, brunâtre. — Le poids actuel de la tumeur est de 1,800 grammes. — Les dimensions sont les s
té médicale des hôpitaux. Il résulte de l'examen qui a été fait de sa tumeur , par les médecins les plus compétents en matière
ans ce cas d'un molluscum pendulum gigantesque ou tout au moins d'une tumeur molluscoïde. On a été conduit à ce diagnostic non
marquay, sur le rétrécissement de l'œsophage ; de M. Tarnier, sur une tumeur hématique de l'abdomen prise pour un kyste de l'o
longuement la symptomatologie dans différents paragraphes : douleur, tumeur au niveau de la vésicule biliaire, ictère, cachex
com-muniqués par M. Malassez à la Société anatomique, et relatifs aux tumeurs de la peau, connus sous le nom de molluscum. M. M
ut toute idée d'éléphantiasisLa sen-sibilité est obtuse dans toute la tumeur , comme on peut s'en con-vaincre en piquant succes
autre pied, au-dessous de la malléole correspondante, on remarque une tumeur de la grosseur des deux poings. Sur le tronc et
i le décide à venir à l'hôpital. Les douleurs, la gêne causée par une tumeur ulcérée du prépuce et du gland, qu'à la première
e observation, et exposer ensuite le mode de début et la marche de la tumeur . REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX EPITHELI
ps caverneux sont altérés ; ils sont dans tous les cas perdus dans la tumeur et depuis longtemps n'entrent plus en érection. U
de la maladie remonte à trois ans; il fut caractérisé par une petite tumeur indurée siégeant sur la partie supérieure et libr
able. Les peines physiques et morales eurent un retentissement sur la tumeur du prépuce, tout autour de laquelle se développa
scopique. — Si en raclant avec le scalpel, les plaies ulcé-rées de la tumeur , on extrait un peu de la boue cellulaire, du détr
pithélial. Ne serait-il pas possible d'expliquer l'ulcération de la tumeur par ce phé-nomène qui s'était produit d'une façon
ionnaire paraissait sain. En résumé, on se trouve ici en face d'une tumeur qu'on peut dé-signer comme un épithélioma végétan
ans toutes ces variétés, l'épithélium serait le point de départ de la tumeur . LUXATION COXO-FÉMORALE CONGÉNIALE DOUBLE par
l, s'étend au corps de l'utérus. Dans l'observation sui- vante, une tumeur fibreuse développée dans la paroi postérieure de
hypertrophique de la portion sous-vaginale du col. — Complication de tumeur fibreuse de la paroi postérieure de Vuté-rus. — P
En arrivant chez elle, elle constata avec le doigt l'existence d'une tumeur faisant fortement saillie dans le va-gin, et qui
elle restait longtemps debout. —Deux mois après l'apparition de cette tumeur , elle devint enceinte pour la deuxième fois; et f
bli-gée, dès ce moment, de se servir d'une serviette pour soutenir sa tumeur qui, lorsqu'elle restait debout quelque temps, ap
n gros pessaire ovalaire ; il parvint, en refoulant de bas en haut la tumeur , à faire remonter dans le vagin la portion qui pr
les cuisses. — Située dans la cavité vaginale qu'elle remplit, cette tumeur est allongée, de forme conoïde à base supérieure.
ilater, péné-trer jusqu'à l'orifice cervico-utérin ; là , on sent une tumeur arrondie en avant paraissant du volume d'une peti
orange et faisant corps avec la paroi postérieure de l'utérus, Cette tumeur est dure, de consistance fibreuse. Le cathétérism
raison de l'extrême débilité de la malade et de la présence de cette tumeur du corps de l'utérus, M. Demarquay rejette l'idée
après, à la suide d'accidents abdo-minaux. Outre la complication de tumeur fibreuse, plusieurs faits intéres-sants ressorten
s métrorrhagies répétées, causées non par l'ôlongation, mais par la tumeur fibreuse qui la compliquait. Un second groupe d
t légèrement dévié à gauche et en avant, repoussé qu'il était par une tumeur qui occupait le cul-de-sac latéral droit et se pr
ablation partielle du corps de l'utérus.—Pour favoriser l'ablation de tumeurs du col de l'utérus, M. Demarquay a utilisé le pro
t dans les liga-tures. Dans les opérations telles que l'ablation de tumeurs du cou, de l'aine, de l'aisselle, etc., etc., les
e l'artère, les tuniques moyenne et externe ont été enlevées avec une tumeur , le vaisseau résiste dans la grande majorité des
s cas de foyer cérébral ancien (hémorrbagie ou ramollisse-ment) ou de tumeur cérébrale, quelle qu'en soit la nature. Cette élé
Lariboisière, dans le service de M. le professeur Verneuil, pour une tumeur volumineuse de la région parotidienne gauche, tum
rneuil, pour une tumeur volumineuse de la région parotidienne gauche, tumeur dont le début remonterait à une di-zaine d'années
ues voisins, ni d'altération de la santé générale. — Actuellement, la tumeur se présente sous l'aspect d'une masse végétante q
tané s'étend suivant le trajet du canal de Sténon. En saisissant la tumeur à pleine main, on peut lui communiquer des mouvem
ce d'un kyste. Du reste, ni battements, ni souffle vasculaire. La tumeur est ulcérée depuis quatre à cinq mois et l'ulcéra
gauche et de la joue indépendamment de l'effet dû au voisinage de la tumeur . — Il n'y a pas d'épiphora. La vision est restée
vision est restée bonne à gauche. Les caractères cliniques de cette tumeur indiquent l'opération, et celle-ci est pratiquée
e les hémorrhagies que font re-douter et l'apparence vasculaire de la tumeur qui saigne au moindre attouchement, et son siège,
nique. A l'aide de ce dernier ins-trument, M. Yerneuil circonscrit la tumeur à sa base par un sillon qui intéresse la peau et
ie, plutôt veineuse qu'artérielle, dont la source est surtout dans la tumeur elle-même. Ce premier temps de l'opé-ration termi
ADÉNOME ÉPiTHÉLIAL DE LA PAROTIDE avant l'opération ( f a g e ) tumeur ; une seconde chaîne passée de la même manière emb
sseau. Il ne reste dans la plaie aucune trace apparente, soit de la tumeur , soit de la glande parotide ; l'écraseur, passant
e, et sur la pièce après macération dans le liquide de Mûller. « La tumeur offre à la surface de sa coupe des zones de diver
t renferment un noyau ovoïde muni d'un nucléole. « En résumé, cette tumeur se range dans la classe des épithé-liomes tubulés
n des paupières. M. Verneuil nous a déclaré n'avoir jamais opéré de tumeur paro-tidienne d'un aussi grand volume et occupant
'a pas dépassé 200 grammes au maximum. La plaie, après la chute de la tumeur , était absolument exsangue, elle avait d'ailleurs
du moins des tissus d'apparence fibro-cartilagineuse et osseuse. V. Tumeurs delà rate: Io Cancer, rare (squirrhe et encépha-l
EILLE GAUCHE injections de perchlorure de fer; — modification de la tumeur ; - infection purulente; - mort. Par P. COYNE,
naissance, ou peu de temps après, elle ait présenté quelque trace de tumeur érectile du pavillon de l'oreille gauche : elle s
le. Dans le cours de la seconde grossesse, nouvelle extension de la tumeur sans que cependant il se soit produit d'hémorrhag
elle , il s'est produit une hémorrhagie très-grave, après laquelle la tumeur a presque doublé de volume : les bruits de souffl
On a essayé en présence de cette augmentation rapide de traiter la tumeur par des injections de perchlorure de fer, mais, f
nflexions et les dilatations de l'artère qui forme cette partie de la tumeur totale. Le pavillon de l'oreille se trouve soul
e le bruit de souffle et en est très-gênée. A l'époque des règles, la tumeur devient plus grosse, plus sensible à la pression
ur du sterno-mastoïdien, on fait cesser les battements en masse de la tumeur , les mouvements d'expansion disparaissent et la m
sparaissent et la malade cesse de percevoir les bruits de souffle. La tumeur pâlit, devient plus flasque et ridée, et si alors
vascu-laires, on voit qu'ils ont perdu de leur tension intérieure, la tumeur devient alors réductible, et l'on peut examiner l
ouve sain, et s'assurer également qu'il n'existe en aucun point de la tumeur de concrétions sanguines. 6 avril. L'époque men
tes de perchlorure de fer dans le lobule antérieur et supérieur de la tumeur : on n'est pas certain que le perchlorure de fer
ont également disparu et sont également diminués dans la partie de la tumeur qui est au-dessous. Les jours suivants, on s'aper
que le sang qu'apportait cette branche artérielle n'arrive plus à la tumeur . 22 avril. Troisième injection de 6 gouttes dan
au moment où le perchlorure de fer pénètre dans le lac vasculaire. La tumeur pâlit rapidement, se durcit, il se forme une esch
sur la paupière. %3 avril. Quatrième injection dans la partie de la tumeur avoisi-nante et formée par la partie ascendante d
dou-loureux. 28 avril. L'œdème est tombé : toutes les parties de la tumeur qui se trouvent en dehors du pavillon sont oblité
(Gazette des hôpitaux, 1873.) VIL De la guérison par résorption des tumeurs dites firreusfs de l'utérus. — Les tumeurs fibreu
uérison par résorption des tumeurs dites firreusfs de l'utérus. — Les tumeurs fibreuses de l'utérus peuvent disparaître, sans o
e portant un énorme fibrome de la matrice ainsi que plusieurs petites tumeurs de même nature sur le corps de l'organe. Cette fe
tait enceinte : elle accoucha sans accident, malgré la présence de la tumeur . Quelques mois après, cette tumeur commença à dim
accident, malgré la présence de la tumeur. Quelques mois après, cette tumeur commença à diminuer de volume, et le 27 décembre
avancé de la malade, qui avait 08 ans, et la consistance molle de la tumeur hy-pertrophique, qui ne présentait qu'une légère
que ré-sumer ici ses conclusions : Pour l'élément musculaire de la tumeur linguale, il n'est pas possible d'affirmer qu'il
nt tous les caractères. M. Arnstein s'attache à démontrer que cette tumeur est due à un travail d'infiltration et non de pro
ais encore tout processus proliférant dans le tissu primitif de cette tumeur ; il s'y produit, au contraire, d'une façon évide
en décrivant parfaitement ces accumulations de leu-cocythes dans les tumeurs leukémiques (tome 11, des Tumeurs), et en se gard
umulations de leu-cocythes dans les tumeurs leukémiques (tome 11, des Tumeurs ), et en se gardant d'admettre qu'ils pussent prov
e est atteinte de démence senile, et porte, à l'extrémité du nez, une tumeur epithe-liale. Je ne dirai rien de la démence, qui
ue temps au début, par des emportements, des violences extrêmes. La tumeur epitheliale avait débuté dix ans auparavant : la
est restée dans le service, la ma-lade n'a guère changé d'aspect. La tumeur est demeurée station-naire ; c'est à peine si ell
nne. Il est facile de reconnaître par l'examen microscopique que la tumeur du nez fait partie du groupe des épithéliomes tab
— L'ensemble des pièces démontre suffisamment qu'il s'agit ici d une tumeur épithéliale développée aux dépens des glandes sud
oversion. — On sent facilement par le toucher, en arrière du col, une tumeur qui dispa-raît immédiatement par la manœuvre du r
nt été considérés par plusieurs auteurs comme une cause fréquente des tumeurs inflammatoires péri-utérines. Notre excellent a
rectum au moment où la malade est morte. 11 n'existait donc plus de tumeur à proprement parler; aussi, malgré l'exploration
ciété de chirurgie3 à propos d'une malade opérée par M. Tarnier d'une tumeur de la vulve : question importante pour le pratici
a flexion de la moelle ou la compression simple de cet organe par une tumeur ? Pour résoudre cette question, il importe de divi
ner la paraplégie. A l'exemple de M. Charcot, il les divise en : 1° Tumeurs développées dans la moelle : gliome, tubercules,
es dans la moelle : gliome, tubercules, tu-meurs syphilitiques ; — 2° Tumeurs d'origine méningée. Ce sont les différentes var
a, le myxome, la méningite hypertrophique de la région cervicale. Ces tumeurs déterminent une myélite qui se d stingue par cert
contre les autres, développement parfois énorme des vaisseaux ; 5° Tumeurs d'origine osseuse. Le carcinome, le fibro-sarco
dénome des corps verté-braux. — Enfin les collections liquides et les tumeurs extra-rachi-diennes venant à envahir le canal ver
u'il est primitif ; le diagnostic est toujours très-embarrassant. Les tumeurs des méninges déterminent les mêmes symptômes que
érite surtout d'attirer l'attention en raison du siège qu'occupait la tumeur . La malade, Vah..., âgée de 66 ans, est entrée da
tre service au mois d'août dernier. Elle nous apprit qu'elle avait sa tumeur depuis trente ans. En raison de la lenteur de son
Saint-Louis, V..., à la suite d'une longue course, ressentit dans sa tumeur des dou-leurs assez vives, qui l'obligèrent à gar
eur des dou-leurs assez vives, qui l'obligèrent à garder le repos. La tumeur s'enflamma et prit tous les caractères que nous p
entent les li-pomes en pareil cas. Lors de notre premier examen, la tumeur , de forme ovoïde, avait à peu près le volume du p
surface ulcérée, un peu plus large qu'une pièce de cinq francs1. La tumeur est reliée à la voûte plantaire par un pédicule é
Il s'agissait ici d'un molluscum pendulum. , Pendant la marche, la tumeur se rabat sur la plante du pied, vers son bord int
ée assez profondément et, 1 La partie noire du bord inférieur de la tumeur — sur la planche XX.XIV — répond à l'ulcération.
Pendant quelque temps, nous fîmes appliquer des cataplasmes sur la tumeur et, lorsque les phénomènes inflammatoires furent
ue les phénomènes inflammatoires furent amendés, nous avons enlevé la tumeur à l'aide de l'écraseur. L'opé-ration se fit sans
ait complètement guérie. L'examen hislologique a démontré que cette tumeur se composait de tissu fibreux et de graisse. TÉ
malement; leur développement est surtout considérable à la base de la tumeur , dans les parties profon-des du tissu utérin. M.
tissu musculaire constitue un des éléments les plus importants de la tumeur ; Yirchow, qui a attiré l'attention sur ce point,
tes : plusieurs gros vaisseaux artériels pénètrent dans la base de la tumeur , qui offre une richesse vascu-laire considérable.
les battements, tantôt ils sont placés profon-dément au centre de la tumeur , et alors le doigt, appliqué profon* dément sur l
'on ne perçût aucun batte-ment artériel, la richesse vasculaire de la tumeur était telle qu'après sa section, il survint une f
hypertrophiée, ayant acquis une lon-gueur de 5 à 6 centimètres. Cette tumeur , qui arrivait à l'orifice vaginal, était souple,
auf un peu d'a-némie. M. Demarquay rend attentif à deux points : la tumeur ne présentait point de battements ; d'autre part,
rsque l'on pratiqua l'opération. Rien, dans l'examen clinique de la tumeur , ne faisait prévoir ce développement vasculaire d
e à la cicatrice cornéenne. Dans ce point, l'iris présente une petite tumeur un peu moins large que la cicatrice de la cornée.
petite tumeur un peu moins large que la cicatrice de la cornée. Cette tumeur est d'une couleur jaune sale, et son sommet sembl
iiélioma). © Obstétrique (Revue d'), par P. Rudin, 192, 568 (voy. Tumeur molluscoïde, Coups libreux). — Leçons de clinique
aires, par P. Beclus, 159. Tubes nerveux (Des), par Ranvier, 119. Tumeur molluscoïde congénitale de la région fessière, pa
col de 1' —, par Demarquay, 270. — De la gué-rison par résorption des tumeurs fibreuses dcl' —, par Guéniot, 341. — Du cancer d
. Rein unique ... 182 Planche XVIII. Phocomélie. . . 185 Planche XIX. Tumeur congénitale de la fesse avant, l'accouche-ment...
6 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
verge et du scrotum. Le pénis et les testicules sont perdus dans une tumeur volumineuse ayant la forme d'une massue. Elle a u
nt demander les secours de la chirurgie que le jour où le poids de la tumeur l'empêcha de travailler. Il réclamait une opérati
Il s'arme ensuite d'un couteau à amputation avec lequel il divise la tumeur en long, dans la portion antérieure et dorsale, p
de épaisse, très tendue, qui, s'étendant du frein à l'extrémité de la tumeur , tiraillait la verge en avant et lui donnait une
ns jusqu'à la base et renversé sur le pubis. L'aide qui soutient la tumeur s'incline à droite et permet ainsi au chirurgien
ller chercher le testicule. La même manœuvre est répétée à droite. La tumeur se trouve isolée, et on la détache entièrement du
ce temps a été employée à faire des sutures. Après son ablation, la tumeur , malgré l'énorme quantité de liquide qui s'était
fit admettre à l'hôpital des Cliniques, le 12 octobre 1867, pour une tumeur anévrys-male du creux poplité gauche, dont le dév
dans un espace de seize mois. — Le jour de l'admission du malade, la tumeur offrait le volume de la tête d'un nouveau-né, et
r intensité ne fût pas en rapport avec le volume de l'anévrysme. — La tumeur même et la jambe étaient le siège d'une vive doul
e douleur très vive, coïncidant avec une augmentation du volume de la tumeur et une exagération des battements. M. HoueL, qu
de temps on vit apparaître une phlyctène à la partie inférieure de la tumeur , une autre à sa face externe. Des escarres succéd
le 4 décembre, et se tapissait de bourgeons charnus ; le volume de la tumeur diminuait chaque jour, et le 2 5 décembre il ne r
fistuleux dans des téguments plissés, occupant la place de l'ancienne tumeur . Le malade sortait de l'hôpital le 14 janvier 1
gé de 68 ans, chez lequel apparut, en 1865, au côté droit du cou, une tumeur du volume d'une noisette, qu'il négligea. En 1867
cou, une tumeur du volume d'une noisette, qu'il négligea. En 1867, la tumeur s'accrut rapidement et devint le siège de douleur
itement jusqu'au 6 mars 1868, où il entra à l'hôpital de Lausanne. La tumeur avait acquis douze centimètres de long sur onze d
tate une diminution évidente des battements; à partir du septième, la tumeur revient notablement sur elle-même ; bientôt les b
siste dans l'existence, aux membres inférieurs, rarement ailleurs, de tumeurs ou saillies allongées ou assez exactement arrondi
e par une masse monstrueuse de végétations. Cette masse constitue une tumeur bilo-bée dont les deux moitiés, séparées par un s
eux lobes de la masse totale (voir la figure iv).—Chacune de ces deux tumeurs est implantée sur le bord libre de la grande lèvr
ée sur le bord libre de la grande lèvre, et séparable en une série de tumeurs plus petites qui représentent des types gigantesq
arcourue par des sillons qui, se croisant en tous sens, dessinent les tumeurs partielles dont la tumeur totale est composée. —
i, se croisant en tous sens, dessinent les tumeurs partielles dont la tumeur totale est composée. — Elles offrent la coloratio
éfinition et pronostic) (i). Il existe, comme on sait, un groupe de tumeurs constituées essentiellement par une formation nou
Y épithéliôme perlé ; 3° Le tissu fibreux qui forme le stroma de la tumeur est sillonné par des cavités en forme de tubes re
èce. Lorsque, au début de l'application du microscope à l'étude des tumeurs , les épithéliômes furent décrits et séparés du ca
e avec la gravité du carcinome. Il semblait par ces deux qualités des tumeurs , que leur bonne ou mauvaise nature dussent toujou
il siège. S'agit-il, en effet, d'un épithéliôme lobule de la joue, la tumeur pourra rester petite pendant dix et vingt ans : c
rche lente se cicatrisent, même parfois à leur centre, pendant que la tumeur continue à s'accroître par ses bords. Une tumeur
ntre, pendant que la tumeur continue à s'accroître par ses bords. Une tumeur de même na-t re, développée aux lèvres, s'accroît
é n'a généralement aucune tendance à s'étendre et constitue l'une des tumeurs les plus bénignes. Par contre, l'épithéliôme à
en effet, que très souvent l'épilepsie ne reconnaît pour cause qu'une tumeur cérébrale, surtout lorsqu'elle siège à la base de
inues ou exacerbantes exagérées par la pression ou les mouvements. La tumeur de l'hygroma, trop profondément placée, est diffi
, atteinte d'un cancer médullaire de cet os. Une partie sous forme de tumeur en avait déjà été réséquée un an auparavant, mais
et menaçait la vie de l'enfant. Sans décrire le manuel opératoire, la tumeur fut circonscrite dans une incision elliptique s'é
La jambe gauche, dansletiers inférieur, est couverte de nodosités^ de tumeurs , du volume d'un pois à celui d'une petite noix.
icle représentent deux malades offrant l'un et l'autre des groupes de tumeurs remarquables autant par leur symétrie que par l'a
t. Il y a quelques années, M. le professeur Verneuil appela sur les tumeurs de cette nature l'attention des chirurgiens. Jusq
qu'elles offrent à un examen attentif, émit l'idée ingénieuse que ces tumeurs sous-cutanées pouvaient bien n'être qu'une variét
e nom de névrômes plexiformes que la science a conservé depuis. Ces tumeurs ne sont pas des plus communes ; mais depuis la sa
d'une excellente santé ; aucun membre de leur famille n'a présenté de tumeurs analogues à celles que nous décrirons plus loin.
hilitiques. En 183g, par conséquent à l'âge de 37 ans, deux petites tumeurs lenticulaires, aplaties, circulaires, apparurent
dant qui coïncidait toujours avec une diminution rapide du volume des tumeurs . Une application avait lieu tous les quatre jours
l'abandonner. Nous sommes alors en i852. Cette même année, d'autres tumeurs apparurent, au bras droit d'abord, peu après au b
ir été rasée. Cette particularité de la peau rend plus saillantes les tumeurs qu'elle recouvre. Prises extérieurement, les di
r la ligne courbe de l'occipital. La peau n'est pas adhérente à ces tumeurs ; elle peut être déplacée à la surface^ mais néan
juxtaposées. Vers cette base, la pression indique un amas de petites tumeurs donnant la sensation de ganglions lymphatiques de
ur d'une tête d'épingle jusqu'à celle d'une forte lentille. Sur ces tumeurs , la peau épaissie est encore souple, mobile ; ell
3° Sur le bord supérieur de l'omoplate, on trouve de chaque côté une tumeur analogue à un gros ganglion lymphatique hypertrop
d'une petite olive. 5° Sur le bord antérieur de l'aisselle est une tumeur olivaire, excessivement mobile, mal construite :
ruite : les contours se perdent dans le tissu cellulaire voisin. La tumeur du côté gauche est plus dure et offre des caractè
axillaire sur le trajet du muscle biceps, on sent à gauche une petite tumeur de la grosseur d'une noisette, mais mal limitée.
al. — Sur la partie moyenne de l'épine de l'omoplate se rencontre une tumeur aplatie à trois noyaux intérieurs de la grosseur
r d'une amande. Si on veut pénétrer la structure plus intime de ces tumeurs , on y constate les mêmes particularités qu'aux br
és qu'aux bras. io° Groupe crural. — Il simule au premier abord une tumeur formée par des vaisseaux lymphatiques hypertrophi
hypertrophie entre manifestement comme partie constituante dans cette tumeur , à laquelle elle adhère fortement. On sent quelqu
yées dans ce repli. Il nous reste à parler de la sensibilité de ces tumeurs . Partout la peau a conservé sa sensibilité normal
atteint d'une maladie semblable à la sienne. L..., jusqu'au début des tumeurs qu'il présente, a toujours joui d'une bonne santé
pt ans, il constata derrière les oreilles la présence de deux petites tumeurs arrondies, placées à peu près à la même hauteur d
plit graduellement et sans souffrances. L'évolution complète de ces tumeurs dura dix-huit mois environ, l'empâtement de la nu
u cou. Au bout de dix-huit mois, ces accidents s'arrêtèrent, et les tumeurs développées demeurèrent stationnaires pendant une
ne année environ. Mais, ce temps écoulé, le travail recommença et les tumeurs augmentant encore de volume, acquirent bientôt un
outre mesure et ne suivait aucun traitement. Mais plus tard d'autres tumeurs s'étant montrées à la base du cou, dans la région
e, il se décida alors à entrer à l'hôpital. A ce moment, toutes ces tumeurs sur lesquelles la peau était d'ailleurs très mobi
isparu. Comme dans le cas précédent, il est possible de classer ces tumeurs en plusieurs groupes distincts : i° Groupe occi
s tumeurs en plusieurs groupes distincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs occupent toute la région occipitale, nettement li
, lâche, parsemée de cheveux rares et courts. Au toucher, on sent une tumeur généralement molle, sans indurations distinctes.
où elles se confondent avec l'empâtement de la région cervicale, les tumeurs sous-maxillaires et sous-mentales forment un épai
normale qu'à la région occipitale. Elle est aussi plus souple; et les tumeurs sous-jacentes, partout à peu près homogènes, sont
la sixième on septième vertèbre cervicale, s'étend un autre groupe de tumeurs , maintenant amollies, qui, sans ligne de démarcat
particularité. On peut rattacher au groupe cervical les deux petites tumeurs de la région sus-claviculaire, et celle qui se tr
u sternum. Les caractères de ces dernières, de même que ceux des deux tumeurs inguinales, moins importantes encore, ne diffèren
de potassium ; sous l'influence de ce traitement l'amollissement des tumeurs a commencé ; depuis six mois le malade a quitté l
. Hardy et de Montméja. Quelquefois en se développant ils forment une tumeur plus ou moins pédiculée faisant corps avec le der
om de molluscum pendulum, qui est représenté dans la pl. XII. Cette tumeur existait à la cuisse, chez une femme âgée de soix
cette femme avait eu dix-sept enfants, sans songer à faire enlever sa tumeur ; elle se décida enfin, et l'opération fut pratiq
pital Saint-Louis, au moyen d'un serre-nœud qui détacha facilement la tumeur sans qu'il y eût d'hémor-rhagie. Dans les dernier
il y eût d'hémor-rhagie. Dans les derniers temps, le frottement de la tumeur contre les vêtements avait fait survenir deux ulc
e variété, le molluscum simplex, par le peu de développement de ses tumeurs multiples sur des régions localisées du corps, re
accroissement souvent excessif, rentre tout à fait dans la classe des tumeurs . Le fibrome molluscum pendulum est une tumeur e
t dans la classe des tumeurs. Le fibrome molluscum pendulum est une tumeur en général indolente, très lente à se développer,
lopper, qui met toujours cinq à dix ans pour acquérir le volume d'une tumeur plus ou moins considérable. M. Vaugette a prése
, un remarquable exemple de molluscum multiples chez une femme : deux tumeurs , situées à la région lombaire, avaient acquis, en
quis, en cinq ans, le volume d'un poing. M. Nélaton a vu une de ces tumeurs pédiculées parvenir, en huit ou dix années, au po
parvenir, en huit ou dix années, au poids de douze kilogrammes. Ces tumeurs sont molles, donnant quelquefois la sensation de
mincie en des points ou ridée est quelquefois recouverte de poils. La tumeur a une forme arrondie, mais qui subit des modifica
modifications suivant son siège, sa situation. Ainsi, à la vulve, la tumeur est allongée ou ovoïde, au dos elle est aplatie.
e ou ovoïde, au dos elle est aplatie. On conçoit, en effet, que des tumeurs , si lentes à se développer et si indolentes, puis
hénomènes de compression. Des vaisseaux veineux se dessinent sur la tumeur , et lui donnent une coloration violacée. Quelquef
Quelquefois il y a un suintement et de la rougeur sur la surface delà tumeur , comme dans notre exemple de la planche XII : ce
staté, ainsi que M. Nélaton, que dans le cours du développement de la tumeur , il y avait des poussées inflammatoires, des péri
urs analogues à celles qui existent dans l'éléphantiasis. Aussi cette tumeur a-t-elle été appelée, d'un commun accord, en Fran
La figure suivante, empruntée à l'excellent traité du diagnostic des tumeurs de M. A. Després(p. 33o), nous offre un très bel
est régulièrement mou. Un bon moyen de reconnaître la nature de ces tumeurs , consiste à examiner le tronc et à chercher aille
et à chercher ailleurs de petits molluscum ; s'il en existe, et si la tumeur principale a mis des années à acquérir le volume
ramollissements ne sont pas assez étendus pour tromper. Lorsque ces tumeurs ont acquis un volume trop considérable, ou qu'ell
in, en bas, ils redeviennent nettement distincts. Transversalement la tumeur mesure cinq à six centimètres. La main, appliqu
la tumeur mesure cinq à six centimètres. La main, appliquée sur la tumeur qui paraît ovoïde, perçoit des battements assez f
vagues dans le ventre, semblant occasionnées par la compression de la tumeur . — Pouls assez fort. — Scammonée, 1 gramme. Mid
s anses intestinales, le mésentère ayant été enlevés, on découvre une tumeur siégeant sur Y aorte abdominale, immédiatement au
aorte abdominale, immédiatement au-dessus de sa bifurcation. Cette tumeur ovoïde, à grand axe vertical, a pris naissance au
sément et peut sentir les caillots accumulés entre le mésentère et la tumeur . En versant un filet d'eau par l'extrémité supéri
e tache ecchymo-tique, plus étendue à gauche qu'à droite, recouvre la tumeur . Une incision longitudinale faite sur la face p
aits capables de concourir à ce but méritent-ils d'être consignés. La tumeur , dans l'observation précédente, siégeait immédiat
rémité du pied. Par le palper abdominal, on sent dans le bassin une tumeur osseuse dont la nature peut être diversement inte
ger, au Bureau central des hôpitaux, demandant à être traité pour une tumeur qu'il portait à la main. Cette tumeur, de la gr
andant à être traité pour une tumeur qu'il portait à la main. Cette tumeur , de la grosseur d'un œuf de pigeon, est située à
faite, il y a deux ans, par un médecin ; du liquide s'échappa, et la tumeur semblait complètement disparue lorsque, peu de te
nne; il est incommodé plutôt qu'il ne souffre de la présence de cette tumeur , qui l'empêche d'exercer son métier de coiffeur a
le lieu d'élection choisi par le cysticerque dont je m'occupe, et la tumeur dont il était la cause ; jusqu'ici les cysticerqu
part qu'ils aient formé, comme dans le cas que je fais connaître, des tumeurs ; aussi est-ce surtout sur ce dernier point que j'
recherches se trouvent consignées dans le second volume du Traité des tumeurs , 1869. On a cru pendant longtemps que les Europ
ère pourrait servir à faire distinguer les tubercules de la lèpre des tumeurs sarcomateuses. Les tubercules ne se développent
is expérimenté par M. Bazin) en solution au i/io pour badigeonner des tumeurs . Ce liquide, qui rappellerait par son odeur celui
uge de Lausanne, est celui de la résorption, par V'électricité, d'une tumeur fibreuse du cou. En voici l'observation, telle qu
usanne, de la méhode électrolytique pour faire disparaître une énorme tumeur fibreuse du cou chez un homme cachectique, âgé de
se du cou chez un homme cachectique, âgé de soixante-quatre ans. La tumeur a débuté il y a cinquante ans; elle garda le volu
présentait à son point le plus large 8 centimètres de diamètre. La tumeur se trouve dans la région antéro-latérale droite m
as droit sont très limités ; une douleur vive les arrête toujours. La tumeur , très dure, lisse, arrondie, un peu mobile, est u
ujours. La tumeur, très dure, lisse, arrondie, un peu mobile, est une tumeur fibreuse du lobe droit de la thyroïde. Je fis t
t retentit dans le bras. Rougeur et gonflement autour des piqûres. La tumeur diminua d'une façon notable dans la première séan
rirent quelque liberté. L'état général s'améliora rapidement, et la tumeur avait diminué des trois quarts lorsque le malade
description n'a pas dû nous arrêter. » Le Traité du diagnostic des tumeurs , de M. A. Després, qui forme la seconde partie du
même en deux sections principales : l'une consacrée au diagnostic des tumeurs en général, l'autre à celui des tumeurs dans les
e consacrée au diagnostic des tumeurs en général, l'autre à celui des tumeurs dans les régions. — Cette division bien naturelle
se présente à l'esprit de celui qui ouvre le Traité du diagnostic des tumeurs , mais il semble que M. Des-orés ne l'ait pas renc
iguration ou dans le détail de leur production et de leur marche, les tumeurs dont le type fondamental se trouve exposé dans la
e de corps étranger qu'il s'agit d'extraire. On oublie trop que cette tumeur a les attributs d'un corps vivant, et qu'à ce tit
ajorité des cas. Plus des trois quarts des polypes du larynx sont des tumeurs papil-laires qui se morcellent facilement aussitô
st peu dense. Elle l'est encore, à la rigueur, lorsqu'il s'agit d'une tumeur de structure résistante ; mais il est une excepti
la plus forte que puisse exécuter le patient (voy. fig. 1). Mais la tumeur se présente d'une manière très différente, suivan
malade essaie d'émettre un son du registre de la parole ordinaire, la tumeur grossit notablement et recouvre alors les deux ti
lus complet possible des cordes vocales et l'élévation du larynx), la tumeur s'allonge alors et recouvre la plus grande partie
e la lumière tombe dans la trachée, je constatai distinctement que la tumeur , lorsqu'elle disparaissait en grande partie penda
aiguës. Il m'a été impossible de voir le mode d'implantation de la tumeur qui s'offrait à ma vue par sa grosse extrémité li
ité opposée. Mais celle-ci, à en juger par le degré de mobilité de la tumeur , devait être implantée par un court pédicule à la
antée par un court pédicule à la muqueuse du fond du ventricule. La tumeur est d'un gris sale sur certains points, complètem
n'ai découvert aucun bruit de soupape. Je tentai l'extraction de la tumeur par les voies naturelles; mais le polype, saisi p
exprima la conviction que ces tentatives ne pouvaient réussir sur une tumeur aussi dense. J'essayai alors sans plus de succès
thyroïdienne et hyo-thyroïdienne. J'ai donc décidé l'ablation de la tumeur après section du cartilage thyroïde. Après avoi
son pédicule exactement à son point d'implantation (voy. fig. 6). La tumeur , qui força le passage quand je la retirai, fut mi
et s'approchant très franchement pendant la phonation (fig. 7). La tumeur (fig. 8) fut remise pour l'étude histologique à M
s les plus superficielles portent des cils vibrátiles. La masse de la tumeur est formée par des faisceaux de tissu conjonctif
oins profonds, dont les conduits viennent s'ouvrir à la surface de la tumeur . De l'existence de ces glandes il ne faut pas con
faut pas conclure qu'il s'agit là d'un adénome : la définition de la tumeur est donnée par la néoformation du tissu fibreux;
tion de la tumeur est donnée par la néoformation du tissu fibreux; la tumeur doit être considérée comme un fibrome. Conclusi
a guérison du malade. 20 Le choix du mode opératoire dépendra de la tumeur et de sa structure L'ouverture du larynx peut êtr
Lorsque, au moyen du laryngoscope, on a constaté le siège exact de la tumeur , il suffit d'ouvrir le larynx sur ce siège exact.
nt accessible est celle qui limite leur écartement postérieur. Or, la tumeur enlevée par Follin avait précisément en ce point
aussi, a fait la laryngotomie sous-hyoïdienne, n'a pu faire passer la tumeur à travers son incision, et il a dû inciser le car
Fig. 9 Dessins micrographiques d'après les préparations de et 10. la tumeur faites par le Dr Ranvier. Nœvus vasculaire La
la lésion. — Les nœvi vasculaires peuvent donner lieu à de véritables tumeurs dont le volume varie accidentellement et progress
erses méthodes qui sont : la ligature des vaisseaux qui alimentent la tumeur , la cautérisation par le caustique de Vienne ou a
les cas où le ncevus est assez volumineux pour être classé parmi ces tumeurs qui ont reçu le nom de tumeurs fongueuses sanguin
volumineux pour être classé parmi ces tumeurs qui ont reçu le nom de tumeurs fongueuses sanguines. — Nous renvoyons aux traité
s recherches intéressantes. Vient ensuite une série de leçons sur les tumeurs (tumeurs érectiles, adénomes lymphatiques, céphal
hes intéressantes. Vient ensuite une série de leçons sur les tumeurs ( tumeurs érectiles, adénomes lymphatiques, céphalématome,
grenouillette ; kystes du maxillaire inférieur, du foie, de Vovaire: tumeurs der-moïdes, à myéloplaxes; polypes du rectum; her
euse linguale............... 124 Résorption par l'électricité d'une tumeur fibreuse........... 125 Traité du diagnostic de
7 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
de l'épaule et au-dessous de l'extrémité externe de la clavicule, une tumeur du volume d'une orange, offrant delà fluctuation
défavorable, car l'accumulation du liquide donnait lieu à une petite tumeur plus ou moins arrondie, dont le centre, très-pâle
nsidérable. Une masse arrondie se dessine sous le muscle deltoïde. La tumeur est plus saillante en avant qu'en arrière. Le bra
ouvre l'articulation est à l'état normal. Depuis l'apparition de la tumeur , les mouvements sont gênés, sans être douloureux,
s qui se déve-loppent, soit dans les cas de compression de la moelle ( tumeur , mal de Pott, etc.), soit après une lésion trauma
suivant, entre autres, est|loin d'être complet. Observation VII. — Tumeur tuberculeuse de la moelle. —Arthro-pathie du geno
s, l'enfant succomba le 12 septembre par épuisement. A l'autopsie : tumeur tuberculeuse siégeant au niveau de la moi-tié inf
8; 5° R. de 0,06 jusqu'à 0,07, 6° R. de 0,05 ; 7° R. produits par des tumeurs du bassin; 8°R. dont le degré n'est point indiqué
alade n'ayant ja-mais contracté la syphilis.— Nous ajouterons que ces tumeurs , dont l'apparition remontait à l'enfance, ne subi
de fouet. A l'examen, la lésion qui frappe au premier abord est une tumeur du volume d'un gros pois, d'un blanc mat siégeant
e de la conjonctive comprise entre la cornée et la caroncule. Cette tumeur (Planche XIV, fig. 1) irrégulièrement ovalaire, a
e brusquement à son niveau et fait ressortir la teinte laiteuse de la tumeur . Enfin, sa surface lisse et humectée par les larm
on I. — Kyste de Tiris. — Extirpation incomplète.— Reproduction de la tumeur . — Cataracte secondaire. (Résumé d'une observatio
amène à l'hôpital. A l'examen, on constate la présence d'une petite tumeur gris pâle située dans la chambre antérieure, et f
Il est évident qu'il y a une augmentation légère dans le volume de la tumeur . Aujourd'hui, en effet, l'iris est déprimé; il se
. On constate aussi la présence de petits vaisseaux qui parcourent la tumeur . — (La fi-gure 3 de la Planche XIV reproduit la c
tite pince légèrement courbe est intro-duite dans le but de saisir la tumeur et de l'amener au dehors. Sous la pression de la
la tumeur et de l'amener au dehors. Sous la pression de la pince, la tumeur se vide et laisse suinter au dehors son contenu q
lusieurs reprises, on essaye de saisir et d'extirper les parois de la tumeur , ce qui se fait avec assez de difficulté ; l'iris
la curette. Après l'opération, on aperçoit encore une partie de la tumeur ; elle tient la place de la portion d'iris qu'on
ièrement pendant trois ou quatre jours, mais bientôt la portion de la tumeur qui n'a pas été enlevée augmente de volume ; elle
lement la vue. Etat actuel. — Dans la chambre antérieure existe une tumeur , ayant la forme et les dimensions d'un petit pois
adhérent; on voit même des vaisseaux sanguins passer de l'iris sur la tumeur . Celle-ci s'é-tend jusqu'au milieu de la pupille
che XIV, fig. 4.) L'indication était évidente ; il fallait enlever la tumeur afin de l'empêcher d'en-vahir toute la pupille et
nt chloroformé, une incision fut pra-tiquée au bord de la cornée ; la tumeur fut saisie avec une pince et tirée au dehors avec
elle adhérait; un coup de ciseaux suffit ensuite pour l'enlever. La tumeur excisée était constituée par un kyste dont le con
on concluante ne l'a jusqu'ici prouvé. « Quant au traitement de ces tumeurs , il n'y faut songer que lors-qu'elles sont des ca
de M. Trélat, le 28 avril 1871. Cet homme est porteur d'une grosse tumeur du sein droit qui lui est apparue il y a neuf moi
ion a augmenté graduellement. État actuel. Au niveau du sein droit, tumeur dure, indolente à la pression, mobile en masse su
Rien à noter dans les autres régions du corps. On diagnostique une tumeur maligne du sein et l'ablation est décidée. Opér
e du sein et l'ablation est décidée. Opération. La périphérie de la tumeur est circonscrite par deux incisions en ellipse, l
à plat avec la charpie trempée dans l'eau de Pagliari. Examen de la tumeur . La tumeur n'a pas de limites tranchées ; le tiss
la charpie trempée dans l'eau de Pagliari. Examen de la tumeur. La tumeur n'a pas de limites tranchées ; le tissu pathologi
d'une bouillie blanchâtre; ils renfermaient les mêmes éléments que la tumeur du sein. L'examen histologique a été fait par m
le siège de maladie; on y a cependant rencontré toutes les formes de tumeurs que l'on trouve chez la femme. — Jusqu'en 1859, l
crite et observée chez l'homme; depuis on a noté un certain nombre de tumeurs encépbaloïdes et fibroplastiques. En 1844, M.Wals
rtitude sur la question de savoir s'il ne s'agissait pas plutôt d'une tumeur fibroplaslique que d'un squirrhe ; j'en ai observ
ai observé quatre depuis. Du reste, j'ai pu constater l'existence de tumeurs réellement encépha- 1 Boston, 1844, ouvrage cit
ce de tumeurs réellement encépha- 1 Boston, 1844, ouvrage cité dans Tumeurs du sein, par Velpeau, p. 695. 2 Traité des mala
in nombre de fois, dans la mamelle de l'homme ; une première fois, la tumeur , qui n'était point encore ulcérée, offrant le vol
fongosités cérébroïdes, en même temps que l'aisselle était remplie de tumeurs de même nature et non ulcérées. — J'ai dû extirpe
héréditaire, qui avait depuis un an, en dehors du mamelon gauche, une tumeur du volume d'une noix, un peu adhérente, légèremen
es engorgements axillaires. Ses forces avaient di-minué. On enleva la tumeur ainsi que les ganglions. Le tissu mor- 1 T. W.
s du cancer squirrheux. i M. Fergusson a excisé, le 20 juillet, une tumeur grosse comme la moitié d'une orange, développée d
quelque membre de sa fa-mille a été atteint de cancer. Il remarqua la tumeur il y a environ quatre mois; depuis lors, elle a é
d'un coffre, tandis qu'il se penche pour en atteindre le contenu. La tumeur oc-cupe le sein droit et enveloppe le mamelon; el
est bonne. M. Childs, après avoir chloroformé le malade, enleva la tumeur le 11 juillet. Il ne se passa rien de particulier
llet, la plaie étant à peu près guérie. L'examen microsco-pique de la tumeur montra une gangue fibrocelluleuse, avec des cellu
68. Observation. — Cancer du sein (Squirrhe). — Développement de la tumeur . — Adénites axillaires. — Extirpation. — Guérison
le degré ; deux glandes axillaires étaient hypertrophiées. Quand la tumeur vint en la possession de M. M'Clintock, elle avai
pres à se faire une opinion positive sur la nature pathologique de la tumeur . Elle était très-solide, très-dure dans sa textur
quirrhe. Toutefois cette production pouvait être une de ces formes de tumeur voisine du squirrhe, une variété de tumeur fibrop
être une de ces formes de tumeur voisine du squirrhe, une variété de tumeur fibroplastique. Aussi ne pouvait-il dire avec cer
broplastique. Aussi ne pouvait-il dire avec certitude que c'était une tumeur squirrheuse. Désireux de savoir si l'examen mic
a seule particularité de ce cas qui fût digne d'intérêt, c'est que la tumeur du sein existait chez un homme. Le malade était f
de la mamelle deux années auparavant; mais, dansles derniers mois, la tumeur avait augmenté rapidement. Le docteur Brunker hés
mention qui les accompagne. Le premier est dû à M. Marcovitz : « La tumeur est située sur le grand pectoral, mobile sur son
les parties qui la constituent ne vivent plus de la vie commune de la tumeur . Par le raclage, on obtient un suc lac-tescent tr
lac-tescent très-abondant. » « M. Robin, qui a fait l'examen de la tumeur , a trouvé qu'elle était formée par une trame fibr
nt nucléolées. Quant aux points jaunes qu'on remarque au centre de la tumeur , ce sont des épithéliums passés à l'état phymatoï
ette sim-ple note : « M. Bernadet met sous les yeux de la Société une tumeur du sein, de nature probablement cancéreuse et con
t constituée, au moins en apparence, par du tissu encéphaloïde. Cette tumeur a été re- 1 Bulletins de la Société analomique
mplement indiqué par celte courte note : « M. Bourdillat présente une tumeur du sein recueillie chez un homme de 68 ans. C'est
ente une tumeur du sein recueillie chez un homme de 68 ans. C'est une tumeur fibroplaslique2. » Enfin, et pour terminer cett
iscères. — C'est une erreur ; la récidive et la généralisation de ces tumeurs cancéreuses ont été constatées plusieurs fois ; i
e phénomènes douloureux. (Yoy. PLANCHE XXIV, flg. 1.) CHIRURGIE TUMEUR FIBROPLASTIQUE DE LA RÉGION OCCIPITALE par a. d
service de M. Folcher. Cet homme portait, à la région occipitale, une tumeur dure, élastique, mobile et mamelonnée, offrant ap
ée, offrant approximativement le volume des deux poings réunis. Cette tumeur , dit le malade, avait mis trois ans à acquérir ce
ulvitediphthéritique, p. 439. REVUE PHTOGRAP HIQUE DES HOPITAUX TUMEUR FIBRO-PLASTIQUE A sa partie supérieure, la] tum
DES HOPITAUX TUMEUR FIBRO-PLASTIQUE A sa partie supérieure, la] tumeur présentait une ulcération de 5 centimètres de dia
Sur les bords de l'ulcération, M. Foucher détacha un fragment de la tumeur .qui fut soumis à l'examen micrographique et recon
t soumis à l'examen micrographique et reconnu comme appartenant à une tumeur fibroplastique. Dans les premiers jours de mars
. Foucher enfonça dans toute la circonférence du large pédicule de la tumeur des flèches caus-tiquesa Ce ne fut que le 17 ma
la tumeur des flèches caus-tiquesa Ce ne fut que le 17 mars que la tumeur se sépara de la surface d'implantation, laissant
faire connaître ce que cette observation a de plus remarquable. — La tumeur fibro-plastique avait récidivé sur plusieurs poin
aient moindres. Le pédicule, très-court et presque aussi large que la tumeur elle-même, semblait adhérent à l'os. Je pratiqu
érent à l'os. Je pratiquai successivement l'ablation de ces petites tumeurs à l'aide d'un serre-nœud et j'appliquai sur la pl
tabli, mais qu'il avait dû faire procéder à l'ablation d'une nouvelle tumeur que son petit volume avait mise à l'abri des caut
ections malignes et enfin ces productions telles que les polypes, les tumeurs fibreuses, les kystes. Dans la seconde partie,
ion aiguë deviennent douloureux, ils augmentent de vo-lume et forment tumeur . » —La douleur existe au niveau d'une des fosses
ontinue, paro-xystique et augmente à chaque période cataméniale. — La tumeur formée par l'ovaire peut être constatée par la pa
nir chirurgicalement le 2 août. Au niveau du point où avait apparu la tumeur , on fait une première incision parallèle aux fibr
ure ou vers la face interne de l'organe. — Rien de plus naturel ; ces tumeurs font saillie du côté où elles éprouvent le moins
s pre-miers, nous rangerons la douleur et la gêne occasionnées par la tumeur , ainsi que les troubles produits du côté des voie
ies digestives et respiratoires ; dans les seconds, nous rangerons la tumeur avec ses caractères fournis par l'inspection, par
ratoires, notons seule-ment la gêne de la respiration produite par la tumeur s'opposant à la dilatation de la cage thoracique,
èvement des fausses côtes gauches; la palpation fera, reconnaître une tumeur abdominale dont l'extrémité inférieure sera vers
inférieure sera vers l'ombilic ou même dans la fosse iliaque gauche, tumeur où quelquefois on pourra percevoir de la fluctuat
formation au niveau de l'hypochondre gauche et des régions contiguës, tumeur plus ou moins fluctuante, matité complète au ni-v
tumeur plus ou moins fluctuante, matité complète au ni-veau de cette tumeur , matité se confondant avec celle de la rate, dépl
eu certains? D'abord il faut penser que l'on peut avoir affaire à une tumeur de la rate, et ensuite il faut apporter un soin e
vons l'hypertrophie de la rate, les abcès des parois abdominales, les tumeurs du foie et du rein, et les tumeurs du bassin, sur
abcès des parois abdominales, les tumeurs du foie et du rein, et les tumeurs du bassin, surtout chez la femme. DansVhypertro
s du rein ont été plusieurs fois observés ; ce sont certaine-ment les tumeurs qu'il est le plus difficile de différencier des k
une sage réserve. Il est plus aisé de faire le diagnostic avec les tumeurs du foie; le siège de la matité est tout différent
e; le siège de la matité est tout différent, et généralement entre la tumeur quand elle appartient au foie et la matité donnée
t préconisés tour à tour sont, complètement impuissants. — Si donc la tumeur kystique vient à causer des accidents sérieux, so
ssent d'une excellente santé, portait, depuis son enfance, unp petite tumeur mobile à trois centimètres au-dessus de l'oreille
du frontal gauche, plis qui font complètement défaut à droite.) La tumeur épithéliale,qui avait semblé détruite,a reparu au
ra dans les Guys Hospital Re-ports un mémoire plein d'intérêt sur les tumeurs lardacées, et plus récemment Beckmann, Friedreich
ittentes, ré- REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XXXI. TUMEUR FIBRO-PLASTIOUE mittentes ou continues sont, ju
ux minérales contenant de l'iode ou du brome. MÉDECINE OPÉRATOIRE TUMEUR FIBRO-PLASTIQUE DE LA CUISSE par le docteur a.
ISSE par le docteur a. de montméja La Planche XXXI représente une tumeur fibro-plastique de la cuisse dont nous avons pris
tel-Dieu. En dehors du volume considérable qu'elle possédait, cette tumeur n'avait rien de particulier à signaler sous le ra
ation de ce genre de tu-meurs. Nous connaissons trois autres cas de tumeurs fibro-pJastiques tout à fait analogues à celui qu
les deux autres dans la pratique civile. Dans ces différents cas, la tumeur avait acquis un volume considérable et siégeait d
out, en un mot, annonçait une grande vascularité de la surface de ces tumeurs . Le malade que nous avons observé à Bicêtre ne
comba à la suite d'une vaste suppuration qui s'éta-blit au sein de la tumeur et se fit jour par plusieurs débouchés ; à l'auto
t jour par plusieurs débouchés ; à l'autopsie, nous trouvâmes sous la tumeur un pédicule très-court renfermant de nombreux vai
nous avons observés, en dehors des établis-sements hospitaliers, les tumeurs furent enlevées à l'aide d'une dissection fort pé
fait à la peau, sur la partie moyenne et dans toute la longueur de la tumeur , une incision ovalaire, le chirurgien, sai-sissan
ITIF par j. cornillon, interne des hopitaux de paris Observation. Tumeurs à l'angle droit de la mâchoire inférieure. — Déve
. — Opération. — Cicatrisation com-plète. — Reproduction d'une petite tumeur . Nouvelle opération. — Mort subite par introducti
é. Il y a deux ans, Pellet s'aperçut de la présence de deux petites tumeurs de la grosseur d'une noisetfe chacune à l'angle d
i lui prescrivirent des pommades et des tisanes. Le développement des tumeurs fut lent jusqu'au 1er janvier 1871 ; mais, à part
avons interrogé à plusieurs reprises sur le début et la marche de sa tumeur , nous a toujours affirmé qu'il ignorait absolumen
vait se rendre compte du développe- 5e année. H ment rapide de sa tumeur depuis le 1er janvier 1871. A cette époque et dur
a, mais quelque temps après, s'apercevant de la présence d'une petite tumeur à la partie antéro-supérieure de la cuisse droite
ours après son admission dans le service, M. Trélat en-leva la petite tumeur de la cuisse droite afin de connaître bistolo-giq
de connaître bistolo-giquement sa composition, et partant celle de la tumeur du cou. Au bout d'une semaine la cicatrisation ét
n principale, disons quelques mots sur l'aspect, la consistance de la tumeur cervicale. Elle occupe la par-tie supérieure droi
nstater de saillie sur les parois de cette ca-vité.—J'ajouterai quela tumeur ne s'avance pas jusqu'à la ligne mé-diane du cou
ux ganglions qui avoi-sinent l'angle du maxillaire inférieur. Cette tumeur est globuleuse ; elle présente à la surface plusi
ion exploratrice en fait sortir du sang noir collecté au sommet de la tumeur (4 oc-tobre) ; partout ailleurs, elle est dure. —
peau ayant été divisée avec soin dans toute la région occupée par la tumeur , le chirurgien procède à la dissection des gangli
agnent la base du crâne et la région parotidienne. Enfin il sépare la tumeur des muscles sterno-mastoïdien et hyoïdien. Cett
i disparaît sous le doigt et sous un courant d'eau. — En somme, cette tumeur semble manifestement constituée par l'agglomérati
çoit sur le sterno-mastoïdien, au voisinage de la plaie, une petite tumeur ganglionnaire de la grosseur d'une noisette, comp
eur d'une noisette, complètement indolente. 30 octobre. — La nouvelle tumeur augmente considèrablemenl. 15 novembre. — La tu
. — La nouvelle tumeur augmente considèrablemenl. 15 novembre. — La tumeur a atteint la grosseur d'un gros mar-ron. 16 nov
du muscle sterno-cléido-mastoïdien sur lequel était placée la petite tumeur . L'incision dont la longueur était à peine de 5 c
ur, se trouve à quelques centimètres de distance 'une de l'autre deux tumeurs rondes, grosses chacune comme un marron d'Inde. L
osités dures. Une section opérée dans cettissu conduit à deux petites tumeurs ganglionnaires, chacune d'elles égalant en volume
identique aux ganglions lymphatiques en-flammés et ramollis. Les deux tumeurs marginales sont au contraire dures ; leur tissu e
profiterons pour publier les résultat de l'examen histologique de la tumeur . REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX TUMEURS
en histologique de la tumeur. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX TUMEURS DES SACS LACRYMAUX TUMEURS DES SACS LACRYMAUX
REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX TUMEURS DES SACS LACRYMAUX TUMEURS DES SACS LACRYMAUX par a. de m0ntméja. Le mal
es cliniques libres de Paris. Nous n'avons pas à décrire l'aspect des tumeurs qu'il portait n l'angle interne des deux yeux : l
us occuper de la symptomatologie et du diagnostic de la nature de ces tumeurs . Depuis un an environ, le malade avait remarqué
et s'accomplissait sans aucune douleur marquée. Depuis six mois, les tumeurs gardaient le môme volume, mais depuis celte même
ix avait subi, au dire du malade, quelque légère allé-ration. Sur les tumeurs , les téguments n'avaient subi aucune altéra-tion,
u toucher, et de l'enchifrènement, on doit s'éloigner de l'idée d'une tumeur lacrymale ou de toute autre tumeur fami-lière à c
on doit s'éloigner de l'idée d'une tumeur lacrymale ou de toute autre tumeur fami-lière à ces régions, pour pencher vers l'opi
; 5° dans les traumatismes ou dans les cas où la rate est le siège de tumeurs ou de formations nouvelles. Nous ne faisons qu'
médicale de Toulouse (juillet 1871, p. 195). Observation. — Petite tumeur à côté du mamelon gauche. — Augmentation de volum
te tumeur à côté du mamelon gauche. — Augmentation de volume rapide.— Tumeur encéphaldide occupant la région mammaire gauche.
le 25 mai 1870 à l'Hôtel-Dieu de Toulouse (service de M. Ripoll). La tumeur , qui occupe la région antérieure gauche de la poi
llulaire sous-jacent, mais elle ne va pas au delà, car, en prenant la tumeur à pleine main et en cherchant à lui imprimer des
st ulcérée en un point ; d'où une hémorrhagie assez abon-dante. Cette tumeur n'a pas la dureté du squirrhe; elle est un peu él
jourd'hui. A pari cela, Duplech jouit d'une bonne santé. Diagnostic : tumeur ence'phaloïde. 27 mai. — Opération. On fait suc
on. On fait successivement à un centimètre au-dessus de la base de la tumeur , au niveau de la séparation des par-lies saines e
-tement ; cinq heures plus tard, sentiment de cuisson au niveau de la tumeur , douleur très-supportable ; mêmes phénomènes au b
s : alors on constate que les flèches ramollies par lesliquides de la tumeur sont entourées à leur base d'une auréole d'un gri
es. L'élimination se fit peu à peu et, le 4 juin, M. Hipoll enleva la tumeur . Sur deux autres points, l'emploi des ciseaux fut
le sort de l'articulation scapulo-humérale. CLINIQUE CHIRURGICALE TUMEUR DE LA PAROTIDE, EXTIRPATION, GUÉRISON par rosap
dans le service de M. le professeur Broca, pour se faire enlever une tumeur qu'il porte à la partie droite du cou. Il y a d
le malade s'est aperçu pour la première fois de la présence de cette tumeur , qui avait alors le volume d'une noi-sette. Situé
s ganglions n'auraient été engorgés. État actuel (juillet 4871).—La tumeur remplit les limites de la ré-gion parotidienne dr
du sterno-mastoïdien. La planche XXXY1I en donne une bonne idée. La tumeur , quoique fortement enclavée entre ces deux organe
branche supérieure du fa-cial est intacte. Diagnostic. — Parmi les tumeurs qu'on peut rencontrer à la région parotidienne, n
iournis par le malade : glissement facile de la peau, fixité de la tumeur sur les parties profondes, s'accordent avec les s
c les signes ac-tuels : intégrité de la peau, limitation exacte de la tumeur à la région parotidienne, connexions profondes av
connexions profondes avec mobilité assez limitée, pour montrer que la tumeur a débuté et qu'elle s'est développée dans la loge
erficielles de la glande qu'on doit localiser le siège primitif de la tumeur : elle n'avait encore acquis, en effet, qu'un cen
d'une noisette lorsqu'il s'en est aperçu pour la première fois. La tumeur , malgré les lobules qui font saillie à sa surface
meur, malgré les lobules qui font saillie à sa surface, n'est pas une tumeur ganglionnaire ; elle n'est pas constituée par des
s lobules des deux extrémités. C'est donc entre les deux classes de tumeurs de la parotide que la clinique a séparées sous le
s de tumeurs de la parotide que la clinique a séparées sous le nom de tumeurs bénignes ou adénomes et de tumeurs malignes ou ca
clinique a séparées sous le nom de tumeurs bénignes ou adénomes et de tumeurs malignes ou cancers, qu'il nous reste à établir l
idents qu'amènerait infailliblement le développement progressif de la tumeur . Extirpation de la tumeur. — Le 51 juillet, l'o
blement le développement progressif de la tumeur. Extirpation de la tumeur . — Le 51 juillet, l'opération est pra-tiquée aprè
enne, qui est à son tour incisée et disséquée de manière à dénuder la tumeur . La sur-face de celle-ci est blanche, lisse, et s
e seule présente quelques adhérences, qu'on déchire en imprimant à la tumeur quelques mou-vements de traction combinée avec la
des ad-hérences, constituées en grande partie par les vaisseaux de la tumeur , amène un écoulement de sang assez abondant, qu'o
. Toute trace de paralysie semble aussi avoir disparu. Examen de la tumeur . — La tumeur se présente sous la forme d'une poir
de paralysie semble aussi avoir disparu. Examen de la tumeur. — La tumeur se présente sous la forme d'une poire irrégulière
ace, ils sont beaucoup plus larges et peu saillants. En incisant la tumeur et en cherchant à séparer la membrane d'enveloppe
aisseur un réseau à larges mailles. Si on la réap-plique alors sur la tumeur , on observe en outre que chacun des vaisseaux c
nts qui soient l'indice d'une segmentation de la substance même de la tumeur . La disposition lobulée superficielle semble donc
a présence des culs-de-sac glandulaires. A la coupe, le tissu de la tumeur est ferme, d'un blanc grisâtre ou jaunâtre, sillo
sistance, qui est celle du tissu fibreux dans la majeure partie de la tumeur et qui est plus molle dans les couches superficie
et le stroma entrent en proportions égales dans la composition de la tumeur . La proportion et la nature de ces deux éléments
coupes pratiquées au centre ou dans les couches superficielles de la tumeur . À un fort grossissement, on voit les tubes et
ssification, admise par MM. Cornil et Ranvier (Ma-nuel d'histol.), la tumeur devrait, il semble, être rangée parmi les adéno-s
e le 2 novembre au soir est due à Yinjection iodée. On ne sent aucune tumeur dans la cavité abdominale. Le foie paraît peu vol
Rosapelly, 101, 296. Rupture {voy. Rate, Utérus). Sacs lacrymaux ( Tumeurs des), 263. Sarcome ganglionnaire primitif, par J
09, 147.— dans l'érysipèle, 176. Traumatisme {voy. Œil, Tétanos). Tumeur fibro-plastique de la région oc-cipitale, par A.
itisme, n° 1. 136 Planche XIX. Rachitisme, m 2, , 137 Planche XX. Tumeur fibro-plasti-que.............141 Planche XXI. E
e XXX. Paralysie du muscle frontal droit.........'¿52 Planche XXXI. Tumeur fibro-plas-tique............2il Planche XXXII.
che XXXIII. Sarcome gan-glionnaire primitif......257 Planche XXXIV. Tumeurs des sacs lacrymaux..........'¿03 Planche XXXV.
8 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
stension : aussi est-ce en ce point que se développe ordinairement la tumeur lacrymale. Toutefois quand le sac est gonflé en e
la tumeur lacrymale. Toutefois quand le sac est gonflé en entier, la tumeur est oblongue et bilobée par l'étranglement mitoye
instrument dans l'incision et le cathétérisme des voies lacrymales. TUMEUR ET FISTULE LACRYMALES. Historique. Aucune malad
ouve mieux l'opiniâtreté des efforts et l'impuissance de l'art que la tumeur et la fistule lacrymales. Après l'emploi de moyen
e siècle, les Arabes imaginent des moyens plus doux. Rhazès traite la tumeur lacrymale par la compression et des frictions et
etrouvent plus loin sous chaque dési-gnation spéciale. ENGOUEMENT , TUMEUR LACRYMALE. Lorsqu'un engorgement avec ou sans t
ENGOUEMENT , TUMEUR LACRYMALE. Lorsqu'un engorgement avec ou sans tumeur empêche l'ab-sorption des larmes, les moyens d'y
n peut l'exercer avec le doigt ou une petite compresse graduée sur la tumeur après en avoir fait évacuer le liquide, ou par le
canal encore perméable. Permanente, elle s'ap-plique également sur la tumeur affaissée ou sur la fistule simple à l'aide d'une
Méthode de Méjean (pl. 4» fig- 2). Applicable seulement aux cas où la tumeur lacrymale, encore intacte, n'offre point d'orific
sses nasales, il n'y a plus à craindre ni l'épiphora, ni une nouvelle tumeur lacrymale, et avec le temps, des semaines, des mo
èches pendant quelques jours; et M. Malgaigne , après avoir incisé la tumeur comme un simple abcès, force le rétrécissement et
s à remplir , les nombreux procédés imaginés pour le traitement de la tumeur et de la fistule lacrymales, il est important de
t le meilleur moyen à employer pour chaque cas déterminé, i ° Pour la tumeur lacrymale avec simple engoue-ment du canal nasal,
ropion, le trichiasis, les adhérences vicieuses des paupières, et les tumeurs de diverse nature. ectropion. L'ectropion ou
des parties ne permet-tant pas l'interposition d'un corps étranger. tumeurs des paupières. En pathologie chirurgicale, les
étranger. tumeurs des paupières. En pathologie chirurgicale, les tumeurs des paupières se distin-gueraient suivant leur na
decine opératoire, il faut considérer, sous la distinction commune de tumeurs palpébraies, toutes celles qui ont leur siège aux
ient leur nature et leur siège entre la peau et la conjonctive. Les tumeurs palpébrales qui donnent lieu à des opérations son
e l'épaisseur des paupières, même sans en excepter la conjonc-tive. Tumeurs enkystées. Les kystes de diverse nature sont trai
kyste, et la plaie guérit d'elle-même après la chute des escarres. Tumeurs cellulaires. Sous ce nom sont compris de petits n
, le séton pratiqué avec une aiguille qui traverse de part en part la tumeur et en pro-voque la suppuration (Jacquemin), enfin
rgent fondu. Cautériser pendant une minute le trajet fis-tuleux et la tumeur , retirer le porte-caustique et laver à l'eau froi
suppuration et la séparation des escarres déter-minent la fonte de la tumeur et la cicatrisation du trajet fistu-leux; néanmoi
isation avait été incom-plète, on devrait en pratiquer une seconde. Tumeurs cancéreuses. On ne peut considérer ici, par rap-p
ique de petits vaisseaux sanguins. C'est le nom générique donné à des tumeurs de diverse nature, lors-qu'elles n'ont encore att
e tige métallique enduite de nitrate d'argent ( pl. 6, fig. 12). La tumeur érectile (pl. 5, fig. 1), le fongus et la tumeur
l. 6, fig. 12). La tumeur érectile (pl. 5, fig. 1), le fongus et la tumeur méla-nique, qui se développent sur la conjonctive
sont, sur la conjonctive comme sur tout autre tissu, le germe de ces tumeurs redoutables qui envahissent l'œil en entier et la
lcaires (Monteggia). Le pinguécula (pl. 7, fig. i,b) est une petite tumeur jaunâtre qui se développe dans la conjonctive scl
Le procédé d'excision est des plus simples : il con-siste à saisir la tumeur avec des pinces et à en pratiquer soit l'ex-cisio
des ciseaux droits ou courbes sur le plat, suivant la position de la tumeur ; soit la dissection avec un petit bistouri. En ra
bistouri droit ordi-naire, une érigne simple ou double pour fixer la tumeur , et. des ciseaux courbes sur le plat pour couper
Avec les pinces de Museux ou une érigne simple, saisir solidement la tumeur dans le point où elle pré-sente le plus de résist
par le lobule dont la texture vasculaire favorise le développement de tumeurs érectiles. Sa grande souplesse eu prévient les fr
de M. Campbell, il se développe endémiquement dans l'Inde de petites tumeurs éléphantiasiques qui ont leu r siège dans le lobu
ui ont leu r siège dans le lobule de l'oreille. Dans nos climats, les tumeurs les plus communes sont de nature fibreuse et surt
ncisions en V dont l'écartement est d'autant plus considérable que la tumeur a plus de volume. Si on a pour but de remédier à
ermine le pavillon de l'instrument : tordre ensuite le pédicule de la tumeur en tournant la canule en même temps qu'on l'attir
est devenue inutile et continuer les torsions avec la seconde. Si la tumeur résiste et ne se laisse pas détacher, porter une
en les insinuant aussi loin que pos-sible: alors saisir solidement la tumeur , la faire tourner sur sou axe, et en opérer l'arr
e correspondant à l'oreille malade est déformée ou oblité-rée par une tumeur ou par une déviation de la cloison nasale. La s
développé, aussi très sou-vent y remarque-t-on différentes espèces de tumeurs érectiles : la grande vitalité de cette peau rend
complètement la fosse nasale correspon-dante et à en imposer pour des tumeurs polypeuses ou d'autre nature. La grande sensibili
es modifications pour répondre aux différens cas qui se présentent. tumeurs du nez. Les tumeurs du nez qui réclament les se
répondre aux différens cas qui se présentent. tumeurs du nez. Les tumeurs du nez qui réclament les secours de la médecine o
opératoire sont les tannes, les cancers, les éléphantiasiques, et les tumeurs érectiles. Relativement au procédé cle leur extir
Relativement au procédé cle leur extirpa-tion, on doit distinguer ces tumeurs suivant qu'elles siègent sur le nez proprement di
ement dit ou dans l'épaisseur de la cloison. Lorsqu'il s'agit d'une tumeur siégeant sur le nez, son ablation s'exécute de mê
tard, avec la plus grande facilité, en une fistule incurable. Si la tumeur , primitivement développée dans la cloison, a écar
pour arriver sur la cloison et pratiquer l'énucléation du reste de la tumeur . occlusion ou resserrement des narines. Les m
es toucher avec le nitrate d'argent fondu. Après la destruction de la tumeur , les injections néanmoins seront continuées penda
pour faire glisser le tranchant engaîné jusque sur le pédicule de la tumeur , dont il put pratiquer l'excision en plusieurs fo
e par l'orifice les mors fer-més des tenettes droites. Parvenu sur la tumeur , il ouvre l'in-strument pour y engager le polype
irale. Tirant alors à soi, il amène au dehors la portion saisie de la tumeur déchirée à-la-ibis par le double effet de la tors
nd très souvent avec la précédente : car, dans la pratique, quand une tumeur est saisie et que le chirurgien fait tous ses eff
ce à double anneau de Théden, ou de toute autre manière, autour de la tumeur , une forte ligature avec un cordonnet de soie, fi
, le volume et la direction du polype, ouvrir les pinces et saisir la tumeur le plus près possible de son pédicule. Attirer al
sidérable du polype cause une forte résistance, de telle sorte que la tumeur soit comme enclavée, deux manoeuvres peuvent être
t réitérer l'introduction des tenettes pour tâcher d'enlever toute la tumeur par fragiuens. Dans le cas où l'étroitesse de la
es courbes dont les mors ont une longueur proportionnée à celle de la tumeur à saisir. L'instrument tenu de la main droite, le
obtenu il devient possible d'introduire les tenettes et d'extraire la tumeur par fragmens alternativement par Tune et l'autre
l-lope la pratiquait avec un fil de fer dont il portait, autour de la tumeur , l'anse dont les extrémités étaient renfermées da
ge de ces deux ori-fices nous explique comment un polype ou une autre tumeur développés dans ce point peuvent les comprimer et
seule les sépare. Lorsque le sinus maxillaire est distendu par une tumeur ou par un kyste, les parois orbitaire et nasale s
on du sinus maxillaire. Les hydropisies, les abcès, les fongus, les tumeurs fibreuses ou carcinomateuses, les polypes, la néc
de substance. Si cette échancrure ne suf-fisait pas pour extraire la tumeur , Dupuytren conseille d'y join-dre une autre incis
ouri, de pratiquer une ouverture dans le point le plus saillant de la tumeur . Mais le plus souvent il existe une fistule buc
; mais pour en assurer l'effet il convient d'exciser préalablement la tumeur cancroïde, et de ne les appli-quer que sur une su
astique et de chéiloplastique. i° Excision simple. Dans les petites tumeurs où il n'est point nécessaire de tailler un lambea
és. — (a) Procédé d'A. Paré. Passer une anse de fil au tra-vers de la tumeur pour la saisir et la soulever, ou mieux la saisir
ez profonde. — (b) Incisions elliptiques. Si, contre l'ordi-naire, la tumeur existe en dehors du bord labial, de manière que c
vec des résultats variés, ainsi que du vo-lume et du poids énorme des tumeurs qui ont été enlevées. Sui-vant l'observation de R
tendues extir-pations de la parotide n'auraient eu pour objet que des tumeurs lymphatiques. Telles sontles observations rapport
a pu se faire presque sans écoulement de sang. Telles sont aussi ces tumeurs de trois à quatre livres enlevées par Acrel, Burg
ombre sont les kystes séreux et salivaires de MM. Henry et Krimer; la tumeur enlevée par M. Goyrand (t 83g), qui avait le volu
de l'incision cutanée est détermi-née par la forme et le volume de la tumeur . L'incision en T ou l'incision cruciale, qui donn
eant davantage la branche verticale parallèle au plus grand axe de la tumeur . Les lambeaux cutanés étant disséqués et relevés,
imètre et demi de pro-fondeur. Du reste, à mesure que l'on détache la tumeur de haut en bas, le chirurgien a soin de s'assurer
nteur et ménagement, on parvient peu à peu à renverser la masse de la tumeur sur le cou ; et on achève de la détacher soit par
rêter. L'opération terminée, comme dans tous les cas d'extirpation de tumeurs avec dégénérescence il faut revenir sur les appen
en d'attirer et, en quelque sorte, de soulever autant que possible la tumeur en dehors avec une airigne de Museux, de l'isoler
inférieur, cette glande, en cas de dé-générescence, fai t souvent une tumeur commune avec la parotide : mais si elle est seule
lade, cas dans lequel elle se trouve ordi-nairement englobée dans une tumeur lymphatique, rien de plus simple que son extirpat
gle maxillaire, on en abaisse une autre proportionnée au volume de la tumeur ; ren-verser en bas le lambeau formé par la peau e
ière intention. GRENOUILLETTE. La grenouillettc ou ranule est une tumeur située latérale-ment sous la langue, entre cet or
les muscles sus-hyoïdiens. Quoique cette affection soit peu grave, la tumeur néanmoins gêne par son volume ; elle embarrasse o
t régné sur la nature de la gre-nouillette. Déjà Celse en faisait une tumeur enkystée; Aranzi n'y voyait qu'un simple abcès; L
uillette. En fait, rien n'est plus simple que de faire disparaître la tumeur : une incision ou une simple ponction suffisent ;
autres trajets muqueux. Il suffit, après avoir fait la ponction de la tumeur , d'introduire par l'orifice une petite mèche noué
posé, le chirurgien soulève avec des pinces, la membrane qui revêt la tumeur au plus près du repli sous-lingual, et y fait une
l'extirpation n'étant admise que pour les cas où l'on a affaire à une tumeur lymphatique ou autre. On le voit, c'est toujours
ter. Le procédé opératoire est des plus simples : une portion de la tumeur étant soulevée à l'aide d'une pince à disséquer o
e la guérison, quand la maladie n'est qu'un kyste: mais, quand il y a tumeur lymphatique ou transformation de tissus, l'extirp
pation est néces-saire. kystes de la bouche. On appelle du nom de tumeur salivaire, des kystes remplis d'un liquide albumi
is, et dont il est présumable que quelques-uns sont effectivement des tumeurs salivaires, tandis que d'autres ne seraient que d
s. Ainsi, parmi les différens observateurs qui ont vu et opéré de ces tumeurs , M. Gra-fe en a trouvé dans l'épaisseur des lèvre
c un pinceau trempé dans un liquide caustique. Une autre variété de tumeur , bien plus certainement formée par une collection
incurables, la gangrène, certaines indurationsde mauvaise nature, les tumeurs fongueuses, érectiles, squirrheuses et cancéreuse
ion par l'instrument tranchant. i° Incision. Elle convient pour les tumeurs pédiculées et en-kystées. La première espèce de t
ient pour les tumeurs pédiculées et en-kystées. La première espèce de tumeur est enlevée immédiate-ment, par la section du péd
on. Ce procédé convient dans plusieurs cas. (a) Si la maladie est une tumeur enkystée, comprise dans l'épaisseur de la langue,
ction nette, diviser longitudinalement la langue jus-qu'au-delà de la tumeur , autant que possible, d'un seul coup, ou en deux
ncision , il semble qu'il n'en coûterait pas davantage de sépa-rer la tumeur en arrière par le même moyen. Procédé de M. ./.
e chefs étant amenés à l'extérieur, une anse externe circonscrivit la tumeur en arrière et sur le côté, tan-dis qu'une anse an
r le plan moyen par des sutures, et la guérison s'en serait suivie. TUMEURS DE LA VOUTE PALATINE. Des tumeurs de diverse na
la guérison s'en serait suivie. TUMEURS DE LA VOUTE PALATINE. Des tumeurs de diverse nature peuvent se rencontrer à la voût
n trouve de diverses sortes. M. Guyot a enlevé dans cette ré-gion des tumeurs cancéreuses, et M. Velpeau des tumeurs fibreu-ses
enlevé dans cette ré-gion des tumeurs cancéreuses, et M. Velpeau des tumeurs fibreu-ses adhérentes aux os. Il n'est pas rare a
nt ouverte et la langue déprimée avec un abaisseur ou une spatule, la tumeur est saisie avec une airigne ou une pince de Museu
autres, pour faciliter la section, la forme et le volume de la petite tumeur pouvant exiger, suivant le cas, certaines modific
es inflammations chroniques, et se présente alors sous la forme d'une tumeur oblongue de plusieurs centimètres d'étendue 18
rtisan de la ligature, l'appliquait simple-ment avec une sonde, si la tumeur étaitpédiculée; mais, dans le cas oùelle avait un
un fil d'argent ou d'une corde à boyau, dans laquelle il engageait la tumeur par la bouche, se servant ensuite delà canule com
comme d'un serre-nœud. Desault opérait par la bouche en saisissant la tumeur avec une airigne double qui servait de conducteur
pratiquait d'abord une ligature, et se servait du fil pour attirer la tumeur qu'il excisait avec des ciseaux. Dans le siècle d
traction de l'amygdale est une condition importante pour éloigner la tumeur de l'artère carotide. L'airigne, passant ensuite
la bouche, de manière à enlever sans désemparer toute la masse de la tumeur . Dans les cas de simple hypertrophie, il suffit,
plus vrai, c'est que c'est bien plutôt la forme et les rapports de la tumeur qui doit décider de la manière dont il convient d
mécanisme. Le double anneau du tonsillitome s'applique à plat sur la tumeur qui se trouve faire saillie dans le cercle qu'il
du pouce, qui fait faire bascule à son manche sur la tige commune, la tumeur , fortement attirée vers la bouche, vient offrir e
le goitre peut être formé par des altérations de di-verse nature. Des tumeurs érectiles, fongueuses, tuberculeuses, fibreuses,
es d'iode est indiqué. A un état plus avancé si l'on a reconnu que la tumeur doit la plus grande partie de son volume, à une c
puration, on conçoit qu'on puisse en obtenir de bons effets, quand la tumeur est formée par des matières liquides ou diffluent
eur pour éviter de blesser de fortes branches artérielles. Lorsque la tumeur est d'un volume déjà considérable, il pose deux,
jours de son application, à me-sure que la suppuration s'établit, la tumeur se ride et s'affaisse. On a proposé dans ces dern
certain temps, quand une diminution graduelle et très apparente de la tumeur s'est déjà effectuée, on retire la mèche, et on s
mps, deux vaisseaux thyroïdiens, sans obtenir aucune diminution de la tumeur , et M. Langenbeck, obligé pour cause d'hémorrhagi
n, que dans les cas de simple hypertrophie, de fongus hématodes et de tumeurs érectiles, où la gêne causée par la tumeur, met d
de fongus hématodes et de tumeurs érectiles, où la gêne causée par la tumeur , met dans la nécessité d'opérer, le chirurgien es
d'après la formule générali-sée, depuis, par M. Mayor de Lausanne, la tumeur étant traversée à la base, avec un double lien qu
Bruninghausen en i8o5, guérit par la ligature seule un malade dont la tumeur avait le volume d'un œuf. Mais M. Mayor, parle no
r la manière dont il a formulé l'opération de la ligature des grosses tumeurs , mérite que cette opération se rattache à son nom
ans, opéré en 1821 et qui guérit au bout d'un mois, fut délivré d'une tumeur du volume d'une orange. Un second cas qui s'est p
un jeune homme de vingt-et-un ans, est encore plus extraordinaire. La tumeur s'étendait des angles maxillaires et des régions
ses malades ont succombé. Procédé de M. Mayor (Pl. 25, fig. 4)- La tumeur étant mise à découvert par une double incision el
l, il s'agit alors, prenant pour guide les divisions lobulaires de la tumeur que. l'on a sous les yeux, de la fractionner par
itre jus-qu'auprès de la ligature, pour ne pas laisser la masse de la tumeur se putréfier dans la plaie. Ajoutons en dernier m
e séton, c'est-à-dire, toutes les fois que la maladie n'est point une tumeur sanguine ou cancéreuse. Dans le fait de guérison
guine ou cancéreuse. Dans le fait de guérison rapporté par Sellié, la tumeur était formée par des concrétions calcaires. Les c
ort. Formulant le procédé d'incisions multiples, M. Velpeau incise la tumeur sur quatre ou six points, suivant son volume, dan
suppose que le chirurgien a une parfaite certitude de la nature de la tumeur , quelquefois variable dans les divers points de s
ifficile à arrêter, ce chirurgien s'aperçut qu'il était tombé sur une tumeur très vasculaire, reposant sur la trachée artère,
le d'organes des plus importans et des plus déliés qui environnent la tumeur . En effet, ici comme dans tous les cas graves d'e
ependant la plus fréquente, après les opérations de ce genre, sur des tumeurs cancéreuses ou vasculaircs. Procédé opératoire.
icale qui commence un peu au dessus, et finit un peu au dessous de la tumeur , couper au milieu crucialement cette première inc
et renverser des lambeaux s'ils sont sains pour mettre à découvert la tumeur . Dans le cas où les tégumens et les muscles super
elliptiques, que l'on coupe en travers par la section horizontale. La tumeur mise à nu, la détacher peu-à-peu à son contour, c
r l'un et l'autre bord. De chaque côté, mais plutôt en arrière, si la tumeur est d'un grand volume, se trouvent les gros vaiss
et lui donner le temps de respirer, mais il doit toujours soidever la tumeur , pour éviter toute compression sur la trachée, la
ture. Ce procédé mixte, convient particulièrement pour l'ablation des tumeurs cancéreu-ses et vasculaires. Nous avons vu que M.
t actuel une ablation coin plète, et que, détachant de prime abord la tumeur jusqu'à sa face postérieure, c'est alors qu'il pl
es pour obli-térer les vaisseaux, et pouvoir immédiatement séparer la tumeur , sans avoir à redouter l'hémorrhagie. Appréciat
hie, la ligature des artères thyroïdiennes dans l'hypertrophie et les tumeurs sanguines, la ligature dans les mêmes cas et enfi
pour des excisions de diverses productions dans les voies aériennes; tumeurs fibreuses {Archiv. de méd.), enkystées (Albert),
s l'oesophage, d'un fragment d'os rugueux, du volume d'une noix. 6° Tumeurs au voisinage des voies aériennes. L'hypertrophie
sinage des voies aériennes. L'hypertrophie de la glande thyroïde, une tumeur lymphatique, un anévrysme de la carotide, un poly
lymphatique, un anévrysme de la carotide, un polype, et en un mot une tumeur quelconque peut comprimer le larynx ou la trachée
té les cas où l'œso-phage lui-même est malade ou comprimé par quelque tumeur voisine, les corps étrangers ne s'arrêtent dans u
ever le cancer assez à temps, lorsqu'il est encore local et forme une tumeur mobile et bien circonscrite. Les chances seront b
spontanément après l'opération. Le développe-ment considérable de la tumeur , sa fixité , la largeur de sa base, l'ulcération
ux où cette diathèse préexiste, surtout si le cancer, succédant à une tumeur de même nature préalablement opérée sur un autre
. Ainsi donc, en proposition générale, dès qu'il existe au sein une tumeur squirrheuse qui a résisté à tous les traitemens r
e; Acrel et Chopart, de l'incision en T, qui peut convenir lorsque la tumeur est oblongue et que les tégumens ne sont point ma
chi-rurgien, de la main gauche, soulève le sein, tend la peau sous la tumeur , et commence, avec le bistouri convexe, une premi
it superflue pour la réunion après l'opération. Saisissant alors la tumeur de la main gauche, et au besoin, si elle est d'un
ins dont, par prudence, il faut tou-jours enlever une couche. Si la tumeur est d'un grand volume, quelques chirurgiens recom
ement d'une incision à l'autre, de manière à enlever graduellement la tumeur , du contour vers la ligne du grand axe postérieur
libre souvent considérable des moindres rameaux qui se rendaient à la tumeur . C'était pour obvier à cet inconvénient, que dans
utre aide, concourant au besoin d'une main à soulever et gouverner la tumeur , de l'autre , absterge soigneusement avec une épo
ion et sans entraver la marche régulière de l'opération. Dès que la tumeur est enlevée, on lie les artères coupées, puis on
avec la lancette, des empyèmes purulens cpii formaient au-dehors une tumeur fluctuante et rentrant par la pression dans la ca
ression dans la cavité delà plèvre. Dans le cas de M. Cruveilbier, la tumeur se fit jour dans le cinquième espace intercostal.
ovaires, comme annexes des organes génitaux, les corps étrangers, les tumeurs abdominales; 2° les plaies intestinales; 3° les h
s de la maladie. Lorsque l'ascite est simple et qu'il n'existe pas de tumeur volumineuse dans le ventre, on peut choisir, sur
me, à l'hydrocèle, et en général à toutes les collections séreuses. TUMEURS HUMORALES DU FOIE. Le foie est assez fréquemmen
rs vague et obscur , nous aurions pu ajouter qu'il en est de même des tumeurs humorales du foie quand il s'agit d'en pré-ciser
er de ces vérités. Quels sont en effet les signes diagnostiques d'une tumeur humorale du foie? La saillie de l'hypochonclre, u
n particulier M. Récamier, aient diagnostiqué nettement une espèce de tumeur , et cpie la ponction ait justifié leur attente; m
3). Ce médecin ouvre le foyer au moyen de la potasse caustique. Si la tumeur présente à l'extérieur un sommet et qu'il semble
e , suivant le conseil donné autrefois par Jean-Louis Petit, pour les tumeurs diverses qui ont leur siège dans cette cavité. Ma
Enfin, c'est parles mêmes moyens qu'il convient d'ouvrir toutes les tumeurs enkystées de la cavité abdominale; seulement pour
it besoin d'avoir re-cours aux caustiques, l'étendue restreinte de la tumeur tenant lieu des adhérences que, dans les autres c
refois hargne, rupture, descente, et on nomme aujourd'hui hernie, une tumeur formée par un organe sorti, en partie ou en total
efois d'employer une sorte de brayer qui comprimait sur le lieu de la tumeur . Pour la hernie scrotale des adultes, on emportai
es adultes, on emportait la maladie, retranchant le testicule avec la tumeur , lorsque cet organe était adhérent ou malade. Il
int toujours formée par la rup-ture du péritoine, et il distingue des tumeurs avec déchirure et d'autres avec extension de cett
ares aux her-nieux. Ces empiriques cautérisent, lient ou excisent les tumeurs herniaires, et toujours emportent le testicule ,
s doute à ce médicament et à d'autres, de faire disparaître certaines tumeurs que la chirurgie ne savait pas alors distinguer d
nt ce genre d'af-fection . La hernie de l'abdomen s'annonce par une tumeur de volume variable, molle, ordinairement indolent
es qui ne peuvent pas ainsi rentrer dans l'abdomen. Dans l'origine la tumeur est peu volumineuse, mais à la longue, si elle n'
. Il y aurait à parler ici de la manière dont se comportent dans la tumeur les organes déplacés, mais ce point de l'anatomie
le dé-cubitus horizontal et la pression méthodiquement exercée sur la tumeur ne parviennent point à la faire rentrer. Cet état
de ces trois conditions : i° Prévenir les accidens, en maintenant la tumeur réduite dans le ventre ; a° combattre les acciden
e inguinale externe le cordon est placé en dedans et en arrière de la tumeur , mais il peut aussi se rencontrer en avant d'elle
ment situé en arrière et en dehors , peut aussi être contourné par la tumeur et se trouver en dedans comme cela a lieu ordinai
e reste pas toujours plein et entier. Comprimé et aplati, tant par la tumeur elle-même que par les bandages, il s'épar-pille a
estant accolé sur le muscle pectine, et le superfi-ciel recouvrant la tumeur . Ce feuillet superficiel n'offre point une lame f
nverser en dehors le long du ligament de Poupart. Cette torsion de la tumeur sur son pédi-cule et sa déviation, en dehors, est
i, adoptant une meil-leure définition, on consent à appeler ainsi une tumeur sortie à travers l'anneau, le doute n'est plus pe
. On peut ajouter même que la cicatrice peut se trouver étalée sur la tumeur , dans certains cas exceptionnels, lorsque, en par
'enfant. Dans la hernie congéniale la peau manque sur le sommet de la tumeur , où elle est remplacée par la mem-brane externe d
duits à de simples tractus fi-breux, n'existent que vers la base delà tumeur ; leurs extrémités se confondent avec le sac, sur
: le taxis, la position donnée au malade, la compression lente sur la tumeur , la réfri-gération, et plusieurs autres moyens au
n une compression méthodique exercée par la main du chirurgien sur la tumeur . Avant d'y être soumis, le malade doit être placé
la hernie, afin que le poids des viscères entraîne plus facilement la tumeur vers le ventre. Les deux cuisses seront fléchies
e pour s'y maintenir un certain temps, applique les deux mains sur la tumeur , et se conduit de la manière suivante : d'une mai
conduit de la manière suivante : d'une main il embrasse la base de la tumeur , et lui imprime quelques légers mouvemens de tota
cée sur la base, puis rappelant à son esprit le trajet qu'a suivie la tumeur pour sortir du ventre, il allonge un peu celle-ci
pondent à la peau. Si la manœuvre est couronnée de succès, on sent la tumeur diminuer de volume et se vider dans le ventre en
e et se vider dans le ventre en partie ou en totalité. Quelquefois la tumeur échappe tout-à-coup et fuit d'entre les doigts av
à la région qui est le siège de la hernie, ainsi qu'au volume de. la tumeur . Pour une hernie crurale peu volumineuse, il pous
ement sous le ligament de Fallope, il abaissera d'abord la base de la tumeur en la poussant en dedans, et ne pressera en haut
ans, et ne pressera en haut et en arrière qu'a-près avoir redressé la tumeur sur son pédicule. Il faut encore ajouter que l'or
ins à la racine et confie à un aide le soin de déplacer le fond de la tumeur , d'y disséminer les gaz, de l'allonger, et enfin
lusieurs malades sont eux-mêmes dans l'habitude de faire rentrer leur tumeur ; mais si la hernie est compliquée d'étrangle-men
it à des secousses successives. 3° Compression lente exercée sur la tumeur . On a conseillé de maintenir pendant quelque temp
r la tumeur. On a conseillé de maintenir pendant quelque temps sur la tumeur un corps pe-sant, tel qu'un morceau de plomb ou u
omprend par conséquent qu'elle puisse contribuer à la réduction de la tumeur . A. Cooper qui, d'après sa propre expérience , ac
tre heures les symptômes conservent encore toute leur violence, si la tumeur ne cède point en partie sous l'effort d'une nouve
antages de la glace, outre qu'elle agit un peu par compression sur la tumeur , mais elle expose le malade aux chances d'une pér
générale employée dans le même but, l'application de sangsues sur la tumeur pour y soustraire une certaine quantité de sang,
lavemens de tabac et autres; enfin, divers topi-ques appliqués sur la tumeur herniaire. Plusieurs de ces moyens ont une influe
ées générales ou locales , des cataplasmes émolliens maintenus sur la tumeur , et même des applications de glace. L'infusion ou
pes que ceux des autres régions , mais on comprend que le siège de la tumeur et son volume, parfois considérable, ont dù néces
te en gouttière pour contenir, sans les confondre, les viscères de la tumeur . Dans ces cas aussi il est avantageux de lixer to
int d'appui sur la base du thorax, recevait dans un sac le fond de la tumeur herniaire. TRAITEMENT AYANT POUR BUT DE REMÉDIE
et des relâchans administrés d'une manière générale et locale sur la tumeur . Il n'y a donc de réellement important que la her
ge de la fumée de tabac, à l'application d'une vessie de glace sur la tumeur ; mais déjà il doit tenir compte avec soin du temp
ité des symptômes et de leur marche, de la tension qui existe dans la tumeur , et de la douleur qu'y fait, naître le toucher. S
raire, si les signes de l'étranglement ont marché avec lenteur, si la tumeur est indolente au toucher, si le malade est quelqu
une ouverture à la paroi abdominale et au péritoine, au-dessus de la tumeur , et à tirer en dedans, par cette ouverture, l'int
ègumens. L'incision doit être dirigée suivant le grand diamètre de la tumeur , remonter à un centimètre et demi au-dessus de l'
imètre et demi au-dessus de l'anneau, et descendre jusqu'au bas de la tumeur . Tantôt on peut la faire à la manière ordinaire a
la sonde cannelée. Une seule incision ne suffisant pas pour mettre la tumeur à découvert, on en pratiquera une seconde, de man
en haut, puis en bas, le plus loin possible, de manière à dégager la tumeur , et on recommence ainsi jusqu'à ce que l'on recon
atement en arrière, et cependant il se peut que ce soit cette seconde tumeur qui cause les accidens de l'étranglement. On voit
nale depuis son enfance. Il réduisit, après débridement, une première tumeur qui contenait une anse de l'iléon, une partie du
e d'épiploon. Après cette réduction, il vit avec étonnement une autre tumeur aussi grosse que la pre-mière et placée derrière
sines. Ensuite on opérera comme dans une hernie ordinaire. Mais si la tumeur ne reparaît point à l'extérieur, le chirurgien, a
d'un étranglement situé à l'orifice supérieur du canal inguinal. Une tumeur existe derrière l'anneau : on incise les tégumens
est de précepte rigoureux cle ne réduire les parties qui sont dans la tumeur que si elles sont en bon état; or, si on n'ouvre
uefois on est obligé, à cause du volume et de la forme arrondie de la tumeur , de pratiquer une incision en T ou en -j-. Il y a
-on être sûr, à l'avance, qu'il n'y a pas d'intestin gangrené dans la tumeur . Hernie obturatrice ou sous-pubienne. Cette her
pectine, petit et moyen adducteurs, qui tous les trois re-couvrent la tumeur ; et, une fois le sac mis à nu, il faudrait faire
. Un accident ordinaire est. l'invagination de l'intestin qui forme tumeur au dehors (Pl. 33, fig. i). Les observations d'
montrent les dangers qui résultent de l'étranglement de ces sortes de tumeurs . Nous avons décrit la manœuvre nécessaire pour
eu d'abord à s'occuper de la cure de 5 à 6 orifices et à enlever une tumeur du volume du poing, qui s'était développée au-dev
d'œil, c'est lorsqu'elles sont situées à la racine ou au collet d'une tumeur hémorrhoï-dale qui les recouvre. Le siège de l'or
ion existe au sommet d'un petit tubercule fongueux : quand il y a des tumeurs hémorrhoïdales, c'est souvent à leur collet qu'el
le tamponnement et le cautère actuel dont il sera parlé à propos des tumeurs hémorrhoïdales. Pansement. De tout temps la maj
dans le rectum. C'est l'un des plus à redouter après les excisions de tumeurs sanguines, fongus, tumeurs érectiles, hé-morrhoïd
des plus à redouter après les excisions de tumeurs sanguines, fongus, tumeurs érectiles, hé-morrhoïdes, etc. Deux méthodes prin
rocédé de M. Felpeau. Ce chirurgien , dans tous les cas d'excision de tumeurs sanguines, a eu l'idée, pour prévenir l'hémorrhag
des plus simples et sera décrite plus loin à pro pos des excisions de tumeurs hémorrhoïdales. HÉMORRHOIDES. Les hémorrhoïde
urface de la membrane muqueuse des végétations qui se transforment en tumeurs et bourrelets hémor-rhoïdaux. La structure de ces
sforment en tumeurs et bourrelets hémor-rhoïdaux. La structure de ces tumeurs n'est pas encore bien con-nue. La plupart des pat
e. La plupart des pathologistes les considèrent comme des es-pèces de tumeurs érectiles. C'est autour de cette idée que tournen
ie de plexus veineux admis par plusieurs autres , etc. A l'œil nu les tumeurs hémorrhoïdales semblent formées par un tissu fibr
eur structure. Au reste , d'abord limitées au pourtour de l'anus, les tumeurs hémorrhoïdales remontent peu-à-peu dans le rectum
, de là leur distinction en externes et internes. Par elles-mêmes ces tumeurs et la membrane muqueuse à leur base sont la sourc
s inquiétudes. Mais en outre , à me-sure qu'elles se développent, ces tumeurs augmentent la constipa-tion habituelle , et font
mble des moyens antipblogistiques. Sous l'influence de ce régime, les tumeurs se vident, se flétrissent et les malades retrou-v
douloureuses et ont si souvent des suites funestes, même lorsque les tumeurs sont en petit nombre et peu volumineuses, que c'e
funestes, et M. Velpeau en cite un où l'excision d'une sim-ple petite tumeur pédiculée a suffi pour causer un érysipèle qui lu
r le seul effet de la striction, soit que l'on attende la chute de la tumeur ou qu'on en pratique l'excision sur le nœud après
ais qui, en général, ne font usage de la ligature que sur les petites tumeurs à pédicule étroit et chez les sujets timides qui
es. Ligature. Rien de plus simple que la manœuvre opératoire. Si la tumeur est pédiculée on la lie au plus près de la membra
ns l'anse, on resserre avec une nouvelle ligature. Quand la base delà tumeur est large, on la traverse à l'aide d'une aiguille
iple est encore bien plus à craindre. En prin-cipe, général, pour les tumeurs liémorrhoïdales à large base comme pour les bourr
oit préférer l'excision ou s'abstenir d'opérer. Incisions. Pour les tumeurs molles, fluctuantes et qui gênent beaucoup par le
able, on lui ordonne de faire des efforts d'expulsion pour rendre les tumeurs saillantes et faire sortir celles qui bordent l'a
ie pendant l'excision de l'autre moitié. Procédéde M. Dupuytren. i° Tumeurs externes. 11 saisissaitles tumeurs liémorrhoïdale
itié. Procédéde M. Dupuytren. i° Tumeurs externes. 11 saisissaitles tumeurs liémorrhoïdales avec de fortes pinces plates, à l
t les excisait avec de longs ciseaux , courbes sur le plat. Quand les tumeurs offraient un grand volume et une large base il
t ce lait est important à signaler, qu'après l'excision partielle des tumeurs hémorrhoïdales, les lambeaux qui en sont conservé
s ont repris le calibre et la souplesse propres à l'état normal. i° Tumeurs internes. C'est surtout dans la hardiesse de l'ex
Tumeurs internes. C'est surtout dans la hardiesse de l'exci-sion des tumeurs internes et dans l'emploi du cautère actuel pour
, que se distingüele procédé de Du-puytren. Pour pouvoir agir sur les tumeurs , Dupuytren faisait prendre au malade , pendant un
réalité par ce moyen, on ne peut obtenir cpie la hernie au dehors des tumeurs qui ne s'élèvent que de trois ou quatre centimètr
cas d'hémorrhagie. Le mieux, en pareil cas, est d'exciser d'abord les tumeurs accessi-bles et de remettre à un autre temps à po
comme il sera dit plus loin. Procédé de Boyer (Pl. 44» fig- 6)- Ees tumeurs étant ame-nées au dehors, ou au moins accessibles
dont il donne successivement les chefs à garder à un aide. Quand les tumeurs sont multiples sur une large base commune, on en
l. Le même aide s'empare de tous les chefs et maintient au dehors les tumeurs qui ne peuvent plus rentrer dans les con-traction
l'excision des végétations hémorrhoïdales , attirant à chaque fois la tumeur et la détachant de la surface par la traction exe
édiatement le cautère avant de procéder à l'enlèvement «les dernières tumeurs . Par prudence, chez les sujets habitués à un flux
orrhoïdal périodique , Boyer s'abstenait d'enlever les deux dernières tumeurs . Enfin pour prévenir le rétrécissement de l'anus,
anal, pour en empêcher la constriction, et par suite la récidive des tumeurs hémorrhoïdales sous l'influence des efforts d'exp
ut dans le rectum, pour exciser et cautériser au besoin les di-verses tumeurs hémorrhoïdales, sans avoir recours à ces efforts
émorrhagie. Enfin, dans la plupart des cas, il permet d'atteindre les tumeurs situées en haut et cpii, clans les anciens procéd
ette modification qu'il avait apportée dans la méthode d'excision des tumeurs hémorrhoïdales, déjà il avait opéré un certain no
opéré un certain nombre de sujets, six entre autres chez lesquels les tumeurs remontaient aune certaine hauteur dans le rectum;
au pour amener la réunion par première intention après l'excision des tumeurs et des bourrelets hémorrhoïdaux. L'auteur fixe au
ts hémorrhoïdaux. L'auteur fixe au dehors avec une érigne chacune des tumeurs à enlever, puis il en traverse profondément la ba
er. Mais voici la différence : Boyer ne passait un fil au travers des tumeurs que pour les fixer pen-dant l'excision, et coupai
u con-traire, a soin de placer l'anse au plus près de la racine de la tumeur et fait l'excision au-devant, puis, rassemblant l
ment ; l'excision de la peau à l'en tour de l'anus , l'excision de la tumeur et la cautérisation. Réduction. La première con
bassin soit soulevé avec des oreillers. Ensuite on lave et nettoie la tumeur , d'abord avec de l'eau tiède, puis avec un mélang
prises, on procède à la réduction. Saisissant avec-la main gauche la tumeur à sa base et l'environnant dans toute sa hauteur
minue le volume. Si malgré la succession méthodique des manœuvres, la tumeur paraît irréductible, soit en totalité , soit dans
rnière ressource, il faut que le cas l'exige impérieusement et que la tumeur menace aussi de s'étrangler. Si, quoiqu'on n'ait
uvres après quelques heures ou le lendemain. Mais au contraire, si la tumeur se gonfle et paraît disposée à s'enflammer, c'est
e à se suffire à elle-même en opérant la guérison après la chute delà tumeur par gangrène, comme il y en a des exemples rappor
rence de l'anus le sphincter, pour élargir l'ouverture. Saisissant la tumeur de la main gauche, on la renverse avec ménagement
troduire la lame de l'instrument, le mieux est, tout en gouvernant la tumeur avec le pouce et les trois derniers doigts de la
du malade. Appareil contentif. Dès cpie la réduction entière de la tumeur a été obtenue, il s'agit de la contenir. La plupa
it écarter largement les fesses par un aide pour mettre en saillie la tumeur . Le premier soin est d'en praticpier la réduction
stitue aux pinces à disséquer ordinaires , une pince à griffes, et la tumeur étant sortie, il excise quelques plis de la mu-qu
avec les premières selles, mais on doit peu s'en étonner : bientôt la tumeur rentre d'elle-même et cesse de reparaître aprèsle
alade étant placé comme pour l'excision des plis radiés de l'anus, la tumeur étant réduite et les fesses fortement écartées, i
Procédé ordinaire. Le malade étant placé comme précédem-ment et la tumeur étant réduite , on lui recommande de pousser afin
un cautère en roseau rougi à blanc, dans l'ouverture cen-trale de la tumeur non réduite , à la profondeur d'un centimètre env
tère à plaque encore rougi à blanc , et le, promène rapidement sur la tumeur ; enfin , avec un petit cautère en olive, il touch
igé de choisir entre la cautérisation et l'excision. Excision de la tumeur . Cette ressource dernière qu'on était réduit à em
cord. (PL 45, fig-3). Apresavoirtraverse.de chaque côté la base de la tumeur avec une anse de fil qu'il fait tirer en dehors p
is cette terminaison heureuse. Chez le sujet observé par M. Gigou, la tumeur avait l'aspect d'une cerise, lorsqu'elle était so
ette terminaison favorable, et chercher à débarrasser le malade de sa tumeur , par des moyens chirurgicaux. Ces moyens consis-t
se pour évi-ter qu'il ne repullule après sa chute. Enfin on excise la tumeur au-dessous de la ligature pour empêcher qu'elle n
pour la liga-ture des polypes de l'utérus. Au bout de huit jours, la tumeur qui avait le volume d'un oeuf de poule, se détach
and nombre de végétations existant dans le rectum aux envi-rons de la tumeur , on ne pourrait tout comprendre dans une ligature
ouvent. Il peut se présenter sous diverses formes : tantôt, c'est une tumeur à large base, couverte de vé-gétations dures et l
de chirurgie la repoussa. Desault ne l'admettait que pour les cas de tumeurs de mauvaise nature, bien circon-scrites et mobile
UI SE PRATIQUENT SUR LE SCROTUM. HYDROCÈLE. Le nom d'hydrocèle ou tumeur aqueuse (deMwp, eau, et x-nlr,, tumeur) a été con
OCÈLE. Le nom d'hydrocèle ou tumeur aqueuse (deMwp, eau, et x-nlr,, tumeur ) a été consacré aux collections séreuses des enve
placés soit à la partie supérieure, soit à la partie inférieure de la tumeur , ou bien avec un fer incandescent. Le cautère en
long-temps que la cautérisation.G. cleSalicet, qui pé-nétrait dans la tumeur avec une lancette, recommandait d'y mettre une te
mme pour le séton ordinaire, qu'il passait à travers les parois de la tumeur . Van Onsenoort employait une aiguille per-cée à s
jours , per-fectionné ce procédé; il enfonce un trois-quarts dans la tumeur dont il traverse les parois opposées , retire la
le qu'il noue, seulement pour que les extrémités n'abandonnent pas la tumeur . Toutes ces manières de faire ont été presque e
ies sur l'abdomen , le chi-rurgien, la main gauche placée derrière la tumeur qu'il tient embrassée solidement, la main droite
et tournait, avec les derniers doigts placés derrière le scrotum, la tumeur d'arrière en avant avec une certaine force, pour
à faire, dans ce cas, que des scarifications ou des in-cisions sur la tumeur , que l'on place ensuite sur un plan déclive. Hy
iodée en ayant toutefois la pré-caution de comprimer le sommet de la tumeur , pour éviter que le liquide ne pénètre dans le pé
ière colorante du sang se résorbe , et le liquide qui reste dans la tumeur est d'une couleur citrine ; ce qui a très souvent
oici les caractères différentiels indiqués par M. Velpeau. Lorsqu'une tumeur du scrotum , ayant la même forme, le même volume
qu'on trouvera le testicule fixé sur un point de la périphérie de la tumeur , ordinairement en arrière comme dans l'hydrocèle.
e convenablement, on en confon-dait les différentes variétés avec des tumeurs de mauvaise nature , le sarcocèle, la dégénéresce
n. Procédé de M. Velpeau. Toutes les fois que le sang contenu dans la tumeur est encore fluide et peut s'échapper par la canul
oux, Caffort , Clot , Gaètani , Chervin , Mott, Vel-peau , etc. Ces tumeurs parviennent en général à un volume considérable.
3 centimè-tres et celle de M. Clot seulement 71. D'après Allard ces tumeurs sont formées par l'accumula-tion lente et success
e leur tissu cellulaire par les humeurs lymphatiques et au poids delà tumeur qui tire dessus. Les testicules sont également sa
et ne deviennent quelquefois atrophiés que par suite du volume de la tumeur qui les com-prime ; on n'a point à redouter leur
ue M. Soutys , chirurgien de marine , est parvenu à guérir une de ces tumeurs , déjà d'un certain volume, par le moyen du mas-sa
volume, par le moyen du mas-sage long-temps continué. Mais lorsque la tumeur a acquis un volume considérable, il paraît bien p
à tenir. Procédé de Delpech. Un nommé Autier portant au scrotum une tumeur du genre de celle dont nous nous occupons, du poi
e procédé que suivit Larrey en 1816, dans un cas analogue, mais où la tumeur était beaucoup moins volumineuse. Au reste, que
anière dont on agisse , l'essentiel est qu'il reste à la racine de la tumeur , ou dans ses environs, as-sez de tégumens sains p
a hernie étranglée, le chirurgien , placé à sa droite, em-s brasse la tumeur avec la main gauche, par sa partie antérieure , l
e, en ce sens, qu'elle permet de tendre fortement les tégumens sur la tumeur , et d'agir avec aisance en voyant ce que l'on fai
ment du testicule (fig. 3). L'incision étant faite, il faut isoler la tumeur et le cordon. Lorsque la couche sous-cutanée est
ément altéré, participe à l'induration de la coque vaginale, et si la tumeur est très volumineuse, ce pro-cédé ne peut être em
arties. Pour y parvenir plus aisément , tandis qu'un aide tire sur la tumeur avec les doigts ou avec des érignes, il faut sais
s de la plaie, qu'on donne à tenir à un aide, pour saisir soi-même la tumeur qu'on peut continuer à iso-ler avec plus de facil
on près de l'anneau entre le pouce et l'index; on soulève soi-même la tumeur , on en opère la séparation avec des ciseaux, ou b
sseaux qu'on lie isolément. Quelques chirurgieria préfèrent donner la tumeur à tenir à l'aide, et saisir eux-mêmes le cordon p
rocédé de la ligature isolée des vaisseaux, après la séparation de la tumeur , d'exposer à laisser échapper quelque artériole,
u canal inguinal par simple déplacement; or, après l'enlèvement de la tumeur , ils tendent à reprendre leur place par leur élas
ait très facilement. Mais pour qu'il soit applicable , il faut que la tumeur ne soit pas trop volumineuse, ni la peau altérée
que ; alors on fait une incision suivant le plus grand diamètre de la tumeur et presque parallèle à l'arcade crurale. On divis
r, parce que la maladie dont il s'agit est fréquemment accompagnée de tumeurs de même nature dans les parties internes. L'opéra
attendu cpi'il ne rend pas d'urine; puis à ses cris, et surtout à une tumeur transparente qui devient plus grosse et plus tend
ait des efforts pour uriner. On remédie à cet état en ouvrant cette tumeur avec un bis-touri , une lancette ou des ciseaux,
lité, il n'en est rien. Il est donc bien important de sa-voir que les tumeurs du prépuce repoussent peu à peu-le-gland et les c
la guérison du mal en conservant l'organe. Excision partielle d'une tumeur adhérente au pénis. Procédé de M. Lisfranc. Lor
Les mêmes règles sont applicables aux cas où l'on aurait affaire aune tumeur hématique, à une tumeur lipomateuse, etc. Avant
plicables aux cas où l'on aurait affaire aune tumeur hématique, à une tumeur lipomateuse, etc. Avant de procéder à l'amputat
t imprudemment, il faut couper la verge immédiatement au-dessus de la tumeur . Extirpation de la verge. On peut la pratiquer
dans les cas suivans : t° Quand les rétentions d'urine ont lieu par tumeur ou mala-die de la prostate, par aplatissement ou
queLafaye ayant voulu sonder Astruc, trou-va au col de la vessie une tumeur qui l'empêcha de parvenir dans cet organe; qu'il
et l'incontinence d'urine cessa (Archives gènèr., 2e série, t. vm). TUMEURS DE LA PROSTATE. La prostate présente quelquefoi
vm). TUMEURS DE LA PROSTATE. La prostate présente quelquefois des tumeurs plus ou moins volumineuses qui proéminent à la su
laisser passer un des bouts de l'anse de fil destinée à étrangler la tumeur : et enfin ces deux bouts réunis sont introduits
rine de sor-tir, et de pouvoir être laissé en place jusqu'à ce que la tumeur soit détachée. Lorsqu'on veut pratiquer la liga
s arrivé dans la vessie , on l'ouvre, et l'on cherche à comprendre la tumeur entre l'anse de fil et les ressorts de l'extrémit
e; chaque jour on augmente graduellement la constriction ; bientôt la tumeur , privée de vie, tombe en putri-lage, et se détach
s le rectum, que, dans l'ischurie, le bas-fond de la vessie forme une tumeur bien sensible qui comprime cet in-testin jusqu'au
elà de la prostate, et jusqu'à ce qu'il touche bien dis-tinctement la tumeur formée par le bas-fond de la vessie. Sai-sissant
s, être rendue diffi-cile et presque inexécutable, par la présence de tumeurs dans les environs de l'anus, par la dégénérescenc
ue dans les cas où l'on sent, avec le doigt porté dans le rectum, une tumeur formée par le bas-fond de la vessie : autrement o
où la rétention est causée par une péritonite, des contusions et des tumeurs delà région hypogastrique, elle convient dans tou
t facilement au volume et au timbre du son l'espèce de corps, calcul, tumeur , colonne, charnue, etc., sur lequel cho-que la so
la sonde contre un corps dur, dans un point, avec co-existence d'une tumeur au-delà dans les parois de la vessie, (b) Le calc
Damourette), du sacrum (M. Haber) ; les kystes osseux (Boyer) ou les tumeurs osseuses, fibrineuses, squirrheuses (Pl. 53, fig.
t de diverses maladies, les fistules urinaires, l'hypertrophie, les tumeurs fibreuses, os-seuses, etc., de la vessie et de la
sie sont des contre-indications formelles à la lithotritie. Quant aux tumeurs cellulo-vasculaires, appelées fungus (Pl. 53, fig
onseillé, dans les cas où l'on peut atteindre la pierre, de saisir la tumeur qu'elle forme avec une tenette, et de la presser
s le plus manifeste est l'élévation de l'hypo-gastre où l'on sent une tumeur qui s'élève derrière les pubis, en devenant de pl
nale. La malade, âgée de soixante-huit ans, présentait à la vulve une tumeur formée par la cloison vésico-vaginale, qui repous
en attachant les cordons aux sous-cuisses d'un bandage en T double. TUMEURS DU PÉNIL ET DES GRANDES LÈVRES. i° Tumeursphleg
ût pas possible, puis on panserait avec un peu de charpie sèche. 2° Tumeurs sanguines. Ces tumeurs sont désignées sous le nom
n panserait avec un peu de charpie sèche. 2° Tumeurs sanguines. Ces tumeurs sont désignées sous le nom de trombus de la vulve
n : en résumé, c'est une affection assez généralement connue. Cette tumeur qui ordinairement n'occupe qu'un seule lèvre, peu
ite d'une attaque d'épilepsie et sans aucune contusion. Lorsque ces tumeurs sont petites on peut en abandonner la guérison à
ces moyens seraient insuffisans, et il vaut mieux ouvrir et vider la tumeur , soit à l'aide d'une simple ponc-tion, soit par u
à une longue incision. L'incision est sur-tout indispensable dans les tumeurs sanguines survenues pendant les efforts de l'acco
chée, du moins beaucoup retardée, puis déterminerait la rupture de la tumeur comme cela est arrivé dans plusieurs cas; ou bien
travers une déchirure du périnée. Dans tous les cas, le volume de la tumeur en serait considérablement accru , par suite du d
e pratique avec un plein succès. Coutouly condamnait l'incision de la tumeur dans la crainte où il était qu'elle ne fût suivie
is l'incision faite et le sang évacué, il suffit d'appliquer sur la tumeur des cataplasmes imbibés d'un liquide résolutif, o
s grandes lèvres et le mont de Vénus peuvent, encore être le siège de tumeurs diverses, fibreuses, cancéreuses, vari-queuses, è
côtés ; au bout de dix jours, les ligatures étaient tombées avec les tumeurs . Cette opération fut accompagnée d'une vio-lente
nnaissances médico-chi-rurgicales, t. ni, p. 276) l'observation d'une tumeur considérable développée dans cet organe qu'il fut
de. L'opération serait fort simple ¦ le chirurgien s'emparerait de la tumeur avec la main gauche, pendant qu'un aide saisirait
e sujet ne voulait pas s'y soumettre, on se déciderait à étreindre la tumeur dans un fil. Cautérisation. Elle ne conviendrai
ue chirurgicale) un fait observé par M. Tal-rich, fait dans lequel la tumeur , qui avait 38 centimètres de long et 4g centimètr
Dans l'observation de M. Clot {Journal hebdomadaire, t. 11, 1835), la tumeur , grosse comme la tète d'un enfant nouveau-né, fut
lio ; toutes quatre étaient pédiculées et pyri -formes. Lorsque les tumeurs éléphantiasiques sont pédieulées, rien n'est plus
la naissance, l'urine s'accumule dans la vessie, et forme bientôt une tumeur saillante au-dessus de l'hypogastre; l'enfant cri
quelquefois un aspect violacé, et donne au toucher la sensation d'une tumeur mollasse. Comme cet état méconnu, malgré la facil
pa-rois abdominales, on parvient à reconnaître les engorgemens et les tumeurs contenues dans les cavités qu'on explore. Pour bi
doigt situé dans le va-gin . On prendra garde de ne pas confondre les tumeurs formées par des matières stercorales, accumulées
grosses le toucher abdominal présente peu d'avantage, surtout si les tumeurs n'ont pas encore acquis un grand développement. O
bassin , parla pression qui fait distinguer les différentes sortes de tumeurs produites par des matières solides, des liquides
fin de ne pas confondre les bosselures formées par les fèces avec des tumeurs morbides. Premier procédé. La femme ayant le do
o-vaginale, dans laquelle il se développe quelque-fois des abcès, des tumeurs , des perforations. On peut même tou-cher en même
nalé depuis long-temps par M. Récamier pour le toucher abdominal. Les tumeurs n'étant perçues qu'au travers d'enveloppes, sont
actuellement contre ce genre d'affection que la méthode palliative. TUMEURS DU VAGIN. Le vagin peut devenir le siège de tum
e palliative. TUMEURS DU VAGIN. Le vagin peut devenir le siège de tumeurs de diverse nature. Ce sont des abcès , des tumeur
evenir le siège de tumeurs de diverse nature. Ce sont des abcès , des tumeurs sanguines, des kystes, des can-cers , etc. Le pro
pour les enlever varie suivant la nature, le volume et le siège de la tumeur . Pelletan a guéri un kyste par une simple incisio
ple incision. M. Voilot (Gaz. méd. de 1835) a extirpé avec succès une tumeur très volumineuse qui s'était développée dans la p
u'au devant de la vulve. Le même recueil contient l'observation d'une tumeur concrète développée dans la cloison vésico-vagi-n
s en parlerons à l'article opération césarienne. Diverses sortes de tumeurs venant d'autres organes, soit de l'abdomen ou du
Ce sont des kystes de l'ovaire, des dépôts sanguins ou purulens, des tumeurs fibreuses, des hernies, et le fond de l'utérus lu
uent , qu'avant de se décider à porter l'instrument tranchant sur ces tumeurs , il faut s'être assuré, par tous les moyens possi
é de pénétrer dans l'une des cavités voisines. Ligature. Lorsque la tumeur est pédiculée on peut porter une ligature sur son
sse caustique ou le nitrate d'argent, pourra être employée contre les tumeurs érectiles, comme l'a fait une fois M. Laugier. \1
comme l'a fait une fois M. Laugier. \1 extirpation convient pour les tumeurs concrètes. Celles qui se développent sur les part
au besoin, la cautérisation, l'arrê-teraient promptement. Parmi les tumeurs qui se développent en dehors des parois du vagin
on fut couronnée d'un plein suc-cès pour l'enfant et pour la mère. La tumeur formée sur le li-gament sacro-sciatique droit, oc
tte exploration. On ne pouvait que. choisir entre l'enlè-vement de la tumeur et l'opération césarienne , car il n'y avait pas
ir-pation qui fut pratiquée de la manière suivante. On découvrit la tumeur par une incision faite à droite entre la tubérosi
et le périnée d'autre part, et dirigée vers le coccyx; on détacha la tumeur avec les doigts, et on parvint à l'enlever. La tê
t', p. 34). Enfin le vagin peut encore devenir le siège de diverses tumeurs qui nécessitent plus ou moins le secours de la ch
nécessitent plus ou moins le secours de la chirurgie. Telles sont les tumeurs formées par les hernies île la vessie, et du rect
voir recours à la ponction de la vessie, à la partie antérieure de la tumeur , avec un trocart, et, après la sortie de l'urine
Traitement. Réduction. Elle se compose de deux temps : ré-duire la tumeur , puis la maintenir réduite. En général, cpiand l'
f-fire. D'après Hoin et Levret, dans un cas de chute du vagin , où la tumeur faisait une saillie de 7 pouces, on parvint telle
é du vagin qu'à celle de la muqueuse seule. Extirpation. Lorsque la tumeur existe depuis long-temps, et que la réduction en
cations qu'il faudrait d'abord faire disparaître. Si, par exemple, la tumeur était enflammée, tuméfiée, douloureuse, et donnai
placée sur le dos, le siège plus élevé que les épaules, on saisit la tumeur avec la main droite, bien graissée, puis on lui f
es lèvres, afin qu'elles ne mettent pas d'obstacle à la rentrée de la tumeur , on refoule celle-ci dans l'intérieur du bassin,
sur la manière de les poser. Application des pessaires. Lorsque la tumeur est réduite, le choix du pessaire étant fait, on
ent, la matrice, qui avait traversé cet anneau, formait au dehors une tumeur presque aussi considérable que la tète d'un fœtus
avec des maladies bien différentes. Aspasie les considérait comme des tumeurs hémorrhoidales. Ces tumeurs, disait-elle, naissen
rentes. Aspasie les considérait comme des tumeurs hémorrhoidales. Ces tumeurs , disait-elle, naissent tantôt sur le col et tantô
ruveilhier, Velpeau, Mayer, Meisner et Malgaigne, qui ont observé ces tumeurs , leurs fibres se con-tinueraient sans aucune lign
oins gros. 5 Polypes fibrineux. M. Velpeau a décrit sous ce litre une tumeur formée par une concrétion sanguine qui se greffe
re, venir dilater le col et se pré-senter dans le vagin sous forme de tumeurs qui peuvent faire croire à la présence d'un polyp
dans la cavité par un pédicule. Ce pédicule n'existe pas lorsque ces tumeurs , au lieu de saillir du côté de la face in-terne,
châtres, et il ne contient point ou que très peu de vais-seaux. Cette tumeur n'est unie à son enveloppe que par du tissu cellu
que plus tard il forme un tout inséparable. M. Velpeau pense que ces tumeurs résultent assez souvent d'un épanchement de sang
leur structure des variétés qui peuvent les faire confondre avec des tumeurs d'une autre nature. Ainsi, en 1823 , Richerandet
oit ou courbe, des érignes ou des fils qu'il faudrait aller saisir la tumeur , afin de pouvoir exercer sur elle des tractions m
our tirer dessus. Dans trois cas, M. Velpeau embrassa le sommet de la tumeur avec de longues pinces de Museux, puis il conduis
e du polype dans laquelle ils sont enfoncés, on pourrait traverser la tumeur , à quelques pouces de son extrémité infé-rieure,
yé qu'exception-nellement, et lorsqu'il n'est pas possible de lier la tumeur , ou de lui faire traverser la vulve sans exercer
tre des pinces-érignes et les doigts, et ne cessèrent qu'après que la tumeur fût réduite en filamens qui glissaient entre les
ellement, lorsqu'on n'a pu ni appliquer une liga-ture, ni abaisser la tumeur par l'un des moyens que nous avons indiqués, et q
e l'utérus, en faisant fixer, à sa partie supérieure, l'origine de la tumeur avec une pince, pendant qu'on ferait tour-ner cel
a matrice qui , étant renversée , se pro-longe avec le pédicule de la tumeur . Lorsque le pédicule est petit, on recommande del
ype, et de la mau-vaise odeur qu'il exhale. Après la séparation de la tumeur , la liga-ture remonte avec son pédicule et ne se
issait en poussant le bout libre du fil, et le dirigeant autour de la tumeur . Lorsque celle-ci était comprise dedans, il s'ass
a, il introduisait la pince fermée, puis il l'ouvrait et engageait la tumeur clans le triangle formé par le fil et ses bran-ch
ans le vagin ; on les fait glisser entre les parois de ce canal et la tumeur , et on les enfonce jusqu'à l'endroit où s'insère
charpie ou de linge, est laissé dans le vagin jusqu'à la chute de la tumeur . Sous-procédé de M. JViessen. Il préfère se ser
pouce et demi) de longueur, est enfoncée le plus près pos-sible de la tumeur , soit avec les doigts, soit avec une sonde à cro-
our faire avancer le porte-nœud , qui entraîne avec lui le fil. Si la tumeur était trop grosse pour traverser le nœud simple,
et les branches de la pince, l'instru-ment sera retiré en laissant la tumeur liée. Cet instrument est très ingénieux, très c
en place, et en augmenter chaque jour la constriction. En général, la tumeur se détache clans l'espace de cinq à dix jours, ra
e est appliquée, surtout si le pédicule du po-lype est volumineux, la tumeur se gonfle, prend une teinte ar-doisée ou violacée
ien avec une pince à faux germe. Après la section du pédicide de la tumeur , la matrice remonte, et son orifice qui était dil
'on sent les pulsations d'une ar-tère dans l'épaisseur du corps de la tumeur ; 2° Ceux où le pédi-cule est très épais, et donn
écédemment, on s'assure d'abord, par le toucher, de la position de la tumeur et de l'insertion de son pédicule. Cette notion a
ces tractions en poussant comme si elle voulait accoucher. Lorsque la tumeur descend avec facilité, et qu'on peut atteindre so
upuytren et M. Lisfranc, ont pensé qu'on saisirait plus solidement la tumeur avec deux pinces, dont on appliquerait les croche
coulant disposé en croix. Cet instrument qui saisit circulairement la tumeur , sans gêner ou masquer les manœuvres, et permet a
x, l'inconvénient de ne convenir que pour des cas déterminés. Si la tumeur cédait facilement aux crochets , à cause de sa mo
n et M. Hervez de Chégoin l'ont fait avec succès. Dans deux cas où la tumeur ne pouvait sortir, Dupuy-tren incisa le col de la
enue serait encore insuffisante pour permettre les manœuvres. Si la tumeur était trop grosse pour franchir la vulve, ou si l
es, comme il faudrait ou élargir l'espace ou diminuer le volume de la tumeur , on aurait à choisir, suivant le cas , de trois
s avec succès dans un cas avec M. Demazières de Bergues; ou fendre la tumeur en deux suivant son diamètre vertical, comme le c
e melon , comme M. Cbassaignac l'a fait une fois avec succès. Si la tumeur avait contracté des adhérencesaveclevagin, comme
ature sur le pédicule du polype, et de faire ensuite l'excision de la tumeur . Outrel'héniorrhagie, on acraint devoir la plai
rde aujourd'hui, d'après Dupuytren, à l'ériger en méthode générale. TUMEURS DE L'UTÉRUS. 11 s'en présente de deux sortes :
ice, et ne peuvent en être séparées que par une opération spéciale. TUMEURS FLOTTANTES DE l'uTÉRUS. Ce sont tantôt des conc
DE l'uTÉRUS. Ce sont tantôt des concrétions pierreuses, tantôt des tumeurs moliformes ou des débris de fœtus. M. Velpeau rap
c plus de chances de succès , que si le corps était dans la vessie. tumeurs fibreuses interstitielles de l'utérus. Quoique
e maladie, par sa nature et son étiologie, ne soit qu'une variété des tumeurs osseuses et fibreuses; avec ou sans pédicule, déc
de la médecine opératoire du moins, la circonstance qui fait que ces tumeurs se présentent enchaton-nées dans l'épaisseur de l
puisque, jusqu'à présent, elle avait fait considérer cette variété de tumeur comme inopérable, suivant l'expression de Dupuy-t
n commune en admettant la possibilité de pratiquer l'énucléa-tion des tumeurs fibreuses, au travers d'une incision. « Pourvu, d
d'é-nucler, par une simple incision, de leur paroi de revêtement, les tumeurs fibreuses développées dans l'épaisseur de l'utéru
rocédé de la nature qui en a offert quelques exemples dans des cas de tumeurs fibreuses pédiculées (polypes). La première opéra
état de dépérissement. L'exa-men avec le spéculum fit reconnaître une tumeur fibreuse très volumineuse, bridée par la lèvre an
même position que pour la taille, afin d'abaisser et de gouverner la tumeur , trois pinces-érignes furent implantées aussi loi
forceps. Par celle manœuvre, M. AmussaRessayait de faire descendre la tumeur , et, ne sachant pas encore qu'elle était envelopp
te et nacrée qui fut jugée, avec raison, devoir être la surface d'une tumeur interstitielle. A partir de ce moment, l'opératio
rus qui formait enveloppe, les érignes alors furent enfoncées dans la tumeur elle-même, et, à mesure qu'elle s'a-baissait, le
r son doigt l'empêchait d'agir. En vain essaya-t-on de passer dans la tumeur une ligature qui aurait permis de tirer dessus sa
isait les adhérences en arrière. Enfin, on était parvenu à engager la tumeur clans l'anneau vulvaire; la région hypogas-trique
suite de cet effort, l'organe se renversa comme un doigt de gant; la tumeur avait descendu et déjà franchissait l'anneau vulv
ant été détruite, peu-à-peu avec l'ongle et la pointe des ciseaux, la tumeur enfin tomba sur le plancher. Immédiatement, l'uté
ès mince du tissu de l'utérus. Pendant les ma-nœuvres pour séparer la tumeur , cette crainte de blesser le pé-ritoine n'avait p
re et l'épaisseur des tissus qui forment l'enve-loppe pelvienne de la tumeur . L'ablation terminée, on pratiqua l'excision de q
peu considérable, et il n'y a point eu d'hémorrhagie consécutive. La tumeur constituée par une niasse fibreuse, molle, form
ès ; enfin, il y en aune troisième, de M. Pauly. L'extirpation de ces tumeurs se distingue par des faits essentiels : comme fai
me fait diagnostic, avant l'opération, de tâcher de reconnaître si la tumeur est interstitielle; comme fait opéra-toire, d'évi
sat, les chirurgiens, à l'avenir, pouvant mieux recon-naître quand la tumeur est enkystée, abrégeront beaucoup l'opé-ration pa
dé trouvera son application dans les cas de po-lypes volumineux ou de tumeurs renfermées dans l'utérus ou descendues dans le va
meurs renfermées dans l'utérus ou descendues dans le vagin. Quant aux tumeurs trop grosses pour franchir la vulve, je conseille
er par tranches trans-versales, ou de toute autre manière; et, si les tumeurs étaient trop grosses ou trop dures, peut-être pou
était calleux dans cet endroit, ayant pensé qu'on pouvait extirper la tumeur , avec la callosité d'où elle prenait naissance, c
inte. D'un autre côté, en pratiquant l'amputation du col avant que la tumeur ne soit ulcérée, on s'ex-posera à enlever un col
introduit un spéculum bivalve, qui a l'avantage de mieux embrasser la tumeur et de ten-dre la partie supérieure du vagin, M. L
isterait en injections émollientes ou as-tringentes, et à soutenir la tumeur avec un pessaire en bilboquet; mais s'il est surv
la cause ordinaire; car alors l'anneau, formé parle col autour de la tumeur , est encore souple et peut se laisser dilater ass
ut entier. » Excision au -dessous du col. Procédé de M. Velpeau. La tumeur fut saisie avec une pince-érigne que l'on confia
Ligature au-dessous du col. Elle doit être portée sur le collet de la tumeur et serrée avec un serre-nœud. Baxter l'a pratiqué
-dessus du col, sur le vagin, ou bien au-dessous, sur le collet de la tumeur , M. Malgaigne conseille d'inciser, couche par cou
r l'ascension des viscères vers le diaphragme; comprimer doucement la tumeur , pour chasser les parties contenues d ans son int
res, elle aura contracté des adhérences qui permet-tront d'enlever la tumeur et la ligature, ou bien de les laisser en place j
u-dehors. Bien qu'il soit facile de comprendre tout le pédicule de la tumeur dans une seule ligature, il vaut toujours mieux f
. Il vaut mieux agir de cette dernière façon que de laisser tomber la tumeur d'elle-même; c'est ainsi que Bernhard, Baxter et
e et dou-loureuse qui ne fait que hâter le terme de leur existence. TUMEURS DE L'OVAIRE. On a rencontré dans les ovaires di
ca-séum, à de la gélatine, à de la lie de vin, etc. Les kystes et les tumeurs dégénérées de l'ovaire peuvent acquérir un volume
sidérable : on l'a vu s'élever jusqu'à 3o et même 5o kilogrammes. Les tumeurs sont souvent libres et flottantes dans la cavité
ppement considérable, et s'oppose à ce qu'on opère l'enlèvement de la tumeur par excision sans ligature préalable. Leur surfac
seule loge ; mais d'autres fois elle en présente un grand nombre. Les tumeurs ovariennes tiennent à l'utérus par un pédicule pl
vaisseaux d'un fort volume. Parfois ce pédicule est en-globé dans la tumeur , dont la matrice elle-même ne semble plus être qu
serve sur-tout chez celles de 4o à 5o ans. Traitement. On opère ces tumeurs par la ponction, l'excision et l'extirpation. i
soin de plonger l'instru-ment dans la partie la plus saillante de la tumeur . La guérison peut se faire spontanément. Burdach
kmuller, Journ. de Grœfe, t. iv) a observé une femme chez laquelle la tumeur se rompit dans un effort et guérit après qu'il se
l se fut écoulé beau-coup de liquide par le vagin. Chez une autre, la tumeur s'ouvrit à la paroi latérale gauche du vagin , to
gin , tout le liquide s'écoula par t. vii. cette ouverture, et la tumeur disparut (Expér., t. i, p. 355). Au reste, dans l
le la malade fut guérie par l'injection de deux livres de vin dans la tumeur après la ponction ; M. Lizars a également réussi
. i, p. 354). Il en est de même de M. Samuel qui, après avoir vidé la tumeur , insuffla de l'air par la canule. Toutefois on ne
inalement les parois de l'abdomen sur la partie la plus déclive de la tumeur . Cette incision devait porter sur la ligne blanch
a ligne blanche, ou bien en dehors des muscles droits, suivant que la tumeur se trouvait plus ou moins déjetée en dedans ou en
happaient, et les empêcher de tomber dans le ventre; puis, lorsque la tumeur avait contracté des adhérences avec la paroi abdo
stule, qui per-sistait quelquefois long-temps après la guérison de la tumeur , fi-nissait néanmoins par s'oblitérer. Procédé
oint des adhérences trop grandes pour oser tenter l'extirpation de la tumeur , il l'ouvrit et évacua une partie du liquide qu'e
on à l'o-vaire affecté d'hydropisie. Mais le liquide que contenait la tumeur étant trop épais, et ne s'écoulant point par la p
te avec une décoction d'écorce de chêne, et on le vi-dait ensuite; la tumeur diminuait peu-à-peu, et, au bout de quinze jours,
d'en tenter le décollement. 3° Excision. Elle consiste à mettre la tumeur à découvert, à en enlever, soit du premier coup,
constituer une res-source précieuse dans les cas où l'existence de la tumeur mettant les jours de la femme en danger, on ne pe
épiploon qu'on refoide en haut. Avant d'aller plus loin, on palpe la tumeur avec la main dans tous les sens, pour s'assurer s
vise; dans le cas où elles sont larges et étend ues, et surtout si la tumeur ad hère aux parois du ventre, il faut renoncer à
n, que de s'exposer à voir la femme périr d'hémorrhagie. Enfin, si la tumeur est libre ou si les adhérences qui existaient ont
e un de leurs bouts, on ramène les autres au-dehors, et on tranche la tumeur avecle bistouri en deçà, à 2 centimètres (8 ligne
ais il est essentiel, peur la mettre en usage, qu'il existe, entre la tumeur et les parois ab-dominales des adhérences propres
owsky, qui opéra par incision (,/. de Grœfe, t. xu); de Ritter, où la tumeur pesait 38 livres (Expér. t, 1, p. 355); de M. Sam
al, elles ou leurs parens ne permettent d'agir que dans les cas où la tumeur , déjà volumineuse, déter-mine, soit de l'infiltra
A la vérité, on peut objecter à ces raisons que le diagnostic de ces tumeurs , n'est pas toujours facile, et que, en général, l
r rapporte une observation de ce genre, dans laquelle il réussit.—(d) Tumeurs de la matrice et du bassin. F. de Hilden dit avoi
déchirure de l'organe, il trouva, près de l'ori-fice de l'utérus, une tumeur squirrheuse, grosse comme la tète d'un enfant, et
adhérait au col. Ici, on aurait à se demander si l'extirpation de la tumeur exposerait la femme à plus de danger que l'opérat
s, rien d'absolu ne doit être préjugé à cet égard, les rapports de la tumeur et de l'enfant devant seuls déterminer, dans chaq
iner, dans chaque cas, le choix de l'une ou l'autre opéra-tion.-— (e) Tumeurs du vagin. Elles ne pourraient empêcher l'ac-couch
t en forme de croissant. On choisissait le côté gauche, pourvu qu'une tumeur squirrheuse ou une hernie n'y mît pas d'obstacle.
e i—3o. Organes de l'appareil lacrymal. Anatomie opératoire, i-3. — Tumeur lacrymale. Injections, cathétérisme, 3-5. —Fistul
richiasis et distichiasis, i3, i4- — Adhérences des pau-pières, i4- — Tumeurs des paupières, i4, i5. — Tumeurs de la conjonctiv
- — Adhérences des pau-pières, i4- — Tumeurs des paupières, i4, i5. — Tumeurs de la conjonctive, i5, 16. = Globe oculaire. Cata
is. Staphyloraphie, 65-68. — Staphyloplastique, ura-noplastique, 68. — Tumeurs de la voûte palatine, 68, 6g. — Luette. Cautérisa
ésicatoires, acupuncture, g7, 98. Para-centèse de l'abdomen, g8-ioo.-— Tumeurs humorales du foie. Ponction, 100, 101.— Corps étr
, 165 ; excision des plis cutanés de l'anus, i65, 166; excision de la tumeur , 166. — Polypesdu rectum. Ligature, cautérisation
otritie urétrale, 219-221. — Di-latation anormale de l'urètre, 221. — Tumeurs de la prostate. Dépression du lobe médian , dilat
extérieurs de la génération. Cathétérisme de la femme, 2g5, 296. — Tumeurs du pénil et des grandes lèvres. Tumeurs phlegmone
isme de la femme, 2g5, 296. — Tumeurs du pénil et des grandes lèvres. Tumeurs phlegmoneuses, sanguines, kystes séro-murjueux ,
istules entero-vaginales. Procédés de MM. Roux et Casa-Mayor, 3 14. Tumeurs du vagin. Ligature, extirpation, 3i4, 3 1 5. —Ren
et, Desault, Niesscn, Colombat, Mayor, 326-329. Excision, 329, 33o. — Tumeurs de iutérus. Tumeurs flottantes, 33o. Tumeurs fibr
, Colombat, Mayor, 326-329. Excision, 329, 33o. — Tumeurs de iutérus. Tumeurs flottantes, 33o. Tumeurs fibreuses interstitielle
9. Excision, 329, 33o. — Tumeurs de iutérus. Tumeurs flottantes, 33o. Tumeurs fibreuses interstitielles. Procédé de M. Amus-sat
amier, Dubled. Mé-thode hypogastrique ; procédé de Langenbeck, 34o. Tumeurs de l'ovaire. Ponction, incision, procédés de Ledr
ne saurait être plus dangereuse que la plu-« part des extirpations de tumeurs enkystées qui compromettent « rarement l'œil. »
es, qu'il faut par conséquent s'appliquer à éviter. Ordinairement, la tumeur , de couleur noirâtre, et du volume de la dernière
consécutives. Tantôt c'est une ma-ladie de l'articulation elle-même, tumeur blanche, phlegmasie chronique, induration de caus
r la pi-qûre, un tampon de linge maintenu par une bande sur la petite tumeur sanguine, composèrent tout le pansement. » RÉTR
i l'enumération d'après le texte de l'auteur : « i° L'ouverture des tumeurs sanguines qui se forment et ne se résorbent pas t
étée trois fois avec des résultats semblables à ceux obtenus pour les tumeurs sanguines. 3° L'incision sous-cutanée de tumeur
x obtenus pour les tumeurs sanguines. 3° L'incision sous-cutanée de tumeurs pblegmoneuses com-mençantes , dans le but de prod
(1) Essai sur la mèthodt snus-riilanre, Paris, 1S41. gement de ces tumeurs . Dans les trois cas où j'ai eu recours à cette op
us-cutanée. 20 MAL Lisfranc et Pinel Grandcbamp pour la ponction de tumeurs articulaires, comme AI. Guérin l'a lui-même prati
qu'une collection ne soit pas bien formée, ou que la nature même delà tumeur ne soit, pas nettement déterminée; s'il reste au
n trajet très étroit, le chirurgien s'assurede l'état intérieur de la tumeur , suivant qu'elle forme une cavité ou libre ou mul
ations qui pourraient of-frir de l'intérêt ont rapport au siège de la tumeur , à la nature des parties environnantes et de cell
sert de guide pour la ponction avec le bistouri dans l'opération delà tumeur lacrymale. Le bord libre seule-ment du tubercule
sert à la désobstruer. 16. Bistouri de T. L. Petit pour inciser la tumeur lacrymale et ouvrir la voie dans le sac lacryma
mière ligature ayant été appliquée avec une canule de M. Fabrizj , la tumeur étranglée dans l'anse d'un fil métallique noué su
main d'un aide (a) qui l'écarté en dehors et. continue à tirer sur la tumeur . Dans le moment choisi pour la figure , le chirur
sente la même manœuvre, en profil, sur une sec-tion du canal. Si la tumeur a pu être étranglée assez profondément, il ne s'a
r une canule en plomb; la canule tordue avec le fil, et la base de la tumeur , sont coupées au niveau de la conque auri-culaire
la tige. Ficure 15. Ablation de l'oreille cancéreuse. Figure 10. Tumeur érectile du pavillon de l'oreille pour la-quelle
a peau. d. Pédicule. Figure 3. Procédé de Celse. Ablation d'une tumeur cancéreuse en dehors de la commissure. La maladie
mettent un écartement assez considérable du fil porté à la base de la tumeur . — La figure 21 bis représente le même instrument
lus graves, nous avons préféré faire représenter la ligature de cette tumeur suivant une forme systéma-tique. La tumeur étant
enter la ligature de cette tumeur suivant une forme systéma-tique. La tumeur étant mise à découvert par une double incision cu
guille ou carrelet, de part en part et de bas en haut à la base de la tumeur (de A en B). De ces fils, l'un, déjeté latéraleme
lement porté par un carrelet avec deux autres, traverse de nouveau la tumeur de part en part à sa base, mais de haut en bas :
s : réuni avec son premier bout, il étrangle la portion médiane de la tumeur par un autre serre-nœud (d); tandis que les autre
d (d); tandis que les autres fils vont isoler la portion gauche de la tumeur par deux ligatures, l'une horizontale (e) et l'au
e (e) et l'autre antéro-postérieure ou verticale (f). En sorte que la tumeur est partagée en trois lobes étranglés horizontale
reux. Cette plaie a été comprise entre deux incisions elliptiques. La tumeur disséquée d'abord en dessous, au moment où en est
Deux hernies inguinales externes (entérocèles). Homme de 46 ans. (a) Tumeur dans le canal inguinal. — (b) Resserrement par l'
al externe. — (c) Passage présumé des vaisseaux épigastriques sous la tumeur , (d) Tumeur scrotale. Figure 2. Esquisse de V a
— (c) Passage présumé des vaisseaux épigastriques sous la tumeur, (d) Tumeur scrotale. Figure 2. Esquisse de V anatomie chir
ères sortent de l'abdomen, (b) Trajet du canal crural accidentel, (c) Tumeur fémo-rale globuleuse formée par le sac herniaire
t-tent d'apercevoir au dehors les saillies des circonvolutions. Cette tumeur , dont les caractères sont exagérés, rend le diagn
crurales (entérocèles sur une femme de 49 ans ). La forme de ces deux tumeurs est d'un modèle plus heureux que la précédente, (
Portion de la hernie renfermée dans le canal crural accidentel. —(b) Tumeur herniaire sous-cutanée, au-dessous et à la sortie
du tronc et des cuisses sur le bassin, le chirurgien, qui renferme la tumeur dans la paume de la main droite (a), chasse gradu
t; la manœuvre diffère peu de la précédente. La main qui enveloppe la tumeur dirige les mouve-mens de réduction en dehors vers
rotique de l'anneau oblique externe seul conservé divise, à l'œil, la tumeur en deux portions, l'une extérieure ou scrotale, e
cs par une cloison d'adossernent avec lui-même (b). Du côté gauche la tumeur , de volume ordinaire, n'est formée que par une an
S 3, 4, 5. HERNIE CRURALE ÉTRANGLÉE. Figure 3. Ouverture du sac. La tumeur étant mise à découvert par une incision en T de l
ès nature par Leveillé TOME VIT. PLANCHE 44. FISTULES A L'ANUS ET TUMEURS HEMORROIDALES. DEMI-NATU RE. FIGURE 1. Débrid
e déposer le stylet et de faire la ligature. FIGURE 6. Excision des tumeurs hemorroidales (procédé de Boyer). Les tumeurs aya
FIGURE 6. Excision des tumeurs hemorroidales (procédé de Boyer). Les tumeurs ayant été amenées à l'extérieur par les soins pré
es soins préparatoires, un fil est passé au travers de chacune de ces tumeurs pour les empêcher de rentrer. Au fur et à mesure
4). Figure 2. Opération d'hydrocèle par ponction (côté gauche). La tumeur embrassée par la main gauche du chirurgien, de ma
igures 12a et 12b montrent le calcul par ses deux faces. Figure 13. Tumeur osseuse saillante dans l'intérieur de la vessie.
st ouverte par sa face antérieure ; du milieu du bas-fond s'élève une tumeur renfermant plusieurs calculs dont un gros (figure
u col, pour faciliter l'extraction par le vagin, d'un polype ou d'une tumeur quelconque dans la cavité de l'utérus. L'incision
igature ou l'excision dans les cas où l'étroitesse du col fait que la tumeur est comme enchatonnée dans la cavité de l'utérus.
dans la cavité de l'utérus par son col. Figure 6. Extraction de la tumeur avec des érignes ou des pinces, au travers du col
mployée par l'auteur pour faire traverser par une ligature une petite tumeur du vagin ou du rectum : polype, fongosité, tu-meu
9 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
céphale dans le liquide de Mutter, je fis une coupe au niveau de la tumeur qui fut sur le point d'être énucléée à cause de
umeur qui fut sur le point d'être énucléée à cause de sa dureté. La tumeur tranchait sur le tissu nerveux par sa couleur d'u
éaire ré- pondent à un processus d'irritation produit par la petite tumeur kystique. Enfin, encore plus en dehors de cette
de cette étude, ce cas clinique mérite d'être relaie, parce que la tumeur , de formation ancienne, n'agissait sur les régi
localisée à la jambe gauche ; l'autre, anatomique - existence d'une tumeur dans la partie antérieure du lobule pariétal su
émisphère droit. Quels troubles fonctionnels pouvait produire cette tumeur , son siège étant donné ? Nous connaissons suffi
étaient intactes. Excepté le cas de M. Landouzy où il y avait « une tumeur du volume d'un pois, siégeant sous la pie-mère,
èrent chacun un cas. * En 1864-65, Virchow, dans son Traité sur les tumeurs pathologiques, consacre un long chapitre à ces
re, mais non osseuse. Dureté des fléchis- seurs des avant-bras sans tumeur proprement dite. Raideur de l'articulation du cou
pi- trochlée de l'humérus droit; au-dessus, une protubérance plane. Tumeur osseuse près du petit trochanter ; hyperostose
syphilis, Le malade s'aperçoit par hasard qu'il était porteur d'une tumeur osseuse à la partie interne du tiers supérieur
à fait affirmatif sur ce dernier point ? Le crac tère unique de la tumeur , son siège, son indolence, son mode d'apparition,
how : l'étude de la myosite ossifiante ren- tre dans le domaine des tumeurs dépendantes d'une prédisposition congé- nitale.
e de la myosite ossifiante : Kissel et Fuërstner font des coupes de tumeurs à la première période et constatent l'infiltrat
dans un tissu embryonnaire mou, oedémaLié, c'est ce qui donne, à la tumeur ,à cette période, une consistance pâteuse, pseudo-
pâteuse, pseudo- fluctuante. Kissel a eu l'occasion d'étudier une tumeur de ce genre : « Une incision au niveau de la tù
re sont normaux.Le muscle est très tuméfié,proéminent sous forme de tumeur , il ressemble, par son épaisseur, au fromage de
prolifère de plus en plus et 1 finalement se rétracte et forme une tumeur fibreuse dure et consistante. DE LA MYOSITE OSS
atteint dans toute son épaisseur. Lexer'a pu faire des coupes d'une tumeur fibreuse de ce genre, il en a donné les détails
en a donné les détails suivants : Sur une coupe longitudinale, la tumeur donne l'aspect et la consistance du fibrome; sa
musculaires qui subsistent se montrent, dans la masse claire de la tumeur , comme des stries rouges ; elles sont plus nomb
phérie qu'au centre. Une coupe dans la zone de transition, entre la tumeur et le segment du muscle resté sain, montre la c
us épais. Les portions charnues qui couvrent superfi- ciellement la tumeur , apparaissent normales sur le champ du microscope
s, nous éloignons-nous d'elles pour nous rapprocher du centre de la tumeur , nous constatons dans la zone transitoire, un pér
paissies, avec ou sans pro- lifération nucléaire. Plus près de la tumeur , le périmysium interne se montre plus cellu- ]e
s contenant des nombreuses figures kariokinéliques. Au milieu de la tumeur , là où ces grosses cellules se trouvent plus libr
ranuleuse; ces brèches et ces fentes donnent, çà et au centre de la tumeur , un aspect spongieux avec des pores très fins ; l
avec des pores très fins ; là dans l'ancien périmysium interne, la tumeur est uniquement formée par du tissu con- jonctif
roblastes ; tandis qu'ailleurs, sur d'autres points du'centre de la tumeur , on les voit passer à l'état de cellules cartil
modi- fications à venir. En effet nous avons trouvé, au sein de la tumeur , une ébauche de cellules cartilagineuses et de
nctif dense des cicatrices ou au tissu osseux. Dans maints faits la tumeur s'arrête au stade d'induration conjonctive ; ma
les vaisseaux, à une action irritative directe, se propageant de la tumeur sur les muscles et les vaisseaux, et enfin à l'im
mpotence fonc- tionnelle à laquelle conduit le développement de ces tumeurs osseuses qui bridant les articulations, immobil
confondent successivement l'un dans l'autre. Dans quelques cas, la tumeur s'arrête à la période fibreuse de l'évolu- tion
u tissu osseux (Munchme.) er). Plus souvent une petite partie de la tumeur (Hawkins, notre cas) offre une structure cartil
masse presque tout entière .est formée par du tissu osseux solide ( tumeurs de la région fessière dans notre cas). , Du r
en tenant compte exclusivement de la présence du cartilage dans les tumeurs , on peut diviser celles-ci en trois groupes : 1°
dans les tumeurs, on peut diviser celles-ci en trois groupes : 1° La tumeur est entièrement formée par du cartilage; 2° Dan
issu osseux, plus loin du cartilage (Lexer) ; 3° Un grand nombre de tumeurs subissent successivement les phases suivantes :
conjonctif, cartila- gineux,étagés de la périphérie au centre de la tumeur osseuse » (liuemmel). La myosite ossifiante pro
ont venues secondairement s'y ajouter. 11a première catégorie des tumeurs , appartiennent celles qui s'insèrent sur les os
blent, au contraire, s'être réunies aux os secondairement. Si une tumeur s'insère sur l'os au niveau d'une insertion muscu
oses, elles conservent en général la forme de ces derniers. « Les tumeurs osseuses sont blanches, moins dures et moins dens
très peu marqués. Il se forme en un point du système musculaire une tumeur indolore, de consistance pâ- teuse d'abord, plu
e le hasard, qui fait constater sur un jeune sujet une ou plusieurs tumeurs . Ce début insidieux passe .d'autant plus facileme
tané est lui-même atteint, très oedéma- tié ; il se forme ainsi une tumeur diffuse, sans limites bien précises, pâ- teuse,
sée, on ne les retrouve plus. Si on suit de près la formation de la tumeur , on la voit d'abord aug- menter lentement de vo
essent d'ordinaire, l'oe- dème perd en tension et en- étendue et la tumeur musculaire proprement dite offre des contours p
Munchmeyer, la fièvre a duré 54 jours. Une fois l'oedème disparu,la tumeur peut subir plusieurs sorts ; ou bien elle dimin
ca soit pleine et entière. Cependant, cette disparition franche des tumeurs est loin d'être aussi fréquente qu'on serait te
Ainsi, dans le cas de Hawkins, on a constaté « le 14 juin 1843 une tumeur osseuse,à droite, au niveau des deux ou trois ver
aissant être recouverte par le rhomboïde ». « Au mois de juillet,la tumeur supérieure avait disparu et l'inférieure en par
ait apparu dans le grand dentelé gauche. « Le 17, formation d'une tumeur au même point droite et sur le grand pectoral d
, les scalènes se tuméfient et deviennent doulou- reux ; le 31, les tumeurs du côté gauche avaient presque complètement dis
tait devenue plus proéminente et élastique et l'on trouve une autre tumeur sur le côté gauche des vertèbres lombaires ; ma
auche des vertèbres lombaires ; mais à partir du 23 août toutes les tumeurs avaient presque entièrement disparu. Le malade qu
croirait, en lisant cette première partie de l'observation, que les tumeurs de la première et de la deuxième période ont disp
n'en estrien ; car le malade, examiné le 25 octobre, offrait « une tumeur osseuse aux lombes gauches, un grand nombre de
ches, un grand nombre de DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 131 tumeurs entre l'omoplate gauche et les apophyses épineuse
au centre, une petite masse osseuse, dans le rhomboïde et une autre tumeur osseuse sur le grand dentelé ». Il y eut donc, da
as, un in- tervalle de trois à quatre mois entre l'apparition de la tumeur molle et son ossification. Généralement lorsq
Généralement lorsque l'oedème a disparu, au sur et à mesure que la tumeur fibreuse devient distincte, sa consistance augmen
lus jusqu'à ce que finalement la palpation donne la sensation d'une tumeur dure, incapable d'être différenciée de l'os. Le
r dure, incapable d'être différenciée de l'os. Le temps que met une tumeur pour traverser toutes ses étapes, varie en moye
e musculaire envahi,est atteint par l'ossification, le centre de la tumeur , le reste s'arrête au deuxième stade ; ailleurs
ur, le reste s'arrête au deuxième stade ; ailleurs, le centre de la tumeur est osseux, sa péri- phérie donne absolument la
solument la sensation du cartilage (Hawkins, notre cas). Lorsque la tumeur est assez superficielle, la peau qui la recouvre
x superficiel s'est parfois développé sur la peau qui recouvrait la tumeur osseuse; plus rarement l'oedème et la dilatation
nt dus à la même cause, à l'oblitération ou à la compression par la tumeur d'un gros tronc veineux profond, compression ou
Si maintenant nous cherchons à nous rendre compte du siège de la tumeur relativement au muscle, nous trouvons que souvent
me. Ultérieurement il survient quelques particularités : ou bien la tumeur osseuse disparaît complètement (ossification du
mastoïdien, Rogers ; bandelette abdominale, IIelférich) ou bien, la tumeur osseuse néoformée se réunit au squelette sous-j
inale du squelette ; dans le deuxième, au contraire, la forme de la tumeur n'a rien de particulier. Nous venons de décrire
es et de signes locaux parfois assez marqués, com- ment se forme la tumeur d'abord pâteuse, presque molle, plus tard fibreus
isa- tion rhumatismale, d'une affection fébrile, il se développe la tumeur dé- crite plus haut. La musculature du dos, e
ISSIM souvent' au dos ; 13 fois sur 40 cas, où le siège initial des tumeurs est net- tement spécifié, elle s'est localisée
ien gauche comme première atteinte du mal. ' Dans quelques cas la tumeur primitive s'est montrée dans plusieurs ré- gion
iges de leur passage ; ainsi, le malade de Helferich a présenté des tumeurs pareilles à l'âge de 6 ans, alors que les vérit
s poussées nous expliquent que chez le même individu, on trouve des tumeurs il lous les stades. Lexer n'a-t-il pas noté, da
lous les stades. Lexer n'a-t-il pas noté, dans son observation, une tumeur fibreuse au deltoïde gauche, une autre cartilag
rtilagineuse à la partie inférieure du grand pectoral droit, et des tumeurs osseuses occupant la place du brachial anté- ri
La physionomie du clos est très variable, tantôt il y a une ou deux tumeurs discrètes, situées sur les régions lombaire ou do
cale, indépendante évidem- ment des pseudo-cyphoses causées par les tumeurs osseuses si fréquentes dans ces régions. Une
e le muscle est destiné à mouvoir ; l'ossification gagne- t-elle la tumeur fibreuse, l'ankylose se trouve constituée. Une
ement les articu- lations. Tant que l'ossification n'existe pas, la tumeur fibreuse du début L et la rétractation qu'elle
a conséquence. Lorsque les phénomènes inflammatoires du début de la tumeur s'éta- hlissent près des organes importants, te
l'influence de la formation de nou- veaux vaisseaux au niveau de la tumeur et de la dilatation vasculaire il sa périphérie
aissance, une série de phénomènes analogues : apparition de noyaux, tumeurs à la tète, qui disparurent sans laisser de trac
ssent pas sur les terminaisons et les troncs nerveu S'agit-il d'une tumeur ou d'une simple inflammation aiguë ? Les mouvem
nd à ranger la myosite ossifiante progressive dans la catégorie des tumeurs . Virchow, Mays, Ziegler, Cahen partagent celte
hatiques jusque dans les ganglions et les viscères. S'agit-il d'une tumeur ou d'un simple processus irrilalif chronique ? Le
aque fois que je tombe, dit le malade de Skin- ner, il se forme une tumeur » ; « plus je vieillis plus je tombe, et plus je
ulcérations peuvent se montrer au niveau de la peau qui couvre les tumeurs osseuses; elles peuvent être l'origine d'abcès mu
orme de bourrelet osseux, alors que la myosite ossifiante forme des tumeurs diffuses, sans limites bien précises. La loca
ifiante qui offre un début brus- que avec formation d'une véritable tumeur . Le rhumatisme de la colonne cervicale a été pr
iante : fièvre modérée, douleurs peu mar- quées, et formation d'une tumeur ayant ses caractères propres. A la phase d'ossi
médi- cation hydrargyrique intensive, dit Henry, non seulement les tumeurs fluctuantes du coude et du poignet disparurent,
us occupe. L'intervention n'est justifiée que sur les points où les tumeurs sont discrètes, mobiles, sans connexions avec l
t, sans quoi l'opération devient inutile. Pollard, ayant enlevé une tumeur osseuse de la nuque, n'a obtenu aucune améliora
nce de multiples ossifications plus profondes. » L'ablation de la tumeur n'est encore admissible que dans les phases d'a
aires. Le bénéfice de l'intervention se perd encore assez vite, les tumeurs ne tardent pas à réapparaître. Pollard extirpe
as, mais l'ampleur des mouvements ne tarde pas à se restreindre, la tumeur s'étant reproduite cinq mois après. Gybney est
mêmes conditions et avec le même résultat. Cetle reproduction des tumeurs n'a rien qui doive nous surprendre ; c'est là d
éral du centre à la périphérie, que la zone fibreuse qui entoure la tumeur et qui est destinée elle-même à s'ossifier plus
as est exceptionnel, que les avan- tages obtenus par l'ablation des tumeurs persistent indéfiniment ou du moins pendant trè
ES DU SYSTÈME NERVEUX, (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET PAR R F. RAYMOND Professeur de
de diagnostic topographique selon toute vraisemblance, d'un cas de tumeur de l'encéphale exactement, d'un cas de tumeur d
emblance, d'un cas de tumeur de l'encéphale exactement, d'un cas de tumeur du cervelet. Le cas en question va me servir de
mpte faire dans le courant de cette année, sur d'autres exemples de tumeurs cérébrales. Ce sera pour moi l'occasion d'entre
exclusivement à l'intervention opératoire, en tant qu'il s'agit des tumeurs dites cérébrales, des tumeurs inlra-cràniennes.
opératoire, en tant qu'il s'agit des tumeurs dites cérébrales, des tumeurs inlra-cràniennes. La malade dont il s'agit, une
ns lorsqu'elle perdit son père qu'elle aimait énorme- SUR UN cas DE TUMEUR DU CERVELET 215 ment. Elle en éprouva un vif ch
NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE, T. XI. PL. XXVIII, UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET (F. Raymond.) l3Wr,ut du IIl° vol
volume des Cliniques des Maladies du Système nerveux. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 217 appliquée sur le crâne, sur les
a- que, les attaques épileptiformes et syncopales.. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 2t9 . .. Diagnostic. - En prése
s pas en détail. Je ne vois guère que la sclérose en plaques et les tumeurs cérébrales qui puissent entrer en ligne de compte
en plaques, mais tel n'est pas mon avis. Reste l'hypothèse d'une tumeur cérébrale. A plusieurs reprises, j'ai déjà ri e
ous dire que cette dénomination est appliquée indistinc- tement aux tumeurs qui siègent dans la boite crânienne en n'importe
un sens aussi étendu. On a pris en consi- dération ce fait, que les tumeurs encéphaliques de n'importe quel siège ont, dans
ure à nous orienter dans la voie de celle hypothèse un peu vague de tumeur cérébrale, il en est trois autres, dont la siginf
etc. Archives de Neurologie, novembre 1893, p. 353. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 221 Non seulement ces trois symptôm
de nature accentuer nos présomptions en faveur de l'existence d'une tumeur cérébrale ; ils sont propres à nous éclairer su
brale ; ils sont propres à nous éclairer sur le siège présumé de la tumeur . - Pour mieux vous édifier sur ces deux points,
s, relatives au mécanisme pathogénique des accidents causés par les tumeurs cérébrales. Je suppose le cas où une néoplasie
e le cas où une néoplasie susceptible d'accroissement, telle qu'une tumeur , s'est formée à la surface du cerveau. Quel que s
est formée à la surface du cerveau. Quel que soit le siège de cette tumeur , il en résultera une diminution de capacité delà
ntation de la pression qui règne dans cette cavité. Pour peu que la tumeur continue de s'accroître, elle agira par compres-
rd en la désorganisant. Tous les éléments de la symptomatologie des tumeurs cérébrales découlent de là. Tous, ils se ramènent
gramme général des accidents qui traduisent le retentisse- ment des tumeurs intra-craniennes sur l'encéphale. Mais ce program
e programme comporte des exceptions. Il arrivera par exemple qu'une tumeur se déve- loppe très lentement, et progressiveme
entuées. Il est donc entendu que les phénomènes en rapport avec une tumeur cérébrale sont de deux ordres : phénomènes de com
s conséquences possibles de la compression générale exercée par les tumeurs intra-crunieunes. Le vertige, les attaques sync
, presque toujours, la névrite oedémateuse est la conséquence d'une tumeur cérébrale. Chez notre malade, elle parait être en
'une tu- meur cérébrale, il nous reste à préciser le siège de celte tumeur . Trois symptômes doivent entrer en ligne de com
agnostic de lésion du cervelet, et dans notre cas, il s'agirait d'une tumeur . La vérité est celle-ci : la titubation ne manq
cervelet. C'est ainsi que Bruns (1) a publié quatre observations de tumeurs des lobes frontaux, qui se sont accompagnées de
emandons-nous maintenant si cette hypothèse relative au siège de la tumeur présumée cadre avec les deux autres symptômes car
cardinaux, cons- tatés chez notre malade. En d'autres termes : une tumeur agissant sur le cervelet, peut-elle du même cou
ssieurs, la chose est possible. Localisée d'une certaine façon, une tumeur peut à la fois nous rendre compte des désordres d
sche me- dicinische `1'ochenschrift, 1892, no 1), . SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 223 Vous savez la position qu'occup
érieur. Dans ces conditions, il vous est facile de concevoir qu'une tumeur puisse agir à la fois, en les comprimant, sur l
travail d'analyse; nous pou- vons préciser davantage le siège de la tumeur présumée. Remarquez, en effet, Messieurs, que p
re éventualité me paraît inadmissible, car dans l'éventualité d'une tumeur en rapport avec le plancher du qua- trième vent
les sensitifs et moteurs qui ne manquent jamais dans les cas où une tumeur faisant her- nie dans le quatrième ventricule r
ment cette cavité. Il ne me parait pas non plus admissible que la tumeur soit située à la base du crâne, à la face antér
as de vue, Mes- sieurs, que, dans la supposition où je me place, la tumeur devrait avoir un prolongement antérieur suffisa
ir atteindre les deux nerfs optiques ou le chiasma. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 225 Reste une dernière hypothèse, q
vec toutes les circons- tances du cas; elle consiste à localiser la tumeur à la face supérieure du bulbe, en dehors du pla
e, au point où les pédoncules cérébelleux émergent du cervelet. Une tumeur enserrant cette région doit détruire une parlie
érieurs, et la totalité des deux nerfs acoustiques. Sans doute deux tumeurs symétriques, siégeant l'une à droite, l'autre à g
que chose de forcé, vous le concevez sans peine. Qu'il y ait deux tumeurs ou qu'il n'y en ait qu'une, il reste à nous de-
à dessus, dans le courant de l'année dernière, à propos d'un cas de tumeur du cervelet, qui s'était accompagnée de perte tot
répéter les explications que je vous ai données à ce propos : Une tumeur située à la base du cervelet peut, disais-je, ent
comprimera à son tour le chiasma du nerf optique. Au surplus, les tumeurs du cervelet, bridées qu'elles sont, à leur face s
'expli- que ainsi qu'à une période peu avancée de l'évolution d'une tumeur , à une époque où les altérations du nerf optiqu
là pour en témoigner. Vous voilà fixés sur le siège probable de la tumeur présumée. Il nous reste à rechercher quelle peu
mée. Il nous reste à rechercher quelle peut être la nature de celle tumeur . Rien dans les antécédents héréditaires et dans
e. Dans ces conditions, l'hypothèse de la nature tuberculeuse de sa tumeur se présente à nous comme très vraisemblable. Il
grand'chose à attendre de la thérapeutique in- terne. Seules, les tumeurs cérébrales d'origine syphilitique sont justiciabl
intensif, institué avec une persévérance peu commune. Contre les tumeurs de toute autre nature, et en particulier contre l
tre les tumeurs de toute autre nature, et en particulier contre les tumeurs tuberculeuses, la thérapeutique interne nous lais
icale. Dans une leçon de l'année dernière (1), relative à un cas de tumeur de môme siège, je me suis longuement étendu sur
ième série, p. 709 et suivantes, Paris, Doin, 1897. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 227 qui ont été tentées, ou qui peu
LET 227 qui ont été tentées, ou qui peuvent l'être, dans les cas de tumeurs céré- brales. Je vous rappelle qu'en recourant
ment. J'ai cru devoir attribuer ce dénouement inattendu à ce que la tumeur , n'étant plus sup- portée par la même quantité
ce parti. Je crois qu'avec la localisation que nous supposons à la tumeur , une opé- ration dont le but serait l'extirpati
sie. - L'examen de l'encéphale, pratiqué à l'état frais, montre une tumeur développée au niveau de la portion antéro-inférie
nts ; le pédoncule moyen, notamment, se reconnaît difficilement; la tumeur parait s'être développée surtout au niveau de l
iquée et permît de faire les constatations suivantes. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 229 atrophiés. Tous les ventricules
tricule, dont le volume atteint celui d'une noix. L'évolution de la tumeur cérébelleuse a déterminé, au niveau de la base
6 1,'iG. 3 (D'après nature). - Face inférieure de l'encéphale. La tumeur (T) est bilatérale, développée aux dépens du segm
er, il a présenté au niveau du dixième espace intercostal droit une tumeur gommeuse, qui s'est résorbée sous l'influence du
nce d'un enfant hydrocéphale. Elle est affectée aujourd'hui de deux tumeurs volumineuses qui sont incon- testablement des g
mettre un excès dépression intra- crânienne, une hydrocéphalie, une tumeur cérébrale, un état de souffrance cérébrale quel
bon de faire quelques réserves et de songer à la possibilité d'une tumeur blanche guérie par ankylose. Il y a lieu d'in
omme de 14 ans, sain en apparence; il portait sur le dos de grosses tumeurs , lesquelles ayant commencé à se for- mer depuis
s lavages du corps avec le suc du Quercus marina, non seulement les tumeurs fluctuantes du coude et du poignet disparurent, m
OBS. V. - A]3EIlNETIIY, Surg. lectures, 1830, p. 169; VmcfIow, Les tumeurs et in Munchmeyer. Garçon de 14 ans, ayant le do
ion d'affection musculaire. Mais si nous tenons compte du siège des tumeurs osseuses, principalement au dos et à la nuque, lo
ous tenons compte de l'apparition et de la dispa- rition rapide des tumeurs , comme cela s'observe si fréquemment dans la my
é une semaine auparavant par de violenles douleurs. On constate une tumeur solide, dure , indolore, située à droite au nivea
elle semble être recouverte par le rhomboïde. Au mois de juillet la tumeur supérieure avait disparu et l'inférieure en parti
manifestement située dans le grand dentelé. Le 17, apparition d'une tumeur semblable sur le même point, à droite, et, près
, les scalènes gauches sont durs et légèrement tuméfiés. Le 31, les tumeurs du côté gauche avaient presque complètement dis
ait de nouveau plus proéminente et élastique et l'on trouve une autre tumeur sur le côté gauche des vertèbres lombaires, exa
stait au moment de son entrée ; mais, à partir du 23 août, toutes les tumeurs avaient presque entièrement disparu. Le malade
25 octobre pour une recrudescence des symptômes, nous trouvons des tumeurs plus nombreuses et plus proéminentes. La douleur
ès dure el inflexible dans l'éten- due de 3 à 4 pouces. La première tumeur du côté gauche des lombes est os- sifiée ; il y
u côté gauche des lombes est os- sifiée ; il y a un grand nombre de tumeurs entre l'omoplate gaucho et les apo- physes épin
physes épineuses des vertèbres, un peu plus bas que la plupart des tumeurs existantes à l'épaule gauche au moment de sa pr
mboïde. Sous l'angle de l'omoplate droit et s'étendant en dehors, une tumeur dont une partie se trouve dans le grand dentelé
une petite exostose sur la côle. Les scalènes sont durs. Toutes ces tumeurs sont doulou- reuses et quelque peu molles. Ét
e et de chaque côté des vertèbres lombaires. Le 2 lévrier 1844, une tumeur commence à se former sur le pectoral droit, att
longueur sur 6 centimètres de large, molle, mais non mobile. Cette tumeur , comme d'autres plus récentes, se dé- veloppe r
- laire redeviennent mobiles sur le muscle' ossifié, le le, mars la tumeur dispa- rait. Cependant le 4 mars nous trouvon
mars la tumeur dispa- rait. Cependant le 4 mars nous trouvons une tumeur , grosse comme un oeuf d'oie, juste au-dessous d
oie, juste au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate gauche. La tumeur est fixée en connexion avec le grand dentelé, é
ue et ferme, elle n'est pas osseuse et crépite à la pression. Cette tumeur s'est développée autour d'une exostose formée e
une exostose formée en juillet dernier. Le même jour on observe une tumeur au niveau du ligament cervical, longue de 10 à
l'occiput à côté du trapèze, épaisse de 5 centimètres environ. La tumeur , sous l'omoplate, a augmenté du double des dimens
s de crépita- tion, elle est très dure et non mobile. Le 21 mai, la tumeur existe toujours quoiqu'elle ait commencé à dimi
quoiqu'elle ait commencé à diminuer le 13 mars. Le 29 mars, nouvelle tumeur sur le pectoral gauche, elle diminue à partir d
ur le pectoral gauche, elle diminue à partir du 2 avril ; le 12 avril tumeur considérable sur le grand dorsal droit, elle di
elle diminue vers le 15. Ce jour-là le pectoral gauche contient une tumeur osseuse et semble commencera se ramol- lir légè
emble commencera se ramol- lir légèrement. Depuis, pas de nouvelles tumeurs . Etat actuel. Le malade est très raide par suit
SSIFIANTE PROGRESSIVE 283 Traitement. - Vésicatoire qui a réduit la tumeur et le gonflement ; solution de KI ioduré avec q
pas autant qu'avec le vésica- toire ; le froid a une action sur les tumeurs . A sa première admission, il prend du colchique
d'opium, deux fois par jour, jusqu'au 17 novembre ; disparition des tumeurs pendant le traitement. Le 2 février, 2 vésicatoir
xtrémités inférieures normales. La palpation donne quelques petites tumeurs sous les côtes. Les grands pectoraux sont entière
roite. Ossification des semi-tendineux et semi-membraneux droits. Tumeur à deux pouces au-dessus de la rotule droite appar
férieure des couturier, semi-tendineux et semi-membraneux forme une tumeur douloureuse. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSI
lle meurt à 19 ans de tuberculose aigué. 1874. Autopsie. Toutes les tumeurs osseuses signalées plus haut sont augmentées de
t oedématiés. Pieds en varus équin, surtout le gauche. De nouvelles tumeurs se sont développées dans l'extrémité supérieure
vésicules filles. Les reins sont congestionnés. A la section, les tumeurs présentent de grandes analogies avec la structure
s muscles atteints. La teinture d'iode détermina la disparition des tumeurs dans la par- tie inférieure du biceps brachial,
on brusque dans le droit antérieur gauche et le vaste interne d'une tumeur pâteuse accompagnée d'oedème cutané; puis envah
ue, la fièvre cesse, les muscles de la cuisse deviennent pâteux, la tumeur du vaste interne et du droit antérieur se déli-
a moitié inférieure de la cuisse gau- che sont transformées en une. tumeur pâteuse, accompagnée de fièvre, doulou- reuse.P
nne.. Le J. Transformation de toute la région sus-hyoïdienne en une tumeur pâ- teuse, accompagnée d'oedème cutané ; la tum
yoïdienne en une tumeur pâ- teuse, accompagnée d'oedème cutané ; la tumeur semble intéresser le mylo- hyoïdien-et les deux
upérieure du sterno-mastoïdien, dans l'étendue de 3 centimètres. La tumeur du droit antérieur de la cuisse et du vaste inter
s, de la région sous-maxillaire et des triangulaires du menton. Les tumeurs et indurations des adducteurs gauches ont disparu
mois, on constata sur différentes parties du corps de l'enfant des tumeurs grosses comme une petite bille à jouer, dures,
dans la fa- mille. A. P. -A t'age de 5 ans formation subite d'une tumeur sur grand dorsal qui s'est bientôt transformée
s muscles de la cuisse qui partent du bassin ; il s'y est formé une tumeur rouge, chaude et déjà dure à sa partie infé- ri
la hanche droite et à la cuisse, principalement aux adducteurs ; la tumeur est encore à la première période, elle détermin
ent il 6 centimètres de l'occiput. Les rapports du splénius avec la tumeur sont les mêmes que ceux que l'on constate pour le
des fibres du grand fessier, masse osseuse comme un neuf de poule. Tumeur semblable sur la crête iliaque droite. De ces d
de poule. Tumeur semblable sur la crête iliaque droite. De ces deux tumeurs s'étend sur tout le dos une masse osseuse, très
trajet arciforme, va se réunir avec la lame arciforme qui part de la tumeur du grand pectoral ; la bande envoie encore un p
al ; la bande envoie encore un prolongement qui va se réunir il une tumeur située dans le grand rond. De l'angle formé par l
iliaque à mi-cuisse. Les muscles qui entrent dans le domaine de la tumeur sont le tenseur du fascia lata, la partie antérie
ette masse s'insère au grand trochanter. La partie supérieure de la tumeur est bifurquée. La masse princi- pale émet une e
s de la mâchoire. Plus tard, après disparition sur le sternum d'une tumeur grosse comme un oeuf de poule, des indurations se
160°. Dans la portion charnue du semi-tendineux et semi-membraneux, tumeur fusiforme, pâteuse, mal circonscrite, douloureu
en ailleurs dans la cuisse et les os du bassin. Deux mois après, la tumeur est attirée vers la tubérosité ischiatique, ell
e la flexion et de la rotation de la tête. Dans le dos existent des tumeurs qui débutent en bas dans le bassin et vont en hau
iliaque antérieure et supérieure et au pli de l'aine, on trouve une tumeur diffuse, résistante à la périphérie, molle au cen
alors a la région inguinale, immédiatement sous la peau saine, une tumeur osseuse, indolore it la pression, composée de pet
e la clavicule gauche tout près des insertions du trapèze in- tact. Tumeur osseuse derrière l'angle inférieur de l'omoplate
he, avant tout la longue portion du biceps, sont transformés en une tumeur dure, fibreuse, contenant uue bandelette osseus
trouve des gonflements diffus, rouges, douloureux, oedémateux. Ces tumeurs disparaissent par l'incision, en 3 ou 5 jours,
n des sterno-mastoidiens. Bientôt après apparition à la nuque d'une tumeur molle, douloureuse, qui laissa à sa suite une pla
sa suite une place indurée et la raideur du cou. Petit à petit des tumeurs semblables se sont montrées au dos et au bras d
ssant une rai- deur de l'articulation. Presrlu'en même temps que la tumeur du genou, se dé- veloppa une tuméfaction sur la
lus grosse que la gauche. Partie de l'épine iliaque supérieure, une tumeur , douloureuse à la pression, se dirige en bas et
s élastiques, avec plus de nodosités qu'aujourd'hui. Un mois après, tumeur sur l'ilion droit et sur la 11° côte gauche. Le
tension dans le côté droit de la nuque et douleurs au niveau d'une tumeur de l'aisselle droite. Nouvelle bosse comme une no
la face interne ou buccale, où la proéminence gingivale simule une tumeur . La voûte palatine est plus sillonnée à gauche
et les os nasaux ne sont pas soudés entre eux. Ainsi se produit une tumeur de forme irrégulière. Comme exemple de ce gen
ta- nelles manquent et à la place de la racine nasale se trouve une tumeur de la grosseur d'une noix, lorsque les os crâni
ait une formation aplatie et arrondie ; veiitraleiiient se voyait une tumeur de forme irrégulière, qui faisait saillie à l'e
du tissu conjonctif, qui se transforme à l'extrémité opposée en une tumeur sortant par trou fronto-nasal. Il est intéressant
de l'angle supérieur et postérieur des omoplates, il a constaté une tumeur diffuse s'accompagnant du gonflement des gangli
cou, immédiatement au-dessous de la mâchoire, à droite. Ces petites tumeurs disparurent dans l'espace d'un mois ; la plusgros
aires, et que les mouvements des bras étaient un peu * limités. Les tumeurs du dos ont été en grossissant avec le temps. Depu
x valgus de telle sorte qu'ils se placent sous le 2e orteil. 1. Des tumeurs de consistance osseuse se trouvent dans différent
es les deux sont mobiles, pectiniformes. En outre, on voit d'autres tumeurs ; deux entre les omoplates, deux autres sur la
l'omoplate gauche, et une sur la région lombaire gauche. Toutes ces tumeurs siègent dans les muscles. Les muscles des régio
régions inter-scapulaire et lombaire sont durs, mais pas ossifiés. Tumeur dure à la région du biceps brachial droit, allo
on la tête de l'enfant se penche à droite. En janvier 188' nouvelle tumeur dans la masse sacro-lombaire gauche ; et à l'an
le. Tête inclinée à gauche, sterno-mastoïdien tendu au-dessus de la tumeur mentionnée. - Scoliose dorsale droite, légère c
e l'ossification de la paroi postérieure de l'ais- selle gauche; la tumeur comprenait toute l'épaisseur du grand dorsal ; el
te un peu, mais ce bénéfice se perd bientôt. On enlève également la tumeur du haut de la nuque, on n'obtient rien, sans do
t l'apparence du tissu osseux normal. 24 décembre. Reproduction des tumeurs opérées. Bras droit. Abduction et flexion de 15
Bientôt appa- rition insidieuse, sans douleurs ni rougeur, d'autres tumeurs , un peu plus 396 .\. WEIL ET J. NISSIM grosse
poitrine, il la face postérieure du cou et au dos. Disparition des tumeurs au bout de 3 il 4 semaines, sans laisser de trace
dans le but de s'assurer de la nature osseuse ou cartilagineuse des tumeurs , sont restées sans résultat positif. 25 avril 9
résultat positif. 25 avril 93. Apparition dans le liane droit d'une tumeur ayant les mê- mes caractères que les précédente
s dimensions d'une noix. ' 27 avril. - Une incision au niveau de la tumeur donne : peau et tissu cel- lulaire normaux ; le
bres musculaires striées, très modifiées. Au bout de huit jours, la tumeur en question disparaît presque complète- ment.
ue complète- ment. Pendant le séjour de l'enfant à l'hôpital, des tumeurs apparaissent dans différentes parties du tronc
l'influence exclusive de la médication iodurée interne. Seule la tumeur du grand pectoral est restée stationnaire rappela
327-328. Garçon, 9 ans. Vu pour la première fois en avril 1892 pour tumeurs du dos ayant débuté 4 ans auparavant et ayant a
eurs recourbés ; les coudes séparés des parties latérales du tronc. Tumeur osseuse à la partie moyenne de la mâchoire comm
masse irrégulière, osseuse mesurant un demi-pouce. La base de cette tumeur commence dans la portion 398 A. WEIL ET J. NISS
é de 34 ans, présentait des crises épileptiques en rapport avec une tumeur vasculaire de la zone ro- landique que l'examen
guérison de la plaie en 14 jours sans accidents ; eu même temps, la tumeur et sa sensibilité ont considérablement diminué.
1886 tous les étés manifestation de pareils phénomènes autour de la tumeur lombaire et finalement celle-ci s'étendit jusqu'à
mps, sans fatigue, de noyaux dans différents endroits, à côté de la tumeur du côté gauche et au-des- sous du creux axillai
uche peu mobile, projection en arrière du bras gauche très limitée. Tumeur bosselée, grosse comme un oeuf de poule, cartil
auf au niveau des fibres de la 3° côte qui forment une corde mince. Tumeur semblable plus petite, au niveau de la 6° vertè
cles des bras et des avant-bras sont particulièrement peu développés. Tumeur de consistance fibreuse, grosse comme le point,
osse comme le point, occupant la partie moyenne du deltoïde gauche, tumeur sur laquelle les fibres musculaires se contracten
inférieure de l'humé- rus, des deux côtés, sous le biceps atrophié, tumeur osseuse occupant la place du brachial antérieur
pant la place du brachial antérieur. Sous le long supinateur droit, tumeur osseuse de 5 cen- timètres de longueur et de la
terno-hyoïdien droit. Le domaine du grand dorsal est envahi par une tumeur saillante, de con- sistance cartilagineuse, imm
lombo-dorsal, saillie ver- ticale, dure, se réunissant à la grande tumeur . La moitié droite du dos est libre. Dans le sou
ur. La moitié droite du dos est libre. Dans le sous-épineux gauche, tumeur très dure, superficielle, commen- çant à l'épin
ions congénitales (main, pied). Le 16 novembre 1894. Incision de la tumeur du deltoïde gauche à cause de son volume ; on e
ines auparavant la mère s'était aperçue de l'existence de plusieurs tumeurs sur le dos ; elles augmentèrent depuis. La raideu
sification puis- sante de la cuisse droite, on a la sensation d'une tumeur périostique réunie plus tard à une ossification
us tard à une ossification musculaire. Partie du grand trochanter, la tumeur suit en partie la direction des fibres, en part
de traces, En juillet 1893, chute et formation consécutive de deux tumeurs il l'occiput à droite et au bras droit. Cette d
du tho- rax sont très atrophiés. Sur l'épine de l'omoplate droite tumeur grosse comme un oeuf de poule. La musculature d
ule gauche. A droite, au-dessus du mamelon droit se voit une petite tumeur qui se réu- nit par une bandelette avec la plaq
u mamelon droit ; le bras ne peut être porté en arrière. Une petite tumeur osseuse située au- dessous du mamelon gauche se
e 3 février élévation nouvelle de la température et formation d'une tumeur somhlablo au côté gauche du cou. La consistan
'une tumeur somhlablo au côté gauche du cou. La consistance de la tumeur augmente avec le temps ; on sent maintenant une
stance de la tumeur augmente avec le temps ; on sent maintenant une tumeur dans chaque sterno-mastoïdien. Depuis, chute, fra
irurgical au début reste sans résultats éloignés, la récidive de la tumeur est la règle. · BIBLIOGRAPHIE ÂBERNETY. Surgi
la moelle épinière, par Gilles DE la TOURETTE et G. GASKE. 18. Tumeur du cervelet (Un cas de), par F. RAYMOND (3 fig.
. et 1 pl.), 114, 154, 276, 387, 475. Raymond (F.). Sur un cas de tumeur du cervelet (3 fig. et 1 pl.), 213. Richer (P
taire du lobule pariétal droit t (IGALIL1E5 LEMOS), Il. Un cas de tumeur du cervelet (F. Raymond), XXVIII. Le Gérant :
10 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
es circonstances. Quant aux opérations irrégulières, les ablations de tumeurs cancéreuses, les polypes, etc., où tout est soumi
lexus au pourtour de la marge de l'anus dispose aux hémorrhagies, aux tumeurs sanguines et aux transformations de tissus dont c
ation de la matière calcaire dans la gangue organisée, et formant une tumeur qui distend immodérément le périoste, (c) Le spin
feu, ou il produit ces engorgemens chroniques désignés sous le nom de tumeurs blanches. (c) Solutions de contiguité des artic
ans certaines maladies chroniques, telles que les polypes et diverses tumeurs fongueuses, lorsqu'elles ont acquis un grand volu
congestion ou d'épanchement, et dans tous les cas de développement de tumeurs ; toujours les aponévroses, tant superficielles q
ien n'est plus commun, en effet, que de rencontrer entre les lobes de tumeurs de diverses natures ou au travers des foyers puru
nt de nature organisée, se soient développés dans le lieu où ils font tumeur , soit qu'étant de nature inorganique, ils éprouve
ennes. Dans des cas très rares, de pareilles fistules viennent former tumeur sous la peau des parois thoraciques. Enfin, oncon
ont donner lieu facilement à des infiltrations très étendues et à des tumeurs d'un grand volume. On sait effectivement combien
nt combien sont fréquens les filtra-tions séreuses ou purulentes, les tumeurs tuberculeuses ou encé-phaloïdes, développées dans
direction, vient former, sous le fascia superficialis et la peau, une tumeur ovoïde en travers. La hernie crurale est rare d
oas, longent les vaisseaux iliaques, et viennent ordinairement former tumeur sous la peau de la partie interne et supérieure d
cautérisations nécessitées dans une foule de cas, pour les abcès, les tumeurs fongueuses, etc. Communications de la cavité du
su cellulaire, les abcès, les infiltrations, les kystes, les diverses tumeurs ; chacune de ces maladies se distinguant par des s
u explique l'isolement et la forme aplatie et globuleuse des diverses tumeurs , productions érectiles ou kystes, qui s'y dévelop
la même cause cpie se rattache la forme aplatie et demi-sphérique des tumeurs du cuir chevelu, la résistance et l'enfoncement d
ules sébacés, dont le développement accidentel donne lieu aux petites tumeurs nommées tannes. La peau du nez, sur-tout celle du
rès facilc-mentà l'état de tissu érectile, en donnant lieu à diverses tumeurs qui prennent suivant leur forme des noms différen
a sous-cloison. La portion molle du nez est fréquemment affectée de tumeurs cancroides, ou même de cancer en masse, dont l'ab
que l'on y remarque : ce sont les diverses espèces de polypes et les tumeurs ércctiles et cancéreuses qui donnent lieu aux opé
iège de nombreux abcès; la glande elle-même est le point de départ de tumeurs fongueuses ou cancéreuses qui ont donné lieu à so
terne est le siège de nombreuses opérations, soit pour l'ablation des tumeurs érectiles ou des cancers auxquels l'exposent son
région sus-claviculaire peut être le siège de lipomes ou de diverses tumeurs dont on doive faire l'ablation ; mais les opérati
s propres maladies, les phlegmons, les abcès, l'anthrax, les diverses tumeurs ; dans les affections thoraciques, on y applique f
l d'une affection pécliculaire spéciale; il s'y développe parfois des tumeurs graisseuses ou des kystes que l'on a attribués au
elette appartiennent les fractures du pubis ou de l'os iliaque, et la tumeur que dessine la tête du fémur dans la luxation en
eu. Les mêmes effets sont le résultat des inflammations lentes ou des tumeurs blanches , des caries, des nécroses, du spina - v
loigné : tels sont les lipomes, les abcès profonds, et en général des tumeurs variées sans dégénération de tissus : les varices
eux : tels sont les ouvertures d'abcès, les hernies, les ablations de tumeurs , les fistules , la lithotomie, etc. Dans d'autres
ération. Ainsi, pour la cataracte, la taille, l'ablation de nombre de tumeurs , on préfère généralement le printemps et l'automn
a part de l'opérateur. Grâce à cet innocent artifice, une ablation de tumeur ou la section des chairs, clans une amputation, s
d plus maniable. On emploie le bistouri convexe dans l'extirpation de tumeurs volumineuses et pour inciser en dédolant ; il peu
s incisions conviennent pour les larges débridemens, l'extirpation de tumeurs volumineuses; elles entrent, en outre, dans le ma
inévitable d'opérer dans ces points, il vaut mieux , comme sur les tumeurs herniaires, pratiquer l'incision à plusieurs repr
sans la léser , comme une artère dont on doit faire la ligature, une tumeur enkystée que l'on veut enlever en totalité, etc.
source pour pratiquer des résections, des excisions, des ablations de tumeurs . Lorsque la partie à enlever est d'un volume cons
s qui recouvrent une hernie, lisolement des artères, l'enlèvement des tumeurs enkystées , sont de ce nombre. Dans le premier ca
iquer, on se sert du bistouri convexe. On le présente d'un côté de la tumeur ; et, en faisant glisser le tranchant du talon jus
tant d'abord incliné en bas pour attaquer, puis couché à plat sous la tumeur , et enfin relevé pour achever la section. Il est
e circonstances, ne convient pas au même degré pour l'extirpation des tumeurs . Si ces dernières sont d'un petit volume et situé
étc et sur d'autres parties, pour appliquer le trépan ; au-devant des tumeurs herniaires, pour mettre à nu le sac qui contient
et, dans une foule de circonstances, pour faciliter l'extirpation de tumeurs solides ou enkystées. Elle offre cet avantage que
c'est que l'incision cruciale est préférable pour l'enlèvement d'une tumeur arrondie, c'est-à-dire dont les deux diamètres so
lus grande est faite sur le bord et parallèlement à la longueur de la tumeur ; la plus petite est abaissée suivant l'étendue du
ssaire dans ce cas, surtout lorsque la partie que l'on enlève est une tumeur volumineuse qui cache le trajet de l'instrument,
le chemin que doit parcourir le bistouri. C'est pour l'ablation des tumeurs volumineuses sous-cutanées-, et en particulier du
très employés dans les ablations, les excisions, les extirpations de tumeurs , de fongosités et d'excroissances de diverse nat
muqueuses. En appuyant la convexité de l'instrument à la base de ces tumeurs , de manière à les faire saillir entre les trancha
es cas de détachement de lambeaux de peau mobile ou d'isolement d'une tumeur indolente, du moins tant qu'il n'y a aucun risque
'on l'emploie comme moyen d'exploration pour préciser la nature d'une tumeur . Trois instrumens sont employés pour la ponctio
dégager la lame, appuyer légèrement du plat de la main gauche sur la tumeur , afin que le fluide suive immédiatement. En conti
issus et les tirent en sens contraire. C'est ainsi que l'on isole les tumeurs carcinomateuses bien circonscrites par un kyste f
ladies des parties molles, l'arrachement s'applique de préférence aux tumeurs denses, mais circonscrites dans leur contour, sit
double érigne : telles sont les pinces de Museux. L'arrachement des tumeurs pédiculées n'est ordinairement que le dernier tem
ns, destinées à leur donner passage, que l'on parvient à extraire des tumeurs volumineuses encastrées profondément dans des can
par l'ouverture de la bouche : telles sont aussi les extirpations de tumeurs variées environnées d'un grand nombre de vaisseau
ui-même n'est absolument dangereux que dans l'extirpation des grandes tumeurs adhérentes de mauvaise nature. Ajoutons pourtant
rrachement ne peut avoir pour effet que l'enlèvement provisoire d'une tumeur dont les racines repulluleront, même après une ca
tant d'indications, (a) Si l'on doit circonscrire dans une cavité une tumeur sans pédicule distinct, on se sert d'une aiguille
pinces servent au besoin à ramener les fils, (c) Pour exercer sur les tumeurs situées profondément une constriction graduée et
tit anneau perpendiculaire, qui étrangle la base ou le pédicule de la tumeur en serrant l'anse du fil, dont les extrémités son
masse et à la résistance des parties qu'elle doit embrasser. 20 Si la tumeur est d'un grand volume et que l'on puisse craind
, en d'autres termes, en faire plusieurs qui divisent la niasse de la tumeur en plusieurs cercles de striction. 3° S'il est in
igature simple est celle qui ne forme qu'une anse, et suffit pour les tumeurs peu volumineuses. La ligature devient composée lo
les tumeurs peu volumineuses. La ligature devient composée lorsqu'une tumeur ayant un volume ou une base trop considérable, il
ures en plusieurs anses qui embrassent autant de fractions d'une môme tumeur . Dans l'un et l'autre cas, la striction s'exerce
ssujettit ce premier nœud pendant qu'on l'assure par un second. Si la tumeur , peu volumineuse, a un pédicule étroit, l'étrangl
recoin m encer ainsi à plusieurs fois ; d'où il résulte que, pour les tumeurs très volumineuses , la ligature composée est bien
ogressive à distance, en refoulant graduellement vers le centre de la tumeur l'anneau ou la fourchette qui rassemble les anses
n les extrémités libres du fil. La première boule, en contact avec la tumeur , se termine par un angle aigu, afin de continuer,
remplir d'après la forme, le volume et la composition organique de la tumeur . Pour diviser un point charnu dans un trajet fist
diviser un point charnu dans un trajet fistuleux, séparer une petite tumeur autour des orifices cutanés, ou un polype peu vol
simple ligature par les deux premiers procédés. Si, au contraire, une tumeur est très résistante et d'un volume assez considér
ratiquée jusqu'à présent, n'était raisonnablement applicable qu'à des tumeurs d'un médiocre volume, les parties situées dans le
nt à empêcher la circulation centrale, voyait, malgré ses efforts, la tumeur continuer de croître, en raison accrue de la nouv
ut de ce procédé est de diviser, suivant son plus grand diamètre, une tumeur en plusieurs portions renfermées dans autant de l
en calculant d'avance leur intervalle obligé d'après le volume de la tumeur . M Malgaignc pense que l'on pourrait n'avoir qu'u
rait n'avoir qu'une seule aiguille qui traverserait successivement la tumeur en sens inverse, comme dans la suture à points pa
ajet une aiguille différente chargée de son double fil. Soit donc une tumeur que l'on veut diviser en trois parties, on y empl
ue l'on insinue lentement l'une après l'autre à travers la base de la tumeur que l'on traverse de part en part : ces deux traj
x trajets, parallèles entre eux, inter-cepteront le tiers moyen de la tumeur . Dans ce cas, du reste, pour tles tumeurs presque
pteront le tiers moyen de la tumeur. Dans ce cas, du reste, pour tles tumeurs presque toujoursirrégulières, on'doit moins s'att
ru; si le chas est à l'autre bout, l'aiguille traverse directement la tumeur , entraînant son double fil de l'autre côté. Une f
fils posés, on coupe l'anse, et, en nouant les extrémités libres, la tumeur se trouve liée isolément en trois parties : le ti
nce qu'elles embrassent. L'introduction des aiguilles au travers de tumeurs très vasca-laircs exige certaines précautions. 11
un fort lien, dont on étranglerait par la circonférence la portion de tumeur dont on suppose que vient le sang. Enfin , si à l
tumeur dont on suppose que vient le sang. Enfin , si à la base de la tumeur se trouvait tel organe important que l'on pût cra
e de léser, il vaudrait mieux diriger le trajet de l'aiguille vers la tumeur elle-même en s'écartant de sa base. soins et pr
dant que la striction s'opère, surveiller avec soin ses effets sur la tumeur . Si cette dernière renferme une grande masse de f
que, par la circulation en retour, aidée d'une légère compression, la tumeur se serait un peu dégorgée. Ce précepte est surtou
eur se serait un peu dégorgée. Ce précepte est surtout applicable aux tumeurs très vasculaires, aux polypes, tumeurs éreetiles,
pte est surtout applicable aux tumeurs très vasculaires, aux polypes, tumeurs éreetiles, fongus hématodes, etc., gorgés d'une g
des hémorrhagies très difficiles à arrêter. 3° Si, au contraire, la tumeur est d'un tissu dense et peu abreuvé de fluides, i
n. effets des ligatures et soins après leur application. Dans les tumeurs dont le pédicule étroit ne dépasse pas quinze à v
forte, d'intercepter immédiatement toute circulation. On recouvre la tumeur de charpie et de linge pour absorbe» les humidité
aura une division commencée. Pendant que l'on opère la striction, la tumeur se gonfle sous l'abord du sang artériel, qui s'ef
ues, s'il y a des vaisseaux d'un certain volume qui pénètrent dans la tumeur , moins altérés dans leurs tissus, ils résistent c
s, variables suivant le siège et la nature de l'excroissance ou de la tumeur , sont assez nombreux et réclament toute l'attenti
des tissus, la circulation artérielle continuant seule à s'opérer, la tumeur augmente démesurément de volume jusqu'à menacer d
out de suite une compression très vive, et d'enlever immédiatement la tumeur par l'instrument tranchant. La ligature en masse,
entent souvent, comme temps opératoires , dans l'ablation des grandes tumeurs irrégulières de mauvaise nature, c'est à la prude
on trop superficielle qui permettrait une repullula-tion rapide de la tumeur . 3° Enfin, quand au bout d'un certain nombre de
fin, quand au bout d'un certain nombre de jours après la ligature, la tumeur au lieu de se flétrir continue de vivre ou même d
tique dans les plaies envenimées. Néanmoins, pour la cautérisation de tumeurs d'une mauvaise nature, dont on a excisé la base,
ons reconnu souvent les bons effets pour la cautérisation des petites tumeurs et des végétations fongueuses et cancroides. Av
troisième fois, sans risquer d'aggraver la maladie. Pour les petites tumeurs cancroïdes de la face en particulier, qui repullu
ct les parties déclives. Appliquée ainsi par grandes masses sur des tumeurs spongieuses d'un grand volume, la potasse réduit
indre, soit sur l'ensemble de l'organisme, soit sur la tendance de la tumeur à envahir ou repulluler. Potasse caustique et c
la cautérisation transcurrente, et pour attaquer la base de certaines tumeurs fongueuses facilement saignantes. Cautère nummula
sur les parties affectées d'inflammations chroniques, telles que les tumeurs blanches articulaires produites par une cause de
marge de l'anus, un lambeau cutané traumatique, renfermant une petite tumeur ou une artère lésée, se trouve saisi entre deux d
dus dans les varices ; empêcher le développement d'un grand nombre de tumeurs , et, en particulier, pour écraser les kystes sére
e. Appliquée dans ces derniers temps, comme système de traitement des tumeurs squirrheuses et cancéreuses et des engorgemens ly
ption. A la vérité, dans la plupart des cas, on n'a pu que réduire la tumeur à un noyau d'induration mobile et indolent; mais
mais alors même la compression, en arrêtant d'abord les progrès de la tumeur , puis en l'atrophiant et limitant son volume, a r
endu plus efficace une ablation curative. Quant à son application aux tumeurs sanguines, on en a obtenu quelque succès, seule o
moyens, dans le traitement des anévrismes; mais poulies fbngus et les tumeurs érectiles, si on a pu souvent en produire l'affai
produire l'affaissement tant que durait la compression, en général la tumeur reprend son volume et même s'accroît avec plus de
en a de nombreux inconvéniens, et ne saurait être employé que sur des tumeurs indolentes et dans l'absence de toute congestion
d'un médiocre volume : telles sont toutes les ablations des diverses tumeurs cancéreuses, fongueuses, érectiles, du sein, du t
es, du sein, du testicule, etc.; celles des kystes, des lipomes et de tumeurs variées. Quand les tissus altérés ont de nombreus
ur qu'il soit très difficile de l'arrêter : c'est le cas de certaines tumeurs fongueuses et de l'anévrisme par dilatation des c
risme par dilatation des capillaires artériels, lorsque ces sortes de tumeurs ont été blessées. Quand ces hémorrhagies tendent
r atrophier ou empêcher l'accroissement de fongus, d'anévrismes ou de tumeurs érectiles de la tête, soit comme moyen préventif
ndait, vu la rapidité du retour de la circulation artérielle dans les tumeurs par les anastomoses avec le tronc de l'autre côté
iculier, dans les amputations. Enfin, dans certains cas d'ablation de tumeurs qui fournissent du sang en nappe par un grand nom
e, par divers moyens, au travers de la peau, à la circonférence de la tumeur , sur le trajet connu des artères principales. L
est encore le seul moyen applicable après l'enlèvement de fongus, de tumeurs érectiles et cancéreuses; en un mot, toutefois qu
a nature dans certains cas spéciaux, tels que l'ablation de certaines tumeurs volumineuses où nombre de vaisseaux cachés dans l
t par cela même est presque réservée pour panser après l'excision des tumeurs cancroides à la face. L'éponge ne peut être aussi
avec le nitrate d'argent. Mais surtout comme pour toutes les petites tumeurs à la peau, ncevi-malerni, boutons fongueux ou can
ive. Ce moyen est réservé pour ranimer les fonctions vitales dans les tumeurs blanches, les engorgemens lymphatiques et les ulc
tébrale affectée de carie. 4° Sur les grandes articulations, siège de tumeurs blanches. 5° Enfin, sur tous les lieux et dans to
la peau tendue pendant toute la durée de la nouvelle cicatrisation: Tumeurs verruqueuses des cicatrices. C'est le nom sous le
cicatrices. C'est le nom sous lequel M. Hawkins a décrit les petites tumeurs fibreuses et vasculaires qui se développent à la
its par d'autres causes, a eu fréquemment l'occasion d'exciser de ces tumeurs suides cicatrices des orteils. M. Lisfranc en a e
ont d'abord fixé l'attention. Déjà Dupuytren avait excisé les petites tumeurs fibreuses, causes d'atroces douleurs, sur le traj
es sections incomplètes qui menacent de tétanos, l'irritation par des tumeurs , esquilles ou corps étrangers ; les spasmes convu
fficace comme moyen préventif, n'a plus qu'un effet palliatif sur les tumeurs une fois produites, et ne doit alors son innocuit
u , prescrit le premier de placer une simple ligature au-dessus de la tumeur , précepte dont l'accomplissement deviendra plus t
rapeutique de l'anévrisme, en pratiquant la ligature au-dessous de la tumeur clans les cas exceptionnels où il n'est pas possi
r en jour des applications nouvelles soit pour obtenir l'atrophie des tumeurs sanguines et cancéreuses, soit comme moyen hémost
e celui de la tibiale antérieure, y permet plutôt le développement de tumeurs sanguines. Ruysch cite un cas d'ané-vrisme sponta
Dorsay un autre cas de varice anévrismale, et Guattani un exemple de tumeur pulsative non déterminée anatomiquement. Quant au
ots que l'opération, pour cause d'anévrisme, est légitimée lorsque la tumeur , d'un volume médiocre, permet sans danger la liga
évrisme par dilatation des minuscules artériels, dont l'arnas, en une tumeur ovoïde et aplatie, remplit la paume de la main. A
écessitée qu'autant qu'il faudrait mettre entièrement à découvert une tumeur anévrismale circonscrite dans l'espace sous-clavi
fois des indications fournies par le volume et la configuration de la tumeur . C. Incision verticale. (Procédé de M. Lisfranc
anc, Gensoul, Walther, Friche , M'Glellan ) ; 2° pour la guérison des tumeurs érectiles ou des fongus hématodes à diverses régi
otide a été liée dans le but le plus essentiel, celui d'atrophier des tumeurs sanguines, on a pu d'abord s'abandonner à l'espoi
eurs sanguines, on a pu d'abord s'abandonner à l'espoir en voyant les tumeurs cesser de battre et s'affaisser ; niais ce résult
côté du cartilage thyroïde : mais comme lieu de nécessité, en cas de tumeur anévrismale, on a souvent besoin de la lier à sa
(Valsalva, Monro): deux faits d'obstruction presque complète par des tumeurs stéatomateuses (Steuzel); deux autres cas de rétr
opératoire ; M. Murray, à cause du volume et de la disposition de la tumeur , fut obligé d'inciser plus à gauche. La manœuvre
rte quatre méthodes de traitement. i° Compression permanente sur la tumeur . C'est le premier des moyens à employer quand la
éveloppement de la maladie. — i° Ligature de l'artère au-dessus de la tumeur . Ce procédé n'a eu aucun succès. Au bras, sur tro
ois malades auxquels a été faite la ligature do l'artère humérale, la tumeur a reparu (Dupuytren, Breschet). Au membre inférie
re été essayé.— 3° Ligature de l'artère au-dessus et au-dessous de la tumeur . Ce procédé, qui n'est que l'application à l'anév
ulte une hémorragie foudroyante et immédiatement mortelle soit que la tumeur se fasse jour au dehors ou qu'elle s'ouvre dans l
où, l'absorption s'emparant des fluides dans l'intérieur du sac, une tumeur disparaît graduellement d'elle-même, il est proba
par s'oblitérer. Tels sont les faits de disparition ou d'atrophie de tumeurs ancvrisrnales cités par Lowcr (carotide), Rcinig
ison par gangrène observé par M. Guthric est remarquable en ce que la tumeur était située à l'aîné. 3° L'induration. Dans ce
urs ne s'en sont pas laissé imposer par la diminution apparente de la tumeur pendant la longue durée de l'état anémique, et si
tion en apparence très défavorable au travail de solidification de la tumeur et d'oblitération du vaisseau. Toutefois employée
s, pour la guérison de l'anévrisme, découvre l'artère au-dessus de la tumeur en deux endroits, et en fait la section; ouvre et
que extrémité, les lie sur l'artère au-dessus et au-dessous, ouvre la tumeur , la vide et l'excise. C'est ce procédé qui sera r
-septième siècle par Thévenin. — Guy de Chauliac ( i3/|o) découvre la tumeur , fait la ligature de l'artère à chaque bout, l'is
llemeau(i G i o) lie également l'artère au-dessus et au-dessous de la tumeur , mais sans la couper; puis, à l'imitation des anc
ir établi avec le garrot la compression sur l'artère, au-dessus de la tumeur , incise le sac anévrismal dans toute sa longueur,
anévrisme sans avoir à redouter l'hémorragie, et se débarrasser de la tumeur dont le volume gêne les parties. Toutefois Guy de
ste Lancisi, il se contenta de lier l'artère numérale au-dessus de la tumeur , sans toucher au kyste. Après cinq semaines la gu
plus rationnelle de l'anévrisme. L'artère étant liée au-dessus de la tumeur par une simple incision, comme pour une hémorragi
le tronc artériel principal, du dessus de la ligature au-dessous delà tumeur , se rétablit par la dilatation des branches colla
un anévrisme de l'artère poplitée. Il fit sa ligature au-dessus de la tumeur ; des hémorragies survinrent, et le malade succomb
oir effectué la ligature à distance sur la fémorale, sans touchera la tumeur ; circonstance qui a permis à ses compatriotes d'a
est d'avoir proposé le premier de placer la ligature au-dessous de la tumeur , c'est-à-dire entre elle et l'extrémité capillair
énorme anévrisme inguinal : les battemens augmentèrent, on ouvrit la tumeur ; des hémorragies survinrent, et la malade mourut
oper renouvelle cette tentative pour un anévrisme iliaque. D'abord la tumeur diminue, la plaie se cicatrise, tout promet une g
trise, tout promet une guérison; mais, après deux mois, rupture de la tumeur , qui entraîne la mort. A partir de cette époque,
. On les divise en trois séries, suivant qu'ils s'appliquent sur la tumeur elle-même ou sur le tronc artériel, au-dessus ou
eur elle-même ou sur le tronc artériel, au-dessus ou au-dessous de la tumeur . MOYENS D'ACTION SUR LA TUMEDB Topiques rèfri
soire. La compression médiate n'a pas été employée seulement sur la tumeur , mais également au-dessus, au-dessous, et sur tou
cer n'ont pas moins varié que le lieu de son application. A. Sur la tumeur . Elle était déjà usitée chez les anciens ; Galicn
t Théden employaient un bandage spiral qui montait d'abord jusqu'à la tumeur ; un magma de substances résolutives était appliqu
ée en regard et le bandage enveloppait le tout. C. Au-dessous de la tumeur . Ce procédé, dont l'indication est la même que ce
soin pourrait être réitérée; car puisque la ligature au-dessous de la tumeur a réussi quelquefois, on ne voit pas pourquoi il
oi il n'en serait pas de même de la compression. D. Au-dessus de la tumeur . C'est le procédé le meilleur et par-conséquent c
quent celui que l'on emploie de préférence lorsque la situation de la tumeur le permet. Toutefois il est bon d'y adjoindre la
pour le membre, en un bandage spiral ; la compression au-dessus de la tumeur se fait avec une bande sur l'artère et une plaque
erçu rétrograde. La compression établie sur l'artère, au-dessus de la tumeur , on incisa en regard de l'anévrisme, on ouvrit la
able sur l'artère avec deux tourniquets au-dessus et au-dessous de la tumeur , l'ouvrit, la vida, passa un fil au-dessous de ch
troduite par son orifice. PROCÉDÉS QUI S'APPLIQUENT AU-DESSUS DE LA TUMEUR . Compression immédiate, i 0 Compression par un
ieu , inciser parallèlement, par plans, les parties qui recouvrent la tumeur , en étendant la division un peu au delà, au-dessu
me spontané on prescrit de lier le plus loin possible au-dessus de la tumeur . C'est le contraire dans l'anévrisme traumatique,
le lieu n'offre trop de difficulté, il vaut mieux se rapprocher de la tumeur pour bénéficier de la présence des artères collat
û pratiquer la ligature. PROCÉDÉS QUI S'APPLIQUENT AU-DESSOUS DE LA TUMEUR . Ils sont au nombre de deux , la compression et
'énumération renferme les corps étrangers, les abcès, les kystes, les tumeurs par hypertrophie d'un tissu naturel et celles car
, rhumatismes, etc., pour faciliter la résorption d'indurations et de tumeurs commençantes. On l'emploie de deux manières, soit
a augmenté le nombre, et c'est ainsi que, pour certains traitemens de tumeur les aiguilles s'étant beaucoup multipliées, tel c
dégager la lame, appuyer légèrement du plat de la main gauche sur la tumeur , afin que la sortie du pus suive immédiatement. E
s parois du foyer. Dès que la diminution considérable du volume de la tumeur ou l'écoulement moins abondant indiquent que l'on
cès du foie, et par Dupuytren pour des abcès profonds de la cuisse. TUMEURS . Rien de plus varié, mais aussi rien de plus va
mais aussi rien de plus vague, en chirurgie , que la qualification de tumeur . Cette dénomination pratique assez naturelle, pui
nt les maladies les plus disparates. Dans l'ancienne chirurgie le mot tumeur s'appliquait indistinctement à toute proéminence
qui sont traitées dans leur lieu , et restreignant la dénomination de tumeurs aux altérations et aux transformations organiques
itre spécial les excroissances cornées et cutanées, les kystes et les tumeurs proprement dites, graisseuses, squirreuses. cancé
dites, graisseuses, squirreuses. cancéreuses, les fongus hématodes et tumeurs érectiles et les névromes. Mais si, en doctrine
ligature et la cautérisation. Toutefois, vu l'extrême variété de ces tumeurs et les précautions à prendre dans l'emploi, simpl
in; au membre abdominal, les fesses, les genoux, les pieds. Quand ces tumeurs sont isolées, elles acquièrent parfois un volume
ffre peu de danger; et on devrait s'abstenir de toute opération si la tumeur est implantée sur le crâne, dans la crainte qu'el
excroissances sont fréquemment irritées, elles se développent en une tumeur fibreuse que l'on traite par la ligature, l'excis
sion, ou l'extirpation. Ligature. Elle ne convient qu'autant que la tumeur est étroite à sa base ; on la pratique avec un co
les vaisseaux et les tissus vivans. — Excision. Saisir d'une main la tumeur avec une pince, une érigne ou entre les doigts, l
avec des ciseaux courbes. — Extirpation. Cerner, avec le bistouri, la tumeur entre deux incisions semi-elliptiques qui renferm
renferment une petite portion de peau non altérée, et glisser sous la tumeur , dans la couche celluleuse sous-cutanée, en enlev
pant, une plaie d'une grande surface, faire à la partie déclive de la tumeur une large ponction par laquelle on la vide préala
Kystes synoviaux sous-cutanés. Les évacuer par incision, et, si la tumeur est très volumineuse, exciser un lambeau ellipsoï
au procédé suivant. 2° Ponction suivie de séton. Faire comprimer la tumeur à l'une de ses extrémités, et sur la saillie qu'e
pation varie suivant le lieu : l'important est de mettre largement la tumeur à découvert et d'en enlever jusqu'au dernier frag
nt la tumeur à découvert et d'en enlever jusqu'au dernier fragment. TUMEURS GRAISSEUSES. Les tu meurs graisseuses, ou lipom
t ; et encore son application n'est-elle raisonnable qu'autant que la tumeur est pédiculée. Pour faciliter la section de la pe
s cas où l'on suppose que des vaisseaux considérables se rendent à la tumeur on a proposé de combiner les deux méthodes opérat
tion sauf à lier ou tordre les vaisseaux. 2° Extirpation, (a) Si la tumeur est plate et ci large base, la découvrir par une
ou cruciale, disséquer et relever les lambeaux, isoler et dénuder la tumeur de ses adhérences cel-luleuses avec les doigts, l
ant qu'on aurait à diviser une bride fibreuse trop dense ; dès que la tumeur est isolée à son contour, la saisir entre les doi
auraient pu être divisés pendant le cours de l'opération. (b) Si la tumeur est large et saillante de telle sorte qu'après so
ons semi-elliptiques ; on dissèque alors au travers de cette plaie la tumeur en se servant du bistouri pour détruire les adhér
adhérences, qui, dans ce cas, sont ordinairement plus résistantes. TUMEURS FIBREUSES. Développées ordinairement sans cause
S. Développées ordinairement sans cause connue, on rencontre de ces tumeurs dans toutes les parties du corps. Indolentes, dur
èrent. Leur volume est très variable et quelquefois énorme. Comme ces tumeurs sont en elles-mêmes sans danger, il est de précep
la ligature ou l'extirpation. La ligature n'est applicable que si la tumeur est superficielle, saillante et pédiculée. Uextir
à tous les cas. Une incision suivie de l'énucléation suffit quand la tumeur est enkystée ou circonscrite. Si elle est adhéren
e. Cette ablation ne donne habituellement lieu à aucune hémorragie. TUMEURS ENVAHISSANTES. Nous réunissons sous cette dénom
S ENVAHISSANTES. Nous réunissons sous cette dénomination toutes les tumeurs avec dégénérescence, c'est-à-dire les tumeurs squ
dénomination toutes les tumeurs avec dégénérescence, c'est-à-dire les tumeurs squirreuses, cancéreuses, lesfongus médullaires e
ongus médullaires et hématodes, les anévrismes par anastomoses et les tumeurs érectiles, qui, au point de vue de la médecine op
l'anatomie pathologique, tracer une histoire, même succincte, de ces tumeurs si nombreuses et si variées. Il nous suffit, eu é
s dont l'objet est de satisfaire à l'indication commune de séparer la tumeur de l'organisme. On y parvient par deux moyens gén
l'organisme. On y parvient par deux moyens généraux, l'atrophie de la tumeur et sa destruction. i° Les moyens de déterminer l'
rations. 3° Enfin dans les cas peu graves, et en particulier pour les tumeurs érectiles commençantes, ou les simples nœvi mater
nger le mode de vitalité des tissus. L'auteur conseille d'attaquer la tumeur par un grand nombre de piqûres avec l'aiguille ch
n prolongée. La compression n'est applicable que sur les points où la tumeur est superficielle et appuyée en profondeur sur de
mps et depuis, l'a également essayée un grand nombre de fois pour des tumeurs de diverses natures, en particulier dans les cas
tures, en particulier dans les cas d'anévrismes par anastomoses et de tumeurs érectiles aux parois du crâne, à l'oreille, à l'o
vers autres points des membres. En résultat général, surtout pour les tumeurs où prédomine l'élément vascu-laire, la compressio
appesantir trop long-temps; l'expérience ayant appris que souvent la tumeur gagne insidieusement en profondeur, pendant qu'el
qu'elle semble s'atrophier à la surface. irritation inflammatoire ( tumeurs vasculaires). Dans cette méthode opératoire l'int
s par plusieurs chirurgiens, n'est autre chose qu'une application aux tumeurs artérielles du procédé de Richerand pour la guéri
aux tumeurs artérielles du procédé de Richerand pour la guérison des tumeurs veineuses ou des varices. Procédé opératoire. L
manière à suspendre la circulation dans la partie malade, diviser la tumeur dans l'étendue de son plus grand diamètre par une
l'affaissement de toute la masse. Si, par exception, une partie de la tumeur restait à l'état de turgescence, l'ouvrir, par un
x ou les aréoles du tissu vasculaire. Dès que, par cette pression, la tumeur est complètement affaissée, appliquer sur la plai
que l'on recouvre d'une autre éponge plus large que la surface de la tumeur afin d'y maintenir une compression permanente qui
M. Malgaigne, commencer, avant l'incision , par la compression de la tumeur , de la circonférence au centre, en la faisant dur
de prononcer si ce procédé, qui n'empêche pas la circulation dans la tumeur , peut être véritablement curatif. 2° Selon. Ima
uction de corps étrangers à demeure. Étranglement par des épingles ( tumeurs vasculaires). Ce moyen, qui semble analogue au pr
nière à dépasser de quelques centimètres le plus grand diamètre de la tumeur . On les choisit d'un fil un peu fort, afin qu'ell
. Le nombre d'épingles pour chaque plan varie suivant l'étendue de la tumeur , quatre, huit, douze au plus. Si la tumeur est de
ie suivant l'étendue de la tumeur, quatre, huit, douze au plus. Si la tumeur est de forme inégale et bosselée, M. Lallemand l'
perpendiculaire au premier. Il est arrivé ainsi à faire traverser une tumeur par cent vingt épingles et au delà. Dans les prem
au delà. Dans les premiers essais, il ajoutait à la perforation de la tumeur son étranglement par des fils pour éviter l'hémor
us tard l'oblitération des vaisseaux prévient toute hémorragie. lia tumeur ainsi étranglée passe à une couleur violacée, noi
. Néanmoins une inflammation s'y établit, le pus change de nature, la tumeur s'affaisse et ses vaisseaux oblitérés se transfor
vaisseaux oblitérés se transforment en un magma ccllulo-fibreux. Une tumeur saillante de sept centimètres de diamètre, d'un r
luisante, comme celle qui succède à une brûlure. Ligature en masse ( tumeurs vasculaires). Nous avons peu de chose à dire de c
aires). Nous avons peu de chose à dire de ce moyen d'étranglement des tumeurs érectiles, dont nous avons déjà traité parmi les
e trois procédés. i° Ligature simple. Elle ne convient que pour les tumeurs érectiles cutanées et pédiculées. A. Petit, Dupuy
en ont opéré avec succès par ce procédé. 2° Ligature traversant la tumeur . Ce n'est autre que la ligature ancienne que nous
déjà décrite, et qui, modifiée de nos jours, consiste à traverser la tumeur avec plusieurs fils en divers sens et à lier par
° Ligature sous des épingles. Elle consiste à passer au travers de la tumeur une longue aiguille ou épingle (M. Gensoul) ou de
oul) ou deux épingles en croix (MM. Brodie, Barton) et à étrangler la tumeur avec des liens serrés passés sous ces épingles. C
and, doit lui céder aujourd'hui à la pratique. Atrophie par anémie ( tumeurs vasculaires). Cette méthodecu-rative destumeurs s
e. L'objet que l'art se propose est d'empêcher le sang d'arriver à la tumeur par la section ou la ligature des artères qui s'y
rvient par trois procédés : i° Section circulaire au pourtour de la tumeur . Applicable seulement aux cas où la maladie super
sultat la ligature des artères radiale et cubitale. Dans un cas où la tumeur était très large, M. Gihson prit le parti de la c
'intervalle. Nous avons dit que, vu les nombreuses anastomoses de ces tumeurs , qui en rendent toutes les parties solidaires, no
etites artères. S'il y avait un moyen assuré d'obtenir l'atrophie des tumeurs sanguines, il semble que ce devrait être par la l
yme, Velpeau, etc., et dont le plus grand nombre avait pour motif une tumeur érectile ou un fongus à la face, il n'y a pas enc
donné l'aperçu. (a) La ligature de la carotide primitive, pour des tumeurs érec-tiles à la face, est celle qui a été pratiqu
plus fréquemment. Depuis 1809 que M. Travers guérit par ce moyen une tumeur de l'orbite, vingt-cinq autres cas ont fourni les
les résultats suivans. i° A Xorbite et à la région temporale quatre tumeurs ont guéri (cas de MM. Travers, Dalrymple, Busk),
il-liaume); une a laissé un résultat douteux (Roux). 20 A la joue une tumeur a guéri (M. Clellan), deux ont continué (MM. Da-v
an), deux ont continué (MM. Da-vidge, Pattisson). 3° Hall a guéri une tumeur à Xantre dHyghmore, et Arendt une autre de la pau
tre dHyghmore, et Arendt une autre de la paupière supérieure. l\° Une tumeur à Xoreille (Dupuytren) a reparu après quelques jo
e tumeur à Xoreille (Dupuytren) a reparu après quelques jours. 5° Une tumeur de la paroi nasale n'a offert à Delpech qu'un suc
troncs artériels des membres n'a pas été pratiquée aussi souvent, les tumeurs érectiles et fongueuses offrant aux membres plus
t échoué à guérir par la ligature des artères radiale et cubitale une tumeur de la main. M. Chélius et Dupuytren n'ont pas été
n'ont pas été plus heureux en liant la fémorale, le premier pour une tumeur érectile du genou, et le second pour une dégénére
trois autres de MM. Roux, Grœfe et Chélius, qui ont eu pour objet des tumeurs érectiles à la main et à l'avant-bras. procédés
rectiles à la main et à l'avant-bras. procédés de destruction de la tumeur . Squirres, cancers, fongus, tumeurs érectiles,
procédés de destruction de la tumeur. Squirres, cancers, fongus, tumeurs érectiles, etc. Cautérisation. Toutes les varié
ngus, tumeurs érectiles, etc. Cautérisation. Toutes les variétés de tumeur avec dégénérescence peuvent être traitées par la
anœuvres dépendantes de l'extirpation. On n'arrache et ne déchire les tumeurs que par fractions dans certaines conditions excep
s derniers rudimens que l'on n'a pu enlever. Le broiement des petites tumeurs érectiles en particulier, tel qu'il a été conçu p
ins infidèle et aussi le plus prompt pour débarrasser un malade d'une tumeur avec dégénérescence ; c'est, avec la sanction una
chirurgiens, le plus généralement et presque le seul employé pour les tumeurs squirreuses et cancéreuses. Quant aux fongus et a
pour les tumeurs squirreuses et cancéreuses. Quant aux fongus et aux tumeurs érectiles, long-temps on les avait soumis sans cr
ératoire en général. 10 La forme de l'incision dépend du volume de la tumeur et de la profondeur à laquelle on doit atteindre.
profondeur à laquelle on doit atteindre. En général, pour toutes les tumeurs avec dégénérescence de tissu , le chirurgien deva
ance sur la peau intacte. 2° La division des tégumens opérée, si la tumeur y fait suite on procède à son ablation: niais dan
à son ablation: niais dans ces affections de mauvaise natu re, où la tumeur est toujours vaguement circonscrite, il ne s'a-gi
sse les faire écarter par un aide de la voie du tranchant. 4° Si la tumeur est située profondément et adhère aux tissus fibr
'excavation pour reconnaître s'il ne reste point quelque débris de la tumeur ou quelque racine que l'on excise. Il n'est pas r
la plaie et on procède à la ligature de tous les vaisseaux. Quand la tumeur extraite est un squirre ou un cancer, on réunit l
éunit la plaie par première intention; mais si c'est un fongus ou une tumeur érectile, comme on doit toujours craindre une hém
orps de l'os : les gouges sont principalement destinées à enlever des tumeurs osseuses, ou à sculpter le tissu spongieux des os
'une légère difformité doivent être respectées; il en est de même des tumeurs osseuses diffuses, larges, qui comprennent toute
ne, indolente ; et pour qu'elle soit justifiée, que la présence de la tumeur gêne plus ou moins l'exercice de certains organes
rfectionne-mens successifs aux moyens chirurgicaux dirigés contre les tumeurs des os. Le feu, de même que la ligature proposée
i le procédé général d'ablation des exostoses consiste à découvrir la tumeur à l'aide d'une incision simple ou cruciale, puis
disposition particulière des parties qui environnent ou supportent la tumeur . Ces difficultés et les moyens de les surmonter s
aux exostoscs superficielles et plus ou moins bien pédiculées. Si la tumeur adhérait à l'os par une base élargie, l'applicati
kystes développés dans les os. Ces kystes sont représentés par des tumeurs plus ou moins volumineuses offrant à l'extérieur
. Quatre méthodes principales ont été employées contre ces espèces de tumeurs . i° Compression. Nous ne faisons que la mention
reparaître. C'est donc encore une mauvaise méthode. 3° Excision. La tumeur ayant été préalablement mise à découvert, plonger
en circonscrivant un fragment triangulaire de l'os, qu'on enlève. La tumeur débarrassée des matières qu'elle contenait, rempl
). 4° Selon. Ce procédé, qui consiste à traverser de parten part la tumeur afin d'en obtenir la suppuration et l'élimination
ies reconnaissent pour cause la présence d'un corps étranger ou d'une tumeur , exostose, tumeur fibreuse ou érectile, etc. Mais
pour cause la présence d'un corps étranger ou d'une tumeur, exostose, tumeur fibreuse ou érectile, etc. Mais, en acceptant ces
. Syme n'envisageant que des faits relatifs à des malades atteints de tumeurs blanches anciennes, surtout dans les articulation
incurables, telles que la carie, la nécrose, 1 le spina-ventosa, les tumeurs blanches, etc. Chacune de ces lé-: sions présente
e recourir au débridement transversal, à moins qu'il n'existe quelque tumeur de l'os qui exige, pour les manœuvres, un plus gr
par MM. Syine, Crampton, Jceger, Barris, Roux, etc., à l'occasion de tumeurs blanches ou de fractures compliquées d'ouverture
Chez un malade affecté d'ostéosarcome de la clavicule qui formait une tumeur de la grosseur des deux poingts réunis, étendue e
eure, s'étendant d'une articulation à l'autre, comme pour détacher la tumeur de bas en haut ; éleva une seconde incision supér
e ligne plus rapprochée de l'acromion que de l'apophyse coracoïde. La tumeur n'ayant pu être renversée, l'opérateur eut recour
t costo-claviculairc, le muscle sous-clavier, et put enfin enlever la tumeur et achever l'opération en désarticulant l'extrémi
g. 2). Chez un malade qui portait dans la fosse sous-scapulairc une tumeur volumineuse et dépendante de l'os, M. Janson fit
nde partie de l'omoplate «par le procédé suivant. Il circonscrivit la tumeur au moyen de deux incisions semi-elliptiques, en c
rsa sur leur face externe les deux lèvres cle la plaie, et détacha la tumeur clans tous les sens jusqu'à la fosse sous-scapula
s. Les mouvemens du bras sur la cavité glénoïcle furent conservés. La tumeur enlevée, de nature encéphaloïde, pesait cpiatre k
TARSIENNE. Les caries, les luxations compliquées, les entorses, les tumeurs blanches sont les indications communes des résect
s, etc., sont assez fréquemment le siège de caries, de nécroses ou de tumeurs fongueuses qui réclament l'excision ou la résecti
trouvent une application facile lorsqu'il s'agit d'enlever une petite tumeur osseuse superficielle, il n'en sera plus de même
é de la première incision faite au-dessus de l'arcade zygomatique. La tumeur étant à découvert, on procéda à son extraction. L
aché de ses connexions avec le palais et l'apophyse ptérygoïde, et la tumeur fut enlevée ainsi en moins de dix minutes. Au bou
de l'incision des parties molles devra varier suivant le volume de la tumeur , et l'état de la peau qui la recouvre. Dans les c
'état de la peau qui la recouvre. Dans les cas ordinaires, lorsque la tumeur n'est pas très volumineuse, on peut se diriger d'
ent le nerf dentaire inférieur avant d'exercer aucune traction sur la tumeur , et de ne point oublier les rapports du nerf ling
chaque côté la section de l'os suivant les règles ordinaires. Si la tumeur était très volumineuse, on aurait de l'avantage à
e l'épaule avec désorganisation des parties molles, les caries et les tumeurs avec dégénérescence. Suivant le cas, il s'agit d'
tats divers suivant la nature de la cause. Quand la maladie était une tumeur avec dégénérescence, presque tous les malades ont
r l'incision ovalaire qui est enfin terminée. Si l'on a affaire à une tumeur d'un grand volume, c'est encore à former une plai
des abcès en général, 189, 130. —Ouverture des abcès profonds, 191. = Tumeurs . Excroissances cornées. Ligature, excision, extir
191. — Kystes à produits liquides. Excision, ponction, séton, 192. — Tumeurs graisseuses. Ligature, extirpation, 193. — Tumeur
ion, séton, 192. — Tumeurs graisseuses. Ligature, extirpation, 193. — Tumeurs fibreuses, 193. —Tumeurs envahissantes. Vaccinati
s graisseuses. Ligature, extirpation, 193. — Tumeurs fibreuses, 193. — Tumeurs envahissantes. Vaccination, tatouage, compression
courbes sur le plat servent principalement aux resections de petites tumeurs ou de fongosités; les autres sont plus particuliè
TÈRE AXILLAIRE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. FIGURE \. CHAPELET DE TUMEURS ANÉVRISMALES, SUR LE trajet DE LA CROSSE DE L'a
cause interne, le malade était entré à l'hôpital Saint-Louis pour la tumeur anévrismale développée sur le trajet de l'artère
icule (I), dont toute la moitié sfernalp pçt enlevée. IL Cavité de la tumeur anévrismale principale, dont la disposition des p
coraco-brachial. h. Muscle petit pectoral enlevé au-devant de la tumeur . i. Deltoïde, recouvert de son aponévrose d'env
Pelletan — Musée DupuytrenJ. Quoique d'un très grand volume, cette tumeur néanmoins, bien nettement isolée, pouvait offrir
re dilatation causée par l'obstacle à la circulation au travers de la tumeur , et l'artère brachiale étant saine au-dessous.
al. B. Extrémité supérieure de l'artère axillaire s'ouvrant dans la tumeur . a. Veine axillaire. b. Nerf du plexus brachi
b. Nerf du plexus brachial. C. Artère brachiale à sa sortie de la tumeur . c. Nerf médian. d. Veine humérale interne.
e humérale interne. e. Muscle petit pectoral aminci au-devant de la tumeur . f. Extrémité interne du muscle grand pectoral,
esault. — Copié sur une pièce en cire. — Musée Dupuytren ). Cette tumeur anévrismale occupe tout le trajet du tronc poplit
te d'un lacis de vaisseaux variqueux. B. Portion supérieure de la tumeur . C. Point d'aplatissement moyen formé par les m
ent moyen formé par les muscles jumeaux. D. Limite inférieure de la tumeur causée par l'arcade du soléaire. E. Veine popli
r l'arcade du soléaire. E. Veine poplitée dilatée et contournant la tumeur en dedans. F. Veine tibiale antérieure dilatée,
tibiale antérieure dilatée, qui contourne le rétrécisse- ment de la tumeur pour se jeter dans la veine tibio-péro-nière. G
eure. II, H. Nerf sciatique poplité interne, rejeté en dehors de la tumeur . I, I. Extrémité supérieure des jumeaux, dont on
supérieure des jumeaux, dont on a enlevé la portion qui recouvrait la tumeur . K. Extrémité inférieure des jumeaux. L. Extrémit
mbraneux et droit interne), qui revêtent l'extrémité supérieure de la tumeur . FIGURE 2. ANÉVRISME POPLITÉ. COPIÉ D'APRÈS S
oplitée. C. Orifice supérieur de l'artère poplitée (ouvrant dans la tumeur ). D. Portion de l'artère poplitée dégénérée en
acées. E. Orifice inférieur de l'artère poplitée (à sa sortie de la tumeur ). F. Continuation de l'artère poplitée. G. Ar
K. Condyle externe du fémur (sa surface externe formant paroi de la tumeur ). L. Extrémité inférieure du fémur. M. Tibia. N.
t indiquées par un chiffre commun sur les deux figures. 1. Ancienne tumeur anévrismale convertie en un ruban ligamen- teux
ure oblitérée delà portion de l'artère poplitée qui entrait dans la tumeur . 3. Extrémité inférieure oblitérée de la portio
inférieure oblitérée de la portion de l'artère qui sor- tait de la tumeur . 4, 4. Petites branches articulaires moyennes n
ide primitive gauche, sur le trajet de laquelle est déve- loppée la tumeur anévrismale. Elle est ouverte longitudi-nalement
usé par une saignée faite auparavant par un chirurgien de village. La tumeur , molle et diffluente, est placée en diagonale sou
, sur les points (a et b), ont été écartées par l'interposition de la tumeur jusqu'au degré où on la voit sur les figures, la
jusqu'au degré où on la voit sur les figures, la veine formant sur la tumeur , avec interposition du muscle biceps, un cordon d
pénètre dans la poche anévrismale. Il est évident, par la forme de la tumeur , que les mouvemens du biceps ont fait graduelleme
n d'une exostose éburnée placée sur la suture occipito-parié-tale. La tumeur , de forme globuleuse et saillante d'environ un po
on malade de l'humérus; une règle en bois (b), passée en dedans de la tumeur isolée, refoule en ce sens le biceps et les vaiss
cie en crête de coq (c), agissant perpendiculairement à la base de la tumeur , est employée à en opérer la section. figure 4.
ension (a, a, a) qui établissent la circulation, de l'intérieur de la tumeur dans les parties molles environnantes. FIGURE 4
osseuses. L'extrémité supérieure du péroné, déjetée en dehors par la tumeur , est néanmoins intacte. Tome 6. Dessiné d'apr
uée par plusieurs chirurgiens, l'a été principalement dans des cas de tumeurs cancéreuses qui, par les changemens de rapport de
cultés de l'extirpation complète de la clavicule, enveloppée dans une tumeur irrégulière et d'un grand volume. L'extrémité a
11 (1934) Oeuvre scientifique
ses grandes lignes : la méthode en sémiologie ; la sémiologie; les tumeurs et les compressions cérébrales; les affections
radiculaire sont parfois le premier indice d'un mal de Pott, d'une tumeur comprimant la moelle. Très souvent les dou- leu
orteils a permis dans quelques cas de reconnaitre l'existence d'une tumeur intra-rachi- dienne, diagnostic ayant eu pour c
chirurgi- cale suivie de guérison. Une douleur de tète liée à une tumeur , à un abcès encéphalique peut n'avoir rien de c
après cette conver- sation et la nécropsie décela l'existence d'une tumeur cérébelleuse. J'avais ainsi reçu une leçon dont
rtébrale, luxation des vertèbres, mal de Pott, méningites diverses, tumeurs méningées. L'irré- flectivité résultera, soit d
où des altérations encéphali- ques, causées en particulier par des tumeurs , avaient aboli les réflexes tendineux. Il s'agi
rréflectivité de lésions radiculaires concomitantes éloignées de la tumeur et causées soit par l'augmentation de pression du
affections diverses de l'encéphale : hémorragies, ramollissements, tumeurs , etc., atteignant directement ou indirectement
yphilitique) ou par une intervention chirurgicale (extraction de la tumeur ). Il est à noter que dans l'hémiplégie par comp
tion posée. J'ai relaté (') l'observation d'un malade atteint d'une tumeur intra-crânienne comprimant la région psycho-motri
égénérés. La surréflectivité due à une compression de la moelle par tumeur peut disparaître aussi, complètement après extr
moelle cervicale (méningo-myélite 0, pachyméningite, maldePott, ou tumeur ). Supposons que cette lésion exerce sur les fai
ses spinales diffuses, dans les cas de compression de la moelle par tumeur , pachyméningite, mal de Pott, les réflexes de d
euses diffuses de la moelle, soit d'une compression spinale par une tumeur intra-rachidienne, ou une pachyméningite ; en out
de l'homme et des animaux , 8 : ig-t86a. 116 SÉMIOLOGIE dans les tumeurs de la moelle et dans quelques autres affections d
ne compression, ce qui est d'un grand intérêt quand il s'agit d'une tumeur susceptible d'être extraite ; mais l'anesthésie
exes de défense est considérable, l'hypothèse d'une compression par tumeur extra-dure-mérienne (tumeurs qui peuvent acquér
able, l'hypothèse d'une compression par tumeur extra-dure-mérienne ( tumeurs qui peuvent acquérir une grande longueur) ou pa
nt très rapprochées, il est extrêmement probable qu'il s'agit d'une tumeur intra- dure-mérienne (tumeurs généralement cour
xtrêmement probable qu'il s'agit d'une tumeur intra- dure-mérienne ( tumeurs généralement courtes). En nous basant sur ces d
a été possible d'établir plu- sieurs fois un diagnostic clinique de tumeur extra-dure-mérienne. Depuis le début de nos rec
éfense fut vérifiée dans 16 cas (') : dans 12 cas, il s'agissait de tumeurs intra-rachidiennes, dont 3 de tumeurs extra-dur
dans 12 cas, il s'agissait de tumeurs intra-rachidiennes, dont 3 de tumeurs extra-dure-mériennes ; dans 2 cas, de syndrome
XVII de la Thèse de Gendron, in[3; Babinski, Enriquez et Jumentié, Tumeur extra-dure-mérienne ; Babinski et Barré, Tumeur
riquez et Jumentié, Tumeur extra-dure-mérienne ; Babinski et Barré, Tumeur extra-dure-mérienne, Revue neurologique, n° fi, 1
Revue neurologique, n° 4, 1 9 1 4 ; Babinski, Lecène et Jarkowski, Tumeur extra-dure-mérienne, Revue neurologique, n" 12,
pian, Brown-Séquard signalent, il est vrai, leur existence dans les tumeurs de la moelle et dans quelques autres affections d
us par aucun des neurologistes qui s'étaient occupés de repérer les tumeurs comprimant la moelle en vue de l'intervention c
la surprise en rapportant l'Observation d'une paraplégie due à une tumeur comprimant la moelle et guérie à la suite d'une
exagérés peut être un signe favorable, comme dans l'observation de tumeur que je viens de rapporter, elle peut au contraire
euses diffuses de la moelle, soit d'une compression spinale par une tumeur intra-rachidienne, ou par une pachyméningite ; en
relatant l'Observation d'une paraplégie due à une compression par tumeur , et guérie à la suite de l'intervention chirurgic
culaire et dans la compression de la moelle par pachymé- ningite ou tumeur . Elle peut avoir surtout une valeur pratique dans
n siégeant à la partie gauche du bulbe rachidien ; le diagnostic de tumeur repose sur la céphalée, les vomissements et la né
it été porté on constata, la malade étant morte brusquement, qu'une tumeur de la grosseur d'un ouf de poule s'était creusée
inférieur droit chez un sujet à l'autopsie duquel on découvrit une tumeur remplissant l'espace compris à droite entre le
n'était devenu banal. Il s'agit le plus souvent de vieux abcès, de tumeurs , et surtout de tubercules soli- taires du cerve
i dans les cas latents d'agénésie, quelquefois aussi dans certaines tumeurs et particulièrement les tubercules ; on peut alor
Dans certaines observations d'affections du cervelet, et surtout de tumeurs de l'angle ponto-cérébelleux, il existe une altér
lectrisation galvanique localisée. T il U / S lli' 111 E PA R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEU
111 E PA R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS CÉRÉBRALES TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS ACRO
EURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS CÉRÉBRALES TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS ACROMéGALIE ET AVEC AR
emps après le premier examen. La nécropsie décela l'existence d'une tumeur qui occupait la selle turcique, adhérait au cor
n ami, M. Meige). Ce néoplasme a été examiné histologiquement 234 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES par M. On
points de vue : d'une part, Fit. 5. Fiv. si Fig. n. Fig. 8. TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS ACROMÉGALIE 235 l'abse
'acromégalie, de gigantisme contraste avec l'existence d'une grosse tumeur du corps pituitaire ; mais, à la vérité, pour que
emble toutefois que l'idée d'une relation de cause à effet entre la tumeur du corps pituitaire et l'infantilisme est très ac
st grâce à cette disposition que les troubles oculaires étaient 238 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CEREBRALES restés bé
it enlevé un volet osseux assez grand, on aurait mis à découvert la tumeur , dont l'ablation partielle eut été possible. Il
Société de Neurologie, séance du 7 février igoi. III DEUX CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE DU LOBE FRONTAL [J. BABINSKI.] . Pu
difficile ou impos- - L Y sible de déterminer le siège précis d'une tumeur intra-crânienne. On se rendrait un compte inexa
ait pas pensé qu'il fut possible de désigner le côté où siégeait la tumeur ; dans l'autre, elle se trouvait du côté opposé
t dans les régions sus et sous-orbitaires, surtout à gauche. j'io TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES Le malade
l'autopsie, on trouve à la face inférieure du lobe frontal droit, une tumeur ayant la forme d'un oeuf de poule et en atteign
au en refoulant les circonvolutions sus-jacentes. L'extrémité de la tumeur se trouve distante d'un centimètre de l'extrémité
inféro-interne du lobe frontal gauche. M. Nageotte a examiné cette tumeur au microscope et a constaté qu'il s'agissait d'
de la vision, ne présente aucune véritable perturbation. .CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE DU LOBE FRONTAL 241 Il n'y a pas de v
tiquée, après l'incision de la dure-mère, montre qu'il n'y a pas de tumeur dans cette région. Le 25 février, M. Chaillous
plus considérable à droite qu'à gauche. Sur une coupe, on trouve une tumeur située dans la profondeur du lobe frontal droit
devais être nécessairement conduit à admettre la possibilité d'une tumeur siégeant à la partie antérieure de la région fr
e prédominance ; la céphalée avait toujours été n»t>sd. iü 242 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES limitée à
des troubles oculaires du côté droit, j'avais tenté de dire que la tumeur siégeait à droite, mais la pré- dominance de la
étais resté dans le doute. Dans l'observation II, je croyais que la tumeur se trouvait dans le lobe frontal gauche, car le
a céphalée était plus marquée du côté opposé à celui où siégeait la tumeur . Quant aux troubles visuels, ils étaient dans u
oncés du côté où le néoplasme s'était développé. TRÉPANATION POUR TUMEUR CÉRÉBRALE. ABLATION DE LA TUMEUR. GRANDE AMÉLIO
tait développé. TRÉPANATION POUR TUMEUR CÉRÉBRALE. ABLATION DE LA TUMEUR . GRANDE AMÉLIORATION ? ) L'opéré, un homme de
souffrait le malade. - Mais sous la dure-mère incisée on trouva une tumeur de consistance osseuse, du volume d'une petite
et de Martel, Société de Neurologie, séance du 2 décembre r( )1)9. TUMEURS MÉNINGÉES UNILATÉRALES 243 Cette tumeur sous-du
e du 2 décembre r( )1)9. TUMEURS MÉNINGÉES UNILATÉRALES 243 Cette tumeur sous-dure-mérienne était reliée à la paroi crânie
onnement et drainage de la cavité qui résultait de l'ablation de la tumeur , les téguments furent suturés au-dessus de la per
tension cérébrale ; ce fait vient à l'appui de son opinion. , , . TUMEURS MÉNINGÉES UNILATÉRALES. HÉMIPLÉGIE SIÉGEANT DU
RS MÉNINGÉES UNILATÉRALES. HÉMIPLÉGIE SIÉGEANT DU MÊME CÔTÉ QUE LES TUMEURS ? ) Nous venons relater un fait anatomo-cliniqu
été supposé pendant la vie du malade, la nécropsie a montré que les tumeurs , qui étaient unilatérales, siégeaient du côté d
et, Société de Neurologie de Paris, séance du 2 juillet igo8. . a44 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES M. Weill
ue, 5 juillet 1906). (2) Société Neurologique, ] ! )06, p. 6g4. TUMEURS MÉNINGÉES UNILATÉRALES 245 n'apparaissaient que
ernie à travers l'orifice dure-mérien. On ne voit ni ne sent aucune tumeur . Le 4 juin, l'état des réflexes et celui du fon
morragie méningée. Le reste de l'hémisphère paraît indemne ; pas de tumeurs . , Hémisphère droit : On constate la présence d
de tumeurs. , Hémisphère droit : On constate la présence de trois tumeurs méningées. une laté- rale, deux inférieures, to
es refoulent, paraissent développées dans les méninges molles. La tumeur latérale presque sphérique, lisse, du volume d'un
re temporale. Ces circonvolutions sont simplement repoussées par la tumeur qui ne modifie pas leur structure. Les deux t
oussées par la tumeur qui ne modifie pas leur structure. Les deux tumeurs inférieures ont le même aspect macroscopique; ell
ont le même aspect macroscopique; elles diffèrent quelque peu de la tumeur sylvienne. Franchement blanches, bosselées, elles
e contiennent pas de formations calcifiées pas plus que la première tumeur . De ces deux tumeurs inférieures, l'antérieure,
ormations calcifiées pas plus que la première tumeur. De ces deux tumeurs inférieures, l'antérieure, du volume d'une grosse
ittal médian du corps. L'hémisphère droit auquel sont appendues les tumeurs paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBR
auquel sont appendues les tumeurs paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES large que
du 20 avril 1.9 1 o. On sait que dans la grande majorité des cas de tumeur cérébrale la O crâniectomie constitue le seul m
ânienne. Si l'ouverture du crâne ayant pour but la découverte de la tumeur est aléatoire et souvent périlleuse lorsqu'elle
ne opération très utile s'il s'agit d'une néoplasie progressive 248 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES devant en
es qu'elle rend sont bien plus appréciables si l'on a affaire à une tumeur susceptible de s'arrêter dans sa marche après a
la est encore plus vrai pour ce qui concerne ces faits de « pseudo- tumeur cérébrale » ou l'oedème peut rétrograder et dispa
remarquer que la crâniectomie suivie d'un essai d'extraction de la tumeur , est parfois nettement indiquée malgré les dang
nt probants : des malades présentant les symp- tômes essentiels des tumeurs cérébrales : de la céphalée intense, des vomiss
iens à dire que les dangers de cette interven- tion dans les cas de tumeur cérébrale me semblent avoir été considéra- blem
ptiques intra-cràniennes (Annales d'ocolistiquc, juillet 1907). 250 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES cure iodu
déter- miner le siège, il y a tout lieu d'opérer à l'endroit où la tumeur est présu- mée se trouver, surtout s'il existe
s l'idée d'extraction. Si on n'arrive pas à préciser le point où la tumeur est placée et, a fortiori, si l'on n'est pas ce
ns le deuxième on incise la dure-mère et on va à la recherche de la tumeur . La crâniectomie décompressive comporte-elle au
st incontestable que les inconvénients de l'ouverture crânienne 252 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES sont moin
Trocmé, ayant pour titre « De la thérapeutique palliative dans les tumeurs de l'encéphale. Méthodes décompressives (ponction
l'âge de 18 ans, il a subi l'ablation du gros orteil gauche pour une tumeur (') Revue neurologique, 1900, p. 142. (2) Tor
te augmentation de résistance peut s'observer aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème cérébral et
tral et comptent parmi les manifestations objec- tives précoces des tumeurs ponto-cérébelleuses. SIXIÈME PARTIE PARAPLÉGI
s phlyctènes se sont développées Fig. 23 (Obs. I). - La place de la tumeur est indiquée en pointillé. Compression de la pr
existe sur le côté droit de la région bulbo-protubéran- tielle une tumeur grosse comme une petite noix, qui a refoulé et dé
voisinage, sans toutefois produire de destructions notables. Cette tumeur est kystique, elle est constituée par un sarcome
e se trouve un plexus choroïde qui paraît avoir été l'origine de la tumeur . Par son développement, cette tumeur s'est creusé
raît avoir été l'origine de la tumeur. Par son développement, cette tumeur s'est creusé une loge en refoulant (1) L'examen
s à remercier de sa précieuse collaboration. . Fig. 25 (Obs. I). La tumeur pénètre dans le grand sillon cir- conférentiel
ceaux, môme dans les points qui sont directement en contact avec la tumeur , malgré les déformations considérables que montre
canal rachidien, on trouve dans la région dorsale supé- rieure une tumeur ovoïde, grosse comme un oeuf de moineau, qui dist
embres supérieurs; le triceps crural droit est le plus altéré. La tumeur est régulièrement ovoïde, sans bosselures ; son t
au de la 7e paire dorsale. La moelle refoulée et comprimée par la tumeur , présente un aspect scléreux. Fig. 27 (Ohs. I
Philippe et li. Cestan. Société de Biologie, an. 97, p. 1080. 3° Tumeur cérébrale, comprimant la zone rolandique gauche;
orcée. , A. FroenkelQ rapporte l'observation d'un malade atteint de tumeurs des méninges rachidiennes, dont les membres inf
e de céphalée et de névrite oedémateuse, que le mal consiste en une tumeur qui comprime les circonvolutions sans les altér
travail publié il y a sept ans(') m'avaient en effet appris que les tumeurs cérébrales étaient capables de produire des para-
e perturbation des réflexes ; songeant alors à la possibilité d'une tumeur de nature syphilitique, nous prescrivons, le mé-
ncidant avec une diminution de 'acuité visuelle. Le diagnostic de tumeur cérébrale me paraissant devoir s'imposer, après
hériques et à la palpation l'opérateur a l'impression qu'il y a une tumeur dans cette région. Pour éviter une nouvelle chl
des conditions qui lui paraissent rendre facile l'extraction de la tumeur , le chirurgien procède à cette deuxième phase de
l en pratique l'énucléation avec la plus grande facilité, car cette tumeur n'adhère nullement à la substance cérébrale. La
é, car cette tumeur n'adhère nullement à la substance cérébrale. La tumeur pèse 31o grammes('). Immédiatement après l'opér
la maladie s'est vérifié dans tous ses détails ; il s'agit bien d'une tumeur comprimant la région psycho-motrice sans pénétr
aractères distinctifs nou- veaux. (1) L'examen histologique de la tumeur a montré qu'il s'agissait d'un myxosarcomc. 33o
. 33o P1R : 11LL;GICS - AFFECTIONS DE LA MOELLE Mon diagnostic de tumeur cérébrale avait été mis en doute au début à cau
conséquent, l'absence de céphalée ne permet pas d'écarter l'idée de tumeur cérébrale. J'avais fondé en partie mon diagnost
amené à admettre l'existence d'une simple compression cérébrale par tumeur . J'avais d'ailleurs observé déjà des faits analog
s. Quand elle est associée à d'autres signes rendant l'hypothèse de tumeur PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL
c précoce de néoplasme intra- crânien et dénotant l'existence d'une tumeur qui comprime simplement l'encéphale, sans provo
uche et qu'elle s'étend dans la corne antérieure jusqu'aux cel- (') Tumeur illlrall1<;,JuIJaire de nature complexe : prol
il l'Académie de médecine le 1 6 janvier 1911. Etant donné que les tumeurs comprimant la moelle sont, dans bien des cas, s
oit trop haut, à cause de l'oedème qui se développe au-dessus de la tumeur . De plus, l'anesthésie permet seulement de reco
la première il serait évidemment facile de déduire la longueur delà tumeur , ce qui, comme on le verra, présente de l'impor
ndications infidèles. En pareil cas, le chirurgien ne trouvant pas la tumeur dans l'endroit où on la croyait située est déso
besoins. Cela est particulièrement important quand il s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne, car il est utile, en parei
- tomo-cliniques montrent que, dans la grande majorité des cas, les tumeurs intra-dure-mériennes, développées aux dépens de
urtes, ne compriment qu'un ou deux segments médul- laires ; que les tumeurs extra-dure-mériennes, au contraire, quand elles
sion de la moelle, il y a tout lieu d'ad- mettre qu'il s'agit d'une tumeur intra-rachidienne si la lésion est courte. Dans
est grande, sans per- mettre d'exclure absolument l'hypothèse d'une tumeur intra-dure- mérienne, doit faire supposer plutô
uée conformément à ces indications par M. Lecène, fit découvrir une tumeur extra-dure-mérienne qui put être aisément extrait
es de défense est considérable, l'hypo- thèse d'une compression par tumeur extra-dure-mérienne ou par pachy- méningite est
nt très rapprochées, il est extrêmement probable qu'il s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne ('), (1) N. D. L. H. Nous c
us par aucun des neurologistes qui s'étaient occupés de repérer les tumeurs comprimant la moelle en vue de l'intervention c
nse, par J. Babinski. Revue neurologique, n° 8, août 1922). XII TUMEUR MÉNINGÉE PARAPLÉGIE CRURALE PAR COMPRESSION DE
PARAPLÉGIE CRURALE PAR COMPRESSION DE LA MOELLE EXTRACTION DE LA TUMEUR , GUÉRISON (J. Babinski, P. Lecène et F. BOUl\LO
compression des XIe et XIIe segments de la moelle, probablement par tumeur , et l'intervention chirurgicale est décidée.
à nu, on l'ouvre sur la ligne médiane et l'on aperçoit de suite une tumeur bien circonscrite, ayant le volume et la forme
ertèbre dorsale ces racines sont coupées avec de fins ciseaux et la tumeur est soigneusement enlevée avec une curette mousse
stase est facilement assurée par un peu de compression du lit de la tumeur . Pendant tout ce temps opératoire, l'écoulement d
s plusieurs fois par jour. L'examen anatomique a montré que cette tumeur , développée aux dépens des méninges molles, ava
possible de déterminer avec une précision suffisante le siège de la tumeur comprimant la moelle pour intervenir chi- rurgi
eure de la moelle dans sa moitié droite est déprimée par une petite tumeur arrondie un peu lobulée incluse dans la gaîne m
iques. C'est du reste à l'intérieur de cette couche, qu'existait la tumeur gommeuse que nous avons signalée plus haut (fig
rme peut se rencontrer. En- Fig. 53. Myélite transverse Fig. 511. Tumeur cWra-duremé- rienne comprimant la moelle du g
semaines; ils ont rétrocédé quelques jours après l'extraction de la tumeur . Mais dans la plupart des cas de compression y
variabilité des réflexes de défense, en particulier dans les cas de tumeur de la moelle. L'anesthésie instable occupe souv
kowski, Société de Neurologie, 10 février et 4 avril 1910. Fig. 55. Tumeur intra-duremé- rienne au niveau du 4 et 5e seg-
-duremé- rienne au niveau du 4 et 5e seg- ment dorsal. Fig. 56. Tumeur intra-duremé- rienne 5e segment dorsal. ' 394
ives, elles épargnent la substance grise, malgré leur lon- Fig. 57. Tumeur extra-duremé- rienne comprimant la moelle du
Lecène et Jarkowski, Revue Neurologique, agi4, n° 12. Fig. 58. Tumeur intra-duremé- rienne au niveau de la 2-4 apo-
, s'il en avait été autrement, l'intervention chirurgicale dans les tumeurs comprimant la moelle serait depuis long- temps
mmes toujours arrivés jusqu'à présent à repérer avec exactitude les tumeurs comprimant la moelle. XV QUELQUES DOCUMENTS R
e siège d'une compression, ce qui est capital quand il s'agit d'une tumeur énucléable, il est encore bien des points relat
et fait courir de gros dangers ; au contraire, les compressions par tumeur juxta-médullaire ne semblent guère curables que
nnée, résistante et d'un aspect nacré, qui donne l'impression d'une tumeur . Un prolongement semble pénétrer dans le canal
soigneusement cette masse ; les lames étant réséquées, on trouve une tumeur du volume d'une petite noix qui refoule forteme
le côté gauche du canal. Au cours des manoeuvres d'ablation, cette tumeur s'effrite en grande partie. La dure-mère étant
a recouvrait, on essaie d'énucléer la partie extra-vertébrale de la tumeur ; facile au début, cet acte opé- ratoire amène u
ayant une consistance molle et par endroits désagrégé. On enlève la tumeur à la curette dans la mesure du possible, et pour
la compression. Deux hypothèses devaient se présenter à l'esprit : tumeur en bissac ou lésion pottique avec abcès par con
congestion. Dès lors l'autre hypothèse prenait le dessus, celle de tumeur en bissac, une des parties occupant le canal ra
dit-il, en ponctionnant un abcès par congestion. Le diagnostic de tumeur est ainsi devenu extrêmement probable et il a é
exceptionnels ; nous croyons donc utile d'attirer l'attention sur les tumeurs de cet ordre qui, peut-être, plus que toutes au
é encore plus tardive. Dans un de ces cas(') où il s'agissait d'une tumeur intra-dure- mérienne ayant déterminé une parapl
on, liée à une (') Voir : Revue Neurologique. Sur le traitement des tumeurs juxta-meduUaires, par J. Babinski (Réunion neur
ationale annuelle, 8 et 9 juin p23). COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4ot tumeur extra-dure-mérienne le premier mouvement volontai
e de Brown-Séquard dû probablement à une compression médullaire par tumeur . La malade rapporte le début des troubles qu'el
acle au passage du lipiodol et qui, par sa forme, rappelle bien une tumeur intra-dure-mérienne. L'intervention chirurgical
it sauter les lames de D 6, D 7, D 8. Le canal rachidien ouvert, la tumeur appa- rait par transparence sous la dure-mère.
st ouverte que lorsque l'hémostase a été parfaitement obtenue. La tumeur apparaît fixée par des tractus arachnoïdiens be
lieu d'habi- tude dans les cas de ce genre. La libéra- tion de la tumeur est faite de proche en proche avec la plus gran
t plus profonde, parfois presque stertoreuse. L'énucléation de la tumeur , qui tient très fort par sa face profonde à la
rt bien que les troubles sensitifs et paralytiques produits par des tumeurs vasculaires sont sujets à de grandes variations
ter semble établir que les troubles dépendant d'une compression par tumeur non vasculaire, par un neurogliome, peuvent aussi
stion conduisaient déjà au diagnostic probable de compres- sion par tumeur intra-dure-mérienne. Nous renvoyons le lecteur à
J. Babinski, E. Enriquez et J. Jumentié. Compression de la moelle par tumeur extra-dure- méricnne : paraplégie intermittente
à la précédente, paraissait représenter comme la photographie d'une tumeur intra-dure-mérienne. Nos prévi- sions, exprimée
comme on l'a vu, entièrement confirmées, et la pho- tographie de la tumeur extraite se superpose rigoureusement à l'image
tion, de Mar- tel a été frappé par les adhérences qui unissaient la tumeur à la moelle et qui ont rendu l'extraction notab
l'extraction notablement plus laborieuse que dans les autres cas de tumeurs intra-dure-mériennes, pour lesquelles il était in
s précédentes : Il serait sage, dans les cas où une compression par tumeur semble probable, de ne soumettre le malade à l'
inférieure de la compression et de préciser ainsi la longueur de la tumeur et son siège exact. Nous avons cru pouvoir le
conséquent très longue. Or, l'on sait que ce ne sont guère que les tumeurs extra-dure-mériennes qui atteignent une pareill
nsi amenés à conclure que, dans l'espèce, nous avions affaire à une tumeur de ce genre. Nous décidâmes de pratiquer une la
une production brun, rougeâtre, qui cache le fourreau durai. Cette tumeur , qui ressemble absolument à une limace comme coul
ur, est facilement énucléée dans toute son étendue; aussitôt que la tumeur est enlevée, on sent le fourreau durai intact,
a dure-mère et l'on referme la plaie en trois plans sans drainage. La tumeur enlevée est un angiolipome développé dans le ti
i les conclusions que l'on peut tirer de cette observation : 1° Une tumeur extra-dure-mérienne peut évoluer très lentement e
stic a été établi clini- quement. XVII PARAPLÉGIE CRURALE PAR TUMEUR EXTRA-DURE-fr/ÉRIENNE A LA RÉGION DORSALE. OPÉR
ons relater est banale à certains égards ; j elle se rapporte à une tumeur extra-dure-mérienne comprimant la - i moelle do
aire. M. Foix, consulté à cette époque, croyant à l'existence d'une tumeur comprimant la moelle, pratique l'épreuve du lip
les raisons que nous exposerons plus loin, le diagnostic probable de tumeur extra-dure-mérienne comprimant la moelle au niv
nectomie sous anesthésie locale entre 7e cervicale et 4e dor- sale. Tumeur extra-dure-mérienne adhérente à la dure-mère à ga
tres environ. « Section d'une racine à gauche. « Libération de la tumeur . Ablation à la curette en 3 morceaux. - « Très
la tumeur. Ablation à la curette en 3 morceaux. - « Très peu de la tumeur reste adhérent au surtout vertébral et à la dure-
e normalement. Voici la note concernant 1 examen histologique de la tumeur : après fixation au liquide de Bouin, inclusion
calcaires (psammome). Aucun caractère de malignité. Une partie de la tumeur a subi une importante dégénérescence fibreuse.
otre premier examen, l'hypothèse d'une compression de la moelle par tumeur devait inévitablement se présenter à l'esprit. Le
tervention nécessaire. L'expérience que nous avions acquise sur les tumeurs de la moelle, notamment sur celles de la région
bservations antérieurement publiées, il avait été noté que dans les tumeurs comprimant la moelle, la COMPRESSIONS MÉDULLAIR
mière figure, celle du cas antérieur, se rapportait, en effet, à une tumeur intra-dure-mérienne, l'autre, celle qui nous oc
ra-dure-mérienne, l'autre, celle qui nous occupe aujourd'hui, à une tumeur extra-dure-mérienne. On conçoit fort bien que l'h
iodée intro- duite dans l'espace sous-arachnoïdien se moule sur une tumeur intra-dure- mérienne et que la radiographie don
eur intra-dure- mérienne et que la radiographie donne l'image de la tumeur , ayant dans l'espace une forme ovoïde, tandis q
me ovoïde, tandis que l'huile iodée n'ayant pas de contact avec une tumeur dont elle est séparée par la dure-mère, ne peut e
ion. Possédons-nous là un caractère permettant de diagnostiquer des tumeurs intra-dure-mériennes d'avec celles qui siègent en
MOIA 7l ? liA UX ET A t,'L7C ANIS'l'IIGSlls' H01110LA%'lslPALls'. TUMEUR lNTllAiJ1ÉDULLAIllE DE LA RÉGION LOiJIBO-SAC1Ui'E
nt d'une impo- (') Voir Revue Neurologique, 1(J27, t. II, p. 741. « Tumeur do la moelle lombosacrée et forma- tions glieus
ion des troubles présentés par notre malade. i° Il s'agissait d'une tumeur intra-médullaire s'étendant de L III et S II et
était, sur une grande étendue, réduit à un mince anneau coiffant la tumeur ; . 3° Néanmoins on y trouvait de nombreuses ce
- veuses non dégénérées ; 4° Enfin, retenons que, au-dessus de la tumeur , et sur une grande hau- teur, on trouvait de pe
ma que, dans un certain nombre de cas, on a cru devoir localiser la tumeur bien au-dessous de la région qu'elle occupait rée
onnaitre la nature de la compression et notamment de distinguer une tumeur juxta-médullaire énucléable, où l'indication d'
graphie, et qui peuvent déjà conduire à exclure le diagnostic d'une tumeur juxta-médullaire nous tenons à attirer l'attentio
iliter la distinction : dans des cas de compression liée soit à une tumeur intra-médullaire, soit à une pachymé- ningite l
5 et 1922. Fig. 68. 428 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE tumeurs en question, il nous est arrivé de constater au n
lésionnels. Nous n'avons pas vu cette disposition dans les faits de tumeur énucléable comprimant la moelle dorsale, que no
u même de la compression. Si elles paraissent faire défaut dans les tumeurs juxta-médullaires énucléables, c'est peut-être
septembre 1928, de la Revue neurologique, ayant pour titre : « Les tumeurs du 4° ventricule», MM. Ludo von Bogaert et Paul
iminuer la compres- sion intra-crânienne (Obs. VII). Dans le cas de tumeur cérébrale, les résultats de la ponction lombair
motif quelconque (Obs. VIII). Chez plusieurs malades atteints de tumeur cérébrale, que nous avons observés à l'hôpital
istance de la névrite optique plaide en faveur de l'existence d'une tumeur intra-crânienne. Nous ne décrirons pas la techn
ES OPTIQUES 5g Dans les cas de névrites optiques consécutives à une tumeur intra- crânienne, la ponction lombaire ne peut
Lumincau, Thèse de Paris, igo3. " ' ' ' IV SUR LE TRAITEMENT DÈS TUMEURS ./M71 /WZZ ? S' [J. BABINSKI.] Publié dans le
des réflexes de défense, etc.. C'est ainsi que, dans les 13 cas de tumeurs juxta-médullaires que j'ai fait opérer, le diag
pie à laquelle j'ai eu recours dans plusieurs cas. Chez une malade ( tumeur à la région dorsale) opérée ultérieure- ment, l
té suivi d'une atténuation très notable mais transi- TRAITEMENT DES TUMEURS J(i.lTl- : 111 : DULL. : ll1 ? ES 5c1 toire des
. : ll1 ? ES 5c1 toire des troubles moteurs ; chez un autre malade ( tumeur à la région dorsale) opéré aussi plus tard, il
l y a eu sédation passagère des douleurs ; dans un troisième cas de tumeur à la région dorsale, où il est vrai, il s'agiss
'une aggravation considérable de tous les troubles. I)ans un cas de tumeur à la région cervicale que je rapporterai plus l
ient l'honneur d'avoir le premier conseillé en 1887, dans un cas de tumeur qu'il avait diagnostiquée, l'intervention, laquel
aquelle fut pratiquée sur ses indications par Horsley. Les cas de tumeurs juxta-médullaires que j'ai fait opérer sont, ai-j
, au nombre de 13. Quelles ont été les suites de l'extraction de la tumeur ? Dans 5 cas, les malades ont succombé au shock
isques à courir. Dans un cas, le malade, malgré l'énucléation de la tumeur , est resté dans le même état que précédemment.
a été couronnée de succès. Dans un de ces cas, il s'agissait d'une tumeur intra-dure-mérienne de la grosseur d'un grain d
a pas donné de ses nouvelles. Les 5 autres cas se rapportent à des tumeurs de la région dorsale. Dans un de ces 5 cas, on
éparée de la précédente par une ligne de démarcation TRAITEMENT DES TUMEURS JGTt-DIGDULL11RES 599 bien franche ; par contre
a- tion à la fesse. Nous portons le diagnostic de compression par tumeur au niveau des cinquième et sixième segments et
la dure-mère tendue ; on l'incise et l'on constate la présence d'une tumeur allongée, siégeant à droite, comprimant forteme
ans l'espace sous-dural en haut et en bas. Après l'extraction de la tumeur , on constate à droite une forte dépression de l
elle, l'opération a été faite par Lecène et a permis d'extraire une tumeur intra-dure-mérienne siégeant à l'endroit'indiqu
frère de province, âgé de 58 ans, chez lequel on diagnos- tiqua une tumeur siégeant au niveau des quatrième et cinquième seg
ième segments dorsaux. L'opération, faite par de Martel, décèle une tumeur siégeant à l'endroit indiqué et qui est intra-d
ite des réflexes de défense, nous portons le diagnostic probable de tumeur extra-dure- mérienne. Lecène, qui opère la mala
cela avait été supposé, de la troisième à la septième vertèbre (') Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de l
ée. Paraplégie crurale par compression de la moelle. Extraction de la tumeur . Guérison, par J. Babinski, Lecène et Bourlot (
Lecène et Bourlot (Revue Neurologique, pr2, vol. XXIII, p. 1). (2) Tumeur méningée de la région dorsale supérieure. Paraplé
. Paraplégie crurale par compression do la moelle. Extraction de la tumeur . Guérison, par J. Babinski, Th. de Martel et Jume
wski (Revue Neurologique, 1914, vol. XXVII, p. 801). TRAITEMENT DES TUMEURS .Ill\1't-III : DULLaIRES Ho 1 dorsale. Au bout
ctomie qui est pratiquée le 15 juillet par de Martel. On trouve une tumeur extra-durale bilobée, d'une longueur de 7 centimè
inquième apophyse dorsale jusqu'à la huitième ou à la neuvième. Cette tumeur , qui recouvre une dure-mère paraissant tout à f
sensibilité a déjà reparu sur une grande (') Il est à noter que la tumeur , épaisse au niveau du 8e segment qui était surtou
it pas encore longtemps souffert de la compres- sion exercée par la tumeur . La guérison se maintient depuis cette époque,
e la contracture a été extrêmement intense. Plaque de sclérose ou tumeur comprimant la moelle, telles sont les hypothèse
pte, au moins à titre d'hypothèse vraisem- blable, le diagnostic de tumeur , de sarcome intrarachidien. VI 11 RADIOTHÉRAP
abaissement des yeux (Société de Nell- rologie, 7 juin 1900). 61. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
énérales de Médecine, mars 1907). 136. Sur la rachicentèse dans les tumeurs cérébrales (Société de Neurologie, 2 mai 190'7)
Journal de médecine el de chirurgie pratiques, 10 juin 1908). t5r. Tumeur méningée unilatérale. Hémiplégie siégeant du même
Tumeur méningée unilatérale. Hémiplégie siégeant du même côté que la tumeur (en collaboration avec Clunet. Société de Neuro
troubles trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de
. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal (Id., 6 mai 1909). 16
té médicale des Hôpitaux, 3o juillet igog). , IG4. Trépanation pour tumeur cérébrale. Ablation de la tumeur. Grande améliora
let igog). , IG4. Trépanation pour tumeur cérébrale. Ablation de la tumeur . Grande amélioration (en collaboration avec de
Barré. Id.). 170. Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs cérébrales (Leçon faite à la Pitié. Jouanal de
ression par la bande d'Esmarch (Société de Neurologie, id.). 186. Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de l
. Paraplégie crurale par compression de la moelle. Extraction de la tumeur . Guérison (en collaboration avec Lecène et Bourlo
l de Psychologie normale et pathologique, mars-avril 19 12). 192. Tumeur méningée de la région dorsale supérieure. Paraplé
. Paraplégie crurale par compression de la moelle. Extraction de la tumeur . Guérison (en collaboration avec de Martel et J
é médicale, 10 décembre r g i 3). 212. Compression de la moelle par tumeur extra-dure-mérienne : paraplégie intermit- tent
Société de Neurologie, 9 novembre 1922). 274. Sur le traitement des tumeurs juxta-médullaires (Réunion neurologique interna-
ectifs (Reunion neurologique de Strasbourg, r 1 janvier 1925). 282. Tumeur de l'angle ponto-cérébetleux. Amélioration rapide
mai 1925). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 633 285. Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la région dorsale. Opéra-
sans signes pyramidaux homo-latéraux avec anesthésie homolatérale. Tumeur intramédullaire lombo-sacrée (en collabora- tio
usion anticipée des secousses faradiques 224 TROISIÈME PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs
ROISIÈME PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs cérébrales. I. Tumeur du corps pituitaire sans
RS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs cérébrales. I. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
papillaire guérie par la trépanation crânienne 236 III. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal 23g IV. - De la crani
a limite inférieure au moyen des réflexes de défense . 371 I XII. Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de l
. Paraplégie crurale par compression de la moelle, extraction de la tumeur , guérison 35 XIII. - Méningite cervicale hypert
-mérien. Opération. Guérison.... 4o6 XVII. - Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la région dorsale 41a XVI
ans signes pyramidaux homolatéraux et avec anesthésie homolatérale. Tumeur intramédullaire de la région lombo-sacrée.. 420
rachicentèsc...................... 5g4 IV. Sur le traitement des tumeurs juxta-médullaires 5g6 V. Sur le traitement de l
12 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ique gauche et son tubercule étaient complètement recouverts par la tumeur , et n'ont pu être reconnus macroscopiquement. L
Les lésions anatomiques se- condaires qui sont la conséquence d'une tumeur anévrysmale croissant lentement offrent à l'étu
de l'artère vertébrale peut être absolument semblable à celle d'une tumeur de la base, venant des méninges et croissant lent
. On observera donc les symptômes qui se voient d'habitude dans les tumeurs du cervelet et de la protubérance, c'est-à-dire a
serait plutôt la conséquence de la lésion du corps restiforme. La tumeur anévrysmale avait provoqué une atrophie par compr
e de toute lésion de ce genre. Le semaines suivantes apparurent des tumeurs moliuscoïdes et des taches pigmentaires sur le tr
au niveau du thorax et du pubis. La peau est le siège de petites tumeurs molluscoïdes et de taches pigmentaires. Les tum
iège de petites tumeurs molluscoïdes et de taches pigmentaires. Les tumeurs sont réparties de la façon suivante : Sur les mem
se trouve une cicatrice légère, répondant à l'excision d'une petite tumeur pratiquée dans le service de M. Proust. Sur l'a
ne cicatrice d'excision. Rien aux pieds. Sur le tronc ces petites tumeurs sont extrêmement nombreuses surtout à la partie
le gauche du nez) et sur le cou. Il n'y en a pas sur les joues. Ces tumeurs de consistance fibreuse ont un volume qui ne dépa
Peut-être sur les plus grosses est-elle un peu plus rosée. Parmi ces tumeurs 28 PIERRE MARIE ET A. COUVELAIRE les unes son
ler avec le doigt immédiatement sous la peau. En même temps que ces tumeurs , sont apparues sur les téguments des taches pig
s organes génitaux sont dé- pourvus de taches pigmentaires comme de tumeurs . La sensibilité cutanée est altérée : il y a an
refois. En re- vanche on voit et on sent de très nombreuses petites tumeurs cutanées et sous- cutanées dont les sièges de p
particulier. Sur l'intestin grêle on trouve une dizaine de petites tumeurs de consistance fibreuse situées, 2 au niveau du
séparés les uns des autres par de légers étranglements. Toutes ces tumeurs siègent sur lé bord libre de l'intestin ; au ni
bord libre de l'intestin ; au niveau de la circonférence basale de la tumeur , on voit arriver aux deux extrémités d'un diamè
entériques. , Si l'on ouvre la cavité de l'intestin on voit que ces tumeurs font saillie sous la muqueuse. La saillie est b
ous le péritoine. La muqueuse est saine aussi bien au niveau de ces tumeurs qu'en dehors d'elles. Le mésentère présente s
ier. Au niveau de la face postérieure de l'estomac se trouvent deux tumeurs fibreuses sous-péritonéales, l'une au voisinage
Le sympathique cervical, thoracique et lombaire ne présente aucune tumeur » appréciable. Les plexus, coeliaque, rénaux, b
atoxyline-éo- sine. - On doit distinguer au niveau de la peau des tumeurs fibreuses infra-dermi- ques et hypodermiques. (
ibreuses infra-dermi- ques et hypodermiques. (Planche VI, F.) Les tumeurs ii2tra-dei,migiies font en général une saillie as
les couches les plus superficielles de l'hypoderme. Le tissu de la tumeur est constitué par un feutrage de fibres conjoncti
ssé que le tissu conjonctif du derme au sein duquel siège la petite tumeur . En revanche il est moins grossier et plus tassé
es, quelques culs-de-sac sébacés bien conservés enchâs- sés dans la tumeur . Nulle part nous n'avons constaté la présence de
part nous n'avons constaté la présence de fibres ner- veuses. Les tumeurs de la couche profonde du derme et de 1'liyl)odci,
l s'agit là d'un fibrome diffus des couches profondes du derme. Les tumeurs nodulaires et encapsulées n'ont pas les mêmes car
intensité au niveau de la tunique interne en général très épaissie. Tumeurs intestinales et stomacales. - Ces tumeurs ont les
en général très épaissie. Tumeurs intestinales et stomacales. - Ces tumeurs ont les mêmes caractè- res de siège et de struc
éline ni éléments particuliers. Les nodules sont encapsulés. Chaque tumeur peut être constituée par 1, 2, 3, 4 nodules jux
és. L'ensemble a toujours son siège en pleine couche musculaire. La tumeur fait saillie sous la muqueuse qu'elle soulève s
ut de son affec- tion ; jamais avant cette époque il n'aurait eu de tumeurs cutanées ni de taches pigmentaires : il était s
edorso-lombairedenatureindéterminée. Chez cette femme les premières tumeurs étaient apparues à 30 ans.Un autrecas,signalé p
auteurs. Déjà en 1860 SANGALLI (1) signalait la présence de petites tumeurs saillant à la surface extérieure de l'estomac d
que des examens histologiques. Si Kriege a trouvé des nerfs dans sa tumeur linguale, si Branca a vu, décrit et figuré des
les, mais il fonde sa croyance en cette origine sur le siège de ces tumeurs en pleine couche musculaire et sur l'existence da
e ». Nous avons été moins heureux. Nous n'avons pas trouvé dans nos tumeurs de fibres ner- veuses, ce qui s'explique aiséme
acorniales ou altérées. Tout ce que nous pouvons dire c'est que ces tumeurs sont développées dans la couche musculaire et que
s, dans notre description, nettement différencié les deux sortes de tumeurs que l'on rencontre dans la peau. Les unes apparte
rome que ne traverse pas le faisceau nerveux dissocié. Les autres * tumeurs au contraire sont des blocs fibreux irréguliers s
nes régions on ne trouve même plus de blocs fibreux constituant des tumeurs en somme bien limitées, mais une con- densation
tonnière peut faire défaut ou à peu près et être remplacée par deux tumeurs siégeant symétriquement dans les régions sous-max
en deux lobes par un sillon médian. Dans ce der- nier cas, les deux tumeurs supérieures et les deux inférieures finissent par
ct des tu- bercules quadrijumeaux. Assez souvent, au lieu de quatre tumeurs , on n'en trouve que trois (deux supérieures et
on n'en trouve que trois (deux supérieures et une inférieure). Ces tumeurs reproduisent alors la forme d'une feuille de tr
ont le malade avait le ventre et surtout le dos comme capitonnés de tumeurs . Mais, même dans les cas de ce genre, les extré
és des membres res- tent indemnes (Williams a cependant observé une tumeur à la face dor- sale de la main entre le pouce e
, le réseau veineux est très déve- loppé à la surface de toutes les tumeurs et surtout autour d'elles. Par la palpation, on
pression. On peut, à ce point de vue, distinguer trois variétés de tumeurs : les plus molles sont celles de la région sous-m
es changements assez brusques de consistance survenant sur une même tumeur et coïncidant généralement avec des changements
phère de tissu adipeux. D'autres fois on sent, vers le centre de la tumeur , un seul noyau plus ferme. La compa- l'aDÉNO-LI
s (Iluguier, Margerin, Baker et Bowlby, etc.). - Au voisinage des tumeurs , on trouve parfois des ganglions lymphatiques p
t de l'affection est généralement insidieux ; comme l'évolution des tumeurs se fait lenlement, sans déterminer de douleurs, l
l. Une des particularités les plus intéressantes que présentent ces tumeurs dans leur évolution, c'est qu'elles peuvent êtr
ire lymphatique. Jamais on n'a observé une disparition complète des tumeurs . Dans quelques cas cependant (Brodie, Baker), o
e indi- vidualité propre sur le terrain où on le voit évoluer : les tumeurs conser- vent leur volume dans l'amaigrissement,
muniquée par M. ALBERT 11OUCHGT. E. Rec..., 38 ans, homme d'équipe. Tumeur lipomateuse formant un volumineux double menton
périeure de la nuque. Rien ailleurs. Pas de troubles viscéraux. Les tumeurs de la nuque ont été extirpées sur la demande du
d'un oeuf de poule ; un autre au niveau de la fosse jugulaire. Les tumeurs ne causent pour ainsi dire aucun trouble foncti
cl : e se décide à l'opérer et enlève en 2 séances une partie de la tumeur cervicale. Le malade promet de venir se faire opé
Homme de 43 ans. Jaunisse il y a 6 ans. Depuis 4 ans, apparition de tumeurs lipomateuses dans différentes parties du corps. E
r un sillon médian antérieur et postérieur. La peau au niveau de la tumeur est peu mobile et adhé- rente par places, en pa
é- rente par places, en particulier au niveau de la nuque. D'autres tumeurs lipomateuses symétriques se trouvent au niveau
ras, de la région lombaire, de la ligne blanche et de la cuisse. La tumeur du cou causant au malade de la dysphagie, de la d
développé. Figure pâle. Au milieu de la nuque se trouve une large tumeur graisseuse arrondie, dont le diamètre transvers
mesure environ 12 cent. 1/2 et la hauteur 7 cent. 1/2. Deux autres tumeurs de même nature se trouvent plus haut derrière c
i recouvre celle du côté gauche est rouge et assez sensible. Aucune tumeur semblable dans les autres régions du corps. L
7 ans ; les 2 plus petits il y a 4 ans. Il semble au malade que les tumeurs changent de volume à certains moments. Le malad
l. A souvent des nausées et parfois des vomissements le matin. Deux tumeurs symétriques à la nuque. Nouv. Iconographie de
iques existent aux deux aines. Rien ailleurs. Au dire du malade les tumeurs changent de volume de temps à autre. L'examen
ions supérieures est plus ferme que celle des inférieures. D'autres tumeurs graisseuses se trouvent sous le menton, dans le
t de l'épaule droite et au milieu du dos. L'aspect difforme que les tumeurs confèrent au malade l'empêche d'ob- tenir un em
vie. Aussi réclame-t-il a en être débar- rassé. On extirpe les deux tumeurs de la nuque. Le résultat obtenu est très satisf
cas n° 2. F. E. W..., âgé de 25 ans s'est aperçu de l'apparition de tumeurs à la nuque depuis 6 ans. Il présente maintenant
u est mobile et nullement adhérente. A l'épaule droite se trouve un tumeur ayant 'tous les caractères du lipome ordinaire
de 60 ans ayant des lipomes depuis 3 ans. Il n'existe pas d'autres tumeurs que celles indiquées dans la figure L. Il est dit
s tumeurs que celles indiquées dans la figure L. Il est dit que ces tumeurs étaient de consistance ferme, nettement circonscr
oduisons cette figure il cause de la disposition intéressante de la tumeur du dos. PI. X, P. Malade de M. Sihedet. Photo
ier graisseux qui donne au malade une apparence grotesque. D'autres tumeurs lipomateuses symétriques existent au dos, il la
e 59 ans, agriculteur etplus tard commerçant dans une ville. Pas de tumeurs chez les membres de sa famille. Pas d'alcoolisme.
il y a 9-1 ans pour une fistule rectale. L'apparition des premières tumeurs daterait de 23 ans. Collier lipoma- .teLL\ : ,
poitrine, autour de la mamelle, il existe un nombre considérable de tumeurs grais- seuses. Troubles de compression des orga
accès de suffocation nocturne). Le malade réclame l'ablation de ses tumeurs une première fois et parce qu'il ne pouvait plu
linique est bien moins dramatique : il s'agit alors, sous formes de tumeurs gazeuses mobiles, tumeurs fantômes des Anglais,
matique : il s'agit alors, sous formes de tumeurs gazeuses mobiles, tumeurs fantômes des Anglais, de points localisés de di
milit., 2° sér., III, 1848, p. 143. HOPITAL DE LA CHARITÉ DE LYON TUMEUR CONGÉNITALE DE LA REGION LOMBAIRE PAR P. PIOL
ns le service de M. Nové-Josserand, chirurgien des hôpitaux,uncasde tumeur congénitale de la région lombaire qui nous a se
serve ordinairement dans ces régions ; on trouve, en effet, soit des tumeurs congénitales de la région sacro-coccygienne étu
ctuellement. Ni la mère, ni les autres enfants ne présenteraient de tumeurs cutanées ; nous n'avons pas pu nous en assurer
ssesse et pendant l'accouchement. Dès la naissance, on constata une tumeur aplatie, appendue par une large pédicule à la p
argeur de la main. A 15 mois, quand l'enfant commença à marcher, la tumeur devint pen- dante, descendant au niveau des fes
e der- nière année, l'accroissement fut beaucoup plus rapide, et la tumeur , ti- rant en arrière, gênait par son poids la m
uble fonctionnel observé. Il y a 6 ans, à la suite d'un coup sur la tumeur , se forma un abcès qui suppura pendant plus de
e de liquide se mit à suinter par les pores delà peau recouvrant la tumeur . Ce 72 P. PIOLLET suintement continua le jour
es tomber sur le parquet ; il se faisait par toute la surface de la tumeur . " : L'examen de la malade, debout, nous montre
la tumeur. " : L'examen de la malade, debout, nous montre que la tumeur , énorme, tombe jusqu'au creux poplité ayant une
r 10 à 15 cm. de chaque côté de la ligne médiane. L'épaisseur de la tumeur est de 20 cm. à sa partie inférieure, la largeu
ême niveau (l'l. XIV). 'Quand la malade est assise dans son lit, la tumeur s'étale tout autour du siège. La peau qui la
volumineux et quelques rares poils bruns. A la partie gauche de la tumeur , cicatrice blanchâtre, étoilée, due à l'abcès o
, s'il y a, ou non, un spina bifida. Latéralement les limites de la tumeur ne sont pas nettes ; elle parait, au contraire,
re, se continuer sous la peau au pourtour du pédicule. Aucune autre tumeur sur le reste du tégument. Vers l'omoplate gauche,
des con- Nouv. Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIII. Pl. XIV TUMEUR CONGÉNITALE DE LA RÉGION LOMBAIRE 73 nexions de
Pl. XIV TUMEUR CONGÉNITALE DE LA RÉGION LOMBAIRE 73 nexions de la tumeur avec le canal rachidien el d'acquérir la certitud
poussée très loin. On rencon- tre d'ailleurs, à la périphérie de la tumeur , des veines en grand nombre, dont quelques-unes
d'une jugulaire, et malgré les précautions prises, l'excision de la tumeur ne peut être faite qu'au prix d'une hémorrhagie
ait redouter un accident immédiat. On se contente donc d'enlever la tumeur en gros, et, t'hémos- tase assurée par des pinc
lète l'opération ; on excise en- core de volumineux fragments de la tumeur et on se rend compte des deux faits suivants :
umeur et on se rend compte des deux faits suivants : d'abord que la tumeur est diffuse, au moins dans ses rap- ports avec
en totalité ; ensuite que le point de départ et d'attache de cette tumeur parait être l'arc postérieur des deux premières v
'épaisseur est de 2 doigts environ; la peau semble infiltrée par la tumeur , qui est mobile sur les plans pro- fonds. , L
trée par la tumeur, qui est mobile sur les plans pro- fonds. , La tumeur enlevée pesait 6 kitog. 200. De forme ovoïde, mol
niliformes, semhlent nettement isolables des parties voisines de la tumeur ; ils forment, en se pelotonnant, les nodules in
e volume variable que décelait l'examen clinique. Le stroma de la tumeur est conjonctif et infiltré de sérosité, les couch
té, les couches sous-cutanées notamment sonl très oedematiées. La tumeur fut examinée au laboratoire d'Anatomie patliologi
ante. Il a été pris pour l'examen : a) Une partie prise en pleine tumeur . b) Une portion portant sur un cordon monilifor
sur un cordon moniliforme presque isolable. c) De la peau et de la tumeur sous-jacente. Des coupes de a) et b) ont été au
avec les parties fihroïdes qui constituent la grosse majorité de la tumeur . Aucune des coupes imprégnées à l'acide osmique
dépressions puncliformes observées sur la peau de la surface de la tumeur répondent à des bulbes pileux ou à des glandes sé
récidive in sitn, mais vraisemblable- ment pas de généralisation. TUMEUR CONGÉNITALE DE LA RÉGION LOMBAIRE 75 Voilà le f
r examen de l'enfant, on pouvait songer, à cause du volume de cette tumeur , de son siège exac- tement médian, de sa consis
de son siège exac- tement médian, de sa consistance inégale, à une tumeur à tissus multi- ples de la région sacro-coccygi
gienne; mais il était facile de se convaincre que l'insertion de la tumeur se faisait beaucoup plus haut, au niveau de la
e, sans fissure postérieure. Nous sommes donc amenés à éliminer les tumeurs spéciales à la région : nous avons affaire à un
ait rencontrer en tout au- tre point du corps. Or que peut être une tumeur congénitale, à accroisse- ment lent et progress
a consistance inégale à la pal- pation, l'examen histologique de la tumeur ne nous permet pas de la ranger dans ce cadre.
mes, qui avaient l'air isolables, ressemblait à s'y méprendre à une tumeur de ce genre : c'est encore l'examen histologiqu
bres nerveuses dans ces boyaux, comme dans toutes les parties de la tumeur . Un dernier genre, celui qui se rapproche le pl
d'un liquide jaunâtre : c'est assez exactement la description de la tumeur qui nous occupe ; par contre, il se développe o
plasme, la présence de nombreuses cellules embryonnaires donnent la tumeur une apparence maligne que n'a pas le molluscum.
molluscum. Aussi, ne pourrons-nous rattacher très exactement cette tumeur à un genre bien défini ; et devrons-nous dire :
l, elle n'eût pas attendu si longtemps. Les pierres de tète étaient tumeurs courantes et les arracheurs savaient toujours l
èvres de l'incision, tandis que de la droite il énuclée vivement la tumeur suspecte. Etrange instrument en vérité que celui
re ont le front entouré de linges, sous lesquels on voit saillir la tumeur frontale. C'est que la pierre de tète peut xiii
elle aussi, porte au front,, sous un bandeau blanc, une volumineuse tumeur ; son sou- rire béat montre qu'elle a l'espoir
guéris. Ils sont là, avant l'opération, portant au front la funeste tumeur ; à côté, les pierres sont suspendues, de taill
populaire. La Faculté l'y autorisait s'étant occupé de ce genre de tumeurs intesti- nales. Bien plus, un certain P. Valcar
ire l'histoire de cette maladie » (1). Qu'était ce nouveau genre de tumeur intestinale ? Probablement, de vulgaires caillo
Mars-Avril SUR UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS PAR TUMEUR DE L'HYPOPHYSE ' PAR F. SOCA Professeur à l
cas dont les traits singuliers peuvent servir à compléter la -- des tumeurs du cerveau et surtout celle moins connue des tume
éter la -- des tumeurs du cerveau et surtout celle moins connue des tumeurs de l'hypophyse. C'est là la raison qui excuse e
Une dissection très délicate et très soignée permet de détacher la tumeur de la dure-mère et de l'os. La tumeur recouvre
soignée permet de détacher la tumeur de la dure-mère et de l'os. La tumeur recouvre la selle turcique laquelle est débor-
avant, des deux côtés et en arrière sur la lame quadri- latère. La tumeur est ainsi placée sur le trajet des premières pair
antérieure des bandelettes optiques, tout cela est adhé- rent à la tumeur ou plus exactement confondu, perdu dans la tumeur
t adhé- rent à la tumeur ou plus exactement confondu, perdu dans la tumeur dont on ne peut pas les distinguer. La tumeur
ondu, perdu dans la tumeur dont on ne peut pas les distinguer. La tumeur chevauche des deux côtés sur les oculo-moteurs et
rs et les pathétiques, FiG. 1. - Face inférieure de l'encéphale (la tumeur occupe la région ombrée). UN CAS DE SOMMEIL PRO
absolument intacts et ne sont pas même déviés de leur trajet par la tumeur . Une fois le cerveau extrait et placé sur la ta
ne fois le cerveau extrait et placé sur la table par sa face convexe, tumeur affecte les rapports indiqués nettement par la
perforé antérieur. Quand par une dissection soignée on a enlevé la tumeur , on voit qu'il n'y a plus de tubercules mamilla
hyse, ni chiasma des nerfs optiques, tout cela a été enlevé avec la tumeur . Reste une excavation profonde dont les limites
es limites extérieures sont celles que nous avons indiquées pour la tumeur . Profondément on voit que la tumeur pénétrait dan
ue nous avons indiquées pour la tumeur. Profondément on voit que la tumeur pénétrait dans le 3° ventricule et arrivait mêm
stement d'avant en arrière ces pédoncules. Au moment d'enlever la tumeur il s'écoule une certaine quantité de sérosité d
ventricules, quantité qu'on pourrait évaluer à 40 ou 50 grammes. La tumeur a la dimension et même la forme d'une mandarine ;
st rouge sombre sur laquelle se détache un réticulum plus clair. La tumeur est extrêmement molle, tremblotante, semi-tiquide
laires. Les tubercules quadrijumeaux petits, aplatis, atrophiés. La tumeur appartiendrait à la classe des sarcomes. Elle s
cas. - Et, chose curieuse et frappante, l'action compressive de la tumeur dans notre cas portait au maximum exactement su
et la substance du même type de la base du 3e ventricule. Or noire tumeur avait détruit ou comprimait la base du 3e ventr
mme toute très différentes. Le sommeil n'a pas été signalé dans les tumeurs cérébrales ? Si fait, mais la question est malgré
ns. Les auteurs classiques s'expliquent peu sur le sommeil dans les tumeurs . Tous indiquent plus ou moins nettement le phén
de la fréquence et même des caractères des divers sommeils dans les tumeurs . Mais mes recherches quoique assez étendues son
omnolence est aussi un phénomène assez communément observé dans les tumeurs cérébrales. Mais peut-on fixer cette fréquence pa
déterminer exactement la fréquence réelle du vrai sommeil dans les tumeurs cérébrales '; mais je crois que c'est là un phéno
Revenue, meurt dans le coma le 18 février. Autopsie. Cicatrice de la tumeur enlevée (gliome) située à la base de la 2e fron
ntre de plus en plus dans le coma et meurt. L'autopsie a montré une tumeur de l'hypophyse de la grosseur d'un oeuf de poul
tubercules quadrijumeaux. L'aqueduc de Sylvius est comprimé par la tumeur . Dans cette observation le sommeil est aussi et
s années de sa vie. Ajoutons que les compressions, produites par la tumeur ressemblaient singulièrement à celles constatée
s, sans que son état ait beaucoup changé. - L'autopsie a montré une tumeur de la gros- seur d'un oeuf de poule siégeant da
d'a- brutissementou de coma),n'est, pas inconnu dans l'histoire des tumeurs cé- rébrales. Mon cas se place naturellement à
ymptôme de Bernhardt était un signe habituel, sinon constanl, de la tumeur de l'hypophyse. On sait en quoi consiste le sig
e fut assez embarrassante pour le diagnostic. On sait qu'une petite tumeur peut exercer dans la fosse moyenne des compress
ptômes d'une remarquable précision dans leur simpli- cité. Mais une tumeur assez étendue d'avant en arrière et transversalem
s existent ou manquent, d'excellents signes positifs ou négatifs de tumeur de la fosse moyenne. Or dans notre cas,la clini
moyenne. Or dans notre cas,la clinique permettait d'affirmer que la tumeur , s'il y en avait une, était assez grande. Elle
question. Maintenant qu'a dit l'autopsie ? L'autopsie a dit que la tumeur chevauchait sur les nerfs moteurs oculaires. Elle
me permettrai d'appeler la logique des compressions mul- tiples par tumeur de la base ne vaut que pour la généralité des fai
tre autres de deux facteurs également importants : la poussée de la tumeur , la résistance du nerf. Si la poussée de la tum
la poussée de la tumeur, la résistance du nerf. Si la poussée de la tumeur l'emporte, la compression effi- cace s'en suit.
te est inefficace parce qu'elle est insuffisante. Dans notre cas la tumeur chevauchait sur les nerfs ; mais elle était mol
sans compres- sion locale. Il est évident que la consistance de la tumeur n'est qu'un élé- ment dans la circonstance, car
e la tumeur n'est qu'un élé- ment dans la circonstance, car la même tumeur dans des conditions méca- niques plus favorable
un organe devant être atteint d'après la topographie présumée d'une tumeur de la base n'est pas une raison suffisante pour
ne trouve de cavités remplies de substance caséeuse ou de pus ni de tumeurs . La dure-mère rachidienne qui recouvre la face
soit cliniquement impossible. Sur le pubis, on trouve également des tumeurs dures, de volumes divers, faisant corps avec l'
s uns des autres, finissent par se confondre, de façon à former une tumeur unique. On ne saurait cependant affirmer qu'ils n
t l'on constate sur les doigts, l'avant-bras,le bras et le thorax des tumeurs plus ou moins volumineuses.La peau a conservé p
x dilatés dont les parois paraissent épaissies. La palpation de ces tumeurs ne révèle aucun battement, l'auscultation ne pe
La photographie ci-jointe montre bien les saillies formées par les tumeurs que nous étudions ; la plus volumineuse siège dan
es, dont les autres donnent une sensation de paquet de ficelle. Les tumeurs sont douloureuses spontanément et légèrement sens
nostic. Ce ne sont pas des dilatations artérielles serpentines. Les tumeurs ne sont pas pulsatiles et d'ailleurs ne suivent
près symétrique. Toujours le lipome, en pareil cas, consti- tue une tumeur nettement circonscrite et parfaitement encapsulée
éno-lipomatose. Le Iymphadénome se distingue par la consistance des tumeurs , par les douleurs, les troubles fonctionnels et
e 2 à 3 ans; enfin la récidive est constante après l'ablation d'une tumeur tymphadénomateuse taudis qu'elle n'a jamais été n
upposer qu'il existe une relation étroite entre les deux espèces de tumeurs qui, cependant, ne peuvent être confondues dans
nglions malades et simulant un lipome vrai, simple, classique v. La tumeur était unilatérale et avait pu être enlevée en tot
e voulons pas discuter si elle est bonne ou mauvaise pour désigner la tumeur qu'a présentée : \1. Tuffier à la Société de ch
s, mais au-dessous des aisselles et en divers points du thorax, des tumeurs sous-cutanées, molles, tremblotantes, d'apparen
n de lipomes solitaires. Les secondes auront pour con- séquence les tumeurs lipomateuses multiples et le plus souvent symé-
gnalé par de nombreux chirurgiens après l'ablation d'une partie des tumeurs . En sup- primant les tumeurs, on n'a pas pour c
iens après l'ablation d'une partie des tumeurs. En sup- primant les tumeurs , on n'a pas pour cela modifié les influences nerv
: la première comprend les cas dans lesquels, en môme temps que les tumeurs , on trouve des ma- nifestations nerveuses, rhum
sur l'état cérébral des malades, sur la distribution symétrique des tumeurs et sur leur coexistence dans quelques cas avec
ainsi qu'il l'a proposé lui-même pour expliquer la répartition des tumeurs dans la neurofibromatose ou maladie de Heckling-
ussi impor- tante au rôle du système nerveux dans la production des tumeurs . Si les muscles des régions atteintes subissent
es vaisseaux lymphatiques. Baker et Bowlby s'étaient demandé si les tumeurs ne sont pas plutôt de nature lymphadénomateuse
t en faveur de cette opinion. On doit reconnaître néanmoins que les tumeurs peuvent siéger dans des régions (épaule, région
eux renfermant de petits ganglions noirâ- tres ». De plus, dans les tumeurs développées au niveau ou en dehors des (1) Cett
lade de i}1. IIayem, deux ans auparavant, Bessio avait retiré d'une tumeur (il ne dit pas laquelle) un liquide lactescent pa
al. Dans l'observation de Reverdin se trouve relaté que « de chaque tumeur sous-claviculaire part une sorte de gros boudin
opinion la remarque suivante faite par Virchow, dans son Traité des tumeurs , à propos de cer- taines adénites. Cet auteur i
MM. Lannelongue et Achard, est souvent un élément important de ces tumeurs , et il se rencontre tantôt par petits pelotons, p
présentant G à 7 centi- mètres d'épaisseur, formant de volumineuses tumeurs abdominales. qui entourent la glande rénale noy
e nous avons réunis ; elle permet de comprendre la localisation des tumeurs lipomateuses, leur symétrie, et enfin leur fréq
présence de tumé- factions derrière la tête il y au semaines. Les tumeurs sont bilatérales et symétriques et occupent : la
région sus-ombilicale, sous-ombilicale et le pli du coude. Les 2 tumeurs de la région mastoïdienne ont été enlevées. (1)
iqueur de Fowler et on fait des injections d'alcool absolu dans les tumeurs , mais sans le moindre résultat. , Cas. XVI (PI.
aigu. Début de la maladie il y a 26 ans par une grosseur lombaire. Tumeurs lipomateuses à la nuque, aux régions pa- rotidi
n parotidienne. Tuméfaction dif- fuse de la région cervico-faciale. Tumeurs lipomateuses dans les fosses sus- épineuses, le
Etat éléphantiasique de la peau au niveau de l'aisselle droite. Les tumeurs empêchent l'adduction des bras, mais ne sont nu
ession du médiastin. Leucocytose légère, obésité. Extirpation d'une tumeur et l'aine par M. Delbet : elle était essentiel-
t il y a 4 ans. Pas de lipomes dans sa famille. Extirpation de la tumeur du cou, ouverture et ligature de la veine jugu-
. klin. Chirurgie, décembre 1892. J. Dostal, paysan, 36 ans. Pas de tumeurs lipomateuses dans sa famille, grand buveur de b
uses dans sa famille, grand buveur de bière. Début il y a 3 ans par tumeur située derrière les oreilles. Lipomes diffus et
es et pubienne ; dos capitonné de masses graisseuses. On enlève les tumeurs situées derrière les oreilles et celle siégeant a
nri Lebon.) D... Abel, 32 ans, cocher. Début il y a 2 ans par une tumeur occupant la partie gauche de la nu- que. Énor
la partie gauche de la nu- que. Énorme collier cervico-facial ; 2 tumeurs symétriques à la nuque ; une dans la région dor
e descendant sur le deltoïde, une au creux épigastrique. Toutes les tumeurs présentent les caractères des lipomes diffus.
amaigrissement rapide coïncidant avec l'accroissement constant des tumeurs . Extirpation du lipome couvrant le côté droit d
ice de M. Remy. Bontem..., Marie-Fidèle-Edouard, i.2 ans, cocher. Tumeurs lipomateuses sous le menton, à la nuque au niveau
seule- ment), au niveau du rebord des crêtes iliaques. Aux bras, 2 tumeurs : l'une au-dessus de l'épitrochlée et l'autre a
'une dans le triangle de Scarpa, l'autre à la partie externe. Une tumeur située derrière l'oreille droite plus haut placée
is. Il y a dix ans, le malade s'aperçut de la présence d'une petite tumeur arrondie derrière l'oreille droite. Il prit alo
prit alors de l'iodure de potassium. Pen- dant deux ou trois ans la tumeur grossit lentement, tout en restant loca- lisée
ace latérale gauche du cou. Il y a un an et demi apparition de deux tumeurs presque juxtaposées de chaque côté de la ligne
plus vite que l'autre. Presque en môme temps se développaient deux tumeurs symétriques, plus bas, à gauche et à droite de
ie postérieure de la colonne cervi- cale. Depuis quelques mois, une tumeur à marche rapide s'est montrée dans les deux ais
à marche rapide s'est montrée dans les deux aisselles. Toutes ces tumeurs ont grossi sans provoquer de grandes douleurs. Le
de novembre 1899, nous constatons d'abord la présence d'une énorme tumeur qui occupe toute la partie antérieure et supéri
oir que sous ces muscles elle se continue en arrière avec une autre tumeur bi- lobée qui siège dans la région de la nuque.
- lobée qui siège dans la région de la nuque. De telle sorte que la tumeur a envahi en totalité la partie supérieure du co
un peu plus nette. Cependant, on sent bien qu'il s'agit d'une seule tumeur et non pas de tumeurs enkystées juxtaposées. La
pendant, on sent bien qu'il s'agit d'une seule tumeur et non pas de tumeurs enkystées juxtaposées. La peau glisse assez bie
ns points elle est plus ferme, comme celle des fibro-lipomes. Les tumeurs de la région postérieure du cou sont un peu plus
osses comme des pommes. Dans les creux sus-claviculaires il y a des tumeurs pareilles. Celle du côté droit est un peu plus
jusque sur l'épine de l'omoplate. Dans les creux axillaires autres tumeurs du volume d'une grosse orange, mollasses, assez
ticale des apophyses épineuses, dans la région lombaire. Une petite tumeur assez profonde, sur le côté droit de la poitrin
ur le côté droit de la poitrine, au niveau de la 5°côte. Une petite tumeur grosse aussi comme une noix sous-cutanée, dans
enu mélancolique et manifeste un désir ardent d'être débarrassé des tumeurs de son cou. « L'examen du sang a été pratiqué p
ires ni personnels. Alcoolisme. ; X... fait remonter le début de sa tumeur à deux mois environ. Quelques semaines auparava
partie latérale gauche du cou, un peu au-dessous de l'oreille, une tumeur mobile, roulant sous la peau, et ayant le Volum
u trois jours après, il s'aperçut que du côté droit se trouvait une tumeur placée en un point sy- métrique. Ces deux tum
se trouvait une tumeur placée en un point sy- métrique. Ces deux tumeurs augmentèrent progressivement de volume, et le cou
... est un homme fortement musclé, qui me paraît très vigoureux. La tumeur pour laquelle est venu consulter forme autour du
tés et la joue socontinue, directement, sans aucune dépression avec tumeur . Un sillon à la sur- face de celle-ci parait sé
e une saillie du vo- (i) Il ne me parait pas que les portions de la tumeur enlevée aient récidivé. On en peut bien juger à
empesée a déterminé une légère excoriation sur le côté gauche de la tumeur ; mais la peau est partout molle, souple, sans
cé à la partie supérieure du thorax des deux côtés, mais pas sur la tumeur elle-même. Pas de varices lymphatiques. La tume
, mais pas sur la tumeur elle-même. Pas de varices lymphatiques. La tumeur n'a pas de mouvements d'expansion, elle ne suit p
aires durs, noyés dans une masse gélatineuse ou lipomateuse. , La tumeur , submate à la percussion, est dépressible mais no
peau ne prend pas l'aspect gau- fré par le pincement. Il y a des tumeurs , de consistance identique à celle des tumeurs cer
pincement. Il y a des tumeurs, de consistance identique à celle des tumeurs cervi- cales, en avant des deux creux axillaire
euse. Le diagnostic avec d'autres affections du cervelet telles que tumeurs , abcès, ne comporte pas, par contre, dans la gr
lus fréquemment occasion d'observer et d'étudier, c'est- à-dire des tumeurs , des méningites, des abcès; le vertige compte en
ments, la céphalée, sont des excellents éléments de diagnostic des tumeurs , abcès ou méningites cérébelleuses, sans compte
iquide céphalo-rachidien ni de la localisa- tion cérébelleuse de la tumeur , mais de son extension à d'autres organes, bulb
accusées. Les téguments du cou et du dos portent plusieurs petites tumeurs de mollus- cum. Il existe une petite hernie épi
2) ont observé des géants acromégaliques qui étaient atteints d'une tumeur de l'hypophyse. Si, dans l'observation que nous
on nucléaire : quant à la lésion on doit éliminer une lésion et une tumeur comprimant les noyaux des nerfs malades, parce
ait pas connaissance de ces différentes lésions, pas même la petite tumeur du coude droit. En présence de ce cas, à l'époq
quelques poils rudes ; 2° deux verrues colorées ; 3° trois petites tumeurs molles pédiculées ' du volume d'une tête d'épin
s mobiles, dont l'un dépasse de beaucoup le petit volume des autres tumeurs , atteint les dimensions d'une noix, semble être a
rogression et mérite, suivant l'expression de Boudet, l'épithète de tumeur royale; 5° une vingtaine de taches pigmentaires g
le, à bords assez diffus. Il n'était pas démontré qu'il existât des tumeurs le long des nerfs rachidiens. Ces lésions de la
ollogr.), 153. Sommeil prolongé (un cas de) pendant sept mois par tumeur de l'hypophyse, par SOCA (1 fig.), 101. Syndr
) chronique hél'é- ditaire, par LANNOIS (2 photocollogr.), 631. Tumeur congénitale de la région lombaire, par PIOLLET
opsie (9 photograv., 8 coupes en 3 pl. photollogr.). 1. PIOf.LET. Tumeur congénitale de la région lombaire (3 photocollo
478. SocA. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept mois par tumeur de l'hypo- physe (4 fig.), p. 101. Souques A.
XL. Trophoedème chronique héréditaire (Lan- Nos), LXXX, LXXXI. Tumeur de .la région sacro-coccygienne (PlOLMT), XIV.
13 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ade les divers symptômes qui décèlent d'ordinaire l'existence d'une tumeur de l'encéphale, les hypothèses de syphilis, de
lus rare que lemédecin pense, au même degré, à la possibilité d'une tumeur de nature parasitaire et dans les divers ouvrag
de nature parasitaire et dans les divers ouvrages qui traitent des tumeurs cé-' rébrales la discussion de ces productions
ues considérées généralement comme beaucoup plus importantes. Les tumeurs d'origine parasitaire ne sont cependant pas excep
creusée le parasite est entièrement lisse et unie. Le volume de la tumeur est environ celle d'un oeuf de poule. La cavité
3 millimètres. La deuxième pariétale est très réduite de volume. La tumeur s'avance en bas vers la scissure de Syl- vius d
cite 22 MONSSEAUX, DE GOTHARD ET RICHE encore des observations de tumeurs kystiques, et depuis cette époque les observati
époque les observations se multiplient. Le degré de fréquence des tumeurs parasitaires du cerveau par rapport à celles de
e 4 fois sur 255 cas. Quant à leur fréquence par rapport aux autres tumeurs cérébrales,-la statistique de Haie White sur 100
res tumeurs cérébrales,-la statistique de Haie White sur 100 cas de tumeur encéphalique, mentionne 4 kystes (sans préciser l
ciser leur nature), celle de Bernhardt 30 kystes hydatiques sur 480 tumeurs , celle d'Allen Starr 30 kystes sur 300 cas chez
la localisation du para- site. Odile a divisé l'évolution de ces tumeurs en deux périodes : la première, est caractérisé
ue au frémissement que l'hydatide provoque quelqu efois Parmi les tumeurs cérébrales, il n'en est pas dont le diagnostic po
ur des individus morts d'affec- tions complètement étrangères à ces tumeurs qu'on a constaté des hydatides même volumineuse
cas seulement que la mort a été réellement due à l'existence de la tumeur parasitaire ; tout porte à croire, il estvrai, qu
robablement plus tard con- sécutivement à la marche progressive des tumeurs logées dans la boîte crânienne. Le diagnostic
amala. Les kystes hydatiques rentrant d'une part dans le groupe des tumeurs bien limitées et facilement énucléables, n'amen
ien, guérison. Progrès méd., 1899. BRALLT ET LoEpEn. - Trois cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique, Archives
coupes, nous pourrions compter un nombre bien plus considérable de tumeurs . Nous croyons donc être au-dessous de la vérité
iffluent, ni purulent. Le deuxième aspect est le plus habituel. Les tumeurs sont faciles à énucléer, 1 appendues chacune à
teinte bleuâtre opalescente. Si on pratique une coupe d'une de ces tumeurs on trouve une coque fibreuse, contre laquelle se
inférieur gauche se voit encore une autre particularité : c'est une tumeur située à la face antéro-externe de la cuisse : no
ET COURTELLEMONT che,,on y constate deux choses intéressantes : une tumeur crurale et la dé- formation du genou. La tume
téressantes : une tumeur crurale et la dé- formation du genou. La tumeur siège à la face antéro-externe de la cuisse, au n
xploratrice a donné un résultat négatif. Le malade assure que cette tumeur s'est développée peu à peu, insidieusement, sans
e hypothèse tombe devant la date d'apparition des deux lésions : la tumeur est survenue 11 ans après le genu recurvatum. Aus
genu recurvatum. Aussi serait-il plus logique de se demander si la tumeur n'est pas secondaire à la déformation tibio-fém
Thovenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). 14e Année N° 3. ' MAI-JUIN TUMEUR CÉRÉBRALE (Etude histologique et pathogénique)
s présenter ici quelques considé- rations sur l'histopathologie des tumeurs endothéliales du cerveau, et proposer, pour exp
poser, pour expliquer la physiologie pathologique des symptômes des tumeurs cérébrales, une hypothèse nouvelle, destinée, non
ur la planche XXV. Observation. SOMMAIRE. Clinique : Syndrome des tumeurs cérébrales : d'abord cépha- lée, quelques verti
sées; enfin, démence, gâtisme,coma, mort. - Nécropsie : Volumineuse tumeur sphéroïdale, circonscrite, grosse comme une ora
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XIV. PL. XXIV Eig.1 i Fig. 2. TUMEUR CÉRÉBRALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEU
ig.1 i Fig. 2. TUMEUR CÉRÉBRALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR CÉRÉBRALE 175 quelques troubles de caractère hy
ervice du Dr Rénon, qui, après examen, conclut à la probabilité d'une tumeur cérébrale. Sur la demande de Rénon, le Dr Sauvi
de l'hémisphère gauche, la lésion, sous la forme d'une volumineuse tumeur sphé- noidnle grosse comme une orange, d'une co
environ de large de la substance du lobe frontal ; en longueur, la tumeur s'étend depuis Une ligne correspondant au grand
ieure du lobe frontal. Toute la face orbitaire de ce lobe coiffe la tumeur suivant une courbe régulière, dont l'extrémité
profil du cerveau, par la saillie irrégulièrement sphéroldale de la tumeur , qui déborde en dehors l'hé- EXPLICATION DE LA
dehors l'hé- EXPLICATION DE LA PLANCHE XXV FiG. 1. - Coupé de la tumeur , hn haut, à gauche, cavités angiomateuses dont
evaux. .A 13essJn, Del-loll> E Marchl'ze, Imp 9,rueChampoll'on TUMEUR CÉRÉBRALE 177 misphère et en augmente beaucoup
siège, du volume, de la forme et des rela- tions de voisinage de la tumeur . Examinée de plus près, cette tumeur apparaît c
la- tions de voisinage de la tumeur. Examinée de plus près, cette tumeur apparaît comme un gros bloc sphérique, de struc
téo-fibreuses durent être rompues pour énucléer le lobe frontal et sa tumeur de la fosse cérébrale, et de petits fragments d
étache, par des trac- tions multiples et des sections au ciseau, la tumeur de ses adhérences cérébra- les, on l'énuclée de
, re- foulé et sinueux, rampe entre la face postéro-iiiteriie de la tumeur et le lobule de l'insula aplati et repoussé en
celui de la pie-mère adjacente. Il faut, pour isoler et énucléer la tumeur , rompre on sectionner tous ces trac- tus fibro-
: Poids de l'encéphale : 1440 grammes. Poids du cerveau (avec la tumeur ) : 1380 grammes. Poids de l'hémisphère gauche (
ec la tumeur) : 1380 grammes. Poids de l'hémisphère gauche (avec la tumeur ) : 780 grammes. Poids de la tumeur : 210 gramme
de l'hémisphère gauche (avec la tumeur) : 780 grammes. Poids de la tumeur : 210 grammes. L'examen macroscopique ne révèle
olume ; le chiasma est affleuré à gauche, par le bord interne de la tumeur , et la ban- delette, du même côté, est légèreme
éservant l'étude détaillée de l'histologie et de l'histogénie de la tumeur pour la seconde partie de ce mémoire, nous donnon
du tassement régulier des cellu- les fusiformes constitutives de la tumeur ; par l'ordination en tourbillons de celles-ci,
logique de l'écorce cérébrale sur des fragments prélevés loin de la tumeur (lobe occipital et région paracentrale) et au voi
lésions microscopiques de l'écorce, des nerfs optiques, et de de la tumeur s'appréciera aisément sur les différentes figures
L ÉTUDE CLINIQUE. Tout a déjà été dit sur l'histoire clinique des tumeurs cérébrales : et pourtant il ne sera pas sans in
e paradoxal, lorsqu'on réfléchit : d'abord, à l'énorme volume de la tumeur ; ensuite, à l'action de refoulement, de compressi
extrêmes qu'elle exerçait sur le pôle temporal, le lobule de l'in- TUMEUR CÉRÉBRALE 179 sula, et les régions inféro-exter
olution, la tolérance du tissu céré- bral ; ensuite, le siège de la tumeur , qui, placée n la base du lobe frontal, occupai
'était que refoulée et comprimée, et non détruite par celui-là ; la tumeur était, dans un accolement étroit, juxtaposée à
i dire, la note psychopatltique dominante du tableau clini- que des tumeurs cérébrales : c'est un état qui, associé à un degr
la démence. Une autre caractéristique de la pathologie mentale des tumeurs encé- phaliques, qui ne faisait pas non plus dé
ssaud semble avoir bien remarqué aussi, dans la symptomatologie des tumeurs cérébrales, lorsqu'il écrit : « c'est un simple
ggestibilité extrême dans la conversation, la (1) E. Brissaud, Art. Tumeurs cérébrales, Traité de médecine, t. VI. TUMEUR C
1) E. Brissaud, Art. Tumeurs cérébrales, Traité de médecine, t. VI. TUMEUR CÉRÉBRALE 181 nature puérile des désirs, des oc
von de,- Localisation im Gehirn,Berlin,1888. (3) BRAULT et LOEPER, Tumeurs cérébrales il forme psycho-paralytique. Archiv. d
ralytique. Archiv. de Médecine, mars 1900. (4) DEVIC et GAUTHIER, Tumeurs cérébrales à forme ysycleo paralylique, Id., dé-
auche, et de nature sarcomateuse probable. Mais si le diagnostic de tumeur avait été depuis longtemps formulé, la notion d
histologique de notre observation. L'étude clinique et pathogénique TUMEUR CÉRÉBRALE 183 demande cependant à être éclairée
vation. Après une description histologique détaillée, d'abord de la tumeur , en- suite de l'écorce cérébrale dans des zones
overses que ce problème a déjà soulevées, la place qui convient aux tumeurs de cette nature. Description histologique de
vient aux tumeurs de cette nature. Description histologique de la tumeur . Technique employée. Fixation au formol ; inclu
s trois procédés. Il nous a été facile, étant donné le volume de la tumeur , de pratiquer des coupes en différents points.
riphérie et sur la portion de la substance cérébrale adjacente à la tumeur , la présence d'une membrane d'enveloppe fine, n
t viscéral'de l'arachnoïde repoussé par le développement même de la tumeur . 184 li. DU PRÉ ET DEVAUX L'examen d'une coup
dilection. , L'élément vasculaire tient une grande place dans cette tumeur . Il est repré- senté par des figures variées. T
disposition périlacunaire semble représenter le der- nier terme. TUMEUR CÉRÉBRALE 185 S'agit-il là d'un mécanisme analo
u'ils sont plus nombreux. Sur une coupe prise à la périphérie de la tumeur où les vaisseaux étaient très abondants, il n'y a
ciles il constater et répartis d'une manière uniforme dans toute la tumeur . Tout d'abord, au milieu d'un amas, les cellule
vasculaires tiennent une grande place dans la constitution de cette tumeur .Comme nous l'avons déjà dit, elles se présentent
t peut-être un peu plus nombreux vers les zones périphériques de la tumeur , ce sont des vaisseaux de petit calibre. Ils se
enfin être contenus dans la paroi même. Cette dernière a uuestruc- TUMEUR CÉRÉBRALE 187 ture très particulière. Elle est
es, la similitude macroscopique offerte par ces néoplasmes et notre tumeur . Ce sont des tumeurs de grosseur très variable,
croscopique offerte par ces néoplasmes et notre tumeur. Ce sont des tumeurs de grosseur très variable, pouvant parfois attein
déviés de leur voie naturelle et serpentent à la pé- riphérie de la tumeur . Celle description macroscopique, résumé de l'o
'observation de tous les auteurs, montre qu'il s'agit non pas d'une tumeur cérébrale proprement dite, mais bien d'une tume
git non pas d'une tumeur cérébrale proprement dite, mais bien d'une tumeur ayant pris naissance aux dépens des méninges et
uillet pariétal de l'arachnoïde. Or on sait, que dans le groupe des tumeurs mésodermiques, une place spéciale doit être rés
es tumeurs mésodermiques, une place spéciale doit être réservée aux tumeurs des séreuses. L'histoire de ces tumeurs est ric
le doit être réservée aux tumeurs des séreuses. L'histoire de ces tumeurs est riche d'observations et de discussions. Leb
explicites. Cruveilhier (1856) (2) s'étend sur la situation de ces tumeurs par rap- port à la dure-mère et les désigne sou
tumeurs par rap- port à la dure-mère et les désigne sous le nom de tumeurs fongueuses, qu'il faut diagnostiquer de celles
s. (2) Cruveimiier, Analomie pathologique générale, 1855, t. ]Il. TUMEUR CÉRÉBRALE 189 Bouchard (18û'l) (-1), à propos d
que les corps fibro- plastiques entrent dans la constitution de ces tumeurs . Suivant en cela la description de Robin, il co
sons de tissu lamineux issu lui-même de l'en- veloppe externe de la tumeur .Cette ordination des vaisseaux les rapproche, d
ngue et du col de l'utérus. Ro- bin insiste sur la fréquence de ces tumeurs ,décrites par nombre d'auteurs sous le nom de sa
n, Bouchard, Ilayem (5), Potain (6), Charcot (7), qui nient que ces tumeurs soient formées par des corps fibre-plastiques,
épilhéliomes. Déjà en 1863, Virchow (1) se refuse à considérer ces tumeurs comme des sarcomes véritables, et parle de ces
m vasculaire de la séreuse; et, avec Cham- bard, il les compare aux tumeurs développées aux dépens de la tunique interne de
ique en 1889 (4), Cornil montre bien qu'on ne saurait assimiler ces tumeurs aux sarcomes vrais, parce qu'ils ne contiennent
t Ranvier, et, dans un autre chapitre, il insiste sur les curieuses tumeurs des séreuses qu'il appelle endothéliomes. Le te
liome est en effet le plus généralement adopté. Il re- présente une tumeur bien spéciale, placée entre l'épithéliome et le s
siologie et de clinique (1851, vol. lit). - Virchow, Pathologie des tumeurs (traduct. franc.) (1863), t. II. (2)LANC'REAUX,
1887. (7) BRAULT, in Cornil et Ranvier, Histologie pathologique. TUMEUR CÉRÉBRALE 191 vasculaire c'est' que les cellule
et qu'il est impossible de fixer la limite à partir de laquelle une tumeur cesse endothéliale pour devenir sarcomateuse ».
eut prêter à confusion, parce qu'il ne s'applique pas seulement aux tumeurs des séreuses. Il existe en effet toute une séri
melles). Récemment même Auché et Vitrac ont décrit sous ce nom une tumeur totalement différente, tant au point de vue macro
aître exclusif de ne pas tenir compte, dans le développement de ces tumeurs ,du périthélium ou de la gaine lym- phatique des
on dire : endothéliome des méninges, du testicule, de la plèvre; la tumeur varie dans chacun de ces cas, contrairement à ce
liers. La présence de ces globes ou corps concentriques donne à ces tumeurs un aspect caractéristique. Virchow (2) les co
isseaux que Virchow a pu les assimiler aux globes épidermiques. Ces tumeurs méningées subissent des dégénérescences de divers
ences de divers ordres qui ne sont pas tant liées à la nature de la tumeur , qu'au terrain sur le- quel elles évoluent. U
vier, lac, cit. (4) lrevcn, Virchow arch. (18 : i9), t. XVII. ? , TUMEUR CÉRÉBRALE 193 pens de l'épithélium de l'arachno
rôle primordial revient à la dégénérescence des parois vasculaires TUMEUR CÉRÉBRALE 195 dont la rétraction tasse, resserr
ect se retrouve sur toute la surface du cerveau, tant du côté de la tumeur que du côté opposé. Mais cette apparence qui atte
les altéra- tions sont d'autant moins marquées qu'on s'écarte de la tumeur . Nous avons donc prélevé de la substance cortic
,les lésions sont d'autant plus évidentes qu'on est plus près de la tumeur ; sur certaines coupes où l'on trouve à la fois e
peine. Les coupes sont-elles au contraire pratiquées en deçà de la tumeur (lobe temporo-sphénoïdal) on constate des lésio
r, les corps chromatopliiles ont l'aspect de fine poussière et sont TUMEUR CÉRÉBRALE 197 beaucoup moins abondants. Cette c
le chiasma. Quoique n'ayant pas été comprimés directe- ment par la tumeur ils n'en présentent pas moins tous deux des lésio
de avec la conservation relative de la forme cellulaire normale : TUMEUR CÉRÉBRALE 199 Souvent aussi la cellule apparaît
yse centrale et périphérique, Bibliographie anatomique, 1897. " , TUMEUR CÉHÉBT1ALE 20 t Nissl (1) insiste sur cette mod
e-ci était en réalité moindre,nous semble-t-il, que le volume de la tumeur permettait de le supposer. Neumayer(1) en effet
1897. (7) VA ? GEHUCHTEN, Loc. cit., et Congrès de Moscou, 1897. TUMEUR CÉRÉBRALE 203 tère trop absolu de ces conclusio
Du rôle de la névroglie dans l'évo- lution des inflammations et des tumeurs . Congrès 1900, Sect. anat. path. Nature et trai
et traitement de la myélite aiguë. Congrès 1900, Sect. neurol. · TUMEUR CÉRÉBRALE 205 matolyse, et conclut que la neuro
couvrant chez un nouveau-né un spina bifida apparent et formant une tumeur dure, résistante. 5. F. Fischer. - Deutsche Zei
(3) P. TISSU ? La fatigue et l'entraînement physique, 1897, p. 291. TUMEUR CÉRÉBRALE (Etude histologique et pathogénique)
étermination des accidents si variés et si nombreux du syndrome des tumeurs cérébrales. Pour fixer un peu les idées et restre
tions d'un si vaste problème, si nous con- sidérons le cas de notre tumeur , et si nous essayons de nous rendre compte du d
phale, et aux troubles circulatoires intracrdniens provoqués par la tumeur . Il est bien probable que ces deux éléments ent
ur le rôle pathogénique que doit jouer, dans la symptomatologie des tumeurs cérébrales, un autre facteur d'ordre toxique ; c'
toxiques de l'urémie, du diabète, du saturnisme, et du syndrome des tumeurs cérébrales. Or, il est certain que le tableau c
il est certain que le tableau clinique des accidents présentés par TUMEUR CÉRÉBRALE 355 notre malade rappelle, dans ses g
ique, de l'urémie cérébrale et du diabète sucré, et au syndrome des tumeurs cérébrales. Cette analogie générale des deux sé
la ressemblance des deux tableaux cli- niques de l'urémie et de la tumeur cérébrale, et se demande si beaucoup des symptô
e qu'il a trait précisément à un syndrome urémique qui a simulé une tumeur du lobe frontal gauche. L'auteur avait fondé son
é posé, dans des cas où la nécropsie a démontré l'exis- tence d'une tumeur de l'encéphale. Sans insister sur ces faits, pass
tale sinislro. Rivista di Patologia nervosa e mentale, mars 1900. TUMEUR CÉRÉBRALE 357 7 Après avoir insisté sur l'analo
que ne l'est la réalité de l'hypertension intracrâ- nienne dans les tumeurs cérébrales : et il nous semble plus logique de
ique de trouver une explication univoque, des symptômes communs aux tumeurs et à l'urémie cérébrales, dans l'intoxication c
m- breuses et frappantes analogies cliniques des deux syndromes des tumeurs et de l'urémie cérébrales, d'accord avec eux po
ompression cérébrale, invoquée comme cause des accidents diffus des tumeurs cérébrales, est passive d'objections capitales,
leurs pas logique de chercher dans la compression cérébrale par une tumeur , c'est-à-dire dans un processus discutable dans
cette riche série d'accidents qui composent le syndrome diffus des tumeurs cérébrales ces accidents témoignent au contrair
apitre Compression, p. 719. Dictionnaire de physio- logie, t. II. TUMEUR CÉRÉBRALE 359 - La'similitude de l'expression c
phalopathies aussi diverses d'origine (urémie, diabète, saturnisme, tumeurs cérébrales). A l'appui de cette thèse de l'infl
e cette thèse de l'influence toxique exercée sur le cerveau par les tumeurs cérébrales, on peut invoquer certains arguments d
lle varie donc beaucoup suivant le volume, l'âge et la nature de la tumeur , dans son abondance et ses propriétés. Toutes c
minés pas les vais- seaux veineux et lymphatiques qui émanent de la tumeur : ceux-ci, comme pour les glandes vasculaires s
de notre thèse. Lorsqu'on examine le régime circulatoire de notre tumeur , et, en géné- ral, de tous les sarcomes méningé
oppement des vaisseaux est surtout marqué à la pé- ' riphérie de la tumeur , au niveau de la capsule d'enveloppe : il varie e
varie en- suite, suivant l'espèce néoplasique, à l'intérieur de la tumeur , souvent il en constitue presque à lui seul, pa
stri- buaient le long des septa conjonctifs, dans l'intérieur de la tumeur . La circulation veineuse s'elfectuait par un ri
s avons décrits, et qui témoignent de l'activité circulatoire de la tumeur . Le réseau lympha- tique du néoplasme était évi
: cette anastomose lymphatique ne peut être mise en doute, dans une tumeur développée aux dépens de l'arachnoïde. "- Par
tis enfin aux mêmes conditions locales demi- lieu, le cerveau et la tumeur , l'organisme normal et l'organisme patholo- giq
s'appli- quent littéralement à notre observation, dans laquelle la tumeur atteignait le poids de 210 grammes : c'est-à-di
us délicates et les plus précoces aux imprégnations toxiques. C'est TUMEUR CÉRÉBRALE 361 sur cette notion générale que son
démontrée (2). Klippel distingue judicieusement les accidents de la tumeur et ceux de la cachexie, dans le cancer étudié a
ne intoxication par diffusion des toxines résorbées au niveau de la tumeur , et de troubles profonds de la nutrition, attei
ibre entre les deux territoires, et la si- tuation anatomique de la tumeur réalise les conditions idéales d'un dis- positi
se, l'impré- gnation toxique de l'encéphale, le syndrome diffus des tumeurs ou des abcès cérébraux : une telle hypothèse va
sion comme cause des accidents diffus et à distance imputables à la tumeur . Les auteurs se demandent si la mé- ningite chr
cas s'est développée « en con- séquence de la seule présence de la tumeur faisant office d'une épine enfon- cée dans l'en
evraient être loca- lisées, ou très prédominantes au pourtour de la tumeur , et on a vu que, tout au contraire, les régions
avail inflammatoire subaigu propagé par contiguïté, il partir de la tumeur et rayonnant autour d'elle dans une zone plus o
c. cit., Congrès international de.1900 ; Société de neuro- logie. TUMEUR CEREBRALE 363 plasme n'a pas permis l'organisat
e hypothèse de l'intoxication du cortex par les produits émanés des tumeurs cérébrales a été formulée en termes' explicites p
der avec l'action pathogé- nique continue de la compression que ces tumeurs devaient exercer sur le cerveau : au contraire,
re invoquées à l'appui de la théorie toxique du syndrome diffus des tumeurs cérébrales. Les documents sont rares, parce que
riées ; et il consacre un chapitre au syndrome de Korsakoffdans les tumeurs cérébrales. La constatation de ce syndrome, d'o
ation de ce syndrome, d'ordre essentiellement toxique, au cours des tumeurs cérébrales, a déjà été faite par Meyer, par 111
us- qu'ici peu recherchée dans les régions corticales éloignées des tumeurs (1) Ossipoff, loc. cil. Annales de l'Institut P
KAPLAN, Syndrome de Korsakoff et lésions médullaires dans un cas de tumeur cérébrale. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 189
cas de tumeur cérébrale. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR CÉRÉBRALE 365 cérébrales. Nous croyons qu'elle
ne peut rattacher à une action directe ou mécanique exercée par la tumeur . ' Enfin, la nature et la diffusion des lésions
la profondeur des lésions de névrite optique cons- tatées dans les tumeurs intra-crâniennes peuvent s'expliquer peut-être en
e nous avons présentées, et dont presque toutes les observations de tumeurs cérébrales représentent, chacune à leur manière,
ques et amaurose complète chez un sujet ayant depuis trente ans une tumeur du cer- velet. (Résumé) . Le nommé X..., âg
la fin de la même année de nouveaux symptômes sont observés : X..., TUMEUR cérébrale 367 devenu très irritable, s'emporte
e généralisés, ni plus prononcés ni plus anciens au voisinage de la tumeur ; mêmes lésions sur les méninges médullaires. L
méninges médullaires. Le lobe cérébelleux droit renferme une petite tumeur adhérente à la dure-mère par une large surface.
e-mère par une large surface. Dure et difficile à sectionner, cette tumeur est formée par une coque épaisse d'un demi-millim
consistante et dure. . Il n'y a aucune déformation indiquant que la tumeur exerçait une compres- sion sur les parties vois
ans les autres parties du système nerveux. Examen histologique. - Tumeur . Après décalcification l'enveloppe épaisse est
de tissus osseux. En dedans de ces diverses couches, la masse de la tumeur est formée par deux espèces de placards : les uns
. Observation de M. Touche, Société anatomique, 1899. [Résumé). Tumeur cérébrale : Le malade, âgé de 45 ans, présente
de diamètre environ. Cette adhérence était due à la présence d'une tumeur grosse comme une mandarine, encastrée dans l'ép
, encastrée dans l'épaisseur du lobe pariétal. · La loge de cette tumeur est constituée par les circonvolutions du lobe te
rière et de dehors en dedans, prenant en ces points une disposition TUMEUR CÉRÉBRALE 369 lamelleuse. La face profonde de l
frontal. La circonvo- lution du corps calleux est, au niveau de la tumeur , réduite à une mince la- melle. De même, la 2e
poral et le lobe occipital ne sont pas directement comprimés par la tumeur , qui, ainsi qu'on le voit, est bien nettement l
si qu'on le voit, est bien nettement limitée au lobe pariétal. La tumeur , des dimensions et de la forme d'une mandarine, p
ts dus à la rupture des vaisseaux. L'adhérence de la dure-mère à la tumeur est très intime. Cependant en aucun point il n'
secondaire et que cette membrane n'est pas le point de départ de la tumeur . D'autre part, il est bien évident que la tumeur
nt de départ de la tumeur. D'autre part, il est bien évident que la tumeur est indépendante du tissu cérébral. C'est dans
oint de départ de la néoformation. Au point de vue histologique, la tumeur , d'après l'examen de M. Lefas,appar- tient aux
e des vaisseaux, épaissie, paraît macérée en beaucoup de points. La tumeur est donc en voie de 370, DUPRÉ ET DEVAUX nécr
arois vasculaires (1). - CONCLUSIONS I. - Les malades porteurs de tumeurs cérébrales, présentent à côté de la dépression
périphérique et excentricité du noyau. IV. -Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales, à côté de la com- pression de l'enc
, phénomènes vasculaires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales. (1) Il nous semble, d'après la desc
les formations supérieures (hémisphères surtout représentés par la tumeur vasculaire dont il a été question dans un précéde
formation vasculaire intense et aurait engendré consécutivement une tumeur vasculaire dans l'intérieur de laquelle une poc
s proposant d'y revenir dans un travail ultérieur avec examen de la tumeur vasculaire lorsque nous étudierons le mécanisme e
ue côté, comme s'il se continuait avec le tissu adjacent qui est la tumeur vasculaire, dont nous venons de parler, for- ma
vu les ecchymoses spontanées et la plupart de ses observations de « tumeur irritable delà mamelle «appartiennent sans contes
n entier : toutefois il rejette les cas dans lesquels il existe des tumeurs dans la mamelle. Depuis le travail de Gilles
'elle présente à la partie interne et supérieure du sein une petite tumeur , un peu aplatie, atteignant à peine le volume d'u
le caractère hystérique à tous les cas dans lesquels il y avait des tumeurs . Nous avons déjà dit que « la tumeur irritable ou
dans lesquels il y avait des tumeurs. Nous avons déjà dit que « la tumeur irritable ou névrose des mamelles » d'Asiley Co
ment psychique. Il n'est donc pas douteux qu'il existe une forme de tumeur hystérique du sein. (1) P. DELDET, Traité de Ch
vasculaire, sanguine ou lymphatique. La fosse iliaque est libre de tumeurs pouvant exercer une compression ; il n'y a pas d'
plaie. J'ai revu dernièrement cette pauvre femme (octobre 1901). La tumeur qui ve- nait de tomber par sphacèle, a laissé u
kilog. xiv 39 498 M. HERTOGHE Je fus absolument déconcerté. La tumeur de la joue n'était-ni un sarcome, ni un cancer.
Cinq ans s'étaient écoulés. Le temps ne l'avait pas améliorée. La tumeur a augmenté de volume. Cependant, la santé général
lle paraît plutôt mince et allongée. Sur le bord correspondant à la tumeur les papilles sont hypertro- phiées, ce qui donn
zccdème (Observation de), par MABILLE (1 pl. en photograv.), 503. Tumeur cérébrale, par E. Dupré et A. De- vaux (2 pl. e
coxalgie (3 pl. en photocollogr.), 49. Devaux A. et Ernest Dupré. Tumeur cé- rébrale, étude histologique et pathogé- n
nique (2 pl. en couleur), 173 et 354. Dupré Ernest et A. Devaux. Tumeur cérébrale (2 pl. en couleur), 113 et 354. Fér
E), LXIV à LXVI. Trophoedème (observation de) (MABILLE), LXVII. Tumeur cérébrale (E. DupRÉ et A. DEVAUx), XXIV et XXV.
14 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ure. Une lésion transverse unilatérale évoque de suite l'idée d'une tumeur extra- médullaire agissant par compression (mal
anière générale, le médecin aura pu dégager son esprit de l'idée de tumeur , néoplasme, dégénérescence et le reporter sur l'é
ompromettre la pureté des si- gnes de déficit cérébelleux, dans les tumeurs de ce gros ganglion. Je résumerai d'abord l'obs
le de Michèle, Rev. Neurologique, 1875, p. 474) sont les signes des tumeurs du lobe médian et du vermis. Mais les tumeurs mêl
) sont les signes des tumeurs du lobe médian et du vermis. Mais les tumeurs mêlent aux trou- bles de déficit des phénomènes
entiel, survenu au cours d'encéphalopathies organiques par abcès ou tumeurs . Je rapporte ici un cas, aussi résumé que possi
Psychopathies organiques, in Pathologie mentale de Ballet. Article Tumeurs cérébrales. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPTRIÈRE
E DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER- et A. PAPADAKI Professeur Pri
e que nous avons constaté à l'examen de 5 cerveaux sur lesquels des tumeurs de grandeurs et de loca- lisations différentes
plètes. Nos observations se subdivisent en deux catégories. 1° La tumeur se développe aux dépens du tissu cérébral,qu'elle
psie essentielle et que nous avions été très surpris de trouver une tumeur à l'autopsie. Elle occupait la lèvre inférieure d
compression. Il ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 141 est en effet tout naturel que les faisceaux
es coupes qui se trouvent en arrière du développement maximal de la tumeur présentent un aspect spécial ; en avant elles s
tie du lobe occipital périphérique à la plus grande extension de la tumeur . Compression n'ayant pas occasionné de troubles
é FIG. 1. Calc, calcarine. Cun, cunéus. Ling, lobule lingual. Tum., tumeur . ouf, 02, 03, circonvolutions occipitales. 14
e particulière de. Fli {faisceau de projection) à l'invasion par la tumeur . ORS. II. Mme X..., âgée de 63 ans, nous est ar
emaines après l'entrée attaque épileptiforme et exitus. Autopsie. Tumeur partant du plancher de la fosse crânienne moyenne
if. Point de réaction inflammatoire. Poids total 1402 grammes. La tumeur a repoussé et disséqué le lobe temporal dont les
st plausible que, sous l'influence de la compression exercée par la tumeur , le liquide céphalo-rachidien gêné dans sa circul
d'atrophie des tissus correspondant à la pression exer- cée par la tumeur s'est sans doute trouvé réalisé dans les deux hém
la Nouvelle Iconographie DE la Salpli'rilre T, XVIII. PI. XXIII TUMEUR CÉRÉBRALE (11 ? bei- el Papadaki) Cfa, circon
1e F{ht'JrO;' c ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143 substance blanche qui a perdu en épaisseur
s décrire n'est pas exclusivement attri- buable à la présence d'une tumeur . Les espaces périvasculaires sont bordés d'un t
n aspect criblé. Les vaisseaux sont gorgés de sang. A proximité de la tumeur ou dans les endroits où la substance blanche a
Ecorce.- Dès le pôle frontal et jusqu'au maximum d'extension de la tumeur , l'écorce prend au carmin une coloration rouge
ntourées d'un espace péricellulaire blanc, dilaté. Le maximum de la tumeur dépassé, l'écorce colorée au carmin ne pourrait
. On y voit, et cela de nouveau jusqu'aux environs du maximum de la tumeur des altérations qui nous paraissent caractérist
ins ne les avons nous jamais observées ailleurs que dans des cas de tumeurs . Donc, la subs- tance blanche est criblée de pe
sont rondes. Elles ne manquent même pas à proximité immédiate de la tumeur , où pourtant la substance blan- che a une zone
upe ver- tico-transversale passant par la plus grande étendue de la tumeur ; à partir de là sans doute la circulation lymp
dant il y a'des fibres conservées jusqu'au voisinage immédiat de la tumeur . Le lobe occipital droit (côté du néoplasme) pr
ute par l'exagération de la pression intracrânienne. Résumé. Grande tumeur partant de la fosse crânienne moyenne droite. D
ques depuis les pôles frontaux jusqu'au maximum d'exten- sion de la tumeur . -Aspect particulièrement dense de l'écorce dans
ofondes et exitus en mai 1901. L'autopsie confirma le diagnostic de tumeur de la région frontale. La pl. XXIV montre les r
nt central. La pl. XXV, A reproduit une coupe faite au niveau de la tumeur . Poids total : 1410 gr. Type alvéolaire peu r
t dues Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIERE T. XVIII. Pl. XXIV TUMEUR CÉRÉBRALE (Weber et Papadaki) Observation III
haud, NOUVELLE tcOSOGHAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. xviii. PI. XXV TUMEUR CÉREBRALE (Weber et PI1Padaki) 11. Coupe de 1
Weber et PI1Padaki) 11. Coupe de 1.\ région frontale et coupe de la tumeur (Obs. 111). 13. Dilatation du ventricule (Obs.
(Obs. 1\' a.. n ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 14T à la compression des paires I et II. Nous n
rechercher si l'examen histologi- que nous en donne la raison. La tumeur partie de la base, en avant des ventricules, a po
tions à base étroite, elles font défaut à proximité immédiate de la tumeur . Substance blanche (Carmm et Weigert-fai). - vo
de leur densité maxima ; on voit que c'est la plus rapprochée de la tumeur . En dehors elles sont rares. Il est clair qu'à ce
éri-vasculaire. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 149 comme celles-ci, localisée à un territoire
t restreint. Sur une coupe horizontale nous trouvons en avant de la tumeur une forte raréfaction des fibres nerveuses radi
r aux coupes que l'on a laissé sécher. Dans la région voisine de la tumeur on remarque d'énormes « cellules arai- gnées »
Il en est de même par le cervelet et la moelle épinière. Résumé. Tumeur sise en avant des ventricules cérébraux. Phénomèn
apillite (Stauungs-papille) tout à fait prononcée. Le diagnostic de tumeur de la région des corps quadrijumeaux n'est plus
'accommodation. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS loti En mars 1899 , parésie passagère du facial
flammatoire. La série de coupes que nous reproduisons montre que la tumeur , partie de la base du cerveau, suivant sans dou
re. Nr, noyau rouge. ATc, noyau caudé. - Tro, tractus optique. Tum, tumeur . X F et M, entrecroisement des faisceaux de For
me, il n'en sort que quelques fibres qui se perdent bientôt dans la tumeur (Fig. 8). Certains des phénomènes cliniques not
rieur. Py, pyramide. Rm, Ruban de Reil, médian. Ln locus niger. Tm, tumeur . F'iG. 8. Aqs, aqueduc de Sylvius. - Fld, faisc
médian. X Pcs, croisement du pédoncule cérébelleux supé- rieur. Tm, tumeur . ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSEN
r. Tm, tumeur. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE -DE TUMEURS I'a'3 alterne inférieure. Les hémorrhagies nous
une espèce de dé- mence motrice si l'on peut dire ainsi. RÉSUMÉ. Tumeur gliomateuse s'étendant de la région interpédoncul
. Exitus le 10r novembre 1902. L'autopsie confirme le diagnostic de tumeur intracrânienne, Poids du cer- veau seul 1430 gr
petit vaisseau. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Partout séparation nette d'avec le tissu cé
s troubles pupillaires n'ont pu être produits qu'à distance, car la tumeur n'intéresse la Ille paire que dans la région des
s'il y avait relation entre le traumatisme et le développement de la tumeur . Nous avons cru ne pas pouvoir donner un avis p
ar- che très rapide de la maladie. Il n'est guère admissible qu'une tumeur de cette région puisse rester longtemps latente
il faut les chercher. C'est dans les cou- pes intéressant aussi la tumeur qu'elles sont le plus nombreuses. Nos procédés
éri-capillaire. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par contre les masses grises de la base et
on. Dans cette dernière observation la rapidité de croissance de la tumeur et comme nous le verrons sa localisation spécia
veau vers les ventricules. En effet c'est la partie périphérique à la tumeur qui souffre le plus et non pas par altération d
e le néoplasme intercepte ce courant ou non. Dans le second cas une tumeur très grande peut n'avoir que des consé- quences
eau. A ce point de vue et pour des raisons purement mécaniques, les tumeurs de la région de la tente du cervelet et du fora
pas égale partout. Elle a son maximum d'intensité aux abords de la tumeur et lorsque les ventricules sont dilatés, dans le
fisants en soient la cause partielle. 5° Or la démence des cas de tumeur est en général bien différente par exemple de c
les altérations des tissus seront le plus marquées. 7° Lorsqu'une tumeur unilatérale obstrue la circulation ventriculaire,
s ceux-ci paraissent accompagner régulièrement le développement des tumeurs . Nous n'avons par contre pas trouvé les nécroses
la conséquence de la compression des veines. Comment croire que la tumeur de l'observa- tion 1 si petite et laissant inde
pliquer une partie des phénomènes pathologiques par le fait que les tumeurs produiraient des poisons. S'il faut vraiment pa
seulement protubérantielle, mais pédon- culo-protubérantielle : la tumeur (tuberculome) placée au milieu de la calotte pé
tricule jusqu'au quart supérieur du pont de Varole. Ainsi placée la tumeur donna lieu à ce syndrome spécial que nous allons
la syphilis et toute autre infection. Facies caractéristique des tumeurs cérébrales, démarche ébrieuse, hémipa- résie du
les urines. En présence de ces symptômes, on pose le diagnostic de tumeur ( ? ) de la calotte pédonculaire au voisinage d
crocarmin en masse) nous a révélé les particularités suivantes : La tumeur a la structure typique des granulomes tuberculeux
ord les symptômes oculaires pouvaient aider à la localisation de la tumeur et encore l'ordre chronologique dans lequel ils
ue était délicat. En effet, on aurait pu à la rigueur, songer à une tumeur née à la base du crâne, dans le sillon interpédon
'on songe en effet à la loi posée par Nothnagel que dans les cas de tumeurs des tubercules quadrijumeaux ou de leur voisinage
lume de la glande, sont destructives de son parenchyme ; telles les tumeurs malignes, les sarcomes, les épithéliomas. Il im
stan (12) et Halberstadt en ont rapporté des exemples. Il s'agit de tumeurs malignes. Ce fait nous paraît suffire expliquer
t, en supposant l'acromégalie liée à l'hyperplasie glandulaire, une tumeur , fut-elle volumineuse, étant éminemment destruc
destructive, ne peut entraîner celle perturbation. La fréquence des tumeurs maligues de l'hypophyse, constatée à l'au- tops
constate au niveau de l'insertion inférieure du masséter gauche une tumeur mobile et dure qui acquiert rapidement le volume
l'influence de frictions mercurielles et d'iodure de potassium, la tumeur diminua dans de grandes proportions ; le 14 mai
Au niveau de l'insertion du masséter gauche, on extrait une petite tumeur , (1) Vigouroux ET Saillant, Soc. anatomique, ju
stence, de deux ordres de lésions extra- nerveuses. D'une part, des tumeurs à siège variable et de nature histolo- gique tr
observées ont été soit un kyste de l'ovaire (Dreschfeld), soit une tumeur bénigne du rein (Oppenheim), soit des tumeurs d'o
(Dreschfeld), soit une tumeur bénigne du rein (Oppenheim), soit des tumeurs d'origine thymi- que (Laquer-Weigert, Hanserman
Hun-Bloomer-Streeter (1) étaient concomitantes de l'existence d'une tumeur . Caractérisées par des infiltrations cellulaires
laires, ces lésions ont été interprétées comme des métastases de la tumeur constatée dans ces cas. Mais ces lésions musculai
fait que plusieurs fois on a trouvé à l'autopsie de ces malades une tumeur du thymus,a attiré l'attention de Weigert, qui se
de ce nerf (Lesser) (80). Schlesinger (81 ) dans une observation de tumeur de la colonne vertébrale qui avait produit des
et Weil (82) ont fait une observation du même genre dans un cas de tumeur métastatique de la moelle; et Caïman (83) aussi
s lesquelles les oedèmes de ce genre étaient symp- tomatiques d'une tumeur de la moelle dorsale ou lombaire. Mais nous ne
doublement du canal de l'épendyme) ; constitution et ge- nèse de la tumeur cérébrale ; ganglions crâniens ; marche générale
tout vestige de tissu nerveux ; per- sistance de fibres nerveuses ; tumeur cérébrale sacciforme. Chapitre III. - Répercuss
mais de la substance cérébrale : dans la pseudencéphalie, c'est une tumeur rougeâtre très vasculaire, plus ou moins lobulée
n l'aspect extérieur des hémisphères ; dans l'aneucé- phalie, cette tumeur même fait défaut : le fond de la gouttière est ta
hydrocéphalie dans les cavités kystiques que l'on rencontre dans la tumeur cérébrale. Cette tumeur doit être expliquée « p
avités kystiques que l'on rencontre dans la tumeur cérébrale. Cette tumeur doit être expliquée « par une cause autre qu'un
ces pré- tendues formations kystiques,comme le point de départ des tumeurs pseuden- céphaliques gràce à une néoformation s
le bilan de l'étude de ces productions congénitales. Sans doute, la tumeur cérébrale des pseudencépbaliens avait attiré l'at
baliens avait attiré l'attention ; mais l'aspect extérieur de cette tumeur ne pouvait rien apprendre. Et si, parmi toutes le
. Pour ce qui est des anencéphaliens, chez lesquels il n'y a pas de tumeur , chez lesquels tout au moins la tumeur est extr
hez lesquels il n'y a pas de tumeur, chez lesquels tout au moins la tumeur est extrêmement réduite, on distingue le Dérenc
variations squelettiques. Fic.. 1. Pseudencéphalien présentant une tumeur lobulée et se prolongeant très en avant. (Pho
séjour plus ou moins prolongé dans l'alcool fortou le formol.Cette tumeur est en général lobée superficiellement grâce à
de Dérencéphales et de Nosencéphales les limites postérieures de la tumeur ne dépassent guère les limites du crâne ; mais,
rtant aux types classiques d'Anencéphales et de Pseudencéphales, la tumeur encéphalique est continuée sans ligne de démar-
umeur encéphalique est continuée sans ligne de démar- cation par la tumeur qui se substitue à la moelle épinière. Dans ce ca
la gouttière rachidienne se trouvent situées sur le même plan. La tumeur crânienne présente, dans certains cas, quant à so
antes à noter. C'est ainsi que chez l'un de mes sujets (fig. 2), la tumeur correspondait, extérieurement, à la seule régio
bre, par un repli profond. Malgré cette étendue très restreinte de la tumeur , la voûte crânienne est aplatie ; mais elle l'e
individus grou- pés sous le nom d'Anencéphaliens, à la place d'une tumeur adhérente à la base du crâne existe une product
elle recou- vre à peine la région correspondant à l'os frontal ; la tumeur qui lui fait suite est un sac de forme ovoïde à
ifs externes. Ici, c'est un pédicule plein, en tout comparable à la tumeur ordinaire, adhérent à la base du crâne, épais de
er une cavité unique. Il est impor- tant de noter que le pied de la tumeur est continué en avant par la substance Fio. 2.
le pied de la tumeur est continué en avant par la substance Fio. 2. Tumeur pseudencéphalique postérieure. 0. S. Limite sup
, dans le canal rachidien, et qui paraît être de même nature que la tumeur elle-même. Quels que soient l'aspect, la forme
e-même. Quels que soient l'aspect, la forme et la disposition de la tumeur ou, d'une façon plus générale, de la perte de s
et que met en évi- dence la dissection simple. Les limites de la tumeur , toujours absolument nettes, sont marquées par un
tes, sont marquées par un sillon de profondeur variable; parfois la tumeur déborde légèrement en un bour- relet au-dessus
s auteurs ont avancé que la ligne de séparation superficielle de la tumeur et de la peau correspondait à une dis- continui
s attaches profondes en gagnant vers les régions intéressées par la tumeur cérébrale, on constate faci- lement que cette p
rane très mince, parcheminée le plus ordinairement, qui recouvre la tumeur dans toute son étendue. Et il en est ainsi, en dé
Et il en est ainsi, en dépit de la forme et de la disposition de la tumeur , soit qu'elle constitue un bloc reposant sur la b
D'après Is. Geoffroy Saint-Hilaire, la membrane superficielle de la tumeur est « comparable à l'arachnoïde » (1) ; Duplay
ieu (3) ; encore l'auteur n'est-il pas absolument affirmatif : « la tumeur , dit-il, est enveloppée d'une membrane, sorte d
continuerait avec la peau du crâne. » L'existence de la peau sur la tumeur est nettement affirmée dans un travail de Belho
Op. cit. (3) B. J. ALDEIIT ANDRI&U, Contribution à l'élude des tumeurs crâniennes d'origine congénitale (Variété de ps
st que d'une façon générale l'enveloppe la plus superficielle de la tumeur n'est autre chose que la peau, amincie, altérée
veux se perdent dans une masse en tout semblable, à l'oeil nu, à la tumeur ordinaire des Pseudencéphaliens. Cette tumeur ell
le, à l'oeil nu, à la tumeur ordinaire des Pseudencéphaliens. Cette tumeur elle-même est continuée, au niveau du crâne, pa
a base du crâne, est ménagée une petite cavité logeant en partie la tumeur encéphalique. Nous remarquerons que les différe
la morphologie externe de l'individu que dans la constitution de sa tumeur . La gradation ménagée que nous avons suivie dep
de discerner, chez les sujets dont j'ai disposé, autre chose qu'une tumeur encéphalique et une moelle. Divers au- teurs, V
Encore ne suffit-il pas d'analyser avec minutie la structure de la tumeur cérébrale. Le tissu de la tumeur est, en effet,
er avec minutie la structure de la tumeur cérébrale. Le tissu de la tumeur est, en effet, un tissu constitué ; il ne fourn
a courbure et la ferme- ture consécutive des deux demi-parois. 3° Tumeur cérébrale. Réduite à sa description histologiqu
brale. Réduite à sa description histologique, la constitution de la tumeur cérébrale est extrêmement simple. Elle a été fa
prétation satisfaisante. Il ne pouvait en être autrement, car cette tumeur vasculo-conjonctive ne saurait être vraiment comp
venons de le faire. a) Structure. Sur une coupe morphologique de la tumeur cérébrale, le premier fait frappant, c'est la d
qui représentent tout ce qui reste de la peau à la sur- face de la tumeur si l'on n'avait pour guide dans l'interprétation
de ce revêtement avec la peau relativement saine du pourtour de la tumeur . Sur les coupes pratiquées dans ces conditions, o
conditions, on distingue nette- ment, à une certaine distance de la tumeur , l'assise génératrice, au-dessus d'elle les ass
A mesure que l'on examine des champs de plus en plus voisins de la tumeur , on voit la couche génératrice perdre peu à peu
r ; il reste néanmoins tout à fait distinct, le plus souvent, de la tumeur sous- jacente. L'existence de la couche cornée
. Cette couche vasculaire se retrouve sur toute la périphérie de la tumeur ; elle est séparée de. la peau par une membrane
alisées. Autant qu'il soit possible de s'en ren- dre compte sur une tumeur qui ne conserve plus aucune apparence morpho- l
rant elles-mêmes n'ont fait qu'augmenter la masse conjonctive. La tumeur présente encore quelques particularités. C'est ai
esquels s'est secondairement organisée une paroi. b) Genèse de la tumeur . De la description qui précède, il n'est point ma
on qui précède, il n'est point ma- laisé de déduire la genèse de la tumeur ; nous avons presque indiqué cette genèse chemi
hors en dedans nous conduit à comprendre le mode de formation de la tumeur cérébrale et la valeur même de cette tumeur, sa
mode de formation de la tumeur cérébrale et la valeur même de cette tumeur , sa propagation de dedans en dehors a aussi son
ues les formations kystiques que l'on observe constam- ment dans la tumeur cérébrale. L'intérêt gît principalement sur le so
ation vas- culo-conjonctive sous-jacente et l'ensemble constitue la tumeur , sur laquelle on a si longtemps discuté sans ab
ment, à un niveau variable, que l'on passe du tissu ner- veux à une tumeur constituée, dans laquelle on ne reconnaît plus l'
ide d'un état moyen d'envahis- sement et de destruction à l'état de tumeur constituée, la continuité des proces- sus est s
s ces conditions, l'encéphale est exclu de la cavité céphalique, la tumeur cérébrale repose sur le dos. Nous aurons à rech
prédo- mine le tissu conjonctif embryonnaire. La peau qui revêt la tumeur présente également tous les caractères sur lesq
ctives que vasculaires. De toutes façons, l'évidence s'impose : les tumeurs cérébrales que nous examinons ici et celles que
ec la plus grande nette- té, nous l'avons également observé dans la tumeur cérébrale de certains sujets ; il s'agit donc d
ins sujets ; il s'agit donc d'un processus général, grâce auquel la tumeur perd graduelle- ment son volume initial, jusqu'
lement de signaler, sans qu'il soit nécessaire d'y insister, que la tumeur rachidienne est, aussi bien que la tumeur encépha
aire d'y insister, que la tumeur rachidienne est, aussi bien que la tumeur encéphalique, revêtue par la peau présentant ex
conjonctif abon- dant. Ce que l'on ne retrouve pas ici, c'est une tumeur vasculaire comparable à celle que nous avons pr
nous avons insisté. Pour retrouver une formation compa- rable à la tumeur pseudencéphalienne, il faut remonter très haut, d
ayant supprimé une partie de la charpente sur laquelle s'édifie la tumeur méningitique, et l'inflammation ayant une faibl
meur méningitique, et l'inflammation ayant une faible intensité, la tumeur pseudencéphalienne n'a pu se constituer que sou
dans des conditions un peu spéciales. Au sur- plus, l'examen de la tumeur que nous ferons dans un instant, lèverait au be-
pre- mier, mais avec quelques différences. Ici, en effet, bien [que tumeur soit très peu développée, elle existe spécialem
s îlots vasculaires qui sont comme une tentative de formation d'une tumeur . Ce cas reconnaît la même explication générale
idement disparu dès les pre- mières atteintes de la méningite. 3° Tumeur cérébrale sacciforme. Les mêmes foetus présente
de particularité sur laquelle il importe de s'arrêter. Chez eux, la tumeur cérébrale ne constitue pas un bloc compact creu
ce compacte. Ces deux formes présentent les mêmes caractères que la tumeur méningi- tique ordinaire. Dans la partie'compac
y a que peu ou pas de globules blancs. -' Sur l'origine même de ces tumeurs nous ne pouvons avoir aucun doute : ce sont des
même de ces tumeurs nous ne pouvons avoir aucun doute : ce sont des tumeurs méningitiques ; elles en ont tous les caractères,
La portion compacte ne se différencie nullement des diverses autres tumeurs ; la paroi du sac elle-même présente une struct
esure où il est permis de faire une hypothèse, nous pensons que ces tumeurs sacciformes résultent de processus hémorragique
uma, cette contracture brusque et variable, exceptionnelle dans les tumeurs blanches, ayant au contraire les caractères habit
ous ne trouvons pas les signes physiques d'ordinaire évidents de la tumeur blanche à la période d'atti- tude vicieuse. C'e
te hypothèse. D'après la démarche ébrieuse, on pouvait penser à une tumeur céré- belleuse, sans douleurs de nuque, sans sy
ts auxquels on a trouvé, quelques mois plus tard, à l'autopsie, une tumeur encéphalique. Ce dernier diagnostic ne pouvait
équille un membre dont le genou, soigné pendant plusieurs mois pour tumeur blanche, était fléchi à angle droit. L'enfant cou
rpas, nu celui d'hydrocépha- lie suivie ou non d'éclatement dont la tumeur serait la guérison ; ou encore celui d'hydropis
ellement atteint ; c'est à l'encéphale seul que s'est substituée la tumeur méningitique. Dans d'au- tres cas, le névraxe t
on cutanée n'est pas complète, qu'il reste toujours, enveloppant la tumeur , un épiderme très net, quoique considérablement
avec ce der- nier un très large plancher. Sur ce plancher repose la tumeur médullaire revê- tue par la peau dans toute son
cet (1) considère comme ' (I) A. PocvcsT, Affections rattachées aux tumeurs des os, in Traité de chirurgie de Duplay et Rec
nt de former aujourd'hui, à la partie interne du pli de l'aine, une tumeur très volumineuse, gênant considérablement les mou
e paternel avaient, aux jambes et aux bras, depuis leur enfance des tumeurs analo- gues. Des faits aussi démonstratifs qu
,tilagi- neuses. Poncet nous dit aussi que dans le Compendium ces tumeurs sont men- tionnées sont le nom d'éxostoses épip
A présent on peut compter sur le squelette de cet individu 4 de ces tumeurs osseuses : 1° Sur le bord supérieur et interne
seuses : 1° Sur le bord supérieur et interne du biceps droit* Cette tumeur atteint les dimensions d'un gros oeuf de poule
l'aisselle une autre plus petite de la grosseur d'une prune. 1° Une tumeur située immé- diatement au-dessous du deltoïde d
ferme de colonne, de la largeur d'une pièce de dix centimes. 3° Une tumeur qui a la forme d'un bracelet entoure l'extrémité
e. z 4° Celle, déjà signalée, de la malléole externe droite. 5° Une tumeur de la xviii 42 G38 SIMONINI grosseur d'un o
r d'un oeuf de poule près du condyle interne du fémur droit. 6° Une tumeur grosse comme un oeuf de pigeon, près du condyle e
exostoses, selon le malade, surgirent presqu'en même temps. 7° Une tumeur de forme légèrement aplatie, large comme un écu
gauche, un peu au- dessus de l'articulation tibio-tarsienne. 8° Une tumeur grosse comme un oeuf de pigeon se trouve près d
n se trouve près de l'extrémité supérieure du péroué gauche. 9° Une tumeur (pisiforme) existe près du condyle interne du fém
(pisiforme) existe près du condyle interne du fémur gauche. 10° Une tumeur grosse comme un oeuf de dindon, se trouve au tier
f de dindon, se trouve au tiers infé- rieur du fémur gauche. il Une tumeur sur l'humérus gauche en corres- pondance du bor
orres- pondance du bord interne du deltoïde. 12° Enfin, la dernière tumeur se voit près du bord interne du tiers supérieur
ervée. Ce fut sur celui-ci, cependant, que se développa la première tumeur osseuse, exactement au tiers supérieur de j'hum
terne du biceps. En outre de celle-ci le malade présente : 2° Une tumeur (pisiforme) près de l'extrémité sternale de la cl
roné gauche un peu au-des- sous de son extrémité supérieure. 5° Une tumeur au-dessous du condyle in- terne du tibia droit.
méfactions de ses jambes, lui-même les jugea de nature osseuse. Ces tumeurs ne lui firent jamais mal, et il ne fut pas exem
la jambe gauche près du condyle supérieur interne du tibia. 2° Une tumeur immédiatement au-dessus et en dehors de la préc
ors de la précédente, grosse environ comme une noisette. 3°-4° Deux tumeurs symétriques de la jambe droite. 5° Une tumeur plu
noisette. 3°-4° Deux tumeurs symétriques de la jambe droite. 5° Une tumeur plus grosse que les précédentes au-dessus du co
aucun symptôme pathologique. Sur son corps cependant, on compte 32 tumeurs exostosiques, à savoir : Une 1'° au-dessus et e
face interne de l'os iliaque gauche, le volume extraordinaire de la tumeur embarrasse un peu le marcher de la petite fille,
ibia droit. La 20", près de la tête du péroné homonyme. La 2l", une tumeur plus grosse que les précédentes, se trouve près
e est lisse, interrompue par un léger sillon, qui traverse toute la tumeur selon une ligne parallèle à son dia- mètre long
laire, on trouve à l'inspection et on précise au toucher une petite tumeur ronde, grosse comme une noisette, de consistanc
seulement n'en avoir jamais éprouvé aucun désagrément. Une seconde tumeur , semblable à la précédente, mais un peu plus apla
est élargie, leur vo- lume, celui d'une grosse noisette. Ces deux tumeurs n'ont pas, jusqu'à présent, causé d'ennui au suje
s sont évidemment le Ier et le IVe quant au nombre et au volume des tumeurs ; le VIe l'est par la con- comitance de la céci
ion chirurgicale. Celle-ci fut rendue nécessaire par le siège d'une tumeur exposée à mille menus traumatismes; la tuméfactio
ulcère s'était établi précisément sur le point plus saillant de la tumeur , dans sa portioncentrale. La solution de continui
s, et elle permettait à la sonde de pénétrer dans l'épaisseur de la tumeur , que l'on sentait manifestement constituée par
n chirurgicale, on put le confirmer. Alors on reconnut aussi que la tumeur , dans le reste de sa superficie était revêtue d
ontinuité du pus en quan- tité insignifiante ; la consistance de la tumeur semblait diminuée de sorte que, si on la serrai
hi- ques, que je puis insérer dans ce modeste travail. Volume des tumeurs . Les exostoses qui atteignent le volume d'un po
t1n et enfin dans les écrits du Morgagni. Dans le cas de Giommi, la tumeur avait la forme d'un cône irrégulier, avec de pe
enchondromes. Virchow rapporte en effet, la genèse de ces formes de tumeurs à une anormale transformation et ossi- fication
e transitoire. Koenig (Traité de chirurgie spéciale) en parlant des tumeurs , des glan- des salivaires, et précisément des e
romes rappelle que Zeïche con- sidère que l'origine de « toutes ces tumeurs doit être attribuée à des germes cartilagineux
ome ou d'un chondrosarcome » (1). Vu le volume et l'extension de la tumeur , on ne pouvait pas raisonna- blement penser à u
gieux. En dehors du carac- tère qu'Ollier a voulu relever, les deux tumeurs ont une forme plus ou moins irrégulièrement arr
ppeler constant ni suffisant en soi, se trouve dans le volume de la tumeur . Les enchon- dromes, selon les auteurs, peuvent
la Vedova). Ce sera donc seulement par l'évolution ultérieure de la tumeur que nous pourrons parler avec certitude en fave
IQUES DE développement 645 dromes extrapelviens du bassin, que « la tumeur née ordinairement sans cause connue, élève prem
de l'enchondrome ; l'âge des sujets, le développement surtout de la tumeur , s'opposent à ce diagnostic. En ce qui concerne
ales on trouve que le système nerveux central peut être le siège de tumeurs de cette nature, développées dans la masse nerv
ons incidemment dit ci-dessus que Virchow attribue l'origine de ces tumeurs à une transformation et ossification anormale du
» (4 ). Ménétrier, dans son chapitre sur les formes anatomiques des tumeurs , énumère les exostoses d'accroissement dans la
édemment, en commençant son cha- pitre sur l'étiologie générale des tumeurs , que « les conditions qui pré- sident au dévelo
tumeurs, que « les conditions qui pré- sident au développement des tumeurs sont encore très peu précises et difficiles à ê
t puis, passant en revue plusieurs hypothèses sur la pathogénie des tumeurs , il en vient à parler de l'influence du système n
érer à un âge quelconque, et à un âge quelconque peuvent former des tumeurs . » Il termine le chapitre en disant ; « Les t
nt former des tumeurs. » Il termine le chapitre en disant ; « Les tumeurs nous semblent l'expression graduelle d'une manièr
N1QUES DE DÉVELOPPEMENT 649 grande influence dans la production des tumeurs exostosiques à l'héré- dité, ils ont aussi attr
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XVIII. PI. LXXV PSEUDO TUMEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE (.\1u(quiu.
de Bier. Il résulte de la comparaison de nos coupes avec celles de tumeurs céré- brales que la pression à elle seule ne co
xagérée, produisant des phé- nomènes en tout analogues à ceux d'une tumeur . C'est par la stase du liquide céphalo-rachidie
ki, De quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs . Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1905.2. Nouv
lles de la couche cornée qui persistent et constituent autour de la tumeur une enveloppe continue. La dissection simple perm
; de plus, le contenu de cette poche est sans rapport aucun avec la tumeur méningitique. Il est possible que l'adhérence soi
ment cérébro-spinale. Suivant le degré d'évolution du processus, la tumeur sera bien formée, épaisse ou relativement mince :
rt, il ne reste plus qu'un nombre variable de troncs nerveux et une tumeur réduite à la méninge. La précocité ou le retard
, soit à la moelle et au cerveau. Si la durée est suffisante, cette tumeur elle-même se transforme en un tissu fibreux de
903, p. 541). (2) B. J. ALBERT ANDtiIEU, Contribution à l'étude des tumeurs crâniennes d'origine congénitale (variété de ps
Tou- louse, 1898. 692 RABAUD caractérisé par l'existence d'une tumeur conjonctivo-vasculaire faisant hernie au-dessus
- phalie avec l'exencéphalie. Nous remarquerons, en effet, que la tumeur décrite par Andrieu est nette- ment exclue du c
ut-être anormaux,mais surement méningitiques : les caractères de la tumeur ,l'attitude de l'individu ne laissent guère de d
Peu à peu le tissu céré- bral disparaît et à sa place se trouve la tumeur vasculaire connue. VI. Dans la moelle, à ces ac
peuvent détruire tout le tissu nerveux avant la constitution de la tumeur vasculaire. Comme consé- quence, la moelle dégé
me consé- quence, la moelle dégénère elle-même très rapidement ; la tumeur rachidienne ne se constitue pas ou reste limité
BIBLIOGRAPHIQUE B. J. ALBERT Andrieu. - Contribution à l'étude des tumeurs crâniennes d'origine congénitale (Variété de ps
Cérébral (de quelques altérations du tissu - dues à la présence de tumeur ) (4 fig., 3 pl.), par Weber et PAPADAKI, 140.
colis et crampe des écrivains d'origine mentale, par Bonnus, 285. Tumeurs (de quelques altérations du tissu cérébral dues
De quelques altéra- tions du tissu cérébral dues a la présence de tumeurs (14 fig., 3 pl), 140. Pariion, Shunda et GALPL.
quelques altéra- tions du tissu cérébral dues à la pré- sence de tumeurs (14 fig., 3 pl.), 140. TABLE DES PLANCHES Ach
RUi'OEH et Bertolotti). Trophoedème chonique (V,%.LOBnA), XXVIII. Tumeur cérébrale (WEILit et PApADAKt), XXII à XXV. L
15 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
ur les deux autres cas, une inflammation gangreneuse du larynx et une tumeur purulente de la gorge. Dans les dix-huit cas surv
qui, dans son type d'entier développement, s'accompagne de bubons, de tumeurs charbonneuses, de pétéchies, et revêt, en général
générale incontes-tablement essentielle. L'éruption des bubons et des tumeurs charbonneuses ou, comme disent quelques auteurs,
x lymphatiques, et successivement les ganglions du membre où siège la tumeur , s'enflamment et se tuméfient ; la réaction fébri
pendant le cours d'une épidémie pestilentielle? G. Des bubons, des tumeurs charbonneuses, et des pe'téchies en particulier.
ent en-core dans le creux poplité. Ils se présentent sous forme d'une tumeur ovoïde, lisse ou légèrement bosselée, tantôt avec
on-tant une induration lenticulaire ; puis il se forme à l'entour une tumeur érysipélato-phlegmoneuse, dont la partie la plus
régions sous-glos-siennes et sous-parotidiennes ; des péte'chiesy des tumeurs charbonneuses, avec gangrène circonscrite ou diff
hydatiques sont indiqués dans quelques auteurs classiques2 parmi les tumeurs qui peuvent se développer dans le tissu cellulair
tissu cellulaire lamelleux qui envelop-pait de toutes parts ces deux tumeurs et les réunissait en une seule, elles formaient u
de-sac recto-vaginal était donc complètement effacé et rempli par nos tumeurs ; ces dernières d'ailleurs, ne descendaient pas j
et en avant ; le vagin, au contraire, est repoussé par en bas, et une tumeur vient faire saillie dans sa cavité, à la partie l
oisons incomplètes (matière tuberculeuse de Kuhn). En comprimant la tumeur la plus voisine du rectum, laquelle n'était pas v
ints, par le vagin. Dans un mémoire intitulé : Observations sur les tumeurs de ï excavation pelvienne qui peuvent rendre r ac
ondres pour d 817, Park 1 a rassemblé six cas qui lui sont propres de tumeurs développées dans la cloison recto-vaginale, et qu
remier examen, il trouva le vagin presque entiè-rement rempli par une tumeur dure, située entre le vagin et le rectum. Ce ne f
avec une certaine difficulté que le doigt put être introduit entre la tumeur et le pubis, et pénétrer jusqu'au col. Park déses
de 7 mois furent expulsés sans accident. Pendant ces grossesses, la tumeur , en comprimant l'urèthre, occasionnait de temps à
e Pelvis. sait reconnaître aucune modification dans le volume de la tumeur . Un jour, Park, en la refoulant par hasard avec l
a. Park fut appelé pour prendre des mesures décisives à l'égard de la tumeur . La dilatation du col était complète, et déjà les
ark le conduisit sur son doigt jusqu'au point où les enveloppes de la tumeur lui parurent le plus minces et y pratiqua cinq ou
leur qui suivit cette opération évacua complè-tement le contenu de la tumeur . Celles qui suivirent terminèrent bientôt l'accou
et pénible. L'accoucheur reconnut la cause de la difficulté dans une tumeur existant au côté gauche du vagin, et ne dissimula
obstacle qu'elle pourrait apporter à un accouchement ultérieur. Cette tumeur s'accrut, mais, sans déterminer aucune espèce d'a
. A l'hôpital de la Charité, on constata, en effet, l'existence d'une tumeur dure, située à gauche, s'étendant de la marge du
toute sa hauteur. Cet habile chirurgien croyait à l'existence d'une tumeur solide ; mais, au premier coup de bistouri, il s'
e de 30 ans, observée par M. Basset, interne à la Pitié, présenta une tumeur de la région hypogas-trique qui faisait aussi sai
rent pendant la vie une bonne idée de la forme et des rap-ports de la tumeur . Les phénomènes les plus saillants furent la cons
détails anatomiques que nous venons de donner, nous ajouterons que la tumeur , qui descendait presque jusqu'au périnée, avait l
sé et adhérent dans la ca-vité pelvienne. La seule époque où dételles tumeurs pour-raient être distinguées l'une de l'autre est
comme appartenant à l'ovaire (ainsi que le pense M. Cru-veilhier) une tumeur hydatique irréductible, saillante dans le vagin,
recto-vaginal, proéminer dans le vagin et, par suite, consti-tuer une tumeur du petit bassin, n'est pas isolée dans la science
une femme malade à la maison royale de santé, en 1826, présentait une tumeur qui remplis- Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 3» p
durée, car la malade mourut un mois après. L'autopsie démontra que la tumeur était due à l'ovaire gauche, qui avait acquis du
s acéphalocystes est, pendant la vie, le signe caractéristique de ces tumeurs . J'ai constaté, dans un cas, que les acéphalocyst
lle contenait environ 6 pintes d'urine, on découvrait une volumineuse tumeur , située entre son col et le rectum. Cette tu-meur
petite surpassait à peine en volume une tête d'épingle ordinaire. La tumeur était d'ailleurs composée en totalité des hydatid
l'estomacetlarate et au-dessus du pancréas existait une vo-lumineuse tumeur qui adhérait à ces trois organes par du tissu cel
is organes par du tissu cel-lulaire, surtout à la rate. La rate et la tumeur mesurées ensemble, avaient environ dix pouces ang
ière était irrégulière, mamelonnée et composée d'un certain nombre de tumeurs plus petites. Le contenu des kystes qui la compos
le professeur Richter. Ici, le trajet du péritoine par rapport à la tumeur est indiqué avec soin ; mais ce n'est plus entre
le de Hunter et la plupart de celles que nous avons relatées, que les tumeurs hydatiques du petit bassin se montrent généraleme
ans un des hôpitaux de Gœttingue. Cet homme était alors porteur d'une tumeur abdominale volumineuse composée de plu-sieurs lob
lumineuse composée de plu-sieurs lobes, obscurément fluctuante. Cette tumeur ne changeait pas de position dans les diverses al
n eût traversé la paroi.de l'abdomen singulière-ment épaissie par ces tumeurs , parurent libres et exempts d'altéra-tion ; il n'
-même distendue par l'urine; une incision ayant été pratiquée dans la tumeur , il s'écoula une grande quantité d'un liquide cla
lgré les accidents qu'il cause du côté des voies urinaires, malgré la tumeur qu'il forme dans le rectum en le repoussant; cett
, malgré la tumeur qu'il forme dans le rectum en le repoussant; cette tumeur du rectum, prise d'abord pour la prostate tuméfié
e. L'année suivante, - les mêmes phénomènes se reproduisent. Outre la tumeur de l'ab-domen, on constate par le toucher rectal
Outre la tumeur de l'ab-domen, on constate par le toucher rectal une tumeur lisse, uni-forme, tendue, et qu'on pouvait déprim
Mon opinion sembla appuyer celle que j'avais émise sur la nature des tumeurs de l'abdomen. » (Il les considérait comme des kys
Vautopsie, on rencontre dans le foie un énorme kyste hyda-tique ; des tumeurs analogues remplissent l'épiploon. A un pouce du
autopsie, on ne trouva pas d'hydatides entières ou déchi-rées dans la tumeur elle-même ; mais l'orifice fait avec le tro-cart
oliques. On reconnut, dans la fosse iliaque gauche, l'existence d'une tumeur grosse comme le poing, indolente à la pression. L
is de fièvre, de soif, d'inappétence, et de douleur à l'endroit de la tumeur , qui jus-qu'alors ne l'avait guère tourmenté. A s
n constate eii effet, dans la fosse iliaque gauche, l'existence d'une tumeur plus volumineuse que le poing, s'éten-dant jusqu'
net-tement du foie, qui paraît entièrement sain. Quand on percute la tumeur , il semble qu'on frappe sur un ressort élastique,
après cette évacuation, les coliques cessent, la douleur diminue, la tumeur s'affaisse, incomplètement, il est vrai ; des hyd
nde bientôt à sortir de l'hôpital ; à cette époque, chose à noter, la tumeur n'avait pas complètement disparu, malgré les pres
sans éprouver aucun acci-dent notable. Mais, au bout de ce temps, la tumeur augmente, re- prend son premier volume, et devi
ort vers le milieu de juin. Il porte encore dans la fosse iliaque une tumeur , indolente, il est vrai, mais assez volumineuse.
assez volumineuse. Il n'est donc pas impossible de reconnaître les tumeurs qui nous occupent, non-seulement comme kystes, ma
rtain nombre d'hydatides et les pressions exercées sur l'abdomen, une tumeur persistait encore dans cette région. Enfin, nou
eut-être pour qu'on puisse baser sur eux une histoire complète de ces tumeurs ; nous demanderons cependant la permission de ter
i l'on s'en tient aux observations publiées dans le même recueil, ces tumeurs viennent, par leur fréquence, immédiate-ment aprè
'ils siègent dans les ligaments larges (obs. de M. Roux), et alors la tumeur qu'ils déterminent dans le vagin sera située à dr
adhérer aux parties voisines et venir constituer, en définitive, une tumeur du petit bassin. Ce n'est d'ailleurs qu'à la cond
'à la condition d'adhérences solides amenant l'irréductibi-lité de la tumeur , et de son développement vers le périnée plutôt q
ns le champ d'étude que nous nous sommes proposé ; la proé-minence de tumeurs ovariques dans le vagin et dans le rec- tum est
iques de l'ovaire peuvent, à cet égard, se comporter comme les autres tumeurs de la même glande ; mais tant qu'ils sont mobiles
ils proémi-minent vers le bassin, ils diffèrent assez des véritables tumeurs de cette région pour qu'on les étudie à part. 3
la femme, les kystes hydatiques, ovariques, ont pris place parmi les tumeurs du petit bassin, des adhé-rences se sont établies
es tumeurs du petit bassin, des adhé-rences se sont établies entre la tumeur et les parties voisines; le cul-de-sac recto-vagi
tie de la grande cavité péritonéale. Par suite, en même temps que ces tumeurs ont confondu leur histoire symptômatique avec cel
travail spontané, imprévu, est pour ainsi dire l'apanage exclusif des tumeurs hydatiques. Rien de semblable, en effet, ne se re
Les kystes hydatiques du petit bassin constituent, chez la femme, une tumeur lisse, bien arrondie, non mamelonnée, indolente,
ur lisse, bien arrondie, non mamelonnée, indolente, fluctuante. Cette tumeur occupe la cloison recto-vaginale et fait à peu pr
les saillies rectale et vaginale sont très prononcées, tandis que la tumeur abdominale est encore très peu de chose. Par le t
e la mobilité obscure, ainsi que des autres qua-lités physiques de la tumeur ; si déjà elle s'est élevée du côté de l'abdomen
t pas rendre. Il est bien en-tendu que nous ne parlons des cas où les tumeurs hydatiques viscérales sont tellement volumineuses
uement; enfin nous savons comment, à l'é-poque de l'accouchement, une tumeur hydatique a pu gêner très sérieusement l'expulsio
ui ne fut commun aux kystes hyda-tiques du petit bassin et aux autres tumeurs enkystées de la même région. Nos tumeurs ont cepe
u petit bassin et aux autres tumeurs enkystées de la même région. Nos tumeurs ont cependant quelques signes pathognomoniques ;
qu'une fois et l'on sait combien il est rare de le rencontrer sur les tumeurs hydatiques en général. La coïncidence d'autres tu
ontrer sur les tumeurs hydatiques en général. La coïncidence d'autres tumeurs a manqué plusieurs fois; enfin, l'évacuation d'hy
en général qu'à une époque avancée de la maladie. Si cependant une tumeur affecte le siège et présente les caractères physi
et présente les caractères physiques indiqués plus haut, que d'autres tumeurs analogues existent dans d'autres parties du corps
e penser qu'il s'agit d'un kyste hydatique, plutôt que de toute autre tumeur ; si, soudain, et d'une manière imprévue, cette tu
de toute autre tumeur; si, soudain, et d'une manière imprévue, cette tumeur devient douloureuse, d'indolente qu'elle était, q
t : je veux parler des échinocoques ou de leurs crochets. Quant aux tumeurs sanguines du petit bassin, leur étude est aujourd
écente, M. le docteur Yiguèsles a étudiées avec soin. Le siège de ces tumeurs est le même que celui de nos kystes hydatiques, e
dante. Ces phénomènes, en rapprochant sous quelques points de vue les tumeurs sanguines des tumeurs phlegmoneuses, les diffé-re
en rapprochant sous quelques points de vue les tumeurs sanguines des tumeurs phlegmoneuses, les diffé-rencient suffisamment de
t en même temps, les indications plus pressantes. A cette époque, les tumeurs qui proéminent de la face postérieure du vagin de
ccoucheurs mettre en présence, dans leur diagnostic différentiel, les tumeurs les plus dissem-blables ; la hernie périnéale, l'
urs les plus dissem-blables ; la hernie périnéale, l'ascite, diverses tumeurs solides, les diverses espèces de kystes de l'ovai
epuis longtemps et qu'il eût pu se faire une idée sur la nature de sa tumeur . Il croit ne devoir intéresser, dans les première
ion, pratiquée d'abord avec une apparence de succès, n'empêcha pas la tumeur de s'ouvrir ultérieurement dans la vessie. Les
large émission, en permet-tant l'évacuation complète du contenu de la tumeur , sera donc toujours, quand on croira pouvoir la p
lammant du même coup les parois du kyste ; et en particulier,dans les tumeurs qui nous occupent, l'anatomie pathologique, en fa
en de fixer l'attention. Nous ne ferons que mentionner en passant une tumeur hydatique qui siégeait dans le petit bassin, entr
ontrastant avec le développement du ventre. Dans l'abdomen existe une tumeur considérable siégeant principalement dans la régi
descend jusqu'à deux travers de doigt au-dessous de l'ombilic. Cette tumeur est fluc-tuante ; on n'y perçoit pas de frémissem
docteur Bourdon, qui dirigeait alors le service, se décida à vider la tumeur par Je procédé de Récamier. La première applica
sfaisant. Chaque jour il pouvait se lever pendant quelques heures. La tumeur avait diminué de volume, et son bord inférieur ét
seur du lobe de Spiegel qu'elle a détruit en grande partie; 2° Deux tumeurs hydatiques, situées dans Yépiploon gastro-hé-pati
hé-patique, et dont le volume égale celui d'un œuf de poule; 3° Une tumeur hydatique, plus volumineuse que les précédentes,
dentes, se trouve dans Yépiploon gastro-splénique; 4° De nombreuses tumeurs hydatiques développées à la face inférieure du fo
olume d'un œuf de poule. Enfin, dans le petit bassin, on trouve une tumeur hydatique, située entre le rectum et la vessie qu
t la vessie qu'elle a refoulée tout à fait au-dessous du pubis. Cette tumeur a un volume supérieur à celui du poing d'un adult
e la ves-sie sur le rectum; sur ses côtés rampent les uretères. Celte tumeur contient un liquide d'aspect purulent et mélangé
bservation : 1° On sait que l'hématoïdine a été rencontrée dans des tumeurs de nature diverse, dans des tissus plus ou moins
xistait des échinocoques ou des débris d'échinocoques dans toutes les tumeurs hydatiques, à l'exception de celles qui pré-senta
ui pré-sentaient un pédicule. Faut-il admettre que dans ces dernières tumeurs les échinocoques aient existé à une certaine époq
us laisser de vestiges ? Nous ne le croyons pas. En effet, toutes les tumeurs pédiculées où les échinocoques faisaient défaut,
aissables. Or, l'on sait que les crochets des échi-nocoques, dans les tumeurs hydatiques transformées, persis-tent plus longtem
ont les membranes des hyda-tides. 11 faut donc admettre que, dans nos tumeurs pédiculées, les échinocoques ne se sont jamais dé
principalement dans les parties voisines de la pointe ; on y voit une tumeur hémisphérique d'un faible relief, située dans la
he. A l'intérieur du cœur, dans la cavité ventriculaire gauche, cette tumeur fait une saillie beaucoup plus considérable ; ell
alvule mitrale, colonne charnue qui paraît avoir triplé de volume. La tumeur consiste dans un kyste hydatique ayant envahi tou
taient sans doute de plusieurs années. C'est un nouvel exemple de ces tumeurs à marche très lente, qui laissent intactes les fo
ée avec soin dans toute la région de l'estomac, on ne découvre aucune tumeur , et les manœuvres qu'on exécute ne déterminent en
érablement à droite et en haut. On constate de nouveau l'absence de tumeur dans la région de l'estomac. La douleur fixe et s
normal. Il est dirigé transversalement, n'offre à l'extérieur aucune tumeur , aucune lésion quelconque. En l'ouvrant de l'orif
ient un obstacle au pylore ; nous n'avions pu trouver aucune trace de tumeur dans l'abdomen ; bien que la palpation fût facile
fait encore souvent reconnaître à la partie moyenne de l'abdomen une tumeur molle et fluctuante, terminée du côté de l'ombi
nvexe. Jamais la palpation n'a permis de distinguer l'existence d'une tumeur dure dans l'abdomen. Malgré la distension habit
es, siégeant à la ré-gion pylorique et consistant probablement en une tumeur car-cinomateuse ; la nature des vomissements cond
t pas les faits assez nom-breux de vomissements bruns en l'absence de tumeurs ou d'ulcérations cancéreuses de l'estomac, et en
-sement du pylore; mais dans tous ces cas, quand il n'existait pas de tumeur cancéreuse, la tunique celluleuse était hyper-tro
ssue des —, 240, 242 ; — diagnostic : avec les abcès, 242; — avec les tumeurs sanguines, 243;— traitement, 244, — du foie, ob
16 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
ein ou dans le voisinage immédiat d'un revêtement epithelial ; si une tumeur carcimonateuse ou épithéliale se rencontre au sei
avoir présenté la moindre trace de matière caséeuse, en une petite tumeur fibreuse ; c'est le tubercule fi-breux. Cruveil
bit une évolution spéciale qui le transforme rapidement en une petite tumeur fibreuse, sans que jamais il y ait la moindre tra
rtèbres lombaires était des plus prononcées. Deux fois, c'étaient des tumeurs multiples arrondies, parfaitement circonscrites,
truite du côlé de la cavité raehidienne, de telle sorte que plusieurs tumeurs avaient fait issue dans cette cavité où elles s'é
, les éléments cancéreux ne constituaient plus, par leur réunion, des tumeurs circonscrites; ils étaient comme infiltrés dans l
ps, beaucoup de pesanteur, surtout quand il marche, l'existence d'une tumeur volumineuse que nous aurons à décrire. Il y a tro
pres-crites par un médecin, le gonflement a rapidement disparu et la tumeur du bas-ventre, au dire du malade, s'est elle-même
distingue immédiatement sous le rebord des fausses côtes gauches une tumeur volumineuse, aplatie, dure, régulière, circonscri
édiane, vers laquelle elle se dirige en forme de pointe obtuse. Cette tumeur ne se dé-place pas, quand on ordonne au malade de
d axe est dirigé obliquement de haut en bas et de droite a gauche. La tumeur n'est le siège d'aucune douleur spon-tanée ; la p
aralysies ischémiques, etc. MALADIES DU SYSTEME VASCULAIRE Gas de tumeurs fibrineuses multiples contenant une ma-tière puri
ntre dans les petites bronches,lors de certains catarrhes. Ces deux tumeurs sont les seules que renferme le caillot, mais la
ans prépara-tion, lors de l'ouverture de la cavité ventriculaire. Ces tumeurs sont toutes situées dans les enfoncements qui exi
te de pédicule fibrineux, plus ou moins aplati. La par-tie cachée des tumeurs et leur pédicule n'adhèrent d'ailleurs que très f
logue à celui qui a été signalé plus haut. Quand les plus grosses des tumeurs ont été vidées, leurs parois reviennent sur elles
tes de côtes, de saillies pa-rallèles les unes aux autres. Aucune des tumeurs appendues aux parois ventriculaires ne nous à par
vations tuberculeuses) ; phtisie laryngée. Une quarantaine de petites tumeurs de divers volumes font saillie dans la cavité dro
uelles elles adhèrent par des prolongements en forme de pédicule. Ces tumeurs sont constituées par des kystes fibri-neux, à par
. Pus tuberculeux dans les glandes sous-maxillaires. Une vingtaine de tumeurs , en tout semblables à celles de l'obser-vation pr
its kystes fi-brineux, pédicules, contenant du pus à l'intérieur. Ces tumeurs sont en tout analogues à celles qu'on a signalées
uvelle Bibliothèque médi-cale, t. III, an. 1829, août, sous ce titre: Tumeurs fibrineuses, contenant du pus dans le cœur des ph
un pédicule qui pénètre entre les colonnes charnues. Quelques petites tumeurs en tout analogues aux précédentes pour la forme e
ntervalle desquelles elles font saillie. Dans deux cas seulement, les tumeurs à contenu puri-forme sont enveloppées de tous côt
n distincte de la concrétion au sein de laquelle elle est située. Ces tumeurs à contenu puriforme étaient pri-mitivement, tout
obuleuse pleine ; le pédicule conserve souvent ce caractère. Quelques tumeurs globuleuses, composées de fibrine, dans toute leu
der Pathol, anatom. 3 aufläge, band 1, p. 378, 1 Charcot. — Cas de Tumeurs fibrineuses multiples contenont une matière purif
partiels du cœur se trouve parfois en partie rempli par une sorte de tumeur fibrineuse de forme régulièrement ovoïde, à surfa
mal, à l'endocarde, en ce point plus ou moins épaissi et rugueux. Ces tumeurs , dont le vo-lume peut dépasser celui d'un œuf de
logiques, publiées par J. B. Pigné (Pl. I, fig. 1). D'autres fois ces tumeurs sont molles, fluctuantes, et, quand on les incise
spondre à un degré plus avancé de la maladie : il est probable que la tumeur , d'abord solide dans toute son étendue lors des p
es du ventricule droit. II. Quel est le mode de production de ces tumeurs fîbrineuses, dans les cas à'anévrisme partiel du
de l'aorte thoracique (anévrisme, rétrécissement, compression par une tumeur , etc.); d'autres fois, il indique l'existence d'u
que cette cavité est rem-plie dans ses deux tiers inférieurs, par une tumeur de forme ovoïde, bien régulière, à surface légère
ent rugueuse, d'une coloration brune; l'extrémité inférieure de cette tumeur est obtuse et adhère intimement à l'endocarde qui
e très délié qu'on peut suivre dans toute l'éten-due de la crosse. La tumeur n'est adhérente que dans son quart inférieur; dan
leuse; la plus grande partie de son étendue est occupée par une vaste tumeur ovoïde, lisse à l'extérieur, se terminant en haut
a paroi du ventri-cule, surtout au niveau de la pointe du cœur. Cette tumeur est. partout ailleurs, libre dans la cavité du cœ
ydropisie ascite ; ulcérations multiples de la muqueuse de l'estomac; tumeurs gélatineuses dans le foie, chez un chien âgé de d
u encore elle dépend d'un rétrécissement du vaisseau que comprime une tumeur , un noyau d'induration pulmonaire, etc. D'autres
aque gauche; dans cette région, on constate bientôt l'existence d'une tumeur assez volumineuse qui ne tarde pas à devenir fluc
cée. Des sangsues sont appliquées d'abord à plusieurs reprises sur la tumeur iliaque ; puis on la recouvre de vésicatoires vol
catoires volants. Le 1er août, la malade est dans l'état suivant : la tumeur iliaque a diminué de volume et elle est actuellem
tonéale est saine dans toute son étendue, si ce n'est au niveau de la tumeur iliaque, où elle est recouverte de quelques fauss
est recouverte de quelques fausses membranes de formation récente. La tumeur a le volume d'un petit œuf de poule; elle siège d
e, aplati et presque méconnaissable, occupe l'extrémité externe de la tumeur . L'ovaire et le ligament large du côté droit sont
elle-ci, le caillot s'arrête brusque-ment au niveau d'un point que la tumeur iliaque avait dû. com-primer fortement à une cert
inée surtout par la pres-sion qu'exerçait sur les veines iliaques une tumeur phlegmo- neuse du ligament large, être prise, t
masies du cœur et du péricarde ; 3° les commotions violentes ; 4° les tumeurs et abcès du médiastin ; 5° les ulcérations de l'œ
ons de l'œsophage, de la trachée-artère et des bronches; 6° enfin les tumeurs anévrys-males, qui entretiennent presque toujours
er. L'état des tuniques artérielles est ici très variable. Quand la tumeur est un peu volumineuse, la membrane moyenne, plus
donc ici diamétralement opposée à celle de Scarpa, qui rattachait ces tumeurs sacci-formes à son anévrysma spurium, ou mixte ex
quant avec le vaisseau par une ouverture étroite. — Fig. 48 et 49. La tumeur est entée sur un anévrysme fusiforme. — Fig. 50.
sou-vent fort difficile de constater, sur les parois dégénérées d'une tumeur anévrismale, la présence ou l'absence de l'une ou
adhésions intimes qui s'opposent pendant longtemps à la rupture de la tumeur ; on comprend, dès lors, pourquoi les anévrismes
mment dans tous les anévrismes aortiques; la forme et le volume de la tumeur ont une grande influence sur leur développement.
e s'effectue, est un grand bienfait : ils fortifient les parois de la tumeur , s'opposent à sa rupture, en ralentissent le déve
s parois de la poche : Lebert en a observé deux cas. Rapports de la tumeur avec les organes voisins, et leurs conséquences.
s organes voisins, et leurs conséquences. — Les organes voisins d'une tumeur anévris-male, soumis à une compression permanente
dans la poitrine, et refouler l'un ou l'autre poumon (Lebert). Les tumeurs anévrismales ont aussi la propriété d'amener la d
ction purement mécani-que, cette fâcheuse et singulière propriété des tumeurs ané-vrismales ; la nutrition des os paraît être,
les corps des vertèbres ; le périoste échappe souvent à l'action des tumeurs qui ont profondément rongé les os. En général,
horacique, sans y déterminer de lésions considérables, tandis que des tumeurs d'un volume médiocre arrivent à perforer les paro
antes pour circonscrire l'épanchement se sont organisées autour de la tumeur : c'est ce qui a lieu pour l'aorte abdominale, da
oulagé par l'expulsion d'une partie des caillots qui remplissaient la tumeur et qui furent rendus par la bouche. La mort ne su
cœliaque (52 fois sur 92). Il existe quelquefois deux ou plusieurs tumeurs anévris-males de l'aorte chez le même sujet. Dans
ur ainsi dire, pas de limites aux dimensions que peuvent acquérir ces tumeurs , quand la vie du sujet se prolonge. Dans la cavit
rons l'oblitéra-tion des artères qui naissent d'un point voisin de la tumeur , ou de la tumeur elle-même ; une pression continu
ion des artères qui naissent d'un point voisin de la tumeur, ou de la tumeur elle-même ; une pression continue, ou l'or-ganisa
aortique par dilatation. Symptômes. — Il est incontestable que des tumeurs ané-vrismales, mêmes volumineuses, peuvent rester
pés en quel-que sorte par les organes voisins. Lorsqu'au contraire la tumeur est superficielle, il devient souvent facile d'en
Signes fournis par l'inspection et la palpation. — L'exis-tence d'une tumeur pulsatile, sur un point qui correspond au trajet
: enfin, dans les cas exception-nels où l'aorte descendante offre une tumeur anévrismale faisant saillie en avant, c'est du cô
u cœur. Quand la paroi thoracique s'est laissée perforer, et que la tumeur vient faire saillie au dehors, le diagnostic devi
e dont l'observation a été publiée par Gordon, il existait une petite tumeur arrondie et pulsatile sous l'extrémité sternale d
les reconnaît en comprimant légèrement avec les doigts la base de la tumeur ; les anévrismes donnent alors la sensation d'une
nt quelquefois la cavité du sac, lui font perdre les caractères d'une tumeur fluctuante et soumise à des battements expansifs.
soumise à des battements expansifs. Il est digne de remarque que la tumeur , lorsqu'elle se pré-sente à l'extérieur, est plus
iter de confondre avec l'anévrisme les palpitations ner-veuses ou les tumeurs solides si fréquentes dans cette région, et qui,
rsque les téguments de l'abdomen ont contracté des adhérences avec la tumeur , on voit la peau devenir violacée, et subir peu à
M. Barth et Roger. L'existence d'un souffle simple ou double dans les tumeurs anévrismaliques est, d'après ces auteurs, la cons
s diverses une oreille exercée peut découvrir, à l'auscultation d'une tumeur anévrismale. Il importe, surtout, au point de v
auxiliaire pour le diagnosclic des anévrismes de l'aorte. Quand la tumeur est voisine delà paroi thoracique antérieure, on
urs, ne démontre qu'une seule chose, c'est qu'il s'est dé-veloppé une tumeur quelconque sur ce point ; pour en appré-cier la n
uel l'impulsion directe du cœur viendrait s'épuiser : en supposant la tumeur située au-delà du tronc brachio-céphalique, on s'
du côté des reins (albuminurie) peuvent aisément surve-nir. Quand la tumeur siégeait à l'abdomen, on a quelquefois observé de
périodiques (Greene). D'après un travail récent de M. Krishaber, la tumeur ané-vrismale, avant de paralyser le nerf récurren
s apho-nies d'origine purement laryngée de celles qui résultent d'une tumeur intra-lhoracique. Stokes ajoute à ces symptômes u
ganes digestifs sont également exposés à souffrir du voisinage de ces tumeurs . La compression de l'œsophage amène une dysphagie
stif, etc. Elle paraît atteindre son maximum d'intensilé lorsque la tumeur siège à l'abdomen (Stokes). On la voit suivre que
a vu quelquefois une gibbosité mani-feste se produire au niveau de la tumeur vasculaire, par suite du refoulement et du déplac
est quelquefois annoncée par une dou-leur déchirante au niveau de la tumeur : elle donne nais-sance aux symptômes d'une hémor
n directe. Mais comme les phénomènes qui indi-quent l'existence de la tumeur sont modifiés par le siège qu'elle occupe, nous a
névrismes de la portion sus-diaphragmatique de l'aorte. — 1° Quand la tumeur a perforé les parois de la cavité thoracique pour
enfermée à l'intérieur du thorax, elle pourra être confondue avec une tumeur solide, un abcès du médiastin ; avec l'asthme, l'
res voisins ; enfin les palpitations spon-tanées de l'aorte. a) Les tumeurs solides du médiastin, qui sont presque tou-jours
n ne fournissent aucun des caractères qui signalent la présence d'une tumeur artérielle. D'ailleurs, on entendra presque toujo
ésentent jamais une matité aussi nettement circonscrite que celle des tumeurs anévrysmales ; d'ailleurs, l'auscultation fait so
en pareil cas, deux centres de pulsations : l'un, qui correspond à la tumeur , l'autre à la région précordiale. i) Les rétréc
ne donnent point nais-sance à l'impulsion limitée qui caractérise les tumeurs ané-vrismales, mais à une sorte de mouvement ondu
en caractérisé. m) La dilatation de C artère pulmonaire produit une tumeur impulsive avec frémissement cataire entre les car
premier cas, et, à gauche, dans le second (Holland). En effet, les tumeurs anévrismales du tronc innominé pro-duisent bien p
rte, selon Dubreuil; et, chose importante à noter, l'apparition de la tumeur , au dehors, ne procure au malade aucun soulagemen
nomènes dyspeptiques. La percussion fait constater l'absence de toute tumeur , et l'auscultation montre que le bruit de souffle
ion sons-diaphragmatique de l'aorte. — Dans la cavité abdominale, les tumeurs solides de l'estomac, du pancréas, du mésentère,
aractère de l'impulsion n'est plus le même que lorsqu'il s'agit d'une tumeur artérielle ; on perçoit, à chaque pulsation du va
s l'intensité du souffle anévrismal ; enfin, les rapports fixes de la tumeur , avec l'un des organes abdominaux permettront d'e
en, et présentent des contours plus ou moins arrondis, tandis que les tumeurs d'une autre nature siègent de préférence à droite
e dé-but, et tend à s'irradier vers la région lombaire ; en outre, la tumeur pulsatile se développe de bonne heure, s'accroît
divers anévrismes, on peut dire, d'une manière générale, que plus la tumeur est rappro-chée de l'origine du vaisseau, plus le
né-vrismes de l'aorte (Hodgson) ; mais il faut, en pareil cas, que la tumeur ait la forme d'un sac, et permette au sang de sé-
t, sous ce rapport, les anévrismes de l'aorte ne diffèrent des autres tumeurs de cette espèce que par la difficulté plus grande
l'ar-tère n'est pas oblitérée, les anévrismes guéris constituent une tumeur remplie de caillots solidifiés à divers degrés d'
t qu'il croit plus nuisible qu'utile; ce-pendant, quand il existe une tumeur faisant saillie à l'exté-rieur, des applications
ter, on en obtient souvent les meil-leurs résultats, surtout quand la tumeur anévrismale est voi-sine de la surface. Tufnell a
vait sentir les pulsations en appliquant la main sur la poitrine ; la tumeur devint dure et parfaitement solide, et les pulsa-
on, peuvent également être employés à l'intérieur quand il existe une tumeur faisant saillie en dehors. Nous venons de signa
e à des concrétions polypeu-ses du cœur, en raison du voisinage de la tumeur , et celui d'amener des hémorragies mortelles à tr
rend deux ou trois par jour. c) Hémorragies. — Nous avons vu qu'une tumeur anévris-male pouvait se rompre et fournir quelque
trajet de l'aorte abdominale, il se comporte à tous égards, comme une tumeur anévrismale ordinaire. Bibliographie. — Morgani
grossir le nombre de ces faits. Aran rapporte cinq observations où la tumeur anévrismale s'était ouverte dans l'oreillette dro
nt de s'ouvrir dans une branche quelconque du système à sang noir, la tumeur anévrismale lui fait éprouver une compression qui
s les cas d'occlusion complète de ce tronc vasculaire. Le siège de la tumeur est variable : tantôt extérieure au péricarde, ta
communication était directe. Symptômes et Diagnostic. — A. Quand la tumeur ané-vrismale occupe la portion sus-diaphragmatiqu
n médicale, 1865. IV. Dilatation simple de l'aorte. En dehors des tumeurs anévrismales, constituées par une poche à forme v
demeu-rée plus ou moins étroite au niveau de l'oblitération. c) Les tumeurs de toute espèce, qui, développées au voisi-nage d
les masses tuberculeuses du poumon ou des ganglions bronchiques, les tumeurs abdominales, les ané-vrysmes volumineux de l'aort
es, dans l'espèce chevaline. Lorsque la compres-sion, exercée par une tumeur voisine, n'en rend pas compte, il faut les attrib
ont la marche dépend essentiellement de la nature et du progrès de la tumeur . Lorsque, au con-traire, une altération intérieur
; cependant on comprend qu'à la rigueur, des fragments détachés d'une tumeur pulmonaire, des masses so-lides développées au se
jamais rien rencontré de pareil ; il fait observer d'ailleurs que ces tumeurs vermineuses appartiennent à la catégorie des anév
ribue aux entozoaires la part principale dans le développement de ces tumeurs . Malgré les arguments plau-sibles qu'il présente
age a provoqué la rupture de l'aorte. Il en sera de même lorsqu'une tumeur cancéreuse, après avoir envahi les parois du vais
urtout les artères, résistent en général à la marche envahissante des tumeurs malignes; mais la science en possède incontestabl
tions de ce genre sont disséminées dans les traités classiques. Les tumeurs épithéliales peuvent également se propager à l'ao
ur droit on a trouvé le tronc brachial correspondant oblitéré par une tumeur anévrismale qui s'était formée dans l'épaisseur m
-que la main sur la région épi gastrique, mais on ne sent point là de tumeur . L'auscultation et la percussion restent égalemen
Après avoir rejeté sur le côté le paquet intestinal, on découvre une tumeur anévrismale du volume d'un œuf de poule, formée a
rès sur la ligne médiane, au milieu de l'angle sacro-vertébral. Cette tumeur s'ouvre en haut et à gauche, dans l'ex-trémité in
où cette partie de l'intestin vase confondre avec le duodénum. Cette tumeur a des parois épaisses de 2 millimètres environ, t
'artère iliaque primitive gauche est assez fortement comprimée par la tumeur anévrismale, qui la repousse en haut et à gauche,
iaque primitive droite est perméable, un peu aplatie seulement par la tumeur , dans son tiers supérieur ; la veine cor-responda
a-menteux qui fait corps avec les tissus cellulo-lîbreux, qui fixe la tumeur contre le sacrum et la colonne vertébrale. Plus b
des plexus lombaires et sacrés n'étaient nullement compri-més par la tumeur anévrismale. — Les muscles de la cuisse et de la
us ont point paru présenter d'altérations no-tables. En résumé, une tumeur anévrismale s'est développée aux dépens des deux
réciable; ils n'étaient en aucune façon compri-més ou déplacés par la tumeur anévrismale. Nous ne voulons point dire par là
Les autres organes n'ont rien présenté qui méritât d'être noté. Les tumeurs multiples qui ont été rencontrées dans les reins,
Thromboses. — Endocardite. — Paralysies ischémiques, etc. I. Cas de tumeurs fibrineuses multiples contenant une matière pu-
ropisie ascite ; ulcérations mul-tiples de la muqueuse de l'estomac ; tumeurs gélatineuses dans le foie, chez un chien âgé de d
entels, 555; — coarctations spontanées, 556; — compression de 1'— par tumeurs , 556; — thrombose oblitérante de 1' —, 560; — emb
, espaces, 85; — fissures, 85; — cellules, 86; — développement, 88; — tumeurs fibrineuses, 614. Follicules tuberculeux, 266 ;
, 316. 3Iatière tuberculeuse, 274 ; — évo-lution, 275. Médiastin ( tumeurs du — ) 312; — abcès du —, 312. Mélanémie, 217,
— dans la mélanémie, 331 ; — structure, 334; — pigmenta-tion, 343;— tumeurs librineuses de la -, 614. Récurrents (section d
7'»; — modi-fications épithéliales du — rouge 79; — contracté, ^9; — tumeurs fibrineuses du - ,614. Respiration rude, 147; —
17 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
uer à des faits complexes comme celui-ci, où à côté de symptômes de tumeur cérébrale, ou de lésions destructives localisée
FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE PAR TUMEUR GLIOiIIATEUSE DE LA MOELLE AVEC PACHYMÉNINGITE
ux d'anatomie pathologique à la Faculté de médecine de Nancy. Les tumeurs de la moelle sont.assez rares. A ce titre seul, c
, la moelle cervicale ne présente extérieurement rien d'anormal. La tumeur (nous verrons plus loin que c'est bien au sens
(nous verrons plus loin que c'est bien au sens propre du terme une tumeur ) s'étend de C. VIII à D. III. Elle prédomine su
n voit sur la photographie les restes de ces méninges accolées à la tumeur . Du côté gauche de la moelle les caractères ext
amen extérieur, comme une continuation du renflement cervical. La tumeur a une coloration blanchâtre, plus blanche que cel
lle cervicale, comme à l'état, normal, est diminuée au niveau de la tumeur . En pratiquant une pal- pation attentive, délic
coaguler les liquides qui pouvaient se trouver à l'intérieur de la tumeur , la moelle tout entière a été fixée dans le formo
lun fuchsine picrique suivant l'excellente méthode de Van Gieson. TUMEUR GLIOMATEUSE ET PACHYMÉNINGITE MÉDULLAIRE Nouv
DULLAIRE Nouvelle ICOIOGRAPH1F nE la SALPÊIRIÈRR. T. XVI, PI. 1 1 TUMEUR GLIOMATEUSE DE LA MOELLE AVEC PACHYMÉNINGITE 1
irrégulier au milieu de la commissure grise. ' Une coupe en pleine tumeur au niveau de l'intervalle entre C. VIII et D. 1,
de l'intervalle entre C. VIII et D. 1, correspond à l'endroit où la tumeur a le plus grand diamètre = 17 m. m. L'aspect de
par suite de son plus grand volume, sur une plus grande étendue. La tumeur est irrégulièrement colorée ; on remarque une z
se basant sur ces points de repère on est autorisé à considérer la tumeur comme développée dans les régions centrales de
ones périphériques plus claires, formant comme une mince coque à la tumeur . La tumeur ne s'est pas développée également de
iques plus claires, formant comme une mince coque à la tumeur. La tumeur ne s'est pas développée également de chaque côté
issement résulte d'un envahissement de la pie-mère elle-même par la tumeur . On voit même cet épaississement exister dans le
nés les sillons intermédiaires et le sillon médian-postérieur. La tumeur , ici, semble divisée en deux parties par la corne
habituels. Sur une coupe de la région de D. III, on remarque que la tumeur ne fait plus saillie extérieurement. La moelle
r. Ici le sillon posté- rieur n'est plus interrompu au niveau de la tumeur , comme dans la coupe précédente, on peut le sui
commissure, de la corne gauche, l'entoure en avant et il gauche. La tumeur paraît développée ici dans la moitié gauche de la
f peut-être une opacité plus grande correspondant à la région où la tumeur se rencontrait dans les coupes précédentes. S
les réunit par la pensée, de façon à constituer pour ainsi dire la tumeur tout entière avec la façon dont elle est enchâs
la corne postérieure droite au niveau de D. IL Une des pointes de la tumeur , plus longue que l'autre, s'enfonce dans le cor
eur gauche où elle se termine vers D. IV, par une petite cavité. La tumeur mesure dans sa plus grande longueur 4 à S cm.,
s. La description qui précède nous rend ainsi compte du siège de la tumeur , de son volume, de sa forme, de son influence d
environnants de son développement au milieu d'eux. Structure de la tumeur ? Cette structure étudiée principalement au point
e la tumeur ? Cette structure étudiée principalement au point où la tumeur est le plus développée, peut s'analyser de la faç
r est le plus développée, peut s'analyser de la façon suivante : La tumeur est formée dans sa presque totalité par un assemb
ndant aux cornes postérieures. La majeure partie des cellules de la tumeur sont des cellules fusiformes (PI. XXXIII, L) pe
, et aussi tous les stades intermédiaires entre leur aspect dans la tumeur et la névroglie normale périphérique, nous les
ion très nette entre la disposition des faisceaux cellulaires de la tumeur , et l'orientation des vaisseaux ; et il est facil
. XXXIII). Les vaisseaux sont nombreux dans certaines parties de la tumeur ; ils ont des parois formées de cellules gonflé
explique la formation de foyers hémo1'l'hagiques au sein même de la tumeur . On trouve cependant des vaisseaux mieux consti
u de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière. T. XVI. PI XXXIV TUMEUR GLIOMATEUSE DE LA MOELLE AVEC PACHYMÉNINGITE ·
omogène parsemée de globules blancs. Dans certaines régions de la tumeur on constate aussi des signes de stase lymphatiq
le, les caractères principaux de la structure histologique de cette tumeur . La description correspond à celle d'un gliome
et aussi l'envahissement des méninges par le tissu néoplasique. La tumeur par son développement excentrique et son infiltra
un tissu névroglique exubérant que remplace bientôt' le tissu de la tumeur . En certains points même, vis-à-vis de la corne
normalement la moelle ; ce tissu sert pour ainsi dire de guide à la tumeur , car c'est à la faveur de son (in réseau fibril
t décoloré. La coupe D,II, intéresse deux portions distinctes de la tumeur ,séparées par la corne postérieure droite.- La p
s de ces amas vascu- laires, les vaisseaux pénètrent le tissu de la tumeur dans diverses directions, et les coupes success
ences variées. Malgré cette vascularisation intense, le tissu de la tumeur dans la région de coupe qui nous occupe est en
ou dégénéré ; ce fait s'observe principalement vers le centre de la tumeur , où existe un peloton vasculaire dont les anses
i- ronnant. Ces vestiges du canal épendymaire se trouvent en pleine tumeur , au voisinage de zones dégénérées, déjà dépourv
omiques. Nous avons vu par l'étude successive des coupes comment la tumeur développée primitivement dans les parties centr
activilé de développement se constatait sur tout le pourtour de la tumeur , et principalement vers le haut, extension ascen-
ganglionnaires. C'était là le fait d'action destructive même de la tumeur . On pouvait constater en outre diverses dégénér
minons tout d'abord la nature même de la lit- meacr. Nature de la tumeur . - Nous avons considéré cette tumeur intramé- d
la lit- meacr. Nature de la tumeur. - Nous avons considéré cette tumeur intramé- dullaire comme une tumeur de nature ne
ur. - Nous avons considéré cette tumeur intramé- dullaire comme une tumeur de nature nerveuse, développée aux dépens de la
ntres nerveux. Cette opinion est basée sur divers arguments : Les tumeurs que l'on rencontre dans la moelle sont de natures
angio- sarcomes, puis les tubercules et les syphilomes (véritables tumeurs inflammatoires), enfin les cysticerques. On ohs
ois un cholestéa- tome (CUiari). D'après l'aspect extérieur de la tumeur que nous étudions, un rapide examen des coupes,
ic anatomique ne pouvait hésiter qu'entre les deux premières de ces tumeurs : le gliome et le sarcome. Virchow a été le pre
à établir une telle différenciation, et à affir- mer l'existence de tumeurs provenant directement de la névroglie : les gli
urs provenant directement de la névroglie : les gliomes, véritables tumeurs spécifiques pour le système nerveux ; toute- fo
pensait qu'il était plus facile de différencier ces deux sortes de tumeurs d'après leurs connexions avec la substance envi
de diffé- rences histologiques suffisantes entre les deux formes de tumeurs . Cette opinion de Gowers ne peut plus subsister
eur de l'idée de gliome : 1° Quoique les cellules polymorphes de la tumeur ne présentent que par place une vague ressembla
que l'on ne pouvait s'y attendre d'après l'étendue et le siège de la tumeur » (Bruns). Nous avons vu qu'en pleine masse de
iège de la tumeur » (Bruns). Nous avons vu qu'en pleine masse de la tumeur persistaient des cellules nerveuses, quelques-u
ur toutes ces raisons, nous avons admis la nature gliomateuse de la tumeur , et en considération de la présence de nombreux p
morphologique et qui ne préjuge en rien de l'origine précise de la tumeur . Est-ce de la névroglie adulle, est-ce des cell
r la naissance ? c'est ce que nous allons examiner. Origine de la tumeur . Nos coupes, les photographies annexées à l'obs
t ses cellules de revêt- tement intimement mêlés aux éléments de la tumeur , faisant corps avec elle et participant ci son
(Vienne, 1895). PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 157 départ de la tumeur . Cependant, étant donné la présence de plusieurs
s nids de gliome aux lieux -de prédilection de développement de ces tumeurs . La présence de telles anomalies ne serait, en
ction de symptômes morbides évidents. » D'ail- leurs, de toutes les tumeurs de la moelle, on peut dire qu'elles ont apparu
ement n'a été recueilli en ce sens. Altérations secondaires de la tumeur . A. Formation de cavités. Toutefois, à défaut d
ant plus marqué que l'on examine des régions plus inférieures de la tumeur , et en rapport précisément avec des zones où la
ment la moelle. C'est précisément ainsi qu'a dû se développer notre tumeur . Nous pen- sons, en effet, que c'est la néoplas
La constatation de plusieurs canaux épendymaires au voisinage de la tumeur et de malformations angiomateuses vasculaires au
on des cellules de revêtement épendymaire à la cons- titution de la tumeur est en faveur de sa nature névroglique épendy-
es nerveux, bien évidemment en relation avec le développement de la tumeur , furent au début, ceux d'une lésion des racines
ain, en particulier du côté de la corne pos- térieure droite que la tumeur a débuté. C'est en effet à ce niveau (C. VIII,
eurs (cubital et médian) de la main et des doigts, que s'observe la tumeur avec son maximum de développe- ment. C'est au m
osition topographi- que des lésions. En effet, nous avons vu que la tumeur tout entière était pour ainsi dire enchâssée da
let d'une paraplégie cervicale, causée par le dé- veloppement d'une tumeur intramédullaire ayant interrompu la moelle au *
t d'une lésion chronique des méninges, plus spécialement même d'une tumeur intra-durale. Les tumeurs intra-médul- laires p
des méninges, plus spécialement même d'une tumeur intra-durale. Les tumeurs intra-médul- laires peuvent cependant emprunter
nifestations. Ces symptômes radiculaires sont rarement purs, car la tumeur occasionne rapi- dement par son développement e
qu'ils peuvent coïncider avec un état fébrile. D'autres fois, la tumeur intra-médullaire centrale, ouïe le tableau symp-
sif, par ex.) le tableau d'une atro- phie musculaire et même, si la tumeur est très diffuse, celui d'une myélite transvers
minent l'étude anatomique, nous pouvons ajouter celles-ci : 1° La tumeur a d'après l'évolution clinique débuté vers les ra
e débuté vers les racines C : . 'III et D.I. 2" Le diagnostic des tumeurs intramédullaires offre les plus grandes difficu
absence de céphalée et de troubles visuels contre l'hypothèse d'une tumeur pituitaire, mais portait un pronostic sombre, m
Picr rc K..., montrant, en avant du chiasma, le prolongement de la tumeur (lU corps pituitmrc qui s'enfonce, par la, scissu
tale du cerveau du géant Pierre IL ? montrant le prolongement de la tumeur hypophysairc : 1 l'intérieur du ventricule latéra
sin, on a figuré en position, sur la photographie, la poition de la tumeur comprise à l'intérieur de la selle tiiinquc, de
e manière à faciliter la compréhension des rapports généraux de cette tumeur . Lors de 1 autopsie, on dut sectionner le pédic
e, on dut sectionner le pédicule qui unissait les deux portions de la tumeur et menaçait d'être (lilzicéré au cours des m.ll
et CIO, Éditeurs. GIGANTISME ET ACROMÉGALIE 169 le pédicule de la tumeur était constitué par la tige pituitaire considérab
antéro-postérieur. Cette masse n'est autre qu'un prolongement de la tumeur qui, partant de la région antérieure de l'hy- p
coupe frontale de l'hémisphère droit (PI. XXXIX, B), on retrouve la tumeur qui remplit la cavité du ventricule latéral corre
umulé dans le centre même du prolongement intra-ventriculaire de la tumeur hypophysaire. Examen HISTOLOGIQUE. L'examen h
L, XL, GIGANTISME ET ACROMEGALIE (P.-E. Launois et Pierre Roy.) Tumeur de l'hypophyse (portion contenue dans la selle tu
coupes portant sur le filum terminale ne montrent rien de spécial. Tumeur CÉRÉBRALE. - L'examen histologique de cette tumeu
rien de spécial. Tumeur CÉRÉBRALE. - L'examen histologique de cette tumeur a été pratiquée en deux régions distinctes : '
points qui établissent une transition vers une autre portion de la tumeur que nous étudierons plus loin ; on reconnaît enco
, Nous pouvons en effet nous résumer en disant que cette région de la tumeur montre un épithélioma encore typique qui rompt
élioma primitif au début. 2° Prolongement intm-ventTiculail'e de la tumeur à l'intérieur du lobe frontal droit. A un fai
frontal droit. A un faible grossissement (PI. XLI), on voit que la tumeur est formée d'une nappe cellulaire assez vascula
parties périphériques de ce prolongement intra-ventriculaire de la tumeur , de grandes dimensions. C'est en somme l'aspect
XLI. GIGANTISME ET ACROMÉGALIE E (P.-E. Launois et Pierre Roy.) Tumeur de l'hypophyse. (Prolongement intra-ventriculaire
conservées et bien colorées, identiques à celles qui constituent la tumeur et que nous allons décrire ; c'est ainsi qu'on vo
t périphérique, oblitéré par un véritable thrombus leucocytique. La tumeur épithéliale apparaît formée de cellules étroiteme
'on a légèrement dissociées par écrasement, car dans la masse de la tumeur les cellules sont déformées par pression récipr
Elles sont relativement nombreuses en certains points isolés de la tumeur et'représentent des éléments en karyokinèse, des
LAUNOIS ET ROY On est frappé de la similitude des cellules de cette tumeur avec celles du corps pituitaire normal et la se
pituitaire normal et la seule dénomination qui paraît convenir à la tumeur est celle à' épithélioma primitif du corps pituit
e, soit colloïde (corps thyroïde, estomac, gros intestin, etc.). La tumeur végétait, mais n'envahissait pas le cerveau; el
es coupes microscopiques des portions des hémisphères, contiguës la tumeur (lobe frontal) ont montré l'intégrité des circonv
'hui à édifier la description biologique des géants acromégalique à tumeur hypophysaire. En 1900 on pouvait encore douter
e du menton, rendait le diagnostic indiscutable. D'autre part, la tumeur hypophysaire explique non seulement l'rtcromé-
re, dans toutes les dernières autopsies de géants on a retrouvé une tumeur de l'hypophyse. La géante lady Aama (Woods Hutc
oliath », dont Dallemagne (3) rapporte l'autopsie, présen- tait une tumeur hypophysaire du volume d'un oeuf de pigeon ; elle
e. Simon Botis, le géant de Buday e[Jineso (1), était porteur d'une tumeur plus grosse qu'un oeuf de poule formée par l'hy
ubliée par les déformations de son squelette, par la présence d'une tumeur pituitaire, etc. Il offre de plus quelques partic
e, de rapprocher du cas de notre géant acromégalique, porteur d'une tumeur hypophysaire et d'une hypertrophie considérable d
rophie thyroïdienne avec une hypertrophie pituitaire. 4° Quant à la tumeur cérébrale que nous considérons ici comme la cause
pédicule de la pituitaire et le prolongement intra- cérébral de la tumeur , le chiasma des nerfs optiques avait échappé à to
dans les derniers mois de la vie. S'il en était ainsi, c'est que la tumeur , ainsi que nous l'apprit l'autopsie, gênée dans s
emarquablement tolérante. Notons, encore, que dans aucun des cas de tumeur hypophysaire, observés à l'au- * topsie des géa
analogue à celui de notre géant. ' Au point de vue histologique, la tumeur est un épithélioma primitif du corps pituitaire
z notre géant nous paraît être encore une conséquence directe de la tumeur hypophysaire. La fréquence bien connue du diabè
istence chez le géant K. Quant aux relations qui existent entre les tumeurs de l'hypophyse et la glycosurie, elles consti-
43 cm. et chez qui le développement excessif était consécutif à une tumeur des testicules. Nous n'avons pas pu trouver dan
trouve chez son sujet précisé- ment la cause du gigantisme dans une tumeur des testicules. Chez notre malade, le système s
ouvent la présence du sucre dans l'urine et les signes généraux des tumeurs cérébrales, auxquels peuvent s'associer, en raiso
e température locale, pas de lésion des poils ni des ongles, pas de tumeur dorsale du poignet. - Pas de troubles sécrétojres
cal vicieux, de compression par le forceps, d'ab- cès pottique, de tumeur ganglionnaire ou autre ; il n'y a pas à invoquer
e d'un gros noevus de la cuisse gauche. Sans doute, elle n'a pas de tumeurs cutanées, mais on tend actuellement, Thibierge
e lym- phatique, l'absence de lésions des viscères abdominaux ou de tumeurs pelviennes ne permettent pas de songer à un oed
ais d'une large résection chirurgicale ancienne, nécessitée par une tumeur du nerf dont le tronc respecte offrait encore l
ires très complets les principaux faits cli- niques suivants : La tumeur , limitée au poignet, avait apparu à l'âge de 7 an
ire. Après anesthésie locale à la cocaïne, le Dr Péraire résèque la tumeur qui est molle, jaunâtre, lisse, fusiforme, indé
sauf au niveau de la pulpe de l'index. L'examen histologique de la tumeur , pratiqué par Mignot et Lecène d'abord, puis pa
s les points principaux suivants : Apparition chez une enfant d'une tumeur du médian au niveau du poi- gnet gauche. Cette
enfant d'une tumeur du médian au niveau du poi- gnet gauche. Cette tumeur , d'abord indolente, augmente de volume et occas
u Neurone; enfin la conservation de la sensibilité. 1° Nature de la tumeur : On pourrait penser soit à un lipome, soit à un
infiltration adipeuse qui paraît carac- téristique. Mais le lipome, tumeur conjonctive, est généralement limité, forme une
s le lipome, tumeur conjonctive, est généralement limité, forme une tumeur nodulaire bien localisée. Ici, au contraire, au-d
ssent caractéristiques du névrome myélinique vrai. Cette variété de tumeur pouvait être niée tant que l'on admettait l'étr
l'adipose douloureuse : 10 La forme nodulaire, caractérisée par les tumeurs plus ou moins volumineuses, le plus souvent sym
1 pl. Il. Hoche et Spillmann. Paraplégie cervicale incomplète par tumeur gliomateuse de la moelle avec pachyméningite né
nu, 391. Spillmann et Ilocug. Paraplégie cervicale incomplète par tumeur gliomateuse de la moelle avec pachyméningite né
. OEdèmes dans l'Art (Henry MEiGE),XXVIII. Paraplégie cervicale ; tumeur gliomateuse de la moelle. (Spillmann et Hoche),
18 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
é. L'autopsie a montré la présence d'un vaste mélano-sarcome. Cette tumeur recouvrait la pariétale ascendante, les première
Voici la liste de ses principales communications à cette Société : Tumeurs multiples disposées symétriquement sur les deux c
ens (p. 310, t. I, 1850); Compression de la moelle épinière par une tumeur osseuse (p. 354, t. I, 1850); Fungus de la dure
ROLOGIE. 71 (1859, p. 238); - Sur la monomanie (1859, p. °8); - Des tumeurs sanguines de l'oreille (1859, p. 306, 322, 450)
S DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE 'ÉPINIÈRE (SYRINGOM
nnant autour des lignes d'incisions faites par le bistouri. 0 DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 99 Les musc
z marqué, des mouvements involontaires se produisent dans les DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. '101 membre
ade étend l'avant-bras, le mouvement est quelquefois arrêté par DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 103 une bru
d'une parésie spasmodique plus accentuée à droite qu'à gauche. DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. '105 parait
paire dorsale. Sur une coupe pratiquée à ce niveau, on aperçoit une tumeur formée d'un tissu mou, gélatineux, gris ver- dâ
tiquées au-dessus et au- dessous de la première, on constate que la tumeur remonte jusqu'à quelques millimètres au-dessous
partie cervicale du trapèze paraissent être les plus atteints. DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIERE. '107 Examen
MOELLE ÉPINIERE. '107 Examen iiistologique. - I. Topographie de la tumeur . - L'évolu- tion du néoplasme étant beaucoup pl
f des différentes régions de la moelle. Dans le cône terminal, la tumeur apparait à environ un centi- mètre au-dessus de
ement lombaire, il n'existe plus de tubes à myéline au centre de la tumeur , qui s'étend du col de la corne postérieure gau
suit le sillon postérieur dans toute sa longueur. Les limites de la tumeur restent très vagues et son tissu se confond ins
ement délimitée et formée de nattes névrogliques entrelacées. Cette tumeur , véritablement circonscrite, décapite la corne
orne antérieure. Les fibres de la racine postérieure contournent la tumeur en s'étirant; elles passent les unes en dehors, l
s autres, Fig. 1. - Coupe du cône terminal; coloration de Pal. La tumeur se montre sous la forme d'une infiltration diffus
ance gélatineuse de Rolando à gauche. A mesure que l'on remonte, la tumeur envahit de plus en plus la corne antérieure et
nt en dehors de la corne postérieure; en dedans et en arrière de la tumeur , on aperçoit la tète de la corne refoulée, ains
aires postérieures; celles-ci pénètrent dans l'intérieur même de la tumeur où elles disparaissent bientôt. Outre la portion
, par l'infiltration. Un peu plus haut, vers la dixième dorsale, la tumeur qui, partie des cordons postérieurs, était pass
niveau de la douzième racine dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a décapité la corne postérieure gauche; elle co
scissure postérieure. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 109 (fig. 3
infiltration diffuse que plus bas. . Sur les coupes suivantes, la tumeur continue à occuper la même place; les fibres ra
tant pas détruites et on les retrouve étalées à la périphérie de la tumeur . Vers la quatrième dorsale, la corne antérieure
autre remonte en se dilatant jusqu'à l'extré- mité supérieure de la tumeur ; il en sera question plus tard en détail. Au
niveau de la dixième racine dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a repassé dans les cordons postérieurs; en deho
par le chirurgien (fig. 5) ; on voit le développement énorme que la tumeur a pris à ce niveau. A l'endroit de la section,
cts. Un peu plus haut, à la hauteur de la quatrième cervicale, la tumeur a pris une conformation très irrégulière; outre l
v. 4. Coupe pratiquée au niveau de la huitième racine cervicale. La tumeur est creusée à son centre d'une excavation de form
irects; dégénérescence moins visible des faisceaux de Gowers. DES TUMEURS NÉVROGL1QUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 111 une pet
é. Enfin au niveau de la deuxième cervicale (fig. 6), bien que la tumeur principale ait diminué de volume, la portion infi
s dilaté sur ce point; il forme là, comme dans tout le reste de DES TUMEURS NEVROGLIRUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 113 la moell
la moelle, un petit amas de cellules proliférées, refoulé par la tumeur , mais très nettement distinct d'elle. Plus haut,
t du bulbe, on n'en trouve plus aucune trace. II. Structure de la tumeur . - Il existe du haut en bas de la moelle une po
ors de cette formation, à laquelle on ne peut pas refuser le nom de tumeur , il existe à sa périphérie, sur la plus grande pa
les éléments nerveux; tandis que dans la partie circonscrite de la tumeur , les éléments se dispo- saient en nattes, en to
e partie diffuse, sans limites nettes. La partie circonscrite de la tumeur est constituée par un tissu fibrillaire, conten
beaucoup moins abondantes dans ces points qu'à la périphérie de la tumeur , là où celle-ci paraît être en voie d'accrois-
s'entremêlent irré- gulièrement; habituellement la périphérie de la tumeur est cir- conscrite par de semblables faisceaux
très fines, engluées par une substance interstitielle grenue. La tumeur infiltrée est constituée des mêmes éléments, mais
ouffés complètement. Les cellules ont les mêmes aspects que dans la tumeur circonscrite, mais elles ne se disposent jamais
nt, ce tissu néoplasique diffus est très friable (fig. 6). Toute la tumeur est très vasculaire et a été le siège d'une con
re et dans le tissu conjonctif qui accompagne les vaisseaux; il DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 115 en exist
lein tissu. La congestion est marquée surtout à la périphérie de la tumeur circonscrite, où on aperçoit une couronne de gr
ent des polygones étoilés ou des lignes rami- fiées. Le tissu de la tumeur étant d'origine névrotique, on peut comparer ce
'origine névrotique, on peut comparer cette disposition à celle des tumeurs épithéliales. où un élément ectodermique et un
néoplasique. (Obj. 2 Verick, oc. 1. Hémitoxylinu et éosine.) DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 1'ici une m
e tuyautée. De plus, comme les tractus conjonctifs envoient dans la tumeur de nombreuses expansions en forme d'épines, il
e sont accumulés dans ce point dpethe de la cavité principale de la tumeur . (Obj. 2,Vérick,oc. 1. t'rcio-carminetbbmaloxylin
la tumeur. (Obj. 2,Vérick,oc. 1. t'rcio-carminetbbmaloxylinc.) DES TUMEURS ? NÉVROGLIQUES DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 119 cipa
'une irrigation sanguine insuffisante. Tandis qu'à sa périphérie la tumeur cir- conscrite parait en voie d'accroissement e
névrome vient en réalité des racines postérieures et a traversé la tumeur de part en paît. (Obj. 2, Vérick, oc. 1. Colora
par la prolifération des racines centripètes, interrom- pues par la tumeur . Fig. 11. SP, sillon postérieur de la moelle; N
dans la région dorsale et remon- tant obliquement pour traverser la tumeur . (Obj. 0, Vérick, oc. 1. Coloration de Pal.)
verser la tumeur. (Obj. 0, Vérick, oc. 1. Coloration de Pal.) DES TUMEURS NI : VROGLI(I1ES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. '121 La
térieurs sont complètement détruits vers la limite supérieure de la tumeur . Il en résulte une dégénérescence ascendante tr
du bulbe (faisceau cérébelleux direct et faisceau de Gowers). DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 123 l'on ob
he de celles de Schüle (Deutsch. Arch. /. kl. Med. XX, 1877), DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 125 de Schu
açon la plus nette, mais passagèrement, chez un malade atteint de tumeur extra-médullaire. La valeur de ce symptôme n'est
se fait la restauration et dans quel état étaient les cylindres DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 12 f d'axe
ent ces fibres nerveuses, perdues dans le stroma conjonctif de la tumeur , pourraient retrouver leur chemin et aboutir préc
ans la moelle paraît pouvoir résulter , 1/ J . , 'y '.) Ji, 1 DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÉRE. 129 soit de
EURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÉRE. 129 soit de la fonte d'une tumeur , soit d'un processus particulier relevant de l'
pas cette formation. 1 Dans le cas actuel nous avons affaire à une tumeur , et cette tumeur est complètement indépendante
n. 1 Dans le cas actuel nous avons affaire à une tumeur, et cette tumeur est complètement indépendante du canal central, l
ies presque exclusivement cel- lulaires et diffuses, tandis que les tumeurs de la moelle sont très pauvres en cellules, trè
mmatoire. D'ailleurs même dans les cas où il s'agit nettement d'une tumeur circonscrite, on ne peut encore pas sous peine
0 130 . PATHOLOGIE NERVEUSE. Il existe donc différents genres de tumeurs développées aux dépens de la névroglie; ce tiss
ntôt..la néoformation porte sur- tout sur les fibres, et l'on a une tumeur plutôt circonscrite, assez pauvre en cellules,
ibrillaire. Si l'on prend un terme de comparaison dans la série des tumeurs mésoder- miques, on voit que' le'gliome'cellula
qu'entre le sarcome et,le,fibrome on observe toute . une gamme de. tumeurs intermédiaires,, de même on peut trou- fer dans
rs intermédiaires,, de même on peut trou- fer dans, la, moelle des. tumeurs contenant un nombre très - variable d'éléments
l'observation que je viens ' de rapporter,' en bien des points, la tumeur tournait très sensi- blement au gliome cellulai
tribuer la marche relativement rapide de l'affection. D'ailleurs la tumeur , ainsi qu'on a pu le voir, ^'était ni complètem
nstances, et c'était'le cas pour la cavité prin- ` . 'çipale `de la tumeur qui nous occupe, la désagrégation, se fait en ^
rt : i^fmrn,t I,t il( 'f-*6« III. Contribution , LA CASUISTIQUE DE, tumeurs , DU CORPS calleux; It{,"il" hl 11, 1 1 1 zl"u 1
dans la substance du`lobe occipital droit/ D'avant t en airière, la tumeur /atteint, la\ branche; ascendante, du sillon cal-
n'ivl tu y· 1 1, , ' i ·. i '1¡,HmJ ! 1e ayant présenté plusieurs. tumeurs de, diverses régions du corps, trente-huitans.
vée. Sens mus7 culaire presque totalement aboli. ` ' Diagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'absence des trouble
o- encéphalite, ce qui est assez commun. Exemple : Hani...; 2° de tumeur du cervelet. Exemple : Berli... (sarcome), Besse
ière. 11 n'existe encore que peu d'observations de cette sorte de tumeur cérébrale où des cellules ganglionnaires entrent
rveux, les cellules de la névroglie. Je viens d'observer une de ces tumeurs , qui ont été nom- mées très justement gliomes n
es renseignements fournis sur son compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE. troubles
uffisamment caractéristiques pour faire supposer qu'il s'agit d'une tumeur fron- tale. Malgré l'absence d'antécédents syph
rique au niveau des lobes frontaux, on tombe immédiatement sur une tumeur volumineuse située sur la ligne médiane à un cent
diane à un centi- mètre du bord antérieur des lobes frontaux. Cette tumeur , qui a l'aspect d'une circonvolution, peut être
faux du cerveau est érodée et détruite à ce niveau. On sectionne la tumeur sur la ligne médiane et, les hémisphères étant
l'examen en pratiquant la coupe de Flechsig. On aperçoit alors une tumeur du volume d'une orange environ dont une moitié
hémisphère. A droite, ainsi qu'il a été dit, on peut décortiquer la tumeur sur toute sa périphérie, mais elle adhère intim
corce du lobe frontal par sa partie la plus saillante. A gauche, la tumeur peut être décortiquée; de même en avant, en hau
ache arrondie, d'aspect translucide, qui remplace la l, Fig. 13. La tumeur coupée sur la ligne médiane; son prolongement e
ERVEUSE. substance blanche : c'est un prolongement postérieur de la tumeur qui s'insinue, sous la forme d'un cône effilé,
eur anormale et sa forme cylindrique. Sur la. coupe de Flecbsig, la tumeur pénètre en arrière et en dehors dans le noyau b
ie ni de ramollissement à son pourtour. En résumé, on voit que la tumeur est née de la circonvolution de Fi ! }. IL - La
voit que la tumeur est née de la circonvolution de Fi ! }. IL - La tumeur vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne .
volutionscorrespondantes sont couchées et amincies (fig. 15). Cette tumeur , considérée en elle-même, présente un aspect tr
l'état frais et après l'alcool au tiers;, puis sur des Fig, 15. La tumeur vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne ce'
ont été fournies par des fragments de la Fig. 16. - Éléments de la tumeur dissociés. 1, 1" noyaux neuroblastiques; 2, 2',
. - (obj. 7 Vérick, oc. 1.) UN CAS DE CHOME NEURO-FORMATIF. 281 tumeur colorés en masse dans le picro-carmin et inclus d
picro-carmin et inclus dans la paraffine. ' 1 ' ? r 1 , o z 1° La tumeur . - Sur les dissociations à l'état frais on consta
vement ces deux ordres de tissus, qui sont disposés au centre de la tumeur sous forme d'îlots sans forme et sans ordre déf
ajet que Pig. 17. Coupe prise dans une portion glanglionnaire de la tumeur ; cellules nerveuses éparses dans un bain formé
plusieurs fibres au réseau des cylindres d'axe qui par- courent la tumeur . Ces cellules à type médullaire siègent plutôt
ules à type médullaire siègent plutôt dans le prolonge- ment que la tumeur envoie dans la circonvolution de l'ourlet; dans
e dans la circonvolution de l'ourlet; dans la partie centrale de la tumeur on en trouve d'autres, en très grand nombre, qu
dans les points où la prolifération est active, sur les bords de la tumeur , beaucoup de noyaux sont allongés ou étranglés en
upent pour former un tissu. D'une façon générale, au pourtour.de la tumeur , les éléments embryonnaires prédominent : il y
s en fais- Fig. 19. Coupe prise dans une portion névrogliques de la tumeur . Cellules et réticulum névrogliques; une cellul
circonvolution de l'ourlet ou bien celle de la cavité qui creuse la tumeur ; on les voit alors ramper dans tous les sens, com
circonvolution de l'ourlet son aspect rugueux. Vers le centre de la tumeur il existe, outre la cavité principale, une gran
un pareil feutrage. Origine des cellules néoplasiques. Sur toute la tumeur l'écorce cérébrale envahie par le néoplasme ne
s de l'écorce saine on peut se rendre compte de l'évo- lution de la tumeur , car l'activité proliférative semble s'étendre de
l'activité proliférative semble s'étendre de proche en proche et la tumeur s'agrandit, non pas seulement par la multiplica
orce de, la circon- volution de l'ourlet qui est en contact avec la tumeur par sa face inférieure... . " .. A cet endroi
des suppositions à cet égard, car les éléments embryonnaires de la tumeur ne se distinguent pas les uns des autres; il es
toute la partie antérieure du lobe frontal qui est respectée par la tumeur ; dans ce point les coupes colorées à l'hématoxy
- ronnantes. La dégénérescence s'étend en haut et en dehors de la tumeur vers l'écorce qu'elle atteint dans la moitié anté
lanche intacte. En bas, dans la portion qui est com- prise entre la tumeur et l'écorce de la face orbitaire du lobe fron-
ule interne est remarquablement intacte. On a vu plus haut que la tumeur envoyait en arrière un prolon- gement dans la s
é, la substance blanche du lobe frontal gauche a subi, autour de la tumeur , une dégénérescence considé- rable, qui ne se p
lobe, au niveau des points directement comprimés et adhérents à la tumeur . Mais là encore il reste quelques rares fibres su
ensemble je retiendrai deux points : la démence et la nature de la tumeur . La démence est le fait de l'altération des lob
ui ont amené une démence si rapide et si profonde. Dans le cas de tumeur avec compression du cerveau que j'ai publié l'a
tion des lésions dans le deuxième cas (fig. 25 à 31). Je Fig. 25. - Tumeur du cerveau vue sur une coupe horizontale. (Soc.
d nombre de fibres épaisses. Le gliome neuro-formatif n'est pas une tumeur commune, à en juger par le petit nombre d'obser
e. Virchow a décrit, sous le nom de névromes centraux, de Fi. 26. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant
quée suivant 'la ligne B B' de la figure 25. (Loc. cil.) Fig. 27. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant la
26. (Loc. cil.) UN CAS DE GL : OOE nl;Ulio-1GHJI1'l'11 07 petites tumeurs de substance grise, ordinairement multiples, do
l'hémisphère droit. (Loc. cit.) 298 1 CLINIQUE NERVEUSE. petites tumeurs renferment quelquefois une traînée blanche , à
de volume' et) qu'elles ne soient le point de départ de véritables tumeurs . C'est probablement là l'ôrigine des deux tumeu
art de véritables tumeurs. C'est probablement là l'ôrigine des deux tumeurs que Lance- reaux a décrites dans.le cerveau d'u
sprit passait,- pour êtré singulier "et bizarre ». (Note sur deux tumeurs formées d'éléments cellulaires ayant la plupart d
emps de sa vie seulement cette femme avait pré- senté des signes de tumeur , mais la( duplicité des formations néoplasiques
mentales laissent supposer avec beaucoup' de( vraisemblance que ces tumeurs avaient pour /origine des névromes centraux, te
rome développé dans l'épaisseur du cerveau, Soc. e-Biol ? 1864); la~ tumeur avait toute l'apparence d'un téra- tome ; elle
ie de faits que se 'rapportent certains'encéphalbcëles et certaines tumeurs coccy- 'giennes liés au spina bifida, qui conti
pour don- ner naissance'à.des néoplasmes. faits, sur le type de la tumeur qui nous occupe. Il y a là quelque chose d'anal
pitheliomateusé. Mais telle ne me parait pas être l'ori- gine de la tumeur que je viens de décrire; ses connexions avec ,
e, me portent à croire' qu'il 300 CLINIQUE NERVEUSE. s'agit d'une tumeur primitivement développée aux dépens de l'écorce
ment développée aux dépens de l'écorce de l'ourlet et non pas d'une tumeur secondaire à une malformation foetale. Dans c
a névroglie, Gaz. méd., 1884), qui est la seule indiscutable. Les tumeurs développées aux dépens des cellules formatives
xacte- ment la même origine. On voit quelle variété d'aspects les tumeurs issues du tissu nerveux peuvent revêtir; elles
ve directe de cette parenté peut être trouvée dans certaines de ces tumeurs qui contiennent, en plus ou moins grand nombre,
on sont communs à toutes les lésions cérébelleuses (ramollissement, tumeur , etc.), et nous les retrouvons dans la plupart
tagmus. M. Caussade a présenté en 1889 à la Société analomique, une tumeur du cervelet qui avait provoqué ce symptôme. '
provoqué ce symptôme. ' V. Prince. Boston med. Journal, 26 mai 92. Tumeur du cervelet avec exagération des réflexes. 3
une jeune fille qui présentait depuis quinze mois les signes d'une tumeur cérébelleuse (nystagmus oculaire, vertige inten
dans lesquelles on l'a rencontré (cho- rée, intoxication saturnine, tumeur cérébelleuse), interdit de lui reconnaître dans
les nerveuses et de leurs noyaux dans l'épilepsie. R. M.-C. XLII. Tumeur cérébrale intéressant les lobes frontaux; par A.
soulevant les lobes fron- taux, on aperçoit le bord antérieur d'une tumeur volumineuse, occupant les deux fosses antérieur
es deux fosses antérieures, et adhérant au cerveau. En soulevant la tumeur pour atteindre les nerfs optiques, on rompt une
péné- tration du nerf optique dans l'orbite. Vue par en dessous, la tumeur ressemblait grosso nzodo, tant comme forme que
u lobe frontal correspondant. On put assez facilement énucléer la tumeur et l'on constata alors que sa moitié gauche, de b
toutefois l'envahir, le bord antérieur du corps strié. Autour de la tumeur ni ramollissement inflammatoire, ni oedème. Les
lfactifs avaient évidemment subi une compression considérable. La tumeur était enveloppée d'une capsule fibreuse lisse; à
âge de soixante-quatorze ans, notre malade, abstraction faite de sa tumeur développée dans l'oeil, n'avait jamais beaucoup
fements, une sensation de constriction à la gorge. Ce fut tout. Une tumeur déve- loppée dans l'oeil droit, rendit l'ablati
r75. , ? ,CORPS" calleux, contribution, il la (^casuistique, des tumeurs du -, Ii-;Pal'(, Gièse, 132; ; Iitres Cas d'a-
'AL , du - par Brie, 16'r, 476; Id par Beyel, 500. ,(lU, " 10*^*1 Tumeur , corticale occasionl1 ant June hémiplégie, etc
19 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
re écartée, à plus forte raison devons-nous renoncer à l'idée d'une tumeur gommeuse. C'est en présence d'une paralysie com
ite descendante ou d'étranglement de la papille que dans toutes les tumeurs cérébrales. Il y a loin, de cet aspect spécial,
t à l'origine des '1"° et 2° paires dorsales, renferme deux grosses tumeurs , l'une gauche, l'autre droite, FIG. 13. Moelle
orsale, vue par la face postérieure. On voit par transpa- rence les tumeurs T et T'et leurs adhérences Adh aux méninges antér
apparaissent toutes deux juxtaposées (Fig. 15, coupe GG). Les deux tumeurs ont des caractères presque identiques et affecten
se, racines. Nous ne décrirons donc en détail que l'une d'elles, la tumeur gauche supérieure, par exemple, nous réservant d'
fs du névraxe sont profondément boule- versés par la présence de la tumeur : celle-ci occupe la moitié gauche et antérieur
plètement dis- paru ; son siège correspondrait au centre même de la tumeur ; la corne postérieure gauche est refoulée très
le second se dé- vie également et se perd bientôt en arrière de la tumeur en la contour- nant avec ce qui subsiste de la
poslérieur. Ainsi disposées, les cornes droites sont contiguës à la tumeur , au niveau de la région qui correspondrait normal
ue en totalité : le faisceau pyramidal di- rect est englobé dans la tumeur , le faisceau pyramidal croisé est presque compl
le des lésions sur la coupe qui passe par le diamètre maximum de la tumeur gauche : les coupes variées faites au- dessus e
riépendymaire (Pl. IX, A, coupe 138). Vers la partie inférieure, la tumeur se rétrécit également dans l'épaisseur de la mo
u nor- mal de la corne antérieure. - La description de la seconde tumeur pourrait être calquée sur la précé- dente, elle
plus grand diamètre, situé à la hauteur de la 2e paire dorsale, la tumeur , de forme circulaire assez bien circonscrite, occ
ntre du névraxe et descend à 2 2 centimètres environ au-dessous des tumeurs (Pl. X, F, coupe 16). - En résumé, les altéra
ent cen- tral, commissural, dépassant en haut et en bas l'étage des tumeurs pro- prement dites (Fig. 14). B. Histologie d
dans l'ordre suivant : dure-mère, arachnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs , faisceaux blancs, substance grise, racines. I.
ables que dans les points où elle contracte des adhérences avec les tumeurs ; ces deux adhérences, symétriquement placées par
usionnée aux méninges sous-jacentes et, par leur intermédiaire, aux tumeurs elles-mêmes, s'en distingue ce- pendant par l'e
s'étend à quelques millimètres de distance de l'implantation de la tumeur ; au delà, la dure-mère reprend son aspect normal
à, la dure-mère reprend son aspect normal. Au-dessus de l'étage des tumeurs , la nappe embryonnaire qui tapisse la face arac
ordre : c'est ainsi qu'à 1 centimètre 1/2 environ au-dessous de la tumeur la plus basse, on retrouve dans la région posté
la pie-mère est naturellement en rap- port avec le voisinage de la tumeur ; mais ces lésions ne restent point confinées d
un faible grossissement, différentes coupes faites dans l'étage des tumeurs et colorées à l'hématoxyline-éosine, on est frapp
olongements de la méninge. Au-dessus et au-dessous de la région des tumeurs , même à une assez longue distance des foyers mé
e les autres en plusieurs zones concentriques. Au niveau même des tumeurs , l'artère spinale antérieure présente en- core
ont subi cependant des altérations manifestes : - Au-dessous de la tumeur , à un niveau où l'artère spinale antérieure est
e et souvent d'une seconde nappe située sous la tunique interne. V. Tumeurs . 1° Tumeur gauche, supérieure. -A l'oeil nu, ou a
d'une seconde nappe située sous la tunique interne. V. Tumeurs. 1° Tumeur gauche, supérieure. -A l'oeil nu, ou a un fai-
auche, supérieure. -A l'oeil nu, ou a un fai- ble grossissement, la tumeur se montre particulièrement nette sur les coupes
e, on lui reconnaît la structure suivante : la masse centrale de la tumeur est exclusivement formée de cellules embryonnaire
généralement bien colorés : cependant il existe vers le centre de la tumeur et dans le milieu de la végétation médullo-méni
dans le tissu gommeux, ni dans son voisinage. La périphérie de la tumeur est marquée par la disposition linéaire et conc
e dire où elle s'arrête. Du côté des méninges, nous avons vu que la tumeur formait un bour- geon assez épais, débordant la
dépens des racines antérieures, est constitué comme le centre de la tumeur par une infiltration luxuriante de cellules em-
onfluence; si l'on en juge par les coupes situées à la limite de la tumeur , cette inondation embryon- naire atteint d'abor
ndymaires et commissurales, même à un étage supérieur à celui de la tumeur elle- même, indique bien que cette région a été
la même disposition à la partie inférieure de la gomme droite. 2° Tumeur droite, inférieure. La description que nous venon
de la gomme supérieure, s'applique presque intégralement à l'autre tumeur , située, comme on le sait, un peu au-dessous de l
x blancs voisins, mêmes végétations extra-médullaires réunissant la tumeur aux méninges de part et d'autre du sillon média
pré- sentent les mêmes lésions, et dans les points inférieurs de la tumeur , on constate la même disposition des artérioles
au niveau de la 3e paire dorsale, à 2 centimètres au-dessous de la tumeur (Pl. X, D, E, F). VI. Faisceaux blancs. En géné
on commune aux deux gommes (voir fig. 13) : A ce niveau, les deux tumeurs sont symétriques et présentent une forme, des rap
au moins dans leur portion postérieure, sont sains. Au-dessus des tumeurs , en fait de dégénérescence ascendante, on n'ob-
pyramidal direct gauche est dégénéré immédiatement au-dessous de la tumeur gauche, avant son congénère du côté droit qui ne
droit qui ne se prend qu'un peu plus bas; au-dessous de l'étage des tumeurs , ces deux faisceaux sont décolorés sur un court
Substance grise. Nous avons vu, en décrivant la topographie de nos tumeurs , que celles-ci occupaient les régions antérieures
s parties de l'axe gris qui ont le moins- souffert du voisinage des tumeurs ; on reconnaît dans leur portion péri- phérique
e l'infiltration de la région commissurale s'étend bien au delà des tumeurs gommeuses, aussi bien au-dessus qu'au-dessous.
ières traces dans les premières racines motrices qui émergent de la tumeur ; cette lésion se manifeste donc à gauche plus hau
lésion se manifeste donc à gauche plus haut qu'adroite, puisque la tumeur gauche est plus élevée que sa congénère (Pl. IX e
SALPÊTRIÈRE 1 nettement colorés, les racines gauches, issues de la tumeur , présentent des lésions croissantes, caractéris
ans les coupes les plus basses situées à 1 cm. 1/2 au-dessous de la tumeur droite, on retrouve dans les racines antérieures
ées, aussi confluentes que dans les régions les plus infiltrées de la tumeur médullaire. Ici comme partout, l'infiltration e
ttérature médicale ne possède, en revanche, que sept ou huit cas de tumeurs gommeuses massives du névraxe rachidien. Ces ob
puisque dans la forme anatomique qui aboutit à la production d'une tumeur gommeuse, tuberculose et syphilis obéissent à u
ive sur un point restreint. Ce n'est donc pas dans l'examen de la tumeur elle-même .que nous 72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
faisceaux pyramidaux, singuliè- rement comprimés, refoulés par les tumeurs qui, quelques jours plus tard, devaient les avo
ommeux au niveau de leur plus grande extension, nous voyons que ces tumeurs équivalent, au point de vue des altérations qu'
cordons blancs antéro-latéraux et cornes antérieures. Chacune des tumeurs est la cause déterminante du syndrome de Brown-
ard pour la moitié de la moelle qui la renferme. C'est ainsi que la tumeur gauche détermine par la destruction des faiscea
du côté opposé, au-dessous de la lésion. Par les mêmes raisons la tumeur droite est la cause efficiente de l'hémi- paral
teurs et sensitifs sont également dénivelés à la périphérie : à jla tumeur gauche, la plus 76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
auche et une anesthésie plus élevée du côté opposé, à droite ; à la tumeur droite, intéressant seulement la 2e paire dorsale
lés les examens histologiques, de représen- ter les rapports de ces tumeurs avec les différents conducteurs moteurs et sens
pel des lésions constatées histologiquement. Considérons d'abord la tumeur gauche T : Cette tumeur, ainsi que nous le mont
histologiquement. Considérons d'abord la tumeur gauche T : Cette tumeur , ainsi que nous le montre la coupe 104 (PI. IX, C
77 ralysie du tronc et du membre inférieur, à gauche); en outre, la tumeur T, par sa diffusion dans la colonne grise posté
yramidaux et corne antérieure), dont les portions sous-jacentes aux tumeurs , c'est-à-dire sup- primées fonctionnellement, s
S, colonne sensitive com- mune, dont les portions sous-jacentes aux tumeurs , c'est-à-dire supprimées fonc- tionnellement, s
faisceaux d'entrecroisement sensitif : deux d'entre eux, contigus aux tumeurs et irrités par elles, en 0 et 0', correspondent
t de l'hémianesthé- sie du syndrome deBrown-Sequard provoqué par la tumeur T. Si, enfin, nous considérons la racine sensit
ieur était à peine atteint), mais nous remarquons qu'elle côtoie la tumeur en e et que, dans ce point, elle doit être irrité
ente s'applique identiquement aux troubles pro- uits par la seconde tumeur T', avec les conséquences qu'entraîne ici sa si
ibilité spéciale franchissait, grâce au cordon de Goll, l'étage des tumeurs ; en revanche, si on exami- nait les régions sup
toute la région centrale de la moelle, même en deçà et au delà des tumeurs ; quoi de plus naturel, dès lors, qu'une pareil
, dans la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale,une petite tumeur arrondie de la gros- seur d'une noix, élastique
on trouva, en divers points de l'épaisseur des parois du crâne, des tumeurs gommeuses de la grosseur d'une cerise. Gomme céré
espérer aussi qu'elles nous faciliteront le diagnostic de certaines tumeurs osseuses à leur période initiale. Rien d'imposs
e entièrement le faisceau cortico-bra- chial. « L'hypothèse d'une tumeur gommeuse surgit aussitôt. Mais la lésion a dû i
ssédons. Les artistes semblent avoir répugné a. figurer ce genre de tumeurs . Je ne con- nais, pour ma part, que trois exemp
tzcnetcr grosse comme un oeuf de poule ; il l'aide de topiques, ces tumeurs abscèdent et viennent il suppuration. * . ' L
e lors de l'entrée du ma- lade à l'hôpital le 12 septembre. . Une tumeur énorme siège à la face externe et supérieure de l
te se voit la trace d'une incision (PI.XLII)(1). La base de celte tumeur occupe toute la hauteur supérieure de la cuisse,
t réduction impossible. Une ponction exploratrice pratiquée dans la tumeur ramène du sang. Les jours suivants, la progress
terne en chirurgie ; elle consiste simplement dans l'incision de la tumeur . Il s'écoule alors un liquide hémorrhagique, pr
paisse, grise, blanchâtre. A sa face antérieure saillent de petites tumeurs plates, la face pos- térieure a un aspect tuméf
ins points elle présente des tuméfactions qui sont comme de petites tumeurs implantées sur la moelle. Elle est formée par d
e longues portions de leur trajet, sans doute par la pression de la tumeur qui s'avance vers elles. C'est surtout aux zones
, dans la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale une petite tumeur arrondie de la grosseur d'une noix, élastique, fl
aussi par une étroite zone de masses néoformées. La structure des tumeurs est essentiellement la même dans toute la hauteur
ces cellules se tassent, se fondent, se fusionnent en une véritable tumeur , cette tumeur est alors visible à l'oeil nu. C'es
e tassent, se fondent, se fusionnent en une véritable tumeur, cette tumeur est alors visible à l'oeil nu. C'est la gomme m
, non fusionnée. Au microscope elle a la constitution connue de ces tumeurs , beaucoup de cellules dégénérées ne se laissent
ù la lésion est limitée, les faces supérieure et in- férieure de la tumeur pénètrent dans des zones de proliférations nucléa
n peut être poussée plus loin ; dans le cas de notre numéro XVII la tumeur a refoulé en avant un certain nombre de faisceaux
que de structure apparente et qui se conti- nue directement avec la tumeur méningée dont il fait évidemment partie intégra
ace postérieure de la moelle, nettement séparée d'elle cependant, une tumeur 310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE d
entre du canal rachidien se dévie sur le côté. Les dimensions de la tumeur sont celles de la moelle dans le sens transvers
des vaisseaux dont les parois restent indistinctes. Les bords de la tumeur sont irréguliers, frangés, il y a eu fonte en c
en certains points, perte de substance, en d'autres au contraire la tumeur pousse des prolongements d'infiltration em- bry
as un des lieux d'élection de la saignée. Il n'y a pas apparence de tumeur . Peut-être s'agit-il d'une ouverture d'abcès....
e du mal et de l'intervention. Quelle contusion, quel abcès, quelle tumeur ont nécessité celle large incision ? Ne nous pr
s contours connus de son axe gris et portant sur son bord droit une tumeur confondue avec elle et presque aussi volumineuse
ctidien. A mesure qu'on s'approche de la région dorsale inférieure la tumeur augmente,- la moelle est complètement refoulée
e est complètement refoulée sur le côté, évidemment compri- mée. La tumeur se désorganise dans sa partie centrale grenue cra
lle n'a pas encore repris sa place au centre du canal rachidien, la tumeur est encore presque'aussi volumineuse qu'elle, cep
Dans la région de la queue de cheval, à l'oeil nu on ne voit plus la tumeur , la dure-mère est très épaisse, refoulée par le
de structure apparente, ce tissu se continue direc- tement avec la tumeur que nous allons décrire ci-dessous et en fait évi
nodules plus on moins étendus, c'est surtout à la périphérie de la tumeur que se mon- trent ces nodules. Dans ce tissu so
t avec le grand ligament postérieur est telle- ment refoulée par la tumeur qui est comprise dans sa circonférence intérieure
f très serré et très infiltré de cellules à noyau l'en sépare. La tumeur est, nous-l'avons vu, considérable; elle présente
ui sépare la pie-mère de la dure-mère est tout entier envahi par la tumeur qui refoule les deux méninges et les sépare l'une
i représente sans doute la filum terminale plus ou moins altéré. La tumeur a disparu mais les racines restent encore séparée
une étroite un amas serré de cellules embryonnaires qui rappelle la tumeur que nous avons décrite plus haut. - , Observa
ies soit par propagation de voisinage, soit par le développement de tumeurs gommeuses nées aux dépens de leurs vaisseaux ; ce
haut jusqu'en bas de la moelle soit d'une façon continue, soit par tumeurs isolées. La dure-mère est surtout altérée du cô
20 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
eure de la moelle dans sa moitié droite est déprimée par une petite tumeur arrondie un peu lobulée incluse dans la gaine mén
itiques. C'est du reste l'intérieur de cette couche, qu'existait la tumeur gommeuse que nous avons signalée plus haul (PI.
me de la base du crâne (Wenhardt, Neurol. Central 1.,45 juin 1898), tumeur des méninges ou méningites des méninges molles. D
hémiatrophie linguale. Nous n'envisagerons pas les hypothèses d'une tumeur (gomme, tubercule) rarement aussi limitée,ni ce
ITAL ISRAÉLITE, A CZYSTE (VARSOVIE). TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE, par Julian ROTSTADT. Grâce au
raitement, l'inter- vention de la chirurgie dans toute une série de tumeurs de la moelle est tout indiquée, logique, et ind
uide céphalo-rachidien), déplacer la moelle dans la recherche d'une tumeur , souvent latente, puis enfin pratiquer l'opératio
ratiquer l'opération compliquée en rapport avec l'énucléation de la tumeur de ses adhérences, tout cela doit être considér
ur, sa localisation restèrent invaria- traitement CHIRL'RGIC.1L des tumeurs DE la moelle 37 bles pendant cette période. Ver
tactile dans les limites sus-indiquées ; traitement CHIRURGICAL DES TUMEURS DE la MOELLE 39 mouvements involontaires, accro
e la réaction de Pirquet, n'écarte que pour un instant l'idée d'une tumeur de la moelle, conseillant par suite l'emploi de
hyse épineuse de la 6e ver- tèbre dorsale. Comme on le constata, la tumeur (angio-fibro-sarcome), d'une longueur de 2 cent
a moelle directement du côté droit, par devant et par derrière ; la tumeur était reliée à la moelle au moyen d'une membrane
comme une gaine. Après quelques incisions faites à la membrane, la tumeur se laissa énucléer totalement et apparut sous for
laignait surtout de douleurs au niveau de la 5e côte à droite et la tumeur apparut à la lisière inférieure de la 5e vertèb
ndiquée au niveau de la ligne xyphoïde,. traitement CHIRURGICAL DES TUMEURS DE la MOELLE 41 Il faut noter particulièrement
noncé, a déjà fait le sujet des observations de Nonne dans 6 cas de tumeur médullaire et de Reichmann dans un cas. Pareille
u-dessus de l'endroit de la compression directe de la moelle par la tumeur , il s'était formé un oedème et une accumulation
lésion plus ou moins continue de la moelle par la compression de la tumeur , compression qui dura G mois. Observation II.
main, d'une augmentation des douleurs. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 43 3 3. - Douleurs violentes ne cé
dans le mal de Pott, mais confirment par contre le diagnostic d'une tumeur comprimant la moelle, et relativement les racin
a 7e vertèbre dorsale. Dans le canal mis à jour on n'aperçut pas de tumeur ; la dure-mère ne fut pas mise à découvert et i
té tamponnées. Ainsi donc le néoplasme (sarcome) se trouva être une tumeur extraver- lébrale, s'insinuant dans le foramen
du 9-)0'segment dorsal,sans pénétrer dans le canal rachi- dien ; la tumeur comprimait principalement la septième racine dors
s dou- leurs annoncent des symptômes de compression exercée par une tumeur se développant en quelque endroit inconnu du th
du reste, étant donné la proportion minime et la localisation de la tumeur , par exemple dans le médiastin postérieur, peut
e masse abondante néoformée, molle, ayant l'appa- rence d'une forte tumeur aux contours effacés, grande comme la demi paume
e clonus du pied faiblit des deux côtés. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 47 2-28 août. Le malade fait ses p
ndiqué. Il est cependant très probable que l'origine du mal est une tumeur dans le médiastin postérieur provoquant la séri
r d'une ligne de démarcation horizontale TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 49 passant deux doigts au-dessous
sversale toujours grandissante de la moelle font penser à un cas de tumeur progressive à la hauteur approxi- mative du 9-1
de la moelle, à la hauteur'des segments dorsaux 9-10 on trouve une tumeur ; l'énucléation se fit assez facilement avec un i
'énucléation se fit assez facilement avec un instrument émoussé, la tumeur n'étant pas unie à la dure-mère et ne faisant qu'
la dure-mère et ne faisant qu'en apparence corps avec la moelle. La tumeur (fibrome) à forme distinctement fuselée, sur- f
t de quelques jours en dehors de l'hôpital. La localisation de la tumeur ,siégeanten majeure partie en avant,explique pou
pour arriver à mettre au jour, dans les meilleures condi- tions, la tumeur située sur le devant, et à l'énucléer dans son en
devant, et à l'énucléer dans son enlier. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE "51 f Observation IV. C. M...,
disso- ciés, tout cela pouvait faire croire qu'il s'agissait d'une tumeur intra- médullaire. Cette supposition n'était vr
ous considérons, d'un côté les difficultés de distinction entre une tumeur intra ou extra-médullaire et de l'autre, le rôle
ire; ils peuvent en effet être parfois causés par la pression d'une tumeur extra- médullaire ; par contre, comme le prouve
observation de Krauss, ils peuvent ne pas apparaître dans le cas de tumeur intra-médullaire. Comme il a été dit, l'opérati
aite à Berlin par le profes- seur Krause qui découvrit en effet une tumeur intra-médullaire à la hauteur de la 9e vertèbre
L'absence de détails plus précis concer- nant la localisation de la tumeur , sa taille, l'opération elle-même et ce qu'est
écise, pour exami- ner la première période dans le développement de tumeurs extra-médul- laires, et aussi extra-vertébrales
nquèrent également, en tant que symptôme TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 53 fixe dans'la maladie subséquent
tions dissociées, a-t-on judi- cieusement supposé l'existence d'une tumeur intra-médullaire. Par contre, dans les observat
le seul symp- tôme d'une compression initiale de la moelle par une tumeur extramé- dullaire. Malgré l'absence de symptôme
opéré (Sick) et on découvrit en effet, partant de l'arachnoïde, une tumeur , dont l'énucléation supprima les douleurs, rend
tique est également souligné par Flatau dans sa monographie sur les tumeurs médullaires. Dans les observations 1 et II, mal
ent dominant d'une extrémité, la droite, c'est-à-dire du côté où la tumeur était localisée. Dans l'observation III pareill
de l'affaiblissement attaquant l'extrémité infé- rieure gauche (la tumeur a poussé du côté gauche) n'a pu être observée p
inant d'une extrémité et justement du côté de la localisation de la tumeur et sur l'importance diagnostique de ce symptôme d
e sens ascendant, à mesure de l'accroissement de la pression par la tumeur méningée, confirme l'opinion déjà établie,- d'a
ut apparaître autrement que sous l'influence de l'épanchement d'une tumeur intramédullaire. Au point de vue pratique les o
d'une modification dans la moelle, survenue après l'ablation de la tumeur . En effet simultanément avec les troubles cardi
n est une autre encore possible, c'est que, malgré l'ablation de la tumeur , la dynamique de la circulation libre du liquide
noyaux bulbaires. Cela a été observé du reste dans certains cas de tumeurs de la moelle. Cette hypothèse, légèrement diffé
une double opération chirurgicale, dans les cas où la nature de la tumeur n'en permet pas l'énucléation complète ; cela p
'il améliora considérablement, son état, TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 55 lui rendant le mouvement dans l
d'inciser la dure-mère; on s'est bOl'l1ésimplemen t à en séparer la tumeur . En agissant ainsi on est parti de cette thèse qu
issant ainsi on est parti de cette thèse que, premièrement pour les tumeurs sarcomateuses, la dure-mère constitue généralemen
n, dans les commence- ments, à la possibililé d'une métastase de la tumeur dans le tissu osseux. Cependant le cours subséq
cage thoracique. Les observations 1 et II accroissent le nombre de tumeurs de la moelle opérées avec succès, même avec gué
antité toujours croissante d'opérations réus- sies, dans les cas de tumeurs méningées. D'un autre côté, le traitement opéra
ss, Auerbach, Veraguth, Schlap, prouvent aussi que la chirurgie des tumeurs intramédullaires est entrée dans une période pr
a croissance est indéniable- ment subordonné au développement de la tumeur hypophysaire. D'abord apparition de symptômes d
ement de la tumeur hypophysaire. D'abord apparition de symptômes de tumeur hypophysaire et arrêt de croissance consécutif.
ise parallèle de la croissance. Enfin re- crudescence des signes de tumeurs et de nouveau arrêt de développe- memt. La tu
des signes de tumeurs et de nouveau arrêt de développe- memt. La tumeur pituitaire a donc perturbé, tari peut-être la séc
Jack (cités par Scllüller). Ces auteurs observèrent, dans un cas de tumeur de l'hypophyse, une constitution squelettique inf
'un enfant (1 m. 25). Testi- cules petits, infantiles. Autopsie : Tumeur kystique de l'hypophyse. Persistance du thymus. T
- quement (vésicules normales). Pas de lésions de l'hypophyse, mais tumeur cal- cifiée de la tige pituitaire (1). Atrophie
au point de vue de la taille et des organes génitaux. Autopsie : Tumeur de la base de l'encéphale (adénome kystique) ayan
emier cas a été publié par M. Babinski, com- porte des symptômes de tumeur hypophysaire, de l'adiposité et souvent L INFAN
d. Munch. med. Woch., 13 juin 1911, no 24, p. 1293. Bunwcn (11.). Tumeur de l'hypophyse avec arrêt de développement du squ
238. ' CusniNS. Infantilisme sexuel avec atrophie optique due à une tumeur de l'hypophyse. Journ. of. nerv. and. ment, dis
reste pas étrangère il cette fonction comme le prouvent les cas de tumeur de cet organe accompagnés d'un dé- veloppement
21. (2) TAMESON EVENS (de l31rminghan), Quelques manifestations des tumeurs de l'hypophyse. The British médical Journ., n.
one bulbo-prolubérantielle, produite par une maladie des os/par des tumeurs , par des anévrismes de l'artère verté- brale et
tion de pression endo-crànienne, due à l'éventuelle existence d'une tumeur , qui de quelque manière endommageait l'intégrit
op rapidement développée pour qu'elle puisse être expliquée par une tumeur qui avait commencé son évolution. On ne pouva
nheim retien tqu 'en certainscas l'hydrocéphalieseprésenle comme la tumeur cérébrale, et que l'identité de l'ensemble sympto
du liquide cérébro-spinal, puisque le contenu d'al- bumine dans la tumeur cérébrale est augmenté, tandis que dans l'hy- d
la ponction lombaire étant, en cette maladie, moindres que dans les tumeurs . Les résultats thérapeutiques que j'ai obtenus so
BAÏMISTE. LES MODIFICATIONS DANS LA MOELLE ÊPINIÈRE AU COURS DES TUMEURS SIÉGEANT DANS LA FOSSE POS- TÉRIEURE DU CRANE -
J. M. RAIMISTE et M. NEID1NG Le syndrome complexe produit par les tumeurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne pré
les seules modifications constatées dans les tissus environnant] la tumeur , mais plutôt par le dérèglement des fonctions de
lombaires, tous symptômes se rencontrant assez souvent au cours des tumeurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne. Le
sa marche présente une déviation à gauche. Avec le diagnostic, « tumeur de la région du Ville droit (Kleinhirnbrûcke- w
berg. L'opération du trépan fut pratiquée le 5 mai 1907 sans que la tumeur fût trouvée. Le 21 mai mort subite du malade. L
auche ; sa moitié droite est notablement reculée en arrière par une tumeur , occupant la surface externe de la moitié droite
nt macroscopiquement rien d'anormal. L'examen microscopique de la tumeur a montré que nous avions affaire à un gliosarco
0 à la minute, la malade étant couchée. Nous avons diagnostiqué une tumeur cérébelleuse, probablement de l'hémisphère gauc
leur jaune, ayant la forme et les dimensions d'un oeuf de poule. La tumeur avait 8 centimètres de longueur et 5 centimètres
te macroscopiquement rien d'anormal. - L'examen microscopique de la tumeur a montré que nous avions affaire à un gliosarcome
s. Et examinant quatre moelles épinières de malades, qui avaient la tumeur siégeant dans la fosse cérébrale postérieure, Jac
end pas du tout de la pression ou de la destruction produite par la tumeur sur les voies conductrices voisines. Des modi
ominait dans la partie moyenne du segment dorsal. Dans trois cas de tumeur de la fosse postérieure cérébrale, Jacobsohn et
stème vasculaire et lymphatique dans la moelle dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la fosse cérébrale postérieure est
uve en pré- sence des lésions dans la moelle dorsale au cours d'une tumeur non solide. Dans tous les cas décrits jusqu'ici
crits jusqu'ici ainsi que dans nos deux autres cas il s'agissait de tumeurs solides (gliomes, gliosarcomes, tubercules) (1).
e des lésions anatomo-pathologiques au cours du développement de la tumeur . Dans les cas de Hoche, de Wollenberg et dans u
'après l'extrait du journal. Les lésions de la moelle dans les cas de tumeur intracra- nienne. Manière de se comporter des R
décrit les lésions qu'il a constatées dans la moelle dans un cas de tumeur kystique de l'hémisphère droit du cervelet. 254
cherche à les expliquer par l'action des toxines, élaborées par la tumeur ; les autres auteurs les attribuent aux changem
. Le même auteur en notant la fréquente coexis- tence, au cours des tumeurs du cerveau, de la stase du fond de l'oeil avec
rvation de Renon, en se basant sur la coexis- tence des taches, des tumeurs et de l'atrophie musculaire, on avait cru pouvo
hypothermie. Tous ces symptômes sont concomitants à l'existence de tumeurs dures, indolores, de dimensions et de formes di
logie médicale ; telles seraient les dégénérescences calcaires des tumeurs bénignes ou malignes de la peau, celles des ath
un homme atteint de vitiligo et dans la moelle duquel on trouva une tumeur névroglique de la région centrale. En outre, d'
es, Franz Denticke Leipzig-Wien. 1912. .14. FEIIIIIO. Vitiligo et tumeur nêvroglique de la moelle, Revue neurologique, 190
pas non plus d'anomalie des organes internes de l'abdomen et pas de tumeurs dans le bassin qui puisse causer une pression a
ome. Au demeurant, dans notre cas, il n'est nullement prouvé que la tumeur n'existait pas depuis longtemps peut-être ; certa
ues et jacksoniens pouvaient être expliqués facilement par les deux tumeurs siégeant au voisinage de l'écorce dans la front
sion de l'hémisphère droit du cervelet. En dépit de l'existence des tumeurs situées dans la partie postérieure des cavités
moindre malaise. Notre malade était cependant atteinte de plusieurs tumeurs cérébrales. Nous n'avions pas fait ce diagnosti
s être systématiquement bannie de la thérapeu- tique palliative des tumeurs cérébrales, et, en terminant, nous ne pour- rio
les, Montpellier, 1913. (1) Par ce terme, nous entendons toutes les tumeurs cérébrales. 406 RAUZ1ER ET BAUMEL BESREDKA. E
1911. Sctlotrz. - Troubles des sensations gustatives à la suile des tumeurs situées dans la partie postérieure des cavités
ostose des trois quarts de la suture interhémisphérique, une petite tumeur sur les plexus choroïdes et une absence complète
isme tout à fait analo- gues cliniquement, et que l'existence d'une tumeur hypophysaire - lésion évidemment primitive à la
MM. Souques et. Chauvet (2) inclinent, en raison de signes nets de tumeur pituitaire, à faire jouer un rôle de second pla
ère positif en plus, à savoir l'existence de stigmates objectifs de tumeur hypophysaire (signes de compression infra-crânien
tingue la nôtre, va jusqu'à la coexistence de signes indéniables de tumeur hypo- physaire (on peut ajouter une observation
ajouter une observation plus récente de MM. Sainlon (1) R. l3mtmen, Tumeur de l'hypophyse avec arrêt de développement du squ
ngent neuf autres avec contrôle anatomique où furent constatées des tumeurs diverses de l'hypophyse ou de sa tige, et même
pophysaire. Quoi qu'il en soit, l'absence de tout signe physique de tumeur hypophy- saire - fait tout négatif qui n'impliq
bution à l'étude des syndromes polyqlandulaires. Diabète infantile, tumeur de l'hypophyse et infantilisme, Revue Neurologiqu
t d'être obser- vée par MM. Sainton et Roi chez cette infantile par tumeur hypophysaire à laquelle nous faisions allusion
ntant le syndrome adiposo-génital et des signes objectifs locaux de tumeur hypophysaire, observa une polyurie permanente q
t mon- tée jusqu'à 19 litres d'urine dans les 24 heures, trouva une tumeur ayant complètement détruit le lobe postérieur d
ement de celle- ci, sous l'influence de l'irritation exercée par la tumeur du lobe posté- rieur, que l'auteur explique l'e
t pas été notés de stigmates oculaires ou radioscopiques locaux, de tumeur hypophysaire. Celle conclusion se trouve étayée
de la paralysie générale; à noter en outre l'existence d'une petite tumeur de la capsule surrénale gauche qui, à l'examen
chidien dans les différentes compressions médullaires (mal de Pott, tumeurs rachidiennes). D'après les résultats de ces auteu
exie intense, alimentation très réduite. Incontinence des fèces. La tumeur du flanc gauche a augmenté de volume, nouvelle po
ans le cas de Lejonne et Blaiiclietièi-e, 1 la lésion trouvée fut une tumeur de la dure-mère, de la grosseur d'une petite no
médullaire, opéré, guérison (Ileiclmann, Itôple), un fibrome et une tumeur indéterminée opérés (Klieneberger), sarcome de la
1912) dans lequel, basé sur ces signes, il a pu dingnos- tiquer une tumeur médullaire au niveau des V* et VI segments pliinc
médullaire. (1) Tout dernièrement le D'Jancke a publié deux cas de tumeurs rachidiennes, vérifiées par opération et nécrop
EL et FELSTEIN, 445. - (Modifications dans la moelle au cours des tumeurs siégeant dans la fosse posté- rieure du -), par
Smîssv- REFF, 433. Moelle (Modifications dans la - au cours des tumeurs siégeant dans la fosse posiérieu, e du crâne),
sse posiérieu, e du crâne), par Raimiste et Neiding, 245. Moelle ( tumeurs ), traitement chirurgical, par IIOTSTAOT, 36.
g (\1.) et RAi3llSTE. Les modifications de la moelle dans le cas de tumeurs sié- geant dans la fosse postérieure du crâne,
d'Odessa). Les modifications dans la moelle épinière au cours des tumeurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne, 24
e. 28 ROTSTADT (Julian) (de Varso%ie). Traitement chirurgical des tumeurs de la moelle, 37. Roubinovitch (J.) et Barbé (A
21 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
hydrocéphalie aiguë sans augmen- tation de volume de la tête et les tumeurs cérébrales au moyen des rayons de Rontgen. Bévu
tre la méningite séreuse venlriculaire (hydrocéphalie aiguë) et les tumeurs cérébrales, n'est pas toujoursaisée. Au contrai
es résultats obtenus à l'autopsie dans des cas nombreux étiquetés « tumeurs cérébrales », ont démontré qu'il s'agissait en ré
atologie; pendant la vie du malade on avait posé le dia- gnostic de tumeur cérébrale, constata à l'autopsie qu'il s'agissait
térieurement, ont relaté des observations réa- lisant le tableau de tumeurs intrâ-craniennes, et qui, en réalité, concer- n
ë. L'hydrocéphalie, non seulement peut réaliser les symptômes d'une tumeur cérébrale, mais elle peut simuler à s'y méprend
ux. Quincke lui-même admet que le diagnostic différentiel entre les tumeurs cérébelleuses et l'hydrocéphalie peutêlre très
mptômes du vivant du malade portaient à établir le diagnostic d'une tumeur cérébel- leuse. A la radiographie faite 24 he
ce à la radiographie, de faire le diagnostic différentiel entre les tumeurs cérébrales et l'hydrocéphalie aiguë (2). Un moi
entre l'hydrocéphalie sans augmentation de volume de la tète et les tumeurs cérébrales au moyen des rayons de Röntgen. Cet
sque se sont présentées des saillies cutanées, de petits nodules et tumeurs . A l'examen du malade, ce qui frappe tout d'abo
eurs. A l'examen du malade, ce qui frappe tout d'abord, ce sont les tumeurs , en- viron 67, irrégulièrement distribuées sur
de différentes dimen- sions ; quelques-unes sont très petites. Les tumeurs se voient surtout au tronc, en avant comme en a
oncé que le restant de la peau, quelques-unes un peu violacées, ces tumeurs , sont en certains endroits assez adhérentes, dans
le aspect objectif était déjà très clair. L'examen histologique des tumeurs , pratiqué par notre confrère le Dr E. Meirelles
99 p. 46. (2) E. PIOL1.ET, Neurofibromatose généralisée avec énorme tumeur royale du poids de 5 kit. 600 et 602 tumeurs sa
généralisée avec énorme tumeur royale du poids de 5 kit. 600 et 602 tumeurs satellites beaucoup plus petites (Gazette des hôp
ns, le malade constata l'apparition sur la peau du tronc de petites tumeurs molles, réalisant les caractères d'un molluscum p
lles, réalisant les caractères d'un molluscum pendulum. Ces petites tumeurs ne dépassaient pas la racine des membres. Seule l
cuir chevelu. Pendant trente ans, lentement, progressivement ces tumeurs augmentèrent de volume et de nombre, sans du re
on fut rapide et com- plète et on ne remarqua pas ultérieurement de tumeurs sur la cicatrice opéra- toire. C'est à cette
me entre la pigmentation d'une région et le nombre et le volume des tumeurs . 1) 46 F ! . TOUCHE. - NEUROFIBROMATOSE GNÉRALI
ui offrent un complexus symptoma- tique justifiant le diagnostic de tumeur cérébrale, mais où plus tard la marche de l'aff
ique. Depuis quelques années, on tend à isoler du groupe des pseudo tumeurs cérébrales les cas où on peut porter le diagnos
lades chez lesquels nous avons cru tout d'abord avoir affaire à une tumeur du cerveau chez l'un et du cervelet chez l'autr
lui donne. Ayant en vue ces symptômes nous mettons le diagnostic de tumeur cérébrale. ° Un confrère appelé en consultation
ique les plus fréquentes, ne sont pas les seules qui simu- lent une tumeur cérébrale et dans de tels cas il peut être questi
on a affaire dans de tels cas avec une hydrocéphalie qui simule une tumeur de la fosse postérieure, or, si nous allons plu
ons à la méningile séreuse. Un autre facteur qui peut simuler une tumeur cérébrale et auquel il faut donner quelque atte
n de soigner un malade qui avait présenté lous les symptômes d'une' tumeur de la base : de la céphalée, des vomissements,
essus pathologiques qui donnent naissance au tableau clinique d'une tumeur cérébrale, et nous nous limiterons aux deux cau
à l'autopsie d'une femme de 28 ans présen- tant les symptômes d'une tumeur cérébrale et morte après six mois, une hydrocép
8. A l'autopsie Vigouroux a trouvé dans le quatrième ventricule une tumeur de la grosseur d'une noix pré- sentant l'aspect
t pour le diagnostic différentiel entre la méningite séreuse et une tumeur cérébrale. Mais ce résultai positif f n'a pas é
ès importante au point de vue du diagnostic différentiel d'avec une tumeur du cerveau ou du cervelet. (I) Sterling, Un cas
ur de lésions les plus diverses (ecchymoses, gastrite, ulcérations, tumeurs , etc.). Beaucoup de ces lésions ne sont que des
lement sain. Ses altérations sont, les unes indépendantes du tabès ( tumeurs , par exemple), les autres contem- poraines ou c
res mais significatifs, ont été recueillis à ce sujet et des cas de tumeurs ~de la glande pinéale ont été signalés qui s'accom
lle que la résument MM. Raymond et Claude dans leur mémoire sur les tumeurs de la glande pinéale. Il s'agit d'un enfant de
t d'un enfant de cinq ans et demi à l'autopsie duquel on trouve une tumeur de 5 centimètres sur 2 cent. 5, occupant la pla
nheilk., 37 Bd, Ilel't 5, 1909. (4) F. Raymond et Ifesw Claude, Les tumeurs de la glande pinéale chez l'enfant . Communicat
e. La palpation fait constater dans l'épigastre l'exis- tence d'une tumeur volumineuse, adhérente au foie. Décès le J9 aoû
férieure de la moelle, entre les racines de la queue de cheval, une tumeur ovoïde, ressemblant à un volumineux gland de chên
hauteur de S2, SI. 2° Examen microscopique. - Un fragment de cette tumeur est prélevé pour l'histologie, on constate qu'i
voit à la suite de certains processus infectieux. 3° Rapports delà tumeur et de la moelle. - La moelle est alors débitée en
tive comme nous allons le voir. A) Au niveau du pôle inférieur, la tumeur et la moelle sont indépen- dantes ; le cône méd
s capillaires très marquée, avec épaississement de leurs parois. La tumeur à ce niveau n'est composée que de graisse,un ou
'intérieur. B) Un peu au-dessus (4e segment sacré), la moelle et la tumeur entrent en contact, mais restent toutefois indé
us- tée (Voir PI. XLII, fig. 5 et 6). La compression exercée par la tumeur se traduit à ce niveau par la déformation génér
ure de la moelle ; elle se continue avec l'enveloppe fibreuse de la tumeur qui paraît formée par elle. Les vaisseaux médulla
es. Dans les parois vasculaires pas plus que dans les couches de la tumeur , on ne trouve de noyaux témoignant d'un process
il n'existe plus maintenant de limites nettes entre la moelle et la tumeur . Cette dernière est traversée par les racines pos
des racines antérieures (r.a.) qui sont complètement dégénérées. La tumeur est parsemée de petits amas de fibrilles nerveu
rochant de la région lombaire inférieure et sur la figure 12, où la tumeur a complètement disparu et où la moelle reconsti
cte de la répartition des lésions médullaires et des rapports de la tumeur et de la moelle. Histologiquement, il s'agit de l
rtement épaissies, se continuent avec le tissu fibreux qui entoure la tumeur et lui forme une coque, cette dernière ne paraî
ions étaient déjà visibles à l'oeil nu sur la face antérieure de la tumeur (fig. 2, v.). Dans toute la substance médullair
s en une masse compacte, comme à la partie inférieure de la pseudo- tumeur , donnent l'impression de simples dépôts lipomateu
itatives méningo-vasculaires. 5° Phénomènes de compression dus à la tumeur graisseuse s'ajoutant aux troubles circulatoire
ent du tissu adipeux, qui donnait au premier abord l'illusion d'une tumeur , tandis qu'il s'agissait d'un simple dé- pôt, o
érieure. c. cône terminal aplati. r. a. racines antérieures. t. tumeur lipomateuse. r. p. racines postérieures. v. v
cône terminal ; coloration au Van Gieson. c. t. cône terminal. 1. tumeur lipotnaleuse. v. a. vaisseaux antérieurs dilaté
la moelle. m. g. moitié gauche. r. p. racines postérieures. t. tumeur graisseure. v. veine thrombosée. Planche XLII
che XLI FIG, 11 et 12. - Coupes passant par SI. Disparition de la tumeur graisseuse dont les dernières cellules g. forment
riences faites sur les animaux d'une part, et de l'autre les cas de tumeurs médullaires opérées ou une fois la tumeur éloig
et de l'autre les cas de tumeurs médullaires opérées ou une fois la tumeur éloignée, au bout d'un temps plus ou moins long,
s compr. bei Wirbelcaries. D. Z. f. Ner., 1900, XVI. 6. FLATAU. - Tumeurs de la moelle épinière et de la colonne vertébrale
chez. lmp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne) TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEU1 par Egas MONIZ,
s publions, la première est la seule con- firmée par l'autopsie. La tumeur a été diagnostiquée quinze mois avant t la mort
publions ensemble comme contribution à l'étude des symp- tômes des tumeurs de l'angle ponto-cérébelleux, question qui, en ce
s la marche en arrière. Il y a ébauche de Romlmrg. TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PO\TO-CÉHI : BELLEU1 Il 1 ! ) ) Quan
IZ ^Nouvelle Iconographie de la SALl'E7RII : RE. T. XXV. Pl. LX Tumeur de l'angle PONTO-d : REBELLEUX - (E. Ilaniz).
Tumeur de l'angle PONTO-d : REBELLEUX - (E. Ilaniz). TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX 421 Le VIIIe nerf
RÉBELLEUX 421 Le VIIIe nerf cranien est englobé dans la masse de la tumeur ; le VIIe est aplati et adhérent à la tumeur; l
bé dans la masse de la tumeur ; le VIIe est aplati et adhérent à la tumeur ; le Ve est aussi aplati et contourne la tumeur
plati et adhérent à la tumeur; le Ve est aussi aplati et contourne la tumeur dans sa partie antérieure ; les IXe. Xe et XI"
Xe. Xe et XI" comprimés, le VIe intact. L'examen histologique de la tumeur montre que c'est un fibrome. Nous donnons ci-jo
ci-jointe la microphotographie de la préparation histologique de la tumeur , préparation faite par le premier assistant de ne
épreuve calorique ne donne aucun résultat appréciable. TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE rOM'O-CÉRÉBELLEUX 423 Odorat. - Norm
olique, mort. Mère bien portante. Il n'y a pas de tuberculose ni de tumeurs dans sa famillp. Antécédents personnels. Il a e
e il se produit le phénomène inverse. Odorat normal. TROIS CAS DE TUMEURS DE L ANGLE Y'USTO-CEREBELLEUX 4Li7 Goût. Ageusi
les malades présentent des vertiges, tombant toujours du côté de la tumeur , à droite dans les trois cas. C'est un des symptô
i. D'autre part, depuis que la chirurgie a tenté de s'adresser à la tumeur pituitaire, les interventions n'ont pas été si
urvint néan- moins cinq heures après, et à l'autopsie on trouva une tumeur hypophy- saire qui fut enlevée en bloc avec la
EMIE (E. Pallasse et J. Murard). A. Malade. B. Photographie de la tumeur . C. Radiographie de la tumeur hypophysaire ; l'
rd). A. Malade. B. Photographie de la tumeur. C. Radiographie de la tumeur hypophysaire ; l'encoche de la partie supérieur
pas grosses. /encéphale. - En relevant l'encéphale, on découvre une tumeur de l'hypo- physe, emprisonnée dans la selle tur
Il pèse avec le cervelet et le bulbe 1.240 grammes. Examen de la tumeur . - La tumeur se présente comme un petit champi-
le cervelet et le bulbe 1.240 grammes. Examen de la tumeur. - La tumeur se présente comme un petit champi- gnon qui fai
oï- daux a été agrandie par effondrement de la paroi antérieure. La tumeur proémine de' chaque côté dans le sinus. 458 P
l'orifice, et on aperçoit alors la paroi supérieure refouiée par la tumeur . Celle-ci a même en arrière détruit la coque os
nt l'as- pect d'une membrane fibreuse légèrement vascularisée. La tumeur fait également saillie d'un côté et de l'autre ;
ymétriques. Rapports avec l'encéphale. - Sur la partie droite de la tumeur , et vers sa face postérieure, se trouve le poin
i bien que l'ensemble de la région est dissy- métrique, comme si la tumeur avait exercé une traction l'attirant en masse à
à la vue que par la constata- tion d'une ébauche de gouttière. La tumeur avait contracté une petite adhérence en avant ave
du cerveau, de même que le pédicule s'est détaché spontanément, la tumeur étant très friable. Caractères somatiques parti
es hypophysaires, mais il est difficile de préciser la nature de la tumeur . Cette observation est pour nous le sujet de di
s l'hypothèse très logique de l'influence de la lésion nerveuse. La tumeur pituitaire a pu jouer un rôle favorisant très s
de la rétention uréique. Et si nous admettons que l'existence d'une tumeur l' hypophysaire constitue déjà pour le système
eutique chirurgicale. Nous avons en effet étudié soigneusement la tumeur hypophysairedans ce but. La pièce a été prélevé
la figure ci-jointe. L'observa tion noteen détailles rapports de la tumeur avec la base de l'en- céphale, et surtout avec
onnent une tache claire très étendue. L'évolution spontanée de la tumeur se faisait vers ces sinus, et comme en régie gé
omme en régie générale c'est dans le sens d'évolution naturelle des tumeurs que doivent être comprises leurs voies d'abord
s d'abord chirurgicales, c'est donc par la voie sphénoïdale que les tumeurs de l'hypophyse doivent être le plus logi- queme
l'obésité dans la symptomatologie des troubles en rapport avec les tumeurs de la corticale surrénale. On peut même pense
tiples symétriques de Crémieux (2). Le caractère circonscrit de ces tumeurs les écarte de l'adipose de notre malade, égalem
n ceraico-faciale, l'affection est constituée par de volumi- neuses tumeurs ; il en résulte un gros élargissement du cou et d
a ligne biclavi- culaire ; au niveau de chaque clavicule existe une tumeur du volume d'une grosse orange ; une troisième t
ule existe une tumeur du volume d'une grosse orange ; une troisième tumeur , grosse comme un oeuf, com- ble l'espace sus-st
les dont il est séparé par un sillon transversal très marqué que la tumeur déborde nettement dans tous les sens. A ce niveau
ntéressé la région dorso-lombaire droite. La limite supérieure -des tumeurs cervicales est constituée, en avant, par le bor
pulaires paraissent notablement hypertrophiées ; de chaque côté les tumeurs , symétriquement disposées, débordent en dehors
illo-brachiale, notons la présence, dans l'aisselle e gauche, d'une tumeur volumineuse ; de même la palpation fait sentir, a
e ; de même la palpation fait sentir, au niveau du coude droit, une tumeur épitt-ocliléentie assez grosse et une Lu- sus-é
résentent, principalement marques à gauche, de gros amas de petites tumeurs agglomérées mais séparées par des sillons super
rqué, au niveau et un peu à gauche de la lIe vertèbre dorsale. La tumeur épigastrique est médiane, lisse, bombée et grosse
du sternum existe un petit lipome, gros comme une mandarine. Les tumeurs inguinales sont constiluées par des masses lisses
t, de chaque côté, le triangle de Scarpa. D'une façon générale, ces tumeurs cervicales, lombaires, épigastriques et inguina
et ne déterminenl pas de gêne fonctionnelle nota- ble, sauf pour la tumeur de l'épigastre : à ce niveau, le malade éprouve
mit- tents et cela depuis fort longtemps. C'est à se demander si la tumeur épi- gastrique ne pousse pas quelque prolongeme
n cas typique de ce genre avec les résul- tats de l'autopsie. Ces tumeurs , qui tendent vers un développement progressif, n'
ouvés : 400 si TRENEL ET PASSOU sence déjà signalée de nombreuses tumeurs au membre supérieur ; s'il en était besoin, ce
iner l'hypothèse émise par Marçais, dans sa thèse, à savoir que les tumeurs du genre de celles que nous avons décrites reco
s où l'on a cherché inutilement trace de tissu lymphatique dans les tumeurs vont à l'encontre de celte théorie. Il en est d
u nombreux. Nous devons rappeler que, dans notre cas, il existe une tumeur épitro- chléenne en voie de développement, corr
ement, correspondant, exactement, au gan- glion épitrochléen. Celle tumeur , déjà grosse comme une noisette est surmontée,
me une noisette est surmontée, à 2 centimètres environ d'une petite tumeur du volume d'un grain blé, allongée, roulant sou
, que dans les régions épigastrique et surtout dorso- lombaire, les tumeurs lipomateuses sont nombreuses, nettement dévelop-
iés et concrétés, M. Delbet repoussait ce terme ; d'après lui « ces tumeurs sont des lipomes périglan- dulaires se développ
ète de Bard (lipomatose symétrique multiple cir- conscri te) où les tumeurs sont petites, encapsulées, prédominant aux mem-
n puisse ren- contrer : typique par la symétrie, la topographie des tumeurs ; typique et intéressant avant tout par l'énorm
nde -), par S.11\TO ? et DAGNAN- BOUVERET, ni. Ponto-cérébelleux ( Tumeurs de l'angle ), 1, par Moxiz, 417. Poil (Carie
atisme et maladie de Paget (4 pl.), par LÉ ! ! 1 et LFcitos, 334. Tumeurs de l'angle ponto-cérébelleux (1 pl.), par ION17
facio-scapulo- huméral) (2 pl.), 320. 9lowz (f;gns). Trois cas de tumeurs de l'an- gle ponto-cérébelleux (1 pl.), 417.
Traumatisme et syndrome de Paget (péri et LEGROS), XLVIII à LI. Tumeur de l'angle ponto-cérébelleux (nIo.l7), LX. Le
22 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
. Traschio, en décrivant le squelette d'un géant acromégalique avec tumeur hypophysaire, a illustré de nombreuses anomalie
clinique médicale de Madrid, a publié l'observation de deux cas de tumeur hypophysaire avec syndrome adiposo-génital chez
ns. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière. 'f. XXVII. I'l. VI TUMEUR DE LA TIGE PITUITAIRE (M. 'Beri%lti). Masson
e noisette et -qui très probablement correspond a la présence d'une tumeur à localisation sus-sellaire infundibulai1'e (PI.
part, tandis que cliniquement on relève des signes en faveur d'une tumeur de la base du crâne, d'autre part la radiographie
râne, d'autre part la radiographie intervient' pour localiser celle tumeur avec son indication très précise de tumeur sus-
nt' pour localiser celle tumeur avec son indication très précise de tumeur sus- - sellaire. Il est à relever comment dan
e papillaire se rencontre très rarement dans la symplomatologie des tumeurs hypophysaires; à tel point que l'on a prétendu
ver l'évolution particulièrement lente et bénigne de la plupart des tumeurs pituitaires, mais il faut citer à part l'opinion
mes aujourd'hui au point de vue du diagnostic roentgen- logique des tumeurs de la base du crâne, tellement avancés de façon à
de façon à pouvoir poser même un diagnostic différentiel entre les tumeurs siégeant t dans la selle turcique et ceux qui a
ce sujet. Dans le cas actuel nous nous trouvons en présence d'une tumeur infun- dibulaire à localisation sus-sellaire, e
bution qui nous ont porté pour le diagnostic différentiel entre les tumeurs sus-sellaire, sous-sellaire et rétro-sellaire. Da
eurs sus-sellaire, sous-sellaire et rétro-sellaire. Dans les cas de tumeurs sus-sel lairesjesapophysesclinoïdes sont renforcé
drait à une loca- lisation rétro-sellaire (syndrome de Schüller des tumeurs du nerf acous- tique). Ainsi dans les cas de tu
e Schüller des tumeurs du nerf acous- tique). Ainsi dans les cas de tumeurs sus-sellaires ou rétro -sella ires en gé- néral
inoïdes anté- rieures et postérieures est dû à la compression de la tumeur de la tige hypophysaire sur la tente de l'hypop
e sur la tente de l'hypophyse. Posé ainsi le diagnostic de siège de tumeur de la tige pituitaire, il est de la plus haute
dès la première enfance ; il faut donc admettre'qu'il s'agit d'une tumeur à évolution très lente et très probablement d'o
gine intra-utérine. Nous savons en effet que les tératomes sont des tumeurs complexes dans la constitution desquelles entre
Pour Cushing cette thermo-réaction serait donc caractéristique des tumeurs du lobe postérieur ou de la tige pituitaire ; en
ositive dans les formes acromégaliques. Ainsi posé le diagnostic de tumeur de la tige pituitaire et constatés les troubles
tératome de la tige hyphophysaire, c'est-à-dire à la présence d'une tumeur qui s'est développée dans une époque primordiale
attirée pas des taches pigmen- taires innombrables et de nombreuses tumeurs cutanées qui sont disséminées sur tout le corps
débuté, nous assure le malade à Page de 26 ans, sous la forme d'une tumeur d'aspect verruqueux située au menton ; l'érupti
nt devenus vers la fin de juillet. Mais entre temps plusieurs des tumeurs cutanées de la région sacrée et des régions fes
iveau on peut apercevoir, en découvrant les racines gauches, qu'une tumeur du volume d'un petit pois, de forme assez réguliè
rime la moelle (Voy. PI. XXII). La compression est très légère ; la tumeur , petite, ne laisse sur la moelle déviée qu'une
nts (partie inférieure du premier, partie supérieure du second). La tumeur n'est reliée à la moelle par aucune adhérence ; e
La racine antérieure sur le trajet de laquelle s'est développée la tumeur est uettement atrophiée depuis sa sortie de la
sibles sur la photographie de la pièce (Voy. PI. XXII). La petite tumeur que nous avons décrite plus haut était unique, ce
altération macroscopique ; en particulier, il n'existe aucune autre tumeur . Les veines n'étaient nullement dilatées au-des
s de la zone comprimée ; et le segment de moelle en rapport avec la tumeur n'avait ni l'aspect anémi- que, ni l'aspect con
nous reste à analyser la structure. 4° TtJMEUtt. Au niveau de la tumeur les différents faisceaux radiculaires se fusionne
épaissi, et constitue une capsule fibreuse, dense qui enveloppe la tumeur . Les vaisseaux du centre et de la périphérie ga
oppement qu'ils ont pris semble proportionné aux di- mensions de la tumeur radiculaire. Si nous ajoutons enfin que les mén
élait due à la compression légère de la moelle déter- minée par une tumeur radiculaire du volume d'un petit pois. Les lési
en droit de dire que si l'état général du malade l'avait permis la tumeur eut pu être très facilement enlevée. On peut pens
a douleur a reparu dans le même endroit. Lorsque la formation de la tumeur du tronc nerveux se trouve dans la période asce
veux se trouve dans la période ascendante, alors la pression sur la tumeur même ou sur ses branches augmente la douleur. L
u sur ses branches augmente la douleur. La pression au-dessus de la tumeur (entre elle et le centre) la diminue. L'anest
e de diagnostic, un moyen à retenir pour juger de l'opérabililé des tumeurs hypophysaires. · Ces différents problèmes, tout
ontour, l'un qui lui est propre, l'autre qui est certainement dû à la tumeur hypophysaire. A la déformation de la selle s'
ue un élément de probabilité en faveur du développement nasal de la tumeur el indiquerait des conditions relativement favo
moins de détails. C'est ainsi que, dans notre cas, le contour de la tumeur hypophysaire ne nous est apparu très nettement
e avec l'obésité. Dans deux cas de dystrophie adiposo-génitale avec tumeur de la région hypophysaire, W. Falia et Nowaczms
e hyper- tension crânienne et enfin où elle a manqué dans un cas de tumeur cérébrale. La discussion est donc encore ouve
p. 2u3. (2) Béclère, Les rayons de Roenlgen dans le traitement des tumeurs hypophysaires, du gigantisme et de l'acromégali
échec de l'opération palliative. le diagnostic et le traitement des tumeurs hypophysaires, du gigantisme et de l'acro- méga
te avec sclérose en plaques, la démence précoce et parfois avec les tumeurs cérébrales et cérébelleuses, le tabes (dans le se
n- hoeffer (Monatschrift sur Neur. und Psych., 1897), où une petite tumeur à l'entrecroisement des pédoncules cérébelleux
. LII SCLÉROSE MÉDULLAIRE TRANSVERSE DORSOLOMBAIRE a, moelle ; b, tumeur adhérente aux méninges ; c, coupe de la tumeur tr
BAIRE a, moelle ; b, tumeur adhérente aux méninges ; c, coupe de la tumeur trilobée d, moelle ramollie et comprimée par la
coupe de la tumeur trilobée d, moelle ramollie et comprimée par la tumeur . UNIVERSITÉ DE GENÈVE SCLÉROSE MÉDULLAIRE, TR
tes nodosités extérieures légèrement saillantes correspondant à une tumeur oc- cupant la moelle à cette place. En coupant
in- ges molles sont passablement injectées, surtout au-dessus de la tumeur , tout le long de la moelle dorsale. A l'endroit
re. Tandis que la moelle est en général d'une consistance molle, la tumeur est d'une consistance très dure. A la coupe, re
re que 2 à 3 millimètres et s'étend du côté droit et en avant de la tumeur . Les coupes transversales des autres parties de
les parties situées au-dessus du néo- plasme. Il n'y a pas d'autre tumeur dans le canal vertébral. L'autopsie de la cavit
et les méninges étaient assez anémiés, les artères minces. Point de tumeur . A l'examen des organes abdominaux, on remarqua
générale des organes. Examen II ISTOLOG IQUE. Une tranche de la tumeur a été enlevée, y compris l'endroit de son inserti
e l'on pouvait poser d'après l'aspect macroscopique ty- pique de la tumeur dure-mérienue. Les coupes du matériel enrobé en p
que nous avons rencontrée à plusieurs reprises dans les cellules des tumeurs en question. Le contenu de ces noyaux devient p
mère elle-même, cette memhrane forme une couche solide autour de la tumeur qui en est net- tement séparée, ou unie par des
orte du côté gauche que du côté droit. » Il s'agissait donc d'une tumeur ayant exercé une compression de la moelle au ni
es mêmes, qu'il s'agisse d'une production comprimante, telle qu'une tumeur de la dure-mère, ou d'une production constricti
prévaloir d'un pronostic favorable, par opposition aux allures des tumeurs qu'on ne considère pas comme pouvant admettre ces
s la lutte. Que si, en dépit de ces arguments, l'hypothèse de celte tumeur révélée par l'autopsie avait dû aussi se poser,
quer en vue de la recherche d'une moelle aplatie, écrasée et d'une tumeur extirpable sans danger pour son voisinage, il n
e et en imposer, avec leurs limites bien nettes, pour une véritable tumeur abdominale justiciable de la chi- rurgie, d'aut
ième périodes. - Coupe schématique de la moelle et de la lumeur. La tumeur a, ayant débuté du côté gauche, comprime de ce mê
l Fie. 2. - Troisième période. Coupe schématique longitudinale, a. tumeur . b. re'.te de la moelle comprimée presque entiè
t) ou la dystrophie adiposo-génitale (13artel). Morgagni trouva une tumeur de l'hypophyse à la nécropsie d'un obèse. Babin
opsie d'un obèse. Babinski, Pechkrantz signalent l'adipose dans les tumeurs de l'hypo- physe. Anderson, Schuster, Uhthoff
Uhthoff signalent de même l'adiposité cérébrale fréquente dans les tumeurs de l'hypophyse. Frèhlich est cependant l'auteur
aspect de la peau rappelant le myxoedème symptômes produits par une tumeur de l'hypophyse. Après cela les observations de
, etc.). Le sommeil pathologique a été quelquefois observé dans ces tumeurs (Soca, Parhou et Goldstein, ScIW Iler, Williams
nu une obésité énorme. L'adiposité a été retrouvée accompagnant des tumeurs de la glande qui n'altéraient pas la selle turciq
ypophyse par balle, etc (Madelung, Frank). Erdheim soutient que les tumeurs de la loge hypophysaire provoquent l'adiposité
et fait remarquer que l'adiposité peut être produite aussi par des tumeurs extrasellaires. Selke, Zal,sh cilent des tumeurs
uite aussi par des tumeurs extrasellaires. Selke, Zal,sh cilent des tumeurs voisines de l'hypo- physe qui ont produit de l'
7.aksl. Marburg. Quelquefois on a noté )e manque d'obésité dans les tumeurs de l'hy- pophyse et on a cherché expliquer ces
parmi ses arguments le fait que chez les individus opérés pour des tumeurs hypophysaires, l'adiposité diminue (insuffisance
ue dans ces cas il s'agit d'une compression de l'hypo- physe par la tumeur du voisinage. K. Goldstein, Stumpf, Neuratti, Ma-
traumatismes du crâne. Redlich mentionne la polyurie dans quelques tumeurs du cervelet. Wiesel attire l'attention sur la pol
e prend part aussi. Massod, Ilosslin signalent la polyurie dans des tumeurs de la glande pinéale. Le centre polyurique du bul
; taille de 125 centimètres. Le cas de Réunie, en même temps que la tumeur , infantilisme. Un cas de Falla, 131 centimètres
nous avons dit dans l'aperçu clinique du syndrome, que parmi vingt tumeurs constatées dans 3.000 autopsies d'aliénés, Boyc
s 3.000 autopsies d'aliénés, Boyce et Bealdes ont trouvé 6 fois des tumeurs de l'hypophyse. Quant aux attaques épileptiques d
nte, quelques auteurs ont attribué leur présence au voisinage de la tumeur avec la circonvolution de l'hippocampe, en 326
oelle osseuse et des os) chez une femme de 45 ans, at- teinte d'une tumeur de l'hypophyse. En ce qui concerne la formule l
llement, la malade présente des troubles fonctionnels nombreux, des tumeurs et des pigmentations cutanées assez caractéristiq
e mouchetures brunes font saillie un nombre assez grand de. petites tumeurs dont le volume varie de celui d'un pois a une man
gauche, d'autres, plus petits, criblent le front. Sur le tronc, les tumeurs sont très nombreuses; les unes sont saillantes,
à la palpation. Au niveau de la VOLT* vertèbre dorsale se trouve la tumeur la plus volumineuse qui paraît composée de quat
la tumeur la plus volumineuse qui paraît composée de quatre à cinq tumeurs secondaires donnant à l'ensemble un aspect fram
ires donnant à l'ensemble un aspect framboise; tout autour de cetle tumeur on constate la présence d'une collerette pileus
i i ne peut être autre chose qu'un névrome plexiforme. Toutes ces tumeurs sont légèrement douloureuses au toucher, mais hyp
nt de la même affection sous une forme plus fruste. Il présente une tumeur unique, mais une pigmentation déjà diffuse et des
hyse. Pourquoi les deux ordres de faits, d'une part pigmentation et tumeurs , d'autre part déformations des extrémités du ty
compagnée parfois d'attaques épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur du cerveau, paralysie cérébrale infantile; tumeur
céphalie interne, tumeur du cerveau, paralysie cérébrale infantile; tumeur de l'hypophyse, sclérose, tubercule solitaire,
tie), la paralysie cérébrale infantile, le tubercule solitaire, les tumeurs des méninges, du cerveau et de l'hypophyse, la
énile (altérations vasculaires), l'épilepsie affective deBratz et les tumeurs du cerveau qui, comme on le sait, peuvent prése
peut être alors très autorisé à croire à une épi- lepsie cérébrale ( tumeur du cerveau ou des méninges, grand foyer d'encé-
t « combinée avec l'épilepsie ». C'est positivement faux ; quand la tumeur de l'hypophyse a atteint un certain développement
s attaques disparaissent aussitôt qu'on a enlevé, par opération, la tumeur de l'hy- pophyse. Tous ces cas d'épilepsie qu
alie), l'abcès du cerveau, le tubercule solitaire et l'acromégalie ( tumeur de l'hypophyse) ; même dans cette dernière affe
il est sûrement question d'épilepsie cérébrale : si l'on extrait la tumeur de l'hypophyse, les attaques épileptiformes ces
Epilepsia tarda, un cas probable, le deuxième cas presque certain. Tumeur de l'hypophyse avec phénomènes incomplets d'acrom
pilepsie essentielle et qui, plus tard, paraissaient appartenir aux tumeurs cérébrales. Et contre ces 40 cas pour lesquels,
ctions. On rencontre quelquefois des contradictions apparentes. Ues tumeurs , méningites, traumatismes des zones; dites motr
23 (1913) Exposé des travaux scientifiques
érose disséminées dans la moelle peuvent, COMPRESSION DE LA MOELLE. TUMEURS ] : '\TRA-RACI/lDIEOEES 105 lorsque les cylindr
me aiguë de la sclérose en pla- ques. » COMPRESSION DE LA MOELLE. TUMEURS INT Rr1-IAGHIDIrITNrS Localisation. Dans le
e de la lésion, ce qui est d'un grand intérêt quand il s'agit d'une tumeur susceptible d'être extraite. - Cependant, on
lusions auxquelles nons sommes arrivés : COMPRESSION DE LA .MOELLE. TUMEURS 1NTRA-RACHIDIE\NES 107 i° Tandis que la topogra
es de défense est considé- rable, l'hypothèse d'une compression par tumeur extra-dure-mérienne (tumeurs qui peuvent acquér
able, l'hypothèse d'une compression par tumeur extra-dure-mérienne ( tumeurs qui peuvent acquérir une grande longueur) ou par
nt très rapprochées, il est extrêmement probable qu'il s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne (tumeurs généralement court
extrêmement probable qu'il s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne ( tumeurs généralement courtes). Traitement chirurgical
naître 1 existence d'une compression de la moelle, probablement par tumeur , et en déterminer avec préci- sion le siège, au
omie pratiquée dans la région ainsi délimitée permit d'extraire une tumeur , dévelop- pée aux dépens des méninges molles, e
ieurs mois après, j'ai relaté (133) un cas de paraplégie liée à une tumeur intra-rachidienne (une laminectomie pratiquée plu
ne (une laminectomie pratiquée plus tard a décelé l'existence d'une tumeur comprimant la moelle, confor- mément à l'hypoth
qu'il y a une interversion des deux modes de balancement du bras. TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL Diagnostic.
comme les plus caractéristiques des néoplasmes intra-crâniens : la TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL 13l céphalée,
(127) l'observation anatomo-clinique d'un sujet qui, atteint d'une tumeur cérébrale dont le poids dépassait 3oo grammes,
e côté droit du corps et la nécropsie a décelé la présence de trois tumeurs méningées refoulant l'hémisphère cérébral droit
foulant l'hémisphère cérébral droit ; à gauche, il n'y avait pas de tumeur . Cette obser- vation est à joindre à quelques c
le est associée à d'autres signes rendant acceptable l'hypothèse de tumeur cérébrale, constitue un argu- ment de grande va
ait ana- logue : il s'agissait d'un cas d'hémiplégie causée par une tumeur de la dure-mère siégeant dans la région rolandi
ux que j'ai décrits (voir pp. 136-157) facilitent le diagnostic des tumeurs intéressant le cervelet. Quand ils sont unilaté
précises (voir p. I ( I ). Ces symptômes servent au diagnostic des tumeurs ponto-cérébel- leuses qui se manifestent aussi
ubles du vertige voltaïque que j'ai fait connaître (voir p. 167). TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL 133 Traitemen
traitement hydrargyrique peut exercer une action favorable sur des tumeurs non syphilitiques ; mais cette influence n'est
papillaire. Mais dans les cas de névrite optique consécutive à une tumeur , la ponction lombaire ne saurait guère être que
abinski et de Martel, j'estime, en effet, que dans nombre de cas de tumeur cérébrale, il faut être beaucoup plus réservé que
(Société de Neurologie, 3 juin igog), chez un malade atteint d'une tumeur de l'angle ponto-cérébelleux gauche, note que, lo
adococinésie du côté droit dans l'observation XII de son Traité des tumeurs cérébrales publié en 1907. La lésion occupait l'h
it. 11 l'a constatée encore, entre autres symptômes, dans un cas de tumeur occupant le vermis et l'hémisphère cérébelleux dr
it bilatérale, mais plus prononcée à droite. Après extraction de la tumeur , tous les troubles, y compris l'adiadococinésie
e, Bd. XIX, S. igi, 1908) notent ce trouble chez un malade atteint de tumeur cérébelleuse. Gierliclr( ! \'eurol. Centralbf
1908, p. 762) a noté le phénomène à gauche dans une observation de tumeur de l'hémisphère cérébelleux gauche. Flatau (Neu
9 10, p. 570) trouve de l'adiadococinésie à gauche, dans un cas de tumeur de l'angle ponto-cérébelleux gauche. Schwartz (
522) l'ont recherché soigneusement dans beaucoup d'observations de tumeurs et l'ont constaté dans un certain nombre d'entr
e d'entre elles. D'après eux, « il semble survenir également dans les tumeurs intra-cérébelleuses et extra-cérébelleuses ».
ostic qui avait été porté, on put constater, à la necropsie, qu une tumeur de la gros- seur d'un oeuf de poule s'était cre
nférieur droit chez un sujet à l'autopsie duquel on découvrit une tumeur remplissant l'espace compris, à droite, entre l
miasynergie et de l'hémitremblement à droite, trouve à l'autopsie une tumeur (tubercule) dans l'hémisphère cérébelleux droit
me de 23 ans qui avait subi un traumatisme crânien. Soupçonnant une tumeur intéressant principalement le vermis, ils firen
Stewart et IIolmes (Brain, XXVII, tgo4> p. 522) dans des cas de tumeurs unilatérales intracérébelleuses ont noté ceci :
te augmentation de résistance peut s'observer aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème cérébral et
entral et comptent parmi les manifestations objectives précoces des tumeurs ponto-cérébelleuses. Ils sont donc précieux pour
cromégalie, ni gigantisme. Il est déterminé le plus souvent par une tumeur de la région hypophysaire et ce sont les symptô
la Société de Neurolo- gie le 7 juin i goo, et qui a pour titre : « Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec ar
emps après le premier examen. La nécropsie décela l'existence d'une tumeur qui occupait la selle tur- cique, adhérait au c
'acromégalie, de gigantisme contraste avec l'existence d'une grosse tumeur du corps pituitaire ; mais, pour que ce fait fût
ble toutefois que l'idée d'une rela- tion de cause à effet entre la tumeur du corps pituitaire et l'infanti- lisme est trè
l'abaissement des yeux (Société de Neurologie, 7 juin igoo). 61. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
générales de Médecine, mars tgo). 136. Sur la rachicentèse dans les tumeurs cérébrales (Société de Neurologie, 2 mai 1907).
Journal de médecine et de chirurgie pratiques, 10 juin 1908). 151. Tumeur méningée unilatérale. Hémiplégie siégeant du même
umeur méningée unilatérale. Hémiplégie siégeant du même côté que la tumeur (en collaboration avec Clunet. Société de Neurolo
troubles trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de
. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal (Id., G mai igog). 16
juillet J (09)' INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 227 Il)4. Trépanation pour tumeur cérébrale. Ablation de la tumeur. Grande amé- l
APHIQUE 227 Il)4. Trépanation pour tumeur cérébrale. Ablation de la tumeur . Grande amé- lioration (en collaboration avec d
Barré. Id.). 173. Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs cérébrales (Leçon faite à la Pitié. Journal de
pression par la bande d'Esmarch (Société de Neurologie, Id.). 186. Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de l
. Paraplégie crurale par compression de la moelle. Extraction de la tumeur . Guérison (en collaboration avec Lecène et 1l0uri
al de Psychologie normale et pathologique, mars-avril igi2). 192. Tumeur méningée de la région dorsale supérieure, Paraplé
, Paraplégie crurale par compression de la moelle. Extraction de la tumeur . Guérison (en collaboration avec de Martel et J
......... 101 Sclérose en plaques loi 1 Compression de la moelle. Tumeurs intra-rachidiennes.......... 105 Localisation i
du bras (Interversion des deux modes de balancement du bras) 128 Tumeurs intra-cràniennes. OEdème cérébral 130 - Diagnos
24 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
a moelle dorsale (myélite partielle primitive ou liée au mal de Pott, tumeurs comprimant la moelle dorsale), les cordons pos-té
e de symptômes que reproduisent cer-taines lésions encéphaliques, les tumeurs , par exemple avec une telle similitude que le dia
e produit dans le nerf optique en conséquence de la né-vrite liée aux tumeurs cérébrales {névrite optique) et l'indura-tion gri
itent d'être relevées : Io a) La cécité, si commune dans les cas de tumeurs céré-brales, puisqu'elle se produit dans près de
, le pronostic est bien différent de ce qu'il est dans l'hypothèse de tumeurs cérébrales. S'il s'agit, en particu-lier, d'une l
exsudation sé-reuse. Cette forme serait liée surtout à l'existence de tumeurs intra-erâniennes. — Selon de Graefe, les symptô
gite, et que si elle s'associe parfois, d'une façon concomitante, aux tumeurs , c'est qu'alors il y a en même temps une méningit
avec atrophie du nerf. Ces lé-sions étaient liées à l'existence d'une tumeur sarcomateuse occupant le lobe occipital gauche du
n, on ne note aucune modification chromatique. la seconde avait une tumeur de l'un des lobes occipitaux du cerveau. Mais,
solument incertain. Il n'est pas douteux pour moi que certains cas de tumeurs cérébrales, sans nul doute fort exceptionnels, do
e, ne sont pas, d'ailleurs, un fait absolument exceptionnel en cas de tumeurs cérébrales. Ainsi, sur 233 cas, M. Ladame a menti
nté-rêt de la situation, que la titubation existait dans le cas de la tumeur , et que Deg..., l'ataxique, n'en présentait pas d
sur-le-champ. Il devenait évident que Ler... était sous le coup d'une tumeur cérébrale, et l'autopsie l'a vérifié ; quant à De
e du mal de Pott ; 2° dans la myélite aiguë ; 3° dans certains cas de tumeurs occupant primitivement la substance grise spinale
ses variées. — Importance de son étude. Causes de la compression. — Tumeurs de la moelle : gliôme, tubercule, sarcome, carcin
rcule, sarcome, carcinome, gomme, dilatation kystique de la moelle. Tumeurs primitivement développées dans les méninges : sar
différente. Ce sont, par exemple, des néoplasies inflammatoi-res, des tumeurs cancéreuses, sarcomateuses ou tuberculeu-ses, des
uses ou tuberculeu-ses, des productions syphilitiques, voire même des tumeurs parasitaires, etc. Au point de vue de la cliniq
usuelle. La carie vertébrale ou mal de Pott, le cancer vertébral, les tumeurs intra-rachi-diennes, peuvent être cités, en effet
dedans. En effet, le plus souvent, les néo-plasies qui composent les tumeurs se substituent lentement aux éléments nerveux plu
é, vous comprenez sans peine que les effets, dus à la présence de ces tumeurs , se traduisent né-cessairement, dès l'origine, pa
ur l'instant, et dont nous retrouverons l'application par la suite. Tumeurs intra-spinales. Nous nous bornerons, au sujet de
suite. Tumeurs intra-spinales. Nous nous bornerons, au sujet de ces tumeurs , à une brève énumération parce que, en somme, ell
lle sont surtout les organes où, jusqu'ici, on l'a rencontré. Toute tumeur , vous le savez, d'après la loi de Muller, à son p
ci la névroglie est le tissu normal aux dépens duquel se développe la tumeur dési-gnée sous le nom de gliôme et dont elle repr
, d'ailleurs, ils naissent de préférence. Les gliômes ne sont pas des tumeurs bien déli-mitées, énucléables ; ils se confondent
n conservant leur forme. Histologiquement, nous retrouvons dans ces tumeurs des caractères qui rappellent la sclérose, car el
de là des inondations sanguines, variables en étendue, au sein de la tumeur . Ces hémorragies pourront se révéler pendant la v
le tubercule solitaire qu'il est possible de considérer comme une des tumeurs intraspinales, les plus fréquentes. Il coïncide,
mme ou syphilome est aussi un produit morbide peu commun, en tant que tumeur intra-spinale. Il existe dans la science environ
ère néanmoins vous montrer, Messieurs, à propos d'un fait qui IV. Tumeurs primitivement développées dans les méninges. — Me
carcinome ne figure là que très accessoirement à titre, du moins, de tumeur pri-mitive. C'est sur la dure-mère et principalem
e et le sarcome médullaire ou à cellules rondes ; — 2° le psammome ou tumeur arénacée, qui mérite de nous arrêter s'est offe
ne lésion syphi-litique. e) Je ne veux pas abandonner le groupe des tumeurs intra-spinales sans signaler à votre attention la
ré-gion ; c'est le sarcome angiolithique de MM. Ranvier et Cornil. La tumeur se compose de petits amas calcaires arrondis ou m
es épider-miques. Le type physiologique est représenté par de petites tumeurs fort analogues qui existent, à l'état normal, à l
en, alors même qu'elles n'attei-gnent pas le volume d'un haricot, ces tumeurs , placées à l'étroit entre la dure-mère et la moel
nale lente, bien qu'il ne s'agisse plus, en pareille circonstance, de tumeurs dans l'acception rigoureuse du mot. Ce sont: t° l
me occuper cette région dans certains cas de cancer du sein; d'autres tumeurs , et en parti-culier le sarcome, les kystes hydati
is. Mais, en général, c'est une marche inverse que l'on observe : Des tumeurs de diverse nature, nées en dehors du rachis, dans
faite sur le modèle du réseau muqueux de la gélatine de Wharton. Ces tumeurs déterminent d'abord la compression des éléments d
après une observation ri-goureuse, en tant, au moins, que formant des tumeurs assez volumineuses pour comprimer la moelle. 2°
mère. La compression des nerfs peut se produire aussi dans les cas de tumeur ou de néoplasie inflammatoire ayant pris naissanc
, dans une de leurs phases, la compression de cet organe. Seules, les tumeurs développées primitivement dans les parties centra
insèques: pseudo-névralgies. — Des pseudo-névral-gies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal verté
ud, dans le courant des deux dernières années et relatives soit à des tumeurs , soit au mal de Pott, nous ont toujours montré, m
lenle de la moelle, soit qu'il s'agisse du mal de Pott, du cancer, de tumeurs de tout genre, ou même encore de tumeurs intra-sp
u mal de Pott, du cancer, de tumeurs de tout genre, ou même encore de tumeurs intra-spinales. Une question se présente ici :
e Pott et très vraisemblablement il en serait de même pour le cas des tumeurs s'il n'était de la nature de celles-ci de ne poin
très dignes d'attention que nous fourniraient : Io la présence d'une tumeur extra-ra-chidienne (anévrysme, tumeur hydalique)
niraient : Io la présence d'une tumeur extra-ra-chidienne (anévrysme, tumeur hydalique) ; 2° la constatation d une déformation
. Ils font défaut, en effet, c'est la règle, dans le cas où, soit des tumeurs , soit encore d'autres lésions se développent prim
drez aisément si vous voulez bien re-marquer qu'à un moment donné une tumeur extraspinale, quel qu'en soit le point de départ,
ons successivement dans les trois groupes principaux qui suivent : 1° Tumeurs intra-rachidiennes ; — 2° mal de Pott ; — traje
rritation, au moins dans les premiers temps. En ce qui concerne les tumeurs exlra-rachidiennes qui ten-dent à s'avancer vers
t des symptômes myélitiques proprement dits. Les nerfs voi-sins de la tumeur sont comprimés les premiers ou, pour mieux dire,
st, toutes choses égales d'ailleurs, d'autant plus circonscrit que la tumeur est moins volumineuse. La douleur, bien entendu
t moins volumineuse. La douleur, bien entendu, siège à droite si la tumeur est à droite ; elle siège à gauche si la tumeur e
siège à droite si la tumeur est à droite ; elle siège à gauche si la tumeur est à gauche ; elle est bilatérale — ce qui n'est
J'emprunte l'exemple qui va suivre à un auteur anglais, M. Ceyley La tumeur — un psammome — siégeait au niveau de la onzième v
cation dans ce fait que le dernier nerf intercostal que comprimait la tumeur , fournit des branches terminales se rendant au vo
iaque. 3° Dans un cas rapporté par M. Bartels2, il s'agissait d'une tumeur hydatique intra-rachidienne comprimant la moitié
sse être affecté de la même façon : cela dépend du lieu occupé par la tumeur . Peu importe, du reste, le siège 1 Ceyley. — Pa
les ne se présentent guère avec le même caractère que dans les cas de tumeurs extra-rachidiennes faisant effort avec la moelle,
avec la moelle, comme dans le cas par exemple d'un anévrysme ou d'une tumeur hydatique qui use les corps vertébraux et se met
ionné les anévrysmes aortiques et les kystes hy-datiques, lorsque ces tumeurs sont disposées de façon à com-primer et à irriter
ontraste avec ce qui a lieu dans les cas de myélites spontanées ou de tumeurs intra-spinales, dans lesquels ces lésions occupen
lier, lorsqu'il s'agit de la compression spinale occasion-née par une tumeur . Prenons le cas d'une tumeur méningée, comprima
mpression spinale occasion-née par une tumeur. Prenons le cas d'une tumeur méningée, comprimant vers la partie moyenne de la
reille circonstance. 1 Charcot. — Hémiparaplégie déterminée par une tumeur qui comprimait la Fig. 6 et 7. muscles abdomi
nière. In Archives de physiologie, t. II, p. 29, 1869, pl. XIII. — La tumeur appliquée sur la face antérieure de la région dor
terminée par un instrument tranchant, d'un foyer de myélite, ou d'une tumeur , peu importe, — aura pour effet de détruire un no
ra-spinale 1 ; dans le cinquième enfin, déjà mentionné plus haut, une tumeur , primitivement développée à la face interne de la
lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses mo-trices et tumeurs de la moelle, cause d'une troisième forme de la p
eu de chose près les mêmes effets 1 et l'on peut en dire autant d'une tumeur qui, primitivement développée vers le centre de l
difié. Quoi qu'il en soit, on pourrait citer quelques exemples où une tumeur intraspinale cervicale a déterminé dans les membr
ute son épaisseur, à la hau-teur de la première vertèbre dorsale. Une tumeur , du volume d'une noisette, était appendue à la fa
e symptôme s'est mon-tré très accentué dans un cas où il s'agit d'une tumeur intra-spinale (probablement un gliôme) qui occupe
es faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose
o-matologie de l'affection 4° Il existe aussi plusieurs exemples de tumeurs intraspi-nales (gliômes ou sarcomes), qui, dévelo
e, au niveau du renflement brachial, se présenter sous l'aspect d'une tumeur allongée, fusiforme, occupant une hauteur de 6 à
, en premier lieu, que des lé-sions grossières du bulbe telles qu'une tumeur , un gonflement diffus, pourront dans certaines ci
ques était entravée en conséquence de la compres-sion exercée par une tumeur du médiastin ; l'altération des noyaux d'origine
s variées. — Importance de son étude. Causes de la compression. — Tumeurs de la moelle : gliôme, tubercule, sarcome, carcin
frustes d'ataxie locomotrice.................................... 20 Tumeurs primitivement développées dans les méninges: sarc
insèques : pseudo-névralgies. — Des pseudo-névralgies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal verté
es faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose
les, 35. — Uréthrales, 35, 60. — Rectales, 35, 60. Dure-mère, 85. — Tumeurs de la —, 89. (V. Méninge.) Dysesthésie, 129, 31
pression, S3, 142 ; — Cu-rabiiité, 102. Médiastin (Dyspnée dans les tumeurs du), 476. Méninges spinales, 85. — Tumeurs des
iastin (Dyspnée dans les tumeurs du), 476. Méninges spinales, 85. — Tumeurs des — , 89. (V. Dure-mère.) Méningite de la bas
ffections élémentaires de la —, 294. — Hypertrophie de la —, 215, — Tumeurs de la — : Dilatation kystique, 89 ; — Gliomes, 87
. Tubercules quadrijumeaux, 368.(V. Moelle.)— Des vertèbres, 14s. Tumeurs cérébrales, 52, 55. (V. Mé-ninges, Moelle.) Tur
25 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
a gaine, et alors on trouve dans la partie antérieure de l'épaule une tumeur longue, fluctuante, de la¬quelle, quand on la pre
ablement hypertrophiées. (Voir la planche II). Aucune altération ni tumeur sous la langue. Les glandes sub¬linguales sont sa
'intéresser toute l'épaisseur de la peau, et, partant, de détruire la tumeur lorsqu'elle n'occupe que l'enveloppe tôgumentaire
iachylum......4 gram. Il applique une couche de cet emplâtre sur la tumeur , de ma¬nière à la recouvrir parfaitement et même
enian recommande un mélange formé d'une partie de tartre stibié si la tumeur est peu épaisse, de deux parties dans le cas cont
r mince ou sur un linge, taille un morceau ayant les dimensions de la tumeur et le laisse jusqu'à l'apparition des pus¬tules.
que celui-ci paraît conseiller l'emplâtre stibié seulement contre les tumeurs peu volumineuses, les taches surtout, celui-là le
lumineuses, les taches surtout, celui-là le préconise même contre les tumeurs assez volu¬mineuses. F.a Rédaction. BIBLIOGRA
e du docteur filiaux. La chute successive de divers fragments de la tumeur , depuis la sortie du malade de Saint-Louis jusqu'
r la li¬mite de l'induration caractéristique et, partant, celle de la tumeur épithéliale, sur une certaine partie des tissus v
La photographie (planche IV) donne une idée exacte de l'aspect de la tumeur et de son volume; elle montre la disposition en c
il y a une hernie inguinale gauche. Aujourd'hui 25 janvier 1870; la tumeur est d'un tiers plus volu-^ mineuse qu'elle ne l
é droite de cette surface, plus large que la moitié gauche, offre une tumeur rouge noirâtre, d'une consistance médiocre, ayant
aux) a pu obser¬ver à l'ophtlialmoscope un anévrysme de la rétine; la tumeur offrait des battements très-appréciables. (Annale
e, il serait peu commode de formuler un diagnostic différentiel d'une tumeur du sein ou de l'utérus avec les courtes données d
t ans, apparut, à la face externe du maxillaire inférieur, une petite tumeur adhérente à l'os et s'insérant au niveau de Tavan
r : il n'y avait pas non plus de douleurs spontanées. Cependant, la tumeur , continuant à se développer, soulevait la joue dé
nt sanguin; la coupe du tissu était blanchâtre. Deux mois après, la tumeur se développait à nouveau, et, au 2e année. 3
enlève, à l'aide du bistouri et des ci¬seaux, les trois quarts de la tumeur . La difficulté à sectionner était plus grande que
fait pratiquer deux fois encore l'excision partielle, chaque fois la tumeur ayant acquis le volume d'une petite pomme. De 1
5 à 1868, quatre excisions partielles. Lors de la dernière (1868), la tumeur arrivait au niveau de l'arcade dentaire inférieur
che VII). Si l'on écarte les lèvres, on découvre dans la bouche une tumeur de couleur rosée et de consistance comme cartilag
avons décrite ci-dessus. Le doigt, glissant entre la surface de la tumeur et la joue, cir¬conscrit une masse hémisphérique
inci que le doigt peut con¬tourner pour arriver sur le pédicule. La tumeur déborde au dedans de l'arcade dentaire inférieure
eur est déformé en ce que la.partie correspon¬dante au pédicule de la tumeur est reportée en dedans, comme s'il y avait eu fra
isâtres; mais elles ne se¬raient ainsi que depuis la production de la tumeur ; auparavant il n'avait jamais eu de dents malades
la tumeur; auparavant il n'avait jamais eu de dents malades. Cette tumeur est complètement indolore et ne gêne que par son
car¬ ter les deux lèvres de l'incision pour dénuder complètement la tumeur . Le maxillaire est séparé des parties molles qu
entre la deuxième grosse molaire gauche et l'angle de la mâchoire, la tumeur offre en quelque sorte, avons-nous dit, la forme
isibles à l'œil nu, et n'occupent pas tout à fait la périphérie de la tumeur ; immédiate¬ment au-dessous, le tissu présente les
pe pratiquée selon l'axe longitudinal du maxillaire, et comprenant la tumeur et l'os, on voit : Au niveau de la canine gauch
r brusquement et être remplacé dans toute l'étendue du pédicule de la tumeur , c'est-à-dire jusqu'à la branche montante, par un
e le maxillaire qu'elle remplace. C'est à ce niveau que s'implante la tumeur . Celle-ci est constituée par un tissu de colora
coupe, les orifices béants de quelques vaisseaux. La périphérie de la tumeur ne présente pas de lacs osseux; elle donne la con
e face venir, ainsi que le périoste, se continuer avec le tis^u de la tumeur , dont il est impossible de la distinguer. Le 8
roduisons. Observation 11. ODONTALGIE. - EXTRACTION D'UNE DENT. - TUMEUR CONSÉCUTIVE (POLÏFE?) (Voy. pl. VIII.) Le nom
ès cette petite opération, il s'éleva du fond de l'alvéole une petite tumeur qui avait à peu près le volume d'une très-petile
de la cavité et s'éle¬vait en forme pyramidale. Depuis ce moment, la tumeur augmenta considérablement de volume. Au bout de q
tacle, elle prit une extension considérable. Bientôt, elle forma deux tumeurs distinctes, dont l'une occupait l'espace compris
les trois quarts de la cavité buccale. Voici quel est l'état de la tumeur à l'instant où je la décris : la joue gauche prés
ureuse ; la commissure gauche est tellement pressée, comprimée par la tumeur qui cherche à s'étendre au dehors, qu'elle offre
nviron un pouce, et laissent apercevoir entre elles une portion de la tumeur ; une masse charnue, fongueuse, remplit les deux t
dérables, que les jours du malade en sont en dan¬ger. Si l'on suit la tumeur jusqu'à sa terminaison, on voit qu'elle se porte
t a suivi, dans les deux cas, une marche com¬plètement identique : la tumeur , localisée pendant un certain temps à l'espace co
e renversée et refoulée dans l'espace resté libre du côté opposé à la tumeur . Dans les deux cas aussi les lèvres sont maintenu
Alibert ne dit pas combien de temps mit, pour se développer ainsi, la tumeur dont il rapporte l'histoire. D'après son observat
s d'ossification. Il nous est impossible de désigner la na¬ture de la tumeur du malade d'Alibei t ; son observation ne fournit
uent à l'anus depuis un an ; mais il a, dans cette région, une petite tumeur hémorrhoïdale qui peut l'expliquer. Exeat le 22
ntractilité. Signalons encore une note sur un sujet peu étudié, les tumeurs dermoïdes du crâne, par M. Giraldès; une Étude de
ndre l'image exacte de tous les signes empruntés à l'état de la peau ( tumeurs , difformités, hernies, cicatrices, tatouage) ; el
anifestes d'une syphilis invétérée. Dans la première observation, des tumeurs et des exostoses ; dans la deuxième, des tumeurs
ère observation, des tumeurs et des exostoses ; dans la deuxième, des tumeurs gommeuses et une cicatrice d'une couleur spécifiq
sième observation), puis toutes les formes de la syphilis tertiaire : tumeurs gommeu¬ses, exostoses, syphilides profondes. D'un
r du poignet. Pen¬dant cinq ou six mois il porta sur cette région une tumeur qui ne s'accompagna ni de fièvre, ni de douleur,
aissie, résistante, peu souple. Si l'on applique le doigt sur cette tumeur on voit qu'au lieu d'ê¬tre dure et élastique elle
ger écoulement sanguin dû à la déchirure de petits vaisseaux. Celle tumeur n'offre que fort rarement delà douleur. Celle-ci,
fausses côtes ; mais, par la palpation, on ne découvre ni saillie, ni tumeur anormale à sa surface. La percussion de la rate m
située au-dessous de l'apophyse épineuse de l'omoplate, où existe une tumeur du volume d'une orange. Il est difficile de recon
mme, chez laquelle pendant la vie on avait constaté l'existence d'une tumeur siégeant au niveau de l'hypochondre droit, tumeur
é l'existence d'une tumeur siégeant au niveau de l'hypochondre droit, tumeur saillante, dou¬loureuse à la pression, et qui, pa
e surprise en découvrant la malade, de constater l'affaissement de la tumeur et la disparition du kyste ! Le ventre offrait l'
....... 271/2 — 29 — Circonférence immédiatement au-dessous de la tumeur (partie supérieure du tibia)......27 — 25 — " D
......27 — 25 — " Du côté droit, la rotule se trouve en avant de la tumeur ; elle est très-mobile. Une distance de 4 centimè
is ils s'accompagnent de craquements nombreux. " Du côté gauche, la tumeur est un peu moins volumineuse ; l'ar¬ticulation re
usement, sont relatés beaucoup trop brièvement. Observation XVII. — Tumeur fongueuse du mollet. — Extirpation. — Accidents t
cation. Il s'agit d'un jeune homme auquel M. Demarquay a enlevé une tumeur fongueuse développée dans la partie profonde du m
26 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est due uniquement à une lésion cérébelleuse, irritative (sclérose, tumeur , abcès). Dans notre cas, elle semblait due en p
succédé depuis Bird ; d'ailleurs, nous n'insisterons pas sur cette tumeur qui paraît être plutôt un trouble de circulation2
examen détaillé. A l'autopsie, on trouva sur la base cérébrale une tumeur de la grandeur d'un oeuf de poule, qui occupait t
le long de- l'artère basilaire. Dans la partie postérieure de la tumeur entrent les deux artères vertébrales et de sa par
partie anté- neutre sorte les artères cérébrales postérieures'. La tumeur a l'aspect d'une châtaigne dont la base est tou
le nerf adducteur, sont atrophiés et compressés. Sur la coupe cette tumeur présente un sac à grosses parois, rempli de cai
rut dans un mois après un état comateux. A l'autopsie on trouva une tumeur qui sortait de la paroi de l'artère carotide in
lobe temporal, qui présentait une lamelle très fine, recouvrant la tumeur comme d'une écorce. La coupe de cette tumeur of
ès fine, recouvrant la tumeur comme d'une écorce. La coupe de cette tumeur offrait un sac à parois minces rempli de caillo
ne pouvons les passer en revue ici, ce sont tous les symptômes des tumeurs cérébrales. Nous dirons seulement un mot de l
aut lui attribuer la congestion signalée autour des gommes et des tumeurs cérébrales en général. Nous serions même disposé,
i à une intoxication le ramollissement qui a été observé autour des tumeurs cérébrales (Bouveret 1), que nous avons retrouv
l'obli- tération des petits vaisseaux comprimés ou envahis par la tumeur ». Mais plus loin il ajoute : a La lésion est par
-être quelquefos d'une infection) por- tant son action autour d'une tumeur , d'un abcès ou d'une gomme. Au point de vite an
rtel, dernier terme de notre série, n'est pas exceptionnel dans les tumeurs gommeuses du cerveau. Gamcl 1 en a rap- porté p
opique peut apporter des notions importantes pour le diagnostic des tumeurs gommeuses du cerveau. Nous avons vu que dans la
yons que l'oedème de la papille se rencontre surtout dans le cas de tumeurs gommeuses, la névrite optique surtout dans la s
'établirons pas de types cliniques : ce serait faire l'histoire des tumeurs cérébrales, dont les gommes peuvent reproduire
vent reproduire tous les symptômes. L'évolution est aussi celle des tumeurs cérébrales; sa carac- téristique est de se fair
la symptomatologie des gommes du cerveau est entièrement celle des tumeurs cérébrales. Dans la syphilis artérielle et méni
a syphilis gommeuse, au contraire, on pose d'abord le diagnostic de tumeur cérébrale; ce n'est que par la con- naissance d
u'à l'intervention chirurgicale, le diagnostic restait simplement tumeur cérébrale, sans que nous ayons pu en préciser la
stifie ce que nous avons dit plus haut. La gomme évolue comme toute tumeur cérébrale. Nous nous sommes efforcé dans cette
ou la ventrofixation. L'hysté- rectomie était indiquée dans 12 cas ( tumeurs fibreuses, chute de l'utérus, carcinome) 7 fure
ations d'aliénées opérées, d'endométrite, de kystes de l'ovaire, de tumeur interne, etc. Sur ces 34 cas 11 malades recouvr
aves (goitre plon- geant) commanderont une extirpation rapide de la tumeur . » L'opération préconisée par M. Jonnesco agira
A l'autopsie on trouve à l'intérieur de la colonne vertébrale une tumeur sarcomateuse, ayant pour point de départ, selon t
lon toute vrai- semblance, les méninges spinales (endothéliome). La tumeur a détruit la partie inférieure de la moelle épi
le, après avoir détruit la dure-mère et l'appareil ligamentaire. La tumeur est très riche en vaisseaux, en partie oblitéré
tion hyaline et athéromateuse. Au niveau de la 9° racine dorsale la tumeur se dédouble et se dirige en haut dans deux dire
en haut dans deux directions distinctes. La masse principale de la tumeur s'en va dans l'espace subdurale, de façon à étr
voisinage de la décussation des pyra- mides. Une autre partie de la tumeur s'enfonce directement dans la partie centrale d
d'un tissu connectif. Au niveau de la région dorsale supérieure, la tumeur ) centrale et la cavité se séparent l'une de l'
e en outre une autre cavité, n'ayant aucun rapport apparent avec la tumeur , localisée dans la partie centrale de la région
s la pie-mère du cerveau et du cervelet de petites métastases de la tumeur sarcomateuse. Pas d'autres métastases dans les
on, dégénération hyaline et athéromateuse) et 2° la façon dont la tumeur se comporte vis-à-vis de la substance médullaire
son que la cavité inférieure n'est pas due à la désagrégation de la tumeur , mais qu'elle a existé avant l'irruption dans s
coïnci- dence fortuite, d'autant plus que l'existence simultanée de tumeurs et de cavités dans la moelle a été, à maintes r
la moelle a été, à maintes reprises, notée dans la littérature. La tumeur ayant évolué dans les méninges et dans la subst
cas où ii s'agit d'une compression médullaire, occasionnée par des tumeurs ou par d'autres facteurs agissant dans le même
rose complète. Des épanchements sanguins, des abcès du cerveau, des tumeurs à localisation bien nette, peuvent entraîner de
matisme crânien, ou au cours d'une affection cérébrale telle qu'une tumeur , le diagnostic peut offrir les plus grandes dif
rgicale est rendue néces- saire. L'examen histologique de la petite tumeur montre que c'est un fibrome pur n'englobant pas
'asile avec un hématome double et volumineux de l'oreille. Les deux tumeurs furent incisées, vidées et l'on fitdes irri- ga
substratum thérapique de la neurothérapie. Dr F. ViLLARB. Il. Les tumeurs cérébrales ; par le Dr Maurice AuvRAY. In-8°. P
Paris, 1896, J.-B. Baillière et fils, éditeurs. Le traitement des tumeurs cérébrales qui, avant ces dix der- nières année
t ces deux facteurs réunis qui ont fait entrer le traitement de ces tumeurs dans une voie nouvelle, appelée à devenir de pl
agnostic de localisation joue un rôle capital dans la chirurgie des tumeurs cérébrales. Il y a dans cette voie de nom- breu
. Séance du 30 janvier 1898. Dr G. PA1HYT&oEF. -Sur un cas de tumeur siégeant à la limite de la partie cervicale et
10 les symptômes radiculaires font souvent défaut dans les cas de tumeurs médullaires, ce qui rend le diagnostic plus diffi
8. ? 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. DIAGNOSTIC DU SIÈGE PAR LES LOCAL
Par MM. ROUX et PAVIOT (de Lyon). Les cas complètement observés de tumeur de la moelle ne sont pas si fréquents qu'il n'y
ion de la sensibilité ; enfin au point de vue histologique, cette tumeur nous a paru intéressante par sa structure assez p
omènes pupillaires. Mort de pneumonie. Autopsie. Macroscopiquemenl. Tumeur s' étendant sur la partie latérale gauche de la
icales antérieures gauches. La première z émerge du sein même de la tumeur ; deuxième dor- sale légèrement atteinte. Les ra
térieures ou postérieures du coté droit ne sontpas atteintes par la tumeur . Microscopiquement. Neuro-gliome né dans la moi
nes et sur la queue de cheval. Pas de processus cavilaire dans la tumeur . Ii. E..., cordonnier, âgé de quarante-cinq ans
ne manifestation cutanée ou muqueuse; sa femme n'a jamais UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 435 eu de fausse couche. Il n'est
ur le scrotum, les piqûres sont seules parfois senties. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 437 Le malade est incapable de se
dorsales à droite, entre les septième et huitième cervi- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 439 cales à gauche. Il est vrai q
E. ,rieures correspondantes, mais sans les dévier notablement. La tumeur ne dépasse pas latéralement le sillon collatéral
eurs, sur une étendue de quatre à cinq centimètres, au niveau de la tumeur , existent des adhérences assez solides entre la
oelle et que l'on sectionne la dure-mère sur sa face antérieure, la tumeur occupe une étendue verticale plus urande et se
es sont très déviées, décrivant un arc de cercle pour contourner la tumeur ; celle-ci, à ce niveau, dépasse à peine le sill
hiées. La première dor- sale antérieure gauche émerge du sein de la tumeur elle-même; à ce niveau, celle-ci s'étend jusqu'
r émergence. La deuxième dorsale est encore un peu englobée dans la tumeur . Cette masse, d'aspect néoplasique, est rosée,
raissent soulevés, décollés, non adhérents à la moelle, comme si la tumeur était pédiculée. Au-dessous de cette tumeur, la
a moelle, comme si la tumeur était pédiculée. Au-dessous de cette tumeur , la moelle parait saine ; il n'y a plus d'adhér
grain de chè- nevis, et dont l'aspect, la coloration rappellent la tumeur ptinci- pale. En résumé, on a l'impression d'
ellent la tumeur ptinci- pale. En résumé, on a l'impression d'une tumeur dont le point de départ a été la région cervico
ue mal ce qui reste de la moelle au point maximum d'épaisseur de la tumeur ; mais le tronc médullaire parait complètement e
r; mais le tronc médullaire parait complètement englobé tant par la tumeur que par la pie-mère cancéreuse, il garde cepend
ression à l'autopsie fut donc que l'on avait affaire à un UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 441 gliome de la moelle, asez mal
de I à IV de haut en bas. Fut aussi placée dans l'alcool une petite tumeur du volume d'un pois, appendue à la pie-mère ent
au niveau des onzième et douzième dorsales; mais extérieurement la tumeur continue à déformer la moelle jusqu'à un niveau
e les coupes histologiques pratiquées aux diverses hauleurs dans la tumeur ; cela nous exposeiait de plus à des redites inu
à des redites inutiles; nous allons donc simplement topographier la tumeur , tant dans la moelle que hors de la moelle, en
étisant les résultats que nous ont donnés nos coupes. En effet , la tumeur a une portion intramédullaire de hauteur minime
es les hauteurs de la cinquième cervicale à la première dorsale, la tumeur offre une portion intra- médullaire et une port
-dessus de la septième cervicale, il y a toujours une portion de la tumeur médullaire séparée par une bande subsistante de
est de la dernière facilité de recon- naître ce qui appartient à la tumeur et ce qui subsiste de la moelle. On peut très
me dor- sale sûrement; mais, au niveau de la septième cervicale, la tumeur a rapidement gagné la périphérie de la moelle,
bien pu inter- venir pour faire que l'extension pie-mérienne de la tumeur soit plus accentuée en bas qu'en haut et que le
supérieure de sa moelle. Jusqu'au niveau de la deuxième dorsale, la tumeur déforme la moelle, y creusant une forte dépress
elle, y creusant une forte dépression ; dans toute la hauteur de la tumeur , le fuseau constitué par celle-ci et la moelle s'
a moitié droite un peu à droite et en avant. A certains niveaux, la tumeur a bourgeonné dans les gaines pie- mériennes des
édiatement notre embanas. Nous nous sommes trouvé en présence d'une tumeur qu'il est évidemment très rarement donné d'obse
veau auquel clln s ont poilé). - p, i, portion cWra-médull,;ire de la tumeur , -p, e. portion cvra-médullairc ; 1. i, ligne e
; 1. i, ligne en Nue en perslectne, représentant les limites de la tumeur sur la face antérieure de la moelle ; - 2, `3, li
la moelle ; - 2, `3, ligue en -1- + (représentant les limites de la tumeur sur la face postérieure. 444 ANATOMIE PATHOLOGI
ation, les résul- tats sont très sensiblement différents. Dans la tumeur principale et dans ses généralisations à la pie-
, les cellules néoplasiques du centre de la moelle, au niveau de la tumeur , et celles de la portion bourgeon- nante hors d
s grains néoplasiques appendus à la queue de cheval ou cette petite tumeur végétante sur la pic- mère, entre la huitième e
orsale, on est forcé de reconnaître là des caractères spéciaux à la tumeur . En premier lieu, elle se lobule finement; chaq
A la périphérie des lobules les cellules et leurs noyaux UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 44S surtout sont encore visibles,
ons pas retrouvé cet aspect du néoplasme même dans la portion où la tumeur a acquis le plus de volume. Nwro-liozne, dirion
n'y sont plus reconnaissables. Dans les points très éloignés de la tumeur elle-même, au niveau de la troisième cervicale,
sur laquelle nous avons insisté tout à l'heure. Les coupes où la tumeur a une portion centrale, c'est la place de la co
erons pour terminer que l'étude des dégénérescences au-dessus de la tumeur (au niveau de la deuxième cervicale) par la mét
au de Gowers, seuls offrent des fibres dégénérées. Au-dessous de la tumeur (au niveau de la quatrième racine dorsale) sauf
c). En remontant, dans les membres supérieurs nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 447 1 vions des signes très nets
ires : les cinquième et sixième cervicales étaient atteintes par la tumeur . Cela n'infirme nullement pour cela les connais
té delà compression, résultant du développement très rapide de la tumeur . Le diagnostic de nature de la lésion pouvait-i
e de Raymond '. La localisation initiale au sein de la moelle de la tumeur nous enlève tout regret à ce sujet. Notre obser
et les piqûres cutanées, les ' Raymond. Contribution u l'élude des tumeurs névrooliques de ta moelle. (Arch. Neur., 1893,
ues de ta moelle. (Arch. Neur., 1893, t. XXVII, p. 97.) UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 4 lt9 sensations thermiques n'éta
en effet, s'expliquer que par une action dynamogénique. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 451 côté opposé à la section, c'e
t le centre dilatateur des pupilles au niveau delà partie UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 458 inférieure de la moelle cervi
Loc. cil. 1 liribsnud. Presse médicale, 1896, p. 17. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les troubles de la sensibilit
s ferons remar- quer que nous n'avons observé, en aucun point de la tumeur , quelle que soit la hauteur à laquelle nos coup
uelle nos coupes aient porté, d'excavations, ni même de zones où la tumeur parût dégé- nérer ou se ramollir ; elle est par
es grains offraient une structure tout fait semblable à celle de la tumeur , il y en avait d'autres prenant, partiellement
si les voies lymphatiques ont été suivies par ces métastases de la tumeur , du moins la pesanteur semble avoir influence à
partie cellulaires et tout à fait semblable histologiquement à la tumeur primitive, partie fibrillaires ; de même dans un
lulaire. Nous n'avons manifestement là qu'une généralisation de la tumeur , sur les racines, avec cette prédilection qu'ont-
de la tumeur, sur les racines, avec cette prédilection qu'ont- les tumeurs nerveuses dans leurs métastases de rechercher le
fibrillation qui apparaît dans certains noyaux métastaliques de la tumeur ? Quelle peut être la signification de cette tr
omme fibrillées, n'a pas simplement mis en vue la charpente de la tumeur qui ailleurs ne nous apparaît pas à cause de l'ab
aux qui en imposent pour des mal- formations, des hétérotopies, des tumeurs . Ces produits artificiels sont très connus dans
ire une odeur olfactive, précédait l'accès convulsif; on trouva une tumeur du lobe temporo- sphénoïdal. Hughlings-Jackson
nt d'une autre cause, saute aux yeux ». Viennent ensuite toutes les tumeurs corticales situées dans la zone motrice, les ci
Faisceau spécial de la zone laté- rale de la -, par BrLice, 403. Tumeur de la -, par Pribytkofi, 421. Compression de la
aiicotte, 323. Tuberculeuses. Névroses. -, par Escti(lei,, 231. Tumeurs cérébrales et épilepsie lachsonienne, par Abram
27 (1911) La pratique neurologique
iège central ou périphérique, leur na- ture (syphilis, tuberculose, tumeur , traumatisme) sont susceptibles, de produire à
eil circulatoire ma- lade (vaisseaux, coeur) ; examen des urines. Tumeur . Céphalée, hébétude; néoplasie ailleurs; ponction
. Céphalée, hébétude; néoplasie ailleurs; ponction lom- baire (Voir Tumeurs cérébrales, p. 120). Abcès. Examen de l'oreille
l'hémianopsie a pour cause une hémorragie, un ramol- lissement, une tumeur cérébrale, c'est une première étape dans le dia-
cause première de l'hémorragie, du ramollissement, la nature de la tumeur . Certaines hémorragies peuvent être produites p
sements ont les mêmes causes car- daiques ou vasculaires. Certaines tumeurs sont des néoplasmes. Mais aussi, beaucoup de ce
à de gros tubercules, qui provoquent les symptômes cliniques de la tumeur cérébrale; elle peut aussi produire des lésions d
ilitiques, lésions nodulaires qui se comportent comme de véritables tumeurs ; elle détermine des hémor- ragies, du ramolliss
rbite par projectile, instrument piquant, etc. Compression. Par une tumeur , un anevrysmc dans l'orbite. Dou- leurs quelque
leurs quelquefois, exophlahnie unilatérale, paralysies dissociées. Tumeurs cérébrales (base). La tuberculose et la syphilis
2 TROUBLES XHRVEUX DE L'APPAREIL- OCULAIRE. voies intra-céréhrales. Tumeurs du 4° ventricule. Polioencéphalile supérieure.
taines angines phlegmoneuses, dans les adénopathics cervicales, les tumeurs du médiastin, le goitre, les affections bronchi
s, des fibres élévatrices de la paupière. Cependant, dans un cas de tumeur , située à l'intérieur du lobe temporo-sphénoïdal,
agmus de 1'I1l"rédo-ataxie cérébelleuse est tout à fait analogue. Tumeurs du cervelet (gliomes, sarcomes) : Il s'accompagne
l'orbite développée dans la paroi osseuse ou venant des sinus, une tumeur de l'orbite, une adénite de la glande lacrymale
même temps. Elle peut résulter d'une lésion bntbo-protnberantiette ( tumeur , ramollissement), atteignant les origines du ne
technique de, explo- ration du champ visuel (p. 7 et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Trou
u champ visuel (p. 7 et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculaires daxs les tumeurs
ÉBRALES. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculaires daxs les tumeurs cérébrales. Il est très fréquent de constater d
enne de neoformations variées qu'on désigne sous le nom commun de « tumeurs cérébrales ». . Ces troubles oculaires ont, dan
ébrales ». . Ces troubles oculaires ont, dans la sl'lI1éiologie des tumeurs céré- brales, une importance considérable. Le p
vec eux qu'on fait le diagnostic de l'existence et du siège de la « tumeur céré- Orale » . De ces troubles oculaires, le
De ces troubles oculaires, les uns paraissent communs à toutes les tumeurs cérébrales, quel que soit leur siège dans i'cncep
iables suivant le siège de la lésion. Troubles communs à toutes les tumeurs cérébrales. Obnubilations passagères. Très souv
Lésions du nerf optique. Les lésions du nerf optique au cours d'une tumeur cérébrale sont si fréquentes qu'elles constituent
importants symptômes. Chaque fois qu'on soupçonne l'existence d'une tumeur intracranienne, il faut explorer le nerf optique.
d'intensité. Névrite oprinE. Le volume, le siège et la nature de la tumeur ne sont certainement, pas sans exercer une infl
développement de la névrite. Mais les relations entre les diverses tumeurs et les névrites auxquelles elles donnent, lieu
s : Une papillite à divers degrés d'intensité. Cepcn dant, dans les tumeurs cérébrales, la papillite intense est de règle;
e papillaire, possèdent une réelle importance pour le diagnostic de tumeur cérébrale, la valeur séméiologique de la papillit
importance symptomatique tient à sa très grande fréquence dans les tumeurs intra- cranieuncs et à sa rareté en dehors d'el
alo-rachidien sécrété, lypcrsécrété, pendant le développement de la tumeur intracrànienne (néoplasme, gomme syphilitique, tu
lemment sous l'action du toxique, et donne la papillite intense des tumeurs cérébrales. Atrophie optique. Elle peut résulte
ompression au niveau du chiasma ou il l'origine des nerfs optiques ( tumeur de l'hypophyse, etc.). Il se produit, au niveau
tés, reconnaître si une papillile accentuée a précédé l'atrophie. TUMEURS CÉRÉBRALES.- 123 Saillie des yeux. Cette sailli
ie des yeux se produit à une période avancée dans l'évolution de la tumeur . Troubles variables suivant le siège (syndromes
(syndromes). A côté de ces troubles oculaires communs à toutes les tumeurs céré- brales, il en est de variables avec le si
es tumeurs céré- brales, il en est de variables avec le siège de la tumeur dans l'encé- phale. Ces variations ont été ét
me contente donc de les présenter résumées sous forme de tableau. Tumeurs corticales. Iléniianopsic à caractères spéciaux (
té verbale et surdité verbale (p. 52); Cécité verbale pure dans les tumeurs sous-corticales (p. 55); Cécité psychique (perte
cité psychique (perte de la mémoire visuelle des choses) (p. 55). Tumeurs cérébrales centrales sous-corticales. IIemianopsi
anopsie à caractères spéciaux (p. 55); Mêmes symptômes que pour les tumeurs corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec
péciaux (p. 55); Mêmes symptômes que pour les tumeurs corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec lésion des ganglions ce
l)uadrijull1eau antérieur, couche optique) peuvent être altérées. Tumeurs de' la base. llemianopsies variables suivant que
15); Compressions vasculaires; Thrombose des veines ophtalmiques. Tumeurs du cervelet. Nystagmus (p. 109). Le nystagmus s'e
les, lésions des pédoncules cérébel- leux, du 4e ventricule, etc. Tumeurs de la protubérance. Syndrome de Millard Gubler. S
drome de Millard Gubler. Syn- drome modifié type Foville (p. 70). Tumeurs des pédoncules. Syndrome de Weber. Syndrome modif
rouve souvent dans les viscères par suite d'apoplexie cérébrale. 4° Tumeurs cérébrales. Les troubles auditifs sont fréquents
° Tumeurs cérébrales. Les troubles auditifs sont fréquents dans les tumeurs cérébrales. Ils peuvent prendre la valeur d'un si
prendre la valeur d'un signe de localisation, par exemple dans les tumeurs de l'angle ponto-cérébel- feux, qui sont d'aill
'irritation déterminée par des produits toxi- ques sécrétés par les tumeurs . Enfin on a aussi invoqué une véritable papilli
dans les. affections llltl'a-Cl't111e1111eS, les méningites et lés tumeurs (Gradenigo). L'hyperexcitabilité galvanique ser
associée à la surdité et au vertige. Nous avons vu déjà Faction des tumeurs cérébrales sur 1<' ]](,l'l'at'OIIS- tique el
abyrinthe. Sans revenir sur ce point, il va lieu d'indiquer ici les tumeurs du nerf auditif lui-même : Lebert, 1'irc'IIw les
bert, 1'irc'IIw les ont consi- dérées comme les plus fréquentes des tumeurs atteignant les nerfs crâ- niens. Il y a peu de
sur 44 cas où il y eut intervention. Ce qui fait l'intérêt de. ces tumeurs , en effet, ces) qu'on peut les dia- gnostiqll('
(,latiYl'II)('nl fat'ill'. Ll'III' sy)upto)nato ! ogieest celle des tumeurs de l'angle pfJl1to-red']H'lIl'IIX : aux symptôm
eurs de l'angle pfJl1to-red']H'lIl'IIX : aux symptômes généraux des tumeurs et aux signes de compression MALADIES DU NERF A
ires. L'unilatéralité des symptômes est un argument en faveur de la tumeur du nerf, bien que les tumeurs du. cervelet s'exté
ptômes est un argument en faveur de la tumeur du nerf, bien que les tumeurs du. cervelet s'extériorisant en avant et en bas
oubliera pas que l'intervention est ici particulièrement grave. Les tumeurs osseuses de la base du crâne, les traumatismes pe
de la cloison, une hyper- trophie de la muqueuse, un polype ou une tumeur , un corps étranger, etc., ou plus simplement un
uisant' les filets nerveux, dans les exostoses, les méningites, les tumeurs cérébrales, les abcès, l'hydropisie ventriculairc
L'insensibilité de la partie interne de la joue s'observe dans les tumeurs du sinus maxillaire, etc. Les complications orb
ns des sinus. En dehors de la propagation, des inflammations et des tumeurs à l'orbite, aux membranes et aux milieux de l'o
on de pression du liquide céphalo- rachidien sY11lptomatiqlle d'une tumeur cérébrale (2). On voit quelles intéressantes in
u méningé, explique aussi certains vertiges des ménin- gites et des tumeurs cérébrales. Les modifications de la pression sa
(maladies infectieuses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques, tumeurs cérébrales, syphilis, etc.), qui éclairciront l
ans les lésions du cervelet et du cerveau.- La presque totalité des tumeurs du cervelet s'accompagnent de ver- liges chroni
du sens de l'espace expliquent celle fréquence du vertige dans les tumeurs cérébelleuses, plus sans doute que l'éiroitesse
e il parois inextensibles, osseuses et fibreuses, dans laquelle ces tumeurs peuvent évoluer (ttitxig) ; certaines tumeurs cir
es, dans laquelle ces tumeurs peuvent évoluer (ttitxig) ; certaines tumeurs ciré- helleuses, celles du vermis notamment, po
leuse les vertiges chroniques et les troubles de l'équilibre. Les tumeurs du cerveau provoquent moins fréquemment, le ver-
on ou d'oedeme cérébral et méninge. On admet géné- ralement que ces tumeurs déterminent le vertigo soit par stase, soit par
ces derniers cas pourtant on peut aussi incriminer, comme pour les tumeurs , la stase on l'anémie cérébrale. Les vertiges d
èvement la méningite en plaques et le tuberculome des méninges, les tumeurs et les abcès du cerveau. Le diagnostic est diff
t d'ajouter que le diagnostic peut rester en suspens, l'urémie, les tumeurs cérébrales, les méningites, un hématome pouvant d
nolence; aboutit enfin aun coma profond ». ' Le sommeil, dans les tumeurs cérébrales, peut se présenter sous deux formes.
ogressif chez un malade présentant par ailleurs divers symptômes de tumeur encéphalique. Il peut au contraire être brusque,
ans des affections méningées du bulbe ou dans des compressions 1par tumeurs . Mais, nous y insistons il dessein, le syndrome
ues dans l'étal crépusculaire qui suit la crise (A. Pick), dans les tumeurs cérébrales (l3rissaucl).. - Les fautes de gra
axie en effet, a été observée dans les lésions cérébrales en foyer, tumeurs , hémorrhagies, ramollissements, hémiplégies avec
ns les auto-intoxications (urémie, dia- bète), dans certains cas de tumeur cérébrale. ' 11 faut distinguer aussi la démenc
te par une lésion unilatérale en foyer (hémorragie, ramollissement, tumeur , plaque méningée, compression) ou par un trauma
canal vertébral, par luxation ou fracture du rachis), ou spontanée ( tumeurs , syphilis ou tuberculose des os, des méninges,
LITÉ OBJECTIVE. 527 il devra-.^opérer dans les interventions pour tumeurs ou compressions traumatiques. Mais il est impor
les, les traumatismes de la région ; non traumaliques : ce sont les tumeurs de la région, les exostoses, les anévrismes, les
rale lombaire et sacrée, soit encore plus fréquemment à la suite de tumeurs du canal lombo-sacré. Habituellement dans les c
e de la compression, même dans les cas à évolution lente, comme les tumeurs ; aussi ne doit-il jamais êtrc négligé. Cet exam
la moelle; 2° Les lésions à évolution lente de la queue de cheval ( tumeurs ) sont beaucoup plus fréquentes que celles de la
sions traumatiques (section, piqûre, compression).ou pathologiques ( tumeurs , névrites infectieuses ou toxiques), portant sur
équence et par son intensité : ce sont la syphilis cérébrale et les tumeurs du cerveau. Dans la syphilis, la céphalée peut
tiaire syphilitique a une signification pronostique grave. Dans les tumeurs cérébrales, la céphalée, à peu près constante, es
les signes de l'affection. Elle fait partie des signes communs, des tumeurs cérébrales, quel qu'en soit le siège, et, dans
alisation, précieux pour le dia- gnostic. Au début, la céphalée des tumeurs cérébrales est sourde, pro- gressive, elle devi
ou même disparaître dans la suite. C'est donc surtout au début des tumeurs cérébrales que la céphalée, isolée ou associée au
ha- taigiques passagers (Féré). Dans l'épilepsie symplomalique (par tumeur cérébrale par exemple), la céphalée est constan
erveau (lésions cérébrales en foyer, hémorragies, ramol- lissement, tumeurs , méningites) ; elles acquièrent plus d'importance
s (causalgie de 1'cir-Iitchcll). La compression des nerfs par des tumeurs , des anévrismes, des cals vicieux, des exsudais
ar des tumeurs, des anévrismes, des cals vicieux, des exsudais, les tumeurs des nerfs, les névromes sont des causes de névr
e l'oeil (herpès de la conjonctive, ulcère de la cornée, glaucome), tumeurs du maxillaire, tumeurs de la hase du crâne, mén
conjonctive, ulcère de la cornée, glaucome), tumeurs du maxillaire, tumeurs de la hase du crâne, méningites chroniques de la
nt : les affections de la colonne cervicale (tuberculose, syphilis, tumeurs ), les arthrites vertébrales rhumatismales, la p
principales de ces névralgies sont : les affections du rachis, les tumeurs cervicales, les compressions par anévrisme de l'a
ment la tuberculose pulrno- naire, l'auevrisnic de l'aorte (2), les tumeurs du mediastin, les frauma- tismes, les affection
frauma- tismes, les affections des côtes (ostéites, fractures), les tumeurs du sein, les affections du rachis (mal de Pott,
urs du sein, les affections du rachis (mal de Pott, scolioses), les tumeurs intra-rachi- diennes, les affections de la moel
ut citer Yépigastralgic, la nna..slocll/uie (`), mamelle irritable, tumeur irritable du sein. , J NÉVRALGIE DU PLEXUS LO
psoas, les lésions du rein, l'anévrisroc de l'aorte abdominale, les tumeurs du mésentère, du caecum, de l'S iliaque, les hern
rtébrale et du bassin, plaies par armes à feu, compressions par les tumeurs du bassin, par J'S iliaque, par l'utérus dévié
ées tenaces et terribles parfois par leur intensité dans les cas de tumeurs et d'abcès de l'encéphale, dans les cas d'hy- p
ale au niveau de la région rolandique, compression produite par une tumeur cérébrale. L'abolition ou la diminution des réf
xes patellaires. Enfin on observe l'abolition des réflexes dans les tumeurs cérébrales et cérébelleuses. ' En ce qui conc
les tumeurs cérébrales et cérébelleuses. ' En ce qui concerne les tumeurs du cervelet, l'affaiblissement s'observe dans J
dans 15 pour 100 des cas, peut-être y a-t-il alors, comme dans les tumeurs de l'encéphale, dégénérescence des racines post
ons dit que la compression de la moelle par un mal de Poil, par une tumeur vertébrale, par une tumeur osseuse s'accompagne
de la moelle par un mal de Poil, par une tumeur vertébrale, par une tumeur osseuse s'accompagne de paraplégie spasmodique
i-dessus : sclérose latérale amyolropliique, sclérose en pla- ques, tumeur cérébrale. [CROUZON]' .44< : ' RÉFLEXES.
érébrale, au ramollissement et aux lacunes de désintégration. Les tumeurs cérébrales, l'hémorragie méningée, les méningites
souvent chez les lacunaires). Quant à l'hémiplégie produite par les tumeurs cérébrales, il est bien difficile de la caracté
ile de la caractériser puisque, comme tous les autres symptômes des tumeurs cérébrales, elle est susceptible des modification
plus diverses. Nous noterons cependant, ce fait que c'est dans les tumeurs cérébrales que l'on voit presque exclusivement
remblement ou de l'lumichorée. Assez souvent aussi l'hémiplégie des tumeurs cérébrales s'accompagne d'épi- lepsie jacksonie
faudra tenir compte de tous les autres symptômes révéla- leurs des tumeurs cérébrales, et notamment l'examen du fond de l'oe
bien caractérisée, telle qu'un traumatisme, la syringoinyélie, une tumeur de la moelle, ou la syphilis médullaire; dans c
ne saurions passer en revue toutes les compressions possibles. Les tumeurs sont nombreuses, méningées ou extra-méningées, in
ainsi il nous préoccuper du tableau clinique de la compression par tumeur intra-lnédallairc, et de la syringomyélie, syn-
dallairc, et de la syringomyélie, syn- drome voisin. Le siège de la tumeur tlllt'l(-Itt('clllllCl2'l'L influe naturelle- m
observer un syndrome de Brown-Sequard. Lorsqu'il s'agit non plus de tumeurs illha-rnéclllllnircs, mais de dila- tation de l
aebymeningitc cervicale hypertrophique, le cancer des méninges, les tumeurs des méninges, le cancer du mollis, la syphilis de
des méninges, le cancer du mollis, la syphilis des vcrtu- bres, les tumeurs des vertèbres), enfin les lésions extra-mchidienn
s, les tumeurs des vertèbres), enfin les lésions extra-mchidiennes ( tumeurs du creux SlIS-Cla\-1l'ttlirlr'8, adénites, lipome
t la conséquence de lésions Iraumaliques, de compressions du nerf : tumeurs ou ramollis- sements du bulbe et de la protubér
, méningites basilaires, osteo- periostitcs et fractures du rocher, tumeurs ou abcès de la parotide, adenopathics, A ce gro
les com- pressions (lésions de la colonne vertébrale, mal de Pott, tumeurs , adéno- pathies), les .névrites, les altération
aralysie du nerf phrénique. Le phrénique peut être comprimé par des tumeurs , abcès, anévrisnics. Ailleurs, la paralysie du ne
née par des blessures du nerf, des contusions, des compressions par tumeurs , anévrisuics, cals vicieux; elle est parfois cons
nt pas très fréquents; il faut signaler toutefois l'existence de la tumeur dorsale du poignet que l'on observe principalem
nseurs et due il une synovite chronique. Charcot. considérait celte tumeur dorsale du poignet comme un véritable, trouble
ement sur le carpe des ten- dons maintenus longtemps en flexion. La tumeur dorsale du carpe est une lésion bénigne qui rét
ment, tranchant, fracture du fémur, etc.), les compressions par des tumeurs pelviennes, la psoïtis, les névrites infectieuses
ysies sont : les traumatismes, l'élongation, la compression par des tumeurs ou abcès du bassin, les luxations de. la hanche
lls ont publié l'observation d'un médecin chez lequel on enleva une tumeur de la région où est situé le centre cortical du
es par Lermoyez. L'hémiplégie laryngée peut être déterminée par des tumeurs du crâne qui comprimeront le vago-spinal avant
portion du récurrent gauche dans un cas d'adduction bilatérale. Les tumeurs du cou, gros ganglion tuberculeux, tumeurs cancér
dduction bilatérale. Les tumeurs du cou, gros ganglion tuberculeux, tumeurs cancéreuses des ganglions, de l'oesophage ou du
o- logie des paralysies récurrentielles. Mais ce sont surtout les tumeurs du médiastin qui méritent de retenir l'attentio
e cancer oesophagien, l'anévrisme aortique, les adé- nopathies, les tumeurs cervicales ou médiastines. A la période d'état
rapeu- tique, etc. Les irritations déterminées par des polypes, des tumeurs , etc., SPASMES DU LARYNX. 651 agissent de mêm
me laryngé ; il convient cependant de citer sa possibilité dans les tumeurs cérébrales et la paralysie générale progressive
lysies, la paralysie lahio-gloao-laryngée, les hémor- ragies et les tumeurs bulbaires, la syphilis cérébro-spinale, etc. Mais
l'aorte (toux de compression de Garel) et de la sous-clavière, les tumeurs du médiastin et principalement les hypertrophie
s à des affections bulbaires, surtout au tabès, ou à la présence de tumeurs laryngées peuvent déterminer la mort subite. Le
tteindre en masse les deux membres supérieurs; dans certains cas de tumeurs très étendues de la colonne vertébrale, on peut o
es, un fardeau, par un cal vicieux, une exostose, un anévrysme, une tumeur du voisinage dure ou molle quelconque (fibrome,
celles du plexus sacré sont plus fréquentes; elles sont dues à des tumeurs du bassin, de l'utérus, à la tuberculose ou au
belleux inférieur peut déterminer l'asynergie. Dercum a observé une tumeur du bulbe qui a débuté par la perte du sens musc
hémianesthésie cérébrale n'est jamais complète ; l'hémiplégique par tumeur , ramollissement ou hémorrhagie cérébrale, quel qu
, et les observations où il a été signalé concernent des cas où une tumeur , par son volume ou sa situation, comprimait les
a produisent-elles pas; dans les cas de Gintrac, Gribbon, etc.. des tumeurs du vermis n'avaient déterminé aucun trouble de
la moelle. Souvent le syndrome de l'asynergie est symptomatique de tumeurs du cervelet : dans ces cas, qui sont beaucoup p
ie avec hémianesthésie (par hémorragie ou ramollis- sement, surtout tumeur cérébrale) ; Concomitance d'hémiplégie cérébrale
lérose : syndrome pur- ou associé à épilepsie et troubles mentaux z Tumeurs : syndrome associé à vertiges, nystagmus, vomisse
systématisée, mais encore par accidents extrin- sèques,rnéningites, tumeurs ou caries osseuses. Quelle que soit l'étiologie
sions du bulbe sont ici intrinsèques (ramollissements, hémorragies, tumeurs , abcès, trau- matismes et compressions) ou extr
morragie et du ramollissement se confondent. Le développement des tumeurs détermine, ainsi que toute compres- sion bulbai
ue le grou- pement des accidents dans les compressions du bulbe par tumeur . C'est ainsi que le syndrome d'hypertension peu
er, ou le précéder. Dans ce dernier cas se déroule le tableau d'une tumeur encéphalique de siège d'abord imprécis, révélée
06 SÉMÉIOLOGIE DU BULBE. expliquent la difficulté du diagnostic des tumeurs du bulbe. Celles-ci peuvent siéger sur le planc
elles, un épuisement précoce qui sortent du cadre séméioiogique des tumeurs bulbaires. Dans celles-ci n'existe d'ailleurs j
n des accidents. Les lésions extrinsèques du bulbe autres que les tumeurs provoquent des réactions complexes, les syndrom
t symptomatique d'une lésion cérébrale (hémorragie, ramollissement, tumeur , inflammation, traumatisme), corticale ou sous-
t ou facile à reconnaître et la convulsion n'est qu'un épisode. Les tumeurs cérébrales, les abcès occasionnent des convulsion
néralisées ou partielles pourront être les premiers symptômes d'une tumeur cérébrale, d'un abcès, d'une lésion tubercu- le
que, paralysie d'un nerf crânien, oedème papillaire en faveur d'une tumeur , des signes surtout cérébelleux en faveur d'une
ale : tels sont les tremblements parkinsoniens symptomatiques d'une tumeur du pédoncule cérébral (cas de Bloch et Marinesc
, ou du moins très légèrement pédi- culés. Il existe en général une tumeur majeure, de siège variable. Les névromes plexif
ence. Fig. 5. \euro-fibromalose généralisée avec nombreuses petites tumeurs , notamment au niveau de l'hypocondre droit, et
ilepsie. On la ren- contre dans l'aliénation mentale, le tabès, les tumeurs cérébrales, du côté malade chez les hémiplégiqu
s, après un traumatisme céphalique dans l'enfance ou à propos d'une tumeur cérébrale chez l'adulte (l1émieraniose de Brissau
iverses maladies infectieuses. le tabès, la syringomyé- 1 ic, les tumeurs b ulbo- proLuhérnn- ticlles. - En dehors de l
lytique dans les affections du trijumeau. Notons à ce propos qu'une tumeur irritant la VC paire donnera d'abord du zona pu
tout les troubles bulbaires ; dans tous les syndromes bul- baires : tumeurs du bulbe, paralysie bulbaire progressive, la dysp
a cause la plus fréquente de ces troubles res- lriradirns. Dans les tumeurs du cervelet on observe également ce rythme TACH
s, les névralgies de l'urètre sont rares; on les observe lorsqu'une tumeur , un traumatisme a intéressé une des branches de
e le globe vésical est distendu, et se présente sous la forme d'une tumeur médiane vohotn- RÉTENTIONS D'URINE. f neuse.
nis (hypospadias, épispadias, phimosis, atrésie du méat, polypes ou tumeurs urétrales chez la femme, plus rarement à une af
er nécrotique. Dans ces cas, il est vrai, ainsi que dans les cas de tumeur du bulbe, les troubles sont souvent irréguliers e
même de maladies dyscrasiques. Pratiquement, on devra songer à une tumeur du médiastin, au cancer de l'estomac (région du c
es, dans l'apoplexie céré- bratc. et marque surtout l'évolution des tumeurs cérébrales ou céréttet- leuses. Il peut même, q
s. Triolo a décrit un spasme pylorique cl'o°i.t/ine GttlGtine : une tumeur épigastrique survient par intermittence, accomp
, dans certains sommeils morbides tels qu'en peuvent déterminer les tumeurs cérébrales, les méningites, les trypanosomiases,
que illusion soma- tique de mégalomane. GATISME. 10B 1 Dans les tumeurs cérébrales, on rencontre parfois de l'affaiblisse
n sous lune de ses trois variétés, bien indiquées par Pierre Marie, tumeur , repli cutané, éléphantiasis. Cette dernière fo
eur. Sur le dos du poi- gnet apparaît plus ou moins tardivement une tumeur dorsale du carpe. tuméfaction indolente due il
et notamment une pachy- méningite cervicale hypel'l1'ophir¡ue, une tumeur méningée, un mal de 1. Nous avons dit il l'arti
onnelle. Parfois il est dû à un spina-bifida : le plus sou- vent la tumeur rachidienne, médiane» arrondie ou elliptique, mol
literont le diagnostic dans les cas de spina-hifida latent, où la tumeur fait défaut. Le pied-bot congénital spas- mod
ée constante le tourmente, il présente même parfois le syndrome des tumeurs cérébrales. Les crises épilepti- formes, les tr
lepti- formes, les troubles visuels sont remarquablement fréquents ( tumeurs de l'hypophyse agissant sur le chiasma), et l'h
sensibilité de la voûte pharyngienne à la pression, dans les cas de tumeur de la fosse cérébrale moyenne. La percussion
signalé la sensibilité spéciale de l'apophyse zygomatique dans les tumeurs de la base. PERCUSSION ET AUSCULTATION DES CE
sonorité cherchée dans la méningite tuberculeuse au début, dans les tumeurs du cervelet et du plancher du 4e ventricule avec
lutôt un signe d'altération de l'os qu'un signe de localisation des tumeurs » (Duret). La matité peut èlre plus considérabl
l'adulte, les anéuismes des artères de la base de l'encéphale, les tumeurs richement vascularisées, les néoplasies comprim
2 fois chez des urémiques, et 3 fois chez des individus atteints de tumeur cérébrale. Lichteim, Gumprecht, Martin ont observ
Cerise ont eu un cas de mort après ponction lombaire dans un cas de tumeur cérébrale. Toutefois, cette complication est ra
as sur 12 de tabes. Il l'a trouvé, aussi dans l'épilepsie, dans les tumeurs cérébrales, dans l'hématomyélie. Il montre qu'il
n méningée du tout ou qu'elle ait disparu. Cyto-diagnostic dans les tumeurs cérébrales. La statistique de Babinski et Nageo
brales. La statistique de Babinski et Nageotte comporte sept cas de tumeur cérébrale sans réac- tion méningée. Gombaut et
éac- tion méningée. Gombaut et Ilalbron ont observé, dans un cas de tumeur cérébrale, d'abord de la polynucléose, puis de
ra donc de dire que le cyto-diagnostic a été négatif dans un cas de tumeur cérébrale, dans un cas de migraine ophtalmoplég
ratiquée contre la céphalée dans la méningite tuberculeuse dans les tumeurs cérébrales, par Carrière Hbodes. Celte étude est
à propos de chacune de ces affections. Ponction lombaire dans les tumeurs cérébrales. L'heureux effet de la décompression
es tumeurs cérébrales. L'heureux effet de la décompression dans les tumeurs cérébrales a été mentionné par Babinski. Antéri
ves à ce point de vue, est celle de Widal et Digne : dans un cas de tumeur du cervelet, une première ponction lombaire fait
élargissement des trous préexistant de la lame criblée, liée à une tumeur ou il l'hydrocéphalie (Vigouroux). D'autre part,
sques, qui résul- tent de l'envahissement des mêmes cavités par les tumeurs autochtones ou voisines (syndrome néoplasique),
ntique au syndrome néoplasique (épithélioluas épendymo-choroïdicns, tumeurs juxta puis intra-ventri- culaires). Par contr
présente naturellement à l'esprit. * Ependymite à forme clinique de tumeur cérébrale.- Le syndrome pseudo-tumoral est tant
ces de, l'analyse symptomatique ces variétés apyrétiques des vraies tumeurs cérébrales. A peine, si leur prédilection pour
ne destruction des apophyses clinoïdes sont un signe im- portant de tumeur hypophysaire : on peut déduire de ces deux exempl
n traumatisme ancien d'une maladie générale, tuberculose, syphilis, tumeur , etc., détcr- mination sans doute appelée par l
produire des opacités étendues, à contour plus ou moins diffus; les tumeurs secondaires des os, et notamment les sarcomes p
nsparences anormales mal délimitées (Mills, de Martel, etc.). Les tumeurs du cerveau ou des méninges qui n'envahissent pas
l'agrandissement de la selle turcique elle- même en dehors de toute tumeur de l'hypophyse. Exceptionnellement, dans une tu
dehors de toute tumeur de l'hypophyse. Exceptionnellement, dans une tumeur purement intra-cranielinc, on a observé des atrop
rause). Plus exceptionnellement encore, la radiographie a montré la tumeur intra-cranienne elle-même quand elle présentait d
us ne parlons pas ici des altérations spéciales déterminées par les tumeurs de l'hypophyse : nous les envisagerons à propos d
Nous n'avons non plus aucune notion sur l'aspect radiographique des tumeurs , primitives ou secondaires, du rachis. . [A.LÉF
t radiogra- phique tout spécial du crâne, dû au développement d'une tumeur hypo- physaire, doit. aujourd'hui permettre de
point de vue de la précision du diagnostic et de l'évolution de la tumeur hypophysaire, la valeur qu'on a voulu leur attr
myélie, les paraplégies, la sclérose en plaques, le tahes, etc. Les tumeurs de l'hypo- physe ont. dans quelques observation
ose que reçoit la peau; grâce à l'heureuse sensibilité de certaines tumeurs sarcomateuses ou gliomateuses aux rayons de Ron
endant étresignalé, c'est celui de doses fortes .appliquées sur une tumeur volumineuse distante ou non du système nerveux
na après la deuxième séance, en même temps que la disparition de la tumeur , une paraplégie complète avec troubles sphincté
s doivent faire proscrire les traitements trop intensifs de grosses tumeurs du type sarcome, particulièrement susceptihle d
conformément au diagnostic qui avait été porté, il s'agissait d'une tumeur intra-rachidienne (communication orale). D'autres
semble avoir obtenu un résultat assez remarquable en irradiant une tumeur du cervelet il travers une brèche osseuse faite
ucs liées à une compression du système nerveux périphérique par une tumeur sensible aux rayons de Rontgen (masses ganglionna
s récentes, dans la paralysie générale progressive, dans des cas de tumeur cérébrale. On l'a rencon- trée encore dans des
s paralysies cérébrales par hémorragies, par ramollissements ou par tumeurs . Dans ce dernier genre de paralysies, cependant
s craniens, lorsque ceux-ci se trouvent irrités ou comprimés par la tumeur en quelque point de leur trajet. Dans les lés
ations ou les compressions produites par les pachy- méningites, les tumeurs , les fractures et les luxations de la colonne R
erfs se trouvent irrités ou comprimés par des lésions de voisinage, tumeurs , fractures, cicatrices, foyers de suppuration,
sion des nerfs, notamment dans les com- pressions produites par des tumeurs . L'électrodiagnostic, en pareils cas, peut four
otitique, les paralysies faciales par compression produites par des tumeurs de la parotide, de la base du crâne ou de l'enc
e, ou d'affections augmentant la pression intra-cranienne comme les tumeurs de l'encé- phale, les méningites, les traumatis
résistance au vertige voltaïque, comme on l'observe dans le cas de tumeurs intracranienncs (Babinski et Cestan); souvent alo
cléroses en plaques et dans des cas de compres- sion médullaire par tumeurs ou par pachyméningite. Il en a été parlé dans u
- musculaire Charcol- Marie, Voy. Afnyotrophie. optique dans les tumeurs cérébrales, 122. Atrophies musculaires. Définit
, ), Vertiges, 109. Syndrome cérébelleux, 776. Tremblement, 859. ( Tumeurs (lu -), Radiothérapie, 1189. Cervical supérie
gies du névraxe, l -154. - Méningites, U155. - Paralysie infantile. Tumeurs cérébrales, 1156. Autres maladies, 117.· - Sy
'abcès cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à forme clinique de tumeur cérébrale, 1155. I : pendymo-choroïdite comateu
Moelle (Affections de la ). Troubles de la sensibilité, 31 ;1. - ( Tumeurs de la - ), .i ! J7. - (Lésions de la ). nLlG-
loration, 2. - explo- ration électrique, 4371. , lésions dans les tumeurs cérébrales, 121. pathétique, paralysie, 69. phr
er- veux, cypho-scoliose, signe d'Argyll, 697. - optique dans les tumeurs céré- brales, 121. Névrites. Atrophies second
ènes douloureux, anesthésie, 115, - Trou- bles oculaires dans les tumeurs céré- brales, 121. = Complications oculaires
' : 1ü. - par l'hémorragie et le ramollis- sement cérébral, par les tumeurs céré- brales, 127. - par la sclérose en pla-
Aspects variables sui- vant la cause. Traumatisme, compres- sion, tumeurs cérébrales, méningites, maladies du système ner
ation, physiologie, 552. Pédoncules. Syndromes oculaires dans les tumeurs des -, 125. Lésions, hémianesthésie, 514. ' P
tubercu- leuse, contre l'urémie, 1141. Dans les comas, céphalées, tumeurs cérébrales, z. - Dans les troubles auriculaires
9. Prosopalgie, 586. Protubérance. Syndromes oculaires dans les tumeurs de la z, 125. - Lésions, hémianeslhésie, 514. -
e, affections de l'encéphale, affections de l'hypophyse, 1 188. - Tumeur du cervelet, goitre exophtalmique, névralgies e
es infections et intoxications, 189. - dans les mé- ningites, les tumeurs cérébrales, 190. - dans l'hystérie, 191. Somn
ésie, 514. Tuberculose. Névrites et atrophie mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. - cérébrales, troubles oculaire
blyopies et aman- roses, 35. - Ohuttbilalions passagères dans les tumeurs cérébrales, 121. - - centrale, exploration. Vis
28 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
s.La malade remarqua dans la région thyroïdienne du côté gauche une tumeur des dimen- NOUVELLLE Iconographie DE la Salpêtr
vement et envahir toute la région thyroïdienne et sus-sternale. La tumeur était indolore mais déterminait une certaine gê
as d'altérations. La région cervicale antérieure est le siège d'une tumeur ayant les dimensions d'une tête de foetus, bilobé
lui du côté opposé. Entre les deux lobes volumi- neux on trouve une tumeur plus petite. Les téguments correspondants sont
e inférieur on remarque plusieurs plis cutanés. Les limites de la tumeur sont : en haut le maxillaire inférieur, en bas le
s endroits ces limites soient même dépassées. Eu arrière enfin la tumeur est limitée par les fascicules sterno-mastoïdiens
ules sterno-mastoïdiens on observe les pulsations carotidiennes. La tumeur adhère aux régions profondes,elle présente une co
ndaires sont pour la plupart réguliers et plus rarement rugueux. La tumeur suit les mouvements inspiratoires et semble se co
n général sont gênés. Par contre la respiration est assez libre. La tumeur n'a pas déterminé de symptômes indiquant la parti
on a fait souvent des applications de radium sur le crâne, pour des tumeurs cutanées par exemple, sans avoir jamais eu aucu
el indiffèrent (sulfate de baiyum). (2) DOMINICI, Du traitement des tumeurs malignes par le rayonnement zeltra-pené- tent d
que la syphilis, la tuberculose, etc., et de même l'existence d'une tumeur , la malade ne présentant aucun symptôme plausib
tage supérieur, cortical des neurones, comme le ramollissement, les tumeurs ; les autres occupent l'étage inférieur des neu
ce, pas de convulsions. A l'âge de 3 ou 4 ans survient une petite tumeur de la peau du cou dans la région prélaryn-ienne
etite tumeur de la peau du cou dans la région prélaryn-ienne. Cette tumeur a été enlevée ; il reste une cicatrice non adhé
nent ni sucre, ni albumine. La palpation du ventre ne décèle aucune tumeur . 1 La sensibilité tactile à la douleur, au chau
É DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 17 JUILLET 1909) TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES, PAK E. BOINET, Professeur de cl
ltés, Médecin des hôpitaux de Marseille. Les deux premiers cas de tumeurs cérébrales sont secondaires, l'un à un cancer d
hémorragique, l'autre à un épithé- lioma primitif du rein et à une tumeur pulsatile cancéreuse du sternum et des côtes si
taires brunâtres. Des taches analogues existent sur le TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 335 gland. Ces signes sont évidemmen
eint le pied de la deuxième fron- tale. La plus grande partie de la tumeur est en avant de la scissure de Ro- lando. Ce no
nante au voisinage des vaisseaux. Le tissu nerveux, comprimé par la tumeur , est très altéré ; il se colore ma par les réac
n- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXII. l'1. XXXIX TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. Il TROIS CAS DE TUMEU11S CÉRÉB
agit d'une néoplasie épithéliale. Les cellules qui cons- tituent la tumeur , sont groupées sans ordre dans les intervalles d'
e faible volume du cancer gastrique pri- mitif. Observation II. - Tumeur cancéreuse, du volume d'une noix, située dans l
'77. ' 338 BOINLT dicale de l'Hôtel-Dieu le 17 mars 1907 pour une tumeur pulsatile du sternum et des côtes simulant un a
e de médecine. Séance du 30 mars 1909, p. 411 il 421). TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 339 est intermittent. Malgré la diff
mateux entrecoupé de crises d'épilepsie jacksonnienne. Autopsie. Tumeur cérébrale. Une tumeur cancéreuse secondaire, me
e crises d'épilepsie jacksonnienne. Autopsie. Tumeur cérébrale. Une tumeur cancéreuse secondaire, mesurant 4 centimètres d
ventricule latéral de l'hémisphère cérébral droit. La base de cette tumeur repose sur le plancher du prolongement occipita
deuxième, troisième circonvolutions occi- pitales ; le sommet de la tumeur entame, dans presque toute son épaisseur, la ci
dans la profondeur desquelles la partie externe et supérieure de la tumeur est logée, sont ramollies, grisâtres, effritées
et sur une largeur de 4 à 5 centimètres. Au niveau de la base de la tumeur , les circonvolutions occipitales externes ont u
mière et de la deuxième circonvolution occipitale. Sur un point, la tumeur affleure presque la surface de l'hémisphère ; l
ricule latéral, le forceps major dans sa portion correspondant à la tumeur , la partie profonde de la première et de la deu
par le noyau cancéreux. La couche optique est saine. En dedans, la tumeur est séparée de la surface de la face interne du
ère ; elle affleure la portion posté- rieure du corps calleux. La tumeur cérébrale est entourée d'une enveloppe fibreuse,
ent dans la profondeur de ce noyau cancéreux. Les contours de cette tumeur sont donc assez nets et réguliers ; sa colorati
le au cancer primitif du rein qui en a été le point de départ. La tumeur cérébrale est constituée par un épithélioma entou
nt hémorragique. Cette disposition est extrêmement marquée dans les tumeurs cancéreuses, pulsaliles secondaires du sternum
es secondaires du sternum et des côtes où l'on trouve comme dans la tumeur cérébrale des vaisseaux très dilatés, d'abondante
la NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXVIII TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS D
. XXXVIII TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 341 1 Conception d'un enfant de six
volontairement de la bouche ; elle ne se durcit pas ' TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 343 sous l'influence d'une contracti
au niveau du chiasma et des bandelettes optiques une vo- lumineuse tumeur cérébrale, de nature,gliomateuse, développée dans
x explique la plupart des symptômes observés pendant la vie ; cette tumeur se prolonge davantage en bas et à gauche par un
à gauche par une expansion grosse comme une noisette, séparée de la tumeur principale par un sillon occupé par l'artère comm
a bandelette optique correspondante. La portion inférieure de cette tumeur a dans son ensemble une forme semi-circulaire,
u du pro- longement latéral gauche. La partie inférieure de cette tumeur (son prolongement latéral gauche compris) mesur
mètres dans son diamètre antéro-postérieur. Le bord inférieur de la tumeur est bordé par la bandelette optique droite, par
andelette optique et le corps genouillé du côté gauche. Puis, cette tumeur se prolonge directement en haut, atteignant les
a-ventri- culaires. A droite, l'expansion intra-ventriculaire de la tumeur est moins considérable ; elle a le volume d'une
volume d'une grosse noix ; elle est également recou- - TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBIIALES 347 verte par le plexus choroïde. L
infiltrées sur une épaisseur d'un centimètre environ. A droite, la tumeur laisse à découvert six millimètres de la partie i
sur lequel on voit passer l'artère cérébrale pos- térieure. Cette tumeur située à la base du cerveau, envahissant les corp
act et bien isolé ; il n'a pas pris part il la for- mation de cette tumeur gliomateuse. Du reste, l'examen histologique mont
eau séparé par une coupe verticale pariétale passant en avant de la tumeur qui est coiffée des bande- lettes optiques et d
re les détails suivants : 10 Portion sous-pédonculaire gauche de la tumeur . La tumeur est constituée par un feutrage très
ils suivants : 10 Portion sous-pédonculaire gauche de la tumeur. La tumeur est constituée par un feutrage très serré de fi
ume, avec une paroi propre bien constituée. A la périphérie de la tumeur existe une sorte de capsule enveloppante de nat
ature fibro-conjonc;tive, assez épaisse. 348 BOINET ? Portion de la tumeur faisant saillie dans ventricule latéral gauche.
les sont plus nombreuses que dans la partie snus-pédonculaire de la tumeur ; cependant, le réseau fibrillaire reste prédomi
prolongements colorables. 3° Portion sous-choroïdienne droite de la tumeur . - Cette coupe est in- téressante en ce qu'elle
en ce qu'elle montre le caractère essentiellement destructif de la tumeur gliomateuse au point de vue des éléments nobles d
flasque, de la parésie du côté gauche. A l'autopsie, on trouva une tumeur médiane, du volume d'un abricot sous-jacente au
très curieuses observées dans les centres nerveux au voi- sinage de tumeurs (BIELSCIIOWSKV) (3) ou d'anciens foyers hémorragi
tres que des cas de poliomyélite aiguë, par exemple dans des cas de tumeur de l'encéphale, de syphilis, de ménin- gite sér
a paru parler, lors de l'entrée à la clinique, aussi hien pour une tumeur du cerveau ou du cervelet que pour une méningit
1 1 observé chez des enfants des cas avec le tableau clinique d'une tumeur cérébrale causée par une affection tuberculeuse
, au devant de l'aorte et de l'artère pulmonaire, la présence d'uue tumeur . Eu bas, cette tumeur part de la partie moyenne
et de l'artère pulmonaire, la présence d'uue tumeur. Eu bas, cette tumeur part de la partie moyenne de l'aorte ascendante
ties, remontant entre gros les vaisseaux. On enlève facilement la tumeur qui est unie aux organes voisins par du tissu c
mètres,épaisse de quelques millimètres seulement. A la coupe, cette tumeur apparaît entourée d'une couche de tissu conjoncti
nales sont normales et ne sont le siège d'aucune alté- ration. La tumeur trouvée au devant de l'aorte était constituée par
que Strumpell a comparée à celle qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales ; State a parlé aussi de lésions tab
e peut coïncider avec (1) POLOS SON, Anomalies de développement des tumeurs . Lyon médical, 1884. (2) A. Morrow, Deux cas de
t augmentées de volume et accessibles à la palpation. On note une tumeur osseuse sur le côté gauche de la colonne vertébra
, la mère, une soeur et peut-être la femme du malade sont mortes de tumeurs malignes de l'ovaire et de l'estomac. Si ces fa
une contri- bution à la question de la transmission héréditaire des tumeurs malignes, nous devons d'autre part considérer q
l'ostéite déformante les exos- toses n'ont pas la signification des tumeurs ; elles ne sont qu'un aspect SUR UN CAS D'OSTÉIT
, p. ruz2), on peut encore répondre que l'ostéite déformante et les tumeurs malignes débutant l'une et les autres après 40 an
it spéciale de trouble respiratoire qu'on peut voir dans des cas de tumeur du cerveau (ou d'autres maladies ayant un effet c
observée à la clinique, et pour laquelle j'ai fait le diagnostic de tumeur du cerveau, à gauche, probablement du lobe temp
ctionner. L'examen anatomique macroscopique ne nous a pas révélé de tumeur , mais seulement une hypertrophie de la moitié g
e pas masquer d'intérêt pour cette question. C'est encore un cas de tumeur du cervelet observé d'abord à la clinique médic
x pour plusieurs mois. Cependant l'enfant est morte plus tard d'une tumeur solide du cervelet, comme l'autopsie l'a montré
r un arrêt plus .ou moins soudain de la respiration dans les cas de tumeur du cerveau et surtout du cervelet ou des autres m
rouver la cause de cette paralysie : dans trois cas, il y avait une tumeur du cervelet, dans un cas une hypertrophie unila
908. CUSIIING. - Infantilisme sexuel avec atrophie optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journal of nerv. and ment. dise
t. et Syphil., novembre 1894, p. 522. GIOAOA.^11. Le diagnostic des tumeurs de l'hypophyse par la radiographie . Paris, Bail-
on à l'étude de l'infantilisme du type Lorain (Un cas avec probable tumeur hypophysaire). Nouv. Iconogr, de la Salpêtrière,
ANN. Gigantisme unilatéral. Ref. Rev. Neurol., 1905, p. 483. Russ,- Tumeur de l'hypophyse sans signes d'acromégalie, Bull. d
nerv. e ment., 1908, p. 518. Sainton et RTHERY. lIl ! /xoedème et tumeurs de l'hypophyse. Insuffisances pluri-glau- dulai
i pour les atrophies du cervelet. Parmi les affections du cervelet, tumeurs , kystes, abcès ou inflamma- tions diffuses, hém
de vue de la localisation et du déve- loppement considérable de la tumeur , qu'au point de vue de la symptoma- tologie spé
i signale habituellement il l'attention du clinicien l'existence de tumeurs encéphaliques. Observation. I. - EVOLUTION cl
e de la lésion restait toutefois obscure : les principaux signes de tumeur cérébrale (papilles de stase, vomissements, cépha
u résumé rapide du cas et quelques considérations générales sur les tumeurs gliomateuses du bulbe et de la pro- tubérance.
L 623 rance n'étaient pas, à l'examen extérieur, refoulés par une tumeur , mais plutôt gonflés suivant tous leurs diamètr
taient refoulés latéralement et vers le haut. Dans son ensemble, la tumeur s'étendait de la moelle cervicale exclusivement a
n'est qu'à ce niveau que le processus néoplasique avait réalisé une tumeur nettement circonscrite ; partout ailleurs, les él
quâmes alors des coupes transversales intéressant le cervelet et la tumeur dans son ensemble. Ces coupes permettent de se re
ermettent de se rendre compte du développement extraordinaire de la tumeur . Le cervelet se trouve complète- ment refoulé v
a figure 1 donnera au lecteur une idée de l'aspect et du volume de la tumeur . Fig. 1. 624 DUST1N ET VAN L1NT Cette figur
ention sur l'existence d'une cavité occu- pant le lobe gauche de la tumeur , et sur l'existence au sein de celle-ci de vais-
ement une coupe transversale passant par les diamètres maxima de la tumeur . Ces diamètres atteignent les chiffres de 83 mm
ntricule et la déviation du raphé. Après fixation par le formol, la tumeur offrait exactement l'aspect, la couleur, la con
normal. Nulle part, on ue pouvait trouver de délimitation entre la tumeur et le tissu nerveux. Les deux tissus étaient visi
est au niveau de la pyramide gauche où s'était constituée la petite tumeur pédiculée que nous avons signalée plus haut.
ue nous avons signalée plus haut. Dans la partie supérieure de la tumeur , sous le plancher du 4° ventricule, (1) Pièces
la protubérance furent colorées au Weigert-Pal. Des fragments de la tumeur diffuse et de la tumeur pédiculée sur la pyrami
olorées au Weigert-Pal. Des fragments de la tumeur diffuse et de la tumeur pédiculée sur la pyramide gauche furent colorés à
'un gliome typique. La figure 3. empruntée à une coupe de la petite tumeur pédiculée montre les détails histologiques du t
es sont extrêmement abondantes et constituent la grande masse de la tumeur . Fir,. 3. Gliome du bulbe. 626 DUSTIN ET VAN
être pas dépourvues d'intérêt. Les coupes transversales de toute la tumeur , colorées au Weigert-Pal (flg. 1) montrent la d
à droite, doit-elle, selon nous, être attribuée à l'existence de la tumeur pédiculée située à l'entrée du canal rachidien.
sur la voie du diagnostic exact de gliome ponto-bulbaire ? Toute tumeur encéphalique comporte, au point de vue du diagnos
ation des signes de localisation. Quel été le volume atteint par la tumeur , les signes généraux, et notamment un des plus
s. Ce fait a été signalé plusieurs fois au cours de l'évolution des tumeurs bulbaires et particulièrement desgliomes. Notre
que 8 mm. 1/2. A la surface supérieure du cervelet on constate une tumeur kystique, de forme triangulaire, avec la base v
constaté ni inflammation des plexus choroïdes, ni l'existence d'une tumeur . Au microscope on voit que les cellu- les pyram
ourd'hui un fait bien connu qui aide même à préciser le siège d'une tumeur cérébrale. Ainsi Pechkranz (1) a publié le cas d'
inin, ainsi qu'une adipose abondante ; à l'autopsie il a trouvé une tumeur de l'hypophyse. Von Eiselsberg et von Frankl-Ho
(2) ont publié le cas d'un jeune homme âgé de 20 ans, atteint d'une tumeur de l'hypophyse depuis 8 ans. Maigre jusqu'à cet
nitaux avec pnbis complètement glabre. A l'autopsie il a trouvé une tumeur (épithélium primitif) de l'hypophyse. L'un de n
une grande tendance au sommeil. A l'autopsie nous avons trouvé une tumeur kystique occupant la place de l'hypophyse et dé
avril 1904, Neurologisches Centraiblatt, n° 9, 1904. (2) BabiksivI, Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
rologique, 1900, p. 531. (3) C. PARHON et M. (;09.DSTEI ? Un cas de tumeur de l'hypophyse sans acromégalie, Troubles menta
ournal de neurologie 1908. (4) VoN Eiselsberg, Deux cas nouveaux de tumeur de l'hypophllse opérés. Société de médecine de
ypothèse d'une tare hypophysaire. Mais presque dans tous les cas de tumeur de l'hypophyse publiés on a encore noté un arrê
n situé dans l'anneau..La tige de l'hypophyse présentait une petite tumeur , mais le parenchyme glandulaire n'était pas alt
on qui a suivi la communication faite par Jolasse (), sur un cas de tumeur de l'hypophyse, Franke et Saenger reconnaissent t
ect bien viril et qui s'est féminisé sous ses yeux à la suite d'une tumeur de la glande pituitaire. Sa peau devient muco-a
ls du pubis et des aisselles se raréfient. Parmi les trois cas de tumeur de l'hypophyse publiés par Yntaka- Kon (1), il
aétémenstruéepourla première fois 65 jours après l'opération de la tumeur pituitaire. Von Frankl-Hochwart soutient qu'en
t qu'en opposition avec l'influence de l'hypophyse, dans les cas de tumeurs de l'épiphyse, il se produit une exagération da
terminer des troubles du côté de l'appareil genital, mais aussi les tumeurs qui compriment ou troublent indirectement la fonc
irectement la fonction de cette glande. Telles sont par exemple les tumeurs voisines de l'hypophyse ou celles qui produisen
troisième ventri- cule en comprimant par conséquent la glande. Des tumeurs de la base du cerveau et même celles du cervele
24 mai 1903) quatre cas d'atrophie du nerf optique consécutives aux tumeurs de la base et dans lesquelles il a trouvé des tro
hypophyse. E. Muetier a publié, dans un travail sur l'influence des tumeurs céré- brales sur la menstruation, ai observatio
de 16 ans avec le diagnostic : hydrocéphalie grave secondaire à une tumeur de la fosse crânienne postérieure. Dans ce cas
tissu adipeux abondant, utérus très petit. L'auteur conclut que les tumeurs de l'hypophyse, ainsi que celles des régions ba
ression de l'hypophyse les troubles géni- taux, cardans deux cas de tumeurs cérébrales, chez lesquels la glande pi- tuitair
e, met l'obésité et l'hypertro- phie musculaire en rapport avec les tumeurs de la substance corticale des capsules surrénal
nte. Comme nous venons de le voir, on a fréquemment observé que les tumeurs n'intéressaient pas directement la glande dans
1), en publiant le cas d'une fillette de 9 ans, qui souffrait d'une tumeur cérébelleuse et qui présentait en outre une adipo
uvelle, à savoir que l'adi- pose qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales, ne dépen- drait pas delà localisati
-ci, mais de leur espèce. Il existerait une espèce bien définie des tumeurs , d'origine embryonnaire, ectodermi- ques, qui p
luencent l'organisme maternel. Il explique le siège fréquent de ces tumeurs dans le voisinage de l'hypophyse par le fait qu'i
hypophyse par le fait qu'ils sont de nature ectodermique et que les tumeurs ectodermiques ont, d'après Bos- troen, deux siè
contraires, même fatals, après les ponctions faites dans des cas de tumeurs cérébrales. En effet Lapersonne et; Cerise ont
t après 60 heures à la suite d'une ponction lombaire dans un cas de tumeur de lobe frontal. Oppenheim a également vu surve
dans de tels cas. L'un de nous (M. Marinesco) a vu, dans un cas de tumeur cérébrale, sur- venir la mort 30 heures après u
goitreuse et aliénée (1 pl.), par RAMADIJ : ;11 et Marchand, 275. Tumeurs cérébrales, 3 cas (2 pl.). par Boinet, 333. U
tatoués ; leur psvchologie (3 pl.), 5SS. . a BOINER. Trois cas de tumeurs cérébrales (2 pl.), 333. BOUDON et L-lrG ? EL
goî- treuse et ovariotomisée (RAMADIEN et DIAnC11.1ND), XXXV1. Tumeurs cérébrales (E. BOJ : OET). XXXVIII et XXXIX.
29 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
, a,joute-t-il, que l'idée d'une relation de cause à effet entre la tumeur du corps pituitaire et l'infantilisme est très
ts n'est pas interprétée par tous de la même façon. (i) Babinski, Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
r lui aussi, bien que plus difficilement, avec un couteau. Pas de tumeurs ni d'épaississements osseux. Tolot et Sarvouat
aucoup de probabilité en même temps que la plus grande partie de la tumeur aussi un certain nombre de para- thyroïdes. -
ouleurs irradiées. Après 4 mois de traitement les dou- leurs et les tumeurs disparurent, mais elles réapparurent plusieurs fo
les des extrémités inférieures sont épaissis ; il existe une faible tumeur dans la région des métatarsiens gauches. Absenc
. A 29 ans, sans aucune cause apparente, pendant un mois il eut une tumeur et une sensibilité douloureuse de l'articulation
rès un refroidissement, le malade eut pen- dant un mois et demi des tumeurs et des douleurs dans les articulations des geno
FRACTURE SPONTANÉE DU COL DU FÉMUR CHEZ UN CANCÉREUX PORTANT DES TUMEURS SECONDAIRES MÉTASTATIQUES MULTIPLES PAR li G.
RE. 'I'. xxiv. Pl. XIX ARTHROPATHIE ET FRACTURE DU COL DU FÉMUR Tumeurs métastatiques secondaires chez un cancéreux. (C
à l'os, de consistance solide plutôt ; la peau est mobile sur cette tumeur , qui est douloureuse à la pression, et même spont
ntanément ; le malade ressent des douleurs à cet endroit. Une autre tumeur de même nature, grande comme une pièce de 5 fra
nt en outre des douleurs spontanées à cette ré- gion. Une troisième tumeur , beaucoup plus petite que les deux premières, g
athie avec fracture du col du fémur probablement syphilitiques. Les tumeurs , que le malade présentait dans les autres parties
ifier, au moins pour la seconde partie, cellequi conCel'I1aI il les tumeurs osseuses de la cuisse gauche et de la poitrine, n
n lui. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ1RIÈRE. T. XXIV. Po. xi TUMEUR METASTATIQUE DE LA CUISSE GAUCHE CHEZ UN CANCÉREU
ne profonde adynamie. Après la mort, on a enlevé des morceaux de la tumeur de la cuisse et de celle située dans le sein dr
e dans le sein droit, qu'on a soumis à l'examen histologique. Ces tumeurs étaient constituées par un stroma de tissu conjon
DE QUELQUES -ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (1) PAR le Professeur R. WEBER (de Genè\e).
calisations cérébrales » (p. 582, fig. 105 et 10(3) (2), décrit une tumeur ayant détruit presque totalement les voies optiqu
qui est relativement indemne. Si l'on tient compte du fait que les tumeurs refoulent fréquem- ment les faisceaux nerveux,
onsidérable serait sans doute à gauche. On constata en outre qu'une tumeur de la grosseur d'une fève, sise dans la région
es rapports moyens suivants entre surface totale de l'hémisphère et tumeur : Gauche 3 : 1. - Droite 8 : 1. L'hémisphère
el. Tous ceux qui ont été appelés à soigner des malades atteints de tumeur cérébrale ont été frappés de leur somnolence re
dre à la calcarine. Rth étant, dans notre cas, plus rapproché de la tumeur et lésé de façon plus intense que Fli, c'est bi
tricules avait servi il gagner de la place. Cette fois-ci, deux des tumeurs la plus grande à gauche, une autre à droite se
céphalo-rachidien. Enfin; on serait tenté, chez F., de parler de « tumeur galopante a ; en réalité, nous ignorons avec qu
germes néoplasiques, conduisent bien avant à la mort. Deux des 1 tumeurs sont très riches en substance colloïde; ce ne son
duels. Il serait fott intéressant de pouvoir faire de même dans les tumeurs cérébrales : séparer les phénomènes de la compres
t dans ce domaine; il n'en fut rien. Il s'agissait, en effet, d'une tumeur s'infiltrant clans- la masse cérébrale et dont la
nsuivit immédiatement une hernie considérable et irréducti- ble. De tumeur , pas de trace, en apparence du moins, et l'on dut
ille, avait mené une vie excentriqueet solitaire. D'autre part, les tumeurs cérébrales détruisent sans DE QUELQUES ALTÉRATI
nces qui sont bien de nature à altérer son psychisme. J. a porté sa tumeur cérébrale au total pendant 17 ans ; cette constat
rieure une dépression de la grosseur d'un pois. On voit donc qu'une tumeur de longue durée peut modifier la forme du crâne
ce que la partie supérieure de Pa, Parc. et L. sont envahis par la tumeur . Celle-ci dépasse en longueur le corps calleux
ici que se trouve la cause de l'hémianopsie constatée chez J. La tumeur a envoyé un prolongement dans la C. A. à droite,
la circu- lalion aura sans doute été particulièrement gênée par la tumeur . D'autre part, le néoplasme lui-même, au voisin
dans la littérature que j'ai pu parcourir. D'autre part, aucune des tumeurs observées jusqu'ici à Bel-Air n'avait eu pareil
e. Mais d'une pari, ceci est fréquemment le cas dans les cerveaux à tumeurs , tandis que le type paranoïde y est plutôt rare
Université. M. Askanazy, nous a fait remarquer combien rarement les tumeurs céré- brales font des métastases lointaines alo
l ne présenta la lenteur de réaction, la difficulté associative des tumeurs cérébrales. Ces symptômes sont donc sans doute
p peu aux aliénés qui ont gardé l'usage de la parole. Résumé. - Une tumeur décomprimée par trépanation produit à peu près
les méninges. 2° Les sillons se ferment et l'hémisphère où siège la tumeur empiète sur l'espace réservé à son jumeau. 3°
tat que h. 6° Perforation spontanée du crâne ; 7° Dans des cas de tumeur spécifique, le ramollissement de certaines régi
eloppement de gommes dans d'autres. 8° Destruction de tissu dans la tumeur même, par dégénérescence col- loïde, ce qui per
ications de la configuration de la boîte crânienne. Dans les cas de tumeur d'un seul hémisphère et surtout à partir du mom
ion exagérée suivant une formule telle que par exemple hémisphère + tumeur + petit ventricule = hémisphère -I- grand ventr
ême temps, ces projections démontrèrent que, suivant le siège de ta tumeur , les effets généraux peuvent être précoces ou tar
permis à un aliéniste de fournir les remarques suivantes : I. Les tumeurs à retentissement général précoce (voisinage de l'
rend en clinique hémiplégique et à peu près aveugle. Pourtant cette tumeur eût été parfaitement opérable puisque facilemen
es vent tricules peuvent avoir été évacués, ou être, le siège de la tumeur . L'opé- rateur qui ouvre alors la dure-mère se
es ventricules pouvant être l'un de dimensions réduites (côté de la tumeur ) ; l'autre dilaté (côté opposé), il peut y avoir
puis environ vingt ans, dit Fracastor, moins de pustules et plus de tumeurs gommeuses, tout au con- traire des premières an
incipales de ces hémorragies à foyers multiples et contemporains. TUMEUR OBLITÉRANT L'AQUEDUC DE SYLVIUS HYDROCÉPHALIE V
eux. Le hasard des autopsies nous a mis en présence de deux petites tumeurs dont la comparaison semble bien significative à
araly- és, au début. Aucun symptôme ne permettait de penser à une tumeur cérébrale. L'autopsie, pratiquée par nous-mêmes
pour syndrome d'hypertension intra-crâniennr, avec le diagnostic de tumeur céré- brale. Deux ans auparavant, trois mois ap
réflexes et de la sensibilité, sauf Fig. t. Obs. 1.- Position de la tumeur (figure schématique). NOUVELLE Iconographie de
culaire. (Alquier et Klarfeld). Masson & Ci-, Editeurs. ? z TUMEUR OBLITÉRANT L'AQUEDUC DE S1 LV1US 201 un peu d'h
er degré, la distension signalée par Lejonne dans d'autres faits de tumeur cérébrale. La tumeur de 1 centimètre environ de
signalée par Lejonne dans d'autres faits de tumeur cérébrale. La tumeur de 1 centimètre environ de diamètre, légèrement a
riquement à l'aide de la coloration névroglique de Lhermitte, cette tumeur présente la structure d'un gliôme. Tels sont le
trouvé quelques faits d'oblitération ' de l'aqueduc de Sylvius par tumeur ou par méningite. En voici un href résumé : 1
Sylvius par tumeur ou par méningite. En voici un href résumé : 10 Tumeurs Seeligmiillel' (l) trouve une hydrocéphalie énorm
out de 18 heures. Bielschowsky (1 ). Son observation I concerne une tumeur issue du plexus choroïde du 3" ventricule, et r
- Boettinger (3) a observé, chez un garçonnet, les symptômes d'une tumeur cérébelleuse. Deux opé- rations furent pratiqué
ées. L'autopsie montra une grosse hydrocéphalie ventriculaire, sans tumeur , avec oblitération cicatricielle de l'aqueduc d
OUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIV Pl. XXX Obs. Il TUMEUR OBLITÉRANT L'AQUEDUC DE SYLVIUS (Une tranche sa
stologique). (Alquier et Klarfeld). Masson & Cite, Editeurs TUMEUR OBLITÉRANT L'AQUEDUC DE SYLVIUS 203 8 ans, cris
educ. Iloppe (1) admet théoriquement que les cas oit le syndrome de tumeur cérébrale guérit peuvent être dus, soit à un né
ale avec troubles mentaux les 15 der- niers jours, ne trouve pas de tumeur , mais une méningite localisée, pa- raissant avo
niers mois, cécité complète. Mort par marasme. A l'autopsie, pas de tumeur : hydrocéphalie considérable des 3 premiers ven
905, p. fi51. -1) 3LIYF.B, Wien. klin. Vochenschr., 1892, p. 389. TUMEUR 013L1'l'ÉHA\l' L'AQUEDUC DE SYLVIUS 205 dans la
le, avec énorme hy- dropisie de cette cavité. Pour ce qui est des tumeurs oblitérant le 4e ventricule, nous citerons les
drocéphalie des trois ventricules ; le 4° ventricule rempli par une tumeur issue du plexus choroïde, très vascularisée, et c
un léger degré de la dis- tension étudiée par Lejonne dans d'autres tumeurs cérébrales. Il ne faut donc pas dès maintenant,
ranienne, estime que l'oblitération de l'aqueduc de Sylvius par une tumeur ne suf- fit à provoquer l'hydrocéphalie que si,
urs une affection secondaire; elle porle sur quelques vertèbres; la tumeur en traversant les muscles dorsaux forme sur la
cialement fondée sur la constatation des symptômes produits par les tumeurs qui siègent dans la région de la glande pinéale
comme un oeil pariétal rudimentaire. Marburg s'est occupé aussi des tumeurs de la glande pinéale; en se fondant sur les symp-
glande pinéale; en se fondant sur les symp- tômes produits par ces tumeurs , il émet cette théorie que la glande pinéale es
la même opinion ; il énumère tous les symp- tômes produits par des tumeurs de la glande pinéale. A. Pappenheimer donne le
de la glande pinéale. A. Pappenheimer donne le résumé des 36 cas de tumeurs de la glande pinéale qui sont décrits et il en
imitrova les ont trouvées chez le boeuf. l'appenheimer a décrit une tumeur de la glande pinéale contenant des fibres muscula
opinion nous objectons que, si l'on trouve relativement souvent des tumeurs tératoides de la glande pinéale, il n'est pas i
r d'autres méthodes. D'abord, on a tiré des conclusions d'après les tumeurs . Marburg pense qu'on pourrait supposer une hype
rait supposer une hyperpinéatisme et une apinéalisme, selon que les tumeurs elles-mêmes produisent les mêmes produits que la
s que la glande pinéale, ou selon que la glande est détruite par la tumeur . Von Frankl-Huchwart donne une explication plus
il nous semble qu'on peut admettre la possibilité d'une aclion des tumeurs sur les centres nerveux, peut-être trophiques,
près de la glande pinéale; et les conclusions qu'on peut tirer des tumeurs nous semblent trop hasardeuses. Les méthodes qu
le. Reste à savoir quelle en est la cause. L'on peut soupçonner une tumeur , la syphilis, la tuberculose. L'hypothèse de
oupçonner une tumeur, la syphilis, la tuberculose. L'hypothèse de tumeur a pour elle la fréquence aujourd'hui démontrée
othèse de tumeur a pour elle la fréquence aujourd'hui démontrée des tumeurs de cette région el en particulier de l'angle pont
nto-cérébelleux. On apubliédenombreuses observations de ce genre de tumeur ,on en trouve l'énumération dans la thèse récent
. Souques (1) et dans le cas récent de Ferrari (2). Cependant ces tumeurs sont ordinairement plus antérieures vers la Ve
de stase papillaire. La stase papillaire est un signe inconstant de tumeur , mais son absence dans un cas comportant l'atte
PÉRIPHÉRIQUE 311 Pour ces raisons nous éliminerons le diagnostic de tumeur cérébrale; de façon absolue pour ce qui est des
iagnostic de tumeur cérébrale; de façon absolue pour ce qui est des tumeurs dites du nerf acoustique ; avec réserves pour c
s tous les cas et malgré quelques réserves sur la possibilité d'une tumeur en surface des méninges, cette malade paraît just
ion. Les symptômes du côté des nerfs crâniens, faisant penser à une tumeur , ne font que confirmer le diagnostic. À notre g
r cause soit l'action de poisons inconnus jusqu'à présent, soit une tumeur céré- brale, soit l'action déprimante des doule
Aniécédents irÉRÉDiTAiRES. Père asthmatique ( ? ),mère morte d'une tumeur l' utérine. Aucune notion de prédisposition név
t en gé- néral de sujets âgés ou bien présentant des lésions graves, tumeurs le plus souvent, qui ne permettent pas une surv
h8p., 19 juin 1908. (4) P. Sainton et Hathey, Myxoe¡fp>11c et tumeur de l'hypophyse. Contribution à l'é- tude des in
. Soc. méd. des hop., 8 mai 1908, p. 647. (5)Rnrxovv et CLAUDE, Les tumeurs de la glande pinéale chez l'enfant, Acad. de mé
fracture spontanée du col du fémur chez un cancéreux portant des tumeurs secondaires nletastaliques multi- ples (3 Pl.),
avec fracture spon- tanée du col du fémur chez Icre - portant des tumeurs secondaires métastatiques mul- tiples) (3 pl ),
lrihropalhie avec - du col du fémur chez un cancéreux portant des tumeurs secondaires métastatirlues multiples) (3 pl,),
l- tiples) (3 pl.) par Souques, 193. Hydrocéphalie ventriculaire ( Tumeurs obli- térant l'aqueduc de Sylvius) (2 pl.), par
et la fêle des loas du musée de lIIoi81(2 1'1.), IH\1' TIIHI JG9. Tumeur (oblitérant l'aqueduc de Sylvius. Jtydrocéphalé
ventriculaire) (2 1)1.), par .\ ! .QUJl;11 Cl ! \¡'\I\FlLD, 199. Tumeurs cérébrales altérations des tissus (2 pi.), par
racture spontanée du col du fémur chez un can- céreux portant des tumeurs secondaires mélalastiqucs multiples (3 pl.), 14
tile de date ancienne (4 pl.), 273 KLAnFELD (n) et Alquier (f3.). Tumeur oblitérant l'aqueduc de Sylvius. Hydro- cépha
précoce IIISULShI, LI. Arlhropathie et fracture du col du fémur. Tumeurs métastatiques secondaires chez un cancéreux (G.
Spondylose rhizomélique (Eldaroff), XVI à XVIII, XXXV à XXXVIII. Tumeurs cérébrales (VEOrn), XXII, XXIII. Le gérant : P.
30 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
crétineux de la face d'origine congénitale ( ? ). -Pas de goitre. - Tumeurs molles et mobiles de chaque côté du cou en dehors
'à l'état normal. Il n'y avait pas traces de glande thyroïde. Les tumeurs grais- seuses cervicales n'étaient pas enkystée
on sent à une certaine distance, dans le canal inguinal, une petite tumeur assez dure, mais non douloureuse à la pression
roite, au-dessus du testicule, sur le trajet du cordon, on sent une tumeur du volume d'un oeuf de pigeon sous laquelle but
t oedémateux et rénitent de la peau (cachexie pachy- dermique) avec tumeurs myxoetiémateuses disséminées. - Exercices. - Am
arités et anomalies des circonvolu- tions et des scissures ; petite tumeur siégeant sur un pli passage allant dela deuxièm
ou qui est en même temps très élargi, mais ne porte aucune trace de tumeur thyroïdienne. On sent distinc- tement le larynx
lles et en divers points du thorax, on la trouve soulevée par des tumeurs molles, tremblotantes, d'apparence oedémateuse. A
thermomètre appliqué sur le devant de la poitrine, puis sur une des tumeurs cervicales, a marqué successi- vement 3 : i°,6
petit oeuf de pigeon entre les deux sourcils; à la palpation, cette tumeur donne la sensation de l'oedème; elle présente à
plus courte et plus fréquente ; à la palpation, on croit sentir une tumeur assez dure, de l'S iliaque irrégulière, bosselé
té ceecale d'infé- rieure est devenue supérieure. Le tout forme une tumeur qui atteint une largeur de 11 centimètres in. L
ième à la troisième circonvolu- tion frontale, on trouve une petite tumeur de la grosseur d'une lentille, faisant une sail
tion frontale. C'est sur ce pli de passage que se trouve une petite tumeur de la grosseur d'une lentille (t.), tumeur un peu
que se trouve une petite tumeur de la grosseur d'une lentille (t.), tumeur un peu surélevée, énucléable et à la partie sup
, formait aux aisselles et au-dessus des clavicules ces masses ou tumeurs mollasses, d'aspect lipomateux, que nous avons
ormés. La glande thyroïde semblait diminuée, et il n'y avait aucune tumeur graisseuse anormale, au cou ou ailleurs. La ' T
étinisme sporadique était inva- riablement associé à la présence de tumeurs symé- triques dans la région sus-claviculaire e
il soit difficile de dire exactement ce que Ferrus entendait par la tumeur volumineuse du cou que présentait ce malade.
mique. 88 IDIOTIE CRBTINO1DE. 7° Kocher. - Femme, trente-six ans; tumeur colloïde, extirpa- tion totale le 25 mars 1881
enstruelles très irrégulières. 8o Kocher. - Femme, trente-huit ans; tumeur colloïde, extirpa- Fig. 14. - Elle représente u
a santé n'a fait que décliner. » 9° Kocher. - Marie B..., onze ans, tumeur folliculaire, extirpa- tion totale le 8 janvier
éminés dans une substance rougeâtre et glutineuse. Le raclage de la tumeur donne un suc lactescent assez clair, sauf au ni
ur au laboratoire des travaux pratiques. Cet examen a montré que la tumeur de la protubérance est constituée par du tuberc
BERCULOSE DE LA PROTUBÉRANCE. OBSERVATION Il (Parrot, Sur un cas de tumeurs slrumeu- ses de l'enci.pliale.llrcl2. de Pliysi
stance grise. On voit saillir dans l'espace interpédon- culaire une tumeur , grosse comme un oeuf de pigeon, repous- sant à
, le pédon- cule cérébral droit est étalé. Vers la protubérance, la tumeur est recouverte d'une mince couche de tissu nerv
mun droit est atrophié. En faisant une coupe, on remarque que la tumeur occupe tout le pédoncule, qu'elle s'étend en av
ntourée de substance nerveuse, ramollie et violacée par places. Une tumeur semblable, grosse comme une noix, se trouve à l
ant de 12 ans, mort do péritonite tuberculeuse. Pas de symptômes de tumeur de la protubérance bien qu'on en ait trouvé une
atie, tandis que la moitié gaucho est très proéminente et forme une tumeur .que contourne l'artère basilaire. L'artère cér
le bord postérieur do l'hémisphère gauche du cervelet, on voit deux tumeurs arrondies, irrégulières, ayant 1 centimètre do
CULOSE DE LA PROTUBÉRANCE. misplière droit, au même niveau, est une tumeur , grosse comme une lentille. A la pointe du lo
A la pointe du lobe occipital gauche du cerveau, on remar- que une tumeur large comme une pièce de dix sous, et, à 4 cent
èce de dix sous, et, à 4 centimètres en avant d'elle, est une autre tumeur . Ces tu- meurs ne soulèvent pas la première, et
de couleur gris-rouge sombre. Elle est résistante au toucher. Cette tumeur s'étend jusqu'à 3 centimètres en aval de l'entr
A environ 3 centimètres en aval de l'extrémité posté. rieure de la tumeur , on fait une section et on voit que presque tou
artie des pyramides et du stratum superficiel du pont est libre. La tumeur , vue dansson ensemble, est arrondieetgrosse com
e dansson ensemble, est arrondieetgrosse comme une châtaigne. Les tumeurs du cerveau sont des tubercules solitaires. Les
ce. avons citées, l'on voit combien sont variables les signes des tumeurs protubérantielles. La, paralysie croisée, bien
ourraient même, peut-être, faire songer, chez un tuberculeux, à une tumeur protubé- rantielle. MÉNINGITE TUBERCULEUSE. -
ssous de l'ombilic, on sent, sous la pa- roi abdominale, une petite tumeur mobile, assez dure, du volume d'une bille, et q
ein unique. - Inclu- sion de la verge. - Cloaque vésico-rectal. - Tumeur mixte (fibro-sarcome) du périnée ; Par BOURNEVI
l'urèthre, permet de constater que cette interruption est due à une tumeur qui a envahi une grande partie du pénis, et sur
loaque. - 2, Vessie ouverte antérieurement et postérieurement. - 3, Tumeur . - - 4, Pubis. - 5, Cloaque vésico-rectal. - G,
urneville, 1886. 14 202 fibro-sarcome. la vessie, se trouve une tumeur bourgeonnante (Fig. 21 et 22, 1,3), d'aspect sa
eur bourgeonnante (Fig. 21 et 22, 1,3), d'aspect sarcomateux. Cette tumeur a envahi toute la partie gaucho du bassin, les
près nor- Fig. 22.- 1, Rectum ouvert montrant les végétations de la tumeur (3) sur sa paroi interne. - 2, Vessie. - 3, Tum
égétations de la tumeur (3) sur sa paroi interne. - 2, Vessie. - 3, Tumeur . 4, Pubis. - G, Fente- dans laquelle se trouve
i rappelle la rotule. Examen histologique. - Dans les parties de la tumeur siégeant autour du pubis on trouve, à l'examen
res ; ce tissu fibreux se rencontre dans toutes les par- ties de la tumeur , mais prédomine dans les endroits d'apparence f
aux cellules embryonnaires dans les parties molles, jeunes, de la tumeur , telles que sur le rectum. - La nature des cel-
développement, dont a été atteint l'enfant Rat.... Il semble que la tumeur se soit développée dans les trois premiers mois
u gland dans la peau du périnée, par suite du développement de la tumeur d'arrière en avant, avait pu faire penser à l'exi
male des nerfs, des vaisseaux et des muscles, non intéressés par la tumeur . Cette ectromélie paraît être due à la tumeur;
non intéressés par la tumeur. Cette ectromélie paraît être due à la tumeur ; nous ne pouvons être plus affirmatifs, les cen
lopédique des sciences médicales, 38 série, t. III, p. 154, 1876. TUMEUR SARCOMATEUSE. 205 ment être examinés. La consta
ôle à ces organes dans la production de la mal- formation (1). V. Tumeur sarcomateuse périnéale et des organes en- viron
que quelques exemples rapportés par Virchow dans sa Pathologie des tumeurs et dans l'ar- ticle Sarcome du Dictionnaire enc
u Dictionnaire encyclopédique. La genèse des malformations et de la tumeur observées sur l'enfant Rat... reste encore en p
des appareils génito-urinaires par le fait du dévelop- pement de la tumeur , il est moins facile de comprendre comment cell
ant de la 2e à la 3" frontale gauche sur lequel se trouve la petite tumeur T. N. B. Sur le pli de passage reliant inférieu
31 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ricules latéraux et du troisième ventri- cule du cerveau, enfin des tumeurs et des hémorragies dans ces cavités amènent à l
nde pinèa- lis s. cenarium. Il arriva, en analysant tous les cas de tumeur de cette glande, le sien compris, cas connus pa
n bestehen, etc. » . ' Pli. Zenner (3) nous communique un cas d'une tumeur ovale de la glande pinealis (glande de 4/4. + 1
de la vue et la décadence de l'intelligence. Ranson (4) parle d'une tumeur du corpus callosum. On pouvait observer des tro
vait observer des troubles psychiques et des troubles de la vue. La tumeur commençait au milieu du corpus callosum et pous
as de maladie psychique et de fai- blesse physique à la suite d'une tumeur , qui commençait à l'hypophysis cerebri et faisa
bles des parois des cavités intérieu- res du cerveau, ainsi que des tumeurs et des hémorragies des dites cavités conduisent
ce, affections organiques du système nerveux, syringomyélie, lèpre, tumeur , névrite, sclérose en plaques, pouls lent permane
t à la partie moyenne. Il ne fut pas alcoolique. Sa femme mourut de tumeur abdominale il y a vingt ans; il eut de son mariag
DE L'ARTÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASSIQUES DE TUMEUR CÉRÉBRALE, DURÉE DE CINQUANTE-, CINQ ANS ET TER
sphère droit, entre les lèvres entrebâillées de cette scissure. une tumeur ovalaire, ne dépassant pas la surface des circonv
méninges molles qui sont de consistance et d'aspect normaux. Cette tumeur , d'apparence kystique, refoule en- haut et en deh
ant le pied de F3 (PI. XVIII). La substance cérébrale voisine de la tumeur est de couleur jaune-ocreux, sur laquelle tranc
r laquelle tranche la couleur blanchâtre de la partie visible de la tumeur . Les méninges qui passent comme un pont au-dess
, avec leurs vaisseaux. En écartant ces lèvres on s'aperçoit que la tumeur est beaucoup plus volumineuse qu'elle ne parais-
ut pas y retrouver à l'oeil nu l'aspect des circonvolu- tions. La tumeur proprement dite est ovalaire, à parois épaisses (
parois épaisses (PI. XVIII), résis- tante et fluctuante. C'est une tumeur anévrysmale qui s'est développée aux dépens d'u
n'est pas fait mention dans les observations que j'ai parcourues de tumeur anévrysmale aussi volumi- neuse, à beaucoup prè
t d'abord que le malade a présenté la symptomatologie classique des tumeurs cérébrales : céphalée paroxystique avec nausées,
leptiformes et apoplecliformes, amaurose rapide. Le dia- gnostic de tumeur cérébrale a été porté du vivant du malade ; le si
e tumeur cérébrale a été porté du vivant du malade ; le siège de la tumeur avait même été placé dans l'hémisphère droit au n
ne pouvait faire penser à un anévrysme et le diagnostic avait été : tumeur cérébrale bénigne. En raison de cette bénigni
ssée, c'est-à-dire à une progression vraisemblablement rapide de la tumeur . Puis les choses sont restées dans le même état j
u'il y a eu simple coïncidence entre le délire de persécution et la tumeur anévrysmale, mais on peut aussi admettre que ce
i les deux surrénales,qui pesaient, ensemble, 160 grammes.Une autre tumeur se trou vait,sur la ligne médiane,au-dessous du c
bro-sarcome de la lame droitede la 4.° vertèbre dorsale, extirpa la tumeur et les apophyses épineuse des 5" et 6e dorsales
dorsale. L'excision des 2e, 3e, 4 lames montra, dans le canal, une tumeur du volume d'une petite pomme comprimant la moelle
ge que d'ordinaire ; parfois elle est altérée dans sa forme, car la tumeur peut entamer et même détruire une partie de ses p
T. XXI. PI. L1R ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS . (Weber). , Observation X CLINIQUE PSYCHIAT
E DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER, professeur. En raison du te
r que tous ces phénomènes pathologiques devaient leur origine à une tumeur de l'hémisphère droit, région motrice. Soudée à l
'ouverture faite par le tré- pan aurait sans doute coïncidé avec la tumeur , celle-ci ayant refoulé en avant la zone motric
où elles se recourbent pour pénétrer dans la fente qui délimite la tumeur . Ces veines ne sont pas comprimées, elles ont une
ontale et temporale sont un peu dila- tées à gauche. A droite (côté tumeur ) leur forme s'est arrondie, mais sans qu'il y a
ur forme s'est arrondie, mais sans qu'il y ait dilatation vraie. La tumeur , en croissant, en avait au sur et à me- sure re
phère droit est au gauche comme 53 : 47. Même après déduction de la tumeur , le côté droit reste encore plus grand que le g
r amplement l'amaurose et le rétrécissement du champ visuel. ' La tumeur , un sarcome, a pénétré comme une sorte de coin da
ées) gonflées. Ces altérations se rencontrent encore en avant de la tumeur jusque vers le NOUVELLE Iconographie DE la Salp
T. XXI. Pl. LX ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS . (Weber). QUELQUES altérations DU TISSU céréb
ffert de la pression. Même dans les circonvolutions adjacentes à la tumeur le cortex a conservé une structure bien mieux des
la explique l'apparition précoce des troubles moteurs. Plus tard la tumeur pénètre dans la substance blanche et y gêne la
les masses colloïdes. Voici un exemple qui m'a paru frappant, d'une tumeur restée longtemps latente. Observation XI (PI. L
allons chercher à expliquer cela par la localisation spéciale de la tumeur . Elle n'était pas visible extérieurement; mais
du IIl° ventricule, où précisément on rencontre en premier lieu la tumeur . Elle agit ici comme un coin. Les parois y sont t
re cavité avec contenu colloïde se voit à la base et à droite de la tumeur ventriculaire. Par l'angle externe du ventricul
ventricule latéral, traversant la substance grise sous- épend., la tumeur s'est étendue dans le lobe frontal gauche. Elle n
ion est diffuse, mais pas très dense. De petites particules de la tumeur ont peut-être été transportées par le cou- rant
s cellules sarcomateuses. 3° De dégénérescence colloïde ( ? ) de la tumeur . Fig. 2. V. Vaisseau. - Ep. Espace périvasculai
sion a at- teint un degré moindre que par exemple dans le cas d'une tumeur encap- sulée et agissant surtout par déplacemen
que peu gêné. Tout cela a contribué à ce que, pendant longtemps, la tumeur occa- sionna peu de symptômes. - Faut-il attr
sie en rapport avec l'éthylisme notoire du malade et ne donner à la tumeur que le rôle d'un adjuvant ? En tous cas le déli
é. (Voir obs. VI, n° 3, 1906.) ' Remarque commune aux deux CAS.-Les tumeurs n'agissant que peu sur le courant céphalo-rachi
T. XXI. Pl. LXI ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS . QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 367 O
ccusée, la marche par à-coups de la maladie, faisaient penser à une tumeur . Le manque de phénomènes 368 R. WEBER de pres
ittaux sont mal dessinés. Avec la pointe du N. C. apparaît aussi la tumeur . C'est un syphilome dont certaines parties sont
sent pas au même niveau. Dans le cas qui nous occupe par exemple la tumeur a repoussé les masses grises de la base. Elle en
s grandes et la couronne rayonnante réapparaît. Insensiblement la tumeur descend, dégageant de plus en plus N. C. et C. i.
ceaux passant par l'insula. On remarque que la localisation de la tumeur correspondrait assez bien avec la zone lenticul
examen impossible. Le cervelet et l'oblongata ne contenaient pas de tumeur ; atrophie et dégé- nérescence de la pyramide g
e latéral est peu dilaté à droite, c'est-à-dire du côté opposé à la tumeur ; il en est généralement ainsi. Cependant l'atrop
ne certaine partie du cerveau peut masquer le développe- ment d'une tumeur dans une autre. En effet, dans ces conditions, la
cela est-il bien justifié ? L'étude des altérations produites par les tumeurs est de nature en faire douter beaucoup. M. Re
h a recherché les lésions diffuses de l'écorce dans quelques cas de tumeurs cérébrales (Festschrift zur Feier des 25 'jach1 ?
yme d'association : on ne peut guère en douter. Or, dans les cas de tumeur que j'ai eu l'occasion d'examiner, le travail a
liedlich cité par Schiller parle dans le même sens. Dans le cas de tumeur de l'hypophyse de Peclalcranz et Zak (cités par S
es ont été trouvées complètement hypoplasiques. A propos des cas de tumeurs de la base (surtout hypophy- saires) liés à l'h
ral toujours assez graves pour faire porter un diagnostic erroné de tumeur cérébrale ; dans quelques cas la guérison seule
(plus de deux ans) ne parle pas absolument contre le diagnostic de tumeur cérébrale, parce que nous savons que surtout le
agnostic de tumeur cérébrale, parce que nous savons que surtout les tumeurs du cervelet, du lobe frontal droit et de la bas
La. lâche de déterminer une zone silencieuse, comme siège de celte tumeur éventuelle, serait donc très malaisée si nous n'é
nte que l'on sait que l'hypophyse est souvent le point de départ de tumeurs ou de kystes à développement très lent et qui p
aits dystrophiques partiels ou diffus. L'hypertrophie simple ou une tumeur de l'hypophyse. causent le plus souvent, comme
il a été démontré en effet, par quelques rares observations que les tumeurs de la base et surtout celles de l'hypophyse peu
Dans les quatre observations de Jamagucki les premiers symptômes de tumeur de la base furent justement l'atrophie des nerfs
seulement plus tard. Axehfeld a depuis 1903 mis' en relief que les tumeurs de la base' qui atteignent l'hypophyse sont cel
lus souvent l'aménor- rhée et l'atrophie optique. Sur quatre cas de tumeurs de celle nature il observa trois fois l'aménorr
optique qui n'avaitpas été précédée de papillite. Dans le cas de tumeur de l'hypophyse de Pechkranz et Zak, cité par Sc
é des faits d'infantilisme partiel chez une jeune fille atteinte de tumeur de l'hypophyse : Hueter a trouvé à la nécroscop
z l'homme aussi l'hypoplasie des organes génitaux par le fait d'une tumeur de l'hypophyse (F/'ohlich). Millier soutient qu
ts de papillite,mais il n'y eut pas d'hémia- nopsie bitemporale. La tumeur de l'hypophyse était un tératome. Dans le deuxi
isme hypothyroïdien, et à la nécroscopie on trouva au contraire une tumeur fibreuse calcifiée de la tige de la glande pituit
à formuler avec sûreté l'hypothèse clinique que dans notre cas une tumeur de l'hypophyse soit la cause unique non seulement
l'hypophyse chez la soeur cadette Adrienne. Contre un diagnostic de tumeur de l'hypophyse on peut invoquer enfin des argum
âniens ni d'anos- mie, symptômes qui sont fréquents dans les cas de tumeurs de l'hypophyse. Dans celles-ci on a aussi fréqu
ntraire deux symptômes qui sont extrê- mement rares dans les cas de tumeur dé l'hypophyse. En effet Axenfeld, C2crsclaing,
zoson et Habers7aona, .4.bel"dol'll soutiennent que dans les cas de tumeurs de l'hypophyse la papillite est extrêmement rarep
ment de la maladie, est aussi rare que la papillite dans les cas de tumeur de l'hypophyse et elle est déterminée alors par l
hyse et elle est déterminée alors par la pression de la masse de la tumeur sur les fissures orbitales. Un dernier argument
s orbitales. Un dernier argument qui parle contre l'hypothèse d'une tumeur est donné par la marche de la maladie; après la
t atténués ; tout cela est mal con- ciliable avec l'hypothèse d'une tumeur dont les proportions ne devraient .vraiment pas
a selle turcique. L'hypothèse qu'il s'agisse dans notre cas d'une tumeur de l'hypo- physe de nature bénigne probablement
st beaucoup plus riche et telle que l'erreur de diagnostic avec une tumeur cérébrale est presque inévitable ; on peut avoi
très vives, tremblement intentionnel, atonie, etc. (Oppenheim).Une tumeur cérébelleuse avec hydrocéphalie secondaire peut
et qui doivent être considérées au moins comme rares dans le cas de tumeur cé- rébrale ; enfin l'absence de tout symptôme
tracée plus haut, et qui conduit presque forcément au diagnostic de tumeur cérébrale, et nous n'eûmes non plus aucun symptôm
n bei basalen Tumoren. Neurol. Centralbl., 1903, p. 608. BABixsm. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
, 17 jan- vier 1896, 22 janvier 1897. ' BRECMANN et STE11OEAUS. - Tumeurs de l'hypophyse et de la région hypophysaire. Jo
, 1890. CUSHING. Infantilisme sexuel avec atrophie optique dÛ à une tumeur de l'hypo- physe. Journ. of nerv. and ment. dis
e. Wiener klin. Rundschau. 1901, nos 47-48. Fucus. Diagnostic des tumeurs de l'hypophyse. Iahrb. f. Psych., 1904, vol. XXVI
. Journ. of the med. Sciences, 1898. ' RAYMOND. Le sommeil dans les tumeurs cérébrales. Pr. médicale, 3 janv. 1906. REONAUL
pzig, 1902. Soca. Sur un cas de sommeil prolongé pendant 7 mois par tumeur de l'hypophyse. Nouv. Icon. de la Salpêtr., 190
II. De quelques altérations du tissu cérebral dues à la presence de tumeurs (3 pl.), 359. \V¡CIOEHSnEIMEII. Un accoucheme
ne branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tumeur cérébrale ; durée de 55 ans ; terminaison par s
sme'volu- mineux d'une branche de l' -) ou syl- vienne. signes de tumeur cérébrale : durée de 55 a-s - terminaison par s
ar HEITZ 90. Cérébral (Altérations du lissu dues à la présence de tumeurs ) (6 pl.), par Weber, 359. ' Chirurgiens grecs
trophique - aiguë à type descendant) \3 pl.), par L'ATOLA, 129. Tumeur cérébrale (Anévrysme volumineux d'une branche d
de 55 «ns,lerrninaison par suicide) (1 pl.), par Souques, 108. Tumeurs (Altérations du tissu cérébral dues à la présen
(Rose), VU et VIII. Trophoedème (COUnTEI.LE ? 10 ? T), IX et X. Tumeurs cérébrales (Weber), LIX à LXl. Le gérant : P. B
32 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Janvier 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Tumeur cérébrale avec abolition des réflexes tendineux
à première vue ; il s'agit, je vous le dis, par avance, d'un cas de tumeur cérébrale. Mais, de plus, on trouve, chez cette
ette malade, quelques phé- nomènes que ne suffit pas à expliquer la tumeur cérébrale; c'est sur ces phénomènes, sur leur s
r la très intéressante localisation et sur la nature probable de la tumeur présentée par la malade à cause des développeme
e attention et déjà orienter votre esprit vers le dia- gnostic. - TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 3 Cet état per
cette malade ne présente que des phénomènes de parésie et d'as-' TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 5 thénie muscu
e et de l'épaule). Ce n'est pas la règle, vous le savez, dans les tumeurs cérébrales ; il est commun au contraire de trouve
par la malade ; on voit qu'il justifie pleinement le diagnostic de tumeur céré- brale que j'avais porté dès le début de c
ture de cette compression, caractérisée par l'augmentation de lai TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 7 pression du
i là plus de signes qu'il n'en faut pour affirmer l'existence d'une tumeur céré- brale et je ne m'attarderai pas à discute
eaucoup plus difficile de déterminer le siège et la nature de cette tumeur ; je ne puis insister aujourd'hui sur ce sujet,
pédoncule cérébral droit, ont-ils été sim- plement comprimés par la tumeur ? ce sont autant de points sur lesquels je revi
r lesquels je reviendrai. En tous cas, je pense vous montrer qu'une tumeur unique peut suffire à expliquer les phénomènes
à expliquer les phénomènes observés. - Quant à la nature de cette tumeur , étant donnés les anté- cédents tuberculeux hér
que cette abolition des réflexes est encore sous l'influence de la tumeur cérébrale et qu'elle est due à la compression m
ssaire : des travaux assez récents ont montré l'existence, dans les tumeurs cérébrales, de lésions médullaires : en Allemag
ésions des racines et cordons postérieurs de la moelle au cours des tumeurs céré- brales. Je ne veux pas énumérer ici les n
èves, MM. Cl. Philippe et P. Lejonne, à entreprendre quelques re- TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 9 cherches, su
Lejonne ont été conduits à admettre que les lésions médullaires des tumeurs cérébrales sont nettement individualisées non s
ontrent souvent dès les premières manifestations symptômatiques des tumeurs cérébrales, au niveau des cordons et racines po
nt été extraits de leur canal osseux, on fut surpris de constater TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. J ! 1 leur vol
réquemment augmentée, souvent à un degré considérable, au cours dès tumeurs cérébrales, ainsi que ces auteurs ont pu s'en c
un excès de tension du liquide céphalo-rachidien, comme dans les tumeurs cérébrales, et nécessairement il y aura d'abord
ôté des accidents de compression cérébrale, si communs au cours des tumeurs de l'encé- phale. Et maintenant, je voudrais,
les malades ne souffrent pas autant que les tabétiques, cela est TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 13 certain d'a
énomènes que se réduit la compression médullaire, consécutive aux tumeurs cérébrales, dans tous les cas observés à la Salpê
ment votre attention. Donc, lorsque vous rencontrerez, au cours des tumeurs cérébrales (ce. mot étant pris dans son sens gé
phalo-rachidien et indique la gra- vité des désordres causés par la tumeur . Elle est,impor- tante aussi au point de vue de
e féminin, âgée d'un jour, vigoureuse, sans ano- malie autre qu'une tumeur volumineuse faisant saillie hors-de la fontanel
lumineuse faisant saillie hors-de la fontanelle postérieure ; cette tumeur a douze pouces de circonfé- rence, elle est cou
es à cemoment, ne tarde pas à perdre de son poids; en même temps la tumeur augmente sensiblement de volume et de tension.
olume et de tension. Pas de convulsions même quand on comprime la tumeur . Au bout de vingt-six jours, signes de collapsus
issent nor- maux. De la fontanelle postérieure part une volumineuse tumeur kystique, fluctuante, transparente et mesurant
accidents convulsifs permettent d'établir que l'évolution de cette tumeur a duré plus de quatre ans, tout en laissant per
lter et 13RIQUEL (Nouv. Iconogr. de la Sal- pétnièue, n° 3. 1902. Tumeur de la grosseur du poing, implantée à la région fr
ied, la partie antero-interne à la jambe. G. D. XXIX. Sur un cas de tumeur du canal rachidien (segment dorsal); par le pro
s. Le malade succomba rapidement à une hémorragie provenant de la tumeur . G. D. XXX. Asymétrie dolorifique; par IoTEYKoe
n centre spécial pour la douleur. G. D. XXXI. Sur un autre cas de tumeur du canal rachidien (segment dorso-lombaire), pa
'intégrité de la colonne vertébrale, ne peut être que le fait d'une tumeur intra-vertébrale n'ayant pas encore provoqué de l
roir de la main gauche. ' G. D. XXXIII. Examen histologique d'une tumeur cérébrale présentée par le Dr Cuylitz ; par le
figures, la pre- mière a été suivie d'autopsie; il s'agissait d'une tumeur cérébrale intéressant la pituitaire naturelleme
rébrale intéressant la pituitaire naturellement. La nature des deux tumeurs comme dans le cas le plus ordinaire d'acromégal
rme d'un délire alcoolique sans troubles objectifs. D'autre part la tumeur est un adénome vrai de l'hypophyse ; or le suje
de est peut-être fort importante pour expliquer cette anomalie : la tumeur hypo- physaire étant survenue chez un homme âgé
ues (altérations méningo-corti- cales profondes de certains idiots, tumeurs cérébrales, esquil- les, etc.). Je remarquai qu
cheval qui sont englobés ainsi que le cône terminal, par une grosse tumeur conique, de texture sarco- SOCIÉTÉS SAVANTES. -
isphère gauche; il se peut qu'ultérieurement se soit développée une tumeur isolée du pédoncule cérébral. REVUE D'ANATOMI
Jeunet et Bmssaun montrent un malade atteint vraisembla- blement de tumeur cérébelleuse sans qu'on ait trouvé ni syphilis ni
Marinesco communiquent un cas d'hémiplégie gauche produite par une tumeur de la région pariétale faisantcorps avec l'os.
ants à éclaircir, et vous l'avez deviné, la raison pour laquelle la tumeur cancéreuse indolente par elle-même devient parf
ance assez particulière : son premier mari aurait été atteint d'une tumeur , diagnostiquée comme un « enchon- drome ». Ce n
mennt cancéreuse par son évolution et sa cons- titution anatomique; tumeur qui d'emblée est l'occasion de troubles sensiti
et vous avez vu débuter les symptômes nerveux en même temps que la tumeur ; leur évolution ultérieure a suivi la même marc
nt remarquer mon col- lègue Klippel : « Le cancer est à la fois une tumeur et une ce cachexie ; il peut léser les organes
ur et une ce cachexie ; il peut léser les organes nerveux comme « tumeur , c'est-à-dire directement ; il peut, d'autre part
are que la compression, cet envahissement peut se faire soit par la tumeur primitive, soit par ses metastases, mais comme
aux, il y a -toujours un rapport de contiguité immédiate avec une tumeur quelconque : « Nous ne connaissons aucun cas où
énéralisatrice est faible, comme le cancroïde de la peau, comme les tumeurs squir- reuses (à condition toutefois que ces de
dissection, ni au sein des plexus. Dans les nerfs, au voisinage des tumeurs , il y a une proli- fération de la gaine lamelle
ompression de troncs ner- veux isolés, ou réunis en plexus, par une tumeur volumi- neuse est un phénomène bien plus fréque
t 10.) . . `, . -. Fig. 9. Aspect du plexus brachial engainé par la tumeur . 294 " - CLINIQUE NERVEUSE.' - " - Dans certa
s, mais surtout votre diagnostic sera conduit par la présence d'une tumeur axillaire ou sus-claviculaire, l'oe- dème et le
isolé. Les plexus lombaire et sacré sont surtout atteints par les tumeurs primitives du bassin et de l'abdomen, bien plus
es et du méloena. La palpation révéla que nous avions affaire à une tumeur gastrique. ' LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYS
auteur. Pourquoi donc alors ne pas penser à une pénétra- tion de la tumeur cancéreuse simultanément ou du moins à interval
te-neuf ans, atteinte d'un squirrhe atrophique de la mamelle. Cette tumeur fut opérée, ce qui n'empêcha pas la récidive. A
res et personnels. Votre tâche sera facilitée si vous constatez une tumeur aisément accessible ou une cicatrice opératoire
out les pachyméningites, la syphilis, la tuberculose du rachis, les tumeurs des nerfs peuvent donner lieu à un complexus do
ndrome pseudo-cérébelleux d'origine bulbaire. G. Carrier., XXVII. Tumeur cérébrale avec symptômes d'immobilité ; par 11.
, 10 mars 1902). M. L. Dor présente un malade qui est atteint d'une tumeur céré- brale et qui a des symptômes de la maladi
mais en dehors de ce symptôme rien n'indiquerait l'existence d'une tumeur cérébrale, s'il ne présentait une « immobilité
e jours après une contusion grave du coude gauche, apparition d'une tumeur dure, mobile et progres- sivement croissante, s
cas d'hémianesthésie absolue, due à la compression qu'exerçait une tumeur sur la.V° et VIIIO paire et le corps restiforme d
MUSGRA'E-CHY. LXIV. Un cas d'anévrisme thoracique ayant simulé une tumeur du médiastin; par Robert PuGH. (The Journal of
l'évolution du squelette des enfants. G. Carrier. XXXXVI. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique et à évolu
la nature toxi-m- fectieuse de quelques-unes des manifestations des tumeurs . Le début de l'affection se fit par une période
a pression, correspondant au pied de la frontale ascendante- Pas de tumeur visible à la convexité, absence de battements,
nale brusque, onze jours après l'in- tervention. Autopsie. Grosse tumeur développée au niveau de la partie REVUE DE PATH
Petite hémorragie méningée récente. Diagnostic macroscopique de la tumeur : Gliome. Les auteurs mettent en évidence la fo
Le foyer dou- loureux est en général en rapport avec le siège de la tumeur ; cette douleur très localisée existait au plus
tait au plus haut point chez leur malade et correspondait bien à la tumeur . Mais le fait que celle-ci n'était pas cortical
fection aiguës à la théorie de l'action 1 purement irritative de la tumeur . C'est cette dernière théorie que ' les auteurs
ril 1903). E. B. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. IX. Stase papillaire par tumeur cérébrale. Intervention; par L. Dort {Société d
de Lyon, 19 mars 1902). M. L. Dor présente une femme atteinte d'une tumeur cérébrale. Elle présentait il y a neuf ans une
cas d'hémorragie cérébrale, tabes (dix fois sur douze) paraplégie, tumeur cérébrale, épilepsie tardive et jacksonienne. Ell
délicatesses de structure. R. DE MUSGW1VE-CLaY. LXXIX. Un cas de tumeur cérébrale compliqué de folie confusion- nelle d
- pathique, elle-même nettement alcoolique et qui succomba aune « tumeur paraissant avoir son origine dans la dure-mère, s
a selle turcique et enva- hissant le lobe temporo-sphénoïdal. Cette tumeur était probable- ment de nature sarcomateuse. Le
de montre bien les difficultés qui accompagnent le diagnostic d'une tumeur céré- brale. D'abord, il n'y avait ni céphalalg
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481 fussent communs à toutes les tumeurs cérébrales. La réponse est forcément négative,p
forcément négative,pusique les symptômes dépendent du siège de la tumeur , de son volume, de sa nature et de la rapidité de
ppement. Les recherches statistiques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale, les troubles mentaux ou intellectuels.
une fois sur douze, et la folie très rarement. On dit aussi que les tumeurs qui empié- taient sur les lobes frontaux s'acco
ologique de la démence et décrivent une forme psycho-paralytique de tumeur cérébrale, dans laquelle les troubles psychique
rmale et régulière. Rail a donné l'instabilité comme un symptôme de tumeur cérébrale, permettant le diagnostic diffé- rent
tumeur cérébrale, permettant le diagnostic diffé- rentiel entre la tumeur et le ramollissement. Dupré et Devaux donnent u
cité et la curiosité de l'enfance. On a donné aussi comme signe des tumeurs cérébrales les impulsions, puis un «automatisme
s pouvant dans ces divers états pathologiques ressembler à ceux des tumeurs du cerveau. En résumé, en ce qui touche les tro
existe aucun symptôme qui soit caractéristique de la présence d'une tumeur cérébrale, ni indication du siège de cette tume
présence d'une tumeur cérébrale, ni indication du siège de cette tumeur . R. de nIUSGR.1'E-CL4S'. LXXX. L'alcalinité du
e M. Dieulafoy à l'Académie de médecine, il ressort ce fait que les tumeurs ne peuvent servir au diagnostic des localisations
M. Lannois fait remarquer en outre la tolérance du cerveau pour les tumeurs ou mieux la lenteur avec laquelle celles- ci prog
Anevhisjie. Un cas du. par l'ugh. 338. Un cas d'-avant mmnlé une tumeur du médiastin, par l'ugh, 382. n Aphasie. Cont
la sensibilité pilaire, par Os- sipow, 56. Canal rachidien. Voir Tumeur . Cancer. Les localisations du - sur le svstèm
athologiques, par Gilbert, Ballet et Delherm, 344. Réflexes. Voir Tumeur cérébmcle. Du - hypogastrique, par Beelite- r
t une méthode corrélative, par Bond, 407. Stase papillaire. - par tumeur cérébrale. Intervention, -414. Stimulus. Voir
erveusPS et tnentalPS, tar uo, selli. 178. Voir Asiles d'aliénés. Tumeur céiébrale avec abolition des réflexes te nrii n
33 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
oitié de la moelle est interrompue dans sa continuité, soit par une tumeur - cela se voit notamment dans les cas de glioma
assez rares. On les rencontre le plus souvent sous forme de petites tumeurs arrondies, séniles ou pédiculées, contenant tan
action mortifiante dépasse souvent son but ci détruit il la fois la tumeur et les parties saines environnantes. De pa- rei
ée de Buda-Pesth. 106 Année N° 2 Mars-Avril 1891 DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE SANS LOCALISATION POSSIBLE PAR E.
e des médecin de l'Hôpital St-Antoine. Hôpitaux. La chirurgie des tumeurs cérébrales est une triste chirurgie. Elle n'a son
éra- tion, au moins pour un temps. Nous n'avons pas diagnostiqué la tumeur , et cependant cette tumeur était superficielle,
temps. Nous n'avons pas diagnostiqué la tumeur, et cependant cette tumeur était superficielle, bien limitée, facilement é
par accuser la chirurgie cérébrale. Néanmoins nous déclarons que la tumeur en question ne pouvait pas être diagnostiquée ;
t que nous eussions été en mesure d'affir- mer l'existence de cette tumeur , d'en préciser le siège et d'en déterminer la n
a nature. Toutes les statistiques démontrent surabondamment que les tumeurs cérébrales sont en majeure partie de nature mal
3 gommes ; . 2 gliosarcomes ; . 1 fibrome ; 1 angiome ; '7 tumeurs de nature indéterminée. Ainsi donc, c'est le sa
plore pas la prédominance numérique du sarcome sur les kystes, les tumeurs et les gommes ; ce serait, d'après cet auteur, la
stes, les tumeurs et les gommes ; ce serait, d'après cet auteur, la tumeur qui com- porte le meilleur pronostic ! « Il y a
a chirurgie que de la médecine. Est-ce à dire que pour les autres tumeurs cérébrales l'intervention chi- rurgicale doive
les plus superficielles de l'écorce, il manque fréquemment dans les tumeurs qui n'intéressent pas directement les cel- lule
intéressent pas directement les cel- lules motrices, ou lorsque ces tumeurs absorbent les dites cellules dans un processus
ans un processus rapide de transformation néoplasique. De plus, les tumeurs situées en dehors de la zone rolandidueaccusent
sence par (1) Médical Record, February, I, 1896. DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 75 des troubles variés de la tension
tement du territoire rolandique. Donc, de deux choses l'une : ou la tumeur trahit sa présence par le syn- drome classique
ussi de remarquer que le dilemme n'est pas rigoureusement vrai. Les tumeurs cérébrales ont une symptomatologie essentiellemen
ksonnienne fournira un signal-symptôme qui ne correspondra pas à la tumeur prévue mais bien à une lésion de voisinage, irr
Pendant qu'on hésite le malade meurt,et l'autop- sie met a jour une tumeur facilement énucléable, c'est-à-dire une rare occa
légers et très fugitifs. Le bras ne fut d'ailleurs DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 77 jamais ni affaibli, ni maladroit,
le étiologieinvoquer... et cependantnous voulions diagnostiquer une tumeur cérébrale... quelque kyste peut-être ? . La c
s, et que l'ophtalmoscope révèle fatalement un jour ou l'autre. Les tumeurs cérébrales, lorsqu'elles donnent lieu à des sym
ues heures les crises épileptiques éclatèrent avec DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 79 une violence inouïe, et le malade
re fortement vascularisée et dans sa partie droite soulevée par une tumeur molle presque fluctuante, qui fit facilement he
certaine étendue, limitée, il est vrai, cette méninge adhérait à la tumeur d'une façon intime. Cette partie adhé- rente fu
l'extrac- tion de l'encéphale put être faite sans difficulté. La tumeur siège sur la première circonvolution frontale à u
par un large pont de substance néoplasique. A la face externe, la tumeur s'étend sur les deux premières circonvolu- tion
l point, mais les adhérences de sa face profonde sont telles que la tumeur et la substance cérébrale semblent ne faire qu'
e faire qu'un seul bloc ; c'est à peine en effet si les bords de la tumeur se décollent du cerveau et à quelques millimètres
oupe verticale et transversale, passant par la partie médiane de la tumeur et intéressant la totalité du lobe frontal, il es
renciation ne repose que sur un léger changement de coloration : la tumeur est plus rouge.- Quant à distinguer, dans le ce
ls sont en résumé les caractères objectifs et les rapports de cette tumeur . Sa nature se révèle après une simple dissociat
e point de départ de ce sarcome. Nous avons dit que les bords de la tumeur se continuaient directement avec la pie-mètre c
pie-mère étant détachées au voisinage et sur les bords mêmes de la tumeur , il fut facile de constater que cette méninge, sa
, de cellules embryonnaires et ne tardait pas à faire corps avec la tumeur elle-même. Enfin les coupes démontrèrent d'une
es démontrèrent d'une façon certaine la nature sarcoma- teuse de la tumeur dont l'origine pie-mérienne ne semblait plus guèr
rophiée ; une limite nette sépare les deux tissus. Le tissu de la tumeur est formé de petites cellules rondes, chacune de
yonnaires, et non dissociée par elles. ' A sa face inférieure, la tumeur est étroitement juxtaposée à la substance céréb
aties. D'ailleurs les parties sous-jacentes elles- DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 81 mêmes sont également plus denses,
ormuler d'une façon très précise le diagnostic histolo- gique de la tumeur : sarcome à cellules globo-cellulaires, siégeant
a nullement surpris. Nous avions admis d'abord la probabilité d'une tumeur , puis nous avions abandonné cette hypothèse et
e ; car, pour produire une céphalée si terrible et- si diffuse,' la tumeur devait être de dimensions notables. Or, les papil
ous renseigne assez exactement sur le méca- nisme des symptômes. La tumeur était déjà constituée lorsque le premier accès
l- sions bilatérales étaient plus prononcées à gauche parce que la' tumeur , quoique située en dehors de la sphère motrice,
-rnë'7aiôn encore allez" Stan; lorsqu'il soutient que de toutes les tumeurs cérébrales, c'est le sarcome qui comporte le pro-
le sarcome qui comporte le pro- nostic le moins défavorable. Une tumeur qui ne se traduit que par une épilepsie essentiel
e tumeur qui ne se traduit que par une épilepsie essentielle et une TUMEUR CEREBRALE. Sarcome de la pic mcrc, lobe frontal
be frontal droit. MASSON & cie, Éditeurs. 5. DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 83 céphalée diffuse peut-elle être di
3 ou 4 se- maines. Mais il fut étonné en constatant à ce moment une tumeur dure ayant à peu près le volume qu'elle présent
de jonction de la moitié supérieure avec la moitié inférieure, une tumeur dure, incompressible, immobile, fixe sur l'os s
incompressible, immobile, fixe sur l'os sous-jacent. C'est cette tumeur qui a été diagnostiquée par un certain nombre de
). Tout d'abord, on voit sur la continuité de l'os, au niveau de la tumeur , un changement de densité de la substance osseuse
en quatre catégories : 4) torticolis ré- sultant de la présence de tumeurs diverses du cou ; 2) torticolis par lésion des
e professeur Gross, pour une tu- meur de la lèvre supérieure. Cette tumeur siège du côté droit, vers l'union du 1/4 extern
é droit, vers l'union du 1/4 externe et des 3/4 internes. C'est une tumeur érectile, qui est très facilement enlevée. -
encore, en le do- tant d'un double goitre (Fig. 2). Deux grosses tumeurs arrondies pendent au bas de son cou, séparées l'u
ations de goitreux. Il possède en effet de chaque côté du cou, deux tumeurs mamelonnées qui semblent se rejoindre sur la li
deux favoris charnus, peuvent tout aussi bien représenter d'autres tumeurs du cou, solides ou liquides, lipomes ou kystes,
déjà rabougri et d'aspect rachitique, est encore criblé de petites tumeurs arrondies, sortes de ver- rues armées de poils
s joues, le nez, les lèvres le menton, et même envahissant les deux tumeurs . La présence de ces excroissances verruqueuses
vivement : « La disposition topographique d'une partie des petites tumeurs que porte sur le visage le sujet de la gravure
goitreux. 300 HENRY MEIGE * les neurofibromateux présenter des tumeurs cutanées, et sur le front, au- dessus des sourc
vers la queue du sourcil gauche, on en devine d'autres ; toutes ces tumeurs sont à leur place s'il s'agit d'un cas de neuro
neurofibromatose généralisée. · « Les caractères individuels de ces tumeurs , leur siège superficiel, leur petite dimension,
re. Il en manque au contraire dans certaines régions d'élection des tumeurs cutanées de la neurofibro- matose. « Quant à
es tumeurs cutanées de la neurofibro- matose. « Quant à la grosse tumeur qui tombe de l'angle du maxillaire infé- rieur,
sse ici d'un névrome ple.1Jifor ? /w. « Mais à droite,il existe une tumeur semblable. Aurait-on donc affaire à deux névrom
s cliniques observés. Cependant rien n'est impossible à ce genre de tumeurs de forme et de siège irréguliers et bizarres. 1
qui concerne le diagnostic de névrome plexiforme appliqué aux deux tumeurs du cou, doit être un peu plus accentuée. " « D'
s du cou, doit être un peu plus accentuée. " « D'autre part, grosse tumeur pendante, petites tumeurs cutanés, sont ici réu
u plus accentuée. " « D'autre part, grosse tumeur pendante, petites tumeurs cutanés, sont ici réunies. L'esprit est tout de
lupart sont garnies de poils longs et raides. Mais les deux grosses tumeurs du cou font complètement défaut. On pourrait y
èce la plus proliférante, formant autour du cou un épais collier de tumeurs auquel pend, en manière de médaillon, un dernie
sous la peau. Ces derniers donnaient, pa- raît-il, naissance à des tumeurs grouillantes que des observateurs convain- cus
aumatique ou spontanée, la section ou l'hémisection médullaire; les tumeurs de la moelle ou des méninges (tuberculose, sarc
végétations ostéophytiques énormes, qui ressemblaient à de grosses tumeurs enchondromateuses : indolence relative, absence d
e par éclat de de verre (Blum), plaie par arme à feu (W. Mitchell), tumeur (Puckard), contusion ou luxation de la tête hum
nt pas pu nous procurer le tra- vail original. (3) Dans un cas de tumeur cérébrale, Charcot trouva les synoviales très inj
papuleuses qui grossissent peu à peu, de façon à former de petites tumeurs d'un rouge brunâtre, tirant sur le bistre, ou p
iformité d'aspect, à première vue et à distance » (1). Parfois, les tumeurs lépreuses se résorbent ou subissent la transforma
e tubercules envahissant les joues, les lèvres, le nez et les yeux, tumeurs saillantes et arrondies, dont plusieurs semblent
mental (son traitement médi- cal), par FEINDEL (1 planche), 404. Tumeur cérébrale sans localisation pos- sible (diagnos
ravures), 240. BRISSACD (E.) et E. DE MASSARY. Dia- gnostic d'une tumeur cérébrale sans lo- calisation possible (2 photo
hes), 84, 202, MnssnftY (E. DE) etE. BRISSAUD. Diagnos- tic d'une tumeur cérébrale sans locali- sation possible (2 photo
, II. Tic du colporteur, XXVI. Torticolis mental (3 cas), XLVI. Tumeur cérébrale, sarcome de la pie- mère, lobe fronta
34 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
é les extractions de dents, les sections de nerfs, les dissections de tumeurs ..... Nous dirons donc vite, qu’en Angleterre, d
traitement. Cependant l’application de la main faisait disparaître la tumeur , qui ne revenait que quelques jours après : il es
nt à Saron. « Le nommé Raguier a élé guéri par mon somnambule d’une tumeur blanche au genou, répulée incurable. Il demeure à
nétique, fut examiné avec soin le 1er janvier 1847. Je trouvai que sa tumeur était en grande partie liquide, qu’elle provenait
de montrer son mal, il fut très-surpris de voir le lit mouillé et sa tumeur considérablement diminuée. On lui montra le trou
ans, et demeurant à Dingavanga.cn Calcutta, est affecté d’une de ces tumeurs si communes dans l’In3e, depuis environ seize ans
’on le piqua; mais lorsqu’on lui releva, par un mouvement brusque, la tumeur vers l’abdomen , il s’éveilla. 24 mars. Il a ét
gné de vingt-cinq milles, lillc souffre depuis environ deux ans d’une tumeur cartilagineuse de chaque oreille ; la gauche est
ifficulté. On lui secoua fortement les oreilles; on marqua d'encre la tumeur du côté gauche , pour indiquer le contour du cart
présence d’un grand nombre d’Européens et d’indigènes. Les trois tumeurs furent disséquées sans précipitation et sans exci
a fait environ onze milles par jour pendant quatorze jours. Il a une tumeur scrotale depuis dix-huit ans à peu près, et une d
s, et une de ses jambes est affectée d’éléphantiasis. Le volume de la tumeur est à peu près trois fois celui d’une tète d’homm
cinquante ans, résidant à karawa, vingtrquatre Pur-gunnahs. Il a une tumeur scrotale depuis huit ans. II doit être mesmérisé
l’a piqué partout, on a arraché un poil de sa barbe, on a comprimé la tumeur plusieurs fois et on l’a relevée brusquement vers
e cinquante ans, résidant à Goorana, Zillah Ilooghjy, a contracte une tumeur scrotale, depuis vingt ans à peu près. On le mesm
de la barbe; 011 lui piqua le mamelon droit à plusieurs reprises; sa tumeur fut découverte, leslisque compressas est, sans tr
ans, résidant à Sookchur, vingt-quatre Purgunnahs, est affecté d’une tumeur scrotale depuis neuf ans. Il ne fut pas mesmérisé
jeté sur les dalles près de son lit. On le piqua partout le corps, sa tumeur fut découverte et relevée brusquement vers l’abdo
s que le temps ordinaire. Après qu’il parut profondément entrancé, la tumeur fut secouée plusieurs fois, et il fut piqué parto
e quarante ans, résidant à Sobhabazar, en Calcutta, est affecté d’une tumeur scrotale depuis iix ans. Il sera mes-mérisé tous
17. On le piqua presque partout le corps pendant quelques minutes. La tumeur fut découverte, et rejetée,par une secousse, sur
fut excessivement rude et fatigante, à cause de la rugosité de cette tumeur qui, d’après son caractère, était presque cartila
vingt-cinq ans, résidant à Kalitollah, Zillah Hoo-ghly, a une petite tumeur scrotale depuis deux ans. Il vint, comme à l’ordi
eure était retirée. Ses jambes furent placées sur deux chaises, et la tumeur fut découverte. Avant de commencer l’opération, i
tre milles par jour, pendant cinq jours. Il est affecté d’une petite, tumeur depuis cinq ans. Il sera mesmérisé une heure et
ie par jour. Dormant profondément, ayant les bras en catalepsie, sa tumeur fut exposée et rejetée plusieurs fois. Il fut ens
s, résidant à Talowladaspore, Zillah Burd-wan, a depuis douze ans une tumeur scrotale do moyenne grosseur. Ses deux jambes son
e sommeil aujourd’hui. Le 18. Dormant profondément, on découvrit sa tumeur , et on la secoua plusieurs fois. On lui pinça aus
rancé, il fut piqué partout le corps pendant plusieurs minutes, et sa tumeur fut plusieurs fois secouée avec force sans troubl
temps pour les expériences élaut limité. 8° Rhumatisme chronique et tumeur blanche. Du 21 janvier. Erances Ann Elliot, âgé
ulaire du tarse droit. Cette endure forme, à la cheville interne, une tumeur molle et dou- lotireuse , grosso comme un œuf.
tion générale et locale d’une heure par jour. Le troisième jour, la tumeur de la cheville gaucho disparut, mais le battement
par jour. Du 27. Elle se plaint beaucoup de tressaillements dans la tumeur de la cheville gauche. J’y fais poser dix sangs
s de la médecine transplanta-toire eurent la prétention de guérir les tumeurs froides et les écrouelles, en frictionnant les pa
ade); pour nous (à part certains cas d’hé-morrhagies spontanées et de tumeurs enkystées, le traitement par le magnétisme paraît
nt leurs soins pour mon fils. 11 avait alors, à la cuisse droite, une tumeur grosse comme une noix. La sœur Saint-Vincenl me c
ne noix. La sœur Saint-Vincenl me consola; mais , craignant que cette tumeur , venant à suppuration, n’emmenâtle malade, elle m
e du mal ; le corps renversé en arrière par les douleurs de reins. La tumeur de la cuisse droite a pris un développement, effr
naître de jour en jour mon fils à la santé. Il 11e se plaint plus; la tumeur qu’il avait à la cuisse est percée en deux endroi
Muneeroodeen, âgé de trente ans, est affecté, depuis dix ans, d’une tumeur scrotale , et à’éléphan-tome vin. —RI" 96.-25 jui
Gobind Chunder, Agé de trente-deux ans, porte, depuis huit ans, une tumeur scrolale, suite d’une fièvre sCmi-mensuelle, qui
Troisième Observation. Khêturmohun Sen, âgé de vingt-un ans, a une tumeur scrolale, et les jambes affectées d'éléphant iu-s
ngue, à cause de la grande épaisseur et de la dureté des parois de la tumeur , etc.; et, comme il arrive d’ordinaire dans l’élé
rième Observation. Mudhoo, âgé de trente-deux ans, porte une petite tumeur depuis trois ans. Magnétisation quotidienne d’u
uième Obse/vaiion. Kartick, âgé de trente an9, se présente avec une tumeur ordinaire, et les jambes affectées d’cléplian-tia
e Observation. Moteewoolla, âgé de cinquante ans, est affligé d’une tumeur commune depuis huit ans. 11 souffre aussi d’une
. Shaik Ackber, âgé de trente ans, souffrait depuis trois ans d’une tumeur , consécutive d’une fièvre qui venait tous les hui
nier accès fut si violent, qu’il amena une inflammation aiguë de la tumeur , qui sc termina par un ulcère très-irritable. E
Ramgopal, âgé de cinquante ans, souffre, comme tant d’autres, d’une tumeur venue il y a deux ans , à la suite d’une fièvre p
me Observation. Ramdial Chaterjia, âgé de quarante ans, possède une tumeur ordinaire, depuis cinq ans. Entré le 21 juillet
me Observation. Akoy Doss, âgé de trehte-cinq ans, porte une petite tumeur depuis deiix ans. « Avant d’opérer Ranidial j’e
Obiervation. Seetaram, âgé de cinquante ans, est doté d’une petite tumeur depuis vingt-deux ans. Entré le ier août. Magné
âgé de quarante-cinq ans, soufl'rait depuis quatorze ans d’une énorme tumeur . C’est un homme fort et musculeux ; il s’est souv
rt et musculeux ; il s’est souvent fait cautériser profondément cette tumeur par les médecins du pays, dans l’espoir de la fai
ties avec la célérité d’une décapitation. Je transperçai le col de la tumeur avec un long couteau à deux tranchants, que je fi
zième Observation. Dabee Chose, âgé de vingt-cinq ans, a une petite tumeur depuis deux ans. Magnétisation d’une heure et d
hunder Some, âgé de vingt-trois ans, porte depuis deux ans une petite tumeur , consécutive d’un hydrocèle qui vint lui-même à l
opal, âgé de quarante-cinq ans, est porteur, depuis trente ans, d’une tumeur scrotale. Entré le 21 septembre, et magnétisé s
pas croire qu’on l’eût opéré; il fallut l'en convaincre. En voyant sa tumeur détachée, il dit que c’était la chose la plus ext
» Dix-huitième observation. Ramdoss, âgé de vingt-cinq ans, a une tumeur depuis neuf ans. « Magnétisé pour la première f
influence des cautérisations qui furent employées poür résoudre cette tumeur . Le Malade, cependant, ne fit qu’hne légère grimâ
under Kowr, âgé de cinquante ans, était depuis onze ans affecté d’une tumeur . « C’est un des cas les plus ennuyeux que nous
mkisto Doss, âgé de trente-cinq ans, souffrait depuis trois ans d’une tumeur scrotale. Magnétisé le 8 octobre, il fut insensib
n. Shaik Durrab, âgé de quarante-huit ans, a, comme les autres, une tumeur depuis huit ans. Magnétisé selon la coutume dep
ami de Bhugwandoss, qui fut opéré l’année dernière, à Hooghly. d’une tumeur serotale, a la même affection depuis cinq ans.
Vingt-quatrième observation. Horry, âgé de trente ans, portait une tumeur depuis cinq ans. Magnétisé journellement depuis
vocat à Silhct, âgé de quarante-deux ans, avait, depuis cinq ans, une tumeur considérable. Longtemps traité sans succès, il dé
la rend insensible par quelque procédé magique, « el on lui enlève sa tumeur sans aucune souf- « franco. » « Celte absurde
on. Hurrochunder Chowdry, âgé de trente-six ans , est affecté d’une tumeur depuis douze ans; il est venu sur la recommandati
mais qu il n’était pas encore venu ce jour-là. On lui montra alors sa tumeur détachée. » Vingt-septième observation. Karli
gt-septième observation. Karlick, âgé de trente-cinq ans, avait une tumeur depuis dix ans. Cette infirmité commença par un h
rente-cinq ans, est affecté d’éléphanliasis aux deux jambes, et d’une tumeur scrotale, depuis dix ans. Cette double maladie av
neuvième observation. Kasseonaulh Ghose, âgé de quarante ans, a une tumeur depuis dix ans. Dès la deuxième mesmérisation ,
nement. Trentième observation. « Bamdoss, opéré avec succès d’une tumeur , au début de mes expériences, revint à l’hôpital
isme et les inégalités du ventre avaient fait croire à l’existence de tumeurs , etc., etc. L’écoulement des règles, fort imparfa
us n’êtes pas une femme! » Je le découvre de force, et j’aperçois une tumeur énorme (i5 cent, de long, 20 de circonférence.) «
lève en mon cerveau : le dire de M. du Potct. — Voici ma main sur la tumeur , tans mouvement, sans pression, simplement appliq
lytiques abandonnant leurs béquilles; des maladies plus cruelles, ces tumeurs dégoûtantes que les scrofules ont enfantées dispa
ns. 8° Enflure constante du pied droit, et souvent des jambes. 9° Tumeurs grosses comme des œufs de pigeon, aux chevilles d
m, 80, 83, 100 à 112, 353 à 362, 417 à 428. Scirrus testium, 356. Tumeurs cartilagineuses, 82. § II. Cas de médecine. — M
Surdi-mutité, 227, 679. Surdité, 227, 296, 341. Tétanos, 458. Tumeurs blanches, 72, 133. Tuméfaction, 643. Vers intes
35 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion suivante : nous savons que le gliome est une variété commune de tumeur cérébrale, et qu'il est sujet à des hémorragies
xes ; 2° Pachy-méningite cérébro-spinale. - 6) grosses lésions : 1° Tumeurs et abcès (y compris les gommes) ; 2° Traumatisme.
t sujets à caution. Vu leur analogie, je parlerai simultanément des tumeurs intra- craniennes et des cas compliqués de pres
'antérieure résiste ou, après avoir succombé, se régénère. Dans les tumeurs cérébrales on observe une sorte de tabès qui re
de Bucharest). Diabète insipide devenu sucré avec l'extension de la tumeur ; malgré l'envahissement du noeud vital par la n
ait cependant envahie par le néoplasme. Diagnostic de la nature des Tumeurs Cérébrales; par M. Dupont (de Paris). (La fin
t aggraver son mal en y pensant, comme on l'a prouvé pour certaines tumeurs . C'est par ce mécanisme que la suggestion a gué
pleurésie, des maladies du système ner- veux (sclérose en plaques, tumeurs ), de la syphilis, du diabète, des intoxications
ques el amaurose complète chez un sujet ayant depuis trente ans une tumeur du cervelet; par MM. A. JOFFROY et A. Gombault.
ce de l'après-midi. - PnLSiDEKCE DE M. IIO : .IFN (d'IIelsingfors). Tumeur de la moelle épinière; par le professeur llEIOEcl
t réellement une iasutfisance congénitale, et non accidentelle ; la tumeur avait cinq pouces sur six, dépendait du cervele
faire rentrer dans la cavité crânienne une petite portion de cette tumeur : vers le dixième jour de la naissance quelques
, chose digne de remarque l'absence d'amblyopie étant rare dans les tumeurs du cervelet. L'âge de l'enfant ne permettait pa
ner à soutenir et à maintenir en' place à l'aide d'un bandage cette tumeur qui était en même temps une hydroméningocèle, a
e aucune hérédité fâcheuse. On se trouve donc ici en présence d'une tumeur située hors du cerveau et présentant plusieurs
u cerveau et présentant plusieurs des signes caractéristiques des tumeurs du cerveau, notamment l'atrophie musculaire, les
rmalement mince. Pas d'adhé- rences ni du corps pituitaire ni de la tumeur avec les tissus voisins. Le corps thyroïde est
le hyperplasie de la portion lymphadénoïde de cet organe. La petite tumeur a la même structure que la portion hypertrophié
smes cérébraux : analyse clinique de seize cas person- nels (quinze tumeurs et un abcès) avec l'observatien de cinq de ces
sie ; 60 Gliome des aires motrices gauches. Opération. Mort ; '7° Tumeur sous-corticale des circonvolutions centrales droi
nvolutions centrales droites. Opération. Pas d'amélioration; ' 8° Tumeur des aires motrices droites. Mort. Pas d'autopsie;
' 8° Tumeur des aires motrices droites. Mort. Pas d'autopsie; 9° Tumeur des aires motrices gauches. Mort. Pas d'autopsie;
opsie; 10° Gomme à la base du cerveau. Mort. Pas d'autopsie ; 110 Tumeur dans les aires motrices droites. Mort. Pas d'au-
ésumons d'après M. Krauss l'analyse de ces cas : le dia- gnostic de tumeur cérébrale a été fait dans douze sur treize des
qui était dans quelques cas localisée à l'occiput, surtout quand la tumeur , intéressait soit la base, soit les lobes occi
eur disposerait de la manière suivante les symptômes classiques des tumeurs cérébrales dans l'ordre de leur importance : 1°
peut presque faire de cette lésion lo symptôme pathognomonique des tumeurs cérébrales. Ce travail se termine par la relati
rvice de Bicêtre de 1880 à 1900 un certain nombre d'observations de tumeurs cérébrales. 254 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
nons voyons que notre abcès ne remplissait pas les conditions de la tumeur opérable telle qu'elles ont été posées par deux
u nerf vague l'existence ou la non-existence de la rage. G. DENY. Tumeur rachidienne; par \alter-1J. CLInEK. (The New-York
ls : fièvre légère. Le malade prend l'aspect des sujets porteurs de tumeurs malignes : il est obligé de s'aliter, avec des
et mort. A l'autopsie, on trouve les arcs vertébraux ramollis. La tumeur paraissait partis de la dure-mère, et remplissait
s premières lombaires : les corps vert tébraux étaient ramollis. La tumeur , grisâtre, avait l'aspect du tissu cérébral; la
forts de la com- pression subie, et non adhérente à la pie-mère. La tumeur s'éten- .dait de bas en haut depuis la seconde
nde ressemblance qu'avec tout autre élément connu. Dans un cas de tumeur de la base du cerveau avec acromégalie il arenc
irconvolution frontale gauche. Les symptômes avaient été ceux d'une tumeur cérébrale; mais il n'y avait pas eu trace d'aph
l'adaptation du cerveau aux conditions nouvelles déterminées par la tumeur . Dans le second cerveau, une gliomatose diffuse s
émisphère gauche. Dans ces trois cas les symptômes ont été ceux des tumeurs cérébrales en général, mais pas le moindre sign
est morte diabéti- que et albuminurique. On a trouvé l'autopsie une tumeur kystique tlu corps pituitaire poussant un prolo
ongement qui englobait le gan- glion de Casser. Histologiquement la tumeur a les caractères d'un adénome. Le thymus manqua
ellules. P. 11ERAVaL. LU. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur de la région du troisième ventricule ; par N.-A
ie de cette affection : ♦ 1° Les cas d'acromégalie associée à une tumeur vraie du corps pituitaire ne sont certainement
orme suivi de contracture, puis de paralysie flasque. Croyant à une tumeur le médecin traitant fit, pratiquer la trépanation
clinique peut-être résumé comme suit : développement progressif de tumeurs symétriques, intéressant surtout les régions ce
un trouble viscéral ; pas de modifications de l'état général. Ces tumeurs , comme les adéno lymphocèles, (ce qui confirmerai
1900.) ' XL. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept mois par tumeur de l'hypophyse; par SocA. (Nouv. Iconogr. de la S
ort au cours d'une broncho-pneumonie. A l'autopsie, on découvre une tumeur de la grosseur et de la couleur d'une mandarine
mmeils divers dans lesquels se trouve fré- quemment comme cause une tumeur cérébrale et qui ne permet- tent pas au clinici
lexes d'ordre gynécologique. - R. DE nIUSGR1VE-CLAT. LVI. Sur une tumeur célébrale polymorphe (glidme alvéolaire). conte
our- quoi nous les reproduisons ici à peu près textuellement : La tumeur dont il s'agit présente l'aspect de plusieurs typ
qui se' rapprochent du gliome présentent un mélange de cellules de tumeur et de fibres fortement rétractiles. En outre on
r et de fibres fortement rétractiles. En outre on rencontre dans la tumeur des zones de transition entre ces divers états
ts qui montrent bien que ce sont là des états différents d'une même tumeur . Si l'on se reporte aux différentes variétés de
i tirent leur origine de la névroglie, on constate que, seules, les tumeurs que l'on considère comme carcinomateuses tirent
lule épendymaire adulte. Il est probable dans ces conditions que la tumeur dont il s'agit actuellement n'est pas un carcinom
me n'a pas pu être suivie, en raison des progrès trop avancés de la tumeur ; la transition périphérique du tissu anormal au
tissu normal ne peut être décelée à cause de l'encapsulement de la tumeur , et malheu- reusement les tissus environnants n
ymaires normales : ceci toutefois n'exclurait pas la possibilité de tumeurs secondaires; mais celles-ci sont élimiuées par
u carcinome, il y a : 1° la structure alvéolaire et tubulaire de la tumeur ; 2° la ressemblance de la cellule, qui est cyli
ux. Contre le carcinome, il y a : 1° le caractère circonscrit de la tumeur ; 20 son encapsulement; 3° certaines zones diffu
fuses, d'aspect sarcomateux rencontrées dans diverses parties de la tumeur ; 4° l'absence dans le reste du corps de toute tum
parties de la tumeur; 4° l'absence dans le reste du corps de toute tumeur pouvant être considérée soit comme primitive, s
ébral, soit primitif, soit secondaire. La séparation complète de la tumeur d'avec les ventricules peut passer pour un argu
ongs prolongements filamenteux; 2° le caractère circons- crit de la tumeur qui ne s'accorde pas avec la nature infiltrante
nature infiltrante du'gliome; 3° enfin la complète séparation de la tumeur d'avec les ventricules; mais ici encore on peut
aveur de l'endothéliome, il y a : 1° le caractère circonscrit de la tumeur ; 301'absence de toute autre tumeur analogue dans
° le caractère circonscrit de la tumeur; 301'absence de toute autre tumeur analogue dans le reste de l'organisme; 3° la di
dernier point est plus spécial à l'endothé- liome qu'a toute autre tumeur ; et la disposition histologique qui règne autou
re). Le gliome est représenté comme la forme la plus fréquente de tumeur cérébrale. Comme le carcinome il dérive de cellul
yons s'il est actuellement possible de distinguer ces deux types de tumeur . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 413 Le fait qu
ypes de tumeur. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 413 Le fait que des tumeurs ayant la structure morphologique du carcinome p
t dans lequel il y avait connexion directe entre l'épithélium de la tumeur d'une part, et, d'autre part l'épi- thélium épe
le plexus choroïde; cet au- teur pense que le point d'origine de la tumeur était le point de transition entre l'épithélium
la grande fréquence du gliome. ' Quelle est donc la nature de la tumeur dont il s'agit dans ce travail ? Là réponse est
réponse est malaisée : cependant il semble plus que possible que la tumeur , primitive dans la substance cérébrale, ait pri
'époque de l'autopsie. Quant aux rapports de la tuberculose avec la tumeur , la première avait pénétré partout dans le néop
ammatoire aigu doit être considéré comme de nature tuberculeuse. La tumeur est parfois sillonnée par des infiltrations dif
la tuberculose comme secon- daire par rapport à la formation de la tumeur . Il est plus difficile 414 REVUE DE PATHOLOGIE
quelconque de l'organisme. Mais il est rationnel de supposer que la tumeur cérébrale s'est comportée. comme un locits iiii21
terne des doux cuisses, un peu au-dessous de l'anneau crural, d'une tumeur plus volumi- neuse à droite, s'exagérant dans c
ôté paralysé sans perte de connaissance. On trouve à l'autopsie une tumeur delà dure-mère, de la grosseur d'une mandarine,
une cause mécanique de l'épilepsie, comme dans les kystes ou les tumeurs . Les guérisons immédiates atteignent 68 p. 100
on considérable la pression ce l'ébrospmate, par exemple les cas de tumeur sont ceux qui paraissent le moins bien supporte
lées, des vertiges et des vomissements. A l'autopsie, on trouve une tumeur volumineuse de la région pédonculaire com- prim
ituhation était due à la compression cérébelleuse déterminée par la tumeur ; les deux un; gdales sont en effet refou- lées
e bulbe, la face inférieuie du cer- velet et la protubérance, cette tumeur n'est pas énucléable et envahit la substance du
gauche d'un malade n'ayant éprouvé que les symptômes généraux d'une tumeur sans signes de localisation. Spasme névropath
cocaïne, plomb, syphilise; 50 î)s ! lcitoses organiques : p. p. g., tumeurs céiébrales, atrophie du cerveau, et 6° psychoses
, c) méninge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis cérébrale, /') tumeurs cérébrales, h) ané- vrisme de la carotide inter
, /') tumeurs cérébrales, h) ané- vrisme de la carotide interne, k) tumeurs cérébreuses, l) tumeurs du pont Varolet m) opht
, h) ané- vrisme de la carotide interne, k) tumeurs cérébreuses, l) tumeurs du pont Varolet m) ophtalmoplégie. 3° Maladie
du subconscient, ptr Bill, 321. Hypophyse. Sommeil prolongé par tumeur de l ? par Soca. 101.- Hystérie. Constatation d
es des cordons postérieurs de la -, par Uana, fil; par Homen, 65. Tumeur de la -, par Heus- clien, 169. Concussion de it
mie et assassinat, par un ado- lescent. 367. Sommeil prolongé par tumeur de l'hypophyse, par Soca, 401. Sourire obséda
et, 182. TtoYUOLni.ve clonique librétlitaiie, ltar Lannois, 34. Tumeurs cérébiules. Diagnostic et nature des , par Dtpo
on, 317. VLATRICCLES. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur du troi- sième -, par \\yroubotf, 393. TABLE
36 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ns. Sa mère d'inlelli- gence ordinaire est morte encore jeune d'une tumeur ( ? ). Son grand-père maternel est mort ayant p
qu'on trouve réali- sée dans les cas où une affection, telle qu'une tumeur , un processus méningitique, une luxation des ve
ongement direct de la moelle, constitué par du tissu médullaire. La tumeur , longue de 6 centimètres, comprimait exclusive-
entré. Cette étiologie se résume, en somme, dans ces trois termes : tumeurs ; traumatisme ; myélite et méningite. J'ai fait
uxation, d'une fracture ou de quelque autre affection du ra- chis ; tumeur comprimant la queue de cheval. La première des
Francfort, sur un jeune homme chez lequel on avait diagnostiqué une tumeur de la portion sacrale du canal rachidien. Le dia-
gnostic s'est trouvé vérifié à la suite de l'ouverture du canal. La tumeur était située en dehors du sac formé par la dure
Or, vous vous le rappelez peut-être, à l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la partie supérieure du filament terminal, qui
du rectum (compression des nerfs destinés ci ces organes 1 par une tumeur du FILUM terminale). . b) Ces mêmes symptômes a
ra-spinale, luxation de vertèbres, morceau de vertèbres fracturées, tumeur extra-dure-mérienne. Au contraire, dans le cas
lus de même dans le cas d'une lésion intra-rachidienne telle qu'une tumeur . C'est alors au médecin d'éclairer le chirurgie
isolée de la vessie et du rectum pourra être oc- casionnée par une tumeur de la première portion du filamment terminal, c
la queue de cheval de dedans en dehors et modérément. Une pareille tumeur répondra, comme siège, aux dernières vertèbres lo
ires rachidiennes et le cône terminal. Je rejette l'existence d'une tumeur de la région, à cause de la marche de la maladie,
ire de cette affection y est très nettement esquissée et la forme à tumeur n'a pas échappé à cet observateur qui connaît tou
; j'ai vu plus d'une fois prendre ce gonflement pour une véritable tumeur . Que de fautes en conséquence, et que d'inconvé
UE 109 gauche à la maladie désignée par A. Cooper, sous le nom de « tumeur irritable ou névrose des mamelles ». En 1837,
s ». En 1837, Brodie rejette de l'hystérie les cas où il existe une tumeur dans la mamelle. Bien que son opinion sur ce po
s'étend dans l'aisselle et le long du bras. On ne perçoit au- cune tumeur dans l'orgaue, mais quand l'affection est de date
généralement lisse. « Il ne faut pas confondre ces cas avec ceux de tumeur douloureuse du sein dontAstley Cooper donne dan
anches. Je crois qu'il faut les distinguer aussi de toute espèce de tumeur se montrant chez des femmes qui ne sont aucunemen
fait de l'hystérie, il peut se produire dans le sein de véritables tumeurs susceptibles d'en imposer singulière- ment au p
ce, aucun signe de dégénérescence, aucun des caractères propres aux tumeurs squirrheuses ou fibreuses ». Briquet (2) enregi
vations d'une maladie qu'il dit lui être inconnue. Il s'agit là des tumeurs hystériques du sein déjà signa- lées par A. Coo
ein hys- térique. Après avoir, au chapitre Mastodynie, décrit les tumeurs douloureuses d'A. Cooper, l'auteur arrive aux c
ation de l'hys- (1) Gilles DE la TOURETTE, Le sein hystérique elles tumeurs hystériques delà ma- melle. 1- Congrès de chiru
il a eu. soin de noter un peu auparavant « qu'on ne perçoit aucune tumeur dans l'organe ». Celte dernière affirmation pro
LA SALPÊTRIÈRE parfois l'existence dans la mamelle d'une ou de deux tumeurs , ne dépas- sant pas généralement le volume d'un
sept malades hystériques, il constata la présence d'une ou de deux tumeurs du sein s'accompagnant des phénomènes douloureu
oureux et autres que nous avons décrits. Dans six cas sur sept, -la tumeur était mobile sur les tissus sous- jacents ; par
se localise plus particulièrement en certains points sous forme de tumeurs morbides ne s'accompagnant pas d'engorgement ga
particulièrement du mamelon, signe si pré- cieux, en clinique, des tumeurs malignes du sein. Nous ne connaissons que deux
ecchymoses des membres inférieurs avec oedème in situ, et enfin une tumeur du sein, dure, non fluctuante, avec tendance à
is de mai 1727, sept ans après le traumatisme et l'apparition de la tumeur , quatre ans après l'ouverture fistuleuse de ce si
dans un cas de compression des nerfs destinés à ces organes par une tumeur du filmn terminale. 2° Mêmes symptômes associ
nne santé. Un pareil mode de début cadre mal avec l'hypothèse d'une tumeur dont l'évolution est essentiellement lente etpro-
de myélite que rien ne permet ici de supposer. Je sais bien qu'une tumeur peul rester plus ou moins longtemps latente et
tronc même de l'hypoglosse, lésions dues il des traumatismes ou des tumeurs , qui respectent l'axe céré- bro-buibaire. - L
vahissantes et purement paralysantes, pouvaient faire ex- clure une tumeur proprement dite. Enfin l'absence de syphilis et d
u semble explorer la plaie. Souvent aussi il a l'air d'extirper une tumeur de forme sphérique. Les personnages accessoires
mple incision, accompagnée parfois d'une apparence d'extirpation de tumeur . Ce n'est pas que la chirurgie intra-crânienne
armi les compagnons bénevoles de l'opéré. * .. Y La présence de tumeurs parfaitement visibles sur le front de la plupart
une opération différente de la trépanation : l'ex- tirpation d'une tumeur du crâne. (1) l'oy. A. CIIIPAULT, La méthode cu
236 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Quelles sont donc les tumeurs du crâne justiciables d'une intervention chirur
râne justiciables d'une intervention chirurgicale ? ' D'abord les tumeurs bénignes du cuir chevelu- désignées vulgairement
torisent à penser qu'il s'agit sur nos dessins et nos peintures des tumeurs de ce genre. Tout au moins doit-on considérer c
rances qui ornent le front de leurs malades. Le traitement de ces tumeurs superficielles est des plus simples. Les instru
ostic est parfaitement défendable. Dans d'autres., il semble que la tumeur soit d'une autre nature. Ce n'est pas la masse
e ou projectile, ou d'une exostose crânienne ? Serait-ce une de ces tumeurs des sinus frontaux d'origine parasitaire, kyste
ifique. - ' Nous nous bornerons donc à dire, en ce qui concerne les tumeurs figu- rées sur la partie médiane du front, qu'o
érer pour la plu- (1) Le nom allemand de la loupe, Wolrgesclawulsl ( tumeur de loup) confirmerait cette étymologie. LES O
crâne peuvent se rapporter à des tré- panations, à l'extirpation de tumeurs , au traitement des plaies ou fractures du crâne
Il faut y voir plutôt des opérations ayant pour but l'extraction de tumeurs béni- gnes du cuir chevelu telles que les loupe
ent avec attention la pièce intéressante. - Sur le coffre est une tumeur semblable déposée sur un parchemin. Au dernier
etirer des fragments osseux. Peut-être n'a-t-il à extirper qu'une tumeur superficielle, quelque li- pome, ou quelque kys
ffût d'une opération, soulève le chapeau de l'autre et découvre une tumeur sur son front. « Ah ! pauvre homme, semble-t-il
lade, infirmes, loqueteux, paralytiques, et surtout des porteurs de tumeurs du crâne. On se précipite, on s'écrase; les der
l'un d'eux est dessiné un monstrueux bistouri. Un grand nombre cle tumeurs ou de pierres sont également attachées par des
n excusable, d'ailleurs, ce pauvre dia- ble, ayant sur le front une tumeur qui pour le moins doi être du volume d'une gros
e tombe sur le nez. Si l'on n'était pas renseigné sur la nature des tumeurs de ce genre, on ne manquerai pas de dire qu'il
ressemblance est parfaite. Et si P. Bruegel a voulu représenter une tumeur imaginaire, il est certain qu'il s'est inspiré
ace au public. Chacun peut voir alors sur le front de cet homme une tumeur bien ronde et hien saillante dont il va falloir
e passe-passe. Il cligne de l'oeil d'un air entendu en montrant les tumeurs factices. Une tète de marotte à demi-cachée dan
les derniers venus, laissent voir, sous leurs coiffures, la maudite tumeur . Il en est un, coiffé d'une boite, on ne sait p
tient des pro- pos consolants. Elle a dans la main une des fameuses tumeurs , et montrant la sorcière du doigt, elle sourit
isposition, et c'est entre le pouce et l'index qu'il va sai- sir la tumeur supposée. Il est bien possible que celle-ci soit
t. Il tient dans la main gauche un petit corps ovoïde, peut-être la tumeur qu'on lui a extirpée. Derrière lui, se tient
te à ses auditeurs un stylet sur lequel est piqué un corps arrondi, tumeur ou « pierre de tète » sans doute. De la main ga
ent les « pierres de tête ». Les artistes qui ont voulu ligurer ces tumeurs imaginaires se sont inspi- rés cle la forme des
ligurer ces tumeurs imaginaires se sont inspi- rés cle la forme des tumeurs véritables du cuir chevelu connues sous le nom
on évitera les mouve- ments du malade, « mouvements qui agitent les tumeurs ».On ne cessera pas la diète avant le 20° jour,
37 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. » ' UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 3 Le diagnostic de tumeur cérébrale probable fut alors posé. A l'heure ac
ie. L'autopsie, pratiquée le 5 juin, a démontré l'exis- tence de la tumeur cérébelleuse diagnostiquée. Etude du néoplasme.
nce de la tumeur cérébelleuse diagnostiquée. Etude du néoplasme. La tumeur non adhérente à la dure-mère et facile à énuclé
s rosé qui est la teinte générale. Les rapports anatomiques de la tumeur , ainsi qu'on peut le voir sur ce dessin que nou
. Gruzelle, rendent compte des symptômes observés durant la vie. La tumeur est située entre le côté gauche de la protubéranc
meur est située entre le côté gauche de la protubérance, Fig. 1. T, tumeur du lobule du pneumogastrique. L, P, lobules du
çon minime à sa partie externe. Les nerfs voisins sont accolés à la tumeur : le trijumeau gauche est le plus directement i
êles. Le facial et l'acoustique gauches sont également accolés à la tumeur , mais leur tronc parait de volume et d'aspect n
t n'est pas dissocié. ' Notons ici que l'oreille gauche (côté de la tumeur ) est le siège d'une otite moyenne ancienne. E
matoxyline-éosine, on constate les deux caractères suivants : 1° La tumeur est essentiellement constituée par des cellules d
e des lacs sanguins sans autre délimitation que le tissu même de la tumeur . Il s'agit là de vaisseaux capillaires véri- ta
t grossissement nous allons étudier ces deux éléments, vaisseaux et tumeur . 1° Du côté des vaisseaux, nous trouvons une pa
les caractères précédents, on peut conclure qu'il s'agit ici d'une tumeur gliomateuse à cellules irrégulièrement arrondie
ronc du trijumeau est étalé en fascicules grêles à la surface de la tumeur . Sur une coupe faite à ce niveau (et intéressan
L'examen a porté sur différentes portions du nerf, au niveau de la tumeur et dans l'aqueduc de Fallope (en raison de l'ot
tifs sont sains. Utérus et annexes normaux. I. - Le diagnostic de tumeur cérébelleuse fut posé en pré- sence de la natur
instant, elle ne peut guère être attri- buée qu'à une action de la tumeur sur le trijumeau. Ces différents signes indiqua
e la tumeur sur le trijumeau. Ces différents signes indiquaient une tumeur située dans la région du facial et du trijumeau
ocalisée du membre inférieur du côté opposé au siège probable de la tumeur ) étaient la preuve d'une compres- sion progress
yo- pie par névrite optique double. M. Brissaud .diagnostiqua une tumeur « dans la région du corps restiforme gauche et pl
re l'in- tégrité de la 5° paire. Dans notre cas, le diagnostic de tumeur cérébelleuse une fois posé, chose facile, l'att
a malade. Ce symptôme est absolument excep- tionnel dans les cas de tumeur du cervelet et de la protubé- rance ; nous'n'av
out récent 3, donnent, entre autres, une observation (obs. 8) où la tumeur est identique de siège à celle qui est figurée
-le en passant, est une preuve de la diffi- culté du diagnostic des tumeurs du cervelet : au début, le diagnostic d'hystéri
ymptôme peut d'ailleurs être attribué soit à l'action directe de la tumeur sur le nerf, soit à la compression de la protub
as analogue de Lépine. 3 Jacobsohn et Jamane. Sur la pathologie des tumeurs de la fosse cérébrale inférieure. (Arch. f. Psy
entait bien le caractère de douleur atroce qu'on observe dans les tumeurs du cervelet quel que soit leur siège. Enfin, co
anémie unilatérale permettait d'affirmer presque à coup sûr que la tumeur devait atteindre cette région de la protubéranc
anastomoses de ce nerf avec le sympathique, au delà du point où la tumeur pouvait t l'intéresser. D'ailleurs, l'autopsie
nertie intellectuelle et la dépression, à l'entrave apportée par la tumeur cérébelleuse à la circulation encéphalique et a
et avait des attaques épileptiformes. On trouva une volumi- neuse tumeur presque identique à celle dont nous rapportons
ie abolie du champ de la vision. " Ferberg. .snzplonzalolo71e des tumeurs du cervelet. Thèse de Marbourg. 3 Macabiau, t
l'acoustique (otite moyenne et compression de l'acous- tique par la tumeur ) se traduisant par des hallucinations de l'ouïe
ents. Les 1 Voir aussi : Bourneville et Morax, Idiotie sympt. d'une tumeur céré- belleuse compliquée d'hydrocéphalie. (Com
'e, pour 1890, p. il.) - Bourneville et Ferrier. Idiotie sympt. des Tumeurs du cervelet, compliquées d'hydrocéphalie. (Ibid.,
sont accompagnées de démence. La présence dans cette région d'une tumeur qui grossit gra- duellement et augmente par cel
tés mentales. M. Raymond, tout récemment a constaté, dans un cas de tumeur du cerveau un anéantissement des fibres tangent
ra- lysie générale et de démence sénile, d'artério-sclérose et de tumeur du cerveau, nous observons parfois, que les malad
e durant la vie, mais 'ce qui importe c'est l'état de la glande, la tumeur goitreuse pouvant ne plus contenir de glande sa
cal par l'ingestion thyroïdienne. P. RELLAY. II. LAMNECTOMIE POUR tumeur DU canal R.CIIIDIE,4; MORT par ménin- GITE au 1
compression de la moelle, l'opération était indiquée. On trouva une tumeur , née du périoste des deux premières vertèbres lom
rement détruits et une régénération complèle aurait pu survenir. La tumeur était de nature tuberculeuse. III. Nature ET tr
observation est curieuse à plusieurs titres ; d'abord parce que la tumeur semble avoir été la cause déterminante de la foli
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 ensuite parce que l'ablation de la tumeur a été suivie de la double guérison physique et
ait fortement comprimée, et déformée; la structure histologique des tumeurs est typique quant aux méninges et aux vaisseaux d
sta normale. Dans deux semaines la malade mou- rut. Autopsie : Il tumeur cérébrale sarcomateuse dans le milieu des circo
ble, que la dégénérescence des racines dépende de la présence d'une tumeur dans le cerveau, à quoi M. Mouravieff répond qu
ude d'un cas remarquable d'hémi- plégie alterne sensitive due à une tumeur cérébrale dont les exemples sont extrêmement ra
ie alterne on peut localiser rigoureusement les lésions. Dans les tumeurs cérébrales, une grande partie de la symptoma- t
fectueuse à ce point de vue. A. M. II. SY31TOU1TOLOG1E des lésions ( tumeurs ET abcès) intéressant la RÉGION préfrontale du
progressif; carphologie, coma et mort au bout d'un mois. Autopsie : tumeur de la dure-mère comprimant la pointe du lobe fron
ralysie. Autopsie : invasion de tout le lobe frontal gauche par une tumeur qui comprime la face in- terne du même lobe du
aire nul ; démarche chancelante. Névrite optique double. Autopsie : tumeur sphéroïde de pouces 1 /2 dans le lobe frontal d
eau sain. L'analyse détaillée de 50 cas analogues, dont4 abcès et46 tumeurs de diverses natures (22 à gauche, 17 à droite,
ambe) presque toujours légères et tardives dues à l'extension de la tumeur ou de son in- fluence atrophique à la zone motr
taques de coma surtout à la fin sont la règle. Si le diagnostic des tumeurs et lésions massives du lobe préfrontal est diff
eurs et lésions massives du lobe préfrontal est difficile parmi les tumeurs cérébrales en général, il l'est surtout d'avec
armi les tumeurs cérébrales en général, il l'est surtout d'avec les tumeurs du cervelet, les symptômes communs entre ces de
ment plus accusés et les phénomènes mentaux moins profonds dans les tumeurs cérébelleuses. Quelques signes secondaires tels
elquefois réelle. Sur ces 50 cas, 11 i opérations dont 4 abcès et 7 tumeurs ont donné 2 succès. F. BOISSIER. III. Trois c
premières dorsales. Décès après deux ans de maladie, à l'autopsie : tumeurs gliomateuses symétriques des deux côtés intéres
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 centre de chaque tumeur sans communication avec le canal cen- tral, cav
al convexe àdroite. Mort après quatre ans de maladie à l'autopsie : tumeurs avec formation de cavités sans épithélium ni comm
de la lésion. Ils montrent encore que les points d'élection de ces tumeurs cavitaires sont les zones radiculaires postérie
telle que Golgi l'a décrite. R. DE Musgrave CLAY. VIII. UN cas DE tumeur du cerveau; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (The Jour-
ore, l'un a une affection de la moelle l'autre est bien portant. La tumeur du crâne est bilobée volumi- neui-e, lisse et g
s crises épileptiques amena le marasme et la mort. A l'autopsie, la tumeur avait cessé d'être bilobée et ne formait plus q
exe du crâne portait des dépressions correspondant à la forme de la tumeur . Le cerveau n'a malheureusement pas été examiné
ît à la lésion de ces racines, lorsqu'elles sont comprimées par une tumeur ou un foyer de méningite posté- rieure. Au cont
ON cite deux cas, observés par lui : dans le premier il y avait une tumeur ; dans le second la syphilis avec des symptômes
l3fizr lit une note sur l'hémiplégie chez l'enfant. A propos d'une tumeur du crâne opérée chez une fillette de un jour et
rme dans un accouchement normal, par la tête, et qui présentait une tumeur à la partie supérieure du crâne, au niveau de l
région inlerpariétale, en avant de la pointe de l'oc- ciput. Cette tumeur molle, comme spongieuse, recouverte comme d'un
circulaire bien nette entre la peau crânienne et l'enveloppe. Cette tumeur est reliée par un large pédicule qui paraît s'enf
n- cer dans l'encéphale. Privée de tout mouvement d'expansion, la tumeur est douloureuse, surtout eu arrière et à gauche,
araissent faire défaut ou sont remplacées par l'hiatus d'où sort la tumeur . Les globes oculaires sont en exophtalmie ; l'oei
e vingt-quatre heures. Les suites en furent simples et bonnes. La tumeur examinée par M. Daunic, chef du laboratoire d'ana
érescences de ce système cessent rapidement en haut et en bas de la tumeur , mais dans les parties extérieures (latérales)
s sont constatées encore, par la méthode de Marchi, dans six cas de tumeurs cérébrales. Dans tous ces cas on a pu voir la d
comme suite d'un dérangement de la nutrition sous l'influence de la tumeur et dans les tumeurs malignes, peut être à cause
rangement de la nutrition sous l'influence de la tumeur et dans les tumeurs malignes, peut être à cause d'une influence tox
hôpital. Depuis six mois déjà, le malade remarqua qu'il avait deux tumeurs , l'une à la cuisse et la seconde à la partie po
gauche sur l'os brachial. A son entrée à l'hôpital, outre ces deux tumeurs (de 10-12 centi- mètres en diamètre) assez dure
ucheune-Erb ; dans ce cas la lésion devait être occasionnée par une tumeur dans la fosse sus-claviculaire. Comme distincti
ous la dure-mère, un endolhéliome de la grosseur d'une prune; cette tumeur pénétrait aussi, en partie, dans le trou occipi
de Varole et la moelle allongée du côté droit sont comprimés par la tumeur et aplatis; l'abducteur, l'hypoglosse, le vague
u dans la direction des vaisseaux et sur leur trajet on observe une tumeur longue de 7 centimètres, large de 4 centimètres
vent entraîner la con- viction, je puis citer trois observations de tumeur : l'une du lobe frontal, l'autre du lobe droit
ssant la région pré- fronlaledu -, par \-illiason, 146. Un cas de tumeur du -, par Flechter Beach, 153. CERVELET. Un c
ractère d' , par Konstantinowsky, 428. 1,.i.INEC'fO.)IIE pour une tumeur du canal rachidien.par Lanphéar,42. Léthargie
LLABORATEURS. 555 les maladies mentales, par Agos- tini, 409. Tumeur du crâne opérée chez un nouveau-né, par Secheyr
38 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
cet égard, tout à fait intéressante. Trois ans après le début d'une tumeur blanche du genou, un enfant de 8 ans présentait
mena la sédation des douleurs et la correction de l'attitude. Mais la tumeur blanche du genou ayant suppuré, l'enfant se cac
mple à un anévrysme aortique, ou à des métastases cancéreuses : les tumeurs de la moelle et des méninges (cas de M. Raymond
assez spéciale. La raideur, signe de début le plus banal de toute tumeur blanche, se traduit par la maladresse, la gêne,
ont les symptômes cérébraux, des symptômes indiquant en général une tumeur intracrânienne mais particulièrement une tumeur
uant en général une tumeur intracrânienne mais particulièrement une tumeur de la glande pituitaire. Mais notre malade ne sou
itaire. Mais notre malade ne souffre d'aucun symptôme indiquant une tumeur cérébrale. L'examen ophtalmoscopique ne démontre
qu'on a vu des cas d'acromégalie dans lesquels les symptômes d'une tumeur de la glande pituitaire ne se montrèrent que plus
nt que plusieurs années après le commencement de l'acromégalie. Les tumeurs cérébrales peuvent exister longtemps à l'état l
chimique nuisible (à distance), non mécanique... les symp- tômes de tumeur cérébrale manqueraient, tandis que l'acromégalie
(1) et de Gauthier (2) ont donné la preuve, qu'on trouve aussi des tumeurs de la glande pituitaire en cas d'acromégalie part
égiment de dragons, 27 ans, mécani- cien, célibataire, présente les tumeurs cutanées et la pigmentation spéciale de la mala
E. Au dire de ses parents, R... est né porteur d'un grand nombre de tumeurs répandues sur le tronc et sur les membres dont de
eur de café, attribuées par la mère à une envie de grossesse. Les tumeurs se sont développées lentement, progressivement, e
ers la 20° année. Aucune poussée nouvelle depuis la naissance. 1° Tumeurs cutanées. - Nombreuses, molles, sous-cutanées, al
petite lentille à celle d'une demi-orange aplatie. Il existe trois tumeurs majeures : 1) La plus grosse sur la fesse droit
droite, au-dessus de l'ischion, ne gênant pas' la position assise ; tumeur molle renfermant quelques noyaux indurés, pen-
nc. Même consis- tance que la précédente. La peau, chagrinée sur la tumeur , présente de petites taches brunâtres avec, à l
misphérique ; peau normale recouverte de poils. On observe d'autres tumeurs cutanées, particulièrement sur le dos et les fe
que irrégulière, forme généralement arrondie à l'exception des deux tumeurs majeures qui pendent en raison de leur poids; t
tion des deux tumeurs majeures qui pendent en raison de leur poids; tumeurs sessiles, molles, indolentes, superficielles, non
graphies donnent les détails complémentaires sur la morphologie des tumeurs . 2° Tumeurs des nerfs. - Il n'en existe aucune.
nt les détails complémentaires sur la morphologie des tumeurs. 2° Tumeurs des nerfs. - Il n'en existe aucune. Examen du fon
ineux et cutanés normaux. Pas de troubles trophiques autres que les tumeurs cutanées et la pigmenta- tion. Organes des se
symptomatiqne de Recklinghausen : il manque au tableau morbide les tumeurs des nerfs. Tout diagnostic différentiel est ren
ait frappée. Au premier coup d'oeil l'attention est attirée par une tumeur de la face ex- terne de l'oreille droite, de la
en son milieu. En examinant la bête de près, on remarquait d'autres tumeurs plus petites sur l'oreille gauche, la face et les
n'en existait pas sur les différentes régions du tronc. Excepté la tumeur ulcérée de l'oreille droite, toutes présentaient
Pour déterminer la nature de ces productions, j'ai incisé plusieurs tumeurs des pattes et un frag- ment de la tumeur de l'o
ns, j'ai incisé plusieurs tumeurs des pattes et un frag- ment de la tumeur de l'oreille. Toutes présentent la même structure
plus irrégulières et qui échappe à toute description. La trame des tumeurs développées dans la peau se continue sans aucun
détruits par des kystes ; le rein droit, déformé par trois grosses tumeurs kystiques, était volumineux et pesait 350 grammes
rénales ne me paraissent avoir aucun rapport avec les nombreu- ses tumeurs développées dans la peau.) La littérature étran
ntaient sur leur trajet, au milieu d'un tissu de soutien dense, des tumeurs des dimensions d'une noisette à celle d'une petit
mann de plusieurs cas publiés en médecine humaine dans lesquels les tumeurs cutanées coïncident avec des dégénerescences ky
arcomateux, et celui de M. L. Bérard, énorme kyste de l'ovaire avec tumeurs cutanées et sous-cutanées multiples (3), plus cur
iminu- tion ou la disparition des nodosités cutanées et des petites tumeurs des membres; il ne reste en décembre 1905 (mala
E DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (Suite). PAR le Professeur R. WEBER. (de
vail très long et minutieux. Le fait seul que la coupe en séries de tumeurs cérébrales a été peu pratiquée jusqu'ici, que l
nt à abandonner ce dia- gnostic. On pensa alors à l'existence d'une tumeur , de préférence un tubercule ' dans la région de
e. Au cervelet on rencontre dans les parties blanches avoisinant la tumeur des fibres variqueuses et le même état vacuole
e de caséification il serait survenu une diminution de volume de la tumeur ; cela aurait permis à la circula- tion du 3e au
ences très prononcées de ce faisceau. 3. Il est remarquable que, la tumeur étant à gauche, c'est le noyau de de l'oculomot
T. XIX. PI. XL ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DES TUMEURS (R. Weber.) 1 ? GS.IL-7Tulttelll ? % ? nh ? h
a été débité en coupes sériées ; j'y ai constaté la présence de 16 tumeurs : 4 sont de dimensions microscopiques et purement
s atteignent en partie la grandeur d'un pois. Reste enfin la grande tumeur du lobe frontal gauche (Pl. XL, 3).Signalons enco
rain de se déve- lopper juste à la bifurcation d'un vaisseau. Ces tumeurs ont ceci de commun, qu'elles sont toutes nettemen
ns du cancer et son éloignement de la périphérie du cerveau. , La tumeur du lobe frontal gauche baigne dans une hémorrhagi
émorrhagie efface par endroits les limites, sans cela nettes, de la tumeur . A son pourtour beaucoup d'espaces périvasculaire
rouvent à travers tout le lobe frontal gauche, mais à mesure que la tumeur grandit la zone vacuolée s'étend aux dépens de
ta). Ne paraît pas altérée jusque vers le maximum d'extension de la tumeur . Ici on re- trouve, semées irrégulièrement, les
I, la circulation ventriculaire n'ayant été obstruée par aucune des tumeurs , les lésions des tissus en tant que démontrable
us difficilement à mesure qu'on s'éloigne de la superficie. 3. La tumeur de l'observation III, extra-cérébrale, est plus g
édier à l'augmentation de pression produite par la croissance d'une tumeur . En pratique, cela pourrait permettre à un néop
face antérieure du bras jusqu'au niveau de la taille. Cette énorme tumeur devenait une gêne par son poids ; elle s'ulcérait
roit ; au niveau du point contusionné se développe rapidement t une tumeur de consistance dure, facile à délimiter par la pa
le il entre à l'hôpital Tenon, demandant à être débarrassé de cette tumeur gênante ; il fut opéré par M. Rochard ; la tumeur
barrassé de cette tumeur gênante ; il fut opéré par M. Rochard ; la tumeur était constituée par un hématome. Quand on ex
uand on examine ce malade, ce qui frappe tout d'abord, ce sont, des tumeurs et des troubles de la pigmentation. Des fumeurs
li Ilasque,repous- sés au niveau de la face externe du bras par une tumeur dure profonde (l'hématome non encore opéré), re
dans le sens vertical, comme distendue par le poids de la première tumeur ; ce sont aussi de petites tumeurs ron- des, mo
endue par le poids de la première tumeur ; ce sont aussi de petites tumeurs ron- des, molles, analogues d'aspect à de petit
droit au bord interne du sterno-cléido-mastoïdien gau- che : cette tumeur sonore à la percussion paraît être due au poumon
catégories distinctes : ce sont d'une part les noevi et les petites tumeurs dont l'ensem- ble est tout à fait caractéristiq
n admet 286 KLIPPEL ET MAILLARD que chez notre malade ces petites tumeurs sous-cutanées, un peu molles et roulant sous la
sont de petits névromes, la coexistence de noevi et de ces petites tumeurs mérite donc bien le nom de 11euro-fibromatose g
et le grand noevus pigmentaire, la plupart des autres noevi et des tumeurs , la plus grande plaque de décoloration des chev
a ni linge ni éponge à proximité. Serait-ce l'ablation d'une petite tumeur , d'un kyste du cuir chevelu ? C'est possible. ' «
ces opérations fantaisistes ayant pour but d'extirper du crâne une tumeur imaginaire ? Aurions-nous affaire à l'un de ces
lie et pour le gigantisme : une croissance excessive causée par une tumeur ou une hyperfonction de l'hypophyse. Si cette cro
dans deux cas de gliome du cerveau. Il décrit, au voisinage de ces tumeurs l'apparition de faisceaux de cylindraxe de nouv
cole nationale vétérinaire d'Alfort. L'épilepsie symptomatique de tumeur cérébrale s'allie ordinairement, chez l'homme,
eil per- mettent le diagnostic et quelquefois la localisation de la tumeur . A côté de ces cas, il en est d'autres où l'épi
en re- lief ces cas où l'épilepsie est le principal symptôme d'une tumeur cérébrale ajoute : « La céphalalgie tenace et v
e et exacerbante,cons- titue la manifestation la plus fréquente des tumeurs cérébrales ; les atta- ques convulsives peuvent
armi les différents symptô- mes pouvant permettre le diagnostic des tumeurs cérébrales il faut ajou- ter la stupeur. Celle-
t des atta- ques épileptiques et de la stupeur symptomatiques d'une tumeur cérébrale. (1) L. Marchand, Tumeur cérébelleuse
la stupeur symptomatiques d'une tumeur cérébrale. (1) L. Marchand, Tumeur cérébelleuse et épilepsie. Congrès de Limoges, 19
s de stupeur si communs chez les aliénés et les malades atteints de tumeur cérébrale. Nous insisterons enfin sur les carac
ansversales du cerveau, et même avant toute section, on observe une tumeur occupant le lobule sphénoïdal gauche (fig. 1).
rve une tumeur occupant le lobule sphénoïdal gauche (fig. 1). Cette tumeur est molle, gélatineuse, légèrement transparente
u sain, sans ligne de démarcation nette. Il n'existe aucune autre tumeur dans les autres organes. Examen histologique. L
ns les autres organes. Examen histologique. L'examen a porté sur la tumeur , sur les régions motrices droite et gauche, sur
la névroglie, de Van Gieson, la colora- tion au picro-carmin. La tumeur est formée de petites cellules rondes à gros noya
e qu'on ne peut mettre en doute leur na- ture nerveuse (fig. 2). La tumeur est peu vascularisée à son centre ; mais, sur t
s- posés ; elles sont en voie de dégénérescence ; tout autour de la tumeur , les fibres à myéline sont également mal coloré
e voir les sillons avec leur méninge molle offrir une barrière à la tumeur (fiâ. 3). Les cellules néoplasi- ques gagnent l
2, Fibrilles névrogliques 3. cellules sarcomateuses. Fio. 3. - 1. Tumeur ; 2. Cortex sain; 3. Sillon et pie-mère; 4. Cellul
Pas de lésions méningées. Il est intéressant de constater qu'une tumeur localisée en dehors des zo- nes motrices a donn
céphalo-rachidien. L'examen his- tologique montre nettement que la tumeur était oedématiée ; ses éléments sontécartés les
ptiques et des nerfs ciliaires résultant de l'oedème cérébral. La tumeur , d'après les considérations histologiques que nou
. Les fibres à myéline, au contraire, ont en partie disparu dans la tumeur et celles qui ont persisté sont si altérées qu'
lgré une adhé- rence intime des deux lèvres des circonvolutions, la tumeur ne traverse pas la méninge pour gagner l'autre
ment comme l'oedème précoce, qui est l'un des premiers signes d'une tumeur blanche, ou d'une coxalgie (Ménard). Depuis d
er. De quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs (3 fig., 1 pl.), 241. TABLE DES MATIÈRES Ab
s . aliénés (notes sur quelques cas de) (1 pl.), par Féré, 168. Tumeurs (de quelques altérations du tissu cérébral dues
EGGCR), LXV. Altération du tissu cérébral due à la pré- sence des tumeurs (R. 'VÉDER), XL. Ankyloses vertébrales (Pierre
39 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ésions oculaires; il en était ainsi, par exemple, dans le cas de la tumeur orbitaire signalée par Berger, et qui, opé- rée
et sera surtout tonique. M. 1.lllEL. XV. Contribution A L'ÉTUDE DES tumeurs DU corps calleux; par Dévie et P.VIOT. (Revue d
he et hyperthermie. Les auteurs, rappelant les cas déjà observés de tumeur du corps calleux, se demandent s'il y aquelques
signes cliniques permettant de diagnostiqueur la localisation de la tumeur ; l'envahissement des parties voisines rend la p
ctives avec diminution de la quantité des éléments nerveux. - 2° La tumeur des ascendantes droites explique les céphalalgies
(épilepsiejacksonienne). Il y a longtemrs que la malade avait cette tumeur , si l'on en juge d'après son volume et l'aplati
luenza; jusque-là le cerveau s'était adapté à l'accroissement de la tumeur et à la modi- fication de la pression correspon
sonde oesophagienne. A. MARIE. XXXII. Traitement CHIRURGICAL DES tumeurs THYROÏDES; par F.-T. PAUL. (British médical Jou
as, avec figures, donnant le résultat des examens histologiques des tumeurs . Celles-ci consistaient en adénomes muqueux, co
) Les enfants avaient l'un trois semaines, l'autre trois mois. La tumeur dans les deux cas ne contenait pas de cerveau et
utôt disloqué que détruit les éléments nerveux. De deux côtés de la tumeur on voit la subs- tance grise, bien pauvre en ce
e, sauf que la moelle a subi un moindre degré de compression par la tumeur méningée. Les racines extramédul- laires, relat
veau nous voyons donc les deux lésions médullaires (la cavité et la tumeur centrale) quoique juxtaposées, mais indépendantes
uremérien, atteignant même la surface antérieure de la moelle. La tumeur méningée augmente considérablement de dimensions
n ascendante). A la hauteur de la VIe racine cervicale (fig. 10) la tumeur méningée atteint son maximum : à une coupe tran
ression excessive dans la direction antéro-postérieure; en outre la tumeur a pénétré dans sa sub- stance par la corne post
ense, riche en cellules. " . Un peu plus haut, les dimensions de la tumeur méningée dimi- nuent sensiblement : au niveau d
cléreux, riche en cellules. Au niveau de la lIe racine cervicale la tumeur méningée prédo- mine sur les parties latérales
ocalisés exclusivement dans la région des cordons postérieurs. La tumeur méningée n'est guère prononcée que sur la périphé
s le canal rachidien, grâce à un indice bien rare : métastase de la tumeur àl'oreille , Ce symp- tôme, dont la haute impor
de l'affection. Dans les autres cas on croyait avoir affaire à une tumeur cérébrale (Westphal,), à une tumeurdu cervelet
e musculaire, etc.). C'est alors seulement que nous vint l'idée des tumeurs mé- dullaires multiples ; mais une participatio
e Westphal, le nôtre). La structure fine ainsi que l'évolutionde la tumeur peuvent être mises en lumière par l'étude des e
ous avons donc le droit de ranger cette néoplasie dans ce groupe de tumeurs sarcoma- teuses qui porte le nom d'endolhéliome
- plasie. Dans notre observation la quantité de vaisseaux dans la tumeur était colossale ; à plusieurs endroits il y avait
uvé une dégénération hyaline et calcaire dans les vais- seaux de la tumeur , est Ilippel, et justement dans son obser- vati
intime avec le tissu nerveux. Ainsi dans la partie inférieure de la tumeur les vaisseaux et les cordons hyalins -sont limi
nde déformation qu'a subie le renlle- ment cervical comprimé par la tumeur méningée. Il est intéressant de suivre l'évolut
é absolument unique que la combinaison de la syringomyélie avec des tumeurs médul- laires ou méningées; Seliultzel en a sig
nséquence du sarcome ou plutôt de la compression produite par cette tumeur . Dans la moelle normale circule un liquide (le
duit des gliomes et ensuite la syringomyélie. Le même effet que les tumeurs du canal rachidien produi- sent les processus i
est aussi à cette cause qu'est due la syringomyélie dans les cas de tumeurs siégeant dans la fosse crânienne posté- rieure
que nous venons de dire, nous y trouvons une analogie complète. La tumeur qui se développait dans la partie inférieure du
renflement cervical la moelle est excessive- ment comprimée par la tumeur méningée ; tant à ce niveau que plus haut, la s
se. C'est ainsi que cette stase, provoquée par le développement des tumeurs sarcomateuses, sert dans notre observation de l
ain groupe de cas, quoique ce groupe ne comprenne pas seulement les tumeurs médullaires : on a le droit d'y ranger ' Schttl
es imbéciles. Pour son compte personnel il en a recueilli deux. ' Tumeur du corps calleux. MM. Ssr.as et P. LoivoF (de P
ismale, ce sont les accidents consécutifs, soit à la présence de la tumeur anévris- male, soit à la rupture de cette tumeu
la présence de la tumeur anévris- male, soit à la rupture de cette tumeur que l'on observe. La plupart des hémorragies qu
pour permettre de formuler une description clinique applicable aux tumeurs du bulbe. Cette complexité symptomatique tient-el
e. Etant donnée l'impossibilité de tracer un tableau d'ensemble des tumeurs du bulbe, il convient d'en rapporter avec détai
toires ni circulatoires. En l'absence des symptômes cardinaux d'une tumeur cérébrale, il était difficile de faire un diagn
volume du bulbe attire l'attention. Le bulbe est distendu par une tumeur qui a envahi sa face dorsale et empiété surtout à
eur qui a envahi sa face dorsale et empiété surtout à gauche. Cette tumeur d'aspect gélatineux, de couleur gris foncé, plus
cune dégénérescence secondaire des faisceaux blancs. L'examen de la tumeur montre qu'elle est formée d'un tissu de névrogl
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 11 semble donc que la tumeur , au sur et à mesure de son déve- loppement, ait
tte notion éclaire l'évolution clinique présentée par le malade. La tumeur s'insinuant lentement entre les cellules nerveuse
le abolie dans le cas particulier. RELLAY. VIII. Diagnostic D'UNE TUMEUR cérébrale sans localisation possible; par E. Br
cours d'une de ces séries d'attaques. A l'autopsie on découvre une tumeur sarcomateuse siégeant au niveau de la première ci
nt au niveau de la première circonvo- lution frontale droite. Cette tumeur aurait été facilement opérable. Mais « une tume
ale droite. Cette tumeur aurait été facilement opérable. Mais « une tumeur qui ne se traduit que par une épilepsie essen-
ression cérébrale. Mais il peut y avoir compression du cerveau. Une tumeur , par exemple, de même qu'une tige de laminaire,
cérébrale et non production de pression .cérébrale, S'agit-il d'une tumeur liquide, au lieu d'une tumeur solide, elle RE
pression .cérébrale, S'agit-il d'une tumeur liquide, au lieu d'une tumeur solide, elle REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
lation de ce dernier; comment y aurait-il tension, pres- sion Si la tumeur liquide s'ouvre, sa tension intérieure s'équilibr
errons son action plus tard. L'action exercée par l'expansion de la tumeur sur le cerveau, comparable mécaniquement à cell
et infiltration interstitielle leuco- cytllaire. A. Marie. XXIX. Tumeur maligne du cerveau D'ORIGINE auriculaire ; par
es sinus mastoïdes et le crâne et on fil l'ablation partielle de la tumeur . Il en résulta un choc nerveux suivi de suspens
alade mourut deux mois et demi après l'opération, des progrès de la tumeur sarcomélanique (examen histologique). A. Marie.
e l'épi- lepsie vraie, mais cela n'infirme pas du tout l'idée d'une tumeur . M. Higier se rallie à la théorie de Loevenfeld
rose des cordons postérieurs de la moelle dans toute sou éten- due. Tumeur gliomateuse au niveau de la région cervicale. Hyd
ion cervicale le tableau est compliqué du fait de la présence d'une tumeur gliomateuse. Celle-ci s'étend du milieu du prem
bout du sixième segment cervical. Les parties périphériques de la tumeur sont riches en cellules et en vaisseaux à paroi
s ayant subi la dégénérescence hyaline. Les parties centrales de la tumeur contiennent, par places, des territoires de fib
du bout inférieur du premier segment cervical, on aperçoit dans la tumeur une cavité centrale qui s'étend jusqu'au milieu
même segment; de là, elle se prolonge jusqu'à la terminaison de la tumeur . La cavité supérieure, de même que la cavité in
couches irrégulières. Sur des coupes transversales de la moelle, la tumeur occupe presque toute la commissure grise et le
ré d'amas de cellules épithé- liales. Immédiatement au-dessus de la tumeur , le canal central se dilate rapidement et bient
à la fonte préalable du tissu altéré et dégénéré au centre de la tumeur . Quant au tabes dorsalis, il n'est qu'une combina
à la gorge, hémianesthésie droite. Région stomacale normale. Petite tumeur de la rate. Examen complet du liquide gastrique
lorydrique libre. Diagnostic : hystérisme, avec atonie gastrique et tumeur spléniqne infectieuse. Traitement : bromy- draL
de la moelle de cette malade portait un renflement conique formant tumeur , tumeur constituée par un tissu mixte : fibro-m
oelle de cette malade portait un renflement conique formant tumeur, tumeur constituée par un tissu mixte : fibro-myo-lipôm
epuis la région bulbaire jusqu'à la région sacrée infé- rieure, une tumeur périépendidymaire formée de fibrilles très fines
ines au milieu desquelles on trouve de nombreuses cellules. Cette tumeur prend mat les réactifs colorants, ne se laisse pa
de la coïncidence des deux modalités pathologiques, spina-bifida et tumeur congénitale de la moelle, d'une part. g11ôme et
près Adarnkiévicz, c'est le liquide céphalo-rachidien qui, dans les tumeurs intra-rachidiennes, serait la cause des phéno-
uelquefois assez intense, comme cela arrive autour des abcès ou des tumeurs dont la croissance est rapide. Pour la même rai
générescence descendante d'un faisceau pyra- midal à la suite d'une tumeur cer6braie(gUosarcome) du volume d'une petite po
ules des - après le repos, par Jacob. sohn, ù03. Corps calleux. Tumeurs du -, par Devic et Paviot, 50; par Séglas et
es - et parathy- roides, par Gley, 43. Traitement chirurgical des tumeurs -, par Paul, 1H. Physiologie et patholo. gie
e, par Minor, 08. T(rnI;CULOSEeta11él1at1011, par Paris, 144. Tumeurs . Diagnostic d'une céré- brale sans localisation
40 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de concert avec les accidents ' cérébraux, d'abord penser à' une tumeur cérébrale. L'évolution fit abandonner ce 'diagnos
t le classifier d'après le procédé de Wilms et Marchand comme une tumeur tératoïde, c'est-à-dire comme un embryoma dermoïd
s successives après durcissement. La seule lébion consiste en une tumeur logée dans la calotte des pédoncules cérébraux
tte des pédoncules cérébraux ( ? 7). Avant tout durcissement, cette tumeur est arrondie, polycyclique, molle, d'aspect cas
ect habituel. Après durcissement dans les réactifs habituels, cette tumeur , nous , a paru solitaire dans un examen minutie
igert-Pal, passant à ce niveau de développement maximum, on voit la tumeur dessinée par une zone décolorée, arrondie, à bo
la pie-mère de l'espace interpédonculaire, ensuite le bord de la tumeur se diriger vers la gauche (2 millimètres environ)
a sortie de la troisième paire droite. Ainsi sont englobées dans la tumeur : A, à gauche : 1° en totalité, ? le trajet de la
les tubercules quadrijumeaux. Nous étudierons : 1° la nature de la tumeur ; 2° les effets pro- duits par la tumeur. ' 1°
ierons : 1° la nature de la tumeur; 2° les effets pro- duits par la tumeur . ' 1° Nature de la tumeur. -La tumeur estconsti
tumeur; 2° les effets pro- duits par la tumeur. ' 1° Nature de la tumeur . -La tumeur estconstituéepar une masse centrale
es effets pro- duits par la tumeur. ' 1° Nature de la tumeur. -La tumeur estconstituéepar une masse centrale nécrosée en
ous explique fort bien comment a pu se '-produire par le fait d'une tumeur une lésion de déficit bien loca- lisée ; c'est
c'est là un fait important que nous voulons déjà souligner. - Celte tumeur est-elle primitive ou secondaire ? L'aspect des c
de l'épi- thélium intestinal auquel ressemble à première vue notre tumeur (fig- 9), Si donc on peut admettre que la pie
ninges molles interpédonculaires. , Mais dans quelle catégorie de tumeurs pouvons-nous placer ce néoplasme ? Il ne s'agit
t tout à fait différente de celle des endothéliomes de la pie-mère, tumeurs com- posées de cellules aplaties ou fusiformes,
épithélial, papillomateux, notre cas est tout à fait différent des tumeurs primitives ordinaires du cerveau. Or les auteur
erveau. Or les auteurs français sont très sobres de détails sur ces tumeurs épilhé- liales développées primitivement dans l
pathologique, 1873, p. 693, t. II). « Le caractère principal de ces tumeurs , disait-il, est une formation de véritables papil
le papillome de la pie-mère et des vaisseaux... La substance de la tumeur était d'un gris rou- geâtre, translucide, tremb
t, de manière qu'il ne pouvait y avoir de doute sur l'origine de la tumeur . » On voit ainsi combien notre description se r
té Anatomique de 1899, un fait tout à fait identique au cas actuel, tumeur corticale rolaudique avec papilles vasculaires,
nalogue aux nôtres. Il existe donc un groupe très exceptionnel de tumeurs primi- tives pie-mériennes, papillome cérébral
lome primitif épilhéloïde de pie- mère. 2° Effets produits par la tumeur . La tumeur a eu une action destructive pour les
if épilhéloïde de pie- mère. 2° Effets produits par la tumeur. La tumeur a eu une action destructive pour les parties du
s centrales néoplasiques. Nous avons déjà indiqué les limites de la tumeur et par suite les régions du pédoncule détruites,
respond assez bien à la marche progressi- vement envahissante de la tumeur . De semblables lésions existent mais à un bien
peut faire des réserves sur ce cas négatif, puisqu'il concerne une tumeur à marche extensive ayant entraîné la mort quatr
us avons donné plus haut les raisons qui nous font croire que cette tumeur n'est point une localisation secondaire d'un ca
'explication de ces paralysies oculaires est facile à don- ner : la tumeur a détruit à gauche la totalité de la troi- sièm
; cette absence est fort bien expliquée par le faible volume de la tumeur qui est destruc- tive plus que proliférative, e
t due à des lésions limitées de la calotte du pédoncule, tubercule, tumeur ..... Notre cas en est un exemple. La dy- sarthr
en activité par l'hémisphère du côté correspondant. G. DENY. XVI. Tumeur cérébelleuse et épilepsie; par L. Marchand. (Jour
ié antérieure du lobe temporo-sphénoïdal droit sont occupés par une tumeur gélatineuse qui s'étend à la surface infé- rieu
droite. Les ganglions centraux droits étaient aussi envahis par la tumeur qui avait ainsi une surlace libre dans le ventr
s autres organes étaient sains, mais congestionnés. Une coupe de la tumeur , près de son centre, montre qu'elle est formée
? Avant tout les adhérences et épaississements des méninges et les tumeurs . Il est à penser que, par suite de ces altération
nte-six ans, qui porte depuis sa naissance à la région lombaire une tumeur sous-cutanée de con- sistance graisseuse. A ce
hystériques ont accompagné, et masqué pendant un certain temps, une tumeur cérébrale. Le premier diagnostic d'hystérie ava
évroses ; 5° délires secondaires aux lésions organiques cérébrales ( tumeurs , traumatisme, coup de chaleurs sénilité ; 6° co
tte dénomination, la mastodynie, le gonflement du sein avec ou sans tumeur , avec ulcération, la galactorrhée, les ecchymos
MM. J. Obertiiur et A. Mousseaux. I. Au cours de l'évolu- tion des tumeurs épithéliales, et en particulier des carcinomes, l
efoulés et comprimés ; ils peuvent ordinairement être séparés de la tumeur et ne sont pas pénétrés par elle : leur tissu S
facilement par les éléments cancéreux, de même type que ceux de la tumeur primitive. Ces éléments s'infiltrent et prolifè
, sont ordinairement sectionnés à leur point de pénétration dans la tumeur . d) Dans les ganglions nerveux, les amas épithé
taire) ; elles atteignent l'appa- reil de la vision en simulant une tumeur cérébrale ou orbitaire. Les véritables métastas
ruption sous les méninges. La plupart des malades porteurs de ces tumeurs ont d'ailleurs pu être suivis un temps plus ou mo
sions en vue d'éclairer l'his- toire anatomique de cette variété de tumeurs . Les techniques ordinaires ont été employées, h
i permet de les distinguer déjà à première vue de toutes les autres tumeurs . Ils sont toujours franchement translucides, sa
t lieu quel- quefois à des suffusions hémorrhagiques. centrales. La tumeur , bien qu'elle ne soit jamais énucléable, possèd
érance relative que l'on observe quelquefois avec de volumi- neuses tumeurs . Dans un cas, par exemple, évoluant depuis troi
t aucune localisa- tion. Il est vrai que dans trois autres cas la tumeur avait une marche bien plus envahissante et dest
, entourés d'un protoplasma variable en étendue selon le type de la tumeur , mais émettant toujours un chevelu de fibres ex
s exceptionnelle, il ` n'en est pas moins vrai que comme toutes les tumeurs le gliome peut parfois envahir des tissus étran
sollicité notre attention, à savoir la parti- cipation à de telles tumeurs des éléments nobles par excellence du z système
sur les caractères cliniques et sur les lésions anatomiques de ces tumeurs . Cette classification distingue : 1° les sarcom
omination de sarco- matoses, afin de bien spécifier qu'il s'agit de tumeurs dont la puis- sance de généralisation est très
olitaires des méninges sont les plus fréquents et les mieux connus. Tumeurs localisées, à structure fibre-plastique, à évol
rescence spéciale, développée aux dépens de tous les éléments de la tumeur , principalement dans le voisinage des vais- sea
lle ou des circonvolutions cérébrales immédiatement adjacentes à la tumeur , on voit les tubes nerveux tassés, étirés, se dém
ue celle de la compression lente. Ainsi, dans l'un de nos cas, avec tumeur fibro-plastique dévelop- pée à la hauteur du re
anguine; mais il est bien probable que les poisons produits dans la tumeur assez végétante ont également pu jouer un certain
ème avait détruit le centre ovale du cervelet. Macroscopiquement, tumeurs sans limites nettes, de coloration gris-rosé, de
alite diffuse ou d'un vaste foyer de ramollissement. En résumé, ces tumeurs constituent, anatomiquement et cliniquement, de
- Certains auteurs, s'appuyant sur les figures cellulaires de ces tumeurs , dont quelques-unes rappellent l'aspect étoile de
e gliomateuse ; et nous ne croyons guère à une association des deux tumeurs , au moins si l'on s'en rapporte aux observations
tion lente ; destruction modérée et toute locale du tissu nerveux ; tumeur non envahissante, avec tendance marquée à l'enk
gétant, avec cellules polymorphes et myéloplaxes, évolution rapide, tumeur vite envahissante, toujours extensive jusqu'à a
ttérature plu- sieurs observations avec autopsies, qui montrent des tumeurs 7nul- tiples envahissant tout le système nerveu
rentes. Pour notre part, nous avons eu à examiner deux cas de ces tumeurs multiples du système nerveux central, et toujours
lingliausen. Histologiquement, il existe le plus habituellement une tumeur principale développée surtout dans les régions
eproduit la structure du sarcome solitaire des méninges. Les autres tumeurs sont plus petites ; aisément psammomateuses sur
ont les éléments nerveux paraissent plus refoulés que détruits, ces tumeurs sont à évolution franche- ment fibreuse sur les
oma, au lieu d'exister à l'état de néoplasme pur, fait partie d'une tumeur dont les caractères généraux sont évidemment ce
iquement, les symptômes de la neurofibrosarcomatose sont ceux d'une tumeur à foyers multiples et a localisation prédomi- n
e montra l'existence d'un tubercule de la grosseur d'un pois. Cette tumeur , médiane, visible sur une coupe frontale inté-
la compression et en particulier des trou- bles d'irrigation que la tumeur a engendrés dans le territoire du faisceau pyra
tabès, syringomyélie. méninge-myélite syphilitique et tuberculeuse, tumeurs du nevraxe, hémiplégie, poliomyélites, polynévr
2° cela est démontré par les symptômes mentaux qui accompagnent les tumeurs qui prennent naissance dans cette région et y d
et de résister plus avantageusement à la lésion subie. G. D. XLV. Tumeur du thalamus optique ; par 1111CIIeL-CL.i;FE. (l3r
pliques, 75. Un cas de délire épileptique. par Petit, 121. - Voir Tumeur I cérébelleuse. Contribution a la pathogénie
41 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
n'ayant trouvé, à l'autopsie de cette femme, d'autre lésion qu'une tumeur de l'hé- misphère gauche du cervelet, et l'atro
d'un nombre assez considérable d'appendices collatéraux. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE DESTRUCT
s après la mort. Le syndrome de démence paralytique réalisé par une tumeur du lobe frontal donnait lieu à un diagnostic in
bservation. Elle apportera peut-être une contribution à l'étude des tumeurs céré- brales à forme psycho-paralytique (1) et
; affaiblissement démentiel ; poussées de température. Autopsie : tumeur du volume d'une noix, de consistance osseuse, log
quel nous sommes heureux d'expri- mer ici tous nos remerciements. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE E 109 Poum
; pas de nystagmus ; pas de paralysie de la musculature externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 111 Pas de
des 2/3 supérieurs de la scissure de Rolando et l'on tombe sur une tumeur dure du volume d'une petite noix (Fig. 1). So
tance moindre. Encastrée et isolée dans la substance blanche, cette tumeur occupe la pointe du noyau caudé et pénètre dans l
oncée que normalement; l'aspect à la coupe paraît moins humide. ' TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCIlO-PARALYTIQUE 113 Le pé
demi-schématique de l'hémisphère droit montrant en A le siège de la tumeur . 114 CORNU Examen microscopique (1). La tumeu
A le siège de la tumeur. 114 CORNU Examen microscopique (1). La tumeur de l'hémisphère cérébral droit est constituée p
à M. Taty nos sentiments de reconnaissance. Fig. 2. - Coupe de la tumeur : 1, substance grise ; 2, coque fibreuse ; 3, t
eur : 1, substance grise ; 2, coque fibreuse ; 3, tissu ostéoïne. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 115 Fig. 3
t incontestablement d'une formation ancienne : on peut penser à une tumeur d'origine syphilitique ou tuberculeuse, mais il n
. 5. - Lobe cérébelleux gauche. Fig. 6. - Lobe cérébelleux droit. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCilO-PAHALYTlQU8 117 7 Les
en un an et demi, ayant présenté à côté des symptômes généraux des tumeurs cérébrales les signes de la démence paralytique
aru disposésà grouper en troubles constants et communs à toutes les tumeurs cérébrales et en troubles va- riables dépendant
rales et en troubles va- riables dépendant de la localisation de la tumeur , les troubles psychiques qui accompagnent les n
étique ou urémique, et, d'autre part, elle a été constatée dans les tumeurs de toutes les portions du cerveau (3). M. Vigouro
ubles n'est rien moins que pathognomonique de la localisation d'une tumeur . Cette notion n'a du reste rien de surprenant si
lidarité des points du cortex et si l'on consi- dère que toutes les tumeurs peuvent entraîner des troubles mentaux sura- jo
sées d'encéphalite (1) DUPRÉ et DEYAUX, op. cil. KLIPPEL, Article tumeurs cérébrales, in Tr. méd. Brouardel. Marie, Socié
e, 1897. (4) Revue de Psychiatrie, février 1903 (Revue générale). TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 119 J diff
r Phelps à savoir que l'absence de troubles mentaux dans les cas de tumeur cérébrale indique que l'altération occupe le lobe
t sur sa fréquence et sa signification diagnostique dans les cas de tumeur du lobe frontal. Cette euphorie analogue chez n
le lobe frontal. La connaissance des formes psycho-paralytiques des tumeurs cérébra- les (1) et l'existence des symptômes l
avec cette notion que les crises sont moins fréquentes au cours des tumeurs pénétrantes et que les trou- bles psychiques en
parole. Ces mêmes symptômes se retrouvent d'ailleurs dans un cas de tumeur céré- belleuse observé par M. Raymond (4) (tron
Charcot-Bouchard ; Omci, Il Policlinico, 1895 ; AUVRAY, Traité des tumeurs cérébrales ; Bromwel, BRAI/'(, 1899 ; BRAULT et
iques 3e série), p. 110 ; Thomas, Le Cervelet (Thèse, Paris, 1897). TUMEUR CÉRÉBRAHS A FORME PSYCnO-PARALYTIQUE 121 que. N
ologie puisque M. Raymond a décrit un syndrome cérébelleux dans les tumeurs du lobe frontal. 1.. Il en est de même pour l
ère cérébelleux, elle se trouve également mentionnée dans un cas de tumeur dure trouvée' dans la partie antérieure de l'hémi
eurosthonos opposé par l'excitation électrique d'un noyau caudé. La tumeur siégeait nettement sur la tête du noyau caudé et
ind, Ladame(5), qui ne notent pas d'hémiplégie sauf dans les cas de tumeurs trop volumi- neuses comprimant ou atteignant di
ès élective des fibres du facial situé précisément en arrière de la tumeur . Au surplus les troubles de la parole constitués
sceau géniculé qui réunit ces deux ordres de fibres est derrière la tumeur : le (1) In Rosenthal, Traité des maladies du s
atrophie croisée par rapport à l'hémisphère cérébral où siégeait la tumeur ; et, d'autre part, une atrophie de l'olive bulba
10) Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse, Iconog. Salp., 1901, p. 341. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 123 phére
en effet des lésions in- flammatoires marquées dans la région de la tumeur (zone temporale et face interne du lobe frontal
xislence de lésions- de méningo-encéphalite dans le voisinage d'une tumeur cérébrale ; mais, de plus en plus, l'attention es
ui, englobant la région motrice, avait fait porter le diagnostic de tumeur i-olandique , Klippel (5) Saqui (6) montrent l'im
importance de ces lésions secondaires dans l'évolution clinique des tumeurs de l'encéphale et décrivent non seulement des f
vant l'imprégnation diffuse des toxines; Lannois (8) dans un cas de tumeur du noyau caudé, constate des plaques opalines de
trépanation qui fut pratiquée. (1) Thèse de Lyon, 1891. (2) Art. Tumeurs cérébrales, t. IX, op. cit. (3) Annales médico-
, p. 772. (8) Lyon médical, 26 octobre 1902. 124 CORNU Dans les tumeurs du cerveau, ditKlippel,(1)nonseulementuneinflam-
el,(1)nonseulementuneinflam- mation peut se développer autour de la tumeur , ainsi que c'est le cas fré- quent, mais chez q
a cause immédiate d'un certain nombre de symptômes, au point qu'une tumeur peut rester latente jus- qu'au jour où ces alté
s seraient peut-être la première manifestation de la présence de la tumeur , la seconde étant constituée par des lésions plus
ication des troubles si divers observés au cours de l'évolution des tumeurs . Des observations et des constatations récentes
. 35. (5) Marie, Société de neurologie de Paris, 10 janvier 1901. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 128 serait
l'évo- tion et l'enchaînement de tous ces faits, nous dirons que la tumeur a existé sans doute sans donner lieu à des symp
scus- sion qui a suivi, 1\'kPierre Marie rapprochait ce trouble des tumeurs dor- sales du carpe). - Et il faut aussi rang
riphériques et nous ne saurions en citer de meilleur exemple que la tumeur dorsale du poignet de la paralysie radiale à laqu
sa naissance, la peau de D... est intacte. Vers 4 ans, la première tumeur fait son apparition au creux épigastrique, un peu
évolue très lentement. Reste longtemps unique ; puis l'explosion de tumeurs se fait en deux poussées, sans cause occasionnell
aques et ponctua- tion, date de la première de ces poussées. Chaque tumeur cutanée débute par un point brunâtre très petit
tion de la peau caractérisée, objectivement, par un grand nombre de tumeurs cutanées et par une pigmentation double, en pla-
tanées et par une pigmentation double, en pla- ques et en semis : Tumeurs cutanées. Elles sont multiples, petites, de consi
3 noyaux indurés, non douloureux, de la grosseur d'une lentille. Tumeurs des nerfs. Il n'existe pas de tumeurs en série le
e la grosseur d'une lentille. Tumeurs des nerfs. Il n'existe pas de tumeurs en série le long des bran- ches nerveuses sous-
mée de taches lenticulaires brunes. La peau du visage, exempte de tumeurs et de pigmentation, offre une teinte brunâtre u
la suite de ces exercices physiques, un arrêt dans l'évolution des tumeurs cutanées. Aucune anomalie de la sensibilité,
es de la triade symptomatique de la maladie de Recklinghausen : les tumeurs cu- tanées (236) et la double pigmentation de l
icularités mentales signalées, on ne s'étonnera pas de l'absence de tumeurs des nerfs et de certains troubles fonctionnels te
exes : elles sont accompagnées de stigmates caractéristiques. Les tumeurs cérébrales, spécialement basilaires, qui produise
otubérance. En outre cette compression ne saurait être due qu'à une tumeur , à unepachyméningite basilaire ou à des exostos
gite basilaire ou à des exostoses. En faveur de l'hypothèse d'une tumeur , plaiderait ce fait que lors d'une ponction lom
on ne saurait pas mettre en discussion ni un ramollissement ni une tumeur nécrosés, calcifiés. Il ne s'agit pas non plus
la localisation, qui ordinairement est tout autre, la structure des tumeurs sa- blées est si différente de celle que nous a
Sans doute est-ce une lésion inflammatoire du vaisseau, et non une tumeur vascu- laire (angiome). Mais il s'agit d'une
ui regardent la syringomyélie comme le résul- tat de la fonte d'une tumeur gliomateuse indépendante du canal central. Mais
, se trouve désigner à la fois les cavités d'origine mécanique, par tumeur de l'encéphale (Langhans), celles qui succèdent à
YRINGOMYÉLIE 403 spéciale, intermédiaire entre l'inflammation et la tumeur , comparable en cela à l'adénome. Si elle a paru
quefois caractériser spécialement soit une inflam- mation, soit une tumeur , soit une cicatrice, cela tient à ce qu'on a envi
'aphasie motrice transitoire qu'il faudra savoir reconnaître. Les tumeurs cérébrales peuvent aussi donner un syndrome analo
vent aussi donner un syndrome analogue. Il arrive, en effet, qu'une tumeur hémisphérique ou autre se révèle tout à coup so
1. Trophoedème (1 pl.), par PAUL Sainton et Rogner Voisin, 189. Tumeur cérébrale à forme psycho-paraly- lique (7 fig.)
rti- culier chez le cheval ; étude clinique,471. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique (7 figures
42 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
osarcomatose; par le Dr R. CESTAN. C'est la deuxième observation de tumeur de ce genre rapportée par M. Cestan. 11 fait, d
ue neurologique, septembre 1903.) E. B. XII. Les manifestations des tumeurs du cervelet; par II. DURHT. Les conclusions de
T. Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° Dans les tumeurs cérébelleuses, on peut observer : des trou- ble
existe cependant quelques symptômes de localisation, selon quela tumeur occupe le lobe médian, les lobes latéraux, les pé
celui REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 de la tumeur , ou, en tous cas, y sont prédominants. La chute s
y sont prédominants. La chute se fait le plus souvent du côté de la tumeur . Les phénomènes de compression suivent la même
umeur. Les phénomènes de compression suivent la même loi : pour les tumeurs du lobe mé- dian et du vermis, les troubles occ
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XV. Sur les manifestations des tumeurs du lobe occipital et du . lobe temporo-sphénoid
et. .M. Duret étudie la manifestation la plus caractéristique des tumeurs du lobe occipital, Y hémianopsie latérale homonym
é verbale, ou à des hémiplégies et des hémianesthésies. Quant aux tumeurs du lobe temporo-sphénoïdal, elles peuvent produ
émianesthésies. (Revue neurologique, novembre 1903.) - E. B. XVI. Tumeur (des plexus choroïdes) du quatrième ventricule av
que. (Revue neurologique, novembre 1903). E. B. XVII. Deux cas de tumeur du nerf auditif; par M. J. LéPIYE. Le hasard a
mis à l'auteur d'observer, à quelques mois de distance, deux cas de tumeur du nerf auditif, dans le service du professeur
ogique; il s'agis- sait de deux fibromes. La symptomatologie de ces tumeurs a été dans les deux observations, à. très peu p
ervations, à. très peu près, celle d'une lésion cérébelleuse. Les tumeurs du nerf auditif sont eucore assez mal connues ; l
rveuse, avec paralysie faciale, suivie à bref délai de symptômes de tumeur encéphahque. (Revue neurologique, novembre 1903.)
hoïde, par l'ictère, par des troubles gastro-intes- tinaux, par des tumeurs malignes, etc. Concernant l'àge, la psy- chose
ES. XXVII. Vomissements incoercibles et fécaloïdes au cours d'une tumeur des plexus choroïdes duIV° ventricule; par M. J.
'observation d'un malade ayant présenté comme manifestation rare de tumeur cérébrale des vomissements poussés jusqu'à l'in
aloïde. A l'au- topsie, on trouva dans le quatrième ventricule, une tumeur bilobée, avec petite grappe'muriforme en haut.
e à une production des plexus choroïdes, dite « psammome ». Cette tumeur avait étalé le 4° ventricule, comprimé et diminué
périphérique et' d'autres métamérique. Troubles auditifs dans les tumeurs cérébrales. M. Souques, chez un homme atteint d
s dans les tumeurs cérébrales. M. Souques, chez un homme atteint de tumeur cérébrale, une surdité complète et bilatérale,
iquer une localisation basilaire. A l'autopsie, on ne trouva qu'une tumeur volumineuse au lobe préfrontal gauche. L'augmen-
e, parfois avec pgeudoréminiscences. peut aussi s'observer dans les tumeurs cérébrales ; les rapporteurs ne réfutent point
174 4 SOCIÉTÉS SAVANTES. rares il est vrai, de la combinaison de la tumeur cérébrale avec la psychose de EORSAEOFF (cas de
moelle épinière il avait l'aspect d'une petite raie : plus loin, la tumeur s'augmentait beaucoup et envahissait la moitié
sang ; une quantité de foyers hémorrhagiques se trouvaient dans la tumeur et aussi au milieu de la substance nerveuse. On
de fibres, se trouvant dans différents stades de dégénérescence. La tumeur commençait de la pie-mére. , L.-S. MIN OR trouv
niveaux. ' G.-J. PRIBYTKOFF compte très grave la disposition de la tumeur dans le centre de la moelle épinière, presque p
mettait déjà l'exis- tence, chez les gens âgés, dans son Traité des Tumeurs . Mais, à cette affirmation de l'existence des n
Médecine, de Brouardel et Gilbert, p. 8ÍO, 2 P. Broca : Traité des Tumeurs , t. II, p. 207. 3 Hébra : ? Maladies de la Peau
n'ont eu ni cancer viscéral concommittant, ni transformation de la tumeur érectile en tumeur maligne. Ces diverses consta
viscéral concommittant, ni transformation de la tumeur érectile en tumeur maligne. Ces diverses constatations nous amènen
breuse, de noevi acquis n'a pas d'importance pour le diagnostic des tumeurs malignes comme le voulait Trélat. M. Le Guiner
médullaire, et les lésions destructives de la substance médullaire ( tumeurs , syringomyélies, etc.), ne peuvent servir de do
le lendemain matin. Le diagnostic hésite entre : hémorrhagies d'une tumeur de la base jusqu'alors latente au niveau du chi
tique. C'est à ce titre que nous publions l'observation suivante de tumeur de l'encéphale. Bien que cette tumeur eût envah
s l'observation suivante de tumeur de l'encéphale. Bien que cette tumeur eût envahi plusieurs organes de l'encéphale, ce
arrivant jusqu'aux méninges sur lesquelles il adhère fortement. La tumeur se prolonge dans l'intérieur du lobe frontal au-d
laire et une partie de la capsule externe. Les dégâts causés par la tumeur nous rendent bien compte des symptômes présenté
que ne se contractaient pas chez lui. L'autopsie avait montré une tumeur de la couche optique droite avec destruction de
nt avec le ventricule latéral droit. Dans la couche optique gauche, tumeur de la grosseur d'une aveline située dans l'angl
mé par la surface supérieure et interne de la couche optique. Cette tumeur faisait une légère saillie dans le troisièm e v
a diversité des symptômes que présentent d'une manière générale les tumeurs encéphaliques. Ceux-ci, en effet, peuvent être
alique qui en est le siège ou bien des symptômes d'irritation. « La tumeur de la couche optique (dit Yimoucopoulo) décrite
ralysie des muscles de la face, soit des phénomènes d'abolition. La tumeur par contre que nous avons observée, a, par sa p
cependant pas douteux que si le malade restait encore en vie, la tumeur se développant davantage, aurait occasionné des
ction de la couche optique. » Il en fut de même de notre malade. La tumeur tout en ayant envahi la couche optique n'en ava
ns de la couche optique par l'envahissement total de celle-ci parla tumeur . Ces faits prouvent que des processus irritatif
icale de spasmes musculaires isolés. Contribution à la clinique des tumeurs des tubercules quadriju- meaux, avec remarques
en avant des tubercules quadrijumeaux, ce que peut faire aussi une tumeur originaire de la couche opti- que. ' P. KKHAYAL
ques, blessures du cerveau, en- dartérites syphilitiques, embolies, tumeurs ). 5° Les arrêts de développement. Plus rares qu
ats sont moins favorables dans l'hydrocéphalie, les méningites, les tumeurs du cerveau. Les dangers de la ponction lombaire
entimètres cubes et de ne pas pratiquer la ponction dans les cas de tumeur céré- brale. ' Voir l'observation que nous av
(ainsi que Schultze) contre le danger de la ponction dans le cas de tumeur cérébrale. Schünborn a ponctionné 100 malades
as. Résultats négatifs dans le tétanos, la carie des vertébres, les tumeurs cérébrales, les névroses. 11 a fait dans 20 cas
d'une affection caractérisée par l'en- semble symptomatique dû aux tumeurs du cerveau, avec évolu- tion subaiguë ou chroni
er que, dans les cas où il existe des symptômes nets mais diffus de tumeur cérébrale, la simple ponction lombaire peut amé
S. ligature de la carotide primitive, pendant l'extirpation d'une tumeur maligne adhérente. Cette observation est intéress
rations constatées. R. C. Cil. Paraplégie cervicale incomplète par tumeur gliomateuse de la moelle avec pachyméningite né
icun Journzal o/' Izzsuzzily, I, 03, p. 441-446. 1 planche). S. CV. Tumeur cérébrale chez une femme de soixante-dix-huit ans
end ensuite une vingtaine de pages. Simov. CVII. Une observation de tumeurs adiénales métastatiques dans- la deuxième front
née) du fait, courte revue bibliogra- phique. Noter comme signes de tumeur des lobes frontaux : la raideur de la nuque, la
la soupçonner. G. C. LVIII. Un cas d'acromégalie avec diabète. - Tumeur du corps pituitaire; MM. J03SERAND et Bériel. (
sains; le thymus était plus visible que normalement. Il y avait une tumeur du corps pituitaire faisant une saillie hémisph
ulés de chaque côté. La base de l'encéphale était comprimée et la tumeur y avait déterminé la formation d'une cupule aplat
qui fait jouer le plus grand rôle aux compressions exercées par la tumeur sur les centres nerveux, en particulier sur le
montre, outre les dé- formations squelettiques et l'existence d'une tumeur pituitaire volumineuse, quelques particularités
la fréquence de l'hippus dans le cas de méningite tuberculeuse, de tumeur du cervelet, d'ophtal- moplégie ancienne, il l'
ERVELET. Atrophie du et sclérose en plaques, par Thomas, 62. Voir Tumeurs . Noie sur un cas de ramollissement du avec ét
te- neur en sucre du -, par Lannois et Boulud. 487. Lobe. Voir Tumeurs . - Voir Sclé- rose. Localisations spinales. N
psy- cho-physiologie du -, par Vogt, 338. ' Nerf auditif. Voir Tumeur . op- tique. Voir Amaurose. Contribu- tion à l
spé- cial, par Brtrand, 330. Paraplégie cervicalemcomplète par tumeur gliomateuse de la moelle avec pachyméningite né
rticale de - muscu- laires isolés. Contribution à la clinique des tumeurs des tubei- cules quadrijumeaux avec remar- qu
onique chez une épileptique, par Lan- nois. 493. Troubles. Voir Tumeurs . Aperçu médico-légal sur les mentaux post-tra
ls et ca- tatome, parPeeters, 419. TUBERCULOSE Voir Spondytose. Tumeurs . Les manifestations des du cervelet, par Duret,
ck, 430. Vomissements incoercibles et féca- loïdes au cours d'une tumeur des plexus choroïdes du II" venturi- . cule,
43 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OLOGIE MENTALE. 65 Observation IL Glio-sarcome cérébral. Epilepsie. Tumeur occupant la couche optique et le corps strié d'
et secousses convulsives dans les extré- mités droites. - Autopsie. Tumeur occupant à gauche une partie des ganglions cent
des résultats douteux, M. Moeli, se basant sur l'observation d'une tumeur qui occupait le troisième ventricule, et tenant
tôt les morphino- manes. M. SANDER. Observation dans laquelle une tumeur développée dans le segment postérieur du troisi
n rencontre ces troubles dans la syphilis spinale, la chorée, les tumeurs cérébrales, l'hémiplégie, la paralysie saturnine,
mblement marqué des cordes vocales et de la parésie des adducteurs. Tumeur cérébrale : un cas de gliosarcome du corps stri
rêtineux de lu face d'origine congénitale ( ? ). - Pas de goitre. - Tumeurs molles et mobiles de chaque coté du cou en dehors
'à l'état normal. Il n'y avait pas traces DE GL\NDE thyroïde. Les tumeurs gl'ais- seuses cervicales n'étaient pas enkysté
on sent à une certaine distance, dans le canal inguinal, une petite tumeur assez dure, mais non douloureuse à la pression
roite, au-dessus du testicule, sur le trajet du cordon, on sent une tumeur du volume d'un oeuf de pigeon sous laquelle but
portant sur la bibliographie, l'auteur détaille une observation de tumeur du corps calleux chez un homme de soixante-cinq
psie révèle, dans la substance delà protubérance, la présence d'une tumeur qui, comprise dans la moitié droite de son plan
rieur sur une grande étendue des deux côtés. P. K. XXXIX. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE (GLIOSARCOME DE LA glande pinéale 188
iences. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 31 1 XLIII. Un cas DE tumeurs SYPHILITIQUES ( ? ) dans LES méninges cérébrale
t, hyperesthésie indiquant une irrita- tion des zones sensorielles. Tumeur probable, quoi qu'il n'existe ni accidents épil
ille. II. Sarcome du lobe frontal. Observation dans laquelle, une tumeur occupant une grande partie du lobe frontal, les
finalement coma. Autopsie. Dans le lobe fron- tal droit, existe une tumeur qui a principalement détruit la substance corti
es termes semblables. P. K. XLVI. CONTRIBUTION A la casuistique DES TUMEURS DU CER- veau ET A LA CONNAISSANCE DES LOCALISAT
SOELAN. (Allg. Zeitschr. f. Psych., XLII, 2). Il s'agit d'un cas de tumeur unique (solitaire) du cerveau : sarcome de la d
oration et d'aggravation correspondent, de même que dans toutes les tumeurs , des séries de poussées et d'arrêts néoplasique
I. Hémianopsie temporale gauche unilatérale. Diagnostic erroné de tumeur cérébrale. La constatation successive de ce sym
e la sensibilité justifie- raient en quelque sorte le diagnostic de tumeur à progression lente siégeant dans la glande pit
sme occupant toute la hauteur de l'organe ; SI. Schulz croit que la tumeur a dû se développer il y a quatre mois, qu'elle
dém,¡teux et rénilent de la peau (cachexie pczchl, - dermique) avec tumeurs myxoedémalezcses disséminées. Exercices. Amélio
arités et anomalies des circonvolu- tions et des scissures ; petite tumeur siégeant sur un pli passage allant delà deuxièm
ou qui est en même temps très élargi, mais ne porte aucune trace de tumeur thyroïdienne. On sent distinc- tement le larynx
lles et en divers points du thorax, on la trouve soulevée par des tumeurs molles, tremblotantes, d'apparence oedémateuse. A
thermomètre appliqué sur le devant de la poitrine, puis sur une des tumeurs cervicales, a marqué successi- vement 1°,6 et 3
petit oeuf de pigeon entre les deux sourcils; à la palpatiou, cette tumeur donne la sensation de l'oedème; elle présente à
plus courte et plus fréquente; à la palpation, on croit sentir une tumeur assez dure, de l'S iliaque irrégulière, bosselé
té ceecale d'infé- rieure est devenue supérieure. Le tout forme une tumeur qui atteint une largeur de 11 centimètres 1/2.
ième à la troisième circonvolu- tion frontale, on trouve une petite tumeur de la grosseur d'une lentille, faisant une sail
tion frontale. C'est sur ce pli de passage que se trouve une petite tumeur de la grosseur d'une lentille (t.), tumeur un peu
que se trouve une petite tumeur de la grosseur d'une lentille (t.), tumeur un peu surélevée, énucléable et à la partie sup
, formait aux aisselles et au-dessus des clavicules ces masses ou tumeurs mollasses, d'aspect lipomateux, que nous avons
ormés. La glande thyroïde semblait diminuée, et il n'y avait aucune tumeur graisseuse anormale, au cou ou ailleurs. La t T
étinisme sporadique était inva- riablement associé à la présence de tumeurs symé- triques dans la région sus-claviculaire e
il soit difficile de dire exactement ce que Ferrus entendait par la tumeur volumineuse du cou que présentait ce malade ! '
EC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 361 7° IÇocher. - Femme, trente-six ans; tumeur colloïde, extirpa- tion totale le 25 mars 1881
enstruelles très irrégulières. 8° Kocher. - Femme, trente-huit ans; tumeur colloïde, extirpa- tion totale le 3 juillet 187
a santé n'a fmt que décliner. » 9° Kocher. - Marie 13..., onze ans, tumeur folliculaire, extirpa- tion totale le 8 janvier
dée chez les hommes que sur cinq cas, dont trois étaient des cas de tumeur du cerveau, je suis porté à croire que le fait
, toutes choses égales d'ailleurs, elle indiquera l'existence d'une tumeur . Je n'ai jamais observé une telle saillie imméd
t récipro- quement elle n'a jamais fait défaut sur mes trois cas de tumeur . (Les deux cas dont je ne tiens pas compte ici,
le, publié dans les Medico-chi1'w'g¡'cal Transactions; 2° un cas de tumeur cérébrale que je viens d'opérer). Si rien d'a
, ou peut-être d'une teinte livide indiquerait, l'existence d'une tumeur sous l'écorce, dans la couronne rayonnante. On
ons dans l'épaisseur du cerveau, mais il faut se rappeler que les tumeurs cérébrales situées sous l'écorce sont à peine vis
considérer le mode d'enlèvement d'une partie du cerveau et de la tumeur . Peut-être la peur d'opérer sur le cerveau a été
e de trépan fut appli- quée, et en enlevant la dure-mère on vit une tumeur . On enleva REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 395
ser la masse à laquelle la dure-mère était adhérente. Le bord de la tumeur s'élevait d'à peu près trois millimètres de la su
vait d'à peu près trois millimètres de la surface du cerveau, et la tumeur était beaucoup plus dure que la subs- tance du
e spécimen, cette manière de faire était très justifiée, puisque la tumeur s'étendait largement sous l'écorce). Avant de f
nt ligaturés, surtout trois ou quatre sur le bord su- périeur de la tumeur venant de la région de l'écorce pour les mou- v
attaque depuis 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'opération. Sa tumeur était composée d'un tissu fibreux dense, avec d
rd des ménin- gites même circonscrites, des encéphalites aiguës,des tumeurs , etc. Nous regrettons de ne pouvoir donner ici
Pédoncules cérébelleux, 107. Persécution (idées de), 73. Pinéale ( tumeur de la glande), 228. Playfair (traitement de),
ilepsie 98. I Tubercules quadrijumeaux (au tomie des), 102. I Tumeurs (syphilitiques des m' ninges cérébrales), 231 ;
nt de la 2e .5 la 3e frontale gauche sur lequel se trouve la petite tumeur t. L. 0., Lobule orbitaire. p" l" circonvolut
44 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
organes étaient malades, le coeur ne battait plus, elle avait des tumeurs dans la poitrine, etc.; enfin, elle s'est plainte
permettront de déterminer la nature d'une lésion cérébrale, abcès, tumeur , hémorragie, etc. ; mais elles permettront de d
arisation des tissus, les phénomènes d'inflammation asso- ciés à la tumeur , à l'abcès, à l'hémorragie. REVUE DE PATHOLOGIE
jonc- tive gauche et de la paupière supérieure du même côté; deux tumeurs sur la paroi gauche du crâne. Frictions mercuriel
oi gauche du crâne. Frictions mercurielles qui font disparaître les tumeurs et rétrograder considérablement les phénomènes
l du larynx. (Masini, Brissaud.) P. KERAVAL. VII. Observations DE tumeur cérébrale ayant procédé par DES ATTA- QUES SPÉC
liilisextrêmement probable (sa femme, qui est probablementjnorte de tumeur cérébrale, a subi plusieurs avortements dont un
nflement cervical. Opération en septembre 189'r; mort le soir même. Tumeur endothéliomateuse, molle, lisse; gris rou- geât
s meilleures conditions opératoires. F. BOlssnOE. XXIX. UN cas de tumeur cérébrale; symptômes initiaux surtout SEN- SITI
ation soudaine et abolition de l'audition à droite. A l'au- topsie, tumeur grosse comme une noisette dans la substance bla
nghausen sur le point de départ nerveux des fibromes; dans les deux tumeurs examinées par l'auleur, le nerf se trouvait au
uberculeuse., 17 ; méningite suppurée, 1 ; méningite avec abcès, 1; tumeur , 6 ; hydrocéphalie, 4; hémorrhagie ventricu- la
e l'albumine au point de vue du diagnostic diffé- rentiel entre les tumeurs cérébrales, les abcès du cerveau, la mé- ningit
s causes dites réflexes ; 2° trépanation, avec ou sans ablation des tumeurs ou des cicatrices corticales. Il faut se souven
e, comprenant les cas consé- cutifs à la méningo-encéphalite ou aux tumeurs cérébrales. L'étiologie a le plus souvent pour
die et de Mierze- jewski et ses causes les plus ordinaires sont les tumeurs (tubercu- leuses on sarcomateuses) du cervelet.
a paralysie générale. , M. JoREs. Sur l'anatomie pathologique des tumeurs cérébrales. L'auteur, après avoir signalé qu'on
ourd'hui davantage à l'étude de l'histogenèse et de J'étiologie des tumeurs qu'à leur exa- men morphologique et à leur clas
hologique et à leur classification, communique deux observations de tumeurs cérébrales. Dans le premier cas, intéressant pa
et à la compression du bulbe. (V. Hess, Contribution à l'étude des tumeurs , thèse, Bonn, 1896.) Dans le deuxième cas il s'
deuxième cas il s'agit d'un homme de trente-un ans chez lequel une tumeur grosse comme une petite pomme s'est développée
nte et les trois frontales. Dans la substance blanche contiguë à la tumeur se trouvaient trois kystes, de la grosseur d'un
ix et d'un noyau de cerise, contenant un liquide jaune, limpide. La tumeur était un sarcome ; par places elle présentait l
Buchholz et Stroebe sur la présence de kystes à épithélium dans des tumeurs cérébrales (gliomes). Il pense, avec les observ
ales de l'épendyme ventriculaire, qui aboutissent à la formation de tumeurs , comme on le voit pour SOCIÉTÉS SAVANTES. 251
roubles congénitaux sont la condition du développement de certaines tumeurs . La présence de kystes à épi- thélium avec tume
ent de certaines tumeurs. La présence de kystes à épi- thélium avec tumeurs dans le système nerveux central jette quel- que
ans les maladies infec- tieuses, ou à la suite de traumatismes, des tumeurs peuvent se déve- lopper aux dépens des cavités
ait des cavités de la moelle le résultat de la dégénérescence des tumeurs n'est point partagée par l'auteur; il la considèr
l'articulation, considérés par Oppenheim comme caractéristiques des tumeurs de la région frontale. De pareils cas d'artério-s
euvent aisément être pris pour des lésions chroniques progressives ( tumeurs ) ; les maux de tête ne sont pas rares, non plus q
pro- cessus inflammatoires ont été observés aussi dans des cas de tumeurs ou de compression de la moelle, qu'on ne saurait
lesse des muscles de l'avant-bras et de l'éminence thénar. Pas de tumeur dorsale du carpe. Lorsque le bras est mis en flex
s avant son entrée ce jeune homme a remarqué l'appari- tion de deux tumeurs , l'une sur la fesse gauche, l'autre sur le bras
ur la fesse gauche, l'autre sur le bras du même côté. Une troisième tumeur a été trouvée sur le côté 1 Voir Archives de Ne
PATHOLOGIQUES. droit du cou au moment de l'examen à l'hôpital. Ces tumeurs de consistance assez dure, mesurant de 10 à 12
al (paralysie de Duchenne-Erb), provoquée très probablement par une tumeur siégeant au niveau.de la région sus-claviculaire.
a malade avaient-ils posé le diagnostic de syphilis céré- brale, de tumeur du cerveau, de sclérose multiple, sans penser à l
formes qui sont les prodromes d'affec- tions cérébrales organiques ( tumeurs , lésions vasculaires par allié- rome, syphilis;
de qu'il a observés, ce sont présentés sous l'aspect clinique d'une tumeur cérébrale ou de la paralysie générale, tandis q
nile. SOCIÉTÉS SAVANTES. 403 M. 'l'HOMA (Illenau). - Trois cas de tumeur cérébrale. - En général les médecins qui s'occu
terne ont, plus que les aliénistes, l'occasion de diagnostiquer des tumeurs du cerveau. Les troubles psychiques prodromique
des tumeurs du cerveau. Les troubles psychiques prodromiques d'une tumeur cérébrale (dépres- sion, irascibilité, inaptitu
s, perte de l'équilibre. Enfin état comateux et mort. A l'autopsie, tumeur dure, sphérique, de la grosseur d'un petit oeuf
Amaurose de l'oeil droit. Mort. Autopsie : 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. tumeur molle (glio-sarcome) de la grosseur d'une pomme,
accompagnées de perte de con- naissance. Al'autopsie, on trouve une tumeur du cervelet (sarcome) de la grosseur d'un oeuf
On a cherché à décrire les troubles psychiques caractéristiques des tumeurs cérébrales (Jastrowitz, Oppenheim) : état maniaqu
mélancolie avec éléments paranoïaques; 3° para- noïa. Le siège des tumeurs était, lui aussi, différent dans chaque cas : 1
lades sont des hérédi- taires, des anormaux, ce qui explique qu'une tumeur cérébrale ait déterminé chez eux des troubles p
stérique. Celui-ci n'est donc pas en rapport avec l'existence d'une tumeur cérébrale. M. TRONER (Ileidelberg). Modificatio
Un garçon de neuf ans présentait pendant un an des phénomènes d'une tumeur du cervelet : céphalalgie, vomissements, atrophie
était pas altéré et seulement dans la région du vermis inférieur la tumeur pénétrait dans la substance du cervelet en form
psie, mais bien les épilepsies. Or, les épilepsies par compression ( tumeurs du cer- veau, des méninges, des os), les épilep
urnées de séjour l'enfant succombait. Le diagnostic porté avait été tumeur siégeant au niveau des pédoncules cérébraux et
utopsie, on reconnut que les méninges étaient intactes et qu'aucune tumeur ne faisait saillie à l'extérieur. Une coupe média
ES. M. Pollosson et son interne M. Pont font connaître uil cas de tumeur vasculaire de la voûte s'accompagnant de crises é
rs sont surtout prononcées dans les compressions de la moelle par tumeurs ou par méningite. - L'ataxie et la démarche spa
NIQUES ET AN.1T0)10-l'.1TIIOLOGIQUES pour SERVIR A la chirurgie DES tumeur ? DE la MOELLE épinière ; par L. Bruns. (Archiv
èbres dorsales inférieures et lombaires supérieures. Diagnostic : Tumeur (fbrosarcome) de la moelle épinière com- mençan
tre au niveau de la cinquième paire lombaire et première sacrée, la tumeur s'étend jus- qu'à l'origine de la dernière dors
dernière dorsale. Opération le 22 octobre 1892. On ne trouve pas de tumeur . Les troubles de la motilité s'étendent jusqu'a
. Siège primitif au niveau de la moelle lombaire. Pénétra- tion des tumeurs à travers la pie-mère et par les racines dans l
bstance médullaire. Toute la moelle lombaire est transformée en une tumeur sarcomateuse compacte de la grosseur d'une petite
d'héré- dité. Opéré pendant la dernière année trois fois pour des tumeurs : tératome de la cavité abdminale, sarcomes des g
spondant à l'origine médullaire de la troisième paire. Diagnostic : tumeur métastatique des méninges dont le centre se tro
tèbres dorsales sont réséquées et on se trouve en présence d'une tumeur aplatie située en dehors de la dure-mère entouran
e, mort le soir même de l'opé- ration. Le 26 avril, autopsie : la tumeur s'étend au-dessous de la lame de la cinquième v
s corps des vertèbres. Dans ces endroits ou trouve des restes de la tumeur . La face anté- rieure de la dure-mère n'est pas
pie-mère comme la substance médullaire ne sont pas atteintes par la tumeur . La moelle épinière est complète- ment ramollie
éveloppement de l'écorce -, par Lui, 354. Cérébrale. Trois cas de tumeur , par Thomas, 403. Cescnrso-c.sm vsuL. Névros
Buck et de Moor, 130. Tuberculose cérébrale, par Gallois, 466. Tumeur cérébrale ayant procédé par attaques spéciales
45 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tème : des abcès du centre ovale, des foyers de ramollissement, des tumeurs comprimant ou même détruisant un point de l'éco
s celui de M. Déjerine (Soc. aat.,1880), il s'agissait d'une petite tumeur , dont la topographie faite sur une coupe verti-
ralysée de la langue, quand elle est morte. La mère est morte d'une tumeur abdominale, elle avait eu deux attaques de chor
de l'ovaire et de l'utérus dans vingt-quatre cas, parmi lesquels : tumeurs fibreuses de l'utérus, sept cas; cancer, deux c
deux cas; sarcome, un cas; kystes des ligaments larges, trois cas; tumeurs de l'ovaire, quatre cas; hystes de l'ovaire, qu
sur son esprit fut celle, non de la paralysie générale, mais d'une tumeur cérébrale. I'oor 11. VEaYtcne, la s3 mp- tomato
e qu'ils affectent, tous caractères qui éliminent l'hypothèse d'une tumeur . M. lisraenx présente en outre à la Société le
lepsie partielle; par Greffier. Thèse de Paris, 1882. Essai sur les tumeurs du nerf optique; par Hue. Thèse de Paris, 1882.
ment brachial était le. siège, d'un gon- flement de la nature d'une tumeur : A la formation de cette tumeur prenait part s
un gon- flement de la nature d'une tumeur : A la formation de cette tumeur prenait part surtout la face antérieure et, lat
gitudinale antérieure décrivait un arc. de cercle'autour d'elle. La) tumeur s'étendait du cinquième jusqu'au 'septième nerf
oelle.. Juste au milieu ? cest-i,rdiue sur le point culminant de la tumeur , reposait la racine antérieure du sixième nerf
avec la substance médullaire et du nombre de leurs fibrilles, i, La tumeur était lisse à sa surface, elle se présentait à l'
i-1-1 ? r h ! Sur une coupe transversale pratiquée au milieu de la tumeur / on voyait une substance néoplasique, blanche,
emière particularité qui' attirait ! l'3'ttemti6'n ? h regardant la tumeur par en haut, c'était l'asymétrie quée des colon
entuait de plus en plus par un contour · très net, et finalement la tumeur apparaissait, séparée du reste'de la moelle, pa
tissu conjonctif (Pl. \,fig. 3). Sur la coupe transversale cette,' tumeur avait là' forme d'une W nl r yin P),ltsçllQuF
.qu'il n'en restait plus qu'une mince couche.. ,1 ? ? Pins bas la tumeur prenait une forme circulaire (Fin. 4) et conti-
e les refoulait complètement li e rs iiites1 partir de ce point, la tumeur di- minuait et se terminait' par une forme arro
l Jl la- 1 in . à Au point de vue de la structure histologique, la- tumeur ,' vue a un 1 ? é[' ossls$einelïyy ·Ifrâlt l'âs(
i la substance grise, 'lés' rayons blancs' ainsi que le tissu de la tumeur colorés en bleu, la substance blanche seule ava
plus tard sur le fait, intéressant de la coloration identique de la tumeur , du tissu conjonctif, de la subs-' tance grise
disposition nettement appréciable sur des dissociatidrisT""1" Notre tumeur 'était' donc une néoplasie' composée dé' jeunes
di- corne vrai. , Il.. , ' i 11·W 1 y 1- : , il., ,En divisant la tumeur , le couteau fut arrête par un pdin't dur' osseu
'point était situé au niv'éau de la plus'grande circonférence de la tumeur et 'un peu en delibrs de son '-dfltre;'Il parai
nt être naturellement"a Rase inorganique. Les modifications que. la tumeur avait 'fait subir à la" substance blanche, et,
la largeur de la commis z sure (PL. V, fig. 4 et 5). Tout ce que la tumeur , par son envahisse- ment, avait laissé de subst
plus souffert. 11 paraissait réduit à un mince filet logé entre la tumeur et la corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les
ait transformée,' sous l'in-, fluence de la pression exercée par la tumeur , en un simple faisceau) de fibres parallèles do
n voit la direction toute différente des fibres grises autour de la tumeur . Ces dessins nous montrent en même temps la tra
éments. 1,1 il..1. 'C'est,la compression lente et progressive de la tumeur qui avait produit cette métamorphose des gangli
rêt sous le rapport histo- logique. D'après Klebs, la plupart des tumeurs du cerveau et de la moelle sont des neurogliome
des hyperplasies des tissus normaux du cerveau et de la moelle. Les tumeurs plus 334 'RECUEIL DE FAITS. rares qu'on renco
re' encore'dans l'axe cérébro-spinal rentrent dans la catégorie des tumeurs de tissu conjonctif.1 Parmi celles- ci ; il dis
s servir de soutien aux conclusions de Klebs. La structure de notre tumeur ne laisse aucun doute à cet égard; d'après Kleb
i sarcome. Et pourtant, d'après les rapports microscopiques de la tumeur , elle ne provenait ni delà surface de la moelle,
SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 335 quelques vaisseaux. Quoique la. tumeur possédât les pro- priétés des'sarcomes cités pa
/ névroglie. ne peut être, d'origine, nerveuse, mais bien, comme la tumeur elle-même, procéderdutissu con- joiçtif. Etnême
es coupes successives (de haut en bas) de la moelle au niveau de la tumeur . Fig. 1. Augmentation du volume de la moelle an
ffre une densité plus grande et une moindre transparence. Fig. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une fine capsu
apsule de tissu conjonctif. Fig. 4. - Développement complet de la tumeur constituée par des pe- lotons entremêlés (color
tué par des concrétions cristallines. Fig. 6. Grossissement de la tumeur (fig. 4). Fig. 7. Concrétions cristallines v co
a priorité 1131anlcaart d' : lmsterdam (IG88) ; il s'agissait d'une tumeur cérébrale et il y avait pure coïncidence, comme
inence urinaire. G. G. DE la T. CONTRIBUTION A L1 localisation, des tumeurs DE L'É- CORCE du cerveau; par C. VON Monakow. (
la cavité articulaire permettrait, selon M. Monakow, de rendre la tumeur numérale irresponsable des accidents nerveux cons
progrès des symptômes psychiques parallèles au déve- loppement des tumeurs , indique pour l'auteur une relation de cause à
lam- mations de l'oreille sur le), 375. Cerveau (localisation des tumeurs de l'écorce du), 351. Cerveau (casuistique de
est- phal, 246. Transfert (une application pratique du), 371. Tumeurs du cerveau (localisation des), 38). Ventricul
es coupes successives (de haut en bas) de la moelle au niveau de la tumeur . Fig. 1. Augmentation du volume de la moelle an
ffre une densité plus grande et une moindre transparence. Fig. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une fine capsu
capsule de tissu conjonctif. Fig. 4. Développement complet de la tumeur constituée par des pe- lotons entremêlés (color
tué par des concrétions cristallines. Fig. 6. Grossissement de la tumeur (fig. 4). . Fig.7. - Concrétions cristallines à
46 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ents ordinaires avaient échoué, tels que des goitres kystiques, des tumeurs parotidiennes, des engorgements ganglionnaires, d
t traumatiques soit dues à la pachyménm- gite hémorragique ; 3° les tumeurs du cerveau lorsqu'elles siègent au voisinage de
u'il existe quelquefois alors qu'on pense ne pas pouvoir enlever la tumeur , une indication d'opération partielle celle-ci po
oulage mieux. R. DE nIUSGIt3VE-CL.11. XXIV. Étude sur deux cas de tumeur cérébrale, avec la relation des résultats opéra
aitement anti- syphilitique reste sans effets. Quant au siège de la tumeur plu- sieurs des symptômes paraissaient indiquer
n ultérieure du. malade vint éclairer la question et montrer que la tumeur était corticale, et qu'elle intéressait le cent
l'abondance de l'hémorragie. L'incision de la dure-mère montra une tumeur ayant exactement le .siège diagnostiqué, mais q
il était complètement aveugle. Un abcès se forma à la surface de la tumeur , et ouvert, donna issue à du pus. Bientôt le ma
e à du pus. Bientôt le malade eut des hallucinations de la vue ; la tumeur continuait à grossir, mais en somme l'état s'es
droit. Le cerveau ayant été durci, une coupe horizontale montra une tumeur molle et infil- trante qui occupait la plus gra
émisphère tout entier paraissait envahi, et à la région frontale la tumeur empiétait sur la couche corticale. A la partie
e corticale. A la partie inférieure de l'hémisphère, le siège de la tumeur était absolument frontal. Le centre ovale, le c
u envahi par 'infiltration. L'examen microscopique montra que cette tumeur était un glio-sarcôme. ' L'auteur termine ce tr
ob- servé dans la plupart des cas. P. KERAVAL. IL Observation de tumeur cérébrale s'étant traduite par les symptômes du
ieurs et importants symptômes étaient en faveur de la spondyhte, la tumeur ayant altéré les vertèbres et leurs articula- t
par suite des antécédents du patient, et de la cons- tatation d'une tumeur élastique, un peu fluctuante, à la paroi postér
opérations relatées conistait en une ampu- tation du sein pour une tumeur du poids d'environ deux kilo- grammes la second
syphilis cérébrale plutôt qu'en faveur d'une paralysie générale. Tumeur du corps calleux. M. Touche. La tumeur occupe t
'une paralysie générale. Tumeur du corps calleux. M. Touche. La tumeur occupe toute la hauteur du corps cal- leux, com
ne nouvelle trépanation débar- rassa le malade d'une récidive de la tumeur , en même temps qu'on pratiqua, une ablation lar
irmisson, à la suite d'une paralysie pottique grave par Vincent, de tumeurs des méninges rachidiennes par moi-même, arthro-
e, qui montrent, qu'en dehors d'antécédent traumatique, de signe de tumeurs ou de trace bien nette de localisation dans la
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 3U1 XXXII. Les tumeurs du corps calleux et de la corne d'Ammon; par le
iculier lé diagnostic, l'auteur pense que l'on devra soupçonner une tumeur du genou du corps calleux quand le tableau cliniq
es troubles rappelant l'ataxie cérébelleuse. On soupçonnera a une tumeur de la partie médiane du corps calleux quand le
ue tardivement comme paralysie véritable. Enfin, on soupçonnera une tumeur de la partie postérieure du corps calleux si la
st très variable et le signe de Seeling-Muller inconstant. Dans les tumeurs cérébrales il existe presque toujours des troub
312 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LU. Un cas de tumeur du cervelet ; par LIBERTI : ,(1. (Ann. di nerv.,
L'arachnoïde viscé- rale et la pie-mère étaient intactes. Dans la tumeur épaisse au maximum de quatre millimètres, la du
'atrophie musculaire progressive avec ses phénomènes oculaires, les tumeurs , gommes et compressions médullaires. A. M. XII.
a vie embryon- naire. J. S. XV. Un cas de « dyspituitarisme » par tumeur maligne de la pituitaire ; par AGOSTlxl. (Riv.
'est pas nécessairement facteur de troubles fonc- tionnels. XXIX. Tumeur de l'hypophyse sans acromégalie ; par Charles-W.
ie vient l'appuyer fortement, en montrant que, dans certains cas de tumeur de l'hypophyse, on peut expliquer l'absence d'acr
expliquer l'absence d'acro- mégalie. L'examen postmortem de cette tumeur montra en effet que, si elle englobait, elle ne
rès grand nombre de cas d'acromégalie on observe : des symptômes de tumeur cérébrale (céphalée, vertiges, névrite optique)
tres formes de la sensibilité seraient conservées. POULARD. LXVI. Tumeur du corps pituitaire; par les Drs L. WALLON et C
ngue, grosses mâchoires avec séparation des dents. A l'autopsie : tumeur du corps pituitaire diagnostiquée : péri- théli
- thélial angiosarcoma (endothélioma). Une petite partie de cette tumeur était formée de petits tubes serrés les uns contr
taire, défaut qui peut dans la suite, être le point de départ d'une tumeur pituitaire. - 2° L'apparition n d'une tumeur pi
point de départ d'une tumeur pituitaire. - 2° L'apparition n d'une tumeur pituitaire sans symptômes évidents d'acromégalie
du corps pituitaire. -3° La réunion des symp- tômes généraux d'une tumeur encéphalique avec l'atrophie optique, et la per
optique, et la perte du champ visuel temporal rend le diagnostic de tumeur pituitaire presque certain. - 4° L'héiniacliromat
eil que le soir au momeut de se coucher. Foulard. LXIX. Un cas de tumeur de la moelle épinière ; par le Dur Joseph COLLI
(The journal of nervous and mental discase, janvier 1899.) Cette tumeur , un sarcome à cellules rondes, siégeait au niveau
a duré trois mois. Cause : Paralysie survenue après ablation d'une tumeur abdo- minale, consécutivement à la pression exe
t loin de rappeler le proces- sus, habituellement univoque de toute tumeur . Elles ne res- semblent aucunement au gliome or
e l'entre-croisement incomplet. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur cérébrale de la région motrice gauche ; hémiplé
accès de faiblesse colossale. Jamais de con- vulsions. Diagnostic. Tumeur cérébrale probable. La paralysie ne s'accroît p
ne ; mais pas d'amé- lioration. Mort le '4 août 1896. On trouve une tumeur sous-dure- mérienne qui occupe les ascendantes
l'hypoglosse. P. KERAVAL. LXXVII. Contribution à la casuistique des tumeurs cérébelleuses; par A. BOETTIGER (Neurolog. Cent
, des vomissements, une papille étranglée, indiquant le siège de la tumeur dans la fosse postérieure du crâne. Ataxie en m
eux de voisinage entraînant l'auteur à conclure à l'existence d'une tumeur de la partie postérieure de l'hémi- 512 Z REVUE
de le soupçonner. Les pro- grès lents des symptômes montrent que la tumeur s'accroît lente- ment ; ceci est plutôt en fave
ésie très nette. A l'autopsie on trouva dans le canal rachidien une tumeur im- plantée sur la face externe de la dure-mère
e le fonctionnement. Un second point à faire ressortir c'est que la tumeur englobait les filets radiculaires du cinquième
. En terminant l'auteur fait remarquer que l'extirpation de cette tumeur pratiquée au début aurait inévitablement fait dis
symptômes sont tels qu'il est permis de croire à l'existence d'une tumeur de l'hypophyse même en l'absence d'acro- mégali
n lombaire. La forme chronique ; prend quelquefois les symptômes de tumeur cérébrale : Névrite optique, céphalée, vomissem
leux; par le Dr Charles ZALES&I. (,Vedycyna, 25 février.) Les tumeurs du corps calleux sont extrêmement rares, la litté
t pas grandes. Bristowe a essayé de faire la symptomatologie de ces tumeurs , ce sont les troubles de l'intelligence, de la
la parole (sans l'aphasie) et les parésies. Bruns prétend que si la tumeur est située dans la partie antérieure du corps c
s, Oppenheim, Brissaud, soutiennent que le signe prédominant de ces tumeurs est le trouble de l'intelligence. D'ailleurs le
partie postérieure dans la substance blanche du lobe occipital. La tumeur n'est pas bien délimitée, de couleur gris rouge
e, de couleur gris rougeàtre; on trouve un foyer hémorra- gique. La tumeur exerçait une pression sur la veine Galienetsurles
rtient pas à la sphère in-. tellectuelle tolérait bien longtemps la tumeur . Le corps calleux joue un rôle énorme comme le
s, ces troubles ne sont survenus qu'à la suite de pénétration de la tumeur dans les hémisphères, mais tout semblait donner
vec résultat passager. Sous mes yeux, en six mois, se développe une tumeur du cordon dont le palper provoque l'aura caract
palper provoque l'aura caractéristique. Pas trace d'hystérie. La tumeur est enlevée. C'était un névrome. Résultat thérape
rtériosclérose de l'encéphale, par Iiowalewaki, 1r7. Ascendantes. Tumeur en libres blanches des d'un individu normal,
, 90. Dysphagie hvstérique, par Coolnlge, 528. 1)vsmrorrmus par tumeur maligne de la pituitaire, par A.-ostini. 332.
du noyau d'origine après section de , par Foa, 308. Hypophyse. Tumeur de Il - salis acromégalie, par Russotiaux, 313.
opie, canal double et triple de la -. par Senator, 320. Un cas de tumeur de la -, par Collins, 426. Morphinisme. Dédou
du cordon antérieur des pyramides, par Bikeles, 152, Pituitaire. Tumeur du corps -, par Wallon et Cheiiey, 12 1. POLI
Tuberculose. Diabète hydruiique au cours de la- par Klippel, 255. Tumeurs du corps calleux, par Touche, 171. cérébrales,
47 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
que fait par notre collège le Dr Roberto Duque Estrada a révélé une tumeur de l'hypophyse, le creusement de la selle turciqu
LAIRE 9 Réaction de Wassermann : négative. Examen radiographique. Tumeur de l'hypophyse, destruction des apo. physes cli
ns examiné au commen- cement de cette année, il était porteur d'une tumeur à la main (sarcome à petites cellules fusiforme
indépendants les uns des au- tres. Au ventre on remarque une grande tumeur , excessivement dure, de surface bosselée et de
essivement dure, de surface bosselée et de contours irréguliers. La tumeur mesure environ 34 cen- timètres de longueur et
'être sous pression ; ce fait est à com- parer avec certains cas de tumeurs (2). , Ces faits expliquent pourquoi, parmi les
plus indiqué est la trépanation décompressive. De même que dans les tumeurs cérébrales, la ponction lombaire peut être direct
exagérée a été décrit par le professeur Weber dans certains cas de tumeurs cérébrales (2). Quel peut être le mécanisme de
use est insuf- fisante. Le cerveau se trouve, comme dans les cas de tumeurs , dans un état décompression; nous verrons plus
es stases ventriculaires subites, comparables à celles de certaines tumeurs ; 5° L'oxycéphalie est peut-être en rapport ave
de l'iris dans le cas de Darier ; acromégalie dans le cas de Lyon ; tumeur hypophysaire avec syndromeadiposo-génita) dans
, l'hémianopsi'e syphilitique (Span- hock), les divers symptômes de tumeurs hypophysaires (Mayer, Lewet, Umker, etc.) (7).
er), adénome (Creutzfeld), gomme (Goldzicher), gliome (Berhlinger), tumeurs métastasiques (Rosenhaupt, Simmond), diverses c
), tumeurs métastasiques (Rosenhaupt, Simmond), diverses classes de tumeurs (Zoeb, Burnier, Rômer, etc.) (8). 6° Production
x cas de polyurie dans 1 acromégalie, ils s'expliquent parce que la tumeur du lobe antérieur, qui produit cette maladie, c
utch. med. Woch., 1912. FACULTÉ DE MÉDECINE DE LISBONNE UN CAS DE TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX PAR Egaz MONIS,
e médecine de Lisbonne. ; Nous avons publié trois observations de tumeurs de l'angle ponto- cérébelleux dans la Nouvelle
16 par le professeur Francisco Gentil par la méthode de Krause. ' TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉKÉBELLEUX (Egai Monis.) .
LE PONTO-CÉKÉBELLEUX (Egai Monis.) . Masson & Cie, Editeurs TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉR)`13ELLEUt (Egai Monis.)
s TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉR)`13ELLEUt (Egai Monis.) UN CAS DE TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX 197 Asepsie sèche.
et. En soulevant le cervelet en dessus et en dedans, on a trouvé la tumeur qui, partant du rocher, comprimait fortement le c
cubes d'huile camphrée, la respiration s'est rétablie. Après que la tumeur eut été extirpée, la pression est de nouveau desc
urtout au rein droit. Nous avons pu faire la reconstitution de la tumeur dans sa position (Pl. XLIV). L'examen histologi
L'examen histologique a montré dans la plupart des fragments de la tumeur des éléments fibreux en faisceaux qui se croisent
ion. Il ne saurait non plus être question d'une lésion (hémorragie, tumeur ) atteignant seulement les fibres faciales dans
même l'hypertrophie de la langue ne saurait être confondue avec une tumeur , une syphilis linguale, etc.. 1 Cette hypertr
nralysen des Kindesalleis. Berlin, 1902. SUR LA SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX. CONSIDÉRATIONS SUR LE C
On connaît les difficultés qu'on a à déterminer la localisation des tumeurs cérébrales et aussi leur nature. Le cas de la m
xe, mais aussi parce qu'il a été un cas heureux d'extirpation d'une tumeur solide du centre ovale. OBSERVATION. Une da
les de Lisbonne. Séance du 26 février 1916. * SYMPTOMATOLOGIE DES tumeurs ET DES abcès cérébraux 307 Le 15. - Fièvre à 39
ron, mais il descend les 27 et 28 janvier 1 z SyMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX 309 5o Céphalée depuis l
e ascendante, à la hauteur de la deuxième frontale, il a trouvé une tumeur dure, reconnue au toucher. Elle était à la prof
ment, donnant des vrais tourbillons qui ont pour centre des FiG. 1. Tumeur (grandeur naturelle). Fm. 2, - Coupe IX 300.
(grandeur naturelle). Fm. 2, - Coupe IX 300. SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX 311 vaisseaux de néoform
l'existence d'un sarcome ? . - Nous devons faire remarquer que les tumeurs cérébrales ne donnent pas des réactions d'après
i gravement que dans le cas dont nous parlons. Cette malade dont la tumeur a continué à augmen- ter- va très bien et 'nous
sont produites dans ce cas, à côté d'une poussée très rapide de la tumeur . Elles ont donné toute la succession des symptô
ro- nostic favorable sous réserve d'une reproduction probable de la tumeur . Collusion. 1° La symptomatologie des tumeurs
ction probable de la tumeur. Collusion. 1° La symptomatologie des tumeurs cérébrales peul,^dans certains cas, être sembla
ade après le premier réveil, rappelle celle qui survient lors d'une tumeur cérébrale. Elle était tout à fait orientée et rép
niveau de la blessure, la palpation décèle la présence d'une petite tumeur du volume d'un pois chiche, animée de pulsations
lements). Mais dans ce syndrome on observe de façon cons- tante des tumeurs de la peau, des taches de pigmentation spéciale ;
e part l'arthropathie du genou droit se distingue net- tement de la tumeur blanche de par le seul examen clinique : à l'hyda
ns la région pubienne et aux aisselles. ' Examen radiographique : tumeur hypophysaire de type extra-sellaire. Définition
l'état rapporté, 13 avaient un rétrécisse- ment de l'aorte, 11 des tumeurs diverses et 9 des malformations. Les ovaires ex
l'anneau), également petils et d'aspect nor- mal ; enfin une petite tumeur sur la tige de la glande pituitaire. L'exa- men
que a révélé : a) La glande thyroïde historiquement normale ; b) la tumeur de la tige de la glande pituitaire n'avait pas
nitaux, avec absence de menstruation. A l'autopsie on a reconnu une tumeur de la selle turcique, adhérente à l'hypophyse et
effel (1) Voir les observations IV et XVII I. J (2) J. Babinski, Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
evue Neurologique, 1900 p. 531. 416 SOUZA ET DE CASTRO . entre la tumeur du corps pituitaire et l'infantilisme est très ac
veloppement des caractères sexuels secondaires. Parmi les signes de tumeur cérébrale, la céphalée, diffuse, souvent accomp
le symptôme le plus fréquent. L'exa- men radiographique révèle une tumeur hypophysaire de type extra-sellaire, c'est-à-di
on chiasma- tique et du fond de la selle (3). ' L'extension de la tumeur peut être telle qu'il y ait, par compression, p
s, 1910. (3) Voir la thèse du Dr JnYna R09ADO, Radio-diagnostic des tumeurs de l'hypophyse. Rio de Janeiro, 1916. , DYSTR
ment dans la présence, dans le syn- drome de Frohlich, de signes de tumeur hypophysaire ou d'une, zone voisine de l'hypoph
ère frappante, et où cependant l'examen radiographique a révélé une tumeur de l'hypophyse, avec enfoncement de la selle turc
e insipide), par MARANON et Pintos, 185. Angle ponto-cdrébelleux ( Tumeur de l'-), ), par Monis, 196. Ankylose osseuse
syphilitique ou mercurielle), par Petren, 226. Ponlo-cérébelleux ( Tumeur de l'angle ), ), par Monis, 196. Psychologie
Camptocormie et électrothéra- pie persuasive, 420. Monis (Egaz). Tumeur de l'angle ponto- cérébelleux, 196. Sur la sy
ur de l'angle ponto- cérébelleux, 196. Sur la symptomatologie des tumeurs et des abcès cérébraux. Le centre corti- cal
,CIl'CIl et Rathaus), LXVI et LXVII. Cerveau (Symptomatologie des tumeurs et des abcès du -. Centre cortical de la dévi
actylie héréditaire (Bénard), XXXVI à XXXVIII. Ponto-cérébelleux ( Tumeur de l'angle -j (Moms), XLIV et XLV. Rhumatisme
48 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
le myxoedème. Babinski a publié un cas d'infantilisme génital avec tumeur épithéliale de l'hypophyse. Nuzzari a autopsié
Bew, Dercum, dans lesquels des lésions de l'hypophyse, surtout des tumeurs , coexistaient avec un degré plus ou moins marqu
, cette révulsion brutale ? Parce ce qu'un médecin avait conclu une tumeur de la région : il avait pris les saillies normale
comme dans les cas de Milroy, de Nonne et Tobiesen. Depuis peu une tumeur maligne est apparue sur une main, fait qui impo
un simple facteur favorisant la loca- lisation et l'éclosion de la tumeur . Celle-ci n'est pas d'ailleurs bilatérale. A ce
oculaires. Dans un cas cependant ces lésions s'accompagnaient d'une tumeur susceptible d'intéresser le corps pituitaire; e
les voies optiques centrales. Il est facile de comprendre qu'une tumeur , siégeant dans une moitié du pédoncule cérébral
l'oeil droit. L'auteur émet l'hypothèse de l'existence, soit d'une tumeur syphilitique intra-pédon- culaire intéressant e
essive des divers symptômes, comme on l'observerait dans les cas de tumeur . Dans l'ordre des lésions d'origine vasculaire
t que partielle ou qu'elle se fait lentement, comme dans les cas de tumeur . L'absence de troubles sensitifs dans notre cas
etits mais d'appa- rence normale, et enfin la présence d'une petite tumeur de la tige de la glande pituitaire. D'autre p
montre que la glande thyroïde est histologiquement normale, que la tumeur fibreuse de la tige de la glande pituitaire n'a
ieure du cerveau la glande pituitaire apparaît enchâtonnée dans une tumeur développée dans son pédicule du volume d'une peti
E DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS , PAR R R. WEBER, Prof. L'évacuation d'une q
se contre l'augmentation de pression causée par la croissance d'une tumeur intracrânienne. Telle était l'une des conclusio
céphalées violentes, paroxystiques. En no- vembre 1903 apparut une tumeur dans la région pariétale droite; A... fut tré-
aine d'irritabilité, de dépression. Novembre 1903. Apparition d'une tumeur sous le cuir chevelu, trépana- tion. 4 avril
ndes coupes du segment moyen, soit calleux. Il en résulte que, la tumeur obstruant une partie de la F. S. a poussé en av
S. est ou- vert. .t,' \ Il semble naturel d'en conclure que la tumeur a agi de la façon sui- vante : elle a fermé les
pression, ce qui est bien le cas ici. L'hémisphère droit où siège la tumeur est piqueté d'une multitude de petites hémorrag
TISSU CÉRÉBRAL 281 C'est un peu en arrière du corps calleux que la tumeur apparaît ; elle n'est pas délimitée par une mem
ainsi dire toute possibilité d'erreur, je constate ce qui suit. Une tumeur spécifique, de dimensions relativement petites, m
retentissement sur les fonctions psychiques. Depuis leur début, la tumeur jusqu'alors latente devint manifeste et cela de
es phénomènes psychiques accompagnant l'évolution d'une 284 WEBER tumeur cérébrale, il est urgent d'en étudier encore beau
éraliser. Théoriquement ceci me sema blerait surtout applicable aux tumeurs du corps calleux. 3° Les chances de réussite d'
.T. XX. Pl. LII ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS . (Weber). Observation IX NOUVELLE Iconograp
T. XX. Pl. LUI ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS . (Weber). DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉ
ique par la présence, dans le sillon bulbo-cérébelleux droit, d'une tumeur à surface noueuse, de forme cylindrique il peu pr
que dans certaines conditions, le ven- tricule latéral, opposé à la tumeur , est dilaté. Il est intéressant de noter que le
ce. Il en est résulté, avec l'aide de la compression directe par la tumeur , une destruction fort nette de l'hémisphère dro
transformé en tissu sclérosé. C'est au maximum d'extension de la tumeur (fig. 9) que correspond natu- rellement la défo
être attribuée à l'obstruction du courant intraventriculaire par la tumeur . Preuve en' est l'épaississement épendymaire gé
, les tissus prennent un aspect normal. Fig. 9. D. Diverticule; Tm. tumeur . Fig. 10. 288 WEBER Il est regrettable que
nt une quantité incroyable de corps amylacés. Mode d'action de la tumeur . - C'est donc par obstruction du courant intrav
épileptiforme. Ne doit-on pas admettre que, dans cette position, la tumeur , faisant en quelque sorte bouchon dans la région
s encore été capables de restitution à l'époque où le diagnostic de tumeur s'imposa ? Urne semble qu'en pareil cas uné opé
e la pression, aurait pu, ou bien déceler la situation exacte de la tumeur , ou bien soulager beaucoup le malade par la cré
eaux, novembre 1907 (en préparation). , (3) ANGLAOE, loc. eu. ' TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLU- TIONS PA
absence prolongée de signes localisateurs et l'extrême volume de la tumeur . Il fut impossible de formuler un diagnostic topo
circonvolutions pariétales. Or, l'autopsie montra l'existence d'une tumeur de volume inusité, comprimant et refoulant d'une
ble. En dehors de ce contraste, qui n'est pas exceptionnel dans les tumeurs de l'encéphale, le cas se distingue par quelque
tané plantaire se fait en flexion de chaque côté. Les réflexes cré- TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉT
u matin. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXIV TUMEUR CEREBRALE (,.A. Souques.) Masson &. Cie,
es.) Masson et Cl=, Éditeurs ..r.hOl0tYIH llertl1J.u.ù, P-ui;.™ TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA REGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉT
adhérent l'os qui fait saillie. Celui-ci, de son côté, adhère à la tumeur , si bien qu'en enlevant la calotte crânienne, u
meur, si bien qu'en enlevant la calotte crânienne, un lambeau de la tumeur reste fixé à la face interne de cette calotte.
niveau de la partie médiane de la région frontale. Au niveau de la tumeur elle est, au contraire, très épaissie, fongueuse,
, aplati, augmenté de volume et de poids. Il pèse 1.830 grammes, la tumeur y comprise (PI. LXIV). Il existe, en effet, une
grammes, la tumeur y comprise (PI. LXIV). Il existe, en effet, une tumeur infra-crânienne, très volumineuse, qui occupe l
taux supérieurs et la partie adjacente de la faux du cerveau. Cette tumeur a perforé la dure-mère sur un petit]espace de la-
son trajet interpariélal, est probablement le point de départ de la tumeur . Celle-ci, grisâtre à la surface, rouge et sang
airé. L'examen d'un fragment de l'écorce cérébrale, pris loin de la tumeur dans le lobe orbitaire, pratiqué par mon intern
umineux, né de la faux du cerveau dans son trajet interpariétal. La tumeur , d'abord médiane, s'est peu à peu étalée de cha
a voûte crânienne infiltrée et repoussée en dehors sous la forme de tumeur osseuse, visible au niveau du vertex pendant la v
més et extraordinairement déformés. 370 SOUQUES Le siège de cette tumeur dans une zone silencieuse explique la longue ab
bcès, qui occupait précisément la région enva- hie plus tard par la tumeur . Mais le laps de temps écoulé est trop grand po
e intra- utérine ou dans l'enfance (brûleurs, arthrites chroniques, tumeurs blan- ches, caries, traumatismes, etc., au nive
e, 420 HAHN ET WICKERSHEIMER il ne s'agit là ni de cancers, ni de tumeurs adénoïdes, ni de lipomes, mais bien d'une simpl
pparentes, était devenu presque insuffisant, après l'ablation de la tumeur , par suite du retrait considérable de la peau. Au
ue du sein. M. Verneuil, auquel M. Manec a envoyé un fragment de la tumeur , a constaté .les particularités suivantes. Le t
éléments glandulaires ne constituent pas la trentième partie de la tumeur , au moins dans les fragments qui m'ont été remi
agique. Plus en arrière de cette masse se trouve une autre pe- tite tumeur pédiculée, blanchâtre et à parois lisses, ne para
ntent, principalement au voisinage de l'articulation des genoux des tumeurs osseuses. Aucune malformation n'est appréciable
456 PARUON ET CAZACOU affectés par ce trouble a été amputé pour une tumeur . Il trouva du tissu adipeux engaîné dans du tis
es lapins, de MM. Parhon et de Papinian (15) chez une femme (cas de tumeur cancé7 reuse), de 141.Iotelewski (16) sur les c
saud. Insuccès du traitement chirur- gical (1 pi.), 459. Souques. Tumeur cérébrale de la région des clcnuvolutious parié
. De quelques altérations du tissu cel ebl al dues à la présence de tumeur (11 fi¡¡..2 2 pl pi ), 275. Wickersheimer et
des téguments et des troncs ner- veux) (1 pi.), par E. Long, 155. Tumeur cérébrale de la region des circon- volutions pa
- volutions pariétales supérieures (2 pi.), par Souques, 365. ' Tumeurs cérébrales[de quelques altérations dues à leur
Trophoedème chronique d'origine trauma- tique (ETIENNE), XXIX. Tumeur cérebrale (Souques), LXIV, LXV. Tumeurs cérébra
- tique (ETIENNE), XXIX. Tumeur cérebrale (Souques), LXIV, LXV. Tumeurs cérébrales (R WEBER), LU, LUI. Le gérant : P. B
49 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cin de la prison avait porté le diagnostic de syphilis cérébrale et tumeur cérébelleuse. L'auteur indique ici les mensurat
avaient des métrorrhagies sérieuses, une troisième pré- sentait une tumeur abdominale dont le diagnostic pour les raisons
u, et l'on a toutes les raisons possibles de supposer que c'est une tumeur : ces symp- tômes se seraient aggravés, si la n
vrant un passage au liquide cérébro-spinal : Il est probable que la tumeur siège au niveau du chiasma des nerfs optiques ;
que les précédents. G. Deny. XIX. Contribution à la casuistique des tumeurs du système nerveux central; par Micuelzzi. (Il
Micuelzzi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900, mais.) Résumé de trente cas de tumeurs cérébrales avec autopsie. 124 REVUE d'aNATOMIE
ues cas, les relations entre les symptômes et la localisation de la tumeur , enfin sur la possibilité d'une inter- vention.
uérison de l'érythromélalgie en même temps que la disparition de la tumeur splénique, les auteurs croient, au moins dans c
ynévrite. / G. DENY. a XXXII. Brûlure électrique du nerf cubital, tumeur cicatricielle, opération ; par M. DECROLY. (Jou
ques mois plus tard il vit apparaître au-dessus du coude une petite tumeur non douloureuse, Archives, 2° série, t. XII. 9
de l'avant-bras et de la main.- * Pensant qu'il s'agissait là d'une tumeur cicatricielle comprimant le nerf cubital et non
ubdiviser en quatres classes : 1° celles qui sont asso- ciées à des tumeurs intra-craniennes dont elles s'adjoignent la sym
su coojunctif et de l'endartérite oblitérante. P. XX. Deux cas de tumeur comprimant la queue de cheval ; abla- tion ; gu
m. of' NervotlS and l11entai Desease.) Deux fois le diagnostic de tumeur de la queue de cheval fut posé, deux fois il y
oplasme est probablement extra-dural. - L'opération fit trouver une tumeur , du volume d'une petite cerise.. 144 REVUE DE P
mitées inférieures. Troubles sensitifs d'un seul côté, dénotant une tumeur de la partie tout inférieure de la colonne spin
de maladies spinales chroniques qui suivent la marche lente de ces tumeurs spinales. Une laminectomie explora- trice, bien
'est le cas dans la démence; c'était le cas dans une observation de tumeur cérébrale intéressant le cortex, rapportée par
cule et de l'aqueduc de Sylvius et sous la pie-mère médullaire. , Tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique. * 1\111
ateuse, des céphalées et dés vomissements, signes révélateurs d'une tumeur cérébrale. Le diagnostic de siège fut fait d'un
nsion de liquide céphalo-rachidien et du développement énorme de la tumeur ; d'autre part, ils montrent que les désordres
par la malade sont différents de ceux que produisent en général les tumeurs cérébrales quel qu'en soit le siège, et permett
ermettaient ainsi, associés aux troubles moteurs, de lo- caliser la tumeur dans le lobe frontal. Contribution à l'étude hi
cines qui permettent d'étudier l'invasion des tubes nerveux par les tumeurs épithéliales. ' . Etude d'un cas de paraplégie
on (de Méru). J'ai modifié également par la sugges- tion une petite tumeur de la région axillo-mammaire décrite jadis par
as et d'accidents infectieux aigus chez un alcoolique. L. Marchand. Tumeur cérébelleuse et épilepsie. Il. Cestan. Cas de c
nt parmi les symptômes précoces d'une compression exercée par une tumeur sur la région postérieure -de la moelle; 2° le si
, et qui en outre a présenté des hématuries qui firent penser à une tumeur de la vessie. Ces hémorrhagies post-critiques d
(soir) à Saint-Priesl-Taurion ' Présidence DE M. Gilbert Ballet. Tumeur cérébelleuse et épilepsie. M. L. Marchand. - Le
t. Tumeur cérébelleuse et épilepsie. M. L. Marchand. - Les cas de tumeurs du cervelet non diagnos- tiquées sont rares; ce
uivante est intéres- sante par ce fait que malgré la grosseur de la tumeur et sa situation bulboprotubérantielle, le seul
ès convulsifs suivis de délire violent. A l'autopsie, on trouve une tumeur cérébelleuse, de la grosseur d'une noix dévelop
it ans avant la mort et explique pourquoi les nerfs voisins de la tumeur ont pu être repoussés lentement par elle sans don
ez et qui fut guéri de son torticolis après l'ablation de la petite tumeur . M. MEIGE. -- C'est en effet souvent une cause
et. P. XXXIII. Valeur des symptômes optiques et auditifs dans les tumeurs du cerveau; par William H. WILDER. (Journal of ne
L'hémianopsie est un symptôme important pour la localisation de la tumeur . Il en est de même de la cécité pour les couleurs
e la gomme peut prendre la forme caséeuse ou la forme fibreuse. Ces tumeurs siègent de préférence à la base du cerveau et p
sérieux. R. DE \lUSGR : 1'E-CL : 11'. XXXIX. Relation d'un cas de tumeur du cervelet avec écoulement - de liquide par le
pas de vomissements. Etat mental parfait. On porte le diagnostic de tumeur de la base du cerveau, siégeant à gauche dans l
a malade pour la première fois). A l'autopsie, on constate que la tumeur part du bord antérieur du lobe gauche du cervel
'apporte en collaboration avec le pro- fesseur Raymond, deux cas de tumeur du quatrième segment t dorsal, ayant déterminé
lle-même, serait sous la dépendance de l'état du système nerveux. Tumeurs gazeuses de l'abdomen. M. Justin Lemaistre fait
sous ce Litre, une communication très intéressante, concernant des tumeurs gazeuses survenues' chez des névropathes. Dans
a dans un service de chirurgie ou la question d'inter- vention pour tumeur fut discutée et résolue d'ailleurs par la néga-
hel BLACKWOOD. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Les tumeurs de la substance cérébrale déterminant des affec-
ivement rares; le nom de gliome a été attribué à diverses sortes de tumeurs de cet ordre, et plus spécia- lement à une vari
sarcome à petites cellules rondes. Virchow a décrit sous ce nom une tumeur composée de tissu analogue à la névroglie ordin
Payne signale la possibilité d'une combinaison des deux types. La tumeur observée par l'auteur parait appartenir au second
nd était affecté; mais les ganglions de la base étaient normaux. La tumeur n'était pas enkystée et paraissait plonger libr
librement dans la substance blanche. La plus grande par- tie de la tumeur était située au-dessus du plafond de chacun des
issies. L'auteur donne ici le détail de l'examen histologique de la tumeur à des grossissements différents et par diverses
nts différents et par diverses méthodes. Le malade porteur de cette tumeur était un homme de cin- quante-six ans, hérédita
s. Ce cas montre le caractère vague des 'symptômes dans le cas de tumeur du corps calleux, et, par suite, les difficultés
ssement du lobe - sphéroïdal et d'une partie du lobe frontal, cette tumeur n'a donné lieu qu'à des attaques épileptiformes
ations on finit par les comprendre. M. PACTET. - Le diagnostic de tumeur cérébrale n'est souvent fait qu'à l'autopsie, m
ébrale n'est souvent fait qu'à l'autopsie, malgré qu'il s'agisse de tumeurs volumi- neuses. Je me rappelle un malade, trait
comba à la suite d'accès sub-intrants. L'autopsie fit découvrir une tumeur du cervelet. M. Colin a observé un cas analogue
omme hystérique. Elle mourut subitement. A l'autopsie on trouva une tumeur du cervelet. Les injections de sérum chez les a
. Cépiulées et intoxications, par i- Bouyer, 278. Cérébelleuse. Tumeur - et élii- lcpsie, par Marchand, 269. Cérébra
belleuse. Tumeur - et élii- lcpsie, par Marchand, 269. Cérébrale. Tumeur - à forme psycho-par;lytique. par Cestan et L
u - par Resnillow, 298, Symptômes optiaues et auditifs dans les tumeurs du , par Wilder, 302. 'Abcès du - à pneumocoque
eumocoques, par Itecroly, 515. - Cervelet. Relation d'un cas de tumeur du -, par Mac Caskev, 308. CIiROM.ITOLYSE apr
analogie avec les stig- mates extatiques, par Bourne- ville, 264. Tumeur cérébelleuse et -, par Marchand, 269. conscie
rples, 39. QUEUE DE cheval. Hypertrophie de la -, par Thomas, 58. Tumeur comprimant la-, par Sachs, 143. Des lésions d
La Bonnar- dière, 72. Isolement des malades atteints de -, 168. Tumeurs du SI stème nerveux cen- tral, par Michelzzi, a
50 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
une fracture, une luxation, ou encore, une néoplasie circonscrite, tumeur , pachyméningite, qui comprime simplement les nerf
agnostiqué une affection de la queue de cheval, en rapport avec une tumeur de-la portion la plus inférieure du canal rachidi
chidien, au siège présumé de la lésion, et dans l'extirpation de la tumeur , un sarcome si- (1) Laquer, Uebel' Compression
es que lui occasionnait la compression de la queue de cheval par la tumeur , et il se rétablit complètement. Dès 1887, le c
(2) a publié deux cas de compression de la queue de chenal par une tumeur sarcomateuse. L'un d'eux avait évolué, au début
es membres inférieurs. C'est le cas de soupçonner l'existence d'une tumeur extra-spinale, développée dans la portion infé-
tances, une interven- tion chirurgicale, visant l'extirpation de la tumeur , n'est pas seulement légitime, elle s'impose.
5" Année - No 3. MAI-JUIN TROIS CAS DE N>JOPLASICS CEREBRALES ( TUMEUR GLI01\IATEUSE. - SARCOME. - GLlO1\IATOSE DIFFUSE)
a tolérance considérable qu'a présentée l'encéphale vis-à-vis d'une tumeur d'un pareil volume. La troisième vise un cas de g
st développée très promptement à la suite d'un traumatisme. Ons. I. Tumeur GLIOMATEUSE. Apparition, chez un homme de 53 an
ole, mais pas d'aphasie; marche rapide, coma et mort. A l'autopsie, tumeur gliomateuse du volume d'une noix, siégeant à la p
ancs, légèrement saillante, divisée en lobes par des sillons. Cette tumeur a refoulé en arrière et en haut la 3e circonvol
3e circonvolution frontale qui est aplatie et forme au- tour de la tumeur , en haut et en arrière, une bordure étroite. Le p
rdure étroite. Le pied de la 3° frontale, comprimé en arrière de la tumeur , présente une largeur d'environ 1 centimètre en
s antéro-postérieur) 6 centimètres ; épaisseur 3 centimètres. Cette tumeur sessile, qui à la surface et par ses bords paraît
la substance blanche, il n'y a pas trace de substance corticale, la tumeur parait donc bien être constituée par une dégénére
prolongements qui l'y fixent complètement. Etude histologique de la tumeur . - Après inclusion à la celloïdine, on peut, su
, sur des coupes s'étendant à la totalité de la surface de section de tumeur , constater que celle-ci est comme sertie dans l
misphère, mais que la ligne de démarcation n'est pas très nette, la tumeur empiétant par des prolongements irréguliers sur
ents irréguliers sur le tissu normal ; il existe même, dans Fig. 1. Tumeur gliomateuse (obj. 2, ocul. 2, Leitz). NOUVELLE
Leitz). NOUVELLE Iconographie DE la SALPÈTRILITE. T. XV PI. XXV TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. I. Tumeur gliomateuse du lobe fr
phie DE la SALPÈTRILITE. T. XV PI. XXV TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. I. Tumeur gliomateuse du lobe frontal gauche. A. Tumeur e
pes à la celloïdine, après colora- tion à l'hématoxyline-éosine, la tumeur paraît constituée d'un stroma d'appa- rence cou
en contact avec les gaines des vaisseaux. En certains points de la tumeur , particulièrement dans les zones plus claires o
orps cellulaire même, il est plus ou moins renflé, et offre Fig. 2. Tumeur gliomateuse (obj. 76, ocul. 2, Leitz). 206 BALL
et il nous semble permis de conclure, d'après leur présence, que la tumeur est un véritable neuro-gliome, correspondant à
laire est surtout intense au niveau des parties superficielles de la tumeur , où il semble qu'on ait affaire, comme nous le
et d'ailleurs, au moment de l'au- topsie, la coloration rosée de la tumeur pouvait faire présumer de sa ri- chesse vascula
évolution des symptômes il est intéressant de cons- tater que cette tumeur relativement volumineuse, qui comprimait le pied
ue, rapprochée de la suivante où nous voyons le développement d'une tumeur énorme, par rapport au volume de l'encéphale, c
prati- quée par M.Dupont dans un but de diagnostic delà nature delà tumeur cérébrale, a amené une élévation de température
sions. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XV, Pl. XXVI TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. II. Sarcome du lobe frontal gauc
R CÉRÉBRALE Obs. II. Sarcome du lobe frontal gauche. (En haut, la tumeur est en place ; au-dessous, clic a été enlevée.
mériennes, mais l'hémisphère gauche pré- sente une très volumineuse tumeur en forme de tête de champignon, à contours arro
entimètres environ au-dessus de la surface des hémisphères. Cette tumeur , de coloration gris-rosé, affecte la forme d'un o
pli courbe ; en bas, elle recouvre en partie la po temporale. Cette tumeur n'est pas adhérente à la substance grise des hémi
l'insula est très aplati et méconnaissable (Fig. 3). Examen de la tumeur . Détachée par section de son pédicule, la tumeur
. 3). Examen de la tumeur. Détachée par section de son pédicule, la tumeur se présente sous la forme d'un sphéroïde aplati
idérable de l'hémisphère est bien visible, on peut constater que la tumeur paraît tout à fait indépendante de la substance
substance cérébrale qui est simplement refoulée et comprimée. Mais la tumeur et l'écorce sont intimement unies par une lame
une lame pie-mérienne. Il semble donc qu'on puisse admettre que la tumeur s'est développée aux dé- pens du tissu conjonct
oulant et comprimant les circonvolutions. Examen histologique de la tumeur . Les dissociations de fragments de la tumeur (f
men histologique de la tumeur. Les dissociations de fragments de la tumeur (fig. 4) montrent, après coloration au picro-carm
, qui forme à Fig. 3. - Sarcome. Coupe de l'hémi- sphère et de la tumeur passant par son pédicule d'insertion. Fig. 4.
ine, le carmin aluné ou le bleu de méthylène, on constate que cette tumeur se trouve formée par une agglomération de petit
jusqu'à un certain point l'as- pect de lobules. La surface de la tumeur est limitée par un feuillet méningé qui ne contie
cune de ces ramifications ne pénètre d'ailleurs dans la masse de la tumeur , celle-ci n'est donc nourrie que par les vaisse
n, c'est d'abord la tolé- rance remarquable de l'encéphale pour une tumeur aussi volumineuse. Au moment où le malade nous
er le petit nombre de symptômes par lesquels s'est manifestée cette tumeur , alors que par la masse qu'elle formait et la s
ne surface relativement peu étendue, appartenait à la catégorie des tumeurs cérébrales qui légitiment une intervention chirur
ent été suffisamment nets au début, le chirurgien eût pu enlever la tumeur avec des chances de succès. TROIS CAS DE NÉOP
male. La base semble également indemne, il n'y a aucune lésion ni tumeur des pé- doncules cérébraux ni du nerf optique.
e un aspect translucide tout particulier. nxamen nistoiogique ae ta tumeur . sur Lies coupes a la pararnne ou à la celloïdi
s de ramifications. Quelle a été la cause du développement de cette tumeur ? Le traumatisme paraît avoir joué un rôle impo
jours aupa- ravant. Dès l'abord on était frappé par une volumineuse tumeur presque de la grosseur du poing, implantée à la
téro-postérieure allant de la ré- gion occipitale à la racine de la tumeur , sur une longueur de 12 centimètres, atteignant
angle habituel de 1/2 droit. Face. Vue de profil du côté droit, la tumeur étant dissimulée, on eût dit une enfant bien co
ge à peu près horizontalement pour se perdre sous le pédicule de la tumeur . A droite au contraire, cette fente re- monte v
ès lui les dégé- nérescences radiculaires de la moelle au cours des tumeurs cérébrales reconnaissent la même pathogénie et
est peu admissible que cette compression ait été effectuée par une tumeur proprement dite. En raison des habitudes d'inte
déformée comme si elle portait l'empreinte d'une exostose ou d'une tumeur de la fosse cérébelleuse. Mais il n'existe rien d
logrammes. Cerveau : poids (y compris l'hypophyse) : 1.615 grammes. Tumeur plus grosse qu'un oeuf de poule formée par l'hy
'un oeuf de poule formée par l'hypophyse augmentée de volume; cette tumeur repose pour la plus grande partie sur la selle tu
actus du nerf optique et le chiasma sont couverts et aplatis par la tumeur ; mais, bien que comprimés, ils ne présentent n
bes frontaux sont comprimés par la portion antérieure encavée de la tumeur . La hauteur de celle-ci est de 3 centimètres de
s'agit donc pas d'une simple hypertrophie, mais véritablement d'une tumeur l' qui est, plutôt qu'un adénome ou un adéno-sa
(1) 6 nov. 1902. Revue neurologique, 15 nov. 1902. (2) BABINSKI, Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
IwuscB), XXXIX à XL11. Torticolis spasmodique (DESTAItAc), LUI. Tumeurs cérébrales (Ballet et Armant DBLILLB), XXV, XXV
51 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
iée à l'absence de la glande thyroïde : 9° Idiotie symptomatique de tumeurs de l'encéphale (1). Ceci dit, nous allons soume
ne étendue d'un centimètre. OBS. XVIII. Idiotie symptomatique d'une tumeur sarcoma- TEUSE DU cervelet (Hydrocéphalie) (1).
tumeur sarcoma- TEUSE DU cervelet (Hydrocéphalie) (1). Sommaire. Tumeur cérébrale, hydrocéphalie symptoma- tique. Grand
x ou 3 millimètres d'épaisseur. ORS. XIX ? Idiotie symptomatique DE tumeurs DU cervelet . compliquées d'hydrocéphalie ; dis
II. Idiotie et épielpsie symptomatiques d'une anomalie cérébrale { Tumeur des tubercules mamillaires) ; Par BOURNEVILLE e
nts dont le droit est plus profond Fig. 41. - : 0, nerf optique. T, tumeur . P, pédoncule cérébral. HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE.
dessus de la selle turcique et reposant directement sur elle une tumeur ayant la môme coloration que l'encéphale et non
au étant enlevé et se présentant par la base, on contaste que cette tumeur est située dans un espace formé en avant par le
stance sont semblables à celles des circonvolutions voisines. Cette tumeur parait formée avx dépens des tubercules mamilla
de la selle turcique, enfin et surtout par l'existence (le cette tumeur nerveuse développée aux dépens des tubercules m
oisième ventricule qui ne forment plus qu'une masse uniforme. Cette tumeur a dû se développer de plus en plus depuis la na
e de l'aorte. Dilatation ventri- culaire surtout à gauche. - Petite tumeur à la base de la faux du cerveau. - Adhérences p
le du lobe quadrilatère qui correspondait du reste, au sommet de la tumeur qui le déprimait. Cette altération est vraisemb
90 gr.). Rien d'irrégulier en dehors des dépressions causées par la tumeur . ' - Hydrocéphalie ; tumeur méningée. 225 , G
dehors des dépressions causées par la tumeur. ' - Hydrocéphalie ; tumeur méningée. 225 , Gren... est un enfant assisté,
le, et qu'il portait à l'extrémité de la faux du cerveau une petite tumeur fibreuse paraissant d'origine méningée. Ol3S.
laint parfois de maux de tête. Elle est atteinte actuellement d'une tumeur ( ? ) à la main droite. - Pas de renseignements
e chez Lob... c'est surtout le droit. Gren... offre une très petite tumeur de l'extrémité de la faux du cerveau ; tandis q
mort à 51 ans, à l'hôpital Cochin, des suites de l'abla- tion d'une tumeur de l'aisselle, était garçon de café et paraif a
à titre de symptôme : 1° dans la méningo-encéphalite ; 2° dans les tumeurs du cerveau et surtout du cervelet. L'observatio
e résoudre pareil problème. OBS. XVIII. IDIOTIE symptomatique d'une tumeur céré- brale compliquée d'hydrocéphalie (1). S
ne tumeur céré- brale compliquée d'hydrocéphalie (1). SOMMAIRE. - Tumeur cérébrale, hydrocéphalie symptomati- que. Grand
faisant her- nie la partie inférieure du 4° ventricule. T'" petite tumeur située entre la pie-mère et la surface du cerve
a face interne est en rapport avec ces organes (Fig. 57 et 58). Ces tumeurs , qui présentent une forme lenticu- laire et don
, dans la région qui sépare les deux hémisphères cérébelleux. Cette tumeur dont la face antérieure répond à la partie anté
re et présente des prolongements latéraux, P, P, qui la relient aux tumeurs extra-ventriculaires. Le bulbe est aplati dans le
'y a pas de lésions des élément» nerveux du bulbe. Hydrocéphalie ET tumeurs DU CERVELET. 315 en haut avec une masse de même
autres nerfs crâniens sont normaux. La compression exercée par les tumeurs du cervelet a eu pour conséquence en quelque so
illimètres d'épaisseur, i i OI3S, XIX. Idiotie symptomatique DE tumeurs DU CER- VELET compliquées d'hydrocéphalie; dist
nsi que nous l'avons dit, dans la très grande majo- rité des cas de tumeurs du cervelet, il survient une hydrocéphalie symp
e l'hydrocéphalie soit symptomatique de ménin- go-encéphalite ou de tumeurs de l'encéphale, elle a toujours une issue fatal
phalie est énorme et dans les deux cas où elle est symptomatique de tumeur du cer- velet, la paralysie, portant plus spéci
culose pulmonaire; une autre soeur mourut à 20 ans des suites d'une tumeur blanche du genou. - Rien de par- ticulier au po
qui a 31 ans, a été amputé de la jambe, dans son enfance, pour une tumeur blanche à l'hôpital Sainte-Eugénie. Il est atte
re, 1893. ? 3 354 Hydrocéphalie CHRONIQUE. le développement d'une tumeur . Lorsque la première cause pathogène détermine
se de certaines sutures. Lorsque la cause de l'épanchonment est une tumeur , le liquide se produit plus rapidement que dans
rânienne se produit ordinairement. L'hydrocéphalie symptomatique de tumeurs encéphali- ques donne lieu souvent à des céphal
rvention est nulle. Lorsque l'hydrocéphalie est symptomatique d'une tumeur , plus ou moins étendue (Marie Baiss..., Berl...
52 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
prennent dès qu'il se lève. Douleurs abdominales, diminution des tumeurs grais- seuses du cou. Urine : 400 grammes. Po
extension en ait pu produire des symptômes cliniques accentués. Une tumeur cérébelleuse les 1 Nous citerons en particulier
u ou point de tendance à se propager au tissu nerveux : ce sont des tumeurs très vasculaires, ne présen- tant jamais d'alté
ue et dans la manie chronique et la mélancolie agitée. A. AI. II. Tumeur sous-corticale traitée par trépanation; par BEEVO
probable que la présence prolongée d'un corps étranger (esquille ou tumeur ), dans la substance cérébrale, donne lieu, dans l
aisants. » - li. DE MUSGRAVE CL.\Y. 76' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. TUMEUR cérébrale : opération suivie DE succès; par Charl
tique. L'analyse des symptômes révélait nettement l'existence d'une tumeur cérébrale et permettait de les localiser. La pa
doigts étaient atteints; et l'on pouvait dès lors diagnostiquer une tumeur intéressant les centres du bras et de la main.
ant tout autre symptôme localisateur, il paraissait probable que la tumeur était située en avant des centres moteurs, qu'ell
litique ou tuberculeux, aussi bien que la marche assez rapide de la tumeur amenèrent l'auteur à penser qu'il s'agissait d'
ignit ainsi près de deux pouces, car il était devenu évident que la tumeur occupait une surface considérable : mise à nu,
que la tumeur occupait une surface considérable : mise à nu, cette tumeur se présenta sous l'aspect d'une masse aplatie,
ent à la substance grise qu'une petite partie de celle-ci suivit la tumeur au moment de l'ouverture, on put constater que
que. La santé géné- rale est satisfaisante. L'examen du fragment de tumeur enlevé montre qu'il s'agissait d'un sarcome à c
cela tous les malades qui ont des lésions irritatives du cerveau ( tumeurs , foyers cicatriciels, lésions des vaisseaux, des
auditive rapportée à une seule oreille, il trouva à l'autopsie une' tumeur dont la plus ancienne partie était au-dessous de
ablement provoquée, de même que les attaques épileptiformes, par la tumeur , c'est-à-dire par l'irri- tation du centre sens
ments corticaux ou sous-corticaux, des ménin- gites chroniques, des tumeurs cérébrales, et s'observerait communément dans l
r pense que ces petits nodules participent de la nature des petites tumeurs ayant pour cause une lésion irritative, telle q
te dans les céphalalgies des neurasthéniques, des chlorotiques, des tumeurs cérébrales. P. K. XIX. DE l'influence DE l'écor
; moins l'os est compact (suppuration et carie, maladie de Menière, tumeurs des os), moins : 28 REVUE d'anatomie ET DE phys
des troubles nerveux accusés, tandis que des lésions considérables ( tumeurs , etc.), sont restées silencieuses. - ~ Certai
sarcome 22 cas; tuberculose, 22 cas; gliôme, 18 cas; abcès 10 cas ; tumeur de nature non spécifiée, 13 cas ; kyste, 7 cas
spécifiée, 13 cas ; kyste, 7 cas ; ramollissement, en- dothéliome, tumeur sarco-kystique, cancer, gomme, fibrome et hémor
mes importants : ce sont ceux qui sont dus à la compression par une tumeur , du plancher du quatrième ven- tricule ; cette
l'autopsie vérifia le diagnostic tout en précisant la nature de la tumeur qui était kystique. Chez le troisième malade, il
plus saillants des maladies du cervelet, et accompagne parfois les tumeurs de l'appareil cérébro-spinal. On l'a vu surveni
cence. P. K. LVI. Contribution au diagnostic différentiel ENTRE LES TUMEURS DES TUBERCULES QUADRIJUMEAUX ET CELLES DU CERVE
mplique point le diagnostic de : J8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tumeurs dans les tubercules quadrijumeaux, mais que c'est
rne. (Revue Neurolo- flique, juin 1895.) E. Blin. LXVI. Un cas DE TUMEUR cérébrale avec hémianestiiésie ; par J. Macfay.
ur toutes les sensibilités à gauche. L'autopsie montre à droite une tumeur lenticulaire de 4 centimètres de diamètre sur 2
itié de leur largeur. Ramollissement de la partie sous-jacente à la tumeur ainsi que du lobule lingual et du tronc de la t
uisse déterminer des attaques épileptiformes. G. D. LX. Deux cas de tumeur du canal rachidien comprimant la moelle ; par M
es accidents par tuberculose pulmonaire. A l'autopsie on trouva une tumeur violacée paraissant s'être développée primitive
xième trou de conjugaison dorsal droit : un des prolongements de la tumeur s'étendait sous la plèvre, l'autre sous les mus
accès récidive à l'âge de vingt-six ans; cette fois on constate une tumeur de goitre avec exophtalmie; à l'époque des règl
? 'ICVI ? DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c.. '\... ? LXI. DEUX cas DE TUMEUR DU canal rachidien comprimant la moelle ; par M
ck, rédacteur en chef du Journal de Neurologie. Observation I. La tumeur vue obliquement par derrière ajjrès " * ablatio
ertébrale ? " v ? 'Ouscav·.mov I. - Prolongement sous-pleural de la tumeur . N, nerf intercostal visible sous la plèvre réc
ostal visible sous la plèvre réclinée, à la partie inférieure de la tumeur . 1% i. 21. Observation 1. Coupe de la moelle
ce. Fig, 22. Observation Il. - Prolongement intra-rachidien de la tumeur qui vient comprimer la moelle et semble situé s
es accidents par tuberculose pulmonaire. A l'autopsie on trouva une tumeur violacée paraissant s'être développée primitive
xième trou de conjugaison dorsal droit : un des prolongements de la tumeur s'étendait sous la plèvre, l'autre sous les mus
Paralysie des Fi ! J,23. UI3sEW'A'l'10\ II. - Prolongement de la tumeur dans le canal de conju- gaison, vu par en desso
cl en S Fig.'21, Observation II. Coupe de la moelle et de la tumeur ; D M, dure-mère; S, smface de section séparant la
re; S, smface de section séparant la partie intra-rachidienno de la tumeur ; lt A, racine antérieure tuméfiée. REVUE DE PAT
t, tels les hémorrha- gies capillaires, l'excès de pression due aux tumeurs cérébrales. P. K. LXVI. L'algésiomètre DE iIOTS
de l'oculomoteur externe, du trijumeau indiquant l'existence d'une tumeur dans la région protubérantielle qui donne naiss
Mère, blanchisseuse, sobre, morte à quarante-six ans en 1883 d'une tumeur blanche du genou ; à quatorze ans, elle avait eu
ison, ne nous fournissent aucun renseignement utile. On parle d'une tumeur blanche, d'un redressement du genou qui sera pr
M. Bruns présente ensuite un sarcome du quatrième ventricule. Cette tumeur , de la grosseur d'une pomme, s'est développée ent
ie on trouve les os du crâne minces comme une feuille de papier; la tumeur compri- mait le cervelet, la protubérance et le
parations microscopiques et des dessins se rapportant à deux cas de tumeur de la moelle. Une discussion très animée s'enga
et postérieures, bien qu'elles soient englobées dans la masse de la tumeur médullaire, ne présentent cependant pas de dégé
sseaux de la pie-mère résistent moins bien à la compression par les tumeurs et présentent consécutivement des hémorragies, de
sont dues non à la compression, mais à la pénétration directe de la tumeur dans la substance blanche. M. Nicol présente
organiques. Bruns rapporte un cas de pseudo-méningite etde pseudo- tumeur hystériques. Des erreurs graves et fréquentes con
lations périodiques des fonctions de l'écorce -, par Stern, 234. Tumeur avec hémianesthésie, par illaclcay, 287. CÉRÉ
e du -, par Hubert Boud, 213. Diagnostic différentiel entre les tumeurs des tubercules quadriju- meaux et celles du -,
Moelle. Traumatismes de la - chez les mineurs, par Gri(fiths, 58. Tumeur du canal rachidien com- primant la -, par Raymo
gomme dans la région des -, par llberg, 228. Diagnostic entre les tumeurs des - et celles du cer- velet, par Bruns, 281.
celles du cer- velet, par Bruns, 281. Tun (Daniel llaclo, 254. Tumeur sous-corticale traitée par la trépanation, par
53 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cellent maitre, M. le professeur Grasset, un malade atteint z d'une tumeur cérébrale dont l'observation offre un certain int
nent pas moins une idée exacte des dimensions et des rapports de la tumeur . Le nommé G..., âgé de trente-deux ans, exerçan
nt de vue oculaire, par M. le professeur Truc, qui diagnostiqua une tumeur probable du cerveau et ordonna un traitement ap
gauche nous montre le commencement de la lésion, constituée par une tumeur , demi-dure, d'aspect aréo- laire, blanchâtre, e
la substance grise périphérique, sans l'intéresser cependant. Cette tumeur blanc gri- sâtre, est limitée du côté interne p
plus nette que dans la première coupe. Dans la troisième coupe, la tumeur s'est encore fortement accrue. Elle est devenue
uée contre la substance grise. Du côté interne on voit à côté de la tumeur une zone d'infiltration, d'envahissement et en
velle zone de ramollissement. La quatrième coupe nous montre que la tumeur s'élargit encore dans tous les sens, et princip
incipal par la zone ramollie qui fait le tour presque complet de la tumeur primitive (fig. 2). La cinquième coupe est fait
ore le point où porte la coupe pédi- culo-frontale de Pitres.. La tumeur est encore augmentée, et elle occupe les deux tie
t dont les dimensions ont augmenté. La sixième coupe nous montre la tumeur au point où elle est le plus développée. Elle o
es, nous permet d'observer une diminution dans les dimensions de la tumeur . Elle gagne la partie inférieure et se dégage de
sillon de Rolando. Nous arrivons là à la limite postérieure de la tumeur qui n'occupe que la partie inférieure et externe
erminer assez exactement la forme et les dimensions qu'affectait la tumeur à l'intérieur de l'hémisphère gauche. On peut e
ehors, la grosse extrémité de cet ovoïde étant pos- térieure. Cette tumeur ne siégeait que dans la substance blanche de la
Pour donner une meilleure idée de la disposition. générale de la tumeur , nous avons rapproché les diverses coupes de Pitr
une coupe de Flescliig que nous rapportons : on peut voir aussi la tumeur sous ses deux principaux diamètres, et de plus bi
gique d'après la note que nous a remise M. le professeur Kiener. La tumeur a été étudiée sur des coupes provenant de fragm
ool. La structure Fig. 4. Coupe schématique de Flechsig montrant la tumeur sectionnée horizontalement, au point où elle a
nes, les quelques points qui nous paraissent dignes d'intérêt. La tumeur que nous avons observée est intéressante par sa
omes, pris en. bloc, n'ont été constatés que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des centres nerveux, si nous en croyons la stat
montrant que les sarcomes constituent une variété exceptionnelle de tumeurs cérébrales, ces tumeurs étant elles- mêmes fort
s constituent une variété exceptionnelle de tumeurs cérébrales, ces tumeurs étant elles- mêmes fort rares. b. Au point de
que de Allen Starr nous montre que les localisations exclusives des tumeurs cérébrales dans la substance blanche sont rares
dans le centre ovale ou le corps calleux. Cette localisation de la tumeur dans la subs- tance blanche de la corne frontal
réellement remarquable dans notre cas, c'est le volume énorme de la tumeur , dont les dimensions peuvent être comparées à c
cas, pour des corps étrangers volumineux. d. La présence de cette tumeur volumineuse a déterminé, par action mécanique,
a juste remarque de MM. Grasset et Rauzier', dans tous les cas de tumeur cérébrale volumineuse siégeant à l'intérieur de l
e. e. Une autre conséquence de la présence de cette volumi- neuse tumeur cérébrale a été un agrandissement de la cavité
sur la zone de ramollissement que nous avons signalée autour de la tumeur , sur toutes nos coupes. Cette zone était très net
eurs millimètres, mais elle n'était pas assez prononcée pour que la tumeur fût énucléable. Nous n'avons pas fait d'étude h
tomique. - Le rapport de cause à effet entre le développement d'une tumeur cérébrale et un traumatisme crânien ne peut êtr
ves. La surdité verbale termine la scène; coma, mort. On trouve une tumeur plate et lobulée, rouge, à la base de l'extré-
dans la substance blanche. Enfin dans le lobe occipital gauche une tumeur vasculaire sans limites précises, distante part
tés pathologiques, ainsi l'hydarthrose du genou provoquée par une tumeur médullaire. Au point de vue de l'intervention c
que. P. K. VI. DES lésions anatomiques DE la MOELLE dans LES cas DE TUMEURS cérébrales; par C. MAYER. (Jahrbuch. f. Psychia
ar C. MAYER. (Jahrbuch. f. Psychiat., Yll, 3.) Deux observations de tumeurs cérébrales avec absences partielles de réflexes
e abolition résulte plutôt de processus d'arrêt cérébral dus à la tumeur . P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
e à celle que C. Fuerst a décrile à la suite de l'extir- pation des tumeurs ganglionnaires sous et rétro-maxillaires. Chez
UE NERVEUSE. nique, elle se manifeste soit sous les symptômes d'une tumeur de la moelle, soit sous ceux d'une myélite aigu
considérer la tuberculose solitaire, après le gliome, comme une des tumeurs intraspinales les plus fréquentes et qu'elle coïn
caractérisées anatomiquement par l'existence d'une ou de plusieurs tumeurs tuberculeuses d'assez fort volume, avec dégénér
out par un examen microscopique très détaillé de la structure de la tumeur et des lésions consécutives de la moelle. Un no
niho (Considérations sur les lésions de la moelle produites par les tumeurs d'origine infectieuse). Sbornilc lelcarsky. (Arch
e (cas de Gunsser), elle s'est présentée sous les symptômes d'une tumeur de la moelle à marche lente. Les cas subaigus seu
ier, afin de pouvoir exclure les myélites consé- cutives à diverses tumeurs telles que sarcome, carcinome, etc., et les myé
troubles men- taux. A ces crises correspondait un gonflement de la tumeur thy- roïdienne. Tous ces phénomènes ont paru
. L'examen du cerveau montre, une fois le corps calleux enlevé, une tumeur grisâtre, molle, unie, qui remplit complètement l
re elles un pont qui est de niveau avec leur surface supérieure. La tumeur mesure 6 centimètres dans' le sens antéro-postéri
l et 2 dans le sens vertical. Les coupes pratiquées montrent que la tumeur est un glio-sarcome très vascu- laire. Il a été
hérédité similaire; 3° chorées symptomatiques de grosses lésions, tumeurs , ramollissements, embolies, etc. : a. hémichorée
ique est précédée par des douleurs pseudo-névral- giques. Enfin des tumeurs , ayant pris naissance dans la moelle elle-même
en pleine substance blanche, indiquée par M. Marinesco, dans les tumeurs d'ordres divers, dans la pachyméningite dont plus
il s'agissait d'une hydrorachis sans spina-bifida, le diagnostic de tumeur congénitale des méninges, possible aussi, renda
lenticulaire et le cervelet (6,3 p. 100), le centre ovale, etc. Les tumeurs n'existaient que chez 5 hommes, les cysticerque
ions physiologiques plus exactes et plus sûres. » P. K. XLVI. UNE TUMEUR dans la région DES TUBERCULES quadrijumeaux. Re
en montant, par exemple, vers les colonnes de Clarke. Tel ce cas de tumeur de la base du cerveau caractérisé en particulie
du système nerveux central. L'auteur communique d'abord un cas de tumeur des nerfs optiques dans lequel, à part un oedème
obes oculaires jusqu'au chiasma, sans déterminer la formation d'une tumeur proprement dite. M. Pick montre des préparation
rum tremens par Os- termayer, 43. Tubercules quadrijumeaux. Une tumeur dans la région des , par Weinland, 397. Tumeu
adrijumeaux. Une tumeur dans la région des , par Weinland, 397. Tumeur cérébrale. Lésions anato- miques de la moelle d
54 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
tion inégale de la température céphalique. On a trouvé en effet une tumeur volumineuse du lobe frontal droit, ayant détrui
tière purulente ; il n'y avait pas de pus au-dessous. H. D'O. II. Tumeur PULSATILE DU crâne; généralisation, par M. H. M
ésenté le 2 mars dernier à la Société patho- logique de Londres une tumeur crânienne, provenant d'une femme de quarante an
ait fait en 1872, une chute sur la tète, à la suite de laquelle une tumeur était apparue dans le point contus ; une second
aquelle une tumeur était apparue dans le point contus ; une seconde tumeur analogue, développée peu de temps après dans le
emière ; enfin, en 1874, il existait sur le côté droit du crâne une tumeur de 32 centimètres de circonférence, tenant au pla
alade, il ne se passa point d'année qu'on ne découvrît une nouvelle tumeur . En 1875, formation d'une tumeur pulsatile à l'
ée qu'on ne découvrît une nouvelle tumeur. En 1875, formation d'une tumeur pulsatile à l'extrémité ster- REVUE DE patholog
s il n'y avait d'ailleurs aucun symptôme nouveau. En 1876, nouvelle tumeur à la partie supérieure de la cuisse droite ; en
umeur à la partie supérieure de la cuisse droite ; en 1878, autre tumeur au-dessus de la hanche gauche ; la malade succomb
ba au mois d'octobre suivant. On trouva à l'autopsie une dernière tumeur au-dessus du condyle interne du fémur droit. La
une dernière tumeur au-dessus du condyle interne du fémur droit. La tumeur du crâne paraît avoir débuté par le diploë et s
onsidérable, survenue dans les dernières années de la vie, avec les tumeurs pulsatiles en voie de développement. Ces tumeur
e la vie, avec les tumeurs pulsatiles en voie de développement. Ces tumeurs , examinées par divers histologistes. ont été re
trémité antéro-inférieure du lobe sphénoïdal droit, il existait une tumeur du volume d'une petite orange; le tissu cérébra
l'étendue de la scissure de Sylvius. Par sa surface extérieure, la tumeur , fortement adhérente à la dure-mère, avait prod
oïde. Le nerf optique droit était aplati et ramolli. A la coupe, la tumeur était rougeâtre et présentait une structure gra
des cellules fusiformes et arrondies en voie de prolifération. La tumeur fut considérée comme un sarcome. H. D'O. VI. Ca
e affection peuvent être occasionnés par des lésions syphilitiques ( tumeurs , artérites, etc). Dans la deuxième partie de sa
l' 1 " i 1 tn 1 , Ju y . "111' \ ' . 1 ...,' ,1 111. - -i XXIII. Tumeur du pédoncule cérébral. (illed. Tii2îes and Gaz.
erne de la moitié antérieure du pédoncule cérébral droit une petite tumeur 'dure, ' lobulée, de 6 millimètres de diamètre
observés; pendant la vie, paraissent devoir être rapportées à cette tumeur , tandis que les convulsions du bras droit-aurai
naient des' granulations tuberculeuses. H. D'OLIER. XXIV. SUR les ' tumeurs du cervelet; par IIUGHLINGS JACKSON. '\ " 1 ! !
passe en revue, en' quelques mots, les' différents symptômes.' des' tumeurs 'du' cervelet ? qu'il di- vise* en deux grandes
eures soient englo- bées dans la partie lésée, ou bien enfin qu'une tumeur com- prime les enveloppes de la moelle. Les t
M. Blaise reste dans la réserve par rapport aux faits de M. Mills ( tumeur cérébrale), de Mm0 Put- nam Jacobi (méningite t
distendus. Leur paroi externe offre une grande quantité de petites tumeurs scléreuses de 2, 3, 5 millimètres de diamètre,
rtiquent facilement. Ils offrent à leur surface plu- sieurs petites tumeurs d'un blanc jaunâtre présentant à la coupe une f
ans l'étiologie qu'une place provisoire aux hyprémies, extravasats, tumeurs , ramol- lissement des diverses parties du cerve
. Mort un mois plus tard après une journée de 45 accès. Autopsie. Tumeur cérébrale occupant la première circonvo- lution
obule de l'insula intact. - Méninges très épaissies au niveau de la tumeur . Reins granuleux à leur surface. Substance cort
thalmoscope, doivent être rapportées à la maladie de Bright ou à la tumeur cérébrale, et conclut en faveur de cette dernière
rnière. 458 REVUE DE pathologie NERVEUSE. Quant à la nature de la tumeur , il la considère comme syphi- 1 ? 'tique, bien
e de la diathèse, à cause de son extrême ressemblance avec d'autres tumeurs de cette nature qu'il a eu l'occasion d'ob- ser
OLOGIE NERVEUSE. 459 L'auteur rapporte ensuite deux observations de tumeurs cérébrales. Observation III. Sarcôme du cerve
altérée au niveau des sillons. - Substance cérébrale avoisinant la tumeur , jaunâtre et ramollie. Seconde tumeur analogue et
tance cérébrale avoisinant la tumeur, jaunâtre et ramollie. Seconde tumeur analogue et de la grosseur d'une noisette au ni
d'une noisette au niveau de la première temporale droite. Troisième tumeur à deux centimètres du bord supérieur de l'hémis-
avant de la scissure interpariétale. Au micros- cope, on trouva ces tumeurs constituées par un nombre considérable de grand
laire, parcouru par de nombreux vaisseaux. L'auteur considère cette tumeur comme un sarcôme du cer- veau. Cette observatio
graisseuse, dit avoir été étonné de constater au microscope que la tumeur était formée de cellules rondes et ovalaires co
cas est intéressant pour la forme et le siège exceptionnel de cette tumeur . Au point de vue clinique, on peut remarquer le
u mercure. C. T. LIV. MÉLANO-S ARC011fE DU PIED ; généralisations ; tumeurs cérébrales DE même nature; par BARETTE. (Un. mé
e 27 ans entre à la Pitié dans le service de M. POLAILLON, avec une tumeur mélanique ulcérée du premier métatarsien droit.
utopsie, on trouva les hémisphères cérébraux parsemés de nombreuses tumeurs mélaniques, variant de la grosseur d'une tête d
rise. Tout le ventricule latéral gauche était occupé par une grosse tumeur mélanique qui comprimait les circonvolutions fr
ra suffisamment obtenu. C. T. XXII. SPINA BIFIDA ;-EXCISION DE la tumeur ; -GUÉRISON ; par V.-H. FITCH. (Chicago med. Jo
qui fut opéré par suite d'une erreur de diagnostic; la dureté de la tumeur , le manque de fluctuation et l'absence des autr
ès. -Le flot de liquide qui s'échappa au moment de l'excision de la tumeur fit aussitôt reconnaître l'erreur; l'orifice fu
ngo-myé- lite, spontanée ou consécutive à un mal de Pott ou à une tumeur intra-rachidienne, lorsque les racines pos- tér
de graisse que ce dernier : sa nature ne peut être déterminée. Les tumeurs trouvées entre la couche optique et le corps st
XVIII. Cas d'induration multiloculaire DU cerveau ACCOMPA- Gobe DE TUMEURS DURES D'UNE NATURE HISTOLOGIQUE SPÉ- CIALE siég
La nécropsie démontra la présence dans le centre ovale gauche d'une tumeur occupant la partie médiane desfaisceauxpariétau
occipitaux et n'intéressant que la substance blanche. Une seconde tumeur identique siégeait dans le tiers antérieur de la
réflexions de M. Stenger. P. K. LXXVIII. Leçons CLINIQUES SUR LES tumeurs INTR.1-CRANIENNES par Bïrom Bramwell. (Edz'rt6u
Journal, février 1881, p. 721.) L'auteur rappelle d'abord qu'une tumeur cérébrale peut être trouvée à d'autopsie, sans
mourut à, la suite d'une litho- tomie. A l'autopsie, on trouva une tumeur du volume d'un oeuf de poule, située entre la d
membrane fibreuse., La dure-mère était épaissie au-dessous' de la tumeur ; les circonvolutions étaient, aplaties et déprimé
altération; il n'y avait ni congestion, ni ramollissement. Si cette tumeur avait 'déter- miné quelques symptômes,, elle au
e son époque,, et par les éminents médecins qui le soignaient. La tumeur était probalement congénitale, car Bennett avait
Bramwell énumère dans l'ordre' suivant les principaux symptômes des tumeurs intra-crâniennes.- 1 ? C TI 1°' Certains troubl
fait d'un grand intérêt pratique. Chaque fois qu'on soupçonne une tumeur cérébrale, dans le cas par exemple de céphalalgie
troubles vaso-moteurs produits par l'irritation locale qu'exerce la tumeur sur les fibres vaso-motrices du fond de' l'oeil
Les psychoses aiguës ou les processus pathologiques du z cerveau ( tumeurs , encéphalites) peuvent imprimer une évolu- tion
, acquiert alors une grande valeur. D'autre part, l'existence d'une tumeur cérébrale chez un indi- REVUE DE pathologie men
lérose du), dans un cas d'épilepsie, par Meschede, 471. Cervelet ( tumeurs du), par Il. Jack- son, 307 ; (du), par Bacon,
ésie (un cas de), des mains, par Putnam, G03. Pédoncule cérébral ( tumeur du), 306. Phosphore cérébral, par Fadon, 2s
consécutifs aux maladies du système nerveux, par Arnozan, 163. Tumeur cérébrale avec généralisa- tion, par Morris, 14
tion, par Morris, 140 ; sarcome du cerveau, par Bristo\ve, 142, Tumeurs intracrâniennes du pont de Varole (syphilis), p
55 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s hémisphères cèrébr3.ux et cérébelleux n'ont fait découvrir aucune tumeur . 12 CLINIQUE NERVEUSE. Cou et Titoi@ax. - P
lles myopes. Mère migraines. G1'and'1Íure maternelle, morte d'une tumeur abdominale. - Pas de consanguinité. - Inégalitè
de 2 ans. - Trem- blement des mains iL partir de l'âge de 15 ans. - Tumeur blanche du f/enougauctte. ? atbt ! ssc)nent des
Son père a 73 ans, bien portant. Sa mère est morte il 70 ans d'une tumeur dans le ventre.-Grands parents maternels morts
A l'âge de six ans,il commence à traîner la jambe gauche, puis une tumeur blanche du genou gauche apparaît. 11 est soigné
au genou gauche, pointes de feu cicatrisées qui témoi- gnent de la tumeur blanche ancienne ; extension limitée. Les mensu
que on avait songé à une méningite anormale à marcha lente ou à une tumeur céré- brale (la ponction lombaire avait révélé
es a soigné jadis une pa- rente atteinte d'un cancer du sein. Celte tumeur bourgeonnante ressemblait objectivement à un ch
sont des lésions banales de l'oreille externe (bouchons de cérumen, tumeurs , corps étrangers, otite externe), de l'oreille
auche. Cette partie droite ré- sonne sous le doigt, et recouvre une tumeur dure, développée IMBÉCILLITÉ ET ÉPILEPSIE CON
r, dues à des c.r()'ttua.s'a'o)t sanguines assez récentes. Fie.. 3. Tumeur , aspect intérieur après section longitudinale.
llée du tissu osseux. A droite, l'r1 ? Jphale est recouvert par une tumeur dure, entière- ment comprise dans l'épaisseur d
usqu'à son insertion postérieure. 96 CLINIQUE NERVEUSE. Cette tumeur affecte la forme d'un secteur de sphère, et pré-
s. Son poids total est de 320 grammes environ. Les deux pôles de la tumeur sont distants de 17 cm. 5, sa plus grande longu
donnant passage à des vaisseaux. A la coupe, on constate que cette tumeur est développée dans l'intérieur du tissu durai,
adhérent. De ce feuillet parlent des cloisons qui décom- posent la tumeur en de nombreuses loges secondaires : ces loges
très différents d'aspect en raison de la compression exercée par la tumeur . L'hémisphère droit est aplati, déprimé, beauco
opposé ; celte surface plane, modelée sur la face intérieure de la tumeur esl creusée d'une rigole oblique se dirigeant eu
unscri- vent des mailles plus larges. L'examen histologique de la tumeur a montré que ses parois molles possédaient une
dure-mère au point où cette méninge se dédoublait pour englober la tumeur ont lait voir que le feuillet dure-mérien propr
ières. Dans ces deux couches cheminent des vaisseaux san- guins. La tumeur est entièrement comprise dans un dédouble- ment
timemcnl dans son étendue. Une portion de la coque osseuse de la tumeur a été décalcifiée ; ses coupes traitées par l'h
caires et a enfin partiellement subi la transformation osseuse : la tumeur évoluant vers la dégénérescence. Les transforma
toutes cho- ses qui ne concordent pas avec la description de notre tumeur . (leste la possibilité d'une tumeur inflammatoi
as avec la description de notre tumeur. (leste la possibilité d'une tumeur inflammatoire liée à de la tuberculose ou à de
rouvons du reste une observation de M. Vigoureux, ayant trait à une tumeur du lobe l'rnntal en tout point semblable, mais
nu et qu'on doit lui faire une certaine part dans le diagnostic des tumeurs cérébrales. Les kystes des méninges molles sont
té pen- dant plus de trente ans : il est logique de penser que la tumeur a été annoncée par les premières crises de la s
Le symptôme idiotie-épilepsie est assez rarement se- condaire à des tumeurs endocraniennes développées dans le jeune âge. N
ns, et d'une aussi longue évolu- tion. Le plus souvent il s'agit de tumeurs inflammatoires, de kystes dermoïdes, de sarcome
venue tard après un trau- matisme et la difficulté médico-légale de tumeurs cérébrales et de paralysies générales survenues
XVL De quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs ; par WEBER et Papadaki. (Nouv. Ieo7aog>. de
es, à travers l'aqueduc de Sylvius. Il résulté de la présence d'une tumeur une augmentation de la pression intracérébrale
- tion paraissent souffrir plus que ceux de projection. Au cas de tumeur unilatérale obstruant la circulation ventriculair
, repoussant l'opi- nion deBrissamlet Souques, d'après laquelle les tumeurs produi- raient des poisons, penchent plutôt à a
uitaires sans acromégalie : il s'agissait presque toujours alors de tumeurs ma- lignes, donc destructives de la glande ; or
galie. Et la présence assez frét[uemntent constatée itl'autopsie du tumeurs malignes du l'hy- pophyse chez des acromégaiiqu
dans l'urne : 1" Symptômes et diagnostic des anévrismos de l'aorte, tumeur blanche du genou ; 2° Appen- dicite (médecine e
'anévrisme de la crosse de l'aorte. Diagnostic' et traitement de la tumeur blanche du genou. Questions restées dans l'urne
n d'une malade, chez qui ils ont relevé, en plus des signes d'une tumeur de la base, de nature tuberculeuse, un syr : drom
(Revue ne ? roloqique, 1O,i.) E. fiLIN, LVI. Névralgie faciale et tumeur du ganglion de Gas- ser ; par Henri Verger et I
du ganglion de Gasser ou des racines de la cinquième paire par une tumeur du voisinage sont assez fré- REVUE DE PATHOLO
s de vin par jour sans compter l'alcool. Mère morte à 64 ans, d'une tumeur . Un frère, idiot, mort dans un asile. La malade
bral. [Revue neurologique, février 1905.) E. B. LXXI. - Vitiligo et tumeur centrale de la moelle ; par L. FERRIO. De nombr
toute sa longueur. A l'aide d'un fort grossissement, on voit que la tumeur est constituée par des cellules névrogliques, p
G.) Quelle place convient-il d'assigner, dans la nomenclature des tumeurs , à cette néoformation sous-dure-mérienne des méni
lentes et un développement très mar- qué des veines superficielles. Tumeur du sein gauche apparue 500 REVUE D'ANATOMIE E
ie notable de la rate due à des angiomes multiples de cet organe. Tumeur du canal mchiclien à la bailleur de la région dor
dure-mère et la moelle dont la sépare la pie-mère ; cette dernière tumeur comprime la moelle, sans lui adhérer et est con
science d'observation probante de dégé- nérescence d'un angiome en tumeur cancéreuse ; cependant Cor- nil et Ranvier cons
erveux dans la épinière du poulet, par La Pegna, 327. Vitiligo et tumeur centrale de la -, par Ferrio, 499. Mouvemen
s, par Marinesco, 42. Névralgie. Voir Epileptique. - - faciale et tumeur du ganglion de Casser, 420. Les courants cont
rébral. De quelques allé- rations du - - dues il la pré- sence de tumeurs , par nu'weber et 107. Torticolis. Voir Crampe
56 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
un double point de vue : en pre- mier lieu il est rare de voir une tumeur ,occupant la par- tie latérale du bulbe, ne donn
nous parait digne d'intérêt, c'est l'origine et la nature de cette tumeur . Observation clinique. La malade, hospitalisée
che du bulb entre lui et le cervelet, on ll'llllle (Ji ! }, -2) une tumeur du \uLullw d'une petite nui" de l'orme' irré- g
is la consistance est plus dure, c'est celle d'un liltrome. Cette tumeur est située entre le cervelet, auquel elle adhère
s de l'olive bulbaire. Les racines del'hypoglosepassentaudevantdela tumeur , dont elles res- tent indépendantes ; le nerf e
avant et en dedans. La pyramide gauche n'est pas en contact avec la tumeur . En soulevant celle-ci, on ^ oit qu'elle marque s
ment indépendants du néoplasme. Au contraire, le facial traverse la tumeur , a l'u- nion de son tiers postérieur avec les d
2 millimè- tres par un petit prolongement de la lummtr. En somme, tumeur d'apparence lihro-sarcomatciiso adhérente au ce
r comparaison avec ceux du côté droit. Examen histologique. 1° La tumeur (tivalion par le formol <'t lOVocdwalioiiaii
E FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN)IBRO-SARCOME. 5 A sa périphérie, la tumeur l ? l'nI nUI ? d'une coque fibreuse disposée en
ic.. 3. A, cervelet - Il, méninges. C : , l'01[11f' fibreuse. - 1), tumeur (point sarcomateux). (j CLlN\Q1. : E NERVEUSE.
oin qu'on peut suivre les libres nerveuses. En plein centre de la tumeur , un seul des faisceaux du nerf -facial est enco
' En décrivant les résultats de l'autopsie, nous avons dit que la tumeur ne présentait d'adhérences qu'en deux points :
certainement pas d'un fibro-sarcome né aux dépens du cervelet : la tumeur est, non un gliome, mais bien un fibro-sarcome
u ni- veau des points les plus comprimés, à la coque entourant la tumeur , mais ont conservé nettement, presque par- tout
du fa- cial. Immédiatement après que ce dernier a pénétré dans la tumeur , sa gaîne cesse d'être perceptible ; elle semble
perceptible ; elle semble se confondre avec le tissu constituant la tumeur ,les fais- ceaux nerveux sont dissociés et comme
u nerveux, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NERVEUSE. tre de la tumeur , présente l'aspect typique d'une coupe d'un ner
ant et comprimant les fibres nerveuses,qui, après avoir traversé la tumeur , sont frappées d'atrophie. Mais, c'est ce qui f
dis que dans la neuro-fibro-sarcomatose, on trouve d'habitude des tumeurs multiples dans les centres nerveux, les racines
donc un fait de neuro-fibro-sarcome,- identique comme structure aux tumeurs multiples de la neuro-fi- bro-sarcomatose, mais
'histologie des altérations par com- pression de la moelle dans les tumeurs vertébrales ; par M. BIELSCHOWSKY, (Neurolog. C
ongénitale avec gliose centrale modérée. L'action compressive de la tumeur a barré le canal central au lieu com- primé ; e
ments cellulaires sclérosées. G. 1). '111. Hypertrophie et lésions ( tumeur ) du ganglion sym- pathique cervical dans un pré
n mentale, à la démence sénile, à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs cérébrales, la syphilis cérébrale, la pa- ralyi
fusillé. Ch. ]l...., avait 3 frères : deux sont morts : l'un, d'une tumeur dans la gorge ? ), l'autre la- ]J('l'culeu\ : ;
matériel clinique. Cent trente-quatre d'entre eux concernaient une tumeur céré- brale. Vingt-sept avaient LraiL à la sy
elà ; elle a la forme et la largeur d'une côte avec exostose. Cette tumeur , douloureuse à la pres- sion, olfre, en avant,
anatomie -pathologique de l'urémie dans un cas simulant d'abord une tumeur du cervelet, puis une myasthénie, (Maladie de E
Lion il faut faire exception dans les méningites aiguës et dans les tumeurs cérébrales où l'on a vu des accidents mortels.
le bacille d'EberLlt, le diplocoque, le bacille de l'influenza ; 4° tumeurs et abcès cérébraux : il faut éviter la ponction
. En 1900 nous avons publié les résultats de l'examen d'un cas de tumeur du lobe occipital avec dégénérescence secondair
ge tout autre delà dégénérescence secondaire. Il est évident qu'une tumeur agit autrement sur les tissus qu'une thrombose
dans lesquels on constate une lésion macroscopique dérivent : a) de tumeurs métaslatiqucs de grosseurs diverses; j3)d'hemor
ère de psychiatrie canine. , P. 11ERA\'.1L. LXI. - Observation de tumeur de la protubérance avec dégénérescence de quelq
acte des phéno- mènes produits chez un artilleur de 2'2 ans par une tumeur , dont la localisation et le développement sont
déterminés pas à pas. La clinique disait, et l'autopsie continua : tumeur occupant le côté gauche, et atteignant ses plus
bles ataxiques, SUI tout à gauche, c'est-à-dire du même côté que la tumeur . La cause doit en être cherchée dans la lésion
es cellules nerveuses de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho- paralytique ; par Cor
lué en la mois et ayant présenté à côté des b) mptômes généraux des tumeurs cérébrales, les signes de la dé- mence parais t
(hémispasme facial). A l'autopsie : destruction du noyau caudé par tumeur du volume d'une noix ; atrophies croisées du ce
: "ion, sur la surface cutanée, d'une grande quantité de pe- tites tumeurs , plus abondantes sur le tronc, dont la dimension
onique con- génitale ou acquise ; l'insuccès esl la règle. Dans les tumeurs cé- réllraleson doit procéder avec prudence, ca
les auteurs trouvèrent, avec l'intégrité complète des viscères, une tumeur ajanf pris naissance sur les 8° et U" \ 01'- tè
des vertiges et de l'oedeme-papillaire. Le diagnostic fut celui de tumeur de l'hémis- phère gauche du cervelet. . Opéra
rit et les premiers signes réapparurent. 2c temps : Recherche de la tumeur , tumeur rose, bosselée, grosse comme une petite
es premiers signes réapparurent. 2c temps : Recherche de la tumeur, tumeur rose, bosselée, grosse comme une petite noix; e
tions traitées par la méthode de Marchi,par l'étren, 23-1. Voir Tumeurs . DÉLIRE. Voir Epilepsie. Démence. Voir Scléro
-intoxication, Voir Psychoses.- Protubérance, Voir Lésion. Voir Tumeurs . Purpura. Voir Démence -pré- coce. PSYCHAST
l'ic et Bonnamour, 448. thermiques, 452. table des auteurs. 509 Tumeurs vertébrales. Voir Moelle. Observation de - de L
na- tomie pathologique de l' - dans un cas simulant d'abord une tumeur du cervelet puis une myasthénie. (Maladie du
57 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Impossible de rien savoir sur l'hérédité. Il ne parait y avoir ni tumeur cérébrale (intégrité du fond de l'oeil), ni par
la presque totalité de la portion centrale du centre ovale, et une tumeur du volume d'une noisette siégeant au milieu de
apsule blanche interne ; l'examen histologique a démontré que cette tumeur était un tubercule. Il existait, dans la moelle
ure de la capsule interne 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. par la tumeur explique l'hémianesthésie, symptôme qui fait habi
rvenir l'hypothèse très pro- blématique de toxines sécrétées par la tumeur . A. Fenayrou. XIII. Sur le phénomène de Ch. Bel
e l'écorce cérébrale. Cette irritabilité peut être produite par une tumeur , comme dans l'épilepsie partielle ou par un cor
l suivre : 1° Diminuer l'irrita- bilité de l'écorce, en opérant les tumeurs , calmer les systèmes ner- veux, en donnant le b
ntéressante de paramyoclonus mulliplex chez un individu porteur des tumeurs cutanées et des noevi pigmentaires qui caractér
Surmont. Dans les cas de Landouzy et de Gianelli il s'agis- sait de tumeurs pouvant agir à distance. Même dans ces cas, il
riétal supérieur avec la pariétale ascendante, on trouve une petite tumeur semi-hémi- sphérique. très dure, de la grosseur
a locomo- tion est indemne. Observation III. Femme atteinte d'une tumeur bulboprotubé- rantielle ; lésion unilatérale du
vasomoteurs dans l'hystérie. Audureau (Jules). A propos de quelques tumeurs encé- phaliques opérées. Baillet (Arsène-Augu
ique cervical. Kheifetz (Samuel). Des fausses grossesses et fausses tumeurs hystériques (grossesses nerveuses, tumeurs fant
es grossesses et fausses tumeurs hystériques (grossesses nerveuses, tumeurs fantômes). Kirkoff (Nicolas). Contribution à l'
mouvoir ce membre. Il dut cesser son travail; puis, le volume de la tumeur s'étant accru dans de très notables pro- portio
on existence, ne l'ont pas abandonné pendant le développement de la tumeur anévrys- male, qui, pourtant, le mettait dans l
rosseur d'une petite noix, lisse, rénitente, qui fait songer il une tumeur liquide de petit volume. L'anus est large et ou
ides pédiculées sont très apparentes, et à long pédicule. La petite tumeur que nous avons signalée à gauche, au-dessous du
intimement soudée à cet organe, accolée à sa face inférieure. Cette tumeur est un petit kyste bilo- culaire ; une des poch
ui en sont atteints, présentant une imperméabilité nasale due à une tumeur adénoïde, à une déviation de la cloison ou à to
e ; la syphilis héréditaire ; la paraplégie ataxique de Gowers; une tumeur cérébelleuse, l'hérédo-ataxie cérébelleuse de P
sociétés savantes. 335 vent de nausées et de vertiges. Nombreuses tumeurs sous-cutanées formées par des cysticerques,' du
ir avec l'intensité de la réaction inflammatoire du voisinage de la tumeur ; ils relèvent sans doute de celle-ci. Discus
rébraux. On constata sous la peau la présence de nombreuses petites tumeurs vésiculaires à cysticerques. L'autopsie révéla
tatés ne pouvaient point être considérés comme appartenant à une tumeur : ils pouvaient tout aussi bien tenir à une carie
nt une opé- ration, on la pratiqua. Et c'est alors qu'on trouva une tumeur occu- pant le niveau des septième et huitième v
La dure-mère était du reste normale au-dessus et au- dessous de la tumeur , présentant simplement quelques pulsations au-d
es d'estomac dans 4 cas; des mala- dies de la peau dans 4 cas ; des tumeurs dans 2 cas. 2° Problèmes de criminalité ; par G
ventre indique un foie très volumineux, de surface inégale, pas de tumeur épigastrique. Le 10 juillet, l'apparition d'une
èrement dépolie, non dilatée ; artères coronaires saines. Estomac : Tumeur cancéreuse volumineuse siégeant au niveau de la
céreuse volumineuse siégeant au niveau de la petite courbure. Cette tumeur formée de masses gri- sâtres, ulcérées, respect
des affections les plus diverses, lésions méningo-encéphaliques ( tumeurs , hémorrhagies, paralysie générale, méningites aig
ilatérale, égale des deux côtés, rappelant la papille étranglée des tumeurs cérébrales. Asymétrie faciale ; déviation de la l
e la région anale, et de la colonne vertébrale élimine l'idée d'une tumeur . Une névrite ne saurait se comprendre à raison
nc pour produire la cécité verbale. P. KERAVAL. LXIV. Deux cas de tumeur cérébrale avec diagnostic précis de la localisa
femme de quarante ans. L'hébétude indique déjà la présomption d'une tumeur . L'hémiplégie droite, variable comme l'hébétude
antérieure de l'hémisphère gauche. Où siège plus exactement cette tumeur frontale ? ' ? Près des ascendantes' ? Non pas,
des symptômes associés du côté des nerfs crâniens. C'est donc une tumeur du lobe frontal gauche se développant vers la bas
ntal et la base se dirigent dans la cavité oculaire. Autopsie. La tumeur située sous le milieu de l'écorce du lobe front
xcepté tout près des parties intérieures de ces circonvolutions. La tumeur s'est princi- palement développée en bas et en
d'une blépharoptose droite, c'est-à- dire croisée par rapport à la tumeur (Landouzy) ; à cause des symptômes permanents t
droit, et l'aphasie senso- rielle. On arrive ainsi il penser que la tumeur siège au milieu de l'ensemble des territoires e
une paralysie ou une pseudo- paralysie générale alcoolique, et une tumeur cérébrale. L'autopsie montre simplement une hyd
moelle. P. 11FR.1 ? 1L. LXXVII. Contribution à la casuistique des tumeurs de la glande pituitaire (sarcome angiomatode) ;
sées. Le néoplasme occupe donc la base et le chiasma. Autopsie. Une tumeur colossale remplace la glande pituitaire ; nulle
culaires ; lisse brillant. sans adhérence avec la base du crâne. La tumeur , irrégulièrement globuleuse sur la selle. couvre
a base du cerveau, librement. Le corps pituitaire n'existe plus. La tumeur est enfermée dans une capsule ayant à peu près
loppe, sauf au fond de la selle turcique où elle a été perforée. La tumeur , originaire de la fosse moyenne du crâne, plus ex
féminisme osseux, et que sur cette anomalie se serait développée la tumeur maligne. La névrite optique est le grand symptô
e la tumeur maligne. La névrite optique est le grand symptôme des tumeurs de cette région. Elle se termine par une atroph
atrophie des nerfs optiques (Bath); mais elle peut manquer quand la tumeur n'est pas assez volumi- neuse pour exagérer la
alysies des muscles des yeux tiennent aux al- lures variables de la tumeur dans ses rapports avec les divers nerfs de l'oe
ait somnolent. La coexistence d'une néphrite (albuminurie) et d'une tumeur ma- ligne de la selle lurcique rendait au début
ue de l'urémie purement rénale est parfois identique il celle d'une tumeur cérébrale. L'urémie et la tumeur cérébrale peuv
t parfois identique il celle d'une tumeur cérébrale. L'urémie et la tumeur cérébrale peuvent produire : céphalalgies, vomi
- dans l'etio- logie ries maladies nerveuses, par Gauppe. 497. Tumeurs cérébrales avec diagnostic rie la localisation,
58 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ien portante, pas ner- veuse. Il a une soeur qui a été opérée d'une tumeur au sein. Un oncle paternel divaguait un peu, lo
a méningo-encéphalite, la sclérose.cérébrale, la pachyménmgite, les tumeurs ,' etc.' Survenant chez l'adulte elles entraînen
secondaires présenteront nécessairement la même orientation que la tumeur initiale. Et comme, d'autre part, la masse géné-
je l'ai déjà vue dans un cas de compression de la moelle par une tumeur , mais bien moins développée et bien moins réguliè
midal. J'ai déjà observé ces formations névrogliques dans le cas de tumeur .. de la moelle. auquel j'ai fait allusion plus
r de la boite crânienne elle ne se rencontre,' en effet, à part les tumeurs et les méningites, que dans la syphilis (baux-
men des organes pelviens et cet examen a montré la présence de deux tumeurs : 1° un corps fibreux de la grosseurd'une petit
us, et 2° un kyste énorme du ligament large. L'ablation de ces deux tumeurs amena la disparition de perversions sensorielle
ire syphilitique. Cécité psy- chique et corticale. Observation IL Tumeur cérébrale indéniable. Compression et destructio
re tenir compte de la légère com- pression exercée à droite, par la tumeur , sur la partie médiane du lobe occipital dans l
mais fai- sant fortement saillie sur la face profonde, deux petites tumeurs voisines l'une de l'autre, ayant la forme de di
ntce dé·lâ`lésion'dure-rnérienne ? c'est-fi.-dire` aux deux petites tumeurs décrites ! , ci-dessus. Là,ria substance cor- t
. Le processus pathologique a commencé par la production des deux tumeurs dure-mériennes/pùis il s'est étendu'aux'méninges
e la moelle cervicale. A la hauteur de la dixième paire dorsale, la tumeur touche par sa partie inférieure les cordons, po
ominent dans le membre dépendant du centre cortical où siégeait 1a9 tumeur ; en s outre paralysie progressive. Il faut ajout
te de l'exagération des réflexes dans le côté opposé au siège de la tumeur . ' Un'point qui mérite d'attirer l'attention es
arition de la. névrite optique-bilatérale après' l'enlèvement de la tumeur . Ce fait démontre le lien étroit entre l'existe
étaient pas lésées à un- degré appréciable avant l'enlèvement de la tumeur , mais le devinrent après l'opération. Ce fait m
e observation de compression des^ racines de la queue de cheval par tumeur , (examen, microscopique). L'auteur insiste sur
i '·f hd`9j iff r\<>lC *' t wl no ? dllOl ' s IVIII. UN CS DE, TUMEUR ,INTRA-CR ? NIENNE : , par CoNOLLY NORMAN. (The
890.) Observation, accompagnée de planches photographiques, d'une tumeur qui occupait' les extrémités antérieures dé la pr
1 9 ? 911.'ti,i^.tlv ;i(2 : 1'IxiQ Mft'a't -il te, r XIX. UN cas DE tumeur ENDOTIIÉLIALE DE la dure-mère ; par F : Lisii-
res foyers nombreux de ramollissement dans les deux hémisphères. La; tumeur siège, dans.Ja, fosse céré- brale moyenne gauch
, avant l'autopsie, était impossible. Au microscope, la coupe, delà tumeur présente l'aspect caractéristique de l'endothél
fférentiel histologique de l'endothé- liome et de, quelques autres, tumeurs (par., exemple, le sarcome' alvéolaire) dans .l
t. Plus tard, le trouble de la parole augmente. On diagnostique une tumeur de la convexité de l'extrémité postéro-supérieu
parler; mort trois jours après. Autopsie. Bien qu'on ait enlevé la tumeur , l'hémisphère gauche est volumineux; au voisina
umineux; au voisinage des endroits lésés, anomalies des sillons. La tumeur , dontl'opérateur n'avait laissé que des fragments
particulièrement difficiles dans lesquels la" lésion,1 en forme' de tumeur , fuse dans la moelle dorsale inférieure et monte
à interpréter et partant beaucoup moins démonstratifs. Les cas de tumeurs cérébrales ne valent guère mieux. La plupart de
Les cas de tumeurs cérébrales ne valent guère mieux. La plupart des tumeurs ne se substituent pas molécule à mo- lécule aux
et compliquent à tel point les réactions fonction- nelles que toute tumeur cérébrale, quelle que bien limitée qu'elle para
uses, de mé- ningites, d'encéphalites, d'hémorrhagies méningées, de tumeurs , ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 347 7 et
'll i i - " térêt de lobservation suivante, c est' extension de la tumeur -. 1 . u J ,.iwi.ir'i.1 aYCtllIl.ul t ir111f1t1
erne de la face supérieure de la couche optique, on voit une de ces tumeurs dus volume d'un haricot ; ontretrouve aussi ces
du trigone. En arrière, dans la corne postérieure, se trouvent deux tumeurs mamillaires, dont=la` plis'rôssé a le' volume d
baoîouq l ansb Jnnliuitrtib as ànsllb ? su3assst ? L'invasion par, la tumeur , detous lès.venticulës'sur'-lâytiëlle nous ) av
e ventriculaire des, cellules 0 ees,oula . ssociées, détachées ^des tumeurs primitives,- en grappe derraisins,'=sans cohési
si, la.rapidité' avecs laquelle'' s'estl, faite" 1'6v-bl'dtinv'd la tumeur dans la.dernièrepériode s'uq a9b 8D°l gi <ï0B'
t, comprendre .l'embarras, durclinicien, alors que, ces variétés de tumeurs sont si rares, et que leur évolution nest liée
e cas de troubles intellectuels dus à,un abcès'du cer- sjveaujà une tumeur ; cérébrale; dont;le siège : peuta.ètrélpécisé.
'opération a il est,, probable) que pendant'que. l'on -énucléait la tumeur d'entre -les-y couches du liament'tlar·e,rlerre
uve- ments 'alternatifs d élévation et d'abaissement. Autopsie. : tumeur de la partie inférieure de la, pariétale 'ascenda
ns de Pétrina (1 ? cas : trismus durant un jour; à l'autopsie : , tumeur du,,volume ? du,,poin ? entr.lesciron'vluti611à,c
s pesées des, diverses régions de l'encéphale. A-t-on-affaire à.une tumeur ou à un,fôyeiyde.ramol- lissement, oh peut avoi
"on appliquei·â le traitement accou- tumé. Quand on a affaire à une tumeur on se guide sur l'empiéte- ment, de ces néoplas
e trente ans. En avril 1892, elle présente les symptômes nets d'une tumeur , céré- brale : céphalalgie,' papille étranglée,
tatée dans la première observation; bien qu'on n'ait pas trouvé de tumeur à l'opération, nous pratiquons une petite trépana
ptômes du même genre qui permettent de conclure à l'existence d'une tumeur .dans le,segment postérieur du lobe temporal dr
ns la seconde temporale. On trépane à- ce niveau et l'on trouve une tumeur dont le bord supérieur fait saillie à travers cet
lade meurt, paralytique et hémianopsique. L'autopsie révèle, que la tumeur a progressé de plus belle, qu'elle occupe toute l
es ou mentales, nous avons trente-deux fois établi le diagnostic de tumeur cérébrale,, c'est-à-dire dans,l et demi p. 100.
s d'autopsie avec dia- gnostic`localprécis; dans ces quinze cas, la tumeur siégeait 4(yt , ir le 9t7t'SJt"' Jf1 5 Wf i.» ?
1 ij .' ? T 1 ' ' 462 BIBLIOGRAPHIE. malade; on a contusionné la tumeur directement ;'il il en est résulté une hémorrha
r Te- deschi, 217; dans les asiles (..d'idiots, pat Wulff, 293. Tumeurs , les cérébrales et la question du traitement op
59 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'intervention reste JUSqU'il présent la méthode de choix ; dans les tumeurs très limities, l'eapectation pure eL simple l'o
ie supérieure du noyau, ce qui est en rapport avec le dé- but de la tumeur par la base de la langue. Au niveau du noyau du
e digas- trique, le stylo-hyoïdien elle styloglosse détruits par la tumeur . il existait enfin quelques altérations à la pa
tous les cas de démence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un cas de tumeur cérébrale à forme psychi- que ; asthénie généra
ouissET et Beutter. (Lyon médical, '20 mai 1900, p. 1008.) Cas de tumeur cérébrale chez une femme de 40 ans à hérédité n
tte observation concourt à l'étude de la forme psycho-mo- trice des tumeurs cérébrales. Les phénomènes psychiques, comme le
remarquer les auteurs, sont indépendants delà localisa- tion de la tumeur . On ne peut faire que des hypothèses pour ex- p
sont très in- téressants. On observe la somnolence : 1" Dans les tumeurs de l'hypophyse, caractérisés par l'iy pertru- p
observé par contre, l'insomnie dans les cas suivants : 1" Dans les tumeurs de l'hypophyse accompagnées des graves faits ,l
ste (Brissaud et Bernard). On la trouve chez les sujets porteurs de tumeurs médiaslines en relation avec les débris du thym
tre in extenso, un résumé bref ne pouvant en donner aucune idée. Tumeur comprimant la région psychomotrice. 31. Bvbinsk
primant la région psychomotrice. 31. Bvbinski a fait extirper celle tumeur qu'il avait diagnosti- quée comme comprimant sa
ante : pas de céphalée pen- dant les deux an,'¡p 1'("lolulion de la tumeur . SOCIÉTÉS SAVANTES. 49 Les transformations
stigmates mentaux épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas de tumeurs cérébrales) et en l'absence de symptômes physiq
e. Ce n'est pas, dit-il, une production des méninges, puisque cotte tumeur en était complètement isolée et indépendante ;
axe spinal et des nerfs delà queue de du cheval par métastase de la tumeur de l'hypophyse. Les pièces ont {'Il- fixées par
is tout au plus un trouble fonctionnel du faisceau pyramidal. (1) Tumeur cérébrale comprimant la loue rolandique gauche,
e un cas qu'il a communiqué à un Con- grès précédent. Deux cas de tumeurs du corps calleux avec autopsie. M. Raymond Je d
communiquer les observa- tions de deux malades ayant succombé à des tumeurs du corps calleux. Le premier, un homme de cin
ène du côté des nerfs craniens. A l'autopsie, on trouva une vaste tumeur , un gliome très vasculaire avec foyers hémor- r
ière ; néanmoins, on put le reconstituer et porter le diagnostic de tumeur localisée primitivement au corps calleux, ayant
les troubles démentiels que certains auteurs ont décrits, dans les tumeurs du corps calleux, sont des symptômes tardifs du
ps calleux, sont des symptômes tardifs dus à la propagation de la tumeur à des régions voisines ou à des altérations céré-
ces troubles mentaux spéciaux pour soupçonner la localisation d'une tumeur dans le corps calleux, peut-être y a-t-il à ten
s symptômes donnés par les auteurs sont des symptômes d'emprunt, la tumeur étant bien rarement limitée au corps calleux. C
s. W. Engelmann à Leip- zig. zif ? ? >AQI1ET.- Traitement des' tumeurs blanches par le massage léger et la mobilisatio
es pulmonaires reconnues cliniquement, quatre tuberculoses locales ( tumeurs ganglionnaires) et six cas simplement douteux e
mence sénile, la paralysie générale et les démences conséculivesaux tumeurs cé- rébrales, et à la seconde la démence aiguë
anienne exagérée avec des phénomènes en tout analogues à ceux d'une tumeur . F. T. Ll. Ueber Fibrillenbilder der progressiv
odes au cours desquelles on observe la symptomatologie générale des tumeurs cérébrales, stades intermédiaires également pro
tdel'hyperthémie.Le diagnostic hésita entre sclérose en pla- que et tumeur du cervelet jusqu'à ce que la mort subite mit sur
oidien : bons résultats. Tuberculose généralisée : mort. Autopsie : tumeur cérébrale ; - tuberculose généralisée. Cotl ? (
NGOLIENNE. 449 ci. Les méninges une fois enlevées laissent voir une tumeur pédiculée et développée à leurs dépens. Celte
ent voir une tumeur pédiculée et développée à leurs dépens. Celte tumeur , du volume d'une petite noix, est de colo- rati
onvolution frontale et plus exactement au niveau du sillon en H. La tumeur ne con- tracte aucune adhérence avec la pie-mèr
lhes. L'examen microscopique permet de constater qu'il s'agit d'une tumeur mixte formée de tissu fibreux et de nombreux él
permettent de porter le diagnostic de fibro-sar- côme (Fig. 31, T, tumeur ) ; (Fig. 32 : T, 1 urneur ; C, cavité). On note
32 : T, 1 urneur ; C, cavité). On note sur l'Irémisphère gauche une tumeur symé- trique un peu plus petite. Hauteur du cer
ain de chènevis à celle d'une petite noix ; les plus grosses de ces tumeurs , à parois épais- sies, contiennent une bile jau
de, capsules surrénales, reins, intestin grêle. Notons enfin deux tumeurs fibt°o-sareoomateuses des hémisphères géré- bra
ont remarquer que dans l'acromégalie, on ne trouve pas toujours des tumeurs avec hypertrophie de l'hypophyse et qu'il faut pl
Les - dans l'é- ]1l1epSle, par Devay, p. 24. Corps calleux. Voir Tumeurs . Courbes. - L'analyse mathé- matique des - de
dans les asiles d'aliénés, par A. Marie et Rolet, p. 287, 362. Tumeur cérébrale. Sur un cas de à forme psychique, ast
60 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du trijumeau une lésion profonde du même nerf (comme, par exemple, tumeur de la dure-mère comprimant le ganglion de Gosse
; ce dernier nerf élait, dans son trajet intercrânien, lésé 'par la tumeur comme le trijumeau, aussi y avait-il un léger t
PATHOLOGIE NERVEUSE. i. ' * XIII. Contribution LA pathologie DES TUMEURS cérébrales; , , par II. OPPENREIM. (Archiv. f.
entreprise. Dans 20 cas (soit 86 p. 100) on peut diagnostiquer la- tumeur avec certitude, dans 3 cas le diagnostic ne put
r les auteurs. Il conclut en .ces termes : Pour diagnostiquer une tumeur cérébrale, il faut qu'il existe des symp- * tom
urgicale, mais aussi dans ces cas il peut arriver que le diagnostic tumeur soit inadmissible ou simplement hypothétique. P
ie. M. le Dr Minor, dans sa communication sur la sciatique el les tumeurs de la moelle épinière, appelle l'attention sur de
hagie au lobe temporal gauche; la pie-mère spinale présentait trois tumeurs de la grosseur d'un pois : l'une à la sortie de l
aire, la troisième au cône médullaire du même côté. Une qua- trième tumeur de la grosseur d'une noisette, pendait librement
une des racines de la cauda equina, dont le bout plongeait dans une tumeur en voie de désorganisation et parlant de la prost
um. L'examen microscopique a démontré la nature cancé- reuse de ces tumeurs . ' b). Une malade de vingt-un ans est depnis un
soi- disant normale, mais dans laquelle il avait trouvé de petites tumeurs de la grosseur d'un grain de chanvre, ayant pou
antérieures de la cauda. L'examen microscopique a prouvé que ces tumeurs étaient des myofibromes. Pour conclusion, M. Mi
s hypertro- phiques ou tubéreuses, des scléroses atrophiques, des tumeurs , etc. Ces lésions offrent, suivant les sujets, de
e des suppositions plus ou moins plausibles. Y a-t-il une lésion, tumeur ou autre, développée primitivement dans le cerv
u sarcome. Les premières ne sont pas encore corniflées parce que la tumeur était jeune; c'est pour cela aussi que les prol
tare héréditaire, symptômes d'hyper- pression cérébrale. Quoique la tumeur ait un certain volume, et que ses éléments aien
uin. P. K. XVI. UN TROUBLE DE l'innervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur cérébrale occupant l'espace postérieur du crâne
utopsie révèle l'intégrité du système musculaire de l'oesophage; la tumeur fibreuse dont il est question dans la suscripti
aut en bas qui coïncide avec l'ouverture du cardia. , P. K. XVII. TUMEUR INTRA-CBANIENPIE avec absence DE SYMPTÔMES DIAGNO
mel'ican journal of insanily, avril 1891.) - On a cité des cas de tumeurs intra-crâniennes d'un volume con- sidérable, c'
' L'apparition de ce gonflement fut le premier signe objectif d'une tumeur qui grossit rapidement, se ramollit, fut enlevée
it, fut enlevée jusqu'au niveau des os que l'on trouva perforés, la tumeur pénétrant par un pédicule à l'intérieur de la c
stater à l'intérieur de la cavité crânienne, dans la dure-mère, une tumeur aplatie, de 10 centi- mètres de diamètre, occup
oit envahi lui-même en partie, au niveau de la première frontale, tumeur ayant détruit la lame criblée de l'ethnoïde et dé
par la malade avant la perforation du frontal et l'apparition de la tumeur à l'extérieur, n'avait pu indiquer la présence.
rés par l'observation et l'analyse des mouvements R. M. C. XXIII. TUMEUR DE la glande pituitaire; par James-B ? VHITwELL.
-B ? VHITwELL. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) Ces tumeurs sont rares et les symptômes par lesquels elles se
e peine à découvrir une lésion; enfin on constate l'existence d'une tumeur de la glande pituitaire s'étendant de chaque cô
ressait la carotide interne dont les parois étaient amincies par la tumeur et le calibre un peu dilaté. Du même côté le ne
laté. Du même côté le nerf de la sixième paire était atteint par la tumeur avec laquelle il était intimement associé. A dr
continuité orga- nique comme à gauche. Dans son grand diamètre, la tumeur mesurait 29 millimètres, et 13 dans son petit d
onsécutive à un ostéome. 11 s'agit d'un homme de vingt-sept ans. La tumeur occupe assez exactement le frontal droit. Elle
parait plus enfoncé d'un centimètre que le gauche. Peut- être cette tumeur remonte=t-elle à la naissance; en tout cas elle s
ionné par l'irritation des fibres sensitives du nerf vagus par deux tumeurs symétriques, qu'on peut sentir dans les deux fo
elle, en particulier, l'observation IV, Idiotie symptomatique d'une tumeur cérébrale. On y voit que, sous l'in- flnence de
atique d'une tumeur cérébrale. On y voit que, sous l'in- flnence de tumeurs cérébelleuses, le quatrième ventricule s'est ob
Hahn, aiguë chez un enfant, par Wahu, 437. - ' Glande pituitaire, tumeur de la-, par Wliitweil, 412. Gliome cérébral,
61 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ment,tantses caractères sont tranchés, avec les autres migraines. Une tumeur intra-crânienne pourrait, dans de certaines circo
t. XVIII, p. 259), il contenait, à son entrée dans la dure-mère, une tumeur fibro-chondromateuse en forme de navette qui en é
auraient agité la question d'une amputation de l'avant-bras, pour une tumeur blanche des articulations de la main. Pendant c
. Antécédents héréditaires. — Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante
aît personne parmi ses ascendants qui ait été atteint de cancer ou de tumeur d'aucun organe. Après avoir eu quelques glandes a
, effilées, comme passées au laminoir. 11 pouvait donc s'agir d'une tumeur du bassin, peut-être ganglionnaire (Niemeyer, par
aire (Niemeyer, par exemple, a vu une sciatique double causée par une tumeur leucémique) ou mieux d'un épithélioma du rectum c
déterminent les lésions de la queue de cheval, fracture du rachis ou tumeur de la région. Ils varient, bien entendu, avec le
ons nucléaires. Valeur séméiologique de l'oplithalmoplégie externe: tumeurs , inflammations (polioencéphalite de Wernicke), Op
ellulaire originelle de l'oculo-moteur est comprimée en masse par une tumeur . 2° Il existe une inflammation hémorrhagique du p
me nous l'avons dit, la polioencéphalite supérieure aiguë, les cas de tumeurs , et enfin les ophthalmoplégies sine materia, qui
acée comme il faut, un foyer du plancher du quatrième ventricule, une tumeur comprimant cette même région, un coup sur la tête
orrhagie et du ramollissement, et en particulier par des abcès et des tumeurs de même siège. Je pourrais, à ce propos, relever
tés qui leur enlèvent la netteté désirable. Il s'agit généralement de tumeurs tuberculeuses et, à cet égard, le cas de Mohr cit
uestion. Il va sans dire qu'une lésion située à la base du crâne, une tumeur par exemple, qui agirait en comprimant à la fois
ions intraprotubérantielles de quelque étendue. Supposez en effet une tumeur , un tubercule placé dans cette région de la protu
ougeole ; un autre âgé de onze ans a été amputé de la cuisse pour une tumeur blanche du genou; J'aînée, jeune fille de dix-neu
ésentant exactement les caractères extérieurs de ce qu'on a appelé la tumeur dorsale du carpe. Enfin deux doigts portent les
n spécial qui répond à ce que l'on désigne en clinique sous le nom de tumeur dorsale du carpe. Il n'y a rien de tout cela dans
n fibreuse. Ce sont, en effet, des plaques gommeuses plutôt que des tumeurs arrondies et circonscrites, des lésions en nappe,
pilepsie partielle sans hémiplégie concomitante. Ainsi sont certaines tumeurs sarcomateuses des méninges dans les premières pha
plaques disse-minées. Paris, 1869. Le fait n'est pas rare dans les tumeurs cérébrales. Eh bien, d'après M. Oppenheim, il en
ation, la céphalée, les vomissements, font penser tout de suite à une tumeur , et c'est en effet cette hypothèse qui paraît la
aire. Il est donc tout à fait rationnel de songer à la présence d'une tumeur de cette nature dans la protubérance. Les tubercu
relativement aux autres néoplasmes qui s'y rencontrent. Des 30 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a relevé 11 tubercu
ons nucléaires. Valeur séméiologique de l'ophthalmoplégie externe : tumeurs , inflammations (polioencéphalite de Wernicke), op
— de l'a-taxic locomotrice, 81. Ophthalmoplégie externe : dans les tumeurs du bulbe, 195 ; — dans la maladie de Basedow, 196
lésions du —, 343. Polioenoéphalomyélite, 187, 208. Protubérance : tumeurs de la —, 427. Pseudo-névralgies dans le mal de
u début de la —, 336 ; Hémiplégie spasmodique simple dans la — , 358; Tumeur dorsale du carpe dans la — 360 ; Chiro-mégalie da
ique intentionnel, 50. Trépanation de la colonne vertébrale, 347. Tumeur dorsale du carpe dans la syringomyélie, 357, 360.
62 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ires, glandulaires, médullaires, métaboliques). P. S. XIV. Cas DE tumeur DE la protubérance ET DE l'espace IKTERPEDON- c
optique, hémiplégie droite partielle, cachexie, mort. A l'autopsie, tumeur occupant le pont de Varole et l'espace interpéd
lancolie irritable. DFSOELDEit. Etude clinique d'une observation de tumeur de la protubérance. LiNs- mener. Lésions anatom
phie spinale. C. 141AYEn. Lésions anatomiques de la moelle dans les tumeurs cérébrales. DE SOFLDFR. Présentation d'un cas de
tion locale de l'E., t. XI, p. 522; Abcès de l'E., t. XI, p. 540; Tumeurs qui se développent dans l'E., t. XI, p. 557; Hyda
plaies de poitrine; 3° Signes et diagnostic de la pneumonie et des tumeurs des bourses; cancer de l'estomac et abcès chaud
ouveau Montpellier médical, 14 et 21 juillet 1894.) Il s'agit d'une tumeur kystique ayant débuté dans la partie de REVUE D
uche (céphalalgie marquée à la nuque); par son aug- mentation cette tumeur comprima successivement le trijumeau (névralgie
ches histologiques accompagnent ce travail. P. S. XXVI. UN cas DE TUMEURS hydatiques INTRA-CftANIENNES avec hémi- PLEGIE
e moins que le mollet gauche. Il n'existe aucun symptôme général de tumeur . Coeur sain. L'auteurconclut à l'existence d'une
olog. Centralbl., 1894 2. Voici maintenant une autre observation de tumeur de la moelle opérée le 25 avril 1894 et le corp
d'un homme encore jeune, ayant été opéré succes- sivement pour une tumeur abdominale, un ganglion de la fosse sus-clavicu
ur abdominale, un ganglion de la fosse sus-claviculaire gauche, une tumeur du testicule gauche. La pre- mière tumeurétaitu
jusqu'à la deuxième côte. Il était donc probable qu'il y avait une tumeur siégeant au niveau de la troisième paire dorsal
aire dorsale, et ayant atteint la seconde, pas plus haut, que cette tumeur avait débuté par le segment gauche de la moelle,
ux du décubitus. Mais le pronostic devait être réservé à raison des tumeurs antérieures qu'on avait enlevées et dont on ava
sses molles rougeâtres. Il était donc impossible d'enlever toute la tumeur et, cela eût-il été possible, les altérations s
ssi toute l'aire transverse de la moelle. ' M. Wulff présente une tumeur , du frontal gauche et lit l'obser- vation du ma
ttaques épileptiformes n'ayant pas reparu depuis. A la fin de 1892, tumeur du testicule droit qui ne l'incommode qu'au déb
rontale gauche. Celle-ci progresse tandis que l'autre disparaît. La tumeur crânienne et la tumeur testicu- laire grossisse
i progresse tandis que l'autre disparaît. La tumeur crânienne et la tumeur testicu- laire grossissent; celle-ci devient tr
connaissance ; mort au bout d'une heure. On trouve à l'autopsie une tumeur du testicule droit, une tumeur de la parotide g
heure. On trouve à l'autopsie une tumeur du testicule droit, une tumeur de la parotide gauche, les ganglions cervicaux tu
la parotide gauche, les ganglions cervicaux tuméfiés. Il existe une tumeur du frontal originaire du périoste, avec proli-
a masse, du volume du poing, a pénétré dans la cavité crânienne, la tumeur adhère à la dure-mère et celle-ci est soudée à
xiié. Poids du cerveau = 1,080, du cervelet 160. Ainsi cette grosse tumeur n'avait pas porté atteinte aux fonctions des or
n'avait pas porté atteinte aux fonctions des organes centraux. Les tumeurs en ques- tion étaient des sarcomes à petites ce
rature. On ne pouvait pas contester absolument la possibilité d'une tumeur gliome hémorragique ou peut-être tumeur caséeus
lument la possibilité d'une tumeur gliome hémorragique ou peut-être tumeur caséeuse, comme lé- sion provocatrice des attaq
(Revue neurologique, oct. 1894.) 1;. 13. XXI. NOTE SUR DEUX cas DE tumeur cérébrale avec autopsies ; par le Dr Irwin NEFF
lus au point de vue physique et mental. A l'autopsie, on trouva une tumeur occupant l'extrémité du lobe frontal gauche, da
l elle avait déterminé une excavation de un pouce de profondeur. La tumeur était de forme globuleuse, du diamètre de 4 cen
thologiques sous forme de ramollissement, surtout du lobe droit. La tumeur était un fibre-sarcome. (American journal of in
zs- verse de la moelle ? L'orateur a observé un malade atteint de tumeur des vertèbres dorsales avec compression de la moe
et de conclure à l'existence d'un abcès, tout porte à croire qu'une tumeur est sous roche. La papille étranglée manque par
une tumeur est sous roche. La papille étranglée manque parce que la tumeur est céré- brale et que son volume est minime ou
davérique, congestion assez vive des vaisseaux; il n'y a point de ' tumeur , ni d'abcès. Le malade guérit complètement et san
nes névroses (hystérie, épilepsie) et se montrant dans le cours des tumeurs cérébrales, de l'urémie, de l'albuminu- rie, de
igus, l'urémie, quelques affections diathésiques, l'alcoolisme, les tumeurs cérébrales, l'épilepsie, la neurasthénie, etc.
surtout marquée dans les quinze premières séances, après quoi la tumeur demeure stationnaire. Sur l'exophtalmie et la tac
ernicieuse, par Bow- mann, 1 ? sypliilis de la -, par Sachs, 127; tumeur de la -, par Bruns, 141; destruction trauma-
ion des criminels et per- sexiiels, par Austin, 68. Protubérance, tumeur de la-, par Shaikey, 38. Psychiatrie en Ecoss
par le, par Hecker, 321. TUCKF (Daniel-Hach), nécrologie, 48a. Tumeurs hydatiques intra - cra- niennes, par Ciarke, 12
63 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tudié en premier lieu les psychoses organiques (paralysie générale, tumeurs cérébrales, artério-sclérose, etc.), à l'aide d
pas de renseignements.-Grand'- mère maternelle, sobre, morte d'une tumeur de l'estomac. Deux tantes maternelles mortes je
bservations 4 et 5 (sarcome de la région du quatrième ven- tricule, tumeur des tubercules quadrijumeaux et du cervelet), le
mme, la plus grande dilatation des ventricules appartient aux cas à tumeurs ; vive aussi, celle de l'hydrocéphalie interne
calleux sont aussi indécises au point de vue symptomatique. Sur 17 tumeurs de cet organe, 2 seulement ont été diagnostiqué
la vie (Bristonie et Giese) : on a dû se contenter du diagnostic de tumeur du cerveau. Sur 20 cas de lésions du corps call
eur du cerveau. Sur 20 cas de lésions du corps calleux (surtout des tumeurs ), 4 ne se sont traduits par aucun symptôme (Kau
ichtenstern) et il n'a pas manqué de cas dans lesquels au heu d'une tumeur on avait diagnostiqué une paralysie générale (Bru
a vie, il y a eu des vomissements qui paraissent se rattacher à une tumeur de l'aine gauche, ayant simulé à certains égard
entaire d'irritabilité réflexe. H. DEMusGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cérébrale, par le Dr CUYLITZ. (l3zcll. de la So
sphère cérébral gauche dans la région rolandique, une volumineuse tumeur charnue très vascularisée, et indépendante du cer
larisée, et indépendante du cerveau. L'examen histologique de cette tumeur n'a pas été pratiqué. G. 1) REVUE DE PATHOLOG
s vertiges, la titubation, for- ment les symptômes fondamentaux des tumeurs cétébelleuses. Parmi les autres symptômes que l
remiersujet. Cettemalade asuccombé en présentant des signes nets de tumeur cérébrale (céphalée, vomis- sements, cécité), e
pertrophie osseuse fronto- pariétale droite, ou trouva une série de tumeurs duremériennes, dont une plus volumineuse naissa
femme sont fréquentes et constituent des névralgies pelviennes, des tumeurs fantômes, des pseudo-péri- tonites. Une fois le
adie, en pleine con- naissance. L'autopsie prouva l'existence d'une tumeur maligne du thymus. R. LEROY. XXIII. De la mor
Les deux hypothèses ayant quelque valeur sont abcès cérébelleux ou tumeur cérébelleuse. L'intégrité de l'oreille, l'état
de toute polynucléo-e du sang ramènent le professeur à l'idée d'une tumeur en voie d'accroisse- ment. Cette tumeur serait
e professeur à l'idée d'une tumeur en voie d'accroisse- ment. Cette tumeur serait une néoplasie maligne (sarcome ou gliome
étalait à la base du cervelet et prédominait sur- tout à gauche une tumeur inopérable qui avait déjà envahi la plus graude
néoplasie évolue avec une physionomie clinique spéciale, signes de tumeur cérébrale avec titulation cérébelleuse et surdi
rvelet ou du faisceau central de la calotte, il ne s'agit pas là de tumeurs ni de syphilomes. Les auteurs discutent la poss
ns de la queue de cheval et du cône terminal, les polynévrites, les tumeurs cérébrales, les nombreuses modalités cli- nique
traitement du tabès cloosalis, la conduite à tenir dans les cas de tumeur cérébrale, le traitement des atrophies musculaire
es lésions préalables. Telle est la paralysie générale associée aux tumeurs de l'encéphale. L'inflammation est fréquente auto
x tumeurs de l'encéphale. L'inflammation est fréquente autour des tumeurs de l'encéphale et l'infection y a sans doute sa p
oubles vaso-moteurs et sécrétoires du tabès (Pierret), de certaines tumeurs de la moelle (Seelicmüller) et de la syringomyé
2 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. - tention. Est-ce à la compression ae la tumeur sur les vaisseaux et les nerfs du cou, ou plutô
aris). J'ai observé, au cours d'affections cérébrales très variées ( tumeurs et abcès encéphaliques ; alcoo- lisme, hystérie
lques cliniciens allemands et anglais (Mohr, Gowers, etc.) dans les tumeurs cérébrales (K : ;)tS- cher 6Yeseiz; C.ilcdislen
face dans la région de l'omoplate gauche. Malgré l'absence de toute tumeur cutanée et de tout neurofibrome, on doit songer à
dans la partie occipitale de l'hémispère droit du grand cerveau une tumeur bénigne (ghoma ! ) qui en croissant en large et
couleurs et de l'acuité visuelle surtout dans I'oeil gauche. Cette tumeur gagna peu à peu la surface extérieure de la parti
r partis occipitalis hemispherae dextrae cerebri. Quelle sorte de tumeur est-ce ? La supposition la plus vraisem- blable
'estunetumeurbénigne (glioma ? ). Contre le carac- tère malin de la tumeur témoigne l'anemnèse; contre le caractère tuberc
dégénéres- cence descendante du faisceau d'tletweg. Il s'agit d'une tumeur sphérique de 3,5 centimètres de diamètre, occup
plupart des fibres dégénérées devaient leur lésion à l'action de la tumeur sur la partie située en arrière de l'olive. C
oculaires le plus souvent rapportés à la paralysie générale, à des tumeurs cérébrales, ou aux amauroses brightiques et nic
psule sillonnées de nom- breux vaisseaux. Dépôts calcaires entre la tumeur et le corps cal- leux. Autres organes : dégénér
e du volume d'un petit haricot. Au microscope on constate que cette tumeur est formée de tissu adipeux, avec de nombreux vai
442 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XL. Un cas de tumeur des lobes frontaux du cerveau, dans lequel le s
ation de ce malade, à l'au- topsie duquel on trouva une volumineuse tumeur de nature sarco- mateuse, elle partait des memb
. Quelques remarques sur la paraplégie spasmodique per- manente par tumeur médullaire; par MM. les professeurs linvuoun et
ah- sattoii des fonctions mentales, par Mao-Donald, 63. Un cas de tumeur des fiontaux du caveau dans lequel le sommeil
64 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a lésion, du moins à 1'oeil nu. Du même ordre d'altérations par des tumeurs de la base du crâne irritant et détruisant la p
e quelque temps après. L'autopsie démontra la des- truction par une tumeur du lobe frontal gauche (cancer) de l'olfactif d
ante : ramollissement de la substance blanche sous-jacente. Seconde tumeur de même nature occu- pant presque toute l'étend
lorsque le malade prend de l'iodure de potassium. Mémoire sur les tumeurs cérébrales, par M. Mills. Ce travail contient d
crâne, faite dans trois cas, a augmenté la douleur au niveau de la tumeur ; l'auteur croit ce moyen excellent pour la local
ssements ont manqué huit fois sur douze ; ils man- quaient quand la tumeur occupait la région frontale. Dix fois on a obse
SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 L'auteur conclut : 1° que le diagnostic des tumeurs inlra-crâ- niennes est plus facile que celui de
le par l'étude attentive des symptômes, est surtout facile quand la tumeur occupe les par- ties corticales ; 3° que le dia
a tumeur occupe les par- ties corticales ; 3° que le diagnostic des tumeurs du lobe frontal ne peut se faire que par exclus
nt être soupçonnées par les troubles de la sensibilité ; 4° que les tumeurs volumineuses de la protubérance peuvent être re
a protubérance peuvent être reconnues ; enfin que le diagnostic des tumeurs du cervelet est ordinairement facile. La disc
rapporte une observation où, pendant la vie, tous les symptômes des tumeurs cérébrales s'étaient montrés, mais où l'autopsi
sence de ce symptôme ne suffit pas pour éloigner le dia- gnostic de tumeur cérébrale. Il signale chez les sujets atteints de
égie excessivement douloureuse, en même temps qu'apparaissait une tumeur à la partie inférieure de la région lombaire. A l
l vertébral, entre la huitième et la neuvième vertèbre dorsale, une tumeur assez volumineuse et qui comprimait la moelle.
peu dans la lèvre et toute la mâchoire inférieure. Le diagnostic de tumeur cérébrale porté dès le début par M. Charcot se
d'une coloration rougeàtre, d'une consistance sarcomateuse. Cette tumeur , qui a à peu près le volume d'une noix, semble
ie externe du plancher du quatrième ventricule est soulevée par la' tumeur . Le nerf auditif qui ne parait pas altéré a dû
Nous devons cependant signaler à ce point de vue l'expansion de la tumeur jusqu'au pédoncule cérébelleux, au quatrième ve
M. le professeur Charcot. Il présentait tous les symptômes d'une tumeur cérébelleuse, entre autres une titubation spéci
e des nerfs, cette compensation ne s'est pas produite. XIII. Cas DE tumeur tériméningée ayant par la pression entraîné la
RIG UD. Thèse de Paris, 1882. Contribution à l'étude clinique des tumeurs de la région temporale; par Bottez. Thèse de Pa
ation due à \1\I. Baynoml et Dérignae. Il s'agit dans ce fait d'une tumeur très exactement cir- conscrite au lobule parace
,, . -. ? , À' , ""I * " les sses /J" "' iiasales, - . le .trace de tumeur ? la voûte crânienne, l'orbite, les fosses nasale
ment.examines a ce, point de vue. Rien ,.du côte, du sein, .pas, de tumeur du rectum; nulle part, en un mot; de ^tumeur, s
ôte, du sein, .pas, de tumeur du rectum; nulle part, en un mot; de ^ tumeur , susceptible ^de se généraliser; j la, colonne ve
" allant jusqu'à recouvrir l'orifice du conduit auditif externe; la tumeur fut vidée par une ponction exploratrice, et gué
e ponction exploratrice, et guérit; la veille de l'apparition de la tumeur l'enfant, eu jouant, avait passé la tête entre
La pièce est présentée et décrite à la Société. Le diagnostic de la tumeur avait été établi pendant la vie. La publication
it possible que ce fût un kyste par rétention. La compression d'une tumeur dépend en partie de sa consistance ; c'est aux tu
qu'appartiennent les manifestations d'ordre local , tandis que les tumeurs molles engendrent des phénomènes géné- raux. Ai
éterminé l'occlusion cicatricielle sans cependant avoir supprimé la tumeur , quand le 25 février 1880 la fistule évacue des m
emeure pres- que aussi fréquent. Trois ans avant l'apparition de la tumeur thyroi- diezze, la seconde malade est affectée
. De la troisième malade opérée par le caustique, il est dit que la tumeur au bout d'une année avait à peu près disparu, a
qu'amélioration ; aucun détail sur la succession des symptômes. La tumeur agirait, d'ailleurs, en paralysant le sympathiq
tions de nutrition et de relation), par Brunton, 234. Cérébrales ( tumeurs ), 118. Cerveau du lapin (de quelques ar- rêts
Bouveret, 246. Tubercules quadrijumeaux (struc- ture des), 258. Tumeur néri-méningée a5-antclétruit la moelle, par Sch
65 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
vent redoutables de l'embolie capillaire. A un degré moins avancé, la tumeur athéromateuse se borne à déterminer le rétrécisse
s d'urate de soude, et ne doit jamais être employée pour désigner les tumeurs osseuses du rhumatisme articulaire chronique. C
également autour du gros orteil, et sur d'autres points. Ce sont des tumeurs ovoïdes, bosselées, tantôt sessiles, tantôt pédic
apprend que les faucons sont sujets à présenter autour des doigts des tumeurs formées par des amas de matière gypseuse. Cette m
oquets. Bertin ( d'Utrecht ) a trouvé, chez le Psittacus grandis, des tumeurs uratiques au voisinage des jointures et des infar
- 1. Ranvier. — Des altérations histologiques du cartilage dans les tumeurs blanches. Paris, 1866. fération des éléments ce
face du cartilage diarthrodial du fémur, chez un enfant atteint d'une tumeur blanche (d'après M. Ranvier). Les capsules de l
éri-sées par la formation d'un néoplasme qui rappelle absolu-ment les tumeurs gommeuses par sa texture et son aspect extérieur.
umatisme peut simuler une luxation, une fracture, et mieux encore une tumeur blanche. Ce sont là des questions qui ont surto
re. Deux cas peuvent se présenter : tan-tôt le rhumatisme dégénère en tumeur blanche ; tantôt il prend les caractères de l'art
eu près, en les exagérant, leur forme et leurs contours naturels. Les tumeurs pisiformes qu'on ren-contre, suivant la descripti
exemples de femmes qui,, pendant leur jeunesse, ont été affectées de tumeurs blanches, et chez qui, plus tard, le rhumatisme n
à la Société, elles constituent chez un de nos malades trois petites tumeurs arrondies ayant environ le volume d'un pois : deu
tes tumeurs arrondies ayant environ le volume d'un pois : deux de ces tumeurs occupent l'extrémité inférieure de l'an-thélix; l
es principales. Dans une première forme, elles constituent de petites tumeurs sous-cutanées, hémisphériques, plus ou moins régu
nt les têtes des ossublu-xés; ou, autrement dit, il n'existe point de tumeurs tophacées appréciables. Nous trouvons donc ici l'
les, non tuméfiées ; derrière l'olécrâne,il existe de chaque côté une tumeur ayant la forme et l'apparence de l'hygroma, mais
l, on ne rencontrait pas d'agrégats sous-cutanés d'urate de soude, de tumeurs tophacées, en un mot, au voisinage des jointures
bituellement, lorsqu'ils acquièrent un certain volume, sous le nom de tumeurs tophacées. Les deux modes de déformation peuven
lité obscure : à leur niveau, il n'y a pas traces de proéminences, de tumeurs autres que celles que produisent les têtes des os
t les têtes des os subluxés ; il n'existe pas la moindre apparence de tumeurs tophacées. En somme, on trouve ici l'exacte repro
us superficiels, les nodosités du rhumatisme « ne constituent pas des tumeurs séparées » ( Hay-garth); elles font corps avec l'
les concrétions tophacôes : celles-ci se présentent sous la forme de tumeurs irrégulièrement arrondies ou ovoïdes, bosse-lées,
lées, à base large ou, au contraire, presque pédiculées (fig. 3). Ces tumeurs , qui peuvent atteindre le volume d'un œuf de pi-g
u'ils se déjettent par le fait de la pression qu'exercent sur eux les tumeurs tophacées, ne présentent pas ces déformations d'e
ste fréquemment, après l'évacua-tion de son contenu, sous forme d'une tumeur arrondie, percée à son sommet d'un petit pertuis.
qui porte sur la partie centrale de la paupière supérieure gauche une tumeur tophacée du volume d'un gros pois. Cette tumeur a
supérieure gauche une tumeur tophacée du volume d'un gros pois. Cette tumeur arrondie, légèrement mamelonnée, sessile, offre e
d'aucune douleur et gêne à peine les mouve-ments de la paupière. Une tumeur analogue se voyait naguère sur la paupière supéri
456) avait remarqué déjà que les faucons sont sujets à présenter des tumeurs siégeant autour des doigts et formés par des amas
s fois, sur les jointures du métatarse et des doigts anté-rieurs, des tumeurs composées d'une substance blanche, plâ-treuse, qu
e. Quelques semaines avant la mort, on vit appa-raître à la nuque une tumeur volumineuse faisant saillie de chaque côté, derri
u près, en les exa-gérant, leur forme et leurs contours naturels. Les tumeurs pisiformes qu'on rencontre, suivant la descriptio
degré ; il n'existait au voisinage des jointures aucune apparence de tumeurs tophacées. On trouve ici l'exacte repro-duction d
66 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la nuit. Observation XL C..., garçon de dix ans. Père mort d'une tumeur de l'oeil. Mère normale. Soeur bien portante, frè
rtie droite de la paroi supérieure de ce ventricule, quatre petites tumeurs de 2 à 4 millimètres de diamètre, de couleur ro
'hémisphère droit du cervelet présente de-ci et de-là de semblables tumeurs qui soulèvent la pie-mère sans que cette derniè
de cet hémisphère cérébelleux révèlent la présence de semblables tumeurs dans l'intérieur de la masse cérébelleuse : dans
Nucio. Rome, Naples. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Auvrsnv (M.). Les tumeurs cérébrales. Volume in-8°, de 467 pages, avec 29
ntacte la moelle, le cône terminal jusqu'à sa partie inférieure. La tumeur présen- tait un volume considérable et rempliss
nique de la maladie, son évolution', la nature histologique 8 de la tumeur ont été décrites par nous ailleurs ; nous ne fe
selon la systématisation ou la diffusion relatives des signes à une tumeur ou à un ramollissement. En présence d'une invas
localisation spéciale, ne pouvaient nous égarer dans le sens d'une tumeur , d'une hémorragie cérébrale ou d'un ramollissem
agnent le plus souvent d'épilepsie corti- cale (paralysie générale, tumeurs ) ne sont pas celles qui donnent le plus souvent
t en être les équivalents sensoriels. A l'autopsie, on a trouvé une tumeur située au niveau du lobe frontal. La zone rolan
r, l'acromégali- que à épilepsie partielle fut trouvé porteur d'une tumeur de la glande pituitaire comprimant la base crân
d'épilepsie à quinze ans, c'est-à-dire six ans après l'accident. La tumeur a toujours continué à se développer pendant tou
re bi-pariétal, 185 millimètres; diamètre du menton au sommet de la tumeur frontale, 246 milli- mètres. Pas de signes appa
tes. Autopsie. - Cuir chevelu hypertrophié, surtout au niveau des tumeurs pariétale et frontale, hypertrophie qui contribue
rmalement développés. Les coupes ne font constater aucune lésion ou tumeur interne pouvant expliquer l'épilepsie. L'hyperos-
je ne peux que le signaler. L'étiologie se résume en trois termes : tumeurs , traumatismes, myélite et méningite. Si la caus
minue ensuite, en partie au moins. Si au contraire la cause est une tumeur , le début sera naturellement lent et le pre- mi
ser, ce qui donne à la palpation la sensation d'une ou de plusieurs tumeurs adhérentes et grosses comme des oeufs de poule.
de ramollissement central dépas- sent en haut et en bas l'étage des tumeurs proprement dites. En outre la dure-mère adhère
ts, au point que, par places, leur lumière est effacée. Quant aux tumeurs , elles sont exclusivement constituées par des cel
ire. La substance grise est particulière- ment désorganisée par les tumeurs qui occupent son épaisseur. On y trouve aussi d
ubles de la sensibilité, on les comprend en remarquant que les deux tumeurs équivalent à une section véri- table de la moit
ction véri- table de la moitié antérieure de la moelle, chacune des tumeurs est ainsi la cause du syndrome de Brown-Séquard
quard pour la moitié de la moelle qui la renferme. Plus encore, les tumeurs n'étant pas au même niveau, atteignent supérieu
recroisement intra-médullaire, mais elle côtoie néces- sairement la tumeur , le schéma le fait comprendre, et dans ce point
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE - PATHOLOGIQUES. I. SUR UN C\S DE tumeur cérébrale ET SUR LES rapports DES TUMEURS du ce
LOGIQUES. I. SUR UN C\S DE tumeur cérébrale ET SUR LES rapports DES TUMEURS du cerveau avec LES troubles psychiques; par le
e Luhrmann. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t. LU, fasc. 4.) Les tumeurs du cerveau peuvent donner lieu à des troubles psy
t aisément être commise. L'auteur rapporte un cas dans lequel une tumeur cérébrale a pu, pendant plusieurs mois, simuler
rmine par la guérison. De cette observation l'auteur conclut qu'une tumeur du cerveau peut rester longtemps sans provoquer
uis peut simuler une psychose aiguë. Chez le sujet en question la tumeur existait dès le début des troubles psychiques et
r l'allure enfantine et le langage puéril des sujets porteurs d'une tumeur de la région antérieure : il note aussi une ten
on et exubé- rance (ztorica)qu'il n'a rencontré que dans les cas de tumeur des circonvolutions frontales. Le malade observ
tes d'actes puérils. ' Dans le cas en question peut-on penser à une tumeur siégeant dans la région antérieure du cerveau ?
le domaine du nerf facial droit et de l'hypoglosse). Le siège de la tumeur paraît donc avoir été dans l'hémisphère gauche
tremblements de quelques autresmala- dies nerveuses (polynévrites, tumeurs et commotions cérébrales, épilepsie, maladie de
plus souvent le ramollissement cérébral parfois l'hémorragie et les tumeurs . La lésion peut porter sur le centre cortical (
ilepliformes pouvant faire penser a une irritation méningée par une tumeur comprimant ou ayant détruit la région de la surdi
463. CÊHÊllHAL. Quelques points de pa- thologie , par Meyer, 51. Tumeur - par Luhrmann. 314. Cerveau. Voies conductri
67 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
occipitaux 2, Unverricht soutient que de pures affections locales ( tumeurs , abcès) des régions postérieures du cerveau, pe
du crâne; par H. Oppenheim. (Neurol. Centralbl. 1889.) DEUX cas DE TUMEUR DE la fosse postérieure DU crâne ; par R. WuLLE
n résumé de trois observations. Deux d'entre elles con- cernent une tumeur cérébelleuse. Dans le cas d'Oppenheim, la tumeu
con- cernent une tumeur cérébelleuse. Dans le cas d'Oppenheim, la tumeur avait aplati le bulbe et la protubérance et atrop
leux gauche était atteint. La troisième observation est celle d'une tumeur du lobe occipital droit (Wollenberg); vertiges, a
es les fois que la circulation de la moelle se trouve gênée par une tumeur de la colonne vertébrale, par de la méningite spi
2° une forme paradoxale dans le sens de la flexion, dans un cas de tumeur du toit du quatrième ventricule, au niveau des st
uite du réflexe, demeurant raide en extension. P. K. X. Un cas DE TUMEUR ISOLÉE DE la glande pinéale; par E. KNY. (Neuro
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 ne peut être établi que lorsque la tumeur comprime les tubercules quadrijumeaux et les or
de meilleure heure que dans les autres cas. . P. K. XI. Un cas DE tumeur cérébrale; par OPPENHEIm et Remak. (Neurol. Cen
Remak. (Neurol. Centralbl., 1889.)' M. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale originaire de la zone motrice du côté
médiaire à la corne antérieure et à la corne postérieure droite; la tumeur est accolée à la partie latérale de cette derni
: dédoublement du canal central, de la fissure antérieure, et une tumeur adhérente à la dure-mère. A cet endroit (entre la
endroit (entre la 7° racine cervicale et la 2e racine dorsale), la tumeur s'est étendue à la dure- mère ; plus haut, elle
G. Rossomio. Contribution à l'étude de la symptomopa- thologie des tumeurs du cerveau. Chez une femme de soixante-dix ans,
gauche, dans la région des 2° et 3° circonvolutions frontales, une tumeur sphérique, de 4 centimètres, qui a été reconnue
ns des lobes frontaux du cerveau. M. RoTU, rappelant que dans les tumeurs , il faut toujours tenir compte des influences d
alis. A l'autopsie, on a trouvé, dans la couche optique gauche, une tumeur (gliosarcoma) de la grosseur d'un gros oeuf, s'
le sens musculaire. M. Kornilof dit qu'il a pu observer un cas de tumeur de la couche optique, dans lequel il n'y avait
, qu'elles soient aiguës, diffuses ou spécifiques. Dans le cas de tumeurs cérébrales de traumatismes avec ou sans fragmen
épression, les idées de satisfaction ont disparu. En l'absence de tumeur exerçant une compression, une irrita- tion du c
nerfs et des muscles sont simultanées. M. OI'PE1VI1G1M. Un cas de tumeur cérébrale. Mémoire publié à part. M. Oi'l'ENU
. Aucune autre manifestation. Un beau jour, syncope; on pense à une tumeur . Cette tumeur apparaît en effet entre l'omoplat
manifestation. Un beau jour, syncope; on pense à une tumeur. Cette tumeur apparaît en effet entre l'omoplate gauche et la c
du mercure, il se prétendit atteint des maladies les plus variées, tumeur du foie, de l'intestin, maladie de la moelle ép
e paralysie des nerfs ocu- lomoteurs. A l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la dure- mère comprimant le ganglion de Gass
à la première période et chez lequel on a constaté l'existence de tumeurs graisseuses arrivées à un développement plus ou m
deltoïdiennes et sacrées en sont le siège. La consis- tance de ces tumeurs varie : elles sont molles, difiluentes, dépres-
certaines régions, résistantes, lobulées dans d'autres; une de ces tumeurs a une consistance fibreuse. Le développement gé
eurs a une consistance fibreuse. Le développement généralisé de ces tumeurs et surtout leur dis- position symétrique permet
symétrique permettent de croire qu'on se trouve ici en présence de tumeurs de nature analogue aux pseudo-lipomes symé- tri
Couche optique, affections de la -, par Kiriltseff, 138. Crâne, tumeurs de la fosse posté- rieure du - par Wollenberg e
on SEXUELLE, dans la no- blesse allemande, 225. Pinéale (glande), tumeur isolée de la -, par Kny, 100; - ablation de l
ijumeaux, origine de la substance blanche des -, par Held. 401. Tumeurs cérébrales, par Oppenheim et Remak, 127 ; - Sym
68 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
n bras, d'un sein, d’un pouce et de deux pénis. « 2° Ablation d’une tumeur à la mâchoire supérieure, d’une à la jambe, et d'
séton de la cheville du pied au genou. « lit0 Ablation de dix-sept tumeurs scrotales. » Maladies internes. « 1° Trois migr
a à faire la trachéotomie ; mais on pouvait douter de sou succès, les tumeurs paraissant s’étendrejusqu’à l’origine des poumons
appé« ressentit encore pendant plusieurs jours la présence de petites tumeurs dans la gorge ; toutes celles qu’elle annonça cre
eaucoup qu’un instant de soulagement. Baron du Potet. Ablation de tumeur . — Un Bengalais nommé Hurro-mundoo-Laha, âgé de v
Hurro-mundoo-Laha, âgé de vingt-sept ans, portant une de ces énormes tumeurs du scrotum si communes en Égypte et dans l’Inde,
al (Calcutta) pour y être opéré durant l’insensibilité magnétique. Sa tumeur portait 7 pieds de circonférence, et aucun médeci
tie chirurgicale.au docteur Duncan Stewart, l’un des commissaires. La tumeur fut enveloppée dans un drap, auquel était attaché
utre. On tira la corde à l’effet de dilater le col ou sommet de cette tumeur , qui avait là 30 centimètres de diamètre. M. Stew
de diamètre. M. Stewart l'incisa alors, et au bout de six minutes la tumeur était enlevée et l’artère spermatique liée. Le pa
illé, n’a fait aucun mouvement, ni senti la plus légère douleur. La tumeur , une demi-heure après son ablation, pesait 103 po
crit à son frère : « Je vous prie de dire au docteur Elliotson que la tumeur lui a été votée par acclamation, et qu’elle est d
4° Introduction d’une sonde dans la matrice; 5° Extirpation de deux tumeurs adhérentes k la vessie; 6° Extirpation d’un str
nsultation de M. le professeur G*"; elle portait à la joue gauche une tumeur volumi- * ueuse, dont l’ablation fut conseillée
'intérieur de la bouche, la cloison alvéolaire située au-dessus de la tumeur . Celte première opération fut faite an jour ind
pendant son sommeil l’extraction d’une grosse molaire avoi-sinant la tumeur , M. le médecin-dentiste K"‘ fut appelé, et déclar
dehors, pousserait inévitablement la dent sur les plaies vives de la tumeur , et par là produirait de très vives souffrances.
on magnétiseur ne se démentit pas un seul instant. Plus tard, et la tumeur ayant progressé, la malade indiqua elle-même que
était venu, et M. le docteur G*’* fut consulté. H constata que cette tumeur était formée par la moitié gauche de l’os maxilla
ci ne serait pas député aujourd’hui. 2° Un homme, ayant au bras une tumeur de 14 kilogrammes, éthérisé dans le même service,
extraire des dents, amputer un sein, couper des jambes, extirper des tumeurs très-douloureuses, supporter les opérations les p
mbre. 7 ■ 7 » 7 » 7 » 7 i* 10 . 1» ». 1« • 14 Ihdroeùlc double....... Tumeur du scrulum..... T » ...... Phimosis,.............
a raison en est que le succès obtenu dans l’ablation anesthésique des tumeurs scrolales, si communes en ce pays, attire tous ce
décembre, pour se faire enlever un squirrhe énorme du sein droit. La tumeur apparut il y a deux ans ; elle est mobile, dure,
eptique le même jour. Le lendemain elle fut endormie de nouveau et la tumeur enlevée aux deux tiers sans qu’elle remuât ou par
— Ram loch un Doss, tisserand, de Serampore, âgé de 60 ans, porte une tumeur depuis 50 ans. Endormi cinq jours de suite avant
e fit y porter la main el savoir que l’opération était terminée. Sa tumeur pesait 40 livres; il s’est rétabli sans accident;
icatrisée. — Katick Doss, laveur, esl entré le 6 décembre; il a une tumeur depuis 16 ans. Endormi le cinquième jour, il fut
laboureur, vint de Burwan, le 21 novembre, pour se faire amputer une tumeur énorme. Il est sujet à un accès de fièvre tous le
avait conscience des piqûres queje lui avais faites en sommeil. La tumeur était si volumineuse que je dus renoncer à l’espo
plaindre confusément durant une heure environ que je le gardai. — La tumeur pesait 100 livres. L'opération eut lieu à midi
et le28 il se promenait. — Sheck Nemoo, âgé de 50 ans, a une petite tumeur . Venu le 4- décembre, il a été entrancè au bout d
épreuves qui suit : Molhoor, portefaix à Cutiack, est affecté d’une tumeur ordinaire. Il m’a élé envoyé par son frère Bogobu
Il m’a élé envoyé par son frère Bogobun Doss, que j’ai délivré d’une tumeur de 50 livres, il y a un an, à Hooghly, et qui m’a
ite d’un mal que la science humaine avait jugé incurable; c’était une tumeur cancéreuse, etc. Celle première opération lit v
et mange bien, a grandi de la tête et est radicalement guérie île sa tumeur cancéreuse. En résumé, la jeu ne fille n’a eu,
irritation intense du foie, sur lequel se trouvaient de gros boutons» tumeur sous l’aorte, et hydrocéphale chronique. Du reste
69 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t que 2 (cas de Hun1 et de Doyne 2) dans lesquels il n'y avait ni tumeur , ni kyste, ni abcès, ni ramollissement de la subs
emment curables. - R. M. C. XXVI. Paralysie générale simulant une tumeur cérébrale , par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of
examinée, il n'y a eu qu'une voix pour admettre l'existence d'une tumeur cérébrale, laquelle devait être presque certainem
e an- térieure d'un écoulement par l'oreille faisaient penser à une tumeur ou à un abcès de nature tuberculeuse. L'état pa
SCIIOETIL\L (d'Heidelberg). Contribution à la symptomatolo- aie.des tumeurs cérébrales. -Un jeune homme de dix-neuf ans, pr
olution. Gowers a rapporté deux cas de cette nature2. Dans l'un une tumeur , dont la plus ancienne partie était au-dessous
ne aura auditive rap- portée à l'oreille opposée. Dans l'autre, une tumeur atteignant la première circonvolution temporale
drocéphale, et meurt dans un état de mal. On porte le diagnostic de tumeur cérébrale avec hydrocéphalie et lé- sion de la
ie bilatérale des nerfs optiques. M. ROLLER (de Brake) présente une tumeur du crâne et de la dure- mère. Cette pièce provi
1889, qui était atteinte de délire chro- nique des persécutions. La tumeur était pendant la vie [saillante, sous la forme
a trouvé sur la partie la plus convexe de l'hémi- sphère droit une tumeur occupant les deux tiers des circonvolu- 298 BIB
APHIE. tions centrales sans atteindre la scissure de Sylvius. Cette tumeur présentait une surface bosselée, de couleur gri
rmale. L'infun- dibulum est dilaté et fait saillie sous forme d'une tumeur située entre les tubercules mamillaires et le c
, mais non atrophié. La pie-mère n'est adhérente qu'au niveau de la tumeur . Les vaisseaux de la base ne présentent rien de
es plus évidentes. L'examen histologique a permis de rattacher la tumeur aux glio- sarcomes. Sur la coupe de Flechsig de
t, il est évident que dès le début de la maladie le dia- gnostic de tumeur était facile; la question d'intervention opéra-
se de la dificulté de loca- liser d'une façon exacte le siège de la tumeur d'après les données cliniques, qui, il faut bie
rhagie et du ramollissement, et en particulier par des abcès et des tumeurs de même siège. Je pourrais, à ce propos, releve
qui leur enlèvent la netteté désirable. 11 s'agit généra- lement de tumeurs tuberculeuses et, à cet égard, 'le 1 Mohr. Diss
ion. 11 va sans dire qu'une lésion située à la base du crâne, une tumeur par exemple, qui agirait en comprimant à la foi
ns intraprolubérantielles de quelque étendue. Supposez en effet une tumeur , un tubercule placé dans cette région de la pro
ominale. - Monsieur, Messieurs le» mé- decins ! Mais je n'ai pas de tumeur dans le ventre ! Laissez-le donc tranquille, mo
lle détourne la tête avec dégoût.) Il y a assez de gens qui ont des tumeurs . Pourquoi nie prendre, moi qui n'ai rien ? Co
dans lequel l'odorat était atteint du même côté que la lésion, une tumeur du gyrus uncinatus qui ne parait pas avoir prod
té anterieure du lobe temporo-sphénoidal droit était le siège d'une tumeur comprenant le noyau de l'amyg- dale et les fibr
eut se rendre compte par la destruction incomplète du centre par la tumeur . Ce cas, comme les autres que nous avons cités,
lié un cas d'une sensation d'odeur et de goût particulière avec une tumeur du lobe temporo-sphénoidal gauche; mais les lés
ues puisées indistincte- ment à toutes les sources en acceptant les tumeurs et les lésions capables de produire des trouble
s, la lésion corticale était compliquée par la présence d'une large tumeur dans le centre ovale 4. Dans un, on dit que la
ait pas remuer les doigts. Dans un cinquième cas', l'ablation d'une tumeur de la région pariétale inférieure droite qui oc
léger degre d'hémiopie droite que j'ai diagnostiqué comme due à une tumeur dans la région du pli courbe. Pas de paralysie
ales. M. Horsley entre- prit une opération pour l'ablation de cette tumeur , mais il la trouva LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES
- 2G cas de - chez la femme, par Grelpin, 452 ;- sinru- lant une tumeur cérébrale, par Sa\'age, 122; - et intoxication,
70 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
BIBLIOGRAPHIE. 77 f premières leçons sont consacrées à l'étude des tumeurs de l'ancé- phale. Trois faits de tumeur de la z
t consacrées à l'étude des tumeurs de l'ancé- phale. Trois faits de tumeur de la zone rolandique ; un cas de tumeur de la
é- phale. Trois faits de tumeur de la zone rolandique ; un cas de tumeur de la base du crâne comprimant à gauche la racine
oculaire com- mun, le pathétique, et les nerfs optiques ; un cas de tumeur du cervelet avec hémiplégie flasque et amyotrop
umeur du cervelet avec hémiplégie flasque et amyotrophie; un cas de tumeur du cervelet avec triade complète et paralysie d
triade complète et paralysie double de la sixième paire ; un cas de tumeur du cervelet avec perte totale de la vue et de l
ur du cervelet avec perte totale de la vue et de l'ouïe ; un cas de tumeur du centre ovale avec des périodes d'évolution,
se, l'autre simulant l'hémiplé- gie avec hémianesthésie ; un cas de tumeur de la protubérance avec paralysie alterne : par
servant de bases à l'étude complète et raisonnée du diagnostic des tumeurs cérébrales, La plupart des observations ci-dess
titue une véritable synthèse des leçons précédentes. Le siège de la tumeur , l'âge du malade peuvent servir d'indice pour l
umeur, l'âge du malade peuvent servir d'indice pour la nature de la tumeur . Pratiquement, il im- porte de faire un diagnos
re un diagnostic précoce. Certains symptômes s'ob- servent avec des tumeurs encéphaliques de n'importe quel siège. La cépha
nstitue la manifestation la plus fréquente et la plus fréquente des tumeurs cérébrales; les vomissements ressemblent plutôt
p. 100 des cas. Ces symptômes permettent de faire le diagnostic de tumeur encéphalique. Mais tel quel, ce diagnostic est
ture du sinus circulaire. M. AN- drieu : Contribution à l'étude des tumeurs crâniennes d'origine congénitale (variété de ps
ntercostales amenant la contraction du muscle pectoral simulent des tumeurs du sein par exemple. L'auteur apporte quatre ob
jeunes et par suite moins résistants. - A. Fenayrou. X. Deux cas de tumeurs cérébrales opérées avec succès et suivis de gué
as la vue. Autres fonctions organiques normales. Le diagnostic de tumeur comprenant l'aire rolandique fut porté avec d'aut
es. L'opération vérifia le dignostic et permit l'extraction d'une tumeur de la grosseur d'une demi-orange. C'était un sarc
iteur. Supprsesion des règles. Urine normale, etc. Le diagnostic de tumeur située au niveau de la sphère motrice de hémisp
gauche fut posé, et l'opération fut effectuée avec plein succès. La tumeur enlevée était une angiome. Les suites de l'opér
le ait été enlevée par le chirurgien ou qu'elle soit le siège d'une tumeur goitreuse, elle ne se trouve jamais dans des co
les accidents de cette malade par l'existence dans le cerveau d'une tumeur gliomateuse. Ce gliome a pu au début, étant sous-
ltant d'énucléation totale. Dans le même numéro, une observation de tumeur du pont de Varole, par II. 111UDORD, discutable
ne sarcomatose étendue de la peau et des organes internes; en outre tumeur sarcomateuse large et peu proémi- nente de la d
large et peu proémi- nente de la dure-mère cérébrale, et une autre tumeur molle de la dure-mère spinale dans la région do
ée à une lésion cérébrale circonscrite (ramollissement, hémorragie, tumeur ), les préoccupations religieuses sont ' Cotard,
'athérome ou à la trombose (schéma explicatif). Dr A. Marie. XXV. Tumeurs intra-craniennes ; par D. FleRRIEII. (British inc
n en vue du traitement. L'article contient le pronostic général des tumeurs cérébrales, les proportions de celles qui sont
irurgical au début reste sans résultats éloignés, la récidive de la tumeur est la règle. R. CHARON. LV. Hémihypertrophie f
la face, hérédité alcoolique et congestive. Les caractères de cette tumeur , énorme et molle, sont ceux d'un noevus angioma
colossal et SOCIÉTÉS SAVANTES. 413 produisent l'impression des tumeurs . A la palpation les muscles sont d'une consista
comme dû à un vice de conformation de la langueou à la présence de tumeurs adénoïdes dans les fosses nasales, etc. L'expér
gues années, dans le second cas une hydrocéphalie consécutive à des tumeurs tuberculeuses et relativement récente. Dans le
- segrnen- taire dans la sclérose en plaques, par Grasset, 395. Tumeurs cérébrales. Deux cas de opérées avec succès et
vec succès et suivis de guérison, par Oiver et Williamson, 164. Tumeurs 1\TPA-CRAIC\\ES, par Fer- rier, 310. Ventricu
71 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait nul dans le processus pathologique. En portant le diagnostic de tumeur cérébrale, M. Charcot avait fait toutes réserve
iidien, l'hydrocéphalie, la pa- pille étranglée. Le voisinage de la tumeur avec le noyau du facial, son contact avec les r
ucune dégénéralion secondaire au-dessous des points occupés par les tumeurs . La décortication du cerveau sur la con- vexité
s ataxique, dans certains cas de'paralysie générale des aliénés, de tumeurs céré- brales siégeant principalement dans le mé
ou ou sur le trajet du nerf cubital, etc. 2H 'l REVUE CRITIQUE. tumeurs du mésocéphale, etc., on observe des comhinaisons
us ne paul-elle guère être oblitérée que par un obstacle tel qu'une tumeur qui, pénétrant 'dans la cavité, continue à s'y
utopsies, a trouvé dans la portion pierreuse du temporal gauche une tumeur perlée qui pénétrait dans le repli du sinus lat
perlée qui pénétrait dans le repli du sinus latéral; au delà de la tumeur , celui-ci était hermétiquement bouché par une c
Kurschmann (Dpittç- che Archiv fü,' kltnische Medicin, 187.) où la tumeur s'est formée dans le tiers antérieur de l'os te
Je n'eus à ma disposition que le sinus falciforme supérieur avec la tumeur . 310 RECUEIL DE FAITS. On constata à la coupe
la tumeur. 310 RECUEIL DE FAITS. On constata à la coupe que la tumeur pénétrait dans le sinus et le bouchait presque
- face légèrement rugueuse. La lumière du sinus 1 l'endroit de la tumeur est considérablement élargie relativement au rest
relativement au reste de son étendue. L'examen histologique de la tumeur 1 démontré qu'elle est formée de gros faisceaux
leur élasticité et leur consistance. Ainsi, par sa structure, la tumeur peut être classée au nom- bre de celles qu'on d
eut être classée au nom- bre de celles qu'on désigne sous le nom de tumeurs perlées, qui, bien qu'elles présentent générale
s diffèrent complètement de ceux que nous décrivons dans lequels la tumeur , par sa position topographique a dû exercer une
ans le pressoir d'Hérophile, ou bien, plus souvent, il se con- à La tumeur a été durcie dans une solution de bichromate de p
-crâniens. Supposons maintenant, comme dans le cas actuel, qu'une tumeur développée dans les parois du sinus à l'union des
anormale dans les veines qui ont accès dans le sinus en avant de la tumeur ; en d'autres termes, on observera dans les vais
que l'autopsie du cerveau de M... nous ait prouvé qu'en outre de la tumeur , il existait encore d'autres altérations pa- th
liqués par les troubles de la circulation du sang, provoquée par la tumeur . Il est vrai que Wernicke en parlant du thrombo
anéantissement de la tonicité musculaire. P. K. XXI. Trois cas DE tumeurs tuberculeuses dans LE cerveau MOYEN ET postérie
s masses ganglionnaires du côté gauche. La base est occupée par une tumeur fibro-cartigalineuse de la grosseur d'un pois,
ais. Gliôme dans la pointe antérieure du lobe frontal gauche. Cette tumeur de la grosseur d'un oeuf de pigeon a détruit l'
t dans les limites de l'inflammation subaiguë et ne constituant pas tumeur ; tels sont les arguments en faveur de l'opinion
oM ; par Gautiez. Thèse de Pans, 1884. Contribution a l'étude des tumeurs du creux poplité et en particu- lier des tumeur
tion a l'étude des tumeurs du creux poplité et en particu- lier des tumeurs du sciatique et des veines jumelles; par Olivier.
dépendants de l'écorce du cerveau), par Pas- ternatzky, Il-)6. Tumeurs tuberbuleuses du cerveau, par Heubner, 329. U
72 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lots de sclérose tubéreuse des deux hémisphères cérébraux; petites- tumeurs sclél'C1/sr-s du sillon upto-sll"é. Petites tum
braux; petites- tumeurs sclél'C1/sr-s du sillon upto-sll"é. Petites tumeurs des reins. Grosm... (Henri), né le 9 janvier 18
un îlot scléreux, mais on retrouve la traînée habituelle de petites tumeurs blanches et dures, sur le sillon qui sépare la
nt ; on trouve à sa surface et sur des coupes de nombreuses petites tumeurs blanches, ressemblant à des îlots de sclérose (
La confirmation du diagnostic dépendra de l'examen histologique. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie et avec arrê
d'une jeune fille de dix-sept ans, morte avec tous les signes d'une tumeur cérébrale. A l'autopsie : épithélioma du corps pi
Ilalil1ski. M. Touche présente le cerveau d'une femme chez qui une tumeur frontale de l'hémisphère droit avait entraîné u
ant de près, que dans tous les cas de guérison confirmée il y avait tumeur énucléable, kyste, esquille ou exostose, et pre
te par l'inhibition corticale. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par G. L. WALLON. (Bra
ant d'abord les signes de la paralysie générale et enfin ceux d'une tumeur , hémi- plégie droite avec aphasie et hémianopsi
conclure à l'existence d'une atrophie quelconque. XIX. Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par van GEIIUCIITFN et
uelques mois et 7 ont eu une survie de 5 mois à 7 ans. Onze fois la tumeur recherchée et trouvée avait son siège dans la rég
ou étirement (hémichorée par hémorrhagie cérébrale, épilepsie par tumeur cérébrale, etc.) ; 4° Soit à une déchirure ou à
uses. Mais il existait dans la calotte des pédoncules cérébraux une tumeur , du volume d'une noix, s'étendant de l'extrémit
n peu sur cette région du côté droit. L'étude histologique de cette tumeur a révélé sa nature tuberculeuse. Elle était con
ules sanguins existaient en grand nombre dans toute l'étendue de la tumeur . Les éléments du tissu nerveux n'étaient pas re
tumeur. Les éléments du tissu nerveux n'étaient pas refoulés par la tumeur , mais on les retrouvait, au milieu des masses t
l'on donne à la maladie de Basedow. · A. FENAYROU. XLV. Un cas de tumeur du lobe occipital; par le Dr Weber. (Rev. méd.
mal. A l'autopsie on trouva dans l'hémisphère cérébral droit une tumeur qui s'étendait du pôle occipital jusque vers le m
re était obstruée par un throm- bus. L'examen histologique de cette tumeur a démontré qu'il s'agissait d'une sarcome à pet
'agissait d'une sarcome à petites cellules. D'après l'auteur, cette tumeur a été la cause unique des crises épileptiques,
olence et de souplesse, d'absence de sclérose et de suppuration, la tumeur thyroï- dienne semble bien, dans notre cas, avo
é de la substance cérébrale. Bonnet et Haller, ensuite relatent des tumeurs et des ulcérations, produites, chez les idiots,
phénomènes pathologiques qui n'ont pas été mentionnés, c'est-à-dire tumeurs du cerveau, lésions chroniques des membranes, e
uels ont été notés à l'autopsie de sujets atteints d'idiotie. Les tumeurs du cerveau sont de nature tuberculeuse ou glioma-
est la règle. Aussi semble-t-il bien probable que dans les cas de tumeur du cervelet cette abolition était plutôt un sympt
rents subaigus, dans les compressions et perfora- tions lentes, les tumeurs par exemple; 4° si le siège de la lésion supra-
nt une sclérose. Les racines postérieures sont dégénérées. b) Les tumeurs cérébrales produisent fréquemment des lésions d
ue et fonctionnelle. P. Klraval. XXVI. Contribution à l'étude des tumeurs du ceiveau et des altérations de la moelle conc
pi- dement un complexus symptomatique indiquant l'existence d'une tumeur cérébrale (céphalalgies, somnolence, vertiges, né
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 513 optique). On croit à l'existence d'une tumeur cérébelleuse à raison de la céphalalgie occipit
sensibilité, des muscles, de la physio- nomie, on trouve une grosse tumeur de la couche optique gauche qui, plantée dans l
par Schroeder, 422. Etats lacu- naires du -, part'. Marie,42t. Tumeurs du - et altérations de la moelle concomitantes
1'Iaitemunt de certaines , par Ilartenberg, 248. I'1TUIT : 1(I1C. Tumeur du corps - sans acromégalie avec arrêt de dév
adrijumaux. Con- nexions des - chez le lapin, par Paw;low, 123. Tumeur cérébrale avec autopsie, par Walton; 130, par v
opsie, par Walton; 130, par van Gehuchten et Le-i\lolt, t, 132. Tumeur du lobe occipital, par Weber, 227. Urine. Eva
73 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bre des compressions intra-rachi- diennes, bien peu sont le fait de tumeurs isolées justiciables de l'exérèse. Presque touj
e avec anesthésie des membres inférieurs, p. 356. - Roux et Paviot. Tumeur de la moelle, paraplégie spasmodique el trouble
les de la sensibilité, p. 848. Revue neurologique, 1899. - Senator. Tumeur et destruction complète de la moelle à son nive
raplégie spasmodique avec anesthésie, p. 58. Versiloff. Deux cas de tumeurs de la moelle, paraplégie spasmodique, troubles
cali- sation exacte de la lésion, mais aussi quant à sa nature. - Tumeur cérébrale avec autopsie. . Ilill. KL1PPEL ET JA
s vasomoteurs pulmonaires avec hémop- tysies. L'autopsie montra une tumeur du lobule paracentral droit. L'akalésie. M.
éance du 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RAYMOND. Tumeur cérébrale chez un enfant. MM. LENOBLE et Aubine
LENOBLE et Aubineau (de Brest) rapportent les pièces (cer- veau et tumeur ) provenant d'un enfant de cinq ans mordu par un
out sans ancun trouble de la sensibilité : On porta le diagnostic : tumeur de la base située près du chiasma des nerfs opt
es. A l'autopsie, rien de semblable, on trouva une très volumineuse tumeur occupant tout le ventri- cule latéral gauche et
processus sont révélés par les coupes en séries. Ce ne sont pas des tumeurs locales et circonscrites, c'est une proliférati
niveau de l'entre- croisement des fibres sensitives. H. C. XXIII. Tumeur cérébrale : par Ernest DurijÉ et Albert DEVAUX.
ent une discussion documentée sur la physio- logie pathologique des tumeurs cérébrales, discussion tendant à étayer une hyp
résumé dans les conclusions suivantes : 1° Les malades porteurs de tumeurs cérébrales, présentent à côté de la dépression
périphérique et excentricité du noyau. 4° Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales, à côté de la com- pression de l'enc
, troubles vascu- laires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales. il. C. XXIV. Des rapports entre l
tigue nerveuse profonde des travailleurs de la pensée, manie aiguë, tumeurs cérébrales, démence organique, sclérose dissémi
- tions ne donne pas raison à ses anciennes idées. Deux cas d'une tumeur ayant comprimé lentement la moelle et donné lie
suivies, l'une pendant cinq ans, l'autre pendant dix ans. Les deux tumeurs étaient dures et infiltrées de concrétions pier
ration de tous les cordons de la moelle ; par le même. Trois cas de tumeur du troisième ventricule; par MOTS et DUNATT.
dix-huit mois. Il mourut de pneumonie. A l'autopsie, on trouva. une tumeur de la grosseur d'un pois et sié- geant au pied
ce de papille étranglée, on croit pouvoir exclure l'hypothèse d'une tumeur . D'autre part, la présence des cicatrices profo
uë 1. A l'autopsie, on trouve dans la région pariétale droite une tumeur ossifiée, du volume d'une châtaigne, finement bos
grisâtre, que l'examen histologique définit com- me un psammome. La tumeur prend naissance dans la dure-mère, dans l'angle
ieure de la première frontale. Sur la face intérieure du cerveau la tumeur comprime la partie supérieure et antérieure du
sale moyenne, on voit s'enfoncer dans la substance médullaire une tumeur gommeuse qui occupe à peu près la moitié de la se
temps, elle constatait qu'il s'était formé à cette place une petite tumeur semblable à celle du bras gauche. Cette nouvell
vent être beaucoup plus précoces dans la méningite syphilitique; 2° Tumeurs : les manifestations purement syphilitiques peu
urs : les manifestations purement syphilitiques peuvent simuler une tumeur ; 3° Affections à foyers multiples : dans ces c
de mal comkial essentiel aussi bien que dans des états liés à des tumeur ;, cérébrales. Il a trouvé les cellules nerveuses
aralysie BIBLIOGRAPHIE. 425 générale, tabès, épilepsie, hystérie, tumeurs du cervelet, abcès de la fosse cérébelleuse, tu
sie, hystérie, tumeurs du cervelet, abcès de la fosse cérébelleuse, tumeurs du cerveau) M. Vieille s'efforce de rechercher
ujet acromégalique, entraînera presque forcément le dia- gnostic de tumeur de la glande pituitaire, logée dans la fosr set
ge. MM. RAYMOND et CESTAN présentent les préparations d'un cas de tumeur épithélioïde de la région pédonculaire cérébrale
ession lente de la -, par Bnssaud et Feindel, 241. Deux cas d'une tumeur ayant compnmé lentement la -, par Cestan, 241
389. 'l'HICIIO-UYI'Ú\ES 1 Il Ls lE, par Beclite- "e W. 311. r. Tumeur cérébrale, par Kl1ppel et parvis, 82. - chez
74 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ique locale, nettement déterminée (traumatisme, compression par une tumeur , etc.), elle présente dans son évolution, dans
ntré qu'il est sous la dépendance immédiate d'une lésion (syphilis, tumeur d'une autre nature, légère in- flammation corti
idité du décours, firent diagnos- tiquer : myélite par compression ( tumeur syphilitique ? ) Les fluctuations cliniques s'e
s s'expliquent à l'autopsie parles modifications de volume de cette tumeur vasculaire. Mais la rapidité de l'issue (moins
rapidité de l'issue (moins de trois mois) ne s'explique pas par une tumeur ovale, grosse comme une noix, occupant les deux
ancienne, ayant, par recoquillement déterminé des ectasies et des tumeurs secondaires. ' P. Keraval. IX. Contribution A l
il donne l'observation suivie d'autopsie, chez lequel on trouve une tumeur occupant le segment du troisième ventricule, al
de sérosité claire. Ou trouve encore dans la deuxième frontale une tumeur ostéoïde; située dans la portion de la couronne
ans l'espèce prolifération de la couche externe et production d'une tumeur ; au sein de celle-ci s'est formée une cavité; d
l'électrolyse médicale. {Modifications apportées au traitement des tumeurs érectiles par l'électricité.) Brochure in-8 de
ier 1888.) Ce cas est surtout remarquable, parce que la présence de tumeurs affectant l'écorce cérébrale n'a été révélée pe
avait constaté de symptômes caractéris- tiques de l'existence d'une tumeur . R. M. C. 41.. ` REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
du fragment osseux irritant la surface du cerveau, puis deux cas de tumeur cérébrale par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'
issement simultané des facultés mentales et physiques. Bien que les tumeurs cérébrales s'accompagnent le plus souvent de tr
compromise. Cepen- dant le fait même de l'ablation antérieure d'une tumeur du sein, la diminution des troubles mentaux ver
en la démence progressive de la paralysie générale que simulent les tumeurs cérébrales. Il confirme égale- ment l'opinion d
ons des circonvolutions dans les cas où la folie est associée à une tumeur du cerveau. 3° L'absence de névrite optique pen
avait 51 ans, le plus vieux 66. Les patients ayant succombé à une tumeur cérébrale avaient 29 et 35 ans. Les vésaniques co
2° L'intégrité des vaisseaux chez un jeune homme de 22 ans mort de tumeur cérébrale et chez une paralytique non svphilique
ique de 39 ans : 3° Une endartérite minime isolée dans trois cas ( tumeur céré- brale paralysie générale) ; 4° Il reste
idérablement baissé (étude du champ visuel) ; il y a évidemment une tumeur de la glande pinéale. Le même ma- lade est enco
hériques. Ou bien il existait une lésion organique des centres, une tumeur par exemple des régions motrices. L'affection a
es agricoles auprès des asiles d'aliénés. M. FnANK décrit un cas de tumeur perlée du cerveau avec pièces ci l'appui. - L'h
e,-Iï-ol ! lse médicale. {Modifications apportées au traitement des tumeurs érectiles par l'électricité.) Brochure in-8 de
comme il faut, un foyer du plancher du quatrième ventricule, une tumeur comprimant cette même région, un coup sur la tê
par compression de la partie inférieure de la moelle cervicale (une tumeur existait à ce niveau) ; de parésie du facial gauc
ânienne se ren- contre surtout chez les gens âgés ou dans le cas de tumeurs céré- brales. Ici on a affaire à une atrophie q
75 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
s par de la sérosité. Corps calleux'aminci,jaunâtre. On trouve cinq tumeurs cérébrales, siégeant toutes sur le trajet des p
er des ventricules. Bien que la lésion soit surtout à droite (trois tumeurs dont deux volumineuses mesurant de cinq à sept
Les J'eins sontdurs, volumineux, présentent une grande quantité de tumeurs de volume variable, pédiculées ou non et s'attach
) semblable a été trouvée dans le foie. Examen miscroscopique. -Les tumeurs du cerveau ont un aspect encéphaloïde : elles r
s. On trouve aussi des élé- ments de nature conjonctive. Dans les tumeurs des reins, on trouve un grand nombre de noyaux
eur face interne se trouvent encore, mais infiltrées de graisse. La tumeur du foie est constituée surtout par des noyaux con
ns que sur l'encëpha- locèlé. On sait que l'encéphalocèle est une tumeur constituée par 'un contenant membranes cutanées
Siège le plus fréquent à la ré- gion occipitale (53 fois sur 75.) Tumeur circonscrite. Bourrelet osseux, irrégulier ; se
t générale; ex- ceptionnellement bornée à la région occipitale. Tumeur diffuse. Pas de bourrelet osseux ; se dévelop
omprossion. Parfois la peau est recouverte d'un tissu érectile. Tumeur assez souvent bilohée et quelquefois pédiculée.
on réductible. Peau saine ou présentant un peu de desquamation. Tumeur uniforme à base ordi- nairement large, non bilo
qu'il a accouchée d'un enfant màlo atteint d'une encéphalocèle. La tumeur avait environ 8 pouces an- glais de longueur et
attribuée au contact du liquido et du sang coagulé contenus dans la tumeur et sortis par la rupture pendant l'accou- cheme
re du pariétal droit et de la partie avoisinante de l'occipital. La tumeur faisait une saillie extérieure qui ne dépassait p
t étranglement à l'union du tiers antérieur avec le tiers moyen. La tumeur était molle, circons- crite par un bord osseux.
76 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rocher, ui à une otite, ni à une compression exer- cée par quelque tumeur , on s'empresse d'incriminer le froid, de rattac
me plexus; les affections qui pourraient les inté- resser (névrite, tumeur ) se manifesteraient, par conséquent, non seulem
mes non réunies de l'occipital. Occupant cette position c'était une tumeur fluctuante, sessile, grosse comme une petite or
quand l'enfant criait qu'on notait une lividité anormale, et que la tumeur devenait très tendue. La pulsation n'était pas
istinguer le tabès du pseudo-tabes diabétique. D. BERNARD. VII. LES tumeurs DES plexus choroïdes; par J. AUDItY. (Revue de
fère en rien de celle de l'hydropisie ven- trlculaire, de celle des tumeurs cérébrales en général. 112 REVUE DE pathologie
REVUE DE pathologie nerveuse. L'auteur con,idèrc successivement les tumeurs des plexus cho- roïdes dues au développement ex
er à leur structure (enchon- drome, ostéome, tubercules, carcinome, tumeurs parasitaires), enfin leur hypertrophie simple e
ent de précision, notamment celles du fait recueilli par lui et des tumeurs épithéliales auxquelles il le rattache. Aussi l
il comparaît à de nombreuses piqûres d'aiguilles. On découvrit onze tumeurs adhérentes douloureuses au niveau du rhomboïde;
on radio- 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. carpienne gauche, une petite tumeur de la grosseur d'une noi- sette, qui la faisait
enue monoplé- gique que plus de six mois après l'apparition de la tumeur du poignet, l'impotence fonctionnelle, chez M"°
la conséquence d'un traumatisme léger, mais persis- tant tel que la tumeur douloureuse du poignet, que portait la malade d
ions de son grade. En 1878, au mois d'août, il se fit opérerd'une tumeur qu'il avait au front (loupe ? ) : érysipèle de la
'un mois ; 3° notre malade ; 4° fille, onze ans, im- pressionnable, tumeur fibreuse de l'utérus, pas de convulsions; 5° ga
ure du lobe carré. Autres foyers ou mieux îlots de sclérose formant tumeurs à l'origine de la circonvolution du corps calle
ner à expliquer l'état mental en détail. M. H.\NS-LOEIIR. Un cas de tumeur cérébrale. Une femme de vingt-huit ans, jusque-
rantsiui avait occasionné un accès syncopal. Diagnostic : C'est une tumeur cérébrale car on a constaté des céphalalgies, d
, enfin des accidents caractérisques dans le fonds de l'oeil. Cette tumeur devait siéger à gauche, car les phénomènes enre
gna à plusieurs reprises d'une exagération de la sensibilité. Cette tumeur n'occupait pas la base puisque les nerfs crânie
à savoir si ces symptômes sont une complication ou dépendent de la tumeur cérébrale, on ne saurait en décider encore. (ll
issement inflammatoire. On constata la présence de bacilles dans la tumeur . G. D. XIV. Essai SUR l'hémichorée symptomatiqu
ments centraux mais elle peut aussi se montrer dans les abcès, les tumeurs , les traumatismes de l'encéphale, etc.. L'aspec
d'avec les cépha- lées syphilitiques, d'avec l'encéphalopathie des tumeurs céré- brales, des adolescents, de l'urémie, etc
rsécuteurs (de la folie des), par Fritsch, 271. Plexus choroïdes ( tumeurs des), par Audry, 111. TABLE DES AUTEURS ET DE
le tabès ou la paralysie générale et la), par Striempell, 410.. Tumeur cérébrale, par Hans Loehr, 289. Varia. - Cour
77 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
lètement détruite. Une masse gliomateuse solide se voit sous forme de tumeur proéminente dans le cordon postérieur. Il exist
en néc ? opsi(lite sont encore inédits. PLANCHE XLIV Figure 87. TUMEUR DE LA MOELLE ,FIBROME). - Région cervicale supéri
t des pyramides et colorée par la méthode do - Pall. On y voit la tumeur située à la partie postérieure, d'un aspect cordi
n postérieur. G. Pyramide antérieure. 71. 'fumeur. Figure 88. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). La préparation montre u
E (FIBROME). La préparation montre une partie de la substance de la tumeur de la pièce précédente, colorée au picrocarmin
coupés transversalement. D. Vaisseau. PLANCHE XLV Figure 89. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale. Coupe p
éral droit. F. Faisceau latéral gauche. G. Tumeur. FIGURE 90. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région lombaire. Coupe
ceau latéral. Il. Faisceau postérieur. J. Tumeur. Les pièces de tumeur de la moelle (fig. 85, 86, 87, 88) se rapportent
78 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
une saillie dans l'aisselle et en communication manifeste avec la tumeur liquide de l'épaule. Nous pratiquons une poncti
t de rapprocher les deux faits. 240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tumeurs existent sur plus d'un tronc nerveux principal ou
par' épuisement ou par fièvre hectique. Dans deux cas on'trouva des tumeurs cérébrales; dans quatre des tumeurs dans le can
ue. Dans deux cas on'trouva des tumeurs cérébrales; dans quatre des tumeurs dans le canal'rachidien. Les 'nerfs périphériqu
j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241 d'un tronc nerveux de petites tumeurs fusiformes, non adhé- rentes à la peau, mobiles
s vertébrales ayant lésé secondairement la' moelle, soit parmi les' tumeurs de cet or- gane ; la sclérose multiloculaire'de
iformes ou d'une destruction par compression ou absorption dans une tumeur (cancer médullaire; sarcome télangectiasique).
té- grité, à l'autopsier des éléments en question (hydrocéphalie, tumeur de la moelle 'allongée); 'pour beaucoup d'autres'
-huit ans; : portant, à la partie supérieure du péroné gauche,, une tumeur de la grosseur d'une g54 REVUE DE PATHOLOGIE NE
E NERVEUSE. pomme, on trouva àl'autopsie, sur la base du crâne, une tumeur de la grosseur d'un haricot près de la partie l
de la protubérance, au niveau d'émergence du trijumeau; une autre tumeur de la grosseur d'une prune sur le rocher, englo-
neux ainsi que l'oculo-moteur commun, du côté gauche; une troisième tumeur de la grosseur d'un pois siégeait au niveau.de
stique et facial.- Enfin, un nombre assez consi- dérable de petites tumeurs analogues siégeaient dans la région dorsale du
elle, à ce niveau. . L'examen microscopique démontra que toutes ces tumeurs étaient de nature sarcomateuse. Les symp- tômes
ur insiste sur ce point que les faits où la nature secon- daire des tumeurs basilaires est bien authentique sont extrême- m
en authentique sont extrême- ment rares, il en est de même pour les tumeurs développées dans le tissu cellulaire périméning
vie, grâce aux phéno- mènes très nets de compression nerveuse. Ces tumeurs sont survenues chez un jeune sujet, tous les au
apportés à la compression du trijumeau ou à celle du facial, car la tumeur qui siégeait à l'orifice interne du conduit aud
t » Tabétiques (arthropathies) ,tipâr ou-Debove, 75..n« i » un Tumeurs métastatiques à la' base du crâne, 253. ,(-»
79 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ive, reconnaissant pour cause la compression de la jugulaire par la tumeur parotidienne : explication qui n'est pas souten
nse que Môbius a tort de considérer son observation comme un cas de tumeur , et qu'il est plus probable que cette affection
ition. Dans cette série de cas, il faut signaler entre autres les tumeurs de la base, et, à ce propos, M. Charcot nous ci
ymptômes bien marqués ne laissent aucun doute sur l'existence d'une tumeur cérébrale, il est survenu une première fois de
che paraît constellée de fins rayons qui donnent l'impression d'une tumeur . Il en est de même pour divers points de la moe
a. Mort en juin, par broncho- pneumonie. Autopsie. On trouva deux tumeurs dans le cerveau, l'une au sommet du lobe fronta
gauche.-Il. Coupe horizontale montrant la légère pénétration de la tumeur . (Obs. 9, Huguenin.) DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE
r. (Obs. 9, Huguenin.) DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 201 La seconde tumeur siège sur la face moyenne du lobe occi- pital d
ubstance cérébrale. La base du lobe occipital n'était pas atteinte. Tumeurs caséeuses. Observation 41. (P'éré). - Femme de
lésion du nerf optique, excepté, bien entendu, dans quelques cas de tumeur , où l'on doit s'attendre à trouver de la névro-
n enfance, des attaques de som- nambulisme ; un grand-oncle eut des tumeurs hémorrhoidaires nécessitant une opération. Une
coup de bouteille'sur l'occiput. 11 lui resta en cet endroit une tumeur qui fut opérée à la pentecôte de 1884; on aurait
itz. Les lésions traumatiques peuvent devenir le point de départ de tumeurs ; chez maints paralytiques généraux, les anamnes
on épaisseur qui forment des tuméfactions pro- fondes ; ces petites tumeurs sont entourées de tissu fibreux qui limite les
même côté. Autopsie : ramollissement de la corne occipitale gauche. Tumeur du cervelet. Antécédents héréditaires. Le gra
: sur la face postéro-supérieure du lobe droite, on re- marque une tumeur de la grosseur d'une noix et recouverte par une
ix et recouverte par une mince couche de substance cérébrale. Cette tumeur forme l'une des parois d'une cavité contenant u
sser guider par le vulgaire bon -sens. * R. 11. C. XXI. Un cas DE tumeur endothéliale DE la DURE-MÈRE : Paralysie généra
aire des lobes frontaux etla dure-mère : à ce niveau, on trouve une tumeur dure qui déborde de chaque côté la crête de l'e
nt de la selle turcique, ne peut-être ni séparée ni distinguée delà tumeur . A la surface inférieure du cerveau, on voit un
inguée delà tumeur. A la surface inférieure du cerveau, on voit une tumeur qui s'é- tend de la commissure optique au bord
s- pect extérieur n'est pas modifié. L'examen microscopique de la tumeur en a démontré la nature manifestement cancéreus
diffuse àgranulationsisoia- bles ; c, forme subaiguë ouchrouique à tumeur volumineuse unique INDEX bibliographique 459
à tumeur volumineuse unique INDEX bibliographique 459 ouàgrosaes tumeurs toujours peu nombreuses. Lesmyélites tu- bercul
eux dans le chez les femmes), par Lécorcli6, 5 ? ef. Dure-mère ( tumeur de la), 420. Dyscrasie, psychoses et névroses,
80 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
obablement pris. Planches à l'appui. Ce cas, avec celui de Weigert ( tumeur maligne du thymus), porte à deux les exemples d
plupart, des cas de myasthénie avec autopsie, on ne cons- tatait ni tumeurs , ni autres altérations. Par suite il conviendrait
héniques ne semblent pas avoir été influencés par la présence de la tumeur dans la cavité thoracique. La mort a eu lieu su
récemment par Laquert et Weigert où ils trouvèrent à l'autopsie une tumeur du thymus. De ce cas et de deux autres analogue
z certains acromécaliques par divers auteurs. La constatation d'une tumeur hypophysaire confirme ici non seulement le diag
ham, Sternberg, Tambu- rini, etc.) ; autopsies récentes de géants à tumeur pituitaire(Dana, Hutchinson, Dallema-ne, etc.).
ogie, relativement silencieuse, par laquelle s'était traduite cette tumeur , montre la nécessité de pratiquer l'examen radiog
arie. M. P. Marie n'a jamais vu de prolongement ventriculaire des tumeurs de l'hypopbise. Cette marche rapide, évolution et
cale pratiquée dans d'excellentes conditions, le 6 février 1898. La tumeur était énorme à ce moment, elle atteignait, au d
fé- rents mouvements réflexes qui les traduisent. P. Keraval. XX. Tumeur du nerf acoutisque ; par M. Lépine. {Société nati
une malade qui a succombé dans son service avec les symptômes d'une tumeur cérébrale. Les troubles avaient débuté par une
maurose était devenue double. Il y a un an, on lit le diagnostic de tumeur cérébrale. La malade succomba dans une crise épi-
succomba dans une crise épi- leptoïde. A l'autopsie, on trouva.une tumeur du volume d'un oeuf, ayant débuté dans le roche
s'étant. développée dans la cavité crânienne sous la dure-mère. Ces tumeurs sont décrites sous le nom de tumeurs du nerf ac
ânienne sous la dure-mère. Ces tumeurs sont décrites sous le nom de tumeurs du nerf acoustique et il en existe une douzaine
hys- térique dans le cas donné. M. L. S. 1111NOn rappelle que les tumeurs cérébelleuses peuvent exister sans aucuns sympt
du tégument externe tout entier. Le visage est couvert de petites tumeurs sessiles, très confluen- tes en certains points
isette; les plus grosses sont au menton. Dans le cuir chevelu les tumeurs plus disséminées sont beau- coup plus volumineu
es plus ou moins molles, un peu molluscoïdes. Sur la poitrine les tumeurs sont très confluentes dans toute la région ster
qu'elle « avait ça de naissance » et que sa mère était affectée de tumeurs semblables. 1 1 mai. - Depuis hiersoireiieaeu t
granulations épendymaires dans les ventricules. On ne trouve aucune tumeur fibreuse sur le trajet des nerfs superficiels o
âcher la thérapeutique. 1, B. V. Troubles psychiques dans un cas de tumeur du lobe frontal; par les D"' Cestan et Lejonne.
nts, permit, avec l'évo- lution de la maladie, de diagnostiquer une tumeur cérébrale. Les attaques d'épilepsie jacksonnien
que était irritée, mais non détruite. La localisation précise d'une tumeur au niveau du lobe frontal était difficile, en r
e. A l'autopsie, on trouva, au niveau du lobe frontal gauche, une tumeur du volume d'une grosse orange, variété de sarcome
les paralysies n'étaient pas stables. Excluant le trauma- tisme, la tumeur cérébrale et l'encéphalite, l'auteur suppose dans
orme de tubercule soli- taire, qui doit être exclu comme tout autre tumeur , mais en forme d'une plaque tuberculeuse méning
l s'agissait donc d'une compression cérébrale, probablement par une tumeur , siégeant dans les parties tolérantes du cervea
ré. 308. Nerf cubital. Voir Paralysie. -ra- dial. Voir Paralysie. Tumeur du acoustique, I)at, Lél)iiie, 208. oculo-mot
ogique, par Vaschide et Marchand, 281. psychiques dans un cas rie tumeur du lobe frontal, par Cestan et Le- jonne, 366
és. Tuberculeux. La psychologie du , par Régnault (Félix), 105. Tumeur , Voir Nerf.. Vertige d'origine nasal, par Colie
81 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cyanose des extrémités, anorexie, digestion pénible, constipation, tumeur ancienne du genou droit d'origine bacillaire. I
réside au développement des hallucinations. G. DENY. VII. Un cas de tumeur du lobe temporal; par le Dr Déroute. (Bull. de
, outre . quelques tubercules disséminés dans le poumon gauche, une tumeur carci- nomateuse du mésocôlon ascendant avec mé
on ascendant avec métasase au niveau du lobe temporal gauche. Cette tumeur secondaire avait détruit la temporale supérieur
ter plusieurs points intéres- sants : d'abord il est curieux qu'une tumeur de ce volume, don- nant lieu comme elle l'a fai
e démontrant 1 a possibilité d'un arrêt dans le développement d'une tumeur intracrànienne non syphili- tique, fait d'aille
syphili- tique, fait d'ailleurs' déjà observé par l'auteur dans les tumeurs tuberculeuses et les myxomes. Il semble donc qu
>. Un facteur inconnu peut-être l'hémorrhagie survenue dans la tumeur , a subitement aggravé la névrite et causé la pert
artie supérieure de la protubérance et du pé- doncule cérébral ; 5° tumeur de l'hémisphère droit du cervelet. L'auteur don
portant pas la boisson », marié : un enfant de 3 ans, atteint de tumeur blanche du genou. Une soeur bien portante, mariée
c est très difficile : il doit être fait avec l'éclampsie, avec les tumeurs , les hémorragies, les ramollissements qui ont d
vité. ' - L. Wahl XXI. Pathogénie d'un cas d'hystérie liée à une tumeur céré- belleuse; par le Pl BERNHEIM, de Nancy. (
urs occipitales apparurent; enfin le signe de Kernig. A l'autopsie, tumeur du cervelet. L. WAHL. XXII. - Formes frustes
n trouble de sécrétion hypophysaire plutôt qu'à une compression par tumeur . Lésions des racines des ganglions rachidiens e
» (p. XII). Mais de pareils troubles sont-ils spéciaux à de telles tumeurs ? Ne s'expliquent-ils pas par le défaut de syne
avers Smith ; ce second malade portait un certain nombre de petites tumeurs sous-cuta- nées, non douloureuses et paraissant
usgrive CFAY- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 429 l lIr.- Un cas de tumeur cérébrale avec sommeil; par 11AILLARD et J\ ! I
A l'autopsie : pas d'oedème, pas de liquide céphalo-rachidien, une tumeur (glio-sarcome très vascularisé) dans le lobe temp
temporo- sphénoidal gauche. En raison de la diversité du siège des tumeurs cérébrales, il parait impossible de rapporter l
o-élastique, donc d'origine méso- dermique. De la première il a les tumeurs sous-cutanées (névro- mesl et les nOEI pigmenta
L-De quelques altérations du tissu cérébral dues à la pré- sence de tumeurs (Suite) ; par Weber. (Nouv. Icon. Salpê- trière
e de la pression développée par l'obstruction de ce courant par une tumeur ; la plus grande résis- tance de l'écorce à la
édier à l'augmentation de pression produite par la croissance d'une tumeur . , F. TrssoT. XXVIII. Remarques sur la stéréoty
cthyose, présentant deux symptômes de la triade de Recklinghauser : tumeurs cutanées et pigmentation spéciale de la peau ;
: tumeurs cutanées et pigmentation spéciale de la peau ; absence de tumeurs des nerfs. L'affection est congénitale chez ce
cine humaine qui ont pu être suivis d'autopsie et dans lesquels les tumeurs cu- Lanées coïncidaient avec des dégénérescence
ion; par Arsimoles, p. 70. Patho- génie d'un cas d'- liée à une tumeur cérébelleuse : par Bern- heim, p. 139. - Voir P
lysie générale ; par Conolly Normon, p. 426. LOBE temporal. Voir Tumeur . Localisation. Voir Fonction cé- 1 rébi-cile.
Albert Salmon, p. 136. - Voir Try- panosome. Voir Hystérie Voir Tumeur . Sorcellerie. La moderne : étude d'une phase
ar Roubinovitch, p. 430. Tissus. Voir Atrophie. céré- bral ; voir Tumeur . Toxicomanie. Un cas de Irai- té par la sugge
ues points concernant la dans les asiles ; par Menzies, p. 433. Tumeur . Un cas de - du lobe temporal ; par Deroitte, p
82 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
rconvolutions ; Corps striés) , Leurs ca-. 4 IDIOTIE. ractères. - Tumeurs rénales. Hépatisation pulmo- naire. mot..., C
] Mère, 41 ans, couturière, est assez intelligente ; présente une tumeur érectile, sur la moitié gauche de la lèvre supé-
une tumeur érectile, sur la moitié gauche de la lèvre supé- rieure, tumeur qui s'est accrue à chacune de ses grossesses; a
st mariée à 25 ans. [Père mort à 70 ans; mère, morte à 72 ans d'une tumeur au bras, un an après avoir subi l'amputation du
ie (470 gr.) normal. Sur les deux reins, on constate l'existence de tumeurs multiples sous forme de noyaux arrondis, de vol
res ; à l'union du tiers supérieur et du tiers moyen, on trouve une tumeur en saillie, du volume d'un oeuf de pigeon, de c
iste une couche encore résistante, d'aspect lardacé.Les deux autres tumeurs , de volume moindre, n'offrent pas trace de ramo
séreux. Sur le bord con- vexe, vers le tiers moyen, on découvre une tumeur de même aspect que du côté opposé, du volume d'
emarquable encore, le rein s'est trouvé 16 Ô IDIOTIE. le siège de tumeurs kystiques et solides de même aspect et, selon t
rs du triangle de Scarpa, les téguments sont soulevés sous forme de tumeur ovoïde, bilobée à la vue, non adhé- rente à la
s. 72 ATAXIE LOCOMOTRICE ; EPILEPSIE. Membre inférieur gauche. La tumeur qui occupe et déforme le tiers supérieur de la
asculo- nerveux est déjeté en dedans. La surface antérieure de la tumeur est arrondie, lisse, et présente plusieurs orific
e encore par le passage de nom- breux vaisseaux dans le corps de la tumeur . L'acticulation coxo-fémorale est saine; tout l
83 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s fit effectivement décou- vrir dans la substance blanche de'Pa une tumeur (sarcome à cel- lules fusiformes) qui se prolon
ournal of mental Science et n'est pas encore terminé. R. M. C. 'XI. Tumeurs du corps calleux; par RAYMOND, LEJOlYNE et LHER
'excès de pres- sion intracérébrale développé par la présence de la tumeur . F. TISSOT. YV. - Phlébite infectieuse du sin
le et la lésion mitrale y est tout à fait étran- gère. G. C. XXV. Tumeurs des méninges médullaires ; par l'II. CHAVIGNY.
CHAVIGNY. (Lyon médical, 30 décembre 1906.) Deux observations de tumeurs des méninges médullaires dont le diagnostic n'a
ait qu'à l'autopsie. Dans la première obser- vation il s'agit d'une tumeur siégeant au niveau de la 4e vertèbre dorsale. E
alysie des sphincters. Dans la deuxième observation il s'agit d'une tumeur qui occupait la partie antérieure et la partie
auteur met en relief les symptômes particuliers qui dans les cas de tumeurs des méninges médullaires doivent mettre sur la
éningo-myélites ou de myélites transverses. G. C. XXVL- Un cas de tumeur des méninges rachidiennes ; par MM. Lannois et
teurs est intéressante à plus d'un titre, d'abord par la rareté des tumeurs de la moelle, puis par la marche de l'affection
rouva au niveau de l'union de la 10e et de la 11 dorsale une petite tumeur composée de deux parties. La première plus comp
t à la 11 paire dorsale. Dégénérescence ascendante au- dessus de la tumeur dans les faisceaux postérieurs et la moelle. Au
aisceaux postérieurs et la moelle. Au point de vue histologique, la tumeur présentait la structure du fibro-sarcome. Elle
infiltrée ce qui indiquait une certaine malignité de la part de la tumeur . Les éléments cellulaires de la substance grise
ion ne peut s'expliquer que par les accroissements successifs de la tumeur ; à chacun d'eux correspond une augmentation de
toure étaient analogues à celles que l'on rencontre dans les cas de tumeurs , d'empyème ventriculaire, etc. Il n'est donc po
ctions scléreuses ayant amené le processus anatomopathologi- que. Tumeur opérée de la queue de cheval. Communication de
l'autre que des excitants insuffisants et désordonnés. Autopsie : Tumeur dans la substance blanche du lobe frontal gauch
nistes du S. O. à Baden-Baden, 27 mai 1906.) Ch. B. XXXVIII. Deux tumeurs de l'hypophyse; étude histologique ; par ALQUIE
glandulaire ne semble pas devoir être considérée toujours comme une tumeur proprement dite : suivant les caractères histol
NERVEUSE. 375 XXXIV-La compression radiculo-ganglionnaire dans les tumeurs de l'encéphale ; par LEJONNE. (L'Encéphale, 190
eurs de l'encéphale ; par LEJONNE. (L'Encéphale, 1907, n° 3.) Les tumeurs de l'encéphale qui produisent une forte compres-
de Lange,qui n'est qu'une variété de la folie circulaire ? sur les tumeurs cérébrales ? sur les auto-intoxications rénales
onjonctif. Pas de cellules épithélioïdes. Il existait peut-être une tumeur médiastinale. K. ra- pelle que dans un grand no
des néo- formations dans différents organes : Laquer, Hunn, Burr : tumeurs ou hyperplasie du thymus : Goldflam lymphosarco
la face, faiblesse extrême, paresthésies pénibles des extrémités ; tumeur sous l'extrémité inférieure du sterno-mastoidie
articulation normale. Pharynx normal, dégluti- tion normale, pas de tumeurs adénoïdes. Amygdales peu volumineuses, pas de s
riphériques du champ visuel, par Pick, p. (j ! 1. Hypophyse. Voir Tumeurs . Hypothermie. Trois cas d' - d'origine nerveu
ans les fond, il l'exclusion des aph. par Ileilbronner, p. 463. Tumeur dans la substance blan- che de la zone motrice
84 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pt de syphilis, avec des artères saines, absent de tout symptôme de tumeur cérébrale; de plus, le développement de l'hémip
u domaine des lois naturelles. Ils s'appliquent à montrer que des tumeurs , des ulcères parmi les plus rebelles, sont, par
irectement faire disparaître dans cer- tains cas des ulcères et des tumeurs , mais je crois aussi que 1 Illustrations of the
ps, ^la faith-healing a fait disparaître par son seul pou- voir des tumeurs et des ulcères de certaine nature. En pareille
ne vaut pas qu'on fasse appel à une force surnaturelle. C'est à des tumeurs , à des plaies, que s'adresse maintenant l'eau d
ait, entièrement de l'avis des médecins des sanctuaires : certaines tumeurs ou certains ulcères sont jus- ticiables de la f
là des faits nouveaux ? De tout temps la faith-healing a guéri des tumeurs et des ulcères, et j'ajoute que, comme aujourd'
era l'exposé de huit cas dans lesquels il existait dans le sein des tumeurs uniques ou multiples dépas- sant parfois le vol
t l'élément psychique' fit pour ainsi dire tous les frais, et les tumeurs qu'on avait jugées justiciables de l'instrument t
ue qu'on commence à bien connaître : atrophie muscu- laire, oedème, tumeurs avec ulcérations. Quand on entendra désormais p
SIE symptomatique ; par le Dr BELLAT. Observation intéressante de tumeur de la dure-mère, placée à cheval sur la scissur
o et portant un peu plus sur le côté gauche que sur le droit. Cette tumeur avait déterminé, surtout du côté gauche, une at
lepsie jacksonienne du côté droit; puis, avec l'accroissement de la tumeur , les convul- sions avaient pritle type de l'épi
quable friabilité dans les interventions ultérieures. M. EnB. - Une tumeur cérébrale enlevée par deux fois avec succès . I
s régions corticales motrices du côté droit : ou diagnostiqua une tumeur probable. Le 21 novembre 1890, M. Czerny enleva u
On opérait il nouveau le 23 décembre 1891;. cette fois, outre la tumeur , on enlevait un kyste produisant dans l'hémisphèr
tions. Au niveau de la perte de substance, on sent sur le crâne une tumeur pulsalile fluctuante, molle, de la grosseur d'u
Fuerstner. Chez une femme de trente-cinq ans, j'ai diagnostiqué une tumeur de la région motrice gauche; l'opé- ration conf
firma le diagnostic, mais il ne fut pas possible d'enlever toute la tumeur ; la femme succomba plus tard; à l'autopsie, on
ons tuberculeux du cou, à droite ; on injecte, dans la masse de ces tumeurs , un mélange d'iodoforme, de glycérine et de for
on d'exos- toses du canal auditif. C'est la plus dure de toutes les tumeurs connues, et si l'on pense au danger de ciseler,
n nouveau traumatisme qui dé- termine l'évacuation du contenu de la tumeur , soit que l'épanche- ment se résorbe de lui-mêm
émonoma- niaque, la forme hystérique. R. M.-C. L1YYI\'. UN cas DE tumeur cérébrale; par James RORIE. (The Journal of Men
llissement gélatineux, et au ni- veau des ganglions de la base, une tumeur qui avait pris leur place des deux côtés ainsi
e, par Wagner, 451. Trijumeau, racines du , par de Gudden, 111. Tumeur cérébrale, par Erb, 275 ; Rorie, 463. Urines,
85 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
a donné les renseignements suivants. On tombe tout d'abord sur une tumeur osseuse faisant saillie sur la face anté- rieur
lente. Ce qu'il y avait de plus notable dans cette cavité était une tumeur du volume d'une grosse noix étendue sur la sell
sorte qu'on'ne sait si celle-ci avait disparu sous la pression de la tumeur , ou si la tumeur n'était pas simplement une dég
t si celle-ci avait disparu sous la pression de la tumeur, ou si la tumeur n'était pas simplement une dégénération de cet or
croire qu'il provient plutôt d'un singe géant que d'un homme. Les tumeurs sous-maxillaires et péri-parotidiennes sont const
sa consistance est normale, on trouve dans son épaisseur une petite tumeur du volume d'une noisette, d'une dureté pierreus
OMÉGALIE. 7 ligne médiane aux lieu et place du corps pituitaire une tumeur ovoïde du volume d'un petit oeuf de poule; le d
elle forme une vaste concavité en rapport de configuration avec la tumeur . Sur les côtés, les lobes sphéroidaux du cer- v
outée. C'est dans ce point que la section a laissé une partie de la tumeur adhérente à la selle turcique. La consistance e
es nerfs optiques. Ces derniers sont comprimés latéralement par une tumeur de la grosseur d'une noisette qui remplit la se
le gauche, il est fortement aplati, et, lorsqu'on le détache de la tumeur il se présente sous la forme d'un ruban plat d'un
ose comme une large lame jaunâtre à la partie latérale droite de la tumeur . La tumeur de l'hypophyse (extirpée avec une pa
large lame jaunâtre à la partie latérale droite de la tumeur. La tumeur de l'hypophyse (extirpée avec une partie du sphén
dure mère. En avant, la lame non modifiée de l'ctlimo'ide limite la tumeur . Le fond de la selle lurcique est plus profond,
platissement du front; hypertrophie des os du crâne, cerveau petit, tumeur du corps pituitaire du volume d'un petit oeuf de
dicnncs. Corps thyroïde : volume hypertrophié renfermant de petites tumeurs arrondies, les unes jaunâtres et constituées par
reuses, points blanchâtres assez analogues à des trames d'anciennes tumeurs . Cellules petites granuleuses, quelques-unes gr
ordres : 1° un élargissement de la fosse piluitaire, pour loger une tumeur ; 2° une distension considérable du sinus sphénoi
Perruches, 130, Richer (Paul), 17, 140, 208, 220. Séglas, 65. Tumeur , 21. Zaguclmann, 311.
86 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
and centre intellectuel C. L'autopsie nous montre qu'il y avait une tumeur , non, comme nous l'avions pensé, dans le lobe t
sociation des lettres quelque part dans le centre de la parole ; la tumeur interrompait donc la voie A6B (dyslexie). C'est
atteint que son élément moteur. P. K. XII. DES TROUBLES visuels par TUMEUR cérébrale; par F. HIRSCxBERG. (Neurol. Centralb
mianopsie temporale croisée; elle entraîne la cécité com- plète par tumeur de l'angle antérieur ou postérieur du chiasma.
1893 est le suivant : De la vision chez les idiots.- Observation de tumeur cérébrale. M. CHRISTIAN communique à à la Socié
une autre explication : On constata à l'autopsie la présence d'une tumeur cérébrale du poids de 20 grammes, pédiculée sur
lée sur la base du crâne et de la gros- seur d'un oeuf de poule. La tumeur reposait sur la selle turcique et venait compri
n. ' ° SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 - M. JOFFAOY. La majorité des cas de tumeur cérébrale venus à ma connaissance se sont termi
ant plusieurs années des hallucinations de la vue, et porteur d'une tumeur céré- brale comprimant les nerfs optiques, il é
chirurgien se trouvèrent impuissants à soulager. Je veux parler des tumeurs cérébrales. ' m Malheureusement, une forte pr
tumeurs cérébrales. ' m Malheureusement, une forte proportion de tumeurs cérébrales, peut-être 40 p. 100 et plus, sont d
une façon trop certaine, et nous pouvons indiquer la position d'une tumeur que nous ne pouvons souvent pas opérer. Mais,
ouvent pas opérer. Mais, d'un autre côté, il y a beaucoup de cas de tumeurs situées DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 2H8 dan
le malade aux étreintes de la mort. Le premier cas d'opération pour tumeur cérébrale fut diagnos- tiqué par Hughues Bennet
peut se mettre à l'abri. Quelques malades sont morts de shock : la tumeur étant très grande, et les malades fort affaibli
is par de longues souffrances antérieures. Dans d'autres cas, les tumeurs enlevées avec succès se sont reproduites au bou
s se sont reproduites au bout de quelque temps. Chez d'autres, la tumeur localisée avec précision n'a pas été jugée opér
s la littérature médicale plus de trente-deux cas, dans lesquels la tumeur a pu être enlevée avec succès et le malade soul
n chronique à intensité variable. P. K. XVI. Trépanation POUR LES TUMEURS DU cerveau; par HAYES AGNEW. (University med. M
d. Magaz., oct. 1891.) Il n'a été fait que cinq opérations pour ces tumeurs par les chi- rurgiens de Philadelphie. Dans u
ues d'épilep- sie. Dans le second cas, opéré également par Keen, la tumeur était localisée dans le lobe occipital et ne fu
te et d'une hémorrhagie. Dans le troisième cas, on ne trouva pas de tumeur , et dans le quatrième, celui du professeur Wood
ure du sujet, les résultats des opéra- tions pour l'extirpation des tumeurs cérébrales, ne peuvent pas passer pour bien bri
mprobables, et rarement couronnés de succès. Dans la collection des tumeurs cérébrales de Starr, s'élevant au nombre de tro
succès futurs encore plus grands. Tableau n° 8. Opérations pour des tumeurs du cerveau. ' 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
iges, la céphalée matutinée, etc. e. - La paralysie générale et les tumeurs malignes ne pourraient entrer en discussion ici
Présidence DE M. JOLLY. M. HIRSCEIBERG. 'Des troubles de la vue par tumeur cérébrale avec présentation de malades. (Publié
t Camuset, 55; - pour microcéphalie, par liages Agnew, 351 ; pour tumeur cérébrale, par liages Agnew, 272. Tumeur céré
ages Agnew, 351 ; pour tumeur cérébrale, par liages Agnew, 272. Tumeur cérébrale, troubles vi- suels par -, par Hichsb
87 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
alais : voûte, voile (forme ogivale ou non). Pharynx : déglutition; tumeurs adénoïdes. Langue : épaisseur; tremblement de l
e maladie de vessie; un 3 ? d'une fluxion de poitrine; un 4 ? d'une tumeur de cou. Celui-ci a eu deux filles, mortes de la
amais eu d'ophtalmie). On s'est aperçu vers 9 ans de l'existence de tumeurs lipo- maleuses au cou, ainsi que de l'épaississ
des creux sus- claviculaires et axillaircs. La mère prétend que les tumeurs du cou auraient été constituées par de la grais
ère attribue la gêne de la déglutition que présente son enfant. Les tumeurs graisseuses n'auraient jamais été plus développ
ueuse du pharynx est d'une coloration normale. On ne perçoit pas de tumeurs adénoïdes du pharynx. Le réflexe pharyngien per
e, fait une petite saillie en forme de cône en avant ; cette petite tumeur est réductible et à travers la peau, fine en ce
ormé de pelotons adipeux. Il n'y a pas d'anses intestinales dans la tumeur . Les autres orifices de la paroi sont sains et
ectum, la partie prolabiéc se présente sous forme d'une volumineuse tumeur , des dimensions d'un poing d'adulte masquant de
tinal. Une première tentative de réduction ne fait pas rentrer la tumeur ; enfin, une seconde tentative permet de la réduir
110 IDIOTIE myxoedémateuse. 24 auril. L'enfant ne se plaint pas. La tumeur ne s'est pas reproduite. 2 mai. A la suite d'
88 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ons non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau. — Inflammation des nerfs
ontra à la surface du pédoncule cérébel-teux moyen un amas de petites tumeurs sarcomateuses formant dans leur ensemble une mass
la base de l'encéphale, était rouge, un peu ramolli et aplati par la tumeur . On pourrait aisément rapporter un bon nombre d
s aux lésions du triju-meau : il s'agit communément, dans ces cas, de tumeurs intra-crâniennes développées au voisinage du nerf
rise que dans une très petite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs , mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très é
f nouvellement formé (3j; d'autres fois, le nerf est comprimé par une tumeur lentement développée, qui a dû, pendantun certain
ée, limitée à certains groupes de muscles. pression exercée par une tumeur , par le mal vertébral de Pott, etc. Ces diverses
tielles, soit protopathiques, soit déterminées par le voisinage d'une tumeur , il y a lieu de présenter la remarque suivante :
trauma-tique de la moelle épinière, dans la myélite par compression ( tumeurs , mal de Pott), dans la myélite primitive, dans l'
l'hémorrhagie méningée, lapachyméningite, dans le cas, enfin, où des tumeurs intra-crâniennes donnent lieu à des attaques apop
eschares. Le même résultat se produirait également dans le cas où une tumeur siégeant dans les parties centrales de la moelle
emment à la Salpêtrière. Elle portait dans le flanc gauche une énorme tumeur fibreuse qui comprimait, dans le bassin, les orig
de lésions maté-rielles de l'encéphale (hémorrhagie, ramollissement, tumeurs ), on ne sauraitadmettre que ce caractère est abso
hémorragie intra-encéphalique ou le ramollissement, ou bien encore de tumeurs , lésions par suite desquelles la couche optique s
us de la face supérieurede la couche optique qui est considé- d'une tumeur ; dans tous les cas de ce genre que j'ai observés
nesthésie gauche, bien accusée, une douleur ovarienne gauche avec une tumeur facile à constater; enfin un état mental bizarre.
lie consécutivement à la compression de la moelle, déterminée par une tumeur , à la myélite transverse aiguë ou subaiguë, ou en
es cas de foyer cérébral ancien (hémorragie ou ramol-lissement) ou de tumeur cérébrale, quelle qu'en soit la nature. Cette élé
ons non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau. — Inflammation des nerfs
rise que dans une très petite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs , mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très é
trauma-tique de Ja moelle épinière, dans la myélite par compression ( tumeurs , mal de Pott), dans la myélite primitive, dans l'
89 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
s et non ataxiques ; 4° Diverses affections cérébelleuses acquises ( tumeurs , abcès du cerve- let, etc.), qu'on peut exclure
couverte, ou bien seulement d'une membrane cérébrale, ou bien d'une tumeur vasculaire, et si la colonne vertébrale est ouv
le, à la place de la membrane la base du crâne est cou- verte d'une tumeur vasculeuse. Ce changement des vaisseaux par le
risée par le développement, sur les doigts et les mains, de petites tumeurs généralement très nom- breuses, du volume d'un
ous ouvrent encore un nouvel horizon. Vous savez qu'il existe des tumeurs , le plus souvent bénignes, certains lipomes, pa
n de continuité dans les faisceaux moteurs par une hémorrhagie, une tumeur , un foyer quelconque 104 GILLES DE LA TOURETTE
fourrure du futur client et découvre sur le milieu de son front la tumeur à extirper. De la main droite, il fait un geste
: « Voyons, mon ami, sied-il que vous conserviez au front pareille tumeur ? Vile, prenezplace sur ce fauteuil qui vous tend
dont le plus pressé hurle désespérément et mon- tre sur son chef la tumeur à extraire. Au dehors, on aperçoit, flottante,
t ce qui précède, me dit que son mari était mort il y a 7 ans d'une tumeur de la langue (leucoplasie, dégénérescence épithél
à peu de frais. Très fréquemment, on relèvera le myome, depuis la tumeur colossale jusqu'aux petits fibromes interstitie
ensibilité. Dans les fibromes, son action n'est pas moins nette. La tumeur fond lentement. L'amélioration se constate surt
, Le 1 avril 18S)5, Geof... se présente à la clinique, montrant une tumeur grosse comme une tête de foetus qui se serait f
habil- ler, il avait fait un faux mouvement et était tombé. Cette tumeur est bleuâtre, ecchymotique ; elle est de consista
olle, comme gélatineuse, fluctuante. Trois semaines plus tard, la tumeur est encore sensible à la pression, ayant la for
cération profonde de la cornée de l'oeil droit. A l'ouverture de la tumeur axillaire, on constate qu'elle est constituée par
e tissu lâche environnant, d'où la teinte ecchymotique prise par la tumeur axillaire après l'effraction. Mais il est impor
int n'existe ni renflement anormal ni aplatissement, A la coupe, ni tumeur gliomateuse, ni cavité. Examen histologique. Su
cas, la pathogénie est bien nette, et les auteurs admettent que la tumeur hypophysaire irrite à distance, par action réflex
es d'une hydropisie. Il lui faut bien trouver une autre cause il la tumeur suspecte. Et dame ! si la cliente est jeune et jo
cune lésion locale du système vasculaire. Aucun traumatisme, aucune tumeur . Les reins, le foie, la rate, les organes abdo-
les trois termes, les trois degrés d'évolution d'une seule et même tumeur . » Pseudo-lipome et trophoedeme chronique sont
chez lui la cause des phénomènes irri- tati fs présumés (absence de tumeurs ou de corps étrangers, pas de dou- leurs de têt
gauche, à 4 travers de doigt au-dessus de l'olécrane, on trouve une tumeur allongée, lobulée, ayant les dimensions d'une f
ravers de doigt au-dessus de l'épilrochlée on rencontre une seconde tumeur du volume d'un gros haricot. Le bras droit port
tu- meur semblable à la première. Les téguments qui recouvrent ces tumeurs sont très légèrement pigmentés en brun et de te
90 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une citron de différentes dimensions, qui sont l'indice d'autant de tumeurs encéphaloîdes, jaunes, molles, se déchirant fac
chirant facilement, ne laissant suinteraucun liquide à lacoupe. Les tumeurs , en nombre considérable, envahissent tout le foie
sur chaque hypochondre et sur l'estomac, s'il se trou- vait quelque tumeur ou quelque corps étranger, la jeune fille se pl
t toutes les autres parties du corps furent envahies d'une sorte de tumeur oedé- mateuse. Forcée par ses parents de manger
es. Le menton, le cou et la gorge semblaient recouverts d'une vaste tumeur , et toutes ces parties étaient des plus doulour
r tandis que D. Fabrice et moi nous l'examinions, nous sentions une tumeur quelque peu dure et très doulou- reuse. La jeun
a satisfaction de voir qu'elle avait complètement disparu. Seule la tumeur des seins était restée, mais moins douloureuse.
guérie par la cure d'une ullération du col de l'utérus », et « Une tumeur du thalamus optique perforant le corps calleux
anoia psychoneurotique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Un cas DE TUMEUR DE la glande pinéale; par K. PoN- TOPPIDAN (IVe
examen microsco- pique succinct permet de reconnaître au sein de la tumeur une 234 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vascula
ésion crânienne correspond exactement. M. UENNO. Présentation d'une tumeur cérébelleuse. Il s'agit d'un malade de soixante
s postérieurs du vermis supérieur sont occupés par le segment d'une tumeur bosselée à la surface, d'un rouge brun foncé, S
ois lisses, dont le bord supérieur tranchant envoie au-dessus de la tumeur quelques fragments nerveux filiformes; en arrière
ade s'est alité quatre semaines avant la mort, mais certainement la tumeur datait d'une époque plus éloignée comme en témo
er rectal on constate en avant et au niveau de la vessie une petite tumeur allongée, de forme- ovoïde, indolente, que le d
phéniquée. L'injection est pratiquée de préférence au centre de la tumeur , en évitant les vaisseaux ; on commence par enf
vec irradiation dans la mâchoire, l'oreille, la gorge, l'épaule. La tumeur devient chaude, et quelquefois s'ajoutent des p
l'iode; et actuellement il ne pratique plus les injections dans la tumeur même, mais au voi- sinage, sous la peau. Cette
, il a toujours pratiqué les injections dans les tissus mêmes de la tumeur , admettant une inflammation non suppurative due
ve qu'il reste des portions de glande non dé- truites, c'est que la tumeur peut récidiver, et ces récidives gué- rissent h
écidive avec ectasies vasculaires dans l'intérieur des tissus de la tumeur . Les accidents locaux possibles des injections
mpérature centrale dans l', par Bourneville, 209. Glande pinéale ( tumeur de la), par Poutoppidau, 233. Hémorrhoïdes (v
es aliénés sitio- phobes, par Siemens, 4 02; par QGbeke, 103. - Tumeur cérébelleuse, par Benno. 254. Varia : Fête à
91 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
e s'accompagne pas d'épilepsie. Î'V : idiotie symptomatique d'une tumeur cérébrale (11 drocéphaLie) ; PAn lüi;ifNEt'IL
rnes, l'autre, une fille de 16 ans, est intelligente; elle a eu une tumeur blanche du genou. De son deuxième mari, le père
aisant her- nie à la partie inférieure du 4* ventricule. T'" petite tumeur située entre la pie-mère et la surface du cerve
te tumeur située entre la pie-mère et la surface du cervelet. Ces tumeurs , qui présentent une forme lenticulaire et dont le
dans la région qui sépare les deux hémisphères cérébelleux. Cette tumeur , dont la face antérieure répond à la partie antér
). La masse néoplasique qui occupe le 4° v.entricule, ainsi que les tumeurs secondaires situées aunivea 51t cervelet ou de
e par une seule couche de cellules. (Fig. 2). Fig. 2.-Coupe de la tumeur . Les cellules, C, sont arrondies à noyaux a-ssez
rois propres en V. La pie-mère qui tapisse la surface externe de la tumeur ne contracte que de faibles adhérences avec ell
adhérences avec elle et n'est nulle- ment épaissie. D'autre part la tumeur se moule exacte- ment sur la surface du cervele
re et présente des prolongements latéraux, P, P, qui la relient aux tumeurs extra-ventriculaires. Le bulbe est aplati dans le
Cet ensemble symptomatique nous avait fait porter le diagnostic de tumeur de la base du crâne ou de pachyméningite de la
que l'on sait, l'autopsie a confirmé en effet ce diagnostic : les tumeurs siégeaient à la partie inférieure du cervelet,
iveau du vermis inférieur, etc. V. La compression exercée par les tumeurs du cer- velet a eu pour conséquence en quelque
. [Père : mort d'une hernie étranglée à 78 ans; mère, morte d'une tumeur fibreuse abdominale à 83 ans; aurait eu des migra
92 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
les doigts, vous sentez l'abcès ; il se présente sous la forme d'une tumeur cylindrique, arrondie à son extrémité et traversa
quement la fosse iliaque interne. Chez cet enfant, nous sentons cette tumeur cylindrique, et en disposant les doigts de chaque
e la flexion de la cuisse. Ici, la palpation superficielle révèle une tumeur volumineuse, globuleuse. Elle n'est plus cylindri
us fuse le long des racines antérieures des nerfs et vient former une tumeur dans le creux sus-claviculaire, en arrière des mu
econd cas, l'abcès est plus profond ; la vue ne distingue pas bien la tumeur , la fluctuation est obscure; on peut pourtant dét
ngestion, le pus est très-abondant, plus abondant que le volume de la tumeur ne l'indique. Il n'a pas ordinairement l'apparenc
us de douleurs et tous les symptômes fâcheux avaient disparu ; aucune tumeur n'apparaissait au dehors ; seulement le malade, e
subitement d'accès de suffocation. Peu après parut au cou une petite tumeur qui fut prise d'abord pour un abcès ganglionnaire
e sont pas des abcès, la hernie, l'ané-vrysme, le bubon vénérien, des tumeurs profondément situées dans les fosses iliaques, et
ons, de celles qui sont produites par l'anévrysme de l'aorte, par une tumeur osseuse de nature syphilitique, un carcinome ou d
médecine pour obtenir la résorption des liquides de l'hydropisie, des tumeurs : les purgatifs, les diurétiques, l'iode. Ce dern
j'ai fait des applications nombreuses de révulsifs sus-dermiques; la tumeur n'augmente pas, ne devient pas sous-cutanée. Je n
être conservé, parce qu'il n'a qu'un sens vague, de même que celui de tumeur Manche sous-occipitaie. § 1er. Anatomie patholo
s, il faudrait explorer le pharynx, voir si on sent une luxation, une tumeur purulente. L'enfant marchait à onze mois; depuis
lonne cervicale. Cette région est quelquefois encore déformée par des tumeurs fongueuses qui, après s'être fait jour entre les
les polypes du pharynx, les maladies de la base du crâne, exostoses, tumeurs fongueuses, etc. Dans un cas cité par Ollivier, l
salles destinées aux affections chroniques, pour y être traité d'une tumeur blanche du genou droit. Il offre un strabisme int
les muscles ne se rétractent que consécutivement. On comprend qu'une tumeur osseuse pourrait produire le même effet en sens i
. Behrs (1) a décrit, en 1847, une maladie de ce genre, compliquée de tumeurs lymphatiques, strumeuses, qui attaquait les porcs
llante du côté de l'abdomen, où elle a été prise quelquefois pour une tumeur d'une .autre nature. Les dernières vertèbres dors
des vertèbres sacrées. Cet os, probablement repoussé en avant par la tumeur aqueuse de l'hydro-rachis, est venu se mettre en
it asseoir l'enfant. IVe cas. — Sur cet autre enfant, atteint d'une tumeur blanche (1) Recherches sur les maladies nerveus
93 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur,la ligne médiane, sansicedème ni rougeur des tégu ? ments, une tumeur fluctuante, ,qlf\' ! }n 1 souu¡ : irA ? eI} ds cr
l'gitluch'è ? 1 roil ? ¡Íëi-ç'Oi t "lIt "WJie' so us la forme.d'une tumeur dure] 1 e : \trêmement -sellsible ! JàlJld'prèssi
conique, de ln. I.Ill2.IlGI el en}pf\\\qU¡3, p'l'tç ,ÜP,hé, dam une tumeur , de six, cen- ,i,ynètr;é,s;1 de^ long,, qui,, .
19JD;1 dq se» P9rten ver.j lal,g'au,che.t Leiagn9stic porté : fut : tumeur , de'la, moelle allongée;» destruction [du noyau
son'anastomose avec l'oculo-moteur.' A'l'autopsie,' on ,trouve une( tumeur delà' grosseur' d'unernoi- setté' eirf avaÍlt d
détruit1 la capsule et' les'régions voisin és/*aussif bien1 qu'une tumeur à lent accroissement comprimant'les fibres sans l
paril'auteur. On 1 trouva' les couches optiques- envahies -par lune tumeur fougueuse «n'affectant pas les,corps striés, mais
mémoire, donne une belle image' des ''ventricules -envahis par 'la' tumeur , 1 aucun» dessin.de coupe n'y est annexé : <
ltats de nos recherches. Se fondant sur l'examen de neuf cas de ces tumeurs dans diverses parties du système nerveux centra
ces parties hyper- trophiées. Dans les périodes plus avancées, ces tumeurs subis- sent une altération présentant tous les
M ? , , ? IH, 4)11'1 ? Itl 1 1 M. Binswanger communique un cas de tumeur cérébrale (gliome de l'él)eizdyii2e) avec prépa
. L'orateur croit que le processus pathologique (probable- ment une tumeur ) occupe l'angle antérieur du chiasma. M. Wernic
st question ici que des goitres proprement dits et non des diverses tumeurs malignes de la thy- roïde. 8 La guérison a to
yde de car- bone ; par SnloN. Thèse de Paris, 1883. Essai sur les tumeurs de la voûte du crâne constituées par du liquide
ns lesquels les deux régions sont atteintes. Deux fois, c'est une tumeur qui faisait les frais de la destruction ; la lé
volutions ; il est évident alors que quelque processus morbide (une tumeur , par exemple) qui n'agirait que sur la surface
r de la sérosité. - Corps calleux aminci,jaunâtre. - On trouve cinq tumeurs cérébrales siégeant toutes sur le trajet des pl
er des ventricules. Bien que la lésion soit surtout à droite (trois tumeurs dont deux volumineuses mesurant de cinq il sept
Les reins sont durs, volumineux, présentent une grande quantité de tumeurs de volume variable, pédiculées ou non et s'attach
semblable a été trouvée dans le foie. Examen miscl'oscopique. -Les tumeurs du cerveau ont un aspect encéphalolde : elles r
s. On trouve aussi des élé- ments de nature conjonctive. Dans les tumeurs des reins, on trouve un grand nombre de noyaux
r face interne se trouvent encore, mais infiltrées de graisse. La tumeur du foie est constituée surtout par des noyaux con
de ramollissement ou d'hémorrhagie cérébrale, des sujets avec des tumeurs , les troubles de la parole sont tout autres et c'
94 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
Hélas ! votre maladie était visible ; vous ne pouviez la cacher : une tumeur volumineuse dans l'ovaire gauche et par suite un
« Si cette cause est un obstacle physique tel qu’une esquille, une tumeur , un corps étranger, on comprend facilement qu’ici
nc fondé à dire que, quand l’épilepsie est due au développement d’une tumeur ou à la présence d’un corps étranger dans l’épais
argée de diriger le traitement, de plaques métalliques placées sur la tumeur , de gestes et de démonstrations bizarres, etc. Qu
rut qu’elle touchait à ses derniers moments; mais on s’aperçut que la tumeur avait perdu de son volume et s’amoindrissait en p
lorsque le douzième, en me mettant dans mon bain, je m’aperçus d’une tumeur qui s’était développée à la partie gauche de la p
ièvres de tous genres. r Cécité. « Goutte sciatiquo. « Surdité. « Tumeurs . « Hydropisio. « Cancers. « Pleurésie. « Scro
raves ; des épice lepsies, des ulcères invétérés, des écrouelles, des tumeurs « squirrheuses et cancéreuses au sein. Je l’ai vu
ein. Je l’ai vu amener à « maturité, dans l’espace de cinq jours, des tumeurs qui « existaient depuis plusieurs années. « Ces
pleurésie, des fièvres de tout genre, des douleurs de sciatique, des tumeurs , des cancers, des écrouel-les, etc., ont été guér
te lotion. CLINIQUE. THÉRAPEUTIQUE MAGNÉTIQUE. Traitement tCune tumeur synoviale du poignet. M11' Olympe Breton, âgée
pepsie ; de plus elle avait, depuis quatre ans, au poignet gauche une tumeur synoviale. Dans le commencement, 011 n’avait fait
e à un nerf foulé, et qui ne causait alors aucune souffrance. Mais la tumeur s’accrut peu à peu et occasionna de vives douleur
ité ; le sang était pauvre, le teint marbré et d’un rouge violacé, la tumeur était de la grosseur d’une noix. Malgré sa faible
passes longitudinales le long du bras malade, de faire magnétiser la tumeur par contact, et de boire chaque jour un demi-ve
Après la seconde magnétisation, les douleurs du bras ont cessé, la tumeur a diminué de volume et s’est amollie. A la quat
quatrième, l’appétit et le sommeil sont revenus. A la huitième, la tumeur s’est trouvée diminuée des deux tiers. A la neu
ent vif que la malade mange en somnambulisme. Douzième séance. — La tumeur est dure... Les règles viennent en avance de deux
n avance de deux jours et durent deux jours. Vingtième séance. * La tumeur s’aplatit tout à coup; on ne sent plus au toucher
lissement normal des règles, la résorption du liquide contenu dans la tumeur , et la disparition des marbrures et de la couleur
e, il y a eu vingt-quatre magnétisations dirigées spécialement sur la tumeur et ayant pour but de faire disparaître la peau ou
période du traitement n’a pas été aussi heureuse que la première. La tumeur s’enflait parfois et prenait une teinte d’un roug
réussissaient et que le bras allait bien. La malade m’a écrit que sa tumeur ne la faisait plus souffrir, mais qu’elle n’a pas
et autres, 29, 155. Surdité, 30, 155, 322. Tic douloureux, 29. Tumeur synoviale, 626. BIBLIOGRAPHIE. Application du
95 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de M. Sée, que le malade fut d'abord considéré comme atteint d'une tumeur cérébrale, pro- bablement de nature syphilitiqu
pour un mal de Pott. G. D. IV. Contribution A l'étude CLINIQUE DES TUMEURS DU cervelet; par les Drs BERNHEm et SmoN. (Rev.
nclure que les signes les plus fréquents et les plus importants.des tumeurs cérébelleuses se résument dans les suivants : C
nombre permettront dans beaucoup de cas d'établir le diagnostic de tumeur cérébelleuse. G. D. V. UN cas d'absence bilatér
aux muscles des yeux. P. K. XIV. Contribution A la pathologie DES TUMEURS cérébrales ; par H. OPPENHEIM. (Arch. f. Psych.
lterne; par Tu. Proskauer (Centralbl. f. Ne1'venheilk. 1889.) Une tumeur cérébrale peut, sans intéresser la protubérance,
obe les troncs nerveux périphériques. Observation avec autopsie, de tumeur d'un hémisphère cérébral, réalisant ces conditi
. Infiltration du sommet gauche; hyperthermie. Diagnostic confirmé. Tumeur tuberculeuse de la protubérance occupant la par
a grande circulation, et finalement infection de la pie-mère. II. Tumeur de la glande pinéale. En l'absence de tout signe
En l'absence de tout signe objectif local précis, on diagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et excitation des
Antécédents héréditaires. -- Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante
a affaire à une lésion organique consistant dans la présence d'une tumeur ou d'une plaque de sclérose. Il peut se faire,
ns un segment de membre autre que celui qui était paralysé. Cette tumeur , tantôt rouge, d'apparence phleg- moneuse, tant
de faits d'exophtalmie, sans maladie de Basedow, excepté le cas de tumeur orbitaire et de proéminence physiologique des g
cysticerque unique en plein milieu de la couche optique gauche ; la tumeur a le volume d'un grain de raisin, l'organe même
osenheim, 86. Cerveau , troubles d'équilibration dans deux cas de tumeurs du lobe pariétal du -, par Bernheim et Simon,
s du -, par Biscons, 429; pesées du -, par Meynert,432. Cervelet, tumeurs du -, par Bern- heim et Simon, 70 ; lésion d'
par Erluniger. 249. Équilibration, troubles d' dans deux cas de tumeur du lobe parié- tal du cerveau, par Bernhein et
pilmonaiiu : chez les aliénés, par Snell, 255. Pineau : (glande), tumeur de la llar chlllz, S0 : - auatolnie de la par
f, par Buss, 95. Trapèze, absence bilatérale du -, par Erb, 71. Tumeurs cérébrales, par Oppcn- hein, 74. Urique, excr
96 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ulum cutané qui paraît jouer un rôle dans la pathogénie de quelques tumeurs sébacées de cette région1. Cette infundibulum par
latrice d'une compression de la moelle ou des racines rachidiennes. Tumeurs intra-rachidiennes, compression par de la pa- c
e la moelle elle-même, circonstance qui est réalisée dans le cas de tumeur localisée du canal rachidien, de mal de Pott avec
tante, n'a jamais eu aucune ma- ladie, au dire de la malade. Pas de tumeurs , pas de cancers dans la famille. Rien chez les
entait comme une petite noisette qui roulait sous le doigt. Puis la tumeur acquit graduellement le volume d'une petite man
volume de l'abdomen indique que là est le siège du mal, hydropisie, tumeur ou simplement grossesse. Le second bas-relief (
explique aussi tout naturellement par le développement accéléré des tumeurs de tout ordre chez les jeunes sujets. La haute
eant à dessein les paralysies musculaires extérieures de l'oeil par tumeurs , hémorrhagies, ramollissements, névrites et par
ion, la céphalée, les vomissements, font penser tout de suite à une tumeur , et c'est en effet cette hypothèse qui paraît l
re. Il est donc tout à fait rationnel de songer à la présence d'une tumeur de cette nature dans la protubérance. Les tuber
lativement aux autres néoplasmes qui s'y rencontrent. Des 30 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a NOTE SUR UN CAS
t oedème siégeait sur la face dorsale du pied, sous forme de petite tumeur . C'est dans cet état qu'elle rentrait en 1881 à
1882, elle est admise à laSalpêtriére; elle portait alors unepetite tumeur oedémateuse sur le dos du pied droit : c'est à pe
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pied, qu'elle recouvre et surplombe. Cette tumeur , nettement circon- scrite il sa base d'implanta
: les myélites systématiques, les myélites non systématiques et les tumeurs de la moelle. Les myélites systématiques sont r
97 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
es, résultant de cette compression — en dehors toutefois du cas d'une tumeur —• pourront n'être que tout à fait passagers. L
, de neuro-rétinite et qui se montre si fréquemment en conséquence de tumeurs encé-phaliques quels qu'en soient la nature et le
dephénomène de voisinage, en conséquence de lésions — hémorrhagies ou tumeurs — développées dans les parties qui sont en rappor
pie ne sont pas d'une interpré-tation plus difficile. Une lésion, une tumeur par exemple, située en T, c'est-à-dire sur la par
ge récent de M. Ed. Liveing [On megrim, etc. London, 1873;. (2) Une tumeur volumineuse, toutefois, pourrait, on le comprend,
nt lentement effectué, comme cela se voit si sou-vent dans les cas de tumeurs . J'ai fait remarquer, en outre, qu'à cet égard,
t égard à peu près le même rang. 11 n'en est pas de même de certaine:- tumeurs qui, pendant une longue période de leur évolution
Quant à la nature de la lésion originelle, rien n'est plus variable. Tumeurs intra ou extra-encéphaliques, foyers d'hé-morrhag
qui causent les dégénérations secondaires que ne font la plupart des tumeurs , celles-ci pouvant déprimer ou refouler les éléme
secon-daires, quelle que soit la cause de la compression. Ainsi, les tumeurs cancéreuses, sarcomateuses, les psammomes nés pri
urs, la compression proprement dite n'est pas un fait nécessaire. Les tumeurs intra-spinales, gliô- (1) Voy. Leçons sur les m
postérieurs,quand elle résulte de la compression dé-terminée par une tumeur , en supposant que cette compres-sion doit avoir p
s de la queue de cheval, au-dessus du ganglion ; elle consiste en une tumeur sarcomateuse ou myxomateuse qui englobe et compri
peuvent avoir un résultat identique : telles sont l'hydromyélie, les tumeurs in-tra-spinales (gliomes, sarcomes, etc.). 2° P
98 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
tion assise ou la flexion du tronc, il est aussitôt remplacé par la tumeur lombaire parfois très-nettement circonscrite.
ou est le siège d'une affection inflammatoire se traduisant par une tumeur rouge, dure, limitée, très saillante, de la gross
outefois elle put marcher pendant quelque temps, mais de nouveau la tumeur du genou ayant reparu, elle dut s'aliter pendan
ne. Au niveau de la tête de l'os, sous la peau, existait une petite tumeur osseuse du volume d'une noisette, mobile latéra
difficilement). Sur le cou, les épaules, le dos, plusieurs petites tumeurs de molluscum pendulum. t Aux jambes, on trouve
nostic d'arthrite nerveuse, après avoir pensé à l'exis- tence d'une tumeur blanche. C'est à partir de cette époque que les
moratifs (contusion, section, plaie par arme à feu, compression par tumeur , syphilis, etc.) La tumeur blanche est parfois
plaie par arme à feu, compression par tumeur, syphilis, etc.) La tumeur blanche est parfois d'un diagnostic très difficil
a partie supérieure des épaules, se voient une quinzaine de petites tumeurs de molluscum ne dépassant pas le volume d'un po
ite et larmoyait conti- nuellement; enfin il s'est formé au cou une tumeur , grosse comme un pain d'une livre, mollasse et
arti- culations, spécialement aux jambes, un assez grand nombre de tumeurs (cinquante environ) de la grosseur d'un oeuf de
résorbaient sans jamais suppurer. Délivrée à trente-cinq ans de ces tumeurs elle vit sa santé devenir encore plus mauvaise,
impossible de dire si c'est la surface de l'os ou la surface de la tumeur qu'on a sous la main; ces tumeurs, qui ont déve
urface de l'os ou la surface de la tumeur qu'on a sous la main; ces tumeurs , qui ont développé les régions parotidicnncs et
99 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
ices avaient détaché. Le malade enfin guérissait. J’ai vu aussi des tumeurs blanches, des engorgements glanduleux se résoudre
n fruid qu’il faut échauffer, et lorsqu'il y a des désordres tels que tumeurs blanches, engorgement des glandes, etc., etc., vo
é magnétique sur un jeune homme de quinze ans, auquel j’ai enlevé une tumeur enkystée pendant le sommeil magnétique. Je ne v
eph), âgé de quinze ans, portaità la partie supérieure de la tête une tumeur enkystée, de la grosseur d’une forle noix. Elle é
n convaincu de son insensibilité. Je coupai les cheveux et rasai la tumeur et ses en- virons. Une incision longitudinale d
te resta immobile. Chaque lambeau fut disséqué jusqu’à sa base, et la tumeur , parfaitement isolée, fut enlevée, sans que le pa
lui demandai comment il se trouvait. «Très-bien! » Je lui montrai la tumeur que je venais de lui enlever; il ne voulait pas c
s apprend qu’une femme qui n’avait jamais voulu se faire opérer d’une tumeur qu’elleavait.au cou, tant elle redoutait l’instru
se soumit à l'opération pendant qu’elle était en somnambulisme. Cette tumeur assez saillante, (1) Voyei l’ouvrage du D'Pigea
de plusieurs médecins, sur un jeune homme âgé de dix-huit ans, qu’une tumeur blanche retenait couché depuis deux ans et demi.
pérament, Agé de quarante-deux ans, agriculteur, portant au genou une tumeur blanche dans un état fort avancé. L’opération fut
dinairement au travers d’un linge plié on quatre et appliqué sur la tumeur . § II. —MALADIE AUX MILLE NOMS. Je me sers de
urs magnétiseurs oui fait extraire des dents molaires et extirper des tumeurs enkystées à dos personnes mises en éUit de somnam
s le nuicor n’a paru que depuis deux ans. « Jai besoin de palper la tumeur , alin de bien préci-« ser la position des racines
ndai la cause de ses vomissements, elle me répondit que c’était cette tumeur qu’elle ressentait dans l’intérieur de son sein,
et que le lundi 13, â dix heures, serait sa dernière crise; que cette tumeur se détacherait et s’évacuerait par le bas. « Auss
e, on recueillit les excréments, el 011 vil en effet des débris d’une tumeur noire comme elle avait annoncé. DEUXIÈME FAIT.
100 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
as ce serait un phénomène rappelant celui de Chvostek. En un cas de tumeur de la région dorsale de la moelle (autopsie), l
n intra-cranienne. En effet, elle manque sou- vent dans les grosses tumeurs qui occupent plutôt le voisinage du nerf optiqu
disparaître ou diminuer la tuméfac- tion delà papille même dans les tumeurs cérébrales inopérables. La ponction lombaire mo
ils cas, et peut atténuer l'oedème papillairc. Pourquoi, dans les tumeurs cérébrales, la papille étranglée peut-elle manq
tion chirurgicale de carcinomes du sein, sans récidive locale ; ces tumeurs pouvaient en imposer à l'oeil nu, sur la table
és, le front n'existait pas ; à la place du crâne se trouvait « une tumeur rouge, bosselée, mollasse, bourgeonnante, couve
on profond, qui lui forme un vrai pédicule. On re- marque que cette tumeur n'est animée d'aucun mouve- donnent. Il est bie
te syphilitique ; le typhus abdominal à symptômes cé- rébraux ; une tumeur de la selle turcique ou de son voisinage. P. Ke
qu'elle va en retomber malade et que celle arthrite deviendra « une tumeur ». Elle est toujours triste, parce qu'elle est
nt l'un lui est propre et dont l'autre appar- tient sans doule Ù la tumeur hypophysaire. : 'Il. I)FROU]3 ? 1-,L('del,'roi(im
la moelle de l'homme. Examinant la moelle d'un homme atteint d'une tumeur ganglionnaire du cou qui avait altéré ou détrui
ples névrites, prédominant sur le radial, avec oedème secondairejef tumeur dorsale du poignet ? Ou doit-on donner la premi
o-intesUnaux; infectieux di vers, peuvenl produire la psychose. Les tumeurs cérébrales, la sénilité peuvent la reproduire.
s chirurgiens ont pu constaterplu- sieurs fois, dans l'opération de tumeurs médullaires, que la coloration livide, c anotiq
anotique de la moelle disparaissait souvent après l'extraction des tumeurs . , , . Fickler ne croit pas non plus qu'on puis
s la forme de méningomyélitè diffuse infiltrée de RAYDLOND (1), les tumeurs miliaires sont moins nombreuses que dans la for
causes des lésions de la glande thyroïde : thyroïdite ou sclérose, tumeurs diver- ses, tubercules etc. Les figures 25 et 2
au vermis superior. Dans un troisième cas, on avait allai ré à une tumeur delà cuisse gauche qui donna lieu iules lésions
onie. A la partie supéro-moyennede l'hémisphère droit, existait une tumeur néo- plasmique. Un quatrième sujet atteint de c
ont donné aucun résultat. asiles d'aliénés. 485 - A l'autopsie. Tumeur cérébelleuse (lu volume d'un oeuf, déve- loppée
e canal rachidien jusqu'à la première paire dorsale. Diagnostic des tumeurs cérébrales. , M. CESTAN.Lanévritooptique oedéma
r un malade. Hémiplégie ; Mémorrha- gie et ramollissement cérébral. Tumeurs cérébrales. Aphasies. Encéphalopathies infantil
ntre la - dans les asiles d'aliénés, par Topor- ] : ow, p. 486. Tumeurs . Diagnostic des cé- rébrales, par Cestan, p. 49
/ 178